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Chapitre 3 (Elle)
20 Juillet (séance 7)
Juste un petit récapitulatif.
Nous sommes maintenant mi juillet et cela fait un mois et demi que j’ai signé un contrat avec mon mari. Bien sûr, ce contrat n’a aucune valeur juridique mais j’ai pris l’engagement de le respecter pour me faire pardonner de mon infidélité et je ne suis pas de celles qui renoncent.
En un mois et demi il s’est passé tellement de choses.
Au tout début ,quand je lui ai dit: "Pardonne-moi, je t'aime. Demande-moi tout ce que tu voudras" Je ne m'attendais pas à ça. J'avoue que, au début, j'ai carrément pris sa proposition pour un canular. Lui, que je tenais pour intellectuel, cultivé, esthète, même , enfin tout sauf un hooligan ou un macho de base, j'en était sidérée.
Un contrat? Des positions? Ma chatte de "salope"? J'ai dû me pincer pour m'assurer que je ne rêvais pas. Tout d'abord, j'ai pensé que, meurtri par ma trahison, il voulait me traîner dans la fange avant de me quitter comme, de toutes façons, il en avait eu l'intention dès le début.
Et puis, j'ai pu constater deux choses:
1 Pendant les séances, il était extrêmement attentionné. La voiture était-elle suffisamment chauffée, le collier ne me serait-il pas trop le cou?
2 Dans la vie de tous les jours, il était redevenu, peu à peu, le même qu'auparavant: prévenant, galant même, courtois, spirituel.... Enfin toutes les qualités pour lesquelles j'étais tombée raide dingue de lui sept ans auparavant et qui font que je l'aime encore d'avantage aujourd'hui.
Alors qu'était-ce?
Des fantasmes auxquels il pouvait, à cette occasion, donner une réalité ?
Bon sang! Sept ans de vie commune et jamais, jamais il ne m'en avait parler. J'en finirais presque par me sentir coupable, c'est un comble.
Finalement, la tension est un peu retombée et par la suite, je me suis interrogée sur le rapport que j'avais avec mon corps, la nudité, la sexualité et donc, l'amour.
Ah! l'amour! Un bien grand mot, mais en fait, une abstraction qui ne peut s'exprimer que par le don se soi et l'envie d'être attentif à l'autre.
J'ai repenser à ce film, Avatar, dans lequel, sur Pandora, les amoureux se disent: "Je te vois".
Pendant les séances, je me suis mise à apprécier que mon homme ait les yeux rivés sur mon corps et plus particulièrement sur ce qui fait de moi une femme. A l'extérieur, notamment sous le regard des hommes, je réalise maintenant le potentiel érotique qui peut émaner de ma tenue, de mes gestes.
Ma libido a évolué: Avant, j'avais juste envie de faire l'amour avec mon mec, maintenant j'ai envie de jouer et de le surprendre en devançant ses attentes.
La séance 5 avec Laurent m'a fait découvrir que je pouvais prendre du plaisir à m’exhiber. En fait, une fois excitée, ma libido prend le dessus et je n'ai plus de limite. Plus les positions sont obscènes et plus je mouille. Montrer ma chatte toute mouillée à un inconnu me fait chavirer.
J’ai aussi découvert les plaisirs du martinet. Sentir la piqûre des lanières sur tout mon corps me chauffe dans tous les sens du terme. J’adore ça. Bien lancée, je peux même apprécier d'être fouettée "chatte écartée".
Les lendemains sont plus difficiles. A froid, j'ai même parfois du mal à imaginer que j'ai pu avoir de tels comportements. Et puis mon chéri arrive, tout guilleret, il me regarde avec des yeux plein d'amour et je suis prête à recommencer.
Il m’avait dit :» Ce soir, dix-huit heures, tenue publique »
Alors à dix-sept heure cinquante, je n’avais même pas eu le temps de finir de me pomponner dans la salle de bain que j’entends frapper à la porte.
Mon mari ouvre :
« Bonsoir, vous êtes le représentant que j'ai eu au téléphone ? »
Le gars répond :
« Oui c’est ça : Akéna, les vérandas sur mesure »
« Très bien, alors c’est là, sur la terrasse. Qu’est-ce qu’il est possible de faire ?»
De mon côté, je réfléchis. Je sais que la maison ne lui appartient pas vraiment ou, du moins pas à lui seul. C’est une vieille maison familiale qui sera vendue au décès de sa maman et dont le produit de la vente sera partagé entre la fratrie. Surement pas l’endroit ou faire les frais de l’installation d’une véranda.
Donc, c'est un faux prétexte pour faire venir un spectateur à la maison. Que vais-je devoir faire devant lui cette fois. Sûrement me mettre nue, c'est le minimum. Humm! rien que d'y penser je me sens toute chose. Peut-être faire ma pisseuse, me caresser? Ca y est je suis partie! Il me faut de moins en moins de temps pour me mettre en condition.
Il est dix-sept heures cinquante-huit, j’ai encore deux minutes.
Le représentant se met en branle :
« Je vais prendre les mesures de la terrasse »
Mon homme le seconde et donne des infos :
« Il faudrait que ça parte d’ici jusque…. Là. Et l’entrée… plutôt par ici.»
Pendant ce temps, je suis descendue et je suis devant la porte d’entrée, les yeux baissés, les bras derrière le dos.
Le représentant m’a vue :
« Bonsoir Madame »
Je réponds :
« Bonsoir…Monsieur !» J’ai un peu insisté sur le « Monsieur », mais il ne fait pas attention, tout occupé qu’il est à déployer son mètre ruban.
Mon mari reprend :
« Comme je vous l’ai dit au téléphone, je suis obligé de vous laisser. Voyez ça avec ma femme et proposez-nous des devis » Il rejoint sa voiture et s’en va.
Allons bon! C'est nouveau. C'est à moi de prendre les rênes. D'habitude, je ne fais qu'obéir mais cette fois, je dois me jeter toute seule dans la gueule du loup.
Je réfléchis: Je n’ai pas eu de directives particulières mais nous sommes en « séance » et mon mari n’a que faire d’une véranda.
Je sais ce que mon homme attend de moi mais comment faire pour me retrouver nue le plus rapidement possible. Une idée me vient. Je vais à la cuisine préparer des amuse-gueules. J'en profite pour boire un grand verre d’eau, on ne sait jamais ! Rien que de penser que je vais peut-être me retrouver tout à l'heure à faire pipi devant cet étranger me donne des picotements à l'entre jambe. Quelques dés de fromage, des rondelles de saucisson, des chips. Dans le même temps, je me dis qu’un représentant, à l’heure du dîner, n’a pas forcément envie de trainer chez des clients. Il faut que je trouve quelque chose.
Monsieur Akéna rentre dans la maison et vient vers moi. Il ouvre un classeur qu’il pose sur la table de la salle à manger.
« J’ai pris les mesures. Regardez, je peux vous proposer différents modèles »
Sans rien dire, j’ai disposé sur la table des coupelles avec le fromage, le saucisson et les chips. Quand j’avais le dos tourné, j’ai enlevé un bouton à mon chemisier. Ma jupe, que je porte normalement en « taille basse », est remontée un peu et je n’ai pas rectifié. Je me penche maintenant pour prendre la bouteille de whisky qui est dans le placard du bas. Bien sûr, je ne plie pas les genoux. Il est assis derrière moi et il doit au moins voir la naissance de mes fesses par-dessous la jupe.
Je perçois une émotion dans sa voix :
« Ça, c’est un modèle standard qui peut…euh… être mis en place… dans moins d’un mois »
Je reviens à la table avec une bouteille et un seul verre :
« Prendrez -vous un apéritif, Monsieur ?«
Je n'ai pas autre chose à lui proposer parce que c'est tout ce que nous avons.
Il a dû voir mon chemisier mal fermé et ma jupe qui est remontée encore un peu. Il hésite, regarde la bouteille, jette un coup d'oeil à sa montre puis revient sur mon chemisier.
« Pourquoi pas, vous êtes mes derniers clients de la journée. C'est très gentil de votre part, comme ça j'aurai le temps de vous expliquer les différences entre les modèles standards et le sur-mesure. »
Très bien ! ça me donne un peu plus de temps. Mais je ne vois toujours pas comment arriver à mes fins.
Je verse un fond de Glenfiddish dans son verre et je prend la position n°3, en bout de table, immobile.
Le représentant continue de tourner les pages de son classeur en donnant des spécifications et des prix mais je ne l'écoute pas vraiment.
J’imagine que mon chéri a dû se garer un peu plus loin et est revenu discrètement à la maison. Selon toute logique, il est entré par la baie vitrée de la chambre du rez de chaussé. . Il doit écouter attentivement et attendre la suite des évènements.
Finalement un peu gêné par ma posture et mon comportement, le représentant demande :
« Tout d'abord, est-ce qu’il y a un modèle parmi ceux là qui vous conviendrait ? »
Je me dis qu’il faut que les choses bougent. Au diable les vérandas ! Je tente le tout pour le tout. Les yeux baissés.
« Excusez moi Monsieur, est ce que vous me trouvez séduisante ? »
Il marque un temps d’arrêt. Il sent que la situation est en train d’évoluer. Jusque-là très professionnel, il se dit qu’il y a peut-être une aubaine à saisir. Il quitte son classeur des yeux et lève la tête.
« Euh…Oui, Plutôt… »
J’embraye immédiatement et j'y vais "franco". Si ça ne marche pas, mon chéri ne pourra pas dire que je n'ai pas essayé:
« Je suis naturiste et je me sens beaucoup plus à l’aise sans vêtement. Est-ce que cela vous gêne si je me déshabille ? »
Il bafouille :
« Non ! Euh non bien sûr ! Faites… comme chez vous ! »
Je ne me le fais pas dire deux fois. Je fais glisser ma jupe à terre et j’enlève mon haut. Me voilà complètement nue devant lui.
Il y a encore des moments, en pleine «séance», pendant lesquels je me vois en train d’agir. Une sorte d’éclair de lucidité, comme si je reprenais conscience. Le contrat, la culpabilité de mon adultère, mon amour pour mon chéri et surtout, ma libido en pleine explosion, m’ont ammené à des comportements qui m’étaient innimaginables jusqu’à présent. Ma vie était tellement écrite d’avance: Fille de bonne famille, diplomée d’état, mariée à un intellectuel charmant, Il ne me restait plus qu’à laisser les choses advenir: Faire des enfants peut-être; Travailler jusqu’à la retraite, sans doute; Mourir un jour, sûrement. Mais, le tout, dans une sorte de banalité aussi épuisante que consternante. Que m’était-il arrivé? Quelle était cette excitation que je ressentais et qui rend les choses rares et donc précieuses. Je n’en finis pas de me poser des questions que malheureusement je ne peux partager avec personne pour l’instant.
Je me tiens devant un homme que je ne connaissais pas il y a dix minutes. Je suis entièrement nue face à lui, je bombe le torse pour faire ressortir mes seins, j’écarte les jambes pour que mon sexe épilé soit visible dans tous ses détails.
Je sais, maintenant, le pouvoir que j’ai sur les hommes. J’ai compris qu’ils étaient finalement faibles face à l’objet de leurs désirs. Mais cette faiblesse m’émeut plus qu’elle ne pourrait me rendre victorieuse. Assurément, je prends mon plaisir à être soumise plus qu’à être dominatrice.
Je reviens à la réalité:
Il a pu constater que je ne portais ni soutien-gorge ni culotte et il doit commencer à se demander si tout ceci n’est pas une mise en scène. Tant mieux, comme ça, s’il reste, c’est en sachant qu’il ne vendra pas de véranda aujourd’hui. Je rassemble mes vêtements, les pose sur une chaise et je vais au frigidaire chercher des glaçons. Il est derrière moi, mais je sais que ses yeux détaillent mes reins et mes fesses. Je me mets à sa place : Il était venu vendre une véranda et c’était devenu tout autre chose, mais quoi ?
Il y va sur la pointe des pieds :
« Alors comme ça, vous êtes naturiste ? Votre mari aussi ? »
Je le mets à l’aise :
« Mon mari aime que je sois nue en toutes circonstances Monsieur»
J’imagine que rien que le fait de terminer ma phrase par « Monsieur », doit l’interroger.
Je reviens vers lui avec mes glaçons. J’en mets deux dans son verre et je me mets en position n°1 devant lui : les jambes écartées, les mains sur la tête.
Je lui explique :
« C’est la position n°1, Monsieur : une position d’attente » et je me tais.
Il s’inquiète :
« Mais votre mari est au courant ? Il va bientôt revenir. Non ? «
Il a du mal à comprendre ce qui se passe. Il se demande s’il n'est pas tombé sur une femme frustrée qui a envie de se faire sauter vite fait par un inconnu.
Il se lève et descend sa braguette. Ça y est, il est chaud :
« C’est de la bite que tu veux ? » il sort son sexe déjà dur.
Vite ! Il faut que je recadre ! Je me mets en position n°3 et je fais deux pas en arrière :
« Non Monsieur, Je veux juste m’exhiber. Vous devez rester habillé. Si cela ne vous convient pas, je comprendrais. » Je fais un autre pas en arrière.
J’ai affaire à un gentleman : il ramasse son outil et se rassied. Cependant, il s’enhardi tout en fixant ma chatte.
« Je vois ! T’es juste une pisseuse en fait ! »
Intérieurement, je souris :
« C’est cela Monsieur. » Intérieurement, je me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir la confirmation.
Il enchaîne :
« Alors ? Qu’est ce qui se passe maintenant ? »
Il a raison, qu’est-ce qui se passe maintenant ? Je suis excitée d’être nue devant un étranger mais je ne sais pas quoi faire. D’habitude, j’attends les ordres, alors je lui dis :
« J’attends vos ordres Monsieur »
Il est dubitatif mais il se dit que puisqu’il n’a pas le droit de sortir son matériel, il peut au moins s’amuser. Il s'installe plus confortablement sur sa chaise et prend son verre sur la table.
« Mets toi un doigt dans la chatte ! » Et c'est parti!
Finalement, ça a été assez facile d'en venir là, alors je prends mentalement des notes, pour une prochaine fois:
1 Porter des vêtements exagérément sexys.
2 Trouver un prétexte pour me mettre nue.
3 Fixer les règles.
4 Attendre les ordres.
Présentation de la chatte, c’est la position n°4. Je suis une petite soumise bien dressée alors j’écarte largement les jambes, avec ma main gauche, je sépare les petites lèvres de mon sexe puis, je raidis le majeur de ma main droite et je me le mets bien au fond.
Il me laisse comme ça, les jambes écartées devant lui, le bassin bien en avant, et un doigt dans la moule pendant au moins vingt secondes pendant lesquelles il sirote son whisky. Ses yeux passent de mes seins à ma chatte et il a un petit sourire pervers sur le visage. Il a compris qu’il ne me baiserait pas alors il a envie de m’humilier et de me pousser dans mes derniers retranchements.
« Retire ton doigt et suce-le ! » dit-il froidement.
Moi aussi, j’ai envie de le provoquer.
« Oui Monsieur, je suis une petite salope. Vous pouvez m’insulter, si vous le souhaitez, Monsieur »
J’avais déjà senti que j’étais mouillée, mais là, j’en avais la confirmation : Mon doigt était gluant de l’excitation que je ressentais en moi depuis le verre d’eau. Je teste le goût de ma chatte : c’est un peu crémeux avec une saveur douçâtre. Heureusement que je suis excitée sinon j’aurais du mal.
« Mets le dans ton cul maintenant ! »
« Oui Monsieur ».
D’accord ! Il va se venger. A tous les coups le prochain ordre sera de remettre mon doigt dans la bouche. Je m'en fiche, je suis prête.
Tout ce qui touche au "derrière", sodomie, introduction de plugs et autres, c'est compliqué: Ca me plait mais j'ai peur de ne pas être "propre". Et puis, un jour, il m'a dit: " Tu sais, quand je vais par là, je sais qu'il y a un risque. Tu n'y es pour rien".
Je suis quand même allé voir sur internet et j'ai découvert que certaines femmes, adeptes de la sodomie, avaient recours à une poire à lavement pour être tranquilles. J'en ai commandé une ainsi que tout une gamme de produits adaptés et dorénavant, quand je me prépare pour une séance, je fais un nettoyage "en profondeur" pour parer à toute éventualités.
Pour l’instant, je tourne le dos et je me mets en position n° 5 : présentation des fesses. Le doigt est mouillé de salive et je le rentre doucement dans mon petit trou.
Comme tout à l’heure, il attend au moins quinze secondes pendant lesquelles il se rince l’œil en finissant tranquillement son verre.
J’ai le temps de réfléchir :
Je mouille parce qu’un inconnu me regarde en train de me doigter le cul.
Mon mari, en principe à moins de deux mètres, se régale du spectacle.
J’ai, malgré tout, très peur de l’ordre qui va probablement suivre.
La porte d’entrée qui s’ouvre :
« Salut chérie, ça a été moins long que prévu », et il entre dans la pièce.
Je n’ai pas bougé, je suis penchée en avant, nue, les fesses dirigées vers Akéna avec un doigt dans mon cul. Monsieur Véranda, s’est levé et baragouine ne sachant plus où se mettre.
« Oui ! alors voilà ! Bon !...J’allais justement y aller »
Il doit être surpris que je reste en position.
Mon mari :
« Mais non ! mais non ! Je vois que vous avez fait connaissance. Ou en étiez-vous exactement ?»
Je saute sur l’opportunité :
« Je suis une bonne petite pute qui se met un doigt dans le cul Monsieur »
Du coup, les vérandas Akéna sont muettes.
Mon mari se sert un verre et en profite pour resservir notre « invité ».
« Comment vous la trouvez, plutôt obéissante non ? » Puis vers moi : » Viens ici et position n°4 ! Garde ton doigt là où il est. »
J’avance vers mon homme, je m’installe la chatte en avant, j’écarte bien les lèvres avec ma main libre pour dégager le clito.
« Oui Monsieur »
Sa main se dirige vers mon entre-jambe et deux de ses doigts testent l’entrée de la moule.
« Je suis une petite salope qui mouille de la chatte Monsieur »
Mon chéri à l’air satisfait :
« Va faire voir à notre ami »
Je fais le tour de la table, toujours avec un doigt dans le cul et une main devant qui écarte la chatte.
J’ai manqué d’oublier : « Oui Monsieur »
Je m’arrête devant « notre ami ».
Sans rien dire, il me plante son majeur direct dans la moule et je ne peux retenir un petit râle de surprise et de plaisir.
Je suis dans une position extrêmement humiliante qui m’excite au plus haut point mais depuis une minute ou deux une envie à commencé à se faire sentir :
« Je suis une petite pisseuse Monsieur »
Mon homme réagit :
« Ah, il va falloir sortir la chienne. Va chercher ta laisse et ton collier.»
« Oui Monsieur ».
Quand je reviens, j’ai le collier autour du cou et je tends la laisse à mon maître.
« Demande à notre invité s’il veut bien s’en occuper »
Je vais vers Monsieur Akéna :
« Accepteriez vous de m’emmener en laisse dans le jardin pour y faire ma pisseuse s’il vous plait Monsieur ? »
Il ne répond pas mais prend la laisse que je lui propose. Je me mets à quatre pattes et j’attends.
Finalement il accroche le mousqueton sur l’anneau du collier. Je pars devant lui vers la porte d’entrée. Il m’ouvre et me laisse passer devant. Il a dû se douter que c’était le meilleur endroit ou se tenir. En restant derrière moi il a vue sur mes fesses et en dessous la fente de ma chatte que je fais ressortir en creusant mon dos.
J’avance jusqu’au milieu du jardin et n’y tenant plus, j’écarte les jambes au maximum mais mes petites lèvres restent collées. Je vais en mettre partout ! Je mets mes coudes au sol et je cambre à fond : ça y est, ma chatte est grande ouverte.
Je me relâche. En même temps que le jet d’urine, notre « ami » doit voir mon petit trou se détendre.
Ça y est, les objectifs sont atteints. Je suis à poil et je fais ma pisseuse, dans une position parfaitement indécente, devant un inconnu. Tout ce qu’il faut pour me mettre en état d’excitation extrême. Je sais que mon homme me regarde et que ça l’excite aussi.
Quand j’ai fini, je retourne vers l’entrée de la maison en tirant sur la laisse comme une chienne mal dressée et comme si j'avais hâte de passer à la suite. Mon homme retire le mousqueton du collier :
« Grimpe sur la table et met toi en position n°6 »
J'obéi : à quatre pattes, les coudes et les avant-bras posés à même le bois, les jambes très écartées, le dos creusé comme tout à l’heure, dehors, pour faire ma pisseuse.
Mon chéri dispose deux chaises juste derrière moi et les deux hommes s’assoient leurs verres à la main.
« J’adore voir sa chatte par derrière, très écartée. Qu'en pensez-vous ? »
"Euh.... Oui " .
C’est pas un bavard lui ! Ou alors la situation lui convient et il a peur de rompre le charme.
Ils ont les yeux à la hauteur de ma moule à moins de trente centimètres. Si ça, ce n’est pas de l’exhibition ! Je les imagine en train de détailler mon sexe béant. Ça me fait mouiller un maximum.
Mon homme me tend une lingette :
« Essuie toi »
« Oui Monsieur je suis une bonne petite salope »
Je suppose que cet ordre n’a pour but que de m’humilier d’avantage. De me mettre en situation de femelle en proie à ses désirs et ses besoins. Ma chatte est luisante des deux. J’en éprouve à la fois de la honte et de l’excitation.
Je passe la lingette sur le haut de ma cuisse droite parce qu’il m’avait semblé qu’une goute ou deux avaient coulé à cet endroit, puis entre mes petites lèvres déjà très écartées. Quand j’ai terminé je me remets en position.
Mon chéri en sirotant son verre de whisky et s'adressant à son voisin:
« Je vous propose un petit jeu : Nous allons l’attacher, je vais disposer quelques accessoires sur la table et vous allez essayer de la faire jouir le plus rapidement possible. Ça ne devrait pas prendre plus de trois minutes. »
Mr Akena semble intéressé, il lâche une approbation: « Ça a l’air amusant ! »
Alors c'est ça!
Après m' être montrée nue sous toutes les coutures, avoir exposé ma chatte ouverte à moins de trente centimètres de son visage, si près qu'il a sans aucun doute pu sentir mon odeur de femelle en chaleur, je vais devoir jouir devant lui.
L'orgasme, c'est quelque chose de très intime également. Il va me voir crisper mon visage, m'entendre gémir, pousser des petits cris, peut être même supplier pour qu'il continue à me donner du plaisir. J'ai honte mais j'en ai envie.
De toutes façons, mon homme ne me laisse pas le choix :
« Allonge toi sur le dos et approche tes fesses au bord de la table »
« Oui Monsieur »
La première corde relie mes poignets et va se fixer en haut de la table au-dessus de ma tête. Mes seins pointent vers le plafond.
On me fait plier et remonter les jambes vers la poitrine comme une grenouille et deux autres cordes prennent sur les genoux et tirent vers l’extérieur pour écarter les cuisses et m’empêcher de les refermer. Je ne peux plus bouger et je sens ma chatte et mon petit trou très exposés et à la merci de mes deux tortionnaires.
Un bandeau vient se poser sur mes yeux.
Je ne vois plus ce qui se passe mais j’entends un tiroir de la cuisine s’ouvrir et le bruit d’objets que l’on pose à côté de moi.
« Maintenant tu vas commenter ce qui se passe. J'ai parié que tu allais jouir en moins de trois minutes. Ne me fais pas mentir ! »
« Oui Monsieur »
Je n’ai pas à attendre longtemps, je sens un liquide couler sur mon pubis et une main qui vient l’étaler sur ma chatte en insistant sur le clito et l’entrée du vagin.
Je connais cette sensation :
« Je sens une main qui met du lubrifiant sur ma chatte de salope »
j'entends la voix de mon homme:
"Elle aime recevoir des claques à cet endroit, allez-y"
Je sursaute quand même sous l’effet de la première :
« Je suis une petite salope qui se prend des claques sur sa moule bien écartée »
Et c’est vrai que j’aime ça ! J’en redemande :
« Encore, s’il vous plait Monsieur »
Il ne se fait pas prier, une autre arrive.
Je compte : » 2, Merci Monsieur ».
Sous l’effet des claques, mes jambes voudraient se refermer vers l’intérieur et se rejoindre pour protéger ma chatte mais là, avec les cordes qui tirent sur les genoux, je suis écartelée au maximum et mes deux trous sont exposés et ouverts.
Les claques se succèdent avec un bruit de plus en plus « mouillé ».
Je compte : « 3, merci Monsieur, je suis une bonne petite sal……»
« 4, merci Monsieur »
Deux de ses doigts entrent dans ma moule dégoulinante de plaisir. Il fait des aller retours de plus en plus vite.
« Je me prends deux doigts dans la chatte et c’est bon Monsieur !»
J’aurais bien aimé qu’il continue encore mais je sens maintenant les doigts se retirer et…forcer l‘entrée de ma bouche, ils sont tout gluants. Je les suce comme si c’était la queue de mon homme. J’ai à peine le temps de reconnaître le gout de ma chatte que :
« Je sens un autre doigt qui s’enfonce dans mon cul de petite pute Monsieur »
En effet, dans ma position et trempée comme je suis, mon petit trou doit s’ouvrir tout seul et le doigt rentre sans difficulté. S’il veut me le remettre dans la bouche, cette fois, je ne pourrais rien faire. Mais je m’en fiche, je suis trop excitée.
« Je me fais doigter le cul et j’aime ça. Je suis une bonne petite pute Monsieur ».
En même temps, je sens une pression sur mon clitoris.
« Oui ! Mon petit clito de salope est tout dur Monsieur. Encore s'il vous plait ! »
J’aimerais bouger mon bassin pour accompagner le doigt qui tourne autour de mon petit bouton mais je ne peux pas. Cette immobilité forcée m’excite encore davantage.
« Oui ! C’est bon sur ma petite chatte de salope. Oui ! »
Un bruit sec sur mon sein droit. C'est le martinet.
Un autre coup sur le sein gauche. En fait, le bruit de claquement est très impressionnant mais je ne sens qu’une chaleur qui diffuse sur la poitrine. J’ai envie de voir ce que ça donne quand les coups seront plus forts.
« Je me fais fouetter mes seins de petite chienne. Plus fort s’il vous plait Monsieur » A côté, mon homme doit sourire.
" Plus que deux minutes"
Cette fois, le bruit ressemble à un vrai coup de fouet mais la douleur est plus que supportable ou alors, je suis vraiment très excitée.
« Oui ! Encore, je suis une bonne petite chienne qui aime se faire fouetter les seins . Encore ! »
Monsieur Akéna ne se le fait pas dire deux fois et les coups de martinet pleuvent sur mes seins. A chaque coup, je sens une petite piqure sur mes tétons. Mon excitation et mon plaisir nait du fait de sentir en même temps mon clito, mon trou du cul et mes seins. Je me sens chienne, salope et pute offerte. J’ai une folle envie de me faire prendre par tous les trous mais ça, c’est réservé à mon homme.
« Soixante secondes » dit-il justement.
Le doigt se retire doucement de mon petit trou.
Ah ? c’est l’instant de vérité…
Oh et puis après tout. Je vais leur montrer ce que c’est que d’être une bonne petite pute. J’ouvre grand la bouche. Un temps…
J’entends : « Allez y, c’est elle qui demande ! »
Le voilà… ce doigt qui sort à peine de mon cul, je l’ai dans la bouche et je le suce avidement comme si je voulais faire éjaculer la bite de mon homme. J’ai pris le parti d’être la plus grosse salope de l’univers alors, je pompe, je suce, je lèche comme si ma vie en dépendait. Satisfait de ma prestation, le propriétaire du doigt le récupère dans un bruit de succion.
C’est un autre bruit qui me fait sursauter. On dirait qu’ils ont envie de tester le martinet sur ma chatte écartelée.
« Je me fais fouetter ma chatte de petite sal... »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que le deuxième coup arrive.
Mon dieu, ce martinet, je l’adore. J’entends des bruits de fouet cinglants mais pas vraiment de douleur, juste un échauffement. J’en veux encore !
« Oui c’est bon ! Je suis une bonne salope qui se fait fouetter la chatte !»
Ça tombe bien, le rythme s’accélère. Les coups tombent tantôt sur le clito, tantôt sur la moule. J’adore ! Je n’ai pas mal, mais je sens que ça chauffe. Me faire fouetter, nue, écartelée et à la merci d’un étranger m’excite un maximum.
Les coups se sont déplacés. Ils arrivent maintenant en plein sur mon petit trou. Et je sens une vibration à l’entrée de ma chatte. Oui c’est ça, j’entends un petit ronronnement électrique.
« Je suis une petite pute qui se fait fouetter le trou du cul et je sens que je vais me prendre un vibro dans ma moule de salope »
L’engin force l’entrée sans grandes difficultés et s’enfonce doucement jusqu’au fond. J’ouvre la bouche malgré moi comme si c’était par là que j’étais pénétrée.
Ça vibre aussi sur mon clito. Les coups de fouet pleuvent sur mes fesses en même temps. Alors là, je ne réponds plus de rien. Je m’envole !
Mon périnée se contracte et je sens encore mieux ce sexe en plastique vibrer en moi. Un autre coup de martinet sur mon petit trou. J'en ai la voix qui chevrote:
« Ouuuuui ! C’est boooon ! Je jouuuuis comme un salooooope ! Ouuuuui ! »
C’est le combo orgasme clito/vagin et pile en même temps. Jack pot !
« Encoooore ! Plus foooort ! Oui ! c’est boooon ! Je vieeeeens ! »
L’orgasme me fait trembler de tout mon corps.
Mes jambes forcent pour se refermer mais c’est impossible, je reste écartelée et le gode continue de vibrer et de faire des aller et retours dans ma chatte.
J’essaie de me soustraire à cette pénétration mais je ne peux pas.
Mon clito est devenu hypersensible et je crie :
« Stop, stop stop arrètez !» Je crois que je vais mourir et puis tout d’un coup, je sens que le plaisir revient mais violement cette fois. Mon sexe se contracte comme si j’avais une crampe, et je me mets à crier :
« Non. Oui encore ! Ah ! Oui ! Ah ! Aaaaaah ! Les seins ! Pincez les seins ! S'il vous plait! Ouuuui ! »
Des doigts viennent pincer les tétons en les tirant vers le haut. La douleur ou le plaisir, ou les deux, je ne sais pas, sont fulgurants. Mon visage se crispe, Je sens maintenant comme des chocs électriques qui partent du fond de mon ventre et qui parcourent tout mon corps. La sensation de pince sur mes tétons s’amplifie encore, je manque de m’évanouir. Je me cambre et me tortille autant que je peux. Il me semble que je suis en train d’uriner par saccades mais je n’en suis pas sûre.
Les contractions et les chocs électriques s’espacent doucement.
Puis tout redescend. Je fais des « aie ! aie ! » en cherchant à soustraire mes seins à la douleur. Les pinces s’arrêtent, le gode se retire de ma chatte.
Je suis morte.
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Chapitre 2 (Lui)
13 Juillet (séance six)
Lors de la première séance, nous avons commencé à mettre en application les termes du contrat. Je lui avais fait apprendre les cinq positions. J’étais assis dans un fauteuil, au salon, et je lui ai fait répéter les gestes jusqu’à ce que cela devienne automatique.
Position n° 1 : Debout, les jambes légèrement écartées et les mains derrière la tête. C’est une position d’attente qui met bien la poitrine en valeur.
Position n° 2 : « Présentation des seins. » Debout, les jambes légèrement écartées, les mains se positionnent sous les seins et les remontent vers le haut. Idéal pour la pose de pinces sur les tétons.
Position n°3 : Debout, les jambes légèrement écartées, les bras croisés derrière le dos. C’est également une position d’attente mais celle-ci peut facilement être adoptée en public.
Position n°4 : « Présentation de la chatte ». Debout, les jambes écartées, le bassin projeté en avant. Les mains viennent écarter les grandes lèvres de la chatte. Très pratique pour poser des pinces ou, vérifier l’état d’excitation.
Position n° 5 : « Présentation des fesses ». Debout de dos, les jambes écartées, penchée en avant. Les deux mains viennent écarter les fesses au maximum. C’est la position rêvée pour la pose d’un plug.
Elle était bonne élève et au bout d’une heure, nous sommes passés aux façons de s’asseoir en public et en privé.
Position assise en public, donc habillée:
Elle soulève discrètement l’arrière de sa jupe et pose ses fesses nues à même le siège pour lui rappeler qu’elle ne porte pas de culotte.
Elle doit garder en permanence les cuisses légèrement disjointes et les mains de chaque côté du corps.
Position assise en privé, donc nue:
La tenue de rigueur en privé étant la nudité totale, hormis les chaussures, elle doit s’asseoir, écarter largement les jambes, se soulever d’un côté en écartant la fesse opposée puis se soulever de l’autre côté en écartant l’autre fesse. De cette façon son petit trou doit se trouver en contact avec l’assise.
Les mains de chaque côté du corps.
Nous avons terminé la séance avec les réflexes de langage qu’elle doit adopter :
Quand il s’agit de ses seins :" Je suis une petite chienne où, je suis une bonne chienne."
Quand il s’agit de sa chatte: "Je suis une petite salope où je suis une bonne salope."
Quand il s’agit de ses fesses: "Je suis une petite pute où je suis une bonne pute."
Par ailleurs, elle doit me prévenir à chaque fois que sa chatte s’écarte d’elle même à l’occasion d’un geste ou d’une position.
Je l’ai mise en position n°1 et je suis allé chercher une spatule de cuisine.
Une petite tape sur un sein : Elle démarre au quart de tour : « Je suis une petite chienne Monsieur».
Une autre tape sur l’entre-jambe : « Je suis une bonne petite salope Monsieur»
Je l’encourage :
« C’est très bien. Et si tu devais développer ? »
Nouvelle claque au même endroit : « Je suis une petite salope…qui est en train de se faire claquer la chatte Monsieur»
Je m’assure qu’elle ait bien compris :
« Demi-tour ! » Elle se tourne, toujours les mains sur la tête.
Une tape sur les fesses : « Je suis une bonne petite pute qui … aime se faire enculer Monsieur»
Elle était prête.
Dans la semaine qui a suivi, j’ai pensé qu’il me fallait quelques accessoires et que cela pouvait faire l’objet de la deuxième séance.
Ainsi, à l’heure dite, nous avons pris la voiture et avons commencé par une animalerie. Elle me suivait dans les rayons en position n°3, les yeux baissés, et nous sommes passés à la caisse avec un collier, une laisse et une gamelle en métal. En somme, nous avions l’air du couple qui vient d’adopter un chien. Là où le vendeur a levé les yeux sur ma femme, c’est quand il a vu qu’il y avait également une cravache sur le tapis. Il a dû imaginer ma femme nue, tenue en laisse en train de laper dans sa gamelle tout en recevant des coups de cravache sur les fesses.
Emoustillé par le regard d’envie que j’avais vu dans les yeux du commerçant, j’ai emmené ma chérie dans un grand magasin. Je lui ai donné des consignes :
« Tu vas acheter un concombre, des préservatifs et du lubrifiant. Tu choisiras un caissier homme pour payer tes achats ! »
« Oui Monsieur »
C’est un classique mais j’avais trop envie de la voir faire ça. Je l’ai suivie à distance et elle a gardé les yeux baissés pour passer à la caisse devant un jeune homme qui n’a pu retenir un grand sourire quand il a compris.
En me rejoignant, un peu après les caisses, elle est venue à mon oreille :
« Je suis une petite salope qui a envie de se prendre un concombre dans la chatte »
Décidément, elle y met du sien.
Le dernier arrêt fut au magasin « Marc Dorcel », enseigne de sex-toys réputée.
Le personnel de ce magasin était exclusivement féminin et dès notre arrivée, une jeune femme s’est approchée de nous :
« Je peux vous conseiller ? »
Toujours en position n°3 et les yeux baissés, ma femme m’a vu faire l’acquisition de deux butplugs de tailles différentes, d’un martinet, d’un godemiché et d’un œuf vibrant télécommandé à distance.
Nous sommes rentrés à la maison, la séance était terminée.
Pendant la semaine, je pense évidemment à la séance précédente ainsi qu’à la suivante. Je rajoute des éléments dans les grilles d’options qui accompagnent le contrat. Ces grilles sont posées sur le bureau et elle doit les remplir.
Je ne lui laisse pas vraiment le choix puisque seules deux cases existent :
« J’accepte » et « ça m’excite ». Ça me permet quand même de savoir ce qui lui plait.
Ainsi la semaine dernière, après l’épisode avec Laurent :
« Être nue devant un inconnu », et: « Séance devant un inconnu », elle avait coché pour les deux : « Ça m’excite ».
Cela m’avait donné des idées.
Aujourd’hui, le temps est gris mais nous sommes mi juillet et la température est douce.
séance n°6.
Je lui avais dit : » Cet après-midi, 16h, tenue publique, nous sortons !
Elle avait acquiescé :
« Oui Monsieur »
A chaque fois, c’était un cadeau qu’elle me faisait. Avec ce « Oui Monsieur » elle disait : « je te donne mon corps et mon esprit pendant deux heures. Fais de moi ce que tu veux. Je t’obéi aveuglement, je te fais confiance. »
Il faut dire que je ne cherche en aucun cas à lui faire mal, bien au contraire. En fait, mon plaisir est de la voir prendre le sien. Comme elle ne peut pas savoir avant d'avoir essayé, je lui propose tout un éventail d'expériences et ensuite elle coche sur la grille.
A 15 heures, elle avait disparue dans la salle de bains. J'avais entendu le bruit de la douche, du sèche-cheveux. Et à 16h, elle descendait, vêtue d'un haut boutonné, et d'une minijupe. Elle était superbe, comme d'habitude.
" tu es juste magnifique ma chérie"
"Merci Monsieur"
Inutile de lui demander si elle est prête, si elle m'appelle Monsieur, c'est qu'elle est consentante.
Je l'amène à un bout de la table où j'ai disposé, un peu en retrait, un collier et un ordinateur portable.
" Mets ton collier et Position n° 5 ! "
"Oui Monsieur". Elle le ferme sur son cou puis prend la position. Elle se penche en avant jusqu'à faire toucher ses seins sur le bois de la table, fait remonter l'arrière de sa jupe sur ses reins et écarte largement ses fesses avec les deux mains.
"Je suis une bonne petite pute Monsieur. »
Je passe derrière elle. En écartant ainsi ses fesses, elle sépare également les lèvres de sa chatte et j'ai une vue splendide sur ses deux trous. Je meurs d'envie de la prendre comme ça, tout de suite, mais soyons patient.
"Je veux que tu révises le contrat au chapitre "Montée et descente de voiture".
"Oui Monsieur"
J'ouvre la page correspondante :
Montée et descente de voiture
Pour la montée:
1 Si Monsieur est au volant :
Ouvrir la portière, me mettre de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de m'asseoir, puis m'installer, fesses nues, sur le siège.
2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture.
S'asseoir perpendiculairement au fauteuil, fesses nues sur le siège. Faire monter la jambe gauche dans la voiture en laissant la jambe droite à l'extérieur afin d'écarter les jambes au maximum. Remonter la jupe pour découvrir la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Faire monter alors la deuxième jambe.
Dans les deux cas, après avoir refermé la portière : Ecarter largement les jambes puis chaque fesse afin que le petit trou soit en contact avec le siège.
Déboutonner le chemisier pour laisser entrevoir les seins. Poser les mains à l'extérieur des cuisses pour que la chatte soit bien visible.
Pour la descente :
1 Si Monsieur est au volant :
Ouvrir la portière, me mettre debout de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de fermer la porte, puis faire redescendre la jupe.
2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture.
Pivoter vers l’extérieur, en sortant la jambe droite au dehors afin d'écarter les jambes au maximum. S'assurer que la jupe, en bougeant, ne cache pas la vue sur la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Sortir alors de la voiture et faire redescendre la jupe.
Pendant sa lecture je suis allé chercher un de ces crochet en forme de S destiné, quand il est introduit dans l'anus et tiré par une corde reliée au collier, à amplifier la cambrure. Je l’ai commandé sur internet et il est arrivé cette semaine. Je mets un peu de lubrifiant sur le bout de mon doigt et je masse doucement son orifice en faisant parfois pénétrer la première phalange. Son dos se creuse un peu plus, elle aime.
Je fais rentrer une extrémité du crochet dans son petit trou, j'entends un gémissement. Je relie l'autre extrémité à l'anneau du collier par une cordelette que je commence à tendre. La cambrure s'intensifie. Je tends encore la cordelette.
"Je suis une bonne petite pute" dit-elle dans un souffle. Ce doit être le signal que c'est le maximum tolérable. Je relâche un peu.
"Maintenant je veux que tu revoies le contrat au chapitre : Comportement en public !"
"Oui Monsieur"
J'ouvre la page.
Comportement en public
La tenue de rigueur est: jupe courte et haut boutonné.
Position debout:
Ma position debout doit être naturelle en adoptant le plus souvent la position n°3 : Bras croisés dans le dos.
Il m'est strictement interdit d'initier une conversation avec quiconque.
En revanche, je devrai répondre avec humilité et respect si la parole m'est adressée.
En extérieur comme en intérieur, j'ai interdiction de plier les genoux. Si je dois me pencher, je garde les jambes tendues.
Je ne dois jamais manquer une occasion de dévoiler et exposer mes seins, mes fesses ou ma chatte à Monsieur, à chaque opportunité qui se présente.
Faire ma pisseuse (en public):
Si je dois aller aux toilettes pour uriner, je dois dire : "je suis une petite pisseuse" et attendre l'autorisation.
Une fois sur place, je dois me mettre entièrement nue, à l'exclusion des chaussures, et prendre une photo de ma chatte que je montrerai à Monsieur dès ma sortie des toilettes.
" J'ai terminé Monsieur". Je remarque qu'elle fatigue à garder la position. Je lui retire son collier puis le crochet anal. Elle arrondit son dos pour se détendre. Je vais lui donner un moment de répit.
"Bois un verre d'eau et rejoins moi à la voiture !"
"Oui Monsieur"
Je sors.
De ce côté de la maison, la porte d'entrée donne sur un grand jardin sans vis-à-vis. La voiture est garée devant, je m'installe au volant. A peine trente secondes, elle n'a pas trainé, je vois la porte passager s'ouvrir. Elle se place dans l'encadrement, me tourne le dos et relève bien haut l'arrière de sa jupe dévoilant ses fesses, elle écarte un peu les jambes. Comme je suis assis, je distingue le renflement de la chatte sous les fesses et même, un peu de ses petites lèvres qui dépassent.
" je suis une bonne petite pute Monsieur."
"C'est bien ! Monte !"
"Oui Monsieur" Elle s'assoit à même le siège en cuir, écarte bien les jambes, puis les fesses l’une après l’autre, relève le devant de la jupe pour dégager la chatte, défait un bouton de son chemisier, pose les mains sur les côtés. Pour l'instant c'est un sans-faute.
Je manœuvre pour sortir de la propriété et prends la route vers la ville la plus proche.
Mon plan est le suivant : rejoindre une grande surface et mettre ma femme entièrement nue dans différentes occasions que j'ai déjà imaginées. J'espère même réussir à la faire se déshabiller devant au moins un inconnu.
Nous arrivons, je prends une place tout au bout parking, je coupe le moteur.
C'est le week-end et, bien sûr, les grandes surfaces sont très fréquentées mais là ou nous sommes garés c’est plutôt désert. Elle ouvre sa portière, elle sort, relève l'arrière de sa jupe.
"Je suis la petite pute de Monsieur." dit-elle à voix basse mais distincte.
Elle a les yeux baissés mais moi, je vois un homme qui viens vers nous pour sans doute, récupérer sa voiture. J'attends un peu et je la laisse les fesses à l'air.
Finalement, l'homme s'arrête une allée plus loin. Il n'a rien remarqué.
"Allons-y !" la jupe retombe.
Nous entrons dans l'allée principale du magasin.
Elle s'approche de mon oreille :
"Je suis une petite pisseuse". Ah Oui ! Le verre d'eau, elle a dû en prendre un grand.
"Va ! Je t'attends ici !" Elle s’éloigne, je l'imagine enlever son haut, sa jupe, une fois nue, faire une photo, puis faire son pipi et se rhabiller.
Tiens au fait, juste avant de partir, elle à oublier de dire "Oui Monsieur". Il va falloir que j’ajoute un chapitre « punitions » au contrat. Pas vraiment pour la punir ou lui faire du mal, bien sur, mais plutôt pour lui permettre, en "oubliant" sciemment certaines règles, de m'indiquer ce dont elle a envie. A creuser...
Je repère le photomaton dans l'allée. Ça n'est pas un hasard, je savais pertinemment qu'il était là.
La voilà qui revient. Elle me montre son portable sur lequel s’affiche sa chatte en gros plan. La photo est un peu floue mais ça n’est pas le plus important. Le plus important c’est qu’elle ait obéi aux ordres, au contrat. Et c’est ce qui m’excite au plus haut point.
Je lui montre le photomaton.
"Tu vas aller faire des photos de toi toute nue "
"Oui Monsieur" et elle repart.
C'est un de ces appareils qui peut prendre quatre poses différentes. Un rideau est tendu à l'entrée mais il ne descend pas jusqu'en bas. Les photos sortent à l'extérieur et des clients attendent leurs tirages. Il y a là une femme et un homme.
Elle rentre dans le petit local, tire le rideau. Par-dessous je vois ses jambes jusqu'aux genoux. Je vois la jupe passer par ses pieds, je l'imagine enlever le haut. Elle doit être entièrement nue maintenant et se débattre avec le monnayeur. Des épreuves sortent de la machine, la femme qui les attendait les récupère et s'en va. Je vois le premier flash dans la cabine, trois secondes, le deuxième et ainsi de suite.
Sous le rideau, je vois la jupe passer par les pieds et remonter sur les jambes puis le rideau s'ouvre. Elle me rejoint.
A mon oreille : "J'ai été une bonne chienne, une bonne pute et deux fois une bonne salope" Ce qui me donne à penser qu'elle a pu photographier ses seins, ses fesses et sa chatte à deux reprises. Dans l'ordre.
Nous sommes un peu à l'écart de la machine et nous attendons maintenant la sortie des photos. L'homme qui a fait les siennes avant nous, flâne devant la vitrine du magasin voisin, il n'a pas vu que ses photos l'attendaient. Tant mieux ça m'arrange. Ce sont les nôtres qui sortent maintenant et qui sont venues s'ajouter aux précédentes.
Je temporise.
Ça y est, l'homme vient chercher son dû. Il prend le paquet de photos et la surprise se lit sur son visage. Il les examine minutieusement l'une après l'autre.
"Maintenant !"
"Oui Monsieur" Elle va vers la machine et tend la main vers l'homme qui sélectionne les épreuves.
Il bafouille:
"Euh oui! Voila les vôtres. Excusez moi. "
Quand elle fait demi-tour et revient vers moi, je vois le regard de l'homme s'attarder sur le bas du dos de ma chérie.
Passons aux choses sérieuses, nous entrons dans la grande surface proprement dite et je me dirige vers le rayon multimédia. J’y prends un DVD au hasard. Puis nous allons au rayon vêtements. J’en prends un, également au hasard, et j’emmène ma chérie vers les cabines d’essayage.
Nous entrons tous les deux dans une des cabines avec le vêtement et le DVD. Une fois à l’intérieur, je défais la pellicule du DVD, et récupère la petite bande antivol.
« Arrange-toi pour passer ceci dans l’ourlet de ta jupe »
« Oui Monsieur »
Pendant ce temps, j'abandonne le DVD par terre dans un coin.
« C’est fait Monsieur »
« C’est très bien, quand je te ferai signe, disons quand je me passerai une main dans les cheveux, tu te déshabilles rapidement et entièrement »
« Oui Monsieur »
Nous allons reposer le vêtement que j’avais pris pour justifier notre passage aux cabines d’essayage puis nous nous dirigeons, n’ayant plus aucun article, vers la « sortie sans achat ».
Bien sûr, l’alarme se déclenche et un vigile ne tarde pas à arriver.
« Veuillez repasser devant les détecteurs s’il vous plait »
Je passe dans un sens puis dans l’autre. Rien.
C’est au tour de ma femme de faire l’aller-retour et… L’alarme retentit.
D’un coup d’œil, le vigile a tout de suite vu que la jupe et le haut qu’elle portait n’était pas neufs, en revanche, il a déjà coincé de nombreux clients qui cachaient de la lingerie, du maquillage ou autre sous leurs vêtements.
« Veuillez me suivre s’il vous plait madame » dit-il.
J’interviens :« Je suis son mari, je viens avec vous ! »
On dirait que ça ne lui plait pas :
« Non, Madame seulement »
Je m’impose :
« Elle n’ira nulle part si je ne l’accompagne pas !».
Il essaye alors de m’impressionner :
« Je peux appeler la police, vous savez ? »
« Vous pouvez appeler qui vous voulez, ça ne changera rien. Elle ne bouge pas si je ne viens pas avec vous » Il voit que je n’en démordrai pas.
« Très bien, suivez-moi tous les deux »
Nous marchons derrière lui au travers la foule de clients. Entre deux magasins, une porte. Il nous fait entrer dans le local de sécurité. Là, un de ses collègues est assis devant un bureau et des écrans retransmettent les images des différentes caméras installées dans le magasin.
Un autre collègue arrive, surement un dispositif pour nous intimider. Ils sont maintenant trois. J’ai de la chance !
L’un deux prend une sorte d’appareil portable et le passe de haut en bas devant ma femme. Il fait bip bip bip. Le vigile regarde sur l’appareil et dit :
« Apparemment, il s’agit d’un DVD. Nous allons devoir vous fouiller madame, à moins que vous ne nous donniez ce DVD. »
Je me passe la main dans les cheveux. C'est le signal.
Aussitôt elle commence à défaire le premier bouton puis enchaine les deux autres. Dans un même mouvement elle a ôté son chemisier et baissé sa jupe jusqu’au chevilles. Elle a maintenant ses deux vêtements dans la main droite. Elle fait une courte pause et les laisse tomber sur le sol.
Tout s’est passé en une seconde et les deux vigiles qui étaient debout devant elle n’ont pas eu le temps de réaliser. Ils sont maintenant devant une femme entièrement nue. Un des deux à la bouche ouverte. Le troisième, qui était de dos devant ses écrans, commence une phrase en se retournant :
« Dis donc, il faudrait peut-être aller chercher Corine pour la… » il se tait, scotché.
Ma chérie bouge. Très lentement, elle relève les bras et poses ses mains derrière la tête puis elle écarte légèrement les jambes. C’est la position n°1. J’ai du mal à retenir un sourire. Il faudra que je la félicite pour cette initiative. Bon Dieu ! Ce qu’elle est belle. D’autre part, je ne sais pas si c’est parce qu’il fait un peu frais dans cette pièce climatisée, mais ses tétons pointent comme jamais et comme elle a écarté un peu les jambes, on distingue tous les replis de sa chatte.
Le vigile :
« Heu … Non …ça ne sera pas nécessaire » dit-il sans détacher le regard de ma femme. Il faut dire que dans cette position, elle est sublime. Ses deux seins bien en avant, sa chatte parfaitement épilée, tous les moindres détails de ses lèvres.
Je m’amuse comme un petit fou :
« Excusez ma femme, elle a la maladie de Wisenberg (je viens de l’inventer), elle a quelque fois des réactions bizarres. »
Il se ressaisit, ramasse la jupe et le chemisier par terre, les inspecte, passe le détecteur qui réagit sur la jupe et dit :
« Ça doit être un anti vol d’un autre magasin, cousu dans la ceinture. En tous les cas, veuillez nous excuser »
Je continue à m’amuser :
« Y’a pas de mal ! Tu vas t’habiller maintenant chérie »
Aucune réaction, elle n’a pas bougé d’un pouce. Ah !... Wisenberg ! …Quand tu nous tiens.
Les secondes passent, pendant ce temps les trois hommes continuent à se rincer l’œil. J’en vois même un qui regarde fixement l’entre jambe de ma femme.
Pendant la première séance , celle ou elle avait appris les positions, je lui avais posé la question:
« Sais-tu pourquoi tu dois toujours avoir les jambes disjointes?»
J’imagine qu’elle avait une idée mais je voulais que les choses soient dites.
«Non Monsieur»
«Pour que ta chatte soit bien visible et accessible. Pour que tu sentes les regards sur ta fente sans pouvoir t’y soustraire . Je veux que tu aies cela en tête quand tu te mets en position.»
«Bien Monsieur»
« On va y aller ma chérie »
Cette fois elle réagit, elle baisse les bras, fait demi-tour et se dirige vers la sortie. Elle a déjà entr'ouvert la porte quand un vigile la retient.
« Attendez Madame il faut remettre vos vêtements » lui dit il gentiment.
Elle semble réaliser, prend les vêtements que lui tend l’un des vigiles et les passe.
Nous quittons le local sur un :
« Excusez-nous encore »
Je manque de répondre :« De rien tout le plaisir était pour moi » mais je me retiens.
Sur le chemin vers l’extérieur, j’attrape un de ses bras qu’elle a croisé derrière son dos et lui dit : » C’est très bien, tu as été parfaite. »
« Merci Monsieur. »
Sur le parking, j’ouvre la portière côté passager. Elle s’assoit fesses nue sur le siège, rentre uniquement sa jambe gauche, remonte le devant de la jupe et attend, les yeux baissés.
«Chatte écartée Monsieur»
En effet, les deux jambes ainsi séparée, elle a du sentir son sexe s’ouvrir.
Cachée par la portière d’un côté et par moi-même de l’autre, personne ne peut rien voir. Je jette un regard circulaire. C’est calme autour de la voiture.
« Ne bouge pas ! »
« Oui Monsieur »
Je laisse la portière grande ouverte et je fais le tour de la voiture pour venir m’installer au volant. Une fois assis, je prends mon temps et je la laisse, comme ça, la chatte exposée. Il pourrait arriver quelqu’un à n’importe quel instant et elle serait vue. Je lui demande :
« Tout va bien ? »
« Oui Monsieur, je suis une petite salope qui montre sa chatte »
Je ne peux retenir un grand sourire:
« Ça c’est bien vrai ! Dis-moi, j’ai une question à te poser : Tout à l’heure dans le local des vigiles, que ce serait-il passé si un d’eux ne t’avait pas empêchée d’ouvrir la porte ? »
« Je serais sortie Monsieur »
« Et tu aurais marché comme ça, dans l’allée commerçante, entièrement nue au milieu des clients ? ».
« Oui Monsieur Je suis votre petite salope Monsieur. » Elle me l’avait déjà dit à la quatrième séance : « Tu peux me mettre entièrement nue où tu veux, quand tu veux. » J’en ai la confirmation.
« Monte ! je veux vérifier quelque chose »
Elle rentre la deuxième de ses jambes en prenant soin de les maintenir bien écartées, ferme la portière, défait un bouton.
Sa chatte est très accessible, je rentre un doigt sans aucune difficulté.
« Je suis une petite salope qui mouille et qui aime se faire doigter la chatte Monsieur »
Elle accompagne sa phrase d’un petit gémissement. Je mets un deuxième doigt et je fais quelques va et vient, elle l’a bien mérité.
« Ou uii… c’est bon Monsieur . Je suis une petite salope qui a envie de se faire mettre »
Certainement, mais j’ai encore des projets. Je démarre et je lui tends une bouteille d’eau.
Le temps de rentrer à la maison, il est 17h30.
A peine la porte d’entrée ouverte :
« Je suis une petite pisseuse Monsieur ». Je ne suis pas vraiment surpris: Quand elle est à jeun, il lui faut à peine vingt minutes pour que l’eau passe de son estomac à sa vessie.
« Très bien, va chercher ton collier, ta laisse, un rosebud et les pinces pour les seins. Mode privé ».
Elle se déshabille dans l’entrée, va prendre les accessoires et reviens vers moi.
« Position n° 2 » Pour poser les pinces.
« Position n°5 » Elle s’écarte la chatte.
« Non ! Ça c’est la 4, Position n° 5 ! ». Encore une punition qui se perd ! Elle tourne le dos, se penche en avant et écarte ses fesses » Tiens elle n’a pas pris le plus petit des rosebud, elle a envie d’essayer une taille au-dessus. Je mets le rosebud dans sa bouche pour l’humidifier puis je l’introduis doucement dans son petit trou. Gémissement. J’en profite pour inspecter la chatte en tirant un peu sur les grandes lèvres de chaque côté. Nouveau gémissement. La moule est toute trempée. Je ferme le collier sur son cou, attache la laisse.
« Mets-toi à quatre pattes »
« Oui Monsieur, je suis une petite chienne qui a envie de faire sa pisseuse »
Je tire sur la laisse vers l’extérieur. Chacun de ses mouvements font tinter les clochettes. Je la fais marcher comme ça un petit moment dans le jardin. Puis je stoppe.
« Je vais t’apprendre une nouvelle position Ce sera la n° 6 : position de pisseuse ».
« Oui Monsieur ».
« Reste à quatre pattes, pose les avant-bras au sol, écarte les jambes au maximum et cambre-toi pour bien faire ressortir ta chatte »
« Oui Monsieur »
Je me positionne derrière elle pour voir le résultat.
« Chatte écartée Monsieur»
Les lèvres sont bien ouvertes, le clito bien visible et le petit trou du cul bien apparent, décoré du rosebud.
« Fais ta pisseuse !»
Elle a à peine le temps de dire « Oui Monsieur » que le jet est déjà parti.
J’ai dit que le jardin était sans vis-à-vis, mais l’entrée de l’autre côté de la maison n’est pas pourvue de portail. Si un livreur, le facteur ou même un voisin, pour emprunter du sel, se pointe, il ne va pas être déçu. Mais bon ! Après tout, c’est une propriété privée.
On dirait qu’elle a fini. Elle attend.
« Caresse toi la chatte »
Elle amène une de ses mains à l’entre jambes et ses doigts tourne sur le clitoris et l’entrée du vagin.
Par moments elle introduit deux doigts dans la moule. Les tintements des clochettes sont accompagnés de gémissements.
Elle répète en boucle :
« J’suis une chienne, une salope, j’suis une petite pute »
C’en est trop, Je m’agenouille derrière elle, je sors ma queue et je la pénètre d’un seul coup. Après quelques aller-retours seulement ma chérie s’envole.
« Ou…ou oui ! Encore ! Je vais jouir ! Est-ce que je peux jouir Monsieur ? »
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Bonjour, dernièrement alors que je passais le week-end avec ma soumise à l'hôtel, en pleine nuit nous avons été réveillés par des bruits et des gémissements d'origine sexuelle. Nous avons très vite compris que nos voisins de chambre très bruyants étaient en pleine action. Excité par cette environnement érotique je me suis dit que c'était le bon moment pour une séance improvisée de soumission afin de tester l'obéissance de ma soumise. Malheureusement elle s'est rebellée et à refusée que je la soumette à ce moment là de la nuit prétextant que les voisins exagèraient, qu'elle était fatiguée et qu'elle avait besoin de dormir. Il faut dire que nous nous étions endormis seulement quelques heures plutôt après une grosse séance. Ne voulant pas rentrer en conflit je l'ai laissé se rendormir. Maintenant je me pose questions :
- aurais-je dû ou pas la soumettre de force faisant fi de sa rébellion, ai-je fait preuve de faiblesse ou de bienveillance à ce moment ?
- dois-je la punir après coup de cette rébellion impromptue ?
- si oui comment la punir (quel niveau de punition) ?
- quel attitude dois-je maintenant adopter car il est hors de question qu'elle puisse imaginer pouvoir refuser mes ordres quand ça lui chante, d'ailleurs elle en serait déçue. Ce qu'elle aime dans notre relation c'est mon autorité sur elle. Elle a besoin que je la domine et que je lui impose les règles de notre contrat pour être rassurée, épanouie et heureuse dans notre relation.
Si vous avez déjà connu une situation identique merci de me faire part de votre vécu et de comment vous avez résolu le problème
N'hésitez pas à me dire comment vous agiriez et à me donner conseil sur la-les punition-s à mettre en place et le comportement à adopter
Merci
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Sentir l'étirement, le pincement, la pression..
Du léger picotement, à la douleur stridente..
De la respiration haletante, à la retenue de ne pouvoir hurler..
Jamais plaisir plus grand ne m'a permis de me sentir aussi bien, possédée par la vie qui m'étreint.
Calomniés par l'effleurement des caresses des hommes, évoquant en eux ma douceur, et honorer un idéal de noblesse qui les incombe..
Ces mamelons, ne sont auréolés que par la disgrace d'être triturés et malmenés.
Me sentant frustrée d'être à chaque instant responsable de veiller sur eux,
seules mes pinces, mes ongles, et la douce vision horrifique des poids lourdement portés par des inconnues sur internet, instiguent encore en moi un sentiment de réconfort..
Face à l'incompréhension d'une femme qui n'obtient pas ce qu'elle a envie et besoin.
En soi : Pas grand chose.
Un quotidien qui tourne à l'obsession, de s'infliger une punition à s'exploiter soi-même,
Et ne prétendre qu'à l'espoir qu'ils servent sans ménagement les pulsions d'un mâle, aiguisés par ses instincts apte à les utiliser naturellement.
Une ferme prise en main de ma poitrine, compressée à l'extrême, voulant sentir mes tétons se tordent, se contorsionner, devenir vulnérables.. sous l'exercice de doigts habiles et sévères.
Contraindre ce barrage, et le soumettre à la pression de pouvoir enfin céder..
Dans un geyser hors de contrôle, jaillissant de mes paupières gonflées, honteuse d'obscénités et de redevabilité,
de pouvoir libérer dans des spasmes grotesques et inarrêtables, ce canal onctueux et généreux d'entre mes jambes.
M'arracher une complainte lancinante, où la douleur et le plaisir ne font plus qu'un,
et où je ne m'appartiens plus.
La suite à vivre sous mon appartenance,
ChatMOnYou.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
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Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle :
À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ?
Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ?
Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question :
Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ?
Je suis jeune.
Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts.
M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien.
J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger.
Je suis des études.
Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape".
Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion.
À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi.
J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser..
Ce mec / cette meuf est trop beau / belle !
J'ai juste envie de m'éclater et de voyager.
Je suis jeune.
D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française
(Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE).
Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes..
Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ?
La réponse est non.
Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême.
L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses.
Cependant..
Il existe un petit pourcentage..
Je suis moins jeune que j'en ai l'air.
- Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là.
- J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale.
- J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique.
- J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents.
- J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer !
- J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans.
Je suis moins jeune que j'en ai l'air.
À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ?
Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains.
Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement.
Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité.
Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins.
Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter.
Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM".
Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau.
Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail.
Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte.
Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose..
Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ?
Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" :
- Être Dominant.
- Ne pas être Dominant.
Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle".
Plusieurs états d'esprits en résultent :
Je ne suis pas dominant.
- Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin.
- Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là !
- Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante.
- "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller.
- "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ???
- "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda)
- "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?"
Je ne suis pas dominant.
Je suis Dominant.
- Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance.
- Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres.
- "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter."
- "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?"
- "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?"
- "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM."
- "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner."
Je suis Dominant.
Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge.
Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez.
Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences.
Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM.
Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence".
Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas).
En conclusion :
La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..)
Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent.
Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux.
Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ?
La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ?
Allez savoir..
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître !
https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
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Dans un accès de libido, Masato me colle contre lui et m’embrasse goulûment tout en me caressant les fesses.
Je le repousse brutalement et lui flanque une bonne gifle.
Juste à temps !
Les rires gras des défenseurs de la démocratie déchirent le silence. Masato est bon pour subir un déferlement de quolibets. Se faire gifler publiquement par une fille est humiliant ici plus qu’ailleurs.
« Désolé, je n’avais pas vu la patrouille » me dit-il à voix basse pendant que les miliciens s’éloignent. Le gifler est la seule réaction qui m’est venue sur le moment, pour lui sauver la mise.
La loi dit que les relations sexuelles sont interdites en l’absence de Fucking Pass et que toute infraction sera sévèrement punie [1]. Mais elle ne définit pas précisément ce que l’on doit entendre par relation sexuelle, laissant libre cours à l’interprétation et à l’excès de zèle des miliciens. Mettre les esprits en état d’insécurité permanente, de perte de repères, est l’une des ficelles du totalitarisme.
Je jette un dernier coup d’œil sur les alignements de bites. Des bites à perte de vue, prêtes à défendre la planète. C’est beau ! A défaut d’être utile, je dois admettre que le projet B.I.T.E.S. a de la gueule.
Sur le chemin du retour, Masato tient à me faire essayer les lunettes sociales qu’il vient d’acquérir à prix d’or. Elles affichent en temps réel le solde de crédit social des passants que l’on croise dans la rue. Un code de couleur permet de distinguer instantanément les bons et les mauvais citoyens. On peut même, si on le souhaite, visualiser l'historique de leurs bonnes ou mauvaises actions pour la démocratie et le climat.
Vendre à la population, qui en redemande, les outils de son propre asservissement, en voilà une belle idée. Masato est déçu par mon manque d’enthousiasme puis admet à demi-mots qu’il est sans doute, lui aussi, tombé dans le piège infernal.
De retour à son minuscule appartement, il m’annonce que nous n’avons que peu de temps car nous devons retrouver mon Maître dans la banlieue de Tokyo. Tiens donc… Je croyais qu’il m’avait oubliée !
Je lui propose de lui sucer la bite, pour me faire pardonner de la gifle. Prétexte, car, en réalité, j’adore sucer et donner du plaisir.
Dans une ruelle déserte de la banlieue de Tokyo, au milieu des vieilles maisons, une salle de cinéma à l’aspect délabré, qui semble avoir miraculeusement survécu aux années. L’une des rares ruelles qui n’est pas encore équipée en caméras de surveillance. C’est dans le hall étriqué de cette salle de cinéma démodée que nous retrouvons mon propriétaire, qui est en pleine conversation avec un couple. Masato le remercie pour le cadeau. Mon Maître me fait un sourire de connivence. Le cadeau, c’est moi…
« Dépêchons nous, la séance va commencer ! »
Dans la pénombre, je distingue une vingtaine de personnes déjà installées.
Sur scène, un homme élégant présente le film et le contexte dans lequel il a été réalisé. C’est l’esclave de Sonia. Il a belle allure ! C’est étrange de le voir en costume-cravate, moi qui ne l’ai connu que la bite à l’air.
Mais, le choc du contraste passé, je me dis que je préfèrerais le voir la bite à l’air. « Salope ! » me dit mon Maître, comme s’il avait lu dans mes pensées.
Sur l'écran, derrière lui, un dessin humoristique donnant un aperçu sur la teneur du film suscite des commentaires amusés.
La projection commence. Au bout d’un moment, j’ai la gorge nouée et les yeux embués. Il n’y a pas à dire, Sonia est douée pour entraîner les spectateurs dans l’histoire et déclencher des émotions. Des éléments factuels, des explications rationnelles, sont savamment distillés. Appâter le spectateur par l’émotionnel, pour l’amener ailleurs, là où elle veut l’amener, enclencher la réflexion et le forcer à ouvrir les yeux sur la réalité du monde dans lequel il vit. L’être humain est doué pour voir le totalitarisme quand il se produit à l’autre bout du monde, ou quand il fait partie de l’histoire, mais est aveugle quand il est en plein dedans [2]. Comment lui redonner la vision de près ?
Jouer sur l’émotionnel est le seul moyen, probablement, pour contourner l’effet de décennies d’abêtissement. « Des gens bien plus intelligents que vous savent ce qui est bon pour vous ». C’est l’adage que tout bon citoyen doit répéter en boucle dans sa tête. Les journalistes sont là pour le marteler à ceux qui seraient tentés de l'oublier.
Je me prends à penser qu’il suffirait d’un seul traitre dans l’assemblée pour que les Brigades de Défense de la Démocratie réalisent une belle rafle.
La séquence sur le sabotage du Nord Stream par nos plus fidèles alliés me prend aux tripes parce qu’elle me rappelle mon séjour à Bornholm. « C’est comme si votre femme se faisait violer par votre meilleur ami. Vous le savez, mais vous êtes tellement lobotomisé qu’à la place vous accusez celui que l’on vous a désigné comme votre ennemi » dit ironiquement l’expert qui commente les images et explique le mode opératoire. Je reconnais les images Sonar que Sonia m’avait montrées, mais leur qualité est infiniment supérieure. Mes programmes de traitement ont donc fonctionné. Je suis très fière d’avoir pu l’aider.
S’en suivent les images de notre escalade et de ma sodomie à flanc de falaise. Elles sont magnifiques ! Me voilà bien malgré moi actrice vedette ! Mon visage a été modifié pour leurrer les techniques de reconnaissance faciale. Chirurgie esthétique numérique !
Le film laisse planer un grand mystère sur la vraie raison de ma sodomie à flanc de falaise. Le zébralyvox n’est pas mentionné. Est-ce que Sonia souhaite ne pas trop en dire ou bien s’agit-il de donner aux spectateurs l’irrépressible envie d’en savoir plus ?
A l’issue de la projection, un débat s’engage. « Comment assurer la diffusion du film ? » est la question qui obnubile les esprits. L’accès à Internet est totalement contrôlé depuis la mise en place de l’identité numérique. Certains vont devoir se sacrifier pour mettre le film sur le réseau. Ils seront rapidement identifiés et arrêtés, mais avec un peu de chance d’autres le rediffuseront à leur tour.
Je ne suis pas vraiment convaincue par cette manière de faire, qui semble pourtant recevoir l’adhésion de l’assemblée, faute de meilleure idée. La police du net, aidée par Eurytion, la puissante Intelligence Artificielle de la Bill & Alvértos Fucking Corporation, est redoutablement efficace. Non seulement les initiateurs seront arrêtés et exécutés, mais la diffusion sera probablement stoppée avant d’avoir pu atteindre le point critique qui aurait permis sa survie.
« Vas-y », m’ordonne mon Maître, en me faisant signe d’aller exposer mon point de vue à l’assemblée.
Je lève timidement la main, comme pour demander la permission. L’esclave de Sonia prononce mon prénom et me fait signe de le rejoindre sur scène.
J’entends comme un murmure qui parcourt la salle. Je distingue même du français. « C’est Ysideulte !», dit une femme à son compagnon.
Serais-je donc devenue une célébrité au sein de la résistance ? Pour moi, la fille effacée, c’est un comble.
Arrivée sur scène, je me rends compte que l’éclairage vient du bas. Robe ultra-courte, pas de culotte… Spectacle assuré ! J’expose néanmoins mon point de vue d’un ton posé, ce qui me surprend. C’est la magie de l’esclavage : obéir à mon Maître, lui donner satisfaction, faire en sorte qu’il soit fier de moi, c’est la seule chose qui compte, au point que j’en oublie ma timidité. Le lien qui nous unit est immatériel et pourtant je le ressens si intensément !
Diffuser le film en utilisant des boules mémoire. En laisser traîner partout. C’est ma suggestion.
Les gens s’en saisiront, à l’abri des regards et des caméras. Ils regarderont le film, le recopieront pour leurs amis.
Des centaines de millions de boules mémoire qui circuleront de main en main. Mais comment assurer une telle production ?
« L’Inde pourrait nous aider », suggère l’esclave de Sonia. Ses capacités de production ont été en grande partie détruites par les bombes démocratiques, mais elle a encore quelques ressources.
La Suprême Alliance Démocratique a subi de lourdes pertes lors de l’opération Komsomolets, ce qui a accordé un peu de répit à certaines nations pour tenter de se reconstruire.
Il faudra organiser la logistique, en toute clandestinité.
Je prends garde à ne pas serrer les jambes et à répondre aux questions avec humilité. Mon propriétaire m'observe et je sais à quel point il apprécie de montrer que je suis bien dressée. Mes cuisses portent encore les marques de ses coups de ceinture, certainement réhaussées par l'éclairage incident et maintenant exposées à la vue de tous.
L'assemblée semble convaincue par ma proposition. Je rejoins mon Maître, qui m’adresse un sourire de satisfaction et fixe la lourde laisse à mon collier de chienne. Clic! Pas besoin de paroles. Un frisson de plaisir me parcourt le corps.
à suivre
Contexte et Références
[1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
[2] « Tout l'enjeu du psychisme est de se protéger, quitte à réaménager les discours et la façon de se raconter la réalité. [...]. Il n'y aurait ni délire ni contagion délirante sans un déni de réalité qui lui préexiste. [...] ces mécanismes de défense sont des protections psychiques [...]. Tout cela nous explique la raison pour laquelle beaucoup de personnes ne parviennent pas à voir ce qui se passe lors de la mise en place d'une dérive totalitaire, et même, s'illusionnent sur le fait que leur gouvernement, devenu véritable bourreau, continue de leur vouloir du bien, pourvu qu'aujourd'hui il se nomme "démocratie". [...] Car il faut une force psychique hors du commun pour garder un raisonnement sain dans un monde qui devient fou, où les repères sont inversés, où la vérité est travestie en mensonge, [...], tandis que s'exerce un pouvoir abusif prétendant que c'est pour le "Bien Commun", au nom de jolis principes auxquels chacun peut souscrire »
Ariane Bilheran, "Psychopathologie du totalitarisme", septembre 2023
Illustration: montage à partir de dessins de Tesson.
Premières apparitions de certaines notions évoquées dans le texte:
- Le Fucking Pass, Eurytion et la Bill & Alvértos Fucking Corporation:
dans "Le perchoir d'Ysideulte", le 15/09/2022 (https://www.bdsm.fr/blog/8145/Le-perchoir-d'Ysideulte/)
- Les Brigades de Défense de la Démocratie:
dans "Sonia", le 18/01/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8332/Sonia/)
- Le zébralyvox gémellaire et l'opération montée par la Suprême Alliance Démocratique pour l'anéantir (opération Komsomolets):
dans "Zébralyvox gémellaire, l'étonnant passager" le 07/02/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8393/Zebralyvox-gémellaire,-l'étonnant-passager/)
- Les prémisses d'une résistance:
dans "La charte du pangolin fou", le 27/04/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8558/La-charte-du-pangolin-fou/)
- Les modalités d'obtention du Fucking Pass
dans "Adorable Fucking Pass", le 13/05/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8630/Adorable-Fucking-Pass/)
- Bornholm et le Nord Stream
dans "Matin calme à Bornholm", le 02/07/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8709/Matin-calme-à-Bornholm/)
- La vertigineuse sodomie d'Ysideulte
dans "Sodomisée à flanc de falaise", le 18/07/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8745/Sodomisée-à-flanc-de-falaise/)
- Le projet B.I.T.E.S.:
dans "B.I.T.E.S. - Complexe de défense planétaire", le 03/12/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/9180/BITES-–-Complexe-de-Défense-Planétaire/)
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Les têtes Doppler se rétractent. Les écrans s’éteignent. Le silence emplit la pièce [1]. Mon Maître laisse tomber une feuille de papier qui atterrit délicatement sur mon ventre après un élégant vol plané. Sans un mot, il s’éloigne en compagnie de Satoshi, me laissant seule avec le jeune homme, qui entreprend, sans attendre, de me libérer de mes liens.
J’examine la feuille avec curiosité. Je n’y comprends rien – à peine arrive-je à décoder quelques kanjis. Mais je reconnais la structure du formulaire d’évaluation.
Le jeune homme s’assoit sur une chaise et m’invite à en faire autant. Il semble aussi timide que moi, ce qui ne va pas faciliter les choses. Le silence est pesant.
Je sais ce que mon Maître attend de moi, mais je ne sais pas comment y arriver. Je le regarde un bref instant et je rougis, sans oser prendre l’initiative. Détourner le regard et baisser les yeux est ma seule réaction.
« Ce n’est pas possible d’être aussi empotée ! » me dis-je, rageant intérieurement contre moi-même. Si je retrouve mon Maître sans avoir été baisée, je vais prendre une sacrée raclée, ça j’en suis sûre.
Je suis toujours nue, m’abstenant volontairement de récupérer mes vêtements. C’est un signe qu’il devrait interpréter sans ambiguïté. Mais ce qui semble une évidence pour moi ne l’est pas forcément pour l’autre, à plus forte raison s’il est né dans une autre culture. Je devrais pourtant le savoir.
Je me rends compte que je ne connais même pas son prénom. Je me risque à le lui demander.
Cette simple question suffit à le désinhiber un peu. Masato me demande timidement si cela m’intéresse qu’il me fasse visiter le campus universitaire.
Évidemment que je veux bien ! Cela me fera gagner du temps – le temps que j’arrive à surmonter ma timidité et que je trouve un moyen de lui faire comprendre que je dois être pénétrée et notée, sinon je serai sévèrement punie… Je m’habille et l’accompagne, main dans la main - c’est bon signe.
Tout est nickel sur le campus, pas un grain de poussière. Nous sommes au Japon, je ne devrais pas en être surprise, et pourtant le dépaysement agit encore.
Dans un anglais hésitant, il me parle un peu de la thèse qu’il est en passe de terminer et de l’admiration qu’il porte au Professeur. Au détour de la visite, il me fait découvrir son logement. Une minuscule chambre d’étudiant. Une chaise, une toute petite table, un lit d’à peine une place, ... Ici on ne fait pas dans le superflu.
Pas un instant à perdre, me dis-je – c’est le moment ou jamais. A peine la porte refermée, je me déshabille entièrement. Là s’il ne comprend pas…
Je m’allonge nue sur le lit et, assis sur le rebord, il passe délicatement ses doigts sur mes marques. J’en suis fière de ces marques ! Mémoire des soirées où mon Maître m’a corrigée à coups de ceinture, des soirées où je ressentais dans mes tripes le plaisir qu’il éprouvait à me cogner, comme si nos esprits étaient connectés. Il parcourt chacune lentement, très lentement. Yeux fermés, à travers les sensations tactiles je reconstitue mentalement le graphe qu’elles dessinent sur la peau. C’est terriblement érotique et je me demande si je ne vais pas finir par avoir un orgasme spontané.
J'ouvre les yeux. Il a sorti sa bite. Lui aussi est très excité par la scène, si j’en juge par la vigueur de son érection. La vue d’une femelle qui a été sévèrement corrigée et qui en porte encore les stigmates excite les hommes, en général.
J’entreprends de lui sucer la bite, avec délectation. Avec un peu trop d’enthousiasme, sans doute. L’éjaculation est presque immédiate, m’emplissant la bouche de la précieuse semence.
« Quelle conne ! », me dis-je.
Je voudrais m’excuser, mais je ne peux pas. Je garde le sperme en bouche, attendant qu’il m’autorise à avaler.
Il est jeune. Avec un peu de chance il pourra remettre ça. Je me suis souvent dit que la sexualité masculine est mal conçue. Elle nécessite beaucoup de self-control. C’est tellement plus facile d’être femelle ! De par ma curiosité maladive, j’ai souvent rêvé d’avoir la possibilité technologique de transférer temporairement mon esprit dans le corps d’un homme, pour expérimenter intimement ce qu’il ressent.
Ce n’est qu’après un long moment qu’il comprend, enfin, que je ne n’ai pas le droit d’avaler le sperme de ma propre initiative et que j’attends désespérément son feu vert.
La nuit est déjà tombée. Après un frugal repas, je dois insister longuement pour lui faire accepter le fait que je peux parfaitement dormir sur le sol. Le lit est bien trop petit pour deux, il ne sera pas à l’aise, et puis je sais ce que mon Maître voudrait s’il était là.
Je me demande si je ne devrais pas lui parler du risque de migration des zébralyvox. Et puis zut ! Tant pis. Surmonter ma timidité, c’est déjà assez compliqué comme ça. De toute façon, il doit bien s’en douter. Il a vu les images. Et puis le risque est minime. Les zébralyvox préfèreront certainement rester ensemble pour l’instant, ayant trouvé un environnement favorable dans mon corps.
Après m'être refait une beauté et m'être soigneusement préparé et lubrifié le cul, je m'allonge sur le sol, à ma place de chienne. Je veille à maintenir mes cuisses ouvertes, comme une invitation à la pénétration, signifiant ainsi qu'à tout moment, même au milieu de la nuit, je suis disponible pour le plaisir du mâle. Il m'arrive de les refermer pendant mon sommeil, mais de moins en moins. A la maison, à chaque fois que mon Maître m'a trouvée cuisses serrées, il m'a réveillée et réprimandée, alors j'acquiers peu à peu les bons réflexes. Je m’endors en espérant qu’au petit matin Masato aura pleinement récupéré sa vigueur. C’est bien le cas et sans attendre le matin ! Il me réveille au milieu de la nuit, certainement très excité par le fait de savoir qu’il y a une femelle nue au pied du lit, cuisses ouvertes, collier d'esclave au cou, n’attendant que la bite – il doit y penser depuis que l’on a éteint la lumière, se faire des plans dans sa tête, et puis, n’y tenant plus, il m’a réveillée.
Il me gifle, me laissant interloquée. Il a vu mon Maître le faire – il doit penser que tout le monde en a le droit. Mais je ne relève pas. Après tout, je l’ai bien mérité, après ma maladresse d’hier soir. C’est parti pour de la baise non-stop jusqu’aux premières lueurs du jour ! Ceci en toute illégalité, car nous n'avons pas de Fucking Pass. De quoi être arrêtés et condamnés si nous étions découverts.
Il est complètement épuisé, à force de me ramoner les orifices sans ménagement. Moi aussi d'ailleurs, mais je ressens la satisfaction de lui avoir bien vidé les couilles, jusqu'à la dernière goutte de sperme. J'aurais tant aimé que mon Maître eût été là pour observer mon comportement et constater les premiers résultats du sévère et exigeant dressage auquel il me soumet depuis des mois et des mois. Depuis que je lui appartiens, il me dresse en esclave sexuelle, dévouée au plaisir, avec un niveau d'exigence qui me donne l'impression d'être préparée comme une athlète de haut niveau, ce qui fait souvent l'objet de plaisanteries entre nous.
Masato a eu tout loisir de tester mes trois orifices, longuement, profondément, dans toutes les positions, de pétrir mes mamelles et de juger de la manière dont je me comporte sexuellement. Il ne devrait avoir aucune difficulté à m'évaluer de manière détaillée, aussi sincèrement que possible, avec bienveillance mais néanmoins sans complaisance, ainsi que le souhaite mon Maître et ainsi qu'il l'a précisé en entête du formulaire d'évaluation. Je lui tends le formulaire, en lui demandant de bien vouloir me noter et compléter toutes les rubriques sans exception dès qu’il en aura le temps. J’insiste sur le fait que c’est très important pour moi, sinon je serai punie. J’espère qu’il le fera et qu’il ne sera pas trop sévère.
Il me suggère de prendre notre douche ensemble, mais je ne peux pas. Je lui explique qu'en tant qu'esclave je dois obligatoirement me doucher à l'eau froide - ordre du Maître - et que je ne voudrais pas lui infliger cela!
La matinée est déjà bien avancée. Masato me propose de visiter le chantier de la B.I.T.E.S. En tant qu’universitaire, il fait partie des privilégiés qui peuvent accéder au site. Mon Maître ne m’a laissé aucune consigne. Je ne sais ni où ni quand je suis supposée le retrouver. Alors, pourquoi pas. Je suis curieuse de visiter ce projet – le plus coûteux de tous les temps.
Situé au pied du mont Fuji, le site japonais de la B.I.T.E.S. – Broadest Initiative against Terror and Extra-terrestrial Spacecrafts – fait partie du complexe de défense planétaire. L’initiative comporte deux volets, l’un destiné à lutter contre le terrorisme grâce au renforcement de la surveillance de masse, l’autre, le plus important, destiné à protéger la planète contre les envahisseurs extra-terrestres. Une campagne d’opinion avait déjà été tentée en 2023, sous couvert de prétendues fuites d’informations attestant de la réalité de la menace Alien [2]. Mais elle n’avait pas pris comme espéré. Relancée récemment, avec une orchestration bien plus efficace, elle a suscité très vite l’adhésion de la population.
Bien que loin d’être terminé, le chantier est déjà impressionnant. A perte de vue, des alignements de canons électromagnétiques, destinés à assurer notre protection. Une initiative dont la Suprême Alliance Démocratique est très fière. On dirait un champ de bites, énormes, dressées vers le ciel. Accolées à chaque bite, deux énormes couilles servent de réservoirs dans lesquels un liquide blanchâtre est brassé et magnétisé, avant d’être introduit dans le canon.
Lancée à l’initiative d’un ancien POTUS reconverti dans le projet messianique de sauvegarde de la planète, la B.I.T.E.S. est entièrement financée sur fonds publics - le plus gros détournement d'argent public de tous les temps - et suscite l’adhésion massive de la population. Récent lauréat du prix Hunter Biden, récompensant les hauts responsables politiques qui, durant leur mandat, ont œuvré de manière exemplaire contre la corruption et le trafic d’influence, son initiateur jouit d’un prestige immense, savamment entretenu par les médias. Alimentés par une énergie verte, 100% décarbonée, les canons respectent scrupuleusement l’idéal politique de la Suprême Alliance Démocratique, soucieuse du climat avant tout, même quand les pires menaces pèsent sur l’humanité.
« Est-ce que tu sais qu'en vrai le sperme des hommes n'est pas stocké dans leurs testicules? » me dit Masato, dans un anglais toujours aussi hésitant. J'ai une petite hésitation, et puis je choisis de faire l'andouille, de faire comme si je ne savais pas. Cela lui donnera le plaisir de m'expliquer l'anatomie du mâle, cela lui donnera confiance en lui. Un tout petit mensonge pour la bonne cause... Est-ce bien? Est-ce mal? Je ne sais pas vraiment.
Une démonstration est imminente et le compte à rebours a déjà commencé. On nous apporte des casques anti-bruit, destinés à protéger nos tympans du bang hypersonique qui se produira lors de l’éjaculation. Au terme d’une vertigineuse accélération, que seul un canon électromagnétique peut produire, des amas de liquide blanchâtre sont expulsés à plus de 20 fois la vitesse du son. Les amas deviennent rapidement incandescents sous l’effet de l’échauffement puis disparaissent en haute altitude. En douze secondes seulement, les projectiles visqueux ont déjà atteint l’ionosphère, à 80 km d’altitude, et deviennent invisibles à l’œil. Lorsque le dispositif sera entièrement opérationnel, il constituera une barrière infranchissable pour les vaisseaux Aliens, qui se retrouveront englués par ce liquide visqueux, se solidifiant à leur contact et les rendant impossibles à manœuvrer.
L’objectif des Aliens pourrait être de violer les femelles humaines pour les ensemencer, assurent de plus en plus de spécialistes. La Bill & Alvértos Fucking Corporation a déjà dans les tuyaux un vaccin à ARN messager ciblant la protéine spikouze, présente à la surface des spermatozoïdes Aliens. Le vaccin transformera les cellules de la receveuse en usines à spikouze, provoquant la formation continue d’anticorps hautement protecteurs, ainsi que l’affirme le consensus scientifique relayé par tous les experts de plateaux. C'est sûr et efficace, et c’est la garantie de ne pas être fécondée par ces monstres. Des images de synthèse, terrifiantes, montrent l’horreur qui attend celles qui refuseraient le vaccin, subissant les plus humiliants outrages, violées et ensemencées par des monstres extra-terrestres aux yeux rouges, puis mises en cage pour la durée de leur gestation.
C’est la bousculade pour s’inscrire sur les files d’attente. Les premières inscrites seront les premières à bénéficier de la précieuse injection quand elle sera disponible.
« Mais pourquoi prévoir cette injection si nous sommes déjà protégés par le projet B.I.T.E.S., réputé infranchissable ? » s’est risquée à demander une journaliste stagiaire. Depuis, elle a disparu des écrans.
Le spectacle de ces amas incandescents s’élevant à vitesse hypersonique vers la ionosphère est magnifique, c’est un fait. Je serais presque tentée d’adhérer au narratif, moi aussi. Et pourtant… Si tant est qu’ils existent, qui pourrait croire que nous arrêterons des êtres qui ont les capacités technologiques de franchir des milliers d’années-lumière en leur balançant de gros chewing-gums spermiques ? Fussent-ils les chewing-gums les plus coûteux de l’histoire ? Un enfant de 5 ans, peut-être ?
Pas seulement… Le début de la décennie a démontré que la population est prête à gober n’importe quoi. C’est juste une question de matraquage médiatique et de pouvoir de conviction des experts de plateaux [3].
Masato m'a tellement prétri les mamelles sans ménagement pendant la nuit qu'elles en sont encore très douloureuses. Ce n'est pas grave, ça passera. Il me caresse la joue avec gentillesse, comme pour me remercier du plaisir que je lui ai procuré. Cela déclenche immédiatement un sentiment de bien-être qui m'emplit le corps et l'esprit. J'adore donner du plaisir et sentir la satisfaction chez l'autre. C'est ma plus grande source de motivation.
Il me demande quand est-ce que j’ai compris que le totalitarisme était déjà En Marche, chuchotant à mon oreille, la voix tremblante, comme s’il craignait que Big Brother ne nous surveille.
« A un moment où nous aurions encore pu l’arrêter, si nous avions ouvert les yeux »
Je réalise que je chuchote moi aussi.
à suivre
Contexte et références
[1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
[2] Officials and lawmakers push for more government transparency on UFOs, CNN, July 26, 2023, https://edition.cnn.com/2023/07/26/politics/ufo-house-hearing-congress/index.html
[3] « On nous raconte des faits qui n’existent pas et on passe sous silence des faits qui existent. […] La pensée n’est plus régulée par le retour d’expérience; elle s’impose en tant que certitude délirante sur l’expérience, interprète et déforme la réalité pour la faire plier sous sa folie, et la lire au travers du prisme de son dogme, qui ne souffre aucune remise en question. […] A force de répétition, la population finit par être persuadée que l’eau brûle et que le feu mouille ». Ariane Bilheran, Psychopathologie du totalitarisme, septembre 2023, pages 42-43
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Episode 1 : Infâme mixture mais délicieux rāmen
Mon Maître plaisante à la vue de mon air dégoûté par l'aspect fort peu engageant de la mixture.
- « Assaisonné avec quelques gouttes de sperme, est-ce que serait plus facile à avaler, salope ? »
Maintenant mes « hallucinations » me reprennent. Le flacon se met à scintiller. Manquait plus que ça. Ces scintillements bleu-jaunâtres me donnent le mal de mer.
- « Allez, courage ! Dis-toi que c’est pour sauver le monde »
Au moins il sait me faire rire…
Bon ben, quand il faut y aller… J’avale d’une traite ce flacon d’eau boueuse, que le Professeur a apporté. Beurk ! C’est infect !
J’espère que le Professeur ne se trompe pas et que sa théorie n’est pas qu’un pur délire.
Je connais Streptomyce Avermitilis, ce surprenant micro-organisme qu'il découvrit autrefois dans le sol d'un terrain de Golf Japonais. Une découverte qui lui valut la gloire, le prix Nobel, puis récemment le dénigrement pour des prises de position qui ont été perçues comme une menace pour de puissants intérêts politico-financiers. Les médias et leurs meutes de fact-checkers ne font pas de cadeau à ceux qui sortent du rang.
Il m’assure que les eaux croupies prélevées lors de notre séjour à Fushimi Inari grouillent d’une version mutante, qu’il a baptisée Streptomyce Avermitilis Inari (*). Il est persuadé que dans les temps préhistoriques ces micro-organismes vivaient en symbiose avec les zébralyvox et jouaient un rôle essentiel dans leur métabolisme et peut-être dans leur reproduction. Le symbiote du symbiote…
Ils émettent des filaments, comme les zébralyvox, et sont le siège d'une forte activité électrique, nous explique-t-il, comme pour nous convaincre du bien fondé de son hypothèse.
Tout cela me paraît un peu tiré par les cheveux. D’un autre côté, ces scintillements qui m’ont guidée à Fushimi Inari, je les ai bien vus. Je n’ai pas rêvé. Je ne suis pas folle. C’est comme si mes symbiotes voulaient me faire comprendre quelque chose.
Après tout, que sait-on du métabolisme des zébralyvox, basé sur l’électricité? Quasiment rien. Alors, ce ne serait pas la première fois que la nature nous surprendrait par son inventivité.
Depuis la pandémie, je considère avec une grande méfiance la parole des médecins, auxquels je vouais pourtant autrefois une confiance aveugle. Quand la confiance est brisée elle est très difficile à reconstruire. Mais le Professeur est différent. En mon fort intérieur, je le sens honnête et compétent. Ce n’est qu’une intuition, mais je le ressens. Mon intuition m’a quelques fois trompée, mais bien plus souvent j’ai amèrement regretté de ne pas m’être fiée à elle.
Le Professeur semble pressé de rejoindre Tokyo, mais devant l’insistance de mon Maître il accepte néanmoins de dîner avec nous.
Les restaurants sont rares et il y en a peu qui sont ouverts le soir à Nikkō. Partout, nous trouvons porte close, ou une longue file d'attente, jusqu'à ce que nous trouvions enfin une place dans un restaurant de rāmen. Il s'agit d'un bouillon de nouilles, agrémenté de viande, d'oignons et d'œufs. Simple, mais très bon. Voilà qui va, je l’espère, faire passer le goût infect que j’ai encore en bouche.
Malheureusement, les tables basses de cet établissement modeste, pas du tout conçues pour les touristes, sont très inconfortables pour la morphologie Européenne. Je ne sais pas comment me mettre, aucune position ne m'étant agréable. J'ai mal aux jambes, mal au dos.
Je suis quelque peu déstabilisée par l’enthousiasme du Professeur. Il croît dur comme fer au succès du pangolin fou. Pour ma part, j'y crois de moins en moins. Où est donc passé mon optimisme d'antan? Suis-je devenue pessimiste ? Ou trop réaliste? Pour tout dire, je pense que cette histoire va mal finir et que le pangolin fou est une utopie qui n'a quasiment aucune chance face aux puissants intérêts qui ont corrompu notre société avec l’assentiment, ou tout au moins la passivité, d’une majorité de la population. Autant combattre une armée moderne avec des arcs et des flèches.
Pendant le repas, le Professeur se risque à poser quelques questions sur la manière dont nous vivons notre relation. Mon Maître lui répond avec une délectation non feinte. Cela me réjouit, car je sens à travers ses mots le plaisir qu'il prend dans notre relation. Il est rare qu'il me témoigne directement ses sentiments et ces quelques moments pendant lesquels il exprime sa satisfaction me comblent de bonheur.
Pour ma part, je reste silencieuse, les yeux baissés. A table, une esclave baisse les yeux et ne prend pas la parole sans y avoir été invitée. C'est la règle. Enfin, du moins, c’est Sa règle, celle qu'il m'impose - la seule qui compte finalement, tant il est vrai que les relations Maître/esclave recèlent une multitude de variantes.
Ce silence imposé a l'avantage de renforcer considérablement ma perception. Quand on n'a ni le droit de parler, ni de croiser les regards, on écoute, bien attentivement, on enregistre, on décèle l’information non verbale transportée par la moindre variation d’intonation.
Lorsque mon Maître m'ordonne de remonter légèrement ma jupe, pour montrer au Professeur qu'aujourd'hui, comme chaque jour, je sors sans culotte, je m'empresse d'obéir, en m'efforçant de rester discrète pour ne pas attirer l'attention des autres clients. La sensation instantanée de chaleur au niveau de mes joues ne me trompe pas: je rougis fortement et cela se voit certainement.
Episode 2 : Zébralyvox gémellaire, le cauchemar des sadiques
De retour à l'hôtel, mon Maître ne tarde pas à retirer sa lourde ceinture en cuir ce qui déclenche instantanément une montée de stress. Depuis que nous avons atterri au Japon, il m'a frappée à plusieurs reprises avec cette redoutable ceinture, et il cogne dur. Mais je n'ai pas le choix, je suis là pour son plaisir après tout, et puis de toute façon il ne me demande pas mon avis.
Je m'empresse de me mettre en position pour recevoir les coups, bien cambrée.
- "Non, pas comme ça, salope. Je vais te frapper la chatte ce soir. Allonge-toi sur le dos, jambes en l’air, bien ouverte".
Il me tend une serviette dans laquelle il me conseille de mordre, pour atténuer mes cris, car ça va faire très mal. Il ne tient pas à ce que j'affole tout l'étage...
Dès le premier coup je ne peux m'empêcher de resserrer les cuisses, dans un irrépressible réflexe de protection, ce qui me vaut une belle engueulade. Je dois engager toute ma volonté pour les maintenir ouvertes. Qui ose dire qu'une soumise n'a pas de volonté?
A partir du sixième coup, les sensations s'atténuent brutalement. Pas de doute: les zébralyvox ont déjà migré vers ma chatte et déployé leurs filaments pour détourner l'influx nerveux. Incroyable! Ils n'avaient encore jamais réagi de manière aussi rapide.
J'en informe immédiatement mon Maître, car mes cris et mes larmes lui sont indispensables pour mesurer l'impact des coups et éviter d'aller trop loin. Je ressens encore les coups, mais ils ne me font pas mal.
Bien que son tempérament sadique en soit certainement contrarié, la nouvelle le réjouit. Cela ouvre des perspectives encourageantes. Le Professeur avait donc raison, l'infâme mixture qu'il m'a faite avaler a un effet. Comment ais-je pu douter?
Je me prends à reprendre espoir. J'ai parfois l'impression d'être une girouette, oscillant entre pessimisme et optimisme. Mais peut-être est-ce le lot de beaucoup d'humains même si peu osent l'avouer.
Je doute fort que cette découverte vaille au Professeur un nouveau moment de gloire. Au contraire, je suis persuadée que si elle était révélée il serait arrêté et condamné pour mise en danger de la démocratie.
Je me prends à penser que si les zébralyvox naturels se reproduisaient comme nous l’espérons et entraient en symbiose avec l’humanité entière, ils représenteraient un vrai cauchemar pour les sadiques et les masos. Cela obligerait la communauté bdsm à s’adapter, à se réinventer… Mais pour l’instant ce n’est pas notre principale préoccupation.
Episode 3: Chienne au pied du lit
Je me réveille au milieu de la nuit, le clitoris en ébullition, comme s’il était parcouru par des dizaines de micro-courants électriques. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je sens le plaisir monter sous pression comme dans une cocotte minute. Je n'avais jamais éprouvé une telle sensation. Et puis j'explose dans des hurlements de plaisir, réveillant mon Maître par la même occasion !
- "Tu t'es encore masturbée, salope ?"
Oui, je sais que la masturbation m'est à présent interdite, mais impossible de lui répondre. Ce tsunami de plaisir m'a complètement désorientée.
Alors qu'il détache la courte chaîne qui relie mon collier d'esclave au pied du lit, et m'ordonne de me redresser et de m'allonger sur le lit pour recevoir une bonne correction, je m'efforce de me concentrer pour arriver à sortir quelques mots, pour lui expliquer que je n'ai pas désobéi, que je ne me suis pas touchée.
Message bien reçu ! La punition redoutée se limitera cette fois à une succession de gifles magistrales. Pour m'aider à reprendre mes esprits, m'assure-t-il. En effet, c'est efficace !
Mon Maître prend beaucoup de plaisir à me gifler et cela déclenche souvent une puissante érection. Cette fois ne fait pas exception et dans la foulée je reçois l'ordre de présenter mon cul pour recevoir la bite. Après tout, je suis là pour lui servir de vide-couilles. Comme à chaque fois je suis traversée de sensations contradictoires, inconfort, humiliation et pourtant infini bonheur de donner du plaisir.
Dès que mon cul a reçu la précieuse semence, je remercie chaleureusement mon Maître. Une esclave bien éduquée remercie toujours: être enculée est un honneur et elle le sait. Mais pas de protocole creux chez nous, pas de remerciements prononcés sans conviction. Mes paroles sont sincères, elles viennent du fond du coeur. Toujours!
Je reçois l'ordre de retourner à ma place, allongée nue sur le sol, et mon collier est à nouveau relié au pied du lit. Cette fois mes poignets sont menottés dans le dos. Précaution supplémentaire pour s'assurer que je ne me masturberai pas. Est-ce qu’il doute de ma parole ?
Mon Maître me gifle à nouveau et éteint la lumière. Pas de préliminaires, pas non plus de câlins après le sexe. C'est bestial, c’est brutal, et pourtant cela m'excite d'être traitée ainsi, de sentir le plaisir qu’il y prend...
Episode 4: Retour à Tokyo
Au petit matin, mon Maître m'annonce que nous allons retourner immédiatement à Tokyo. Il y a encore tant de lieux à visiter dans les environs de Nikkō, mais il lui paraît prudent de retrouver le Professeur rapidement pour avoir un diagnostic du phénomène en cours et faire les analyses qui s'imposent. Un avis que je partage amplement, mais peu importe - il ne me demande pas mon avis.
Par chance, il reste encore quelques places dans le Spacia X. J'adore ce train! Au départ de Nikkō, les vastes vitres panoramiques m'offrent un spectacle inimaginable en Europe: les employés de la compagnie ferroviaire se sont alignés sur les quais et s'inclinent pour saluer respectueusement les voyageurs en partance.
Dans le train, je sens à nouveau mon clitoris s’électrifier. Même pas le temps de prévenir mon Maître, je sors à toute vitesse une serviette de ma valise et je mords dedans de toutes mes forces pour atténuer les hurlements de plaisir qui ne tardent pas à surgir. Je n’y parviens qu’imparfaitement. Mais les japonais savent rester discrets, ne pas montrer leur étonnement face à une salope qui hurle de plaisir dans le train…
Le Professeur est un peu surpris de nous voir de retour de sitôt. Comme mon Maître me l'a ordonné, je me déshabille immédiatement après les salutations et je reste bien entendu silencieuse pendant la dégustation du thé matcha. C'est mon Maître qui lui explique ce qui s'est passé et s'enquiert de son avis.
Episode 5 : Dans les profondeurs du chaos renaît l'espoir
Le Professeur déteste perdre de temps et parler pour ne rien dire. Nous rejoignons très vite l'université Kitasato, où nous retrouvons le jeune homme qui nous fait entrer discrètement par une porte dérobée. Il semble encore plus inquiet que l'autre fois. Il doit se dire que l’on va finir par se faire remarquer et que quelqu’un va nous dénoncer aux Brigades de Défense de la Démocratie.
Pas de temps à perdre. Je retire ma jupe et m'apprète à m'installer dans le dispositif d'imagerie quand je reçois une sacrée baffe.
- "Retire ton haut, connasse !"
Dans ma précipitation, je m'étais dit que, puisque les zébralyvox sont dans mon clitoris, pas dans mes mamelles, je pouvais gagner du temps. Grave erreur ! Penser au plaisir des hommes doit occuper à chaque instant l'esprit d'une esclave bien éduquée. J'ai encore beaucoup à apprendre.
Je préfère quand mon Maître m'appelle par mon prénom, Ysideulte, mais je dois me faire une raison... Maintenant je me prénomme salope, chienne, connasse...
Je m'installe toute nue dans la machine, cuisses bien ouvertes pour ne pas gêner les mouvements rapides des têtes Doppler à couplage quantique qui s'activent autour de ma chatte - le dernier cri de la technologie. La localisation des zébralyvox est difficile et nécessite de la fusion multicapteurs. Mais elle nettement plus rapide cette fois. Le Professeur sait exactement où chercher : dans mon clitoris !
Ils ont l’air tranquilles, fixés sur les fibres nerveuses. Ils vibrent de manière synchrone ce qui permet de les détecter au Doppler. Rien de nouveau. Bizarre…
Le Professeur s’adresse à mon Maître : « Si vous le permettez, on va la laisser en observation et enregistrer les images »
Il a bien compris que ce n’est pas moi qui décide…
« Oui, bien sûr. Il vaudrait mieux l’attacher pour qu’elle ne bouge pas ».
Quel pervers !
Ils s’éloignent et me laissent seule, attachée dans la machine d’imagerie. Je les entends discuter à voix basse dans le fond de la salle, mais je ne peux ni les voir, ni comprendre ce qu'ils disent. Je crois qu’ils prennent un café pendant que je me morfonds dans cette machine. Fidèle à son tempérament pervers mon Maître m'a écarté les jambes au maximum lorsqu'il m'a attachée. Ca tire fort sur les ligaments!
La position est inconfortable et, immobile, nue, j’ai de plus en plus froid. J’espère que ça ne va pas être trop long. Si je pouvais me masturber, peut-être que ça déclencherait quelque chose. J’aurais dû suggérer l’idée. Là, attachée, impossible de m’auto-stimuler.
Les heures passent, lentement, très lentement... Je suis frigorifiée et ankylosée quand des sensations commencent à me parcourir le clitoris. Les picotements causés par les décharges électriques finissent pas me faire hurler de plaisir. Les trois hommes accourent.
J'assiste à un spectacle incroyable sur l’écran de l’appareil d’imagerie, commenté en direct par le Professeur. Les deux paires de zébralyvox ont déployé un complexe réseau de filaments interconnectés au cœur duquel chaque individu a déposé une boule d’une sorte de liquide visqueux. De puissants éclairs éclatent entre nœuds opposés du réseau, là où se sont positionnés les zébralyvox. Je me demande s’ils fusionnent ainsi leurs esprits, comme dans Cocoon. Le summum du plaisir sexuel ! Le plaisir délivré directement dans les neurones, sans intermédiaire.
Les quatre boules fusionnent rapidement en une seule. Peu à peu, une multitude de Streptomyces Avermitilis Inari vient s’agglutiner à la surface de la boule et commence à la mettre en mouvement. C'est comme un complexe mouvement de convection, d'allure chaotique - un brassage des patrimoines génétiques qui semble aléatoire mais dont la structure cachée finit par se dessiner sous forme d'oscillations autour d’un attracteur double.
- "On dirait un attracteur étrange !"
- "Pardon?" me demande le Professeur, qui visiblement ne connaît pas le concept.
L'occasion pour moi de lui faire un mini-cours de théorie du chaos. L'attracteur étrange. L'ordre caché dans les profondeurs du chaos. Si on m'avait dit qu'un jour j’étalerais ma science devant un prix Nobel !
- "Attention, si vous la branchez sur certains sujets, vous ne pourrez plus l'arrêter" prévient mon Maître.
Dans certaines circonstances, la fille timide se transforme en une intarissable bavarde...
Un attracteur double, régi par les lois du chaos, qui engloutit tout sur son passage. Je viens d'assister en direct à la naissance d'une nouvelle paire de zébralyvox. Une structure gémellaire qui restera intriquée pour la vie. Ce n'est même pas encore un embryon, je ne sais pas exactement ce que c’est, mais il porte tant d'espoirs à mes yeux que je sens des larmes de bonheur couler sur mes joues.
à suivre
Contexte
(*) L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
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Episode 1: Relaxant Onsen
Depuis les temps anciens, les Japonais profitent des bienfaits relaxants et thérapeutiques des sources thermales. D'après le Nihon shoki (日本書紀), l'une des rares sources écrites sur les origines du Japon, achevé en 720, le premier Onsen aurait été créé en 631. De nos jours, plus de 3000 stations thermales sont aménagées. Beaucoup d'hôtels possèdent leur propre Onsen, soit naturel, soit artificiel.
Depuis que le Japon s'est ouvert à l'Occident, la mixité qui était la règle à l'origine a quasiment disparu. C'est le cas dans notre hôtel, qui dispose d’espaces de baignade strictement séparés pour les hommes et les femmes.
Par pudeur probablement, les guides touristiques sont avares de détails, mettant l'accent sur les bienfaits des eaux chaudes fortement minéralisées, et oubliant les aspects pratiques. Car dans un Onsen on doit se baigner entièrement nu et respecter un certain rituel. Après s'être dévêtu dans l'espace vestiaire, on rejoint un espace dans lequel on doit se doucher assis sur un petit tabouret, puis éliminer soigneusement toute trace de savon car polluer l'eau du bain est un sacrilège. Les Onsens n’échappent pas à la fameuse politesse japonaise: ce sont des lieux de repos et de détente - adopter un comportement discret et silencieux dans l'espace de baignade est la règle, néanmoins parfois mise à mal dans les régions touristiques.
L'accès aux personnes tatouées est en principe interdit, les tatouages évoquant le crime organisé dans ce pays. Pas d'autre choix que d'enlever le symbole Kef, tatoué en haut de ma cuisse gauche. Quel dommage! Je venais juste de refaire ce tatouage temporaire. Solution de fortune, la lotion démaquillante en est venue à bout, mais non sans mal.
J'ai lu qu'ici un sexe épilé rappelle les films pornographiques ou la prostitution et c'est donc très mal vu. En effet, pour échapper aux lois de censure qui interdisaient de montrer toute pilosité pubienne, l'industrie du film pornographique a eu recours à l'épilation.
J'ignore si cette association est la vraie raison, mais force est de constater que je suis la seule à avoir la chatte intégralement épilée.
Les japonaises sont bien foutues – question d’alimentation probablement – et je pense que mon Maître apprécierait d’être à ma place. Je l’imagine du côté homme, entouré d’hommes nus. Lui qui est 100% hétéro, le pauvre… Et je m’efforce de réprimer le fou rire que je sens arriver, histoire de ne pas me faire remarquer.
Après un moment bien relaxant dans ces eaux très chaudes, je retrouve par hasard mon Maître dans l'ascenseur. Lui aussi vient juste de quitter l’Onsen. Quelle synchronisation ! Nous sommes vraiment faits pour être ensemble.
- "Vous avez pu mater de belles bites, Maître ?"
Je n'ai pas pu m'empêcher de le charrier... Et je suis prise d'un fou rire.
- "Pfff... Tu es bête", me répond-il, ne pouvant néanmoins réprimer un sourire.
Episode 2 : Le sens de l’accueil
A peine la porte de notre chambre ouverte, la télévision s'allume automatiquement, avec un niveau sonore particulièrement agressif, et bascule sur une chaîne française. L’ouverture de la porte déclenche la mise sous tension et le choix de la chaîne est préréglé en fonctions de nationalité des clients. Cela part certainement d’une bonne intention – faire en sorte que le client se sente comme chez lui – mais qu’est-ce que c’est agaçant !
La nudité intégrale en présence de mon Maître est la règle, hormis dans les espaces publics bien sûr. Pendant que je me déshabille, mon Maître se bat avec la télécommande dont toutes les touches sont gravées en japonais.
Un médecin de plateau vante les mérites de la zébralisation (*). La journaliste en rajoute une couche, en fustigeant les ignorants, fascistes, anti-science, qui sont encore réticents à se rendre dans leur centre de zébralysation.
- "Putain! Mais comment est-ce qu’on arrête ce bazar!"
Il est très rare que mon Maître, si philosophe habituellement, montre des signes d'agacement.
- "S'il vous plaît, Maître, laissez-moi faire"
C'est toujours utile d'avoir une soumise sous la main, prête à rendre service !
Voilà mon téléphone qui sonne maintenant. C'est mon médecin traitant.
- "Je vois que vous n'êtes pas encore zébralysée. J'ai pu vous obtenir un rendez-vous dans le centre de zébralysation pour mardi à 10h".
Technique commerciale bien connue: mettre l'interlocuteur devant le fait accompli et dans une situation dans laquelle il se sentira mal à l'aise, voire honteux, de refuser.
"Mais c'est du harcèlement!" me dis-je. Par chance, j'ai une bonne excuse cette fois: je suis à plus de 10 000 km du centre de zébralysation.
- "D'accord" répond-il, sur le ton agacé du vendeur qui a raté son affaire. "Mais il ne faudra pas tarder à vous mettre en règle - d'ailleurs ce sera bientôt obligatoire sous peine d'amende".
J'entends mon Maître ironiser à voix basse pendant que j'assure que j’y pense et que je ferai le nécessaire – histoire de mettre un terme à la conversation.
- "Menteuse..."
- "Une bonne fessée et la bite dans la cul, voilà ce que tu mérites"
Sacrée fessée en effet ! Visiblement, les eaux minérales de l'Onsen l'ont bien revigoré.
J'imagine la tête de mon médecin s'il apprenait que je suis déjà doublement zébralysée, qui plus est avec les derniers spécimens naturels. Malheureusement, l'espèce s'éteindra en moi. Je ne crois plus guère que la reproduction, dans laquelle nous avions mis tant d’espoirs, réussira, et je me sens responsable de cet échec.
Episode 3: Chienne esseulée devant l’Hôtel Riz-Carbone
Je ne fais pas la fière, assise seule sur ce banc, un peu en retrait de l'entrée du prestigieux Hôtel Riz-Carbone.
- "Je dois rencontrer un membre du personnel", m'a dit mon Maître pendant qu'il attachait ma laisse à l'accoudoir et me déboutonnait le chemisier jusqu'au nombril, prenant bien soin de l'ouvrir un peu au delà des limites de la décence, laissant apparaître une bonne moitié de chaque téton. Moi qui ai souvent regretté d'avoir les tétons trop clairs et qui aimerait les avoir bien sombres, je me rends compte que cela a aussi un avantage. C'est plus discret...
C'est dans cet hôtel de luxe, sur les hauteurs de Nikkō, qu'un échantillon des princes qui nous gouvernent se sont rencontrés en marge du sommet du G7, en juin 2023. "G7 ministerial meeting on gender equality and women's empowerment" : l'égalité des genres et le féminisme idéologique sont des thèmes porteurs et fort utiles pour masquer des objectifs bien moins avouables. Surplombant le lac Chūzenji, l'hôtel bénéficie d'un cadre idyllique. Les rives du lac étaient très populaires au siècle dernier comme en témoignent de nombreux bâtiments bien préservés, parmi lesquels l'ancienne ambassade de France et de somptueuses résidences secondaires de diplomates.
Yeux baissés par timidité, mais cuisses écartées par obligation, je tente néanmoins de me faire la plus discrète possible.
C'était sans compter ce gros touriste américain, qui, à peine sorti de l'hôtel, ne manque pas de me remarquer.
"Hi guys! Are you on a leash?" me dit-il bruyamment.
Je marmonne une réponse incompréhensible, tout en rougissant.
Franchement, est-ce que j'ai une tête (des têtes?) de "guys" ?
Il se plante devant moi et me raconte une histoire à la con qui se veut drôle. Pitié… Mais faites-le taire !
Un puissant instinct me pousse à resserrer les cuisses et à me reboutonner, mais je mets un point d'honneur à respecter les ordres du Maître, y compris, et peut-être encore plus, quand il n'est pas là pour me contrôler. Alors, je mets toute ma force de volonté pour résister à cette réaction instinctive.
Ouf ! Le vulgaire personnage n'insiste pas et s'éloigne, sans doute refroidi par mon peu d'enthousiasme à lui répondre et à rire de son histoire sans queue ni tête.
Mes cuisses doivent être maintenues ouvertes en toutes circonstances et le fait que les sous-vêtements me soient interdits n'y change rien. C'est la règle. C'est Sa Loi.
Le temps semble toujours s'écouler à une vitesse d'escargot dans certaines circonstances et comme par hasard surtout quand on voudrait qu’il accélère. Mais que fait mon Maître ? J'ai l'impression qu'il y passe des heures dans cet hôtel.
Eh ben ! Il en a mis du temps !
- "Mets-toi ça dans la chatte, c'est plus prudent. Sonia sera comblée par ce qu'il y a là dedans", me dit-il en me tendant une boule mémoire - version moderne des anciennes clés USB.
C'est vrai que l'on n'est jamais à l’abri d'une mauvaise rencontre avec une patrouille de défenseurs de la démocratie. Les miliciens peuvent être très zélés et sont habilités à contrôler nos effets personnels, mais il est peu probable qu'ils aillent jusqu'à une fouille intime - du moins tant que l'on n'attire pas trop l'attention.
- "Ca te dit de dormir ici la nuit prochaine ?"
700 à 6000 dollars la chambre, voilà qui n'est guère raisonnable... Eh oui ! On paye à présent en dollars au sein de la Suprême Alliance Démocratique. Les monnaies locales ont disparu. C’est le résultat d’un arrangement entre la Chine et les USA : pour l’une, en tant que berceau de la démocratie moderne, le privilège d’accueillir le siège du pouvoir fédéral, pour l’autre le contrôle de la monnaie.
J'ai parfois du mal à savoir si mon Maître est sérieux ou me fait marcher.
- "Malheureusement, nous n'avons pas la chance d'être logés aux frais du contribuable..." rajoute-t-il.
Dommage...
C'est tenue en laisse, jupe retroussée, qu’il me conduit sur le petit sentier, heureusement peu fréquenté, qui relie le luxueux hôtel aux chutes Kegon. Avec ses 97 mètres de haut, la grande cascade Kegon est l'une des plus hautes du Japon. Un petit plateau d'observation, équipé de bancs publics, permet d'avoir une belle vue sur les chutes. C'est sur l'un de ces bancs, assise aux côtés de mon Maître, toujours tenue en laisse, que j'observe la cascade, comme hypnotisée par le spectacle.
Une petite tape sur le sein gauche, puis sur le bas de ma jupe, me sort de ma contemplation. Oui, bien sûr, le banc est au bord de la plateforme, personne ne peut passer devant nous, alors... J'ai encore du mal à bien analyser chaque situation et à prendre de moi-même les bonnes initiatives. Je m'empresse d'ouvrir plus largement mon chemisier déboutonné, pour dégager entièrement mes mamelles et de remonter ma jupe pour exposer ma fente. Me voilà exhibée pour le plaisir de la déesse de la montagne... et pour celui de mon Maître !
Pas un mot n'est prononcé. Quoi de mieux que le silence pour apprécier les bruits de la nature, apprécier le bonheur de me trouver là, au bout de la laisse tenue par l'homme que j'aime. Est-ce qu'il a en ce moment des pensées similaires aux miennes? Est-il satisfait de sa chienne? Je l'espère. Mais il serait déplacé de lui demander.
On dirait que la cascade s’est mise en conformité avec les règles de politesse à la japonaise : pas de vacarme assourdissant mais un bruit agréable, presque relaxant. Comme si elle voulait rester discrète et respectueuse des visiteurs.
Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin et il est déjà temps de reprendre le bus pour Nikkō. Je garde mon collier d’esclave, mais, soulagement, la laisse m’est retirée. Je ne vais quand même pas prendre le bus tenue en laisse !
Episode 4: Retrouvailles inattendues sur le pont Shinkyo
Le bus descend à toute vitesse vers Nikkō, enchaînant les virages à 180 degrés. Je tente de filmer la spectaculaire descente sur cette vertigineuse route en lacets, mais j'ai très vite le tournis. Mon Maître prend le relais.
Pour me rassurer, il me dit que le chauffeur a certainement fait ce trajet des centaines de fois.
Certes ! - Mais...
- "Quand nous serons de retour à Tokyo, je te placerai pendant une journée dans un établissement spécialisé, pour y sucer des bites et donner du plaisir. Cela te fera du bien."
Est-ce qu'il me fait marcher? Je pose néanmoins des questions.
- "Ils ont un mur de bites, style glory hole. Tu y seras à l'œuvre toute la journée et si un client n'est pas satisfait, tu seras fouettée."
Je pense à 99% qu'il me fait marcher, mais il me reste 1% de doutes...
- "On va descendre au pont Shinkyo. Nous pourrons poursuivre jusqu'à l'hôtel à pied".
Le pont sacré Shinkyo marque l’entrée du sanctuaire shintoïste de Nikkō. Durant l’époque Edo (1603-1868), seuls le shogun et les messagers de la cour impériale étaient autorisés à l’emprunter. Le pont en lui-même est modeste, mais la vue, avec la brume et la montagne en arrière-plan est tout simplement magnifique.
Je suis affairée à prendre des photos de mon Maître sur le pont pour immortaliser notre passage en ce lieu historique, quand une voix dans mon dos me fait sursauter.
- "Streptomyces Avermitilis Inari !"
Je reconnais la voix du Professeur et le ton euphorique du scientifique qui vient de faire une immense découverte. Je me retourne instantanément et m’incline respectueusement.
- "Bonjour Monsieur le Professeur. Euh, pardon, bonjour Satoshi. Que faites-vous là?"
J'ai décidément du mal à l'appeler par son prénom, comme il me l'a demandé.
- "Je les ai baptisés Streptomyces Avermitilis Inari, en hommage à la déesse de la montagne. Il y en avait des quantités dans les prélèvements. C'est incroyable !"
à suivre
Contexte
(*) L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
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"Le transfert a réussi ! The transfer was successful ! " (*)
Je hurle ma joie à destination de mon Maître et de Sonia, en espérant qu'ils m'entendent.
Je perçois la voix lointaine de mon Maître venant du canot en contrebas.
"Bravo! Qui est l'hôte ? "
"C'est moi ! It's me ! "
J'ai un sourire jusqu'aux oreilles - j'espère qu'il le voit sur l'écran de contrôle.
Le vent s'est levé et fait un bruit d'enfer à flanc de falaise. Les félicitations de nos propriétaires sont à peine audibles mais on les sent appuyées.
Le soumis, qui vient de retrouver les sensations dans sa bite, est très excité et me demande la permission de jouir dans mon cul.
Je ne sais pas - ce n'est ni à moi, ni à lui de décider.
Sa voix porte plus que la mienne. D'un commun accord, c'est lui qui pose la question à nos propriétaires, pour nous deux.
L'accord ne tarde pas à venir. J'en suis heureuse - il l'a bien mérité. Moi je n'ai plus aucune sensation dans le cul - deux paires de zébralyvox, c'est radical... - mais j'aime donner du plaisir.
La descente à flanc de falaise est presque plus angoissante que la montée - je ne ferai pas cela tous les jours! Le soumis descend après moi. Il n'est plus en érection. Sa bite pendante et ses couilles se balancent joliment pendant la descente. Je n'arrive pas à en détacher mon regard. Mon Maître l'a bien remarqué. "Salope...", me dit-il affectueusement à l'oreille.
De retour dans la crique, mon Maître me prend par la main. Le contraste entre nos couleurs de peau, sublimé par la lumière très particulière du Nord, me fait penser au Yin et au Yang. Noir et blanc entrelacés, complémentarité du Maître et de l'esclave, lien fusionnel. Le bonheur m'envahit.
Sonia et son soumis s'éloignent discrètement, nous laissant seuls. Sonia est intelligente - elle a compris qu'à ce moment-là nous avons besoin de nous retrouver à deux, seuls au monde.
Nous nous asseyons sur deux rochers qui semblent avoir été placés là à dessein et philosophons. Mon Maître me fait penser à un vieux sage africain. Je bois ses paroles. Il m'écoute attentivement aussi. Je ne me suis jamais sentie autant aimée et valorisée que depuis que je suis sa chienne. Aucun mot ne saurait exprimer le bonheur que je ressens à être là, nue, face à cet homme que j'admire.
Comment expliquer ce lien si subtil ? Comment expliquer le bonheur d'être esclave de l’homme que l’on aime ? C'est impossible je crois.
Il me met la laisse, pour rejoindre la cavité vaginale dans laquelle nous retrouvons Sonia et son soumis. Sur le trajet, je l'informe de la sollicitation du jeune homme sur le ferry. Il décide de ne pas me punir – il admet que matériellement il m'eût été difficile de le contacter.
"Il te reste trois jours sur l'île - Profites-en et donne-lui du plaisir"
"Je ne peux pas rester avec vous, Maître ? "
"Il y a certaines choses que je ne peux pas te dire. C'est mieux pour ta sécurité. Obéis et ne pose pas de questions ! "
Oui, bien sûr, j'obéirai. Sans discuter. Je l'ai toujours fait.
J'ai juste le temps de dire au revoir à Sonia et à son esclave. Mon Maître me rend le sac à dos contenant mes vêtements et m'ordonne de rejoindre mon hôtel.
De retour à l'hôtel, j'imprime le formulaire d'évaluation que j'avais sur mon PC et j'expédie un mail au jeune homme pour lui proposer de visiter l'île ensemble comme il le souhaitait.
Je me réveille brutalement au milieu de la nuit et j'ai l'illumination. Mon cerveau a travaillé pendant mon sommeil. Depuis le début j'étais intriguée par le ballet parfaitement synchronisé du zébralyvox gémellaire dans le flacon. Il scannait son environnement, c'est sûr! Le couple de zébralyvox agit comme un capteur différentiel, et en se déplaçant en parfaite synchronisation il se construit une image tridimensionnelle de l'activité électrique dans son voisinage. C'est comme cela qu'il détecte précisément les foyers de douleur. C'est aussi comme cela, sans doute, qu'il détecte la présence d'autres zébralyvox. C'est pour cela qu'il a une grosse tête - enfin, deux grosses têtes... Deux cerveaux intriqués, dédiés à la localisation fine des impulsions nerveuses.
La grande quantité d'images Sonar géolocalisées mais de mauvaise qualité dont Sonia dispose, ne pourrais-je pas les traiter selon le même principe pour, par corrélation, calculer des images plus précises ?
Le lendemain matin je trouve sur mon mail une réponse enthousiaste du jeune homme, qui me propose un lieu de rendez-vous où se retrouver pour visiter l'île ensemble.
Je passe le prendre à l'endroit indiqué. Avec les contrôles aléatoires liés au fucking pass, il faut être très prudent. Je ne peux pas lui proposer de venir me baiser à l'hôtel. Un employé de la réception risquerait de nous dénoncer à la milice. Et puis, les échanges par mail sont peut-être surveillés. Il faut faire très attention à ce que l'on écrit.
Je m'habille en pute, un peu comme sur le ferry, mais en plus explicite - ordre du Maître. Sans culotte bien sûr. Collier d'esclave au cou. Autant qu'il n'ait aucun doute sur le fait que - certes nous nous retrouvons pour visiter l'île - mais aussi qu'il pourra visiter mes orifices sur simple demande. Je me lubrifie le cul avant de partir.
Dès qu'il monte dans ma voiture, il remarque les lacérations du fouet et des ronces sur mes jambes, et m'interroge. L'occasion pour moi de lui expliquer, en rougissant, que je suis esclave, propriété d'un Maître, et ici avec son accord. Ouf! Ce n'était pas facile à dire pour moi qui suis une grande timide, mais comme ça c'est fait, les choses sont claires.
Après avoir visité les ruines spectaculaires du château Hammershus, qui surplombe la Baltique, nous trouvons une table de pique-nique à proximité. Je meurs de faim, n'ayant rien mangé à l'hôtel ni la veille au soir, ni au petit déjeuner. Les insectes ça me dégoûte, mais malheureusement au sein de la Suprême Alliance Démocratique cela devient de plus en plus difficile de trouver de la nourriture traditionnelle.
Il a apporté un panier de pique-nique et pendant que nous déjeunons il finit de me raconter l'histoire millénaire et sanguinaire de ce château. Il est vraiment sympa. Je l'apprécie de plus en plus.
L'amélioration des images Sonar me trotte dans la tête. Après le pique-nique, je lui demande de m'accorder 30 minutes. Je sors mon PC portable pour tester une idée. Je suis comme ça. Quand une idée me trotte dans la tête, cela tourne vite à l’obsession. Il me pose des questions. Il s'intéresse. Je ne peux pas tout dire, mais juste un peu, ayant du mal à modérer mon enthousiasme. J'adore parler de ce qui me passionne - mais je ne dois pas être trop bavarde. Il me parle du lycée et des études scientifiques qu'il envisage. Tiens donc! Les sciences cela n'intéresse plus les jeunes en Occident. Il me plaît vraiment ce gars.
Alors que je m'apprêtais à remonter dans la voiture, il me prend par la main et m'attire dans un coin un peu isolé, au milieu des ruines. Le site n'est pas fréquenté en cette saison, heureusement. Je sais ce qui va m'arriver, et j'en mouille déjà.
Il me retire lentement ma robe, tout en m'embrassant, découvrant les marques de fouet qui me strient tout le corps. Il a un petit mouvement de recul, certainement surpris par ces marques qui ne laissent aucun doute sur la sévérité avec laquelle j'ai été fouettée. Puis il me complimente. Je ne sais pas si c'est pour mon physique ou pour la perverse beauté de mes marques.
Il m'avoue que je suis la première femme qu'il va baiser et qu'il est un peu intimidé. Cela m'intimide aussi. Je vais essayer d'être à la hauteur et de ne pas le décevoir. Je lui dit de ne surtout pas s'embarrasser de préliminaires, de ne pas se soucier de mon plaisir. Mon Maître me baise ou m’encule toujours directement, sans ménagement, alors j'ai l'habitude, et j'adore être prise ainsi. Et puis, je suis déjà bien trempée. Je lui dit que mon cul est déjà lubrifié, s'il souhaite me prendre par là. Mais il préfère la chatte pour une première expérience. Tant mieux, moi aussi. Je jouis très vite et enchaîne orgasme sur orgasme. Visiblement, le zébralyvox n'a pas encore regagné mon clitoris.
Trois jours de tourisme agréable, en bonne compagnie, et de baise. On peut imaginer pire comme séjour! Cela m'aide à supporter l'absence de mon Maître.
Il a eu l’occasion de visiter mes trois orifices. Je lui demande lequel il préfère. La chatte ! Dommage que ce ne soit pas l’avis de mon Maître, qui me la met presque toujours dans le cul… Avant de le quitter je lui tends le formulaire d'évaluation, en lui demandant s'il veut bien le compléter, le signer et le mettre sous enveloppe cachetée que je remettrai à mon Maître. Je sais que si mon évaluation est mauvaise, je serai sévèrement punie. Mais je suis confiante - je suis certaine qu'il a passé un bon moment. S'il est honnête - ce que je crois - il devrait bien me noter.
Réveil de bon matin. Ce sont mes dernière heures sur l’île. La veille au soir j'ai travaillé jusqu'à très tard pour écrire un programme de traitement des images Sonar. Je n'ai aucun moyen de joindre Sonia. Je me lève très tôt et j’emprunte le sentier côtier au pas de course, pour redescendre dans la crique, en espérant qu'elle y est encore.
Je me déshabille entièrement avant d'entrer dans la cavité vaginale. J'ignore quelles sont les idées de Sonia, mais visiblement son esclave est toujours nu en sa présence, alors je ne voudrais pas commettre d'impair. Nous sommes complices, mais cela n'autorise pas les comportements déplacés. Même si je ne lui appartiens pas, elle est Dominatrice, je suis esclave. Me présenter habillée devant elle me semblerait impoli.
Je n'entends aucun bruit. Probablement qu'elle est déjà partie. Ah non! J’aperçois la lumière.
"Hello Ysideulte ! What are you doing here ? "
Son soumis, nu, me salue également. Sa bite est emprisonnée dans une minuscule cage métallique, dont l'intérieur est hérissé de longs pics acérés destinés à dissuader l'érection. Le pauvre... C'est inhumain de traiter un homme de cette manière, me dis-je.
Le temps d'expliquer mon idée à Sonia et de lui transférer les programmes que j'ai écrits, je dois déjà repartir si je ne veux pas rater le ferry.
Je n'ai pas le temps d’attendre les résultats du traitement, qui va nécessiter plusieurs heures de calcul. Espérons que ce sera concluant et que Sonia pourra en tirer quelque chose.
En guise d'au-revoir, elle m'embrasse tendrement tout en glissant ses doigts dans ma fente. Elle sait y faire... Je ne tarde pas à jouir. Décidément, moi qui me croyais 100% hétéro, mes convictions sont fortement ébranlées.
Elle me félicite chaleureusement de m'être présentée nue. "You behave in a manner that honours your Owner !". Visiblement elle ne me tient pas rigueur de l'écart de comportement que j'ai eu. Emportée par mon enthousiasme quand je lui expliquais comment utiliser mon programme je me suis adressée à elle comme à une amie... "Lower your eyes, slavegirl ! No sustained eye contact without permission" m'interrompit-elle sèchement au milieu de mes explications.
Je reprends la route. Traversée sur le ferry, puis direction la Bretagne ! 20 heures de route ! Je fais une étape en Allemagne - J'ai trop peur de m'endormir.
Sur la route, les friches industrielles témoignent de l'effondrement de l'économie Allemande, autrefois florissante. Depuis le sabotage de 2022, la rupture irréversible de l'approvisionnement en énergie bon marché au profit du coûteux gaz de schiste américain a sonné le glas des industries qui faisaient autrefois la fierté du pays.
L'hôtel est de bon standing et je peux profiter d'un petit déjeuner classique. Cela fait du bien avant de reprendre la route.
En France, sur l’autoroute, les panneaux lumineux disposés à intervalles réguliers répètent jusqu’à l’écœurement le message du moment "Tous zébralysés - Tous protégés".
La campagne politico-médiatique en faveur de l'injection du zébralyvox génétiquement modifié vendu par la filiale pharmaceutique de la BAFC (Bill & Alvértos Fucking Corporation) bat son plein. L’injection fut d'abord réservée aux personnes âgées ou souffrantes. C'est maintenant la totalité de la population qui est incitée à se faire injecter le coûteux symbiote. Quelques complotistes, promptement censurés et conduits illico-presto en hôpital psychiatrique, ont prétendu que sans tarder des mesures plus coercitives seront mises en places. Mais ce sont des élucubrations sans fondements, assurent les fact-checkers, qui ont interrogé le Ministère de la Vérité.
Si mon hypothèse est la bonne, le zébralyvox OGM, stérile, cloné, privé de son jumeau, est incapable de localiser correctement les sources de douleur, incapable de scanner son environnement. Aveugle, privé d'énergie électrique, une mort rapide l'attend. Déjà, des messages commencent à circuler comme quoi la zébralysation devra être renouvelée fréquemment. Pour remplacer les symbiotes morts, sans doute... Et pour remplir par la même occasion les caisses de la BAFC.
Près de chez moi, un centre de zébralysation vient d'ouvrir, comme partout dans le pays.
C'est presque en larmes et désespérée par l'avenir qui nous attend que je sors la clé de ma maison. Mais la porte s'ouvre devant moi.
" Maître ! "
Enfin un rayon de soleil dans cette déprimante société démocratique.
à suivre
(*) Contexte
L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
Dans mes articles, les quelques paroles laissées en langue étrangère (anglais, danois) ne sont pas indispensables à la compréhension de l'histoire. C'est un choix volontaire pour mieux coller à la réalité. Si vous souhaitez une traduction de certaines paroles n'hésitez pas à me le demander dans le champ de commentaires (un traducteur automatique peut aussi faire le job).
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« Tu as passé une bonne nuit, salope ? »
Ces mots me sont déjà presque familiers et me réchauffent le cœur.
« Ouvre la bouche ! »
Qu’il est agréable de goûter au sperme du Maître dès le réveil !
Oui, j’ai bien dormi dans cette cage pourtant inconfortable.
Dehors il pleut à verse ce qui renforce ma sensation d’être dans un cocon, sous la protection de mon Maître. Esclave, mais heureuse.
C’est au tour de Sonia d’entrer dans le salon.
« Hello Ysideulte ! Nice day, isn’t it ? »
Elle me fait sourire cette fois. Qu’il pleuve ou qu’il vente, c’est toujours un « Nice day » pour Sonia. Ah ces British…
Je n’ai que de vagues souvenirs de la veille. Je me suis masturbée jusqu’à épuisement… et puis j’ai appelé mon Maître pour lui annoncer le résultat de ma réflexion. Il n’a pas eu l’air surpris. Comment aurait-il pu l’être d’ailleurs. Notre relation démarre à peine et elle est déjà si puissante. Je lis dans ses pensées, il lit dans les miennes. Pas vraiment bien sûr, mais c’est tout comme.
J’ai été sortie de ma cage et fessée sur le champ. C’est seulement lorsque mes fesses furent jugées suffisamment écarlates qu’il m’a accordé un plaisir qu’il sait que j’adore. Chevaucher la bite. « Dans la chatte ! », m’a-t-il ordonné alors que je m’apprêtais maladroitement à m’empaler le cul, les fesses en feu.
« Profites-en bien, tu ne l’auras pas souvent dans la chatte ». J’ai joui comme une malade… Après ça, mes souvenirs sont vagues.
Nouveau jour, nouvelles aventures, me dis-je pour me donner du courage. Mon Maître me libère de ma cage et je peux profiter d’une certaine liberté, me refaire une beauté.
Il allume la télévision. Comme dans chaque foyer, le décodeur est équipé d’une micro-caméra destinée à contrôler le respect des nouvelles obligations. Trente minutes quotidiennes d’écoute d’une chaîne d’information, c’est le minimum légal sous peine d’amende. Chacun peut choisir librement sa chaîne d’information préférée – nous sommes en démocratie.
L’inauguration du ministère de la vérité, en charge de combattre la désinformation et les fake news, est le sujet du jour. Le nouveau ministre fait la tournée des plateaux.
« C’est pour nous un grand honneur de vous recevoir, Monsieur V. Les français ont été impressionnés par l’intégrité et le courage dont vous avez fait preuve pendant la pandémie. C’est donc sans grande surprise qu’ils plébiscitent votre nomination. Qui d’autre que vous avait l’étoffe pour prendre en charge ce ministère vital pour l’avenir de notre démocratie ».
« Quel lèche-cul ce journaliste ! » me dis-je tout haut, provoquant le sourire amusé de mon Maître.
« Allez, va t’installer au lieu de râler ! »
Je monte à l’étage et m’installe sur le fauteuil d’examen gynéco. J’attends. Je me perds dans mes pensées. Je suis contente que mon Maître ait finalement décidé de se charger de l’affaire. Cela donne du sens à l’opération, un peu comme un marquage au fer. La symbolique c’est important. In fine, tout se passe dans la tête. Toujours. J’en arrive presque à espérer que ce sera douloureux, pour lui montrer que je peux souffrir pour lui, que je suis une esclave courageuse. Mais en réalité je n’ai aucune idée de ce que je vais ressentir.
Je ne saisis que quelques bribes de l’interview en cours. Le son est lointain, étouffé. « Comment osez-vous ! » crois-je comprendre à un moment. Réaction d’agacement à une question pas tout-à-fait « dans les clous » posée par un membre du public, pourtant soigneusement sélectionné ? Malgré le filtrage, quelques dérapages arrivent encore. Rarement.
Mon Maître me rejoint, accompagné de Sonia. Je ressens à nouveau de la honte à me retrouver dans cette position en présence d’une autre femme. Elle me demande si elle peut rester. Je commence à répondre quand mon Maître m’interrompt sèchement d’une bonne gifle. « Ce n’est pas à toi de décider ! » Oui, c’est sûr. Il me faudra encore du temps pour acquérir les bons réflexes.
Pendant qu’il m’attache solidement, je sens l’excitation monter. Je ne peux pas voir mon clitoris mais je me doute qu’il est gonflé à bloc. Tant mieux, cela facilitera les choses.
Le liquide est versé très lentement sur ma chatte, chaque goutte provoquant un petit frisson qui me parcourt le bas-ventre. Puis les minutes passent et je ne ressens rien de spécial. Je crois que c’est un échec, malheureusement.
Je m’apprête à interroger Sonia quand une violente douleur me fait sursauter et hurler. J’ai l’impression que l’on m’a transpercé le clitoris avec une aiguille électrifiée. C’est atroce ! Ce fut bref mais ça m’a fait un mal de chien. Heureusement que je suis solidement attachée ! Puis plus rien, aucune sensation.
Mon Maître me détache et m’aide à me redresser un peu pour que je puisse examiner ma chatte. J’ai une érection carabinée, comme je le pressentais. J’observe deux minuscules gouttes de sang qui perlent à l’extrémité de mon clitoris, là où le zébralyvox gémellaire s’est introduit.
Avec la permission de mon Maître, je me touche délicatement, mais je n’ai aucune sensation. C’est très étrange d’être en érection et de ne rien ressentir au toucher.
Mon Maître me laisse seule avec Sonia, qui me fournit quelques informations techniques. Cela me rassure. Pour un esprit cartésien comme le mien, il n’y a rien de plus angoissant que l’ignorance. Puis nous rejoignons mon Maître au salon.
Je m’attendais à être remise en cage, mais mon Maître, fin gastronome, m’annonce qu’il nous invite au restaurant pour célébrer ce moment « historique ».
Nous y allons à pied.
La pluie s’est arrêtée et les nuages ont disparu. L’air est cristallin. « Respire, tu es en Auvergne ! » me dit mon Maître, comme pour commenter le magnifique paysage qui s’étend sous nos yeux. La légère brise sur mon visage et mes jambes nues me procure une sensation de bien être.
L’air frais qui s’engouffre sous ma robe ultra-courte me rappelle si besoin était que je ne porte pas de culotte, ainsi que l’exige mon Maître.
« Il va falloir marcher ! » dit mon Maître, comme pour s’excuser de ne pouvoir sortir l’Aston Martin. Trop risqué, avec ces caméras de surveillance partout. Mieux vaut être prudents depuis notre mésaventure avec les Brigades de Défense de la Démocratie. Et puis, l’autobus non plus n’est pas une option envisageable : Sonia ne peut pas prendre le risque de présenter son pass carbone, désormais obligatoire pour l’accès aux transports en commun. Ce serait l’assurance de voir débarquer les BDD illico-presto.
On dirait que Sonia s’est coiffée avec un pétard. J'ai du mal à retenir un fou rire à chaque fois que je la regarde. Ses cheveux ébouriffés masquent son visage. Bonne stratégie pour minimiser le risque d’être reconnue, mais il faut oser sortir comme ça. Femme étonnante, vraiment…
Nous descendons à pied jusqu'à l’entrée du village, où se situe l’un des derniers restaurants gastronomiques encore en activité. Le chef s’est installé dans cette région il y a une trentaine d’années, pris d’un coup de foudre pour la beauté du site. Comme bien d’autres avant lui, il va bientôt fermer, sous la pression des nouvelles normes environnementales. L’établissement va être repris par la chaîne Mac Cricket. Partout dans le village, des affiches vantent déjà la réputation rapidement acquise de la chaîne, et son désormais célèbre slogan « Je mange chez Mac Cricket et la température de la planète descend ». La chaîne soigne son image haut de gamme destinée à attirer la jeunesse branchée et soucieuse du climat : farandole d’insectes du terroir, hâchis parmentier de criquets et son coulis d’asticots, sabayon régal nappé d’ailes de drosophiles, … Tous ces délices sont à la carte et sont très appréciés.
Nous devons faire de nombreux détours pour éviter les caméras de surveillance – on n’est jamais trop prudents. Quelques chemins ne sont pas encore équipés – pour combien de temps ?
La pente est raide. Il va falloir remonter tout cela au retour, me dis-je, et avec les hauts talons obligatoires pour l’esclave sexuelle que je suis à présent c’est dur.
Plaisir des yeux annonçant le plaisir des papilles, me dis-je en découvrant l’entrée que le serveur nous apporte, tout en zieutant sur mes cuisses nues que je n’ai d’autre choix que de maintenir ouvertes – ordre du Maître. C’est beau ! Tant de savoir faire qui va disparaître. Quel gâchis.
La conversation est agréable et détendue. Mais j’ai du mal à être dans l’instant présent, car la même pensée me revient en permanence à l’esprit. Le zébralyvox est-il toujours là ? Il faut que j’en aie le cœur net. Je prends mon courage à deux mains et demande à mon Maître la permission de me rendre aux toilettes, en lui expliquant la raison. « Pas question! Masturbe-toi ici». J'ai perdu une occasion de me taire! J'essaie de le faire discrètement, mais difficile d'échapper aux yeux des serveurs. Je suis encore en érection, comme je le pressentais – mon Maître a bien raison de me traiter de salope - mais je ne ressens absolument rien au toucher. Je me masturbe un peu plus vigoureusement, mais rien. Le zebralyvox gémellaire est discret, mais redoutable d’efficacité ! En ce qui le concerne le slogan « Sûr et efficace » ne serait pas usurpé !
De retour dans la conversation, je tente à nouveau d’interroger Sonia. Quel est le plan ? Que suis-je supposée faire à l’avenir ? Comment pourrais-je l’aider efficacement ? Elle reste bien évasive, me faisant gentiment comprendre qu’elle ne peut pas m’en dire plus.
Tout cela ne me rassure guère. Et s’il n’y avait pas de plan ? Et si Sonia naviguait à vue ?
Mais finalement quelle importance ? Que puis-je faire d’autre que de garder espoir, même s’il est bien maigre. Ne suis-je pas lâche de toujours compter sur elle ? Et si c'était à moi, l'esclave, de prendre la relève à présent ? Peut-être que c'est ce qu'elle veut me faire comprendre sans oser me le dire.
Sonia me tend un objet qui ressemble vaguement à une carte de crédit. Sur sa surface est imprimée en miniature la photographie d’un document visiblement très ancien, qu’il ne m’a pas été difficile de reconnaître tant il est caractéristique. Magna Carta, la grande charte des libertés. L’un des nombreux textes anciens désormais censurés, car jugé subversif et dangereux pour la démocratie. « Think about it when you feel there is no hope left. It’s yours, now » me dit-elle, comme en écho aux doutes qui m’assaillaient.
A suivre.
Post-scriptum :
Si ce texte a éveillé votre curiosité et que vous souhaitez en découvrir le contexte social et humain, la liste de mes articles précédents se trouve ici :
https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/
(à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication)
Origine de l’illustration (libre de droits) : Dr John Campbell https://drjohncampbell.co.uk/
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Je ne suis pas très rassurée, nue sur cette aire d'autoroute à la tombée de la nuit [1]. Tout en scrutant la voie d'entrée, craintive, je me dépêche de me diriger vers les toilettes, espérant y trouver un refuge provisoire.
J'entends mon Maître qui m'interpelle: "Qu'est-ce que tu fais?"
Tétanisée, je reviens vers lui.
Je me prends une gifle qui me fait presque trébucher, puis une deuxième.
"Va pisser dans les toilettes des hommes, comme une salope. C'est là qu'est ta place."
J'essaie péniblement de pisser, debout devant l'urinoir.
Mais je suis tétanisée. Pas une seule goutte ne sort. Pourtant j'avais très envie.
Un jeune homme entre et me dit bonsoir d'un air gêné, certainement surpris de tomber sur une femme nue ici. Je suis bien plus gênée que lui, mais je lui réponds "Bonsoir, Monsieur" pour me donner une contenance.
"Bonsoir Monsieur!" Qu'est-ce que c'est con comme réponse dans de telles circonstances...
J'essaie encore de forcer pour vider ma vessie, mais rien à faire. Je laisse tomber, je n'y arriverai pas, encore moins maintenant, la situation est trop gênante. Tant pis, je vais rester avec la vessie pleine.
Il ressort rapidement. Ouf!
Je ne m'étais même pas rendue compte que mon Maître l'avait suivi de peu, sans doute pour assurer ma protection au cas où, et se tenait discrètement dans la pénombre.
Je me tiens debout avec les pieds à environ 60 cm l'un de l'autre, utilisant un index de chaque main pour écarter mes petites lèvres, tirant doucement vers l'avant tout en exerçant une pression uniforme pour exposer l'urètre. Basculant le bassin vers l'avant, essayant de me décontracter - pas facile de lâcher prise quand on est observée - je n'y arrive malheureusement pas.
Je m'attendais à un "dépêche-toi, on n'a pas toute la nuit!" mais au contraire mon Maître me parle doucement, d'une voix apaisante, pour m'encourager. Finalement, j'y arrive, et sans en mettre à côté! Félicitations de mon Maître. Je suis plutôt fière de moi.
C'est revigorée et confiante que je monte dans la voiture. Les félicitations de mon Maître m'ont dopée !
Nous roulons en silence et je me perds dans mes pensées. J'apprécie que mon Maître ne soit pas trop bavard, tout comme moi. Les flots de paroles me saoulent quand ils viennent à un moment où j'ai besoin de sérénité.
Une brutale décélération me sort de mon nuage. Mon Maître vient de piler sur l'autoroute.
Un bouchon en formation, une fumée épaisse, des cris et des explosions,...
Les Brigades de Défense de la Démocratie sont en train de démanteler un barrage et de tabasser les manifestants.
La voie sera libre sans tarder. Ces gens-là ne font pas dans la dentelle.
Une femme, le visage en sang, tente de s'échapper en courant. Elle fait tomber un objet qu'elle tenait à la main.
Mon Maître ouvre la vitre et l'appelle, mais au lieu de monter dans la voiture, elle retourne chercher l'objet. "Quelle conne!" me dis-je. Elle va se faire prendre et nous avec.
Trois miliciens armés de matraques arrivent vers nous en courant.
Elle a juste le temps de monter. Mon Maître enclenche la marche arrière et recule à toute vitesse pour prendre la sortie que nous venions juste de passer. C'était moins une.
Une voiture nous prend en chasse après la sortie, mais est vite semée. La vieille Aston Martin a encore de sacrées ressources dans le ventre. J'ai l'impression d'être aux côtés de 007 !
Mon solde de crédit social étant dans le négatif, je risquais gros si j'étais tombée entre les mains des miliciens. Ne pas faire partie des citoyens exemplaires est très mal vu par les temps qui courent.
Depuis la loi sur le retrait ciblé des permis de conduire [1], des manifestations ont semé le trouble au sein de la fédération des grandes démocraties. Pourtant, les experts ont publié plusieurs tribunes dans la presse pour expliquer les bases scientifiques de cette loi et fustiger les quelques groupuscules anti-science qui refusent encore de jouer collectif. Les meutes de fact-checkers ont ridiculisé ceux qui tentaient de contredire la science officielle.
Des bruits courent comme quoi des policiers, plus nombreux qu'on ne le croit, auraient des états d'âme, voire rejoindraient clandestinement les manifestants. C'est sans doute cela qui a conduit à la création de milices citoyennes, les Brigades de Défense de la Démocratie, le gouvernement n'ayant plus qu'une confiance très modérée dans sa police.
Les journalistes ne tarissent pas d'éloges sur ces citoyens courageux qui prennent des risques pour défendre nos belles valeurs progressistes, et fustigent ceux qui non contents d'avoir mis leurs concitoyens en danger en refusant de "se protéger et protéger les autres", voudraient à présent continuer à emprunter les routes en faisant fi du danger qu'ils constituent pour les autres usagers.
Ce message quotidiennement répété a renforcé la haine de la population à leur égard, et l'admiration pour les miliciens. L'afflux de candidatures dans les bureaux de recrutement a été massif.
Les miliciens ne sont pas rémunérés, mais reçoivent un bel uniforme dont ils sont très fiers et qui leur donne un air de policier britannique du siècle dernier. Au-delà de la répression des manifestations, ils jouent un rôle crucial dans la prévention du crime : implantés dans chaque quartier, ils reçoivent cordialement et discrètement les citoyens qui souhaitent faire leur devoir en dénonçant les individus dangereux, soupçonnés de ne pas adhérer pleinement aux valeurs démocratiques ou de trop réfléchir. « Des gens bien plus intelligents que vous savent ce qui est bon pour vous ». Tel est l’adage que tout bon citoyen doit suivre. « Nous sommes en démocratie, bon sang ! Ceux qui ont des doutes sont forcément des individus louches. ». Tels sont les mots de Christophe B., éditorialiste très en vogue.
Je me retourne vers notre passagère, pour m'enquérir de son état. Elle est en train d'examiner l'objet qu'elle a récupéré, une caméra semble-t-il, visiblement plus contrariée par l'état de cet objet complètement fracassé que par ses blessures.
Elle ne semble pas comprendre notre langue et me répond en anglais.
« Sonia E. !!?? », m’exclame-je.
Son visage ensanglanté n'est pas reconnaissable, mais j'ai immédiatement reconnu le timbre très particulier de sa voix.
Je comprends pourquoi elle a pris tous les risques pour récupérer sa caméra.
Elle me félicite pour mon collier d'esclave. Visiblement elle n'a pas besoin d'explications...
Oui, je suis très fière de porter ce collier. J'aimerais crier ma fierté en long, en large, et en travers, mais mon anglais approximatif m'empêche d'exprimer le fond de ma pensée. Dommage.
Nous arrivons au domicile de mon Maître. Une maison assez quelconque, mais avec un grand jardin clôturé. Voilà qui sera bien utile pour certaines pratiques perverses en extérieur...
Je pousse un hurlement en sortant de la voiture. Cet objet dans le cul, qui se rappelle à mon bon souvenir ! Je l'avais presque oublié, mais le mouvement... Bon sang, qu'est-ce que ça m'a fait mal ! J'essaie d'interpréter mes sensations, de deviner ce que c'est, quelle forme il a, mais c'est difficile.
A peine débarqués, nous nous affairons à prodiguer les premiers soins à notre invitée surprise.
Elle a pris de sacrés coups, la pauvre. Espérons qu'elle n'ait pas de fracture du crâne, mais malheureusement la conduire à l'hôpital serait bien trop risqué.
Décidément, rien ne se passe comme prévu.
J'en ai presque oublié que je suis complètement nue depuis l'arrêt sur l'aire d'autoroute.
Je suis tellement excitée d'avoir rencontré en vrai cette femme que j'admire. "Si seulement je pouvais avoir le centième de son courage", me dis-je. Pourtant elle semble si faible et si fragile... Qui aurait pu se douter qu'une si frêle créature fait trembler les élites au pouvoir?
Ses blessures nettoyées et pansées, nous nous dirigeons vers une grande salle très plaisante, moquette au mur, cheminée en pierre, … J'ai bien remarqué la cage, à peine dissimulée, à côté de la bibliothèque. Je sais très bien à qui elle est destinée.
Mon Maître n'avait pas prévu que nous ayons une invitée. La situation est assez gênante, mais Sonia semble à peine y prêter attention. Elle a tout compris.
Plus je parle avec elle et plus je ressens le mental d'acier qui se cache derrière son apparence fragile. Elle en a vu d'autres, certainement. Il en faut bien plus pour l'impressionner.
Mon Maître ne m'a pas donné d'ordre et pourtant j'ai compris. Je ne sais pas comment. L'intonation de sa voix? Il a simplement prononcé mon prénom et j'ai compris. « Dans la cage ! ». Oui, Maître, j'y vais, car là est ma place. Je referme la grille derrière moi. Elle se verrouille automatiquement, tel un piège. Des pensées contradictoires me traversent l'esprit, je suis tellement fière d'appartenir à cet homme, tellement heureuse d'être en cage pour son plaisir, et pourtant je me sens honteuse d'être là, nue, en cage, comme une chienne, en présence d’une autre femme.
Sonia me lance un sourire, que je ne sais comment interpréter. Encouragement? Moquerie? Complicité?
Mon Maître sort du salon en sa compagnie et éteint la lumière.
Je me retrouve seule dans le noir.
Les pensées me traversent l'esprit dans tous les sens. Où sont-ils allés? Que font-ils? Que se disent-ils?
Est-il possible que tout cela ait été combiné? Non, c'est invraisemblable.
Qu'est-ce que le temps est long quand on est seule, sans repère! Cette cage est vraiment inconfortable. L'espace est restreint. Les barreaux me font mal.
Et puis, je ne sais pas ce qui me prend tout à coup, mais je ne peux résister à l'envie de me masturber. Mon clitoris est en feu.
Pendant que mon esprit était occupé avec tous ces évènements inattendus, mon corps avait de toutes autres attentes, et c'est seulement maintenant que j'en prends conscience. Il ne me suffit que de quelques instants pour jouir intensément. J'étais comme une cocotte minute prête à exploser. A peine ais-je retrouvé mes esprits que je remets ça. De toutes façons, je n'ai rien à faire, et c'est tellement bon...
à suivre...
Référence
[1] La route de tous les dangers", article publié sur bdsm.fr le 18/12/2022,
https://www.bdsm.fr/blog/8274/La-route-de-tous-les-dangers/
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[Les nombres entre crochets renvoient aux références citées en fin de texte, qui peuvent éclairer le lecteur sur certains aspects évoqués]
Mon Maître sort un mètre ruban de sa poche et mesure mon tour de taille, sous l’œil intrigué, voire amusé, de certains passants. Instinctivement je bande mes abdominaux et je baisse la tête de honte, n’osant plus regarder autour de moi, et cherchant dans quelques cheveux la protection d’un bien dérisoire voile. Car même si la scène n’a rien de provocant ni d’ostentatoire, même si mon Maître est discret et que nous ne sommes pas en plein milieu du passage, je suis consciente que cela ne manque pas de susciter questionnement et amusement chez les témoins occasionnels. Puis c’est au tour de mes hanches et de ma poitrine d’être mesurées. "On reverra cela plus précisément quand tu seras nue".
Il semble satisfait et me dit que l’on va y aller, que je peux descendre du pèse-personne [1]. Alors que je m’apprête à le ramasser pour le remettre dans le sac à dos, une voix peu sympathique me fait sursauter. "Police Nationale. Contrôle du fucking pass [2]."
Je ne l'avais pas vu venir. "Je ne la baise pas..." répond mon Maître. "Nous sommes seulement de bons amis".
"Vous me prenez pour un demeuré?" répond le policier. "Pourquoi est-ce que la demoiselle porte ce genre de collier?"
Je me sens paralysée par le stress. Cette affaire va mal finir...
"C'est bon, c'est bon, je m'en occupe" dit son collègue, que je n'avais pas vu tout de suite.
Pendant que l'autre s'éloigne, il s’adresse à nous à voix basse "Désolé, on a des ordres. Soyez plus discrets si vous ne voulez pas vous attirer d'ennuis".
Alors que mon Maître le remercie, il nous dit sur un ton pessimiste "Ce n'est qu'un début. Soyez prudents à l’avenir."
Est-ce à ce moment-là que j'ai pris la décision qui fera de moi une hors-la-loi [2] ? Difficile à dire. Parmi une multitude de gouttes d'eau, laquelle est celle qui a fait déborder le vase ?
Mais je ne dois pas penser à cela maintenant. J'y penserai quand je serai de retour à la maison. Pour l'heure, je dois me concentrer. Donner satisfaction à mon Maître. Ne pas me laisser dépasser par mon esprit bouillonnant.
Je suis mon Maître jusqu’au parking. Sa voiture est garée tout au fond, dans une zone peu passante. Il ouvre la portière et me demande de me pencher en avant. Je m’exécute, les coudes posés sur le siège. Après avoir mis mon sac dans le coffre, il revient vers moi. Je sens un doigt qui appuie fermement dans le bas de mon dos. « Cambre-toi correctement ! ». J’essaie de corriger ma position, faisant reposer ma poitrine sur le siège au lieu des coudes, creusant mes reins. Cela tire à l’arrière de mes cuisses. Je manque visiblement de souplesse : c’est décidément un point qu’il faudra travailler. J’écarte davantage les jambes pour réduire la tension.
Ma robe est si courte que je me retrouve les fesses à l’air. Instinctivement, je la retrousse un peu plus, dégageant ma croupe, et j’écarte mes fesses avec les mains.
« Belle initiative, Salope ! Je suis fier de toi. Tu as bien retenu la leçon »
La voiture file sur l'autoroute. Impossible de me rappeler comment je me suis retrouvée là. Il y a deux secondes j'étais encore sur le parking, les fesses à l'air. Le trou. Trop d'émotions, trop de stress, mon esprit a dû déconnecter.
C'est angoissant d'avoir un trou de mémoire, comme si des minutes de ma vie avaient été effacées.
Pourtant, je me sens presque soulagée d'être là: le trac dans les jours précédents a été terrible, j'ai mal dormi, je ne suis pas au mieux de ma forme. Mais je dois tenir bon. Peut-être que finalement le plus dur a été fait: prendre la décision et m'y tenir. Ne pas renoncer au dernier moment, avant de monter dans l'avion. Ne pas me laisser submerger par la peur.
Mon Maître a été très clair: cette relation sera non consensuelle. J'ai goûté à mes derniers moments de liberté. Maintenant je vais obéir. Je suis une esclave. Je suis sa propriété.
"Non consensuelle"... Ces mots auraient dû me faire peur et pourtant je me sens presque sereine. Je lui fais confiance. Je sais qu'il n'abusera pas du pouvoir immense qu'il possède à présent. Je sais qu'au fond de lui c'est un homme bon. Je l'ai senti. J'en suis persuadée. Je me répète cela dans ma tête. Pourquoi? Ais-je encore un petit doute, encore besoin de me rassurer? Est-ce parce que je sais que je vais être fessée, giflée, fouettée, baisée comme une chienne ? Pourtant j'avais aimé quand il me l'avait annoncé, j'avais aimé cette franchise.
Il faut que j'arrête de cogiter. Alors je regarde le paysage défiler, j'essaie de faire le vide dans mon esprit. Je sens que mon clitoris est gonflé à bloc. La tension sexuelle est à son paroxysme. J'ai l'impression d'être à deux doigts d'avoir un orgasme spontané. Mon esprit cogite encore, mais visiblement mon corps n'a pas d'états d'âme. Cela me rassure.
J'ose jeter un rapide coup d’œil sur Mon Maître. Il semble heureux. L'expression de son visage est rassurante. Zut, il s'en est rendu compte. Je détourne le regard et baisse les yeux immédiatement. J'espère que je ne vais pas être punie pour avoir osé lever les yeux sur mon Maître. Il faudra que je sois plus prudente à l'avenir. Il faut vraiment que je me mette bien en tête que ma vie de femme libre fait partie du passé, que je suis une esclave à présent et que je dois me comporter comme telle.
Il me parle, avec gentillesse. Se pourrait-il qui ait senti cet immense besoin d'être rassurée?
Il m'incite à m'exprimer. Mais je ne suis pas une grande bavarde. Pourtant, quand on me branche sur certains sujets, je peux devenir intarissable. C’est bizarre la psychologie.
Je préfère éviter de lui parler de mes sentiments, de notre relation, de peur d'être submergée par mes émotions. Je lui raconte le décès soudain du jeune homme dans l'avion, qui m'a perturbée [1]. "Probablement qu'il ignorait les risques qu'il courait en prenant l'avion", lui dis-je. "S'il avait su, il aurait évité... C'est triste".
Puis, consciente que je n'ai pas choisi le sujet de discussion le plus réjouissant, je me permets de le taquiner en lui demandant si c'est pour m'impressionner qu'il a loué cette magnifique Aston Martin de collection pour venir me chercher. Ca le fait rire. Il sait que je ne suis pas attachée au paraître. Pourtant j'adore conduire et j'aurais bien aimé pouvoir prendre le volant de ce bijou, mais malheureusement mon permis de conduire m'a été retiré. Une étude de 2022, financée par le gouvernement Canadien, démontre que ceux qui ont refusé les injections salvatrices ont 72% de risques en plus d'être impliqués dans un accident de la route [3]. Cette étude a été ressortie par l'OMS et a fait tache d'huile dans les nations fondatrices de la suprême alliance démocratique [2]. Partout, le monde politico-médiatique s'est emballé et les appels ont fusé pour prendre d'urgence des mesures radicales afin d'écarter ces dangereux chauffards de nos routes. Les experts ont défilé sur les plateaux télé pour expliquer qu'il faut suivre le consensus scientifique et mettre les anti-science hors d'état de nuire.
Pendant que je parle, je sens soudain un objet dur qui me fait très mal au cul. Quand me l'a-t-il mis? Sur le parking, sans doute. Comment se fait-il que je ne l'ai pas ressenti avant? Je ne suis vraiment pas dans mon état normal. Mon cerveau filtre mes sensations. Est-ce un mécanisme de défense face au trop plein d'émotions? Dans mon enfance j'ai eu une méchante blessure au bras. Je n'ai rien senti tant que je n'ai pas regardé et quand je l'ai vue la douleur a surgi d'un coup et j'ai hurlé. Est-ce le même type de mécanisme?
On s'arrête sur une aire d'autoroute, très peu fréquentée. La journée touche à sa fin et il fait déjà un peu sombre. La voix de mon Maître est soudainement devenue plus dure. Il m'ordonne de retirer ma robe sur un ton qui me fait comprendre que je n'ai pas intérêt à l'obliger à répéter.
"Tu peux profiter des toilettes, mais ne traîne pas".
En temps normal j'aurais demandé à remettre ma robe, mais je sais qu'une telle insolence ne serait pas tolérée de la part de l'esclave que je suis à présent. Alors, c'est la boule au ventre que je sors de la voiture, nue, sous les yeux de mon Maître, mon propriétaire, celui qui à présent a tous les droits sur moi.
à suivre...
Références
[1] "Un prénom qui n'existe pas", article publié sur bdsm.fr le 16/11/2022, https://www.bdsm.fr/blog/8242/Un-pr%C3%A9nom-qui-n'existe-pas/
[2] "Le perchoir d'Ysideulte", article publié sur bdsm.fr le 15/09/2022, https://www.bdsm.fr/blog/8145/Le-perchoir-d%E2%80%99Ysideulte/
[3] D. A. Redelmeier, J. Wang, D. Thiruchelvam, "COVID Vaccine Hesitancy and Risk of a Traffic Crash", The American Journal of Medicine, 2022, https://doi.org/10.1016/j.amjmed.2022.11.002
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Avant-propos
Il y a quelques années, avant d'avoir eu la chance de rencontrer mon Maître, j'aimais écrire, juste pour moi, de petits textes qui m'aidaient à fixer mon esprit, à apaiser le bouillonnement de questions dans ma tête. Vivre et revivre par l'esprit les évènements tels que j'imaginais qu'ils pourraient se produire, les coucher sur le papier, était un puissant relaxant pour la grande anxieuse que j'étais et que je suis encore. Cela me rassurait, me donnait des repères. J'en avais un besoin vital. Et puis, récemment, quand j'ai voulu reprendre l'un de ces textes qui, pour des raisons personnelles, me tient beaucoup à cœur, et tenter d'écrire une suite, je me suis rendue compte que cela m'était impossible. J'ai changé. Pas fondamentalement, mais suffisamment pour avoir besoin de modifier un peu le point de vue. Je crois que le monde aussi a beaucoup changé en très peu de temps, même si la majorité des gens ne s'en rend pas encore compte - ou peut être est-ce moi qui sur-interprète certains évènements, certaines décisions. Alors, pourquoi ne pas remodeler ce texte pour en faire quelque chose de nouveau. Changer un peu le point de vue, en modifier la trame sous-jacente pour l'intégrer dans un contexte plus vaste, qui se révèlera peut-être plus sombre qu’il ne semble de premier abord. C'est ce à quoi je m'essaye ici, sans prétention, mais en y mettant une part de moi-même. Un début très soft, mais attention, le diable se cache souvent dans les détails...
Je vous souhaite une bonne lecture en espérant qu'elle vous sera plaisante.
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Le panneau d’affichage annonce un retard de 15 minutes. L’attente me semble interminable et je sens mon stress monter. J’espère que le retard ne va pas augmenter. Ce voyage est le plus important de ma vie. Je ne veux pas arriver en retard.
Je reste debout. Je n’ose pas m’assoir. Trop risqué.
A l’annonce de l’embarquement, un attroupement se forme en quelques secondes. L’hôtesse annonce les rangs concernés mais on n’entend rien dans le brouhaha. Un adolescent me bouscule pour passer devant moi, fait tomber mon sac, sans un mot d’excuse. Je ne dis rien mais je me sens contrariée.
Une seconde d'intense inquiétude lors du contrôle de mon pass carbone. Ouf! Le voyant passe au vert. "Pas de problème, c'est la connexion qui est lente - Bon voyage, Madame" me dit l'hôtesse, comme pour s'excuser.
J’ai un siège près du hublot. C’est ce que je préfère. J’ai pris quelques journaux en embarquant. J’essaie de lire, mais je me rends vite compte que je relis dix fois la même phrase sans rien y comprendre. Mon esprit est ailleurs. Je laisse tomber et je regarde par le hublot.
Mon voisin essaie de me faire la conversation, tout en zieutant sur mes cuisses, que je laisse légèrement écartées, comme mon Maître me l’a demandé. "Maître",... ais-je le droit de l'appeler ainsi alors que je ne l'ai pas encore rencontré? Lors de nos échanges épistolaires je l'appelais toujours "Monsieur".
Je n’ai pas envie de parler, j’ai besoin de me concentrer, de répéter les consignes dans ma tête, pour ne pas faire de faux pas à mon arrivée, alors je fais des réponses lapidaires, mais cela ne décourage pas mon voisin. Il me demande ce que je vais faire à Lyon. En quoi est-ce que ça le regarde ? Je réponds froidement « Et vous ? » tout en me rendant compte de mon insolence et je le regrette immédiatement. Mais il ne le prend pas mal et me répond. Je ne sais pas quoi, il me raconte des choses, avec foultitude de détails sur ce qu’il va y faire, mais ça n’imprime pas. J’entends des mots, mais je n’en comprends pas le sens. Il me pose une question, me demande ce que j’en pense. Je n’en sais rien, je ne sais pas de quoi il me parlait et quel est l’objet de sa question. Je fais un sourire et pour ne pas laisser un silence je réponds à sa question précédente, j’invente une histoire de déplacement professionnel et je donne quelques détails que j’invente en temps réel pour que cela ait l’air vrai. S’il savait ce que je vais vraiment y faire…
Je vois bien, à son regard étonné qu’il ne comprend pas pourquoi je réponds à une autre question que celle qu’il vient de me poser. Il doit se dire que je suis un peu à l’ouest. Mais cela ne le décourage pas, il me pose des questions sur mon travail. J’essaie de répondre sans être malpolie mais de manière brève, en espérant qu’il comprendra que je n’ai pas envie de parler. Je vois bien que ses yeux se posent souvent sur mes cuisses (est-ce qu’il croit que je ne m’en rends pas compte ?). J’aurais bien posé un journal dessus, mais mon Maître me l’a interdit. Les consignes sont claires : elles doivent rester visibles en toutes circonstances. Je porte une robe simple mais élégante, que Maître et moi avons choisie ensemble. Plus précisément, nous en avons discuté ensemble, avons examiné plusieurs modèles, puis c’est lui qui a choisi celle que je devais commander. La robe est courte, très courte, et je ne porte rien dessous, comme il l’a voulu. Je me suis rarement sentie aussi vulnérable, mon intimité étant à deux centimètres d’être dévoilée. Je dois faire très attention. Je n’ai pas osé m’assoir en salle d’embarquement. Les rangs de sièges face à face… Trop risqué.
Mon voisin est aimable, mais il me saoule, il m’embrouille l’esprit, je n’arrive pas à me concentrer. Finalement je prends un journal et fais semblant de lire. Il continue à me parler, je réponds juste par "oui", "non", "humm". Je crois qu’il a fini par comprendre : il prend lui aussi un journal et j’ai enfin la paix... pour un court instant seulement. "C'est formidable ce qu'ils ont fait, n'est-ce pas?", me dit-il en désignant le titre à la une de son journal. Et à la une du mien aussi d'ailleurs. A la une de tous les journaux, en fait. "Oui, c'est vraiment bien", lui répondis-je, en me forçant à sourire. La suprême alliance démocratique! Tout le monde ne parle que de cela. Les louanges pleuvent. Tous les médias sont de la partie pour encenser cette formidable initiative de fédération entre l'Occident et la Chine (*). Cela coulait de source au vu de la convergence des modèles sociaux de part et d'autre. Une fédération ambitieuse, progressiste et inclusive, qui fera briller la démocratie dans le monde. Une puissance économique et militaire comme le monde n’en a jamais connu, qui apportera la liberté aux peuples opprimés. Les qualificatifs ne manquent pas pour décrire tout le bien qu'il faut penser de cette magnifique initiative.
Soudain mon attention est attirée par des mouvements autour d'un siège situé à l'avant de l'avion. Un jeune homme semble à terre. Le personnel de bord accourt avec un défibrillateur, puis le transporte hors de ma vue. Une annonce au micro nous informe qu'un passager vient de faire un petit malaise, sans gravité. Il se repose à l'écart et sera sur pied à l'atterrissage, nous dit-on. Sur pied? Non, je ne crois pas. On ne ressuscite pas d'un arrêt cardiaque prolongé. Visiblement ce n'est pas la première fois que cela arrive. Le personnel de bord est bien rôdé. Aucune émotion dans la voix. La routine. Un sentiment de tristesse et de révolte m'envahit, mais que puis-je y faire à mon petit niveau ? Informer les gens, espérer qu'un jour ils ouvriront les yeux? Comment faire sans me mettre moi-même en danger?
"Au fait, Mademoiselle, comment vous appelez-vous? Moi c'est Pierre!" me dit mon voisin, tout sourire. "Ysideulte", lui répondis-je.
"Ca existe ça?" me dit-il, surpris. Puis, conscient de la gaffe, il essaie de se rattraper: "C'est très joli, en tout cas".
Ysideulte... Pourquoi mes parents m'ont-ils donné un prénom qui n'existe pas? C'est ce que je me suis souvent demandé, ce que j'ai souvent demandé, sans avoir de réponse. Ce prénom m'a valu bien des moqueries à l'école. Moi, la fille timide et effacée, je n'avais pas besoin de cela.
On vient d’atterrir. J’ai un nœud terrible à l’estomac, ça fait mal. J’ai peur. Je ne sais pas trop de quoi. De ce saut dans l’inconnu, d’oublier une consigne, de décevoir ? Je ne sais pas, mais j’ai peur. Mon voisin se lève pour sortir. Je reste assise, les cuisses légèrement écartées, comme mon Maître me l’a demandé. Je glisse discrètement un doigt dans ma fente. Comme je le craignais, je ne suis pas très humide. Trop de stress. Maître va être déçu. Tant pis, je l’avais prévenu que cela risquait d’arriver.
Maître m’a dit qu’il m’attendrait à l’extrémité d’un long couloir qui relie les deux terminaux. Je ne connais pas l’aéroport. Je fais comme si je devais changer de terminal. Je serais bien passée aux toilettes, mais je suis déjà en retard, alors tant pis, je me dépêche. Par chance, je n'ai pas eu à attendre un bagage enregistré. Les consignes étaient claires, je dois voyager très léger. Je n'ai besoin de presque rien, je passerai mon week-end nue, je serai attachée, fouettée, violée… Je ne viens pas là pour passer du bon temps, je le sais, mais je le veux. Ce voyage, c’est ma décision. J’ai longtemps, très longtemps, hésité, cogité, reporté à plus tard. La plupart des hommes m’aurait envoyée paître depuis longtemps. Mais pas lui. Patience, gentillesse, écoute, … Il n’est pas comme les autres et maintenant je sais, je veux être à lui, rien qu’à lui, tout à lui, corps et âme.
Effectivement, j’arrive sur un long couloir. Je cherche des yeux à l’autre extrémité, je vois des silhouettes, mais c’est flou. Je porte des lunettes de vue car je suis légèrement myope, mais aujourd’hui je ne les ai pas. Je voulais mettre toutes les chances de mon côté pour que Maître me trouve jolie, pour ne pas le décevoir. Quelle idée idiote j'ai eue là. Qu'est-ce qui m'a fait penser que je serais mieux sans lunettes? Trop tard pour changer d'avis, elles sont restées à la maison.
A mesure que j’avance, les silhouettes se précisent, je vois un homme qui regarde dans ma direction. Ce n’est pas le seul, mais je sens que c’est lui. Il me reste encore 50 mètres à faire. Il me regarde, me sourit, j’ai l’impression d’être sur scène, il regarde comment je marche, examine ma silhouette.
Il m’a demandé de porter de haut talons, m'a fixé une hauteur minimale en précisant bien que cela sera contrôlé. J’ai opté pour une paire d’escarpins à lanières, rouges et noirs. Je n’ai pas l’habitude d'être ainsi perchée. Je me suis longuement entraînée à marcher durant les semaines qui viennent de s’écouler. Je voulais à tout prix éviter d’avoir l’air godiche. J’ai l’impression de mettre des heures à faire ces 50 mètres. Mon évaluation a déjà commencé. Les talons ralentissent fatalement la marche : il faut l’accepter, ne pas être pressée.
Maître me sourit, me fait la bise, m’embrasse sur les lèvres, me dit que je suis élégante, me demande comment s’est passé le voyage. Je suis tendue et je suis sûre que cela se sent. Il est gentil. Il essaie de me mettre à l’aise. Je m’excuse pour le retard. Est-ce que je dois baisser les yeux quand je lui parle ? Je ne sais pas. J’ai oublié de lui demander. Dans le doute, je baisse les yeux. De toute façon, je n'arrive pas à soutenir son regard, je suis trop intimidée. Il prend mon sac et le met sur son épaule. « Tourne-toi », me dit-il. Je m’exécute, pas très rassurée. Que veut-t-il faire ? Soulever ma robe, examiner mes fesses ? C’est trop risqué ici, il y a du monde partout. Je sens ses mains sur mes hanches. Il palpe mes formes, lentement. Je ne bouge pas, écartant juste un peu les bras pour lui faciliter les choses. Je sais que je suis en train d’être évaluée. Quelques passants nous jettent des coups d’œil, intrigués. Mais je n’y fais pas attention, bien trop soulagée de ne pas me retrouver les fesses à l’air. Puis je sens un objet froid au niveau de mon cou. Il est en train de me mettre un collier, lentement, très lentement. Je ne sais que trop bien ce que cela signifie, ce que ce collier représente. Cela décuple mes sensations, chaque frottement du métal sur mon cou génère un frisson qui me parcourt tout le corps.
Comment se fait-il que moi qui suis tant attachée aux libertés publiques je ressente un tel besoin d'obéir à un homme, d'être sa chienne, de faire tout ce qu'il me dit, sans discuter? Certes, pas n'importe quel homme, un homme que j'apprécie énormément, un homme avec lequel je me sens connectée, mais quand même... Comment se fait-il que je ressente une telle excitation sexuelle dans le fait de lui obéir, d'être à lui? Mystères de la psychologie. J’entends le clic d’un cadenas, ou d’un dispositif de verrouillage. Je sens que je mouille comme je ne l’ai jamais fait.
Maître me fait mettre de profil. Il pose la main sur mon ventre pendant que son regard évalue mes mamelles. Je n’ai pas le ventre parfaitement plat et musclé, comme il aime. Avec un sourire gêné, je lui dis « il y a encore du travail… ». Il me répond gentiment : « heureusement, sinon je m’ennuierai. »
Il portait un sac à dos. « Prends dans mon sac, j’ai quelque chose pour toi. » J’ouvre le sac, et je suis surprise par ce que j’y trouve. Je m’attendais à un cadeau peut-être, mais non, pas du tout, c’est un petit pèse personne, extra-plat. Je le sors, je crois comprendre ce que je dois faire, mais pour en être sûre, je demande confirmation : « Est-ce que je dois me peser ici ? ». Zut, j'ai oublié de l'appeler Maître. Quelle andouille. Heureusement il ne relève pas. « Voyons, quelle question! Pourquoi crois-tu que je l’ai apporté ? ». Je le pose par terre, ce qui n’est pas facile car juchée sur mes « échasses », et portant une robe ultra-courte, comment me pencher jusqu’au sol sans dévoiler mon intimité ? J’y arrive plus ou moins, enfin, je crois… En fléchissant un peu les jambes, du peu que les talons le permettent.
Je monte sur le pèse-personne et redescend aussitôt dès que le poids s’est affiché. « Qui t’a autorisée à redescendre ? » me demande-t-il. « Il va falloir que tu sois un peu plus disciplinée à présent ». Je remonte dessus, voyant bien que quelques passants jettent des coups d’œil intrigués vers moi, c’est pourquoi je m’étais empressée de redescendre, dès le poids affiché. Je n’ose pas les regarder directement, tellement je me sens gênée. « Rappelle-moi ce que représente ton collier et dis-moi si c’est conforme à ce que tu viens de faire », me demande Maître. « Il signifie que je suis votre esclave et que je ne dois pas prendre de décision par moi-même. Excusez-moi Maître. », dis-je, avec un air de petite fille qui vient de faire une grosse bêtise. J’avais peur de décevoir, et voilà que je commence bien mal. Mais il me sourit et visiblement la situation l'amuse. Tant mieux. Il s'approche de moi et me dit à l'oreille "Tu me fais bander, salope".
à suivre...
Choix de l'illustration: en hommage à un lanceur d’alerte privé de liberté et maltraité depuis des années dans l’indifférence générale.
Référence dans le texte: (*) « Le perchoir d'Ysideulte », article publié sur ce site le 15/09/2022
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Je sort, je part travailler, je me dirige vers le bus, ma démarche me semble très différente avec le plug
J’ai l’impression que c’est visible, que tout le monde peut le voir.
Je m’assis dans le bus., surprise, le plug vibre en fonction du déplacement du bus.
Au bout d’un moment, je n’en puis plus, je descend du bus…, message: tu aimes? Je répond à Madame que je suis à elle,
Je me met à marcher, mais il se met à vibrer, en fonction de mes déplacements…, au bout d’un moment il s’arrête.
J’arrive au travail, réunion ce matin.
En plein milieu il se met à vibrer à un rythme que je découvre. J’ai peur que l’on entende le bruit qu’il fait, je me déplace pour m’éloigner un peu des autres.
Ouf, la réunion se termine. Mon cul m’obsède, et mon sexe est gonflé, je me sent indescent.
Je sort du bureau, me dirige vers le restaurant.
Un message: tu sait ce que tu vas manger? C’est donc vrais, Madame sait où je me trouve.
Une petite vibration ponctue son message.
Je mange, et je ressort, message: tu vas au 22, tu entre, et tu attend. J’entre, je passe la porte cochère, et un jeune homme m’y attend:
Ouvre ton pantalon! J’hésite, vite, je ne vais pas le répéter, sinon, je le dit à M.
J’ouvre mon pantalon, descend le, le le descend, il saisit son portable. Photographie mon entre jambe, sans sous vêtement, avec les bas, me dit de me retourner, vérifie le plug, et s’en va:petite vibration: message. Tu vois, à tout moment, je saurais si tu obéi.
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Je suis nu, Madame m’ordonne: va chercher ton portable, interloqué, je le lui tend.
Débloque le, ce que je m’en presse de faire…, tête baissée, je voit ce qu’elle fait.
Voila, c’est fait, mets toi à 4 pattes, je m’exécute, elle se met derrière moi, écarte mes cuisses, je voit juste l’enveloppe d’un préservatif tomber.
Elle me pénètre avec ce que je saurait plus tard, un gros plug, qu’elle bouge, afin qu’il soit bien en moi.
Lèves toi!
Elle prend son téléphone, et commence à jouer avec.
Tout d’un coup, le plug se met à vibrer très fort, puis s’arrête, puis recommence. Je me tortille, surpris…
Tu va le garder, tu ne l’enlèvera que quand je te le dirais, et ce sera pour le recharger.
Et il faudra le remette en place en suite.
J’ai téléchargé une application qui me permet à tout moment de commander ton cul, et en plus, je saurait où tu est à tout moment.
Maintenant, habille toi, et je contrôlerais ton obéissance..
Je prends congé respectueusement.
Je rentre et je me couche, je m’habitue au plug qui est d’un bon diamètre, et j’oublie qu’il est vibrant.
Le lendemain matin, c’est ses vibrations qui me réveille, avec un message: port de bas ce jour sous le pantalon, sans slip, pour aller travailler.
Je choisit un pantalon un peu ample, met le PJ et les bas avant que de passer le pantalon. J’ai peur que cela se voit de l’extérieur…, j’ai toujours ressenti aussi que ma démarche est différente quand j’ai un plug en moi.
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Maitresse Julia lâche 2 paires de bracelets en cuir devant moi. Je comprend tout de suite ce qu'elle souhaite et j'enfile rapidement les bracelets aux poignets et aux chevilles. Maitresse accroche les bracelets des poignets dans le dos et les chevilles ensemble grâce à des petites chaînes qui m'empêchent de me déplacer aisément. Elle me met debout, attache une laisse au collier que je portais depuis le début, me bloque la vue avec un bandeau et m'entraîne à sa suite dans les couloirs. Pieds nus, je la suis sur le sol froid du donjon. Nous atteignons une nouvelle porte. Maitresse Julia frappe à la porte.
- " Entrez" répond une voix d'homme.
Je vais être offert à un dominateur ? Je commence à avoir peur. Je ne souhaite pas être utilisé par un homme, c'est une limite que j'avais fixé depuis le début.
Maitresse Julia me fait entrer dans la pièce, me fait avancer, m'oriente sur la gauche puis m'arrête.
J'entend à nouveau la voix de l'homme en même temps qu'un coup de fouet mais pas pour moi :
- "Suce le"
Je sens alors une bouche me lécher la bite délicatement.
-" Bon, ils ont quand même respecté mes limites et choisie une soumise" pensais-je intérieurement. Cette pensée me rassure et je me laisse faire.
Jusqu'au moment où j'entend Maitresse Julia ajouter :
-" Toi aussi !"
Je reste immobile, pensant qu'une deuxième soumise va nous rejoindre.
Soudain, je reçois un coup de cravache sur mon cul.
- "c'est à toi que je parle, petite lopette."
En même temps, je sens que Maitresse me pousse la tête en avant. Sans comprendre, je sens alors quelque chose dans ma bouche. Mais ça ne ressemblait pas à du caoutchouc ni à du silicone. Il me faut plusieurs secondes pour comprendre la situation : je suis en train de sucer un homme qui me suce en même temps ! Maitresse Julia me maintient la tête de façon à ce qu'il me soit impossible de reculer la tête suffisamment pour sortir cette bite de ma bouche. Elle me forçe à le sucer de longues minutes. Elle me retire le bandeau des yeux et je peux constater ce que je pensais. Un homme était attaché par les pieds, la tête en bas, les mains attachées dans le dos également. Et on se suçe mutuellement. Troublé, je ne sais pas comment réagir face à cette situation et me laisse faire par Maitresse.
A suivre...
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Après une rapide sodomie, Maitresse Julia se retire de moi et va chercher quelque chose dans mon dos. Soudain, une violente douleur se répand à travers mon corps. Et le premier endroit qui souffre est mon pénis. Je comprend alors que les deux sangles qu'elle avait passé autour de mon pénis permettent d'envoyer des décharges électriques !
Et ces décharges me font un mal de chien. Maitresse Julia gère les décharges comme elle le veux. Puis elle actionne le mode automatique et part chercher une cravache. Les décharges sont très douloureuses. Leur fréquence sont comparable à un code morse : une décharge longue, une décharge courte, une décharge longue, deux décharges courtes, une décharge longue. Puis ce schéma en boucle. Et chaque décharge est à chaque fois plus douloureuse que la précédente. Je ne peux pas me retenir de crier. Maitresse Julia dit entre 2 cris :
- "Mais c'est qu'elle a de la voix, cette grosse salope ! Tu me fais mal aux oreilles et je n'aime pas ça". Elle se dirige alors vers une armoire, l'ouvre, en sors un baillon boule avant de revenir vers moi et me l'enfonce dans la bouche.
- "Voila, comme ça, je ne t'entendrais plus".
Maitresse Julia se saisit alors d'une cravache et retourne s'occuper de mon cul. Entre les décharges sur le pénis et les coups sur les fesses, mon corps entier est en souffrance. De plus, je commence à baver à cause du baillon que j'avais en bouche.
Une fois satisfaite de sa punition, Maitresse Julia interromp les décharges et arrête les coups de fouets. Elle me détache de la table et ne peux me retenir de glisser au sol, victime de l'immense douleur que je ressent.
- "Debout !" Ordonne t elle. "Si tu crois que c'est fini, tu te trompes. Je t'ai encore préparé quelques surprises".
Encore au sol, je répond à voix basse :
-" Merci Maitresse. Je sais que je mérite ce qui m'arrive et je vous en remercie".
-" Parfait. Comme ça te plaît, on continue. Ne bouge pas, je reviens".
Je ne bouge pas d'un poil tandis que Maitresse Julia se dirige de nouveau vers l'armoire. Que va t elle rapporter cette fois-çi ?
A suivre...
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Je n'imaginais pas que se faire sucer par une femme était aussi agréable ! Cette séance de fellation a duré environ 15 minutes. Une fois la séance de plaisir terminée, Maitresse Julia me fait descendre de la table et m'emmène vers un autre bout de la pièce. Toujours aveuglé par mon bandeau sur mes yeux, je butte contre une barre de fer.
- "Monte dessus" m'ordonna Maitresse Julia.
A tâtons, en tendant les mains devant moi à l'aveugle, je monte sur une sorte de structure en fer. Maitresse Julia positionne mes jambes et mes bras de la meilleure façon. Elle me plaçe à 4 pattes et m'immobilise avec des lanières aux genoux, aux chevilles, aux bras et aux poignets. Maitresse Julia me laisse seul un moment. Puis, je l'entend revenir et s'approcher de moi. Je sens qu'elle manipule mon sexe et y accroche deux bracelets en cuir : l'un à la base du scrotum et l'autre autour du pénis. Je me dis qu'elle les utilisera pour tirer un peu dessus pour m'exiter... Ah, si seulement j'avais eu raison !
Maitresse Julia tourne autour de moi et me caresse les fesses.
- "C'est qu'il a un joli petit cul en plus ! Mais je le trouve un peu pâle, je vais devoir corriger ça".
Incapable de bouger, je ne sais pas ce qu'elle prépare. Je sens seulement un coup de fouet sur mes fesses. En quelques coups, la douleur est déjà forte. Je me retiens pour ne pas crier car je ne veux pas montrer que je souffre. Sans doute, parce que je veux que ça continue.
Lorsque les coups s'arrêtent, je suis soulagé intérieurement. J'avais très mal mais je ne voulais paraître faible à supplier ma Maitresse. Cela lui aurait fait trop plaisir.
Je n'ai malheureusement pas le temps d'y réfléchir plus longtemps car je sens que Maitresse Julia s'est mise à me sodomiser avec un gode-ceinture. Rapidement, j'ai autant mal sur le cul que dedans. Mais qu'est ce que c'est bon !
A suivre...
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Je me décidai à avancer. Je n'étais pas venu jusqu'ici pour me dégonfler.
Je suis entré dans le château par la porte centrale. Je suis arrivé à l'accueil derrière lequel se tenait une femme d'environ 40 ans, grande, brune.
- Bonjour, ais-je dis timidement.
-Bonjour monsieur, entrez ! M'a t elle répondue avec un grand sourire. Votre nom, s'il vous plaît ?
- Xavier
-Ah oui, c'est votre première fois chez nous je crois. Je vois que vous n'avez pas de bagages comme demandé. C'est parfait. Suivez moi, nous allons commencer. Au fait, moi, c'est Sylvie.
Je l'ai suivie jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant une porte.
- Je vais vous demander d'entrer ici, de vous déshabiller et de mettre votre cage. Je reviens dans quelques minutes.
J'ai été un peu surpris de cet ordre assez inattendu et sans préparation.
Sans un mot, je suis entré dans cette pièce dont elle a refermé la porte derrière moi.
La pièce ne devait pas faire plus de 3 ou 4 m². Pour tout meuble, un banc longeait le mur de droite.
Un panneau accroché au mur a attiré mon attention : "Laissez ici tout effets personnels, dignité, humanité ou libre arbitre". Le ton était donné. Encore sonné par cette entrée en matière étonnante, j'ai retiré mes vêtements, ma montre, vérifié la cage de chasteté et me suis assis sur le banc.
Quelques secondes plus tard, Sylvie est revenue.
- C'est bien, vous êtes efficace à ce que je vois. Maintenant, à genoux sur le banc, les mains derrière la tête.
Je voulu l'interroger sur la suite des événements mais elle a ajouté :
- Allez ! Plus vite que ça !
Je me suis exécuté. Sylvie m'a attaché un collier terminé par une laisse autour du cou ainsi que des menottes aux chevilles.
- Les mains dans le dos ! m'a t-elle ordonné.
Elle m'a menotté également les poignets et a attaché les deux paires de menottes entre elles avec une longue chaine. Je l'ai vu mettre mes affaires dans un casier ouvert puis elle s'est saisie de la laisse.
D'une pression, elle m'a entraînée dans un couloir. Je suis passé devant une porte : "animaux domestiques".
- Excusez moi, Sylvie mais je croyais que les animaux étaient interdis.
- Maintenant, c'est Maitresse Sylvie et tu ne parle plus tant que quelqu'un ne t'en a pas donné l'autorisation, c'est clair ?
C'etait clair. Je me suis tus. C'était vraiment incroyable. J'étais là bas depuis 20 minutes environ et j'etais déjà nu, en cage de chasteté et menotté, à suivre une femme que je ne connaissais pas vers un destin sans doute pas des plus joyeux. Et pourtant, j'avais hâte...
A suivre...
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Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse).
Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages...
Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm.
Nouvelles pages, nouveaux chapitres.
Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur.
Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour.
Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite...
Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais.
Monsieur V.
Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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(Réédition du 14/10/2020 -> 26/05/2024 - 818 Vues)
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Se donner à l'autel des perversions.
Nourrir l'espoir; cette bête difforme, tentaculaire, arrangeante... Apte à se faufiler dans les moindres recoins de notre être.
Sortir de cette obscurité qu'est la perdition, et aspirer à se livrer à un dessein plus grand.
Etre happé(e), forcé(e), vidé(e) de sa conscience, sous totale emprise de l'inconnu.
A la fois effrayant et fascinant... Se livrer à cette entité, ne sachant où son regard et ses membres vont se porter.
Implorer sa clémence de se repaître de ce qui nous rend abject(e), névrosé(e), frustré(e), incapable de reprendre le contrôle de nos vies.
Se réapproprier ce corps translucide, et se donner matière dans un enchevêtrement de chairs et de sensations extrêmes.
Emprunt de souillure, de volupté, faire partie d'un tout, et se définir en rien.
Prier à que cela soit au bon endroit, assez profond et suffisamment fort, à se reconnecter dans des spasmes grotesques.
Pour se redonner naissance et respirer pour la première fois.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
https://www.bdsm.fr/blog/4212/Mentalit%C3%A9-:-Cum-Slave-(Notions) -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
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11 aime
(Réédition du 07/07/2020 -> 20/04/2024 - 1103 Vues)
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Quelles peuvent être les véritables raisons, qui poussent les femmes mariées à s'ouvrir au BDSM ?
Quelles sont les limites de ces femmes censées être sociétalement établie ?
Ironiquement, deux questions qui n'ont que finalement que très peu d'importance, lorsque l'homme entreprends une relation BDSM avec une femme mariée.
L'auto-satisfaction de la conquête ou de répondre à l'envie d'adultère paralysant toutes exigences, à savoir si la relation que l'on débutera sera aussi éphémère que futile.
Et c'est lorsque le plaisir de consommation retombe, qu'un vide abyssal se dévoile en terme de compréhension et de communication envers l'autre.
Comprendre que le domaine du BDSM est affilié à un public de "niche", c'est accepter que pour beaucoup, c'est la facilité de palier à une frustration en utilisant l'autre qui attire..
Aucunement de se donner dans ses pulsions viscérales, pouvant se révéler invivables en solitaire, et s'ouvrir à une perspective d'avenir moins sombre avec un partenaire adéquat.
Pour en appréhender la portée, la Domination / Soumission appelle à l'état de conscience suivant :
Est-ce que le plaisir BDSM des femmes les amènent t'elles à s'accepter, ou à s'éloigner de leurs chemins à s'épanouir dans leurs existences ?
07 - Les femmes dites "switch" au service de la compréhension des femmes mariées ?
"Soit "Switch" ou mariée !" : Pourrait-on dire à l'étalage flagrant de profils les plus répandus sur internet, ou du chouinement perpétuel des femmes envers la gente masculine, dans leurs propos de la vie quotidienne.
Pour en découvrir la raison, et ainsi permettre de faire la part des choses entre une volonté de s'émanciper dans leurs vies sexuelles, tout en s’affranchissant de l'homme.. Intéressons-nous à certains traits* de l'attitude "switch" :
La frustration et les tensions étant légion dans le domaine du BDSM, l'aspect "switch" est une attitude basée sur l'incertitude et l’opportunité.
Les "switchs" sont de véritables couteaux suisses, où leurs polyvalences leurs offrent un argument de choix à ne pouvoir se placer et s'investir dans une relation, par jeux ou nécessité.
Un mécanisme propice à combler ou renouveler une partie de leurs libidos, non dans une aspiration à s'épanouir.
Entre amertume, désappointement, et famine... 3 raisons majeures poussent les femmes à devenir "Switch" pour continuer à côtoyer l'homme :
- Entre amertume et désir, d'accéder aux plaisirs "simple" de l'homme (Penser que l'hypothétique "pouvoir" d'imposer, ou répondre à une demande, soient liés à la notion d'aller plus facilement vers son plaisir).
- Le désappointement de ne pas avoir atteint son paroxysme de plaisir et d'épanouissement en tant que femme (Vouloir témoigner leurs hautes frustrations à leurs partenaires, sous le couvert de pratiques Dominantes).
- L'état de "famine sexuelle" de ne pouvoir sustenter leurs besoins nutritionnels personnels (Espérer dans la dévotion au plaisir de l'autre, un retour sur investissement en terme de plaisir charnel ou au moins dans l'égo d'avoir été utile).
En résulte une dualité à vouloir se différencier de l'homme et non de le compléter, et pourtant s'évertuer à mimer sa vénalité et son adaptabilité pour arriver à ses fins.
Les femmes dites "switch" et les femmes mariées se rejoignant sous la même bannière : "Ce que tu ne peux atteindre, tu le deviens."
08 - L'Union ou le Célibat ; Quelle est la source ou l'origine d'un meilleur épanouissement BDSM ?
Le BDSM amène à un état de conscience développé.
Il réponds à un besoin perpétuel à se réguler, et à l'hypothétique désir "d'être", ce que l'on était destiné à "être".
Pour la métaphore, c'est comme faire face au cahier vierge de sa vie, que tous le monde possède à sa naissance, et se torturer à écrire dessus de ses doigts ensanglantés..
Tout cela parce qu'un "vil" environnement, nous a piqué notre crayon ou notre stylo.
La Domination étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, cela ne nous empêcherait pas de faire et d'écrire de la "merde".
La Soumission étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, nous ne l'utiliserions pas pour autant, de peur de raconter des "conneries".
Un désir fort d'exister et de compenser en révélant une authenticité qui nous est propre, et par la même occasion approcher de notre ferveur à l'ouvrage, une des vérités absolues de la vie.
Il sera toujours possible de copier ou d'écrire sur le cahier de son voisin, mais il est assurément plus difficile d'écrire à deux avec le même stylo, pour raconter sa propre histoire !
Clairement, pour n'évoquer que ces autres exemples métaphoriques, un couple ouvert d'esprit écrivant son expérience au crayon, aura toujours la possibilité de réécrire sa propre histoire individuellement..
Tandis qu'un couple l'ayant écrit au stylo, témoignera à jamais de sa frustration à vouloir effacer ou se ré-accaparer ce qu'il ne leur appartient plus, car tombé sciemment dans le "tronc commun".
Vouloir se donner plus de force à se convaincre que son ou ses partenaires soient nécessaires à son propre épanouissement, est du domaine de la puérilité ou de la paresse, aucunement du BDSM.
La femme mariée par définition, a autant de possibilité de s'investir dans une relation BDSM que la femme célibataire.
Encore faut-il qu'elles s'avouent toutes les deux, que ce n'est pas une question de chance ni de disponibilités, mais bien d'un travail préalable d'introspection personnel, réel et immodéré.
09 - Y a t'il un âge révélateur de l'éveil des pulsions BDSM d'une femme mariée ?
Si l'on se devait de faire des conjonctures et statistiques sur des tranches d'âges des activités pulsionnelles des femmes mariées, 4 périodes seraient mise à l'honneur :
De 18 à 25 ans : Age révélant l'idéalisme, ou au contraire l'aspect militant d'une femme mariée.
Une volonté et plaisir à se trouver des preuves à s'aimer, et s'appartenir par un esprit de mise en valeur, de sécurité, ou de fuite en avant.
De 26 à 39 ans : Age révélant sa maturité ou sa puérilité à faire face à la vision de son corps se transformant irrémédiablement.
Dans l'enfantement, dans l'assèchement et l'épuisement professionnelle, ou dans la boulimie à vouloir profiter de la vie.
De 40 à 50 ans : Période d'âge où la notion des contraintes d'horloge interne prends tous son sens.
Et qui en découle l'anxiété d'un sursis d'une ménopause à venir, l'évolution d'un corps et de son humeur qui désormais ne nous appartient plus, ainsi qu'une perception différente du plaisir et de son bien être.
Plus de 50 ans : l'âge de la résolution, de la résignation, ou de la détresse palpable du corps et de l'esprit.
Où la principale activité d'une femme n'est plus de cumuler du plaisir, mais au minima de le retrouver.
Majoritairement, les femmes mariées ou célibataires s'évertuent à prendre élan sur le BDSM pour ne pas penser à la réalité de la vie qui leurs échappent. Les femmes ayant besoin de Soumission quand à elles, n'aspirent qu'à la commencer.
Les femmes et mères à l'apogée de leurs maturités, ou à contrario à bout de souffle, ont plus un besoin BDSM pour faire un bilan de leurs vies, plutôt qu'à envisager de s'épanouir dans ce substitue.
Un désir de troquer ne serait-ce qu'un instant, "leurs chronomètres" accrochés à leurs cous (Représentation de leurs horloges internes qui défilent), par le collier tout neuf d'un Dominant (Représentation de l'emprise et d'un plaisir éternel).
La stimulation qu'engendre ce "médoc" qu'est le BDSM, étant propice à être de nouveau en accord avec elles-mêmes.
(Le BDSM pouvant être affilié à la "pilule bleu" de l'homme à se redécouvrir une nouvelle jeunesse, dans un bon coup de fouet !)
En conclusion :
Plus excitée par la transgression, que pour se livrer à un dépassement de soi dans le BDSM, la femme mariée souhaite être plus fidèle à elle-même, que Soumise à l'autre à proprement dit.
Sujette à l'obsession à se prouver "qu'elle vit sa vie au lieu de passer à coté", l'homme sert de "défouloir" pour ces femmes se plaignant de ne jamais joindre le "service après-vente" de la vie.
Celle-ci leur ayant vendu d'office la certitude de ne jamais oublier ce pourquoi leurs corps sont programmés à réaliser, reléguant leurs épanouissements en second plan.
(*Oui parce que bon, je vais pas écrire systématiquement 5 articles pour traiter une thématique !)
A suivre : Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 4 sur 5)
Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)
https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins -> Les trois chemins.
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(Réédition du 09/05/2020 -> 20/04/2024 - 1352 Vues)
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Parce qu'il est plus facile de se mettre à 4 pattes pour son plaisir, que de s'agenouiller devant un homme pour son bien être, la vision du BDSM est souvent abstraite ou au mieux exotique dans le regard d'une femme mariée.
04 - Qu'est-ce qui pourrait révéler le potentiel de Soumission d'une femme mariée ?
En prenant en compte les réactions pulsionnels inhérentes à toutes les femmes (Mariées ou non) dans leurs désirs à se Soumettre, 3 principaux points sont à identifier :
Leurs rapports aux notions de "feeling", de "respect", "d'exclusivité".
- "Feeling" : Si une femme se base sur la notion de "feeling" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle ne veut absolument pas se Soumettre, mais se mettre en appétit.
Elle revendique son droit d'entamer ou de cesser toutes relations à sa guise, non pas par exigence et "instincts naturels" à la porter en avant et vers le haut, mais symbolise en ce mot son manque d'intellect à savoir véritablement ce qu'elle fait et où elle va.
Couramment utilisé par les Masochistes dites "brat" ; Elles vous attisent autant qu'elles vous protègent à vous signifier que votre relation ne sera pas perenne, car ce n'est assurément pas dans leurs désirs.
- "Respect" : Si une femme se base sur la notion de "respect" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle se cherche en tant que femme dans le regard de l'autre, pas à se Soumettre.
Une imposition qui revendique son droit à être sacralisé par rapport au travail accompli dans ses actes, mais symbolise sa méconnaissance d'elle même, et souhaite qu'on lui décerne une médaille en chocolat pour ses bons et loyaux services.
Souvent hors-sujet, sèche, voir flétrie dans ses propos, elle n'aura de cesse de vouloir se trouver des raisons à continuer et à justifier son parcours de vie dans son couloir de principes, plutôt qu'avoir la volonté d'évoluer dans la Soumission.
- "Exclusivité" : Si une femme se base sur la notion "d'exclusivité" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est que c'est la peur qui la motive dans la plupart de ses décisions, pas la Soumission.
Principalement adepte du développement personnel, la stabilité d'une relation est pour elle un confort propice à ne plus se justifier de son manque d'assurance à enfin être "casée".
Ce n'est pas dans ses objectifs de se donner les moyens d'introspection à trouver sa place dans sa vie, et d'enfin pouvoir évoluer. Son désir est à se cacher dans des attroupements superficiels pouvant la soutenir dans ses désirs enfantins.
Il est important de garder en tête que garder le "contrôle" (Notamment de l'image) pour une femme est devenu au fil du temps, un fer de lance et une plaie, qu'elles ne peuvent se défaire librement dans leurs plaisirs.
Et si celles-ci n'admettent en rien leurs incapacités à déposer les armes d'elles mêmes, alors que c'est le premier pas vers la Soumission, leurs causes est à profiter, s'évader, et se justifier... Pas à évoluer dans l'extrême.
Il n'est pas nécessaire de posséder de Soumise(s) pour être Dominant, comme il n'y a pas besoin d'être possédée par un/des Dominant(s) pour être Soumise.
L'homme Dominant n'est pas un exutoire pour femmes véloces dans leurs propos, et se révélant paresseuse dans leurs parcours de vie.
La Soumission anoblie, mais n’absout jamais.
05 - Que recherche une femme mariée dans une relation extraconjugale ?
Se sentir Chienne. Un point d'entrée à arpenter un site de rencontres.
Se sentir Acceptée. Un point d'entrée dans leurs exhibitions.
Se sentir Exister. S'ouvrir ouvertement et physiquement dans leur sexualité.
"Ressentir que l'on vous trouve équilibrée sous tous rapports, alors qu'un aspect de vous primitif et vorace à juste besoin de se faire défoncer sans aucune vergogne, à en crier de douleur et de plaisir."
Il est beaucoup plus aisé de se familiariser avec cette formule pour les femmes mariées, que les femmes en roues libre voulant se garder de cette image, dans leurs utopies d'unions qu'elles désirent parfaite.
Sachant cette notion, il est d'autant plus plaisant pour la femme mariée de pouvoir solliciter les faveurs des hommes de par son accessibilité et son ouverture d'esprit, tout en ayant le plaisir d'agacer et de coiffer sur le poteau leurs concurrentes.
Alors que les femmes célibataires transpirent leurs idéologies d'exclusivité, comme si le plaisir qu'elles pouvaient donner était leur bien le plus précieux à délivrer dans l'intimité..
Les femmes mariées s'éjectent de leurs responsabilités, avec comme seul argument qu'elles l'ont bien méritées.
Arborer fièrement de porter à bout de bras une famille, et se sentant vitale à sa pérennité.
Un contraste avec leurs craintes, de ne plus pouvoir assurer leurs activités et obligations personnelles et professionnelles.
Une destinée à se donner bonne conscience dans un acte de plaisir extrême et salvateur, à pouvoir endurer leurs routines qu'elles se sont elles-même imposées.
06 - Quelles sont les ressources déployées par une femme mariée pour son plaisir BDSM ?
Se servant habituellement de la vanité et de la faiblesse de ses prétendants pour plaire, elle se trouve un renouveau dans un désir de jouissance frontale avec les Hommes Dominants.
Un cadre BDSM posé, elle sera ouverte à l'expérimentation, aux échanges et pratiques aussi bien virtuelles que réelles.
Et c'est d'ailleurs à ce stade que l'on s'aperçoit bien vite qu'une femme mariée n'a jamais le temps dans ses obligations, mais le trouvera toujours dans son excitation.
Elle sera disposée à suivre vos directives vous enviant votre indépendance, votre liberté d'action et vos choix de vie, lui octroyant une bouffée d'air frais supplémentaire à vous déléguer sa libido.
Sujet à des contrariétés dans son cocon familiale, elle oscillera aussi bien entre sa passion de vous séduire et vous fidéliser, qu'à vous exprimer sa colère, sa déception et son amertume pour ses proches.
Un moment clef qui déterminera l'orientation de votre relation, à qu'elle vous voit en amant confident, ou en Dominant sachant garder ses distances.
Par causalité, la force "par défaut" des femmes mariées n'est pas de se livrer dans un travail de Soumission, mais à s'abandonner dans leurs pulsions.
Se voulant contraintes de nature, leurs capacités à se mouvoir vers le BDSM, n'a d'égale que le lestage de leurs mariages qu'elles lustrent à leurs pieds.
Un boulet qui les rendent "canons" et accessibles aux regards des un(e)s, comme clairement superflues et handicapées aux regards des autres.
La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5419/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-3) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 3)
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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(Réédition du 28/04/2020 -> 20/04/2024 - 1438 Vues)
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Les femmes mariées ont-elles des prédispositions dans la Soumission ?
Qu'est-ce qu'une Femme Mariée dans son désir de sérénité, ses pulsions extrêmes, et sa volonté à s'épanouir dans une relation BDSM ?
Entre illusion et idéalisme, frustration et désir de consommation à outrance, à l'éveil de leurs pulsions, les femmes mariées convergent toutes vers les sites où la lubricité est Reine.
"Vers un dernier regain d'énergie, pour une jouissance se voulant libératrice" pourrait-on dire de celles-ci.
A travers un dossier décryptant certains profils de femmes, leurs façons de penser et de réagir par leurs pulsions qui les étreignent, et les répercussions de leurs actes sur leurs environnements..
Plongez dans un sujet des plus captivants, où le rêve a plus d'importance que l'objectivité, la débauche a plus d'importance que les responsabilités.
Et d'une vérité qui ne peut qu'éclater ; Leurs besoins de vouloir respirer à tout prix.
01 - A qui s'adresse cet article ?
Ironiquement, moins pour les femmes mariées que pour leurs partenaires de vie, ou d'un soir..
Cet article pouvant se révéler dur et anxiogène pour les femmes n'ayant jamais effectué un travail d'introspection (Voir nuisible dans leurs désirs de spontanéité à se donner pour le plaisir).
Il est plutôt recommandé pour les hommes en devenir, les "cocufiés", ou simplement les Dominants à la petite semaine ne comprenant pas les raisons de leurs ruptures avec ce type de femmes.
Même si il est extrêmement difficile de se définir en tant qu'être humain dans une société pré-établie, seul les travailleurs/ses y trouveront leurs comptes dans ces écrits et conserveront une certaine excitation dans leurs lectures.
Le but de celui-ci n'étant pas de se donner bonne conscience, mais de se donner les "clés" indispensables à la compréhension de ces femmes, afin d'identifier leurs bien être de leurs plaisirs, et leurs besoins de leurs envies.
02 - Quels sont les principaux profils de femmes mariées arpentant un site de BDSM ?
- La femme dite "Vanille".
- La femme dite "Débauchée".
- La femme dite "Masochiste".
- La femme dite "En relation BDSM".
- La femme dite "Vanille".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme dite "Vanille" a généralement une attitude constructive de communication dans son couple.
Mais ne sachant pas comment fonctionne l'homme, elle sera d'une nature à vouloir régler sa frustration sexuelle et émotionnelle de façon factuelle (Rationnelle) sans connaitre la façon de l’appréhender de par ses pulsions de femme qu'elle décidera sciemment d'ignorer.
Les échanges se révélant souvent infructueux avec leurs conjoints, elle aura d'autant plus de justification à rejoindre des groupes (Notamment créée par des ami(e)s extravertis), ou des communautés de sites "d'informations" sur les relations de couples.
Profitant de ces escapades sous le couvert de vouloir faire évoluer leur couple, c'est souvent dans ce cadre que les femmes "vanille" se découvrent le temps et l'excitation à explorer des pratiques jamais réalisées auparavant (Voir refoulées).
Il sera très difficile de faire la part des choses pour elle par la suite, oscillant entre son désir et son "travail" de faire revivre une continuité dans son couple, et l'ivresse de son appétit récemment découvert.
Elle échouera de façon ponctuelle sur des sites BDSM de part ses rêves d'un amant fougueux et charismatique, ou d'un homme façonné de toute pièce estampillé "50 nuances de Grey" (Personnage créé et commercialisé pour satisfaire les désirs utopique des femmes sans expérience, et ayant bien sûr un pouvoir d'achat).
- La femme dite "Débauchée".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme débauchée se veut sportive, créative et originale.
A la fois synonyme de sa volonté de dépenser son énergie, que pour sa capacité à vouloir "leurrer" l'autre de ses besoins constants hors-normes.
Ayant un fort désir sexuel et de fraicheur de vivre, sa relation de couple se sera basée essentiellement sur des hommes simples ayant eu juste le courage de les aborder.
Cependant, sachant sa lubricité latente, et prônant les concessions envers leurs conjoints pour contrebalancer sa libido se rapprochant à l'apogée de la Nymphomanie, elle n'aura aucune stratégie à long terme pour contrecarrer l'épuisement moral et physique de leurs partenaires.
Une routine s'installant de leurs "sens du service" contribuant à l’oisiveté de leurs conjoints, "qu'eux" attribueront à une "stabilité" de couple.
Un mensonge éhonté sur ses besoins extrêmes dès la création de leurs relations, qui l'a feront chavirer à 180 degrés, l’obsession et la satisfaction sexuelle d'un mâle passant maintenant avant toutes choses.
- La femme dite "Masochiste".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme Masochiste se veut cultivée, distinguée et marginale.
Ayant une approche emplie de volontariat et d'initiative envers son partenaire, ses pulsions l'a porteront vers un tempérament caractériel lorsque la moindre stabilité se fera sentir.
Comptant sur sa capacité à maintenir cette souffrance intérieure, elle n'aura de cesse pourtant de vouloir repousser les limites de leurs conjoints pour qu'il l'a stoppe, ou qu'il l'a touche de nouveau par les sentiments.
Cependant, il devient impossible pour son conjoint de la contenter, de son incapacité à appréhender le masochisme en elle, qu'il avait pris pour une forte personnalité dans les débuts de leurs idylles.
Sans-gène, et sachant pertinemment ses besoins perpétuels, elle n'hésitera pas à cumuler plusieurs partenaires pour se sustenter. L'excitation des actes étant plus important pour elles, que ceux qui les prodiguent.
- La femme dite "En relation BDSM".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme "En relation BDSM" s'évertue à légitimer ses choix.
Se voulant concrètement épanouie, elle voudra s'afficher auprès de son Dominant dans un tourbillon d'esthétisme et d'osmose véritable.
Libre d’apparence dans ses choix de vie, elle n'en n'est pas moins prisonnière d'une relation peu hétéroclite, où seul les sites extrêmes et un environnement averti, sont dans la capacité de témoigner de leurs complicités dans leurs pulsions.
Si la relation avec ce type de femmes est basé et limité à la préservation de leurs plaisirs extrêmes, elle en est aussi la fondation et le réconfort dans leurs couples.
Gravitant entre une désuétude à se renouveler, et l'obsession croissante à pouvoir se faire concurrencer/détrôner dans leurs idylles, elles se cherchent plus une voie à "immortaliser" leurs relations, qu'à la faire évoluer.
03 - D'où provient l'excitation d'une femme mariée ?
Une femme traverse plusieurs étapes naturelles dans son existence, qu'importe la société où elle évolue.
Elles les amènent à se confronter entre leurs choix d'évolution de femme, et leurs fonctions imposées (empiriques) par leurs corps.
En fonction de son éducation, de son environnement et de ses aspirations, elle sera amenée très tôt à faire d'elle-même des concessions de vie, plus ou moins bien vécues.
Cette limite définie sera précurseure de ses premières frustrations, et déterminera assurément dans le même temps son niveau d'excitation et de plaisir dans ses futures relations.
Sachant cela, il convient qu'il devient difficile et usant, à vouloir se tracer une "route" bien droite en tant que femme, mariée et mère, qu'importe sa volonté et ses actes.
(La citation que "La vie trouve toujours son chemin" suggère que celle-ci est d'ailleurs sinueuse, et qu'il est peut être une gageure de vouloir la rendre droite de son égo, à vouloir garder le contrôle de sa vie.)
Clairement, la femme compense plus pour son plaisir, qu'elle n'a d'exigence envers lui.
Ce qui me fait dire que plus elle travaillera à se donner un sens à sa vie, plus elle se donnera au plaisir pour lui échapper.
Une logique et non un paradoxe d'un corps adapté prêt à épouser la vie, et non un homme.
La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant.
https://www.bdsm.fr/blog/4897/o-nanisme-je-men-branle-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
https://www.bdsm.fr/blog/4212/mentalit%C3%A9-cum-slave-notions -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
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(Réédition du 17/04/2020 -> 26/05/2024 - 1646 Vues)
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Aussi bien synonyme de chaos dans une société s'évertuant à prôner des valeurs morales, que symbolisant un acte de libération de l'être et d'un retour à sa véritable nature, l'exhibition ne cesse de faire parler d'elle.
Loin de décrier l'existence de multiples approches et ferveur à traiter cette thématique, l'exhibition physique comme virtuelle consentie, reste un élément et une pratique incontournable du BDSM.
Et de par cet article, je vous propose d'en découvrir ses principaux tenants et aboutissants.
01 - Mais en fait, l'exhibition virtuelle, qu'est-ce que c'est ?
L'exhibition n'est pas liée directement à un plaisir qu'il soit cérébral ou physique, mais une volonté par intérêt ou un bien être à devenir visible au yeux de tous, ou dans un contexte en particulier (Personne et/ou environnement).
c'est pourquoi l'on peut s'exhiber sans même s'en rendre compte.
Ceci dit, l'acte d'exhibition se fait principalement ressentir lorsque le sujet est mis sur le devant de la scène, dans une satisfaction de son égo, ou à contrario sa perdition.
A une époque pas si éloignée que cela, un mollet apparent pouvait soulever les foules.
La perception que l'on a de l'exhibition exacerbe nos pulsions, et c'est pour cela qu'il est difficile de pouvoir s'exprimer des plus objectivement sur le sujet.
Elle reflète une connotation d'influence, de gêne face à ses rapports à sa propre libido.
02 - Pourquoi n'est ton jamais insensible à l'exhibition quelle qu'elle soit ?
La perception de l’ostentatoire :
Le tabou ; Les règles générées par un comportement de masse, et l'excitation de ne pas s'y plier.
L'expérimentation ; La définition de son identité dans le regard de l'autre.
L'affranchissement ; D'exister dans sa simplicité ou dans ses potentiels atouts.
03 - Quelles joies, comportements et émotions, je procure à m'exhiber ?
La fascination, la provocation, l'accessibilité, l'excitation, l'ivresse, l'addiction, le plaisir, le confort, l’opulence, la vénération, l'imagination, l'aveuglement..
Savoir pourquoi l'on s'exhibe et s'y plier, est la réponse et le plaisir en soi :
1 - J’éprouve le désir d'être désiré(e), exploité(e) ou dirigé(e).
2 - J’éprouve le désir d'être visible, d'être reconnu(e) dans une pratique ou dans mon expérience.
3 - J’éprouve le désir d'exhiber pour un intérêt personnel et précis, de manipulation, pour en retirer des informations qui me soient utiles, ou simplement par égocentrisme.
4 - J’éprouve le désir d'expérimenter, me donner à l'inconnu dans la parfaite insouciance pour une sensation intense.
5 - J’éprouve le désir de montrer mon visage, de dévoiler mon identité, de me compléter dans mes pulsions.
6 - J’éprouve le désir de me donner corps et âme sans y réfléchir.
Le plaisir et le bien être que l'on retire de séances d'exhibition sont propices à des excitations profondes, pour des jouissances stimulantes.
Littéralement : "Une joie de l'impensable à s'exhiber il y a quelques minutes auparavant, et un corps qui réagit au quart de tour".
C'est idéalement un regain de libido à se trouver désirable, convoité(e) par le regard de l'autre, et se rassurer à que tout fonctionne dans son corps et dans sa tête.
Pour beaucoup, "l'autorisation de" et "la liberté de" ne suffisent pas à s'abandonner dans leurs pulsions.
Adopter le dirigisme pour s'exhiber à la satisfaction de l'autre, c'est s'acquitter de sa responsabilité, de ses principes ou de sa vertu pour déverrouiller son obsession BDSM et son éveil sexuel hors norme.
04 - Qu'en est il de l'exhibition virtuelle dans le BDSM ?
Elle se traduit par l'image (Photos et vidéos), par l'oral (Les conversations vocales étroitement liées au numérique ou au téléphonique), les textes (Articles, écrits et commentaires).
Elle se caractérise dans un but d'aller à l'essentiel :
- De visibilité (Désir de légitimité dans le "milieu" onirique du BDSM).
- D'excitation (Voyeurisme, défouloir, évasion).
- De bien être (Thérapie,comparatif, identitaire).
- Dans un contexte commercial (Vouloir vendre ses charmes dans une prostitution virtuelle, ou indirectement pour rendre visible des produits ou services).
- Et enfin dans des centres d'intérêt purement BDSM (Créer un auditoire nécessaire à une bonne pratique particulière).
Loin des politiques de confidentialité, de protection, et de moral, il se révèle que se livrer à un autre en restant chez soi, procure excitation, plaisir et bien être.
Alors pourquoi a t'elle une connotation "négative" même sur un site de BDSM ?
Et bien il se trouve que celles ou ceux qui la pratiquent font fi de certaines convenances pour un plaisir et une libération totale de leurs corps et de leurs pulsions, et que ceux/celles qui sont imposés par leurs visions, perdent leur objectivité dans une morale ou dans un désir de protection mal placé.
Le fait de s'exhiber génère assurément une joie et une répercussion dans le même temps, pour ceux/celles qui n'ont aucune connaissance de cette pratique :
Le but étant de profiter d'un public pour se permettre de s'exciter dessus, et non par une docilité mal avisée.
Il est légitime que tous le monde se sente concerné à la vue d'un cul bien exposé, et la morale est en ce cas nécessaire, sinon l'excitation de l'exhibition serait inexistante ou se rapprocherait plus de la pratique du naturisme.
05 - A quoi suis-je exposé(e) à m'exhiber ?
Considérez que toutes données que vous diffusez sur le net peuvent être interceptées, sauvegardées, et utilisées.
Encore faut il que celles-ci soient intéressantes, et se démarquent dans le flot continu d'images/textes à connotation sexuelle sur la toile... Ce qui n'est pas du tout aisé.
Également, il est important à considérer que celles ou ceux vous informant et vous incitant à vous rediriger vers un plaisir autre que l'exhibition, ne sont pas pour autant légitime dans leurs intentions.
En effet, la protection informatique est un marché commercial en soi, mais elle ne doit pas servir comme argument à réorienter votre libido, pour le compte d'autrui dans un élan "de générosité et d'altruisme" (Manipulation 1 vérité, pour deux mensonges).
Le meilleur exemple étant la visibilité sur les propositions en commentaires de "Munchs"/"Soirées", qui ne sont pas adaptés à tous arrivant(e)s, et propice justement à un plus fort embrigadement.
Réunions se voulant de bouches à oreilles comme "sympathoche", limite réunions "Tupperware".
Mais cette information se transmettant allégrement parce que personne n'y voit d'objection, et que l'on pourrait y voir une expérience BDSM à citer ce genre d'événements... Alors qu'en fait, ceux qui dévoilent cette information n'y vont jamais ou au contraire ont tous intérêts à vous pousser dedans, voulant vous accaparer en bonne et due forme :b
Les sites liés au BDSM sont les parfaits endroits à s'exprimer à cette pratique qu'est l'exhibition virtuelle, et il est indispensable à comprendre que tous jugements à votre encontre évoque une étroitesse d'esprit ou une peur liée à la maitrise consciente de cette pratique (Le fait de ne pouvoir s'exhiber soi même, provoquant un rejet du à la frustration ou la méconnaissance).
06 - L'exhibition virtuelle ; Synonyme de relations qu'à distance ?
L'exhibition virtuelle peut être un apport de rapprochement, un outil au service d'une libido (Rituels, scénarios...) , mais n'est pas ancrée dans une durée.
C'est un moyen de communication différent des relations physiques, elle sollicite d'autant plus le "langage non verbal" et la capacité à s'exprimer.
On ne connaitra jamais aussi bien Son/Sa Dominant/Domina de par sa posture et ses actes face à l’accessibilité et la satisfaction de ses pulsions.
L'exhibition virtuelle est d'ailleurs le moyen le plus efficace à savoir à qui l'on a à faire ; Un(e) Dominant/Domina se délectant simplement à vous diriger OU un/une homme/femme enfant avide à vous dire que vous aimez cela, parce qu'il/elle ne sait pas quoi dire d'autre quand son plaisir à "mater" survient.
07 - Quelles sont les pratiques courantes de l’exhibition virtuelle, d'un point de vue Domination, sur un site de BDSM ?
Il est très difficile d'être et de se sentir original sur un site BDSM, c'est pour cela que la formule "pratiques courantes" est bien ancrée en ces lieux.
A trop vouloir s'exposer, on se complet dans Une Soumission de visibilité (Donc Dominants/Dominas compris), ce qui trahit également votre niveau d'expérience en terme de BDSM.
En voici quelques exemples :
1 - Si vous montrez votre cul ou votre torse (Un bout de chair dans vos photos/avatar) dès l'arrivée en ces lieux, c'est que votre joie est à plaire, pas à faire du BDSM.
Car il n'y a aucun intérêt à vouloir se faire posséder/chasser par une femme ou un homme qui se donne déjà à tout le monde. Vous devenez le produit de consommation générique et jetable que vous méritez.
2 - Vous exposez votre Soumise/Soumis dans des postures de Soumission, ou dans leur actes infligés. Vous avez la joie de générer une excitation à un auditoire, pour que l'on voit en vous un individu expérimenté.
Alors qu'au final, vous vous faite passer pour un(e) Dominant/Domina "Leader Price" puisque le jour véritable ou vous gagnerez en respectabilité et notoriété, est lorsque vous vous investirez à l'habiller en terme BDSM (Ce qui n'est pas du tout le même budget et investissement moral).
3 - Vous avez la joie d'avoir plus de 200 membres dans votre liste "d'ami(e)s", une performance qui vous donne des ailes à vous sentir exister et avoir du poids dans vos propos, votre profil étant de notoriété publique. Vous vous ramasserez du jour au lendemain d'avoir accumulé(e) simplement un cheptel, après avoir ouvert votre bouche malta-propos, dans un manque avéré d'exigence qui vous fait cruellement défaut.
4 - Vous avez la joie de vous mettre en avant en écrivant directement sur le profil des Soumis(e)s/Switchs de votre attrait envers elles/lui et pour leurs charmes. Vous polluez systématiquement les lieux dans des actes qui se révèlent vains, puisque si la/le dite Soumis(e)/Switch ne lave pas son mur de vos impuretés, ce n'est pas dans son objectif de se Soumettre.
La Soumission exigeant du travail, une personne ne balayant pas devant sa porte ne sera pas en capacité de s'investir de quelques manières que ce soient. Révélant finalement votre manque de discernement et de compréhension face à la gente féminine/masculine dite "vanille".
5 - Vous aimez et avez la joie de mener votre nez partout, sur chaque commentaires, sur chaque photos, et adorez poster à votre tour. Pour rivaliser à dénicher les images les plus provocantes, bordées d'émotions, ou de phrasés valorisant une harmonie BDSM.
Vous n’appréhendez jamais que les photos BDSM d'artistes photographes ou de récits grand public existent parce cela leurs offres de la visibilité et une légitimité dans leurs milieux, à sublimer des scéniques et des modèles. Alors qu'ils n'y comprennent strictement rien en terme de BDSM puisqu'ils/elles ont simplement autre chose à faire (S'y intéresser, ce n'est ni comprendre, ni pratiquer. Une belle image peut faire juste oublier le fait que l'on retranscrit un domaine que l'on ne connait pas).
Reprendre ces images/récits, c'est faire perdurer un idéalisme baignée d'utopie, qui sert de marchandises ou de monnaies d'échanges dans d'autres domaines d'activités.
Il n'y a pas d'avenir "harmonieux" dans le BDSM, il n'y a qu'un présent se révélant peut être cru, mais non porté par les illusions. La science amène plus à vivre une relation saine dite BDSM, et vous dira que vos jours sont comptés d'un point de vue plaisir physique, et plus court encore d'un point de vue cérébral, si vous ne travaillez pas vos méninges ! :b
Il est bien clair que l'exhibition est liée à la sensation grisante ou déroutante de pouvoir posséder sans travailler pour.
De ce fait, tous les articles romancés vous berçant d'espérance, les photos vous prenant aux tripes, les belles paroles idéalistes emplis du respect que vous ne méritez en rien, les échanges ou rencontres vous permettant d'exister dans un plaisir fugace, ne sont présentes que pour faire contraste avec votre oisiveté à vous rendre libre d'entreprendre, d'imaginer, de créer, d'évoluer, de transmettre..
Quand ceux/celles pratiquant le BDSM y voit une pratique concrète à s'exprimer dans leurs pulsions parce que c'est dans leurs natures, le "reste" y voit une occasion de s'évader de plus, loin de leurs vies qu'ils/elles jugent routinières.
En conclusion :
L'exhibition virtuelle est un moyen de communication et d'éveil BDSM.
A trop s'exhiber vous n'êtes rien, à ne jamais le faire vous êtes déconnecté(e).
L'excitation intense à pouvoir être démasqué(e) dans ses pulsions ou dans ses intérêts propres à l'exercer, en donne toute sa valeur.
Sa principale alliée est la frustration, sa principale contrainte son égo.
Elle éprouve votre vulnérabilité et votre désir à vous dépasser.
Et si je ne devais vous donner qu'un seul conseil avisé, cela serait celui-ci : Si vous vous exhibez, faites le bien !
Spéciale Dédicace : Pour Daphné.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/4291/%C2%AB%C3%AAtre%C2%BB-ou-%C2%ABavoir%C2%BB -> "être" ou avoir
https://www.bdsm.fr/blog/2669/ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/un-ma%C3%AEtre-des-soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues)
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Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles.
Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles.
Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel...
A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués.
De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie.
L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader.
Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable !
Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas.
A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter.
Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante :
Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues)
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Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles.
Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles.
Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel...
A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués.
De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie.
L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader.
Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable !
Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas.
A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter.
Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante :
Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Gylippe a un point commun avec Jeanne (d'Arc), il sait pratiquer la guerre psychologique. Ce général spartiate arrive en Sicile avec son seul manteau et son bâton. Plutarque se moquera en disant que les syracusains assiégés se lamentèrent, croyant que Sparte les avait abandonnés et se moquait d'eux, faute de renforts conséquents. Gylippe leur répliqua qu'ils n'avaient pas besoin de plus qu'un général pour les commander vraiment et les conduire à la victoire. Et comme Jeanne qui écrivait aux anglais pour leur dire de foutre le camp de France, Gylippos envoya un héraut dans le camp des athéniens, avec un message simple et clair: "je vous laisse cinq jours pour évacuer la Sicile, sans quoi vous allez être anéantis".
Les Athéniens éclatèrent de rire:
-c'est pas une gonzesse de Sparte qui va nous dire ce que nous devons faire. Nous avons plus d'une centaine de spartiates qui croupissent dans nos prisons (défaite de Sphactérie).
Ils auraient du écouter Gylippos. La première bataille pour le contrôle des Epipoles, le plateau au dessus de Syracuse fût un échec. Ses troupes n'étaient pas assez disciplinées. Alors Gylippos sortit son bâton et il botta bien des culs, y compris d'officiers Syracusains incapables.
-Vous allez avoir plus peur de mon bâton que des glaives athéniens.
C'est vrai que c'était particulièrement humiliant de se faire rougir le cul devant la troupe et lorsque Gylippos cognait, il ne faisait pas semblant. Les hurlements du supplicié glaçaient les soldats alignés qui étaient dans l'obligation d'assister. Et Gylippe hurlait:
-On ne se dérobe pas devant l'ennemi, on reste bouclier contre bouclier, on garde sa ligne. Et chaque fois que vous pouvez frapper, vous frappez, vous tuez!
La bataille suivante sur les Epipoles fut une victoire éclatante. Plus aucun Syracusain ne voulait subir l'humiliation de se faire bastonner cul nul devant la troupe.
Je ne vais pas raconter ici, toute cette bataille de Syracuse, mais les athéniens au final furent bel et bien exterminés.
Sparte n'aime pas les généraux trop glorieux. Gylippe fut accusé d'un vol et du s'enfuir après le siège d'Athènes. Il retourna s'installer en Sicile où il s'était fait beaucoup d'amis et vécu heureux et caché. Ses meilleurs amis étaient ceux qu'il avait bastonnés lors de la première bataille des Epipoles, ceux qui avaient pu ou su surmonter l'humiliation publique. Gylippe leur expliqua que la bastonnade était chose courante à Sparte, histoire de ne plus avoir peur de rien et d'avoir de jolies fesses, bien musclées. Gylippe leur expliqua les techniques d'ondes de chocs. En frappant d'une certaine façon, on crée une onde qui se propage dans tout l'organisme. C'est très vite insupportable pour la personne qui subit cela.
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(Réédition du 25/11/2019 -> 31/03/2024 - 690 Vues)
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(Lettre ouverte à une Masochiste Brat)
Bonjour très chère,
Je profite de ce court laps de temps que tu sois en dehors de ce site pour t'écrire ces mots "doux".
En ces temps où les sites BDSM se découvrent moins actifs, et les membres / Animateurs/trices se voulant respectueux de la gente féminine,
je comprends infiniment que tu passes, toi et tes congénères, de sites en sites à la recherche de matière.
Loin d'être improductif, il est vrai que d'autres sites ont la chance d'avoir un tchat un peu plus actif de par leur ergonomie,
et moi-même je suis conscient de perdre "des bonnes affaires" à ne pas migrer là où les "o" paraissent plus chaudes.
Seulement voilà, la bonne santé de ce genre de site se révèle dans le professionnalisme de Ses Dominants et non dans des attroupements de femmes excitées ou en berne.
Je sais que c'est dur de gérer l'ennui et le manque de stimulation dans ces moments là, et tu pourrais me poser la question :
"Mais où sont les Sadiques Bordel ?!!".
Et bien la réponse est : Ils migrent pour la plus part sur des adopteunequeuepointcom ou jelibertinemonculpointnet.
La raison en est simple, la femme s'est battue dans son émancipation à également devenir plus casse-couilles et indécise qu'auparavant, et il est très difficile de faire la différence entre une Masochiste Brat dans son besoin d'être torturée, d'une femme frustrée se voulant insolente pour se faire simplement pilonner la chatte.
Ce qui en revient à réécrire ce que je t'ai mentionné dernièrement ;
Soit tu décides de t'investir dans une relation "relativement" conventionnelle, et ton compagnon est compatissant envers ta "cause". Et là tu t'arranges pour avoir des Dominants/Sadiques réguliers pour avoir ta dose.
Tu survivras mieux aux hivers à rallonge.
Soit je m'occupe de ton cas.
Tu te veux ou t'improvise être la loi de la provocation et de l'emmerdement maximum, mais entre une Masochiste Brat et un Dominant, c'est une cohabitation qui s'impose... Ne serait ce que pour conserver nos plaisirs respectifs.
Clairement, donne moi ce que je veux, et tu auras droit à tes récréations à vouloir m'emmerder.
Lorsque tu me reviendras, et que tu verras cet article, j'attends de toi que tu postes sur le mur de mon profil une photo de toi dans Ta Soumission et de ton besoin le plus incessant (Je me contenterais d'une photo de toi via ma messagerie, si tu n'as pas avancé d'un pouce d'un point de vue exhibition).
Pour t'aider, tu n'auras qu'à penser que pendant que mes mains te serreront fermement le cou, je te laisserais pénétrer mon regard, à te faire ressentir tout ce que je peux faire d'une femme si je m'abaisse à ne plus réfléchir moi-aussi.
Au delà de ton rictus qui ne manquera pas de subvenir sur ton visage lorsque tu liras ces lignes,
Ton sourire m'est acquis.
Alors passe de bonnes fêtes de fin d'année si nous ne nous voyons pas d'ici là :b
Et ne te fais pas BAN pour des conneries.
ChatMOnYou.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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(Réédition du 15/10/2018 -> 24/03/2024 - 448 Vues)
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Les preuves d’amour éclairent nos vies.
Cette lumière nous invite à explorer,
Ou nous pousse à l’envie de nous libérer.
Nos pulsions désirent la transmettre, ou nous poussent à vouloir en devenir l’unique détenteur.
Elle nous met au centre de tout,
Mais nous enveloppe d’obscurité.
Se dévoile alors une réalité ; Que nous ne pouvons plus nous passer de l’autre pour la contempler, et pour nous atteindre.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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(Réédition du 27/09/2018 -> 24/03/2024 - 510 Vues)
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Il est facile de se laisser aller à la naïveté, grisé par la vitesse, au prix de ne plus adhérer aux lois de la physique.
Ne plus prendre le temps d'apprécier sa personnalité, sa carrure et le plaisir d'être en accord avec soi même.
Se forger par la connaissance de son environnement, l'optimisation de ses compétences, et la conscience d'évoluer à son rythme.
Bien au delà de la compétition, passer à la vitesse supérieure, notre style de conduite nous portant toujours vers le haut.
Etre Dominant ; Toujours plus vite.
Etre Maître ; Toujours plus haut.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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(Réédition du 31/01/2016 -> 23/03/2024 - 754 Vues)
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La raison du plus fort sur le plus faible..
Cette défloration de l'esprit.
Cette douleur qui peut me faire oublier qui je suis, et quel âge j'ai.
Ce plaisir à hurler et ne pas en mourir.
Ce premier choix que je réalise et qui m'incombe.
Que vais-je faire ?
Me rebeller ?
Capituler ?
ou ressentir cet abandon ?
Cette main levée, ce coup asséné.. qui me décolle l'âme de la tête.
Ce bleu, cette cicatrice.. Point de lancement où ma raison s'échappe.
Vais-je vaciller ?
Vais-je me perdre ?
où vont mes pensées ?
Cette poigne ferme qui me penche en arrière, m'arrachant de ma torpeur,
Signe distinctif d'un bourreau voulant m'achever,
Serait-elle prompte à ma rédemption ?
Ou à ma chute ?
Cette bouche, déversant ce lien ; Cette salive chaude au goût voluptueux,
descends comme de la lave au plus profond de mes entrailles, me brulant de l'intérieur.
Ce point culminant où je me sens plus bas que terre, et que je suis à disposition du ciel,
et de me surprendre à tourbillonner avec lui.
A la merci des éléments, mon avis n'a aucune importance, car je ne veux lui donner aucun pouvoir.
Quand la mélodie est là, les mots ne sont que de simples élastiques face à cet enchainement d'émotions.
Ce plaisir éphémère que je veux imprimer en moi.
M'appartenir est mon désir,
Prolonger ce plaisir est ma volonté.
Je le regarderais donc les yeux dans les cieux,
Voulant retenir ce Maître, apte à réinsuffler mon âme ou à la dévorer.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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