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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Je sort, je part travailler, je me dirige vers le bus, ma démarche me semble très différente avec le plug
J’ai l’impression que c’est visible, que tout le monde peut le voir.
Je m’assis dans le bus., surprise, le plug vibre en fonction du déplacement du bus.
Au bout d’un moment, je n’en puis plus, je descend du bus…, message: tu aimes? Je répond à Madame que je suis à elle,
Je me met à marcher, mais il se met à vibrer, en fonction de mes déplacements…, au bout d’un moment il s’arrête.
J’arrive au travail, réunion ce matin.
En plein milieu il se met à vibrer à un rythme que je découvre. J’ai peur que l’on entende le bruit qu’il fait, je me déplace pour m’éloigner un peu des autres.
Ouf, la réunion se termine. Mon cul m’obsède, et mon sexe est gonflé, je me sent indescent.
Je sort du bureau, me dirige vers le restaurant.
Un message: tu sait ce que tu vas manger? C’est donc vrais, Madame sait où je me trouve.
Une petite vibration ponctue son message.
Je mange, et je ressort, message: tu vas au 22, tu entre, et tu attend. J’entre, je passe la porte cochère, et un jeune homme m’y attend:
Ouvre ton pantalon! J’hésite, vite, je ne vais pas le répéter, sinon, je le dit à M.
J’ouvre mon pantalon, descend le, le le descend, il saisit son portable. Photographie mon entre jambe, sans sous vêtement, avec les bas, me dit de me retourner, vérifie le plug, et s’en va:petite vibration: message. Tu vois, à tout moment, je saurais si tu obéi.
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Bonjour
Voici le chapitre 8 de mon histoire. J'attends vos retours avec impatience !
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Nous sommes 3 semaines après cette folle expérience.
Je me réveille avec l'envie de reprendre une séance. La menace de Maitresse Lucy est toujours présente mais je ne peux résister à l'idée d'y retourner.
Je me connecte de nouveau sur le site et réserve une nouvelle séance. Apres m'avoir authentifié, je remarque que je ne peux prendre qu'une séance de 1jour/1nuit.
Je me demande pourquoi la séance est aussi longue. Une demande importante sans doute.
Le jour venu, je me rend au château, comme la première fois. A l'entrée, Maitresse Sylvie ne me jete qu'un rapide coup d'oeil avant d'ajouter :
-"Tu connais le processus. A poil, en cage, Maintenant".
Bonne ambiance. Sagement, je m'exécute et me déshabille complètement, enfile ma cage de chasteté et me met à genoux en attendant Maitresse Sylvie.
- "Tu as été une vraie pute la dernière fois. Tu as as désobéi à une maitresse volontairement. Il va falloir qu'on règle ça."
Je veux répondre que je n'avais pas fait exprès et que j'étais prêt à obéir mais je me retint. Pas la peine de provoquer Maitresse Sylvie. Elle me passe un collier au cou, y accroche une laisse et ajoute :
- " Maintenant, tu n'es plus qu'un puceau soumis, une petite pute a dresser, un chien de merde à éduquer. A 4 pattes !"
J'obéit immédiatement. Elle me met un baillon en forme d'os dans la bouche et me tire dans le même couloir que la première fois mais s'arrête avant la cellule collective.
Je comprend où je vais aller. La fameuse pièce "Animaux de compagnie". Maitresse Sylvie ouvre la porte. La pièce est noire. Elle me tire à l'interieur et allume la lumière.
A suivre...
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"Moins mal" ? ai-je pensé. Je doutais que le fouet aille jusque là. Seulement ce ne fût pas le fouet qui tomba sur mes fesses. J'ai senti quelques tapotements en haut de mes fesses puis quelque chose rentrer dans mon anus ! Cette fois-ci, ce fût vraiment un cri qui sortit de ma bouche.
J'étais en train de me faire enculer !
Bien que cette sodomie surprise ai été inattendue et douloureuse, j'en ai ressenti pourtant un vrai plaisir. Mon sexe ne cessait pas de vouloir se tendre, et malgré la cage, je crois que j'allais éjaculer. Mais non, impossible de bander et donc d'éjaculer.
Apres m'avoir bien défoncé l'anus, Maitresse Lucy m'a délivré du carcan et m'a ramené à la croix. Cette fois, elle m'a attaché sur le dos.
Elle a commencé à me caresser doucement sur le cou, le torse, le ventre, tout en descendant.
En arrivant à mon sexe enfermé, elle a souri.
- "J'en connais un qui voudrait voir la lumière non ?"
- "Oui maitresse".
- "Je te propose quelque chose. Je libère ta bitte mais je t'interdis de jouir, d'accord ?"
- "D'accord Maitresse" ais je répondu directement. Mais immédiatement, je me suis dis : "mais comment je ne vais pas jouir ? Tout ce qui m'est arrivé jusqu'à maintenant a été terriblement excitant." Comment résister ? En pensant à autre chose !
Je me suis donc mis à penser à autre chose, n'importe quoi qui pouvait calmer mon érection. Malheureusement, je sentais les coups puis les caresses de la cravache de Maitresse Lucy sur mon corps et cela m'excitait beaucoup.
Soudain, un coup de cravache sur mon pénis m'a surpris et j'éjaculais sans pouvoir rien retenir.
Maitresse Lucy s'est reculée pour éviter mon jet mais malheureusement, quelques gouttes sont tombées sur ses chaussures.
- "Qu'est ce que tu viens de faire, petite merde ? Je t'avais interdis de jouir"
- "Je suis désolé maitresse. J'ai essayé de me retenir"
- "Et en plus, tu as mouillé mes chaussures ! Tu vas regretter ça très vite, grosse salope !"
C'était la première fois que Maitresse Lucy m'insultait. Elle qui était douce et attentionnée me hurlait dessus.
-" Tu vas nettoyer tout ça tout de suite"
A suivre...
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Chapitre 3 - le dernier
Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian.
Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied.
Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous.
Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian".
Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite. Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! " " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club, Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?" ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé.
Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?" "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer.
Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées.
"vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application.
"Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres.
"ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche
"La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué.
Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert.
"Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire...
" stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur" ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets.
Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air.
D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls.
" ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"...
Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence.
Fin
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Chapitre 2
Alex a executé les instructions données par son maitre chanteur et ce n'est pas sans honte et excitation qu'il s'est photographié léchant son sperme a meme le sol. Un sms l'avait felicité en retour, lui ordonnant d'aller prendre une douche mais sans possibilité de retirer le plug. Consigne qu’il avait prudement suivi. Il avait ensuite brievement diner d'une soupe puis etait allé se coucher, avec en permanence cette situation qui trotait dans sa tête... et dans son cul. Impossible de trouver une echapatoire. Vers minuit il avait essayé de se revolter en retirant son plug mais il avait recu un sms dans les secondes qui suivirent "ce serait dommage que tes collegues decouvrent en fond d'ecran une photo de toi en se connectant à leur PC" et aussitot il avait remis le plug. "attention, joues pas avec le feu". Difficile de s'endormir. Nuit horrible.
Ça vibre à répétition, il s'eveille en sursaut et realise que c'est le plug qui vibre... aussitot il recoit un sms "depeches toi, tu vas etre en retard au cabinet! Et n'oublies pas les consignes de ce matin douche et nettoyage de cul et de plug avant de le remettre". Et oui..., il est tard, il risque d'être en retard s'il ne se dépèche pas. Sans reflechir, il saute du lit prend son petit dej, la douche le plug, en prenant soin de suivre les consignes de temps. Il est prêt et part au bureau dans la précipitation. Il arrive a l'arrache peut de temps avant son premier client. Il croise Melanie dans le couloir... "ben dit donc, salle nuit on dirait et salle guelle ce matin, tu vas faire peur à ta cliente..." dit elle en partant dans un éclat de rire de concert avec Leaticia prenant son café ... sympa les filles!
La matinée se passe difficillement mais une fois bien calé et une position trouvée, il a reussi a oublier le plug, qui d'ailleurs n'a montré aucune envie de vibrer. Il est midi, et Alex part avec les filles et Paul manger un bout. Gérard est resté pour préparer son premier rendez vous de l'apres midi. Apres tout cela l'aidera peut etre a reprendre du poil de la bete... chacun est assis et commence tout en discutant lorsque le plug se met à vibrer, par secousse successive allant crescendo. Alex manque de s'etouffer, et devient tout rouge... "ben ca va pas Alex, quelque chose qui ne passe pas?" Demande Leaticia?" Alex a l'impression que tout le monde dans le resto entend ces vibrations. En plus, il ne sait pourquoi mais la situation l'excite et il commence a bander. Leaticia dit " c'est ton telephone Alex que l'on entant vibrer?"... "euh...." Un sms arrive "va te branler salope" a cette lecture, Alex sent qu'il bande encore plus "ah oui tu as raison... excusez moi je dois m'absenter quelques instants", il se leve de table le pantalon peu discretement gonflé par sa queue pour se diriger vers l'interieur du restaurant. Commentaire de Melanie, "ah oui, là je le vois bien vibrer son portable..." aussitot tous eclatent de rire, Leaticia ajoutant "on a même envie de décrocher pour lui. Le plug a continué de vibrer de plus en plus fort, arriver dans les toilettes, Alex s'enferme baisse son jean et son slip et commence a s'astiquer... bzzzz sms " et n'oublie pas de lecher ton foutre apres!". le plug lui procure tellement de plaisir combiné avec la branlette qu'il ne tarde pas à jouir. A peine fini que le plug se met a vibrer tellement fort que cela en est douloureux, bzzz sms "a genoux et leche ton foutre slave" Alex se met a genoux et leche tout le foutre sur le sol a peine propre. Le plug s'arrete. Alex se rhabille se nettoie le visage et la bouche au mieux et rejoint ses collegues a table. En le voyant arriver et en matant son jean, tout comme melanie, leaticia ironise "Ah, je te sens soulagé"... "ah Ha Ha..." dit alex. "bon on ta commandé un choux a la creme en dessert, je pense que tu adores ca!".
Une fois le repas fini, ils rentrent pour reprendre les rendez vous... rude journée aujourd'hui il finira le dernier. L'apres midi se passe sans soucis, bien qu'un peu fatigué il reussi a se concentrer. Un café a 5 heures et c'est reparti. Il a pris un peu de retard, il est 19h40 et c'est son dernir patient avant le week end. Il regarde le dossier que Leaticia lui avait posé en debut d'apres midi... non le nom ne me dit rien. Il ouvre la porte de la salle d 'attente et salut son nouveau patient. Bonjour Monsieur Grimaud, c'est a nous. Comme d'habitude il observe celui ci se lever et commence a se créer une image mentale de sa personalité et de ces maux probables. Type grand, costaud, musclé même, mine patibulaire (mais presque....), mais pas désagreable, tout droit sorti d'un film d'espionnage!. Il sourit discrêtement à cette pensée, et tend la main a Mr Grimaud, qui à son tour lui broie litéralement la main. "Enchanté mr Christiaaaaann Grimaud". "Je vous en prie prenez place, et raconté moi ce qui vous ameme?" Dit Alex en s'asseillant. "je pense que vous allez pouvoir m'aider" répond Grimaud en lui tendant une grande enveloppe blanche.
Alex prend et ouvre l'enveloppe, la photo de lui hier soir lechant son foutre sur le sol. Le sang d'Alex ne fait qu'un tour il hurle "salaud" et saute quasiment par dessus son bureau se precipitant sur Grimaud pour l'étrangler. Au dernier moment, celui ci esquive sur la droite assaine un atemi dans le foi d'alex, et lui fait un croche pied. Pris par son élan ce dernier s'écrase lamentablement au sol, accusant le choc et la douleur dans les cotes. A peine au sol, Christian est déjà sur lui lui tordant le bras dans le dos. "Alors ptit fiote on veut faire le malin" dit il en l'attrapant par les cheveux et lui cognant la tête le sol. "Tu ne peux rien contre moi, il faut que tu comprennes que tu es mon esclave" en même tant qu'il prononçait ces paroles, Christian sorti une paire de menotte qu'il passant a ses deux poignés en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. "mais qu'est ce que vous voulez à la fin...?”
" c'est tres simple on te l'a dit 10 fois mais tu ne veux pas l'admettre. On ne veut que ton bien et ton accomplissement. Nous sommes un club bdsm tres fermé et nous recrutons nos membres qu'apres beaucoup de recherches et de préparations. Tu devrais etre flatté d'avoir été selectionné. Nous te suivons depuis un ptit moment et nous avons analysé ton profil avec soin, et nous s'avons tres bien que ce que tu veux c'est de te faire dominer... ton profil psychologique montre même que tu aimerais devenir esclave d'autres mecs qui t'utiliseront, te baiseront, t'humilieront.... mais pour nous pas de honte à cela, puisque cela te fera plaisir. C'est du donnant donant quoi. En plus t'es gay tu aimes etre passif voir traité comme une salope, et tu as une grosse queue, ... des comme toi on en manquait... alors qu'est ce que tu en penses?"
Accusant le coup de ce qu'il vient d'entendre il baffouille, Christian lui met une clac "ah je vois que ca rentre pas vite au cerveau... attends je vais un peu t'aider" il retourne Alex sur le dos, baisse son pantalon et lui fourre sa queue dans la bouche. Alex manque d'etouffer de surprise, meme si c'est plutot un pro dans ce domaine. Christian lui baise litteralement la gueulle et commence a bien raler. Alex se controle pour ne pas ettoufer. " tu m'excites bien toi...., tu suces vraiment comme une salope... on va voir ton cul maintenant, je suis sûr qu'il est pret à me recevoir." Christian saisit Alex et le balance a plat ventre sur son bureau puis lui baisse son pantalon et lui arrache son slip tel une bête sauvage, et lui fourre dans la gueule. Alex panique pour la suite, mais entend Christian lui dire qu'il va mettre un preservatif.
Il retire le plug du cul d'Alex dans un bruit et fourre sa queue dans son cul, celle ci entre sans difficulté le plug ayant fait son ouvrage...
Christian laboure alex pendant 15minutes tantot le tenant par les cheveux, tantot lui mettant les doigts dans la bouche et finalement en lui mettant son pied sur la tete tout en l'insultant régulièrement. Alex est pris de tremblement, Christian redouble la pression et tous deux finissent par jouir en meme temps. "T'as aimé ça ptit pute hein? " lance Christian à Alex qui fini par décrocher un timide oui. A peine sa queue retirée que Christian replace le plug dans le cul d'alex. Chrisitan saisit alex du bureau le met a genoux devant lui et demande a alex de bien nettoyer sa bite. Vaincu celui ci s'execute. Puis Christian couche alex au sol et lui pisse dessus. " fait pas ta bourgeoise, on sait que tu aimes ça...et boit bien tout..." alex humilié de savoir tout ses secrets connus s'execute comme un bon soumis qu'il devient devant cet inconnu.
"bon voila le topo alex, demain c'est le week end. au dos de la photo de l'enveloppe tu trouveras une adresse ou te rendre a 14h sans faute. Tu repartiras dimanche soir a 18h00. Ton premier dressage de slave se fera durant ces deux jours. Inutile d'amener des affaires de change tu seras a poil durant ces deux jours...compris?"
"Euh, mais, demain j'avais" Christian lui assene un coup de pied
"ta gueule esclave... t'a pas le choix, tu ramenes ton cul demain a 14h... et pas la peine de prevenir la police ou quoi, il y a de nombreux membres dans notre club et ton dossier est partagé prêt à etre diffusé en cas probleme. De toute manière je ne suis pas inquiet on sait que tu aimes cela et que tu comprendras qu'il s'agit d'une opportunité pour toi d'être dans un club select, plutot que d'aller baisouyer a droite a gauche. Les salopes dans ton genre finissent toujours par aimer a etre slave au sein de notre groupe. Tu feras d'ailleurs connaissances d'autres prsonnes qui participeront a ton dressage. A demain. Tu peux m'appeler Maitre Christian. Compris?"
Alex toujours interloqué, recoit de nouveau un coup de pied " compris?" ... "oui" ... re coup de pied "oui Maitre Christian" ..."a bien, t'apprends pas vite, mais on corrigera tout cela demain"
Tient je pose sur le bureau les cles des menotes a demain.
Sur ce il quitte le cabinet, laissant alex couché mains attachées dans le dos, pantalon en bas des genoux et recouvert de pisse.
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Ce mercredi, j’arrive à me libérer plus tôt que prévu. Je sais que Maîtresse va me punir mais je supporterai car j’ai fauté par impatience.
Tous ses reproches transpirent de ses directives et je m’incline humblement à ses pieds pour lui rendre l’hommage qu’elle mérite.
«Déshabille toi et vite» me lance-t-elle sèchement.
Un petit coussin m’attend dans le salon. Je m’agenouille, les yeux baissés, honteux d’avoir fauté.
«Tu m’as déçu, tu n’as pas à aller voir ailleurs ce que j’écris. Je me suis senti épié» me dit-elle d’un ton qui ne présage rien de bon pour mes fesses.
Maîtresse tourne autour de moi avec sa cravache qui tantôt caresse ma peau et tantôt la fouette avec l’effet de surprise que vous pouvez imaginer.
Elle s'assoit et me lance:
«Allonge toi sur mes genoux».
Je m’empresse de lui obéir comme le petit garçon que je suis redevenu, Une fessée humiliante et douloureuse s’abat sur mes fesses qui se teintent bien vite ; je compte les coups. Ce n’est pas aujourd’hui que je contredirais Maîtresse.
Comment fait-elle pour libérer autant d’énergie ? Je ne sais pas mais j’endure espérant que son pardon n’en sera que plus rapide.
Elle m’inculque la patience méthodiquement en m’humiliant systématiquement. J’avais tellement envie de lire son article que je lui ai enlevé tout effet de surprise en cherchant à le lire avant qu'il n'apparaisse enfin sur le site. Je ne cherche pas d’excuses tant mes torts sont évidents, elle m'avait bien dit que ma place à ses pieds ici suffisait, alors j’accepte sa punition, quelle qu’en soit la sévérité.
Elle me fesse sur ses genoux tel un petit garçon désobéissant et j' en mène pas large, je l' avoue...
La tempête semble s’éloigner. Je me retrouve à genoux. Maîtresse va chercher tous les accessoires pour me sortir bien féminisée. Je passe plusieurs jupes mais son choix reviens à cette jupe plissée et un chemisier noir. Un soutien-gorge et des faux seins viennent me donner la poitrine qui me manque. J’ai déjà mis des bas noirs et une paire de bottes avec talon aiguille vont tenter de féminiser ma démarche. Enfin, une perruque brune , ébouriffée, mais pas le temps de la démêler, achève cette féminisation express.
Maîtresse prend soin de moi et me fait enfiler une petite veste noire que j’apprécierais beaucoup dans cette fraîcheur hivernale.
Nous quittons l’appartement et allons nous garer à proximité de l’Impérial, vaste palace entouré d’un jardin public.
C’est en laisse, derrière Maîtresse que nous gagnons le jardin en traversant l’avenue assez passagère en cette fin de matinée. Je tente d’assurer ma démarche avec plus ou moins de succès. Je me sens un peu honteux et je n’ose regarder autour de moi. Il y aura bien assez de regards tournés vers nous et je n’ai pas encore l’assurance de les croiser.
Maîtresse me tient naturellement en laisse et peu de passants semblent faire attention à notre duo singulier. Rassuré, mon appréhension fait vite place à la fierté d’être ainsi si près de ma Maîtresse.
Je ne pouvais alors imaginer que ma punition se poursuivrait ici. En plein lieu public. Je dois m’installer à genoux sur un banc attaché à celui-ci par la laisse, les fesses face au Lac et bien en vue de tout le monde. Elle relève ma jupe et m’administre une nouvelle fessée qui me fait vaciller en avant. Humilié devant les promeneurs et joggers plutôt nombreux à cette heure-ci, je ne peux retenir des gémissements qui amplifient un peu plus ma honte. Après cet épisode cinglant, nous reprenons notre promenade. Maîtresse voit un arbre offrant une couverture naturelle et un branchage à hauteur d’homme à laquelle je me retrouve vite attaché. Seul regret, en cette saison, il n’y a pas de branche pour un fouettage en règle. Tant pis, ses mains et son énergie ne manquent pas de marquer à nouveau mes fesses et mon amour propre même si le bosquet nous met plus à l’abri des regards que sur le banc, le claquement de ses mains reste bruyant...
Je ne m’appartiens plus depuis bien longtemps et Maîtresse m’arrache des gémissements par la force de son autorité .
Comme pour une fable de La Fontaine Maîtresse m’en tire une morale bien à elle :
«La première fessée sur mes genoux comme punition, celle sur le banc pour un brin d'humiliation et la suivante pour m' assurer que la leçon soit bien retenue».
Leçon retenue, je vous l'assure Maîtresse ...
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Irrésistible envie de frustrer...
De longues semaines se sont écoulées depuis notre dernière rencontre.
Il se languit d'être à nouveau à mes pieds. Il à tant envie de me revoir. J'ai tellement envie de le frustrer...
Quand enfin il arrive à ma porte et entre comme je lui ai demandé, je ne suis pas là, il ne me vois pas et il ne me verra jamais...
Mais ça , il ne le sait pas encore... Sur le meuble d' entrée, j'ai disposé les bracelets et sa laisse à coté d'un masque pour les yeux. Il m' entend lui donner ses consignes à travers le rideau tiré qui nous sépare. Je termine mes préparatifs en attendant qu'il m' informe d'être près. Levé de rideau...
Envie de le frustrer...
Je m' approche de lui en douceur, le frôle en sensualité... Une proximité qui laisse envisager la promesse d'un baiser qu'il n' aura jamais... Je suis contente qu'il soit là, chez moi. Son corps transpire l' excitation, heureux d'être ici, désireux d'être mon soumis. Privé du plaisir de me voir... Attentif à son environnement...
Je le guide dans mon salon. Le pose au milieu comme je poserai mon sac et reprend là où j' en étais... Un peu de musique... Quelques mots pour le détendre... Un peu d'humour... Quelques griffes pour le surprendre et je le mets en place pour quelques coups de martinets...Les poignets accrochés, bras levés, pas moyen de se débiner et très vite je dois arrêter: petit soumis supplie... Oh! Je me doutais bien que ça serait rapide, tout comme pour les pratiques suivantes. Il a la volonté de faire au mieux pour moi et sa dévotion me fait plaisir... A 4 pattes à mes pieds, son dos m' a bien subit... Ce qui me semble bien peu pour moi et presque trop pour lui...
Envie d'humilier...
Je propose une petite pause bien mérité et un peu à boire. Il m' entend quitter la pièce, couler l' eau du robinet, revenir et verser l 'eau dans l' écuelle. Il à déjà mangé pour moi dans sa gamelle, il sait, sans voir ce que je prépare... Je le tire par son collier et l' emmène à 4 pattes à la niche . Je pousse du pied sa gamelle sous sa gueule et le laisse boire son eau tranquille... L' après midi avance doucement et calmement... c'est dans ce calme qu'il entends à nouveau sa gamelle se remplir sans que je ne quitte la pièce... Ses oreilles voient pour lui et il devine sans mal que je pisse dedans... Il boit... Plus tard me lèche les pieds plus ou moins bien... Pas assez pour m' en faire jouir... Il boit encore...
Envie de frustrer...
A 4 pattes à mes pieds, je suis assise sur mon canapé, sa tête posée sur mes genoux , je le fais patienter... Je m' occupe de longues minutes sur mon téléphone sans lui parler. Je réponds à mes appels, m' amuse de la situation, jusqu'à la manifestation des premiers signes d'impatience sous forme d'interrogation auquel je ne donnerais point de réponses... Sa place est à mes pieds, de ça, il n' est pas frustré... Allez encore un peu! L'histoire que si, ça le frustre quand même un petit peu... Et puis...
Envie d'humilier encore.
Je lui ordonne de retourner à la niche seul mais lui gène le passage... Le contraignant contre un meuble, la tête juste au-dessus de son auge, je lui somme l' ordre de ne plus bouger!
Son dos tout contre mes jambes, je laisse couler un filet de pisse qui ruisselle entre ses omoplates, coule le long de sa nuque, passe derrière l' oreille et vient remplir la gamelle mouillant quelques cheveux en passant... Mon soumis se raidit au fur et à mesure que j' accélère le flot . S'il bouge il modifie la trajectoire de l' urine, au risque d'en faire couler à coté...
Delà j'aurais plaisir à le traiter de pisseux et de lui rappeler qu'il pue la pisse à plein nez... Mes paroles le convaincront et il s'en sentira davantage souiller pour tout le reste de sa longue journée...
Me voilà fort satisfaite de mon désir d'humiliation, me reste à rajouter un peu de frustration... Ruiner une éjaculation me parait une délicieuse idée... Ayant gardé sa queue chaste un certain nombre de semaines , ses bourses bien pleines sont un amusement de choix pour ma cravache... L'obliger à se branler mais pas plus... Le caresser mais pas trop... Le serrer, tapoter, taquiner, juste ce qu'il faut... Et le faire s'en aller les couilles excitées , le rideau tiré, sans avoir eu le plaisir de me revoir...
Envie de frustrer, d'humilier .
Sur le chemin du retour, dans une aire d'autoroute, il recevra l' ordre de se faire gicler ...
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Retour du travail
Dimanche 14 septembre 2014, 3h du matin. Je rentre après une longue journée de travail, commencée le samedi à midi. A travers la porte de l'appartement, j'entend encore des voix : Maîtresse n'est pas seule. Sa meilleure amie, M., est venu souper et passer une soirée entre filles. Un bon repas, quelques verres de blanc, papotage, ragots. Rien de bien inhabituel dans mon esprit légèrement embrumé, après mes 14h de boulot. Je franchis la porte :
« Coucou chérie. »
Je L'embrasse sur la bouche. Quand du monde est présent chez N/nous, je n'ai pas l'obligation de mettre mon collier et mes bracelets de poignets et de chevilles une fois entré dans l'appartement, de me mettre nu, puis de venir à quatre pattes devant Elle et Lui embrasser les pieds ; rituel obligatoire si Elle se trouve seule, ou si je rentre avant Elle, pour que Son chien soit prêt à L'accueillir.
« Ca va bien, et toi ? Ca a été ? »
« Oui oui, très bien. Salut M., tu vas bien ? »
Trois bises, salutations classiques de deux amis qui se retrouvent. Je ne savais pas encore à ce moment là ce qui m'attendais plus tard dans la soirée.
Je file dans la chambre me changer, enfiler quelque chose de plus confortable. Détour par la salle de bain. J'en sors au bout de 10 minutes, me sert un verre, et trinque avec les demoiselles.
« Je vais sur le balcon fumer une cigarette ; je reviens. »
« Prend ton temps, chéri », dit-Elle, avec Son sourire en coin, qui n'avait pas pour moi, à cet instant précis, de signification spécifique. Je n'imaginais pas encore ce qu'Elle avait prévu pour moi.
Je prend mon temps à fumer ma clope, tout en voyageant dans mes pensées, par cette douce nuit de fin d'été. Un message sur WhatsApp :
« Tu ne rentres pas avant que je ne t'en donne la permission. »
« Bien, Maîtresse. »
Du coup, je me rallume une deuxième cigarette. Mon téléphone en main, je vais faire un tour sur les réseaux sociaux, « like » quelques publications, vagabonde de pages en profils.
Dix minutes passent. Nouveau message :
« Rentre, tout de suite. »
Je franchis la porte-fenêtre, et rentre dans le salon. Je fais quelques pas, commence à me diriger vers le canapé où sont assises les filles, quand Maîtresse se tourne vers moi avec Son regard strict, Ces yeux que je connais par coeur, ceux qui ne laissent aucune place au doute, et me dit d'une voix ferme :
« A poil, maintenant ! »
Le tournant inattendu
Je reste figé. M., Sa meilleure amie, est bien là, assise sur le canapé, je ne suis pas fou ? Est-ce que mon esprit me joue des tours ? M. n'est en réalité pas là ? Ou j'ai mal entendu ce que Maîtresse m'a dis ?
« Tu attends quoi ? A poil, j'ai dis ! »
Apparement j'ai bien entendu. Je me décompose lentement. Il se passe une ou deux secondes, qui me semblent être une éternité, pendant lesquelles je me pose mille questions. Je n'ai pas le temps de répondre à la moindre de ces questions que je vois Maîtresse se lever, tandis que je La regarde toujours béatement, et se diriger vers moi. Elle me colle une gifle plus humiliante que douloureuse, sous le regard et le petit sourire amusé de M., que je perçois du coin de l'oeil, et m'attrape par les cheveux :
« Troisième fois : met toi à poil ! Il n'y aura pas de quatrième, ce sera directement la cravache. Réfléchis vite, tu as trois secondes. »
Elle me relâche les cheveux.
Je dois tenter de sauver les meubles ; je viens de me faire gifler devant M.
De toute évidence, le peu d'estime qu'elle avait pour le « mec » de sa meilleure amie vient de s'évaporer en une fraction de secondes. Alors je m'exécute. Automatiquement. A cet instant, je ne réfléchis plus. Je suis un robot. Mon cerveau d'humain à laissé place au cerveau du chien de Maîtresse que je suis.
Je retire mes chaussures, mon pantalon, mes chaussettes, mon tee-shirt :
« Garde ton string. »
Mon string. Avec tout ça, je l'avais oublié, celui là. Au moins, je ne suis pas totalement nu. Le peu de dignité qu'il me reste va être sauf.
Maîtresse m'interdisais de porter caleçons ou boxers. Uniquement strings masculins, slips qui laissent les fesses apparentes, ou jockstrap. D'un autre coté, ça empêche le bruit du cadenas qui tape contre le plastique ou le métal de ma cage de chasteté. Il faut toujours essayer de positiver les épreuves imposées par sa Maîtresse.
Pendant le strip-tease imposé que j'exécute tout tremblotant, Maîtresse s'est rassise sur le canapé à côté de M. ; toutes deux m'observent, se délectant du spectacle. Une fois uniquement vêtu du bout de tissu qui me sert de sous-vêtements, Maîtresse me regarde fixement sans mot dire. Quelques secondes passent :
« Tu attends quoi pour me saluer comme tu dois le faire ? »
A ce moment précis, je comprend que rien ne me sera épargné, ce soir. Je suis donc le rituel : je me met à genoux, puis à quatre pattes, et j'embrasse Ses divins pieds, posés sur le tapis du salon :
« Bonsoir, Maîtresse. »
Le mot est lâché. Je me suis dévoilé devant M. La promesse d'une correction à la cravache a retiré tout amour propre en moi. Je la déteste de m'avoir fait ça. Mais bon sang, qu'est ce que je l'aime de m'avoir fait ça ! M., je l'aime pas, alors je m'en fiche qu'elle soit au courant. En fait si, je l'aime bien, alors c'est bien qu'elle sache pour N/nous. Une nuée de sentiments ambivalents me rongent l'esprit, tandis que je suis toujours front à terre, attendant la permission de me redresser :
« A genoux. »
J'obtempère, je me remet sur mes genoux.
Maîtresse, s'adressant à M. :
« Tu vois, je t'avais dis. »
« Faut le voir pour le croire. J'aurais jamais imaginé ça de lui. Et encore moins de toi. Et il fait tout ce que tu lui demandes ? Tu donnes des ordres, et lui, il obéit ? »
M. parle de moi à la troisième personne. Je ne suis devenu en quelques minutes qu'un objet à ses yeux.
« Tout, oui. Et attend, tu n'as pas encore tout vu. »
C'aurait été trop simple si ça s'était arrêté là. Au moment-même ou Maîtresse prononce la phrase, je me dis « non, pas ça, pitié » :
« Baisse ton string. »
Automate que je suis devenu, j'obéis. M. Découvre, effarée, qu'un tube de plastique enferme complètement mon pénis, retenu par un anneau, et fermé d'un cadenas sur le dessus :
« Mais c'est quoi, ça ? », dit-elle dans un éclat de rire non dissimulé.
« Sa cage de chasteté. Son pénis est ma propriété, il n'a plus le droit d'en avoir l'usage d'aucune manière que ce soit, sans mon autorisation, ou un ordre de ma part. Tu fermes bien ta maison quand tu sors ? Moi, je ferme mon pénis quand je n'en ai pas l'usage. »
Eclats de rire de M. et de Maîtresse. J'entend tout ça comme si je n'étais pas là. J'ai les yeux au sol ; quand je suis à genoux, j'ai interdiction de regarder Maîtresse quand Elle ne s'adresse pas à moi.
Revue de matériel et de comportement
« Retire complètement ton string, et va nous resservir un verre. Et tu peux t'en prendre un. Par contre, tu vas et tu reviens à quatre pattes. Tu ramènes les verres un par un. »
Un peu d'exercice ne peut pas faire de mal. Puis heureusement, le frigo est tout proche du canapé.
J'amène le verre à M. - les invités d'abord -, puis à Maîtresse, et je fini par le mien. J'ai la permission de m'assoir par terre. Maîtresse prend soin de moi et de mes pauvres petits genoux, qui ne tiennent plus aussi longtemps qu'avant.
J'écoute la conversation entre Maîtresse et M., tout en essayant par moment de réaliser ce qui m'arrive ce soir. Et je regarde aussi. Quand je suis assis par terre, j'ai la permission de regarder devant moi, ainsi que les interlocuteurs. Maîtresse répond aux nombreuses questions de M.
Tout y passe : mes obligations de soumis, mes quelques droits et limites acceptées par Maîtresse, mon quotidien pour La servir, Ses nombreux avantages, comment je vis le fait d'être enfermé dans ma cage de chasteté...
« Je pourrais te le prêter pour ton ménage, si tu as besoin, et si tu veux voir un mec récurer ta maison habillé seulement d'un collier et d'entraves aux poignets et aux chevilles. Et s'il ne va pas assez vite à ton goût, tu auras la cravache qu'il amènera avec lui ». Et Elle l'a fait : Maîtresse m'a prêté à M. pour un après-midi. Mais ça, c'est une autre histoire.
Puis je suis interrogé, comme à chaque fois avec des non-initiés aux pratiques D/s, sur le plaisir que j'en retire. Comment expliquer à une novice que me prendre une gifle, et me faire rabaisser de la sorte devant des gens, me met dans un état au delà de l'orgasme psychique ? Et pourtant, M. Est une fille visiblement très ouverte, et le comprend parfaitement. Comme à Son habitude, Maîtresse sait choisir Son public.
Une vingtaine de minutes se passe. Verres terminés, liste de questions achevée, Maîtresse et M. Se lèvent :
« Maintenant, je vais te montrer la panoplie de dressage pour transformer ton homme en bon soumis obeissant. »
Je me morfond de trouille ; là, M. va voir les instruments qui servent à m'éduquer.
« Suis moi, chien. »
De ma position assise, je me met à quatre pattes, et je La suis jusqu'à la chambre.
« La caisse, sur le lit. »
Je la précède, je sors la caisse de sous le lit, pour la mettre dessus, puis m'écarte d'un demi-mètre pour L/leur laisser la place :
« Tu restes au pied », me lance-t-Elle, en claquant des doigts. Je me réavance donc au pied de Maîtresse, soupçonnant que ce n'était pas sans raison.
Maîtresse commence l'inventaire par le collier. Bingo !
« Quand il est à la maison, dès qu'il franchit la porte, il doit se mettre nu, et enfiler son collier, et ses bracelets aux poignets et aux chevilles. Je veux pouvoir l'attacher à n'importe quel moment, si je dois le punir, ou juste si j'en ai envie. »
Elle lui précise, si besoin était, que les chaînes qui descendent de la poutre au plafond sont juste à bonne hauteur pour que je sois suffisamment tendu, mais pas trop pour que ce ne soit pas trop inconfortable pour de la longue durée. C'est ce moment que Maîtresse choisi pour ajouter :
« D'ailleurs, tu n'as pas encore tes entraves ce soir, du coup », et me passe le collier de cuir autour du cou, ainsi que les 4 bracelets. Aussitôt, Elle attrape la laisse, et l'accroche au gros anneau qui orne le collier.
M. d'ajouter :
« Pourquoi tu le tiens en laisse ? Tu as peur qu'il se sauve ? »
Phrase maintes fois entendue, mais toujours aussi cinglante.
« Non, c'est juste pour l'humilier un peu plus. Et un chien, ça se tient en laisse, c'est obligatoire. »
Nouvel éclat de rire simultané de mes tortionnaires.
Le passage en revue continue avec les instruments de dressage et de discipline : cravache, martinet, badine, et paddles.
« Pourquoi de dressage ? C'est une forme de punition ? »
« Non, quand il désobéit, ou qu'il commet une erreur, je le puni, durement, pour qu'il ai mal, et qu'il ne recommence pas son erreur. Mais une ou deux fois par semaine, je lui fait une piqure de rappel, pour qu'il se souvienne qui commande. Puis une bonne correction une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal. »
Eclats de rire.
Puis Elle passe aux objets « insérables » :
« Ah, c'est un de tes godes ? »
« Non, c'est un plug anal, pour lui. Plusieurs fois par semaine, il doit le mettre 1 ou 2 heures ; je veux qu'il tienne son cul prêt à recevoir mon gode-ceinture. »
Nouveau regard à la fois surpris et intéressé de M., devant ce harnais, complété d'un long et large gode.
« Mais ca sert à quoi ? Tu aimes ça, toi ? », demande M.
« Oui bien sur que j'aime. Et c'est moi qui commande dans le couple ; normal que ce soit moi qui le prenne en levrette. Parfois en missionnaire, pour que je puisse voir son regard pendant que je l'encule. », répond Maîtresse, me regardant avec un large sourire.
Même dans l'humiliation la plus totale, Maîtresse sait comment me faire rester complètement excité, pour que je vive ce moment de la manière la plus intense possible. Continuant de souffler le chaud et le froid, Elle continue Son descriptif de N/notre vie intime, et ajoute, pour mettre un coup de grâce à cette phase d'humiliation :
« De temps en temps, je lui dis qu'il va être libéré de sa cage, et qu'on va faire l'amour ; mais à la place, je lui fait enfiler le gode-ceinture, et il doit me faire l'amour avec le gode, tout en restant enfermé en cage. C'est la frustration ultime pour lui, alors que je prend presque autant mon pied que quand on fait l'amour de manière classique, juste en voyant son air dépité ! »
Je ne peux bien sûr qu’acquiescer. Et c'est reparti pour de grands éclats de rire.
Puis vient le tour du baillon-gode, lui aussi classé dans le top 3 des instruments de frustration du soumis moyen. Puis les baillons classiques, les cagoules, et autres moyens de faire perdre un ou plusieurs de nos 5 sens.
La démonstration se termine avec deux allers-retours, tel un mannequin dans un défilé de mode, paré des menottes aux poignets, des fers aux chevilles, le tout relié par une longue chaine qui part de mon collier pour descendre jusqu'à mes chevilles, en passant par la chainette des menottes, entravé comme un prisonnier dans une série policière américaine. Le point final reviendra aux chaines accrochées aux barreaux du lit, cachées jusqu'à présent par la couette, qui permettent de m'attacher au lit, des fois que je décide de me sauver en pleine nuit ; sait-on jamais.
C'est à ce moment que se termine la séance de présentation de l'attirail de dressage du soumis. Une fois libéré de mes chaines, retour au salon, à quatre pattes pour moi, Maîtresse sur mon dos, M. qui nous suit, non sans un ricanement bien audible, Maîtresse montant fièrement son fidèle destrier. Arrivé vers le canapé, Maîtresse descend de mon dos, et s'assoit, suivi de M.
Il est déjà presque 6 heures du matin
« Ca nous ferait pas de mal, des croissants. J'ai un peu faim », dit Maîtresse.
« Ah oui bonne idée. On va chercher ça à la boulangerie ? »
« Non, IL va aller nous chercher ça à la boulangerie. »
« Ah mais oui, tu as cette chance, toi », lance M., non sans un nouveau rictus, mêlé à un air d'envie.
« Va t'habiller. »
Je m'exécute.
Je reviens au salon, me met à quatre pattes pour suivre le protocole, en déposant un baiser sur chaque pied de Maîtresse. Elle me dit alors, en me montrant M. du doigt :
« Embrasse ses pieds, et file ! Tu as 15 minutes. »
Je suis dans un état second. Je suis proche du subspace. J'aime tellement cet état. Et Maîtresse le sait. Elle m'a poussé à me dépasser, ce soir : Elle sait jouer avec mon esprit, Elle a repoussé mes limites à l'extrême. Elle savait que cette humiliation extrême me ferait passer une des plus belles soirées de ma vie de soumis. Elle me connait, Elle à tout prévu. Je sais qu'Elle s'est assuré que ma réputation personnelle et professionnelle soient en sécurité avec Sa meilleure amie ; que tout ce qui se passe ce soir ne franchira pas les portes de N/notre appartement.
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(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues)
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Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles.
Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles.
Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel...
A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués.
De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie.
L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader.
Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable !
Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas.
A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter.
Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante :
Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Nous avons de la chance: je suis aux petits soins avec ma soumise ces jours-ci. Voici donc encore un épisode.
J'en profite pour remarquer de nouveau que ceci est bien entendu une oeuvre de fiction, et fait référence à des choses assez extrêmes, qu'il n'est en aucun cas question de pratiquer à moins de vraiment savoir ce que vous faites.
Reprenons donc. Nous nous étions arrêtés quand la demoiselle se trouvait dans une cellule sombre, encore traumatisée par la douleur et la violence de son examen "médical"
Elle resta longtemps sur le sol carrelé et glacial, recroquevillée dans les ténèbres presque entières. Seuls les contours d'une porte se dessinaient dans un coin de la pièce, et laissaient deviner l'étroitesse de l'espace
Elle se sentait parfois reprendre ses esprits, et ses mains se posaient à tâtons sur les murs tout autour d'elle, ce qui faisait naître dans sa gorge un sentiment nouveau, une angoisse plus diffuse mais plus profonde, celle de l'animal en cage
La douleur dans ses membres se mêlait aussi à la gène de plus en plus sensible de son intérieur. D'abord ce fut sa vessie. Elle se retint, malgré la douleur qu'elle sentait dans son anus à chaque fois qu'elle serrait le bas ventre.
Quand elle n'en put plus, elle eut un moment de panique, tâtonnant frénétiquement tout au long de sa cellule, en cherchant un moyen de se soulager ailleurs que sous son propre corps.
Mais on ne lui avait rien laissé, et elle avait à peine la place de bouger. Quand elle se sentit faillir, et que le liquide humide se répandit entre ses cuisses et sous elle, pendant que l'odeur de sa propre urine montait à ses narines, elle pleura pour la première fois. Longtemps, en petites saccades douloureuses remontant le long de sa gorge et de sa bouche endolorie
Puis elle eut faim. Et soif. Le froid qui la faisait déjà grelotter semblait s'infiltrer sur sa peau, et irritait ses envies. Elle se sentait paralysée, prise dans un étau qui se refermait à chaque grondement de son ventre. Ses lèvres étaient sèches et elle sentait chaque sillon qu'avaient laissé ses larmes sur son visage, sans avoir la force de les frotter de ses mains
Enfin, après ce qui avait semblé une éternité, un bruit se fit entendre.
Un grincement de porte, des pas dans un couloir. Puis des cris, des gémissement de femme, lointains et comme affaiblis, couverts par intermittence par une voix profonde et menaçante
Les pas se rapprochèrent, les cris et les suppliques se faisaient plus distincts, la voix d'homme plus violente et terrifiante
Instinctivement, elle s'était recroquevillée contre le fond de sa cellule. L'ombre de l'homme se portait sur son corps, et la faisait se sentir encore plus faible, glacée et vulnérable que les ténèbres
Il entra en reniflant. La voix profonde et violente résonna dans ses tympans "Encore une petite bête. Regardez-la dans sa pisse." Ses yeux s'habituaient à la lumière, mais elle les baissa de honte et de peur, sous le regard triomphant et lubrique du geôlier
Cependant, son corps s'arqua en avant d'un coup, quand l'homme se tourna et prit sur une table roulante un plateau, avec un bol de soupe et un autre d'eau.
Son estomac, sa gorge s'animèrent. Elle releva les yeux vers lui. Mais il ne prêtait pas attention à elle, et déposa le plateau sur le sol, au seuil de la cellule
Elle se précipita en avant. A quatre pattes, vers la nourriture et l'eau.
Elle allait les atteindre, quand elle vit le bras de l'homme se saisir d'un bâton qui pendait à sa ceinture et toucher son épaule. Son corps entier sembla se comprimer. Son souffle fut coupé. Un cri déchirant vibra dans son gosier. Puis d'un coup de pied, il la projeta de nouveau contre le mur du fond.
Brandissant la matraque électrique droit vers elle, pendant qu'elle tentait à tout prix de lui échapper, collée au mur du fond, il lui adressa un sourire goguenard
"Non. Si tu veux ça, il faut être une bonne esclave"
Toujours avec le bâton, il lui fit signe d'approcher de nouveau, doucement.
La peur la tenaillait, elle aurait voulu disparaître sur le champ, mais la faim et la soif la poussaient en avant, le regard suppliant, vers le geôlier sadique qui tenait sa vie entre ses mains
Quand elle fut droit sous son corps, à quelques centimètres du plateau, il lui tendit sa botte
"Lèche"
Elle regarda le cuir brun, tâché de noir et de rouge sombre, aux recoins incrustés de cailloux et de restes de boue. Un haut-le-coeur lui vint
Alors la voix monta, sardonique cette fois, avec une pointe de plaisir non contenue
"Alors tant pis"
Ses yeux se levèrent d'instinct, mais son corps entier repartit en arrière alors que le bâton frôlait son corps, et elle ne put que crier de nouveau, à pleins poumons, collée au mur du fond, quand la porte se referma
De nouveau, les ténèbres. Dans son supplice, le temps se distendait. Elle ne savait plus si une minute, une heure ou une journée avait passé. Seule la douleur, l'envie de plus en plus impérieuse de boire, n'importe quoi, et le désespoir, peuplaient la solitude sans fin.
Quand elle entendit de nouveau le grincement, puis les voix, elle n'était plus en mesure de penser. Ses mains, ses pieds, son corps entier tremblait
La porte s'ouvrit. La silhouette s'approcha de nouveau. La voix monta
"Qu'est-ce que tu pues! Ca donne envie de te prendre comme une bête, tu sais ça?"
Le plateau se posa, le bâton attira son corps tenu au respect, maté. La botte se rapprocha de nouveau de son visage, mais ses yeux ne voyaient plus. Quand elle entendit "lèche", elle sortit la langue et la passa le long du cuir sans question, sans répugnance
Elle sentit la main de l'homme la prendre par le cou. Il la fit monter sur ses genoux, approcha les lèvres de son entrejambe et sortit sa bite, qu'il lui fit sucer
La douleur remonta dans sa bouche, la peur et le dégoût passaient dans son esprit comme des cris très lointains, comme l'agonie d'une autre
Enfin, il sortit sa bite d'elle, tourna sa tête vers le haut, et après lui avoir craché sur le visage, lui fit d'un ton plus doux "Tu peux y aller, maintenant, chienne"
Il recula d'un pas, et elle se jeta sur le plateau. Mais elle s'arrêta net en sentant le bâton sur son épaule, pétrifiée. La voix reprit plus sèchement "Sans les bras!"
Elle lapa l'eau tant qu'elle pouvait, et enfonça presque son visage dans la soupe épaisse, pour apaiser enfin la faim et la soif.
Quand elle eut finit, elle s'allongea sur le ventre, trop fatiguée pour faire quoi que ce soit. La voix la rappela soudain à l'ordre "Remercie-moi"
Automatiquement, elle s'entendit répondre "Merci."
Le bâton passa lentement sur sa colonne vertébrale, et lui donna un hoquet de terreur, mais la voix reprit tranquillement "Merci, maître"
"Merci maître"
"Parfait. On va pouvoir commencer à t'éduquer"
Il referma la porte. Cette fois, l'attente ne dura que quelques minutes. Quand la cellule se rouvrit, un homme en uniforme, comme les maîtres qui l'avaient amenée à l'Académie, se tenait devant elle. Il lui fit signe de se lever et de la suivre.
Elle remonta des escaliers. Les corridors aux murs nus s'ouvrirent sur un vestibule. La lumière d'une fin d'après-midi ensoleillée entrait par une fenêtre. Elle était sortie, pour un temps, des profondeurs.
Voilà. La suite pour bientôt, espérons-le...
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Suite de l'histoire: c'est beau d'avoir une soumise qui les mérite.
Nous étions donc restés au moment où la petite demoiselle aux yeux expressifs et au sourire félin était soumise à l'examen médical pour son entrée à l'Académie.
Les bras et les jambes attachés en croix sur une table, entourée de deux éducateurs, pendant qu'un troisième la regardait en se faisant sucer par une élève plus avancée.
Avant l'examen, on plaça un masque sur ses yeux. Elle ne pouvait plus qu'entendre les voix dures, les petits rires secs de ses examinateurs pendant qu'ils manipulaient et jouaient avec son corps
Et sentir leurs mains qui palpaient et trituraient sa chair, explorant ses recoins les plus intimes
Elle sentit son corps tiré, caressé, tapoté par endroits. Puis un cri involontaire, aigu comme celui d'une petite fille, sortit de sa gorge quand elle sentit les ongles s'enfoncer dans la chair de sa hanche
Les gestes se répétèrent sur ses aisselles, ses pieds, ses côtes. D'abord des caresses, comme pour chauffer la peau, puis des coups ou des griffures, et chaque fois ses cris ou ses halètements étaient accueillis par un petit rire ou un soupir d'aise. Les maîtres s'amusaient de ses réactions, jaugeaient et se plaisaient à prolonger ses tourments
Son souffle lui resta dans sa gorge. Une main s'était posée sur chacun de ses seins
Son ventre se contracta et les larmes montèrent à ses yeux sous le masque alors que le même rituel recommençait. La main pétrissait la chair tendre, fragile et intime, et semblait comme tenir une partie de son esprit entre ses doigts. Elle était si vulnérable, si offerte, incapable de cacher quoi que ce soit. Ses réactions lui échappaient complètement.
Quand les doigts se refermèrent sur ses tétons, et commencèrent à tourner, elle se retint de hurler. Un simple sanglot étouffé secoua son diaphragme
Puis la douleur la fit crier, et la voix de son tortionnaire monta à ses oreilles: "Ah! On a une petite crieuse. Continue comme ça, chante pour moi!"
Une fois, deux fois, cinq, dix, quinze fois, les doigts tordirent la chair de ses tétons, et tout son corps se cabra sous la douleur. Elle ne se retenait plus, ses cris partaient comme sortis tout droit de sa poitrine
Quand la main se reposa à plat sur ses seins et que les voix se mirent à parler entre elles, elle n'arrivait même plus à comprendre ce qu'elles se disaient
Une minute de calme s'ensuivit. On notait sa sensibilité, la fermeté, on parlait d'hormones et de compléments alimentaires à lui administrer
Puis la main monta, caressante, et retomba lourdement sur sa gorge. La voix s'approcha de son oreille et murmura "maintenant, les examens des orifices"
Tout son corps se cabra, mais les liens étaient bien trop serrés, et la seule chose qui en résulta fut un nouveau rire sec de la part du maître, qui resserra son étreinte et continua: "Oui, tu peux te débattre, vas-y. J'aime te sentir te tortiller comme ça, et ça rendra les choses encore plus douloureuses. Continue."
Et sans prêter plus attention à ses réactions, il continua à serrer doucement jusqu'à ce qu'elle se sente étouffer. Puis, alors que sa bouche grande ouverte cherchait à tout prix un peu d'air, il enfourna un gros appareil en métal froid entre ses mâchoires
Sa langue fut repoussée jusqu'au fond de sa bouche, et ses lèvres douloureusement écartées par cette boule. Mais ce fut après, doucement, que la douleur monta vraiment
D'abord dans la mâchoire, puis dans les joues, et enfin au fond de la bouche alors qu'elle luttait face à cet envahissement et que la panique prenait le dessus
Quand elle entendit un petit crissement, et qu'elle sentit la boule s'ouvrir encore, la douleur et la peur firent trembler tout son corps. Son esprit semblait paralysé, elle ne pouvait pas penser, pas se détacher de la terreur de sentir sa bouche écartelée ainsi
La voix revint près de son oreille, murmurant doucement avec une pointe d'ironie: "Encore beaucoup de travail de ce côté. J'espère que tu aimes mon amie la poire, parce qu'elle va revenir souvent entre tes mâchoires"
Elle se rapprocha encore, tout près et reprit "Voyons voir si tu es aussi serrée en bas"
Et aussitôt, elle sentit une autre main se poser sur son pubis, et se refermer inexorablement sur ses parties les plus intimes
La douleur dans sa bouche rendait son esprit confus, mais chaque mouvement de cette main lui parvenait si distinctement qu'elle aurait pu croire qu'elle la voyait
d'abord le long de ses lèvres, doucement, pour les écarter
Puis en bas des lèvres, un moment, pour tirer sur la peau, tester sa flexibilité, pincer encore
Puis de nouveau plus haut, jusqu'à l'ouverture de ses lèvres internes, et quand le doigt se posa sur son clitoris, elle eut l'impression de ressentir chaque pore appuyer sur sa peau au ralenti
Puis de nouveau une sensation froide. Un instrument en métal venait s'insérer autour de son clitoris. Le froid la fit sursauter malgré les liens
L'instrument resta un instant puis elle ne le sentit plus, on avait sans doute mesuré sa taille. La main redescendit en caressant et s'arrêta sur la fente. En la sentant à cette endroit, elle avait l'impression qu'un simple mouvement pouvait l'ouvrir et exposer toutes ses entrailles. Son corps entier ne lui appartenait plus, exposé comme il était à ce doigt tout puissant
Un nouveau rire se répandit autour d'elle, et une voix s'exclama: "Mouillée! Une vraie petite esclave!". La honte qui la prit au ventre à ce moment lui fit presque oublier l'horrible instrument dans sa bouche, tant elle était mortifiée
Un autre instrument en métal s'inséra entre ses lèvres, mais il ne fit que les ouvrir, et la main s'arrêta vite à l'intérieur. La voix reprit près de son oreille: "Parfait. Je crois que je sais déjà quel client voudra profiter de ta virginité. Tu vas être une parfaite attraction pour un soir de fête, quand tu seras prête"
"Maintenant respire un coup, et détends-toi. Ou souffre"
Rien ne l'avait préparée, aucun signe avant-coureur. D'un coup, un doigt s'enfonça droit dans son anus. Ses jambes se tendirent, tous ses muscles se raidirent comme un grand cri d'alarme. Elle n'avait plus la force de hurler, mais une lamentation suraiguë et longue fila entre ses lèvres trop écartées
Un deuxième doigt entra, avec plus de difficulté, et la douleur devint insoutenable. Elle eut l'impression de s'évanouir. Une minute passa dans cette agonie.
Il lui fallut un long moment pour se rendre compte que l'instrument était sorti de sa bouche endolorie, et qu'une de ses jambes était déjà détachée. Elle n'avait pas même la force de se débattre.
Dans une sorte de brouillard, les mains la prirent et la soulevèrent comme un sac. Le masque glissa. Ses larmes coulèrent le long de son visage et tombèrent sur le sol de la salle d'examen pendant qu'on la sortait sans délicatesse par une autre porte
La dernière chose qu'elle ressentit avant de s'évanouir fut le sol dur où on la laissait tomber, les murs de la cellule étroite qui disparurent dans le noir, et le froid qui s'était saisi de tout son corps, vulnérable et transi, perclus de douleur et terrassé par l'humiliation.
Pour la suite, il ne reste qu'à espérer que ma soumise continuera ses bonnes actions...
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(Réédition du 25/11/2019 -> 31/03/2024 - 690 Vues)
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(Lettre ouverte à une Masochiste Brat)
Bonjour très chère,
Je profite de ce court laps de temps que tu sois en dehors de ce site pour t'écrire ces mots "doux".
En ces temps où les sites BDSM se découvrent moins actifs, et les membres / Animateurs/trices se voulant respectueux de la gente féminine,
je comprends infiniment que tu passes, toi et tes congénères, de sites en sites à la recherche de matière.
Loin d'être improductif, il est vrai que d'autres sites ont la chance d'avoir un tchat un peu plus actif de par leur ergonomie,
et moi-même je suis conscient de perdre "des bonnes affaires" à ne pas migrer là où les "o" paraissent plus chaudes.
Seulement voilà, la bonne santé de ce genre de site se révèle dans le professionnalisme de Ses Dominants et non dans des attroupements de femmes excitées ou en berne.
Je sais que c'est dur de gérer l'ennui et le manque de stimulation dans ces moments là, et tu pourrais me poser la question :
"Mais où sont les Sadiques Bordel ?!!".
Et bien la réponse est : Ils migrent pour la plus part sur des adopteunequeuepointcom ou jelibertinemonculpointnet.
La raison en est simple, la femme s'est battue dans son émancipation à également devenir plus casse-couilles et indécise qu'auparavant, et il est très difficile de faire la différence entre une Masochiste Brat dans son besoin d'être torturée, d'une femme frustrée se voulant insolente pour se faire simplement pilonner la chatte.
Ce qui en revient à réécrire ce que je t'ai mentionné dernièrement ;
Soit tu décides de t'investir dans une relation "relativement" conventionnelle, et ton compagnon est compatissant envers ta "cause". Et là tu t'arranges pour avoir des Dominants/Sadiques réguliers pour avoir ta dose.
Tu survivras mieux aux hivers à rallonge.
Soit je m'occupe de ton cas.
Tu te veux ou t'improvise être la loi de la provocation et de l'emmerdement maximum, mais entre une Masochiste Brat et un Dominant, c'est une cohabitation qui s'impose... Ne serait ce que pour conserver nos plaisirs respectifs.
Clairement, donne moi ce que je veux, et tu auras droit à tes récréations à vouloir m'emmerder.
Lorsque tu me reviendras, et que tu verras cet article, j'attends de toi que tu postes sur le mur de mon profil une photo de toi dans Ta Soumission et de ton besoin le plus incessant (Je me contenterais d'une photo de toi via ma messagerie, si tu n'as pas avancé d'un pouce d'un point de vue exhibition).
Pour t'aider, tu n'auras qu'à penser que pendant que mes mains te serreront fermement le cou, je te laisserais pénétrer mon regard, à te faire ressentir tout ce que je peux faire d'une femme si je m'abaisse à ne plus réfléchir moi-aussi.
Au delà de ton rictus qui ne manquera pas de subvenir sur ton visage lorsque tu liras ces lignes,
Ton sourire m'est acquis.
Alors passe de bonnes fêtes de fin d'année si nous ne nous voyons pas d'ici là :b
Et ne te fais pas BAN pour des conneries.
ChatMOnYou.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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