La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 20/08/21
Après ces quelques jours que tu m’as laissés pour récupérer de mes émotions … et de mes marques, il était temps de se remettre à l’ouvrage. Tu piaffais d’impatience de vérifier que tout ce que ce tu avais récupéré pour moi m’allait bien. La semaine dernière nous avions seulement eu le temps d’essayer la parure noire, avec un succès certain. L’espace de quelques heures, je vais donc être ton « mannequin » soubrette. J’ai encore du mal à intégrer ce terme, tant je n’ai jamais eu un corps d’athlète. Je finirai bien par m’y faire. Maintenant que le corset blanc est légèrement délacé, il s’adapte beaucoup mieux à mon corps, contraignant juste un poil comme il faut. Bien sûr, je ne risque pas de le caler avec ma poitrine. En revanche, tu as beau dire, le micro-string blanc avec sa structure un tantinet rigide ne parvient pas le moins du monde à contenir mon anatomie. J’ai franchement l’impression que je ne ressemble à rien, que cela déborde de tous côtés. Les nouveaux bas blancs complètent à merveille la tenue, délicatement fixés aux jarretelles. Chaussé de mes escarpins, je semble prêt pour toutes tes envies du moment. Tu commences par m’exposer lascivement étendu sur le drap en vinyle qui se confirme être une excellente idée. Une fois n’est pas coutume, c’est ton objectif qui tourbillonne autour de moi. Je me limite à prendre les poses qui t’inspirent. Suite à cette mise en bouche, tu te lances dans un harnais de bras réalisé avec une cordelette blanche. Très efficace, et visuellement réussi ! Sans compter que cela se coordonne parfaitement avec le reste de ma tenue. Je vais finir par faire craquer le string . D’ailleurs, lorsque tu me fais enfiler la petite robe rouge, c’est comme une proéminence qui la déforme. Limite je donnerais l’impression visuelle d’être enceinte. Trêve de divagation, tu as encore eu raison : celle-ci me tombe juste comme il faut : épaules nues, cuisses à peine couvertes. Jamais je n’avais envisagé que porter une robe soit possible ni même un minimum esthétique. Et pourtant … Tu profites de la situation pour me faire prendre des postures de moins en moins pudiques : string de plus en plus visible. Limite tu me ferais passer pour une aguicheuse. Ce que j’ignorais, c’est que cette tenue se révèle translucide : on n’ignore pas le moins du monde la présence du corset. Le modèle suivant est tout l’inverse. Presque intégralement noire, elle me couvre des chevilles aux poignets. Avec la cagoule en plus, tu me dis que je serais presqu’en burqa. Bien sûr, ce n’est pas vraiment cela : côté gauche, elle est largement fendue jusqu’à mi-cuisse, ce qui te permet de me faire exhiber ma jambe gainée de blanc au regard de ton objectif. Entre les deux, j’hésite. Mais si je devais n’en conserver qu’une, probablement que la courte remporterait la victoire, sûrement le côté impudique qu’elle me donne. De mannequin, tu envisages désormais de me faire basculer progressivement en mode soubrette lubrique. Il faut donc faire le nécessaire pour modérer mes ardeurs. Fini le micro-string, allègrement débordé ! C’est là que les choses commencent à se compliquer. Tu sais très bien que je ne reste jamais insensible à ces moments-là. Alors, quand tu me demandes de mettre la cage de chasteté, je te trouve particulièrement sadique et te préviens immédiatement que cela risque de prendre un peu de temps. Mes craintes se confirment… L’excitation peine à redescendre suffisamment. Avec un peu de patience, je finis néanmoins par réussir à la mettre en place. A cet instant-là, il n’y a pas beaucoup de marge … Toujours dans l’esprit des transformations, tu m’imagines telle une chenille dans sa chrysalide. Quoi de mieux comme cocon que de me rouler dans le drap de vinyle. Généreusement, tu ne m’y laisses pas macérer. Sans aucun doute, un séjour prolongé par temps chaud doit rapidement se transformer en sauna BDSM ;-) Avec le corset, il valait peut être mieux éviter. Délicatement, telle une chenille empotée, je me libère de ma gangue violette pendant que tu immortalises ma « renaissance ». Bien active depuis un bon moment là où je me contentais d’être passif, tu mérites un peu de repos avant de passer à la suite. Tes jambes ont besoin de se détendre. Aussitôt dit, aussitôt fait. Installé à quatre pattes devant toi, mon dos t’offre un repose pieds à la bonne hauteur. Qui plus est, tu peux admirer tes superbes escarpins. Pour l’instant, je ne fais que les deviner, les apercevoir de loin. Une fois le tablier en place autour de ma taille, je suis complètement paré pour la suite. Direction le rez-de-chaussée pour m’acquitter des tâches domestiques. Sauf qu’en chemin, il faut emprunter l’escalier : un cadre que tu trouves idéal pour m’exhiber sous toutes les coutures. Vive le métal, la cage exploserait presque sous la pression ! En bon domestique, je t’attends docilement agenouillé dans l’entrée. Vient alors l’indispensable café servi sur un plateau. Pendant que tu le sirotes, je me charge de préparer un petit plat en cuisine. Satisfaite ou pas, toujours est-il que je finis courbé sur la table. Malgré tout, mes fesses ne subissent aucune punition. J’en déduis donc que tu devais être contente :-) Tu me fais même asseoir sur la table pour bien montrer ma cage bien remplie, à peine dissimulée par le tablier. Mais qu’as-tu fait de moi ? Le nounours était si sage ... Il en vient même à t’offrir une fleur glissée entre ses fesses. Il ne reste qu’une seule solution pour calmer les ardeurs d’une soubrette aussi dévergondée : de la cire sur la cage, toute la cage. Tu prends ta tâche très au sérieux pour bien remplir chaque alvéole tandis que je couine lorsque ça picote. Dire que certains parlent de cire froide, je voudrais les y voir. Tu peux être fière de toi, le résultat est bien réussi, la cage est toujours bien visible et complétée d’une gangue solidifiée. Cela pourrait presque être une nouvelle technique : double couche pour double sécurité !
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Par : le 19/12/15
J'aime la dentelle, qui laisse entrevoir, qui souligne, cache et laisse deviner. J'aime la transparence du tulle. ...le maintien des serre - tailles, qui dessine les courbes et les met en valeur... J'aime les laçages, qui emprissonnent telle une cage... J'aime les bodys.... les pressions de l'entrejambe. .. qui laissent la liberté d'ouverture. ... j'aime les bas dont la jarretière frôle le ras des fesses.... j'aime les strings qui laisse les fesses à l air et cache juste l'intime. .. J'aime les talons hauts qui galbent les jambes... J'aime les armatures, les balconnets qui subliment les poitrines... les dentelles sans armature pour jouer les filles sagent... le boxer qui laissent imaginer et rêver. .. J'aime être et me sentir sexy....
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