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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
J'ai choisi cet extrait du dernier volet de la trilogie Odes à la Gynarchie, " Payne et Lope, la déconstruction du mâle ", parce que les dominatrices qui y sont décrites sont des femmes profondément naturelles, loin des clichés convenus de la femme jeune (à quel âge les femmes sont-elles bonnes pour la retraite érotique ?), belle (mais qu'est-ce que le beauté ?), mince (voire anorexique ?), grande (grâce à des talons de 20 cm), rasées de près (parce que la pilosité serait une tare ?), hystériques (la véritable autorité n'a nulle besoin de cris et de violence), sculptées au fitness (les femmes aux formes volupteuses seraient bonnes pour la réforme ?), bref, les femmes décrites dans ce chapitre sont celles de la vraie vie, celles que l'on croise chaque jour, dans la rue, en faisant les courses, à la plage, que l'on imagine sages ou asuexuées et dont pourtant, losqu'on a mon vécu (bientôt 66 balais dont près d'un quart de siècle de BDSM), on sait que parfois parmi elles se cachent de véritables dominantes, sûres d'elle sans ostentation, calmement déterminées, délicieusement perverses, qui à défaut de ressembler à des princesses (ou des sorcières) de contes de fée, sont de véritables reines mères (la lecture du chapitre en entier m'a donné à penser y voir un clin d'oeil à l'oeuvre du maître jamonais du dessin gynarchiste Namio Harukawa)
Extrait du chapitre Le Sauna des Reines :
Lope se présenta le lendemain devant le domicile de Payne avec un quart d’heure d’avance. Lorsqu’elle sortit, Lope lui ouvrit la porte arrière. Payne lui indiqua l’adresse de leur destination. Ils arrivèrent devant un établissement à l’enseigne du Sauna des Reines. Sous le nom apparaissait la mention : établissement exclusivement réservé aux dames.
Lope ouvrit la porte à Payne, qui sonna à l’interphone. Comme Lope restait près du véhicule, elle l’interpella.
- Eh bien, qu’est-ce que tu attends ? Viens.
- Mais il est écrit que c’est réservé aux femmes.
- Cela, c’est pour éviter les importuns. La vérité, c’est que dans ce lieu ce sont les femmes qui font la loi, et que les seuls porte-couilles qui y sont admis sont les soumis qui accompagnent leur maîtresse. Allez, au pied !
Lope rejoignit Payne et entra avec elle. Une jeune femme brune aux yeux couleur de miel tenait l’accueil.
- Bonjour Ornella.
- Bonjour Payne.
- Je te présente Lope, mon nouveau chevalier servant.
- Il a bien de la chance, bonjour monsieur Lope, salua la jeune femme en souriant.
- Bonjour madame, répondit Lope.
- Mademoiselle, rectifia Ornella.
- Ornella aime trop les femmes pour se sacrifier à un homme, précisa Payne en posant un baiser sur les lèvres de la jolie brune. Même si elle ne dédaigne pas de sucer une belle queue de temps en temps, hein, ma jolie ?
- Mais je suis difficile, rétorqua la jeune femme.
- Paie la demoiselle, ordonna Payne à Lope.
Le sauna ne comportait pas de cabines individuelles mais un espace commun aux allures d’un vestiaire de salle de sport équipées de consignes à combinaisons. Deux femmes mûres accompagnées de deux hommes étaient en train de se déshabiller lorsque Payne et Lope entrèrent dans la pièce. Pas le moins du monde gênées de se trouver nues devant Lope, qu’elles ignorèrent superbement, les femmes accueillirent Payne par un baiser sur la bouche.
- Salut belle blonde, c’est ton nouvel accessoire ? demanda celle qui semblait la plus âgée.
- Oui, c’est ma lopette. D’ailleurs il s’appelle Lope. Un très bon élément.
- Tu me le prêterais ? demanda la femme.
- Volontiers, ma chère, je n’y manquerai pas.
La femme arborait une poitrine flasque et un ventre vergeturé au-dessus d’une toison en friche ainsi que des fesses plates et molles, mais son physique ne lui causait manifestement aucun complexe. L’homme qu’elle tenait en laisse était chauve et bedonnant, et Lope avait constaté qu’il portait également une cage de chasteté, plus petite encore que celle de Lope, qui faisait ressembler sa bite à un clitoris à peine développé. L’autre femme, à peine plus jeune, était au contraire nantie d’une poitrine imposante et tombante aux mamelons d’une taille impressionnante, son ventre grassouillet pendait sur sa chatte rasée et son cul rebondi était avachi sur sa culotte de cheval, mais elle aussi assumait manifestement sa plastique. Son soumis, remarquablement musclé, était beaucoup plus jeune qu’elle, et en plus de la cage de chasteté qui semblait de règle dans la communauté gynarchiste, une queue de cheval débordait de son cul en béton dans lequel était planté un plug orné de l’accessoire qui le désignait comme une monture. Effectivement, alors que Payne et la première femme étaient passées dans la partie des thermes en tenant leurs soumis en laisse, la deuxième se déplaçait à cheval sur le sien, contraint de marcher à quatre pattes.
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A la demande de SweetQueen, Douce Reine de la communauté BDSM, que je remercie pour son intérêt, à la suite d’un extrait du 1er volet du cycle Odes à la Gynarchie, je propose ci-après (avec l’autorisation de son auteur) un extrait du 2e volet de cette trilogie, La Reine du Cap et son valet de pieds.
« Nous étions arrivés à la plage. Madame détacha le harnais de mes couilles, fixa ma laisse à mon cou et avança sur le sable en me tirant derrière elle. Elle me laissa sur mes deux jambes plutôt qu’à quatre pattes pour aller plus vite mais la laisse attachée à mon collier fermé par un cadenas, ma cage de chasteté idem, la queue qui dépassait de mon cul, les marques sur mes fesses et les pinces lestées à mes tétons ne laissaient aucun doute sur ma condition de soumis.
Madame alla jusqu’à proximité du bord, ôta ma laisse et me laissa dérouler sa serviette. Puis je m’agenouillais pour lui enlever ses sandales de cuir en n’oubliant pas de lui baiser plusieurs fois les pieds et les orteils. Elle s’allongea, retira son paréo, apparaissant nue et bronzée, et me tendit à nouveau ses pieds.
« Rafraichis-moi ! »
Je massais longuement ses pieds moites l’un après l’autre en les embrassant et en les léchant, puis je suçais lentement et soigneusement chacun de ses orteils. Enfin elle me les retira brutalement et me flanqua une gifle.
« Pour le service ! »
C’était la règle. Je n’étais jamais récompensé pour quoi que ce soit même si je satisfaisais ma maîtresse. En revanche, non seulement j’étais puni si j’obéissais mal à un ordre, mais de toute façon j’étais giflé, pour le principe.
« Creuse ton trou ! »
Je savais ce que j’avais à faire. Je creusais dans le sable une petite tranchée de ma taille et je m’allongeais dedans sur le dos. Ma maîtresse prit ensuite le relais en recouvrant mon corps de sable, sauf mon visage qui restait un peu surélevé. Madame appelait ce genre d’installation son « donjon de sable », référence à la fois aux châteaux de sable que fabriquent les enfants, et aux salles de torture des dominatrices appelés donjons.
Après s’être assurée que tous les gens à l’entour nous regardaient, elle s’installa en hauteur au-dessus de ma figure et urina directement dans ma bouche. Le liquide chaud et salé coulait dans ma gorge comme un nectar parfumé de l’odeur de son vagin. Lorsqu’elle eut terminé et que j’avais tout avalé sans gaspiller une goutte, Madame posa son sexe sur mes lèvres pour que je nettoie les dernières traces, elle se caressa quelques instants sur ma bouche tandis que je fouillais son vagin avec sa langue. Puis elle se retira sans un mot et s’allongea au soleil. »
Extrait de La Reine du Cap et son valet de pieds, 2e volet du cycle Odes à la Gynarchie disponible en ligne
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Vivre au quotidien la soumission à sa Reine : Liberty Jane et Castus l’ont fait et l’ont raconté (*), cela semble à la portée de tous les couples. Alors, mesdames Régentes et Amazones, pourquoi est-ce si difficile à vous trouver ?
« Lorsque Madame était fâchée à mon encontre, elle m'imposait durant ce travail le port de pinces lestées accrochées aux tétons et aux testicules, dont le mouvement de va-et-vient amplifiait la morsure. La douleur atteignait rapidement un niveau proche de l'intolérable, mais l'épreuve qui consistait à les ôter à la fin de mon service était plus cruelle encore tant la souffrance provoquée par l'afflux du sang dans les parties meurtries était fulgurante. Mes tétons conservaient longtemps la trace de ce traitement. Madame avait noté avec satisfaction que, de même que mes testicules s'allongeaient au fil des séances de suspension, mes mamelons s'étiraient de manière définitive. Elle avait en effet des projets concernant le modelage de mon corps et ces modifications, selon elle, s'y prêteraient à merveille.
Les besoins particuliers faisaient l'objet de demandes expresses de Madame, exprimées sous formes de directives verbales souvent accompagnées d'un reproche ou d'une sanction pour ne pas les avoir anticipées, de consignes écrites, ou de simples gestes. Le fait par exemple de laisser ses chaussures là où elle s'était déchaussée, ou d'en sortir une paire, signifiait que je devais les nettoyer et les cirer.
Ma compagne étant perfectionniste, elle prenait souvent la peine de tracer au feutre sur mes fesses quelque inscription relative à ma condition ou à la tâche principale à laquelle devait être consacrée ma journée : « esclave », « bonniche », « salope », « castré », « cocu »... Ces mots étaient illustrés de dessins suggestifs de ma condition : cravache, martinet, sexe ficelé... Et ma maîtresse prenait soin de me cravacher régulièrement afin que les zébrures ressortent sur mes fesses.
« Un jour, je te ferai marquer et tatouer de manière explicite afin de garantir ta condition d'esclave à vie, mais je n'ai pas encore choisi les mots et les dessins que je ferai graver sur ton cul » m'avait-elle promis.
Pour la forme, j'exprimais au début une tentative de rébellion : « Aujourd'hui, on peut effacer les tatouages ».
Madame gloussa. « Tu oublies que je ne possède pas seulement ton corps et ton âme, mais aussi tous tes biens matériels. Si je te répudie, soit je te céderai à une autre maîtresse et c'est elle qui décidera de l'avenir de ton cul, soit je t'abandonnerai dans la nature sans collier ni un radis, alors pour ce qui est de faire effacer tes tatouages ! Et je te rappelle que la sécu ne rembourse pas ce genre de facéties ».
N'ayant rien à répondre, je m'emparais du cendrier pour aller le vider. Madame m'interpella comme je passais la porte : « tu n'oublies pas quelque chose ? »
Je le regardais stupidement. Elle répondit à ma place :
« Répondre à sa maîtresse sans raison valable : dix coups de cravache. Note la punition ».
Comme je me dirigeais en silence vers la cuisine, Madame me coupa de nouveau dans mon élan : « et avoir omis de baiser les pieds de sa maîtresse avant de s'éloigner : dix coups supplémentaires. Note tout cela, ça servira de travaux pratiques pour mes élèves ».
Je notais. »
(*) Extrait du 1er tome des Odes à la Gynarchie, par Liberty Jane et Castus – Le Protocole Gynécocratique, confession d’un mari soumis - disponible en ligne
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À travers une histoire d'amour non conventionnelle, Lena Gott nous invite à une réflexion profonde sur la structure de notre société, la dynamique des pouvoirs et la possibilité d'une émergence gynarchiquee, où les femmes détiennent le pouvoir suprême.
L'histoire d'un désir
Au cœur de l'intrigue, Nara, une femme énergique et déterminée dans ses convictions gynarchistes. Sa rencontre avec un homme qui aspire à être modelé et possédé par elle est le catalyseur d'un bouleversement profond dans la dynamique traditionnelle du pouvoir. Cette relation, bien que basée sur un modèle Maîtresse/esclave, est loin d'être un simple jeu de domination. Il s'agit d'une quête mutuelle de réalisation, où chacun trouve sa place idéale dans le tissu de la société.
Refonte de la société
En approfondissant cette relation, Lena Gott révèle une idée audacieuse (utopique ?!?) : la possibilité d'une société qui embrasse la gynarchie non pas comme une contrainte, mais comme une libération. La mise en avant de l'autorité féminine n'est pas présentée comme une inversion autoritaire du patriarcat, mais comme une évolution naturelle vers une harmonie sociale. La gynarchie devient une force qui calme les tempêtes, qui apaise et qui conduit à des interactions sociales plus douces et équilibrées.
Dépasser les idées reçues
La force de l'ouvrage réside dans sa capacité à remettre en question les idées reçues sur le pouvoir, la domination et la soumission. Lena Gott n'aspire pas à instaurer une dictature féminine, mais à souligner les bienfaits potentiels d'une société où les femmes ont le dernier mot. Elle pousse les lecteurs à se questionner : quels pourraient être les avantages d'une telle société ? Comment cela pourrait-il changer nos interactions quotidiennes, nos aspirations et nos rêves ?
"Nara, l'apothéose de la gynarchie" est bien plus qu'une simple histoire d'amour. C'est un manifeste pour une nouvelle vision du monde, une invitation à repenser nos structures sociétales.
Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Anne Lezdomme, auteure émérite, nous plonge dans un monde fascinant où la Gynarchie devient le point central de sa nouvelle œuvre intitulée "Le Triangle Gynarchique". Ce livre ambitieux offre une vision audacieuse de la société, de la sexualité et des relations humaines à travers le prisme de la domination féminine. C'est à la fois un essai psycho-sexuel, un pamphlet socio-politique, un guide pratique et un recueil d'expériences, qui invite le lecteur à réfléchir sur les rapports de pouvoir entre les sexes.
Un essai polyvalent
"Le Triangle Gynarchique" s'articule autour de multiples facettes de la Gynarchie moderne. Il commence par évoquer un nouvel art de vivre, une philosophie qui propose une alternative aux schémas traditionnels de la société patriarcale. L'auteure explore également le concept de la cellule familiale, offrant une perspective novatrice sur la façon dont les relations familiales pourraient être redéfinies dans un monde dominé par les femmes.
Un guide pour les femmes
Anne Lezdomme s'adresse directement aux femmes, mariées ou non, qui aspirent à se libérer du joug masculin. Elle offre des conseils et des réflexions sur la manière dont elles peuvent trouver leur propre voie dans cette nouvelle réalité gynarchique. L'ouvrage encourage les femmes à embrasser leur pouvoir et à redéfinir leur identité dans un monde où la domination féminine est le maître-mot.
Exploration de la dynamique lesbienne
Le livre ne se limite pas à la seule perspective hétérosexuelle. Il explore également la dynamique lesbienne dans le contexte de la Gynarchie. L'auteure examine comment les lesbiennes peuvent jouer un rôle central dans cette nouvelle organisation sociale, que ce soit en conquérant des femmes mariées ou en établissant des relations durables au sein de couples lesbiens. Cette approche inclusive fait de "Le Triangle Gynarchique" un ouvrage novateur qui considère toutes les facettes de la Gynarchie moderne.
Le masochisme et la soumission masculine
Anne Lezdomme va plus loin en analysant le désir masochiste des hommes de se soumettre à la femme. Selon elle, cette tendance est compatible avec l'aspiration saphique commune à toutes les femmes. Elle examine la place des hommes dans cette nouvelle organisation sociale, tout en reconnaissant que leur rôle est radicalement différent de ce que la société traditionnelle leur a assigné.
Une continuation de la théorie de la gynarchie
Les critiques comparent Anne Lezdomme à Aline d'Arbrant, une théoricienne de la Gynarchie bien connue. "Le Triangle Gynarchique" est le premier volet d'une trilogie, ce qui suggère une exploration approfondie de ce sujet fascinant. L'auteure semble être la digne fille spirituelle d'Aline d'Arbrant, poursuivant la réflexion et l'expérimentation sur la Gynarchie.
Des analyses justes et pertinentes
Les lecteurs qui ont découvert "Le Triangle Gynarchique" louent l'ouvrage pour ses analyses d'une justesse fantastique. Il semble toucher un public qui se reconnaît dans les idées de l'auteure. Certaines personnes ont même témoigné que leurs épouses étaient de plus en plus intéressées par le mode de vie gynarchique après avoir lu le livre. Cela témoigne de l'impact puissant de cette œuvre sur la réflexion individuelle et les relations personnelles.
"Le Triangle Gynarchique" d'Anne Lezdomme est un livre qui bouscule les normes établies et invite le lecteur à repenser la société, la sexualité et les relations de genre. C'est un ouvrage audacieux qui offre une perspective intrigante sur la Gynarchie moderne et qui continuera probablement à susciter des débats et à inspirer des réflexions profondes sur les rôles des femmes et des hommes dans notre monde en constante évolution.
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Simon Purcell, auteur reconnu pour ses œuvres axé sur les principes gynarchiques, nous offre avec "Le prisonnier de Gynarchie" une histoire à la fois douce et intense, qui explore les nuances de la domination et de la soumission dans un monde où la Gynarchie règne en maître.
L'histoire se déroule dans un contexte post-apocalyptique, après la chute de l'Empire Ertien. Antonius, un jeune conscrit de l'armée déchue, est capturé et placé dans un camp de prisonniers sous le contrôle des forces Gynarches. Bien que les conditions de vie soient relativement clémentes, la privation de liberté et la surveillance constante des geôlières rappellent sans cesse aux prisonniers leur statut de soumis. Les chasticapes et colliers traceurs sont des symboles puissants de cette domination, tout comme les punitions corporelles infligées en cas de désobéissance.
Mais c'est la rencontre entre Antonius et Madame Alba qui donne une dimension particulière à cette histoire. Madame Alba, représentante de la Gynarchie, est chargée de "dresser" les prisonniers selon les préceptes de ce nouveau régime. Sa relation avec Antonius est complexe, mêlant domination, désir et peut-être même affection. Cette dynamique entre les deux personnages est le cœur du roman, et Purcell la manie avec une habileté remarquable.
Ce qui frappe dans "Le prisonnier de Gynarchie", c'est la douceur avec laquelle Simon Purcell traite le sujet de la domination. Contrairement à ses œuvres précédentes, souvent plus plus crues, ici l'auteur opte pour une approche plus romantique, sans pour autant sacrifier l'intensité et la complexité de l'intrigue.
Simon Purcell a le don de jouer avec les mots, de les dominer pour mieux les mettre au service de son récit. Sa plume est à la fois élégante et puissante, et il parvient à nous immerger totalement dans son univers. Que l'on soit familier ou non avec le concept de Gynarchie, ce roman saura captiver le lecteur de la première à la dernière page.
"Le prisonnier de Gynarchie" est une œuvre à la fois délicate et profonde, qui explore avec finesse les thèmes de la domination et de la soumission.
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La gynarchie et la domination féminine
La gynarchie, du grec "gyné" signifiant femme et "archie" signifiant règne, est un système social, politique ou familial où les femmes détiennent le pouvoir principal. Dans le contexte du couple, cela se traduit par une domination féminine, où la femme prend des décisions majeures et guide la dynamique relationnelle. Cette domination peut s'exprimer de différentes manières, allant de la gestion des finances à la prise de décision en matière de sexualité.
La cage de chasteté : un outil de transformation
Le livre de Sylvia Labiche introduit la cage de chasteté comme un instrument symbolique et physique de la domination féminine. En détenant la clé de cette cage, la femme assume un rôle d'autorité, contrôlant la sexualité de son partenaire. Mais l'impact de cet accessoire va bien au-delà de la simple restriction physique. Il s'agit d'une méthode pour remodeler la psyché masculine, renforçant l'attachement et la dévotion de l'homme envers sa compagne.
Les bénéfices de la chasteté masculine contrôlée (CMC)
Selon Sylvie Labiche, la CMC offre plusieurs avantages tangibles pour le couple :
Renforcement de l'attachement : L'homme devient plus amoureux, dévoué et attentif à sa partenaire.
Élimination des comportements indésirables : Les traits machistes et les sentiments de jalousie sont réduits, voire éliminés.
Revitalisation de la passion : La dynamique du couple est ravivée, rappelant les premiers jours de leur relation.
L'empowerment féminin à travers la Gynarchie
La Gynarchie conjugale, telle que décrite par Sylvia Labiche, n'est pas seulement une pratique pour le plaisir ou la curiosité. Elle est présentée comme un moyen pour les femmes de reprendre le pouvoir, d'affirmer leur autorité et de gagner en confiance. En contrôlant la sexualité de leur partenaire, elles peuvent également guider d'autres aspects de la relation, créant un équilibre qui leur est favorable.
Contenu du guide
Le livre de Sylvia Labiche est un guide complet pour ceux qui souhaitent explorer la CMC et la Gynarchie conjugale. Il est enrichi d'illustrations, de conseils pratiques, d'exercices à réaliser en couple et de témoignages de personnes ayant adopté cette pratique. Ces éléments permettent aux lecteurs de comprendre les nuances de la CMC et de la mettre en œuvre de manière éclairée.
"Guide pratique de la chasteté masculine contrôlée et de la Gynarchie conjugale" est plus qu'un simple manuel sur un accessoire érotique. Il s'agit d'une exploration profonde de la dynamique du pouvoir dans les relations, offrant aux femmes un moyen d'affirmer leur autorité tout en renforçant l'attachement et la dévotion de leur partenaire. Pour ceux qui sont curieux ou qui cherchent à revitaliser leur relation, ce guide de Sylvia Labiche pourrait bien être la clé.
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Enfin ! Mademoiselle Akira vient de reperer bigjhon, le policier privé qui l'a dépucelée, lors d'un controle appuyé. Il est au café, à l'étage, dans ce gigantesque aeroport. Le vol pour Miami est pour dans une heure. elle fait sagement la queue, en avance comme toujours, cuisse serrées et toujours aussi stricte et conformiste dans ses tenues. Pourtant elle bout à l'intérieur. Bigjhon lui a procuré son premier orgasme et depuis il feint l'ignorer! Elle quite la queue et monte vers le café. Bigjhon est tout rouge. Elle se plante devant lui et ne dit rien. Bigjhon ne peut soutenir son regard franc, droit dans ses yeux à lui. Il baisse la tête.
Aussitôt mademoiselle Akira se sent prise d'une audace qu'elle ne soupçonnait pas.
-Alors bigjhon, on offre pas un café à sa femme.
Big jhon est encore plus rouge. Il suffoque. Pourtant il se lève et va chercher un café. Akira s'assoit, déplie les jambes et écarte les cuisses. Elle sent toute la supériorité de son petit clito sur le gros sexe de bigjhon qu'elle n'a encore jamais vu. ce dernier s'assoit et n'ose plus la regarder.
-Tu sais, il va falloir que tu m'épouses maintenant. Tu n'as pas le choix. Tu m'a dépucellée la première fois avec ton gant en latex et ensuite tu m'as fait jouir.
-Excusez moi madame, je n'ai fait que mon travail la première fois. Ensuite oui, je l'avoue, j'ai eu besoin de vous toucher, de vous caresser.
-c'est normal, je suis ta femme.
Bigjhon ne comprend rien à ce qui lui arrive pourtant il sent qu'Akira a raison; il est complètement fou d'elle et en gros manque. Moche comme il est, qu'une femme aussi jolie puisse s'interresser à lui,. il croit rêver!
Trois mois plus tard, ils sont enfin mariés et bigjhon est venu habiter chez sa femme avec ses chats. Ils font sans arret l'amour. Bien sur bigjhon est trop massif et donc c'est Akira qui le monte et il adore cela, lui laisser le contrôle de l'acte, le controle de sa jouissance.
Et puis Akira a sorti des cordes japonaises et a voulu le ligotter. Au début il croyait que c'etait une lubie, un jeu. Pas du tout. les seances ont duré de plus en plus longtemps et il ne pouvait absolument plus bouger. Il a commencé à obeir totalement à son épouse experte en cordes et noeuds.
Le bonheur total est arrivé lorsqu'elle a sorti les fines canes de bambou. des douleurs incroyables sur ses grosses fesses et son dos. Et puis le plaisir de souffrir. recevoir la cane le fait toujours bander très fort.
Un jour, Maitresse Akira, c'est ainsi qu'il doit l'appeler désormais, lui a apporté son collier et son pannier de gros chien.. Il a du filer tout droit dans son pannier, tout nu, fier d'obeir en tout et pour tout. Un bon labrador docile et très heureux de porter son collier avec un gros anneau acier. Maitresse Akira l'a tatoué de son nom, comme un bon animal de compagnie. De cela aussi il est très heureux. désormais elle l'appele Bibi, vous savez, comme Benjamin, le premier ministre israelien.
-Tu sais Bibi, tu n'as pas interet à regarder les autres femelles, sans quoi je te ferais castrer. Après tout, tu sais très bien me faire jouir avec des gants de latex.
Bibi a baissé la tête. Tout rouge de bonheur.
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C'est l'époque où écharpes et bonnet sont entre l'utile et le pratique...
L'époque où la cave devient complice de Mes envies.
C'est le tant qui déborde de désir et le enfin qui déshabille Ma soumise...
C'est le temps qui ralentit pour que profite l' instant .
C'est son cou qui se tend pour atteindre mes lèvres tandis que l'écharpe fermement la maintient contre le mur rugueux ..
C'est son souffle que Je neutralise à en faire vibrer les sens.
Le chaud froid d'une cave qui gémit en silence quand de l'autre côté du mur résonnent les bruits des gens qui passent.
C'est le plaisir qui coule entre ses jambes à moitié dénudées.
C'est le goût de ses seins sur ma langue, de ses tétons mordillés.
C'est le temps que Je prends à me nourrir de son corps;
L'époque d'un désir tant attendu, d'un manque inavouable de sa chair entre mes mains.
C'est la chaleur d'un désir ardent de glisser mes griffes sur sa peau, de la marquer de mes dents...
Humm! C'est un tout! Un tant ! Un encore au présent.Un moment où elle est l'outil de tous mes désirs...
C'est le chaud froid d'une cave.
Des moments uniques et torides entre elle et Moi...
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Cette semaine a été assez stressante pour toi, mon Monsieur. Je savais que quand ça irait mieux tu auras besoin que je m'occupe de toi. Et je me suis pas trompés. Un matin, après s'être réveiller. Nous nous sommes fait un câlin. D'humeur joueuse je commence à te provoquer. Je te maintien les bras, te pince. Tu riposte et me dit que c'est toi qui domine. On continue alors se jeux. Et petit à petit tu te laisse faire. Et tu me laisse jouer avec toi. Alors je commence à te mordre et à te griffer. Tu gémit sous mon joug. J'ai bien envie de te frustrer. Je viens te bander les yeux. Et tu a bien sûr interdictions de me toucher. Je caresses ton corps en évitant soigneusement ton sexe. Je le frôle. J'approche ma bouche pour que tu puisses sentir mon souffle sur ton sexe. Du pré sperme coule le long de ton sexe ce qui montre ton excitation. Je positionnement mon doigt juste au dessus de ton pénis. Tu essaye comme tu peux d'atteindre mon doigt que j'éloigne un peu plus à chaque fois. Après t'avoir bien frustré. J'ai bien envie de te torturé physiquement. D'une main je caresses ton corps et de l'autre j'assène des petits coups à tes couilles. Je vais crescendo et tes cris aussi. Quand je sens que je vais juste à la limite j'arrête pour venir caresser et apaisé ta douleur. Une fois redescendue je sert fort tes couilles . Puis je recommence les coups. De temps en temps mon autre main vient t'étrangler pour te faire taire. Tu essaye de crier mais tu ne peux même pas respirer. Que je te vois partir alors je m'arrête pour venir te caresser et t'apaiser. Je décide ensuite de jouer avec mes pieds. Alors je me lève sur le lit. Je m'appuis contre le mur puis vient caresser ton corps avec mes pieds. Ta respiration se fait haletante. Tu attends avec impatience ce que je vais faire. Je lève mon pied pour ensuite le positionner au niveau de ton cou. J'appuie juste légèrement pour te montrer ma position supérieur. Ensuite je retire mon pied et je m'élance pour te mettre un coup dans les couilles. Tu émets un cris de surprise et de douleur. Puis je t'assène plein de petits coups rapides. Ta respiration se fait de plus en plus rapide. L'envie monte de plus en plus en toi. Puis soudain j'arrête. Pour venir caresser tes couilles. Je sens que tu n'attends qu'une chose c'est que je joue avec toi Je t'observe avec envie. J'ai envie de te manger. Tu es totalement détendu. Tu as entièrement confiance en moi. Je viens effleuré son corps. Je pars de ta joue pour aller à son sexe. Tu me supplie de te faire du bien. Tu l'a mériter alors je viens doucement caresser son sexe. Tu souffle de plaisir. Puis j'empoigne fermement ton sexe pour ensuite faire des aller retour. J'augmente le rythme et quand je sens que tu monte j'arrête. Tu geins et me supplie de continuer. Mais moi j'ai pas finie de jouer. J'enduis mon doigt de lubrifiant. Et je viens jouer avec tes fesses. Tu me dit que tu ne souhaite pas être pénétrer mais que je peux jouer avec ton œillets. Alors je viens doucement le caresser tout en caressant ton sexe. Je te dit "tu es tellement excité que ton cul est ouvert comme une salope". Tu rougis de honte. Je viens te claquer les cuisses puis caresser tes couilles. Pour ensuite te branler. Je fait monter ton plaisir pour à nouveau arrêter. Je retire ma main de tes fesses et je prend ta main pour te montrer mon désir pour toi. Je mouille tellement que ma culotte est trempé. Je retire ma culotte. Puis j'utilise ta main comme d'un sex-toy. Je me branle avec tes doigts. Je joue avec eux jusqu'à avoir un orgasme sur ceux-ci. Alors je retire ta main. Tu me soupir que tu veux me prendre. Mais tu ne l'as pas encore mériter. Je monte sur toi pour frotter mon sexe contre le tien. Je commence à être moi aussi bien frustré de ne pas me faire baisser. Je rentre ton sexe juste à l'entrée. Tu continue de me supplier de te laisser faire. Alors je te retire ton bandeau et je viens à ton oreille lui chuchote "Je te laisse faire" tout en pénétrant sa bite a l'intérieur de moi. Tu soupir de plaisir et tu te laisse faire. Je te dit " bha alors on a plus envie de me prendre ?" C'est alors que tu pose tes mains sur mon bassin pour imposer ton rythme. J'essaye de te reprendre le contrôle en te prenant les mains. C'est alors que tu me dit " trop tard. C'est à moi de jouer." Tu te retire. Me retourne et me prend a 4 patte. Pour ensuite jouir en moi. Nous nous écroulons tous les deux sur le lit heureux
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Nous sommes en route pour rentrer à la maison. Nous sommes sorti pour voir des amis.
Je suis habillée de ma robe rouge et de mon colier d'appartenance noir.
Sur le chemin, il y a un homme qui fait du stop. Il va en direction de notre maison. Nous arrêtons sur le bord de la route pour lui proposer de monter.
-On peut vous enmener non loin d'où vous voulez aller. Dis-je après avoir ouvert ma fenêtre.
Il me regarde et s'attarde sur mon colier. Il hésite puis me dit
-Avec plaisir
Il monte derrière.
-Merci de vous être arrêté, dit notre passager, je m'appelle Alex et vous?
- Moi je m'appelle Jessica et le monsieur d'à côté s'appelle Nicolas. Tu fais quoi dans la vie?
- Je suis ingénieur dans une grande boîte, me répondit Alex
Au cours de la discussion Alex nous confie que son travail lui met beaucoup de pression. Et qu'en ce moment il fait du stop pour voyager et rencontrer de nouvelles personnes.
Au fil de la discussion Alex nous pose cette question.
-J'ai vue ton collier et je me demandais s'il avait une signification particulière.
A ses mots je rougis
-Vas y je t'en pris répond lui, dit mon Maître sans lâcher la route des yeux.
-Il a un sens pour nous oui, c'est un colier d'appartenance. lui répondis- je timidement.
Je prend la main de mon Maitre.
Et je complète en disant.
- Il signifie que j'appartiens à mon Maître.
-Tu es alors soumise comme moi, dit Alex avec un grand sourire. Je suis surprise de sa réponse mais je lui réponds avec un sourire sadique.
- Pas exactement je suis plutôt Switch
Nous continuons alors la discussion sur le sujet.
Le feeling passe bien avec lui.
- J'aimerais bien le soumettre, dis-je à voix basse à mon Maître
Mon Maître dit alors à Alex
-Souhaite tu passer à la maison boire un coup?
-Allez pourquoi pas, répondit Alex après avoir hésité.
Nous arrivons à la maison.
Nous le faisons rentrer
-Souhaite tu qu'on te montre la maison, lui dit-je.
Nous lui montrons le salon, la salle de bain et enfin notre chambre qui nous sert de donjon.
Au mur est accroché une cravache, un paddle, un martinet et plein d'autre instruments de torture. Dans la pièce sont disposés divers sextoys. Ça va du lapin au wand. Il y a aussi des plugs qui sont avec une queue ou un bijoux et qui sont de diverses taille.
Il a l'air émerveillé en voyant nos jouets. Il regarde ensuite la cage qui se trouve au pied du lit.
-on l'utilise pour garder nos prisonniers captif
On voit ces yeux briller avec envie
Maître et moi on se regarde avec complicité. On se dit qu'on a trouvé notre nouveau jouet.
On a déjà discuté avec Maître de mon envie d'avoir un homme sous mon jout
Je me dis que c'est peut être l'occasion.
Nous lui proposons à boire sans alcool car nous voulons qu'il soit lucide pour accepter ou non notre proposition.
Nous discutons un peu puis une fois que l'atmosphère est détendue mon Maître lui dit.
- Ma soumise a une question à te poser
Alors je me lance et lui demande
- Accepterais-tu de faire une séance avec nous. C'est moi qui te dominerait sous l'obéissance de Maître
Il nous regarde en hésitant.
Maître prend la parole
- On t'a vu regarder la cage avec envie tout a l'heure.
A ces mots, il baisse la tête de honte et acquiesce.
- Il faut que tu le verbalises. répondis Maître
- J'accepte de faire un séance avec vous. Répondis Alex.
- Très bien. Nous allons alors discuter de tes envies et de tes limites.
Maître et lui discute. J'écoute avec attention mais aussi avec envie.
Après cette grande discussion Maître nous demande à Alex et à moi de nous déshabiller et de nous mettre à genoux.
Lui hésite, moi j'obéis immédiatement.
Maître lui redonne l'ordre de façon plus ferme.
Alors il me regarde et il me voit à genoux nue alors Alex fait de même.
Je le trouve beau et encore plus beau à genoux. J'ai hâte que mon Maître m'autorise à le torturer
- Je reviens ne bougez pas. Dit Maître avant de.partir dans la chambre.
Il n'est plus dans mon champs de vision. Alors j'écoute chaque bruit.
J'imagine ce que je vais lui faire.
Ma respiration s'accélère d'excitation
Soudain j'entend un claquement ce qui me fait sortir de ma torpeur.
Maître a apporté une ceinture. Mon jouet favori. Et il le sait au vue de tous nos jeux
Il demande à notre invité de se mettre à 4 pattes.
Il obéit.
-Lève toi ma sluty. Je te donne cette ceinture. Et je t'offre cet homme en jouets. Fais en ce que tu veux.
Je prend la ceinture. J'ai mon grand sourire sadique. J'ai hâte de l'entendre crier de plaisir et de douleur mélangé. Je ne vois pas son visage mais j'imagine bien sa crainte.
Je tend la ceinture, la première claque tombe sur ses fesses. Il crie de surprise.
Puis ensuite de nouveau coup tombe. Pour ne pas l'épuiser, j'alterne entre coups et caresses. Il crie de douleur à chaque coup mais soupire de soulagement à chaque carresses.
Sa respiration se fait plus allaitante. Ses fesses se tendent à chaque coups.
Il crit de douleur mais en demande encore et encore. Je prend mon pied à le torturé ainsi
Ses fesses rougissent sous mes coups.
Quand Monsieur trouve cela satisfaisant, il me demande de lui donner la ceinture.
Je la lui rend. N/notre soumis reprend alors sa respiration.
Monsieur me dit
-Je t'en pris continue à jouer avec ton jouet. Et il me confie, j'aime te voir prendre autant de plaisir
- Merci, Monsieur. Je t'en suis reconnaissante.
Je me dirige alors vers sa tête.
Je lui présente mes pieds et lui demande de les embrasser.
Je fais cela en connaissant son fétichisme de pied.
Mon jouet se baisse puis embrasse mes pieds.
Je prends plaisir à l'humilier ainsi.
- C'est bien ma chienne. Le felicitais-je en retournant derrière lui.
Je lui carresse les couilles gentillement.
Puis, je lui assène un coup dans le couilles.
Il crit et se tord de douleur.
D'un ton sec je lui dit
-replace toi bien
Il se remet alors vite en place malgré la douleur
- bon garçon, lui dit-je en lui caressant son dos.
Je lui carresses les couilles avec mon pied pour ensuite lui asséné un nouveau coup. Il crit mais ne bouge pas cette fois. Je lui carresses le dos pour le récompenser.
Je constate qu'il bande.
- Maitre regarde il bande, la salope aime ce que je lui ai fait. Rigolais-je avec Maître
- ahah je vois ça, répondit Maître.
A nos mot il baisse la tête et rougis.
- Monsieur, tu pense que je peux le faire jouir ainsi?
- Demandons à N/notre salope. Tu penses que tu peux? Dit il a notre soumis.
-Je, je ne sais pas, bégaie t-il
Je lui donne une fessée et tous de suite son sexe réagie. Sa respiration c'est accélérer.
- Et maintenant tu sais ? Lui Répète Maître.
- Oui, je pense pouvoir, répondit-il timidement.
- Allonge- toi sur le dos.
Il suit les ordre de Maître sans broncher.
Le voilà allongé sur le dos avec son sexe lever.
Je lui écarte les jambes pour avoir accès à ses couilles.
Je commence à griffer son corps. Il se tord sous mes griffures. Sa respiration est rapide et forte.
Je lui bloque ensuite sa respiration en mettant la main sur son nez et sa bouche.
Avec mon pied je viens lui taper les couilles.
Son sexe réagie à chaque coup.
J'aime le voir souffrir mais surtout que cela lui plaît. Je sens ma mouille couler de plaisir le long de ma jambe.
Mes coups s'accélèrent, je lui laisse de moins de temps pour respirer. Je le sens monter en pression.
Et là sans prévenir, je le griffe. Alors il n'arrive pas à ce retenir et éjacule sur son ventre.
Il tombe ensuite de fatigue.
Je viens placer sa tête sur mes jambes et je lui carresse la tête et le corps.
Je carresses ses blessures.
Il est totalement détendu. Nous attendons qu'il redescende.
Une fois qu'il est descendu, Maître nous demande de nous mettre à genoux devant lui.
Je lui obéit. Il nous met une laisse. Il nous fait marcher à 4 pattes jusqu'à la chambre.
- Met toi sur le tapis, met toi à genoux et n'en bouge pas, dit il à notre soumis.
Docilement il va s'installer.
- Tu va me voir baiser ta Maîtresse du soir. Je veux que que tu comprenne ta place se soir, lui dit Maître
Il me fait monter sur le lit. Il me met à 4 pattes de façon à ce que notre soumis ne loupe pas une miette. On peut voir ma mouille couler le long de ma jambe. Maître touche à peine mon sexe que je bouge dans ton les sens. Mon sexe est comme électrifier.
Les préliminaires sont inutiles.
Alors il me plaque la tête contre le matelas.
- A toi aussi je vais te montrer ta place, dit Maître avec une voix féroce.
Il me fesse puis sans prévenir il entre sont sexe en moi. Je cris de supprise et de plaisir
Il me baise avec force. Il me bloque, je suis incapable de bouger. Je crie mon plaisir. Être ainsi à sa merci m'excite tellement.
- Ma belle se soir tu n'as pas le droit de jouir. Tu as déjà eu ton plaisir. Je vais juste me faire plaisir en t'utilisant, me grogne mon Maître
Il se retire. Et sans prévenir il pénètre mon anus.
Je cri de douleur et de surprise à son entrée.
Il me possède totalement.
Soudain je le sens se contracter et il jouit en moi.
Nous nous écronlons tous les deux de plaisir.
Notre soumis n'a rien loupé de la scène.
Il bande à nouveau. Je suis contente de l'effet qu'on lui produits.
Maître le regarde et dit.
- Ce soir tu vas dormir sur le tapis au sol. Demain nous discuterons de ce qui c'est passé. Lui dit mon Maître.
Nous ne sommes tous endormie dans un bonheur certain.
Le lendemain nous prime le petit déjeuner ensemble.
Il nous dit avous avoir pris son pied . Et qu'il n'avait jamais connu autant de plaisir. Il nous en remercie. Et nous dis qu'il souhaite renouveler l'expérience et qu'il aimerait dans le future devenir notre soumis.
Nous lui répondit, qu'on a nous aussi beaucoup aimer nos jeux et que nous aimerions aussi qu'il devienne notre soumis.
Nous le ramenons chez lui avec le sourire aux oreilles. Une fois déposée, on se dit à très vite.
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Abus des sens. Envie d’abuser … Tumulte de mes pulsions… plus envie de gérer… Mettre en place cette envie de dominer… Attendre… Vivre l’instant présent… Jouir du mal absolu… Peut-être un peu trop bu… ----------------------------------------------------------------------------------------- Un vent d'amour s'est levé ... L'orage s'éclate! La tempête vit. La nuit est belle... ----------------------------------------------------------------------------------------- Petite nuit une fois l’heureux orage passé. La tête dans un bien être, Je vaque à mes occupations, c’est la rentrée… Peu d’occasions de me poser aujourd'hui, mais qu’importe, les lendemains de mes tumultueuses pulsions sont , pour Moi, source de légèreté d’esprit. Je repense à là où la foudre est tombée avec intensité… Instant violent et ardent… En tout point jouissif… Aboutissement d’une belle journée… C’est la rentrée… Heureuse d’être et d’avoir, Je veux jouir avec fracas… Jouir à travers l’un des Miens… Prendre ce qui m’appartient et l’emmener sans mégarde au cœur d’un somptueux orage… Là où mon amour fait rage. Oui ça gronde, il fait sombre et rude … Les impacts foudroyants déchaînent mes sens… Juste le temps d’enfiler ma tenue de pluie et d'accrocher mes bas… Ô fabuleux orage! Que J’aime tout emporter sur mon passage. Bien amarrer Mon tendre soumis et l’introduire sous ce temps qui claque. Le faire hurler en ordonnant le silence. Lui faire goûter à ma rage d’aimer et prendre tout ce qu’il a à me donner. Perdu au milieu d’un monde nouveau , là, à sa place, dans Mon Antre, découvrant la force d’une tempête d'amour aux milles éclats… Oui, ce n’est que de l’amour. Un tumultueux et ô combien diabolique amour… Marquant à souhait, corps et âme. Aux frontières d'insupportables douleurs , Je prends mon dû de jouissance... Je puise à outrance... J'abuse en toute conscience à grands Coups de tonnerre et éclairs... Jusqu'à ce que le vent s'apaise... Que l'amour tournoyant retrouve sa sérénité... Une pluie dorée calme les dernières bourrasques... Les griffes se rétractent... Je desserre les liens de ma pute et laisse éclater ses sanglots en pluie fine...
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