La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 29/03/19
Jacobé avance nue sous sa longue robe de toile rustique. Son confesseur l'attend, le regard sévère, une badine d'une main, un livre saint de l'autre. -tu devras avouer toutes tes fautes! - oui, Monseigneur, toutes, je ne suis que coupable. La soumise s'agenouille et la confession commence. Ah combien sont nombreuses ses fautes. Il ne sera pas de pénitence, de punitions et de corrections suffisantes pour les expier en une fois. La badine siffle dans l'air. La soumise tremble.... cela ne fait que commencer. "Vous irez vers vos femmes comme un laboureur va vers un champ fertile". -Approche, tu n'es qu'un trou béant de stupre et fornication. Approche, gouffre de débauches. -Oui, Monseigneur, me voilà, votre entièrement. -A genoux, femme, adoratrice du serpent, par toi sont venues toutes les malédictions sur la terre. -Oui, Monseigneur, voilà et je tend ma croupe offerte à vos ardeurs. -Je vais te labourer les reins et de grâce garde tes gémissements pour toi -Je n'en puis plus Monseigneur, prenez moi, prenez moi.... «Et je trouve la femme plus amère que la mort, parce qu’elle est un traquenard, que son cœur est un piège et que ses bras sont des liens.» Ecclésiaste, 7, 26. -Approche donc traquenard, Tu n'est qu'un trou poisseux, l'antre de Lucifer . Le démon t'a fait belle pour piéger les hommes. -Non, non, Monseigneur, je suis douce, aimable et si gentille. -Tais toi, Tu n'es qu'un sentier de perdition. -Non, non, je fais tout pour vous servir, vous être agréable. -100 coups de fouet ne pourront te délivrer du démon. « C’est de la femme que vient tout le mal. C’est par la femme qu’a commencé le péché. C’est à cause d’elle que nous mourrons tous.» Ecclésiastique (XXV, 24). -Femme tu es impure tu dois expier -Non, Monseigneur, je sors du bain -Alors ton bain aussi est impur. Voici une cage de fer. Tu y resteras en prières jusqu'au soir! «Les femmes peuvent détruire les purs préceptes. Elles s’écartent de l’accomplir des mérites et des honneurs. En empêchant les autres de renaître au paradis. Elles sont la source de l’enfer» (T. 11, p.543) «Il faut se méfier des femmes. Pour une qui est sage, il en est plus de mille qui sont folles et méchantes. La femme est plus secrète que le chemin où, dans l’eau, passe le poisson. Elle est féroce comme le brigand et rusée comme lui. Il est rare qu’elle dise la vérité : pour elle, la vérité est pareille au mensonge, le mensonge pareil à la vérité. Souvent j’ai conseillé aux disciples d’éviter les femmes.» -Ah te voilà, femme. -Oui, Monseigneur -Prosterne toi et demande pardon. -Mais je n'ai pas commis de faute. - Oui, déjà deux fois. La première pour me contester, et la seconde pour nier.. Ta peine sera doublée. -Ah combien les Dieux se sont moqués des hommes avec ce boulet que sont les femmes. -Non, Monseigneur, vous ne pouvez dire cela, je suis votre douce, votre obéissante. -Hélàs, hélas, oui plus qu'hélas, la compagnie des femmes est pire que bagnes lointains ou galères amères. -Non, Monseigneur, ne vous lamentez pas, je suis toute à vous et au plaisir que vous prenez entre mes cuisses. - C'est turpitude et malheur que d'aimer une femme, c'est un chemin où rodent tous les démons -Non Monseigneur, c'est bonheur pour vous lorsque vous vous abandonnez dans mes bras si doux. - Ah j'enrage de ce sort voulu par les démons qui rendent l'homme esclave du désir. -Non, Monseigneur, aimez moi, aimez moi. -C'est le diable qui parle par l'enclos de tes dents. ------------------------ J'aime écrire, cela me permet de "voir". Ce paradigme ci dessus ne concerne que très très peu de personnes, peut être une sur dix millions et encore; Cela ne concerne que les fous de Dieu, ceux qui se rendent eunuques pour le Royaume des Cieux. Ce paradigme appliqué au plus grand nombre est néfaste, mais il montre que ce sont très souvent les extrêmes et les extrémistes qui réussissent à imposer leur loi, hélas. Ceci montre que le célibat des prêtes dans l’Église catholique est une absurdité. Ils n'ont pas vocation à être eunuques pour le Royaume des Cieux. etc...etc... Ce qui est amusant et cela se sent bien, c'est qu'un nouveau paradigme se met progressivement en place.
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Par : le 18/03/19
Jenny vient de se faire violer sur le capot de sa voiture de police flambant neuve, par Skhor, le viking des quartiers nord. Personne n'est venu lui porter secours. Cet animal lui a perforé le cul avec son manche de pioche. C'est pas un sexe qu'il a ce fou furieux mais un marteau piqueur. Son cul saigne, le sperme coule le long de ses jambes. Elle tremble. C'est con, mais elle vient de jouir a répétition. Ce fou de skhor qui la pilonnait encore et encore. Au début, elle hurlait de douleur. C’était sa première sodomie. et puis, le premier orgasme anal est arrivé, une vague de chaleur, des spasmes dans tout le corps. Elle a lâché prise. Plus honte de rien, et l'orgasme suivant était déjà là. encore plus puissant. Et Skhor qui rigolait. Et ses cons de subordonnés, des flics minables qui avaient la trouille et qui n'osaient pas bouger. Personne pour lui venir en aide. Et le troisième orgasme. Jenny pleurait. Jamais elle n'aurait pensé se faire violer un jour en pleine rue, elle la commandante, la chef du commissariat de police du coin. Jamais elle aurait cru cela possible, à la vue de tous, et personne pour l'aider. Que des trouillards qui filaient bas, le regard en coin. Et le pire c'est que ce con de Skhor la faisait jouir comme jamais elle n'aurait cru cela possible. Le viking vient de partir, les tremblements cessent peu à peu. Elle remonte son slip sur ses fesses bien rebondies et luisantes d'un rouge sang du à la terrible féssée qu'elle a reçue avant d'être violée avec cette brutalité inouïe qui caractérise Skhor, le Seigneur et Maitre des quartiers nord. Elle rajuste son uniforme. Elle prend le volant de sa voiture et part en trombe. Personne n'osait regarder le viking, mais là, elle sent que tout le monde la regarde et semble se moquer. Elle laisse là ses deux collègues mâles qui lui font honte. Des péteux minables. . Elle file chez elle. Une seule envie: un grand bain chaud, un peu comme Claudia Cardinale dans un western spaghetti après son viol. Jenny, c'est la première partout, la mieux notée partout. Elle se rend d'un coup compte que tout cela n'était qu'illusions. Skhor n'est pas sur sa juridiction, non, c'est elle qui est sur le territoire de ce seigneur de guerre et elle ne fait pas le poids. Elle passe des heures a réfléchir. Le viol, elle a déjà oublié. Skhor, n'est qu'un exécutant. Il existe plus puissant que cette brute. C'est cela qu'elle doit chercher. Le Marquis de Sade avait bien raison. Il n'est pas allé en prison pour ses délires sexuels, non, il y est allé parce qu’il décrivait trop précisément les sphères de pouvoir. Plus on s'élève dans ces sphères et plus il faut être un criminel. C'est cela qui n'a pas été pardonné au Marquis. Jenny comprend que ce viol est un test. Porter plainte? A qui, à elle même dans son propre commissariat? Non, elle préfère utiliser Skhor pour savoir qui le protège. Quand au pourquoi....il est des choses que même dans des fictions, il est préférable de ne pas écrire. Je laisse donc le soin au lecteur de les imaginer.
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