La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 24/06/24
Une nuit, où j’étais seul chez moi, car ma Maîtresse bossée vu qu’elle est infirmière et que ça lui arrive de travailler de nuit, j’ai donc décidé de me faire un petit kif en solo. Une petite escapade nocturne bien hard et bien cochonne, j’ai pris ma voiture armé de mon code ventouse que j’ai bien sûr pris soin de bien l'enfoncer avant de partir. j'ai commencé à rouler jusqu’à trouver un coin isolé dans la nuit, un petit coin tranquille pour mettre en œuvre mon petit plaisir solo en extérieur. Une fois garé et mettent assuré que rien n’aurai pu me déranger, j’ai sorti mon gode de mon cul, que j'ai collé sur le bas de la portière de façon à me mettre à 4 pattes, et de me le renfoncer dans mon cul en mode levrette. J’ai dû passer 1/4 d’heure 20 minutes à me goder puis je me suis retiré, et me suis retourné pour le sucer à pleine bouche. J’ai commencé à sucer, et je me suis aperçu par le goût qu’il était plein de merde. Au départ de ne l’avais pas vu, car j’étais dans l’obscurité, uniquement éclairé par la petite lumière du plafond de la voiture, mais cela ne m’a pas dérangé, j’ai continué à sucer de plus bel. Une fois mon gode bien lustré par ma bouche, j’ai mis une serviette par terre, que j’avais pris soin de prendre avant de partir. Je me suis mis sur le dos les jambes en arrière la bite bien au-dessus de mon visage, et j’ai laissé ma pisse bien chaude couler sur ma figure et dans ma bouche. La bouche remplie de ma pisse que je recrachais sur mon corps. L’excitation était à son comble, j’en oubliais le fait que j’étais en extérieur et qu'à tout moment une voiture aurai pu débarquer, je me laissais aller sans réfléchir, j’ai doucement commencé à m’enfoncer des doigtés dans mon cul merdeux bien dilaté que je suçais à chaque fois que je les sortais. Puis j’ai mis ma main devant mon anus, et j’ai forcé pour la remplir de merde. Une fois ma main bien pleine, j'ai étalé le tout sur mes couilles et ma bite, je remontais petit à petit sur mon bas-ventre puis sur mon torse, j’en ai même étalé sur mes pieds que j’ai pris soin de lécher après. J’étais entièrement nu plein de pisse et de merde en extérieur tout souillé, je me suis essuyé les mais et les pieds sur la serviette, replacer le gode dans mon cul et me suis rhabillé comme ça avant de reprendre la route pour rentrer chez moi me laver. Ce fut une bonne expérience très excitante.  
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Par : le 03/06/24
A la demande de SweetQueen, Douce Reine de la communauté BDSM, que je remercie pour son intérêt, à la suite d’un extrait du 1er volet du cycle Odes à la Gynarchie, je propose ci-après (avec l’autorisation de son auteur) un extrait du 2e volet de cette trilogie, La Reine du Cap et son valet de pieds. « Nous étions arrivés à la plage. Madame détacha le harnais de mes couilles, fixa ma laisse à mon cou et avança sur le sable en me tirant derrière elle. Elle me laissa sur mes deux jambes plutôt qu’à quatre pattes pour aller plus vite mais la laisse attachée à mon collier fermé par un cadenas, ma cage de chasteté idem, la queue qui dépassait de mon cul, les marques sur mes fesses et les pinces lestées à mes tétons ne laissaient aucun doute sur ma condition de soumis. Madame alla jusqu’à proximité du bord, ôta ma laisse et me laissa dérouler sa serviette. Puis je m’agenouillais pour lui enlever ses sandales de cuir en n’oubliant pas de lui baiser plusieurs fois les pieds et les orteils. Elle s’allongea, retira son paréo, apparaissant nue et bronzée, et me tendit à nouveau ses pieds. « Rafraichis-moi ! » Je massais longuement ses pieds moites l’un après l’autre en les embrassant et en les léchant, puis je suçais lentement et soigneusement chacun de ses orteils. Enfin elle me les retira brutalement et me flanqua une gifle. « Pour le service ! » C’était la règle. Je n’étais jamais récompensé pour quoi que ce soit même si je satisfaisais ma maîtresse. En revanche, non seulement j’étais puni si j’obéissais mal à un ordre, mais de toute façon j’étais giflé, pour le principe. « Creuse ton trou ! » Je savais ce que j’avais à faire. Je creusais dans le sable une petite tranchée de ma taille et je m’allongeais dedans sur le dos. Ma maîtresse prit ensuite le relais en recouvrant mon corps de sable, sauf mon visage qui restait un peu surélevé. Madame appelait ce genre d’installation son « donjon de sable », référence à la fois aux châteaux de sable que fabriquent les enfants, et aux salles de torture des dominatrices appelés donjons. Après s’être assurée que tous les gens à l’entour nous regardaient, elle s’installa en hauteur au-dessus de ma figure et urina directement dans ma bouche. Le liquide chaud et salé coulait dans ma gorge comme un nectar parfumé de l’odeur de son vagin. Lorsqu’elle eut terminé et que j’avais tout avalé sans gaspiller une goutte, Madame posa son sexe sur mes lèvres pour que je nettoie les dernières traces, elle se caressa quelques instants sur ma bouche tandis que je fouillais son vagin avec sa langue. Puis elle se retira sans un mot et s’allongea au soleil. » Extrait de La Reine du Cap et son valet de pieds, 2e volet du cycle Odes à la Gynarchie disponible en ligne
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