La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 05/01/20
Suite de l'histoire: c'est beau d'avoir une soumise qui les mérite. Nous étions donc restés au moment où la petite demoiselle aux yeux expressifs et au sourire félin était soumise à l'examen médical pour son entrée à l'Académie. Les bras et les jambes attachés en croix sur une table, entourée de deux éducateurs, pendant qu'un troisième la regardait en se faisant sucer par une élève plus avancée. Avant l'examen, on plaça un masque sur ses yeux. Elle ne pouvait plus qu'entendre les voix dures, les petits rires secs de ses examinateurs pendant qu'ils manipulaient et jouaient avec son corps Et sentir leurs mains qui palpaient et trituraient sa chair, explorant ses recoins les plus intimes Elle sentit son corps tiré, caressé, tapoté par endroits. Puis un cri involontaire, aigu comme celui d'une petite fille, sortit de sa gorge quand elle sentit les ongles s'enfoncer dans la chair de sa hanche Les gestes se répétèrent sur ses aisselles, ses pieds, ses côtes. D'abord des caresses, comme pour chauffer la peau, puis des coups ou des griffures, et chaque fois ses cris ou ses halètements étaient accueillis par un petit rire ou un soupir d'aise. Les maîtres s'amusaient de ses réactions, jaugeaient et se plaisaient à prolonger ses tourments Son souffle lui resta dans sa gorge. Une main s'était posée sur chacun de ses seins Son ventre se contracta et les larmes montèrent à ses yeux sous le masque alors que le même rituel recommençait. La main pétrissait la chair tendre, fragile et intime, et semblait comme tenir une partie de son esprit entre ses doigts. Elle était si vulnérable, si offerte, incapable de cacher quoi que ce soit. Ses réactions lui échappaient complètement. Quand les doigts se refermèrent sur ses tétons, et commencèrent à tourner, elle se retint de hurler. Un simple sanglot étouffé secoua son diaphragme Puis la douleur la fit crier, et la voix de son tortionnaire monta à ses oreilles: "Ah! On a une petite crieuse. Continue comme ça, chante pour moi!" Une fois, deux fois, cinq, dix, quinze fois, les doigts tordirent la chair de ses tétons, et tout son corps se cabra sous la douleur. Elle ne se retenait plus, ses cris partaient comme sortis tout droit de sa poitrine Quand la main se reposa à plat sur ses seins et que les voix se mirent à parler entre elles, elle n'arrivait même plus à comprendre ce qu'elles se disaient Une minute de calme s'ensuivit. On notait sa sensibilité, la fermeté, on parlait d'hormones et de compléments alimentaires à lui administrer Puis la main monta, caressante, et retomba lourdement sur sa gorge. La voix s'approcha de son oreille et murmura "maintenant, les examens des orifices" Tout son corps se cabra, mais les liens étaient bien trop serrés, et la seule chose qui en résulta fut un nouveau rire sec de la part du maître, qui resserra son étreinte et continua: "Oui, tu peux te débattre, vas-y. J'aime te sentir te tortiller comme ça, et ça rendra les choses encore plus douloureuses. Continue." Et sans prêter plus attention à ses réactions, il continua à serrer doucement jusqu'à ce qu'elle se sente étouffer. Puis, alors que sa bouche grande ouverte cherchait à tout prix un peu d'air, il enfourna un gros appareil en métal froid entre ses mâchoires Sa langue fut repoussée jusqu'au fond de sa bouche, et ses lèvres douloureusement écartées par cette boule. Mais ce fut après, doucement, que la douleur monta vraiment D'abord dans la mâchoire, puis dans les joues, et enfin au fond de la bouche alors qu'elle luttait face à cet envahissement et que la panique prenait le dessus Quand elle entendit un petit crissement, et qu'elle sentit la boule s'ouvrir encore, la douleur et la peur firent trembler tout son corps. Son esprit semblait paralysé, elle ne pouvait pas penser, pas se détacher de la terreur de sentir sa bouche écartelée ainsi La voix revint près de son oreille, murmurant doucement avec une pointe d'ironie: "Encore beaucoup de travail de ce côté. J'espère que tu aimes mon amie la poire, parce qu'elle va revenir souvent entre tes mâchoires" Elle se rapprocha encore, tout près et reprit "Voyons voir si tu es aussi serrée en bas" Et aussitôt, elle sentit une autre main se poser sur son pubis, et se refermer inexorablement sur ses parties les plus intimes La douleur dans sa bouche rendait son esprit confus, mais chaque mouvement de cette main lui parvenait si distinctement qu'elle aurait pu croire qu'elle la voyait d'abord le long de ses lèvres, doucement, pour les écarter Puis en bas des lèvres, un moment, pour tirer sur la peau, tester sa flexibilité, pincer encore Puis de nouveau plus haut, jusqu'à l'ouverture de ses lèvres internes, et quand le doigt se posa sur son clitoris, elle eut l'impression de ressentir chaque pore appuyer sur sa peau au ralenti Puis de nouveau une sensation froide. Un instrument en métal venait s'insérer autour de son clitoris. Le froid la fit sursauter malgré les liens L'instrument resta un instant puis elle ne le sentit plus, on avait sans doute mesuré sa taille. La main redescendit en caressant et s'arrêta sur la fente. En la sentant à cette endroit, elle avait l'impression qu'un simple mouvement pouvait l'ouvrir et exposer toutes ses entrailles. Son corps entier ne lui appartenait plus, exposé comme il était à ce doigt tout puissant Un nouveau rire se répandit autour d'elle, et une voix s'exclama: "Mouillée! Une vraie petite esclave!". La honte qui la prit au ventre à ce moment lui fit presque oublier l'horrible instrument dans sa bouche, tant elle était mortifiée Un autre instrument en métal s'inséra entre ses lèvres, mais il ne fit que les ouvrir, et la main s'arrêta vite à l'intérieur. La voix reprit près de son oreille: "Parfait. Je crois que je sais déjà quel client voudra profiter de ta virginité. Tu vas être une parfaite attraction pour un soir de fête, quand tu seras prête" "Maintenant respire un coup, et détends-toi. Ou souffre" Rien ne l'avait préparée, aucun signe avant-coureur. D'un coup, un doigt s'enfonça droit dans son anus. Ses jambes se tendirent, tous ses muscles se raidirent comme un grand cri d'alarme. Elle n'avait plus la force de hurler, mais une lamentation suraiguë et longue fila entre ses lèvres trop écartées Un deuxième doigt entra, avec plus de difficulté, et la douleur devint insoutenable. Elle eut l'impression de s'évanouir. Une minute passa dans cette agonie. Il lui fallut un long moment pour se rendre compte que l'instrument était sorti de sa bouche endolorie, et qu'une de ses jambes était déjà détachée. Elle n'avait pas même la force de se débattre. Dans une sorte de brouillard, les mains la prirent et la soulevèrent comme un sac. Le masque glissa. Ses larmes coulèrent le long de son visage et tombèrent sur le sol de la salle d'examen pendant qu'on la sortait sans délicatesse par une autre porte La dernière chose qu'elle ressentit avant de s'évanouir fut le sol dur où on la laissait tomber, les murs de la cellule étroite qui disparurent dans le noir, et le froid qui s'était saisi de tout son corps, vulnérable et transi, perclus de douleur et terrassé par l'humiliation. Pour la suite, il ne reste qu'à espérer que ma soumise continuera ses bonnes actions...
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Par : le 24/12/19
Voici une petite histoire que j'ai contée à ma soumise. J'en garde une petite copie ici. Si quelqu'un veut en profiter, c'est un plaisir de partager. C'est l'histoire d'une petite demoiselle, douce et bien élevée, avec des jolis yeux expressifs et un sourire de félin En grandissant, elle prit des formes, des beaux seins et des courbes qui la faisaient convoiter par les hommes Ses maîtres d'école, ses éducateurs et les gens autour d'elles comprirent qu'elle serait bien et utile à la société en devenant une belle esclave pour un maître de qualité C'est pourquoi on l'envoya dans un établissement spécialisé, pour qu'elle devienne une parfaite esclave. Son départ se fit à la façon normale pour l'école. Une équipe de maîtres vint la capturer dans son lit au petit matin. Ils arrachèrent son pyjama et lui placèrent un sac sur la tête, puis lui attachèrent les bras derrière le dos dans une gaine et mirent une chaîne à ses jambes Elle fut ensuite enfermée dans une petite cage et dans le camion qui l'amenait, avec les autres nouvelles élèves, au domaine privé de son Académie pour Odalisques Sa promotion était composée de trente petites demoiselles, toutes jolies et toutes bien développées Chacune avait été envoyée à cet endroit par ses professeurs, ses parents et avec le soutien de tous ceux qui l'entouraient Tous ces gens savaient qu'elles subiraient un entraînement très dur, et qu'elles seraient traitées comme moins qu'humaines Mais ils savaient aussi qu'elles feraient le bonheur de leurs maîtres Et c'était le plus important: qu'elles servent comme elles le devaient, à la mesure de leurs moyens, et avec ces corps qui plaisaient aux hommes Quand elles sortirent du camion, on les rangea en rang, en reliant les chaînes à leurs jambes, et on leur enleva le sac de leur tête Elles se trouvaient dans la cour intérieure de l'Académie, un manoir de style néo-gothique, avec des hauts murs de pierre et des bâtiments imposants aux balcons du bâtiment principal, dans cinq cages étroites et trop petites pour se tenir debout, cinq demoiselles très belles étaient recroquevillées en les regardant, même de loin, on pouvait voir les stries rouges et les ecchymoses sur leurs corps, et elles grelottaient de froid dans le vent Il y avait des pics sur les parois des cages, qui les empêchaient de s'appuyer. Elles étaient toutes tordues dans des positions inconfortables, et semblaient épuisées Des deux côtés de la ligne des nouvelles arrivées, une demi douzaine d'éducateurs, en uniforme complet, avec des tasers en bandoulière et des cravaches à la ceinture, leur firent lever la tête et contempler les filles dans les cages, en leur disant: "On les remplace toutes les 12 heures. Si vous ne voulez pas être les prochaines, soyez sages" On mena les demoiselles dans le manoir. Des esclaves en costumes de maids, avec les seins à l'air, souvent percés ou lestés de poids, s'affairaient dans les salles avec des plumeaux, ou à quatre pattes pour laver le sol. Dès qu'elles voyaient les éducateurs, elles s'arrêtaient aussitôt pour leur faire une révérence Un des éducateurs fit s'arrêter la file des nouvelles venues, pour attraper par les cheveux une des servantes. Il la mit à genoux et déboutonna son pantalon pour lui faire sucer sa bite. Elle s'executa, pendant que les autres éducateurs faisaient marcher de nouveau les filles Enfin, elles arrivèrent dans une aile où tout était blanc. Des éducateurs en blouse, avec des seringues en plus de leurs tasers, et des demoiselles en uniformes d'infirmières, les accueillirent Elles furent mises à genoux, les unes à côté des autres, et durent attendre dans un corridor. Une par une, on les faisait entrer dans une salle L'attente était douloureuse, et quand une des filles tomba sur le côté, l'éducateur le plus proche s'abattit sur elle et lui donna un coup de taser avant de la plaquer contre le mur en la tenant par le cou Puis il lui mit une corde autour du cou, et l'attacha à une lampe. La pauvre demoiselle devait rester sur la pointe des pieds pour respirer La petite soumise attendit, en essayant d'oublier la peur qu'elle avait au ventre, la terreur qu'avaient causé la vue des filles dans les cages, la honte d'être à genoux et nue devant des hommes, la confusion devant toutes ces femmes en habits indécents qu'elle avait vues. Puis on la fit se relever et entrer dans la salle C'était une pièce médicalisée. Au centre, une sorte de table en forme de croix, où l'on l'attacha, les jambes et les bras écartés. Et là, offerte, incapable de bouger, devant deux éducateurs, et un troisième qui se faisait sucer par une infirmière, elle fut inspectée, dans ses recoins les plus intimes, par le "docteur" de l'Académie Le prochain épisode quand ma soumise sera de nouveau sage...
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