La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 11/03/23
Je suis dans un autre monde, de plaisirs, d’orgasme et d’émotions pur. Je n’étais pas encore totalement remise de mes émotions sur le poteau, toutes remontent rapidement. Je veux jouir, je veux que ce moment ne s’arrête pas. Je sens que les queues ne sont plus les mêmes, mais rien ne s’arrête vraiment, ils doivent changer en alternance. Rapidement, je sens mes bras et jambes se dérober sous moi, je lutte pour tenir ma position, les mains me tenant les fesses et la tête m’aident, mais cela en devient douloureux. Je sens une sorte de grosse caisse posée sous mon torse, je m’y laisse tomber. Ma position n’a pas beaucoup changé et dit vulgairement, je ne suis qu’un trou à bite en ce moment. Ma mâchoire me fait mal, tout comme mon cul. Heureusement, je sens que ma bouche est laissée tranquille. Ma tête penche en avant, tirant sur mes cheveux, mais je n’ai plus de force pour la retenir, je bave abondamment. Tout mon corps ondule aux coups de reins que je reçois, je le sens se finir en moi, enfin dans sa capote, et ressortir. Je sombre dans une sorte de sommeil, n’étant plus réellement consciente de ce qui se passe autour de moi. Je sens juste quelques mains glisser sur mes fesses misent en valeur de par ma position. J’entends quelques bribes de conversations, des au revoir ? Les bruits deviennent de plus en plus faibles, suis-je réellement seule ? Je n’ai pas la force et l’envie de tenter de rentrer en contact, je préfère profiter de ce moment de calme. Il me semble entendre des bruits de pas se rapprochant, la personne semble être devant moi. Une main sur ma joue, la caresse, on m’embrasse le front puis la bouche, je rends ce baiser si tendre. L’inconnue ne semble pas vouloir jouer de mon corps, juste me donner de la tendresse, de la douceur, chose très agréable. Mes chaînes bougent à nouveau, puis on me tire les épaules en arrière, tout doucement. Je me redresse, mon dos me tire, mes bras balancent le long de mon corps. Je me laisse faire, n’ayant plus assez d’énergie pour réagir, mon cerveau étant en mode off. Puis je sens les bras me prendre sous les genoux et les épaules, me voilà soulevée. Tel un gros bébé, je me laisse transportée, ayant confiance dans cette personne, que je soupçonne d’être Monsieur S.. On se déplace, tourne, monte des escaliers. Je suis déposée sur ce qui semble être un lit, un drap me recouvre, un dernier baiser sur la joue et je sombre dans un profond sommeil. Impossible de dire combien de temps, j’ai dormi, mais je me réveille difficilement, les muscles me tirent, je me retourne profitant de cette douceur des draps. Il me faut un moment pour m’en rendre compte, je vois, ma cagoule m’a été enlevée. J’observe ce qui m’entoure, une chambre standard, dans la pénombre. Rien de bien extraordinaire dans l’ameublement. La porte s’ouvre, Monsieur S. arrive portant un plateau qu’il pose sur la table de chevet. Quelques petites choses à grignoter et de l’eau à boire surtout. Il me regarde, souris et viens poser un baiser sur ma tempe. Tu as été magnifique ce soir, mes invités ont beaucoup apprécié ta prestation. Merci à vous Monsieur. Avec tout ce que tu as vécu, je pense que tu voudrais récupérer des forces, ne te gêne pas. Merci Et je commençai à boire, manger quelque peu, je sentais mon corps me remercier de lui donner cette nourriture. Quand je sentis le lit bouger. S. était en train de s’y coucher, mais ne me toucha pas, il attendit que je finisse. Je ne finis pas tout ce qui me fût amené et je me tournais vers lui. Il me prit dans ses bras, me colla contre son corps, juste un gros câlin, juste unir nos 2 corps l’un contre l’autre, juste un cocon de douceur. Que cela était différent et me faisait du bien par rapport à ce que j’avais vécu avant. Nous finissons par nous endormir ensemble
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Par : le 10/03/23
L’anneau du collier est saisi, on me dirige vers un grand panier. Je rentre à tâtons, un grand coussin le garnis, je cherche le piège ou l’arnaque, mais rien, juste l’osier du panier. Repose-toi un moment, on en a pas fini avec toi. Cette voix, ce n’est pas Monsieur S., je réalise en prenant la vérité en face. N’importe qui peut m’utiliser, me diriger, je ne suis qu’un objet et jouet pour eux. En même temps je suis impersonnel, mon visage étant masqué en grande partie, je ne suis qu’une bouche, chatte et cul sur pattes. Un objet de plaisir, dont il faut quand même prendre soin. Tel une chienne, je malaxe le coussin avant de m’y coucher. Les personnes présentent ne se soucie plus de moi, ils parlent de tout et de rien. Une chose est sûr il n’y a que des hommes. Certains parlent de leur travail, ils semblent occuper des postes haut placé dans certaines entreprises. Mais au ton des conversations, cela ressemble plus à une bande de potes discutant entre eux que des collègues. Le temps passe, je somnole, récupérant de l’énergie et surtout reposant mes muscles. On me saisit par la queue de cheval et la tire pour me redresser. Je me lève tant bien que mal, essayant de garder mon équilibre sur le coussin, encore endormie de ma micro-sieste. Je n’ai plus aucune orientation, tout ce que je sais c’est que j’avance car la personne derrière moi pousse ma tête en avant. On s’arrête et on me plie en deux, je tend mes bras et touche une surface plane au-dessus du sol, la claque sur mes fesses me fait comprendre que je dois y monter. Me voilà à quatre pattes, sans savoir exactement où je suis. La chaîne entre mes main est saisie, tirée, j’avance jusqu’à ce qu’une main m’arrête. Je sens que mes chaînes sont bougées, tirées légèrement. Une large ceinture en cuir m’est attachée autour des hanches, très serrée limitant ma respiration. Mes cheveux sont attachés avec une corde, puis tiré en arrière apparemment attaché à la ceinture. Je suis maintenu la tête tirée en arrière, le bassin rétréci et mettant mon postérieur en valeur. Une main parcours mon corps, je suis parcouru d’un frisson ne sachant de qui il s’agit. La voilà à mon épaule, elle vérifie la solidité de l’attache de mes cheveux, puis glisse vers ma joue : Tout va bien, on peut continuer ? Oui Monsieur. Je suis soulagé d’entendre Monsieur S., mais ce soulagement est brisé par une gifle que je reçois. Mes invités n’ont pas bien entendu. On peut continuer ? Oui Monsieur je suis prête à continuer. Bien Et un baiser est posé là ou devrait se trouver mon front puis plus rien. Des mains sont de retours, 2 au niveau de mes fesses et 2 vers mon visage. Quand je sens une queue à l’entrée de mon cul et une à l’orée de ma bouche je comprend ce qu’on attends de moi. L’excitation remonte en flèche, aillant mon image et ma situation en tête. J’ouvre la bouche, accueille ce visiteur inconnu, je suis rassuré en ne sentant pas directement la queue mais une capote, la sécurité est de mise. De l’autre côté je suis visitée également, en douceur, je sens la fraîcheur du lubrifiant. Les hommes s’occupent chacun de leur côté, je ne suis plus que des trous à remplir. Mais j’ai envie de jouir. D’instinct je veux aller chercher mon clitoris, mais mes mains son bloquée, la chaîne semble avoir été attachée.
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Par : le 10/03/23
Il ne faut que peu de temps pour sentir des mains me parcourir, 2, 4, 10, mais ils sont combien en tout ? Seuls mes bras semblent épargnés, tout le reste est caressé, tapoter, griffé, excité. Dans un sens, c’est une libération pour moi, depuis le temps que j’attendais cela, ma réaction est rapide, je souffle plus fort, me dandine, plie mes jambes tant bien que mal. Heureusement que ma bouche est dégagée, je peux respirer librement, mais pas sans difficulté tellement le désir monte vite, amplifié par toutes ces caresses conjointes. Puis toutes les mains disparaissent d’un coup, me laissant là au bord de l’orgasme sans possibilité de l’atteindre. Je sens tout mon corps en feu, chaque parcelle de ma peau désirant un contact, je veux juste jouir, calmer cette explosion sous-jacente entre mes jambes. D’un coup, je frissonne, je sens un souffle frais sur mon dos, il descend, mes fesses, mes jambes, puis remonte et s’arrête à mon entrejambe. Aucun autre contact que ce flux d’air, il tourne autour de moi, se met face à mon sexe. Il est doux, apaisant. Mais ce simple contact crée en moi 2 sensations, d’abord, il apaise, mais il suffit à m’exciter encore et toujours. Je gémis, soupirs d’impatience, j’entends les rires dans la salle. L’air remonte sur mes seins, fait encore plus pointer mes tétons, qui semblent prêts à exploser, mon cou, ma bouche. Un interlude de calme et d’apaisement, que je n’ai pas su apprécier à sa juste valeur. Pourquoi ? Je sens mes cheveux saisi tiré en arrière, une voix juste à côté de mon oreille, c’est S. : Tout va bien où on arrête ? On ne change pas les limites ? Non Monsieur, je suis prête à continuer comme convenu. Brave soumise. Je vais pouvoir finir de te préparer. Et un baiser est déposé sur le coin de ma bouche. Et là une douleur à mon téton gauche, rapidement suivie par une nouvelle douleur à celui de droite. Je me dandine et gesticule comme je peux, mais je les sens reliés entre eux, la chaîne passant de l’autre côté du poteau. J’ai intérêt à ne pas trop bouger le torse. Très bien Messieurs, comme convenu, n’utilisez que ce que vous avez annoncé et mettez-vous dans l’ordre prévu. De ma position, je ne comprenais pas vraiment de quoi il était question et là, une paire de mains, larges, forte, me saisit les fesses, les tirs en arrière. Je sens un membre tendu glisser entres elles, et il disparaît dans mon sexe. Mouillée comme je suis, il pénètre sans soucis, les va-et-vient sont rapides, rapidement, je jouis, enfin. Mais cela n’arrête pas cet inconnu, je sens une nouvelle envie monter, mais c’est à son tour de jouir, je sens son membre se tendre, grossir légèrement, mais pas de liquide chaud en moi, la capote est de mise. Et le voilà qui disparaît et je sens un doux baiser sur mes fesses. D’autres mains me saisissent, plus petites, des doigts plus longs et fin, ils fouillent mon sillon, du lubrifiant y est glissé, il ne va tout de même pas…. oui, je retiens un cri de surprise et plaisir, le voilà avec sa bite dans mon cul. La sensation est différente, mais toute aussi bonne, l’excitation précédente continue à monter, mais un autre style d’orgasme me fait jouir, tout comme lui. Je dirais qu’environ 5 hommes ont joui en moi, en alternant mon sexe et mon cul. Je suis lessivée. - Tu as été magnifique, prête pour l’acte final ? L’acte final ? Comment ça l’acte final ? J’ai un début de réponse quand je sens de multiple lanière me caresser le bas du dos. Une main se pose sur mon épaule, comme pour me rassurer et sentir ma tension et mon excitation. Elle disparaît, puis les lanières reviennent, mais bien plus vite et fort qu’avant. Les coups se suivent, la force et la rapidité de ceux-ci change. Je me tiens à mes chaînes, mes muscles se crispent, mon dos se cambre tout autant qu’il devient rouge. Puis plus rien, je tends l’oreille, plus énormément de bruit, comme si j’étais un spectacle vivant qu’on observait. Une main caresse mon dos, mes fesses, évidemment tout est plus sensible qu’avant même le léger air frais du mouvement de la main me fait de l’effet. Je me retiens de bouger, soupirer. Les caresses changent, maintenant, je sens le bout des doigts bien appuyé contre moi, la douleur monte d’un cran. Je me crispe encore plus, me concentre sur ce que je peux pour ne pas craquer. Les doigts se changent en ongles, qui viennent gratter, griffer légèrement ma peau. Suivant les zones, il m’est impossible de retenir un petit cri que j’essaie d’étouffer, tout comme il m’est impossible de contrôler les réactions de mon corps. J’entends quelques rires et ricanements, comme si quelque chose était en jeu. Et enfin un baiser sur chaque fesse, comme pour me féliciter, me rassurer, en fait, je n’en sais rien. Puis à nouveau plus rien. Et une douleurs vive sur les fesses, sortant de nulle part, inattendue, vive et précise. Elle traverse les deux fesses en une fine bande étroite. Je ne peux m’empêcher de crier, contracter mes bras qui me font me soulever, je m’écrase contre ce poteau. La douleur vive disparaît pour se propager légèrement autour du point d’impact. Et là, je reçois des petits coups, qui ne font pas mal, juste pour que je fasse connaissance avec cet accessoire. Au milieu de ces coups un nouveau violent me refait grimper au poteau. Les rires alentours emplissent la salle pendant que je reprends mes esprits. Ce petit manège de coup se poursuit un certain moment, mais je commence à sérieusement fatiguer. Les bras tenus levé au ciel n’arrivent pas à se reposer après les contractions musculaires. La main revient se poser sur mon épaule, puis un corps contre mon dos. À la sensation, il n’est pas nu, pantalon, pull ou chemise. L’autre de ses mains descend vers mon pubis qu’elle découvre encore bien mouillée. L’autre main descend vers mes seins et commence à jouer avec la chaînette. Je retiens des gémissements de douleur. Tu as été magnifique, félicitation à toi. On continue ? Oui Monsieur, je n’ai plus de force dans mes bras par contre. C’était prévu de te détacher ne t’inquiète pas. Un bref baiser vers la bouche et il disparaît. Je sens mes mains et bras bouger, on me les détache du poteau, ils retombent tel un poids mort. Je retiens la chaîne, comme je peux, pour qu’elle ne vienne pas taper les seins et leurs pinces. Mes pieds sont également libérés, la seule chose qui me retienne au poteau est mes seins. Je n’ose pas bouger et tirer sur mes tétons déjà bien endoloris. Ça va piquer un peu. Avant que je ne comprenne qui me disait ça, une pince est enlevée, et là, c’est comme si des milliers d’épingles venaient se planter dans mon téton. Deux doigts viennent le serrer, et le relâcher en douceur. Mais rapidement, la même chose se produit de l’autre côté. Au moins, je suis libre du poteau.
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Par : le 08/03/23
Le repas fut bon et rassasiant. Je me remet de mes émotions et retrouve mes esprits. Je sens un mouvement supplémentaire au-dessus de ma tête, j’explore et découvre que la queue de cheval à été passée dans un trou de la cagoule. Je dois avoir un look étrange, juste la bouche et le menton visible et la queue de cheval sortant au-dessus. Le cuir de la cagoule est épais, odorant, il crisse quelque peu suivant mes mouvement, que c’est excitant. Des pas se rapproche, j’arrête de bouger, la porte s’ouvre, on me saisit par l’anneau et me lève violemment. Tiens prend ça ! Et je sens la chaîne entre mes pieds tirée et posée dans mes mains. L’anneau est tiré, je suis le mouvement comme je peux. Je fais un bruit terrible en me déplaçant, je manque de tomber plusieurs fois. Les escaliers sont montés maladroitement, je ne peux que faire confiance à celui qui me tient l’anneau. Des bruits de discussions au loin qui s’intensifie. Ahhhhh voilà le dessert ! Et des éclats de rire de tous ceux présent. Je ne reconnais pas cette voix, ni le nombre de personnes présente. Je sens la boule au ventre apparaître de nouveau, je stress et je me retrouve livrée à moi-même quand l’anneau est lâché. J’ai l’impression d’être une proie sans aucune défense au milieu d’une meute de loup. Il me semble sentir des déplacement autour de moi, on me hume, je sens des regards me scrutant telle une pièce de boucherie. Soudain j’ai l’image de moi, nue, enchaînée, aveuglée au milieu d’hommes. Je suis toujours entre l’effroi et l’excitation. Je veux bien présenter, je me redresse comme je peux, tire mes épaules en arrière, tend légèrement mon cul en arrière. Je veux montrer que je n’ai pas peur, que je sais rester forte, en fait cela m’aide plus moi à me rassurer et me sentir moins offerte. Avance ! Il me faut bien 2 secondes pour réaliser que je dois avancer dans une pièce inconnue entièrement nue. Je décide de faire confiance à S. et avance timidement, utilisant mes pieds pour tâter où je vais. Je fini par arriver contre un meuble je m’arrête. Une main viens se poser contre ma nuque et la sert, je n’ose bouger. Un souffle chaud sur mon épaule, un baiser tendrement posé. Tu sais que tu m’a impressionnée ainsi que les autres présent ? Merci Monsieur. Passons à la suite. C’est S. je me détend légèrement, encore plus quand il déposa un tendre baiser dans le creux de ma nuque. Mes poignets sont saisis, la chaîne surélevée puis accrochée, me voilà les bras tendus en l’air. On me décroche une cheville puis la raccroche rapidement, j’essaie de bouger mais la chaîne semble être passée autour d’un axe ou poteau, peut-être ce que j’ai touché avant. Durant ce temps, je sentais la main de S. qui était toujours posée sur moi, les deux par moment, plus dans l’esprit de me rassurer que de m’exciter. Puis sa main glissa de ma nuque à mes fesses, glissa dans le sillon et titilla ma rondelle. Je tendis immédiatement mon cul en arrière le plus possible. Elle se retira et une claque s’abattit sur mes fesses tendue, un petit cri m’échappa et des rires parvinrent tout autour de moi. Messieurs, le dessert est servi. Régalez-vous.
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Par : le 07/03/23
Je me sens balancée d’un coté à l’autre, le métal est froid, je lutte pour ne pas le toucher. A ce que j’estime être un feu rouge, j’essaye de me remettre correctement et surtout vérifier l’état de mon entrejambe que je sens en feu. A ma grande surprise les chaîne sont courte, impossible de me toucher l’entrejambe ou même l’épaule. Je suis privé de tout mouvement. Et je sens la voiture redémarrer et continuer son chemin sur une durée indéterminée. Du coffre il me semble entendre un changement de bruit sous les pneus. La voitures roule plus doucement, puis fini par s’arrêter. Je sens le stress monter d’un coup quand j’entends la portière s’ouvrir et se fermer. Quelques secondes, bien plus qu’il n’en faut pour venir au coffre, va-t-il me laisser là ? Je commence à paniquer, mais sans que je comprenne pourquoi cela m’excite encore plus. J’hésite à crier « orange » mais je me retiens, est-ce là un premier test pour voir comment je me comporte ? Le coffre fini par s’ouvrir, j’entends plus distinctement plusieurs voix masculine. Comment ça, on ne sera pas seul ? Je serai offerte à plusieurs homme que je ne connais pas et verrais peut-être pas ? Pourquoi ces chaînes sont si courtes, je dois calmer l’excitation qui monte et je l’espère ce stress lié. La porte de la cage s’ouvre, je suis tétanisée, ne bouge plus, mon cerveau s’est comme mis en mode sans échec, ne retenant que les informations essentiel. Un léger courant d’air frais, me fait frissonner et donne la chair de poule. Elle est jolie en effet. Pour combien de temps tu l’as ? Jusqu’à ce dimanche soir et elle semble très docile, aucune plainte durant le trajet. Tu vas te régaler, merci de nous avoir inviter en tout cas. Ces phrases résonnent dans ma tête, je ne sais plus quoi penser. Mais j’avais raison, c’était bien une sorte de premier test. Je sursaute presque quand je sens des mains frôler mes poignets. Les cadenas s’ouvrent, les bracelets également. Je ne bouge pas j’attends, est-ce que la cagoule me sera aussi retirée, mais aussi parce que je suis toujours tétanisée. Ah oui belle petite esclave, qui attends les ordres. J’ai été très clair là-dessus dans nos échanges et je suis ravis de les voir si bien respectés. Bien plus que la dernière en tout cas, peut-être est-ce le graal ? Tous éclate de rire, mes bras commencent à me faire mal et mes muscles ne demandent qu’à se reposer. Bien viens, sort ! Je ne me fais pas prier et sort, des mains m’aident, elles ne se ballades pas, elles sont juste là pour m’aider. Comme expliqué dans ses mails, je reste debout les bras croisé dans le dos. Une laisse m’est accrochée au collier et nous avançons, les graviers au sol sont désagréable pour marcher pieds nus, mais je me tais. Nous descendons des escaliers, l’air devient plus frais, presque humide. Puis je sens des lourd bracelets en métal posé, au bruits ils ont aussi des chaînes. Un bruit de porte métallique qui se ferme. Je viendrais plus tard pour le repas, repose-toi en attendant. Et les bruit de pas s’éloignent dans l’escalier. Je ne bouge pas, fatiguée et ne comprenant pas tout. Après un temps indéfini, je me décide à bouger et explorer ce qui m’entoure, tout d’abord mes attaches, puis-je me déplacer ? Les bracelet en métal lourd sont relié entre eux, idem pour ceux aux chevilles. Je peux donc me déplacer, à l’aveugle. J’avance à quatre pattes, le sol est de la pierre brut, froide, rugueuse, je dois faire attention à ne pas me blesser les genoux. Il me semble aller tout droit et arrive à un mur, tout aussi brut, je me relève m’appuyant contre. Le bruit de mes chaînes résonne dans cette pièce. Le mur est tout aussi dangereux que le sol, mieux vaut ne pas tomber dessus. J’explore à l’aveugle, je tombe sur un anneau accroché au mur environ à la hauteur de ma taille, un autre plus loin. Je me déplace, et arrive à la fin du mur. De me doigts je tâtonne l’air et tombe sur une barre de fer verticale. Je comprends, je dois être dans une cellule au sous-sol, d’où le bruit de porte métallique. Je fini le tour de ma cellule, elle semble vide à part ces anneaux accroché au mur. Mon excitation n’est pas redescendue, mon sexe demande toujours une jouissance. Mais je n’en ai pas reçu l’autorisation, je ne sais pas si on peut me voir. J’hésite, puis d’un doigt je vais vérifier son état, rapidement je sens qu’elle est très humide, c’est si bon de pouvoir se toucher. Je continue ou pas ? Ce n’est pas l’envie qui manque. J’arrive à me retenir, à contrecœur, mais je préfère. Je reviens me placer en face des barreaux et m’assied et j’attends. Je somnole, tant d’émotions en si peu de temps mon cerveau est lessivé. Je sursaute quand j’entends un trousseau de clef tinter proche de moi, la porte s’ouvre. Combien de temps est passé ? J’ai dormis ? En tout cas je n’ai pas entendu la personne arriver. Debout et tourne toi ! Je m’exécute, il me semble que je suis donc face au mur. Ma tête bouge, on m’ôte la cagoule, j’entrevois ce qui m’entoure, il y a peu de lumière du coup je ne suis pas éblouis. Des murs en pierre apparente, style château, du mortier blanc entre les pierres, je n’ose bouger la tête et examiner ce qui m’entoure. Je ne bouge pas, je sens une main, puis une brosse dans mes cheveux, on me coiffe ? Ca y est une queue de cheval, je suis encore plus perdue. Puis je sens une cagoule, mes cheveux sont tirés, la cagoule est placée, je sens et entrevois qu’elle est ouverte au niveau de la bouche, mais m’aveugle toujours autant. Les lacets sont tiré et noué, le collier serré et cadenassé, la liberté a été de courte durée. Mange tu vas avoir besoin de force pour après. J’entends un assiette ou plateau ripé sur le sol. Je m’agenouille, cherche en estimant d’où venait le bruit. Mes mains touchent un plateau, je découvre du pain, fromages et charcuteries. Repas simple, mais nourrissant. Une gourde fermée est également posée, je m’empresse de boire. Mais je n’ai pas entendu de bruits de départ ou de porte qui se referme. Il est toujours là, à la voix c’était S. j’hésite, je relève la tête vers sa position estimée. Merci Monsieur. Je ne l’attendais plus, je n’aurais pas tant de patience, ni mes autres invité, fait attention. Oui, pardonnez-moi Monsieur Ça ira pour cette fois, mange je viendrais te chercher en temps voulu. Je mange et bois maladroitement, avez-vous déjà essayé de manger les yeux fermé ? Essayez.
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Par : le 06/03/23
Le train ralentit, s’arrête. C’est un peu la cohue dans le couloir du wagon, les gens se bousculent pour prendre leur valise, passer. Moi j’attends, j’assiste à ce spectacle presque en ricanant, pourquoi être si pressé après tout. J’en profite pour réfléchir à ce qui m’attends, j’en frissonne, je sens mon entrejambe s’humidifier d’impatience même. Je dois vite penser à autre chose, n’ayant rien pour retenir cette humidité le siège et ma robe allaient avoir des marques. La tempête du débarquement est passé, je me lève, prend mon mini sac à main et descend. Le quai s’est bien vidé, je peux marcher à mon aise, je sens quelque regard se fixer sur moi, me suivre. Si seulement il savait que je ne porte rien dessous, j’hésite à relever ma robe pour leur faire voir et observer leur réaction. Seraient-ils gêné, encore excité ou simplement surpris. J’arrive enfin dans le hall et S. m’attends, comme promis, chemise, pantalon noir, bref simple et classe. Je me rapproche de lui, il me prend dans ses bras, mes instructions sont claires, à partir de maintenant je ne dois prendre aucune initiative sans lui demander la permission. Je le sers aussi, ses mains examine mon dos, pas d’attache de soutien-gorge, elles descendent vers mes hanches, pas de culotte. Tout en me prenant par les hanches il me décolle légèrement : Tu as fait bon voyage ? Oui, Monsieur, je n’ai pu m’arrêter de penser à ce que vous m’avez écrit. C’est bien, mais ce ne sera peut-être pas tout. En tout cas les instructions du voyage ont été respectée à la lettre, je te félicite de ça. Est-tu prête à suivre mes autres instruction ? Oui Monsieur. Et si cela va trop loin ou que tu es mal à l’aise que dois-tu faire ? Utiliser le SafeWord « Tracteur » et sinon le code couleur orange. Bien, alors suis-moi allons prendre la voiture. Et sans attendre ma réponse il part en direction des ascenseurs. Troisième sous-sol, la gare ne semblait pas être aussi pleine pourtant. Et en effet, l’étage est presque vide, seules quelques voitures et personne. Nous nous dirigeons vers un coins, les clignotants d’un gros 4x4 s’allume, il ouvre le coffre. Je reste étonnée de ce que je vois, comme une cage de transport pour les chiens, mais là pas de barreaux, des parois métallique rivetée qui semble lourde en plus. Bien, pour commencer tu vas enlever ta robe et la ranger ainsi que ton sac dans ce coffre, dont tu choisiras le code. Il me montre un petit coffre-fort comme dans les hôtels. Je rougis immédiatement, regarde autours, personne, regarde le plafond, pas de caméra, du moins me semble-t-il. Je pose mon sac, timidement enlève ma robe et la pose à côté. Rapidement je choisi un code et ferme le coffre. Je suis nue dans un parking, sans moyen de partir si ce n’est avec S. Allez monte ! Il ouvre la « cage » je monte sans me faire prier, au moins je serais cachée. Et là je sens des bracelets attachés à mes poignets et chevilles, je les examines, ils sont rattaché par des chaînes à la cage. Puis le noir, une cagoule avec uniquement des trous pour les narines m’est installée, fermée par un collier. Des *clic* m’indiquent la fermeture de cadenas, je suis tout à lui. Evidemment je mouille encore plus. Le coffre est refermé, la portière aussi et la voiture démarre.
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Par : le 01/03/23
*Arrivée en gare dans 5 minutes* Ça y est, c’est le début d’une nouvelle aventure pour moi, 1 week-end avec lui, un week-end oui mais pas habituel m’a-t-il dis. Au fait je me nomme Susie et laissez-moi vous raconter comment je suis arrivé à ce point de ma vie. Il y a plusieurs mois de cela j’ai été à un munch, un rendez-vous pour les amoureux du BDSM pour pouvoir discuter librement de tout et de rien et faire des rencontres. C’était une première pour moi, non pas le monde du BDSM mais rencontrer des pratiquants de ma région à visage découvert. Je voulais passer une étape, oser faire des choses en réel et avec quelqu’un. C’est lors de ce munch que j’ai rencontré S. un homme grand, brun de beau, yeux brun foncé. Il se présente comme étant un Maître ou Dominateur, habitant à plusieurs heure d’ici. Devant ma surprise de le voir ici, il m’explique que cela fait longtemps qu’il fait des munchs et du coup connait du monde un peu partout et c’est un moyen de les revoir. Bref le feeling est passé assez naturellement et on a commencé à bien discuter, nos vie, nos désirs et expérience, sur ce point il en avait bien plus à dire que moi. Le temps passe, et nous devons rentrer, avant de se quitter on s’échange nos numéro. Sur le trajet du retour je ne sais pas pourquoi je me sens étrange, comme si je venais de sortir d’un moment hors du temps. Parler avec un inconnu de mes envies, pratiques et expériences sexuelles et cela tout naturellement au milieu d’autres personnes, n’était pas normal pour moi. Et ce S. avait quelque chose de rassurant et attirant, et apparemment il était connu de certains présent donc il ne m’avait pas menti. Le temps passe, les messages et appels échangé aussi, on a eu quelques rencontre en chambres d’hôtels pour des jeux plus intime. Ma première impression était la bonne, un réel feeling existe entre nous, les moments intense sont entrecoupé de franche rigolade. Même attachée à sa disposition, je ressent de la bienveillance de sa part, de la douceur même quand ses mains claquent sur mon corps. Et enfin cet appel, il me demandait si je voulais venir chez lui passer des vacances inhabituelles. En lui demandant ce qu’elles auraient d’inhabituelles, je ne me doutait pas de sa réponse. D’abord surprise et presque choquée, je sentais cette envie intérieure et cette excitation monter en moi. Après quelques jours de réflexion je lui envoyait ce message « Ok pour moi » et les instructions qui m’ont amenées à cette gare ont suivies. Je ne vais pas vous dire tous les détails de ce qu’il m’a raconté, seulement que les instruction pour venir étaient clair, robe légère d’été, sans sous-vêtements, pas de valise, seul un petit sac à main pour les papiers et l’argents. Alors prêt à me suivre pour ces vacances inhabituelles ?
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Par : le 27/02/23
Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure. Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau. — Tu n’as pas honte ? je demande. Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne. Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave. Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie. Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir. Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière. Un long gémissement traverse la pièce. — Petite pute. Elle gémit. — Putain masochiste. Elle gémit. — Tu n’as pas honte ? Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif. — Jouis ! Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme. Je me lève et lui retire les menottes. — Debout ! Elle obéit. Elle s’avance vers le pied du lit. — Cambrée ! Elle s’affaisse vers l’avant. — Tes fesses ! Elle gémit. Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer. Je bande à en mourir. Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs. Je saisis son cou et à son oreille : — Silence ! Chienne ! j’ordonne. Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit. Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur. Elle est belle. Elle est si belle dans la peur. Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.   Couché sur papier en une petite heure...
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Par : le 20/01/23
Pour se détendre avec humour parce que c'est pas parce qu'on est dans le BDSM pour coller des gifles et des fessées qu'on doit se priver de rigoler un-peu, voici quelques Dominants assez célèbres au cinéma.   King-Kong (King-Kong) Assez calin, genre grosse peluche. Enfin, très très grosse peluche, même. Il a également de la poigne, du doigté et du poil au menton (et un peu partout, en fait.). Ce qui en fait un homme, un vrai ! Il aime la vie au grand air et courir tout nu dans les bois. Spécialité(s) : Cordes, Shibari   La bête (La belle et la bête) D'humeur assez changeante, certains matins peuvent être assez pénibles. Il a également tendance à sortir la nuit pour manger des animaux tout crus et comme il ne connais toujours pas le dentifrice, ça reste un peu un problème... Cependant, il s'efforce de protéger sa prisonnière de tous les dangers extérieurs : les animaux aussi sauvages que lui, les voisins, le facteur, les amis, la famille, l'aide humanitaire, etc. Spécialité(s) : Griffures et morsures, Knife Play, Blood Play   Terminator, modèle T800 (Terminator) Fonctionnant sur piles (très) longue durée, il ne laisse JAMAIS tomber la personne qu'il protège. Cependant c'est du courant alternatif et il peut disparaître du jour au lendemain et réapparaître des années plus tard sans que vous sachiez ni comment ni pourquoi. Mais quand il est présent, il ne vous lâche plus d'une semelle et vous n'avez absolument pas le temps de vous ennuyer. Il vous change la vie... et le monde aussi. Spécialité(s) : Fusil à pompe.   Xenomorphe (Alien) Parle peu mais bave beaucoup. Assez collant et très gluant, avec une assez furieuse tendance à vouloir engrosser tout ce qui bouge (homme, femmes, chiens, etc.), adepte de l’échangisme et des orifices en tous genres, très peu porté sur la fidélité et l'hygiène. De plus, sa soumise ne sert généralement qu'une seule fois... Spécialité(s) : Gorge (très) profonde et césariennes foireuses.   Lord of Darkness (Legend) Très théâtral et sachant parfaitement soigner son entrée, il impressionne par l’ampleur des moyens qu'il met en œuvre pour captiver sa soumise : si il veut fermer la lumière, il éteint le soleil ; Si il veut manger un steak, il capture une licorne ; Si il veut un petit chez-soi avec sa belle, il s'offre un royaume. D'un caractère assez fougueux, il voit souvent rouge. Spécialité(s) : hypnose.   Jabba the hutt (Star Wars) Un autre Dominant très collant et très gluant. Ce magnifique corps d'athlète est aussi celui d'un riche homme d'affaire très influant qui sais toujours très bien s'entourer et placer sa soumise en bonne vue. Dans l'intimité, sa grosse langue très agile remplace admirablement tout le reste qui est beaucoup moins agile. Spécialité(s) : Cunnilingus.
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Par : le 09/01/23
Qu’y-a-t’il au bout des fils ? Des soumis évidemment Tous calmes et bien tranquilles Padrona est le tourment Fils de laine Gulliver ADN Uni-vers Pourquoi cela ? Nul ne le sait Pas tant que ça ELLE, elle sait Hommes sages Femme soumise L’émotion Est de mise
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Par : le 04/01/23
Au pays de l’émotion....   Il y a des gens, du soleil, des canapés, de la perversion, des vraies âmes. On part, on revient, toujours accompagné d'un sourire, pour partir comme pour revenir. Il y a aussi des rires, des larmes de joie, de révélation, d'éblouissement. Bruit des fouets, des cris et des pleurs, musique hypnotique aux lumières des bougies, transe et danse accompagnant deux femmes sublimes. Spectacle unique, magique, un privilège. Odeurs des bougies, du feu, et des pins. Saveurs......   Au pays de l'émotion, je suis allée. Et je ne veux pas rentrer chez moi...... Texte personnel, ne pas diffuser. Photo Vel Ropes 2022.
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Par : le 04/12/22
4 ans… 4 ans entre ces deux écrits… Pourquoi ? D’abord la frustration, cela fait plus de 4 ans que je n’aie pas évolué niveau BDSM. Je n’ai pas trouvé de partenaire, puisqu’étant un homme et que, dans ce milieu, c’est une tare, l’offre et la demande, sans doute. Ma première histoire (Episode 1 - elle s’appelait Géraldine) que vous trouverez sur ce même site (si vous voulez lire l’épisode qui précède et explique celui-ci), avait sans doute été un exutoire afin de mieux gérer ces pulsions. 4 ans après, j’ai encore besoin d’écrire, de partager et surtout d’espérer que les rares femmes sur ce forum apprennent que tous les hommes ne sont pas des pervers recherchant du sexe à tout prix et que cette pratique qui, bien que perçue comme perverse, ne l'ai absolument pas : le respect en étant le maître mot. J'ai commencé à me confier à quelqu'un, qui, à priori, n'est pas intéressée par le BDSM mais par mon histoire, à suivre... mais cela m'a immédiatement donné envie de réécrire. Voici donc la suite : Épisode 2 - Elle s'appelait Géraldine, et l'autre Caroline. La fin de l'épisode 1 se terminait pas "je ne savais pas que j'allais la revoir plus tard, mais ce fût le cas" et, oui, ce fût le cas. Nous sommes quelques semaines après... Géraldine et moi n'avions pas échangé nos numéros de téléphone. Nous pensions tous les deux avoir vécu une aventure d'un soir, ce qui m'allait parfaitement, le risque d'attachement sentimental, à cette époque, n'étant pas ma priorité. Seulement voilà, si vous vous souvenez du premier épisode, nous étions partis en groupe, en trip de fin de formation, à Disneyland Paris et Géraldine n'avait pas fait connaissance qu'avec moi, seule la fin de la soirée nous avait offert l'intimité espérée. Elle avait aussi fait connaissance avec Caroline (le prénom a aussi été changé) et ces deux comparses s'étaient construit une petite relation d'amitié les semaines suivantes ledit voyage. Tant mieux, c'est le but des relations humaines. N'étant pas au courant de cette relation, je tombe sur Caroline lors d'une visite sur notre ex-lieu de formation où nous avions chacun un rendez-vous administratif (les derniers papiers de fin de formation). La voyant, je la salue et elle me propose aussitôt sortie de l'établissement d'aller boire un café ensemble. Ce qui me surpris mais, après tout, nous avions fini notre diplôme et pas encore trouvé de travail alors, pourquoi pas ? Je dis surpris car Caroline ne faisait pas partie des "amies" de formation. Comme dans chaque groupe humain, des "clans" se forment toujours et nous n'étions pas dans le même. Sans s'ignorer foncièrement, nous nous contentions des conventions habituelles : Bonjour, bonsoir, à demain. Nous voilà donc au café Georges V, à Lille, afin de commander nos boissons chaudes et je m'attendais à une discussion, certes classique mais dénuée d'intérêt profond. Je me trompais. Dès le départ, je sentis dans son regard une interrogation, comme une envie de me poser une question mais une certaine gêne à l'édicter. Je lui demandai si tout allait bien car je la trouvais différente de d'habitude, 2 ans de formation commune créent une certaine connaissance de l’autre. "Tu connais bien, Géraldine, non ?!?", me dit-elle sur un ton qui, visiblement, n'attendais pas de réponse, mon regard surpris ayant suffi. Géraldine ? Pourquoi ce prénom s'immisce-t-il dans nos cafés de milieu de matinée ? Je tente, maladroitement, une réponse du type : "on a sympathisé et on a fini la soirée ensemble", sans trop donner d'indice. A ce moment précis, j'ai vu son regard changer. Un coup d’œil à droite et à gauche pour s'enquérir de notre solitude et la voilà partie dans une réplique immortelle : "Et tu fouettes souvent le cul de celles avec qui tu finis tes soirées ?" (Silence). Géraldine avait parlé. Certes, nous n'avions pas convenu de secret autour de cette nuit magique mais en parler à une personne que je connais, qui sait sans doute où je compte travailler plus tard, me sembla tout à coup un poil désobligeant. Caroline m'en dit plus : « Je t'explique, Géraldine et moi avons sympathisé après Disneyland. Avant qu'elle ne te rejoigne dans le taxi, nous nous sommes échangé nos numéros (Note pour moi-même : cela explique pourquoi elle ne m'a pas rejoint immédiatement après la descente du bus - cf. Épisode 1). Elle m'a appelé le lendemain après-midi et je lui ai demandé si elle avait passé une bonne soirée avec toi. Elle m'a répondu immédiatement « oui, c'était génial » sans en dire plus. Cela m'a rapidement intrigué car, d'habitude, les femmes ont tendance à raconter leur nuit d'ivresse avec moulte détails et autres ressentis. Je me suis dit : « calme-toi, tu la connais à peine, c'est normal ». Nous nous sommes revus le week-end suivant et avons très vite lié une amitié sincère, mais ça ne s'arrête pas là… » J'étais médusé. Une femme avait trouvé notre nuit ensemble géniale. Je suis conscient qu'au milieu de ces informations, là n'était pas l'essentiel mais je fus touché par ce détail, le reste demeurant du domaine de l'anecdotique... pour le moment. Mon regard bovin devant l'histoire qui se déroulait devant mes yeux n'a pas dû m'aider dans cette aventure, car cela allait en devenir une. Elle continua : "Il y a une semaine environ, Géraldine appris que je faisais partie d'un groupe de pratiquants BDSM. Pour être honnête, je le lui ai dit car je refusai certaines soirées sans qu'elle ne sache pourquoi. J'ai crevé l'abcès et Géraldine m'avoua, en conséquence, la teneur de votre soirée post-Disneyland." Faisons le point : une femme que je connais à peine avec qui j'ai eu une aventure BDSM a dévoilé à une autre femme que je ne connais guère plus la teneur de mes fantasmes les plus intimes. De plus, le diplôme que nous venions d'obtenir étant très spécialisé, nous risquions donc, Caroline et moi, d'être amené à travailler ensemble sur des dossiers communs. Garçon, un deuxième café, s'il vous plait ! Caroline approfondit son explication : « il y a quelques années, j'ai découvert que mon ex-petit ami aimait le BDSM. Il ne m'en avait jamais parlé. Lorsque je l'ai su, je lui ai demandé pourquoi » Et son explication coulait de source : pas de sentiment dans le BDSM, donc il fallait que Caroline sorte de sa vie pour que l'aveu se fasse. Ce fût la porte d'entrée de Caroline dans ce milieu. Elle franchit le pas et fût présentée, par son ex, à un groupe de pratiquants, tous lillois ou proche métropole. Ce groupe était particulier : il possédait un rite d'initiation, basée sur deux soirées où la - ou le - novice, ne peut participer à rien, est attaché(e) à un poteau, en petite tenue (slip pour les hommes et petite culotte, soutien-gorge pour les filles). Il ne se passe rien d'autre, aucune interaction, le novice regarde et, au bout de deux séances, choisit d'intégrer le groupe ou non. Elle n'était plus novice, et ce depuis quelques années. L'initiation s'était bien passée et elle avait décidé d'intégrer ce groupe. N'étant pas un novice en BDSM, une question me vint aussitôt à l'esprit : "Quid des dominant(e)s ?" Sa réponse me surpris, les dominants devaient aussi passer par cette initiation. Petit aparté : je sais que nous sommes sur un forum spécialisé mais, afin que nous soyons au clair question vocabulaire et pour faire très simple, il y a trois types de profil chez les adeptes du SM : les soumis, les dominants et les switchs (qui acceptent de jouer les deux rôles, c'est mon cas, vous allez vous en rendre compte dans la suite de ce récit). Si, pour les soumis et les switchs, cette initiation ne présente à priori aucun problème, il me semble difficile à vivre pour un dominant mais, bon, ce sont les règles de ce groupe. Cette première mise au point étant faite, je me doutais de la suite de la discussion. Caroline allait me proposer d'intégrer ce groupe : je refusai net ! D'abord à cause de cette initiation peu respectueuse des particularités de chacun et, ensuite, parce que, pour paraphraser le Général de Gaulle : "Vive le SM libre !" Si je ne suis pas allergique aux pratiques de groupes en BDSM (si un épisode 3 arrive un jour, vous le comprendrez) mais hors de question de le faire dans un cadre organisé, prévu, dirigé. L'improvisation est mère de connivence. Caroline me demanda pourquoi je refusai aussi vite. Je lui donnai mes arguments. Elle comprit. Cela sentait la fin de notre entretien... jusqu'à ce que ses yeux prissent une autre tournure, plus enjouée. « Tu sais que je pratique aussi de manière personnelle ? » - Seconde phrase que je retiendrai de cette journée ! Comme dirait Jean-Claude DUSSE, j'y vois comme une ouverture. En effet, Caroline pratiquait de chez elle. En fait, elle avait gardé la maison de ses parents, aujourd'hui retraités et partis pour des cieux plus ensoleillés. La famille a les moyens : proche banlieue de Lille, maison individuelle, 4 chambres... et Caroline qui y vit seule. On est presque dans la situation idéale. Et c'est là que Géraldine revint dans la discussion. Elle hésitait, à l'époque, à intégrer le groupe auquel Caroline appartenait. Apparemment, les deux séances d'initiation la dérangeaient, elle voulait pratiquer, mais sans taxe... Alors, Caroline lui avait proposé de l'initier à sa manière, de chez elle, afin de pas la frustrer. Cette dernière avait accepté et, ce soir, une deuxième séance de domination était prévue et il semblerait que je puisse en être la surprise. Alors commence la discussion. Caroline me confirma son statut de dominante. J'en pris bonne note. Elle me demanda aussi si elle pensait que Géraldine apprécierait d'être dominée par deux personnes. Un petit "Tilt" me vint immédiatement en tête. « Bon sang, mais c'est bien sûr, me dis-je à moi-même en avalant mon troisième café, aucune des deux femmes ne connait mon statut de switch. Si, dans l'épisode 1, Géraldine m'a clairement indiqué son identité de soumise et que, il y a quelques instants, Caroline assuma son rôle de maîtresse SM, mon identité n'avait jamais été évoquée. Il était temps de reprendre quelques respirations. Dois-je le révéler tout de suite ? » Je n'ai même pas pris de temps de m'autorépondre que Caroline comprit qu'il y avait anguille sous roche, ou plutôt soumis sous ses yeux. Elle me dit : "tu es Switch ?" - Ma réponse : "Oui, maitresse" finit par la convaincre de changer ses plans. Nous voilà donc partis dans une discussion, obligatoire pour toute relation D/S, autour de ce que j'accepte de subir et ce qu'elle accepte de faire subir. Indispensable précaution, que je conseille à tous car la pratique du SM n'est pas sans danger. La matinée touche à sa fin : je me sens vidé. J'ai donné une liste à une femme qui, en guise de réponse, m'a simplement dit : "ce soir, je ferai tout pour que ton corps n'oublie pas cette liste". Quelle promesse ! Trop hâte ! Je rentre chez moi et pense à Géraldine. Comment va-t-elle prendre cette surprise ? Je ne peux pas la joindre. Si elle le prend mal, je vais sans doute mal le vivre de mon côté. Tant pis : "Alea jacta est" pour paraphraser un autre général. Une sieste, vite, j'ai un rendez-vous ce soir et je ne veux pas le manquer. Caroline a été très claire : « tu arrives à 20h, tu auras déjà mangé et je ne veux rien de difficile à enlever en termes de vêtements. » Je choisis donc un slip, un T-shirt, un pantalon en toile, des baskets et une petite veste pour la route. Nous sommes, certes, en été mais c'est le Noooooooooooord, comme disait le grand Michel. 19h50 : je suis devant la maison, la gorge serrée mais je ne peux pas faire demi-tour, l'excitation est trop grande. Je sonne. Je vois l'ombre de Caroline à travers la porte translucide. Apparemment, la tenue est noire, typique d'une maîtresse, sans doute son personnage. J'entends un rude "Ouvre, c'est ouvert !", sur un ton qui introduit parfaitement l'ambiance de la soirée. Je m'exécute. Première surprise de la soirée : tout le matériel de domination est là. Menottes, cordes, bracelets en cuir (ou simili), chaines, fouets, martinets, pinces diverses et autres sex-toys. Deuxième surprise : Géraldine est déjà là. En petite tenue, à genoux, mains sur la tête, comme punie. Troisième surprise : Caroline me prend par les cheveux et me fait lire l'horloge du salon, un peu vieillotte, sans doute un héritage des parents. Il est 19h55 et j'avais rendez-vous à 20h. Elle me demande sèchement de retirer mes chaussures, mon pantalon et mon t-shirt. La soirée commence. Je suis déjà un vrai soumis. Je fais vite ce qu'elle me demande. Elle pose à terre une sorte de baguette, m'indique un coin du salon, me demande de m'y mettre à genoux... les mains sur la tête. Les genoux, reposant sur cette baguette, deviennent très vite douloureux. « Tu ne bouges pas tant que je ne te l'ai pas demandé, insista-t-elle, ceci est ta punition pour ne pas savoir lire l'heure ». Je comprends donc la position de Géraldine, désormais. Elle aussi, a une baguette sous les genoux. Nous sommes chacun dans un coin, ou plutôt « au coin » et aucun des deux n'ose prononcer un mot. Nous avons donc eu le même problème horaire. Être en avance n'était pas une bonne idée (je me le note pour plus tard). Derrière nous, ça s'affaire. Les préparatifs, à n'en point douter. On entend des bruits métalliques et des objets en déplacements. Ça promet. Notre imagination tourne à plein et cela engendre en nous une excitation non dissimulée, car non dissimulable (vous avez tous compris, ne faites pas semblants). Un coup d’œil à l'horloge. Ça fait 15 minutes, mes bras s'engourdissent, mes genoux ont l'air d'avoir intégré la baguette directement sur mes os mais, surtout, ne pas bouger, accepter sa punition et entrer dans ce rôle car je l'ai accepté. Caroline nous demande à tous les deux de nous lever. La baguette reste collée à mes genoux (qu'est-ce que je vous disais !). Je l'enlève et sourit intérieurement de cette baguette collante.  "Asseyez-vous !", ordonna-t-elle. Une vieille table et ses chaises assorties nous attendais. C’est l'heure des explications : Caroline repris un ton "normal" nous expliquant notre punition (ça, nous l'avions compris) et ce qui se passa après notre rendez-vous matinal. Elle avait pris le temps de prévenir Géraldine de ma venue, lui demanda si cela ne la dérangeait pas et établit avec elle un rendez-vous plus tôt, 19h30, afin de lui indiquer quelques règles supplémentaires, réservées aux soumises non expérimentées. Elle était arrivée à 19h20... vous connaissez la suite. Je n'avais pas fait attention mais il est vrai que ses genoux étaient beaucoup plus marqués que les miens, une bonne demi-heure de plus que moi. Ayant encore la douleur de ma session de punition, je ne pus que la plaindre. Donc, puisque Géraldine n'avait pas respecté l'horaire, elle n'avait pas non plus reçu ces fameuses règles supplémentaires. Le temps était donc venu. Ce que j'en ai retenu est que Caroline connaissait son rôle. Chaque détail y passa : du code de sécurité (ou plutôt des codes de sécurité, car, pour une débutante, c'est plus prudent - Orange : continue mais moins fort - Rouge : arrête ce que tu fais - Noir : fin de séance) en précisant bien que le but d'une séance est d'aller au-delà de ses limites et que ces codes ne doivent être utilisés qu'en cas d'urgence, physique ou psychologique. Sans vous spoiler trop, nous ne les utiliserons pas lors de cette soirée. Elle présenta aussi les objets en sa possession, nous demandant à chaque fois si nous l'acceptions ou non. Pas de spoil, cette fois ci, la suite est là pour ça. Elle termina sa rhétorique par la phrase rituelle : "acceptez-vous de vous soumettre à ma volonté ?" - Géraldine et moi avons répondu en chœur, et je sais que vous seriez déçu si nous avions dit non... alors, Caroline repris son ton inquisiteur : "Debout !" - Je croise le regard de Géraldine, un peu apeuré. Un mouvement de tête, se voulant rassurant, lui fit accepter sa condition. C'est parti ! Caroline pris une corde pour joindre les poignets de Géraldine, mains devant. Elle fit pareil pour moi. Une vraie dextérité, mes mains sont rapidement et solidement attachées, sans être serrées. Elle a de la pratique. Une autre corde va lui servir à nous tenir debout, attachés que nous sommes à la poutre en chêne du salon qui nous accueille. Nous sommes, Géraldine et moi, droits comme des "I". Je ne puis m'empêcher de penser aux repas de famille qui ont eu lieu dans cette pièce, entre l'anniversaire de la grand-mère, la communion du petit dernier et les fiançailles de la cousine. S'ils avaient su qu'ils étaient en fait dans une salle de torture en puissance... Mon esprit revint vite à la scène actuelle, j'y fus forcé. Caroline s'attaquait à moi, à ma fragilité, à ma quasi-nudité et mon comportement parfaitement en adéquation avec ce qu'elle imaginait d'un soumis : les yeux baissés, le silence et l'acceptation de la situation de contrition (ça en fait des mots en "tion"). Positionnée derrière moi, elle commence à me griffer légèrement le dos offert à ses mains pourtant douces. Elle alterne entre caresse, griffures et petites tapes. Étant un habitué, je sais qu'il ne s'agit là que de l'échauffement. Elle me tape discrètement les fesses, les caresse aussi. Mon slip est de trop selon elle. Elle le retire, doucement, ça me chatouille et m'excite en même temps. Le moment de nudité est venu. Tous les soumis et toutes les soumises savent, comme moi, que ce moment est magique. Il veut dire : "je t'appartiens, fais de moi ce que tu veux". J'en profite à fond. Une fois nu, ma tortionnaire m'attache les chevilles, celle de gauche rejoint le bord d'un meuble, apparemment plus lourd que la table susnommée (je vous en prie). Bizarrement, ma jambe droite resta libre et Caroline pris la direction de ma voisine. Un bon mètre nous sépare. Elle reprit le même rituel qu'avec moi, fait de griffures, de caresses et autres petits claquements qui sonnent comme le début d'un accomplissement chez tout soumis qui se respecte. La culotte retirée, avec la même délicatesse, les chevilles de Géraldine se retrouvent elles aussi entravées mais, surprise, notre maîtresse décide de changer l'orientation de sa soumise. Nous sommes toujours, elle et moi, côte à côte, mais j'ai une vue sur le côté "cour" et ma consœur sur le jardin. Elle aura une meilleure vue que moi... Sa jambe gauche rejoint une boucle de fer incrusté dans le mur, près de la cheminée. L'autre jambe demeure, elle aussi, libre. Pas longtemps. Notre tortionnaire joint nos deux chevilles ensemble, tant il est vrai que les salons bourgeois ont rarement un point d'ancrage au sol au milieu du salon. La situation est claire : nous voilà clairement limités dans nos mouvements et chacun des protagonistes a le loisir de voir les fesses de l'autre... et aussi son visage. Nous sommes prêts. Géraldine peut voir en exclusivité les instruments. Caroline en choisit un, le martinet : instrument symbole, que Géraldine connait un peu (cf. épisode 1). Ça la rassure sûrement, mais je sens, vu le parcours de notre dominante, que je vais ouvrir le bal. La première volée me le confirme. On change d’envergure sans pour autant monter dans la douleur. Ça fait mal mais juste assez pour préparer le corps à la suite des événements. Entre deux coups, je cherche le regard de Géraldine qui doit sans doute avoir la même réflexion que moi : je serai, à chaque instrument, le mètre étalon de la souffrance. Ayant déjà été dans cette position, Caroline se sert de moi pour lui indiquer en live ce qui l’attend. Finement jouée, Madame, la jeune femme appréciera. Au bout de quelques minutes et une peau du dos et des fesses commençant à prendre la couleur d’un soleil couchant, Caroline me caresse l’entre-jambes, décidée sans doute à en vérifier l’élasticité, personne n’est déçu du voyage pourtant si court… C’est l’heure de Géraldine. Elle tente de se libérer. Elle a peur. Caroline n’en tient absolument pas compte. Elle contemple sa prisonnière et se félicite d’avoir pris le temps d’apprendre à bien attacher ses amis lors des soirées lilloises. Ses mouvements de sursaut me font tressaillir également, nous avons une jambe en "commun". La maîtresse sonne la fin de la révolution d’un claquement de cuir qui, bien que faisant tressaillir ma compagne d’infortune, la calma aussitôt, prête qu’elle était à subir ce qu’elle était venue chercher. Elle ne fût pas déçue. Les lanières tombèrent sur l’arrière de son corps, à flots réguliers d’abord, puis à vitesse et intensité variable. Sa respiration pris le rythme d’un coureur de demi-fond et, sur la dernière salve, profita de la pause pour souffler un peu. Caroline pris de la distance pour contempler son œuvre : Recto-verso aurait pu en être le titre. D’un côté, un homme, soumis régulier et profitant de l’instant et de l’autre, une novice redoutant le suivant. « C’est bien, dit-elle d’un ton dégagé, on va pouvoir passer à la suite ». Des cordes, plus fines que celles qui nous contraignent et des pinces en métal. Elle s'approche de Géraldine, lui retire son soutien-gorge pour lui en fabriquer un autre, en cordage... Je ne peux qu'admirer la technique, le croisement d'ogives de chanvre à l'arrière de son dos forme une symétrie parfaite. Ses deux seins sont parfaitement soulignés par la couleur claire du cordage. Étant un novice en la matière, je prends des notes, sans stylo et sans main. Ma mémoire va me servir de calepin, vous en lisez le résultat, petits veinards... L’œuvre est presque terminée : les seins de Géraldine sont pris entre deux fourreaux. Ça offre une prise de choix aux cordes plus petites. Caroline choisit un sein et commença à le malaxer fermement, à la limite du pincement, puis l'autre, puis les deux. Elle entoura aussitôt le premier d'entre eux pour le bonder très fermement. La poitrine est généreuse mais, avec ce traitement, ses seins se contractent et prennent, vus de profil, la forme d'une ampoule rougeâtre (car les vaisseaux sanguins, très présents à cet endroit, ne peuvent renvoyer le sang dans l'organisme). Géraldine souffre. Elle n'a apparemment jamais connu ça, mais aucun code de sécurité en vue, seuls quelques cris de douleur viennent perturber le silence de ce quartier tranquille. Une fois les deux ampoules en place, une série de caresse et de très légères griffures, suffisantes vue la situation, traversent la poitrine de la soumise désormais partie dans une extase que je lui souhaite longue. Un regard noir me transperça alors. Ma dominante ne m'avait pas oublié. "Tu prends ton pied, là, non ?!?". Il est vrai que mon double statut de dominant/Soumis me permet de vivre cet instant… intensément. « A ton tour ! », me lança-t-elle. Elle prit ses cordes : je n’ai pas la poitrine de Géraldine et nul doute que son œuvre sur mes seins n’aura pas du tout la même esthétique. Seulement voilà, si les femmes ont les seins qui ressortent, nous, les hommes, avons aussi un organe externe. Je le compris rapidement et à mes dépens. Un petit tabouret sur lequel reposait une plante même pas exotique lui servit d’assise afin d’être au bon niveau pour le travail qu’elle entreprit sur moi… Lors de notre entretien matinal, nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de Ballbusting mais Caroline insista pour que mon sexe fasse partie des organes « torturables » mais sans aucun coup. Ce qu’elle mettait en place respectait ce principe. Ce fût nouveau pour moi… elle encercla mes testicules et les serra assez fort pour que je puisse mentalement en imaginer les contours. Une autre ficelle vint les séparer, prenant ma verge comme point d’appui. Pour me faire souffrir un peu plus, ma maîtresse commença à ma tripoter de sorte que, l’érection en résultant participe naturellement à cet effet de serrage. Une fois bien tendue, un saucissonnage en règle de ma bite vint conclure cette partie. Mon organe le plus sensible, et de loin, ressent chaque cm² de fil. Géraldine regarde le tableau à son tour. Elle commence à s’habituer à sa douleur. Elle me voit sous un autre jour, un autre profil et regarde la scène se rappelant sans doute la dernière fois où elle avait vu ce sexe, dans un élan d’extase. Les pinces ! Je les avais oubliées. Pas elle, elle me demanda par lequel commencer, désignant du bout du doigt mes mamelons. Sans parler, je lançai un regard sur le gauche, sans plus d’explication sur ce choix. L’excitation aidant, mes tétons pointent clairement et sont prêts à accueillir l’objet qui se rapproche dangereusement de la zone, c’est parti. Caroline commença par le pincer et posa délicatement la pince, métallique et froide, sur cette partie sensible. J’émis un cri car le pincement est terrible et je sais que ce dernier risque de durer. Je me prépare pour le second mais, curieusement, elle se dirigea vers Géraldine qui, vu l’état de ses seins, pensait être dispensée de ce sort. Elle avait tort. Le même type de pince que moi vint lui serrer le téton et le cri qui s’en suivit me fît croire qu’elle allait jeter l’éponge. Une larme, seul réflexe du corps encore libre, sonna à la porte de ses yeux. Caroline apprécia ce moment, non pas par sadisme mais bien par complicité. « Tu voulais une dominatrice et tu l’as », semblait-elle lui dire à travers ses yeux eux aussi humidifiés. C’est ainsi que l’on reconnait les vraies maîtresses. Elles sont sans pitié mais pas sans cœur, ce qui peut sembler contradictoire mais, en fait, c’est cette amplitude que chacun recherche et plus le contraste est fort, plus le plaisir vient, tant que l’on reste dans les limites de chacun. Nos deuxièmes tétons reçoivent chacun leur pince (et les cris qui vont avec). Mon cerveau joue avec le haut et le bas de mon corps afin de savoir où est l’urgence dans l’expression de la douleur. Je commence, moi aussi, à me débattre, espérant, en vain, délivrer mes mains pour que celles-ci interviennent et mettent fin à mon supplice. Après quelques instants, j’abandonne ma tentative d’évasion tant la prison qui me retient est bien ficelée. Caroline apprécie chaque instant de cette acceptation et nous annonce qu’elle part dans sa chambre prendre du matériel et que nous pouvons discuter entre soumis pendant ce temps. L’image est cocasse. Géraldine souffre, moi aussi, et nous allons avoir le droit de parler, ce qui est rare dans une séance de SM. « Ça va ? », osai-je bien que connaissant la réponse. « J’ai mal », me répondit-elle aussitôt. Je ne lui ai pas répondu car elle savait que moi aussi. C’était sa troisième séance : je fus sans doute son initiateur mais Caroline l’avait clairement prise en main et son parcours venait sans doute de prendre une autre envergure. Les intensités et les douleurs avaient changé de niveau et il me fallut beaucoup de mots pour la rassurer, lui dire qu’elle avait dépassé ses premières limites et que cela lui serait bénéfique dans la vie de tous les jours, où nos limites sont sans cesse repoussées. Sans m’en rendre compte, je compris que je me parlais aussi à moi-même. De mon côté également, j’avais dépassé une limite. Nous nous contentâmes d’un silence commun, sans doute 5 bonnes minutes (je ne vois plus l’horloge), pour nous concentrer sur cette douleur, désormais diffuse mais bien réelle. Tout en se demandant ce qui nous attendait. Caroline refit son apparition, des chandelles dans les mains, blanches, immaculées et prêtes à servir. « Pourquoi des bougies ? », dû se dire Géraldine, décidemment très novice. Je compris assez rapidement à la vue de ces blocs de paraffine que nos positions allaient changer et que la jeune novice n’irait plus jamais déposer une chandelle à l’église sans avoir une pensée pour cette soirée. Fin de l’épisode 2 – Partie 1 : si celui-ci vous a plu, merci de le mettre en commentaire, que je sache si je peux continuer. Merci d’avance.
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