La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 05/04/22
Gabrielle est une archange faite femme. Le plus beau cul de la planète et c'est elle qui a été choisie pour être la première femme pour aller pisser sur la lune. On ne va pas refaire l'espèce humaine qui prolifère, se multiplie et cherche toujours de nouveaux mondes à coloniser et exploiter. Pisser est une façon de marquer un territoire comme font bien des espèces. Vendre cela c'est déjà un bon plan pour soutirer l'argent des contribuables. Ce truc est enfoui dans l'inconscient collectif depuis l'apparition des premières bactéries. Pas besoin d'un dessin, tout le monde comprend et envoyer la plus belle chatte de la planète arroser les cendres lunaires, même et surtout dans les aciéries crasseuses de Pittsburg, ou le QI d'un métallo dépasse à peine celui d'un mammouth de Sibérie, le message passe. Gabrielle a surclassé toutes ses rivales dans les tests. Bien sûr, mais cela ne se dit pas, elle a préférer coucher pour soudoyer examinatrices et examinateurs. C'est plus agréable que de perdre son temps à apprendre des choses inutiles que de toute façon les robots feront mieux. Et pour être certaine de gagner, elle n'a pas hésité une seconde à se faire bouffer la chatte par le président un peu gâteux de son pays. Le pauvre pouvait pas faire plus mais au moins cela il savait faire bien. Et pour faire plaisir au président, Gabrielle a poussé le vice jusqu'à simuler un violent orgasme dans le bureau ovale, de quoi affoler tous les services de sécurité et griller quelques oreilles à l'écoute. Cela a flatté l'égo du président et il s'est vite montré très reconnaissant. Lorsque Gabrielle a découvert le SLS, elle a d'abord cru à un sex toy géant. Elle aurait préféré le sex toy en acier inox du milliardaire de Bocca Chica. Comme toutes les expertes de la chatte, elle sait de suite flairer les belles combines, les belles arnaques à plusieurs dizaines de milliards de dollars, les pompes à couilloner les contribuables du monde entier, à bien leur racler le porte monnaie. Et au passage, elle veut ses commissions. De toute façon elle adore allumer et elle sait faire bander les mâles et comme tout a un prix, elle est non seulement N°1 sur la liste des pisseuses sélectionnées mais aussi et de loin la plus chère. Après, elle a vite su faire tourner en bourriques tous les ingénieurs chargés du SLS. Non mais, vous voulez envoyer la première femme pisser sur la Lune et vous n'avez pas pensé à son confort! Elle n'a eu aucun mal à se faire comprendre des boutonneux à lunettes. Elle se pointe parfois en cuissardes de cuir, chatte nue et bien poilue en avant, fouet de cosaque à la main. histoire de faire comprendre la supériorité du vagin. Cela file vite droit dans les bureaux d'études. Personne n'a envie d'essayer son fouet. Avec ses yeux d'or qui lancent des éclairs de diamants, on sent qu'elle n'a aucune limite et que supplier ne sert à rien. Et puis quel bonheur d'obéir à l'archange Gabrielle, d'admirer ses courbes sublimes, ses seins somptueux. Un avant goût de paradis. Alors tous bossent et ne comptent plus les heures. Cela non plus n'est pas gratuit. De toute façon toutes les arnaques reposent sur des illusions. C'est un spectacle. C'est pas pour rien que bien des acteurs ou des actrices, voire même des humoristes deviennent présidentes ou présidents. Cela amuse beaucoup Gabrielle. Ainsi va la terre et ce sera bientôt pareil sur la lune, mais chut, faut pas le dire. Lorsque Gabrielle Artémis a vu pour la première fois l'intérieur de la capsule Orion, elle a piqué une colère terrible. -Non mais quoi, bande d'ingénieurs tarés et castrés par vos femmes, vous croyez pas que je vais voyager dans une boite à sardines aussi con et moche. -Mais c'est très fonctionnel, plein de technologies de pointe. -Faites gaffe, bande de nazes ou je vous botte vos petits culs coincés jusqu'au sang. J'exige un vrai habitacle conçu pour une femme, avec tout le confort qui va avec. et si vous savez pas où mettre vos bidules électroniques, carrez vous les dans le cul. Après cet esclandre, Gabrielle Artémis est allé trouver le directeur de la Nasa, bouillante de rage. Elle l'a chopé par la cravatte et lui a collé deux belles tartes. -Ecoute moi bien, petit con de fonctionnaire. T'as vraiment rien compris à la mission. Je veux une vrai cabine avec tout le confort, un bon fauteuil en cuir convertible en couchette. Je veux choisir moi même les deux autres membres de l'équipage et mon critère c'est qu'ils puissent bien me faire l'amour dans l'espace ou sur la lune. Tu piges ou je te dérouille encore! Allez à poil la petite bite. Je vais te pisser sur la tronche pour te rafraichir les idées. Le président à moitié gâteux a vite été au courant de l'esclandre et il a donné raison à Lady Gabrielle. Il a compris que les contribuables ne voulaient pas d'une femme asexuée dans un scaphandre, mais d'une vraie femme pleine de charme qui les fasse bander ou mouiller. Elle a eu carte blanche. Et tous se sont affairés pour satisfaire leur sublime patronne, la première femme qui allait pisser sur la lune. Mieux qu'un drapeau pour marquer un territoire. Histoire de bien faire baver les russes et les chinois. Et puis pour les premiers pas d'une femme sur la lune, lady Gabrielle piqua une nouvelle colère. Le directeur de la NASA dut se cacher pendant longtemps pour ne pas se prendre à nouveau des baffes bien sonores et qui font bien mal. -Mais vous êtes vraiment des gros nuls à la Nasa. Vous voulez quoi? Les premiers pas d'une femme sur la lune en boots minables et moches? Il me faut de belles chaussures lunaires. Faites donc appel à un artisan italien de Florence pour les concevoir. Ce ne sera de toute façon pas difficile de faire moins moche que vos boots de bouzeux du Texas. Et des chaussures lunaires à talons, pour bien marquer le passage d'une femme sur la lune. La morale de cette histoire c'est: ce n'est pas parce qu'une femme a un joli cul que c'est une conne.
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Par : le 07/07/21
Et si ? Et si je publiais mon premier article ? J'ai eu envie de partager avec vous ce petit et joli moment de grâce. Il me semble qu'on y parle d'un certain nombre de sujets qui feront échos chez certain.e.s d'entre vous. Ma prof de philosophie en Terminale avait coutume de répéter « la vie est au risque » et je tache de vivre selon cet adage. Oser faire. Oser vivre. Se sentir libre. Pour avoir une vie digne d’en porter le nom. *********** « Et si ? » Nous sortons du bar. Une paillotte sur la plage en vérité. Derniers éclats de rire échangés. Ils partent, leur voiture disparait dans la nuit. Je me dirige vers la mienne. Y dépose mes affaires. Mais je n’ai pas envie de rentrer tout de suite. Voilà des semaines que je me plains de ne pouvoir voir les étoiles depuis chez moi, la nuit étant trop éclairés de lumières artificielles. J’attrape une serviette et me dirige vers la plage. Je cherche un endroit dans l’ombre. M’allonge après avoir rapidement disposé ma serviette. Mais la paillotte projette beaucoup trop de lumière, et de toutes façons, la lune sera pleine dans quelques jours… Alors je me redresse et me plonge dans la contemplation du reflet de celle-ci, qui souligne en contre l’ombre des vagues. Le bruit du ressac emplit tout l’espace sonore. Le temps s’étire. Je me sens la témoin privilégiée de ces nocturnes secrets. Je me sens attirée par cette mer, calme sous la douce lumière. Et si ? Et si j’allais m’y baigner ? La soirée est douce. L’eau est certainement agréable au regard de la température extérieur. Et si ? Et si j’osais y aller nue ? Je regarde. A priori je suis seule sur cette plage… Mais si ? Je n’hésite pas longtemps. Je me lève, passe ma robe par-dessus ma tête – mon seul vêtement, puisque je n’avais rien emmené pour me changer après le bain de cet après-midi – un sourire incrédule étirant le coin de mes lèvres à l’idée de ce que je suis entrain de faire. Et je m’élance résolue vers le rivage, baignée par les rayons de l’astre. J’ai conscience de mes formes vallonées qui se meuvent. Si un impromptu indiscret est là, il doit bien se rincer l’œil. J’entre sans ralentir dans l’eau qui m’enveloppe, accueillante, témoin réjouie de mon audace. Et plonge dans l’élément ami. Un léger rire s’échappe de mes lèvres, tandis que je barbotte, tranquille. Tout comme la mer qui s’étale sous le regard paisible de la Lune. La scène est encore plus belle d’ici. Je descends mon regard vers mon corps. Mes seins flottent dans l’eau. Voilà longtemps que je n’avais nagé nue ainsi. Moi qui pourtant aime tant cette sensation, je n’ai que quelques vagues souvenirs adulescents. Je nage. Et admire mon corps qu’on devine parfaitement sous l’eau. Ris encore d’avoir osé. Osé laisser mes affaires sur la plage. Osé enlever mon vêtement. Osé faire ces quelques mètres malgré un hypothétique témoin. Osé bravé l’interdit, l’indécent, le quand-dira-t-on. Osé aller dans l’eau, en plein nuit, alors que j’en ai peur. Osé passer outre cette dernière. Je nage encore un peu. Libre. Je ne reste pas longtemps malgré tout, peu rassurée d’avoir laissé mes habits sur la plage, du risque d’une présence menaçante, sur terre comme dans la mer. Je sors. Franchis, déterminée et fière, comme à l’aller, les quelques mètres qui me séparent de ma serviette, m’enveloppe dedans. Je ramasse mes affaires, me dirige vers ma voiture, et tandis que je frissonne, je souris.
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Par : le 19/01/20
Un milliardaire japonais vient de réserver le premier vol privé autour de la lune. Il pense inviter des amis artistes pour compléter son vol. Mais les artistes c'est bien sauf qu' une bonne femelle à bourrer dans l'espace c'est mieux. Notre milliardaire a passé une annonce avec un questionnaire très précis. Il sait ce qu'il veut ou croit le savoir, en bon machonaute qui a réussi. Plus de 20 000 femmes ont répondu en très peu de temps et il a du fermer son annonce. Il a assez de candidatures de prétendantes, du moins pour la première partie de la sélection. Notre brave milliardaire commence par dégager son pénis et par se branler devant toutes les fiches des candidates. Lesquelles l'excitent le plus, font bien monter sa sève? Il en reste mille possible. Il organise un second tour avec ces mille, un nouveau questionnaire plus précis, il veut tout savoir. Nouvelle série de branlettes et il en reste 300, les plus bandantes d'après lui et son pénis. Là il utilise les services d'une agence privée de détectives pour faire des enquêtes discrètes, voler des photos etc...Il se branle encore devant toute cette documentation et il en reste 10 seulement, dix perles rares, sublimes, qui ont toutes, les dons requis. Il a beau se branler, il ne peut choisir. Aussi il les invite dans le centre spatial où il doit s'entrainer, chaque jour. Notre milliardaire ne lache rien, il suit ses idées jusqu'au bout. Ses dix perles se présentent dans la même combinaison bleu, en coton, style salopette avec une fermeture sur le devant. Il les met de suite en compétition. Laquelle pourra écraser les autres et devenir sa femelle? Toutes n'ont qu'une envie, c'est d'écarter les cuisses pour le rendre définitivement accro. Toutes, sauf une, Yoko, le garçon manqué, cheveux courts, regard perçant, toute en muscles. Le milliardaire se saute toutes les autres, mais lorsqu'il veut écarter les cuisses de Yoko, il se prend une dérouillée monumentale. De rage il veut la virer sur le champ mais il n'a pas le temps de donner quelque ordre que ce soit. Yoko, experte en arts martiaux l'a déjà maitrisé, attaché et bâillonné. -c'est toi pauvre con qui va faire la femelle. Yoko lui administre une fessée à la main si terrifiante que notre milliardaire a ses cheveux qui blanchissent d'effroi. Comment cette folle avait elle pu le faire bander et passer les sélections? Il n'a pas le temps de connaître la réponse. Déjà la folle a enfilé un god énorme et se place derrière son cul rouge sang et encore tout tremblant. Elle le viole d'un coup et le pilonne avec rage, Les 30 cm rentrent jusqu'à la garde à chaque fois. Le milliardaire tombe vite dans les pommes, sa seule façon de fuir la douleur. De bonnes baffes et un seau d'eau froide le réveillent vite. -mais t'es une petite crevette toi. Et c'est avec un con pareil que je dois faire le tour de la lune. Les neuf autres femelles attirées par les cris arrivent. Yoko les attend avec un fouet. -cassez vous les pouffiasses ou je vous explose à votre tour. Aucune n'insiste. Toutes savent que même à neuf, Yoko peut vite les réduire en pâtée ron ron pour chatonnes castrés des ovaires. Là le milliardaire a vraiment peur. Il va se retrouver seul avec une dingue. -t'as fini de bander et de te branler pauvre carpette immonde. Voici une petite cage pour ta petite bite et un bon cadenas. Et si tu n'obéis pas, je te la coupe à raz. Et baisse les yeux. Une carpette comme toi n'a le droit que de me regarder les pieds. Les chevilles c'est la limite. Au delà tu dérouilles. Et tu m’appelles Maitresse. Toi t'es plus rien, pas même un chien. D'ailleurs donne ton cou que je te passe aussi ton collier de dressage avec des pointes contre ta gorge. Crois moi, tu as intérêt à obéir en tout et pour tout. Yoko enferme son milliardaire dans la centrifugeuse, à genoux et à l'envers, avec un gros plug acier bien lourd dans le cul. Elle lance la machine et s'installe confortablement dans une chaise longue. Elle sirote une vodka bien glacée. en croisant ses longues jambes bien galbées. Comme cela elle peut serrer son clito et se donner de délicieux orgasmes. La centrifugeuse commence à tourner. La milliardaire a compris ce qui l'attend. Le plug très lourd commence à pousser. Il implore. Appelle sa mère, se maudit d'avoir passé cette annonce. Il est trop tard. Cette folle de Yoko va détourner tout le matériel d'entrainement, pour former les spationautes, en instruments de torture. Le pire c'est qu'elle a beaucoup d'idées. Il se souvient de ce détail sur sa fiche.... Yoko lève son verre et éclate de rire. -Jouit pauvre con ! Et c'est ce que fait le milliardaire, il obéit. Il tapisse de sperme la centrifugeuse et enchaine les orgasmes. La cage de chasteté ne les empêche pas. A partir d'un certain nombre de tours, il ne sent plus rien. Il lui semble être au nirvana. Yoko est bien la bonne. il l'aime. Pour son malheur son cœur le brule ...Cela c'est le pire de ses supplices....
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