La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 14/10/20
Articulation libre Avenant pas Blasé Comptant sur la Débrouille J’Éloigne la Fumée. Gratifiant l’Humaine espèce J’Invente une Jam-session, Klaxonne et résonne. Je Largue mer et Montagne. La Nostra causa Ouvre mon clapet Palpitant d’un Qualitatif Rassemblement affinitaire. Je Souris à la Tendre et Unique Vénus elle m’enlace dans mon Wagon de 1ère Xylophonante femelle « YL » la reine de Zanzibar en somme.
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Par : le 14/10/20
Fièvres Les fièvres ont portés ton écho dans le sang fleurira ta photo La passion nous étouffe les brûlures nous guettent sur la berge les sourires des squelettes bouffent des bouquins écornés par la rivière feuille nénuphar solitaire sur la rive aux branches mortes agrippée tu supplies que je te porte les osseux déjà te prennent décousent au fil de l’eau le courant boueux t’entraîne les remous plongent tes lambeaux un sursaut je quitte le somme glissé sur le flanc je t’appelle, je te traite sur l’herbe tes vêtements je t’aperçois mon amante derrière toi l’eau se divise tu nages vers moi souriante ton corps nu me tranquillise.
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Par : le 10/10/20
Distance. Des culs ternaires rythment les vagues de la foule incertaine et moutonnante de la gare, j’aurais longtemps avant que ne s’efface ta peau ton sourire léger, tes petits cris dans l’étreinte. Mes mains gardent la forme de tes courbes mes lèvres l’empreinte des tiennes, j’oublierais tes mots de coupures, ta lame je la ferais mienne. Étriper les remords, vider les entrailles des regrets faire couler le sang noir, et la planter dans la terre. Mon jardin accueillera ce tombeau près de mes chats morts au combat comme chez ma mère, à l’ombre du cerisier. Je renaîtrais dans l’herbe fraîche en buvant la rosée. Dans mes mains ton sein, tes lèvres, je serre les poings, quand je les ouvrirais, tu auras disparu. Que ta vie s’écoule apaisée, bien plus douce qu’aujourd’hui, que jamais tu ne te demandes : « l’ai-je simplement aimé ? ».
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