La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 10/02/25
L’obscurité libératrice de la honte L’humiliation. Un mot chargé d’histoire, de tabous, de rejets sociaux. Pourtant, dans l’univers du BDSM, elle se tord, se plie, se redéfinit pour devenir une clé vers un plaisir profond, inavouable, jouissif. La honte, ce poison de l’âme que l’on fuit toute une vie, devient ici un nectar exquis, une offrande volontaire, un terrain de jeu érotique où se mélangent la douleur, l’excitation et la liberté absolue. Dans cette obscurité où les conventions n’ont plus cours, l’humiliation ne se subit pas : elle se réclame, elle se désire, elle se sculpte comme une œuvre d’art perverse et sublime. Ce n’est plus une punition, c’est une délivrance. Un instant de pure honnêteté où la soumise abandonne tout vernis social, toute prétention de dignité, pour devenir exactement ce qu’elle veut être : un jouet, une chose, un objet façonné par le regard et les mots de son Maître. Mais comment la honte se transforme-t-elle en moteur du plaisir ? Par quel mécanisme psychologique une injure, une posture de soumission, une exposition dégradante deviennent-elles un déclencheur de jouissance ? Voilà le cœur de cette exploration. Loin de toute complaisance romantique. Le paradoxe de la fierté et de l’abaissement volontaire Le pouvoir de l’humiliation repose sur une contradiction fascinante : l’abaissement le plus extrême peut engendrer une fierté dévorante. Se livrer nu, soumis, vulnérable, et voir dans le regard du Maître non pas du mépris, mais une satisfaction carnassière, c’est là que naît l’ivresse. Offrir sa honte comme un présent est un acte de courage, une rébellion contre le monde extérieur qui impose la pudeur, l’image lisse, le contrôle de soi. Être traité comme une chienne, une esclave, un déchet sexuel, et jouir de cette condition, c’est toucher à une vérité plus profonde que toute convention morale : le pouvoir de se dépouiller entièrement de l’égo. Car dans cette destruction symbolique de la dignité, la soumise retrouve une forme de pureté, une essence brute de désir et d’abandon qui dépasse le simple plaisir physique. Le monde actuel, obsédé par l’image, la validation sociale et le consentement édulcoré, voit d’un œil suspect ceux qui recherchent l’humiliation. Comment peut-on librement choisir d’être rabaissé, insulté, traîné dans la boue du mépris et y trouver une extase ? C’est une question que seuls ceux qui ont osé briser leurs propres limites peuvent comprendre. L’humiliation consentie est une transgression, une gifle aux normes policées du sexe aseptisé. Ici, on joue avec l’interdit, avec la souillure, avec les instincts les plus primaires. Ce n’est pas de la simple soumission : c’est une plongée abyssale dans la négation de soi comme individu pour renaître en tant qu’objet de pur désir, manipulé, utilisé, marqué par la domination. Évidemment, tout ceci repose sur une règle absolue : rien ne se fait sans consentement. Mais ce consentement, dans le cadre de l’humiliation, dépasse le simple « oui » pragmatique. Il doit être un engagement total, une volonté sans réserve d’aller au bout de l’expérience, même lorsque l’égo hurle, même lorsque la société désapprouve. C’est dans cet abandon extrême que réside la véritable beauté de l’humiliation BDSM. Elle ne détruit pas : elle reconstruit. Elle ne brise pas : elle transforme. C’est un art brut, une science du dépassement de soi, une danse où la douleur de l’ego se mue en plaisir de l’abandon.   De la peur du ridicule à la jouissance de la dégradation Vicky n’avait jamais soupçonné que son éveil le plus profond viendrait du gouffre de la honte. Pendant des années, elle avait façonné une image respectable, une posture de femme maîtrisée, intacte sous le regard des autres. Pourtant, sous ma main, chaque certitude s’est effritée. La première injure prononcée, le premier ordre humiliant soufflé, et déjà, son monde vacillait. Elle se débattait, tiraillée entre la peur d’aimer cet abaissement et la révélation brûlante qu’il apportait. Mais la honte, lorsqu’elle est désirée, devient une force. Un territoire inconnu qu’elle avait désormais soif d’explorer. Le dialogue intérieur fut d’abord chaotique. Elle voulait plaire, mais surtout, elle voulait être anéantie sous mes mots. Chaque insulte était une morsure, un frisson violent qui la faisait reculer autant qu’il l’attirait. "Salope", "chienne", "trou à foutre" – elle les redoutait autant qu’elle les espérait. Peu à peu, sa peau s’est faite plus réceptive, son souffle plus court lorsqu’elle entendait ces mots. Son ego fondait à chaque syllabe, et dans cette déchéance consentie, elle trouvait une lumière inédite. Son corps, lui aussi, apprenait à parler une nouvelle langue. À genoux, offerte sans pudeur, elle savait que son corps ne lui appartenait plus. Je l’avais dépouillée de sa dignité sociale pour en faire un objet de dévotion et d’avilissement. Elle se courbait, se présentait, se laissait modeler par mes exigences. À l’instant où elle accepta de s’exhiber sous mon regard critique, où elle laissa de côté sa dernière résistance pour m’appartenir entièrement, elle toucha enfin à la jouissance pure de la soumission. Puis vint la souillure. Le premier crachat, déposé lentement sur son visage, la figea dans une stupeur brûlante. Mais au lieu de reculer, elle l’accepta. Le laissa glisser, absorbant ce marquage comme une preuve d’appartenance. Plus tard, ce fut l’urine, la salive, ces fluides qui la redéfinissaient, l’éloignaient définitivement de cette femme qu’elle avait été. Chaque goutte la transformait, chaque humiliation la rapprochait de sa nature la plus crue : celle d’une soumise qui se nourrit du mépris autant que du désir. Loin de se limiter à la chambre, ces rituels se sont inscrits dans son quotidien. Ne plus porter de sous-vêtements. Savoir qu’à tout moment, je pouvais la forcer à exposer sa honte. Un mot marqué sur sa peau qu’elle devait assumer toute la journée. Le simple fait de boire à genoux, en silence, alors que d’autres ignoraient son état, renforçait cette sensation d’être à moi, soumise à mon bon vouloir même en dehors de nos jeux. Elle ne jouait plus à être soumise : elle vivait son rôle, ancrée dans cette dynamique qui dictait chacun de ses gestes. Et puis il y avait l’évaluation, brutale et sans concession. Sa bouche, son corps, son obéissance : tout devait être noté, critiqué, perfectionné. Je voulais qu’elle sente le poids de mon jugement à chaque instant. Une fellation jugée trop hésitante, un écartement de jambes pas assez large, une langue pas assez docile : chaque défaut souligné la poussait à s’améliorer, à s’enfoncer encore plus dans cette spirale où l’humiliation nourrissait son ardeur. Ce que peu pouvaient comprendre, c’est que plus je la rabaissais, plus elle se grandissait. Dans la perte totale de son ego, elle ne disparaissait pas : elle se révélait. Parce qu’en acceptant d’être ma chose, en embrassant chaque ordre, chaque crachat, chaque moquerie, elle avait trouvé un pouvoir que peu osaient explorer. Elle n’avait jamais été aussi soumise, aussi avilie, mais elle n’avait jamais été aussi libre. Je ne l’avais pas détruite. Je l’avais révélée. Plonger plus bas – pratiques extrêmes et scénarios de dégradation totale Vicky voulait s’enfoncer plus loin dans la soumission, ressentir chaque frisson de l’humiliation intensifiée, explorer les limites du plaisir et de la honte entremêlés. Ce n’était plus simplement une question de soumission physique, mais d’un effacement progressif des barrières mentales, où chaque acte devenait une signature gravée dans son corps et son esprit. L’environnement lui-même devenait un outil de domination. La pièce où elle était amenée se transformait en un théâtre minutieusement orchestré. Miroirs sur chaque mur, capturant sous tous les angles son abandon, projecteurs accentuant chaque trace sur sa peau, chaque frémissement de son corps offert. Un simple bol posé au sol, une gamelle où elle savait qu’elle devrait boire, des harnais suspendus, des accessoires de contrainte disposés avec soin – tout cela formait un décor où le raffinement contrastait volontairement avec l’abjection de ce qui allait suivre. Dans ce cadre, les scénarios se succédaient avec une précision calculée. Elle devenait la soubrette indigne, une domestique maladroite forcée de répéter inlassablement ses tâches, corrigée à chaque faute. Chaque imperfection était notée, chaque oubli sanctionné. "Recommence", ordonnais-je, alors qu’elle lavait le sol, son corps courbé, sa jupe remontée révélant l’empreinte de mes exigences sur sa peau. À chaque erreur, un rappel cinglant, un ordre sec. "Trop lente." "Pas assez appliquée." "Incapable de satisfaire." Chaque mot la piquait, la forçant à se surpasser, à rechercher mon approbation même dans le mépris affiché. Mais la soubrette pouvait devenir chienne. À quatre pattes, privée du droit de se tenir debout, elle rampait sur le sol, son collier fermement tiré, réduite à un état où la parole n’avait plus sa place. Elle devait aboyer à mes ordres, tendre sa langue pour réclamer, manger à même le sol, sentir l’humiliation monter à mesure que chaque mouvement lui rappelait son état. Une tape sur son museau factice lorsqu’elle hésitait, un rappel sec de qui elle était. "Une chienne bien dressée ne réfléchit pas, elle obéit." Elle savait qu’elle devait s’abandonner totalement, se plier aux attentes, savourer cette animalité qui effaçait toute prétention humaine. Puis venait le jeu de l’exhibition. Être livrée aux regards, sentir la brûlure du regard des autres, l’excitation mêlée à la crainte d’être découverte. Une jupe si courte qu’un geste brusque laissait entrevoir l’intime, des marques visibles sur ses cuisses qu’elle devait assumer dans la rue. Un plug anal télécommandé, vibrant au gré de mon humeur, la rendant fébrile au moindre son. Elle devait marcher normalement, parler avec assurance, feindre l’ignorance alors que son corps la trahissait, que son souffle se saccadait sous l’effet des vagues de plaisir et de honte mêlés. Son excitation grandissait sous cette tension constante, oscillant entre l’envie de se cacher et le plaisir d’être soumise à mon bon vouloir, même en public. Les accessoires poussaient encore plus loin son immersion. Un masque de chienne couvrant son visage, une cagoule ne laissant apparaître que sa bouche, des pinces tirant sur ses seins marqués par mes précédents jeux. Un seau où elle savait qu’elle serait forcée de boire, des objets qu’elle devait lécher sans discuter, prouver qu’elle acceptait tout ce qui lui était imposé. Elle apprenait à ne plus réfléchir, à n’être que soumission, un corps et un esprit totalement malléables sous mes exigences. L’humiliation n’était pas seulement physique, elle était mentale. La menace d’être capturée en image, de devoir prouver son dévouement par des photos osées, par des enregistrements de sa voix confessant ses désirs les plus inavouables. Elle savait que tout était consenti, mais cette simple possibilité l’électrisait, faisait naître une crainte délicieuse, un sentiment d’extrême vulnérabilité qu’elle embrassait pleinement. L’excitation montait à chaque mise en scène, chaque jeu où elle cédait une part de contrôle supplémentaire. Mais même dans cet univers d’abandon total, la frontière de la sécurité restait intangible. Je connaissais ses limites, je savais jusqu’où la pousser sans la briser. Chaque humiliation était une offrande, chaque soumission une preuve de confiance absolue. La domination ne résidait pas dans la destruction, mais dans la maîtrise, dans cette capacité à la porter exactement au bord du gouffre sans jamais la laisser tomber. Et elle, dans cet espace de contrôle total, s’épanouissait. Chaque séance creusait plus profondément son désir d’aller encore plus loin, de se découvrir dans des espaces où elle n’aurait jamais osé s’aventurer seule. Son corps portait mes empreintes, son esprit mes marques, son regard la certitude d’être là où elle devait être. Et elle savait qu’il restait encore des frontières à franchir, des limites à explorer. Elle était prête. Et moi, je la guiderais toujours plus loin. L’après-coup et la gloire retrouvée – l’humiliation comme chemin vers une fierté sublimée Quand tout s’arrête, quand les marques sur sa peau commencent à s’estomper, quand la tension extrême de la séance retombe, Vicky revient à la surface, flottant entre la fatigue et une satisfaction profonde. Il ne reste plus de hurlements, plus d’ordres claqués, plus de frissons d’exhibition interdite. Juste le silence, la respiration saccadée, le battement lent de son cœur reprenant un rythme paisible. Je la regarde se recroqueviller sur elle-même, un léger sourire aux lèvres, comme si elle se redécouvrait après avoir franchi une frontière invisible. Ce moment de retour à la réalité est tout aussi essentiel que l’acte lui-même. C’est là que l’expérience prend tout son sens, que la fierté d’avoir exploré ses limites dépasse la simple sensation de soumission. Elle sait qu’elle a traversé quelque chose de rare, d’unique, un voyage intérieur où la honte s’est muée en puissance, où elle s’est dépouillée de toute façade pour toucher son essence brute. Alors vient le réconfort. Je m’approche, mes doigts glissant sur sa peau encore tiède, marquée par mon empreinte. Les mots changent, ils ne sont plus cinglants, ils deviennent caresses, murmures d’apaisement. Une couverture posée sur ses épaules, une étreinte qui ne cherche pas à dominer mais à rappeler qu’elle est en sécurité. C’est l’équilibre absolu : l’extrême humiliation ne peut exister sans cette douceur qui la suit. Elle repose sa tête contre mon torse, et je sens son corps s’abandonner à une nouvelle forme de soumission, celle du lâcher-prise total, celle qui n’a plus besoin de jeux ni de mise en scène. Le bain est souvent un rituel après ces séances. L’eau chaude l’enveloppe, effaçant la sueur, la tension, le souvenir immédiat de l’intensité passée. Je la lave, lentement, méthodiquement, et à chaque geste, je la reconstruis. Chaque caresse sur sa peau lui rappelle qu’elle est précieuse, que cette dévotion qu’elle m’a offerte ne la diminue pas, mais la grandit. Elle n’est pas une femme brisée, elle est une femme qui s’est trouvée dans l’abandon. Ce qu’elle a vécu ne la diminue pas. Au contraire, cela lui confère une force que peu peuvent comprendre. Loin d’une soumission aveugle, elle a choisi chaque humiliation, chaque marque laissée sur son corps. Dans cette totale mise à nu, elle s’est libérée de tout artifice social, de toute image fabriquée. Elle s’est purifiée dans l’excès, a trouvé une sérénité au creux même de la souillure. Et lorsqu’elle se regarde dans le miroir après, ce n’est pas la honte qui l’habite, mais une étrange fierté. Celle d’avoir osé. D’avoir traversé l’interdit et d’en être ressortie plus forte. Cette dynamique ne s’arrête pas à la chambre. Elle imprègne nos jours, nos gestes les plus anodins. Une simple caresse sur sa nuque dans un café, un regard entendu lorsqu’elle mordille sa lèvre, un murmure qui fait revivre un souvenir brûlant. L’humiliation s’intègre dans le quotidien, elle se glisse dans nos échanges avec subtilité, devenant une alchimie de complicité et de transgression. Parfois, un simple mot, un détail – une jupe trop courte qu’elle porte pour moi, une trace discrète sur sa peau – suffit à rallumer le jeu, à maintenir ce fil invisible qui nous lie, même en dehors des mises en scène extrêmes. Mais tout cela ne serait rien sans ma maîtrise. Loin de n’être qu’un bourreau, j’ai sculpté son abandon avec une précision chirurgicale. Chaque ordre, chaque acte, chaque humiliation était un équilibre entre puissance et protection. J’ai pris plaisir à la voir se plier sous mon regard, à l’entendre haleter sous l’effet de la honte désirée, mais jamais je n’ai franchi la ligne qui aurait brisé quelque chose en elle. C’est là la vraie jouissance du Dom : voir sa soumise fléchir, vaciller, mais toujours la maintenir en sécurité, la voir renaître plus forte, plus dévouée, plus ancrée dans ce qu’elle est. Vicky sait maintenant qu’elle ne sera jamais une femme ordinaire. Loin de la soumission passive, elle a trouvé un chemin de puissance dans l’abandon. L’humiliation n’est plus une faiblesse, mais un rituel de transformation. Chaque séance, chaque mot dégradant prononcé sous mon souffle devient une étape de plus vers une vérité qu’elle embrasse pleinement : elle est une femme qui s’élève en se donnant totalement. L’apothéose de la honte lumineuse L’humiliation, lorsqu’elle est désirée et menée avec intelligence, n’est pas une destruction, mais une libération. Elle ne réduit pas, elle révèle. Elle est une danse entre contrôle et abandon, entre pouvoir et vulnérabilité, entre effacement et exaltation. Bien plus qu’un simple jeu de domination, elle ouvre les portes d’un plaisir brut, viscéral, où chaque marque, chaque mot, chaque geste construit une expérience unique et inoubliable. Mais cette exploration extrême ne peut exister sans lucidité. Jouer avec la honte, c’est manier un outil d’une puissance psychologique immense, une arme à double tranchant qui exige une confiance absolue entre les partenaires. Rien n’est laissé au hasard : l’humiliation, pour être un moteur de jouissance et non une blessure, doit s’ancrer dans une compréhension mutuelle et une communication sans faille. C’est là que réside toute la subtilité de ce jeu : il ne s’agit pas de briser, mais d’amener l’autre à se reconstruire, à renaître à travers la soumission et l’excès. C’est aussi une invitation à dépasser les barrières. La peur du regard extérieur, du jugement moral, de l’inacceptable social est ce qui freine bien des âmes à s’aventurer dans ces territoires interdits. Pourtant, l’humiliation consentie est une épreuve de vérité, une transgression salvatrice où chacun peut toucher du doigt une facette cachée de son désir. C’est une zone de turbulence, exigeante mais gratifiante, où l’on apprend à se connaître sous un jour nouveau, délesté de toutes les fausses pudeurs imposées par la société. Et c’est dans cette acceptation que se trouve l’apothéose. Loin d’être une chute, la honte devient un joyau sombre, une clé ouvrant les portes d’un plaisir que peu osent effleurer. Elle est le sésame qui permet d’explorer la profondeur de l’abandon, d’embrasser l’extrême sans crainte, de se consumer dans l’instant sans regret. Elle est ce vertige délicieux où l’ego se dissout pour renaître sous un regard dominateur et rassurant. L’humiliation, lorsqu’elle est transcendée, n’est plus une faiblesse : elle est une puissance. Elle est un chemin vers l’extase, une alchimie entre la soumission et la maîtrise, une promesse d’abandon où chaque instant vécu avec intensité laisse une empreinte indélébile sur le corps et l’esprit. Ceux qui osent s’y plonger savent qu’il n’y a pas de retour en arrière – seulement une soif plus grande, une envie d’aller toujours plus loin, de toucher du bout des doigts cette frontière où la honte devient lumière, où la soumission devient une célébration. Alors, à ceux qui hésitent, à ceux qui frémissent à l’idée d’explorer cet abîme, il n’y a qu’un seul conseil à donner : osez. Dépassez les limites, défiez le regard du monde, et laissez-vous emporter par cette onde de plaisir brut et indomptable. La honte est une porte, et derrière elle se cache un univers d’une intensité rare. À vous de choisir si vous voulez l’entrebâiller… ou l’enfoncer à jamais.
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Par : le 10/02/25
Qu'est-ce que le VRAI PLASIR ?    Pour moi, le vrai plaisir est de voir ma partenaire en prendre encore plus que moi car oui, le plaisir rime avec complicité, c'est un lien qui unis 2 personnes.   Quand je domine une soumise, si je m'aperçois qu'elle n'aime pas et que je la force, alors jaurais l'impression de la v**ler !! Ce est tout sauf un plaisir !!   Le sexe est un art avec beaucoup de pratiques différentes, beaucoup de fantasmes et d'envies différentes.   Le BDSM est un art et une pratique qui regroupe beaucoup de fantasmes et d'envies ! Si une femme désire être soumise et qu'elle aime se prendre des coups de cravache alors je lui donne ce qu'elle veut.    Il faut alors toujours instaurer une limite, un mot qui me fera comprendre que j'y vais trop fort , une alerte pour me dire d'arrêter.  Lorsque que cette limite est franchit, J'ARRÊTE, car au delà se celle-ci, le plaisir se transformera en supplice.   Certaines personnes aiment le supplice et la torture mais quel est le plaisir pour un dominateur sensuel comme moi que de faire mal à ce point à une si belle créature qu'est la femme ! Même si la soumise veut  avoir MAL, je ne sais pas si j'aurais le plaisir de lui instaurer cette douleur.    Je disait plus haut que mon vrai plaisir etait de voir une femme en prendre plus que moi mais a certaines limites.. Au final, pour une femme ou un homme qui aime vraiment avoir mal, est-ce vraiment de la torture et de l'humiliation, les coups de fouets jusqu'au sang sont t'ils vraiment une punition ou une recompense ?  Sont t'ils vraiment punnis s'ils aiment avoir autant mal.   La vraie punition serai elle pas au contraire de les caresser avec le martinet au lieu de les faires saigner?  La vraie punition ne serait elle pas de leur montrer un film avec des gens fouettés et de leur dire qu'ils n'auront pas cette joie de subir la même chose ?   LA VRAIE PUNITION NE SERAIT ELLE PAS DE LES LAISSER LA.. ATTACHÉS À LA CROIX À ATTENDRE EN REGARDANT LES MARTINETS, FOUETS ET CRAVACHES ET LES LAISSER S'IMAGINER SE FAIRE FRAPPER PAR LE CUIRE DE SES OBJETS JUSQU'AU GONFLEMENT DE LEUR PEAU ?     
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Par : le 02/01/25
Oui, tu montes chéri ? Pas pour du blabla, rien que pour baiser. Comme tu voudras, dans la positions que tu voudras. Oui,  j'ai envie d'être ta pute, lâche toi mon chéri.  Laisse ton billet sur la commode. Tu vois tu paies,  donc tu peux consommer comme il te plaira. Tu préfères en levrette. Tu aimes voir mon cul quand tu baises. Pas de problème, je suis toute à toi.  Les jeux bdsm sur le thème de la prostitution, c'est excitant. Il faut respecter certain codes. D'abord faire payer le "client", ensuite refuser de l'embrasser,  ne pas donner sa bouche aux baisers pendant l'acte.  Il faut commencer par bien nettoyer le client, bien lui laver la bite au savon et même lui laver le cul et lui mettre un doigt dans l'anus. Avec une cliente femme, pareil, lui laver la chatte et le cul. Et bien rincer à l'eau tiède.   Ensuite une bonne fellation ou un cunni.  Ne pas se laisser toucher la tête. Le client doit se laisser faire et pas envoyer les mains. Lui manger les couilles s'il aime. N'accepter qu une position pour faire l'acte. S'il veut changer ....c'est avec supplément... Rester très pro dans ce jeu et ne pas dépasser 30 mn. Aucun sentiment . Juste de la baise tarifee.   Pour les jeux de prostitution avec domination c'est plus cher. Ne pas montrer son sexe au client. Et faire bien mal une fois qu'il est attaché.   Il s'en souviendra longtemps. Le côté non affectif du jeu est excitant au final. Et être très cruelle aussi question money, juste un dédommagement pour frais, dont il se souviendra longtemps aussi.    Bises et belle année 2025. Amusez vous bien 
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Par : le 11/11/24
Depuis que mael m'a montré des techniques pour essayer de retrouver la mémoire sur des vies anterieures, je m'amuse beaucoup et les images viennent en cascade. Mael doit être sorcier ou il a du l'être dans une ancienne vie. Tout cela n'est peut être que les fruits de l'imagination mais qu'importe puisqu'il s'agit de voyages avant tout.  Je me retrouve encore dans un corps de garçonne. Je me touche le bas ventre. J'ai bien une chatte cette fois ci. Cela me rassure. Je touche mes seins, ils sont petits et fermes, bien formés.  Je touches mes fesses. Que du muscle. Elles doivent très belles et bien galbées.  Je souris en pensant que mon petit cul va encore faire des ravages.  Je touche mon visage. Je dois être jolie. Je ne sais pas où je suis. Je porte une simple tunique grossière d'une seule pièce et rien dessous.  Autour de moi le paysage est à couper le souffle. De belles montagnes enneigées au loin, des forêts, un petit fleuve paisible, la mer toute proche. Je garde un troupeau de chèvres et de moutons. J'ai un gros bâton à la main. Tiens  un beau garçon vient vers moi tout sourire. Il m'apporte une gourde d'eau bien fraîche.  Il est vraiment tres beau.  Il me prend dans ses bras. Il cherche mes lèvres.  J'ai très envie de lui. Il me prend par la main et me conduit sous un grand arbre. L'herbe est douce et fraîche.  Nous nous asseyons. Il m'embrasse encore. Me caresse les jambes, les seins. Je sens que je suis en train de m'ouvrir.   Il s'allonge sur moi. J'ecarte les jambes. Je sens son gros sexe très dur sur mon ventre chaud. Il veut me pénétrer.  Il a beau essayer encore et encore, ma chatte est vraiment trop serrée.  Il me fait mal. Je gémis. Il est vraiment très déçu de ne pouvoir me depuceler.  Je me blotti contre lui.  Il me retourne. Caresse mes fesses. Il s'allonge à nouveau sur moi. Je sens son gros membre qui veut forcer mes reins. Je le laisse faire. Je n'ai pas mal. Même par là, je suis très serrée. Il grogne de plaisir.  Je sens qu'il en a beaucoup, que sa sève monte. Il explose en moi. Il n'a pas pu se retenir. Il ressort et m'embrasse à nouveau. Il est tout rouge et tout moite.  Je suis un peu frustrée.  Je n'ai pas eu ma dose de plaisir. J'attends qu'il soit parti pour me donner seule des orgasmes. Mon bourgeon est si sensible.  Le jour est en train de s'éteindre. Le ciel devient orange et violet. Il est temps de rentrer. Je sifflé les chiens pour regrouper le troupeau.  Ce n'est pas en faisant l'amour par les fesses que je risque d'avoir des enfants.   
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Par : le 30/08/24
Continuons notre voyage dans les annales akashiques, là où se trouvent les chants d'origine du soldat Homer, celui qui avait été chargé par le roi Priam de faire la propagande de l'armée de Troie. Les années passent,  aucun camp ne parvient à prendre le dessus. Les remparts de  Troie sont très solides, ses archers redoutables, ses cavaliers font des ravages contre les troupes isolées. Les deux armées se font face mais les troiens évitent toujours la bataille définitive.  Ils savent se replier, manœuvrer. Les assauts des grecs se brisent en vain sur ces redoutables défenses. L'épuisement et la lassitude sont là.  Helene est repartie vers Sparte, pour régner d'une main de fer sur son peuple et se faire construire un joli palais. Elle laisse la conduite de la guerre à son meilleur général. Castré,  Menelas a grossi. Il porte un lourd collier de bronze et Hélène le tient en laisse. Il se déplace à quatre pattes à ses pieds et montre son gros cul à tous. La Reine aime l'exhiber et l'humilier de la sorte.  Il semble très heureux au final. Souvent il reçoit le fouet. Non pas pour le punir, non, juste pour le plaisir de la Reine de Sparte, qui aime ce spectacle. Achille, le vaillant guerrier aux pieds agiles, passe son temps à piller les villes autour de Troie pour isoler cette dernière. Il fait des carnages, accumule des butins et ramène de belles esclaves pour servir dans le camp des grecs. Au passage, il se sert d'abord et se garde les plus belles. C'est ainsi qu'il a craqué pour la superbe Briseis. Le plus beau cul de la plaine de Troie aux dire des grecs.  A la différence des autres combattants, Achille est surprenant   c'est le meilleur et pourtant, il a presque un côté féminin . Briseis est amoureuse de lui. Elle aime lui donner le bain lorsqu'il rentre des combats et laver sa peau douce. Elle le lave comme elle laverait une autre fille  et le couvre de baisers délicats. Elle n'ignore pas que c'est un tueur et même le pire d'entre tous.  Pourtant elle le masse ensuite avec de l'huile d'olive. Puis elle s'empale sur lui et lui fait l'amour. Toutes choses qu'elle a apprises dans le temple d'Aphrodite sur le mont Ida.  Un temple réservé aux femmes et aux sciences du sexe et de l'amour.   Souvent Briseis invite une autre esclave ou un beau serviteur mâle bien membre, pour ses parties fines après le bain. Comme prêtresse de l'amour, elle sait organiser des orgies  bissexuelles pour combler son Achille, dont elle est amoureuse folle. Cela l'excite beaucoup de le voir faire l'amour avec un autre homme. De toute façon, il bande toujours mieux après.  La tente d'Achille est un lupanar où l'on oublie la guerre. Qui baise qui et comment est sans impoetance. Qui est l'homme ou la femme, on ne sait vite plus.  Le vin qui frappe la tête coule à flot. La vie n'est qu'un sursis.
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Par : le 21/08/24
-Vraiment, je ne supporte plus ces présidents qui se prennent pour des stratèges.  Merde, ils font vraiment chier. Une guerre ce n'est pas une partie de poker. Quelle connerie cette offensive en Russie.  Mary, la chef des agences de la CIA en Ukraine fulmine dans son bunker. -Encore quelques conneries comme cela et les russes vont vraiment nous la foutre profond dans le cul. Awena, son mari et sa garde du corps n'aime pas voir Mary ainsi.  Seule solution pour la calmer  lui faire l'amour.  Elle sort son feeldoe et l'enfonce dans sa chatte. L'outil idéal pour une lesbienne.  -Viens ma chérie. Je vais te calmer. Tu seras mieux après.  Awena trousse sa femme sur son bureau et la sodomise d'un coup comme elle aime. Mary ne tarde pas à jouir très fort. Elle ruisselle. Les orgasmes se suivent en crescendo. Awena n'est pas en reste  le feeldoe qui masse son point G à l'intérieur de sa chatte l'électrise.  Elle jouit à son tour dans un grand coup de reins, fesses tétanisées de plaisir.  les deux femmes s'embrassent. Mary allume un gros havane.   -Heureusement que tu es avec moi. Les allemands sont en train de lâcher l'Ukraine. Le "cinglé" de Paris, comme disent les russes, s'est foutu tout seul dans la merde. Pokrovsk est sur le point de tomber. Rien ne va. Heureusement que tu me fait bien jouir pour me rendre le moral.  -Pas grave dit Awena. C'est pas la première fois que la CIA devra démonter. -Oui, mais cela fait chier quand même.  Envoyer des troupes d'élite conquérir des champs de patates vers Koursk, c'était vraiment con.  -Pas grave ma chérie.  Tant qu on a du plaisir à faire l'amour ensemble, le reste, relativise. C'est pas toi la responsable.  -Oui, tu as raison. Ils n'écoutent rien. Et si la France se casse la gueule avec sa dette astronomique, bonjour le desastre. Bon voyons ce que nous pouvons faire pour la bataille de Prokrovsk. Les deux jeunes femmes ont bossé et baisé jusque très tard le soir. Il fait nuit noire lorsqu'elles rejoignent leur maison dans la banlieue de Kiev. - Viens, a dit Awena. Je vais te détendre. Elle a sorti un fouet fait de cordes, a attaché Mary solidement et a commencé par lui frapper les fesses. Très vite Mary a senti sa chatte ruisseler de plaisir.  -Oui, oui, fait moi très mal. Plus fort. Sur le dos.  Oui, c'est trop bon. Ahhhh....je jouis....    
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Par : le 06/12/21
Je donne rarement une heure de rendez-vous à mon jeune soumis car sa route est longue pour venir à mes pieds et je ne veux pas l'inciter à commettre des imprudences pour être à l' heure. Une fois, il s'aventure lui même à préciser un horaire. _ " Je serai là à 20H30 Maîtresse. " m'écrit-il. Sachant à l' heure où il termine son job, c'est risqué de sa part. Moi j'aurais dis 21H mais laissons le faire. _ Parfait! A ce soir P---y J'avais vu juste, 20 H 30 personne. 20 H 38. Je monte dans sa voiture, en route pour mon petit coin dans les bois tout en lui expliquant que comme annoncé, chaque minute de retard vaut 20 coups du fouets de mon choix. Ce soir j' ai décidé que ce serait avec le martinet bleu aux larges et longues franges. celui qui claque bien fort... _ " Mais vous ne l' avez pas pris Maîtresse, me dit-il en regardant d'un air rassuré mon petit sac à main. Presque rassuré et pas pour longtemps. Mon sourire en coin le fait douter... Pour qu'il garde les yeux sur la route, je sors de mon petit sac magique mon plus grand martinet plié en 3 et l' étale de tout son long sur le tableau de bord. _ " Ha mais si, vous l' avez vraiment pris! S'exclame mon insouciant soumis. _ Bien sure si je te le dis , c'est que je l'ai. Maintenant faisons le compte! " J'ai le regard qui pétille... " 8 mn ça fait que tu me dois 160 coups. Ça tombe bien car comme je te l'ai dit cet après-midi, j'ai très envie de te faire mal..." Il sourit, amusé de de voir mon enthousiasme et content d'être là pour Sa Domina. L'heure est au plaisir , la punition son prélude... La nuit est tombée, sous les bois il fait trop noir pour que j'en profite bien, je le fais donc se garer plus proche des habitations, à la lueur d'un réverbère. Je veux qu'il tienne sa position seul alors pas de lien. Juste un arbre pour prendre appui. Je lui fait quitter son haut, je veux son dos... Je veux ses maux... Je veux ce qu'il y a au bout de ces 160 coups... Il me connait bien et sait déjà que tout va aller vite... Les premiers coups réchauffent sa peau... Ce martinet claque vraiment fort... J'entends sa résonance dans le calme de la nuit se mêler aux gémissements de mon soumis. Je le guide , lui ordonne de reprendre place, frappe, le laisse fléchir, lui parle du sentiment de volupté que je ressens... Les feux des voitures qui passent l' éclairent brièvement. Juste le temps de voir la nudité de son dos entre les arbres. A peine le temps pour lui laisser un peu de répit. Les lanières sont denses, elles lui recouvrent le dos en masse épaisse qui s'écrase sur sa peau... Je veux sa douleur, Je veux tout, tout de suite... Tout assez vite... Il essaie de tenir... Faiblit... Puise en lui la force de se redresser ... J'aime le voir ainsi... Je lui inflige tout assez fort pour qu'il s'effondre à mes pieds... J'irais jusqu'à se qu'il ne puisse plus... Il le sait... Il supplie... Il fait mon plaisir... A quel moment j' ai arrêté de compter? Quand ses genoux ont commencés à toucher terre , je crois... C'était si bon de le voir faiblir que Je ne sais plus trop... Le nombre n'était pas le plus important. Si j' ai dépassé les 160 ? Oui surement un peu... Voir un peu plus ... Je voulais sa limite. Son lâcher-prise... Je le voulais vite et ne lui ai laissé que peu de répit ce que je lui savais plus dur à tenir... Si j' ai aimé? Oui! Oh oui j' ai aimé. Surtout le moment qui suit, où ,la punition finie laisse place au réconfort... Ce moment où il s'abandonne à genoux dans la terre, à mes pieds , sa tête contre moi, mes mains caressantes... Où le reste n'a plus d'importance... Instant où je l'accueille avec tendresse et bienveillance , le temps de faire redescendre l'intensité et reprendre ses esprits. J'aime ce moment... Est-ce que lui a aimé? Il revient en sautillant gaiement à chaque fois donc Je dirais que oui, il a aimé... Il sait quand j'ai envie de lui faire mal... Quand j' ai envie d'autre chose... Les choses sont dîtes, acceptées, consenties... S'en est suivi une bonne soirée dans un restau à papoter devant un verre. ( ça date d'avant le covid ) Prendre le temps de mieux se connaître. Partager un temps différent... Puis , dans un autre temps encore différent, j' emmène Mon p' tit 4 heure faire un tour dans un recoin de ma ville pour assouvir quelques pulsions plus sexe. Ho rien de bien terrible non plus, juste de quoi me faire jouir. J'ai toujours un bout de corde dans mon sac, mais ça c'est une partie de l' histoire que je garde pour moi...
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Par : le 10/11/20
Lamia est franco libanaise, toute en très jolies rondeurs pour son époux qui en est fou. Lui , Sergeï, est presque malingre à coté, 1m75 pour 65 kg mais il est monté comme un Taureau, un bon 20 cm bien épais et endurant. Elle, c'est 1m 65 pour 145 kg de pur bonheur. Il ne faut pas parler à Sergeï des programmes minceurs qui passent en boucles dans les réclames TV. Quelle horreur cette idée de vouloir mincir. Pour Sergeï, rien n'est plus beau qu'une femme bien ronde.. Les maigres ne l'ont jamais fait bander. Avec Lamia il est au nirvana. Lorsqu'il va à l'Eglise il prie: "Mon Dieu, si je dois aller au Paradis, faites que mes 72 vierges soient bien rondes, sans quoi expédiez moi directement aux enfers, là où on s'amuse et baise. " Lamia est amoureuse folle de son "petit " Sergeï. Lorsqu'elle le serre dans ses bras elle se demande toujours où il est, c'est à dire dans quel pli et repli de son corps voluptueux il s'est enfoui. Le problème avec cette pandémie c'est que le toubib de Lamia a poussé des cris. -travailler, n'y songez même plus. Vous êtes en sur-risques avec votre surpoids. Je vous confine d'office. Elle a donc du rester à la maison et passer au télétravail. Elle est secrétaire et son boss a été très conciliant. Par contre Sergeï qui est routier doit lui bosser en extérieur et se lever tôt. La nuit Lamia ne peut dormir que si elle serre le pénis de son époux qui adore cela, lover sa belle queue dans la grosse paluche de sa femme. Elle ne le branle pas mais s'amuse à le garder en érection toute la nuit. Sergeï se laisse faire. C'est trop bon de sentir les rondeurs si douces de sa femme, sa chaleur, dans son dos. Le matin vers 4h, il est à point. Toute sa sève ne demande qu'à sortir. Lamia le suce et l'aspire goulument. Il se libère dans sa bouche et donne à son épouse sa ration de vitamines et d'énergie pour la journée. Lamia adore laver son époux sous la douche. Elle ne peut pas avoir d'enfant, alors c'est un peu son bébé. Elle le savonne, le rince, le talque, l'habille et Sergeï aime cela, se faire bichonner par sa femme. Après un bon petit déjeuner, il file retrouver son camion le cœur heureux. Il n'a qu'une hâte, à peine parti, c'est de vite retourner à la maison pour pilonner la chatte de son épouse. Le soir est enfin là. Lamia a préparé le repas. Elle s'est faite belle. Sergeï est trop impatient. Il l'a bien grosse et il veut se vider les couilles. Vite le canapé! Une levrette pour commencer. Ah ce cul superbe et généreux. Il s'enfonce d'un coup. C'est vraiment très jouissif. Lamia ruisselle. Il explose. Il n'a pas pu se retenir. Ce n'est pas grave, il sait qu'ils vont vite remettre cela. Lamia ne dit jamais non à son homme. Sergeï allume une gitane sans filtre...rires. Il fume et laisse échapper: -Tu es trop bonne Lamia. Je t'aime Lamia ne dit rien et lui donne ses seins magiques a sucer et caresser. Le sexe de sergeï se dresse à nouveau....
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Par : le 01/11/20
Trop contente jolie ginette d'être confinée avec son petit copain Gégé, un handicapé mental qui fout rien de la journée à part bouffer des pops corns et regarder la télé. Pourtant Ginette adore son Gégé et surtout sa belle bite dont il se sert si bien. Jamais Ginette ne pouvait s'imaginer sortir un jour avec Gégé et ses trois neurones, son intelligence qui doit se trouver entre celle de l'amibe ou celle d' une salade de jardin. Et peut être même que l'amibe ou la salade sont plus intelligentes. Pourtant cet idiot est celui qui a fait la nique à tous les prétendants au joli cul de Ginette. Oh, il a fait simple. Il a coincé Ginette en pleine rue et l'a tronchée debout contre un platane. Gégé est imposant, il fait peur. Ginette n'a pas eu le temps de crier que déjà une main puissante lui fermait la bouche et une autre lui arrachait le slip. Déjà un pieu puissant la violait d'un coup. Gégé ne saura jamais ce que peut être un préliminaire. Et Ginette a jouit très fort. Les passants, qui regardent en coin mais n'osent pas s'interposer. Et puis c'est vite venu visible que Ginette adore cette forme d'amour sauvage et brutal. C'est ainsi qu'elle est devenue accro puis addic complète à la bite de Gégé. Elle a vite trouvé son compte à être avec un handicapé qui vit des allocs, ne fout rien et baise si bien. Lorsque son employeur a proposé le télétravail. Ginette a de suite accepté. Etre confinée avec le gros calibre de Gégé c'est trop bon. Alors elle se ballade en nuisette dans l'appart. Elle passe devant le canapé ou son homme regarde les dessins animés pour enfants. On voit qu'il a du mal à suivre mais il rigole tout seul, c'est déjà cela d'après la psy. Ginette montre son joli cul et zou. Le cerveau de gégé court circuite ses trois neurones et il se précipite pour violer ce joli cul qui s'offre. Elle ne sait jamais quel trou il va défoncer. Peu importe. Ginette hurle. Son handicapé de petit copain ne fait jamais défaut. Un vrai marteau pineur. C'est trop bon. Tout l'immeuble est au courant plus de dix fois par jours, sans compter les longues nuits. Les cris de plaisirs de Ginette sont si forts qu'ils s'entendent même jusque dans la rue. Heureusement qu'elles sont désertes avec le confinement.
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Par : le 15/07/20
Nichdali est une passionnée d'ésotérisme, de méditation, de yoga, bref, elle ne peut plus baiser que suivant les préceptes du tantrisme. Faut pas être pressé. Faire l'amour avec Nichdali peut durer des heures et même des nuits entières. Il n'est pas rare qu'elle commence la pénétration le soir et que l’orgasme et la libération de sperme ne soit que pour le matin. Elle a un Yoni très musclé et une fois un pénis inséré, c'est elle qui décide de le relâcher ou pas. Elle en fait sa propriété tout le temps de la pénétration. Cela peut être très jouissif pour un homme, mais aussi très douloureux parfois. Comme Nichdali adore faire l'amour, c'est devenue une experte. Le problème c'est qu'elle a voulu se faire sauter par un beau noir avec une pine énorme. Ce dernier en a vite eu mare des préliminaires et il a défoncé Nichdali par tous les trous comme un sauvage. Et Nichdali a explosé les orgasmes en lâchant complètement prise sous les coups de ce pal monstrueux. Fini son approche tantrique du sexe. Elle est devenue l'esclave de la bite d'Amir, le lion indomptable du Cameroun. Et Amir ne se contente pas d'une seule femme, il faut qu'il en bourre plusieurs différentes chaque jours. Et toutes jouissent très fort et toutes sont accros. Nichdali la fière féministe, féru d'amour tantrique n'est plus qu'un garage pour la bite d'Amir et elle doit obéir, être disponible quand son maître veut et comme il veut. Et Amir est un pressé, il a de belles chattes à visiter. Elle doit être la huitième sur sa liste, peut être plus loin encore. Elle pense être tombée bien bas. Elle qui était contre la polygamie, le patriarcat, la toute puissance du mâle dominant. Et maintenant Amir en veut plus, il lui donne de copieuses fessées, il l'attache et parle même de la fouetter bientôt. Elle tremble, elle est prise au piège. Elle ne peut plus s'échapper. Elle jouit trop et trop fort ! A peine Amir la touche, elle brame. Son maître a du lui jeter un sort, il doit être marabout ou sorcier ! C'est incroyable, dès qu'il est là, elle n'est plus rien, sauf une chatte, un cul et une bouche ouverte. Et Amir a fait ce qu'il a dit. Il a attaché Nichdali et il a sorti un fouet terrifiant. Nichdali a hurlé, supplié, pleuré. Rien à faire, Amir lui a labouré le dos. Puis il l' a détachée et il est parti sans un mot. Nichdali sent la douleur brûler. Elle sanglote. Puis elle se calme. Elle se souvient de ses séances de méditation....la paix revient. Sa douleur devient plaisir. La morale de cette histoire, c'est qu'avec les soumises le fouet est le meilleur des préliminaires.
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Par : le 20/05/20
Pam est toujours plantée à califourchon sur le sexe gonflé de désir de Joe qui a croisé ses mains derrière sa tête. Il est bien détendu, allongé sur les très confortables fauteuils couchettes du 4x4 transformers. Il allume un havane et fume paisiblement par les fenêtres grandes ouvertes. Il connait Pam, il sait qu'il faut lui laisser le temps de savourer tranquillement son dépucelage. La Capitaine possède un extraordinaire cerveau algorithmique. Alors Joe sait que cela va être long, très long. Mais il est bien, avec cette femme divinement belle enfoncée sur sa bite tendue. Il respire en tirant sur son gros cigare. Pam est en train d'effectuer une première mondiale. Pratiquer un coït hétérosexuel avec des implants nanocellulaires qui permettent d'explorer les deux sexualités, celle de l'homme et celle de la femme. Elle a un accès direct aux deux. Elle peut être les deux. Et donc elle aussi, prend tout son temps. Elle laisse les orgasmes qui se succèdent passer comme de grosses vagues. Son cerveau tourne à une vitesse stupéfiante. Les implants sont des multiplicateurs vertigineux de ses capacités intellectuelles. Elle explore le protocole de Tirésias. Dans la mythologie grecque Tirésias (en grec ancien ????????? / Teiresías) est un devin aveugle, un des plus célèbres. Une des "versions sur l'origine des dons de Tirésias nous vient d'Ovide. Alors que Tirésias se promenait en forêt, il troubla de son bâton l'accouplement de deux serpents. Aussitôt, il fut transformé en femme. Tirésias resta sous cette apparence pendant sept ans. La huitième année, il revit les mêmes serpents s'accoupler. "Si quand on vous blesse, votre pouvoir est assez grand pour changer la nature de votre ennemi, je vais vous frapper une seconde fois." Et, ainsi, Tirésias redevint un homme.. Quand Zeus prétendit que la femme prenait plus de plaisir que l'homme à l'acte sexuel et que son épouse Héra prétendit le contraire, les dieux demandèrent l'avis de Tirésias qui avait l'expérience des deux sexes. Tirésias se rangea de l'avis de Zeus. Il expliqua que si le plaisir de l'acte sexuel était divisé en dix parts, la femme en prendrait neuf alors que l'homme n'en prendrait qu'une. Et Héra, « plus offensée qu'il ne convenait de l'être pour un sujet aussi léger, condamna les yeux de son juge à des ténèbres éternelles ». Zeus ne pouvait aller à l'encontre de la décision d'Héra, alors, pour compenser sa cécité, il offrit à Tirésias le don de divination et une vie longue de sept générations". Et Pam confirme tout cela, son sexe est bien plus complexe et innervé, bien plus capable de plaisir que celui, plus rustique et primaire de Joe. Oui, les femmes peuvent avoir bien plus de plaisir que les hommes en faisant l'amour. Là pour l'instant elle bloque complètement l'éjaculation de Joe, pour lui garder la bite bien tendue et explorer toutes les formes de plaisirs par la pénétration. Joe fume toujours paisiblement. Il semble comme absent. Pam se sent vraiment libre de faire comme elle veut. Putain que c'est bon tous ces orgasmes qui se suivent. Allez, à présent qu'elle a tout assimilé, elle veut déclencher le big one, le méga tsunami. Joe a arrêté de fumer. Il s'accroche des deux mains aux deux seins en obus de sa femme, cela va exploser sous peu. Les contractions vaginales s'accèlerent. Joe lâche son foutre. Pam se tétanise. La vague est si intense qu'elle ne peut plus bouger. Une onde choc qui fait vibrer le 4x4 transformers qui pèse plus de deux tonnes. Une chose incroyable. Des milliardaires vont être prêts à payer des sommes colossales pour essayer le cyberorgasme. Mais l'armée n'en aura rien à foutre. Pam s'effondre sur Joe et s'endort d'un coup, comme un mec. Et Joe fait de même. Son sexe reste toutefois tendu à l'intérieur du vagin tétanisé de sa femme. Il est "collé". Il va falloir laisser du temps pour que tout se détende et s'appaise, qu'il puisse sortir. C'est le soir, ils sont toujours au milieu du champs de Maïs. Joe a préparé un bon café et ils le dégustent sans un mot. Puis Pam dit: -C'est Ok, tu es le meilleur baiseur de l'Arizona. J’accepte de t'épouser. Tu sais que l'armée nous permet de le faire sans tarder et comme tu es le plus gradé, c'est à toi de présider. Joe sort deux belles alliances en acier. -Tout juste sorties des forges d'Alan, un des bricos de génie de la base. Elles sont pleines de gadgets utiles et invisibles. tu as la notice dans ton cerveau. Allez je commence. Bla Bla, les voeux, bla bla les promesses, je vous déclare unis par les liens du mariage, bla bla bisous bisous. Le droïde du 4x4 vient de tout enregistrer, c'est un témoin officiel. J'envoie le PV de mariage au commandant de la base. C'est fait. Madame la Générale a quelque chose à dire? -Oui, j'ai une putain d'envie de pisser. -Moi aussi. Et ils sortent arroser les maïs. Pam pisse debout, comme les égyptiennes de l'antiquité. C'est très amusant et très érotique. -Tu sais quoi, dit Joe. On va partir en vol dronique et on enverra une photo au canard du coin. Avec la mention: "encore des crops circles dans des champs de maîs."
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Par : le 16/04/20
-Quelle bande de cons ! C'est par les mots célèbres de Daladier lorsqu'il était applaudit à Paris, de retour de Munich, que Loïc fulmine, tous les soirs à 20 h, lorsqu'on applaudit les soignants des hôpitaux. -non mais quelle bande de cons ! C'est 15 000 morts de trop, 200 milliards de dettes en plus et ils applaudissent ! Ils viennent de se faire mettre profond et ils sont contents ! -calme toi, Loïc , dit Eva, sa sublime compagne. T'y changera rien. 99, 99% de la population sont fait pour se faire enculer et ils aiment cela. -T'as raison, je m’énerve pour rien et il va bien y avoir un con de voisin pour me dénoncer. -ceux qui se font enculer aiment bien parler, répond Eva en écartant légèrement les cuisses. Elle enlace Loïc. -Viens, baise moi au lieu de te rendre malade. Heureusement qu'on a ni la télé, ni internet, sans quoi... Et Loïc ne se fait pas prier. Il adore baiser Eva, 100%naturelle, jamais de produits chimiques sur la peau, aucun vaccin ni médicaments chimiques de merde. Une femme qui sent bon. Il la baise et la rebaise, là au moins il ne paie pas d'impôts à ce régime pourri infesté d'escrocs publics. -Tu sais quoi, on va se barrer, j'en peux plus. Faut qu'on se trouve une Haute Terre à nous. Pourquoi pas au Greenland ou au Vinland, le paradis des vikings. Eva toute pleine de bon sperme et dégoulinant de mouille et jouissance ne répond pas. Ah son Loïc. Heureusement qu'il l'a baise bien. C'est fou le nombre de ripoux qui ont voulu sa main, le nombre de notables qui voulaient se jeter à ses pieds. Non, elle a choisi ce timbré de Loïc. C'est vrai, il a une très grosse queue et il sait lui exploser les orgasmes. -Oui, le Vinland si tu veux. Pour l'instant, attaches moi, donne moi une bonne féssée, je suis pas sage et encule moi profond. Penses que tu te venges de ces escrocs qui nous dirigent. Et loïc n'a jamais su dire non à Eva. Diable qu'elle est bandante avec ce cul bombé qui s'offre.
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