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Par : le 10/09/24
                                                 Chapitre 3 (Elle)   20 Juillet                             (séance 7)     Juste un petit récapitulatif. Nous sommes maintenant mi juillet et cela fait un mois et demi que j’ai signé un contrat avec mon mari. Bien sûr, ce contrat n’a aucune valeur juridique mais j’ai pris l’engagement de le respecter pour me faire pardonner de mon infidélité et je ne suis pas de celles qui renoncent. En un mois et demi il s’est passé tellement de choses. Au tout début ,quand je lui ai dit: "Pardonne-moi, je t'aime. Demande-moi tout ce que tu voudras" Je ne m'attendais pas à ça. J'avoue que, au début, j'ai carrément pris sa proposition pour un canular. Lui, que je tenais pour intellectuel, cultivé, esthète, même , enfin tout sauf un hooligan ou un macho de base, j'en était sidérée. Un contrat? Des positions? Ma chatte de "salope"?  J'ai dû me pincer pour m'assurer que je ne rêvais pas. Tout d'abord, j'ai pensé que, meurtri par ma trahison, il voulait me traîner dans la fange avant de me quitter comme, de toutes façons,  il en avait eu l'intention dès le début. Et puis, j'ai pu constater deux choses: 1 Pendant les séances, il était extrêmement attentionné. La voiture était-elle suffisamment chauffée, le collier ne me serait-il pas trop le cou? 2 Dans la vie de tous les jours, il était redevenu, peu à peu, le même qu'auparavant: prévenant, galant même, courtois, spirituel.... Enfin toutes les qualités pour lesquelles j'étais tombée raide dingue de lui sept ans auparavant et qui font que je l'aime encore d'avantage aujourd'hui. Alors qu'était-ce? Des fantasmes auxquels il pouvait, à cette occasion, donner une réalité ? Bon sang! Sept ans de vie commune et jamais, jamais il ne m'en avait parler. J'en finirais presque par me sentir coupable, c'est un comble. Finalement, la tension est un peu retombée et par la suite, je me suis interrogée sur le rapport que j'avais avec mon corps, la nudité, la sexualité et donc, l'amour. Ah! l'amour! Un bien grand mot, mais en fait, une abstraction qui ne peut s'exprimer que par le don se soi et l'envie d'être attentif à l'autre. J'ai repenser à ce film, Avatar, dans lequel, sur Pandora, les amoureux se disent: "Je te vois". Pendant les séances, je me suis mise à apprécier que mon homme ait les yeux rivés sur mon corps et plus particulièrement sur ce qui fait de moi une femme. A l'extérieur, notamment sous le regard des hommes,  je réalise maintenant le potentiel érotique qui peut émaner de ma tenue, de mes gestes. Ma libido a évolué: Avant, j'avais juste envie de faire l'amour avec mon mec, maintenant j'ai envie de jouer et de le surprendre en devançant ses attentes. La séance 5 avec Laurent m'a fait découvrir que je pouvais prendre du plaisir à m’exhiber. En fait, une fois excitée, ma libido prend le dessus et je n'ai plus de limite. Plus les positions sont obscènes et plus je mouille. Montrer ma chatte toute mouillée à un inconnu me fait chavirer. J’ai aussi découvert les plaisirs du martinet. Sentir la piqûre des lanières sur tout mon corps me chauffe dans tous les sens du terme. J’adore ça. Bien lancée, je peux même apprécier d'être fouettée "chatte écartée". Les lendemains sont plus difficiles. A froid, j'ai même parfois du mal à imaginer que j'ai pu avoir de tels comportements. Et puis mon chéri arrive, tout guilleret, il me regarde avec des yeux plein d'amour et je suis prête à recommencer.   Il m’avait dit :» Ce soir, dix-huit heures, tenue publique » Alors à dix-sept heure cinquante, je n’avais même pas eu le temps de finir de me pomponner dans la salle de bain que j’entends frapper à la porte. Mon mari ouvre : « Bonsoir, vous êtes le représentant que j'ai eu au téléphone ? » Le gars répond : « Oui c’est ça : Akéna, les vérandas sur mesure » « Très bien, alors c’est là, sur la terrasse. Qu’est-ce qu’il est possible de faire ?» De mon côté, je réfléchis. Je sais que la maison ne lui appartient pas vraiment ou, du moins pas à lui seul. C’est une vieille maison familiale qui sera vendue au décès de sa maman et dont le produit de la vente sera partagé entre la fratrie. Surement pas l’endroit ou faire les frais de l’installation d’une véranda. Donc, c'est un faux prétexte pour faire venir un spectateur à la maison. Que vais-je devoir faire devant lui cette fois. Sûrement me mettre nue, c'est le minimum. Humm! rien que d'y penser je me sens toute chose. Peut-être faire ma pisseuse, me caresser? Ca y est je suis partie! Il me faut de moins en moins de temps pour me mettre en condition. Il est dix-sept heures cinquante-huit, j’ai encore deux minutes. Le représentant se met en branle : « Je vais prendre les mesures de la terrasse » Mon homme le seconde et donne des infos : « Il faudrait que ça parte d’ici jusque…. Là. Et l’entrée… plutôt par ici.» Pendant ce temps, je suis descendue et je suis devant la porte d’entrée, les yeux baissés, les bras derrière le dos. Le représentant m’a vue : « Bonsoir Madame » Je réponds : « Bonsoir…Monsieur !» J’ai un peu insisté sur le « Monsieur », mais il ne fait pas attention, tout occupé qu’il est à déployer son mètre ruban. Mon mari reprend : « Comme je vous l’ai dit au téléphone, je suis obligé de vous laisser. Voyez ça avec ma femme et proposez-nous des devis » Il rejoint sa voiture et s’en va. Allons bon! C'est nouveau. C'est à moi de prendre les rênes. D'habitude, je ne fais qu'obéir mais cette fois, je dois me jeter toute seule dans la gueule du loup. Je réfléchis: Je n’ai pas eu de directives particulières mais nous sommes en « séance » et mon mari n’a que faire d’une véranda. Je sais ce que mon homme attend de moi mais comment faire pour me retrouver nue le plus rapidement possible. Une idée me vient. Je vais à la cuisine préparer des amuse-gueules. J'en profite pour boire un grand verre d’eau, on ne sait jamais ! Rien que de penser que je vais peut-être me retrouver tout à l'heure à faire pipi devant cet étranger me donne des picotements à l'entre jambe. Quelques dés de fromage, des rondelles de saucisson, des chips. Dans le même temps, je me dis qu’un représentant, à l’heure du dîner, n’a pas forcément envie de trainer chez des clients. Il faut que je trouve quelque chose. Monsieur Akéna rentre dans la maison et vient vers moi. Il ouvre un classeur qu’il pose sur la table de la salle à manger. « J’ai pris les mesures. Regardez, je peux vous proposer différents modèles » Sans rien dire, j’ai disposé sur la table des coupelles avec le fromage, le saucisson et les chips. Quand j’avais le dos tourné, j’ai enlevé un bouton à mon chemisier. Ma jupe, que je porte normalement en « taille basse », est remontée un peu et je n’ai pas rectifié. Je me penche maintenant pour prendre la bouteille de whisky qui est dans le placard du bas. Bien sûr, je ne plie pas les genoux. Il est assis derrière moi et il doit au moins voir la naissance de mes fesses par-dessous la jupe. Je perçois une émotion dans sa voix : « Ça, c’est un modèle standard qui peut…euh… être mis en place… dans moins d’un mois » Je reviens à la table avec une bouteille et un seul verre : « Prendrez -vous un apéritif, Monsieur ?«  Je n'ai pas autre chose à lui proposer parce que c'est tout ce que nous avons. Il a dû voir mon chemisier mal fermé et ma jupe qui est remontée encore un peu. Il hésite, regarde la bouteille, jette un coup d'oeil à sa montre puis revient sur mon chemisier. « Pourquoi pas, vous êtes mes derniers clients de la journée. C'est très gentil de votre part, comme ça j'aurai le temps de vous expliquer les différences entre les modèles standards et le sur-mesure. » Très bien ! ça me donne un peu plus de temps. Mais je ne vois toujours pas comment arriver à mes fins. Je verse un fond de Glenfiddish dans son verre et je prend la position n°3, en bout de table, immobile. Le représentant continue de tourner les pages de son classeur en donnant des spécifications et des prix mais je ne l'écoute pas vraiment. J’imagine que mon chéri a dû se garer un peu plus loin et est revenu discrètement à la maison. Selon toute logique, il est entré par la baie vitrée de la chambre du rez de chaussé. . Il doit écouter attentivement et attendre la suite des évènements. Finalement un peu gêné par ma posture et mon comportement, le représentant demande : « Tout d'abord, est-ce qu’il y a un modèle parmi ceux là qui vous conviendrait ? » Je me dis qu’il faut que les choses bougent. Au diable les vérandas ! Je tente le tout pour le tout. Les yeux baissés. « Excusez moi Monsieur, est ce que vous me trouvez séduisante ? » Il marque un temps d’arrêt. Il sent que la situation est en train d’évoluer. Jusque-là très professionnel, il se dit qu’il y a peut-être une aubaine à saisir. Il quitte son classeur des yeux et lève la tête. « Euh…Oui, Plutôt… » J’embraye immédiatement et j'y vais "franco". Si ça ne marche pas, mon chéri ne pourra pas dire que je n'ai pas essayé: « Je suis naturiste et je me sens beaucoup plus à l’aise sans vêtement. Est-ce que cela vous gêne si je me déshabille ? » Il bafouille : « Non ! Euh non bien sûr ! Faites… comme chez vous ! » Je ne me le fais pas dire deux fois. Je fais glisser ma jupe à terre et j’enlève mon haut. Me voilà complètement nue devant lui. Il y a encore des moments, en pleine «séance», pendant lesquels je me vois en train d’agir. Une sorte d’éclair de lucidité, comme si je reprenais conscience. Le contrat, la culpabilité de mon adultère, mon amour pour mon chéri et surtout, ma libido en pleine explosion, m’ont ammené à des comportements qui m’étaient innimaginables jusqu’à présent. Ma vie était tellement écrite d’avance: Fille de bonne famille, diplomée d’état, mariée à un intellectuel charmant, Il ne me restait plus qu’à laisser les choses advenir: Faire des enfants peut-être; Travailler jusqu’à la retraite, sans doute; Mourir un jour, sûrement. Mais, le tout, dans une sorte de banalité aussi épuisante que consternante. Que m’était-il arrivé? Quelle était cette excitation que je ressentais et qui rend les choses rares et donc précieuses. Je n’en finis pas de me poser des questions que malheureusement je ne peux partager avec personne pour l’instant. Je me tiens devant un homme que je ne connaissais pas il y a dix minutes. Je suis entièrement nue face à lui, je bombe le torse pour faire ressortir mes seins,  j’écarte les jambes pour que mon sexe épilé soit visible dans tous ses détails. Je sais, maintenant, le pouvoir que j’ai sur les hommes. J’ai compris qu’ils étaient finalement faibles face à l’objet de leurs désirs. Mais cette faiblesse m’émeut plus qu’elle ne pourrait me rendre victorieuse. Assurément, je prends mon plaisir à être soumise plus qu’à être dominatrice. Je reviens à la réalité: Il a pu constater que je ne portais ni soutien-gorge ni culotte et il doit commencer à se demander si tout ceci n’est pas une mise en scène. Tant mieux, comme ça, s’il reste, c’est en sachant qu’il ne vendra pas de véranda aujourd’hui. Je rassemble mes vêtements, les pose sur une chaise et je vais au frigidaire chercher des glaçons. Il est derrière moi, mais je sais que ses yeux détaillent mes reins et mes fesses. Je me mets à sa place : Il était venu vendre une véranda et c’était devenu tout autre chose, mais quoi ? Il y va sur la pointe des pieds : « Alors comme ça, vous êtes naturiste ? Votre mari aussi ? » Je le mets à l’aise : « Mon mari aime que je sois nue en toutes circonstances Monsieur» J’imagine que rien que le fait de terminer ma phrase par « Monsieur », doit l’interroger. Je reviens vers lui avec mes glaçons. J’en mets deux dans son verre et je me mets en position n°1 devant lui : les jambes écartées, les mains sur la tête. Je lui explique : « C’est la position n°1, Monsieur : une position d’attente » et je me tais. Il s’inquiète : « Mais votre mari est au courant ? Il va bientôt revenir. Non ? «  Il a du mal à comprendre ce qui se passe. Il se demande s’il n'est pas tombé sur une femme frustrée qui a envie de se faire sauter vite fait par un inconnu. Il se lève et descend sa braguette. Ça y est, il est chaud : « C’est de la bite que tu veux ? » il sort son sexe déjà dur. Vite ! Il faut que je recadre ! Je me mets en position n°3 et je fais deux pas en arrière : « Non Monsieur, Je veux juste m’exhiber. Vous devez rester habillé. Si cela ne vous convient pas, je comprendrais. » Je fais un autre pas en arrière. J’ai affaire à un gentleman : il ramasse son outil et se rassied.  Cependant, il s’enhardi tout en fixant ma chatte. « Je vois ! T’es juste une pisseuse en fait ! » Intérieurement, je souris : « C’est cela Monsieur. » Intérieurement, je me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir la confirmation. Il enchaîne : « Alors ? Qu’est ce qui se passe maintenant ? » Il a raison, qu’est-ce qui se passe maintenant ? Je suis excitée d’être nue devant un étranger mais je ne sais pas quoi faire. D’habitude, j’attends les ordres, alors je lui dis : « J’attends vos ordres Monsieur » Il est dubitatif mais il se dit que puisqu’il n’a pas le droit de sortir son matériel, il peut au moins s’amuser. Il s'installe plus confortablement sur sa chaise et prend son verre sur la table. « Mets toi un doigt dans la chatte ! » Et c'est parti! Finalement, ça a été assez facile d'en venir là, alors je prends mentalement des notes, pour une prochaine fois: 1  Porter des vêtements exagérément sexys. 2  Trouver un prétexte pour me mettre nue. 3  Fixer les règles. 4 Attendre les ordres. Présentation de la chatte, c’est la position n°4. Je suis une petite soumise bien dressée alors j’écarte largement les jambes, avec ma main gauche, je sépare les petites lèvres de mon sexe puis, je raidis le majeur de ma main droite et je me le mets bien au fond. Il me laisse comme ça, les jambes écartées devant lui, le bassin bien en avant, et un doigt dans la moule pendant au moins vingt secondes pendant lesquelles il sirote son whisky. Ses yeux passent de mes seins à ma chatte et il a un petit sourire pervers sur le visage. Il a compris qu’il ne me baiserait pas alors il a envie de m’humilier et de me pousser dans mes derniers retranchements. « Retire ton doigt et suce-le ! » dit-il froidement. Moi aussi, j’ai envie de le provoquer. « Oui Monsieur, je suis une petite salope. Vous pouvez m’insulter, si vous le souhaitez, Monsieur » J’avais déjà senti que j’étais mouillée, mais là, j’en avais la confirmation : Mon doigt était gluant de l’excitation que je ressentais en moi depuis le verre d’eau. Je teste le goût de ma chatte : c’est un peu crémeux avec une saveur douçâtre. Heureusement que je suis excitée sinon j’aurais du mal. « Mets le dans ton cul maintenant ! » « Oui Monsieur ». D’accord ! Il va se venger. A tous les coups le prochain ordre sera de remettre mon doigt dans la bouche. Je m'en fiche, je suis prête. Tout ce qui touche au "derrière", sodomie, introduction de plugs et autres, c'est compliqué: Ca me plait mais j'ai peur de ne pas être "propre". Et puis, un jour, il m'a dit: " Tu sais, quand je vais par là, je sais qu'il y a un risque. Tu n'y es pour rien". Je suis quand même allé voir sur internet et j'ai découvert que certaines femmes, adeptes de la sodomie, avaient recours à une poire à lavement pour être tranquilles. J'en ai commandé une ainsi que tout une gamme de produits adaptés et dorénavant, quand je me prépare pour une séance,  je fais un nettoyage "en profondeur" pour parer à toute éventualités. Pour l’instant, je tourne le dos et je me mets en position n° 5 : présentation des fesses. Le doigt est mouillé de salive et je le rentre doucement dans mon petit trou. Comme tout à l’heure, il attend au moins quinze secondes pendant lesquelles il se rince l’œil en finissant tranquillement son verre. J’ai le temps de réfléchir : Je mouille parce qu’un inconnu me regarde en train de me doigter le cul. Mon mari, en principe à moins de deux mètres, se régale du spectacle. J’ai, malgré tout,  très peur de l’ordre qui va probablement suivre. La porte d’entrée qui s’ouvre : « Salut chérie, ça a été moins long que prévu », et il entre dans la pièce. Je n’ai pas bougé, je suis penchée en avant, nue, les fesses dirigées vers Akéna avec un doigt dans mon cul. Monsieur Véranda, s’est levé et baragouine ne sachant plus où se mettre. «  Oui ! alors voilà ! Bon !...J’allais justement y aller » Il doit être surpris que je reste en position. Mon mari : « Mais non ! mais non ! Je vois que vous avez fait connaissance. Ou en étiez-vous exactement ?» Je saute sur l’opportunité : « Je suis une bonne petite pute qui se met un doigt dans le cul Monsieur » Du coup, les vérandas Akéna sont muettes. Mon mari se sert un verre et en profite pour resservir notre « invité ». « Comment vous la trouvez, plutôt obéissante non ? » Puis vers moi : » Viens ici et position n°4 ! Garde ton doigt là où il est. » J’avance vers mon homme, je m’installe la chatte en avant, j’écarte bien les lèvres avec ma main libre pour dégager le clito. « Oui Monsieur » Sa main se dirige vers mon entre-jambe et deux de ses doigts testent l’entrée de la moule. « Je suis une petite salope qui mouille de la chatte Monsieur » Mon chéri à l’air satisfait : « Va faire voir à notre ami » Je fais le tour de la table, toujours avec un doigt dans le cul et une main devant qui écarte la chatte. J’ai manqué d’oublier : « Oui Monsieur » Je m’arrête devant « notre ami ». Sans rien dire, il me plante son majeur direct dans la moule et je ne peux retenir un petit râle de surprise et de plaisir. Je suis dans une position extrêmement humiliante qui m’excite au plus haut point mais depuis une minute ou deux une envie à commencé à se faire sentir : « Je suis une petite pisseuse Monsieur » Mon homme réagit : « Ah, il va falloir sortir la chienne. Va chercher ta laisse et ton collier.» « Oui Monsieur ». Quand je reviens, j’ai le collier autour du cou et je tends la laisse à mon maître. « Demande à notre invité s’il veut bien s’en occuper » Je vais vers Monsieur Akéna : « Accepteriez vous de m’emmener en laisse dans le jardin pour y faire ma pisseuse s’il vous plait Monsieur ? » Il ne répond pas mais  prend la laisse que je lui propose. Je me mets à quatre pattes et j’attends. Finalement il accroche le mousqueton sur l’anneau du collier. Je pars devant lui vers la porte d’entrée. Il m’ouvre et me laisse passer devant. Il a dû se douter que c’était le meilleur endroit ou se tenir. En restant derrière moi il a vue sur mes fesses et en dessous la fente de ma chatte que je fais ressortir en creusant mon dos. J’avance jusqu’au milieu du jardin et n’y tenant plus, j’écarte les jambes au maximum mais mes petites lèvres restent collées. Je vais en mettre partout ! Je mets mes coudes au sol et je cambre à fond : ça y est, ma chatte est grande ouverte. Je me relâche. En même temps que le jet d’urine, notre « ami » doit voir mon petit trou se détendre. Ça y est, les objectifs sont atteints. Je suis à poil et je fais ma pisseuse, dans une position parfaitement indécente, devant un inconnu. Tout ce qu’il faut pour me mettre en état d’excitation extrême. Je sais que mon homme me regarde et que ça l’excite aussi. Quand j’ai fini, je retourne vers l’entrée de la maison en tirant sur la laisse comme une chienne mal dressée et comme si j'avais hâte de passer à la suite. Mon homme retire le mousqueton du collier : « Grimpe sur la table et met toi en position n°6 » J'obéi : à quatre pattes, les coudes et les avant-bras posés à même le bois, les jambes très écartées, le dos creusé comme tout à l’heure, dehors, pour faire ma pisseuse. Mon chéri dispose deux chaises juste derrière moi et les deux hommes s’assoient leurs verres à la main. « J’adore voir sa chatte par derrière, très écartée. Qu'en pensez-vous ? » "Euh.... Oui " . C’est pas un bavard lui ! Ou alors la situation lui convient et il a peur de rompre le charme. Ils ont les yeux à la hauteur de ma moule à moins de trente centimètres. Si ça, ce n’est pas de l’exhibition ! Je les imagine en train de détailler mon sexe béant. Ça me fait mouiller un maximum. Mon homme me tend une lingette : « Essuie toi » « Oui Monsieur je suis une bonne petite salope » Je suppose que cet ordre n’a pour but que de m’humilier d’avantage. De me mettre en situation de femelle en proie à ses désirs et ses besoins. Ma chatte est luisante des deux. J’en éprouve à la fois de la honte et de l’excitation. Je passe la lingette sur le haut de ma cuisse droite parce qu’il m’avait semblé qu’une goute ou deux avaient coulé à cet endroit, puis entre mes petites lèvres déjà très écartées. Quand j’ai terminé je me remets en position. Mon chéri en sirotant son verre de whisky et s'adressant à son voisin: « Je vous propose un petit jeu : Nous allons l’attacher, je vais disposer quelques accessoires sur la table et vous allez essayer de la faire jouir le plus rapidement possible. Ça ne devrait pas prendre plus de trois minutes. » Mr Akena semble intéressé, il lâche une approbation: « Ça a l’air amusant ! » Alors c'est ça! Après m' être montrée nue sous toutes les coutures, avoir exposé ma chatte ouverte à moins de trente centimètres de son visage, si près qu'il a sans aucun doute pu sentir mon odeur de femelle en chaleur, je vais devoir jouir devant lui. L'orgasme, c'est quelque chose de très intime également. Il va me voir crisper mon visage, m'entendre gémir, pousser des petits cris, peut être même supplier pour qu'il continue à me donner du plaisir. J'ai honte mais j'en ai envie.  De toutes façons, mon homme ne me laisse pas le choix : « Allonge toi sur le dos et approche tes fesses au bord de la table » « Oui Monsieur » La première corde relie mes poignets et va se fixer en haut de la table au-dessus de ma tête. Mes seins pointent vers le plafond. On me fait plier et remonter les jambes vers la poitrine comme une grenouille et deux autres cordes prennent sur les genoux et tirent vers l’extérieur pour écarter les cuisses et m’empêcher de les refermer. Je ne peux plus bouger et je sens ma chatte et mon petit trou très exposés et à la merci de mes deux tortionnaires. Un bandeau vient se poser sur mes yeux. Je ne vois plus ce qui se passe mais j’entends un tiroir de la cuisine s’ouvrir et le bruit d’objets que l’on pose à côté de moi. « Maintenant tu vas commenter ce qui se passe. J'ai parié que tu allais jouir en moins de trois minutes. Ne me fais pas mentir ! » « Oui Monsieur » Je n’ai pas à attendre longtemps, je sens un liquide couler sur mon pubis et une main qui vient l’étaler sur ma chatte en insistant sur le clito et l’entrée du vagin. Je connais cette sensation : « Je sens une main qui met du lubrifiant sur ma chatte de salope » j'entends la voix de mon homme: "Elle aime recevoir des claques à cet endroit, allez-y" Je sursaute quand même sous l’effet de la première : « Je suis une petite salope qui se prend des claques sur sa moule bien écartée » Et c’est vrai que j’aime ça ! J’en redemande : « Encore, s’il vous plait Monsieur » Il ne se fait pas prier, une autre arrive. Je compte : » 2, Merci Monsieur ». Sous l’effet des claques, mes jambes voudraient se refermer vers l’intérieur et se rejoindre pour protéger ma chatte mais là, avec les cordes qui tirent sur les genoux, je suis écartelée au maximum et mes deux trous sont exposés et ouverts. Les claques se succèdent avec un bruit de plus en plus « mouillé ». Je compte : «  3, merci Monsieur, je suis une bonne petite sal……» « 4, merci Monsieur » Deux de ses doigts entrent dans ma moule dégoulinante de plaisir. Il fait des aller retours de plus en plus vite. « Je me prends deux doigts dans la chatte et c’est bon Monsieur !» J’aurais bien aimé qu’il continue encore mais je sens maintenant les doigts se retirer et…forcer l‘entrée de ma bouche, ils sont tout gluants. Je les suce comme si c’était la queue de mon homme. J’ai à peine le temps de reconnaître le gout de ma chatte que : « Je sens un autre doigt qui s’enfonce dans mon cul de petite pute Monsieur » En effet, dans ma position et trempée comme je suis, mon petit trou doit s’ouvrir tout seul et le doigt rentre sans difficulté. S’il veut me le remettre dans la bouche, cette fois, je ne pourrais rien faire. Mais je m’en fiche, je suis trop excitée. « Je me fais doigter le cul et j’aime ça. Je suis une bonne petite pute Monsieur ». En même temps, je sens une pression sur mon clitoris. « Oui ! Mon petit clito de salope est tout dur Monsieur. Encore s'il vous plait ! » J’aimerais bouger mon bassin pour accompagner le doigt qui tourne autour de mon petit bouton mais je ne peux pas. Cette immobilité forcée m’excite encore davantage. « Oui ! C’est bon sur ma petite chatte de salope. Oui ! » Un bruit sec sur mon sein droit. C'est le martinet. Un autre coup sur le sein gauche. En fait, le bruit de claquement est très impressionnant mais je ne sens qu’une chaleur qui diffuse sur la poitrine. J’ai envie de voir ce que ça donne quand les coups seront plus forts. « Je me fais fouetter mes seins de petite chienne. Plus fort s’il vous plait Monsieur » A côté, mon homme doit sourire. " Plus que deux minutes" Cette fois, le bruit ressemble à un vrai coup de fouet mais la douleur est plus que supportable ou alors, je suis vraiment très excitée. « Oui ! Encore, je suis une bonne petite chienne qui aime se faire fouetter les seins . Encore ! » Monsieur Akéna ne se le fait pas dire deux fois et les coups de martinet pleuvent sur mes seins. A chaque coup, je sens une petite piqure sur mes tétons. Mon excitation et mon plaisir nait du fait de sentir en même temps mon clito, mon trou du cul et mes seins. Je me sens chienne, salope et pute offerte. J’ai une folle envie de me faire prendre par tous les trous mais ça, c’est réservé à mon homme. « Soixante secondes » dit-il justement. Le doigt se retire doucement de mon petit trou. Ah ? c’est l’instant de vérité… Oh et puis après tout. Je vais leur montrer ce que c’est que d’être une bonne petite pute. J’ouvre grand la bouche. Un temps… J’entends : « Allez y, c’est elle qui demande ! » Le voilà… ce doigt qui sort à peine de mon cul, je l’ai dans la bouche et je le suce avidement comme si je voulais faire éjaculer la bite de mon homme. J’ai pris le parti d’être la plus grosse salope de l’univers alors, je pompe, je suce, je lèche comme si ma vie en dépendait. Satisfait de ma prestation, le propriétaire du doigt le récupère dans un bruit de succion. C’est un autre bruit qui me fait sursauter. On dirait qu’ils ont envie de tester le martinet sur ma chatte écartelée. « Je me fais fouetter ma chatte de petite sal... » Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que le deuxième coup arrive. Mon dieu, ce martinet, je l’adore. J’entends des bruits de fouet cinglants mais pas vraiment de douleur, juste un échauffement. J’en veux encore ! « Oui c’est bon ! Je suis une bonne salope qui se fait fouetter la chatte !» Ça tombe bien, le rythme s’accélère.  Les coups tombent tantôt sur le clito, tantôt sur la moule. J’adore ! Je n’ai pas mal, mais je sens que ça chauffe. Me faire fouetter, nue, écartelée et à la merci d’un étranger m’excite un maximum. Les coups se sont déplacés. Ils arrivent maintenant en plein sur mon petit trou. Et je sens une vibration à l’entrée de ma chatte. Oui c’est ça, j’entends un petit ronronnement électrique. « Je suis une petite pute qui se fait fouetter le trou du cul et je sens que je vais me prendre un vibro dans ma moule de salope » L’engin force l’entrée sans grandes difficultés et s’enfonce doucement jusqu’au fond. J’ouvre la bouche malgré moi comme si c’était par là que j’étais pénétrée. Ça vibre aussi sur mon clito. Les coups de fouet pleuvent sur mes fesses en même temps. Alors là, je ne réponds plus de rien. Je m’envole ! Mon périnée se contracte et je sens encore mieux ce sexe en plastique vibrer en moi. Un autre coup de martinet sur mon petit trou. J'en ai la voix qui chevrote:  « Ouuuuui !   C’est boooon !    Je jouuuuis  comme un salooooope ! Ouuuuui ! » C’est le combo orgasme clito/vagin et pile en même temps. Jack pot ! « Encoooore !   Plus foooort ! Oui ! c’est boooon ! Je vieeeeens ! » L’orgasme me fait trembler de tout mon corps. Mes jambes forcent pour se refermer mais c’est impossible, je reste écartelée et le gode continue de vibrer et de faire des aller et retours dans ma chatte. J’essaie de me soustraire à cette pénétration mais je ne peux pas. Mon clito est devenu hypersensible et je crie : « Stop,    stop    stop  arrètez !»   Je crois que je vais mourir et puis tout d’un coup, je sens que le plaisir revient mais violement cette fois. Mon sexe se contracte comme si j’avais une crampe, et je me mets à crier : « Non.  Oui encore !    Ah !  Oui ! Ah !   Aaaaaah ! Les seins !  Pincez les seins ! S'il vous plait!     Ouuuui ! » Des doigts viennent pincer les tétons en les tirant vers le haut. La douleur ou le plaisir, ou les deux, je ne sais pas, sont fulgurants. Mon visage se crispe, Je sens maintenant comme des chocs électriques qui partent du fond de mon ventre et qui parcourent tout mon corps. La sensation de pince sur mes tétons s’amplifie encore, je manque de m’évanouir. Je me cambre et me tortille autant que je peux. Il me semble que je suis en train d’uriner par saccades mais je n’en suis pas sûre. Les contractions et les chocs électriques s’espacent doucement. Puis tout redescend. Je fais des « aie ! aie ! » en cherchant à soustraire mes seins à la douleur. Les pinces s’arrêtent, le gode se retire de ma chatte. Je suis morte.
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Par : le 09/09/24
                                                    Chapitre 2   (Lui)   13 Juillet  (séance six)   Lors de la première séance, nous avons commencé à mettre en application les termes du contrat.  Je lui avais fait apprendre les cinq positions. J’étais assis dans un fauteuil, au salon, et je lui ai fait répéter les gestes jusqu’à ce que cela devienne automatique. Position n° 1 : Debout, les jambes légèrement écartées et les mains derrière la tête. C’est une position d’attente qui met bien la poitrine en valeur. Position n° 2 : « Présentation des seins. » Debout, les jambes légèrement écartées, les mains se positionnent sous les seins et les remontent vers le haut. Idéal pour la pose de pinces sur les tétons. Position n°3 : Debout, les jambes légèrement écartées, les bras croisés derrière le dos. C’est également une position d’attente mais celle-ci peut facilement être adoptée en public. Position n°4 : « Présentation de la chatte ». Debout, les jambes écartées, le bassin projeté en avant. Les mains viennent écarter les grandes lèvres de la chatte. Très pratique pour poser des pinces ou, vérifier l’état d’excitation. Position n° 5 :  « Présentation des fesses ». Debout de dos, les jambes écartées, penchée en avant. Les deux mains viennent écarter les fesses au maximum. C’est la position rêvée pour la pose d’un plug. Elle était bonne élève et au bout d’une heure, nous sommes passés aux façons de s’asseoir en public et en privé. Position assise en public, donc habillée: Elle soulève discrètement l’arrière de sa jupe et pose ses fesses nues à même le siège pour lui rappeler qu’elle ne porte pas de culotte. Elle doit garder en permanence les cuisses légèrement disjointes et les mains de chaque côté du corps. Position assise en privé, donc nue: La tenue de rigueur en privé étant la nudité totale, hormis les chaussures, elle doit s’asseoir, écarter largement les jambes, se soulever d’un côté en écartant la fesse opposée puis se soulever de l’autre côté en écartant l’autre fesse. De cette façon son petit trou doit se trouver en contact avec l’assise. Les mains de chaque côté du corps.   Nous avons terminé la séance avec les réflexes de langage qu’elle doit adopter : Quand il s’agit de ses seins :" Je suis une petite chienne où, je suis une bonne chienne." Quand il s’agit de sa chatte: "Je suis une petite salope où je suis une bonne salope." Quand il s’agit de ses fesses: "Je suis une petite pute où je suis une bonne pute." Par ailleurs, elle doit me prévenir à chaque fois que sa chatte s’écarte d’elle même à l’occasion d’un geste ou d’une position.   Je l’ai mise en position n°1 et je suis allé chercher une spatule de cuisine. Une petite tape sur un sein : Elle démarre au quart de tour : « Je suis une petite chienne Monsieur». Une autre tape sur l’entre-jambe : « Je suis une bonne petite salope Monsieur» Je l’encourage : « C’est très bien. Et si tu devais développer ? » Nouvelle claque au même endroit : « Je suis une petite salope…qui est en train de se faire claquer la chatte Monsieur» Je m’assure qu’elle ait bien compris : « Demi-tour ! » Elle se tourne, toujours les mains sur la tête. Une tape sur les fesses : « Je suis une bonne petite pute qui … aime se faire enculer Monsieur» Elle était prête. Dans la semaine qui a suivi, j’ai pensé qu’il me fallait quelques accessoires et que cela pouvait faire l’objet de la deuxième séance. Ainsi, à l’heure dite, nous avons pris la voiture et avons commencé par une animalerie. Elle me suivait dans les rayons en position n°3, les yeux baissés, et nous sommes passés à la caisse avec un collier, une laisse et une gamelle en métal. En somme, nous avions l’air du couple qui vient d’adopter un chien. Là où le vendeur a levé les yeux sur ma femme, c’est quand il a vu qu’il y avait également une cravache sur le tapis. Il a dû imaginer ma femme nue, tenue en laisse en train de laper dans sa gamelle tout en recevant des coups de cravache sur les fesses.   Emoustillé par le regard d’envie que j’avais vu dans les yeux du commerçant, j’ai emmené ma chérie dans un grand magasin. Je lui ai donné des consignes : « Tu vas acheter un concombre, des préservatifs et du lubrifiant. Tu choisiras un caissier homme pour payer tes achats ! » « Oui Monsieur » C’est un classique mais j’avais trop envie de la voir faire ça. Je l’ai suivie à distance et elle a gardé les yeux baissés pour passer à la caisse devant un jeune homme qui n’a pu retenir un grand sourire quand il a compris. En me rejoignant, un peu après les caisses, elle est venue à mon oreille : « Je suis une petite salope qui a envie de se prendre un concombre dans la chatte » Décidément, elle y met du sien. Le dernier arrêt fut au magasin « Marc Dorcel », enseigne de sex-toys réputée. Le personnel de ce magasin était exclusivement féminin et dès notre arrivée, une jeune femme s’est approchée de nous : « Je peux vous conseiller ? » Toujours en position n°3 et les yeux baissés, ma femme m’a vu faire l’acquisition de deux butplugs de tailles différentes, d’un martinet, d’un godemiché et d’un œuf vibrant télécommandé à distance. Nous sommes rentrés à la maison, la séance était terminée. Pendant la semaine, je pense évidemment à la séance précédente ainsi qu’à la suivante. Je rajoute des éléments dans les grilles d’options qui accompagnent le contrat. Ces grilles sont posées sur le bureau et elle doit les remplir. Je ne lui laisse pas vraiment le choix puisque seules deux cases existent : « J’accepte » et « ça m’excite ». Ça me permet quand même de savoir ce qui lui plait. Ainsi la semaine dernière, après l’épisode avec Laurent : « Être nue devant un inconnu », et:  « Séance devant un inconnu », elle avait coché pour les deux : « Ça m’excite ». Cela m’avait donné des idées. Aujourd’hui, le temps est gris mais nous sommes mi juillet et la température est douce. séance n°6.   Je lui avais dit : » Cet après-midi, 16h, tenue publique, nous sortons !  Elle avait acquiescé : « Oui Monsieur » A chaque fois, c’était un cadeau qu’elle me faisait. Avec ce « Oui Monsieur » elle disait : « je te donne mon corps et mon esprit pendant deux heures. Fais de moi ce que tu veux. Je t’obéi aveuglement, je te fais confiance. » Il faut dire que je ne cherche en aucun cas à lui faire mal, bien au contraire. En fait, mon plaisir est de la voir prendre le sien. Comme elle ne peut pas savoir avant d'avoir essayé, je lui propose tout un éventail d'expériences et ensuite elle coche sur la grille. A 15 heures, elle avait disparue dans la salle de bains. J'avais entendu le bruit de la douche, du sèche-cheveux. Et à 16h, elle descendait, vêtue d'un haut boutonné, et d'une minijupe. Elle était superbe, comme d'habitude. " tu es juste magnifique ma chérie" "Merci Monsieur" Inutile de lui demander si elle est prête, si elle m'appelle Monsieur, c'est qu'elle est consentante. Je l'amène à un bout de la table où j'ai disposé, un peu en retrait, un collier et un ordinateur portable. " Mets ton collier et Position n° 5 ! " "Oui Monsieur".  Elle le ferme sur son cou puis prend la position. Elle se penche en avant jusqu'à faire toucher ses seins sur le bois de la table, fait remonter l'arrière de sa jupe sur ses reins et écarte largement ses fesses avec les deux mains. "Je suis une bonne petite pute Monsieur. » Je passe derrière elle. En écartant ainsi ses fesses, elle sépare également les lèvres de sa chatte et j'ai une vue splendide sur ses deux trous. Je meurs d'envie de la prendre comme ça, tout de suite, mais soyons patient. "Je veux que tu révises le contrat au chapitre "Montée et descente de voiture". "Oui Monsieur" J'ouvre la page correspondante :   Montée et descente de voiture Pour la montée:  1 Si Monsieur est au volant : Ouvrir la portière, me mettre de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de m'asseoir, puis m'installer, fesses nues, sur le siège.     2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture. S'asseoir perpendiculairement au fauteuil, fesses nues sur le siège. Faire monter la jambe gauche dans la voiture en laissant la jambe droite à l'extérieur afin d'écarter les jambes au maximum. Remonter la jupe pour découvrir la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Faire monter alors la deuxième jambe. Dans les deux cas, après avoir refermé la portière : Ecarter largement les jambes puis chaque fesse afin que le petit trou soit en contact avec le siège. Déboutonner le chemisier pour laisser entrevoir les seins. Poser les mains à l'extérieur des cuisses pour que la chatte soit bien visible. Pour la descente : 1 Si Monsieur est au volant : Ouvrir la portière, me mettre debout de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de fermer la porte, puis faire redescendre la jupe.   2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture. Pivoter vers l’extérieur, en sortant la jambe droite au dehors afin d'écarter les jambes au maximum. S'assurer que la jupe, en bougeant, ne cache pas la vue sur la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Sortir alors de la voiture et faire redescendre la jupe.   Pendant sa lecture je suis allé chercher un de ces crochet en forme de S destiné, quand il est introduit dans l'anus et tiré par une corde reliée au collier, à amplifier la cambrure. Je l’ai commandé sur internet et il est arrivé cette semaine. Je mets un peu de lubrifiant sur le bout de mon doigt et je masse doucement son orifice en faisant parfois pénétrer la première phalange. Son dos se creuse un peu plus, elle aime. Je fais rentrer une extrémité du crochet dans son petit trou, j'entends un gémissement. Je relie l'autre extrémité à l'anneau du collier par une cordelette que je commence à tendre. La cambrure s'intensifie. Je tends encore la cordelette. "Je suis une bonne petite pute" dit-elle dans un souffle.  Ce doit être le signal que c'est le maximum tolérable. Je relâche un peu. "Maintenant je veux que tu revoies le contrat au chapitre : Comportement en public !" "Oui Monsieur" J'ouvre la page. Comportement en public La tenue de rigueur est: jupe courte et haut boutonné.   Position debout: Ma position debout doit être naturelle en adoptant le plus souvent la position n°3 : Bras croisés dans le dos. Il m'est strictement interdit d'initier une conversation avec quiconque. En revanche, je devrai répondre avec humilité et respect si la parole m'est adressée. En extérieur comme en intérieur, j'ai interdiction de plier les genoux. Si je dois me pencher, je garde les jambes tendues. Je ne dois jamais manquer une occasion de dévoiler et exposer mes seins, mes fesses ou ma chatte à Monsieur, à chaque opportunité qui se présente.     Faire ma pisseuse (en public): Si je dois aller aux toilettes pour uriner, je dois dire : "je suis une petite pisseuse" et attendre l'autorisation. Une fois sur place, je dois me mettre entièrement nue, à l'exclusion des chaussures, et prendre une photo de ma chatte que je montrerai à Monsieur dès ma sortie des toilettes.  " J'ai terminé Monsieur". Je remarque qu'elle fatigue à garder la position.  Je lui retire son collier puis le crochet anal. Elle arrondit son dos pour se détendre. Je vais lui donner un moment de répit. "Bois un verre d'eau et rejoins moi à la voiture !" "Oui Monsieur" Je sors. De ce côté de la maison, la porte d'entrée donne sur un grand jardin sans vis-à-vis. La voiture est garée devant, je m'installe au volant. A peine trente secondes, elle n'a pas trainé, je vois la porte passager s'ouvrir. Elle se place dans l'encadrement, me tourne le dos et relève bien haut l'arrière de sa jupe dévoilant ses fesses, elle écarte un peu les jambes. Comme je suis assis, je distingue le renflement de la chatte sous les fesses et même, un peu de ses petites lèvres qui dépassent. " je suis une bonne petite pute Monsieur." "C'est bien ! Monte !" "Oui Monsieur" Elle s'assoit à même le siège en cuir, écarte bien les jambes, puis les fesses l’une après l’autre, relève le devant de la jupe pour dégager la chatte, défait un bouton de son chemisier, pose les mains sur les côtés. Pour l'instant c'est un sans-faute. Je manœuvre pour sortir de la propriété et prends la route vers la ville la plus proche. Mon plan est le suivant : rejoindre une grande surface et mettre ma femme entièrement nue dans différentes occasions que j'ai déjà imaginées. J'espère même réussir à la faire se déshabiller devant au moins un inconnu. Nous arrivons, je prends une place tout au bout parking, je coupe le moteur. C'est le week-end et, bien sûr, les grandes surfaces sont très fréquentées mais là ou nous sommes garés c’est plutôt désert. Elle ouvre sa portière, elle sort, relève l'arrière de sa jupe. "Je suis la petite pute de Monsieur." dit-elle à voix basse mais distincte. Elle a les yeux baissés mais moi, je vois un homme qui viens vers nous pour sans doute, récupérer sa voiture. J'attends un peu et je la laisse les fesses à l'air.  Finalement, l'homme s'arrête une allée plus loin. Il n'a rien remarqué. "Allons-y !" la jupe retombe. Nous entrons dans l'allée principale du magasin. Elle s'approche de mon oreille : "Je suis une petite pisseuse". Ah Oui ! Le verre d'eau, elle a dû en prendre un grand. "Va ! Je t'attends ici !" Elle s’éloigne, je l'imagine enlever son haut, sa jupe, une fois nue, faire une photo, puis faire son pipi et se rhabiller.  Tiens au fait, juste avant de partir, elle à oublier de dire "Oui Monsieur". Il va falloir que j’ajoute un chapitre « punitions » au contrat. Pas vraiment pour la punir ou lui faire du mal, bien sur, mais plutôt pour lui permettre, en "oubliant" sciemment certaines règles, de m'indiquer ce dont elle a envie. A creuser... Je repère le photomaton dans l'allée. Ça n'est pas un hasard, je savais pertinemment qu'il était là. La voilà qui revient. Elle me montre son portable sur lequel s’affiche sa chatte en gros plan. La photo est un peu floue mais ça n’est pas le plus important. Le plus important c’est qu’elle ait obéi aux ordres, au contrat. Et c’est ce qui m’excite au plus haut point. Je lui montre le photomaton. "Tu vas aller faire des photos de toi toute nue " "Oui Monsieur" et elle repart. C'est un de ces appareils qui peut prendre quatre poses différentes. Un rideau est tendu à l'entrée mais il ne descend pas jusqu'en bas. Les photos sortent à l'extérieur et des clients attendent leurs tirages. Il y a là une femme et un homme. Elle rentre dans le petit local, tire le rideau. Par-dessous je vois ses jambes jusqu'aux genoux. Je vois la jupe passer par ses pieds, je l'imagine enlever le haut. Elle doit être entièrement nue maintenant et se débattre avec le monnayeur. Des épreuves sortent de la machine, la femme qui les attendait les récupère et s'en va. Je vois le premier flash dans la cabine, trois secondes, le deuxième et ainsi de suite. Sous le rideau, je vois la jupe passer par les pieds et remonter sur les jambes puis le rideau s'ouvre. Elle me rejoint. A mon oreille : "J'ai été une bonne chienne, une bonne pute et deux fois une bonne salope" Ce qui me donne à penser qu'elle a pu photographier ses seins, ses fesses et sa chatte à deux reprises. Dans l'ordre. Nous sommes un peu à l'écart de la machine et nous attendons maintenant la sortie des photos. L'homme qui a fait les siennes avant nous, flâne devant la vitrine du magasin voisin, il n'a pas vu que ses photos l'attendaient. Tant mieux ça m'arrange. Ce sont les nôtres qui sortent maintenant et qui sont venues s'ajouter aux précédentes. Je temporise. Ça y est, l'homme vient chercher son dû. Il prend le paquet de photos et la surprise se lit sur son visage. Il les examine minutieusement l'une après l'autre. "Maintenant !" "Oui Monsieur" Elle va vers la machine et tend la main vers l'homme qui sélectionne les épreuves. Il bafouille: "Euh oui! Voila les vôtres. Excusez moi. " Quand elle fait demi-tour et revient vers moi, je vois le regard de l'homme s'attarder sur le bas du dos de ma chérie. Passons aux choses sérieuses, nous entrons dans la grande surface proprement dite et je me dirige vers le rayon multimédia. J’y prends un DVD au hasard. Puis nous allons au rayon vêtements. J’en prends un, également au hasard, et j’emmène ma chérie vers les cabines d’essayage. Nous entrons tous les deux dans une des cabines avec le vêtement et le DVD. Une fois à l’intérieur, je défais la pellicule du DVD, et récupère la petite bande antivol. « Arrange-toi pour passer ceci dans l’ourlet de ta jupe » « Oui Monsieur »   Pendant ce temps, j'abandonne le DVD par terre dans un coin. « C’est fait Monsieur » « C’est très bien, quand je te ferai signe, disons quand je me passerai une main dans les cheveux, tu te déshabilles rapidement et entièrement » « Oui Monsieur » Nous allons reposer le vêtement que j’avais pris pour justifier notre passage aux cabines d’essayage puis nous nous dirigeons, n’ayant plus aucun article, vers la « sortie sans achat ». Bien sûr, l’alarme se déclenche et un vigile ne tarde pas à arriver. « Veuillez repasser devant les détecteurs s’il vous plait » Je passe dans un sens puis dans l’autre. Rien. C’est au tour de ma femme de faire l’aller-retour et… L’alarme retentit. D’un coup d’œil, le vigile a tout de suite vu que la jupe et le haut qu’elle portait n’était pas neufs, en revanche, il a déjà coincé de nombreux clients qui cachaient de la lingerie, du maquillage ou autre sous leurs vêtements. « Veuillez me suivre s’il vous plait madame » dit-il. J’interviens :« Je suis son mari, je viens avec vous ! » On dirait que ça ne lui plait pas : « Non, Madame seulement » Je m’impose : « Elle n’ira nulle part si je ne l’accompagne pas !». Il essaye alors de m’impressionner : « Je peux appeler la police, vous savez ? » « Vous pouvez appeler qui vous voulez, ça ne changera rien. Elle ne bouge pas si je ne viens pas avec vous » Il voit que je n’en démordrai pas. « Très bien, suivez-moi tous les deux » Nous marchons derrière lui au travers la foule de clients. Entre deux magasins, une porte. Il nous fait entrer dans le local de sécurité. Là, un de ses collègues est assis devant un bureau et des écrans retransmettent les images des différentes caméras installées dans le magasin. Un autre collègue arrive, surement un dispositif pour nous intimider. Ils sont maintenant trois.  J’ai de la chance ! L’un deux prend une sorte d’appareil portable et le passe de haut en bas devant ma femme. Il fait bip bip bip. Le vigile regarde sur l’appareil et dit : « Apparemment, il s’agit d’un DVD. Nous allons devoir vous fouiller madame, à moins que vous ne nous donniez ce DVD. » Je me passe la main dans les cheveux. C'est le signal. Aussitôt elle commence à défaire le premier bouton puis enchaine les deux autres. Dans un même mouvement elle a ôté son chemisier et baissé sa jupe jusqu’au chevilles. Elle a maintenant ses deux vêtements dans la main droite. Elle fait une courte pause et les laisse tomber sur le sol. Tout s’est passé en une seconde et les deux vigiles qui étaient debout devant elle n’ont pas eu le temps de réaliser. Ils sont maintenant devant une femme entièrement nue. Un des deux à la bouche ouverte. Le troisième, qui était de dos devant ses écrans, commence une phrase en se retournant : « Dis donc, il faudrait peut-être aller chercher Corine pour la… » il se tait, scotché. Ma chérie bouge. Très lentement, elle relève les bras et poses ses mains derrière la tête puis elle écarte légèrement les jambes. C’est la position n°1. J’ai du mal à retenir un sourire. Il faudra que je la félicite pour cette initiative. Bon Dieu ! Ce qu’elle est belle. D’autre part, je ne sais pas si c’est parce qu’il fait un peu frais dans cette pièce climatisée, mais ses tétons pointent comme jamais et comme elle a écarté un peu les jambes, on distingue tous les replis de sa chatte. Le vigile : « Heu … Non …ça ne sera pas nécessaire » dit-il sans détacher le regard de ma femme. Il faut dire que dans cette position, elle est sublime. Ses deux seins bien en avant, sa chatte parfaitement épilée, tous les moindres détails de ses lèvres. Je m’amuse comme un petit fou : « Excusez ma femme, elle a la maladie de Wisenberg (je viens de l’inventer), elle a quelque fois des réactions bizarres. » Il se ressaisit, ramasse la jupe et le chemisier par terre, les inspecte, passe le détecteur qui réagit sur la jupe et dit : « Ça doit être un anti vol d’un autre magasin, cousu dans la ceinture. En tous les cas, veuillez nous excuser » Je continue à m’amuser : « Y’a pas de mal ! Tu vas t’habiller maintenant chérie » Aucune réaction, elle n’a pas bougé d’un pouce. Ah !... Wisenberg ! …Quand tu nous tiens. Les secondes passent, pendant ce temps les trois hommes continuent à se rincer l’œil. J’en vois même un qui regarde fixement l’entre jambe de ma femme. Pendant la première séance , celle ou elle avait appris les positions, je lui avais posé la question: « Sais-tu pourquoi tu dois toujours avoir les jambes disjointes?» J’imagine qu’elle avait une idée mais je voulais que les choses soient dites. «Non Monsieur» «Pour que ta chatte soit bien visible et accessible. Pour que tu sentes les regards sur ta fente sans pouvoir t’y soustraire . Je veux que tu aies cela en tête quand tu te mets en position.» «Bien Monsieur» « On va y aller ma chérie » Cette fois elle réagit, elle baisse les bras, fait demi-tour et se dirige vers la sortie. Elle a déjà entr'ouvert la porte quand un vigile la retient. « Attendez Madame il faut remettre vos vêtements » lui dit il gentiment. Elle semble réaliser, prend les vêtements que lui tend l’un des vigiles et les passe. Nous quittons le local sur un : « Excusez-nous encore » Je manque de répondre :« De rien tout le plaisir était pour moi » mais je me retiens. Sur le chemin vers l’extérieur, j’attrape un de ses bras qu’elle a croisé derrière son dos et lui dit : » C’est très bien, tu as été parfaite. » « Merci Monsieur. »   Sur le parking, j’ouvre la portière côté passager. Elle s’assoit fesses nue sur le siège, rentre uniquement sa jambe gauche, remonte le devant de la jupe et attend, les yeux baissés. «Chatte écartée Monsieur» En effet, les deux jambes ainsi séparée, elle a du sentir son sexe s’ouvrir. Cachée par la portière d’un côté et par moi-même de l’autre, personne ne peut rien voir. Je jette un regard circulaire. C’est calme autour de la voiture. « Ne bouge pas ! » « Oui Monsieur » Je laisse la portière grande ouverte et je fais le tour de la voiture pour venir m’installer au volant. Une fois assis, je prends mon temps et je la laisse, comme ça, la chatte exposée. Il pourrait arriver quelqu’un à n’importe quel instant et elle serait vue. Je lui demande : « Tout va bien ? » « Oui Monsieur, je suis une petite salope qui montre sa chatte » Je ne peux retenir un grand sourire: « Ça c’est bien vrai ! Dis-moi, j’ai une question à te poser : Tout à l’heure dans le local des vigiles, que ce serait-il passé si un d’eux ne t’avait pas empêchée d’ouvrir la porte ? » « Je serais sortie Monsieur » « Et tu aurais marché comme ça, dans l’allée commerçante, entièrement nue au milieu des clients ? ». « Oui Monsieur Je suis votre petite salope Monsieur. » Elle me l’avait déjà dit à la quatrième séance : « Tu peux me mettre entièrement nue où tu veux, quand tu veux. » J’en ai la confirmation. « Monte ! je veux vérifier quelque chose » Elle rentre la deuxième de ses jambes en prenant soin de les maintenir bien écartées, ferme la portière, défait un bouton. Sa chatte est très accessible, je rentre un doigt sans aucune difficulté. « Je suis une petite salope qui mouille et qui aime se faire doigter la chatte Monsieur » Elle accompagne sa phrase d’un petit gémissement. Je mets un deuxième doigt et je fais quelques va et vient, elle l’a bien mérité. « Ou  uii… c’est bon Monsieur . Je suis une petite salope qui a envie de se faire mettre » Certainement, mais j’ai encore des projets. Je démarre et je lui tends une bouteille d’eau. Le temps de rentrer à la maison, il est 17h30. A peine la porte d’entrée ouverte : « Je suis une petite pisseuse Monsieur ». Je ne suis pas vraiment surpris: Quand elle est à jeun, il lui faut à peine vingt minutes pour que l’eau passe de son estomac à sa vessie. « Très bien, va chercher ton collier, ta laisse, un rosebud et les pinces pour les seins. Mode privé ». Elle se déshabille dans l’entrée, va prendre les accessoires et reviens vers moi. « Position n° 2 » Pour poser les pinces. « Position n°5 » Elle s’écarte la chatte. « Non ! Ça c’est la 4, Position n° 5 ! ». Encore une punition qui se perd ! Elle tourne le dos, se penche en avant et écarte ses fesses » Tiens elle n’a pas pris le plus petit des rosebud, elle a envie d’essayer une taille au-dessus. Je mets le rosebud dans sa bouche pour l’humidifier puis je l’introduis doucement dans son petit trou. Gémissement. J’en profite pour inspecter la chatte en tirant un peu sur les grandes lèvres de chaque côté. Nouveau gémissement. La moule est toute trempée. Je ferme le collier sur son cou, attache la laisse. « Mets-toi à quatre pattes » « Oui Monsieur, je suis une petite chienne qui a envie de faire sa pisseuse » Je tire sur la laisse vers l’extérieur. Chacun de ses mouvements font tinter les clochettes. Je la fais marcher comme ça un petit moment dans le jardin. Puis je stoppe. « Je vais t’apprendre une nouvelle position Ce sera la n° 6 : position de pisseuse ». « Oui Monsieur ». « Reste à quatre pattes, pose les avant-bras au sol, écarte les jambes au maximum et cambre-toi pour bien faire ressortir ta chatte » « Oui Monsieur » Je me positionne derrière elle pour voir le résultat. « Chatte écartée Monsieur» Les lèvres sont bien ouvertes, le clito bien visible et le petit trou du cul bien apparent, décoré du rosebud. « Fais ta pisseuse !» Elle a à peine le temps de dire « Oui Monsieur » que le jet est déjà parti. J’ai dit que le jardin était sans vis-à-vis, mais l’entrée de l’autre côté de la maison n’est pas pourvue de portail. Si un livreur, le facteur ou même un voisin, pour emprunter du sel, se pointe, il ne va pas être déçu. Mais bon ! Après tout, c’est une propriété privée. On dirait qu’elle a fini. Elle attend. « Caresse toi la chatte » Elle amène une de ses mains à l’entre jambes et ses doigts tourne sur le clitoris et l’entrée du vagin. Par moments elle introduit deux doigts dans la moule. Les tintements des clochettes sont accompagnés de gémissements. Elle répète en boucle : « J’suis une chienne, une salope, j’suis une petite pute » C’en est trop, Je m’agenouille derrière elle, je sors ma queue et je la pénètre d’un seul coup. Après quelques aller-retours seulement ma chérie s’envole. « Ou…ou   oui ! Encore !  Je vais jouir ! Est-ce que je peux jouir Monsieur ? »
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Par : le 08/09/24
                                                        Chapitre 1 (Elle) 6 Juillet.  (séance 5)   Le matin, il m’avait dit: « Ce soir, 19 heures, dîner à la maison, tenue publique ». Bien sur, j'avais acquiescé. Avais-je le choix? Tenue publique fait partie du vocable du contrat:  Petit haut boutonné sur le devant, jupe courte, escarpins noirs. Évidemment, aucun sous vêtement sauf ordre contraire. J’ai eu tout le temps nécessaire pour me préparer. Une douche minutieuse, un lait légèrement parfumé pour le corps, quelques retouches épilatoires, maquillage, coiffure. Le dress code » tenue publique » me laisse quelques options: jupe plus ou moins courte, haut plus ou moins transparent. Voyons… Dîner à la maison. Je pourrais peut être me permettre une petite initiative en portant un chemisier très fin, à peine opaque, qui laisserait entrevoir mes seins. J’hésite… Et me ravise. La consigne est simple et ne laisse aucune place à l’improvisation. Je reste donc dans les clous avec une mini-jupe à volants qui m’arrive un peu au-dessous des fesses, et un chemisier à boutons cintré mais somme toute, assez pudique. Tout en m'habillant, mon esprit vagabonde. Dans quoi étais-je embarquée? Quelle imbécile ! La vie aurait pu continuer à être simple et agréable. Pas de gros moyens, mais beaucoup de temps libre. Alors pourquoi cette bêtise, il y a environ un mois, cet adultère, qui avait failli ruiner mon couple et ma vie. Sept ans d’amour, de connivence et bien sûr, de fidélité. Qu’est ce qui m’a pris ! De l’abattement, il était passé à une colère intérieure, puis à des décisions radicales: séparation, vente, divorce. Heureusement, aucune progéniture, c’est déjà ça. Bien penaude et paniquée par sa détermination, j’avais tenté de relativiser, de faire peser ces sept années sans accroc. Ce fut sans aucun succès. Il est 19 heures. C’est l’heure, je descends. Comme à chaque fois, un sentiment m’envahit: L’appréhension.  Je n’ai aucune idée de ce qui va se passer et évidement, je suis dans un état de stress intense.   J’ai mis au point une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit, j’essaie de ne plus penser à rien. je rentre dans une espèce d’état second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne m’appartient plus. Mon Dieu, qui aurait dit que j’étais capable de faire ça ! Deux heures par semaine d’abandon et d’obéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre. Je suis en bas, je traverse l’entrée, la porte vers la pièce à vivre est ouverte. Il m’accueille. « Tu es très belle ma chérie ». « Merci » (ça fait toujours chaud au cœur de l’entendre quand cela vient de l’homme qu’on aime) « Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu sais » Oh, oui je sais : séparation, vente, divorce. Pour une marche arrière, c'en est une. Mais bon, je m’y étais mise toute seule dans cette situation. Et puis, pour être honnête, au fil des séances et grâce à ma technique de relaxation, il m’est arrivé de prendre du plaisir. De plus en plus même. Ben oui !  Ça y est, je l’ai dit. Bon, c’est compliqué : Bien sûr, ce chantage, cette domination qu’il exerce sur moi me dégoute. Mais, cette attention qu’il me porte pendant les séances pour que je n’ai jamais froid, pour que les douleurs qui me sont infligées soient non seulement supportables mais même excitantes, pour que je me sente belle et désirée à tout instant, m'ont fait revoir mes aprioris. « Je suis prête » Je respire profondément. Au rez de chaussée, l’entrée donne sur la pièce principale qui comprend une vaste salle à manger avec cuisine intégrée et un petit salon contigu. La table est longue, massive. Elle peut recevoir jusqu’à huit convives. Trois fenêtres en enfilade s’ouvrent sur la rue, distante de quelques mètres de pelouse. De l’autre coté de la rue, un terrain vague puis, légèrement en contrebas, la plage. Il s’assoit. « Alors nous allons commencer ! Position n°1 ! » Depuis un mois, même à raison d’une fois par semaine, j’ai eu le temps de les apprendre ces positions. Position n° 1 : Je me tourne vers lui, je baisse les yeux, je mets mes deux mains sur la tête, j’écarte légèrement les jambes. Ne jamais avoir les jambes serrées. « Oui monsieur ! »   Je fais le vide dans mon esprit. Je ne pense plus qu’a sa voix, aux ordres qu’il me donne, et à la façon d’obéir au plus près de ses attentes et même, si je peux, un peu au-delà. Ça y est, ça commence : En relevant les bras pour mettre mes mains sur la tête, j’ai fait ressortir ma poitrine et j’ai senti le tissu glisser sur la pointe de mes seins. C’est loin d’être suffisant pour m’emmener au septième ciel, bien entendu, mais cela attire mon attention sur une partie érogène de mon corps et j’ai l’impression que mes tétons ont commencé à durcir. Je sais qu’il m’observe, je sais qu’il me trouve belle et désirable, il me l’a si souvent dit. . Je sais également que pendant ces sept dernières années, il a été tellement attentif à mon bien être, mon comfort...mon plaisir aussi. Est-ce possible que tout soit détruit? Je me reconcentre. Je me remets dans ma bulle. Cette fois ci, c’est sûr, malgré moi, mes tétons pointent à travers le tissu. Quelle Chienne ! Ah oui ! Pendant les séances, je suis sa chienne, sa salope et sa pute. A l’occasion, je suis également sa pisseuse et sa suceuse. Cette vulgarité et ce manque de respect ont étés spécifiés sur le contrat que j’ai signé. La première fois, ça fait drôle. Je me suis dit : c’est fini ! Il ne m’aime plus du tout et même, il me déteste pour m’insulter de la sorte. J’ai vécu l’enfer pendant toute la première séance, persuadée que c’était la fin de notre amour. « Bois un verre d’eau ! »  Ah ?  Bon ! « Oui Monsieur ! » Le verre est là, sur la table. Il l’avait déjà mis en place. Curieux ! Je bois puis je reprends la position. Je n’avais pas vraiment soif mais la température est en hausse et ce verre d’eau ne m’a pas fait de mal. « Place toi devant la fenêtre, ouvre les rideaux et retrousse ta jupe! »  « Oui Monsieur » J’avance vers la fenêtre, je tire les voilages d'un côté puis je relève le pan arrière de ma jupe et le bloque sous la ceinture pour bien dégager les fesses. Je remets les mains sur la tête. Nous sommes en été, il est 19 heures et il fait grand jour.  Je sais que je suis visible de l’extérieur. Rien de bien méchant puisque, de la rue, on ne doit voir que la partie haute de mon corps à partir du nombril et mon chemisier est tout ce qu’il y a de plus correct. Quand même, s’il y a des passants, ils doivent se demander ce que je fais dans cette position. Peut être pensent-ils que je m’étire en regardant la mer au loin. Ah Oui! Toujours le contrat : j’ai des seins de chienne, une chatte de salope, des fesses et un petit trou de petite pute. Et je ne dois pas manquer une occasion de le dire. A voix haute en privé, à voix basse en public. Alors j'y vais de la petite phrase:  « Je suis une bonne petite pute ». C’est extrêment humiliant, comme ça, à froid. Ca n’est q’une fois éxcitée que, finalement, ça passe. D’ordinaire, je veux dire, dans la vie de tous les jours, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue « érotique ». C’est même le contraire : mon corps et plus précisément les zones dites érogènes me donnent plus de tracas que de plaisir. Je m’oblige à porter un soutient gorge alors que je n’en ai nul besoin, je me rase intégralement vite fait parce que sinon, dans les vestiaires, les autres femmes trouveraient que je suis négligée, je mets une culotte parce qu’il le faut, alors je mets un vieux machin.   Me voilà donc face à la fenêtre, mains sur la tête et le postérieur à l’air. Dans cette tenue, je me sens terriblement exposée, je sens le regard de mon homme sur mes fesses et un petit courant d’air me rappelle que je ne porte pas de culotte. Je suis tentée de relever les yeux pour voir s’il y a des passants, mais je m'abstiens. Pour que cela fonctionne, je sais qu’il faut que je respecte les ordres et que je me focalise dessus. Alors, voyons : Il m’expose à la fenêtre : je redresse ma position pour faire ressortir mes seins. Il y a peut-être des gens dehors mais je ne regarde pas.  Tiens, le tissu a encore glissé sur mes tétons. Il m’a fait relever ma jupe pour voir mes fesses : je me cambre et j’écarte un peu plus les jambes. Je sais qu’il apprécie quand je fais du zèle. S’il s’assoit, son angle de vue étant plus bas, il pourra voir au-dessous de mes fesses le renflement de ma chatte. Que fait-il ? J’entends des bruits de cuisine, le tintement de verres. C’est un apéritif qu’il prépare ? Apparemment puisqu’il découpé des tranches de…. Ah ?... Une caresse dans le dos. Plus exactement, une légère griffure qui partait de la nuque et allait mourir sur les reins. Je frissonne malgré une température ambiante au-dessus de la moyenne. D’ordinaire, disais-je, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue érotique. Mais dans cette situation, je sens que mes fesses sont nues et exposées, je sens que mes seins saillent sous le tissu et que cela se voit de la rue, je sens l’air circuler sur chaque millimètre de mon entre jambe mais surtout, je sais que mon homme n’en rate pas une miette et que, sûrement, je le fais bander. Aaaah! …Faire bander les mecs ! Évidemment, pour une femme, c’est plutôt flatteur ! Quelque part, cela veut juste dire qu’ils te trouvent désirable. Sauf que, si tu fais quoi que ce soit de manière « intentionnelle », tu n’es plus « désirable » tu es une allumeuse. Et ça, chez les femmes encore plus que chez les hommes, c’est très, mais alors TRES, mal vu. De nos jours, il est quasi obligatoire de se raser le sexe, de porter des ficelles à la place des slips, de passer une heure à se maquiller, mais ça, ça n’est pas pour plaire aux mecs, non !... C’est parce que c’est plus hygiénique, plus fun, plus tendance. Comment s’y retrouver ? Là, au moins, les chose sont claires. Dans ce jeu, il me fait comprendre qu’il a envie que je me comporte comme la dernière des chiennes et que ça lui plait. Le mois dernier, pendant les trois premières séances, il m’a fait apprendre : Les 5 positions. La façon de m’habiller, de m’asseoir, de faire pipi. Les réflexes de langage que je devais adopter. Le tout avec des différences selon que l’on est en public ou en privé. Il a aussi ajouté des options sur la grille adjointe au contrat avec des cases à cocher. Par défaut, tout était sur : « J’accepte », mais au fil des séances j’avais modifié :   Port de pinces sur les seins   :    J’accepte X    Ca m’excite Port de pinces sur la chatte  :    J’accepte       Ca m’excite X Port d’un rosebud                  :    J’accepte X     Ca m’excite Claques sur les seins              :    J’accepte X     Ca m’excite Claques sur les fesses            :    J’accepte        Ca m’excite X Claques sur la chatte             :    J’accepte        Ca m’excite X La grille s’était étoffée au fil des semaines :   Martinet sur les seins            :    J’accepte X     Ca m’excite Martinet sur les fesses          :    J’accepte        Ca m’excite X Martinet sur la chatte           :    J’accepte X     Ca m’excite Port d’un collier de chien     :    J’accepte X     Ca m’excite Être promenée en laisse       :    J’accepte X     Ca m’excite Boire dans une gamelle        :    J’accepte X     Ca m’excite   Une nouvelle rubrique « exhibition », était apparue cette semaine.   Être nue devant un inconnu :    J’accepte X     Ca m’excite Séance devant un inconnu    :   J’accepte X     Ca m’excite   Être nue devant un inconnu ? cela me terrorisait. Si j’avais pu, j’aurais tout de suite cocher « Je n’accepte pas » si la case avait existé, mais malheureusement, cela ne marchait pas comme ça. Autant dénoncer le contrat tout de suite et c’était hors de question. J’avais fait une grosse bêtise, il me fallait maintenant en payer le prix et j’étais là devant la fenêtre, les mains sur la tête et les fesses à l’air à attendre la suite. Entre deux séances, j’ai le droit de demander à modifier la grille mais de toutes façons, en dernière instance, c’est lui qui décide. Le collier par exemple, c’était un de ces colliers pour chien en cuir noir qui me serrait le cou en me donnant une désagréable et permanente sensation d’étranglement. J’avais demandé à en changer. J’espère que… Toc  Toc  Toc !   Je sursaute. Tout s’entrechoque dans ma tête : Si quelqu’un est arrivé jusqu'à la porte d’entrée derrière la maison, c’est que ce quelqu'un est passé devant la fenêtre, juste devant moi, et que donc,il m’a vue les mains sur la tête, les yeux baissés et le buste en avant. De là où il est maintenant, la porte d’entrée étant vitrée, si celle de la salle à manger est restée ouverte, il  a vue sur mon postérieur. Mon mari, d’accord, mais un inconnu, c’est autre chose. Je lutte pour ne pas m’échapper. Les secondes sont des heures. « Fais redescendre ta jupe et tourne-toi. Position n°3 ! » Ouf ! Je rajuste ma jupe, me retourne, Il est déjà dans l’entrée. Je n’ai pas entendu la porte intermédiaire s’ouvrir. Aie ! Ou alors, la porte était restée entr’ouverte et il n’a eu qu’à la pousser pour rejoindre l’entrée. Impossible de savoir. Je suis dos à la fenêtre. Position n°3 c’est la position d’attente en public : Yeux baissés, bras croisés derrière le dos, jambes légèrement écartées. Je me félicite d’avoir choisi le chemisier opaque.  Mon mari ouvre la porte: « Entre Laurent !  Juste à l’heure » « Woua ! Quelle vue ! » s'exclame le nouvel arrivant. Le sang me monte à la tête. Est-ce qu’il parle de mes fesses qu’il aurait vues il y a un instant?   « Je ne savais pas que tu étais si proche de la plage » Ouf! Il parle de la maison. Depuis le décès de ses parents, la maison familiale est inoccupée et mon homme est venu l’habiter en attendant de régler notre histoire. C’est vrai qu’il y a pire comme endroit. Vue sur la mer et acces direct à la plage. La voix de mon chéri: « Tu permets ? J'ai un mot à dire à ma femme » Il revient vers moi. Je pourrais relever les yeux et essayer de lire sur le  visage de Laurent s’il ne m’a pas vue à moitié nue. Je lutte. « Va faire un tour jusqu‘à la plage, garde la position et marche doucement ! » Ce disant, il défait le bouton supérieur de mon chemisier qui déjà n’était pas fermé jusqu’au col. Ce bouton en moins c’est déjà beaucoup moins correct. Si je me penche, on peut voir mes seins par l’encolure et si je …. Qu’est-ce que ?  Un autre bouton. Cette fois, le chemisier est ouvert à moitié. Nul besoin de me pencher, le simple fait d’avoir les bras croisés dans le dos écarte le tissu et dévoile ma gorge. Les deux pans du vêtement cachent à peine les tétons et je vais devoir passer devant un inconnu qui m’a peut-être déjà vue les fesses nues. Je passe pour une sacrée salope. Ah Oui, c’est vrai ! C’est le but. Il va falloir que je m’interroge sur la définition de ce mot : Salope. Dans certains cas c’est une insulte, dans d’autre c’est un compliment….  Compliqué. Mais ça n’est pas le moment. J'ai reçu un ordre, j’obéis, c’est simple. « Oui Monsieur » Toujours les yeux baissés, je passe devant Laurent qui s’efface. J’ai l’impression de sentir le feu sur mes seins. Je sors et contourne la maison. Aie! Ma gorge se serre en constatant que de l'autre côté de la rue, le terrain vague qui descend vers la plage n'est pas désert: Des véliplanchistes utilisent l'espace pour démonter leur matériel. Je comprends maintenant la rubrique "exhibition". Le savait-il, que je devrai passer devant au moins trois inconnus ? Bien sûr que oui ! Il avait vu, lui, par les fenêtres, que le terrain d'en face était occupé . Il avait évalué ma jupe, déboutonné mon chemisier. Il m’avait mise en position n°3, les bras dans le dos, sans aucune possibilité de retenir les pans de mon chemisier ni ma jupe légère et il m'avait donné l'ordre d'y aller. Chaque épreuve que je surmonte est pour lui un gage d’amour et c’est ma faute s’il en a tant besoin. En acceptant de signé ce contrat bidon, j’ai pris la décision de lui prouver que j’étais prête à tout pour lui. D’ailleurs, si le cas s’était présenté, je crois que j’aurais donné ma vie pour le sauver. Je suis persuadée qu’il en aurait fait de même tant notre amour était réciproque. Après tout, je n’en mourrais pas. Alors, j’y vais. Je traverse la rue et, très vite, je me retrouve en prise avec les courants d’air qui s’ingénient à dévoiler les parties les plus intimes de mon corps. Par moments, je sens l’arrière de ma jupe se soulever puis se rabattre pour me claquer les fesses. Un pan du chemisier est parti sur le côté, mettant presqu’à nu la moitié de mon sein gauche. Je lutte pour ne pas replier les bras sur ma poitrine, retenir la jupe qui s’envole, mais je sais que de la fenêtre, il prend plaisir à me voir ainsi, obéissante et soumise. Je suis sa chienne, sa salope, sa pute.       Malgré mes yeux baissés, je sens les regards des planchistes qui m'ont, bien sur, repérée dès mon arrivée. Ils semblaient pourtant avoir fort à faire avec leurs planches et leurs voiles mais avec ces courants d'air,  ils ont changé de centre d'intérêt. Je sens le rouge me monter au visage. Bon sang! Je me promène quasi les fesses à l'air ! « Marche doucement ! »  Avait-il dit. Alors j’obéis: J'essaie d'adopter la démarche nonchalante de celle qui se promène tranquillement mais, bien sûr, cela ne trompe personne.  Les escarpins, le chemisier ouvert à moitié, les bras croisés dans le dos: Ils ont vite compris que j'étais là pour tout autre chose, alors ils ne se privent pas de me mater sans aucune gêne. En temps normal, je suis d’un naturel plutôt prude. Me retrouver, comme ça, dehors, à moitié nue n’était pas fait pour m’exciter. Il y a un mois, j’aurais été morte de honte, imaginant que tout le monde me prenait pour la dernière des salopes ou pire si c’est possible. Maintenant, c’est différent : Ça me fait peur, mais ça m’excite en même temps. J’ai vu des tas de femmes sur Uporn qui font bien pire pour faire plaisir à leurs maris et sûrement, se faire plaisir elles mêmes. Mais qu’est-ce que je fais ! je réfléchis trop ! Pour que ça marche, il faut que je me concentre sur les ordres. Je l’ai signé ce putain de contrat ! Et pas en cinq minutes : Deux jours ! Deux jours à discuter de chaque terme, à remplir des grilles de ce qui  m’attendait. On ne peut pas dire que j’ai été prise en traître. J’arrive au bout du terrain vague, après c’est la plage. Je doute qu’il ait envie que j’aille plus loin puisqu’il ne me verrait plus. Je sais qu’il veut me voir. Pour profiter du spectacle certainement, mais aussi pour assurer ma sécurité. Je respire profondément, je vide mon esprit etc… etc….. et je fais demi-tour. Sur le retour, avec le vent dans le dos et sans avoir esquissé le moindre geste pour me couvrir, la jupe s’est plaquée sur mes fesses et les pans du chemisier se sont presque remis en place. J’ai cru pouvoir palper la déception chez les planchistes qui continuaient à m'observer. Je commençais à me rasséréner mais c'était un peu trop tôt. En effet, dans ce sens là, c'était le devant de la jupe qui devenait fou et, sur tout le trajet, l'étoffe se soulevait et devait révéler que je ne portais rien dessous. Difficile pour moi de savoir jusqu’à quel point mes fesses et ma chatte avaient étés exposées. D’ailleurs, Il est bien léger ce tissu! Je ne me souviens pas que... Ça y est, j'y suis! La doublure a été enlevée. Je sentais, sans comprendre, qu'il y avait quelque chose d'inhabituel dans ce vêtement. Mon mari a retiré la doublure pour le rendre plus léger. J'ai malgré moi un petit sourire attendri en l'imaginant s'affairer sur le vêtement en espérant atteindre ses objectifs. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est réussi! Au moindre courant d'air il s'envole. J'ai, l'espace d'un instant, levé le regard vers un des planchistes. Il avait un petit sourire aux lèvres l'air de dire: " Alors, tu fais la pute pour ton mec? Ca te plait ? Ca fait mouiller ta petite chatte?" J'ai honte et en même temps je suis assez fière d'être capable de le faire. Surtout, je sais que mon homme est aux anges alors je bombe le torse sur les derniers mètres qui me séparent de la maison.  Après tout ce ne sont que des inconnus et  je ne les reverrai sûrement jamais. Je me demandais maintenant ce qui allait se passer. Il avait dit à Laurent : « juste à l’heure » donc cette visite était prévue. Qui était ce Laurent ?  Allons bon ! Je recommence à me poser des questions. Ce n’est toujours pas le moment. J’ai été une bonne soumise, j’ai répondu aux ordres de mon homme, je n’ai pas triché, je n’ai pas levé les yeux, je n’ai pas essayé de me cacher des regards des inconnus. Je peux être fière et rentrer près de lui.   Je frappe à la porte. Ben oui !  Ça n’est pas chez moi, ni chez nous d’ailleurs. C’est une sorte de terrain neutre où ont lieu nos séances depuis un peu plus d’un mois, une fois par semaine, le temps de régler nos affaires. C’est pratique : ici et alentour, personne ne nous connaît. Il vient m’ouvrir : « Viens nous rejoindre au salon ! » «Oui Monsieur ! » Je traverse l’entrée, la salle à manger. Laurent est assis au salon, un verre à la main, je suppose qu’il me regarde, je ne sais pas, j’ai les yeux baissés. Un autre verre est posé sur la table basse, à la place que doit occuper mon mari. Vite je revois le contrat dans ma tête. En public, je dois m’asseoir en relevant discrètement l’arrière de ma jupe de façon à ce que mes fesses soient à même l’assise. Ensuite je dois écarter légèrement les jambes et, quand c’est possible, faire en sorte qu’il ait vue sur ma chatte.  Je cherche donc un siège qui fait face à mon chéri. Comme par hasard, c'est un tabouret qui à été placé là. Un hasard? je ne pense pas! Avec un fauteuil, mes gestes auraient été dissimulés par les accoudoirs  mais avec un tabouret...  Pas moyen.  Je m'assieds et relève l’arrière de ma jupe dans un seul mouvement. Avec un peu de chance, si Laurent regardait ailleurs, il n’y a vu que du feu. Le cuir est un peu froid. Je ne risque pas d'oublier que je ne porte de culotte mais je suppose que c'est le but. Le devant de ma jupe est remonté sur mes cuisses. Pour Laurent qui est à ma droite, le tissu cache mon intimité mais pour celui qui est en face, la vue est imprenable. J’écarte un peu les jambes pour respecter le contrat. Toute à mon calcul, j’avais un instant oublié que mon chemisier ouvert ne cachait pas grand-chose, surtout pour quelqu’un situé sur mon côté. Je sens de nouveau le rouge monter à mes joues. Je respire profondément. Je place les bras le long de mon corps et  les mains posées à plat sur les cuisses. Je ne cherche pas à cacher mes seins, cela m’est interdit. Mon mari revient avec mon cocktail préféré qu’il pose devant moi. « Ou en étions-nous Laurent ? Ah oui ! Tu t’es mis au tennis la semaine dernière ?» Raconte ! Laurent semble gêné : « Oui ……mais… excuse moi, mais….. Tu ne m’as pas présenté ta femme. C’est bien ta femme… enfin,   c’est bizarre….. » Je prends une gorgée de ce cocktail, je prends bien le temps d’avaler pour ne pas m’étouffer. Mon chéri, très à l’aise : « Qu’est ce qui est bizarre ? » « Ben.. Tu fais sortir ta femme dès mon arrivée sans même me la présenter. Ensuite tu passes ton temps à la fenêtre, et puis quand ta femme revient, tu ne me la présentes toujours pas et puis il y a…. » « Il y a quoi ? «  « Non rien, mais bon c’est bizarre … et puis elle ne dit rien » « Je comprends, je te dois des explications : Ma femme et moi avons mis en place un jeu selon lequel, à certains moments, elle doit se soumettre à certaines règles. Ce soir est un de ces moments. Mais si ça te gêne, je peux lui demander de se retirer dans une chambre et nous passerons la soirée tous les deux. » Curieusement, j’ai envie de tout sauf ça. La soirée toute seule dans une chambre ? Non merci ! J'écarte un peu plus les jambes et je remonte le devant de ma jupe le plus haut possible pour signifier à mon homme que je suis prête à faire tout ce qu'il veut. Laurent reprend : « Je ne comprends pas : certaines règles ? comme quoi par exemple ? C’est un truc à la Christian Grey ou je sais pas quoi ?» Mon homme opine :« Oui si tu veux. C’est un jeu à connotation sexuelle. » Il ressert son invité « Je te passe les détails, mais elle a accepté, à certains moments définis à l’avance, d’obéir à tous mes ordres. Sans discuter. » Je ne vois pas Laurent mais je sais qu’il me regarde, incrédule.  « Tu veux dire que tu peux lui demander tout ce que tu veux et qu’elle va accepter ? Mais je croyais que ta femme était médecin ou un truc comme ça ». Mon chéri ne relève même pas. « C’est ça ! Tu veux voir une démonstration ? » Il n’attend pas la réponse. Un ordre fuse :  « Mets-toi debout. » « Oui Monsieur ! » Ma jupe est sympa, elle est, semble-t-il, redescendue toute seule. « Met toi à quatre pattes et viens vers moi !» D'accord ! Donc, cette fois ci, je passe pour une salope devant un de ses amis. D’ailleurs, un ami ? c’est curieux ! Au bout de sept ans de vie commune, je croyais tous les connaître. Je respire profondément, je vide mon esprit. « Oui Monsieur ! »   Je suis une bonne soumise obéissante : je pose les genoux puis les mains au sol et j’avance lentement à quatre pattes vers lui. Je prie pour que ma jupe couvre bien mes fesses.  Laurent est maintenant juste derrière moi. N’importe quelle femme dans cette situation aurait passé une main derrière elle pour vérifier que la jupe était bien en place et même tirer un peu sur le tissu. Moi je n’ai pas le droit. Si elle s’est mal repositionnée, j’offre actuellement une vue sur mes fesses et ma chatte à un parfait inconnu. Un peu comme tout à l'heure avec les planchiste sauf que là, je suis à quatre pattes et que surtout, il est à moins d'un mètre de moi. S'il tendait la main, il pourrait... Bon sang! Me voilà maintenant à m'imaginer me faire peloter par un mec dont je n'ai même pas vu le visage.   Une fois à destination je pose ma joue sur la cuisse de mon homme. C’est le moment décisif. Si Laurent s’offusque, tout se termine là, mais j'en doute. Effectivement, il s'ébahit: « Woua !!! ça a l’air trop cool » Ah ! ces mecs, ils sont tellement prévisibles. La voix de mon mari: « Tu veux essayer ? » Tu parles Charles! Bien sûr qu’il veut essayer. Il se lance : « Euh… Mettez- vous... enfin...Met-toi debout et  Euh….Lève une jambe !» « Oui Monsieur » Je me lève, me retourne vers lui, je lève la jambe droite et je suis comme ça : une chose, un pantin, une esclave. Tiens pour un peu, je trouverais ça drôle et même ridicule. Mais je sais qu’on en est qu’au début. Mon homme intervient : « Enlève ton haut. Position n°1 ! » Je repose ma jambe, je défais les deux derniers boutons, je retire mon chemisier. Je me cambre pour bien faire ressortir les seins et surtout je n’oublie pas de dire, puisqu’il s’agit de mes seins : « Je suis une petite chienne »   J’ai les yeux baissés mais je devine un air ébahit sur le visage de Laurent. En tous  cas, il ne dit mot. C’est la première fois que je montre ostensiblement mes seins à un inconnu. Pendant sept ans mon mari n’a pas cessé de me dire que j’étais jolie. Il est vrai que je suis assez grande, mince, j’ai les traits du visage fins et harmonieux, les yeux bleus, une chevelure blonde et longue, j’ai, je crois, tous les archétypes de la beauté. Enfin tous ? Peut-être pas. En effet, d’aucun dirait que ma poitrine manque d’opulence. Je remplis à peine ce bonnet B dont, de toutes façons je n’ai nul besoin et que je ne porte plus que très rarement. Mon mari reprend le contrôle : "Met-toi en mode privé ! et position n°3 !» « Oui Monsieur ! » Purée ! Là c’est autre chose. Le mode privé c’est entièrement nue. Les seins d’accord, parce-que bon:  Il n’y a pas si longtemps, toutes les femmes étaient seins nus sur les plages, mais là, je vais dévoiler ce que j’ai de plus intime, ma chatte, mes fesses enfin tout quoi. Et puis cette satanée mode de l’épilation intégrale. Plus nue c’est impossible. Mais bon ! J’ai signé.  Au moment de déboutonner ma jupe, une vague de chaleur me monte au visage. Je suis folle, je vais le faire. Je fais glisser la jupe jusqu’aux chevilles, puis je me penche, jambes tendues, pour ramasser le vêtement que je dépose sur un fauteuil. Ca y'est, je suis complètement nue. Position 3 : les bras croisés derrière le dos. Je reprends lentement ma respiration. Les jambes un peu écartées, contrat oblige, j’offre une vue intégrale sur tout mon corps et ils ne doivent pas s’en priver. Mes seins et ma chatte sont exposés dans les moindres détails. Je reste comme ça un bon moment pendant que les hommes discutent. « Alors Laurent, qu’est-ce que tu en penses ? » « Ben…Elle est super belle ! » « C'est-à-dire ? » Je vois ou il veut en venir. Je suis là, entièrement à poil devant eux et ils vont se mettre à parler de mon cul. Comme si on était à la foire aux bestiaux. « Ben…moi j’aime les seins pas trop gros alors…et puis elle est entièrement épilée, on voit tout » Les entendre parler ainsi des parties intimes de mon corps commence à m’échauffer malgré moi et je sens comme une moiteur à l’entre jambe. Il a dit : « on voit tout ». Ça veut dire qu’il a bien regardé tous les détails de mon minou ? Mon Dieu, si ça se trouve, ça se voit que suis humide. Quelle salope je fais ! "Que veux-tu dire par on voit tout?" Laurent s'explique: "Ben... Avant, le sexe d'une femme, c'était principalement une touffe de poils à travers laquelle on ne distinguait rien, mais maintenant c'est la petite bosse du mont de Vénus puis la fente avec le renflement des deux grandes lèvres et même un peu des deux petites qui dépassent en dessous" En effet, rien ne lui échappe et l'entendre donner des détails aussi précis me donne des frissons sur tout le corps. Et puis cette émotion dans sa voix. On jurerait qu'il parle d'une oeuvre d'art. C'en est touchant. J'ai presque envie qu'il se mette à parler de mon clito. Mon homme enchaîne:  « Position n°2 ! » Je ne sais pas si c’est le cocktail ou la situation, mais j’ai l’esprit un peu embrumé. Heureusement, j’ai un moyen mnémotechnique pour les positions. On part du haut vers le bas :   1 la tête. ( les mains sur la tête ) 2 les seins. ( je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains ) 3 le dos. ( bras croisés dans le dos ) 4 la chatte. ( je présente ma chatte en l’écartant avec les deux mains ) 5 les fesses. ( je me penche en avant et je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains )   Numéro deux, c’est présentation des seins. Allons y. « Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers l’avant. C’est la position qu’il a inventé pour la pose des pinces. C’est bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec des grelots. Quand je les porte, je les entends tinter, me rappelant que j’ai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements, et quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon encore plus nette et j’adore ça. Elles sont réglées pour pincer juste ce qu’il faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur. Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées. « Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne ». J’ai rajouté un « merci » je sais qu’il apprécie. « Position n° 4 ! » Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 c’est présentation de la chatte.  Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille. Je connais la procédure : J’avance le bassin pour faire ressortir la vulve, j’écarte largement les grandes lèvres et je n’oublie pas de dire, s’agissant de ma chatte : « Je suis une bonne petite salope » Dans cette position, j’expose carrément mon clitoris. Je l’ai senti quand j’ai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. J’ai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à l’entrée de mon vagin, c’est mon homme qui vérifie. Le doigt entre facilement, je suis plus mouillée que je ne le pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de l’intérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. C’est plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça n’est pas le tout de le dire parce que j’y suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope. Cette fois ci, avec l’excitation, les mots crus  ne m’offusquent plus, au contraire. Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est !  C’est les chutes du Niagara. Quand il retire son doigt, il est trempé. « Merci Monsieur » « C'est bien ! Maintenant : finis ton cocktail » « Oui Monsieur » Il saisit mon verre sur la table basse et me donne à boire. C'est le faire de boire tout en m'écartant les lèvres de mon sexe qui m'ont fait comprendre: Le but n'est pas  de m’enivrer, il a une autre idée en tête. Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte. Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus : « Mais comment vous en êtes venus à … Enfin à ça ? » Mon homme explique : « Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. C’est un jeu dangereux pour des personnes qui s’aiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ». « Et elle ? elle en a des fantasmes ? » Ben! Je n’y avais pas vraiment réfléchit. Mais ça pourrait venir. Pour l’instant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est l’attraction, j’entends que l’émotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça n’est pas moi qui mène le jeu. Étonnamment, ça n’est pas ça qui m’excite. Je n’ai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul d’ailleurs. Moi, mon homme, je veux qu’il soit mâle Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort…Alors ce n’est pas pour l’attacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes. Non ! Je n’ai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant de hourdir des plans, de passer des annonces, d’organiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, c’est ça qui me fait mouiller. J’en ai presque honte. A notre époque où le féminisme est roi, sexuellement, c’est en étant la proie que je me sens vibrer. En parlant de vibrer, c’est autre chose qui m’arrive maintenant et c’est normal avec tout le liquide que j’ai ingurgité : j’ai envie de faire pipi. Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand j’ai envie d’uriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ». Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour m'emmener  à quatre pattes faire mes besoins sur la pelouse, soit il me demande d’aller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui. Le collier, la laisse, la gamelle c’est un truc qu’il m’a fait faire à la troisième séance. Après m’avoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il m’a fait faire tout un tas d’exercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. J’ai appris par exemple à manger et à boire dans une gamelle pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref… Pour le moment, Je ne tiens plus. J’attends une pause dans la conversation et je dis : « Je suis une petite pisseuse » Laurent manque de s'étouffer avec un gâteau apéritif. Mon homme doit sourire. « Va chercher ta gamelle » Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne m’appartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle j’ai mangé et bu pendant la troisième séance, je reviens et je m’installe debout devant mon homme. « Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter » Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour qu’ils soient tous les deux aux premières loges. J’écarte les jambes, j’avance le bassin. D’une main je dégage les lèvres de ma chatte pour qu’elle soit bien ouverte et de l’autre main je positionne le récipient entre les cuisses. En termes d’humiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez et je m'apprêtais à me soulager comme la dernière des chiennes. J'ai du mal à décontracter mes sphincters. Le regard des deux hommes est rivé sur ma chatte béante et c'est pour le moins embarrassant. Et si j'en mettais partout ? Je me rassure en me disant que le fait de bien séparer les lèvres avec les doigts devrait résoudre le problème. J’exerce une profession médicale, j’ai fait des études, passé des concours. J’ai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues :  Qu’est-ce que je suis en train de faire ? C’est sexuel, c’est ça ? C’est vrai ! Le sexe c’est à part de tout. Des l’instant ou on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même ! Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal.    Les hommes se taisent, captivés par le spectacle que je leur donne. C’est moi qui mène le jeu ? Non ! je n’ai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute. Le contrat : Quand j’ai fini, je m’essuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne petite pisseuse » ensuite j’attends un ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous la chatte et les doigts mouillés de mon pipi. Je compte les secondes. J’ai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de l’exciter. Au bout d'un moment: « Va ! » Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. J’entends la conversation dans le salon. C’est Laurent : « Ben mon salaud, tu t’emmerdes pas. Et ça va jusqu’où votre histoire ? » Ça, j’aimerais bien le savoir ! D’après le contrat, il n’est pas question d’avoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouze. Il n’a pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit d’autre que mon mari. J’ai confiance en lui. Je reviens vers le salon. « Position n°5 ! » Je révise. Voyons…. Mnémotechnie, 1 2 3 4,   5 c’est la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. C’est la position idéale pour la pose d’un plug anal par exemple. C’est ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Mais tout à l’heure, pour faire ma pisseuse, il a souhaité que Laurent profite du spectacle, donc je me mets dos à eux deux, je me penche, j’écarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il n’y avait plus que ça que Laurent n’avait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il m’aura vue sous toutes les coutures.   Je tiens la position. Je m’attends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente : « Ça m’a fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt qu’un apéritif, on dîne au restaurant ? » Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal : « Oui moi aussi… Bla Bla ……   Bla Bla….. »  Et ce jusqu’à la porte , «  Bon ben  Salut » Le voilà parti.  Je ne sais pas l’heure qu’il est. Peut-être 20h 30, j’ai l’impression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de m’écarter les fesses. Et quand est-ce qu’il me baise ?
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Par : le 21/07/24
Comme Daddy a demandé je m'occupe des boissons pendant la soirée.  J'ai ma petite tenue de maid qui va totalement bien avec ce que je fais.  Je stress assez pour cette soirée. Car Daddy avant la soirée m'a dit que pour toute personne qui me dirait Little tu es à moi, je devrais me laisser faire.  Pour l'instant personne n'ai venu m'embêter. Je me sens rassuré.  De nombreuses personnes viennent au bar avec Lucie on les sert un par un.  On arrive à suivre et on est  contente. Daddy nous surveille du coin de l'œil et semble satisfait de nous. Soudainement, je sent quelqu'un proche de moi. Il me chuchote "little tu es à moi "  Je me tourne et voit que c'est un ami à Daddy. Je restée impassible et continue de servir les gens. Je me cambre légèrement pour montrer que j'ai compris. C'est pas pour déplaire au personne de devant à qui ça offre une belle vue.  Il en profite alors pour passer ses mains sur mes fesses. Il les carresse doucement. Il me met ensuite un coup qui me surprend. Mais je tente de rester concentré sur le service. Je me sens gêner d'être ainsi devant tous.  D'un coup je croise le regarde amuser de Daddy.  Chaque coup secoue mon corps. Je lute pour rester fixe.  Une fois que mes fesses ont une couleur convenable les coup sont remplacés par des carresses. Une fois satisfait il me laisse de nouveau tranquille.  Pendant toute la soirée plusieurs ami de Daddy vont se succèder.  Je vais recevoir badine, pincement des tétons, pincement des fesses, carresse un peu trop intime. Certaine me feront gémir d'autre crier de douleur. Je doit lutter pour rester concentré. Une de ses amis va même me déshabiller. Pour le plaisir des yeux des autres et des siens. Il va doucement carresser mon corps puis me laisser retourner à ma tâche nue.  Daddy va me récupérer à la fin de la soirée trempé. Il va m'embrasser sur le frond en me félicitant.
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Par : le 03/06/24
A la demande de SweetQueen, Douce Reine de la communauté BDSM, que je remercie pour son intérêt, à la suite d’un extrait du 1er volet du cycle Odes à la Gynarchie, je propose ci-après (avec l’autorisation de son auteur) un extrait du 2e volet de cette trilogie, La Reine du Cap et son valet de pieds. « Nous étions arrivés à la plage. Madame détacha le harnais de mes couilles, fixa ma laisse à mon cou et avança sur le sable en me tirant derrière elle. Elle me laissa sur mes deux jambes plutôt qu’à quatre pattes pour aller plus vite mais la laisse attachée à mon collier fermé par un cadenas, ma cage de chasteté idem, la queue qui dépassait de mon cul, les marques sur mes fesses et les pinces lestées à mes tétons ne laissaient aucun doute sur ma condition de soumis. Madame alla jusqu’à proximité du bord, ôta ma laisse et me laissa dérouler sa serviette. Puis je m’agenouillais pour lui enlever ses sandales de cuir en n’oubliant pas de lui baiser plusieurs fois les pieds et les orteils. Elle s’allongea, retira son paréo, apparaissant nue et bronzée, et me tendit à nouveau ses pieds. « Rafraichis-moi ! » Je massais longuement ses pieds moites l’un après l’autre en les embrassant et en les léchant, puis je suçais lentement et soigneusement chacun de ses orteils. Enfin elle me les retira brutalement et me flanqua une gifle. « Pour le service ! » C’était la règle. Je n’étais jamais récompensé pour quoi que ce soit même si je satisfaisais ma maîtresse. En revanche, non seulement j’étais puni si j’obéissais mal à un ordre, mais de toute façon j’étais giflé, pour le principe. « Creuse ton trou ! » Je savais ce que j’avais à faire. Je creusais dans le sable une petite tranchée de ma taille et je m’allongeais dedans sur le dos. Ma maîtresse prit ensuite le relais en recouvrant mon corps de sable, sauf mon visage qui restait un peu surélevé. Madame appelait ce genre d’installation son « donjon de sable », référence à la fois aux châteaux de sable que fabriquent les enfants, et aux salles de torture des dominatrices appelés donjons. Après s’être assurée que tous les gens à l’entour nous regardaient, elle s’installa en hauteur au-dessus de ma figure et urina directement dans ma bouche. Le liquide chaud et salé coulait dans ma gorge comme un nectar parfumé de l’odeur de son vagin. Lorsqu’elle eut terminé et que j’avais tout avalé sans gaspiller une goutte, Madame posa son sexe sur mes lèvres pour que je nettoie les dernières traces, elle se caressa quelques instants sur ma bouche tandis que je fouillais son vagin avec sa langue. Puis elle se retira sans un mot et s’allongea au soleil. » Extrait de La Reine du Cap et son valet de pieds, 2e volet du cycle Odes à la Gynarchie disponible en ligne
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Par : le 17/03/24
. Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler. Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts. Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal. Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage. Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin. À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité. Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices. Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour. Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps. -- Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués. Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter. Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps. Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet. Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot. À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents. Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre. Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes. D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé. -- Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe. Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir. L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes. Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille. Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids. Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander. Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité. Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie. Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû. Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient. Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant. Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse. Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !" Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail. D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi. -- Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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Par : le 13/11/23
Episode 1: Relaxant Onsen Depuis les temps anciens, les Japonais profitent des bienfaits relaxants et thérapeutiques des sources thermales. D'après le Nihon shoki (日本書紀), l'une des rares sources écrites sur les origines du Japon, achevé en 720, le premier Onsen aurait  été créé en 631. De nos jours, plus de 3000 stations thermales sont aménagées. Beaucoup d'hôtels possèdent leur propre Onsen, soit naturel, soit artificiel. Depuis que le Japon s'est ouvert à l'Occident, la mixité qui était la règle à l'origine a quasiment disparu. C'est le cas dans notre hôtel, qui dispose d’espaces de baignade strictement séparés pour les hommes et les femmes. Par pudeur probablement, les guides touristiques sont avares de détails, mettant l'accent sur les bienfaits des eaux chaudes fortement minéralisées, et oubliant les aspects pratiques. Car dans un Onsen on doit se baigner entièrement nu et respecter un certain rituel. Après s'être dévêtu dans l'espace vestiaire, on rejoint un espace dans lequel on doit se doucher assis sur un petit tabouret, puis éliminer soigneusement toute trace de savon car polluer l'eau du bain est un sacrilège. Les Onsens n’échappent pas à la fameuse politesse japonaise: ce sont des lieux de repos et de détente -  adopter un comportement discret et silencieux dans l'espace de baignade est la règle, néanmoins parfois mise à mal dans les régions touristiques. L'accès aux personnes tatouées est en principe interdit, les tatouages évoquant le crime organisé dans ce pays. Pas d'autre choix que d'enlever le symbole Kef, tatoué en haut de ma cuisse gauche. Quel dommage! Je venais juste de refaire ce tatouage temporaire. Solution de fortune, la lotion démaquillante en est venue à bout, mais non sans mal. J'ai lu qu'ici un sexe épilé rappelle les films pornographiques ou la prostitution et c'est donc très mal vu. En effet, pour échapper aux lois de censure qui interdisaient de montrer toute pilosité pubienne, l'industrie du film pornographique a eu recours à l'épilation. J'ignore si cette association est la vraie raison, mais force est de constater que je suis la seule à avoir la chatte intégralement épilée. Les japonaises sont bien foutues – question d’alimentation probablement – et je pense que mon Maître apprécierait d’être à ma place. Je l’imagine du côté homme, entouré d’hommes nus. Lui qui est 100% hétéro, le pauvre… Et je m’efforce de réprimer le fou rire que je sens arriver, histoire de ne pas me faire remarquer. Après un moment bien relaxant dans ces eaux très chaudes, je retrouve par hasard mon Maître dans l'ascenseur. Lui aussi vient juste de quitter l’Onsen. Quelle synchronisation ! Nous sommes vraiment faits pour être ensemble. - "Vous avez pu mater de belles bites, Maître ?" Je n'ai pas pu m'empêcher de le charrier... Et je suis prise d'un fou rire. - "Pfff... Tu es bête", me répond-il, ne pouvant néanmoins réprimer un sourire.   Episode 2 : Le sens de l’accueil A peine la porte de notre chambre ouverte, la télévision s'allume automatiquement, avec un niveau sonore particulièrement agressif, et bascule sur une chaîne française. L’ouverture de la porte déclenche la mise sous tension et le choix de la chaîne est préréglé en fonctions de nationalité des clients. Cela part certainement d’une bonne intention – faire en sorte que le client se sente comme chez lui – mais qu’est-ce que c’est agaçant ! La nudité intégrale en présence de mon Maître est la règle, hormis dans les espaces publics bien sûr. Pendant que je me déshabille, mon Maître se bat avec la télécommande dont toutes les touches sont gravées en japonais. Un médecin de plateau vante les mérites de la zébralisation (*). La journaliste en rajoute une couche, en fustigeant les ignorants, fascistes, anti-science, qui sont encore réticents à se rendre dans leur centre de zébralysation. - "Putain! Mais comment est-ce qu’on arrête ce bazar!" Il est très rare que mon Maître, si philosophe habituellement, montre des signes d'agacement. - "S'il vous plaît, Maître, laissez-moi faire" C'est toujours utile d'avoir une soumise sous la main, prête à rendre service ! Voilà mon téléphone qui sonne maintenant. C'est mon médecin traitant. - "Je vois que vous n'êtes pas encore zébralysée. J'ai pu vous obtenir un rendez-vous dans le centre de zébralysation pour mardi à 10h". Technique commerciale bien connue: mettre l'interlocuteur devant le fait accompli et dans une situation dans laquelle il se sentira mal à l'aise, voire honteux, de refuser. "Mais c'est du harcèlement!" me dis-je. Par chance, j'ai une bonne excuse cette fois: je suis à plus de 10 000 km du centre de zébralysation. - "D'accord" répond-il, sur le ton agacé du vendeur qui a raté son affaire. "Mais il ne faudra pas tarder à vous mettre en règle - d'ailleurs ce sera bientôt obligatoire sous peine d'amende". J'entends mon Maître ironiser à voix basse pendant que j'assure que j’y pense et que je ferai le nécessaire – histoire de mettre un terme à la conversation. - "Menteuse..." - "Une bonne fessée et la bite dans la cul, voilà ce que tu mérites" Sacrée fessée en effet ! Visiblement, les eaux minérales de l'Onsen l'ont bien revigoré. J'imagine la tête de mon médecin s'il apprenait que je suis déjà doublement zébralysée, qui plus est avec les derniers spécimens naturels. Malheureusement, l'espèce s'éteindra en moi. Je ne crois plus guère que la reproduction, dans laquelle nous avions mis tant d’espoirs, réussira, et je me sens responsable de cet échec. Episode 3: Chienne esseulée devant l’Hôtel Riz-Carbone Je ne fais pas la fière, assise seule sur ce banc, un peu en retrait de l'entrée du prestigieux Hôtel Riz-Carbone. - "Je dois rencontrer un membre du personnel", m'a dit mon Maître pendant qu'il attachait ma laisse à l'accoudoir et me déboutonnait le chemisier jusqu'au nombril, prenant bien soin de l'ouvrir un peu au delà des limites de la décence, laissant apparaître une bonne moitié de chaque téton. Moi qui ai souvent regretté d'avoir les tétons trop clairs et qui aimerait les avoir bien sombres, je me rends compte que cela a aussi un avantage. C'est plus discret... C'est dans cet hôtel de luxe, sur les hauteurs de Nikkō, qu'un échantillon des princes qui nous gouvernent se sont rencontrés en marge du sommet du G7, en juin 2023. "G7 ministerial meeting on gender equality and women's empowerment" : l'égalité des genres et le féminisme idéologique sont des thèmes porteurs et fort utiles pour masquer des objectifs bien moins avouables. Surplombant le lac Chūzenji, l'hôtel bénéficie d'un cadre idyllique. Les rives du lac étaient très populaires au siècle dernier comme en témoignent de nombreux bâtiments bien préservés, parmi lesquels l'ancienne ambassade de France et de somptueuses résidences secondaires de diplomates. Yeux baissés par timidité, mais cuisses écartées par obligation, je tente néanmoins de me faire la plus discrète possible. C'était sans compter ce gros touriste américain, qui, à peine sorti de l'hôtel, ne manque pas de me remarquer. "Hi guys! Are you on a leash?" me dit-il bruyamment. Je marmonne une réponse incompréhensible, tout en rougissant. Franchement, est-ce que j'ai une tête (des têtes?) de "guys" ? Il se plante devant moi et me raconte une histoire à la con qui se veut drôle. Pitié… Mais faites-le taire ! Un puissant instinct me pousse à resserrer les cuisses et à me reboutonner, mais je mets un point d'honneur à respecter les ordres du Maître, y compris, et peut-être encore plus, quand il n'est pas là pour me contrôler. Alors, je mets toute ma force de volonté pour résister à cette réaction instinctive. Ouf ! Le vulgaire personnage n'insiste pas et s'éloigne, sans doute refroidi par mon peu d'enthousiasme à lui répondre et à rire de son histoire sans queue ni tête.   Mes cuisses doivent être maintenues ouvertes en toutes circonstances et le fait que les sous-vêtements me soient interdits n'y change rien. C'est la règle. C'est Sa Loi. Le temps semble toujours s'écouler à une vitesse d'escargot dans certaines circonstances et comme par hasard surtout quand on voudrait qu’il accélère. Mais que fait mon Maître ? J'ai l'impression qu'il y passe des heures dans cet hôtel. Eh ben ! Il en a mis du temps ! - "Mets-toi ça dans la chatte, c'est plus prudent. Sonia sera comblée par ce qu'il y a là dedans", me dit-il en me tendant une boule mémoire - version moderne des anciennes clés USB. C'est vrai que l'on n'est jamais à l’abri d'une mauvaise rencontre avec une patrouille de défenseurs de la démocratie. Les miliciens peuvent être très zélés et sont habilités à contrôler nos effets personnels, mais il est peu probable qu'ils aillent jusqu'à une fouille intime - du moins tant que l'on n'attire pas trop l'attention. - "Ca te dit de dormir ici la nuit prochaine ?" 700 à 6000 dollars la chambre, voilà qui n'est guère raisonnable... Eh oui ! On paye à présent en dollars au sein de la Suprême Alliance Démocratique. Les monnaies locales ont disparu. C’est le résultat d’un arrangement entre la Chine et les USA : pour l’une, en tant que berceau de la démocratie moderne, le privilège d’accueillir le siège du pouvoir fédéral, pour l’autre le contrôle de la monnaie. J'ai parfois du mal à savoir si mon Maître est sérieux ou me fait marcher. - "Malheureusement, nous n'avons pas la chance d'être logés aux frais du contribuable..." rajoute-t-il. Dommage... C'est tenue en laisse, jupe retroussée, qu’il me conduit sur le petit sentier, heureusement peu fréquenté, qui relie le luxueux hôtel aux chutes Kegon. Avec ses 97 mètres de haut, la grande cascade Kegon est l'une des plus hautes du Japon. Un petit plateau d'observation, équipé de bancs publics, permet d'avoir une belle vue sur les chutes. C'est sur l'un de ces bancs, assise aux côtés de mon Maître, toujours tenue en laisse, que j'observe la cascade, comme hypnotisée par le spectacle. Une petite tape sur le sein gauche, puis sur le bas de ma jupe, me sort de ma contemplation. Oui, bien sûr, le banc est au bord de la plateforme, personne ne peut passer devant nous, alors... J'ai encore du mal à bien analyser chaque situation et à prendre de moi-même les bonnes initiatives. Je m'empresse d'ouvrir plus largement mon chemisier déboutonné, pour dégager entièrement mes mamelles et de remonter ma jupe pour exposer ma fente. Me voilà exhibée pour le plaisir de la déesse de la montagne... et pour celui de mon Maître ! Pas un mot n'est prononcé. Quoi de mieux que le silence pour apprécier les bruits de la nature, apprécier le bonheur de me trouver là, au bout de la laisse tenue par l'homme que j'aime. Est-ce qu'il a en ce moment des pensées similaires aux miennes? Est-il satisfait de sa chienne? Je l'espère. Mais il serait déplacé de lui demander. On dirait que la cascade s’est mise en conformité avec les règles de politesse à la japonaise : pas de vacarme assourdissant mais un bruit agréable, presque relaxant. Comme si elle voulait rester discrète et respectueuse des visiteurs. Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin et il est déjà temps de reprendre le bus pour Nikkō. Je garde mon collier d’esclave, mais, soulagement, la laisse m’est retirée. Je ne vais quand même pas prendre le bus tenue en laisse ! Episode 4: Retrouvailles inattendues sur le pont Shinkyo   Le bus descend à toute vitesse vers Nikkō, enchaînant les virages à 180 degrés. Je tente de filmer la spectaculaire descente sur cette vertigineuse route en lacets, mais j'ai très vite le tournis. Mon Maître prend le relais. Pour me rassurer, il me dit que le chauffeur a certainement fait ce trajet des centaines de fois. Certes ! - Mais... - "Quand nous serons de retour à Tokyo, je te placerai pendant une journée dans un établissement spécialisé, pour y sucer des bites et donner du plaisir. Cela te fera du bien." Est-ce qu'il me fait marcher? Je pose néanmoins des questions. - "Ils ont un mur de bites, style glory hole. Tu y seras à l'œuvre toute la journée et si un client n'est pas satisfait, tu seras fouettée." Je pense à 99% qu'il me fait marcher, mais il me reste 1% de doutes... - "On va descendre au pont Shinkyo. Nous pourrons poursuivre jusqu'à l'hôtel à pied". Le pont sacré Shinkyo marque l’entrée du sanctuaire shintoïste de Nikkō. Durant l’époque Edo (1603-1868), seuls le shogun et les messagers de la cour impériale étaient autorisés à l’emprunter. Le pont en lui-même est modeste, mais la vue, avec la brume et la montagne en arrière-plan est tout simplement magnifique. Je suis affairée à prendre des photos de mon Maître sur le pont pour immortaliser notre passage en ce lieu historique, quand une voix dans mon dos me fait sursauter. - "Streptomyces Avermitilis Inari !" Je reconnais la voix du Professeur et le ton euphorique du scientifique qui vient de faire une immense découverte. Je me retourne instantanément et m’incline respectueusement. - "Bonjour Monsieur le Professeur. Euh, pardon, bonjour Satoshi. Que faites-vous là?" J'ai décidément du mal à l'appeler par son prénom, comme il me l'a demandé. - "Je les ai baptisés Streptomyces Avermitilis Inari, en hommage à la déesse de la montagne. Il y en avait des quantités dans les prélèvements. C'est incroyable !"   à suivre   Contexte (*) L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).  
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Par : le 13/10/23
Première partie : https://www.bdsm.fr/blog/8979/Dresser-mon-esclave---partie-1---le-canap%C3%A9/ Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. La limite est fine. Ah, et pour cette partie, j'ai triché. J'ai mon téléphone avec moi. Mais un Maître ne triche jamais. Il fait les règles. Second texte / second  élément : une belle et grande table en bois Je t'appelle et tu arrives tout de suite. Collier, laisse et lingerie sur tes mains et tes genoux. Je crois qu'excepté couverte de ma semence, avec un baillon dans la bouche ou avec un crochet dans le cul, c'est ainsi que tu es la plus désirable. Mais ne nous laissons pas distraire. Place à la seconde séance de dressage. Je suis confortablement installé dans le canapé. Je tapote sur mes genoux pour appeler ma chienne. Tu as pour instruction de regarder le sol et je sais que tu as quand même jeté un coup d'oeil pour voir ce qui t'attendait. Une simple table. Je te laisse approcher. Tu commences à lécher mon jean à hauteur de ma queue comme si tu pouvais faire ce qui te plaît. Cette erreur te coûte une claque retentissante. - Pardon Maître, j'en avais tellement envie. - Ouvre la bouche. Tu sais que tes erreurs se payent et j'aime tellement cracher dans ta bouche offerte que je te pardonne trop facilement. - Maître, s'il vous plaît, laissez votre esclave lécher votre jean - Tu peux ! Et je vois ta langue se précipiter. Je te sens même prendre ma queue à travers jean et boxer. Je sens ta joue la presser aussi. - Notre nouveau jouet est une table. Tu te retournes pour la regarder. Une belle table en bois massif. Carrée mais suffisamment large pour que tu puisses tenir allongée dessus sans problème. Un sofa et une table. On ne dirait pas l'aménagement d'une pièce spéciale mais ça va venir. Tu as repris ton activité et tu me suces comme si j'étais nu. J'ai envie de sentir ta bouche de plus près. - Enlève mon pantalon. Non seulement tu l'enlèves dans les 10 secondes mais tu fais glisser la ceinture et me la tends avec référence. - Au cas où vous vouliez vous en servir Maître Je me lève. J'atttrape tes cheveux pour te forcer à coller ta figure contre mon bassin. Je récupère la laisse et je la passe autour de ta nuque pour pouvoir serrer encore plus fort. Je te sens t'agiter mais il faut que tu apprennes à devenir encore meilleure pour respirer quand tu peux ou avec une queue coincée au fond de ta bouche. C'est pour ça qu'on t'entraîne. Je profite de ce moment et je le fais durer. Je te libère de temps en temps pour te voir reprendre péniblement ton souffle. La salive s'écoule de tes lèvres. - Tourne-toi mon esclave. Direction la table. Monte dessus. Tu te relèves tout de suite et tu comprends que c'était une erreur. Tu te remets tout de suite à 4 pattes mais tu sais que tu paieras pour ça. Je te soupçonne même d'avoir commis cette erreur de débutante exprès. Tu es à 4 pattes sur la table, le regard tourné vers le bas. Je t'attrape par les cheveux. Première claque - Tu l'as fait exprès ? - non Maître - (seconde claque plus forte) Tu l'as fait exprès ? - quoi, Maître ? - (troisième claque, crachat) tu sais très bien quoi. Arrêter de marcher comme la chienne que tu es bien avant la table - (baissant encore plus a tête) sans doute Maître que je voulais être punie. - A 4 pattes, les avant-bras posés sur la table, la tête entre. Offre-moi ton cul bien en l'air. Tu t'exécutes et, en même temps, tu sens la table bouger. Les plaisirs de la technologie. Offrir à un Maître une esclave à parfaite hauteur de fessée. Comme souvent, je commence par te fesser à main nue. Tes fesses se colorent et, quand elles sont d'un rose suffisamment soutenu, je tends la main pour me saisir de la ceinture. Je commence par changer de cible et je m'occupe de tes cuisses, de ton dos. Tu gémis de plus en fort mais ça ne t'empêche pas, de temps en temps, de me supplier de taper plus fort. Retour à ton cul jusqu'à ce qu'il soit d'un beau rouge. - C'est fini pour l'instant mais ne bouge pas. Je sors mon téléphone pour prendre quelques photos. Puis j'enclenche la vidéo et je fais plusieurs fois le tour de la table. - Tu peux me regarder ma salope. Tu aperçois le téléphone. - Enlève ton string. Donne-le moi. Montre-nous à quel point tu es trempée. Au nous, tu réalises que cete vidéo va finir uploadée sur internet. Tu me tends le string. Je l'expose devant la caméra. Il est très facile de voir qu'il est trempé. Mes doigts se glissent contre ton sexe. Wow oui tu es carrément trempée. Ouvre la bouche. D'abord mes doigts. Oui suce-les comme si ta vie en dépendait même si ce ne sont que mes doigts. Puis le string. Voilà, c'est pas un baillon mais ça sera mieux que rien. Gros plan sur cette bouche de pute qui prend tout ce qui passe à proximité. - A genoux chienne ! Regarde droit dans la caméra. Que tout le monde te regarde exploser. Aujourd'hui c'est une séance pour te préparer à aimer les regards qui se posent sur toi. Je sais à quel point tu aimes que tout le monde sache que tu es mon esclave. Regarde la caméra, montre à tout le monde à quel point tu es bien dressée. Tu prends le bout de la laisse, tu la glisses contre ton sexe et tu tires. Tu la presses avec ton autre main et je vois tes doigts qui commencent à s'agiter contre ton sexe. Tu arrives à regarder la caméra jusqu'à ce que tu commences à gémir très fort. Ta tête bascule en arrière et il ne faut que quelques secondes de plus pour que ton corps tressaille, pour que tu exploses bruyamment. Tu reprends tes esprits, tu me regardes, - Merci Maître !      
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Par : le 02/09/23
*** Préambule ***  « Depuis que j'ai grandi dans une communauté relativement pauvre de la campagne japonaise, je suis totalement fasciné et enchanté par la nature. Ma famille dépendait de ce que la nature pouvait fournir pour notre santé et nos moyens de subsistance et j'ai constamment essayé de découvrir autant que possible ce que la nature a à nous offrir, d'essayer de comprendre la nature elle-même, ainsi que de m'émerveiller devant ses couleurs. […] Je suis convaincu depuis longtemps que la nature possède toutes les solutions dont nous avons besoin pour résoudre nos problèmes passés, présents et futurs – il suffit de les trouver. Je suis également convaincu que les myriades de micro-organismes de la Terre constituent un trésor offert à l’humanité. » [1]   Satoshi Ōmura, Prix Nobel de médecine 2015 *** Destination Tokyo *** Quinze heures de vol ! De quoi faire exploser mon pass carbone. Depuis qu’une grande partie du continent asiatique est devenue la cible des bombes démocratiques, les vols commerciaux entre l’Europe et la Japon empruntent la longue route du Nord-Ouest pour éviter d’être accrochés par les systèmes anti-aériens ennemis [2]. Le Moyen Orient, victime d’opérations de déstabilisation et de changements de régimes, a sombré dans le chaos total et est devenu une zone de grande insécurité. L’Inde, qui refuse obstinément d’adhérer à la Suprême Alliance Démocratique, n’est plus que l’ombre de ce qu’elle fût. Ses capacités de production, en priorité celles qui risquaient de concurrencer l’industrie pharmaceutique de la suprême alliance, ont été réduites à néant par des raids massifs. Pourtant, la nation indienne continue à résister. Une trêve a été négociée avec la Russie, suite à l’opération Komsomolets qui a vue la flotte de bombardiers stratégiques de la Suprême Alliance Démocratique décimée par les S-500, mais pour combien de temps ? Le temps que la suprême alliance reconstitue son arsenal. Pour l’heure la guerre ouverte est redevenue guerre par procuration, comme au début de la décennie.  « Dans un proche avenir, sans aucun doute, la majeure partie de la planète connaîtra la paix et la démocratie. L’humanité n’a jamais été aussi proche du meilleur des mondes » ainsi que le répètent en boucle les journalistes. Plus que jamais, les médias disent ce que l’on doit penser, désignent les bons et les méchants, et la majeure partie de la population suit aveuglément, sans se poser de questions. Le narratif a remplacé la réalité, et il ne fait pas bon le mettre en doute. Pendant un court laps de temps, le Japon aussi a été réticent à rejoindre la Suprême Alliance Démocratique. Néanmoins, quelques opérations psychologiques bien menées et le dénigrement des opposants ont eu raison de ces réticences. Eurytion, la puissante intelligence artificielle de la Bill&Alvértos Fucking Corporation, qui a étendu son emprise tentaculaire sur nos vies, nous a à sa botte, mon Maître et moi. 3-141-592-654 : le numéro de notre fucking pass est anodin pour la plupart des humains, mais particulièrement intriguant pour une machine [3]. Ce numéro ne peut pas être le fruit du hasard ! C’est certainement la conclusion à laquelle a abouti l’intelligence artificielle, qui nous considère visiblement comme des VIP à traiter avec tous les égards. Celui ou celle qui a trafiqué l’attribution des numéros a eu une idée de génie. Depuis un moment, notre pass carbone est régulièrement crédité pour des motifs aussi farfelus les uns que les autres et notre solde de crédit social reste dans le vert quoi que nous fassions. L’intelligence artificielle n’est jamais à cours d’imagination pour justifier des décisions qu’elle croit nécessaires. Sur ce vol, nous avons même été surclassés, sans rien demander. Qu’il est agréable de bénéficier des mêmes égards que les journalistes et les politiciens ! Les contrôles aux frontières ont été maintenus au sein de la suprême alliance – pourquoi se priver d’un moyen de contrôle et de coercition ? Pour nous, malgré notre statut de VIP, ces contrôles aux frontières sont inutilement longs et pénibles. Une manière, certainement, de faire changer d’avis les derniers récalcitrants qui, comme nous, n’ont pas encore accepté l’implant sous-cutané. Nul doute que dans un très proche avenir ce dispositif d’identification et de traçage sera imposé par la loi, si les mesures d’incitation ne suffisent pas. L’hôtel réservé par mon Maître est situé directement dans l’aéroport. Tant mieux. Quand on vient de passer 15 heures en avion, même dans des conditions privilégiées, on n’a qu’une envie, c’est de se reposer. A peine la porte franchie, je m’empresse de me déshabiller. Je ne tiens pas à prendre une baffe ! Lit à l’occidentale, sans surprise, contrairement à la salle de bain. Les toilettes japonaises sont un must, étonnantes de sophistication, chauffées et bénéficiant de tout le nécessaire pour l’hygiène intime, avec multitude de réglages possibles. Mon Maître vient de retirer sa lourde ceinture en cuir et la tient fermement à la main. Mon cœur s’affole. Pas besoin de paroles, je sais ce qui m’attend et ce que j’ai à faire : me mettre en position, serrer les dents, et attendre les coups. Il ne fait pas semblant, il cogne dur. La ceinture, c’est presque pire que le fouet ! Les larmes doivent couler, abondamment, c’est sa doctrine.  Je fais tout mon possible pour réprimer mes cris et éviter d’affoler les clients de l’hôtel. Heureusement, les chambres semblent excellemment insonorisées. La sodomie qui s’ensuit est directe, brutale, comme à l’habitude. « C’est bon d’enculer une salope en larmes » me dit-il avec une perverse délectation ! Je déteste et pourtant une sensation de plénitude m’envahit. C’est une sorte d’orgasme psychologique. Donner du plaisir à l’homme que j’aime, même dans la souffrance et l’inconfort, c’est une sensation indescriptible. Je passe la nuit nue sur le sol, mon collier d’esclave relié à l’un des pieds du lit par une courte chaîne. Un oreiller m’est quand même accordé. Le grand confort ! Rien de nouveau. A ma place de chienne, comme à la maison, en cage ou au pied du lit ! A la maison, je suis parfois réveillée pendant la nuit, détachée et invitée à monter sur le lit, mais seulement pour être utilisée sexuellement, et je retourne à ma place immédiatement après avoir donné du plaisir. Une règle qui certainement en choquerait plus d’un, et qui pourtant prend tout son sens dans le contexte de notre relation. Le corps s’adapte et à la longue ce n’est pas si terrible. On s’adapte à tout – c’est surprenant. J’aime vivre ma sexualité ainsi – comme « vide-couilles » ainsi que mon Maître se plaît à me le rappeler. Difficile de sonder les méandres de la psychologie, difficile d’expliquer pourquoi cela me procure autant de bonheur. Cette nuit, mon Maître ne m’a pas réveillée. Il a bien dormi et moi aussi.  « Tu as bien dormi, Mademoiselle vingt sur vingt ? ». Mon Maître ne rate pas une occasion de me charrier depuis qu’il a lu l’évaluation dithyrambique rédigée par mon jeune compagnon à Bornholm. 20/20… Il n’a pas fait dans la demi-mesure quand il m’a notée. Je ne méritais certainement pas autant mais cette évaluation m’a comblée et m’a donné confiance en moi. C’est avec des pinces à seins à peine dissimulées sous mon chemisier semi-transparent que j’accompagne mon Maître dans la salle du petit déjeuner. De temps à autre, un mouvement un peu trop rapide, le glissement du tissu sur les pinces, m’arrache une grimace de douleur. Je déteste ces pinces, mais elles plaisent beaucoup à mon Maître ! Nous n’avons pas encore terminé le petit-déjeuner que je sens une atténuation soudaine de la douleur causée pas les pinces. Décidément, les zébralyvox sont de plus en plus rapides et réactifs. J’ignore comment ils se déplacent dans le corps. Est-ce qu’ils empruntent le réseau lymphatique ? Le réseau sanguin ? Peut-être que le Professeur pourra m’apporter des réponses. Est-ce qu’ils se sont reproduits ? Je n’en ai pas l’impression. J’en informe immédiatement mon Maître. J’imagine à quel point la réactivité croissante de mes symbiotes contrarie son tempérament sadique. Et pourtant, il n’en semble pas aussi affecté que je l’aurais imaginé. « La seule chose qui m’importe, c’est notre relation, la fusion du Maître et de l’esclave. Tout le reste, c’est secondaire », m’assure-t-il. Sagesse, sagesse… Ce n’est pas pour rien que je suis si fière de lui appartenir. Rejoindre le lieu de notre rendez-vous n’est pas chose facile. Le système d’adresses japonais est incompréhensible ! Merci Internet pour nous localiser et nous guider. La technologie a parfois du bon. « A l’autre bout du monde, quelqu’un est très impatient de te rencontrer » m’avait dit mon Maître avant que nous n’entreprenions ce long voyage. Quand il m’a appris de qui il s’agissait, je m’en suis sentie à la fois honorée et intriguée. Cela a aussi renforcé ma frustration. Mon Maître a visiblement beaucoup d’informations que je n’ai pas. D’où lui viennent ces informations ? Pourquoi ne les partage-t-il pas avec moi ? Pour ma sécurité, m’a-t-il dit. Ou pour me mettre à ma place ? Je suis sa chienne, après tout, pas sa compagne. Il faut que j’arrête de cogiter – cela m’entraîne dans des pensées malsaines. J’imagine que c’est compliqué pour un Maître de gérer une femelle qui réfléchit beaucoup – beaucoup trop, certainement. C’est sans doute la raison pour laquelle certains Maîtres préfèrent une soumise qui ne pense pas. Pourtant, il arrive à me gérer avec beaucoup de sagesse et d’intelligence et je suis consciente de la chance que j’ai. Ici ma jupe ultra-courte est tout-à-fait dans la norme. Beaucoup de japonaises, surtout parmi les jeunes, s’habillent à la limite de la décence. Les escalators du métro offrent une vue imprenable sur leurs culottes. Cela ne semble pas les gêner le moins du monde. Etrange, dans un pays qui est assez prude par d’autres aspects. Moi je ne porte pas de culotte, ce qui je l’imagine a dû offrir quelques points de vue intéressants à plusieurs paires d’yeux. Je m’en sens un peu gênée, mais je n’ai pas le choix : on ne discute pas les ordres du Maître. *** Le Professeur *** Tokyo est une ville surprenante, dans laquelle on passe rapidement d’avenues surpeuplées à des ruelles désertes, d’immeubles modernes à des maisons anciennes. C’est à la porte de l’une de ces maisons sans prétention que nous sonnons. Un homme âgé mais alerte nous ouvre et s’incline immédiatement devant moi, puis devant mon Maître. « C’est un grand honneur de vous rencontrer, Mademoiselle – Merci infiniment d’avoir accepté mon invitation » me dit-il dans un français presque parfait. Je suis interloquée et j’en oublie totalement de m’incliner, contrevenant à toutes les règles de politesse. N’est-ce pas à moi d’être honorée par l’invitation d’une telle sommité – fût-elle déchue –  et de m’incliner jusqu’à terre ? Le regard noir de mon Maître me rappelle à l’ordre et je m’incline à mon tour.  « Je vous en prie, Mademoiselle, appelez-moi par mon prénom » me dit-il, en réponse à mes respectueux  « Monsieur le Professeur ». Un intérieur modeste, aux murs tapissés d’œuvres d’art personnelles. Art et Sciences, des passions qui vont de pair chez certaines personnes – il en fait partie. Je ne peux m’empêcher de remarquer une représentation abstraite du pangolin fou. Il faut oser… De quoi être arrêté et exécuté si un visiteur le dénonçait à la milice. La démocratie est sans pitié pour ses ennemis. Echange de petits cadeaux, comme le veut l’usage. J’ai apporté une bouteille de chouchen, j’espère qu’il appréciera. Il nous invite à nous installer pendant qu’il prépare le thé matcha. Une tradition ici.  « Déshabille-toi ! », m’ordonne mon Maître. Je suis un peu interloquée, mais j’obéis sans poser de question. Je suppose que mon Maître sait ce qu’il fait. Sans doute que notre hôte est déjà au courant de ma condition de soumise, d’esclave sexuelle, de chienne, … Parfois je ne sais plus exactement ce que je suis. Un peu de tout cela à la fois, sans doute. Mais quelle importance ? Je sais ce que mon Maître attend de moi, et je me sens bien, épanouie, heureuse, dans cette relation. Effectivement, il ne semble pas surpris, ou en tout cas il a la gentillesse de ne pas le montrer. Moi je rougis immédiatement. Qu’est-ce que j’aimerais trouver un moyen de me débarrasser de cette réaction physiologique humiliante et incontrôlable ! Les ecchymoses sur mes fesses et mes cuisses témoignent du fait que j’ai été durement corrigée.  « Vous êtes très dévouée à votre Maître, Mademoiselle. C’est bien »  me dit-il sur un ton admiratif, ce qui me fait rougir encore plus. Je reste silencieuse, les yeux baissés, pendant que mon Maître discute avec le Professeur. Il ne m’a pas explicitement autorisée à participer à la conversation et je sais quel plaisir il éprouve à montrer que je suis bien dressée. Je meurs d’envie de poser des questions, mais satisfaire mon Maître est plus important que tout. Lorsque mon Maître m’autorise, enfin, à m’exprimer, je demande au Professeur si le retrait récent de toutes ses récompenses l’a affecté, tout en me demandant immédiatement si cette question n’est pas un peu trop brutale, trop directe. « Une médaille n’a d’autre valeur que la valeur de ceux qui vous l’attribuent ». Je crois avoir compris ce qu’il veut dire par cette phrase un peu énigmatique. Je croirais entendre mon Maître… En 2021, il fut cosignataire d’un article qui avait fortement déplu à l’époque. Cette affaire, presque oubliée, est remontée à la surface peu après l’inauguration de la Suprême Alliance Démocratique. Dans notre démocratie, toute pensée qui s’éloigne un tant soit peu de la doxa est jugée malfaisante voire dangereuse. Une tribune signée par plusieurs experts de plateaux, journalistes, et politiciens en vue, a connu un grand retentissement. Réclamant urgemment le retrait de toutes ses distinctions, elle fut relayée avec grand zèle par les médias. La conversation est rapidement écourtée. Notre hôte est monté sur piles ! Il déteste perdre du temps.  Direction l’université Kitasato [4], où un jeune homme qui semble vouer une admiration sans faille au Professeur nous fait entrer par une porte dérobée. Pas question de se faire remarquer. Ce que nous venons faire ici est tout ce qu’il y a de plus illégal. Le jeune homme nous conduit dans une salle équipée de matériel sophistiqué et s’empresse de déposer sur la porte un écriteau que je suppose être du genre « défense d’entrer – examens en cours ». Il est visiblement tendu, ce que je comprends. Il risque gros, et nous aussi. L’air gêné, il me tend une blouse et, dans un anglais hésitant, me demande avec d’infinies circonvolutions de bien vouloir me déshabiller pour les examens et d’enfiler cette blouse. Il me désigne un paravent derrière lequel je pourrai me changer en préservant ma pudeur, ce qui fait sourire mon Maître. Une fois de plus, pas besoin de paroles. Je décline poliment, je lui rends la blouse, et je me mets nue devant les trois hommes. On ne contrarie pas son Maître ! Je suis invitée à entrer dans une machine qui va, je suppose, explorer mon corps. Pour moi qui suis un peu claustrophobe, c’est stressant. Le Professeur est passionnant. Il m’explique en détails ce que l’on voit sur les appareils d’imagerie et répond à toutes mes questions. Quelle différence avec les hôpitaux Européens, dans lesquels j’ai souvent eu l’impression d’être considérée comme une idiote, incapable de comprendre quoi que ce soit ! Les zébralyvox sont très difficiles à détecter, me dit-il, mais ils vibrent en parfaite synchronisation pour mettre à jour leur représentation 3D de l’environnement, ce qui laisse une signature doppler. La difficulté est d’accorder les appareils sur la bonne fréquence pour détecter et exploiter cette signature. Les résultats ne sont pas très bons. Je n’ai toujours que deux paires de symbiotes dans le corps. Ils ne se sont pas reproduits, comme je le craignais. Tout ce que nous avons fait jusque là, tous les risques pris par Sonia, cela n’aura servi à rien. L’espèce s’éteindra en moi, ce qui me désole.  « Les membranes de leurs neurones contiennent une quantité incroyable de tubuline ! » s’exclame le Professeur en examinant les images.  « Oui, et alors ? » me dis-je en moi-même, n’osant pas poser ouvertement la question de peur de passer pour une cruche. Il est enthousiaste. Pour la première fois, il a l’occasion de recueillir foultitude de données sur cet être étrange surgi du fond des âges. J’imagine ce que cela peut représenter pour un scientifique passionné. C’est le cœur lourd que je retourne à l’hôtel en compagnie de mon Maître. Le Professeur est enthousiaste. Mais moi, ce que j’ai retenu avant tout, c’est que la reproduction a échoué. Mon Maître tente de me remonter le moral. « Ils ont survécu pendant des millénaires dans les glaces – laisse leur un peu de temps », me dit-il. « Toi aussi tu serais un peu sonnée si tu sortais de millénaires d’hibernation ». Ce soir, il me fait grâce des coups de ceinture. Il me prend même dans ses bras un court instant. Est-ce parce qu’il a senti que j’ai pris un coup au moral ? Que je me sens responsable de cet échec, même si je n’arrive pas à identifier ce que j’aurais pu faire de plus ou de mieux ? Mais pas de traitement de faveur pour autant : je passe la nuit attachée au pied du lit, là où est ma place. *** Fushimi Inari *** Nous nous levons de bonne heure pour emprunter le Shinkansen qui nous conduit à 320 km/h jusqu’à Kyoto, l’ancienne capitale impériale. Absorbée par le paysage qui défile à toute vitesse, j’en oublie une règle élémentaire. Mon Maître m’administre une petite tape sur l’intérieur de la cuisse, qui me rappelle promptement à l’ordre. « Excusez-moi, Maître » dis-je, penaude, en m’empressant d’écarter correctement les cuisses. A Kyoto, il y a quasiment un temple ou un palais à chaque coin de rue. C’est magnifique. Le Professeur nous a accompagnés et nous sert de  guide. Il tient à nous faire visiter Fushimi Inari, le sanctuaire aux dix mille Torii. Nous parcourons des kilomètres de chemin en passant sous des milliers de Torii. C’est assez impressionnant. Je laisse mon Maître et le Professeur marcher devant, les suivant à quelques mètres, comme une chienne bien dressée. Je me perds dans mes pensées. Quel bonheur de suivre l’homme que j’aime dans ce lieu magnifique ! Mon regard est soudainement attiré par deux lanternes jumelles, couvertes de mousse, qui semblent oubliées, surgies d’un lointain passé. Etonnamment, les lanternes s’allument progressivement, comme pour me souhaiter la bienvenue. Mais très vite leur éclat devient si intense qu’il est à peine soutenable, et leur lumière vire à une teinte perturbante, qui me donne le vertige. Mes souvenirs d’étudiante me reviennent à l’esprit. Je crois reconnaître le bleu jaunâtre, une couleur impossible, que le système visuel humain n’est théoriquement pas capable de percevoir ! Non pas un mélange de bleu et de jaune, qui donnerait du blanc, mais la perception simultanée des couleurs complémentaires, bleu et jaune [5]. Je ne tarde pas à éprouver une sensation similaire au mal des transports, comme dans toutes les situations dans lesquelles le cerveau reçoit des informations hautement contradictoires. Je suis pétrifiée et je me sens vraiment mal. C’est la voix de mon Maître qui me sort de mon état de transe. « Qu’est-ce que tu fabriques encore ? Je vais être obligé de te mettre la laisse ! »  « La lumière ! Elle est étrange, vous ne trouvez pas ? Est-ce que vous pouvez prendre des photos, s’il vous plaît. Moi je ne me sens pas bien. »  « Ces lanternes sont éteintes, Ysideulte. Tu délires ? » Le Professeur me confirme qu’elles sont éteintes, mais il est très intéressé par l’incident. Contrairement à mon Maître, il ne semble pas croire que j’ai pris un coup de chaud.  « どぞ、 どぞ  - Dozo, dozo ! » nous dit-il, en nous invitant à suivre un sentier dérivé, à peine visible, dont les lanternes semblent être les gardiennes. Le sentier est escarpé, difficile, et il nous précède d’un pas alerte. Malgré ses 92 ans, il tient encore une sacrée forme. Rapidement essoufflée, je m’efforce de suivre son rythme d’enfer et mon Maître semble peiner autant que moi.   Il n’y a personne sur ce chemin, alors mon Maître ne tarde pas à m’ordonner de poursuivre nue, ce qui nous fait perdre encore un peu de temps même si je m’efforce de me déshabiller à la vitesse de l’éclair.  « どぞ、 どぞ  - Dozo, dozo ! », nous répète le Professeur, nous invitant à presser le pas. Une manière polie de dire « Dépêchez-vous, bon sang ! ».  « Qu’est-ce qu’il y a de si urgent ? »  « Je ne sais pas, mais c’est sûrement important », me répond mon Maître. Après un long et pénible cheminement, nous débouchons sur une immense étendue de lotus en fleur. L’étang en est totalement recouvert. L’eau que l’on peut entrevoir entre les feuilles scintille par endroits de manière étrange, avec des éclats bleu jaunâtre similaires à la lueur des lanternes. Mes compagnons de voyage m’assurent que je suis la seule à percevoir ce scintillement.  « Je vais faire des prélèvements ! » s’exclame le Professeur, plus enthousiaste que jamais. Visiblement cela l’intéresse bien plus que ma nudité exposée à la vue de tous, ce qui d’un certain côté me vexe un peu.  Il s’aventure pieds nus dans l’eau boueuse, se faufilant entre les feuilles de lotus, et me demande de lui indiquer à quels endroits je vois des scintillements. Sur le chemin du retour, nous sommes interpelés par deux miliciens. Heureusement que je viens juste d’être autorisée à me rhabiller ! L’inscription 民主主義防衛旅団 (Minshu shugi bōei ryodan – Brigades de Défense de la Démocratie) est arborée de manière ostentatoire sur leur uniforme. Bien que je ne connaisse qu’un nombre très limité de kanjis, j’ai appris à reconnaître cette inscription honnie – histoire d’éviter les ennuis. Ils demandent au Professeur d’ouvrir son sac à dos pour un contrôle. Ils sont limite polis, ce qui tranche singulièrement avec l’attitude des japonais que nous avons croisés depuis notre arrivée. Les flacons remplis d’eau à l’aspect douteux suscitent la méfiance, mais sans conséquence. Je ne comprends pas les explications qu’il leur donne, mais visiblement ils le prennent pour un vieux fou qui transporte de l’eau boueuse. Puis ils s’intéressent à nous.  « パスを見せてください! - Pasu o misetekudasai ! »  « Contrôle du fucking pass ! » traduit le professeur. Je m’y attendais. Leurs visages deviennent blêmes dès qu’ils aperçoivent le numéro de notre fucking pass. Ils se plient en quatre et se confondent en excuses. Je m’en amuse. En Europe, très peu de personnes remarqueraient ce que ce numéro a de particulier. Ici l’éducation est différente, probablement.    Retour à Tokyo en soirée. Le Professeur déborde d’enthousiasme et examine ses flacons sous tous les angles.  « Vous devriez boire un peu de cette eau, Mademoiselle », me dit-il. Euh… C’est pas pour dire, mais malgré ces jolis scintillements, ça ressemble franchement à de l’eau croupie… Sans vouloir être impolie, je crois que je vais attendre les résultats des analyses. C’est ce que je pense, mais je m’efforce de le lui dire poliment.   à suivre   ********************* Contexte et Références    [1] Traduction d’un extrait de la page personnelle de Satoshi Ōmura  http://www.satoshi-omura.info/  [2] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).  [3] Voir l’illustration de l’article « Adorable Fucking Pass » https://www.bdsm.fr/blog/8630/Adorable-Fucking-Pass/  [4] Durant la pandémie, l'université Kitasato fût l'une des rares à oser émettre un point vue discordant, notamment à travers cet article: Morimasa Yagisawa, Patrick J. Foster, Hideaki Hanaki and Satoshi Ōmura, “Global trends in clinical studies of ivermectin in COVID-19”, The Japanese Journal of Antibiotics, Vol.74, No.1, March 2021, pp. 44-95, https://www.antibiotics.or.jp/wp-content/uploads/74-1_44-95.pdf  [5] Vincent A. Billock and Brian H. Tsou, “Seing forbidden colours”, Scientific American, February 2010, pp. 72-77     
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Par : le 27/06/23
Satyne a besoin de nouvelles robes. Enfin besoin... Sa penderie est pleine à craquer comme beaucoup de femmes. Mais là elle veut une robe cache coeur ou boutonnée pour jouer à s'exhiber plus facilement.   Comme toujours elle est nue sous sa robe pour partir à cette session de shopping-exhib, et reçoit la consigne d' obéir sans poser la moindre question.   Premier arrêt, premiers essayages, jolie robe, mais le rideau de la cabine d'essayage est bloqué, impossible de le laisser à moitié ouvert. Deuxième arrêt, beaucoup plus intéressant. Je vous décris le lieu, c'est important : le stand est ouvert sur deux côtés dont un est plus ou moins '' fermé'' par des portants de robes. Et sur l'avant deux petits portants réduisent l'ouverture. Nous pénétrons dans l'espace exigu, je remarque qu'il n'y a pas de cabine. Ma chérie a repéré deux robes parmi celles proposées par le vendeur. Elle essaie la première par dessus la sienne (je me dis qu'elle manque d'initiative, elle sera punie si elle continue comme ça). Deuxième robe j'interviens, je dis au vendeur que s'il sort, elle pourra se déshabiller dans son stand vide de client. Il s'exécute et ma petite exhibe se dénude. Elle constate que des passants la voient entre les portants sur l'avant du stand. Mais elle ne repère pas tout de suite le vendeur qui se rince l'œil en '' arrangeant '' des vêtements sur le portant latéral. Passants et vendeur se régalent de son corps nu, les passants ne remarquent peut-être pas les piercings aux tétons et aux grandes lèvres de ma salope , mais le vendeur a tout le temps nécessaire.   La robe est jolie, s'ouvre facilement, elle va la prendre. Nouveau déshabillage, pour le plus grand plaisir du vendeur.   La connaissant, ça doit énormément l'exciter d'être nue, au milieu du marché, à la vue de n'importe qui (elle a maintenant remarqué le manège du vendeur). Elle finit de se rhabiller, mais ... C'était la première fois que je l'emmenais au marché mais ce ne sera pas la dernière : nous y retournerons, surtout sur des stands sans cabine...
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Par : le 22/08/22
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ De 2012 a 2015 Ce chapitre bonus est là pour vous dévoiler quelques événements importants qui se sont déroulés durant ma relation de 3 ans avec Thomas, j'ai fait le choix de me concentrer uniquement sur mon couple dans le chapitre précédent tant il y'avait à en dire. Je vous dévoile donc dans ce chapitre des informations complémentaires sur cette époque. Je vais commencer par revenir sur le point que j'avais abordé dans le chapitre précédent, Thomas et moi, nous nous masturbions souvent côte a côte (le dimanche matin au réveil par exemple) en se racontant des histoires de culs fictives, souvent sur nos potes ... Il fantasmait sur un plan a trois avec deux filles et moi sur les clubs libertins donc souvent nous nous racontions des choses avec un invité au sein de notre scénario et cela nous excitait tous les deux ... Thomas fantasmait pas mal sur Clara, ma meilleure amie ! Elle est très jolie, n'a pas de poitrine mais a un très joli fessier, ce qui l'excitait le plus c'était ma proximité avec elle, à ses yeux elle était la candidate la plus réaliste pour son fantasme. Depuis le collège, je partage une amitié fusionnelle avec Clara et Kévin, nous avions tous les trois une complicité exceptionnelle. Comme vous le savez, j'ai sucé Kévin après un chagrin d'amour où il était inconsolable quand nous avions 14 ans en lui faisant promettre de ne jamais en parler à Clara. De l'autre coté, Clara et moi étions assez intimes pour prendre nos douches ensemble, nous embrasser en soirée complètement bourrées ou la plus inavouable des choses, nous être masturbées côte a côte un soir dans son lit ... Je lui avais raconté ma première fois sans omettre un seul détail, encore vierge, elle s'intéressait beaucoup aux descriptions des sensations que l'on ressent quand on a une queue en nous. Elle m'avait dit en rigolant "arrête tu me fais mouiller, ça me donne envie" et je l'avais taquinée sur son crush secret de l'époque en lui demandant si elle s'imaginait l'avoir en elle ? Elle m'avait alors demandé si ça me dérangeait si elle se touchait à travers sa culotte sous la couette pendant que je lui racontais de nouveau mon souvenir d'été ... Je l'avais taquinée en lui disant que c'était une coquine tout en lui donnant la permission ... C'est ainsi que nous nous sommes toutes les deux caressées côte a côte sous la couette, je ne voyais rien et elle ne voyait rien, nous faisions ça en toute pudeur la main dans nos culottes et sous le drap. Nous nous faisions toutes les deux du bien dans notre coin pendant que je revivais ma première fois et lui en donnait une nouvelle fois tous les détails, nos regards étaient au plafond la plupart du temps sauf a la fin où je l'ai regardée jouir ! Je me souviens de sa respiration qui s'accélère au fil des minutes, de certains commentaires qu'elle osait dire comme "putain j'aimerais que Micka me la mette comme ça", de certains gémissement qui nous échappe alors que nous essayions de ne pas trop nous donner en spectacle, de ses jambes qui se referment et son regard dans le mien quand je l'ai regardée jouir, de la chaleur sous la couette et mes jambes en sueur quand je reprenais mes esprits avec ma meilleure amie qui rigole de ce que je l'ai faites faire ... Clara était celle qui excitait le plus Thomas lors de nos masturbations, il adorait initier un scénario où Clara nous surprenait en plein acte et se joignait à nous ou que je lui raconte des aspects de sa vie sexuelle que je faisais fuiter auprès de mon petit ami ... Thomas aimait que je lui décrive le corps de Clara, que je lui raconte les fois où nous avions pris nos douches ensemble, que j'invente une histoire où je la savonne, la tripote, la lèche ... Je décrivais a mon mec à quoi ressemble ma meilleure pote à poil, la forme de ses seins, ses mamelons, ses tétons, sa chatte ... Je lui avouais certaines confidences de ma pote sur ce qu'elle aimait au lit, ce qu'elle avait fait avec son mec de l'époque, sur la façon dont elle avait joui quand nous nous étions caressées côte a côte ... Thomas adorait nous imaginer au lit avec Clara, me raconter comment elle et moi nous nous ferions du bien entre filles, comment nous le sucerions toutes les deux en même temps, comment il la baiserait en levrette pendant que je la lécherais d'en dessous tout en lui léchant aussi les couilles, je pouvais le faire venir facilement en lui demandant de s'imaginer Clara s'asseoir sur son visage pendant que je le chevauche par exemple ... De mon coté, j'aimais bien lui rendre la monnaie de sa pièce en ramenant parfois l'un de ses potes dans nos histoires, qu'il m'imagine en train de sucer son meilleur pote ou de me baiser avec l'un des gars avec qui il traine mais cela ne le dérangeait pas plus que ça, il fallait voir aussi comment il pouvait être obscène en imaginant un scénario avec une de ses potes où il la baiserait comme une pute alors qu'avec elle, c''était un amour ... Quand il était la queue a la main, Thomas perdait pas mal le sens des réalités et se laissait aller aux pensées les plus vicieuses, j'avoue que souvent ça m'excitait ... Je ne saurais dire combien de fois nous nous sommes touchés de cette façon, je sais juste que c'était très fréquent et que celui qui m'excitait le plus c'était Kévin, je n'ai jamais dit à Thomas que je l'avais sucé plus jeune de crainte qu'il soit jaloux pour rien après ou ne le considère comme une menace. Nous dormions souvent ensemble tous les trois avec Clara et Kévin, Thomas s'en fichait car c'était mes potes depuis des années et nous avions toujours fait ça. Entre le collège et le lycée, on a dû dormir tous les trois une bonne dizaine de fois ensemble, souvent Clara et moi nous nous endormions blotties contre Kévin, nous étions tous les trois assez friands de câlins et gestes de tendresse. Il y'a pourtant eu, une nuit où je me suis réveillée et j'ai senti la main de Kévin sur ma fesse droite, il l'avait amené l'air de rien mais ses doigts entouraient bien toute ma fesse qu'il tenait sans vraiment la tenir dans sa main. Je suis certaine que toutes les autres nuits, il n'a jamais eu de gestes déplacés alors pourquoi celle-ci ? J'étais au début un peu tétanisée et paniquée par la situation alors je ne bougeais pas en cherchant à voir s'il le faisait bien volontairement, après de longues secondes, il commença par resserrer avec beaucoup de légèreté ses doigts avant de les desserrer et marquer de nouveau plusieurs longues secondes d'arrêt avant de retenter une pression ... Je ne rêvais donc pas, mon meilleur pote était bien en train de me toucher le cul dans mon sommeil, sa main palpait ma fesse qui ressortait de mon shorty, je fis mine de bouger en dormant et me tourna sur le dos avant de me tourner de nouveau sur le coté mais cette fois, face a lui ! Il ne me toucha pas de nouveau. Le lendemain matin, je fis comme s'il ne c'était rien passé et je garda ça pour moi mais je savais maintenant que mon meilleur pote avait du désir sexuel pour moi. Les fois où Kévin était amené par Thomas ou par moi dans l'un de nos scénarios, ça m'excitait carrément plus que les autres car je savais à quoi ressemble sa queue, qu'il avait du désir pour moi et à force de me masturber en pensant a lui, j'en développais petit a petit aussi pour lui. Kévin organisa une énorme soirée chez lui pour ses 18 ans, nous passâmes tous une très belle soirée et avec Clara nous lui avions offert des cadeaux en rapport avec plusieurs de nos délires, dans la semaine qui suivit la soirée nous passâmes une fin d'après-midi tous les deux et il me fit une demande à laquelle je ne m'attendais pas. Mon meilleur pote, en couple lui aussi à l'époque me demanda si pour son anniversaire je pouvais le laisser me faire un cunnilingus ... J'étais choquée par sa requête mais il m'avoua avoir terriblement envie de moi depuis la pipe que je lui avais faites quand on avait 14 ans, il m'expliqua que j'étais la première à l'avoir sucé et que pourtant j'avais mieux sucé que sa meuf actuelle ne le suce, que j'avais vu son sexe et pas lui en retour, qu'il avait donc envie de me rendre la pareille pour qu'on soit à égalité. Je refusa catégoriquement en lui disant que j'étais en couple avec Thomas et que sa demande était très déplacée vis a vis de mon mec, sa meuf et notre amitié ! J'étais en colère, rien dans sa requête ne m'excita, je paniqua même un peu devant l'aplomb qu'il avait eu à me la formuler aussi directement. Il avoua avoir conscience d'à quel point c'était déplacé et pas correct pour nos compagnons mais qu'il crevait d'envie depuis des années de m'en parler, qu'il pensait que pour ses 18 ans, j'aurais peut-être été disposée à lui accorder cette faveur. Je lui fit alors une piqure de rappel sur pourquoi je lui avais fait cette pipe à l'époque et que je lui avais bien mentionné que ça n'arriverait plus, que c'était une erreur vis a vis de notre amitié. Un malaise était palpable, je commençais à me sentir mal et avoir envie de partir, il semblait mal vivre mon refus et regretter sa tentative, je lui dis calmement qu'il ne fallait pas que ça brise notre amitié mais que c'était impossible qu'on fasse quoi que ce soit. "Alors au pire tu te mets nue devant moi et comme ça on sera quittes" Mon sang se glace, le mec ne semble pas vouloir lâcher l'affaire ou comprendre, je ne le reconnais pas, sa perversion l'aveugle, je crois voir Thomas qui m'invente des scénarios farfelus quand il se branle et n'a plus qu'une bite dans le cerveau, sauf que là, le scénario je suis en train de le vivre et le gars ne se branle même pas mais est déjà déconnecté du monde réel ... Je me lève fébrilement et commence à partir en lui disant que je ne le reconnais pas ! Kévin se lève aussi attrape mon bras et me ramène contre lui, mon cœur s'emballe, je crie "lâche moi, tu me fais peur" mais il me prends dans ses bras, m'enlace de toutes ses forces et s'excuse immédiatement. "Je suis vraiment désolé Charlotte, j'ai complètement dépassé les bornes, je ne voulais pas te paraitre grossier ou te mettre mal à l'aise, encore moins t'effrayer, pardonne moi" il fond en larmes pendant qu'il s'excuse et me tiens dans ses bras. Je me calme, l'enlace a mon tour et prends la mesure de la situation, je vais perdre mon meilleur ami dans cette histoire si on ne se comprends pas tout de suite. "Tu m'as fait flippée à insister et me demander ça aussi brutalement mais y'a pas mort d'homme, je sais comment vous êtes les mecs. - Je suis navré, je comprendrais que tu veuilles plus m'approcher, je suis censé être ton meilleur ami et j'ai envie de toi, je te mérite pas. - C'est clair que c'est un souci mais dis pas que tu ne me mérites pas après tout ce que tu as fait pour moi, c'est parce que t'es précieux pour moi qu'il faut pas de sexe entre nous, j'aurais pas dû te faire cette pipe au collège, c'est moi qui a pas pris la mesure de mes actes à l'époque ... - Non, cette pipe est la plus belle preuve d'amitié que tu m'as faites ! - Depuis tu fantasmes sur moi et t'as l'impression qu'on est pas quittes car j'ai vu ton sexe, pire move de ma part ! - Tu penses vraiment Charlotte que je fantasme sur toi depuis que tu m'as sucé ? - Quoi ? (il me relâche, se mets devant moi et me regarde dans les yeux, je commence a bégayer) - T'as beau être ma meilleure amie, je reste un homme ! Tu étais la plus belle fille du collège, je connais pas un mec qui fantasmait pas sur ta poitrine, qui avait d'aussi gros seins que toi à ton âge ? Tu portais des décolletés car tu étais fière d'avoir de la poitrine plus tôt et plus fortement que les autres mais tous les mecs parlaient sans cesse de ta paire de seins, disaient que t'étais bonne ! Puisque j'en suis a me confesser, je me suis branlé en pensant à toi bien avant que tu me suces ! - Euuh ... là tu vois ... ça me fait un peu flipper ... - Pas à moi, je sais presque tout de ta vie sexuelle, tu m'as plusieurs fois dit que voir ton mec faire preuve de perversion ou d'obscénité t'excite, je dis pas que je vais un jour te sauter dessus, je sais me tenir mais juste, je veux plus te mentir, tu m'as toujours excité et je le confesse ! - Ouais et la nuit où tu m'as palper le cul, c'est ce que t'appelles te tenir ?" Un blanc s'installe, je l'ai dit avec un ton plein de reproches, il est mal a l'aise et a semblé vouloir nier avant de prendre conscience qu'il ne valait mieux pas, l'ambiance s'alourdit de nouveau et je n'aime vraiment pas ça, pas avec lui, c'est mon frère spirituel, mon meilleur pote ! "Je me suis réveillée ce soir-là et j'ai senti que tu me tripotais discrètement, tout ce désir que tu sembles avoir pour moi, c'est pas sain ! - Je sais mais j'y peux rien, t'es trop bonne ..." Cette phrase me fis rire, elle me fit plaisir et n'alourdissait pas davantage l'ambiance, au contraire devant mon rire et ce que je venais de prendre pour de la flatterie, nous nous relâchions de nouveau. "Je sais que je plais aux mecs, je m'habille plutôt sexy et je suis pas avare de confessions sexuelles quand on discute donc ça serait bête de ma part, de pas comprendre que je peux t'attirer surtout que c'est ma faute, je t'ai taillé ta première pipe donc forcément après t'as fantasmer sur le fait d'en avoir plus ... - Pas plus ! Je voulais juste qu'on soit quittes, que je puisse aussi voir ce que tu as vu de moi et te faire le bien que tu m'as fait ... (Ses mots me mettent dans la tête une image de lui entre mes cuisses, de moi qui jouit potentiellement grâce a lui) - Si tu n'avais pas été en couple et moi aussi, je pense que j'aurais pu comprendre et peut-être accepter pour qu'on soit en effet "quittes" mais on a des gens qui nous font confiance, je refuse de leur faire ça ... - Oui tu as raison, c'est pour ça qu'après, je t'ai juste demander de te mettre nue devant moi car je me disais que là c'était pas tromper. - Haha tu demanderas à Thomas et Laura ce qu'ils en pensent ! - Non mais ils avaient pas à le savoir et puis bon, si y'a pas de préliminaires ou de pénétration, je vois pas où on les trahis ... - J'ai bien compris que t'avais envie de défendre ton point de vue mais à part te faire fantasmer encore davantage y'a rien a y gagner et puis je considère qu'il n'y a que mon copain qui puisse voir mon corps ... - Le gars de ta première fois, c'était ton copain ? - Sois pas désagréable, il me plaisait et on flirtait depuis des jours, un amour de vacances ! - Clara c'est ta meuf ? Hahaha j'arrête mais voilà y'a des exceptions ... Juste je pensais que par amitié tu m'accorderais cette faveur pour mon anniversaire mais je comprends ton point de vue et que tu refuses ... - Ok un point pour Clara mais c'est une meuf et ma meilleure pote, y'a rien de sexuel quand on se voit nues, toi, je sais ce que tu as dans la tête, petit obsédé ! - Maintenant tu sais que je suis qu'un pervers, je me sens mal d'avoir osé te demander ça mais y'a une partie de moi qui est soulagée d'avoir eu le cran d'essayer, au moins je suis fixé ! - Vraiment désolé, sincèrement, je comprends que tu puisses avoir du désir pour moi vis a vis de notre relation et cette pipe au collège mais je peux pas faire ça vis a vis de Thomas. Tu sais que je suis pas la plus pudique ou la plus coincée sur ça et bien sûr que je comprends que tu considères que c'est pas juste que j'ai vu ta bite alors que toi t'as rien vu, j'aurais aimer répondre favorablement à ta requête d'anniversaire, je t'aurais fait ce cadeau tant je tiens à toi mais le timing vis a vis de nos couples est pas bon ... - Dans ce cas, est-ce que tu accepterais de juste me laisser voir tes seins ?" Ma première réaction fut de me dire "il retente le con" mais instantanément une seconde l'occulta "oh et puis merde, si ça lui fait plaisir" suivit d'une troisième "si ce n'est que les seins, en quoi c'est grave, il voit ma poitrine c'est pas tromper, y'a des femmes qui font du topless sur la plage" puis je pensa "et puis c'est son anniversaire" tout en me disant "ça réglera ce malaise entre nous et on sera quittes" et je prenais également conscience que ça avait fini un peu par m'exciter, son désir pour moi, sa manière de faire front et "négocier" ... "Juste les seins ? Tu promets ? - Non ! Sérieux ! Tu veux bien ? - Tu me saoules depuis tout a l'heure, si ça permets qu'on soit quittes ! - Je te crois pas, tu charries ? - C'est bien parce que c'est ton anniversaire mais ça reste entre nous ! - Merci Charlotte, merci et promis comme pour la pipe, j'en ai jamais parlé ! - Bon je te les montres et c'est bon, t'es content ? - Laisse moi me branler devant, s'il te plait ! - J'hallucine toujours plus, tu vas me demander quoi après ! - Non mais tu me les montres comme ça on est quittes et pour mon anniversaire, je peux me toucher devant, s'il te plait ! - Allez si tu veux, ça sera moins gênant que d'être toute seule a être dénudée ..." Me voilà en train de retirer mon t-shirt devant mon meilleur ami, je suis en soutif devant lui, il a les yeux rivés dessus et une bosse apparait déjà à travers son jean, je suis excitée, je sais que je mouille, j'ai peut-être commencé durant notre conversation ... Que ne ferais-je pas pour satisfaire un homme ? Comment je me suis retrouvée de paniquée a essayer de rentrer chez moi à dix minutes plus tard être en soutif devant lui et avoir envie qu'il me matte ? Je ne suis qu'une salope, je suis en couple et je vais montrer mes seins à un autre garçon a mon meilleur ami, que suis-je en tant que femme ? Ne suis-je bonne qu'à combler leurs désirs ? Pourquoi je ne peux pas dire non a quelqu'un qui me manifeste de l'intérêt et du désir ? Pourquoi est-ce que j'aime tant leur plaire ? Mon cher père, je ne peux m'empêcher de penser que c'est de ta faute ! Je dégrafe mon soutien-gorge et glisse la bretelle hors de mon épaule, j'ôte mon soutif en ressentant de la gêne, cela ne m'est pas arrivée depuis bien longtemps mais l'homme qui à les yeux rivés sur ma poitrine n'est pas n'importe qui pour moi, ça reste gênant de lui montrer cette partie de mon corps. Kévin à les yeux grands ouverts, il n'en rate pas une miette, mes seins sont dorénavant nus sous ses yeux, je n'ose plus croiser son regard et fixe alors la bosse devenue plus grosse dans son jean. Il y'a quelques secondes où je suis là, en silence et gênée, seins nus devant lui à ne plus bouger, ne pas cacher ma poitrine en luttant contre le reflexe de mettre mes bras ou ma main devant puis ma seconde nature prends le dessus, je regarde son érection contenu dans son pantalon, je sens que ça bouillonne en moi, j'aime qu'il bande en me regardant, j'ai envie de la revoir, sa queue ! " Tes seins sont encore plus beaux que je ne les avaient imaginés et en plus tu rougis en me les montrant, trop mignonne ! - On a plus 14 ans et après toutes ces années c'est gênant parce que c'est toi ... - Moi c'est encore plus bandant parce que c'est toi ! - Justement, montre moi ça et fais ce que tu as faire, qu'on en finisse ! - Hahaha à tes ordres" Il me prends la main et m'entraine sur son lit, il me fait asseoir pendant qu'il baisse son jean et son caleçon, le voici en t-shirt/chaussettes qui bande fièrement avec son sexe bien droit devant moi, mon bas du ventre s'échauffe, l'espace d'un instant, j'ai envie d'engloutir goulument son sexe sans me poser de questions ! Kévin commence alors à se décalotter et entamer de lents vas et viens, j'ai les yeux rivés sur sa queue, elle est plus longue encore qu'il y'a quatre ans, je n'ai jamais pu oublier sa longue queue et je suis certaine qu'elle est encore plus longue qu'avant ! Monsieur se rase dorénavant les boules, je me souviens de ses couilles poilues qui sont cette fois lisses comme celles d'un nouveau-né, j'ai envie de palper ses bijoux de famille, d'empoigner sa queue et le branler moi-même, qu'est-ce qui m'arrive ? Alors que je commençais à perdre la raison et vouloir devenir active, il me demanda de reculer dans le lit, j'obéis et le regarde se coucher sur le dos à coté de moi, "va devant moi et montre moi bien tes seins maintenant", j'obéis là encore, il vient de me rappeler que je dois rester passive et juste le laisser profiter de la vue, c'était le deal ... Je suis assise sur le coté gauche de son lit, au niveau de ses genoux, il est allongé sur le dos et se branle de plus en plus vite en me regardant, il me complimente régulièrement sur ma poitrine et j'aime ça, je m'en amuse petit a petit et lui les montres dorénavant sans aucune pudeur. Je suis excitée a fond, j'adore voir la tête qu'il fait quand il se branle aussi frénétiquement, il commence à transpirer et pousser de petits gémissements, il est excité a mort, je le vois et ça me fait de l'effet ! J'aime regarder à quel point il tire sur sa bite, j'ai l'impression qu'il va la casser tellement ça va vite et certaines empoignades semblent fortes, je n'ai jamais vu un homme se branler aussi ouvertement, je l'imagine déjà exploser et envoyer du sperme partout ! J'ai envie de me toucher, je sens que je suis trempée en dessous et que je n'arriverais plus à me contenir de l'après-midi, qu'il faut que je calme ma chatte, je ne cesse de contempler sa longue queue, j'ai envie de venir m'empaler dessus, je m'en veux de penser à ça et d'être à deux doigts de le faire, Thomas et Laura, que faisons nous dans votre dos ? Le branleur fou devant moi n'a plus une once de conscience non plus, il me dit qu'il n'en revient pas qu'il est en train de voir mes seins, qu'il en tant rêvée, que c'est trop bon, il me demande si je peux les rapprocher ou les écraser l'un contre ? Je croise les bras et compresse ma poitrine qui grossit pour lui faire plaisir, il lâche des "putain t'es trop bonne", je rigole, il rigole ! Je surélève ma poitrine en passant mon avant bras en dessous de mes seins, je caresse mes mamelons devant ses yeux captivés, je tire sur mes tétons et malaxe ma paire de seins, il craque et me demande s'il peut les toucher ! Je suis bien trop chaude pour opposer la moindre résistance, à cet instant, il pouvait m'arracher mon pantalon et me fourrer comme une chienne en chaleur, j'aurais crié "plus fort" ! Je me rapproche de lui et lui tends ma poitrine, il prends dans sa paume mon sein gauche et y referme sa poigne, la sensation de nos peaux qui se touchent termine d'inonder ma culotte, c'est fait, je n'ai plus aucune barrière, il peut faire ce qu'il veut de moi. Je pose ma main sur sa cuisse, j'ai envie d'aller empoigner sa queue mais je tente de me contenir "s'il me le demande, je le ferais, s'il ne dit rien, reste dans ce que tu avais convenu" je me répète ça alors qu'il pétrit de plus en plus sauvagement mon sein ... "J'en reviens pas que je tripote ma meilleure pote" me dit-il, "Tais toi, idiot" lui-dis-je en posant un doigt sur sa bouche ! Il en profite pour faire rouler mon téton entre ses doigts, voici qu'il le pince et tire dessus, je pousse mon premier gémissement alors que mon doigt est encore sur sa bouche, mon regard se perds dans le sien, il me voit telle que je suis, une salope ... Kévin change alors de sein et écrase encore plus fortement entre ses doigts mon second sein, je lui dit d'y aller doucement, il réponds par une claque sur mon mamelon, je suis surprise par cette violence soudaine, il me dit que si la nature m'a dotée d'une telle paire c'est pas pour qu'on la touche avec douceur, ses mots m'excitent, c'est vraiment mon meilleur pote que j'entends ? Il passe d'un sein a l'autre régulièrement, conscient qu'il les sollicites plus que ce n'est supportable, je commence à avoir mal aux deux et ne plus pouvoir le supporter, je l'en informe et recule. Je suis surprise qu'il n'a pas encore envoyer la sauce, il y'a la trace de ses doigts sur le haut de ma poitrine, je suis moins excitée qu'il y'a quelques minutes, je veux qu'il jouisse maintenant et qu'on revienne a la réalité ! "Il serait temps de se vider les couilles, mon cher ! - Ah, tu en as marre ? J'avoue avoir tout fait pour que ça dure, je me régale - J'ai les seins en compote, si tu pouvais finir ça serait bien ... - Laisse moi y gouter et je crache dans la minute ! - Hein ? Comment ça ? - Je veux embrasser tes seins et sucer tes tétons ! - T'as deux minutes, pas une de plus !" Il se redresse et vient prendre mes deux seins à pleine main, sa bouche passe d'un mamelon a l'autre, il lèche tout autour de mes tétons sans les toucher puis les titilles enfin de quelques coups de langues. Il reprend sa bite en main et se branle à fond de nouveau pendant qu'il aspire mes mamelons, il me fait mal mais je sens qu'il va pas tarder à venir, je pose mes mains sur ses épaules et le laisse finir ... Je me souviens encore de la sensation, sa bouche était comme une ventouse qui englobait tout mon mamelon, il aspirait si fort que j'avais l'impression qu'il voulait me faire un suçon, l'intérieur du sein s'en retrouvait tirer vers l'avant, il me suçait le nibard sans plus aucune retenue ou respect, sa tête remuait d'avant en arrière pendant qu'il me tétait mais le bruit de son poing qui claquait contre ses couilles et de sa queue visqueuse qu'on entendait bruyamment se faire décalotter en boucle m'indiquait qu'il ne tiendrait plus longtemps à ce rythme ! Voilà que je l'entends, il pousse un râle étouffé contre mon sein et le relâche enfin, je passe ma main dans ses cheveux en sueur et caresse son crâne pendant qu'il termine de se vider, l'instant est beau, il s'écroule sur le lit avec du sperme plein la main, sur sa queue et sur le bas de son t-shirt ! Je regarde sa queue crémeuse qui est encore raide, le foutre qui est dans les poils de son pubis ou qui dégouline sur ses couilles, il a vraiment une belle bite, je la trouve si virile tant elle est longue, je la nettoierais bien ... Il me jette un regard complice et contemple mes seins encore une fois, je les regarde aussi, bon dieu ce qu'ils me font mal ! Il me remercie, me dit que c'était trop bon, je lui dit que maintenant on est quittes et que ce cadeau d'anniversaire sera la dernière fois qu'on se retrouve à dépasser les bornes, il rigole et m'assure que c'est le cas, je me rhabille et lui dit que je vais rentrer chez moi, qu'on a eu notre compte d'aventures pour aujourd'hui, il s'inquiète de comment j'ai vécu la chose et que tout va bien entre nous, je le rassure. Sur le chemin du retour, les remords m'assaillent, qu'avons-nous faits ? Notre amitié, Laura mais surtout Thomas ... J'arrive chez moi, j'enlève mes vêtements, je constate encore quelques rougeurs sur mes seins, j'enlève ma culotte, elle est souillée, je touche ma vulve, elle est encore trempée ... Je m'assois sur le lit et me caresse en repensant à la queue de Kévin et ce que j'ai faillis faire ! Dans les jours qui suivirent, Thomas ne pu pas trop me toucher les seins car j'ai eu mal presqu'un mois a celui qui avait été sur-sollicité, Kévin et moi, nous rediscutèrent une ou deux fois pas plus des événements pour nous assurer que tout était cool entre nous puis nous firent comme si rien ne s'était passé par la suite. Lorsque nous nous masturbions avec Thomas et que dans nos scénarios Kévin faisait une apparition, ça m'excitait plus que les autres, j'aimais faire imaginer à Thomas qu'il se branle en nous regardant baiser mais ce qu'il ne savait pas c'est que mon imagination n'avait pas à imaginer grand-chose pour retranscrire avec réalisme son visage excité, sa longue queue qui se fait marteler, son râle de plaisir, le sperme qui coule de sa queue ... Ce chapitre bonus qui relate les masturbations que nous avions avec Thomas mais aussi la fois où je l'ai trahis plus concrètement que celle pour laquelle il m'a punie ne pouvait être ignoré. Je me suis faites sodomiser et punir par Thomas pour avoir flirter par messages avec un autre mais c'est aussi pour m'être exhiber et faites tripoter par mon meilleur pote que j'ai endurée tout ça, j'avais des choses qu'il ignorait à me faire pardonner et s'il fallait en passer par là pour absoudre mes péchés, je l'ai fait. Nos masturbations et leurs scénarios fictifs ont nourris en moi, une perverse qui aime se jouer des interdits, s'exciter sur des membres de son entourage ... Elles sont aussi mes premiers instants de plaisir en ayant une fille en tête ... Vous verrez que dans les années qu'il me reste à vous conter; ce chapitre bonus aura eu un impact sur divers aspects de ma sexualité et qu'avec Kévin, nous n'allons finalement pas en rester là ... A suivre ...
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Par : le 14/08/21
Un WE très spécial Chapitre 3 Le téléphone sonne : « Oui Madame, il est toujours là . - -Non , il n’a rien dit , et oui , il ‘est laissé faire même quand on lui a pissé dessus. . - -Mais rassurez vous , je l’ai lavé à grande eau pour que l’odeur ne vous incommode pas . -…… - A 4 Pattes ? Ce n’est pas un peu loin ? -…….. - Comme vous voulez Madame je vous l’amène tout de suite comme un gros toutou . Un employé me détache, me fait mettre à 4 pattes et m’emmène, les yeux toujours bandés, en tirant sur la laisse. Les couloirs s’enchainent,. Je sens que nous croisons des gens. Comment me regardent-ils et que pensent ils ? En grand exhibitionniste que je suis , je n’ai pas vraiment honte d’être ainsi baladé …tant que personne ne me reconnaît Après la moquette, nous arrivons sur du carrelage et aux bruits, je pense être proche de la piscine. « Voici votre chien, Madame » -a t’ Il a été très sage, -oui madame , il n’a pas dit un mot et a tout supporté ; même de se faire pisser dessus. - Encore heureux, sinon il aurait été puni. Vous voulez bien lui apporter une écuelle d’eau ? Il doit avoir soif, ce chien » Je reconnais la voix de Dame Anna et je suis tout heureux d’être maintenant à coté d’elle. Elle attrape ma laisse et me tire vers elle. Je me heurte à un bord et devine qu’elle doit être allongée sur une chaise longue. Elle me caresse la nuque et la croupe : « C’est bien mon noname , tu es un bon chien, je suis contente de toi ;-Fais le beau maintenant« Je m’agenouille et met les mains en offrande au niveau de ma poitrine. Elle enlève mon bandeau et mon museau et me fait laper l’eau que l’employé vient d’apporter. C’est moins bien que de boire au verre, mais cela fait beaucoup de bien quand même. Un chien doit se contenter de ce qu’il a . Je suis maintenant à genoux, assis sur les talons à coté de son fauteuil. les mains en position de soumission. Elle m’explique que nous sommes dans un gite libertin et que le SM est le thème du Week-end. Notre mission est de faire quelques démonstrations et d’apprendre à ceux qui le désirent ce que le SM peut leur apporter. Je devrais donc me plier à toutes leurs exigences et aux siennes aussi bien sur. Maintenant que je n’ai plus mon bandeau, et même si je dois garder les yeux baissés, j’ai remarqué qu’une croix de St André avait été dressée à un bout de la piscine, non loin de là où nous sommes. Mais avant de commencer à jouer tu vas danser pour ta Maitresse, soumis. - allez ! Debout !, Danse en te caressant devant mon fauteuil au rythme de cette musique. Mais pas touche à ton sexe ou à ta cage ! J’ai toujours ma cage qui ballote entre mes jambes et je me caresse le corps le plus langoureusement possible au rythme de la musique diffusée au bord de la piscine. Quelques morceaux plus tard elle me fait signe de m’agenouiller à coté d’elle et m’ordonne de boire, toujours dans l’écuelle bien sur. Couché sur le sol, j’ai apparemment droit à un peu de repos avant ????
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