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Un nouveau chapitre de notre histoire préférée à ma soumise et moi-même. Cela faisait quelques semaines, mais il ne faut pas trop la gâter... Bien, nous en étions restés au moment où, après avoir été présentée aux clients de l'Académie avec les autres novices, tâtée et humiliée sur le podium devant les photographes et les yeux scrutateurs des sadiques de l'assistance, la demoiselle était emmenée. Elle se retrouva entre deux gardes, passant à travers les couloirs. Son souffle était encore haletant après la peur et le déluge de sensations. Les caresses, les regards lubriques, les parfums étouffants de la pièce, semblaient perdurer autour d'elle. Une chaleur moite montait de son corps. Les crèmes qu'on avait étalées sur sa peau semblaient dégager une aura qui mettait son corps aux aguets, sensible à chaque caresse de l'air et à chaque gémissement autour d'elle. Les scènes passaient en un éclair devant ses yeux. Une main posée à plat sur un sein à la lueur d'une flamme, qui se serrait soudain et glissait jusqu'à ce que les doigts se referment, implacablement, sur le téton. Un corps rose étalé sur un meuble, rond et ouvert, donc les courbes se tordaient, de plus en plus étirés, à mesure que chaque centimètre de peau était couvert par la cire brûlante d'une bougie. Une bouche qui glissait le long d'un phallus de métal scintillant, poussée toujours plus loin par une main gantée contre sa nuque. Des cris faisaient tressauter son cœur. Un "ah" perçant de surprise, arraché à un visage enfantin par un coup de fouet inattendu. Un gémissement long et monotone, épuisé déjà, d'une jeune fille attachée à une roue. Un râle émanant d'une sorte de masque de cuir, dont la seule ouverture était bouchée le reste du temps par le sexe des hommes qui s'en servaient. Des corps la frôlaient. Les hommes, souvent en costumes de soirée, tenant en laisse des demoiselles ou des soumises d'une autre origine, jetaient un œil cupide à ses formes en la voyant passer. Les filles ne la regardaient pas, les yeux à terre ou toutes entières concentrées sur leur tâche ou leur douleur. Les gardes l'arrêtèrent devant un meuble étrange. Celui de derrière la plaqua négligemment contre le mur, en grognant "Ne bouge pas." Sans oser bouger, elle les regarda s'affairer autour du meuble. On aurait dit une petite armoire à première vue, haute d'un peu plus d'un mètre et demi, et fermée de tous les côtés. Ils l'ouvrirent par en haut, et entreprirent d'en défaire la partie supérieure. Des petite trappes circulaires s'ouvraient, à l'avant et en bas à l'arrière. Puis ils ouvrirent le côté, et la demoiselle put en voir l'intérieur. La panique fit trembler ses jambes. Sans les sévices qu'elle avait enduré jusque là, elle aurait pris la fuite aussitôt. la partie supérieure était évidée. On voulait l'enfermer dans cette cage de bois. Et dans la partie inférieure, au niveau de son abdomen, un triangle de bois pointait vers le haut, étalant son arête sur toute la longueur du meuble. Les trous en bas étaient pour ses pieds. Ils allaient la faire s'asseoir sur cette pointe effilée. Aussitôt le côté du meuble ouvert, les gardes la prirent par les jambes et la firent chevaucher ce "cheval de bois" étroit. A l'arrière du meuble, des anneaux permettaient d'attacher ses bras. Quand ils lui firent lâcher le montant de la boîte, auquel sa main s'était agrippée par réflexe, elle n'eut plus aucun point d'appui. Ses genoux tombèrent sur les côtés du triangle, et son entrejambe s'enfonça contre l'arête effilée. La douleur monta d'un coup. Comme si on était en train de la couper en deux par en bas. Mais son gémissement à peine commencé fut étranglé. Un des gardes profita de ce que sa bouche était ouverte et y enfourna un godemiché noir. Il attrapa son cou et tira son visage en avant, pour visser ce bâillon infernal à l'avant de la machine. Enfin, l'autre garde appuya sur son dos, poussant son corps en avant. L'arête du triangle écrasa contre elle une de ses lèvres intimes, et les pleurs jaillirent de ses yeux. L'autre garde s'était baissé, et ajusta les trappes à l'avant du meuble. Les yeux de la demoiselle se baissèrent sur le spectacle obscène de ses seins, comprimés et poussés en avant par l'impitoyable machine, qui ressortaient du meuble comme deux globes de chair désincarnés. Après avoir ajusté une planche du meuble pour pousser sa poitrine le plus avant possible, le garde derrière elle s'approcha de son oreille et murmura "Pas de douceur pour toi par en dessous ce soir. On protège vos parties intimes, pour nos clients les plus "select". Ouvre grand les yeux, et profite du spectacle. Tu vas voir ce qui t'attend. Et un conseil: oublie la douleur. Ce n'est rien à côté de ce que tu vas connaître..." Quand ils furent partis, un calme de purgatoire s'abattit sur la demoiselle. La douleur dans son entrejambe commença par monter jusqu'à devenir intolérable. Tout son corps était tendu, accroché à cette arête qui broyait sa peau la plus tendre sous son propre poids Elle entra dans une sorte de transe, d'où elle se réveillait par a-coups, dans de nouvelles crises de douleur ou quand le godemiché dans sa bouche la faisait s'étrangler. Le monde autour d'elle semblait bouger au ralenti, flou, dans ce temps qui n'avançait plus, qui n'était qu'abandon à la douleur et vulnérabilité totale. Soudain, une sensation nouvelle s'empara d'elle. Ses yeux qui s'étaient à demi-fermés s'ouvrirent grand. Une main s'était posée sur ses seins Un homme se tenait devant elle. De sa position, elle devait lever les yeux pour voir son visage. Il ne la regardait pas. Il parlait avec quelqu'un d'autre qu'elle ne pouvait pas voir. A côté de lui, à genoux, une jeune fille attendait. Elle avait la peau mate, et des yeux verts tellement brillants que la demoiselle en oublia sa douleur. Elle avait rarement vu une jeune femme aussi belle. Les courbes de son corps étaient à peine visibles dans la pénombre, mais la grâce de ses mouvements, même les plus discrets, était ensorceleuse. Un bruit près de son corps rappela à elle la pauvre prisonnière dans sa boîte infernale. L'homme ouvrait sa braguette. Aussitôt, le visage aux yeux verts s'avança, et une langue lascive en sortit, baignant de salive le sexe déjà en érection du maître. Ce ballet, ce va et vient de la langue sur ce membre qu'elle ne percevait que du coin de l’œil - son visage était fixé à la boîte par le godemiché - semblaient surréels pour la demoiselle. Que faisaient-ils devant elle, ainsi? Dans le brouillard de douleur et de fatigue qui la tenait, son esprit ne parvenait pas à comprendre cette cérémonie étrange, qui semblait détachée entièrement du reste de la soirée. Puis les bras de la jeune femme montèrent le long du meuble, et ses mains s'arrêtèrent sur les deux seins qui en ressortaient. La demoiselle sentit les doigts serrer, tirer, malaxer. Entre ses deux seins, doucement, monta le sexe de cet homme. La jeune femme aux yeux verts le masturbait avec ce jouet humain, ces mamelles sans corps sorties de la boîte comme par magie. Sans les voir, le visage toujours fixé en avant, la demoiselle put sentir les doigts, le membre qui se gonflait de plus en plus dans les plis de sa chair, les caresses que lui administrait la savante et habile esclave Elle sentit se tendre le pénis, les mouvements se firent de plus en plus rapides. Les boules de l'homme frappaient à présent le bas de ses seins. Puis un bruit sourd. Le bras de l'homme s'était baissé d'un coup, frappant le visage aux yeux verts d'une claque violente. "Assez!" L'homme, toujours sans la regarder, passa la main sur son sexe puis essuya la salive de son esclave sur les cheveux de la demoiselle Puis il repartit, entraînant avec lui la jeune femme à quatre pattes, dont le corps serpenta le long de la salle, ses hanches se soulevant et s'abaissant de nouveau comme le mouvement d'une vague qui se perdait dans la tempête de l'orgie. Les yeux de la demoiselle se fermèrent, ses forces l'avaient lâchée. La douleur, le bruit autour d'elle, tout ne fut plus qu'un long demi-sommeil maladif. Bercé parfois par la lueur mystérieuse, lointaine, de deux yeux verts. Voilà pour cette fois. N'hésitez pas si vous avez quelques idées à rajouter pour la suite. Je suis preneur, mon imagination se nourrit de tout. Et bien entendu, je réitère, ne refaites pas ça chez vous. A moins d'être vraiment un ébéniste de génie! ;)
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Ma soumise se comporte bien, l'histoire continue. Profitons! Après avoir été lavée, la demoiselle fut préparée. Une autre femme en toge la maquilla, sur le visage et sur les marques qui couvraient son corps, signes des sévices qu'elle avait endurés La main douce qui passait les onguents sur sa peau, les pinceaux et les brosses, chatouillaient son épiderme encore sensible après la chaleur du bain Autour d'elle, d'autres filles étaient préparées. Elle voyait leurs corps nus passer près d'elle, dans un ballet silencieux, sous les yeux grossiers des gardes. Elles se levaient, s'asseyaient, se penchaient en avant ou en arrière en réponse à un simple geste des femmes en toges, comme des automates Il y avait des filles de toutes les origines, de toutes les couleurs de peau et de cheveux. Presque toutes étaient fines et élancées, mais une ou deux, au fond de la rangée, semblaient plus rondes. Et aucune ne pouvait avoir plus de la vingtaine. Seules les femmes en toges semblaient plus âgées. Quand sa maquilleuse fut satisfaite de son travail, on les rangea en ligne. Un des gardes passa devant elles, laissant traîner négligemment la main sur leurs corps, glissant sur une chatte, pinçant un téton. Puis il appela une série de nombres. Répondant à leur matricule, des filles s'avançaient d'un pas, et recevaient un titre, qui semblait être leur rôle à venir "danseuse", "meuble", "serveuse", "confort", "spectacle"... Les mots se succédaient, et à chacun, le cœur de la demoiselle battait plus fort. Des images irrépressibles montaient à son esprit, sur la façon dont chacune de ces filles allait être utilisée. Enfin, le garde arrêta. Il ne restait plus que quatre filles. Il les laissa patienter un moment puis rugit "à genoux!" La demoiselle sentit ses jambes fléchir sous elle. Avant même d'avoir compris le mot, son corps avait obéi. "Les yeux à terre!" Terrifiée, elle ploya la nuque. Une botte se posa devant elle. "Léchez mes pieds!" Comme un seul être, les quatre filles s'élancèrent en avant, deux sur chaque botte, et se mirent à lécher. La demoiselle ne regardait même pas l'autre esclave. La tête baissée, le goût du cuir sur sa langue, elle tremblait et sanglotait intérieurement, en priant pour ne pas être battue. L'homme restait debout. Sa voix était devenue ironique et mielleuse "Voilà. C'est comme ça que vous devriez être. C'est à ça que vous servez. Restez en bas. Ecoutez, et léchez." "Vous êtes ici pour servir, et pour souffrir. Vous allez être utilisées, humiliées, changées en objets de sexe pour les hommes et les femmes supérieurs qui sont les bienfaiteurs de l'Académie. Vos bienfaiteurs" "Pour ce soir, vous allez être exhibées. Nous allons satisfaire la curiosité de vos bienfaiteurs, leur montrer qui seront les élèves qui les serviront les prochaines fois, à quoi ils peuvent s'attendre" "Puis vous servirez de meubles pour leur amusement. Vous serez des attractions secondaires. Vous n'êtes pas encore assez entraînées pour leur servir même de chiennes." "C'est compris?!" Sa botte se leva, et la demoiselle se recroquevilla, le front contre terre. Mais ce fut une des autres filles qui reçut le coup. Son cri résonna alors qu'elle s'effondrait. Elle se releva aussitôt, et revint lécher la botte, revenue à leur portée. La demoiselle fit de même. "Arrêtez maintenant. Relevez-vous et suivez-moi" Il les mena dans un coin de la salle. Deux femmes leur passèrent rapidement des bracelets d'or aux mains, et un collier d'or enserra leur cou. Des chaînes partaient de ces bijoux, rattachées à des pinces qui furent posées sur leurs tétons La demoiselle se laissa faire, malgré la douleur qui traversa ses seins quand les pinces furent accrochées, et la restriction de ses mouvements. Elle se laissa aller sans résister quand on la fit se pencher en avant et qu'on lui inséra un bijou dans l'anus. Elle ne bougea pas quand le corset doré se referma sur sa taille et comprima ses poumons Tout lui semblait si inévitable que son esprit l'abandonna, et qu'elle ne fit plus que suivre les autres, attachées par une chaîne de collier à collier, le long des couloirs Des figures les regardaient passer. Des hommes en costumes, certains masqués et d'autres non. Des femmes en robes de soirée, cravaches ou laisse en main. Et d'autres filles, la plupart dans des tenues de maid ou des uniformes trop petits, qui laissaient dépasser leurs seins et leur entrejambe. D'autres enfin, nues ou presque, à quatre pattes, ou allongées jambes écartées sur des tables, ou même attachées aux murs, écartelées. Sur leurs corps, des petits fours, des bougies, des instruments de torture en argent et en or. Des meubles humains. Un homme au coin d'une salle se faisait monter par une fille, assis sur une autre fille. L'expression de douleur et de fatigue dans les yeux de cette chaise humaine, broyée par le poids des deux corps posés sur elle, mais obligée à tenir, sous la menace d'une punition indicible, parvint comme en rêve à la demoiselle. Mais elle n'y réagit pas. Le seul moment où son visage se détourna fut à l'entrée d'une grande salle, quand les lumières l'éblouirent. "Mesdames et messieurs, voici les novices de ce trimestre! N'hésitez pas, venez toucher la marchandise! De la chair fraîche, pas encore marquée, sans matricule. Ces filles n'existent pas encore. Mais bientôt, pour vous, elles seront les belles odalisques de l'Académie!" La foule les entoura. Des mains passaient sur leurs corps, caressaient et griffaient la peau, soupesaient les seins, passaient dans les plis les plus intimes. On les faisait avancer, pas à pas, pour que tous les clients en profitent. La voix continuait, avec le même ton affable "N'allons pas trop loin, nos novices sont immaculées. Il serait bête de perdre une belle première fois. Nous comptons sur votre discernement." Après un moment, elles arrivèrent sur une estrade. On les fit prendre la pose, en les maniant comme des poupées. Des flashs d'appareils photo partaient des quatre coins de la salle. La voix du présentateur passait du micro à l'oreille des novices, où elle se faisait sèche et menaçante "Si vous bougez... Gardez les yeux ouverts sinon..." Enfin, il reprit avec comme un regain d'enthousiasme: "Voici nos novices. Vous les retrouverez, une à une, dès qu'elles seront prêtes à vous servir! Applaudissons à l'avance toute notre équipe, qui va s'occuper d'elles avec tout le professionnalisme que nous leur connaissons!" Sous les applaudissement, on les fit redescendre du podium. Aussitôt, la demoiselle se sentit empoignée par les épaules, et un garde lui fit à l'oreille: "Fini de rire. Suis-moi." Derrière elle, la voix du présentateur continuait: "Pour notre premier spectacle, nos tortionnaires vous présenteront Aja, une petite esclave qui a fait beaucoup d'erreurs, avec une langue bien pendue. Nous verrons si cette langue est toujours aussi vaillante, quand on s'en occupe de très très près. Amateurs d'aiguilles et d'épices, vous allez adorer!" La suite pour bientôt peut-être... Qui sait?
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