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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
J’avance à quatre pattes à la suite de mon Maître. Je me demande s’il observe attentivement ma démarche ou s’il se contente d’avancer sans se préoccuper de moi. J’ai peu de doutes en revanche quant au regard de notre invité qui pèse sans aucun doute sur ma croupe malhabile de bipède en régression. Chaque « pas » me faire sentir à quel point mon sexe et mes cuisses sont humides, sensation fraichement velourée qui m’écartèle entre honte et délice.
Maître s’installe dans un fauteuil et invite Dan à se mettre à l’aise sur le canapé. J’attends, toujours à quatre pattes, que l’on me dise ce que je dois faire, mais ça ne vient pas. Je sens que Maître tiens toujours la laisse dont la chainette est secouée de petits à-coups lorsque ses mains accompagnent ses mots dans leur discussion. Il sert un verre à son invité avant de se servir lui-même et de se réinstaller au fond de son fauteuil. Il n’a pas un mot pour moi, pas un geste. Que suis-je censée faire ? Je sens le stress monter.
Aucun d’eux ne semble prêter attention à ma présence. Je me sens d’abord piquée dans mon égo, je me sens en colère, vexée. J’ai envie de provoquer mon Maître, de lui mordre la cheville pour lui exprimer mon mécontentement. Si nous n'avions été que tous les deux, je n’aurais pas hésité ! Mais là nous avons un invité et je me sens plus intimidée que je le voudrais. Il me semble que je m’agite et je me sens me renfermer dans ma frustration.
Silence. Mes sens se réactivent aussitôt dans un élan d’hypervigilance.
« Ne fais pas attention à elle, elle va trouver sa place. » s’enquit Dan avec calme et assurance.
Trouver ma place ? On attend donc bien quelque chose de moi ? Je ne comprends pas ce qu’il veut dire, ni ce que je serais censée faire. Pendant que je m’interroge, leur discussion reprends :
« Donc ce métier d’éducateur, tu fais ça depuis combien de temps ?
Ça fait quelques années maintenant. Six ? Sept ? réponds Dan en réfléchissant.
Tu faisais quoi avant ?
J’étais dans les ressources humaines. Et tu sais quoi ? Ce n’est pas si différent finalement ! »
Les deux hommes éclatent de rire. Notre invité, un éducateur ? Educateur de quoi ? Maître reprend ses questions :
« Et comment ça se passe ? Tu fais de l’individuel, du collectif ? Tu as un club ?
Essentiellement des séances individuelles. Ce qui m’intéresse c’est de voir et corriger les attitudes du propriétaire qui vont influer négativement sur le comportement du chien. Le collectif peut servir aussi pour ça. Notamment concernant les problématiques de sociabilisation ou pour détecter les appréhensions de l’humain qui vont causer des troubles de comportement. Ton chien réagit à qui tu es, à tes émotions, ta gestuelle, ton attitude générale face aux évènements et à la vie. Il suffit d’observer ce que fait l’humain et tout devient logique.
Passionnant ! Quelle chance de t’avoir rencontré, je suis sûr sur nous allons beaucoup apprendre ce soir. »
Oh ! Notre invité est donc éducateur canin ? En tout cas, Maître est enthousiaste. Et je commence à comprendre un peu mieux… J’ai souhaité devenir sa chienne. Et nous y sommes, je vais être traitée comme telle. Je me sens légèrement humiliée qu’il ait choisi un éducateur canin comme premier invité. Et j’en déduis qu’il s’agit ici de veiller à canaliser mes écarts de conduite.
« C’est une logique à acquérir. Regarde, nouvelle situation, nouvel environnement, nouvelles sensations, nouvelles odeurs, ta petite chienne est toute perturbée et c’est bien normal. C’est toi qui tiens la laisse, tu es son cadre de référence. Si elle te sent relaxé et à l’aise, alors elle se détendra tout simplement.
Effectivement, ça reste un chien après tout… »
Maître réfléchit aux mots de son invité. Et moi aussi. Je me sens de plus en plus agacée d’être comparée à un chien, par un éducateur canin en plus ! Mais je me contrôle. Je serre les mâchoires. Je ne l’aime pas. D’abord il envoute mes sens, et ensuite il me rabaisse. J’ai envie de lui rentrer dedans. Je baisse la tête, mes doigts se contractent sur le tapis du salon.
Leur discussion se poursuit. Je ne l’entends pas, je suis trop contrariée. Au fond, je sais que si je suis aussi énervée, c’est parce qu’il n’a pas totalement tort. Je suis stressée. C’est une situation nouvelle pour moi. Mes sens sont exacerbés par la situation et par ma vue entravée. Je suis tendue. Je commence à comprendre que c’est peut-être cela qu’on attend de moi : que je me détende. Je me concentre quelques secondes sur ma respiration, et quand je sens que je suis un peu moins en colère, je me couche aux pieds de mon Maître, la tête posée sur sa chaussure. L’odeur du cuir envahit mes narines. Je ne suis pas si mal, par terre à ses pieds…
« Tu vois, elle se pose toute seule. Moins tu parles, plus elle doit se concentrer sur toi pour faire ce que tu attends d’elle, plus elle sera attentive et obéissante.
Intéressant.
Tu peux la récompenser pour lui faire comprendre que c’est le bon comportement. »
Je sens la main chaude de mon Maître me caresser la tête, ce geste me réconforte un peu, même si les mots de Dan m’irritent au plus haut point. Un biscuit est placé contre mes lèvres et je comprends que c’est « ma récompense » et que je dois manger. Je ne résiste pas, j’ouvre ma bouche et mange le gâteau. Mais je boue intérieurement. La soirée va être longue !
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Je reviens en tenant à 2 mains un bol en inox qui ressemble à ceux destinés à la nourriture des animaux mais portant la mention CHIENNE en lettres capitales.
Il est rempli de ce faux sperme (maïzena, sucre concentré, eau) dont j'aime te recouvrir et que j'aime te voir lécher.
Je pose le bol devant toi mais hors de portée.
- Je vous remercie par avance Maître !
Je m'avance devant la cage.
- Baise mes pieds !
Ce n'est pas quelque chose auquel je t'ai habitué et, devant ton hésitation, même si elle ne dure que quelques secondes, je perds mon sang-froid et hurle
- Baise mes pieds sale chienne !
Et ta tête se baisse, tu te soumets et je te vois baiser mes chaussures. Après quelques instants, je vois ta tête bouger de haut en bas et je sais que tu es en train de les lécher.
Je sais que tu commences à avoir envie de manger mais je sais que c'est la soumission qui parle, ton dressage bien plus que la faim.
Je profite un peu plus de la vue de mon esclave le cul remonté, la tête sur mes chaussures et je me dis qu'il est temps de passer au modèle supérieur de plug.
Je ne peux pas m'empêcher de fesser ton joli cul avant et après avoir enlevé le plug.
Je te fais lécher et sucer le modèle plus gros et je l'enfile dans ton cul ce à quoi répond un léger râle qui me ravit.
J'enlève chaussures et chaussettes et je reviens devant toi.
Tu commences à baiser mes pieds, l'un après l'autre. Ta tête passe à travers l'ouverture à l'avant de la cage. Puis je sens ta langue qui commence à les lécher doucement. Puis de plus en plus goulûment jusqu'à ce que tu lèves la tête pour me regarder
- Puis-je les mettre dans ma bouche Maître ?
- Tu peux mais tu n'auras rien à y gagner
- J'aurai à y gagner le plaisir de mon Maître !
Tu passes tes bras entre les barreaux de la cage pour saisir mon premier pied et tu commences à le prendre dans ta bouche. D'abord en le prenant en biais puis en le prenant en entier, la bouche grande ouverte. Tu le fais rentrer et sortir. La largeur te force à faire des allers et retours lents. Tu commences à baver. Et cette simple vue de ta salive qui rejoint le sol déclenche, comme à chaque fois, l'envie de toujours plus.
Je pousse mon pied un peu plus au fond et je le maintiens plus longuement. Je le fais une dizaine de fois et je te vois, à chaque fois, récupérer ton souffle en laissant s'échapper toujours plus de salive.
- Qu'est-ce que tu as fait à mon sol ? Lèche-moi ce que tu as fait !
- Oui Maître. Pardon Maître.
Tu te penches et commence à lécher le sol. Je suis complètement raide en imaginant que c'est mon sperme que tu lèches comme une chienne en chaleur.
- Ça suffit.
Et je te tends le bol en m'accroupissant à côté.
- Tu as faim, mange !
Tu tends la tête, tu ouvres la bouche et la langue pour tenter de laper le mélange.
- Pas facile, hein, même pour une chienne comme toi.
Je regarde, à 20 centimètres tes efforts pour essayer de manger et je prends un réel plaisir à me moquer.
- Tu vas avoir très faim ce week-end si tu n'arrives même pas à manger correctement.
Tu commences à plonger la tête dans la gamelle et tu ressors avec du faux sperme sur le menton et le nez.
Je me relève et je presse ta tête dans la gamelle.
- Mange salope !
Quand je te laisse relever la tête, ta gamelle est presque vide et ton visage est recouvert de blanc. Ça te va si bien que je ne peux m'empêcher de sourire.
- Allonge-toi dans ta cage, sur le dos, les coudes au sol pour surélever ton buste.
Je récupère une grande bouteille et je vide lentement un litre de cette substance blanche, très ressemblante. Je vise à travers la grille ton visage, d'abord, puis ton cou, tes seins et ton ventre. Jusqu'à ton sexe.
Et je regarde le blanc couler partout.
Et, en même temps que tu me remercies avec gratitude, tu commences à en récupérer sur ton corps pour lécher tes doigts.
- Lèche aussi la grille du haut. C'est ta cage, je veux qu'elle soit propre.
Je te regarde de longs moments. J'adore quand tu me regardes en léchant tes doigts.
Je reviendrai dans une demi-heure. Je veux que tout soit nickel ou tu auras des gros ennuis. Et je sais que tu as envie, autant que moi, d'avoir de gros ennuis ...
Si vous n'avez pas détesté ou baillé, je suis vraiment preneur d'un like. C'est bon pour ma motivation et mon ego (est-ce que mon ego en a besoin, c'est une autre question mais je pense que oui) !
Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme).
Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet.
Partie 1: Un sofa
Partie 2: Grande table en bois
Partie 3: Liens d'attache
Partie 4 : Un set de godes
Partie 5 : une cage
Partie 6: Un set de plugs
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