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Par : le Il y a 10 heure(s)
Voilà. Prête pour le grand voyage. Le saut dans le vide.   J'ai assez de plumes, je pense, pour glisser hors du nid et prendre mon envol. Il ne me reste plus qu'à assembler les pièces du puzzle savamment accumulées au fil des semaines. Difficile de me souvenir quand cette idée a germé. A bien y réfléchir, depuis toujours... Mais si je devais retenir un instant-clef, alors, peut-être...  Oui peut-être cet après-midi où, en visite chez ma tante, j'étais montée dans le grenier chercher dans l'armoire magique une bande dessinée... Tout aurait pu se passer comme toujours, ayant trouvé de quoi rassasier le besoin de peupler ma solitude... Je me serais assise là sur le vieux canapé pour...  Sauf que ce jour-là, la vieille malle en osier, à coté de laquelle je passais régulièrement sans y prêter attention sembla se mettre en travers de ma route... Cette fois-là, elle m'interpellait. J'étais passée tellement de fois devant cette vieille malle en osier que j'avais fini par ne plus la remarquer. Ce jour-là, elle me frôla et éveilla l'irrépressible envie de l'ouvrir et d’y découvrir, posé au-dessus d'une pile de vêtements, ce magnifique gilet noir extrêmement ajouré : il fut pour moi un déclic. Il m'attendait, me supplia même de venir recouvrir ma peau pour dévoiler mon âme. Demander à ma tante de pouvoir l'emprunter ? Impossible !!! Elle aurait volontiers accepté, là n'est pas la question, mais en le dérobant, il prit une dimension nouvelle. Dès lors, je fus happée dans une spirale infernale.  A commencer par le plaisir mêlé à la peur de voler, oui, l'un ne va pas sans l'autre. La liste serait longue à énumérer de tous mes petits larcins commis ici et là. Toujours de façon impulsive, ne pouvoir refreiner l'envie... Dans les rayons cosmétiques, crayons, mascaras, liner, tubes de rouge, en veux-tu en voilà, tout était bon. Un jour, emportée par mes fièvres, j'ai profité d'être avec ma grand-mère pour en voler plus que de raison. Qui aurait imaginé une fille d'allure si innocente et si sage, accompagnant une vieille dame respectable, se gaver les poches de rimmel et de fards à joues. Je sortais le cœur palpitant à chaque fois, la peur au ventre de me faire alpaguer par un surveillant mais à aucun moment je ne fus inquiétée. Mon invisibilité endurée depuis si longtemps était devenue une arme redoutable. De retour dans ma chambre, je ne pouvais me retenir d'étaler l'ensemble de mon butin sur le lit : autant de pièces alignées sur l'échiquier de mon plaisir. Ensuite ranger le tout dans le sac et le cacher en haut de mon placard.  Voleuse, menteuse, vicieuse... tous ces adjectifs pour me mettre bientôt sur un socle et tenir à bout de bras le flambeau des allumeuses. Ca y est, nous y sommes....Enfin. Elle vient de quitter l'appartement. Ses pas résonnent dans l'escalier. Quelques secondes encore, du haut de la fenêtre, je vois le véhicule partir. Elle ne reviendra pas avant la fin de l'après-midi. Cette fois, j'ai bien veillé à ce qu'elle n'oublie rien. Je file à la porte et ferme la serrure, y maintiens la clef pour ralentir tout retour inopiné, éviter ce qui, la dernière fois, aurait pu devenir un drame. Je vais pouvoir jouer à la poupée; retour dans ma chambre, je monte sur la chaise, retrouve en haut  mon sac puis, avec précaution, le dépose sur le lit.  Voici le moment tant attendu. Religieusement, je sors ma tenue de scène et tous les artifices. Un vertige s'empare de moi... Comment ai-je pu dérober tant de choses sans me faire prendre la main dans le sac par les surveillants? Palettes de couleurs, faux cils longs comme des doigts, tubes divers... on se croirait à Carnaval.  J'imagine revenir à la maison, honteuse, encadrée par deux molosses à l'air sévère, pour une perquisition dans mon poulailler sous les yeux effarés de ma mère tombant des nues de découvrir que sous son toit vivait une poularde affamée.  Des tenues qui n'en sont pas pour une fille de mon âge, ni pour aucune autre qui se respecte; un rayon entier de cosmétiques, des images obscènes et surtout les photos édifiantes de ma nudité offerte dans cette Villa, pratiquant nue ma séance de gymnastique sans avoir à douter sur l'auteur des clichés. Cette envie de colorer mes joues à sa manière, plus naturelle et immédiate en décochant de monumentales gifles devant les surveillants qui, sans le moindre doute, en rêveraient eux-mêmes à moins qu'ils ne se mettent à bander et ne m'obligent à passer l'éponge en....... Mais voilà, la truie est passée entre les mailles du filet et il est grand temps pour elle d'aller couvrir le grand miroir qui fait face à la porte d'entrée, me délectant par avance de l'instant, quand, dans le roulement de tambour de mon ventre tendu, je tendrai la main vers le pan du tissu pour dévoiler la bête à la face du monde. Retour dans mon barnum: ayant à peine franchi le seuil, ma robe est à mes pieds... Me voici nue, prête à grimer, modeler, pâte tendre à tartiner, me pétrir à ma guise.  Emporte-moi le plus loin possible, défais-moi d'elle. Je n’en peux plus de vivre à son crochet. Je sors crayons, tubes et pinceaux... oh ! Si j'avais pu, je serais allée au rayon outillage dérober de larges rouleaux ainsi que des truelles pour dégrader ma façade d'innocence. Je fais virevolter les poudres sur ce visage blafard, force le trait, ne lésine pas sur la matière, écrase plus que de raison les mines sur la mienne, couvre pour mieux révéler ce qui était caché. Inaccoutumée de me mettre sous la lumière, je fais comme je peux, à la manière des autres mais de manière outrageante. J'applique une épaisse couche de fond de teint, trop certainement. Mais trop ne sera jamais assez pour ensevelir l'innocence. Je rehausse généreusement mes joues d'un blush rose bonbon. Ensuite, ce ne fut qu'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, mélangeant allègrement bleu électrique et rose fluo jusqu'au dégoût. J'ose tout, ne souhaite plus me reconnaître: renaître. Je suis si colorée qu'on croirait que je viens de courir un marathon. Et le mascara... ah  le mascara ! Comme si de folles araignées avaient tissé des toiles sur mes yeux.  J'embaume mon visage blafard sous les linceuls d'Eros.   La Louve sort du bois, appâtée par ma chair fraîche, cinq jours à attendre, se morfondre à l'étroit, l'abdomen ankylosé à force de réclamer son dû sans assouvir sa faim. Pas une seule caresse, pas le moindre orgasme... Voici cinq jours que j'épargne clito’ et doigts. J'ai le bassin en vrille, ça me démange. Il faut faire vite maintenant, ma mouflette se morfond depuis trop longtemps au fond de son terrier.  Méthodiquement, je brosse ma chevelure, isole deux grosses mèches de chaque côté que je ceins d'un élastique, offrant ainsi un contraste saisissant à mon visage outragé. J'ai renoncé à rembourrer ce corps sans volumes. Trop complexe de vouloir les cacher. Mon corps n'a plus besoin d'être masqué, lui... Au contraire même, il doit apparaître aussi imparfait qu’il est, la honte doit être palpable, quantifiable, outrancière. Je veux que mes côtes soient à fleur de peau. Traquer mes hontes dans leurs moindres recoins. Cendrillon famélique enguenillée qui bientôt poussera les portes d'un ball-trap pour se faire tirer de son morne quotidien. Je m'exhibe telle que je suis, me défais de ces flétrissures quotidiennes, m'obligeant à calfeutrer mon corps pour ne pas l'exposer aux quolibets.  Sans être tenue par la main, de moi-même, me dirige vers l'étal offrir aux camelots mes arêtes, le saillant de mes hanches, la fermeté de mes citrons, mon chlorotique teint.  Il ne reste plus qu'à vêtir la poupée, afin qu'elle puisse, volatile, arpenter les trottoirs de l'éther. Me voici enfin badigeonnée, fagotée; je jette un dernier regard dans le petit miroir, y vois la gamine me faire un dernier signe de la main. Elle est à quai, je peux m'éloigner sans envie ni besoin de lui répondre maintenant; j'ai mis les voiles sur ma peau, il ne me reste plus qu'à me laisser porter par les vents mauvais.  Chassez le naturel, je reviens au tripot. Nous y sommes presque, maintenant que la messe est sur le point d'être dite. J'enfile difficilement cette culotte bien trop petite pour mes hanches mais suffisante pour épouser mes renflements intimes. J'ai passé du temps, usant de chlore et d'eau oxygénée pour lui donner encore plus de transparence... là où je vais. On ne doit pas me deviner.    J'ai hâte de m'alanguir dans les torrents de lave du miroir, jusqu'à la fonte des grâces. J'approche de mon bureau, extrais de la chemise l'enveloppe au contenu sulfureux. Mes vacances en Espagne, ma coquille d'innocence qui se fend sous les coups de becs de la perversion. La luxure glissant le long de mes cuisses, mon poitrail ouvrant à peine ses paupières.  Tous les souvenirs remontent à la surface, s'entrechoquent, ses yeux posés sur moi, les miens timidement clos de peur que soudain le rêve n'éclate comme une bulle. Et puis les autres images, glanées ça et là, copiées pour certaines, découpées pour d'autres, gravures, photos, tableaux qui n'ont jamais manqué d'atteindre leur but... Activer le roulis de mes doigts sur le bulbe de la félicité. Le souffle court, je franchis le seuil de ma chambre, me dirige vers celle de maman, ouvre le coffret à bijoux, choisis son beau collier de perles. Imaginant qu'il m'a été offert par un vieux bourgeois qui l'autre nuit, enivré par l'envie, a voulu réserver sa place pour être le premier à franchir l'un de mes portillons.  Il tombe de mon cou, finit à l'exact milieu de mon torse. L'heure de me présenter est venue, d'un pas solennel, j'avance; que balancent mes fesses, tanguent mes hanches, j'entre dans l'arène des putes. Mes yeux mi-clos et ma bouche entre-ouverte, je me dirige vers cette maison ouverte. Vingt-sept enjambées pour arriver jusqu'au meuble à chaussures, en extrais les trop hautes aiguilles de maman dans lesquelles m'escarper, jusqu'au vertige de la chute de mes reins. Dos collé à la porte d'entrée, je fais face au grand miroir, prête à retirer l'hymen immaculé qui le voile. Je me baisse  doucement, dépose au sol les images, les plus précieuses sur le meuble à chaussures. Je les regarde passant de l'une à l'autre comme on changerait de cavalier dans un quadrille enfiévré, mes yeux dansants virevoltent, enivrée je chavire déjà. Trois pas en avant, l'équilibre est précaire, il me tarde de sombrer corps et âme. Je tends ma main sur le pan du tissu, d'un coup sec tire la grande voile et retourne sans regarder vers la passerelle pour pouvoir me jeter. ‌Le miroir est là qui me tend les yeux, je ne cède pas à ses avances, encore me tendre, me liquéfier, plonger. Sentir la suppliciée, les orteils attirés par le vide, prête au moindre souffle à basculer. Alors je regarde les images, les fais tournoyer, mélange acteurs et décors dans un même tableau, agglomère les scènes... Me fixe quelques secondes puis replonge de nouveau vers...  J'aime ces moments-là, lorsqu'avec furie les hormones tambourinent des quatre fers à la porte, sachant que bientôt de l'écurie sera lâchée la jument.  Je me suis souvent imaginée, dépenaillée devant le chevalet d'un Balthus ou d’un Degas, dans une arrière salle de l'Opéra, face un parterre de bourgeois venus admirer les balbutiements de mon corps. Mais aujourd'hui je me destine à une ambiance plus particulière. Aujourd'hui,........on disait...... que j'allais au bar. Tu sais, celui de l'impasse qui longe le quai.  Là où déambulent dans la brume les filles de mauvaises vie, on les entend tels des fantômes faisant résonner les aiguilles de leurs talons sur les pavés glissants. Ce vieux troquet aux vitres bien moins sales que les âmes damnées qui le fréquentent et n'ouvre qu'à la nuit tombée. Je suis tenaillée par la peur d'en pousser la porte mais l'envie de venir me griller les ailes sous les projecteurs est bien trop forte. J'entends le piano enroué, les verres qui cognent sur des tables crasseuses, les cris d'ivresses. Ne reste plus qu'à trouver l'inconscience de pousser cette porte et apparaître dans l'encadrement. Rester figée de terreur attendant qu'une main me tire vers l'intérieur et... qu'il en soit fini de moi. Respirer fort, prête à briser le carcan de mes paupières, voir l'infâme qui me ronge la moelle. Fini de jouer à cache-cache, il est temps que ma chatte dévore la souris. Remonter au plus haut cette jupe trop courte afin que les regards se ruent et pillent ce que j'ai de précieux. Enfin je la vois, poupée chiffon et de chair, incandescente fille, mon dieu qu'ai-je fais de moi !!!!!!!! Déjà j'entends leurs commentaires graveleux, les insultes qui fusent le long de mes cuisses, leurs yeux gorgés de morves, leurs mains pleines de graisse et de doigts. Comment une fille si jeune ose-t-elle s'échouer ici-bas ? Pour me donner contenance, jouer les grandes, je saisis alors une cigarette, la porte à mes lèvres que doucement j’insère entre mes ourlets roses pour l'humecter de mes humeurs intimes. Puis avec le filtre, je joue à la surface de mes mamelons afin qu'ils durcissent.  Ma culotte moulante et cristalline, révèle plus que ne masque le dodu de mon ventre, poussin de femme aux flancs sinueux aux cuisses trop fines, n'ayant pas de duvet, on voit parfaitement mes deux ourlets et le pli discret, juste une estafilade. J'ai envie de moi, d'essuyer la semelle de mes doigts enduite de vermine sur le paillasson de mes illusions perdues.  Mon dos glisse doucement le long de la porte, une main presse mon citron de sein gorgé de sang tandis que l'autre est déjà en branle. Je m'imagine ingénue gamine passant sur les genoux de tous, me laissant palpée. Tous ces vieux obligés de noyer la honte de tripoter une enfant sous des torrents d'insultes. Trainée, catin, petite pouffiasse, roulure de bas étage, tu devrais avoir honte d'exciter ainsi des vieux à l'agonie devant ton corps de pucelle La culotte tombe devenue inutile encombrante et la cigarette maintenant est au centre de ma fente comme un point d'exclamation, il serait inutile et vain de vouloir l'allumer tant le papier s'imbibe. Je tourne sur moi même, dévoile mon cul à l'assemblée plénière, tout le monde doit savoir de quoi je retourne et puisse apprécier la marchandise. Ma langue trop courte pourlèche mes babines, ils ne tiennent plus, sifflent, hurlent maintenant, me veulent, désirent palper la marchandise, que toute la surface de ma peau ne m'appartienne plus. Je saisis une cigarette, plutôt que l'offrir à la flamme d'un briquet je la porte à celle de mon corps et joue avec, le bout orange glisse sur mes mamelons jusqu'à ce que durcissent et bandent mes tétines, je les vois tous, langues au sol comme des tapis offerts, pour que je me déhanche et vienne me noyer au fond de leurs glottes. Objet, chose, bibelot, catin peu importe comment ils m'appellent pourvu que je n’aie plus d'humanité qu'un lointain souvenir.  La cigarette maintenant est au centre de ma fente, il serait inutile et vain de vouloir l'allumer tant le papier s'imbibe. Regardez messieurs les graveleux comment je tends mon ventre, matez-moi au sol maintenant et admirez mes fesses !!! Plus ? Que je les écarte pour qu'apparaissent mon néant dans lequel vous viendrez vous perdre. Oui matez, mettez vous en appétit avec mes amuses gueules. Entendez vous le crissement de ma poitrine sur le carrelage froid qui dérape sans cesse, et mon visage qui ne cesse de faire la moue de tête à queue. Je me glisse deux doigts entre mes bourrelets envie de me lécher et de les tendre en l'air. Ma liqueur en bouche m'envire soudain. Certains sortent leurs bites et bavent déjà à l'idée de me déflorer. De ma bouche d'arômes tous les chemins entre mes cuisses l'hymen. Qui sera le premier à me désosser, battez vous messieurs, ruez vous sur moi pour que le mâle dominant emporte la mise et ne laisse que des quartiers encore chauds et sanglant au reste de la meute. Je suis dos à la porte d'entrée, cuisses largement ouverte face à l'assemblée, fouraillant ce qui reste de ma vertu avec mes petits doigts.  Je vais bientôt me perdre, noyée par les orgasmes si longtemps retenus. Il me tarde de jouir, vite, fort, haut et de suite remettre des doigts pleins mon assiette pour de nouveau grimper. Jouir comme une boulimique, quitte à tout vomir pour de nouveau me mettre la gueule dans le frigo, sans prendre soin d'en fermer la porte, remettre le couvert aussitôt. Alors que toute tremblante au porte de la jouissance, sourde de trop me masturber, je suis surprise par deux coups brefs et un long. C'est ainsi que sonne mon ours mal léchant de père, qui n'ayant plus les clés, passe parfois prendre des affaires restantes profitant de l'absence de ma mère.  La peur soudain m'étreint mais s'y mêle l'orgasme à portée de mes doigts, je n'en puis plus, je m'abandonne, excitée comme rarement de le savoir juste derrière la porte, prêt à me surprendre la main dans mon sac. Je frotte, je lustre mon starter, devient écarlate, je vais exploser dans un torrent de pisse et me répandre. Peu importe maintenant ce qu'il adviendra, même si ma source traverse le pas et enduit ses semelles.  Je jouis en me mordant les lèvres jusqu'au sang, une première fois puis la honte me pousse à couvrir cet orgasme d'un second. Je suis allongée maintenant, totalement désarticulée, pantelante. Il sonne de nouveau, insiste encore mais rien n'y fait, mon égoïsme ne cédera pas,. Je m'en fiche papa que tu veuilles rentrer m'entends tu, je m'en branle, j'ai d'autres chattes à fouetter. ........... Entends le grondement sourd de ta putain de fille. Las, il est parti pendant que je retrouve mes esprits, me relève et vois dans le miroir un visage méconnaissable, dégoulinante de fard et rimmel. Je ressemble à une pute passée dans une essoreuse à salade. Vite,  nettoyer, doucher, des aiguilles de jet tièdes dirigées vers le bas, encore une fois, j'ai dû faire trémousser mon bassin, pour éteindre le brasier de ma honte. A-t-il entendu glissements et gémissements, mes odeurs femelles sont elles restées cloitrées derrière la porte ou alors volatiles sont parvenues à ses narines aguerries ? Après avoir fait le tour de l'appartement pour vérifier qu'il ne reste aucune trace de l'ouragan, je me suis affalée dans mon lit, un livre de cours sagement posé à mes cotés, pour de nouveau mentir sur qui je suis vraiment.
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