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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Elle erre dans la brume, le cœur en éveil,
À la quête d’un maître, d’un feu sans pareil.
Ses yeux cherchent l’éclat d’un regard souverain,
Un conquérant tendre pour lier son chemin.
Elle rêve d’un homme, de force et de flamme,
Qui saura la lire au creux de son âme.
Qu’il soit doux et puissant, qu’il soit fort et secret,
Qu’il guide ses pas là où elle se tait.
Elle s’imagine, offerte à ses bras,
Soumise et sereine, sous le poids de sa loi.
Elle désire ses chaînes, douces, infinies,
Que ses mains la tiennent dans l’ombre d’un lit.
Mais plus qu’un maître, elle attend un amant,
Un roi et un rêve, un lien apaisant.
Qu’il dompte son cœur avec une tendresse,
Qu’il lui donne en amour sa juste faiblesse.
Dans le silence de la nuit étoilée,
Elle cherche cet homme, en secret, en pensée,
Un conquérant tendre, un souffle profond,
Pour que dans sa soumission, elle trouve son nom.
J'utilise une IA et je lui pose des questions
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Bonjour, dernièrement alors que je passais le week-end avec ma soumise à l'hôtel, en pleine nuit nous avons été réveillés par des bruits et des gémissements d'origine sexuelle. Nous avons très vite compris que nos voisins de chambre très bruyants étaient en pleine action. Excité par cette environnement érotique je me suis dit que c'était le bon moment pour une séance improvisée de soumission afin de tester l'obéissance de ma soumise. Malheureusement elle s'est rebellée et à refusée que je la soumette à ce moment là de la nuit prétextant que les voisins exagèraient, qu'elle était fatiguée et qu'elle avait besoin de dormir. Il faut dire que nous nous étions endormis seulement quelques heures plutôt après une grosse séance. Ne voulant pas rentrer en conflit je l'ai laissé se rendormir. Maintenant je me pose questions :
- aurais-je dû ou pas la soumettre de force faisant fi de sa rébellion, ai-je fait preuve de faiblesse ou de bienveillance à ce moment ?
- dois-je la punir après coup de cette rébellion impromptue ?
- si oui comment la punir (quel niveau de punition) ?
- quel attitude dois-je maintenant adopter car il est hors de question qu'elle puisse imaginer pouvoir refuser mes ordres quand ça lui chante, d'ailleurs elle en serait déçue. Ce qu'elle aime dans notre relation c'est mon autorité sur elle. Elle a besoin que je la domine et que je lui impose les règles de notre contrat pour être rassurée, épanouie et heureuse dans notre relation.
Si vous avez déjà connu une situation identique merci de me faire part de votre vécu et de comment vous avez résolu le problème
N'hésitez pas à me dire comment vous agiriez et à me donner conseil sur la-les punition-s à mettre en place et le comportement à adopter
Merci
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Sentir l'étirement, le pincement, la pression..
Du léger picotement, à la douleur stridente..
De la respiration haletante, à la retenue de ne pouvoir hurler..
Jamais plaisir plus grand ne m'a permis de me sentir aussi bien, possédée par la vie qui m'étreint.
Calomniés par l'effleurement des caresses des hommes, évoquant en eux ma douceur, et honorer un idéal de noblesse qui les incombe..
Ces mamelons, ne sont auréolés que par la disgrace d'être triturés et malmenés.
Me sentant frustrée d'être à chaque instant responsable de veiller sur eux,
seules mes pinces, mes ongles, et la douce vision horrifique des poids lourdement portés par des inconnues sur internet, instiguent encore en moi un sentiment de réconfort..
Face à l'incompréhension d'une femme qui n'obtient pas ce qu'elle a envie et besoin.
En soi : Pas grand chose.
Un quotidien qui tourne à l'obsession, de s'infliger une punition à s'exploiter soi-même,
Et ne prétendre qu'à l'espoir qu'ils servent sans ménagement les pulsions d'un mâle, aiguisés par ses instincts apte à les utiliser naturellement.
Une ferme prise en main de ma poitrine, compressée à l'extrême, voulant sentir mes tétons se tordent, se contorsionner, devenir vulnérables.. sous l'exercice de doigts habiles et sévères.
Contraindre ce barrage, et le soumettre à la pression de pouvoir enfin céder..
Dans un geyser hors de contrôle, jaillissant de mes paupières gonflées, honteuse d'obscénités et de redevabilité,
de pouvoir libérer dans des spasmes grotesques et inarrêtables, ce canal onctueux et généreux d'entre mes jambes.
M'arracher une complainte lancinante, où la douleur et le plaisir ne font plus qu'un,
et où je ne m'appartiens plus.
La suite à vivre sous mon appartenance,
ChatMOnYou.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
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Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle :
À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ?
Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ?
Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question :
Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ?
Je suis jeune.
Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts.
M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien.
J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger.
Je suis des études.
Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape".
Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion.
À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi.
J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser..
Ce mec / cette meuf est trop beau / belle !
J'ai juste envie de m'éclater et de voyager.
Je suis jeune.
D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française
(Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE).
Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes..
Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ?
La réponse est non.
Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême.
L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses.
Cependant..
Il existe un petit pourcentage..
Je suis moins jeune que j'en ai l'air.
- Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là.
- J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale.
- J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique.
- J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents.
- J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer !
- J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans.
Je suis moins jeune que j'en ai l'air.
À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ?
Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains.
Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement.
Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité.
Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins.
Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter.
Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM".
Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau.
Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail.
Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte.
Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose..
Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ?
Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" :
- Être Dominant.
- Ne pas être Dominant.
Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle".
Plusieurs états d'esprits en résultent :
Je ne suis pas dominant.
- Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin.
- Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là !
- Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante.
- "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller.
- "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ???
- "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda)
- "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?"
Je ne suis pas dominant.
Je suis Dominant.
- Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance.
- Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres.
- "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter."
- "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?"
- "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?"
- "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM."
- "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner."
Je suis Dominant.
Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge.
Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez.
Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences.
Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM.
Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence".
Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas).
En conclusion :
La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..)
Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent.
Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux.
Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ?
La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ?
Allez savoir..
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître !
https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
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Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler.
Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts.
Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal.
Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage.
Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin.
À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité.
Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices.
Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour.
Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps.
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Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués.
Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter.
Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps.
Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet.
Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot.
À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents.
Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre.
Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes.
D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé.
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Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe.
Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir.
L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes.
Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille.
Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids.
Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander.
Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité.
Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie.
Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû.
Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient.
Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant.
Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse.
Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !"
Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail.
D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi.
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Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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Imaginez-vous face à moi, l'inconnu. A la fois effrayée, à la fois fascinée. Ne sachant quoi ressentir, ni comment vous comporter.
Je vous dévisage de haut en bas, sans aucune gène, à vous faire ressentir qu'à cet instant vous êtes ma proie, et que vous n'avez pas mot à dire.
Votre esprit vous pousse à vous hérisser par instinct de défense, mais vous fait rougir l'instant d'après, en voyant mon sourire narquois à constater que cela ne va en rien me faire sourciller.
Vous entreprenez de me parler, pour éloigner cette gène des plus oppressantes, de vous ressentir enfant à l'heure de la punition.
La punition d'une vie, mise sur le bas côté.
J'empoigne votre cou de ma main ferme, et de l'autre vous lie à moi derrière votre dos. Incarcérée de mon étreinte, vous sentez la chaleur de votre corps s'intensifier, et votre cœur battre à la chamade.
Vous regardant droit dans les yeux, j'entreprends maintenant de vous prendre par la tignasse, projetant votre tête à l'arrière.
"Voilà ce que j'attends de toi" ; Vous dis-je d'une voix limpide et sans équivoque :
"Je veux que tu me fasses Bien Bander. Et pour cela, tu vas faire exactement ce que je te dirais de faire. Est-ce Bien Clair !?"
Me regardant, sans bouger d'un pouce, de peur de voir vos émotions déborder, et se disperser aux 4 vents, je prends en bouche votre cou.
Vous sentez mes lèvres sulfureuses... puis mes dents, pouvant vous croquer et vous assener un coup fatal.
Un coup pouvant vous marquer de mon empreinte de Mâle, prêt à se rassasier de votre chair devenue bien tendre...
Tout en maintenant mon étreinte, je vous laisse les bras ballants pendant que je caresse votre visage, et parcoure votre corps, en insistant bien sur cette poitrine qui ne tient qu'à être martyrisée par mes soins.
Faire ressurgir cette envie de servir l'homme dans son avilissement, et sa bestialité.
Je bute déraisonnablement contre vos tétons maintenant très durcis, avouant que ce n'est pas la délicatesse qui vous fera jouir. Mais bien mes besoins à me satisfaire entièrement de vous, sans la moindre concession.
Je vous retourne prestement, juste pour avoir le plaisir de sentir votre "petit" cul se frotter contre mes couilles. Une jolie attention que je m'octroie, et qui vous suggère, qu'il va falloir vous donner entièrement à moi pour que je vous offre ma Pine.
Nous dansons d'un ballet tournoyant, et constate que vous suivez bien le rythme de mon excitation.
Je vous amène prêt de mon lit, je m'assois, et vous met debout, droit devant moi.
Fébrile à ma vue, je fais le nécessaire pour dégrafer votre pantalon, l'abaissant jusqu'à vos pieds.
Je m'attarde maintenant sur votre culotte, que j'abaisse de gauche à droite de coups secs.
"Tu te dois de bien être mouillée, pour que je puisse bien te démonter la chatte."
"Mais peut être que j'aimerais plus encore que tu sois entièrement sèche, afin de me régaler de tes parois serrées."
"Voyons cela..."
D'un geste précis, j'engouffre mon index dans votre intimité, ne vous ménageant pas à bien tourner à l'intérieur, pour un recueillir toute la sève.
Ressortant ce doigt odorant et humide, je vous l'engouffre l'instant d'après, au fond de votre gorge.
"C'est un bon début."
"Alors comme ça, tu as laissé à l'abandon ce corps qui ne demandait qu'à servir !? Quelle honte."
Vous retournant sur le lit en position de levrette, je vous fesses maintenant d'une main claquante.
"C'est tout ce que tu mérite."
Marquant simplement quelques arrêts à empoigner votre tignasse, et regarder ce visage honteux qui ne sait plus où se mettre, à part se soumettre.
Je vous met à nue, vos vêtements volant dans la pièce.
Vous êtes sur le dos, vos mollets fermement empoignés par mes mains. Je vous relève, et vous écarte les jambes, pour m'offrir l'entière vue de votre corps m'appartenant.
"Ne bouge pas d'un pouce, Tiens la pause."
Je vous attache les mains aux pieds, de sangles en cuir.
Offerte, dans la position la plus obscène qui soit, je vous cale à hauteur de ma queue, que je ne vais pas sortir pour rien.
Je vous goûte d'une langue appuyée, de toute la longueur de votre fente, vous regarde de toute ma candeur d'homme, et vous pose la question suivante :
"Tu es quoi pour moi !!?"
« Je suis... tienne. Je t’appartiens. Je suis là pour ton plaisir. Je veux te montrer à quel point j’ai envie »
Je te prends par la mâchoire, et te fesses d'une main cinglante ton "petit" cul relevé.
"Tu parle trop."
"Tu es quoi Pour Moi !!?"
"Ta soumise."
A ces mots, tu te raidis de tout ton être, ne comprenant que trop bien ce que tu me signifie ouvertement.
Tu te sens calme dans l'esprit (Tu arrives à transformer cette situation en "défi"), mais ton corps lui est pris de panique, et se contracte au maximum.
Je ne desserre en rien ta mâchoire, et t'impose à bien ouvrir la bouche, et te faire tirer ta langue à l'extrême.
Lorsque j'estime l'avoir ouverte à ma convenance, je laisse écouler une longue coulée de salive, tombant d'abord sur ta langue, et s'infiltrant irrémédiablement au fond de ta gorge.
"Si tu l'ouvre, ce n'est pas pour raconter ta vie. Tu existes pour me servir. Ta bouche est un orifice que je vais éduquer à me satisfaire."
Appuyant bien ta tête contre mon oreiller, pour bien te le faire mémoriser.
Je m'éloigne l'instant d'après de ton corps, et commence à me déshabiller entièrement.
Tu as une sensation de fraicheur "bizarre", comme si la pression que je t'avais donnée, te gelait maintenant de toute tes entrailles, de mes deux mètres de distance.
Nue, offerte, souillée, attachée, tenant cette pose obscène... Tu refusais de t'avouer, d'autant plus à cet instant, que tu avais besoin d'un homme.
Mais tu ressentais ce "vide" mainte fois convoité par ton esprit. Laissant tes obligations et tes principes de côté, devenant bien obsolètes face à ta condition actuelle.
Ton regard était fixé sur mon corps, te remettant en "apnée" (Le souffle coupé).
Après avoir enfilé une capote, je me mettais à ta hauteur, ma queue butant maintenant contre ta vulve.
Je te fixais d'un air exigeant.
"Qu'est-ce que je t'ai dis !!!"
Spontanément, tu te surprends à ré-ouvrir ta bouche, et bien tirer ta langue comme jamais.
"J'aime mieux ça !"
Prenant ma queue et te la mettant directement au fond de ta chatte.
Je prenais maintenant un malin plaisir, à assoir mon poids sur toi, pour bien te la mettre jusqu'à la garde.
Tu te sentais plus vulnérable que jamais, laissant échapper un râle de satisfaction, autant d'inconfort.
Je maintenais cette pose, voulant que ta sève imbibe mon membre de l'intérieur.
A la fois, tu te ressentais serrée, à la fois ton corps se sentait à sa place à me recueillir.
Je commençais à te vriller le vagin en tournant à l'intérieur. Une danse que je t'avais préalablement appris à faire..., et ton corps emboitait le pas.
Mon premier coup te prit par surprise. Un coup de reins te faisant avoir un soubresaut. Une sensation nouvelle de possession prenant tout son sens.
"Tu es quoi pour moi !!?"
"Je suis celle qui est là pour te servir."
Je te caresse la joue, attendant une nouvelle mauvaise réponse de ta part.
"Ta soumise."
"Alors comme ça tu veux être Ma Soumise..."
doublé d'un coup de queue ferme et appuyé.
"Parce que tu crois que tu me mérite !?"
doublé d'un coup de queue ferme et appuyé.
Je te prends maintenant de mes deux mains sur ton cou, et simule une strangulation.
doublé d'un coup de queue ferme et appuyé.
Par défi, et parce que le rythme te convient, tu te complais à avoir un sourire revanchard et rebelle.
Je me retire de toi prestement... Me rapproche de ton visage et te dis :
"Tu te crois où ici !!?"
Te sentant penaude. Tu aurais tendance à tourner le visage...
Mais je te recadre la tête aussitôt, remettant ma pine au plus profond de toi.
Un coup sec te signifiant que tu m'appartiens, et qu'à chaque coups de ma queue, je te donne de la valeur à mes yeux.
"Tu es quoi pour moi !!?"
"Ta soumise. Reconnaissante."
Te culbutant maintenant ouvertement avec excès, je visualisais ton devenir. Toi, cette femme qui parlait beaucoup trop.
Une projection, qui n'avait d'égale que ton sourire à encaisser mes coups de queue bien ancrés dans le présent, avec un plaisir non dissimulé.
(Ce qui était une avancée en soi)
Je m'arrêtais, me mettais à la hauteur de ton visage, et te murmurais à l'oreille :
"Qu'est-ce que j'attends de toi !?"
La suite par vos mots...
*Jeu ludique sans limitation de durée.
Scénario à construire et à incrémenter par "vous" femmes prétendantes Soumises /Soumises Novices ou expérimentées.
Un écrit dans les commentaires de votre part = Un écrit du mien à sa suite, pour conserver le rythme du scénario.
Si doublon, par deux membres s'exprimant dans le même temps dans cet exercice de style = Je choisirais l'écrit le plus pertinent.
Je m'occupe de la modération pour conserver la lisibilité des écrits.
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(Réédition du 24/05/2020 -> 06/04/2024 - 1026 Vues)
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"Je me présente ; Stéphanie.
Je suis une femme assez élancée et svelte (174 pour 62kg), mes cheveux sont châtains et mi longs.
Actuellement dans une relation vanille qui ne me convient pas, je me sens frustrée.
Je me suis pris d'excitation à exprimer mes pulsions refoulées, que je pense BDSM.
J'ai envie d'en parler, de comprendre, d'être initiée, dans la confiance et la discrétion."
Depuis approximativement 1 an, certains profils particuliers fleurissent en ces lieux. Profils spécialement créés pour contrer le nombre de bannissements effectués "à la racine" par les modérateurs du site BDSM.fr (Ou la dénonciation par ses membres).
Dans un esprit de clarté, ainsi que de savoir s'adapter à la "menace" de ressembler à d'autres sites payants lambda, où ces profils pilulent, et sont créés par les instigateurs/modérateurs eux mêmes, je me propose de vous l'énoncer en détails.
A qui s'adresse cet article ?
Principalement, à celles et ceux pratiquant le BDSM.
Le titre et le visuel de cet article favorisant la vue par des éléments masculins, sa lecture permet cependant et surtout à la gente féminine de comprendre en partie, la recrudescence des hommes "non-Dominants" sur les sites liés au BDSM.
Mais qu'elle est cette technique particulière de création de profils ?
Elle se passe en 3 temps ;
Étape Numéro 1 : La création d'un profil de Soumis(e) évoquant un désir de s'exprimer, de dialoguer, avec une certaine évocation d'ouverture à l'autre.
Ces profils sont généralement dans l'orientation sexuelle "bi" pour toucher un maximum de public.
Et là où se caractérise cette technique, c'est que dans leurs premières créations de comptes, ces individus ne mettent pas de photos d'avatar, et n'ajoutent en aucun cas de membres en favoris. (Pour éviter le sus nommé bannissement d'être découvert trop vite d'une photo falsifiée/en inéquation/récupérée sur le net)
Ces créations de profils peuvent se cumuler jusqu'à 5 à 10 par semaine, et sont essentiellement créés entre 23h00 et 6h00 du matin en dehors de l'affluence du site.
Étape Numéro 2 : Entre 12h et 24h plus tard, ces individus ajoutent une première vague de membres (Entre 5 à 15 généralement pour la première fournée)
Ce temps de déconnexion ayant servi à laisser le temps au "pingouin" de "faire une demande d'ami" ou d'écrire un commentaire sur son mur.
(Les membres masculins étant "rapides" à vouloir tchatter dès la demande d'ami acceptée, c'est une autre source de communication à se trahir, se faire dénoncer et bannir. Tandis que si ceux-ci sont ajoutés en masse d'une seule fournée, cela suggère que l'on est accaparée/occupée ailleurs et que l'on ne peut répondre)
Les pulsions et le noviciat se faisant, en résulte qu'il est plus facile de voir ce que l'on veut croire, et par défaut de cliquer, parce que l'on ne sait jamais. Une sensation donnant vie et matière à une "concurrence" virtuelle, et une potentialité à pouvoir être le "premier".
Étape Numéro 3 : L'ajout d'une photo d'avatar la plus part du temps recadrée et l'ajout d'une "phrasette" sur leur mur ou en complément de leurs profils (Cela peut correspondre à leurs "âge", ou plus informel.) Qu'importe, du moment que cette petite touche légitime leur existence, et ne peut être affilié à un faux profil fait à la volée.
Quel est l'objectif de la création de ces profils ?
La fidélisation d'un public :
En premier lieu, et "je vais mettre cela sur les crédits d'autres sites", ce n'est pas tant les femmes désireuses de se lancer dans le domaine du BDSM qu'intéressent les individus mal intentionnés, mais Ceux/celles capables de débourser de l'argent pour les atteindre.
Et se faisant, pour fidéliser le "pingouin", il faut lui donner une voie à se dire dans sa petite tête d’écervelée qu'il/elle puisse avoir une chance ne serait ce que d'échanger avec l'une d'entre elles/lui.
Car après tout, donner vie à un personnage, c'est le faire exister de par ses "faire valoir" qui l'entourent, par leurs volontés de se démarquer dans leurs mots, ou dans leurs photos.
Une sensation galvanisante qui accoutumera le "pingouin" en question, qui n'aura de cesse de se connecter, ne serait-ce que par l’appât à pouvoir concrétiser du jour au lendemain.
L'Utilisation frauduleuse :
En deuxième lieu, l'utilisation de photos, de vidéos, voir de textes du "pingouin".
Car dans son égo surdimensionné à vouloir se positionner, le "pingouin" pourra ne pas hésiter à évoquer son expérience de par ses prouesses en terme BDSM.
Se donnant sous forme d'images/photos, vidéos, voir textes... Il s'en trouve qu'il est plus intéressant pour l'individu malicieux, d'obtenir de l'autre un groupe hétérogène d'éléments visuels. Pour les réutiliser dans la conception d'un profil plus complet et crédible sur un autre site, où dans l'intimité d'un échange sur une autre plateforme commune de tchat (Lorsque les choses sérieuses commencent, et qu'il faut ferrer l'animal).
En clair, de par ces "donations" créer une identité, donnant l'illusion que l'on échange avec une personne qui "existe", laissant libre court à générer une égérie virtuelle.
Troisième étape : Le cheminement académique des rabatteurs/rabatteuses... Soit dans un vol de données liés à des jeux en ligne, l'orientation vers des sites frauduleux lui donnant accès à vos informations etc. etc.
Ou tout autant, au vue de la pression du "pingouin" à vouloir l'obtenir, des offrandes d'achats en ligne.
Ce qu'il faut retenir, dans cette technique qui se démocratise, ce n'est plus le simple rabatteur en ligne qui essai de vous voler qui est à l'ordre du jour, mais le "geek" se croyant malin parmi des "pingouins", qui vous fidélise et vous oriente.
(On va dire que c'est l'étape au dessus, du simple nom d'avatar crée spécialement pour faire ressortir ses commentaires et générer des "vues" vers son site, par le référencement Google :b)
Dans un ordre personnel, ce genre de pratiques est facilement "contrable", déjà à savoir l'objectif de l'individu.
Si ses informations d'ajouts sont visibles par toutes et tous, c'est que c'est un "faux-profil" pour toucher un maximum de public et faire jouer la concurrence (Visibilité).
A contrario, pour un "faux-profil", créé par des Masochistes essentiellement Brat, ou femmes en berne... à un moment donné, elles ferment ce genre d'informations au regard du public, de peur justement d'être grillées dans leurs objectifs d'espionnage ou de foutage de gueule (Le bannissement étant pour elles, beaucoup plus préjudiciable).
Quelles sont les répercussions à ce genre de pratiques ?
Il n'en sort pas que du négative ou du suspicieux.
Toujours dans un ordre personnel, les "pingouins" sont donc facilement identifiables, puisqu'il suffit juste de visualiser leurs listes d'amis. (L'intérêt de ce genre d'information, à proprement dit, est d'avoir un son de cloche sur les "professionnels" tous domaines confondus arpentant le site, et les "baltringues")
Car maintenir ce genre de profils dans ses "amis", c'est une preuve de laxisme ou d'espérance, qui n'est pas en adéquation avec la Domination/Soumission tout du moins.
Les "crises" contribuent-elles à l'expansion de ce genre de pratiques ?
Assurément oui.
A la base, les comportements Dominants/Sadiques et Masochistes/Débauchées ont toujours su s'exprimer clairement sur le terrain, pendant les "crises" qui ont traversés l'humanité dans son histoire, qu'elles soient guerrières, virales ou monétaires.
Ce qui fait qu'entre la peur des uns, et la galvanisation d'exister et de survivre des autres, il n'y a que très peu d'intérêt à côtoyer des plateformes liés aux plaisirs ! Une perte drastique de dépendant(e)s au sexe entrainant une surabondance de "tape à l’œil" pour de nouveau fidéliser le moindre "pingouins" courant dans tous les sens.
Deux vérités seront toujours à prendre en compte :
L'homme sera toujours prêt à payer pour du sexe.
La femme sera toujours prête à payer pour de l'amour.
Et si certain(e)s s'y prennent l'idée à s'ouvrir à la prostitution virtuelle, à travers l'évocation qu'on leurs fasses des donations parce que c'est la mode, d'autres en profitent pour sortir leurs nouveaux livres romancés au possible.
Le rabattage étant de le réaliser à la chaine, ces pratiques s'épanouissent sans modération (Vous saisissez le véritable sens de "sans modération" ?! :b ).
Les prétendantes Soumises/Switch, sont-elles concernées par cet article ?
Au vu que ces profils ont tendance à passer sous les radars des modérateurs, avoir "Un Dominant ou un ex-Dominant" s'affilier à ce genre de profils, c'est bien-sûr s'exposer à qu'il donne de ce qu'il a fait, et non sur ce qu'il est.
Peut être un jour, si vous ne leur remontez pas leurs bretelles avant, que vous aurez le plaisir de faire Bien Bander des inconnus dans d'autres contrées. (Et c'est du même acabit pour les hommes se retrouvant sur des sites Bi/Gay)
Ceci dit, il est très rare que les Soumises/Dominants consultent les profils de leurs Consœurs/Collègues. Et même si démocratisée actuellement, cette technique ne date pas d'hier.
Inutile donc de paniquer sur mes propos, puisqu'à l'origine ce qui est invisible à vos yeux ne vous atteignaient pas par le passé, donc aucune raison que cela ne le soit également maintenant.
En conclusion :
Prônant la sélection naturelle, et sachant que la sociabilité étant de mise pour ne pas que l'anarchie règne, les "pingouins" sont ce qu'ils sont ; Une alimentation comme une autre.
Comme les "moutons", il faut juste réduire leurs nombres sous peine de ne plus s'entendre parler, et transformer ce site spécialisé en une bétaillère de plus.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/4500/lamour-brat-lamour-fendu-en-deux -> L'Amour Brat ; L'Amour fendu en deux.
https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant.
https://www.bdsm.fr/blog/4265/toujours-plus-vite-toujours-plus-haut -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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-Dans une heure. Tenue 21. Position 14. Maitre Pal raccroche sans un mot de plus.
Marion tremble déjà. Elle regarde sa montre. Elle n'y sera jamais à temps. Elle se met nue et enfile un imper vert avec des bottes caoutchouc rose. Elle saute dans sa petite auto et fonce tremblante dans les rues endormies.
Maitre Pal habite à la campagne, une maison isolée. Elle aura beau crier, personne pour l'entendre, à part les corbeaux qui volent bas. Elle a la peur au ventre. Elle aime sentir cette peur. Elle commence à mouiller.
Elle arrive enfin et fait crisser les graviers de la cour. Elle se précipite et sonne. Maitre Pal ne répond pas. Marion a la trouille. Elle n'ose pas sonner une deuxième fois. Avec la peur, elle a envie de pisser. Elle va dans le jardin et pisse comme une chienne au pied du marronnier. la porte s'ouvre. Maitre Pal, sort, torse nu, un jean et ses bottes cuir . Une montagne de muscles et de poils. Une véritable bête. Il est terrifiant. Marion baisse les yeux et se rapproche tremblante.
-Tu pisses dans mon jardin? Qui t'as donné la permission?
Marion ne répond pas, nouée par la peur. Une série de baffes partent. elle doit tendre les joues. Maitre Pal l'empoigne par les cheveux.
-Tu es en retard?
Des larmes coulent sur les joues en feu de Marion. Elle mouille et coule. Une bonne chienne docile.
Maitre Pal l'attache sur une chaise et sort sa cane anglaise. Les coups pleuvent. Elle saigne mais ne se plaint pas.
Maitre Pal la laisse et va boire un bourbon. Elle reste le cul sanglant bien à l'air. Sa douleur se transforme en plaisir. Oui elle adore recevoir et être martyrisée. Et cette trouille dans le ventre devient orgasme. Elle aime Maitre Pal. Lui, l'ignore, la traite en pisseuse. Marion est une loque, un chiffon mouillé, une serpillère. Elle obéit en tout et pour tout. Ce n'est plus une soumise, c'est une esclave. Elle a renoncé à tout. Maitre Pal est son Seigneur. Sa seule peur véritable, c'est qu'il vienne à se lasser d'elle.
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(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues)
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Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles.
Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles.
Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel...
A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués.
De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie.
L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader.
Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable !
Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas.
A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter.
Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante :
Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Pourquoi faudrait il toujours du sexe dans des relations Maitre esclave? Jésus aimait Jean et il l'aime toujours. Jean n'est peut être pas ce que l'on croit. Si Jésus était totalement platonique dans ses amours, totalement mystique, je n'ai aucun doute là dessus, je "sens" que Jean aimait les jolies femmes et que ces dernières le lui rendaient bien.
Jean était l'esclave de Jésus. Une sexualité totalement transfigurée avec son Maître. Une sexualité faite de présence seulement, une sexualité en esprit. C'est la forme la plus belle. Il n'est plus besoin ni de mots ni de caresses. C'est une sexualité par sublimation totale du désir, une sexualité qui oblige à donner le meilleur de soi même. Par un paradoxe c'est une sexualité sans efforts, une sexualité qui donne sans compter, une sexualité qui oublie qu'elle est une sexualité.
Jean aime Jésus d'un amour sans limites. Il est le seul qui ne se dérobera pas, le seul des apôtres qui assistera à la crucifixion. Les autres eurent peur, ils se cachèrent ou pire se renièrent. Mais Jean ne fit rien de tout cela car il aimait. Et l'amour pur ne craint jamais la mort. L'amour pur est la vie.
Jésus aime Jean pour cela. Le toucher, avoir une relation sexuelle physique, ce serait comme altérer cet amour. Ils n'eurent jamais besoin de s'aimer en chair. L'amour en esprit se suffisait à lui même.
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C'est le "camarade" paranoïaque Joseph Vissarionovich Stalin qui eut l'idée. Seul un démon pouvait avoir pareille idée mais pour le camarade Stalin le mot démon était faible. Peu d'êtres portant le titre d'humain peuvent se féliciter d'avoir assassiné plus d'un million de personnes et ce depuis que le monde existe. Le camarade Stalin est lui proche du record absolu en ce domaine. Comme tous les paranoïaques au pouvoir, il a toujours voulu tout savoir, tout contrôler, tout diriger. C'est pour cela qu'il lança, dès sa nomination au poste de secrétaire général du parti, c'est à dire dès qu'il eut les pleins pouvoirs, l'opération ultra secrète du nom de code "Katiousha".
En bon démon, le camarade Stalin savait que son cerveau ne fonctionnait pas comme celui des autres, les moutons, les brebis. Non, lui, il "sentait" les autres et reniflait les complots. Un démon terrifiant et presque invincible car dans le doute, il tuait toujours d'abord et réfléchissait après. Le camarade Stalin sentait bien qu'il devait exister d'autres démons comme lui sur le sol de la sainte Russie, des démons aux pouvoirs étranges, qu'il était préférable de connaitre, d'utiliser ou d'éliminer. Il organisa donc en douce une détection systématique. Mais comment expliquer cela à de stupides moutons fonctionnaires à colliers? Il créa donc lui même des tests qui semblaient anodins et demanda une prospection générale dans toutes les écoles de l'Empire. Les professeurs ne comprirent rien aux tests et pensèrent qu'il s'agissait d'une lubie administrative de plus. Mais Stalin en recordman du crime savait très bien ce qu'il faisait. Seules deux ou trois personnes pourraient répondre à ce qu'il recherchait d'après ses propres calculs de probabilité. Ils ne cherchait pas de simples démons, ceux là pullulaient, il en existait même bien plus que des humains. NOn, il cherchait un ou une super démon, une exception. Et en suivant son intuition, une seule personne fut capable de réunir toutes les conditions des tests. Ce fut Maria, une orpheline qui vivait dans un petit hameau perdu de la sombre taïga et profonde Sibérie.
Il la fit convoquer aussitôt au Kremlin. Maria parlait peu mais elle n'en avait pas besoin. Les autres comprenaient toujours très vite ce qu'elle désirait qu'ils comprennent et obéissaient....personne pour lui résister. Et Stalin n'eut besoin que d'un regard. Il sentit un flot d'ondes psy essayer d'envahir son cerveau. Il tira sur sa pipe et se mit à sourire à Maria.
-Enfin, je t'ai trouvée, lui dit il et il la serra contre son cœur. Et je ne te laisse pas 5 mn. Où tu m'obéis en tout et pour tout où ta vie s'arrête ici. Il n'avait pas besoin de revolver. Ses mains puissantes pouvaient briser le cou de Maria en un instant. Le geste était non équivoque.
Maria éclata de rire. Elle n'eut pas besoin d'ouvrir la bouche. Elle se rependit dans le cerveau de Stalin en ondes amicales.
Elle n'eut pas besoin de bureau, ni de secrétaires, ni de gardes. Elle reçu juste un traitement de membre de la plus haute nomenklatura et une datcha en dotation juste à coté de celle de Stalin.
Ce dernier venait souvent la voir et boire le thé, fumer sa pipe et se détendre avec Maria. Oh jamais de sexe entre eux, d'ailleurs Maria était complètement asexuelle, non, juste des rencontres de travail au calme. Et quel travail.....
J'espère que vous aurez compris ce dont je voulais parler dans cet article....
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[Aux lecteurs de passage, je souhaite partager avec vous, et sur les conseil de mon Maître adoré, quelques brides de textes que je lui ai expédié. Une façon pour moi de lui rendre hommage ici]
I - LE COLIS
" Bonjour à vous Monsieur,
Votre soumise swann, en mode agent secret ce midi, a pu enfin récupérer son coquin colis, sous le regard pantois des nombreux clients de ce bistrot de campagne, occupés à prendre l’apéritif à cet heure propice… S’ils savaient… Est-ce qu'un seul d'entre eux peut imaginer ce qui ce cache sous mes airs de mère de famille très sage ?
Vous me connaissez assez pour savoir que je n’ai évidemment pas pu résister à l’envie d’ouvrir discrètement le petit carton sans plus attendre : un plug, une combinaison en vinyle et une cagoule de la même matière. Je suis donc repassée chez moi, sachant qu’il n’y avait personne… ce qui m’a permis de faire mes essayages très tranquillement. Quelle belle salope je suis ! Je suis fière et heureuse de porter la tenue que vous avez spécialement choisi pour moi. Je m'y sens à l'aise, prête à vous servir de la sorte. Le retour au travail fut assez étrange. La swann n’était pas très concentrée…totalement déconnectée même !
Je n’ai donc pas eu le temps de déjeuner ce midi, mais si mon estomac est vide, c’est mon cul que j’ai bien envie de remplir de mon nouveau jouet : le robebud noir. Il me fait terriblement envie… j’aimerais beaucoup l’essayer. Sa texture est juste démentielle, semblable a de la peau très douce. Sa forme et ses dimensions sont parfaites, telles que je les imaginais. Quand on l’agite, on peut sentir une lourde bille se mouvoir à l’intérieur…Je suis curieuse de savoir quelles sensations cela pourrait me procurer au plus profond de moi… Voilà un outil idéal que je ne vous remercierais jamais assez d’avoir choisi avec moi.
Je rêve du jour où vous me baiserez avec ce plug en place entre mes fesses…"
II - EXHIBITION INVOLONTAIRE
"Savez-vous qu'hier, après ma journée de travail, et avant de me rendre à la salle de sport, je suis allée dans mon institut/spa habituel pour mes épilations ?
J'aime mes douces séances de "torture" comme je les appelle... C'est la jeune Aurore qui s'occupe de ma petite toison... C'est une brune aux cheveux longs, douce, pulpeuse avec une belle poitrine opulente et des lèvres bien dessinées. Elle me fait écarter grand les jambes en toute indécence, passe du talque sur mes petites lèvres puis l'étale doucement avec ses mains, frôlant mon clitoris au passage, avant d'appliquer la cire chaude. Quand elle se penche au dessus de moi, je peux parfois sentir ses seins lourds me frôler...c'est une sensation très agréable, qui me fait oublier la douleur quand elle tire sur chaque bande de cire. Le meilleure moment est à la fin, quand elle a terminé, elle applique une huile apaisante en me massant...c'est très sensuel.
Après ma séance, je me suis rendue comme d'habitude au vestiaire pour prendre une douche...et là, au moment de déverrouiller et d'ouvrir la porte, j'entends un drôle de bruit au niveau de la poignée et le verrou qui tourne dans le vide. Bon, pas de panique, je me dis que j'ai du faire une fausse manipulation, je garde mon calme et tente d'ouvrir à nouveau...sans succès. J'appelle pour voir si quelqu'un peut m'aider, mais il est près de 19h et il n'y a plus personne dans les parages. Par chance, j'avais emporté mon téléphone avec moi dans l'idée de faire un petit selfie. J'ai donc téléphoné à l'accueil de l'institut. Je suis tombée sur le patron, H.. C'est un homme de 45/50 ans, de ma taille (1m75), un brun ténébreux, chemise blanche toujours impeccable. C'est une personne souriante, avenante et aussi un homme attirant, ce qui ne gâche rien. Il été désolé, voire gêné, de la situation et m'a dit qu'il restait en ligne avec moi pour ne pas que je me sente délaissée, ce que j'ai apprécié. J'ai plaisanté en lui disant que je n'étais pas claustrophobe. Il a été se munir de tourne-visses et je l'ai entendu bricoler au barillet pour le démonter. Cela a pris un certain temps quand même...en tous cas ça m'a semblé long. J'ai eu peur un instant qu'il ne réussisse pas à résoudre la situation ! Durant tout ce temps, il n'a cessé de me parler (il a un casque pour répondre au téléphone à l'accueil, ce qui lui laisse les mains libres) pour me rassurer et me dire où il en était et en faisant de l'humour pour détendre l'atmosphère. Quand il a enfin réussi à ouvrir la porte, il m'a trouvé planté devant lui, une serviette blanche enroulée autour de mon buste, jusqu'à mi-cuisses et j'ai vu un éclair de malice passer dans son regard, qui m'a scanné de haut en bas. Il s'attendait peut-être à me trouver habillée, mais je ne prends pas mes vêtements avec moi dans la cabine de douche pour ne pas les mouiller. Il a vu que son regard insistant ne me gênait pas du tout, que cela ne me déstabilisait pas et que je le regardais droit dans les yeux. J'avoue qu'à ce moment là, de lubriques envies de salope me sont soudainement passées par la tête. La situation aurait peut-être pu déraper... j'aime à le penser en tous cas ! Je l'ai remercié évidemment en l'appelant "mon sauveur" en plaisantant, avant d'aller me rhabiller. Au moment de régler en caisse, il m'a glissé un compliment sympa, ce qui m'a flatté. J'ai beaucoup pensé à mon Maître qui aurait été, je l'espère, fière de moi et de mon exhibition involontaire. Le patron m'a offert la prestation pour se faire pardonner de ce petit désagrément.
Sympathique moment, non ?"
III - AU BUREAU
"Ce matin au bureau, j'ai vécu un petit moment plutôt émoustillant que je souhaite partager avec vous Monsieur...
Cela concerne une de mes collègues, une jeune femme que je trouve très séduisante, toujours très féminine et apprêtée. Elle a un beau visage expressif, les traits fins, ce qui lui donne beaucoup d'élégance.
Je me suis retrouvé avec elle dans le local de reprographie. Elle était en train de s'agacer avec la machine. Je l'ai évidemment aidé à faire ce qu'elle voulait en bonne collègue sympa que je suis !
Puis tout à coup, sans que je m'y attende, elle à relevé sa robe jusqu'en haut de sa cuisse droite, en soulevant son pied du sol et tendant la jambe, m'interpellant avec un grand sourire :
-"As-tu vu mes nouveaux collants, ils sont beaux hein ?". Elle m'avait littéralement scotché et bien évidemment mes yeux se sont posés là où elle le souhaitait.
Elle m'a donné a observer des collants opaques noirs jusqu'à mi-cuisse et plus haut la matière est différente, en voile fin, ce qui fait un effet de bas en trompe l’œil tout à fait réussi !
Je lui ai dit, en répondant à son sourire, que c'était très sexy et vraiment très joli, qu'elle le portait très bien. D'un petit air coquin elle me lance
- "oui, tu as vu ça comme c'est sexy, j'adore !"...et ensuite elle m'a expliqué où elle les avaient eu et à quel prix. Voilà qui égayé ma journée ! Pour autant je pense qu'il ne faut pas y voir là autre chose qu'une femme naïve aux gestes innocents. Elle devait être vraiment fière de son acquisition voilà tout. C'est mon esprit mal placé qui a tendance à voir la malice là où il n'y en a pas... quoique... sourires…"
J'embrasse mon convoité Maître comme il se doit
Votre dévouée swann
[photos perso]
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