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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Rencontre sph suite,
Nouveau rdv un samedi . J'arrive devant une maison et sonne . Une charmante dame vient m'ouvrir et me dit directement
Ha , toi tu dois être le petit nouveau qui à un tout petit zizi . N'est ce pas? ca se voie à ta tête que tu en a une toute petite...
Ta maitresse arrive un peut plus tard, et j'ai comme instruction de te préparer... Suis moi.
Je rentre dans cette superbe maison et nous passont par un vestiaire. Et elle me dit, tu imagine ce que tu dois faire ici.
Je répond que non et la elle se marre en me disant, moi je crois que tu le sais mais tu attend que je te le dises...
Alors, A POIL!!!! c'est plus claire? oui madame et m'execute pendant qu' elle me regarde avec insistance
Comme je ne vai pas assez vite pour retirer mon slip , elle me le retire en tirant rapidement dessus et la... grand éclat de rire et me dis
Ah oui , elle ne m'a pas menti Sophie, tu n'a vraiment pas grand chose AHAHA
Elle me prend par le zizi avec deux doigts et me tir vers un grand salon ou tout le monde s'arrête de parler quand nous rentront dans la pièce
Pour observer le petit nouveau.. Il y a une trentaine de personnes moitié femme et homme. Tout le monde est habillé .. Parfois sexy mais habillé
Je suis le seul tout nu exhiber au yeux de tous...
L' hotesse me fait monter sur une estrade pour être le plus visible et me demande de lever les bras (mains sur la nuque) et d'écarter les jambes
Et la , les autres invités commence à faire des commentaires sur ma crevette qui est encore plus petite que d'habitude (la moitié de la taille habituel) je n'en mène pas large. Je suis rouge de honte et suis terifier...
Deux femmes et deux hommes s'approchent et ma prennent par les poignés et chevilles en me soulevent comme un fétu de paille et je suis transporter à l'horizontale vers une "table" (structure en métale avec des files partout et on m'attache fermement les poignés , le chevilles et le ventre avec des ceintures en cuir et en suite je suis bailloné.
J'ai peur et tremble de tout mon corps, j'entend des rires et la pendant qu'une autre femme m'attache le coup .La machine qui est à coté est dévoiler.
Je viens de comprendre que je suis sur une table de torture à décharge électrique. On écarte mes jambes et mes bras encore ( je ne peux plus rien dire et faire à part subir
Et je me fait pipi dessus. Tout le monde adore et rigole beaucoup tout en continuent la préparation (électrode sur les têtons et testicule et une tige de metal dans le zizi...
L'hotesse crie le petit nouveau est préparer pour la fête et ma dominatrice arrive avec ces copines du salon de l érotisme
Et que sa fête commence! et appuie sur le bouton; décharge partout et mon corps tremble encore plus fort
Je ne le saurai que par la suite, mais ca a durer dix minutes qui m'ont parue des heures...
Plusieurs dominatrices sont en attente pour me sodomiser avec leurs gros god qu'elles ne manquent pas de comparer avec ma nouille
Elles seront 10 à m'avoir sodomisé
Je suis liberer et je peux prendre une place de vallet pour servir les invités et servir de soufre douleur si ils en ont envie...
La difference avec les autres vallets, est que suis completement nu vu que je n'ai rien à caher et entre deux services , au lieu de me reposer je dois m'occuper des pieds des femmes et si je ne le fais pas corectement, je retourne sur la table...
Deux femmes me piseront dessus avant douche au carchère et toute la nuit en cage
Le lendemain matin, je suis réveiller avec une petite baguette électrique par l'hotesse (durdur)
un homme vient m'ouvir, je penses que c'est fini mais quatres femmes m'attrape et m'attache les deus poignés à une corde suspendu par une poulie au plafond et tire dessus. Mes pieds ne touche plus le sol. Je hurle de douleur et l'homme met un petit tabouret.
Je serai encore humilier pendant toute la matinée et reçevrai des coups de fouet.
Lhotesse me dit, tu peux enfin commencer ton stage de moin que rien maintenant, donc tu peux reprendre ta place de vallet et tu dormira au pied de mon lit comme un bon toutou. Et ne demande plus jamais après tes vetements, tu n'en a plus et si tu essaye de cacher ton mini truc que tu as entre les jambe , tu retourne directement sur la table! c'est bien compris petite chose? oui . Oui qui Oui maitresse.
Très bien , et quand on a pas besoin de toi, tu te mets contre le mûr jambe écarter et mains sur la nuque
Oui maîtresse
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(C'était il y a un an... souvenirs)
Cette nuit, nous logeons dans un lieu atypique et chargé d'histoire. Amarré à Dubaï depuis quelques années, le Queen Elizabeth 2 est désormais un hôtel luxueux, qui ne navigue plus mais qui a gardé un charme fou. Je me sens à la fois dépaysée géographiquement mais aussi dans le temps avec cette décoration d'une autre époque et une ambiance "Titanic".
La chambre est somptueuse et dispose d'une jolie terrasse qui offre une vue dégagée et sans vis à vis sur le port. La journée s'achève et aussitôt arrivés, mon Maître m'ordonne d'aller au bar chercher deux verres que nous prendrons dans la chambre avant d'aller dîner. Je m'empresse d'obéir et retrouve miraculeusement mon chemin dans le dédale de couloirs, et la multitude d'ascenseurs et escaliers qui composent ce géant des mers.
Lorsque je rentre dans la chambre, je m'attends à ce que mon Maître me dise d'aller m'apprêter afin de Lui présenter son verre en étant parfaitement conforme. Il n'en fait rien et m'ordonne d'amener le plateau sur la terrasse et de l'y attendre entièrement nue. Je suis surprise par cette consigne inhabituelle mais je m'exécute sans poser de question. En arrivant sur la terrasse, je comprends immédiatement. Le soleil couchant embrase le ciel au-dessus de l'horizon et offre un spectacle magnifique mais éphémère. Si j'avais dû être conforme, la nuit serait tombée avant que je ne sois prête.
Il me rejoint alors que je suis nue et agenouillée, le plateau qui supporte nos verres entre les mains, la tête et les yeux baissés, soumise. Il s'installe dans un confortable fauteuil face au soleil couchant et m'autorise à relever les yeux et à profiter du spectacle.
Peu de temps avant, j'étais emmitouflée dans mon manteau et mon écharpe pour traverser Paris, et ce soir, je suis nue sur une terrasse de paquebot, à admirer le soleil se coucher derrière le golfe Persique. Je me délecte de ce contraste, de ce voyage imprévu. D'être là, Sienne, à Ses pieds.
Je tends le plateau vers mon Maître qui saisit Son verre. Il m'autorise à prendre le mien. Nous trinquons à ce nouveau voyage. Il s'amuse de voir mon sourire et mes yeux pétiller de bonheur. Nous évoquons d'autres souvenirs, d'autres pays. La Laponie il y a peu. Moi qui adore les contrastes, je suis comblée. Tandis que nous parlons, le soleil poursuit sa course vers la mer et je me remémore d'autres moments, d'autres ciels embrasés. Je ne réalise sans doute pas la chance qui est la mienne.
Mes yeux se tournent un bref instant vers la chambre et mon Maître le remarque aussitôt. Il m'interroge du regard et je Lui répond que j'ai été distraite par notre reflet dans la baie vitrée. De là où je suis, je me vois entièrement, agenouillée, les fesses sur les talons, pieds nus. C'est sans doute ce qui a le plus attiré mon attention tant c'est rare. Mais ce que j'aime le plus, c'est Sa main posée entre mes reins, sur le haut de mes fesses.
J'aime cette image que nous renvoyons. Ma soumission totale, ma nudité, mon collier d'acier, ma position agenouillée, et Sa main, simplement posée entre mes reins alors que nous discutons.
Il m'autorise à prendre ce reflet en photo et malgré le soin que j'y mets. le cliché n'est pas aussi beau que l'image renvoyée, mais j'aime ce qu'il représente. Un moment à la fois unique et hors du temps, au cœur d'un voyage incroyable sur un pont de paquebot mythique, mais aussi finalement très naturel et représentatif de notre Lien si particulier. De notre complicité.
Le soleil a disparu derrière la mer, quelques bâtiments se sont illuminés çà et là. La nuit tombe sur Dubaï. Nos verres sont vides. A son ordre, j'enfile une robe et une paire de talons. Nous allons dîner.
Après, je prendrais le temps de m'apprêter comme Il aime que je le sois. Alors, il disposera de moi comme Il en aura envie.
Ici ou ailleurs, je Lui suis pleinement soumise.
(Vous pouvez retrouver d'autres textes et extraits de mes romans sur mon blog : www.evadelambre.com)
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Quotidien d'une Tradwife
Dévouée, docile, obéissante, dépendante, se donner corps et âme et se montrer volontaire pour plaire à l'être supérieur, mon Maitre.
Toutes ces qualifications sont celles d'une esclave mais aussi celles d'une tradwife, après tant d'années de honte et de timidité me voilà en dressage et en éducation aux pieds de mon Maitre pour faire de mon Maitre mon Dieu, qui m'a donné confiance en moi pour être fière de ma condition de femme inférieur contrôlée et dirigée avec sévérité et bienveillance.
Dans cette société moderne il est difficile de définir la féminité et la place de la femme ainsi que son rôle, surtout depuis l'avancé du féminisme qui remet en causes les normes sociales.
Alors je m'en remet à mon Maitre pour être guidée, à travers ces désirs et ces attentes et à travers mes valeurs familiales traditionnelles pour savoir comment je dois me comporter en tant que femme.
Et en tant que tradwife le sens de ma vie est défini par l'amour et la dévotion que j'ai en vers mon Maitre, je me donne corps et âme pour lui plaire aussi bien dans mon comportement que mon apparence physique en étant sexy pour être l'objet de convoitise et de désir pour le plus grand plaisir de Maitre.
J'ai le devoir de me montrer attentionnée à travers chaque missions que j'ai à accomplir dans la journée.
Il rythme le quotidien à travers son organisation et ces désirs, et en tant que femme je me dois de lui apporter un confort, un soutien, en etant au petit soin en signe de reconnaissance et d'amour.
Il me guide à chaque instant pour faire évoluer la femme que je suis à travers des rituels, et me pousse à m'investir et me donner corps et âme dans chaque choses que j'entreprends.
Comme me faire belle et sexy pour lui préparer et lui servir un bon repas, le détendre après sa journée de travaille en lui apportant du réconfort et de la douceur autour d'un bon dîner ❤️
Comme lorsque que Maitre me donne de l'argent et me dit d'aller faire les boutiques pour le faire succomber au charme du corps féminin vêtu de dentelle et de satin.🫦
Et quand je m'apprête en robe moulante pour faire le ménage à quatres pattes au sol, une femme doit savoir tenir une maison, pour cela il n’y a pas de miracle, il faut frotter pour que ça brille.
Sous la direction et les ordres de mon Maitre je tiens un compte instagram ou je partage ma vie d'esclave et de tradwife au pieds de mon Maitre.
J'ai hâte de vous y retrouver 😘
tradwife.devouee
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C’est ainsi qu’à la fin août l’an dernier (7 ans quasiment jour pour jour après notre rencontre), mon petit message est arrivé dans sa boite.
Je voulais simplement avoir de ses nouvelles, voir s’il allait bien ; rien de plus, car à cette époque, je venais de rencontrer quelqu’un et j’étais très bien dans ma vie.
Il m’a répondu quelques jours après, très heureux d’avoir de mes nouvelles.
Nous avons ainsi discuté par écrit pendant un peu plus d’un mois de nos vies respectives, de notre relation passée, de cette complicité si belle et absolue que nous avions tous les deux. Il en parlait avec beaucoup de nostalgie parce que, comme il l’a souligné, c’était vraiment magique ! Il m’a même avoué qu’il n’avait ressenti ce feeling, cet abandon, ce partage, cette grande intimité qu’avec moi et que ça lui manquait beaucoup.
Et contrairement à nos échanges passés, qui étaient principalement basés sur notre relation Maître/soumise, j’ai appris à découvrir l’homme : j’ai découvert ses passions, mais aussi ses fragilités, qu’il s’efforce de cacher non pas pour ne pas paraitre moins fort, mais pour tenir face aux aléas de la vie. J’éprouve aujourd’hui une grande tendresse pour cet homme.
A force d’échanges, l’envie de nous revoir s’est faite de plus en plus forte, toujours sans arrières pensées puisque j’étais en couple (et même s’il me taquinait beaucoup).
Nous avons ainsi décidé de nous revoir, en amis, début octobre lors d’une soirée au restaurant. Nous étions très impatients !
Bon ou mauvais karma, la veille de notre rendez-vous, j’ai rompu avec mon compagnon. Je m’étais rendue compte que nous n’étions vraiment pas compatibles et ai préféré partir plutôt que d’essayer de continuer en sachant que cette relation était vouée à l’échec tôt ou tard… J’étais amoureuse et cette décision m’a rendue, bien évidemment, malheureuse, même si elle était nécessaire à mon bien être futur.
Mon Maître a été très triste de l’apprendre mais nous avons décidé de nous voir quand même car j’avais besoin de me changer les idées.
Nous avons passé une très belle soirée tous les deux, à parler de nos vies, de nous, d’un tas de choses ! Il était toujours aussi beau, voire encore plus, avec ses cheveux grisonnants et ses yeux toujours aussi bleus et magnétiques! Et il m’a trouvée aussi craquante qu’autrefois.
Après cette jolie soirée, nous avons continué à échanger par écrit, et bien sûr, nos conversations ont commencé à dériver vers le sexe. Je lui ai expliqué que pour moi, le bdsm c’était terminé, que je ne pensais pas avoir envie de m’y remettre.
Soit. Nous pouvions toujours nous voir pour du sexe vanille « amélioré ».
Et c’est tout naturellement que fin novembre, il est venu chez moi. Nos corps se sont retrouvés et ce fut… très bon, très chaud. Je lui ai remis ce soir là un double des clés de mon appartement et il est revenu très tôt le matin pour me réveiller alors que je dormais. C’était un scénario que nous nous avions prévu de réaliser car lui comme moi aimons ce genre de jeux.
Les jours suivants, nous avons recommencé à parler bdsm… J’avais tout de même l’envie d’essayer à nouveau, voir si j’en avais effectivement terminé avec cette période de ma vie ou si la soumission faisant vraiment partie de moi.
Je lui ai donc dit qu’il faudrait y aller doucement, car en 7 ans, j’avais beaucoup perdu et que la douleur, le lâcher prise, l’abandon total, me faisaient un peu peur…
Il y avait fort longtemps que j’avais envie de tester une love room axée sur le bdsm dans notre région et j’avoue que ce fut une excellente chose que j’ai soumise à mon Maître, très très enthousiaste à cette idée lui aussi !
Nous l’avons ainsi découverte début décembre. Très beau lieu d’ailleurs, aussi bien pour la découverte que pour des personnes averties : ambiance rouge et tamisée, fauteuil tantra, balançoire, attaches et autres menottes, cravache, fouet, croix de Saint André ! J’avais toujours rêvé d’en tester une sans jamais en avoir l’occasion ! Le bonheur.
Nous avons passé une merveilleuse soirée à nous retrouver dans nos jeux d’antan ; certes plus softs afin que je redécouvre doucement, mais sûrement, toutes ces sensations oubliées et j’ai ainsi pu voir que oui, je suis une soumise dans l’âme, ce dont mon Maître d’ailleurs a toujours été convaincu.
Quel véritable bonheur de se retrouver ainsi, de retrouver cette connivence, cette envie, cette totale confiance !
Notre relation Maître/soumise a ainsi redémarré et nous avons décidé d’une première vraie séance chez moi la semaine suivante. Avec un scénario dont j’avais envie depuis longtemps (mais qui me gêne car dans la réalité, c’est quelque chose d’innommable – et pourtant, le fantasme d’un grand nombre de femmes) : être prise de force par un inconnu.
Ce fut comme je l’imaginais : intense et terriblement excitant !
Nous nous voyons depuis très régulièrement, à raison d’une fois par semaine au minimum.
Je (re)commence à me dépasser, petit à petit. A redécouvrir le lâcher prise, le plaisir dans la douleur, la satisfaction de mon Maître à me voir ainsi totalement abandonnée… Sa fierté.
Après une petite semaine de brouille (car on ne se refait pas, j’ai recommencé à avoir le béguin pour lui), il m’a laissée réfléchir à mes envies, à mes attentes, à mon rapport à lui et à notre relation et j’ai retrouvé la sérénité et l’envie d’aller loin, très loin avec lui : être totalement sienne, qu’il m’éduque, qu’il m’élève et qu’une fois prête, que nous fassions tout ce dont nous avions rêvé auparavant mais que nous n’avions pas eu le temps de faire : qu’il m’exhibe en soirée privée ou en club, qu’il me regarde me faire baiser par d’autres hommes, qu’il me prête à d’autres dominants… Nous avons un tas de projets !
Nous avons signé le contrat qui nous lie il y a très peu de temps. Un contrat à durée déterminée de 3 mois, car évidemment, mon Maître se méfie et attend de voir si ma tolérance à ses travers, comme il les nomme, est solide ou non. Ce contrat pourra également être dénoncé par moi-même si je rencontre à nouveau l’amour.
Combiner les deux aurait été idéal mais…
Aujourd’hui, j’oscille entre le désir d’être à nouveau heureuse affectivement et amoureusement avec un homme, et celui de continuer à m’élever dans ma soumission grâce à mon Maître en qui j’ai entièrement et absolument confiance.
Le destin choisira sans doute pour moi.
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Caprice
01
Son pied nu dans une petite mule. Désir.
Immédiat.
Et le regard de l’amateur se glisse entre la plante du pied et la semelle grise. Le regard ? Hypnotisé par cet espace.
La mule ?
Haut talon, petit nœud et velours noir. La semelle et le talon sont gris.
Le pied, très cambré, rose, est engagé mais, délicatesse du geste, la plante ne touche pas encore la semelle.
Espace. Mouvement. Désir.
Elle se hausse sur la pointe du pied à l’intérieur de la mule. Son talon ne touche pas la semelle. Une veine bleue court autour de la cheville.
Elan.
Le modèle est nu. La fille se tend. Se cambre. Assise au bord du sofa. Si haut qu’elle ne touche le sol que du bout du pied.
L’autre jambe repliée, ramenée derrière elle. Sur le sofa. Recouvert d’une fourrure.
L’autre mule, abandonnée, tombée, renversée, git à terre.
La fille est nue. Très jeune.
Le pubis, noyé dans l’ombre, est-il lisse ? Ou faut-il deviner l’esquisse d’une toison fauve ?
Le corps svelte. Admirable. Le buste étroit.
Chère petite chose rose.
Le ventre légèrement bombé par la cambrure des reins. Les seins, petits, à moitié cachés par le bras droit tendu.
Les membres fins. Bras, mollets, cuisses.
La fille fait semblant d’examiner un vase. Allusion obscène. Qui donne au tableau son titre : Le vase préféré.
Le peintre a-t-il baisé la fille ? Albert Penot. Qui n’a peint que des femmes. Nues. Obsédé ! Erotomane distingué ?
Le tableau date du début du vingtième siècle.
Mais la fille ? Quel âge a-t-elle ? Aujourd’hui ?
Le bout de son pied est caché.
Comment sont ses orteils ? Qui donnent au pied sa physionomie. Sa personnalité. Son identité.
L’autre pied, droit, celui de la jambe replié, repose donc à l’envers sur la fourrure. La plante en l’air. Impossible à identifier.
Et l’amateur se désespère.
L’enquête est impossible. Le peintre est quasiment inconnu. Albert Penot. 1862-1930. La date sur le cartel est donc erronée : 1809. Faut-il lire : 1909 ?
Y a-t-il des archives ?
Comment retrouver la fille ? Morte il y a belle lurette.
Et à quoi bon ? Il n’y a pas d’autre issue que de fantasmer sur ce pied.
Le tableau est visible à Béziers. A l’hôtel Fayet. Une salle du fond. Au second étage. Sur le panneau à gauche de la porte.
Quand sortira-t-elle du tableau ?
02
Nue.
Seulement chaussée de mules, elle déambule.
Petite pute ou modèle du peintre dont elle est la maîtresse ? Très jeune, très chatte. Caressante.
Elle fait semblant de ranger des objets, bibelots, vases, miniatures, biscuits de Sèvres, de Saxe (Meissen).
Comme une enfant, elle joue avec les collections du peintre. Se penche vers une étagère basse pour y prendre un sujet, un petit personnage : quelque pâtre jouant de la flûte sur un rocher.
Les reins cambrés. Le cul tendu.
Quel âge a-t-elle ?
Sous le lourd chignon d’un sombre roux qui la fait femme, elle semble si jeune. L’entre-jambe paraît glabre. Le pubis lisse ou à peine ombré d’un fin duvet plus clair, fauve, presque blond.
C’est avec une fausse candeur, innocence feinte, qu’elle aguiche le peintre.
Elle fait la moue.
De sa bouche. Sérieuse. Les yeux rieurs. Combien de queues a-t-elle déjà sucées ?
Impudique, elle s’offre au regard du peintre. Elle se fait admirer.
Le buste étroit, le corps gracile, gracieux, longiligne. Gestes déliés.
Elle déambule. Fait semblant de s’agiter. De ranger : des chiffons, des tubes de couleurs écrasées qui trainent, des pinceaux.
Et, en regardant le peintre, droit dans les yeux, elle s’empare du plus gros : une brosse ronde épaisse. Dont elle caresse sa joue. Balayage comme un maquillage.
Puis les seins. Qu’elle effleure de la soie douce, raide, un peu piquante. Jusqu’où va-t-elle aller ?
Dans la pièce sombre aux meubles lourds, candélabres, tentures de tissus fanés, tapisserie de Damas, tapis de soie. Murs lambrissés de bois, tendus de vieux cuir.
Plafond à caissons décorés de scènes mythologiques et champêtres.
Des tas de toiles, retournées contre la cloison vitrée qui sépare la chambre de l’atelier, présentent leur dos : cadre et armature de bois.
Sur des chevalets, les tableaux en cours: femmes nues, poses alanguies, titres explicites :
La querelle amoureuse.
Modèles pour une mariée dénudée.
Le billet doux.
La lecture du soir.
Alanguie, elle pose son cul sur le sofa. Attrape un vase qui traîne là. L’examine. Elle fait semblant. Le vase est creux, surmonté d’un large anneau. Deux trous.
Obscène, elle sourit au peintre. Lourde allusion.
Mais c’est son pied qu’il regarde.
Tendu. Fasciné. Hypnotisé.
Par l’espace entre son pied rose cambré et la semelle gris clair de la mule de velours noir.
Il ne peut détacher ses yeux de cet endroit. Là.
Légère, elle vient s’asseoir sur ses genoux. L’enlace, se love, se frotte et se niche.
Ses bras autour de son cou. Elle enfouit son visage.
– Croque-moi, dit-elle au peintre en lui mordillant l’oreille. Et elle lui tend la brosse qu’elle n’a pas lâchée.
– Tu es mon vase préféré, lui dit-il en tremblant.
03
Canicule.
La petite pute est nue.
Elle tient la pose.
Elle sait qu'elle va y passer. Le peintre n'a pas choisi par hasard ce sujet. Rien n'a été dit. Mais la pièce est écrite et déjà jouée d'avance.
La petite pute (ou simple modèle aux mœurs un peu légères ?) le sait.
Les séances de pose durent longtemps. Et le regard du peintre n'est pas innocent.
Elle se sent caresser, désirer pendant ces heures.
Qui l'a déjà regardée comme ça ? Avec cette attention ? Cette intensité ?
La pose est douloureuse. Elle n'est pas très cher payée. Mais elle se sent belle sous le regard du peintre.
Captive, elle attend. Ce moment où il va franchir la distance entre elle et le chevalet.
Peut-être prendra-t-il le prétexte de rectifier la pose pour poser la main sur sa hanche ou son bras ? L’attirant alors à lui ?
Plus sûrement, quand elle se détendra.
Alors qu'elle rejoint son tas de vêtements posés dans un coin de l'atelier, quand elle se penche pour les ramasser, le peintre se saisira d'elle par les hanches et la tirera à lui ? Pour la fourrer. Enfin !
Rêvasse la fille fatiguée et lasse de rester ainsi immobile.
Mais soudain :
– Petite putain, dit le peintre. Il s’énerve car il n’arrive à rien ce matin.
Où l’a-t-il ramassée, cette traînée ? Cette catin ? Dans quel bordel ? Sur quel trottoir ?
Le peintre pervers n’en peut plus.
Cela ne vient pas, ne vient plus. Sous la brosse, il cherche à rendre cette carnation des chairs, ce teint de « rose en fleurs à peine écloses ». Il lui vient des mots mais pas des couleurs.
Sous la brosse, cela s’empâte. Grumeleux. Trop épais. Le peintre s’emporte.
– Viens là, dit-il. Enervé. Est-ce pour la frapper ?
Mais c’est lui qui s’avance. Elle avait bien deviné, la petite putain.
Il franchit la distance.
Et fougueusement, presque violemment il l’empoigne, la dispose. Il replie sa jambe. Sur la fourrure.
Son pied nu.
La mule choit.
La fille, trop docile, se laisse faire. Elle a l’habitude des exigences des clients. Elle connaît les artistes.
Un court instant, il se saisit d’elle. Son ventre, ses reins. Il la cambre. Tords son torse. Redresse son cou.
Elle est entre ses mains.
Soumise, passive, elle s’apprête à subir les assauts, les coups de reins du peintre.
En vain.
Cela non plus ne vient pas.
Il rejoint son chevalet.
C’est alors qu’il voit l’espace : entre la semelle de la mule et son pied gauche levé, arqué, tendu par l’effort : tout le poids du corps qui pèse sur ses orteils. Qu’il imagine crispés.
Fasciné. Hypnotisé.
Le peintre reprend vite sa palette. Se saisit du pinceau.
Il ne peut détacher ses yeux de cet endroit. Là.
L’espace entre le pied rose cambré et la semelle gris clair de la mule de velours noir.
Il a saisi la fille.
Sur la toile. Au bout de son pinceau.
Prise. Il la tient bien. La possède par cet espace. Par où pénètre le regard du spectateur. Dans le tableau.
– Et moi alors ? dit la gamine.
Déçue ? Frustrée ? De ne pas avoir été baisée ?
Dégoûtée par la perversité des artistes, elle prend les quelques billets que le peintre pudiquement lui tend, rassemble ses vêtements et se rhabille vite fait.
Derrière le paravent.
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J’ai rencontré mon Maître en août 2017.
Fraîchement divorcée, et célibataire pour la première fois de ma vie, j’ai découvert la liberté : mon premier appartement, que j’ai pu aménager et décorer selon mes envies, la liberté de mes horaires, de mes sorties et… de ma sexualité.
Mon ex-mari n’était pas vraiment porté sur le sexe, et nos ébats étaient très « plan plan » si vous me permettez le terme. Avec les années, ma libido a ainsi complètement disparue.
Après 1 an de célibat, j’ai commencé à me sentir seule et en manque d’affection. Je me suis donc inscrite sur plusieurs sites de rencontre et après quelques semaines de pratique, et plusieurs rendez-vous infructueux, j’ai rapidement compris que la plupart des hommes sur ces sites cherchaient du sexe, sans pour autant avoir le courage de l’avouer. Lasse de tous ces menteurs, j’ai donc décidé de faire la même chose, mais en toute franchise et honnêteté, et me suis inscrite sur des sites dédiés aux rencontres coquines.
Non seulement, j’ai (vraiment) découvert le sexe, mais je me suis également découverte dans toute ma sensualité ! J’ai apprivoisé mon corps, que je n’aimais pas, et j’ai passé une très belle année de rencontres diverses et variées où j’ai à peu près tout essayé, avec un net penchant pour le libertinage. C’est ainsi que mon futur Maître et moi-même nous sommes rencontrés, par une belle soirée d’été. Le but de cette rencontre était une relation suivie coquine sans visée amoureuse. Et libre : chacun faisait ce qu’il voulait en dehors.
Nous nous sommes plus tout de suite, il était vraiment très très beau (il l’est toujours) et après quelques rencontres où j’avais noté, et beaucoup apprécié, que nous avions un rapport de force, je m’en suis ouverte à lui.
J’ai ainsi découvert qu’il était dominant et prêt à me faire découvrir la relation bdsm. Même si je n’y connaissais pas grand-chose, je n’avais aucun à priori et nous avons tous les deux très rapidement compris que j’avais une très grande attirance pour la soumission.
Il m’a ainsi éduquée, élevée, fait découvrir de nombreux aspects de la relation soumise/dominant et m’a fait franchir certaines de mes limites. Nous avons développé une très grande complicité et ma confiance en lui a été totale et absolue ! Cela a duré un peu plus d’un an.
Malheureusement, je suis tombée amoureuse de lui….et ne le lui ai pas avoué… Parce que je savais parfaitement qu’il ne voulait pas me faire souffrir et que s’il l’apprenait, notre relation prendrait fin aussitôt.
Nous avons tous les deux un caractère très entier et je suis d’un naturel jaloux, voire possessif… je ne supportais pas qu’il voit d’autres femmes.
Nous avons ainsi commencé à nous disputer, de plus en plus souvent, et toujours de mon fait…Jjusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et que tout se termine.
Ca a été très dur pour moi : j’étais complètement perdue ! Non seulement j’avais perdu celui qui me faisait vibrer, mais j’avais également perdu tous mes repères sexuellement parlant… J’ai alors tenté l’expérience avec quelques autres dominants, mais elles se sont toutes soldées par une énorme déception me concernant.
Les mois passant, je me suis doucement remise, j’ai pansé mes plaies et rencontré l’homme de ma vie (enfin, je le pensais).
C’était un peu compliqué au début car lui n’était pas du tout dominant et vraiment pas porté sur le sexe un peu « brutal ». Il me refusait même les fessées (moi qui adore ça) de peur de me faire mal !
Bon an mal an, je me suis réhabituée à une sexualité vanille et complètement détachée du bdsm, qui a fini par ne plus me manquer du tout.
J’ai ainsi passé 6 ans avec cet homme. La vie a fait que nous nous sommes séparés il y a un peu plus d’un an.
J’ai donc repris ma vie de célibataire, ponctuée de quelques amants retrouvés de mon ancienne vie et de nouveaux, parce que ma libido me l’impose…
Et par un heureux concours de circonstance, en faisant le tri dans ma boite email, je suis tombée sur mes échanges passés avec mon Maître et l’ai recontacté il y a de ça 3 ou 4 mois. Sans aucune idée derrière la tête, juste en souvenir de notre bel entente.
La suite au prochain épisode…
(la photo est d'époque)
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Tout le monde connait la célèbre formule de Simone de Brauvoir : on ne naît pas femme on le devient !
Je me pose actuellement la question de savoir si on peut aussi devenir masochiste. Je m'explique : Mon Maître Alexis n'est pas un sadique pur et dur, il préfère jouer sur les mises au défii, les rituels, les contraintes et humiliations diverses. Cependant, il aime aussi m'Infliger des punitions toujours mesurées et sans excès (fessées, martinet, pinces à seins, cire de bougie, dilatations). Depuis quelques temps, les punitions au martinet sont plus longues et plus durement administrées. Autrefois, il ne ciblait que mes fesses alors qu'auijourd'hui, mon dos et mes cuisses ne sont plus épargnés. Il constate avec plaisir que je suis plus endurante, moins douillette et je me surprends à nre plus redouter ce traitement et même à retirer un cetain plaisir au ressenti de cette douleur physique bien spécifique. J'anticipe la brûlure des lanières de cuir sur ma peau et après la punition, j'aime cette sensation d'intense chaleur qui m'accompagne un long moment. Il l'a bien sûr remarqué, en profitant pour me taquiner, me disant que ke serai bientôt mûre pour le fouet. Cette évolution me laisse perplexe. Un glissement s'opère, c'est indéniable ! Mais suis-je pour autant, en train de vecenir masoxhiste ?
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RDV obligatoire,
Je dois y aller, aussi non, elle envoie toutes les photos sur la toile!!!!
Le rdv est au salon de l' erotisme devant l'entrée ( Elle m'a dit, tu as interêt à être à l"heure petit zizi)
Elle arrive en même temps que moi accompagnée de deux copines tout en cuire et super sexy...
Elle me font la bise comme si on se connaisait déjà et je rentre ralativement confiant.
Arriver au vestiaire , les choses se corse!!! Elle me dit ne pense pas que tu ne ne vas retirer que ta veste!
Tu retire tout! je la regarde avec des grand yeux interogateur et elle reprend de plus belle . J'ai dis tout ! Tu comprend ca tout!
dA poil petit vermisault , le petit zizi à l'aire devant tout le monde...
Les deux copines se rapproche et disent aller , on veut voir le spectacle...( ca ,ou tu sais bien ....)
Et je m'execute en rougissant devant tout le monde
Les copines eclate de rire et viennent comparer la taille de mon petit zizi avec leurs doigts en montrant à tous le monde à quel point il est petit et un groupe de nanas se rapproche pour mieux voir et rigoler et poser des questions humiliante du type: tu es vierge avecc se petit truc? HAHAHA
Ma maitresse me met un tout petit anneau à mon zizi qu"elle relie à une lesse et me tire comma ca pour avancer.
Et en route vers l'interieur du salon. J'ai l'impression que tout le monde me regarde certaine personne sont saisie et d"autre très amusée
Elle m'emmene vers une salle de spectacle. L'une d'elle va parler au présentateur. Et tout de suite aprés , il dit au micro, et pour divertir ces dames entre deux spectacle.
Voici une presentation d'une toute petite chose et je ne vous en dit pas plus...
Mes " copines" me font monter sur scène en me tirent avec la laisse et crie dans le micro voici le plus petit zizi du monde et un vingtaine de filles s'avanc evers la scène pour mieux voir la petite chose...
Grand éclat de rire.... Si une spectatrice arrive à donner la taille exacte de ma nouille, elle à le droit de me punir avec une baguette électrique devant tout le monde seul ou avec ces copines pendant 15 minutes
Et la, toutes les dominatrices de la salle arrivent près de la scène pour évaiuer la taille de mon asticot. L'une d'elle dit 5 cm et mes "copines" me remettent à la dominatrice qui fait monter 3 copines sur la scène...
Je me fait attacher sur une croix et les " festivités commence"
A l'aide de bâtons électrique, je recoit des decharge élèctrique sur tout le corps et je crie tellement que j'ai droit à une chausette dans la bouche
J'ai l'impression que le temp s'arrête et je n'ai que des flache de douleurs...
Ca fini par stopper ( combien de temps au final ) aucune idée, mais ca m'a paru des heures!
Je suis re mesurer , verdicte: 1,5 cm!!!! et oui après ca ....
Aller, petit zizi, tu peux rentrer mais tu as interêt à être au prochain rdv . Tu as copris?
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Je reviens d'une séance de Shibari chez May. Je suis encore un peu sur mon petit nuage et ne résiste pas à l'envie de garder encore un peu, par mon texte (sans prétention), cette expérience hors du commun.
Elle me reçoit dans une très petite pièce dans une maison de maître du côté de RG. May est accueillante, gentille et bien jolie. Petite, mais pas tant que ça, cheveux longs bruns, lunettes grandes, la cinquantaine, petit anneau dans le nez, mince, quelques tatouages, leggings noir, chaussettes blanches.
La pièce est bien petite mais chaleureuse, bien décorée, un peu ethnique, amulettes, guirlandes lumineuses, bouquins, un petit fauteuil devant la porte, une petite salle d'eau à gauche de l'entrée (lavabo et toilette), tapis, coussins au sol, deux grandes poutres de bambou (grand diamètre pour faire des suspensions), impressionnant.
On discute de manière très détendue finalement,.. de mes attentes, de sa conception des choses, des éléments importants pour la séance. J'avoue ma nervosité. Je me présente comme adepte des liens,.. de tous les types de liens, je décris quelques unes de mes expériences de cordes, jugées plutôt médiocres jusqu'à présent. Elle semble un peu inquiète de mon niveau d'exigence. Mais je ne veux pas mettre la pression,.. le shibari, je ne connais pas bien. Je suspecte son intensité extrême, je ne serai pas déçu.
Je manifeste mon intérêt pour un bondage/shibari sans concession, pour des motifs plutôt symétriques, plutôt ramassé sur moi-même, les membres ensembles et non désarticulés ou dépareillés. J'éprouve beaucoup d'intérêt à ce que le bondage ne laisse aucune chance de libération. Je ne dédaigne pas une certaine violence par les cordes, le fait d'être forcé également à certaines positions (hogtie, ebi, ) m'intéresse. Le fait de me sentir manipulé, touché d'autorité, avec plus ou moins de véhémence me plaît. Elle me demande si des parties du corps doivent être épargnées par les cordes. A priori, je ne voyais pas. Mais je signalai quand même la bouche. (ah,c'est dommage, elle a des cordes tendres à cet effet, bien rouges, peut être une autre fois;-)). Pour le reste, je suis plutôt open.
Je signale mes fragilités physiques (l'épaule droite, la cheville gauche), mentionne que la prise de quelques photos serait cool et explique le fonctionnement de l'appareil. Elle me montre les différentes cordes dont elle dispose et j'opte pour des cordes de chanvres relativement classiques. On convient également d'un code pour le cas où des situations difficiles sont rencontrées (jaune pour changer d'option ou ralentir – rouge pour tout arrêter).
Après cette série d'échanges, elle m'invite à me mettre en tenue, n'importe laquelle, celle que j'aurai choisie et me permet de profiter des sanitaires. Elle sort également de la pièce en attendant que j'ai procédé à ces ajustements. J'opte pour un simple caleçon long thermique noir des chaussettes grises et garde mon t-shirt blanc. Une fois revenue, elle me fait placer assis au milieu de la pièce. Elle me demande de me repositionner un peu. Prend une corde qu'elle fait tourner autour de mon corps pour peut être prendre un peu ma mesure. C'est tout autant une opération psychologique, je le sens. Elle réclame son territoire. Elle est en train de m'annexer. Elle se presse dans mon dos, va au contact de mon corps et marque sa présence,.. commence à s'imposer. Elle rassemble mes poignets devant moi, les attache ensemble, proches, mais pas non plus complètement collés l'un à l'autre. Elle m'indique que la conservation des sensations dans les mains est importante et doit être surveillée par moi, c'est ma responsabilité me dit-elle. (je suis quand même responsable de quelque chose et j'aime bien qu'elle m'ait assigné quelque chose;-)) Je dois pouvoir mouvoir mes doigts, mes pouces, bien les sentir. Et bien sûr prévenir s'il y a un problème.
Elle positionne mes poignets liés ensemble au niveau de mon cœur. Elle enserre ensuite les cordes petit à petit autour de mes bras repliés sur mon torse. La sensation de resserrement est terrible. On ne s'imagine pas à quel point les cordes peuvent vous comprimer. Une fois que la tension est mise, rien ne semble les faire revenir en arrière. Les cordes restent en place et vous serrent à la folie. Quelle énergie et quelle force imprimée à ces liens. Elle passe et repasse avec ses cordes horizontalement, mais également verticalement à certaines intersections, petit à petit le dispositif se mue en un piège inexorable. Mes mains et mes bras ne font plus qu'un avec mon torse, et ce n'est pas une vue de l'esprit, chaque respiration me ramène à cet étau, indéboulonnable.
Elle ne perd pas une seconde. Elle y va franchement avec ses cordes, avec mon corps, devenu l'objet de son inspiration du moment. Il y a de la technique, mais il y a aussi en effet une forme d'inspiration, un peu comme du jazz. (c'est tellement «cliché» pourtant c'est un peu ça, une ligne, une rythmique mais aussi de l'impro).
Vient un moment où elle s'occupe de mes jambes, de mes chevilles. Elle les attache repliées devant moi. Je le sens. Je sens ses cordes qui se tissent et qui me retiennent et qui, si je m'en souviens encore, commencent à se relier aux cordes de mon torse. Je les sens plus que je ne les vois car elle a jugé bon de m'imposer un bandeau sur les yeux. Sans crier gare, sans s'annoncer, elle m'avait placé ce bandeau. Un petit voile me retombe aussi légèrement sur le nez. Je suis sage. Je subis l'assaut de ses cordes, frustré de ne pas voir comment elles sont vraiment disposées. Mes jambes, mes pieds, sont définitivement immobilisés, je suis racrapoté sur moi même par les cordes, sans aucune latitude.
Elle joue avec son dispositif et s'en sert pour me faire perdre l'équilibre, pour me mettre à la limite,..me redresser si elle le souhaite,.. me faire basculer (j'ai déjà vu cette 'machiavélique' manière de faire ailleurs). Je suis vulnérable, c'est le mot. Je ne peux que compter sur elle pour me retenir. Lui faire confiance. Elle doit bien s'amuser à me voir danser comme elle chante;-).
Tantôt un peu brusque, poussant ma tête vers le bas, me forçant à m'incliner, je n'ai pas d'autre choix que d'obéir à ses injonctions. Elle glisse une main griffante au bas de mon dos, un geste à la fois taquin et affirmé. Attaché comme je suis, je ne peux qu’accepter ce jeu subtil d’autorité.
Mais elle met mon corps sous pression. C'est du sérieux,... ça ne rigole pas. Je n'en mène vraiment pas large. Je me concentre. J'essaye de ne pas paniquer. Je respire malgré cette compression sur mon corps. Parfois, je ne sais pas dans quel sens je vais, mais il n'y a pas de doute, j'y vais, contraint et forcé, par les cordes, par May qui me pousse, me repositionne selon son bon vouloir, parfois sans ménagement.
Mais je la sens extrêmement attentive à ce qu'elle fait, à mes limites.
Tout se fait sans parole, mais au son de sa playlist 'gentille' (sans doute pour le contraste avec la situation). Mais une de ses rares phrase résonne encore en moi au milieu de la séance, «vous croyez pouvoir vous libérer (mon prénom)». Ceci n'appelait aucune réponse. Elle soulignait juste l'absurdité d'avoir pu nourrir une quelconque prétention dans ce domaine. J'étais entièrement entre ses mains et même si elle m'avait laissé tranquille (ce qu'elle ne daigna pas faire, bien sûr) je ne serais arrivé à rien, strictement à rien. J'ai adoré cette terrible ironie, ce propos neutre mais finalement si sarcastique.
Dans cette première position, j'arrivais un peu à la limite. C'est ainsi qu'elle m'imposa par ses actions une nouvelle position. Elle défit mes liens au niveau des jambes relâchant un peu son emprise pour m'en astreindre bien vite de nouveaux.
Et, bien sûr, je dû rester bien attaché au niveau du torse et des mains et des bras.
On ne plaisante pas avec la sécurité..
Un peu pour me dire, « tu restes bien à ma pogne mon petit ami », elle m'attacha justement ce torse avec les poignets à son énorme poutre du plafond. Au sol, retenu par cette corde qui m'ordonnait « surtout, ne t'avise pas de partir, c'est inutile, je suis là et bien là », May recommença à s'attaquer à mes jambes. C'est ainsi que mes cuisses et mes tibias recroquevillés sur eux-mêmes purent goûter la contrainte et la dureté des cordes. Ça fait mal, bien mal, mais en même temps du bien... Là encore, May me força à des positions parfois difficiles. Mais je me soumettais à son autorité, à ses quatre volontés.
Finalement, toute bonne chose ayant une fin, elle me libéra, doucement mais sûrement. Après un dernier échange chaleureux, je quittai cette petite pièce de RG, encore habité par les traces des cordes et l’écho de cette expérience unique.
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Bonjour,
Ce petit "article" sur ce qui concerne les "demandes d'amis"
En effet, comme beaucoup ici, j'en reçois.
Mais souvent, de personnes n'ayant visiblement pas lu mon profil, mais aussi ces demandes ne sont généralement pas accompagnées de mots l'accompagnant.
Or, c'est aussi et surtout un moyen de faire son choix.
Pour ma part, toutes demandes sans mots d'accompagnement sont automatiquement refusées. Je ne suis pas là pour avoir le plus "d'amis"possible afin de satisfaire mon égo comme certains cherchent à avoir le plus de suiveur sur tel ou tel autre réseau (as)sociaux.
Pour les demoiselles qui croulent sous celles-ci, mais qui ne savent comment regarder si celles-ci comportent une demande ou pas:
En haut à droite, près du rond où il y a soit les deux lettres définissant votre pseudo ou votre photo de profil, il y a une petite flèche d'un menu déroulant. Choisir "Gérer ses amis" et juste sous la bannière " Annonces , Rencontres , Groupes/Pages, il y a un petit onglet "Demande entrantes".
C’est aussi un très bon moyen de voir ceux qui sont sérieux…. Ou voir le pourquoi de la demande...
Et puisque j’en suis là, j’en profite qu’un profil, ne se limite pas juste à l’annonce, mais que celui comporte aussi un mur perso, des articles qui peuvent aussi en dire beaucoup sur la personne dont vous consultez le profil...
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J'étais son professeur il y a si peu de temps. Elle est maintenant une jeune femme et veut me montrer que ses opinions fraichement forgées sont le fruit du libre-arbitre dont j'ai tant parlé.
Elle veut que je la possède, devenir ma chose, mais elle ment et je le sens.
Elle obtient mon numéro et me bombarde de photo de lingerie, silhouette audacieuse, reins bouillants. Elle me parle si peu discrètement de ses cours de cabaret, de ses bas, de son plug, de ses lèvres roses et humides qui supplient ma présence.
Le chien en moi veut aboyer mais le lion est déçu.
Comment peux-tu être ma chienne, chère femme forte et fière, si tu ne reconnais pas mon autorité ?
Pourquoi fais-tu du cabaret tout en prétendant que la femme "doit se libérer" chère féministe ? Tu es soit anti patriarcat soit le fruit du désir des hommes. Tu ne peux être les deux à la fois. Tik Tok et Instagram ont emmêlé ton âme. Comment souhaites-tu être mienne si tu n'appartiens vraiment à personne ?
Comment oses-tu croire qu'un homme qui cherche LA femme, une vraie force, celle qui se soumet sans conditions et s'abandonne en toute confiance car elle se sait impératrice, regarderait une fillette qui compte garder le contrôle ?
Tu me dis vouloir être attachée, soumise, violée, mais que je te dise également que tu es ma supérieure ? Tu ne l'es pas puisque tu le demandes. Dans le silence, tu le saurais et le serais.
Ma femme ne demanderait jamais cela. Ma femme comprendrait qu'en devenant ma chose elle obtiendrait le monde, parce que je suis son serviteur, je l'ai toujours été. Une reine ne réclame pas de couronne. Elle se la voit remettre.
Ton corps est lisse et jeune, tendre et désirable, mais la force des guerrières laisse des marques. Un soldat sans cicatrices n'est rien d'autre qu'un faussaire. Où sont les vergetures que je voudrais embrasser ? Où sont tes poignées d'amour que je veux saisir. Tu n'es pas une femme forte, tu es une enfant capricieuse et tu n'auras rien de moi jeune woke. Je pourrais te faire jouir, plus que tu n'as jamais jouis car j'étais soldat et j'atteindrai toujours ton objectif. Un vrai soldat sait s'oublier pour vaincre comme une vraie reine sait abdiquer pour gouverner.
Mais tu ne veux poser genoux à terre que par posture tendance. Tu ne veux pas t'abandonner. Alors c'est moi qui disparaît.
Tu ne le sauras jamais mais en exigeant le trône, tu l'as perdu.
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Les rituels transcendent les simples habitudes ou routines : ils constituent des instruments puissants de connexion, de confiance et d'affirmation. En instaurant une structure et une intention, ces rituels peuvent intensifier les liens émotionnels, psychologiques et physiques. Ils jouent également un rôle crucial dans la consolidation des rôles au sein d'une dynamique.
Un rituel se définit comme une action ou une cérémonie significative et répétée. Contrairement aux routines, souvent utilitaires, les rituels portent un poids émotionnel ou symbolique. Dans le cadre d'une relation D/s, ils rappellent l'échange de pouvoir, la confiance mutuelle et l'engagement pris par les partenaires.
Voici quelques exemples de rituels :
Un soumis qui s'agenouille devant son Dominant au début ou à la fin de la journée.
Une salutation ou un titre particulier utilisé en privé (comme « Bonjour, Maître »).
Un moment de réflexion nocturne où le soumis évalue ses tâches de la journée et cherche l'approbation de son Dominant.
Un collier placé par le Dominant sur son soumis pour marquer une transition vers un état d’esprit D/s.
Ces instants, réalisés de manière régulière, deviennent des fondations de stabilité, de confort et d’intention.
Pourquoi les rituels sont-ils si puissants ? Les rituels agissent comme des ancres, ancrant les individus dans la dynamique qu’ils ont choisie. Prenons l’exemple d’un soumis qui attend la permission de son Dominant avant de manger. Ce geste, bien que simple, a un impact considérable. Sans un mot, ce rituel réaffirme la dynamique de pouvoir, renforçant les rôles de manière subtile, sans nécessiter de rappels constants. C’est une approche discrète mais intentionnelle : les deux partenaires restent engagés et connectés, ancrés dans leur structure au milieu du tumulte de leur quotidien.
Imaginez un soumis qui, chaque matin, prépare et offre une tasse de café à son Dominant. À première vue, cela semble être un simple geste, mais en réalité, il revêt une signification bien plus profonde. Ce moment de partage, ce regard échangé, tisse un lien tacite entre eux. Offrir cette tasse ne concerne pas seulement la caféine, mais l’intention, la présence et l’approfondissement d’un lien qui se manifeste dans les silences où les mots ne sont pas nécessaires. Ces rituels deviennent des instants de concentration pure, rappelant à chacun l’importance de l’autre.
Les rituels apportent également un sentiment de sécurité et de prévisibilité, des éléments cruciaux dans des relations où la vulnérabilité est omniprésente. Une dynamique D/s saine repose sur la cohérence. Le soumis sait qu’il peut compter sur une structure ; le Dominant est assuré que ses besoins seront pris en compte. Il s’agit d’offrir stabilité, réconfort et constance.
C’est à travers ces rituels, petits mais puissants et profondément personnels, que la dynamique D/s trouve son rythme. Ils forment un langage silencieux qui renforce les liens, établit la confiance et nourrit la connexion, un acte intentionnel à la fois.
Créer des rituels adaptés à votre relation Les rituels doivent refléter la dynamique unique de votre relation. Pour élaborer des rituels significatifs :
Communiquer ouvertement : discuter des rituels qui résonnent avec les deux partenaires. Le consentement et l’harmonie sont essentiels.
Commencer modestement : initier des rituels simples et réalisables. Trop de complexité peut engendrer du stress ou de l’épuisement.
Mettre l’accent sur l’intention : la signification émotionnelle ou symbolique d’un rituel est plus importante que sa complexité.
Évoluer avec le temps : à mesure que votre relation progresse, les rituels doivent également évoluer. Ne pas hesiter à les réévaluer et à les ajuster si nécessaire.
En somme, les rituels vont bien au-delà de simples règles ou routines : ils sont des actes de dévotion et des manifestations de la dynamique. Ces gestes intentionnels renforcent la confiance et approfondissent le lien au sein de la relation.
Nous naviguons entre différents mondes (travail, famille, cercles sociaux) où la dynamique n’est pas toujours manifeste. C’est ici que les rituels prennent tout leur sens. Un mot, un regard, un geste anodin peuvent signaler la transition vers cet espace partagé. Un instant, vous discutez d’un client difficile au travail, et l’instant d'après, chacun reprends son "rôle", chacun à sa place...
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