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Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Chapitre 43 virginie est dressée voit arriver la cousine de mitsuko.
Mitsuko est ravie d’avoir une nouvelle esclave à mettre au pas. En plus celle-ci parait autrement plus résistante que Maëva. Il semble que le fouet n’a pas beaucoup de prise sur elle. En revanche elle semble sensible des seins.
Mitsuko décide donc de commencer réellement le dressage de virginie.
Elle se rend dans la pièce aménagée qu’elle a appelle la ruche.
Virginie est dans l’aquarium. Elle y est depuis son arrivée la veille et n’a été sortie que pour des besoins hygiéniques.
De temps en temps Mitsuko met quelques bouchées de nourriture dans une soucoupe et pose le tout dans l’aquarium.
Virginie à faim et soif et commence à trouver le temps long enfermée dans ce bocal dont toutes les faces sont des miroirs.
Elle ne voit rien de l’extérieur mais a bien vu lors de son arrivée dans la pièce que les personnes de l’extérieur peuvent voir l’intérieur de l’aquarium.
Elle pense qu’il s’agit de miroirs sans tain.
Elle a essayé de casser les miroirs mais ceux-ci ont l’air extrêmement solides et les mains bleues et en sang elle a cessé de taper.
D’autant plus que ce n’est pas facile avec les mains menottées dans le dos.
Mitsuko observe virginie pendant de longues minutes et décide qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.
Elle se rend à la porte de l’aquarium et l’ouvre.
virginie se rue tête la première par l’ouverture mais Mitsuko qui a anticipé ce comportement l’attend de pied ferme et l’évite facilement.
Elle a une cravache électrocutante et touche le dos de virginie qui fait un bond involontaire et se retrouve par terre.
Mitsuko en profite pour accrocher une laisse au collier de virginie et la tire sans ménagement vers la ruche.
Virginie ne peut pas se relever et se laisse dans un premier temps tirée sur le sol.
Mais le collier l’étrangle et avant qu’elle s’étouffe elle est obligée de se mettre à genou et à suivre docilement Mitsuko.
Celle-ci la fait monter sur le plateau tournant et la suspend aux agrès faits pour ça.
Les bras tendus et les jambes bloquées par une barre d’écartement arrimée au plancher du plateau virginie ne peut pas bouger.
Mitsuko lui fait une queue de cheval sur le haut de la tête et accroche la queue de cheval à une cordelette qui est tendue en hauteur empêchant virginie de baisser la tête.
Mitsuko se recule et admire son travail.
Elle est satisfaite et va chercher le matériel préparé pour la séance.
Elle a dans les mains une paire de menottes particulière.
L’espace entre les deux menottes est réglable et les ouvertures sont aussi réglables.
Virginie se demande à quoi cela peut servir.
Mitsuko ouvre les menottes et les approche de la poitrine de virginie.
Elle referme une menotte sur la base des seins de virginie.
Celle-ci ne voit rien mais sent que son sein est comprimé par la menotte.
Mitsuko fait pareil avec la deuxième menotte et se recule pour voir l’effet.
Les seins de virginie sont poussés en avant et ressemblent à des ballons.
Mitsuko s’approche et referme un peu plus les menottes.
La base des seins de virginie est fortement comprimée et elle a l’impression que quelqu’un lui a saisi la base des seins entre les mains et serre très fort.
Mitsuko referme encore d’un cran.
Les seins de virginies sont gonflés et commencent à bleuir.
C’est douloureux, elle a l’impression que ses seins vont exploser vers l’avant.
Encore un cran. Mitsuko exulte.
La base des seins d virginie est tellement serrée qu’elle pourrait en faire le tour avec ses doigts sans forcer.
Virginie crie de douleur. Un bâillon réduit ses cris à de simples gémissements.
Les mamelons sont érigés et dardent vers l’avant.
Mitsuko les pince rudement.
Les yeux de virginie roulent dans les orbites. Elle croit qu’elle va mourir.
Mitsuko relâche un peu les pincements et enfile une barre d’acier qui va d’un sein à l’autre en utilisant les piercings larges de virginie.
Les seins sont bleus violets.
Mitsuko demande à virginie tu vas m’obéir maintenant comme un bonne esclave.
Virginie la regarde furieusement et remue négativement la tête.
Mitsuko accroche une chainette au piercing du clitoris de virginie et tend au maximum la chainette entre le clitoris et la barre qui relie les seins.
Virginie est désespérée elle pense que quelque chose va céder en elle.
Elle est sur le point de défaillir.
Mitsuko s’en rend compte et petit à petit elle ôte les objets qui torturent virginie.
Celle-ci a le corps en feu.
Son sexe et ses seins sont douloureux à l’extrême et elle n’oppose aucune résistance lorsque Mitsuko la ramène dans l’aquarium.
Elle ne peut même pas tâter avec ses mains les dégâts subis par son sexe et ses seins.
Mitsuko regagne la ruche et s’installe sur le trône pour regarder virginie qui pleure ouvertement. Mitsuko a l’intention de rester là quelque temps et convoque immédiatement Maëva pour la mettre dans la cavité du trône. Tout cela l’a fortement excitée.
En attendant Maëva elle s’approche de l’aquarium et dit à voix haute. Demain on mettra deux paires de menottes.
Virginie en entendant ça est effondrée.
Elle ne verra pas Maëva entrer dans la cavité et lécher longuement le sexe d’une Mitsuko exaltée.
Le lendemain Mitsuko ouvre la porte de l’aquarium.
Virginie n’essaye pas de foncer dans le tas. Elle suit docilement Mitsuko jusqu’au plateau et elle ne tarde pas à être suspendue comme la veille.
Mitsuko montre deux paires d menottes. Virginie qui souffre encore de la veille n’en peut plus et dit pitié je n’en peux plus j’accepte tout mais plus ça.
Mitsuko sourit et bâillonne virginie.
Celle-ci est effondrée.
Mitsuko lui impose la première paire de menottes mais ne sert pas aussi fort que la veille. Puis elle met une deuxième paire qui est beaucoup plus large à côté de la première.
Les seins de virginie commencent à la faire souffrir. Ils sont enfermés comme dans un tube sur cinq ou six centimètres puis les bouts qui dépassent des tubes s’élargissent comme des champignons.
Les tétons sont turgescents et violets alors que les seins sont plutôt bleus.
Mitsuko se recule et admire son œuvre.
Elle pince les seins et les agace avec sa bouche et ses dents.
Maintenant les tétons pointent comme des crayons.
Mitsuko les orne de pinces qui sont reliées par une chainette qui possède une troisième pince qui est rapidement agrippée au sexe de virginie.
Celle-ci pleure et gémit dans son bâillon. Mitsuko referme d’un cran les menottes et virginie se tétanise.
Mitsuko demande alors à virginie. Alors tu vas m’obéir maintenant.
Virginie fait un hochement frénétique de la tête.
Tu es mon esclave. Un autre oui.
Tu feras tout ce que j’exigerais. Toujours oui .
Tu ne parleras que lorsque je te l’autoriserai, tu ramperas à mes pieds dès que tu me verras.
A chaque fois virginie hoche la tête.
Mitsuko satisfaite détache virginie.
Celle-ci n’a plus que les mains menottées dans le dos.
Dès que Mitsuko se recule virginie se couche par terre à ses pieds.
Bien dit Mitsuko on va sceller notre pacte.
Elle saisit la laisse et traine virginie qui rampe jusqu’au trône ou virginie découvre la cavité.
Une heure durant virginie lèche consciencieusement le sexe de Mitsuko.
Elle dormira quand même dans l’aquarium.
Virginie obéit maintenant comme une bonne esclave à Mitsuko.
Elle n’a qu’une envie c’est s’échapper de ce traquenard mais en attendant de trouve un moyen elle ne veut plus être torturée et joue les soumises.
Mitsuko est heureuse et contemple son cheptel chaque soir assise sur son trône.
Il y a toujours une des deux esclaves sur le plateau tournant et une dans la cavité du trône.
Son mari le rejoint souvent accroché aux espaliers.
Ce soir-là elle est en train boire un thé assise sur son trône ne se lassant pas de voir tourner Maëva qui arbore maintenant tous ses bijoux de corps et ne se lassant pas de la langue experte de virginie sous selle.
La sonnette de la maison retentie. Son mari ne peut pas aller rouvrir il est menotté au banc de cuir avec un plug dans le fondement.
Mitsuko peste mais se décide à aller voir qui peut bien la déranger.
A la porte elle aperçoit sa cousine micha qui lui dit : Je passais dans la région et j’ai décidé de te faire un petit coucou.
Mitsuko est perturbée.
Cette pimbeche insupportable l’a souvent rabaissée en public et Mitsuko lui en veut toujours.
Minaudant micha demande si Mitsuko peut héberger pour quelques jours afin qu’elle puisse visiter la région avec un point de chute.
Mitsuko réfléchit et lui dit ok je peux d’héberger ce soi mais ça va être difficile pour toute la semaine.
Micha entre dans la maison de dit t’inquiètes pas on va s’arranger. Ou est ma chambre. Mitsuko enrage et soudain a une illumination.
Viens je vais t’y emmener tu verras ça vaut le coup d’œil. Je suis sure que t’y plairas tant que tu ne voudras plus la quitter.
Et elle l’emmène jusqu’à la porte de l’aquarium.
Fermes les yeux et entre tu vas avoir une belle surprise.
Micha ferme les yeux et pénètre dans l’aquarium.
Elle sent le sable sous ses pieds et ouvre les yeux.
Mitsuko a refermé » la porte. Et elle se retrouve seule dans un réduit avec des miroirs sur tous les côtés.
Elle entend le verrou se fermer.
Mitsuko ce n’est pas marrant sort moi de là je ne vais pas passer la nuit-là.
Non répond mitsuko pas la nuit. La semaine.
Micha s’énerve et frappe autan qu’elle peut les parois de verre mais rien n’y fait elle crie hurle mais rien ne lui répond.
Mitsuko qui est repassée dans la ruche apprécie de voir micha enfin arrêter de se pavaner.
Elle actionne un bouton sur le trône et les miroirs sans tain deviennent translucides.
Micha a la surprise de voir autour d’elle.
La première chose qui la surprend est une splendide femme attachée sur un plateau qui tourne lentement sur lui-même.
Puis elle voit un homme ligoté sur un banc avec un énorme plug dans le cul.
Enfin elle voit face à elle Mitsuko assise dans un énorme trône et qui la regarde avec attention.
Tu aurais du prévenir lui dit celle-ci. Micha vocifère mais Mitsuko n’en a cure. Tu peux y aller c’est insonorisé ici.
Quand tu te calmeras je t’expliquerai ce que tu devras faire.
Micha arrête de crier et la regarde étonnée qu’est-ce que je dois faire pour sortir de là.
Déjà te déshabiller entièrement. La seule personne qui a le droit d’être vêtue ici c’est moi.
Micha la toise et dit jamais de la vie tu es folle. Mitsuko lui sourit et dit si tu veux boire ou manger il faudra te mettre à poil.
Micha la traite de folle et les miroirs sans tain redeviennent miroirs. Elle se retrouve seule dans ce bocal.
A demain chère cousine. Dit Mitsuko et elle va se coucher laissant les trois esclaves à leurs emplacements et micha pleurer doucement.
Le lendemain matin Mitsuko se réveille de bonne humeur.
Elle se rend dans la ruche ou elle libère son mari qui doit aller bosser et Maëva qu’elle laisse partir.
Virginie est toujours dans le trône.
Bonjour virginie. Aujourd’hui tu vas aller dans l’aquarium une fois que j’aurais sorti ma cousine.
Puis elle approche de l’aquarium ou micha s’est endormie sur le sable.
Mitsuko rend l’aquarium translucide et contemple micha.
Elle lui dit. Salut cousine tu as bien dormi. Micha se lève d’un coup et se rappelle ou elle est. Relâche moi je t’en supplie dit-elle.
D’abord tu te mets nue et ensuite on discute répond Mitsuko. Micha lui tourne le dos. Mitsuko remet l’aquarium en mode miroir.
Mitsuko va sortir virginie du trône et l’emmène dans la salle de bains puis au petit déjeuner. Virginie tirée par la laisse la suit docilement. Elle se laisse laver par Mitsuko et mange dans la main de cette dernière.
Puis Mitsuko la remmène dans la ruche ou elle la met à genou sur le plateau.
Voilà ma belle. On va attendre tranquillement que micha se soumette.
Midi. Mitsuko et virginie ont déjeuné.
Mitsuko met l’aquarium en mode translucide.
Micha a les yeux gonflés elle a pleuré toutes les larmes de son corps. Mais que me veux-tu enfin dit-elle.
Que tu deviennes comme ça et elle montre virginie à genou sur le plateau.
Jamais plutôt crever.
Mitsuko quitte la pièce.
Mitsuko dine avec virginie qui est à genou à ses pieds.
Elles se rendent ensuite à la ruche.
Mitsuko rend l’aquarium translucide . Micha est nue dans l’aquarium. J’ai soif et j’ai faim dit-elle.
Mitsuko jubile. Bien on je vais s’occuper de ça. Et elle disparait de la vue de micha.
Quelques instants plus tard la porte arrière s’entrouvre.
Micha bondit pour bousculer Mitsuko mais elle tombe sur Maëva qui l’étreint à bras le corps.
Avant que micha ne comprenne ce qui se passe Mitsuko lui a verrouillé une menotte à un poignet. Micha veut se débattre mais Maëva tient fermement et une deuxième menotte est verrouillée.
Micha se débat encore mais Mitsuko la fait chuter et Maëva et Mitsuko s’assoient de tout leur poids sur elle.
En quelques secondes celle-ci est menottée dans le dos et un collier muni d’une laisse lui a été mis.
Pour finir une deuxième paire de menottes est appliquée sur ses chevilles.
Elle hurle mais Maëva lui pince le nez et Mitsuko la force à engloutir un bâillon boule.
Ouf dit Mitsuko tu es une vraie tigresse. Allons te mettre sur le plateau qu’on voit si tu vaux le coup d’œil.
Micha fulmine et râle derrière son bâillon. Elle traine des pieds mais poussée par Maëva et tirée par Mitsuko elle est promptement ligotée sur le plateau tournant.
Mitsuko admire sa cousine.
Micha est mince avec une peau très blanche et des petits seins haut perchés.
Une vraie sucrerie se dit Mitsuko.
Le sexe de micha est complétement épilé. Et Mitsuko croit voir la trace d’un piercing sur chaque grande lèvre. La cousine est dévergondée pense Mitsuko.
Micha est désespérée. Elle crève de soif et de faim et est exposée nue aux regards de sa cousine perverse et d’une belle femme nue.
Mitsuko demande à micha si elle a soif celle-ci hoche la tête.
Si je t’enlève le bâillon pour te donner à boire tu ne crieras pas et d’ailleurs tu ne parleras pas du tout d’accord.
Micha hoche la tête elle a trop soif pour lutter.
Le bâillon est ôté et micha peut boire à l’aide d’une paille
Tu as faim lui dit Mitsuko micha hoche la tête.
Très bien je vais te donner à manger mais pour ça il va falloir que tu le mérites. Micha la regarde étonnée.
Mitsuko et Maëva la décrochent du plateau et l’emmènent les bras menottés dans le dos jusqu’à l’intérieur du trône.
Là elle mette micha en positon.
Pour l’occuper un gode ventousé sur le sol est bien inséré au fond de son sexe. Elle ne peut pas l’ôter.
Micha se demande ce qu’il se passe quand la porte est refermée et Mitsuko s’installe confortablement sur le trône.
Embrasse-moi bien et fais-moi bien jouir et tu pourras manger. Micha veut se reculer mais il lui est impossible de retirer sa tête du contact avec le sexe de Mitsuko. Le trône a été bien étudié.
Pendant de longues minutes micha ne fait rien. Mitsuko lui dit j’ai tout mon temps on peut y passer la nuit si tu veux.
A contre cœur micha commence à sortir la langue et lécher doucement les grandes lèvres de Mitsuko.
Tu peux faire mieux lui dit cette dernière.
Micha se met à lécher avec plus d’enthousiasme.
C’est mieux di Mitsuko. Je retrouve ma cousine qui a une si grande langue.
Mitsuko actionne la télécommande et le gode commence à vibrer tout en faisant des va et vient dans le vagin de micha.
Micha continue à lécher et bizarrement telle commence à s’échauffer aussi.
Elle redouble d’ardeur et bientôt Mitsuko halète gaillardement sous les coups de langue et de bouche de micha.
Celle-ci est maintenant complétement excitée et lèche comme une folle.
Elle ne tarde pas à se laisser aller à de puissants orgasmes.
Enfin après avoir pris du bon temps Mitsuko décide que micha a mérité un en-cas.
Elle envoi Maëva chercher de quoi manger et lorsque celle-ci revient les deux femmes nourrissent micha à la main.
Mitsuko décide de récompenser sa cousine pour son bon travail.
Elle la ligote à califourchon sur le banc et avec un gode ceinture elle prend sa cousine par derrière pendant que celle-ci à la bouche collée au sexe de Maëva qui s’est mise devant. Micha prend son pied plusieurs fois.
Micha est rompue elle a dû satisfaire deux furies enragées.
Constatant qu’elle était vierge su cul et très serrée Mitsuko n’a pas insisté de ce côté-là. Elle lui a quand même promis de lui faire le cul avec des plugs annaux progressifs.
Elle se retrouve dans l’aquarium pour la nuit avec toujours les mains menottées dans le dos.
En s’endormant elle se demande ce qui va lui arriver le lendemain. En repensant à sa journée elle s’aperçoit qu’elle a rarement été autant chauffée et cela la tracasse.
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Chapitre 42 Emmanuelle
Extraits : » … Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter. Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer… Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même. Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon. Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé. Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant. .. Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée. Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie. Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents. Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie…. »
Noémie a retrouvé la liberté mais n’est pas sortie de la galère pour autant.
Elle n’a plus de taf et les impayés de loyer de son appartement l’ont forcée à résilier le bail.
Les rares meublés de Nevers disponibles sont assez chers et elle n’a pas un dossier suffisamment solide pour postuler.
Elle est à la rue et en parle à sa meilleure amie Sidonie.
Celle-ci lui dit qu’elle ne peut pas la loger car son appartement est trop exigu mais elle lui explique qu’elle a une tante dans la ville qui a un grand appartement et qui parfois loue une chambre à une étudiante.
Noémie se raccroche à cette bouée et Sidonie promet d’intervenir auprès de sa tante pour qu’elle accepte de loger Noémie en lui laissant le temps de se refaire une santé financière.
Emmanuelle, la tante de Sidonie est touchée et accepte de recevoir Noémie pour que cette dernière plaide sa cause.
Noémie est reçue par Emmanuelle.
Tout de suite Noémie est conquise.
Emmanuelle est une femme mure mais belle comme un cœur. Grande, fine et élégante elle a un charme fou et doit certainement se faire draguer comme une ado.
Noémie hésite entre milf et couguar.
Emmanuelle trouve mignonne cette fille qui semble avoir du caractère.
Elle lui fait visiter l’appartement et montre une chambre munie d’une petite salle de bains à Noémie.
Celle-ci est enthousiaste et embrasse Emmanuelle lorsque celle-ci lui annonce qu’elle lui loue la chambre en acceptant d’être payée quand Noémie se sera refaite.
Noémie exulte et la visite se poursuit. Emmanuelle lui dit qu’elle peut aller dans tout l’appartement sauf dans sa propre chambre qui possède aussi une salle de bains ce qui fait qu’elles pourront vivre chacune leur vie.
Le soir même Noémie emménage.
Emmanuelle a préparé un repas pour deux et elles passent une excellente soirée.
Noémie se sent revivre et Emmanuelle est conquise par cette fille qui semble faire preuve d’une autorité naturelle.
Quelques jours plus tard dans la nuit Noémie se réveille avec une soif pas possible.
Elle décide de se rendre dans la cuisine pour y trouver de quoi se boire.
Lorsqu’elle retourne vers sa chambre, en passant devant la porte de la chambre d’Emmanuelle, il lui semble entendre un petit gémissement provenant de cette chambre.
Elle s’arrête et colle son oreille à la porte.
Effectivement elle n’a pas rêvé et entend bien des gémissements.
Elle s’affole et espère qu’Emmanuelle n’est pas malade ou à l’agonie.
Doucement elle ouvre la porte de la chambre.
Les gémissements sont nettement audibles.
Elle s’approche du lit d’Emmanuelle en utilisant son portable pour s’éclairer chichement.
Arrivée auprès du lit elle comprend l’origine des gémissements.
Emmanuelle est ligotée nue sur le lit.
Ses bras sont attachés ensemble à la tête du lit.
Ses jambes sont attachées écartées à chaque coin du lit et un magic wand bien attaché entre ses jambes ronronne doucement la tête collée au clitoris d’Emmanuelle.
Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter.
Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer.
Elle prend délicatement la lampe de chevet et la pose par terre avant de l’allumer.
La clarté diffuse ne semble pas avoir été remarquée par Emmanuelle qui continue à prendre son pied.
Noémie voit les clés des menottes posées sur le lit à quelques centimètres des mains d’Emmanuelle.
Elle est fortement tentée de les chaparder.
Au dernier moment elle se ravise.
Détournant à regret son regard du lit elle jette un œil au reste de la chambre.
Sur les murs il y a quelques tableaux.
Noémie s’en approche et voit qu’il s’agit de dessins magnifiques représentant Emmanuelle dans des positions de soumissions diverses.
Là elle est à genou et tend vers le l’observateur la poignée d’une laisse qui est accrochée à un collie autour de son cou, là elle est la princesse Leila esclave de horrible Jabba et d’autres dessins tous plus suggestifs les uns que les autres.
Rassurée sur la santé d’Emmanuelle Noémie quitte à regret la chambre et referme délicatement la porte. Elle mettra longtemps avant de se rendormir excitée comme une folle par ce qu’elle a pu voir.
Emmanuelle est persuadée qu’elle n’a pas rêvé et que quelqu’un pénétré dans sa chambre pendant qu’elle était bondée.
Elle sait que ça ne peut être que Noémie et est extrêmement troublée. Elle regrette presque que Noémie e n’ai pas profité de la situation.
Elle se libère et veut allumer sa lampe de chevet. Celle-ci a été légèrement déplacée et elle comprend que Noémie est bien venue dans la chambre.
Elle ne pourra plus dormir de la nuit s’imaginant esclave d’une reine sévère ayant les traits d Noémie.
Le lendemain les femmes se croisent dans la cuisine et font comme si de rien n’était. Cependant elles se jettent des regards entendus.
Noémie sort et passe sa journée à des entretiens d’embauche et la recherche de jobs.
Le soir en rentrant elle est un peu désespérée car pour l’instant rien ne se profile à l’horizon.
Emmanuelle l’attend et prépare un repas amélioré. Une bouteille de champagne trône sur la table du salon, et une bouteille de vin sur la table de la salle à manger.
Devant le regard étonné de Noémie Emmanuelle explique que ça fait une semaine qu’elles partagent la maison et qu’elles s’entendent à merveille ce qui mérite une petite soirée spéciale.
Les deux femmes font honneur au champagne et à la bouteille de vin en mangeant.
Après le repas Noémie s’excuse pour aller passer dans la salle de bains et revenir au salon pour le reste de la soirée dans une tenue plus légère.
Emmanuelle l’attend tranquillement. Noémie se douche et va pour mettre sa robe de chambre quand elle a une inspiration certainement aidée par l’absorption de champagne et de vin.
Finalement elle ne met qu’une nuisette arachnéenne sans aucun sous-vêtement laissant par transparence voir tout son corps. Elle se dit qu’elle doit bien ça à Emmanuelle qu’elle a vu nue.
Lorsqu’elle entre dans le salon elle voit du coin de l’œil une nouvelle bouteille de champagne posée sur la table basse. Mais elle voit surtout le regard ébahit d’Emmanuelle qui la fixe avec attention.
Je suis plus à l’aise comme ça dit Noémie. Tu devrais aussi te mettre plus à l’aise.
Emmanuelle ne sait pas quoi faire elle est troublée par ce tutoiement et la vue de la belle Noémie.
Noémie se rapproche d’elle et lui susurre : Je suis sure que tu serais beaucoup plus à l’aise si tu te mettais nue.
Emmanuelle est affolée et ne bouge pas comme une souris hypnotisée par un serpent.
Mets-toi nue je te l’ordonne dit Noémie en souriant.
Emmanuelle reprend ses esprits et dit : je vais me mettre à l’aise je reviens.
Et elle part d’un pas hésitant vers sa chambre.
Noémie ouvre la bouteille de champagne et sert deux coupes.
Elle s’installe dans le canapé et attend le retour d’Emmanuelle.
Celle-ci revient avec une nuisette charmante transparente qui laisse voir qu’elle ne porte pas de sous-vêtements mais un magnifique harnais en cuir noir qui épouse les contours de ses formes voluptueuses.
Ce coup-là c’est Noémie qui a un regard hébété.
Emmanuelle s’assoit aux cotés de Noémie.
Et tend sa main vers une coupe. Noémie lui bloque la main et dit tu serais mieux à genou à mes pieds.
Emmanuelle la regarde interdite.
Oui je veux te voir à mes genoux. Je suis sùre que c’est ta place.
Emmanuelle est affolée. Cette Noémie la met dans tous ses états et elle souhaite que ça continue.
Elle se met à genou face à Noémie.
Celle-ci lui caresse la tête et la fait boire directement dans sa coupe.
Puis Noémie ajoute tu devrais aller chercher des menottes, un collier et une laisse. Emmanuelle se lève et part vers sa chambre.
En passant tu enlèveras ta nuisette rajoute Noémie.
Emmanuelle revient avec les accessoires demandés.
Noémie lui menotte le bras dans le dos et lui met le collier et la laisse.
Maintenant tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta langue.
Emmanuelle la regarde interdite. Noémie tire sur la laisse et approche la tête d’Emmanuelle de son sexe.
Emmanuelle plonge bouche en avant pour sucer l’abricot qui lui tend les lèvres.
Emmanuelle et Noémie apprennent à connaitre le corps de l’autre. Tour à tour elles embrassent lèchent sucent.
Noémie a aussi la possibilité de malaxer les seins et les fesses d’Emmanuelle qui ne peut rendre la pareille.
Enfin sans s’en rendre compte elles se retrouvent dans le lit d’Emmanuelle ou elles s’endrameront tête bèche dans un bonheur partagé
Tard dans la nuit Noémie se réveille avec un peu mal au crane.
Elle se remémore soudain la soirée et voir Emmanuelle toujours menottée pelotonnée contre elle. Délicatement elle détache les menottes et recouvre Emmanuelle d’un drap.
Elle lui pose un dernier baisé sur la bouche et retourne dans sa propre chambre.
Une fois qu’elle a tourné le dos, Emmanuelle ouvre l’œil et lui envoie un baiser sans que Noémie ne le voie. Emmanuelle s’endort comblée.
Le lendemain matin les deux femmes ont un peu la tête de bois.
Elles se retrouvent dans la cuisine et ne parlent pas de la soirée précédente.
Néanmoins au moment où Noémie va quitter la maison pour une nouvelle journée à trouver du taf Emmanuelle lui souffle : Reviens-moi vite.
La journée de Noémie s’annonce radieuse.
Le soie lorsqu’elle rentre Emmanuelle est à la porte et l’accueille avec un grand sourire.
Les femmes vont dans le salon et confortablement installées sur le canapé elles se racontent leur journée.
Le repas du soir a été préparé par Emmanuelle qui a mis un petit tablier sexy pour servir.
Noémie apprécie et dit tu devrais me servir avec juste ce tablier sur toi ce serait vraiment cool.
Puis elles mangent ensembles et passent une soirée amicale devant la télévision.
Le lendemain matin lorsque Noémie se lève elle sent une bonne odeur de pain grillé et s’approche de la cuisine de bonne humeur.
Emmanuelle l’attend pour la servir.
Elle ne porte que le petit tablier.
Noémie est radieuse et dit : ça te va super bien vraiment tu es faites pour me servir comme ça. Il ne te manque que le collier de cuir.
Emmanuelle ne déjeune pas et sert Noémie qui est aux anges.
En quittant la maison au lieu d’embrasser Emmanuelle elle passe derrière elle et lui saisit les seins à pleine main. Au revoir ma belle soubrette à ce soir.
Le soir lorsqu’elle rentre Emmanuelle l’accueille elle est dans la même tenue que le matin et porte un large collier de cuir.
Noémie l’embrasse et lui dit ce soir je dine dans la salle à manger.
Emmanuelle la sert dans la salle à manger.
Noémie lui dit entre deux plats. Puisque tu ne manges pas avec moi tu devrais passer sous la table et t’occuper de moi.
Emmanuelle passe sous la table et commence goulument à prodiguer des caresses buccales à Noémie. Celle-ci ronronne de plaisir.
Elles se retrouvent dans le canapé. Noémie s’est mis nue pour être à l’aise et se faire caresser par Emmanuelle.
Noémie continue ses exigences.
Le matin quand je me lève et le soir quand je rentre j’aimerai te voir nue à genou avec juste le collier et une laisse que tu me tendras.
Ensuite je déciderais de ce qu’on fera.
D’ailleurs ce soir je crois que je vais t’attacher pour la nuit dans ton lit.
Emmanuelle est émoustillée. Elle se demande si Noémie raconte des bobards ou pas.
En fin de soirée Noémie saisit la laisse et emmène Emmanuelle dans sa chambre.
Là elle l’attache en croix sur le lit.
En fouillant dans la table de chevet d’Emmanuelle elle découvre un plug annal et un gode vibrant.
Elle bâillonne Emmanuelle et entreprend de visiter ses orifices restants. Elle constate qu’Emmanuelle mouille à l’extrême et lui insère les deux engins.
Elle met en route le gode vibrant et rapidement Emmanuelle se laisse aller à des orgasmes puissants.
Noémie tient le gode mais le laisse en place.
Elle met une sangle bien serrée qui pousse les deux engins dans le fondement d’Emmanuelle et après l’avoir bâillonnée lui souhaite une bonne nuit.
Dans la nuit elle va détacher Emmanuelle en lui précisant qu’elle ne voudrait pas se lever sans sentir la bonne odeur de café.
Les jours se suivent et petit à petit les deux femmes trouvent leurs marques.
Emmanuelle porte maintenant un harnais en cuir rouge qui lui fait un magnifique shibari bien serré sur tout le corps.
Elle passe les soirées devant la télé à genou aux pieds de sa maitresse qui l’utilise comme esclave sexuelle.
Emmanuelle kiffe cette vie. Elle a l’impression de revivre et d’avoir un but dans la vie. Plaire à Noémie et lui appartenir totalement.
Noémie est aux anges.
Elle a une bonne esclave, douée pour le sexe et qui ne lui refuse rien.
Elle pense qu’il faudrait qu’elle fasse partager sa réussite avec quelqu’un.
Pourquoi pas Sidonie sa meilleure amie qui doit toujours avoir son soumis à la maison.
C’est décidé. Elle prévient Emmanuelle qu’elle a l’intention d’inviter Sidonie et son mari à la maison.
Emmanuelle est effarée.
Elle craint de se montrer en esclave à sa nièce Sidonie.
Noémie la punit plusieurs fois et désormais Emmanuelle dort attachée au pied du lit de Noémie.
De plus Noémie l’attache à un radiateur lorsqu’elle part le matin et ne la détache qu’à son retour.
Au bout de quelques jours Emmanuelle est à bout et accepte l’idée de Noémie.
Sidonie est enchantée de venir rendre visite à sa tante.
Son compagnon n’a pas pu venir mais elle sera heureuse de voir Noémie et sa tante qui visiblement s’entendent à merveille.
Elle sonne et la porte s’ouvre sur une Noémie enchantée.
Celle-ci embrasse Sidonie et la remercie de lui avoir fait connaitre Emmanuelle.
Sidonie la remercie mais demande ou se trouve Emmanuelle.
Elle est dans le salon elle ne peut pas bouger.
Sidonie s’inquiète aussitôt.
Noémie rit : Non ne t’en fais pas elle va bien très bien même mais tu vas être étonnée en la voyant.
Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même.
Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon.
Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé.
Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant.
Tu vois dit Noémie ce qui fait tressauter Emmanuelle.
Elle ne voulait pas que tu la vois à mes pieds mais elle est trop belle pour ne pas être exposée comme ça.
Sidonie reprend son souffle et répond : Effectivement je n’imaginais pas qu’elle puisse être aussi belle nue.
Et tu vas voir c’est une soubrette parfaite.
Et Noémie enlève le masque d’Emmanuelle et lui dit : Ma chérie va nous chercher l’apéritif et vite. Et elle lui met une claque sur les fesses alors qu’Emmanuelle se dépêche de se rendre vers la cuisine.
Noémie s’assoit dans le canapé et invite Sidonie à la rejoindre.
Sidonie la regarde éberluée et lui demanda comment elle a fait.
Noémie raconte comment elle a surpris Emmanuelle en plein self bondage et dit que tout test venu naturellement.
Sur ses mots Emmanuelle qui a récupéré un peu de couleurs apporte un plateau avec des verres et des amuses gueules et le présente aux filles qui se servent
. Une fois les filles servies Emmanuelle se repositionne à genou en face de Noémie qui lui caresse la tête.
Noémie trinque avec Sidonie et fait boire Emmanuelle dan sa coupe. Elle ajoute à Sidonie en plus c’est une experte pour ce qui est du sexe. Tu pourras vérifier toi-même. Après ton verre.
Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée.
Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie.
Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents.
Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie.
Emmanuelle sert le repas et reste derrière la chaise de Noémie pendant que les filles mangent.
L’après-midi, Sidonie au moment du départ, embrasse sa tante qui lui souffle : je n’ai jamais été aussi heureuse.
Sidonie les quitte le cœur joyeux.
Ce soir-là Emmanuelle est déchainée et titille Noémie pour que celle-ci la punisse de toutes les façons possibles.
Elle est heureuse d’avoir pu se montrer sans pudeur à sa nièce qui ne l’a pas blâmée bien au contraire.
Elle finira la soirée avec quelques marques de martinet et empreintes de cordes sur tout le corps, particulièrement les seins qui ont été la cible de bondage de Noémie ce soir-là.
Elle n’ose pas demander à Noémie de l’attacher pour la nuit mais celle-ci voyant son état d’excitation ne manque pas de l’immobiliser entièrement aux pieds du lit.
Emmanuelle a du mal à trouver le sommeil à cause de l’inconfort de sa position mais aussi et surtout à cause de la journée mouvementée et kiffante qu’elle a vécue.
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Chapitre 41 : marché aux esclaves.
Extraits « … Baisse les yeux devant ta maitresse dit-elle. Virginie continue à la fixer avec fureur. Mitsuko reprend la cravache et repart pour une série de coups sur le corps déjà endolori de virginie. Celle-ci gémit dans le ballon mais de cède pas….Virginie qui n’en peut plus la toise une dernière fois puis baisse les yeux vaincue. Bien dit Mitsuko maintenant je vais t’enlever le bâillon. si tu oses parler ou crier je recommence tout à zéro. La cravache et les tortures… Enfin Frédérique se vide à grands jets sur les visages de Vanessa et d’Anna qui doivent se lécher jusqu’à la dernière goutte de sperme. Elles ont à peine finit que déjà Frédérique recommence à bander majestueusement… »
Martine est décidée. Elle veut récupérer les filles qui sont désormais la propriété de morgane et Victor.
Elle appelle morgane et lui propose de récupérer les deux garçons en échange des filles.
Morgane refuse et après discussion demande un ou une esclave en prime pour accepter le deal.
Martine est effondrée. Où va-t-elle trouver un esclave comme ça.
De plus elle veut stopper sa participation aux activités du club de dominants et risque de se heurter à Laurent si elle retire les deux filles du jeu.
Elle téléphone à Magalie pour lui exposer son problème.
Magalie décide de faire une réunion entre amies pour discuter de ça et trouver une solution.
Elle invite martine, la tigresse, Maeva et claire pour une réunion de crise.
Les filles se retrouvent chez la tigresse qui s’est proposée pour les accueillir.
Le soir de la réunion martine expose les faits et il s’avère que la priorité est de satisfaire la requête de morgane.
A la surprise de toutes Claire propose Frédérique comme prime pour l’échange.
Elle explique qu’elle commence à en avoir marre du comportement bovin de Frédérique que les pilules maintiennent dans la soumission et qu’elle veut désormais s‘en débarrassera.
Les femmes finissent par convenir que c’est une bonne solution et qu’il faudrait le donner sans pilules pour faire une surprise à morgane et Victor lorsque Frédérique récupèrera sa lucidité.
Ensuite le problème de Laurent est évoqué.
Martine raconte le parrainage et le besoin de disposer de deux esclaves pour les soirées poker.
Si elle se retire Laurent devra trouver une nouvelle partenaire et des esclaves.
Maeva intervient et explique que pour Laurent Mitsuko aurait plus sa place que martine dans le club.
Elle précise qu’elle fait office d’esclave et que Gisèle peut dépanner mais qu’un ou une esclave supplémentaire serait bienvenu pour que Maëva ne soit pas la seule à subir Mitsuko.
Elle montre ses piercings qui impressionnent les filles et raconte sa visite de la pièce BDSM de Mitsuko.
Les filles sont impressionnées. La tigresse rappelle à Magalie qu’elle peut donner Virginie qui nue est en train de servir les boissons.
Magalie voit les yeux suppliants et de martine et de Maëva.
Elle propose alors à la tigresse de donner virginie à Maëva pour que celle-ci l’offre à Mitsuko contre un traitement plus humain.
L’accord est topé et les filles se séparent un peu rassurées.
En rentrant chez elle Magalie se demande si elle ne devrait pas se séparer de Tristan qui n’a toujours pas de taf.
Maeva appelle Mitsuko avec le portable que celle-ci lui a imposé.
Mitsuko va pour se mettre en colère face à l’audace de Maeva mais quand celle-ci lui dit qu’el a un cadeau somptueux pour elle Mitsuko se calme un peu.
Maeva lui propose de livrer le cadeau chez Mitsuko et promet qu’elle ne sera pas déçue.
Mitsuko est intriguée et un rendez-vous est pris pour tard dans la soirée afin d’être discrètes. Mitsuko est de plus en plus intriguée.
Cette nuit-là Maëva arrive devant chez Mitsuko et demande s’il est possible de rentrer sa voiture dans le garage afin de décharger le cadeau à l’abri des regards.
Mitsuko sent la colère monter mais accepte et la voiture est rentrée.
Mitsuko regarde Maeva qui ouvre le coffre et sort une magnifique femme menottée dans le dos avec un masque aveuglant et un bâillon boule.
Mitsuko n’en revient pas.
C’est une esclave pour vous maitresse mais elle n’est pas dressée et n’est pas consentante du tout dit Maëva.
Mitsuko tape des mains saisit la laisse qui est accroché au cou de virginie et la traine derrière elle jusqu’à sa pièce dédiée.
Maeva veut la suivre mais Mitsuko lui montre le sol et Maëva doit ramper jusqu’à la pièce. Ça n’est pas aujourd’hui que Mitsuko va relâcher sa domination absolue.
Lorsque Maëva parvient enfin dans la pièce virginie est déjà suspendue sur le plateau tournant.
Elle a encore le bâillon mais son masque a été enlevé.
Elle est parée de tous ces bijoux de piercings et Maëva la trouve extrêmement joli en dehors des yeux furibonds qu’elle darde vers elle et vers Mitsuko.
Puis Maëva aperçoit le mari de Mitsuko attaché aux espaliers le long du mur.
Il bande comme un taureau en voyant la belle virginie tourner.
Il a un bâillon et la salive qui coule long de son corps montre qu’il est là depuis un certain temps déjà.
Mitsuko lui dit : si tu es bien obéissant tu pourras te la taper. Pour l’instant tu dois exécuter ta punition.
Puis elle se tourne vers Virginie. Bienvenue ma belle tu es mon esclave désormais et je n’admets aucun écart. Tu vas vite comprendre.
Virginie la toise du regard. Mais blanchie un peu lorsque Mitsuko se saisit d’une cravache et s’approche d’elle.
Pour commencer dit Mitsuko on va te faire de jolies marques sûr ton corps si blanc.
Et elle commence à cravacher virginie qui impuissante offre toutes les parties de son corps en tournant face à Mitsuko.
Au bout d’une vingtaine de coups le corps de Virginie est marbré de stries bleues.
Les coups ont été bien dosés car il n’y a aucune goutte de sang. Virginie pleure mais garde son air revêche.
Mitsuko est visiblement contente de son œuvre. Elle conduit Maëva dans la cachette du trône et se fait lécher le sexe par cette dernière.
Pendant ce temps virginie continue à tourner.
Maeva comprend très vite que Mitsuko est particulièrement excitée par Virginie et le traitement qu’elle vient d’affliger. Elle mouille comme jamais.
Au bout de plusieurs orgasmes Maëva sent que Mitsuko se calme un peu. Celle-ci se relève et s’approche de virginie.
Baisse les yeux devant ta maitresse dit-elle.
Virginie continue à la fixer avec fureur. Mitsuko reprend la cravache et repart pour une série de coups sur le corps déjà endolori de virginie. Celle-ci gémit dans le ballon mais ne cède pas.
Maeva qui est toujours enfermée dans le trône ne voit rien mais peut entendre les coups et les plaintes étouffées de virginie. Elle admire la résistance de virginie.
Mitsuko est en sueur et décide de changer de tactique.
Elle arrête le plateau tournant et se positionne face à virginie. Là elle entreprend de pincer les seins et le sexe de virginie qui se tortille comme une folle. Le mari de Mitsuko est en pleine excitation il bande comme jamais.
Enfin virginie fait un petit cri différent des autres. Mitsuko la regarde en face et lui dit alors tu vas baisser les yeux. Virginie qui n’en peut plus la toise une dernière fois puis baisse les yeux vaincue.
Bien dit Mitsuko maintenant je vais t’enlever le bâillon. Si tu oses parler ou crier je recommence tout à zéro. La cravache et les tortures.
Elle ôte le bâillon et virginie le visage en larme se tait.
Mitsuko la détache et la couche sur le banc qui a servi précédemment pour le mari de Mitsuko et la sangle sévèrement.
Elle va détacher l’homme qui se rue sur virginie et la pénètre avec vigueur. En quelques minutes il se répand en elle.
Il aide ensuite Mitsuko à mettre virginie dans l’aquarium ou elle passera la nuit..
Mitsuko s’approche de Maëva et la félicite pour le cadeau. Néanmoins Maëva passer le reste de la nuit suspendue sur le plateau tournant.
Martine est angoissée elle a proposé à morgane de voir le cadeau qu’elle veut lui faire en plus des deux garçons pour récupérer ana et Vanessa.
Elle se présente chez morgane avec derrière elle Frédérique qui est toujours aussi passive et obéissante.
Morgane et Victor sont immédiatement conquis par cette femme magnifique dotée d’un chibre impressionnant.
Ils se voient déjà parader lors des soirées poker du club.
Anna et Vanessa positionnées sur leur tapis commencent à espérer.
Elles sont toujours tondues et martine en est affligée.
Morgane dit à martine que le deal sera réalisé si Frédérique a une vigueur suffisante pour se faire les deux petites.
Martine connait les capacités de Frédérique et la mort dans l’âme accepte ce dernier outrage.
Les deux filles sous les ordres de morgane viennent exciter Frédérique qui répond avec ardeur.
Son chibre disproportionné est tendu comme un arc.
Il est trop gros pour que les filles lui fassent une fellation.
L’une après l’autre il les pénètre avec force et elles sont écartelées tour à tour.
Morgane pousse encore le bouchon et après avoir ordonné aux filles de retirer leurs plugs annal, elle incite Frédérique à les prendre par le cul.
Heureusement qu’elles sont préparées par le port permanent de plugs imposants car sinon Frédérique les aurait défoncées.
Enfin Frédérique se vide à grands jets sur les visages de Vanessa et d’Anna qui doivent se lécher jusqu’à la dernière goutte de sperme.
Elles ont à peine finit que déjà Frédérique recommence à bander majestueusement.
La démonstration a suffi et martine peut enfin récupérer les deux filles qui se pelotonnent contre elle.
Morgane et Victor ont des projets plein la tête pour Frédérique.
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CHAPITRE 40 : les limites de Martine
Victor contacte Laurent. Ils sont invités à participer à leur première soirée poker dans le club des dominants. C’est ce soir-là qu’ils seront présentés aux autres membres sous le parrainage de Victor et morgane.
Laurent est surexcité. Il contacte martine qui, bien que soucieuse pour Anna et Vanessa, se réjouit de cette invitation.
Au moins elle a des chances de voir les filles et pourra s’enquérir de leur sort.
Dans un premier temps ils comptent emmener les deux garçons soumis pour les accompagner.
Puis en discutant avec son ami Maurice, Laurent propose une autre solution : emmener Maeva et Gisèle comme esclaves.
Elles ne sont pas consultées car elles doivent obéir aux ordres de leurs maris mais de toute façon elles sont excitées de voir ce club même si apparemment elles risquent de servir de jouets sexuels pour beaucoup d’inconnus.
Ça ne leur déplait pas et pour Maëva c’est l’occasion d’échapper à Mitsuko qui a déjà trop abusée d’elle.
Le jour arrive enfin.
Tout excités laures et martine rejoignent Victor et morgane à l’entrée du bâtiment.
Ceux-ci les accueillent chaleureusement.
Ils ont emmenés Vanessa et Anna qui semblent fatalistes et pas aussi excitées que Maëva et Gisèle qui sont déjà émoustillées.
Ils pénètrent dans le club et Victor et morgane vont accrocher leurs deux esclaves à la barre prévue pour les soumis.
Laurent et martine doivent garder leurs soumises en laisse nues derrière eux.
Suivant Victor ils se rendent au centre de l’immense pièce près d’un ring qui interpelle martine et Laurent.
Là ils sont présentés à l’assemblée et font connaissance avec la crème des dominants. Ils ont beau avoir été briefés par morgane et Victor sur l’attitude à aborder, ils ont du mal à se sentir chez eux auprès de tous ces gens arrogants et fiers.
Néanmoins ils sont acceptés et peuvent aller mettre leurs soumises à la barre.
Puis ils sont invités à la table de poker de Victor et morgane et peuvent commencer à jouer.
Après quelques donnes ils sont rassurés et commencent à prendre du bon temps.
Ils s’aperçoivent en écoutant les conversations qu’ils sont encore de petits amateurs dans le dressage d’esclave.
Laurent ne perd pas une miette et se promet de mettre en pratique ce qu’il entend autour de lui.
Martine est plus réservée. Les petits jeux avec les filles sont bien suffisants.
D’ailleurs ses filles lui manquent.
Au moment de la pause elle veut prendre les filles mais malheureusement les deux nouvelles belles pouliches sont très demandées et elle ne pourra pas les avoir de la soirée.
Malgré tout elle croisera leur regard et y lira de la tristesse.
Maeva et Gisèle, nouvelles aussi sont prises en main souvent.
La soirée se passe.
Laurent apprécie de plus en plus et songe vraiment à progresser dans la domination.
Il se voit pavaner à égalité au milieu de tous ces dominants.
Mais dans son esprit martine disparait et est remplacée par Mitsuko qui aurait surement sa pleine place ici.
Martine de son côté est désespérée.
C’est trop pour elle et elle regrette de plus en plus amèrement d’avoir échangé les filles avec morgane. Elle se demande comment elle pourrait faire pour les récupérer.
Pendant que martine se lamente Anna et Vanessa ont été prises par un couple qui les a entrainées dans une des chambres.
Là, le couple les couche sur le grand lit tête bèche et l’une au-dessus de l’autre.
Celle du dessous sur le dos et celle du dessus sur le ventre.
Elles sont attachées avec des sangles serrées et ne semblent plus faire qu’un corps avec deux têtes et deux sexes collés.
L’homme se met à genou sur le lit et alternativement enfourne la bouche d’Anna puis le sexe de Vanessa.
Un deuxième homme fait son entrée dans la chambre et fait la même chose du côté de la bouche de Vanessa et du sexe d’Anna.
Une deuxième femme est rentrée et regarde la spectacle avec la première.
Les hommes s’ont endurants et l’assaut dure. Vanessa et ana à force d’être collées sont ruisselantes de sueur et fatiguent vite.
Enfin les hommes déchargent presqu‘en même temps dans la gorge des filles qui sont contraintes d’avaler la semence.
Les hommes les detachent et leur attachent les pieds à des chaines qui descendant du plafond. Leurs mains sont immobilisées dans le dos par des menottes.
Puis les femmes actionnent des mécanismes situés contre le mur et petit à petit les chaines sont attirées vers le haut.
Vanessa et Anna sont sur le point de tomber lorsque les deux hommes les prennent à bras le corps et les font basculer la tête en bas.
Les chaines continuent à monter et bientôt Vanessa et Anna se retrouvent pendues par les pieds au plafond.
Les femmes arrêtent le mécanisme et s’approchent des deux filles qui ont la tête à la hauteur du sexe des femmes.
Alors que Anna et vanesse imaginaient qu’elles allaient bouffer les sexes des femmes ces dernières sortent deux énormes godes de l’armoire.
Elles lèchent goulûment les sexes de Vanessa et Anna.
Celles-ci bien que gênées par la tête en bas se mettent rapidement à mouiller sous les coups de langues expertes.
Les deux godes sont insérés et quelques va et vient sont faits.
Laissant les godes en place les deux femmes Sortent des plugs vibrant de l’armoire.
Les plugs sont gros mais les filles sentent qu’elles pourront les accueillir sans mal.
Peu de temps après les plugs sont logés au fond du cul des filles et mis en action.
Parallèlement les deux godes se mettent aussi à vibrer. Les filles n’avaient pas remarqué qu’ils étaient motorisés.
Enfin les femmes rapprochent leurs sexes des bouches des filles et se font bouffer par ces dernières.
Pendant qu’elles s’activent les deux hommes qui ont récupérés enlèvent les menottes des filles et leur mettent une main sur leurs bites.
Les filles dociles entament une branlette coordonnée avec les gâteries qu’elles font aux femmes.
Après un temps qui semble infini aux filles les deux hommes bousculent les femmes et enfilent leurs chibres dans les bouches d’Anna et Vanessa qui reprennent une giclée de sperme.
Les deux couples libèrent les filles et leur promettent de les reprendre des qu’ils en auront l’occasion.
Extenuées Anna et vanesse sont remises à la barre mais quelques instants après elles sont de nouveau sollicitées par d’autres dominants.
Cette soirée-là elles ne comptent plus les passages dans les chambres et le nombre de personnes différentes qui ont bénéficiés de leur corps.
Maëva et Gisèle sont aussi prises simultanément.
D’abord par deux hommes qui les attachent à genou aux montants des baldaquins et qui les prennent par tous les orifices.
Puis par une femme immense qui se fait lécher sur tout le corps par les deux esclaves.
Enfin elles sont prises par un couple qui rivalise d’imagination pour bonder les deux femmes dans des positions plus humiliantes et difficiles à supporter les unes que les autres.
Elles finissent lessivées mais Maëva se dit que ce n’est rien à côté de ce qu’elle subit avec Mitsuko.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chap 39 : NADIA DESESPERE.
Noémie jubile elle a eu sa vengeance sur Cloé et aussi un peu sur Nadia.
Elle libère Cloé en lui rappelant qu’elle a tout filmé au cas où.
Au moment du départ Noémie incite Cloé à aller voir sous le tapis où dort habituellement Nadia. Elle ne précise pas que c’est elle qui a mis quelques épingles à cheveux sous le tapis.
Celle-ci la laisse partir libre. Noémie sait que maintenant elle et jean c’est du passé. Ça ne va pas être simple de retrouver un esclave domestique comme lui.
Cloé va voir sous le tapis de Nadia et trouve les épingles. Elle se dit que Nadia les a mises là pour tenter de forcer le cadenas de son collier. Cloé entre dans une colère froide. Elle va mater la grande black.
Nadia n comprend pas quand Cloé la menotte dans le dos et lui met un mono-gant qui lui interdit l’usage de ses mains. Puis elle lui met une cagoule aveuglante. Et fait venir jean.
Cloé dit aux deux : à partir de maintenant Nadia tu auras en permanence les bras liés dans le dos et la cagoule. Pour te nourrir, pour la toilette ou pour tout besoin impératif c’est jean qui s’en chargera. Nadia est effarée. Jean est surpris mais ne dit rien.
Cloé s’adresse à jean. Pourquoi n’est tu pas parti avec Noémie. Celui-ci lui répond qu’il se sent bien là et que ces besoins sont comblés entre la domination de Cloé et les partouzes avec ses invités.
Cloé lui demande s’il resterait s’il n’avait pas le collier. Jean lui répond par l’affirmative.
Cloé lui dit alors de façon à ce que Nadia écoute. Je t’enlève le collier et tu restes mon esclave mais tu pourras faire ce que tu veux avec Nadia sauf quand j’en aurai besoin.
Fais toi bien plaisir avec elle est n’aura pas son mot à dire.
A entendre ses mots jean est pris d’une érection qui dit long sur les idées qui le traversent.
Cloé a mis ses décisions en application.
Nadia est désormais dans le noir en permanence et elle n’a plus l’usage de ses bras et mains qui sont glissés dans un mono-gant verrouillé dans son dos.
Elle dépend totalement de Jean pour tous ses besoins et tous ses déplacements.
Il lui a mis une laisse au cou et elle le suit partout où il va.
C’est lui qui la nourrit à la main, la fait boire, lui fait sa toilette et l’emmène aux toilettes.
Elle est profondément humiliée.
Comme il a reçu l’autorisation de Cloé il en a fait aussi sa chose sexuelle.
Elle fait tout ce qu’il lui ordonne et ses appétits semblent grandis depuis qu’elle est impuissante.
Elle a l’impression de tomber folle et de n’être qu’une poupée gonflable pour un ado pervers.
Chaque matin elle se réveille avec la bite de jean dans la bouche.
La première chose qu’elle doit faire dès qu’elle entend le réveil est de mettre Jean en forme en le suçant avec application.
Il jouit rapidement et le premier repas de Nadia est une giclée de sperme.
Ensuite il la traine en laisse et va se préparer un petit déjeuner.
Il déjeune tranquillement et elle à genou à ses pieds doit garder la bouche ouverte pour qu’il y pose des aliments.
Parfois, quand il est en forme, il insère son chibre dans la bouche de Nadia qui doit le sucer jusqu’à la dernière goutte.
Il la fait boire exclusivement de l’eau et prépare le petit déjeuner de Cloé alors qu’elle est toujours à ses genoux.
Puis il met le petit déjeuner de Cloé sur un plateau et l’emmène dans la chambre de celle-ci.
Nadia le suit tirée pas la laisse comme un animal.
Après le petit déjeuner de Cloé, jean emmène Nadia dans la salle de bains ou il se lave et la lave consciencieusement.
Elle crève d’humiliation d’être traitée ainsi.
Toute la journée se passe ainsi.
Lorsque Cloé veut faire une ballade en carriole Nadia est attelée et marche toujours aveugle en suivant les ordres transmis par les rênes et le fouet.
Le soir elle a l’impression de ne jamais avoir décidé une seule chose dans sa journée.
Lorsque Cloé invite des amis, elle sert de jouet sexuel à disposition de chacun.
Elle n’a aucune idée de ceux qui la pelotent, la palpent, la sodomisent, la pénètrent, la frappent et toutes les choses qu’on peut faire sur un jouet particulièrement excitant.
Après plusieurs jours elle est à bout et se demande toujours ce qu’elle a pu faire pour que Cloé change d’attitude du jour au lendemain.
Jean kiffe sa vie. Il s’occupe des taches ménagères pour Cloé et se soumet à ses caprices, notamment lorsqu’il y a des invités, hommes comme femmes, qui savent qu’ils peuvent profiter de lui.
Mais surtout il a un jouet magnifique qui n’a aucun moyen de refuser d’obéir et qu’il peut humilier et sauter à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Il aimerait que ce temps dure toujours.
Cloé de son côté n’a toujours pas digéré le départ de Noémie qui l’a bien refaite.
En plus, plus le temps passe et plus elle se demande si c’est bien Nadia qui a détourner des épingles qu’elle aurait caché sous son tapis servant de lit.
Peut-être a telle été injuste envers Nadia qui n’a pas eu le droit de se défendre.
Mais voir cette magnifique créature dépendant totalement des autres pour survivre lui fait chaque fois monter une grosse chaleur de son bas ventre.
A elle remet à plus tard un éventuel assouplissement des conditions de vie de Nadia.
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Chapitre 38 Noémie retrouve la liberté.
Extraits : »… Ecartelée sur la croix de sait André elle reçoit une douzaine de coups de cravache pour commencer puis Noémie lui demande si elle va se comporter en bonne esclave. Cloé lui crache dessus.… Elle passera la nuit écartée aux montants du baldaquin de son grand lit dans lequel jean et Noémie se prélassent avec entre eux Nadia saucissonnée qui lèche tout ce qu’elle peut tout en étant visitée en profondeur par le chibre de jean et le gode ceinture de Noémie…. Elle lèche et fait le chien quand Noémie le demande. Elle passe ses nuits la bouche collée sur le sexe de Noémie tout en ayant une partie de la nuit le chibre de jean dans un de ses orifices libres…. Tard dans la nuit Cloé s’endort couchée sur le ventre la tête entre les cuisses de carole qui es couchée sur le dos et profite jusqu’ à l’endormissement de la bouche de Cloé. L’homme passe la nuit ligoté au pied du lit… »
Le temps s’écoule doucement. Noémie commence à enrager d’être ainsi asservie à temps complet.
Elle ne sait pas comment se débarrasser de ce collier qui lui ôte tout espoir.
En plus elle ne peut pas compter sur jean qui a l’air de kiffer sa position d’esclave.
Elle a bien étudié le mécanisme du collier et le seul moyen est de trouver la clé du minuscule cadenas qui le verrouille ou de faire sauter le cadenas.
Un jour elle reprend espoir. Ce jour-là Cloé a décidé de se promener avec la carriole. C’est jean qui sera attelé.
Noémie aide Cloé à le harnacher.
Il est sanglé complétement et arbore une clochette accrochée au bout de son gland.
Il bande comme un taureau.
La mixture que lui a fait ingérer Cloé pour l’occasion fonctionne bien.
Cloé prend le fouet et dit à Noémie de l’attendre ici.
Noémie obtempère mais Cloé n’a pas réduit la zone d’évolution de Noémie qui s’aperçoit qu’elle peut se promener sur quelques mètres à l’intérieur de la remise.
Elle farfouille et trouve un coupe boulon rouillé sous un tas de bricoles.
Le cœur battant elle prend le coupe boulon et va le dissimuler dans la zone où elle est habituellement consignée lorsque Cloé fait de la carriole.
Elle ne pense pas que Cloé refera l’erreur et n’a pas assez préparé son coup pour tenter de fuir maintenant.
Cloé revient de sa ballade. Jean toujours le sexe brandit et tintinnabulant en permanence est en sueur mais parait ravi.
Noémie le dételle et ils suivent Cloé pour retourner vers la maison.
Trois jours plus tard une chance se présente pour Noémie.
Cloé a décidé que Nadia serait attelée à la carriole.
Noémie les accompagne et aide Cloé à harnacher Nadia.
Cloé, qui semble avoir un compte à régler avec Nadia, utilise le fouet plus que de besoin de Nadia doit trotter dès le départ.
Noémie pense que la séance va durer et dès que les filles sont hors de vue elle récupère le coupe boulon et tente de couper le cadenas de son collier.
Après quelques secondes le cadenas est coupé et Noémie pour la première fois depuis des semaines est libérée de ce carcan.
Elle se dirige rapidement vers la maison et retrouve jean qui est enfermé dans la cage en attendant le retour des filles.
Elle fait sauter le cadenas de la cage et celui du collier de jean.
Ils s’habillent comme ils peuvent et pensent à s’enfuir de la maison.
Mais Noémie réfléchit. Finalement ils se cachent au sous-sol en laissant un maximum d’indices laissant à penser qu’ils ont quittés la propriété.
Cloé a passé ses nerfs sur Nadia.
Celle-ci est zébrée de traces de coup de fouet et ruisselle de sueur.
Elle ne peut retenir ses larmes et regrette amèrement d’avoir tenté de prendre le dessus sur Cloé qu’elle prenait pour une faible.
Nadia ne voit pas l’avenir sous de bons augures.
Quand elles arrivent à l’endroit où devrait se trouver Noémie elles ont la surprise de voir qu’elle n’est plus là.
A sa place il y a le collier par terre.
Cloé entre dans une rage folle. Elle fouette Nadia pour qu’elle la tire jusqu’à la maison. Nadia court comme une folle.
Arrivée à la maison Cloé saute de la carriole et court jusqu’à la cage.
Jean n’est plus là.
La porte donnant vers la sortie de la propriété est ouverte et sans aucun doute le couple s’est enfuit. Cloé enrage.
Elle dételle Nadia sans dire un mot et conduit cette dernière sur la croix de saint André. Ou elle l’attache fermement. Nadia se tait et espère que Cloé finira par se calmer.
A sous-sol Noémie réfléchit à un plan pour se sortir de là.
Elle guette les bruits à l’étage.
Dans la soirée Cloé qui s’est un peu calmée détache Nadia et la fait mettre à genou avec les mains menottées dans le dos.
Cloé s’assoit sur le canapé et Nadia cherchant à lui plaire vient lécher son entrejambe.
Nadia y et tout son talent car elle sait que Cloé pourrait rentrer dans une rage folle à n’importe quel moment.
Cloé commence rapidement à haleter et Nadia redouble d’effort.
Ni l’une ni l‘autre ne voit Noémie et jean munis d’un grand sac enfourner la tête puis le haut du corps de Cloé dans le sac.
Celle-ci se débat mais les bras déjà entourés par le sac ne peuvent empêcher la corde munie d’un nœud coulant l’enserrer et l’immobiliser complétement.
Quelques minutes plus tard elle est entièrement ficelée, la tête toujours à l’intérieur du sac.
Enfin elle est poussée dans la cage par Noémie et jean. Nadia n’a pas bougé. Elle espère qu’elle va être libérée par le couple.
Un coup de cravache donné par Noémie modère son enthousiasme.
A nous de profiter dit Noémie.
Ce soir-là Nadia devient la soubrette du couple.
Elle fait le repas et vient s’agenouiller devant jean qui se fait enfin sucer par Nadia.
Noémie, elle se charge de mater Cloé qui est toujours en colère.
Ecartelée sur la croix de sait André elle reçoit une douzaine de coups de cravache pour commencer puis Noémie lui demande si elle va se comporter en bonne esclave.
Cloé lui crache dessus.
Nouvelle série de dix coups de cravache.
Cloé pleure trépigne mais ne cède pas.
Noémie lui insère un plug énorme dans le cul et relance une série de dix coups de cravache.
Cloé crie, hurle, pleure de dépit mais ne cède pas.
Elle passera la nuit écartée aux montants du baldaquin de son grand lit dans lequel jean et Noémie se prélassent avec entre eux Nadia saucissonnée qui lèche tout ce qu’elle peut tout en étant visitée en profondeur par le chibre de jean et le gode ceinture de Noémie.
Pour finir Noémie met une cagoule à Cloé.
Au-dessus de la cagoule il y a un anneau que Noémie accroche avec un cordon au haut du baldaquin pour empêcher Cloé de baisser la tête.
Celle-ci passe la nuit écartelée et ne peut pas dormir.
Lorsque le jour se lève jean accompagne Nadia qui doit préparer le petit déjeuner.
Cloé reçoit quelques coups de cravache et Noémie lui demande si elle a changé d’avis. Cloé gémit main secoue la tête négativement.
Très bien lui dit Noémie. On va voir ce que tu donnes avec la carriole.
Noémie va chercher son ancien collier et le met autour du cou de Cloé.
Elle y accroche un nouveau cadenas. Tu sais comment ça marche. Pas besoin de t’expliquer. Cloé la regarde férocement mais n’ose plus crier.
Noémie la décroche et l’emmène au bout d’une laisse. Cloé traine les pieds mais menottées dans le dos elle suit Noémie en silence.
Noémie harnache Cloé en serrant bien les sangles.
Une idée lui vient. Tu es cool comme ça. Je pense que ça fera beaucoup plaisir à tes amis de se faire promener par la petite jument Cloé.
Cloé la regarde horrifiée.
Noémie sourit. Ah oui je ne te l’ai pas dit mais tu as invités six personnes samedi pour passer tout le weekend. Et tu leur as promis des surprises bandantes. J’espère que tu seras à la hauteur. Cloé est désespérée.
Noémie rajoute et puis tu as déjà lancé d’autres invitations pour les weekends suivants.
Elle se laisse harnacher et avec l’aide de quelques coups de fouets elle se laisse driver par une Noémie triomphante.
Le reste de la semaine est génial pour Noémie.
Cloé a cesser de se rebeller et accepte petit à petit son sort.
Elle est totalement déstabilisée par le weekend qui arrive.
Elle lèche et fait le chien quand Noémie le demande.
Elle passe ses nuits la bouche collée sur le sexe de Noémie tout en ayant une partie de la nuit le chibre de jean dans un de ses orifices libres.
Ses journées sont passées dans la cage avec quelques interludes sexuels et une promenade quotidienne avec la carriole.
Le samedi tant redouté arrive. Elle est blanche quand Noémie lui annonce les noms des invités.
Jean ne partage pas l’enthousiasme de Noémie. Finalement ça lui plaisait de faire le bon petit esclave qui se faisait enfourné lors des visites d’amis de Cloé.
Il en parle à demi-mots à Cloé.
Celle-ci prend les choses en main et quand les invités arrivent ils ont le plaisir de voir trois corps nus promis à de belles aventures sexuelles.
Une femme noire magnifique avec un harnais rouge en cuir mettant en valeur ses formes voluptueuses.
Elle est à genou dans le salon à coté d’un homme harnaché de la même façon dans un harnais noir et une femme aussi harnachée et muni d’une cagoule qui lui cache le visage et ne laisse apparaitre que la bouche et le nez.
Elle est plongée dans le noir.
C’est Noémie qui les accueille en leur souhaitant la bienvenue de la part de Cloé.
Les trois couples sont un peu étonnés de ne pas voir Cloé mais leurs préoccupations vont surtout vers le trio appétissant qui semble les inviter au sexe débridé.
Les deux esclaves voyants préparent et servent le repas.
Puis après le repas Noémie propose aux couples de faire une sieste, chaque couple dans une chambre avec un esclave tiré au sort.
Cloé est tirée par un couple qu’elle connait sans plus.
L’homme est particulièrement excité et désireux de profiter de ce corps vulnérable.
Connaissant un peu la maison il recupère du materiel de bondage et Cloé se retrouve rapidement en position de grenouille renversée qui met en avant et à la disposition de tous son sexe et son cul.
L’homme l’embroche sans ménagement alors que la femme s’assoit sur la bouche de Cloé qui après deux claques sonores qui l’encouragent se met à la brouter avec application.
L’homme se retire juste avant t’éjaculer et décide de varier les positions.
Cloé est déliée, mise à quatre pattes au sol et doit jouer le petit chien ou plutôt la levrette car il l’a prend dans cette position par ses deux orifices proches.
Sa bouche est toujours monopolisée par le sexe mouillé de la femme.
L’homme lui malaxe férocement les seins qui deviennent très douloureux enfin il se retire brusquement et vient fourrer sa bite dans la bouche de Cloé ou il éjacule presqu’aussitôt la forçant à bien avaler tout le sperme.
A sa grande surprise Cloé mouille comme une folle.
Le fait d’être dans le noir et constamment surprise sexuellement l’excite de plus en plus.
Les trois couples se retrouvent dans le salon à l’heure indiquée par Noémie qui leur propose de s’initier à la conduite d’une carriole tirée par une pouliche.
Ils sont intéressés et suivent Noémie qui tire Cloé par la laisse.
Ils l’aident à atteler Cloé à la carriole et écoutent bien les consignes pour guider la petite jument.
Suivant les ordres de Noémie le guidage est accompagné de coups de fouet pour bien que la jument comprenne.
Un à un les invités s’initient au maniement de la carriole et n’hésitent pas à utiliser le fouet pour mettre Cloé dans le droit chemin.
Cloé doit avancer à l’aveugle et bien comprendre les tensions données aux rênes pour la faire tourner ou avancer. Ça finit par l’exciter prodigieusement.
L’après-midi est bien avancée quand Noémie décide d’arrêter les promenades.
Cloé est extenuée. Noémie propose d’aller la doucher avec la douche extérieure de la piscine.
Il fait relativement frais et la douche est glacée.
Cloé claque des dents quand Noémie estime que la petite pouliche est assez propre. Et remmène tout le monde à la maison.
Après le repas du soir Noémie propose une partie de poker.
Pendant qu’ils jouent, les trois esclaves à genou passent sous les tables et prodiguent des encouragements buccaux aux hommes comme aux femmes.
A la fin de la soirée les invités se partagent les esclaves pour la nuit.
Cloé est horrifiée de voir que c’est carole, sa meilleure amie, qui la récupère pour la nuit.
Alors qu’elle pensait à une nuit comparable à la sieste de l’après-midi elle a la surprise de voir son amie prendre les choses en main dès que la porte de la chambre est fermée.
Elle dit à son cavalier.
A poil et à genou tu n’as pas mérité cette petite salope
. L’homme ne dit rien mais se déshabille et se met à genou.
Carole prend des menottes dans l’armoire et un masque aveuglant.
Elle le menotte et lui met le masque.
Puis elle se retourne vers Cloé et dit. J‘espère que tu aimes bouffer de la chatte car tu vas être servie.
Elle couche Cloé sur le dos et la chevauche aussitôt.
Cloé est contrainte de brouter le sexe de sa meilleure copine.
Carole est insatiable.
Dans son coin l’homme bande comme un fou.
Carole a besoin de reprendre son souffle.
Elle donne l’ordre à Cloé d’aller sucer la bite turgescente. Cloé suce pendant quelques minutes et l’homme explose à longs jets de sperme. Elle avale tout avec difficultés.
Puis carole la repositionne et reprend sa cavalcade.
Tard dans la nuit Cloé s’endort couchée sur le ventre la tête entre les cuisses de carole qui es couchée sur le dos et profite jusqu’ à l’endormissement de la bouche de Cloé.
L’homme passe la nuit ligoté au pied du lit.
Le lendemain après le petit déjeuner servi par les trois esclaves les couples racontent leurs exploits. Carole ment effrontément pour ne pas dévaloriser son jules.
Noémie s’approche de Cloé et lui dit : Je compte leur faire une dernière surprise en leur montrant qui est cachée derrière cette cagoule.
Cloé qui était bien contente d’être restée incognito est effarée.
Noémie lui dit alors. Je ne le fait pas si on peut négocier un cessez le feu entre nous. Je te demande juste de me laisser libre et je te laisse Nadia et jean.
Cloé réfléchit à toute vitesse. Finalement elle ne s’en sortira pas si mal. Elle opine du chef.
Les invités, comblés, quittent la maison.
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Chapitre 37 MITSUKO maitresse infernale.
Extraits »… Plus tard elles ressortent du salon. Enchantée pour Mitsuko et effondrée pour Maeva qui est endolorie de partout. Elle ne compte plus les piercings. … Un plateau tournant trône au milieu de la pièce. Sur ce plateau qui fait environ un mètre de diamètre est installé un portique permettant d’attacher son esclave debout les bras tendus vers le haut et les jambes écartées. ….Là elle voit un orifice dans le siège du trône. L’orifice correspond à l’ovale d’un visage. Mitsuko referme le trône et Maeva, bloquée dans la cavité voit l’utilité du système. Le sexe et le cul de Mitsuko sont situés pile sur l’ovale et sur l’injonction de cette dernière, Maëva doit inscrire son visage dans l’ovale. »
Maeva ne quitte pas le téléphone que lui a donné Mitsuko. Elle a trop peur de cette dernière qui semble en plus avoir les faveurs de Laurent. Maëva ne peut pas compter sur lui pour empêcher Mitsuko de la martyriser.
Ce jour-là elle est seule à la maison quand un sms s’affiche sur le téléphone
Dans le sms il n’y a qu’une adresse et le mot Maintenant.
Angoissé elle s’habille en vitesse et prend sa voiture pour se rendre à l’adresse. Elle panique.
Arrivée elle se présente à la porte et sonne. La porte s’ouvre.
Mitsuko la fait rentrer ferme la porte et regarde Maëva celle-ci se prosterne immédiatement aux pieds de Mitsuko.
Bien esclave met toi nue maintenant.
Maëva se déshabille et Mitsuko lui montre un harnais de bondage. Mets ça
Maeva enfile le harnais. Mitsuko sert les sangles et Maëva se recouche aux pieds de Mitsuko
Celle-ci se dirige vers une porte et Maëva la suit en rampant Mitsuko ouvre la porte qui donne sur un salon. Maëva la suit et s’aperçoit que plusieurs femmes sont installées dans le salon
Voilà leur dit Mitsuko je vous présente mon esclave absolue.
Maeva ne sait plus où se mettre les femmes se lèvent et entourent Maëva.
Joli choix dit l’une. Elle est belle dit une autre. On peut toucher dit une troisième. Bien sûr dit Mitsuko : Maëva debout !
Maeva se lève et garde la tête baissée. Elle est pelotée par plusieurs mains. La conversation continue. Elle est douce et bien nantie. Ses seins sont magnifiques. Que sait-elle faire ? Tout répond Mitsuko. Il suffit que je donne l’ordre.
Maeva lèche moi les pieds. Maeva se couche et lèche les pieds de Mitsuko. Au niveau sexe elle est très efficace dit Mitsuko.
Elle ajoute : Maeva lève-toi et met tes mains sur la tête et cambre-toi qu’on voit ta belle poitrine. Maëva obéit.
Dit leur que tu es ma chose.
Maeva parle ; je suis votre chose maitresse Mitsuko. Elle rajoute ; je suis votre esclave votre propriété votre soumise et je me prosterne devant vous. Je vous appartiens corps et âme.
En disant cela Maeva sent qu’elle le vit pleinement et est excitée à mort.
Elle a envie que Mitsuko abuse d’elle et la fasse jouir comme une folle.
Les femmes sont impressionnées et l’une d’entre elle met la main dans l’entrejambe de Maëva dit : elle le pense vraiment elle mouille comme une fontaine.
Le regard de Mitsuko devient trouble.
Elle regrette que ce moment ne soit pas plus intime. Elle culbuterait bien Maëva sur place mais doit se contenir.
Elle veut reprendre la situation en main et remmène les invités vers le salon où elle fait mettre Maëva couchée à ces pieds.
Le reste de la réception est une épreuve pour Mitsuko qui n’a plus envie d’exhiber son esclave mais qui voudrais être seule avec elle.
Néanmoins elle les laisse déborder d’imagination pour créer des shibari sur Maëva.
elle est encordée comme un saucisson et ses seins sont bleuis par les tours de cordes qui les enserrent et les font projeter en avant.
Enfin les femmes prennent congé.
Maeva est toujours aux pieds de Mitsuko.
Celle-ci lui dit répètes moi ce que tu as dit tout à l’heure.
Maëva répète avec enthousiasme ses paroles de soumission.
Mitsuko n’en revient pas et pince les seins de Maëva qui ne recule pas.
Mitsuko est perplexe. Maeva la rend folle. Avoir cette magnifique créature à ses pieds lui donne le vertige. Elle décide d’aller plus loin.
Elle libéré Maëva et lui réitère l’ordre de ne pas quitter son téléphone.
Quelques jours plus tard Maëva reçoit un sms. Une adresse et le mot Maintenant.
Elle se précipite et l’adresse correspond à l’échoppe d’un institut ou sont réalisés des tatouages et piercings. Elle est affolée. Qu’a pu encore inventer Mitsuko.
Celle-ci l’attend et la fait entrer dans le bâtiment ou un homme les prend en charge immédiatement et le emmène dans un petit salon isolé.
Là Mitsuko prend les choses en main et Maeva ne peut que subir.
Plus tard elles ressortent du salon. Enchantée pour Mitsuko et effondrée pour Maeva qui est endolorie de partout.
Elle ne compte plus les piercings.
Deux sur la langue dont un presqu’à l’extrémité de celle-ci. Deux sur les seins, six sur les grandes lèvres, un sur le clitoris et un sur le nombril. Deux orifices supplémentaires ont été rajoutés aux lobes de ses oreilles.
Et enfin trois piercings ont été faits de chaque côté de son pubis verticalement à environ deux centimètres d’intervalle.
Mitsuko exulte et lui promet de l’enjoliver lors de leurs futures rencontres.
Laurent et Mitsuko laissent tranquille Maëva pendant quelques temps.
Ceci n’empêche pas Mitsuko d’envoyer des messages à Maëva.
Les messages sont souvent accompagnés de croquis ou photos de femmes très pierrées bondées à l’extrême. Elle comprend l’utilité des piercings du pubis en voyant des chainettes relier des piercings identiques reconstituant le triangle du pubis mais en métal au lieu de toison pubienne.
Maeva se demande ce qu’elle va devenir lorsque ses piercings seront stabilisés.
Mitsuko a transformée une pièce de sa maison pour y exposer son esclave.
Elle convoque Maëva pour les premiers essais.
Celle-ci arrive aussitôt effrayée par avance des sévices que lui fera subir Mitsuko.
Mitsuko entre dans la pièce suivie de Maëva qui, comme elle en a le devoir, rampe aux pieds de sa maitresse.
Un plateau tournant trône au milieu de la pièce.
Sur ce plateau qui fait environ un mètre de diamètre est installé un portique permettant d’attacher son esclave debout les bras tendus vers le haut et les jambes écartées.
Elle y installe Maëva.
Celle-ci ne proteste pas, heureuse que ça ne soit pas douloureux.
Une fois Maëva en place, Mitsuko va s’assoir sur un fauteuil qui ressemble à un trône de reine et appuie sur le bouton qui met en route le plateau. Maeva se met alors à tourner doucement sur elle-même.
Mitsuko est enchantée. Elle peut voir son esclave sous tous les angles et s’imagine celle-ci couverte de bijoux de piercing plus beaux et plus gros les uns que les autres.
Mais pour le moment les piercings sont trop récents pour cela.
Il faudra d’abord qu’ils cicatrisent correctement et qu’ils atteignent les diamètres voulus par Mitsuko.
Bien entendu le plateau peut servir à exposer l’esclave dans toutes les positions souhaitées par Mitsuko.
Sur le mur opposé au fauteuil un grand aquarium est posé sur un socle.
Il fait près de deux mètres de long sur un mètre de large et le fond est tapissé de sable blond.
Les vitres vont jusqu’au plafond et l’accès à l’intérieur se fait par une porte dérobée située à l’arrière de l’aquarium et donnant sur une autre pièce.
Mitsuko détache Maëva et la fait pénétrer dans l’aquarium.
Elle revient s’assoir sur son trône et peut admirer l’occupante de l’aquarium qui semble perdue la dedans.
Sur les murs il y a des espaliers et d’autres meubles dont l’utilisation n’est pas toujours aisée à comprendre pour les non-initiés.
En alternance avec ses meubles des grands cadres destinés à recevoir des photos semblent attendre d’être ornés des futures photos de Maëva dans les positions de soumission les plus bandantes.
Après quelques minutes Maëva est sortie de l’aquarium.
Mitsuko l’emmène alors prêt du trône.
Elle actionne un petit levier et l’avant du trône s’ouvre laissant apparaitre une cavité sous l’assise de ce dernier.
Elle pousse Maëva dans la cavité ou cette dernière doit se tenir à genou la tête arquée vers le haut.
Là elle voit un orifice dans le siège du trône. L’orifice correspond à l’ovale d’un visage.
Mitsuko referme le trône et Maeva, bloquée dans la cavité voit l’utilité du système.
Le sexe et le cul de Mitsuko sont situés pile sur l’ovale et sur l’injonction de cette dernière, Maëva doit inscrire son visage dans l’ovale.
Ce qui met sa bouche en contact avec le sexe de Mitsuko qui lui ordonne de la lécher.
Maeva à genou les mains liées dans le dos n’a d’autres choix que de satisfaire sa maitresse.
Vu de l’extérieur personne ne pourrait voir que l’occupante du trône se fait faire un cunnilingus par une esclave.
Mitsuko pense déjà qu’il lui faudra au moins un ou une autre esclave pour profiter des atouts de son trône tout en regardant le plateau tourne avec un ou une occupante.
Après plusieurs orgasmes provoqués autant par la langue de Maëva que par l’excitation de son nouveau local Mitsuko libère Maëva et la raccompagne vers la sortie.
En passant dans le couloir qui mène vers la sortie l’attention de Maëva est attirée par une espèce de plainte qui vient de derrière une porte.
Mitsuko qui a aussi entendu ouvre la porte et Maëva peut voir un homme menotté pieds et mains sur un banc recouvert de cuir.
L’homme a un bâillon et un système motorisé le sodomise avec un gode de bonne taille.
Son sexe est inséré dans une espèce de trayeuse qui le pompe en permanence.
Mitsuko lui donne deux ou trois coups de fouet qui ont pour effet de faire taire l’homme. Avant que Mitsuko ne referme la porte Maëva a le temps de voir que c’est le mari de Mitsuko qui est supplicié ainsi.
Une fois Maëva sortie Mitsuko pense à la prochaine étape sera de trouver une autre proie mâle ou femelle.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 36 Mitsuko
Extraits « … En arrivant dans les toilettes elle voit avec stupeur une femme ligotée à genou. Elle est nue, porte un masque aveuglant et un système lui gardant la bouche ouverte. Sous elle un gode électrique effectue des va et vient permanents. … Je ne t’ai pas dit de rentrer ta langue et elle met la main entre les jambes de la femme et pince violemment le clitoris. La femme veut crier mais la main de Mitsuko s’est reposée sur la bouche de cette dernière. Mitsuko dit tu vas m’obéir maintenant…. La femme dit d’une voix déformée par l’écarteur et les sanglots. Tu es ma maitresse Mitsuko. Mitsuko repince les seins. Tu dois me vouvoyer. La femme hoquète et répète vous êtes ma maitresse Mitsuko. Mitsuko est ravie elle caresse maintenant les seins douloureux de la femme. … Une fois libérée celle-ci se lève et dit à Maeva. Couche-toi à mes pieds maintenant. Maeva soumise totalement à Mitsuko se couche sur le ventre et embrasse fébrilement les pieds de Mitsuko….»
En attendant le parrainage Laurent organise une nouvelle soirée poker.
Outre deux invités habituels il y a un nouveau couple.
Robert, collègue de Laurent, est marié à une jeune japonaise, Mitsuko, qui a absolument voulu venir voir en quoi consistait ces parties de poker dont on parle à voix basse et qui semblent orientées sur le sexe.
Robert a essayé de la dissuader car elle est très prude mais elle a fait des pieds et des mains pour pouvoir venir.
Robert en a parlé à Laurent qui est d’accord pour qu’elle vienne, pourvu qu’elle sache se tenir et ne fasse pas d’esclandre.
Robert promet que s’il y a un problème il repartira aussitôt avec Mitsuko.
La soirée est prête.
Gisèle et Aude sont à genou dans le coin de la salle qui leur est réservée.
Lorsque robert et Mitsuko arrivent il se présente et prévient Mitsuko que dans la salle de poker elle risque d’être choquée.
Les yeux brillants elle répond qu’elle veut absolument venir, qu’elle saura se tenir et qu’elle jouera un peu au poker.
En entrant dans la salle Mitsuko est hypnotisée par les deux femmes quasiment nues ligotées à genou sur des godes.
Elle a un mal fou à ôter son regard de cette vue qui la bouleverse totalement.
Robert inquiet lui serre la main elle se retourne vers lui et fait un grand sourire.
Pas de problème elles sont très belles ; je comprends que tu veuilles venir à ces soirées dit-elle espiègle.
La partie commence.
Mitsuko joue habituellement bien au poker mais elle ne pense qu’à ces deux femmes offertes.
Elle perd régulièrement et au moment de la pause elle est déjà ratissée.
Elle voit les deux femmes servir les en cas et les boissons puis passer sous les tables pour essorer les hommes présents.
Elle ne demande pas de caresses buccales de la part des femmes car elle ne sait pas comment ça pourrait se terminer.
Elle n’a jamais été aussi excitée qu’à ce moment.
La pause terminée les joueurs retournent à leurs parties et les deux femmes se remettent en position à genou.
Mitsuko décide d’aller aux toilettes.
En arrivant dans les toilettes elle voit avec stupeur une femme ligotée à genou.
Elle est nue, porte un masque aveuglant et un système lui gardant la bouche ouverte.
Sous elle un gode électrique effectue des va et vient permanents.
La femme est très belle et l’écriteau posée sur elle indique clairement qu’elle est à la disposition de celui ou celle qui passe.
Mitsuko n’en revient pas.
Elle va mettre le verrou sur la porte des toilettes et s’approche de la femme.
Mitsuko dit : Bonjour. la femme répond un bonjour déformé par l’écarteur.
Tu es à ma disposition ? dit Mitsuko.
Oui répond la femme.
Je peux faire ce que je veux la femme opine.
Mitsuko pose la main sur un sein de la femme et en même temps lui met la main sur la bouche.
Elle pince fermement le téton.
La femme gémit mais son cri est étouffé par la main de Mitsuko.
Chut ! Sinon je te fais vraiment mal.
La femme se tait.
Mitsuko pince le deuxième sein.la femme gémit mais essaye de le faire en silence.
Mitsuko dit : tu es ma chose.
La femme semble pleurer.
Tire la langue dit Mitsuko.
La femme tire la langue.
Plus loin dit Mitsuko.
La femme tire au maximum la langue que Mitsuko attrape et tient fermement entre ses doigts.
Elle tire la langue au maximum.
La femme se tortille et semble paniquer.
Oui je fais de toi ce que je veux.
Elle relâche la langue et la femme la recule aussitôt.
Je ne t’ai pas dit de rentrer ta langue et elle met la main entre les jambes de la femme et pince violemment le clitoris.
La femme veut crier mais la main de Mitsuko s’est reposée sur la bouche de cette dernière.
Mitsuko dit tu vas m’obéir maintenant.
La femme hoche précipitamment la tête.
Mitsuko dit :je vais enlever ma main et toi tu vas titrer la langue au maximum.
La femme hoche le tète.
Mitsuko retire sa main et aussitôt la langue sort au maximum.
Bien dit Mitsuko. Maintenant tu vas gonfler ta poitrine pour moi sinon je te repince les seins.
La femme s’arque autant qu’elle peut pour mettre sa poitrine en avant.
Bien lui dit Mitsuko. Souviens-toi de moi je suis Mitsuko et un jour tu ramperas à mes pieds.
La femme semble perplexe et pour toi je serai maitresse Mitsuko. Chaque fois que tu me verras tu m’appelleras ainsi et tu ramperas à mes pieds.
La femme ne réagit pas.
Mitsuko lui pince sévèrement les seins.
La femme est tétanisée et hoche précipitamment la tête.
Dit le que je suis ta maitresse dit Mitsuko.
La femme dit d’une voix déformée par l’écarteur et les sanglots. Tu es ma maitresse Mitsuko.
Mitsuko repince les seins. Tu dois me vouvoyer.
La femme hoquète et répète vous êtes ma maitresse Mitsuko.
Mitsuko est ravie elle caresse maintenant les seins douloureux de la femme.
On se reverra vite dit Mitsuko et elle se relève et quitte les toilettes.
Robert commençait à s’inquiéter. Mitsuko revient vers lui avec un grand sourire.
Elle lui dit j’ai fait la connaissance d’une femme nue dans les toilettes qui est ce.
C’est Maeva dit robert. C’est la femme et l’esclave de Laurent.
Mitsuko sourit et regarde Laurent. Elle pense tu vas devoir me la prêter mon ami.
J’ai plein d’idées pour elle.
Juste avant la fin de la soirée Mitsuko retourne aux toilettes.
Elle s’approche de Maëva et dit :alors Maeva tu reconnais ma voix.
Une petite voix apeurée dit oui vous êtes ma maitresse Mitsuko.
Bien répond cette dernière. Je t’ai apporté un petit cadeau.
Elle ôte sa culotte et l’enfonce dans la bouche de Maeva tout en pinçant un sein.
C’est pour que tu te souviennes de moi et que tu comprennes que tu m’as bien fait mouiller.
A bientôt ma petite esclave. Et elle pose un baiser sur le sein meurtri de Maeva.
Lors du départ Mitsuko s’approche de Laurent pour le remercier de l’avoir laisser venir.
Il est sensible à ses charmes et elle le sent.
Si tu veux plus de moi il faut que tu me prêtes ta femme un weekend. Lui dit-elle en partant.
Laurent est tout content et s’aperçoit plus tard qu’il a un numéro de téléphone griffonné sur un papier dans sa poche de veste.
Après le numéro il y a un cœur et un m majuscule.
Il sent que Maeva va faire un stage chez Mitsuko.
Lorsqu’il libère Maeva celle-ci s’effondre dan ses bras. Elle veut lui raconter ce qu’elle a subi avec Mitsuko mais il ne la laisse pas parler et elle passera la nuit attachée et bâillonnée avec la culotte de Mitsuko dans la bouche.
Quelques jours plus tard Laurent appelle Mitsuko.
Celle-ci lui dit franchement qu’elle a kiffé la soirée poker, notamment les moments passés avec Maeva et qu’elle recommencerait bien une séance seule en tête à tête avec cette dernière.
Laurent qui se verrait bien faire un cinq à sept avec Mitsuko accepte sous réserve qu’ils aient tous les deux une séance en tête à tête ensuite.
Mitsuko promet qu’elle est d’accord.
Laurent propose que la rencontre avec Maeva se fasse chez lui car il possède du matériel et une pièce adéquate.
Mitsuko accepte volontiers et le rdv est pris pour le lendemain car robert sera absent pour la journée et la nuit suivante.
Laurent se garde de prévenir Maeva et le lendemain il lui dit juste qu’elle n’a pas été visiter la pièce donjon depuis trop longtemps et qu’il va y remédier.
Maeva ne se doute pas de la visite et accepte volontiers pour se changer les idées après sa soirée difficile.
Le lendemain Maeva est attachée les bras tirés vers le haut par une chaine accrochée au plafond et les jambes écartées par une barre d’écartement.
Elle a un masque aveuglant et un bâillon.
C’est une position traditionnelle qu’elle aime.
Quand elle entend des pas légers derrière elle elle commence à mouiller en pensant qu’elle va se faire prendre par un ou des hommes bien excités.
Elle se tétanise quand elle entend la voix douce de Mitsuko qui lui dit. Je t’avais promis qu’on se reverrait ma petite esclave. Et aujourd’hui on a bien le temps de faire connaissance.
Maeva rue mais ne peut rien faire, attachée comme elle est.
Mitsuko commence par la caresser longuement elle s’attarde sur les seins faisant frémir Maeva à chaque fois par la peur engendrée.
Puis elle pince légèrement les seins et le clitoris de Maeva qui se tortille.
Mitsuko enlève le bâillon et demande à Maeva de tirer la langue.
Celle-ci s’exécute immédiatement et tire la langue autant qu’elle peut.
Mitsuko attrape la langue avec ses doigts et la maintient fermement mais sans la forcer.
Maeva est terrorisée. Elle s’attend au pire.
Mitsuko met alors une pince sur la langue de Maeva.
La pince presse fermement la langue même si la douleur est encore supportable.
Maeva sent que la pince est reliée à quelque chose.
Puis Mitsuko met une pince sur le clitoris de Maeva.
Encore une fois c’est très fort mais la douleur est supportable.
Puis Mitsuko tire sur les deux pinces qui sont reliées à des chainettes ; celle de la langue vers le bas et celle du clitoris vers le haut.
Maeva baisse au maximum la tête afin de soulager sa langue et essaye de remonter son bassin pour soulager la tension sur le clitoris.
Mitsuko tend au maximum de ce que peut supporter Maeva et relit les deux chainettes.
La tension entre les deux pinces empêche Maeva de faire le moindre geste tant elle est concentrée sur la tentative de limiter la tension.
Mitsuko lui dit. Tu es jolie comme ça mais il ne faut pas oublier tes jolis seins.
Et elle accroche une pince à un sein.
La douleur est forte mais supportable.
Mais Mitsuko passe la chainette qui relie les deux pinces autour du cou de Maeva et accroche la pince sur le deuxième sein en tendant au maximum la chainette.
Les tétons de Maeva sont fortement tirés vers le haut et elle essaye sans succès de baisser le cou pour limiter la tension.
Ainsi bloquée et endolorie elle est palpée partout par Mitsuko qui alterne les caresses et les claques nerveuses.
Enfin alors que Maeva n’en peut plus et ruisselle de sueur Mitsuko enlève les pinces.
Maeva respire enfin.
Mitsuko détend la tension sur les bras et bientôt Maeva se retrouve avec les bras menottés dans le dos. La barre d’écartement est enlevée et les chevilles de Maeva sont menottées l’une contre l’autre.
Mitsuko dit alors à Maeva de se mettre à plat ventre devant sa maitresse.
Maeva se couche comme elle peut et se retrouve à plat ventre.
Mitsuko lui enlève le masque et Maeva la voit enfin.
Elle est nue juste vêtue d’un harnais de cuir rouge qui l’enveloppe complément.
Lèche mes pieds esclave.
Maeva rampe vers les pieds de Mitsuko et lui lèche avidement les pieds pour montrer sa totale soumission en espérant calmer la fureur de Mitsuko.
Après quelques minutes celle-ci se dirige vers le grand lit de la pièce et ordonne à Maeva de la suivre.
Maeva doit ramper sur le sol pour avancer.
Elle arrive enfin au pied du lit.
Là Mitsuko lui enlève les menottes des pieds et la fait se relever.
Elle couche Maeva su le dos en travers sur le lit et entreprend de l’attacher en croix aux quatre coins du lit.
Comme elle est en travers du lit les jambes de Maeva sont ouvertes à l’extrême et elle est quasiment en position de grand écart.
Les liens sont très tendus et elle ne peut absolument pas bouger.
Mitsuko admire son œuvre et palpe Maeva en alternant les caresses les claques et les pincements.
Parle-moi. Dit moi que tu aimes ce que je te fais dit Mitsuko.
Mets-y du cœur. Maeva dit : Vous êtes ma maitresse Mitsuko et je joui de vos caresses. J’adore ce que vous me faites et je me prosterne devant vous.
Elle essaye d’imaginer ce qui peut faire plaisir à Mitsuko et pendant plusieurs minutes celle-ci continue ses actions.
Puis Mitsuko détache Maeva, se couche sur le lit et lui dit maintenant tu vas me faire jouir esclave.
Maeva caresse Mitsuko et l’embrasse partout.
Celle-ci ondule mais semble insatisfaite.
Maeva prend alors l’initiative d’utiliser les attaches qui viennent de servir pour attacher Mitsuko qui se laisse faire aux quatre coins du lit.
Maeva tend autant qu’elle peut les liens et Mitsuko est maintenant tendue à l’extrême.
Maeva la pelote en alternant les caresses et les claques.
Puis voyant que Mitsuko commence à haleter.
Maeva se met à genou enserrant la tête de Mitsuko et se penchant en arrière elle saisit le sexe de Mitsuko d’une main et le fouille sans ménagement.
Mitsuko comme alors à haleter plus fort et embrasse goulument le sexe de Maeva.
Celle-ci redouble de force sur le sexe de Mitsuko qui réagit aussitôt.
Maeva ne fait plus attention maintenant et agrippe avec toutes ses forces le sexe de Mitsuko qui l’embrasse fébrilement.
Maeva sent la jouissance venir et soudain Mitsuko se met à ruer comme un cheval sauvage. Elle jouit sauvagement sans cesser de lécher le sexe de Maeva.
C’est un tourbillon de jouissance qui emporte les deux femmes.
Maeva pantelante reprend son souffle. Mitsuko s’est calmée.
Maeva se relève et contemple le corps le Mitsuko toujours attaché fermement.
Maeva lui dit tu ‘as mis qu’on avait bien le temps de faire connaissance ma jolie. Je crois que tu vas rester quelques heures dans cette position ou tu es à ma disposition totale.
Mitsuko la regarde sans peur. Mais blanchi un peu lorsque Maeva s’éloigne et revient avec une cravache dans une main et les quatre pinces qui viennent de servir dans l’autre.
A mon tour de jouer dit Maeva en se préparant à mettre un bâillon à Mitsuko.
Celle-ci la regarde sans ciller et dit. N’oublies pas que tu es à ma merci. Tu es mon esclave et je te ferais regretter mille fois ce que tu me feras si tu ne me détaches pas tout de suite.
Maeva hésite. Elle a compris que Mitsuko pourra de nouveau demander à Laurent une séance ou elle sera à sa merci.
Trop effrayée par ce qui peut lui arriver elle est vaincue et commence à détacher Mitsuko.
Une fois libérée celle-ci se lève et dit à Maeva. Couche-toi à mes pieds maintenant. Maeva soumise totalement à Mitsuko se couche sur le ventre et embrasse fébrilement les pieds de Mitsuko.
Bien dit celle-ci. La prochaine fois nous testerons quelques bondages shibari d’humiliation. Restes dans cette position jusqu’à mon appel et elle pose un téléphone portable près de Maeva.
Et Mitsuko part.
Maeva n’ose pas bouger. Heureusement que c’est bien chauffé ici se dit-elle.
Le temps passe lentement. Maeva se demande si Mitsuko va appeler ou si c’est un piège.
Plusieurs heures plus tard le téléphone sonne.
Elle décroche.
Tu peux disposer esclave. Je veux que tu ais toujours ce téléphone à ta portée. Je n’accepterais pas que tu ne répondes pas à un de mes appels.
Et elle raccroche laissant Maeva pantoise.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 35 : SAUVETAGE INESPERE.
Extraits » …Et elle montre du geste la tigresse qui est couchée à ses pieds qu’elle lui lèche avec attention. Elle est juste nue avec un collier identique à celui de Magalie…. Enfin virginie lui fait ouvrir la bouche pour y insérer un bâillon à double gode qui fait qu’elle à l’équivalent d’une bite dans la bouche et une autre qui sort de sa bouche. Maintenant tu es prête à me servir et de toutes les façons. Bien sûr tu n’as pas intérêt à essayer d’enlever une seule chose sans mon ordre. Dit virginie… »
Magalie reprend ses esprits. Elle est enfermée dans une cage et porte un collier qui ne lui augure rien de bon.
Face à elle, elle reconnait virginie qui la toise avec un regard pervers.
Tu te réveilles ma chérie.
Tant mieux car on va passer du bon temps toutes les trois.
Et elle montre du geste la tigresse qui est couchée à ses pieds qu’elle lui lèche avec attention. Elle est juste nue avec un collier identique à celui de Magalie.
Le collier est accroché à un anneau fixé au sol.
La tigresse ne peut bouger la tête que de trois ou quatre centimètres.
Magalie veut demander à virginie pourquoi elle la traite comme ça.
Au premier mot une puissante décharge la terrasse.
Ça vient du collier. Virginie rit et lui explique le fonctionnement du collier.
Magalie fait un geste pour montrer qu’elle ne comprend pas.
Virginie lui rappelle que c’est elle qui l’a jetée dans les griffes de la tigresse.
Magalie montre qu’elle ne comprend rien.
Tu n’as pas besoin de comprendre. Maintenant tu es corps et âme à mon service comme une bonne petite esclave. Tu prendras exemple sur la tigresse qui a compris ou était son intérêt.
Magalie regarde incrédule virginie.
Celle-ci dit : Bon on va commencer ton éducation.
Déjà tu sais que tu ne dois jamais parler sans mon ordre.
Mais ça tu as compris.
Lorsque tu ne seras pas occupée à faire une tache que je te commanderais tu te mettras à genou en position de soumission comme la tigresse en ce moment et tu me lécheras les pieds.
Magalie est horrifiée. Voilà ce que tu dois savoir dit virginie.
M’obéir ou te prosterner à mes pieds. C’est simple.
Compris. Magalie hoche la tête.
Je vais te sortir de la cage maintenant.
Virginie approche de l’arrière de la cage et l’ouvre.
Magalie sort en marche arrière et veut se lever.
Une puissante décharge la sonne.
Tu n’as pas compris tant que je ne te demande riens tu te prosterne à mes pieds.
Magalie se remet péniblement à genou et baisse la tête vers les pieds de virginie.
Cette fille est folle pense-t-elle.
Virginie se dirige vers le campé.
Magalie la suit à genou et dès que virginie est assise elle lui lèche les pieds. Pff ça va être long se dit Magalie.
Virginie lui dit alors. Montre-moi si tu sais te servir de ta bouche sur un sexe et elle écarte les jambes.
Magalie n’est pas lesbienne mais ne se pose pas de question. Elle plonge la tête dans le sexe de virginie.
Virginie fait entrer la tigresse dans la cage.
Voilà dit-elle. Maintenant je peux m’occuper pleinement de toi. Et elle se tourne vers Magalie qui n’a pas bougé.
Celle-ci anticipe la décharge et se rue à quatre pattes vers les pieds de virginie qu’elle embrasse.
Bien : dit cette dernière.
On va te vêtir come il faut.
Elle s’absente quelques minutes et revient avec un harnais en cuir noir qu’elle installe sur Magalie.
Le harnais est réglable et virginie serre au maximum les sangles.
Le harnais semble être incrusté dans la peau de Magalie.
Tu as de beaux seins on va les mettre en valeur.
Elle sort une corde de bondage et s’en sert pour bonder les seins de Magalie.
Ceux-ci sont gonflés et deviennent bleus. Magalie a l’impression qu’ils vont éclater.
Maintenant pour parfaire ta tenue des petits jouets pour toi.
Elle fait se pencher Magalie en avant et lui met un gode énorme et un plug annal impressionnant.
Une lanière du harnais qui passe entre ses jambes comprime puissamment les deux objets qui semblent vouloir aller plus loin dans les entrailles de Magalie.
Satisfaite du résultat virginie lui dit que désormais elle sera tout le temps habillée comme ça avec les deux jouets bien insérés.
Elle actionne une petite télécommande et les deux engins se mettent à vibrer de concert.
Magalie se sent prête à éclater de partout entre ses seins, son sexe et son cul.
Enfin virginie lui fait ouvrir la bouche pour y insérer un bâillon à double gode qui fait qu’elle à l’équivalent dune bite dans la bouche et une autre qui sort de sa bouche.
Maintenant tu es prête à me servir et de toutes les façons. Bien sûr tu n’as pas intérêt à essayer d’enlever une seule chose sans mon ordre. Dit virginie.
Elle entraine Magalie dans la cuisine ou cette dernière fait la vaisselle sous le regard de virginie. Une fois la cuisine propre Magalie doit passer l’aspirateur dans le salon.
Son travail est interrompu lorsque virginie, assise sur le canapé, lui donne l’ordre de venir lui enfiler le gode facial.
La journée est épuisante pour Magalie. Malgré elle, elle est de temps en temps fauchée par un orgasme provenant des vibrations des deux engins.
Enfin il semble que l’heure du coucher est arrivée. Virginie sort la tigresse de sa cage, lui fait un passage aux toilettes et à la salle de bain et l’accroche à l’anneau prévu à cet effet au sol de sa chambre.
Puis elle vient chercher Magalie et suit le même protocole.
Elle n’oublie pas de remettre le harnais et les engins vibrants ainsi que le bâillon gode.
Il n’y a qu’un anneau dans la chambre et elle lie Magalie à un des pieds du lit.
Magalie voit du coin de l’œil que le regard de la tigresse s’est soudainement réveillée.
Pendant que virginie attache Magalie elle voit que la tigresse lui fait des gestes avec a tête en montrant le tapis sur lequel est couchée Magalie.
Virginie se relève et la tigresse cesse de regarder par là.
Virginie souhaite alors une bonne nuit aux esclaves en éteignant la lumière.
Magalie laisse passer quelques minutes et quand elle pense que virginie dort complétement elle se contorsionne silencieusement pour essaye de voir ce qui se cache sous le tapis.
Après une demi-heure d’effort elle sent sous ses mains un petit anneau qui semble ouvrir une petite trappe.
Elle réussit à soulever la petite trappe et essaye de tâter ce qu’il y a dans la petite cavité en dessous.
Elle finit par toucher un objet muni de boutons qui semble être une petite télécommande.
Puis un couteau, un cutter et une petite boite dont elle ne connait pas l’utilité.
Elle se demande ce qu’elle peut faire avec ça et regarde du côté de la tigresse qui a les yeux rivés sur elle.
Magalie tente alors de faire glisser les objets vers la tigresse qui tend ses jambes pour les attraper un à un.
Après plus d’une heure d’efforts et de contorsions la tigresse a récupéré tous les objets.
Quelques minutes d’effort plus tard Magalie voit que la tigresse semble s’être libérée.
Celle-ci rampe vers elle et lui ôte les liens un par un.
Elle finit par le collier quelle ouvre avec des minuscules outils bizarres.
Magalie apprendra plus tard qu’il s’agit d’outils pour forcer les serrures. Elles sont libres.
Virginie semble toujours endormie.
La tigresse montre un collier à Magalie et lui indique le cou de virginie.
L’affaire ne va pas être simple mais elles sont à deux contre une.
Elles contournent le lit et la tigresse s’apprête à mettre le collier autour du cou de virginie. Elle montre les mains de virginie à Magalie pour lui signifier de les maitriser au moment de l’attaque.
Puis elle fait le décompte trois deux un et elle se jette sur le cou de virginie pendant que Magalie attrape les deux mains.
Virginie sursaute et fait preuve d’une force étonnante.
Magalie ne parvient qu’à ralentir les mains de celle-ci.
Mais la tigresse a réussi en une fraction de seconde à fermer le collier sur le cou de virginie.
Cette dernière lutte en silence et réussit presque à se dégager des mains de Magalie.
Un clic se fait entendre et la tigresse se recule vivement en brandissant une télécommande.
Magalie ressent un choc terrible.
La tigresse a envoyé une décharge avec le collier et la décharge a secoué virginie et Magalie.
Virginie se tétanise sur le lit.
Magalie reprend un peu ses esprits et se recule vivement.
La tigresse allume la lumière.
Virginie est couchée et les regarde avec horreur.
La tigresse sourit. J‘ai toujours un nécessaire dans ma chambre en cas de problème avec les accessoires dit-elle en exhibant les objets contenus dans la cavité. Ils m’ont déjà servis et ils viennent de me sauver encore.
Merci Magalie sans toi j’étais condamnée à rester l’esclave de virginie. Je te suis redevable d’un grand service.
Magalie répond qu’elle n’y est pas pour grand-chose.
Virginie veut se lever mais la tigresse lui montre la télécommande. C’est moi qui donne les ordres désormais ma petite. Tu vas réapprendre à m’obéir
Laissant virginie prostrée sur le lit les deux femmes se débarrassent des restes de bondage. Magalie se sent revivre avec son fondement enfin libéré. Elles se rendent dans le salon ou la tigresse leur prépare un café.
Que va-t-on faire d’elle demande Magalie.
J’en fait mon affaire dit la tigresse.
J’ai besoin d’une soubrette ici et virginie connait la maison et est très jolie en plus.
Je suis sure qu’elle va m’apporter beaucoup de plaisir.
Magalie n’en doute pas.
La tigresse continue. Néanmoins si tu as besoin d’elle pour n’importe quoi je te la donne en reconnaissance de ton aide.
Magalie la remercie et après avoir retrouvé se habits quitte la maison de la tigresse pour rentrer chez elle.
Rétrospectivement elle se rend compte qu’elle a échappé au pire.
De son côté la tigresse profite avec bonheur de virginie.
Elle est désormais menottée dans le dos en permanence et doit suivre la tigresse partout où elle va.
Virginie a pour mission de lécher le sexe de la tigresse dès que celle-ci est immobile.
Et dès que la tigresse s’arrête même pour quelques secondes, virginie se met à genou et lèche avec vigueur pour ne pas recevoir de coups de cravache ou de décharges venant du collier.
Elle a en permanence un plug annal et un gode énorme bien enfoncés dans ces entrailles et maintenus par une lanière qui est attachée au harnais en cuir rouge qu’elle porte en permanence.
La nuit elle est attachée en travers du lit et sert d’oreiller à la tigresse.
Lorsque la tigresse a une visite virginie doit se coucher sur le ventre aux pieds de la tigresse qu’elle doit lécher en permanence sauf quand la tigresse l’offre sexuellement aux visiteurs des deux sexes qui ne manquent pas d’imagination pour l’humilier autant que possible tout en la besognant.
Elle prend ses repas à genou dans la cuisine et mange dans une gamelle les restes du repas précédent de la tigresse.
Virginie ne voit pas comment elle pourra se sortir de cette situation et devient de plus en plus soumise à la tigresse afin d’éviter les punitions.
La tigresse kiffe cette situation car ses invités ne tarissent pas d’éloges sur la réussite qu’elle a avec cette magnifique esclave.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chap 34 : des ennuis en vue.
Extraits « … Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever.Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes. … Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis. Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne. Il sort son chibre et attend toujours assis. Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer. … Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises… »
Martine n’est pas chaude pour que le couple embarque les deux filles pour un weekend.
Elle n’a aucune garantie que les filles seront bien traitées. Elle les regarde et les questionne du regard. Celles-ci se concertent autant qu’elles peuvent et finalement acceptent le jeu.
Après ça Laurent et Martine discutent entre eux et tombent d’accord ils veulent bien prêter les deux filles un weekend.
Victor annonce que ce sera le weekend suivant et que les filles devront répondre à une convocation.
Comme prévu Anna et Vanessa reçoivent la convocation. Elles se rendent à l’adresse indiquée avec de l’appréhension mais elles étaient volontaires alors il faut assumer.
Elles sont accueillies par un jeune couple entièrement nu qui les fait entrer dans une pièce vide. Là la couple les déshabille entièrement et leur met des menottes dans le dos.
Elles ont un peu d’appréhension car aucune parole n’est prononcée. Le couple leur met à chacun un bâillon et un collier muni d’une laisse. Puis se retire les laissant seules dans la pièce vide.
Une femme très musclée genre catcheuse pénètre dans la pièce.
Elle est nue et porte un collier et des bracelets aux mains et aux pieds.
Ces ornements son très imposants et en métal couleur acier.
On dirait des fers de bagnard.
Elle porte de piercing aux seins et entre les narines, toujours de grande taille et de la même couleur.
Pour finir le tableau, elle est entièrement rasée et tient un fouet dans la main.
Les filles commencent à flipper. Elle n’a pas l‘air commode.
La catcheuse leur fait signe de la suivre.
Elles la suivent sans attendre craignant le coup si elles ne réagissent pas assez vite.
Elles descendent dans ce qui ressemble à un sous-sol.
Elles entrent dans une pièce nue à l’exception d’anneaux scellés dans les murs, au plafond et au sol.
La catcheuse leur fait signe de se mettre à genou chacune à côté d’un anneau au sol.
Puis la catcheuse accroche les laisses, raccourcies au maximum, aux anneaux du sol.
Les filles doivent se pencher à ras terre et ne peuvent pas bouger du tout.
La catcheuse repart puis revient avec une tondeuse dans les mains.
Les filles s’affolent.
Ça n’était pas prévu.
Impuissantes et en pleur elles sont tondues entièrement. Des larmes de rage ruissellent sur leurs visages.
La catcheuse sort quelques instant et revient avec le jeune couple de soumis.
Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever.
Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes.
La remontée d’escaliers est pénible mais les claquements de fouet à côté d’elles les encouragent à aller le plus vite possible.
Elles finissent par arriver dans un salon ou Victor et Morgane les attendent confortablement installées dans un canapé.
Devant le canapé il y a deux petits tapis. Ils font environ un mètre de long et 50 cm de large orientés vers le canapé.
Anna est posée sur l’un d’eux et Vanessa sur l’autre.
La catcheuse lâche les laisses.
Voilà votre coin à chacune dit Morgane en montrant les tapis.
Si vous quittez votre coin sans ordre vous gouterez au fouet de Silène. La catcheuse montre son fouet aux filles en souriant.
Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis.
Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne.
Il sort son chibre et attend toujours assis.
Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer.
Il caresse sa tête et se laisse tranquillement sucer.
Apprend lui à rapporter dit Morgane à silène en montrant Vanessa.
Silène va chercher un objet et le lance dans la pièce en disant : Rapporte à ta maitresse à Vanessa.
Celle-ci comprend et va à quatre pattes chercher l’objet qu’elle ramasse avec sa bouche.
Il s’agit d’un gode de bonne taille.
Elle hésite pour savoir à qui ramener le gode.
Puis elle se décide à le ramener à Morgane.
Celle-ci lui caresse la tête et dit : bonne petite chienne elle a bien reconnu sa maitresse.
Pendant une bonne heure Anna et Vanessa doive satisfaire Morgane et Victor avec la bouche et jouer les petites chiennes.
Elles rapportent les objets, font le beau, aboient, jappent.
Pour finir Victor sodomise Anna pendant que Morgane fait de même avec Vanessa avec le gode qui a servi de jouet.
Puis Anna et Vanessa reçoivent l’ordre de regagner leur coin.
Elles le font en se demandant ce qui va leur arriver.
La sonnerie de l’entrée retentit.
Un couple vient rendre visite à Morgane et Victor.
Ils les félicitent pour leurs deux nouvelles acquisitions.
Anna et Vanessa sont de nouveau mises à contribution sexuellement avant de regagner leur tapis.
Morgane et Victor vont diner.
Lorsqu’ils reviennent, silène pose un bol d’eau et une gamelle avec de la nourriture dans un coin de la pièce.
Les filles ont faim et surtout soif. Elles sont tentées mais n’osent pas aller boire.
La soirée n’est pas finie
D’autres visiteurs arrivent et chaque fois les filles servent de jouet sexuel.
Enfin Victor et Morgane se retirent.
Silène donne alors l’ordre aux filles d’aller manger et boire.
Elles se ruent vers le bol d’eau et lapent autant qu’elles peuvent.
La nourriture est indescriptible mais elles mangent pour ne pas s’attirer les foudres de silène.
Après ça silène prend les laisses et emmène les filles avec elle.
Elles passent dans une salle de bain ou silène les douche en les frottant vigoureusement.
Ensuite elle les ramène dans le salon où elle se couche entre les deux tapis dit aux filles faites-moi plaisir ou c’est le fouet.
Comprenant, Anna et Vanessa s’approchent d’elle et avec leurs bouches lui font passer un bon moment.
Une fois silène comblée elle leur dit de se remettre sur leur tapis et quitte la pièce en éteignant la lumière.
Elle ne les a pas bâillonnées et elles peuvent converser à voix basse.
J’espère que ça ne va pas durer longtemps dit Anna.
Je commence à bien regretter cette aventure dit Vanessa puis vannées elles s’endorment rapidement.
Dans la même après midi Martine reçoit de la visite.
Il s’agit des deux garçons esclaves qui accompagnaient Morgane et Victor.
Ils ne disent rien à Martine mais lui donnent une lettre.
Elle les fait entrer dans la maison et lit la lettre. « Chère Martine voici un cadeau en échange de tes deux filles fais en ce que tu veux. Ils sont obéissants et très endurants. La clé des cages de chasteté est collée à la lettre. »
Martine est perplexe.
Puis se dit que c’est pour le temps du weekend end.
Pendant qu’elle lisait les deux garçons se sont déshabillés et mis à genou à ces pieds.
Elle se dit autant en profiter et détache les cages de chasteté.
Les garçons savent s’y prendre.
Elle est léchée embrassée pénétrée pendant près d’une heure jusqu’à ce qu’elle demande grâce.
La soirée est longue et délicieuse.
Elle finit par aller au lit accompagnée par ses deux amants elle se couche entre les deux et s’endort avec un sexe érigé dans la bouche.
Plusieurs fois dans la nuit elle changera de bite. Elle est heureuse de son sort et pense très peu à celui d’Anna et Vanessa.
Pour Anna et Vanessa les jours se suivent et se ressemblent.
Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises.
Le weekend est passé et Martine commence à trouve le temps long. Elle essaye d’appeler Victor et Morgane mais tombe systématiquement sur la messagerie.
Les deux garçons sont toujours là mais elle moins le cœur à ça même si elle se fait ramoner plusieurs fois par jour.
De son côté Laurent fulmine. Lui non plus n’a pas de nouvelles et il passe ses nerfs sur Maëva qui désormais passe la moitié de son temps dans les toilettes à servir d’urinoir de fortune.
Arrivée à la fin de la semaine Martine décide de s’en ouvrir à Magalie qui lui demande d’être très prudente et lui propose de demander l’aide de la tigresse qui ne manque jamais de bons conseils.
Martine accepte et c’est Magalie qui devra reprendre contact avec la tigresse.
Magalie tente d’appeler la tigresse mais celle-ci ne répond jamais.
Magalie lui envoie un texto pour demander à la voir.
Elle reçoit une réponse et est conviée à aller chez la tigresse dans la soirée.
Le soir venu Magalie se rend chez la tigresse.
Elle est surprise d’être reçue par une femme voilée.
Celle-ci la fait entrer dans la maison et Magalie a la surprise de voir la tigresse nue enchainée sur une croix de saint André dans le salon.
Elle se retourne vers la femme voilée qui lui met un coup de tazer qui tétanise Magalie.
Quand elle reprend ses esprits elle est dans une cage et c’est virginie qui la contemple avec satisfaction.
Bienvenue ma belle je voulais trouver un moyen de d’attraper mais tu es venue toute seule merci…
Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et la tigresse ne répond pas.
Elle appelle Laurent qui lui aussi veut faire quelque chose. Ils décident d’aller directement chez Victor et Morgane pour aller chercher les filles.
Laurent et Martine sont remontés. Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et décide d’agir seule avec Laurent. Ils se présentent au domicile de Victor et Morgane.
Ils sont reçu par le jeune couple de soumis et emmenés jusqu’au salon où Morgane et Victor les reçoivent.
Dans le salon ils voient avec joie que les deux filles bien que fixées au sol à des anneaux semblent aller bien.
Laurent dit à Victor que le délai est passé et qu’il vient récupérer les filles.
Victor lui demande de se calmer et dit que tout ça est un malentendu.
Il dit qu’ils vont pouvoir être de nouveau proche des filles et que cela sera aussi bien pour tout le monde.
Morgane acquiesce.
Elle propose de sceller le deal du parrainage avec une coupe de champagne.
Laurent et Martine un peu rassurés acceptent et silène arrive nue avec un plateau accroché à sa taille et tenant horizontalement garce à deux chainettes qui relient des piercings au bout des seins aux extrémités du plateau.
Celui-ci doit être lourd car quatre coupes de champagne sont posées dessus.
Cependant les seins imposants de silène semblent ne pas être gênés par ça.
Ils pointent droit devant.
Laurent et Martine sont attirés par la vue de silène et ne prennent pas garde aux coupes.
Les coupes son bues et d’autres suivent.
Morgane prend la parole et dit à Martine : J’ai une proposition à te faire. Je t’offre les deux esclaves males que tu as pu tester et en échange tu me donne ces deux-là et elle montre Anna et Vanessa.
Martine est prise de court.
Eméchée par les coupes qu’elle a pris et quelle ne compte plus, son raisonnement n’est plus très clair.
De leur côté les deux filles s’imaginent déjà esclaves de Victor et Morgane.
C’est excitant mais en même temps elles n’auront plus la même liberté qu’avec Martine.
Martine essaye de peser le pour et le contre.
Il est vrai que les garçons possèdent des arguments que les filles n’ont pas.
Et puis elle pourra les revoir si elle est admise au club.
Euphorique elle dit banco. Une nouvelle coupe de champagne scelle le marché.
Anna et Vanessa sont très perplexes. Que va-t-il leur arriver.
Malheureusement elles n’ont pas la parole car silène veille près d’elles en agitant le fouet.
La soirée se passe et un rendez-vous est pris pour le parrainage dans le club de dominants.
Laurent est heureux quand il rentre.
Bon il a perdu les deux filles qui étaient quand même bonne mais au moins il va entrer dans le club fermé.
En arrivant à la maison il va détacher Maëva qui a passé la soirée dans les toilettes.
Celle-ci est rompue mais doit encore subir l’excitation de Laurent que la perspective du parrainage a bien remonté.
Maëva est visitée dans tous les orifices et doit finir par une fellation complète. Cette nuit-là attachée aux pieds du lit de Laurent elle s’endort comme une masse.
Martine rentre chez elle perplexe elle a un peu dégrisé et se demande si elle n’a pas agit à la légère.
Devant sa porte les deux garçons l’attendent.
Cette nuit-là ils sont particulièrement habiles et elle s’endormira avec un chibre dans la bouche.
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Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 33 : le retour de virginie
Virginie a réussi à échapper à son « propriétaire » en lui volant de nombreux bijoux qu’elle a revendu à un receleur.
Elle est décidée à se venger de la tigresse et de Magalie.
Elle prend un logement proche de la tigresse et entreprend de l’espionner avant d’agir.
Elle suit les allers et retours de celle-ci et peu à peu arrive à connaitre ses habitudes.
Virginie s’est bien renseignée et sait que la tigresse possède une alarme sophistiquée. Elle ne pourra pas forcer la maison il faudra donc agir différemment.
Elle passe à l’action quelques temps plus tard.
La tigresse se fait livrer une fois par semaine toujours par la même société.
Virginie réussit grâce à son charme et une nuit avec le recruteur à se faire embaucher comme livreuse.
Finalement, un jour elle est appelée pour livrer chez la tigresse.
Il y a plusieurs gros cartons et dans ce cas elle sait que le livreur aide la tigresse à renter les cartons dans la maison.
Elle essaye au maximum de modifier son look afin de ne pas être reconnue par la tigresse. Celle-ci ne se méfie pas et lui demande si elle peut l’aider à rentrer les cartons ce qu’elle accepte sans rechigner.
Une fois dans la maison les choses se passent très vite. Virginie sort un tazer de sa poche et administre une décharge violente à la tigresse qui s’écroule tétanisée.
Elle est tout de suite menottée et bâillonnée.
Virginie termine de rentrer les cartons et quitte la maison en laissant la tigresse ligotée comme un saucisson accrochée à un radiateur.
Elle prend les clés de la maison et termine tranquillement sa journée.
Elle démissionnera le soir même.
Sa journée de travail terminée elle retourne chez la tigresse.
Celle-ci est toujours ligotée à son radiateur.
Là, virginie se dégrime et la tigresse la reconnait. Virginie jubile. Alors on va jouer toutes le deux maintenant.
Virginie fait le tour de la maison et trouve une cage dans un sous-sol.
Cette cage permet juste à une personne de taille moyenne d’y entrer à quatre pattes.
Virginie soupèse la cage. Elle doit pouvoir la monter dans le salon.
Elle s’attelle à la tâche et ruisselante de sueur réussit à la poser dans le salon.
Voilà ta nouvelle maison esclave dit-elle à la tigresse qui est toujours accroché à son radiateur.
Les marques rouges sur les mains montrent qu’elle a essayé de se libérer.
Virginie reprend son souffle et regarde la tigresse.
Je crois que tu n’auras plus besoin d’habits maintenant.
Elle cherche dans la cuisine et trouve une paire de ciseaux imposants.
Elle revient avec sa trouvaille et lacéré les habits de la tigresse qui en cinq minutes se retrouve nue.
Virginie décide de la faire entrer dans la cage.
Elle la décroche du radiateur et la fait progresser à quatre pattes vers la cage ou la tigresse rentre à condition de rester à quatre pattes à l’intérieur.
Virginie ferme la cage avec un cadenas.
Elle dit à la tigresse : je voulais te tuer directement mais je crois que je vais d’abord profiter d’une belle esclave.
Tu as intérêt à être bien obéissante sinon je t’égorge simplement.
La tigresse se demande si c’est du bluff mais la lueur dans les yeux de virginie lui fait peur.
Virginie fait le tour de la cage pour voir s’il n’y a pas de faiblesses.
La cage est solide mais virginie découvre un volet à l’opposé de la porte.
Il doit servir à rentrer une gamelle d’eau ou de nourriture.
Il est assez grand pour y passer la tête.
Virginie qui se sent poisseuse se dit que ça pourrait rendre service.
Elle ouvre le volet et donne l’ordre à la tigresse d’y passer la tête.
Celle-ci n’obéit pas mais virginie lui pique les fesses avec le bout des ciseaux.
La tigresse passe la tête dans le volet.
Virginie dit alors : j’ai bien sué pour monter ta nouvelle maison.
Tu vas essuyer toute ma sueur avec ta langue.
Et elle se met nue et approche son bras de la tête de la tigresse.
Celle-ci hésite mais Virginie va dans la cuisine et ramène un couteau d’office qu’elle aiguise consciencieusement.
Elle dit : Dommage on aurait pu s’amuser mais si tu veux que ça termine tout de suite pas de problème et elle approche le couteau du cou de la tigresse.
Celle-ci crie : non je vais faire tout ce que tu veux je vais t’obéir complétement pitié !
Virginie hésite.
Puis dit dernière chance.
Et elle avance le bras vers la tête de la tigresse qui s’empresse de le lécher avidement.
Virginie passe ainsi tout son corps devant la tête de la tigresse qui lèche consciencieusement.
Enfin virginie estime que c’est bon et dit alors : maintenant récré on va jouer à bouffe minou.
Elle avance un fauteuil jusqu’à la tête de la tigresse et s’assoit dessus les jambes écartées.
La tigresse doit se tendre au maximum pour lui lécher le sexe mais y met tout ce qu’elle peut.
L’heure du repas est arrivée. Virginie va dans le frigo et se fait un plateau repas.
Elle rapporte le plateau qu’elle pose sur la cage et se rassoit les jambes écartées. Elle mange tranquillement pendant que la tigresse se démène pour la lécher correctement.
Après son repas virginie donne l’assiette avec les restes à la tigresse en lui disant tu manges tout.
La tigresse mange consciencieusement tout ce qu’il y a dans l’assiette et lape toute l’eau que contient un bol apporté par virginie.
Virginie souhaite bonne nuit à la tigresse qui dit d’une petite voix qu’elle doit pisser. Virginie lui dit qu’elle se démerde et éteint la lumière.
Quelques minutes après la tigresse pisse sur le carrelage. Elle passe toute la nuit à quatre pattes somnolant plutôt qu’autre chose.
Virginie vit maintenant depuis un mois dans la maison de la tigresse.
Celle-ci lui a gentiment tonné toutes les informations utiles.
Elle a son code de carte bleu et tous les accès à ses comptes bancaires.
Il faut dire que le fouet quand il est bien mené finit par délier toutes les langues.
Virginie a trouvé une cage dans pièces du sous- sol.
Elle l’a monté dans le salon et c’est dans cette cage que vit la tigresse quand virginie n’a pas besoin d’elle.
C’est-à-dire rarement car entre les coups et le ménage la tigresse n’a pas beaucoup de temps libre.
Celle-ci vit désormais nue en dehors d’un collier fort pratique que virginie avait elle-même testé à ses dépens dans cette maison.
La tigresse a résisté une bonne semaine mais les coups, les privations de sommeil et de nourriture l’on ramenée à de meilleures dispositions.
Elle est maintenant à la botte de virginie.
Finalement la tigresse se révèle être une bonne brouteuse et virginie en redemande. Tous les soirs après le repas elle y a droit en regardant les infos à la télé.
Maintenant que la première phase de sa vengeance est réalisée elle réfléchit à la deuxième phase qui concerne plus spécialement Magalie.
C’est cette garce qui est à l’origine de tout et rien ne laisse à penser qu’elle n’était pas au courant des intentions de la tigresse quand elle a envoyé virginie chez elle.
La vie tranquille de virginie avec son esclave est cependant si jouissive qu’elle remet à plus tard la vengeance.
Ce matin-là elle est en forme.
Son esclave l’a réveillée avec un cunnilingus d’enfer.
Elle s’y prend vraiment bien.
Virginie il y a quelques jours s’est fait draguer par deux mecs pas mal.
Elle a un peu flirté avec les deux ne sachant lequel choisir et puis finalement se faire les deux ne lui fait pas peur.
Elle leur a promis une surprise et les a invités chez elle pour diner.
La journée se passe bien son esclave a nettoyé de fond en comble la maison et préparé un repas de fête.
Pour l’occasion elle a habillé l’esclave en soubrette ultra sexy et ne lui a mis aucun bondage à l’exception du collier qui ne la quitte pas.
Virginie se sent une âme de croqueuse d’hommes. Les invités sont à l’heure. Tirés à quatre épingles ils ont amené des fleurs et une bouteille de champagne.
Virginie les remercie et les invite à s’assoir dans le salon.
Pendant qu’Ils s’installent dans le canapé en laissant un place pour virginie entre eux virginie emmène la bouteille de champagne dans la cuisine.
Elle revient les mains vides et s’installe confortablement entre les garçons qui sont visiblement chauds.
Puis elle leur propose une coupe de champagne.
Ils acceptent et elle élève la voix pour dire : Esclave du champagne pour trois et vite.
Devant le visage incrédule des garçons la tigresse apparait habillée en soubrette avec les mains menottées dans le dos et un plateau de service collé à son ventre et soutenu par deux chainettes qui pendent depuis son cou.
Sur le plateau trois coupes sont installées.
Elle arrive devant le trio et se met à genou sans renverser les coupes.
Ils n’ont plus qu’à se servir. Virginie se sert la première.
Les garçons toujours stupéfaits tardent à réagir.
Vous n’avez jamais vu d’esclave sexuel demande innocemment virginie.
Non répondent t’ils en cœur.
Vous mériteriez d’être à sa place dit virginien je suis sûre que vous feriez de bon petit esclaves pour moi.
Ils ne savent plus où se mettre.
Servez-vous pendant que vous pouvez encore dit-elle.
Ils tendent les mains vers les coupes et se servent.
Ils trinquent tous les trois mais les regards des garçons sont monopolisés par la tigresse.
Vous voulez la voir à poil demande virginie. Ils la regardent ne sachant que dire. Alors déshabillez là dit-elle.
Ils hésitent puis se lancent et après avoir enlevé le plateau ils ôtent les quelques accessoires de soubrette que porte la tigresse.
Si vous voulez qu’elle vous fasse des choses déshabillez-vous dit virginie.
Les garçons hésitent puis entreprennent de des déshabiller. Une fois qu’ils sont nus virginie dit à la tigresse suce-moi ces queues qui n’attendent que toi.
La tigresse s’avance et prend en bouche le chibre le plus tendu.
Le garçon qui n’est pas sucé se tourne vers virginie.
Elle lui sourit et dit tourne toi que je te mette ça et elle montre une paire de menottes.
Très excité les gars se retourne et tend ses poignets.
Il est prestement menotté et virginie le retourne et prend son chibre avec la main.
Tu bandes bien dit-elle. C’est parce que tu es attaché peut être.
Le gars est rouge de confusion mais effectivement le fait d’être attaché à la merci de virginie le stimule violemment.
Viens avec moi dit elle et laissant l’autre gars profiter de la tigresse.
Elle emmène son prisonnier dans la chambre.
Là elle lui met un masqué aveuglant.
Il est toujours tendu. Elle le couche par terre sur le ventre et lui met des menottes aux chevilles quelle relie avec les menottes des poignets.
Il ne peut pas bouger les genoux plié et le chevilles touchant les poignets.
Tu ne peux pas faire grand-chose dit-elle à part me lécher les pieds et elle colle son pied à la bouche de l’homme.
Celui-ci lui embrasse alors frénétiquement le pied.
Virginie sent qu’elle va pouvoir faire des choses avec lui.
Apres quelques minutes elle désolidarise les cheviller des poignets et le force à se relever.
Elle l’emmène dans la salle à manger ou les trois couverts sont mis.
Elle le fait se glisser sous la table au niveau de la place qu’elle s’est réservée.
Attends-moi là. Lui dit-elle.
Puis elle va dans le salon ou le couple est assouvi. Lui est assis sur le canapé et elle à ses pieds.
Virginie dit à l’invite de venir à table en précisant que son ami ne dinera pas.
Il est étonné mais suit la maitresse de maison tandis que l’esclave va vers la cuisine pour servir.
Le repas est bon et les convives discutent de tout et de rien mais surtout de l’esclave de virginie.
L’homme demande des nouvelles de son ami à virginie sans se douter que ce dernier est sous la table et lèche consciencieusement les pieds de celle-ci. Elle lui répond qu’il se repose et qu’il passera la nuit ici.
Après le repas ils vont prendre le café dans le salon. Puis l’homme prend congé après un dernier regard vers la tigresse sagement installée à genou face à virginie.
Virginie va alors récupérer son prisonnier sous la table de la cuisine.
Celui-ci se remet à bander dès qu’il l’entend.
Elle s’assoit à table et le nourrit à la main.
Elle lui demande s’il veut du vin. Il acquiesce et elle se sert un verre et se penche pour l’embrasser.
Il s’aperçoit qu’elle a gardé le vin en bouche et lui transfère de bouche à bouche.
Il finit par prendre un copieux repas bien arrosé.
Elle décide alors de l’emmener au salon.
Elle lui a mis un collier et une laisse et elle le fait marcher à quatre pattes derrière elle.
Arrivés au salon elle s’assoit dans le canapé et lui tire la tête vers l’entrejambes.
Il ne se fait pas prier pour plonger la tête dans son sexe.
Bruno se demande ce qu’il fait à lécher comme ça le sexe de cette belle inconnue qu’il n’a vu qu’une fois.
Il n’arrive pas à comprendre comment le fait d’entre attaché et asservi comme ça le fait tant kiffer et bander comme jamais.
Elle lui caresse la tête comme si c’écatit un animal de compagnie. Et il ronronne de plaisir.
Après un bon moment elle le fait se relever.
Il commence à être tard.
Elle l’emmène dans sa chambre ou elle entreprend de l’attacher debout au baldaquin du lit.
Il est attaché en croix face au lit elle lui enlève le masque et il peut la voir.
Elle le contemple de la tête aux pieds.
Puis elle lui met un bâillon boule et lui souhaite une bonne nuit.
Elle fait venir la tigresse et se fait lécher par celle-ci.
Bruno est méchamment excité mais ne peut que regarder cette femme qui est en train de prendre son pied devant lui.
Puis virginie menotte la tigresse et la couche au pied de son lit.
Elle éteint la lumière. La position de Bruno est inconfortable. C’est sûr qu’il ne dormira pas mais il se demande combien de temps il pourra tenir.
Après une bonne heure il entend bouger virginie. Elle allume la lampe de chevet et le regarde avec un sourire carnassier.
Il ne bandait plus mais rien que de la voir une érection massive arrive en un tournemain.
Elle sourit encore plus et vient le palper avec les mains.
Il se tortille sous les rudes caresses qu’elle lui administre. Puis elle le détache et lui met juste des menottes dans le dos.
Elle le couche sur le ventre au milieu du lit et se recouche les jambes écartées à quelques centimètres de sa bouche.
Il la lèche. Elle jouit plusieurs fois et lui dit d’arrêter mais de rester en place. Ils s’endorment ensemble lui la bouche collée au sexe de virginie.
Il est réveillé par une caresse sur la tête que lui prodigue virginie.
Il entreprend alors de lui embrasser le sexe. Elle se laisse faire et bientôt ses gémissements montrent à Bruno qu’il est sur le bon chemin.
L’esclave s’est levée et est partie préparera le petit déjeuner de virginie.
Repue de sexe elle s’étire come une chatte et se lève. Elle prend la laisse et le traine derrière elle jusqu’à la cuisine. Elle s’installe à table et le fait mettre à genou à ses pieds.
Elle se fait servir par l’esclave et nourrit de temps en temps Bruno avec la main. Elle lui fera boire un café comme la veille de bouche à bouche.
Elle donne la laisse a l’esclave et lui glisse quelques mots.
Celle-ci emmène Bruno dans la salle de bains et le lave vigoureusement. Puis elle lui rase intégralement le torse et le sexe.
Une fois ceci fait elle le ramène dans le salon ou l’attend virginie. Il se sent plus nu sans poils et visiblement le résultat plait à virginie.
La matinée se passe à jouer au bon petit animal de compagnie qui doit faire au mieux pour satisfaire sa maitresse.
En fin de matinée virginie demande à l’esclave de sucer Bruno.
Ce qu’elle fait habilement et en quelques minutes il jouit enfin.
Alors qu’il débande un peu virginie s’approche de lui et lui met le sexe dans une cage de chasteté.
Tu vas pouvoir rentrer chez toi mais tu ne jouiras que si et quand j’ai envie.
Tu attendras que je t’appelle pour venir sans aucun retard.
Elle le détache.
Il se rhabille en ne sachant pas trop quoi faire et se retrouve dehors un peu abasourdi de ses dernières 24 heures.
Seule la cage de chasteté et l’impression bizarre d’être sans poil lui rappellent ce qui vient de se passer.
Bruno regarde son tph et s’aperçoit que son ami lui a envoyé plusieurs texto pour lui demander ce qui c’était passé pour qu’il ne vienne pas au repas la veille au soir.
Bruno le rassure en lui écrivant qu’il était trop crevé après avoir sauté la fille pour venir manger. Il n’a pas envie de dire exactement ce qui s’est passé.
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Dominatrices et soumises inattendues. Chap 32 : Martine retrouve Maeva
Maintenant Maëva est devenue le jouet de Laurent.
Elle passe ses journées nue ou habillée de façon provocante selon les désirs de Laurent.
Elle dort au pied de son lit menottée et le réveille chaque matin par une fellation.
En fonction de sa bonne conduite elle est démenottée ou reste ainsi toute la journée.
Les amis de Laurent ont pris l’habitude de la voir ainsi et elle ne prête plus garde à leurs regards lubriques.
Ce jour-là cependant tell est surprise de voir arriver martine chez elle invitée par Laurent.
Cette dernière, désolée de ne plus avoir de nouvelles de sa copine s’en est ouverte à Laurent qui l’a invité à venir voir Maëva.
Martine qui était resté sur l’assurance d Maëva d’arriver à dominer Laurent est surprise en pénétrant dans la maison de ne pas voir sa copine.
Laurent dit à martine que Maëva finit un travail qu’il lui a donné et lui propose de la regarder faire.
Intriguée martine suit Laurent dans le salon.
Il l’invite à s’asseoir sur le sofa et allume une télé les images montrent la pièce « donjon « du sous-sol.
On y voit Maëva attachée les mains dans le dos avec une barre d’écartement elle est penchée en avant car les mains sont reliées à une chaine qui et accrochée au plafond.
Mais surtout elle est en train de pratiquer une fellation à un homme tandis qu’un deuxième la prend par derrière.
Martine ne sait pas quoi dire.
Laurent lui dit que les rêves de domination de Maëva sont loin derrière elle et qu’elle a compris qu’elle était beaucoup plus faite pour être dominée et qu’elle adorait cela.
Martine reste bouche bée.
Elle voit sur les images que Maëva semble prendre son pied.
Quelques minutes plus tard les deux hommes repus quittent la pièce. Laurent dit à martine qu’il va chercher Maëva.
Effectivement martine voit Laurent détacher Maëva et l’emmener hors de la pièce.
Un quart d’heure plus tard Laurent revient en tirant Maëva par une laisse accrochée à un collier.
Maeva est souriante et bondée dans un harnais en cuir noir ultra affolant.
Il lui ceinture tout le corps et elle n’a pas de sous-vêtements en dehors de deux petites clochettes accrochées aux seins.
Martine salue Maëva et Laurent indique à Maëva qu’elle a le droit de parler exceptionnellement.
Puis il les quitte.
Martine questionne Maëva.
Celle-ci répond qu’elle est enchantée de son sort.
Elle pensait être dominatrice mais elle a bien changé d’avis.
Elle préfère de loin être commandée par Laurent.
Elle a toujours eu le fantasme d’être exhibée et là elle est servie.
De plus Laurent lui fournit des partenaires sexuels autant qu’elle peut en recevoir.
En contrepartie elle doit obéir et être quasiment tout le temps nue ce qui la fait kiffer.
Martine se demande si elle doit être jalouse ou pas et en même temps elle imagine Anna et Vanessa avec le même harnais rouge pour l’une et noir pour l’autre.
Maeva lui demande si elle joue toujours avec Anna.
Martine répond que c’est terminé.
Maeva se mord la lèvre.
Elle lui raconte les soirées poker qu’organise Laurent.
Ça émoustille martine qui y participerait bien coté joueur ou coté service.
Puis Maëva parle du couple qu’ils viennent de rencontrer et qui a proposé à Laurent de les parrainer pour entrer dans un club très fermé de joueurs de poker « dominants ».
Martine est intriguée.
Maeva lui explique de quoi il s’agit et lui dit que Laurent cherche une partenaire car les admissions se font par couple.
Il faut un couple marié ou pas et deux esclaves qui sont partagés lors des soirées poker.
Martine est chauffée.
Elle qui en ce moment à une vie sexuelle proche du néant se voit bien avec Anna et Vanessa trainée derrière elle dans de telles soirées.
A ce moment Laurent revient.
Il dit à Maëva de se taire de se mettre à genou et il lui présente son sexe érigé qu’elle se met aussitôt à sucer comme si elle avait oublié la présence de martine.
Laurent demande à martine si Maëva lui a parlé du club.
Martine lui dit que oui mais qu’elle a rompu les ponts avec Anna.
Laurent fait une grimace.
Martine se lance quand même.
Ecoute je vais voir ce que je peux faire. Je ne te promets rien mais je vais y réfléchir et je te tiens au courant.
Laurent est ravi et laisse martine retrouver son chemin pour quitter la maison car Maëva continue sa fellation naturellement.
Une fois revenue chez elle martine ne sait pas que faire. Elle finit par se décider à reprendre contact avec Anna.
Anna est surprise de recevoir un texto de martine qui l’avait « larguée » quelque mois plus tôt.
Le texto dit « salut ma chérie. Si tu veux on peut recommencer mais il te sera demandé beaucoup plus. Je peux t’en parler chez moi. Samedi soir serait très bien Le tiroir t’attend. »
Anna est à la fois heureuse car elle regrette ce temps passé avec martine et intriguée. Que peut lui demander de plus martine.
Elle en parle à Vanessa qu’elle ne quitte plus désormais. Celle-ci est aussi intriguée et dit à Anna qu’elle a de la chance car martine est très sympa comme dominatrice.
Anna lui demande si elle veut entrer dans le jeu avec elle. Vanessa fini par consentir qu’elle est très alléchée.
Anna répond au texto. « Tu peux compter sur Vanessa et moi samedi soir pense à doubler le tiroir. »
Après tout ça ne coute rien d’écouter ce que propose martine.
Le samedi soir Anna et Vanessa se présentent à la maison de martine.
Comme Anna a toujours la clé elles entrent et regardent ce qui se trouve dans le tiroir de l’entrée.
Il y a effectivement deux tenues identiques.
Les deux filles jubilent.
Il y a deux harnais en cuir un noir et un rouge.
Deux baillons boules des menottes et deux anneaux de piercing avec une étiquette esclave de martine.
Deux colliers de cuir avec laisse complètent la panoplie.
Les filles se mettent en tenue et s’entradmirent elles trouvent que ça leur va super bien.
Comme elles font quasiment la même taille tout leur va.
Maintenant elles attendent que martine les invite à entrer.
Celle-ci les laisse mijoter pendant cinq minutes avant de les convier.
Elles entrent au plus grand bonheur de martine qui ne peut retenir un grand sourire.
Comme dominatrice elle n’a pas bien réussi.
Les deux jeunes femmes se précipitent vers elle et elle doit leur donner l’ordre de s’arrêter et de se mettre à genou avant qu’elles ne la télescopent.
Pendant une bonne heure martine joue avec les filles comme avec des poupées.
Elles sont très réactives.
Martine décide alors d’enlever les baillons.
Et ça devient vite torride.
Les filles redoublent d’ardeur pour l’embrasser et s’embrasser aussi.
Une fois les trois femmes repues martine parle alors de la suite.
Elle explique le topo aux filles, la soumission consentie et heureuse de Maëva les parties de poker chez Laurent et enfin le club privé de dominateurs.
Les filles sont perplexes mais bien excitées quand même.
Martine leur propose de commencer par une soirée poker chez Laurent pour voir.
Bien sûr elles seront certainement mises à contribution par les joueurs et la soirée ne sera pas de tout repos.
Les yeux des filles brillent elles topent là et malgré un peu d’appréhension sont prêtres à essayer des choses nouvelles.
La première soirée poker est annoncée.
Martine est invitée avec ses deux esclaves.
Laurent trépigne d’impatience de la connaitre.
Lorsque martine arrive il est ravi de voir que les filles sont splendides.
Il les amène dans la cuisine et elles sont rapidement habillées en soubrette. Aude n’étant pas là elles seront accompagnées de Gisèle qui leur expliquera par geste le travail.
Les deux filles font un effet bœuf lorsqu’elles pénètrent dans le salon poker. Les invités sont ravis de voir de la nouveauté et les deux filles sont excitées de se voir ainsi exhibées devant plein d’inconnus.
Lorsque Laurent les positionne à genou sur un gode mécanique il n’a pas besoin de lubrifiant. Les filles sont déjà chaudes et il en fait la remarque à martine qui est toute fière.
Une fois appelées pour servir les convives les filles s’en donnent à cœur joie et apprécient les caresses intimes qui leur sont faites lorsqu’elles passent à côté des joueurs hommes comme femmes.
Ensuite lors de la pose elles montrent que sans bâillon elles sont expertes pour satisfaire autant les hommes que les femmes.
Martine est fière de ses pouliches.
Laurent qui a bien essayé les deux filles est aux anges.
Elles sont belles, elles sont très obéissantes et se déplacent et sucent comme des reines. Martine est heureuse de leur avoir appris à se déplacer de façon provocante « involontaire ».
A la fin de la soirée l’accord est conclu.
Laurent et martine vont inviter les hôtes susceptibles de les faire entrer dans le club et Anna et Vanessa feront les esclaves.
Martine remarque alors qu’elle n’a pas vu Maëva de la soirée ni aux préparatifs ni pendant la partie.
Elle en fait la remarque à Laurent.
Celui-ci tout souriant lui répond que Maëva a fait une petite crise de jalousie envers les filles et qu’elle a été remise à sa place dans les WC.
Martine ne comprend pas tout.
Va dans les toilettes lui dit Laurent.
Tu en profiteras pour la libérer si tu veux.
Martine se rend dans les toilettes et là elle voit à côté des WC Maëva à genou les mains liées dans le dos un énorme gode en fonctionnement ainsi qu’un vibro masseur collé sur son clitoris.
Elle a un masque aveuglant et un écarteur de bouche.
Sa tête est bloquée dans un espèce de carcan et elle a la tête légèrement relevée.
A son cou pend un écriteau. Urinoir ou fellation j’accepte tout.
Martine comprend que pendant toute la soirée Maeva a attendu patiemment les bites qui venaient se faire sucer ou pisser voire les deux pour certains.
Elle se souviendra de cette soirée.
Amusée elle hésite à libérer Maëva. Puis finalement elle écarte les jambes et se fait brouter le minou par une Maëva incapable de voir qui profite de ses talents.
Maeva sera libérée bien plus tard dans la soirée.
Les hôtes VIP ont acceptés l’invitation.
Afin de les mettre à l’aise Laurent a limité le nombre d’invités.
Martine et les filles sont prêtes toutes excitées de voir qui sont ses inconnus pouvant leur permettre de rencontrer un monde nouveau.
Ce coup-ci les filles ne feront pas les soubrettes mais seront nues menottées dans le dos et se tiendront derrière martine et Laurent comme le veut le protocole tel que l’a expliqué le dénommé Victor.
Maeva revenue en grâce sera la soubrette avec Gisèle et Aude.
Lorsque les invités pénètrent dans le salon martine, Anna et Vanessa ont la surprise de reconnaitre morgane qui accompagne un black Barraqué.
Elles sont dubitatives car Morgane est un peu à l’origine de la brouille entre martine et les deux filles.
Morgane ne fait aucun signe montrant qu’elle les a reconnues.
Elle se tient de façon royale et d’elle comme du black émane une autorité incroyable.
Deux hommes se tiennent derrière eux ils sont en tenue comme les filles avec une cage de chasteté en plus.
Les salutations sont faites.
Victor regarde les filles avec de yeux de fauve.
Elles sont extrêmement impressionnées.
Morgane toise martine du regard mais reste à peu près courtoise.
La soirée avance.
Morgane et Victor essayent et testent la docilité et l’obéissance des filles.
Ces dernières jouent le jeu même si ça ne prend pas la direction qu’elle pensait.
Finalement Victor et morgane acceptent de parrainer Laurent et martine mais ils posent une condition préalable. Il faut que Laurent et martine leur prêtent les filles pendant un weekend.
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