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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Dans une relation BDSM, la permission ne se limite pas à un échange de règles ; elle constitue la clé d’une dynamique de pouvoir consensuelle et évolutive qui influence la psychologie des partenaires. Cet article explore comment la permission s’articule dans la vie quotidienne et comment elle renforce la confiance, tout en soulignant ses défis et son évolution au fil du temps.
1. La Permission comme Lien Psychologique
Au-delà d’un simple rituel formel, la permission crée un lien psychologique fort entre le Dominant etet l'esclave. Par exemple, lorsqu’une esclave demande la permission de modifier son comportement ou de réaliser une action, elle affirme consciemment sa position tout en renforçant la hiérarchie. Ce geste n’est pas une contrainte, mais un échange qui permet au Dominant de prendre en compte les besoins et limites de son partenaire, établissant ainsi une relation de confiance et de soutien.
2. La Soumission Consciente et l’Expression Quotidienne
En transformant la soumission en un choix éclairé, la permission permet à l'esclave de participer activement aux rituels relationnels. Un exemple peut être constaté dans des gestes quotidiens – comme demander avant de s’asseoir ou de choisir une tenue – qui renforcent l’engagement mutuel et créent une tension excitante. Ces rituels quotidiens apportent non seulement structure mais offrent également au partenaire esclave une manière de redéfinir constamment ses désirs et limites.
Au fil du temps, ces gestes, initialement symboliques, évoluent et se transforment en rituels profondément ancrés dans la relation, permettant une réévaluation des règles et une renégociation des attentes au fur et à mesure que les partenaires grandissent ensemble.
3. L’Utilisation et l’Évolution des Micro-Permissions
Les micro-permissions, ces petites demandes de la vie quotidienne, rappellent en permanence l’existence d’une dynamique de pouvoir. Par exemple, demander la permission de prendre une décision apparemment anodine, comme choisir une activité de loisir, contribue à tisser un lien constant entre les partenaires.
Avec le temps, ces micro-interactions peuvent évoluer en véritables rituels, intégrant des ajustements selon les changements des désirs personnels et des situations de vie. Cette évolution permet d’éviter que les gestes ne deviennent mécaniques et souligne la nécessité d’une communication régulière pour maintenir la dynamique vivante et authentique.
4. La Sécurité Émotionnelle et la Gestion des Enjeux
L’établissement d’un cadre clair par la permission crée une sécurité émotionnelle permettant à l'esclave d’explorer sa soumission en toute confiance. Une structure bien définie aide à prévenir les malentendus et à mieux gérer les émotions liées aux moments de tension ou d’incertitude.
Cependant, il est important de souligner que cette structure doit rester flexible. La gestion des émotions peut varier : si dans certains cas, la permission renforce l’intimité et le sentiment de protection, dans d’autres, une routine trop figée risque de générer des malentendus ou une forme de distancing émotionnel. C’est dans cette capacité d’adaptation et d’introspection que réside la réussite de la dynamique.
5. Communication et Confiance : Les Piliers de l’Évolution
Une communication ouverte et honnête représente le socle sur lequel repose toute relation BDSM saine. Qu’il s’agisse d’échanges verbaux, écrits ou symboliques, la transparence dans l’expression des besoins et des limites permet aux partenaires d’ajuster leurs interactions au fil du temps.
La confiance s’installe progressivement à travers cet échange constant et évolutif. En partageant également leurs ressentis, les partenaires peuvent identifier ensemble les moments où la dynamique doit évoluer ou être négociée, assurant ainsi un équilibre entre structure et adaptation aux nouvelles circonstances.
Conclusion: La permission dans une relation BDSM est bien plus qu’une simple formalité : elle constitue un outil puissant pour créer et maintenir une dynamique de pouvoir évolutive, renforcer la confiance et favoriser une intimité profonde. En intégrant des rituels quotidiens et en adaptant continuellement les règles aux évolutions personnelles, les partenaires peuvent naviguer en équilibre entre structure et flexibilité.
Cette approche permet non seulement d’explorer et de redéfinir les désirs, mais également de gérer de manière constructive les enjeux émotionnels, assurant ainsi une relation épanouissante, enracinée dans l’écoute et la confiance mutuelle.
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Marre…Mâle…Mal…
Allez, on va crever l’abcès et commencer par le commencement…
Sur terres il y a…les femmes et les hommes…
Je ne vous apprends rien je sais…
Depuis que je suis jeune, depuis, on va dire que je suis en âge de comprendre les relations hommes/femmes et surtout depuis que je suis attiré par la gente féminine, j’ai toujours eu la même posture…c’est l’homme qui dirige.
Alors attention, je sens que les féministes frustrées de la culotte vont venir en disant…oui l’égalité..patati…patata…
Je ne vous parle point d’égalité ici. Car sur le fond, je suis pour légalité, notamment des droits, des salaires…patin couffin…
Mais…Mais.. je suis de la vieille école, de ceux qui allaient bosser, pendant que Madame éduquait les enfants, leurs faisait les devoirs, tenait (d’une main ferme) la maison …
Bref, ce qui aujourd’hui est revendiqué comme tradwife, soit par des bobos en quête d’hormones, soit par des femmes, qui trouvent que les hommes n’ont n’en plus…
Alors quand je dis que c’est l’homme qui dirige, je ne dis pas que elle doit se taire et obéir (elle peut parler et obéir 😊 ) non, j’aime les échanges, les discussions, mais il y a des principes, des valeurs.
Comme le principe que Monsieur doit porter les charges lourdes, passer devant pour braver le danger (ou tout simplement ouvrir la porte : ) ) bref, tout ce qui faisait les valeurs et principes des couples.
Les enfants avaient des repères, une éducation…
Il y a donc les Hommes et les Femmes, les Mâles et les Femelles…
Instinctivement, cela se reconnait, la femme qui a envie d’être soumise, de domination, qui a ce besoin instinctif d’être prise en main , parfois maltraitée, brusquée, utilisée…
Mon expérience avec les femmes, les soumises, me l’a clairement montré , confirmé, elles aiment être dominées.
La frontière entre soumise et esclave a parfois été franchie d’ailleurs…
Mais tout cela a été voulu, consenti, apprécié…
Alors parce qu’il faut de tout dans un monde, il y a bien sur les femmes dominatrices, évidemment vous vous doutez que je peux oui bien sur discuter avec elles, mais que on va pas être pouvoir avoir une relation 😊.
Et les neutres…ah les neutres, on va dire ça comme ca, celles qui pour moi ne font que suivre le mouvement de la société, ne prennent pas partie, position, car, d’un coté ou de l’autre, houla c’est mal, celles qui pour moi ont le moins de personnalité d’ailleurs, celles-là me qualifiaient de macho.
Alors quand je vois la société qui part en confiture, qui se délie, quand je vois dans les magasins que madame pousse le cady, et fais porter les courses (c’est pour schématiser) alors je me dis que …. Oui je préfère être macho, avoir des principes et des valeurs.
La question n’est pas que toutes les femmes doivent être soumises, que je n’accepte pas les dominatrices, ou que sais-je, mais je trouve que cette société perd ses valeurs, ses convictions.
Voilà c’était mon coup de gueule de la journée…
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Avant d'aller me coucher, un dernier tour sur le site..
Et je tombe juste sur ça: "modérateurs-trices"
Ma question est donc celle-ci:
Est-ce que cela rend le texte plus lisible pour autant?
Non !
Du moins, pas à mon point de vue !
Cela aurait même tendance à le rendre illisible !
Oui ! je sais !
Cela fait "je suis dans le coup, je suis "in"! je suis ouvert d'esprit, dans le vent !
Cool !
Mais quand on voit les fautes grossiére d'écriture, le "ce débattre" pour se débattre...
Est-ce bien la peine de rajouter cette MERDE d'écriture inclusive pour faire genre (pour parler 'djeune") et rendre les textes indigestes à lire?
La questions se pause !!!! (est-ce qu'avec les fote grossière le message passe mieux? s'il faut en passé par la, alors allonsy! se peut étre intéressant de le savoar!)
Alors oui, je suis con !!!!
Vous pouvez même y rajouter intolérant, d'extrême droaate, facho, réac, et tous les adjectifs pour me faire taire!
Les mots sont lancés, cela clos la discustion !
Mais quand on pense que, à l'école,et ailleurs, il est plus important de rendre un texte illisible par cette FOUTUE écriture dite insclusive que sur les fautes d'aurtho, d'ordo, bref de ce machin inutile...
PS! oui, il m'arrive aussi, suivant mon état de fatigue, de faire des fautes d'orthographe, surtout quand je laisse couler en chat, par exemple mais doigts sur le clavier., me concentrant plus sur le message que sur ce foutu truc!
Mais pour qu'un message soit clair, il est nullement nécessaire la paine de l'alourdir avec une écriture dite "inclusive" mais qui exclus nonseulement les vieux cons (dont je fais parti, je l'avoue volontier! mais aussi tout ceux dont la lourdeur du texte rebute !!!!
Sur ce, je vais me coucher !!!!
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Bonjour à toutes et à tous,
Je me présente à vous avec un récit en plusieurs chapitres, entièrement imaginé par mes soins. 🫣
Ce récit racontera l’histoire d’un jeune homme, aspirant soumis, qui fera la rencontre d’une Dominatrice expérimentée… Une femme qui saura le guider, le façonner, et peut-être faire de lui ce qu’il rêve d’être.
Ce premier chapitre, s'intitule "L'Éveil. '
Vos retours sont évidemment les bienvenus dans l’espace commentaire, qu’ils soient positifs ou négatifs (ces derniers sont parfois moins agréables, mais souvent plus instructifs...).
PS : Je suis loin d’être écrivain, simplement un apprenti soumis en quête d’exploration…
Bonne lecture à toutes et à tous ! 😁
Par une belle journée ensoleillée, Sam se rendit en ville avec une amie. Ils vivaient tous deux dans une vaste cité, peuplée de plusieurs centaines de milliers d’homo sapiens évolués.
La culture, la diversité et les musées en tout genre faisaient partie intégrante de la ville. Cependant, les beaux jours étant rares, nos deux protagonistes décidèrent d’en profiter pour user leurs souliers. La ville offrait un choix infini de possibilités, mais les espaces verts, eux, restaient plutôt rares.
Ils prirent donc la direction de l’un des rares parcs de la métropole. Dimanche ensoleillé oblige, les rues étaient bondées. Leur marche fut entravée par des embouteillages humains et le concert incessant des klaxons.
Pourtant, malgré cette agitation ambiante, Sam se sentait plus décomplexé que jamais.
Jessica, sa fidèle meilleure amie, était pour lui un véritable sanctuaire de bienveillance et de sérénité. Ils ne se connaissaient pas depuis si longtemps, et pourtant, ils avaient l’impression de s’être trouvés dès le premier jour de leur éveil intellectuel.
Jess’ faisait énormément de bien à Sam. Contrairement à lui, elle était extravertie, joueuse et débordante d’énergie. La honte, la peur et le jugement semblaient être des concepts étrangers pour elle.
Toujours ouverte aux possibilités que la vie pouvait lui offrir, elle faisait face aux aléas avec une aisance presque insolente. Les déconvenues ne l’épargnaient pas, bien sûr, mais elle savait habilement déjouer les pièges et contourner les tracas qui se dressaient sur son chemin.
Il faut dire que Sam était presque son opposé. Il n’était pas maladivement timide, mais pas très sociable non plus. Il s’inquiétait souvent pour un rien, se torturait l’esprit pour peu de choses et s’en voulait facilement.
Profitant tout de même d’un physique avantageux, il capitalisait principalement sur cela pour plaire à la gent opposée, sans immense succès, bien entendu.
Jessica, elle, était tout l’inverse. Elle croquait sa jeunesse à pleines dents, sans retenue, repoussant à plus tard les préoccupations liées au vieillissement. "Je penserai au régime quand mes premières rides apparaîtront", plaisantait-elle souvent.
Elle parlait de ses aventures de manière décomplexée, n’oubliant jamais un détail, ce qui avait le don de faire rougir Sam.
Il lui disait toujours :
— "Tu n’es pas obligée de tout me dire, tu sais…", lui lançait-il d’un ton à la fois amical et désabusé.
— "Sans les détails, c’est moins visuel, tu ne peux pas vraiment comprendre." répliquait-elle en grimaçant.
Nos deux amis finirent par arriver à destination : le plus grand parc de la ville. Comme mentionné plus tôt, la métropole en comptait peu, mais celui-ci restait tout de même grandiose. Ils poursuivirent leur marche, discutant de tout et de rien.
Finalement, ils trouvèrent un coin en plein soleil et s’allongèrent dans l’herbe. Le temps passa, et leur conversation continua, devenant de plus en plus détendue. À mesure qu’ils parlaient, ils se sentaient tous deux à l’aise, décontractés. Jessica, fidèle à son franc-parler, ressentait le besoin de se confier plus profondément à son ami.
Cependant, même pour elle, ce qu’elle s’apprêtait à lui révéler nécessitait un certain courage. Une sensation inhabituelle monta en elle… on pourrait presque parler d’une certaine gêne.
Elle voulait lui parler de certains de ses fantasmes les plus profonds, des désirs qu’elle n’avait jamais avoués à personne. Trop personnels, même pour elle. Bien entendu, elle ne comptait pas les lui dévoiler de but en blanc ; elle amorcerait d’abord la conversation sur la sexualité, instaurant une transition naturelle. Son côté direct ne l’empêchait pas d’avoir du tact.
Petit à petit, elle approfondit le sujet avec Sam, jusqu’à finir par avouer l’inavouable.
Sam fut réellement surpris. Il n’aurait jamais imaginé que son amie puisse nourrir de tels désirs. Pourtant, il l’écouta sans l’interrompre, comprenant instinctivement qu’elle avait besoin de parler. Après tout, s’ils étaient si proches, c’était aussi parce qu’ils savaient l’un comme l’autre qu’ils ne se trahiraient ni ne se jugeraient jamais.
Jessica continua donc son récit, allant jusqu’au bout de ses pensées sans détour.
Cette démonstration de courage et d’audace impressionna profondément Sam. Lui, qui s’autorisait si peu de fantaisies, qui bridaient autant ses envies que ses pensées, prenait soudain conscience de l’immense fossé qui le séparait de son amie, pourtant si proche de lui.
Il ne pouvait s’empêcher de rester pensif, comme perdu dans ses réflexions. Jamais il n’aurait pu avouer de telles choses… même à Jessica.
Et pire encore, il se demandait s’il aurait seulement été capable de se l’avouer à lui-même.
Sentant son humain préféré perdu dans ses pensées, Jess s’exclama :
— "Eh oh ! Le penseur fou est encore là ? Il y a encore quelqu’un là-haut ?", dit-elle d’un ton amusé.
Puis, elle ajouta :
— "Allez, ça va, c’est juste du sexe, tu ne vas quand même pas changer ta manière de me voir pour ça ?"
— "Bien sûr que non ! Excuse-moi, je ne voulais pas te contrarier… C’est juste que… tu m’impressionnes, voilà tout. Non, en fait, tu es vraiment épatante !" Il marqua une pause avant d’ajouter avec un sourire sincère : "D’ailleurs, je suis flatté… Si tu peux me confier ça, c’est que tu me fais vraiment confiance. Je suis touché."
— "Oh non, même pas tant que ça !" répliqua-t-elle avec ironie. "Je sais juste que tu n’aurais pas le cran de balancer, t’aurais trop peur des répercussions."
Ils échangèrent un sourire complice, et cette petite plaisanterie détendit immédiatement l’atmosphère.
Puis, Jess reprit, malicieuse :
— "Mais dis-moi… toi, tu n’aurais pas quelques petits fantasmes cachés, par hasard ?", lança-t-elle avec un grand sourire en coin.
— "Non, non, non, pas du tout, vraiment pas." répondit-il, visiblement peu assuré, se raidissant d’un coup et détournant le regard.
Jessica comprit immédiatement qu’elle avait touché un point sensible. Elle le supplia alors de tout lui raconter. Encore et encore, Sam répétait qu’il n’y avait rien à dire, mais elle connaissait son ami mieux que personne et savait parfaitement qu’il mentait.
Finalement, après quelques secondes d’hésitation, Sam craqua :
— "Bon… peut-être que j’en ai un, mais je ne te le dirai jamais. C’est trop personnel, je ne peux pas.", lâcha-t-il, visiblement mal à l’aise.
— "Oh allez, Sam, t’es pas cool ! Moi, je me suis mise à nu ! Et puis c’est moi, quoi ! Comme si j’allais partir en courant !" protesta-t-elle, légèrement vexée par son silence.
Sentant que son amie attendait un véritable échange et non un mur de réticences, Sam finit par céder :
— "Bon… ok. Mais tu jures que tu ne dis rien ! Secret à vie !"
— "Évidemment !"
— "Promis ?", demanda-t-il en la fixant avec de grands yeux.
— "Mais oui, Sam !"
— "Vraiment, vraiment promis ?"
Il savait pertinemment que Jessica ne trahirait jamais sa confiance. Il tentait juste de gagner du temps, essayant de rassembler son courage.
— "Bon, tu craches le morceau à la fin ou on en reste là ?", lança-t-elle, faussement agacée.
— "Oui, bon… c’est vrai qu’il y en a peut-être un…", admit-il finalement en baissant les yeux, gêné.
— "Allez, Sam, je vais pas te manger, tu sais."
— "Bon, j’avoue que parfois… je peux m’imaginer dans une position… disons… plus… à nu avec les filles."
— "De quoi ?" répondit-elle en plissant les yeux, comme si elle tentait de lire en lui. "Je ne comprends pas vraiment où tu veux en venir."
— "Baaaaaah…" Il prit une grande inspiration avant de lâcher d’une traite : "Disons que je fantasme un peu sur le fait d’être… dominé légèrement par une fille… Pas vraiment hein ! Juste un petit peu, histoire de tester, quoi…"
Sam ne disait pas toute la vérité.
Il ne fantasmait pas sur le fait d’être "légèrement dominé par une fille". Il rêvait d’être aux pieds d’une déesse. Il rêvait de lui appartenir corps et âme, de se donner entièrement à une femme sadique qui saurait le façonner à son image. Une femme qui prendrait le contrôle de tout : sa sexualité, ses pensées, ses actes.
Ce qu’il désirait réellement n’avait rien de léger, rien de tendre. Il voulait devenir un objet, une chose, une pute que l’on souille. Il rêvait de ne plus avoir le droit à rien sans l’accord de son dieu.
Mais ça, jamais il n’aurait pu l’avouer à Jessica.
Jess reprit la discussion en tapant sur son épaule :
— "Mais c’est tout ? Il ne fallait pas te faire tant de souci pour ça ! J’ai eu peur, j’ai cru que t’allais m’avouer un truc horrible !" dit-elle avec un grand sourire.
Puis, haussant les épaules, elle ajouta :
— "Franchement, je comprends… Moi aussi, ça m’excite d’être soumise. J’ai déjà essayé une fois, c’était une bonne expérience ! Ce n’est pas forcément ma came, mais c’était sympa. Pourquoi pas réessayer un jour, si l’occasion se présente."
La légèreté de Jess fit un bien fou à Sam. Il s’était imaginé une situation dramatique, et voilà qu’elle tournait le tout en une discussion des plus banales.
— "Ah bon ? Tu trouves ça… classique ?" demanda-t-il, surpris.
— "Bah, oui et non… Disons que c’est loin d’être honteux !" répondit-elle avec un grand sourire, fidèle à sa légèreté habituelle.
Ils n’approfondirent pas davantage le sujet et continuèrent de discuter de tout et de rien pendant des heures.
Le temps passa, et le soleil commença lentement à décliner. La chaleur de cette belle journée s’apaisa, les ombres s’étiraient sur l’herbe. Voyant cela, ils décidèrent de rentrer, toujours à pied, toujours en bavardant.
Ils habitaient à cinq minutes l’un de l’autre, et comme à son habitude, Sam insista pour raccompagner Jess chez elle, en parfait gentleman.
Une fois arrivés en bas de son immeuble, Jessica s’arrêta net et lança, d’un ton malicieux :
— "Tu sais, Sam, j’ai une super copine que j’ai rencontrée en soirée. Elle m’avait parlé d’un de ses fantasmes… Je te préviens tout de suite, elle est un peu plus vieille que nous, mais qu’est-ce qu’elle en impose !"
Sam comprit instantanément ce que Jessica allait lui dire. En une fraction de seconde, c’était comme si des années de fantasmes et de masturbations défilaient devant ses yeux.
Jessica, elle, poursuivit, avant même qu’il n’ait eu le temps de réagir :
— "Je sais que son kiff, c’est vraiment de dominer les mecs. Et elle n’en est pas à son coup d’essai… Je crois bien qu’elle en a déjà dressé plus d’un !" dit-elle d’un ton amusé.
Puis, voyant son ami figé, elle continua, un brin provocatrice :
— "Et la dernière fois que je l’ai vue, elle m’a dit qu’elle n’avait plus d’homme avec qui jouer en ce moment. Écoute… Je ne sais pas si tu veux aller plus loin dans ton fantasme, mais sache que je peux te filer son contact. Je la connais bien, et je sais que tu es totalement son type d’homme ! Tu devrais essayer, histoire de te lâcher un peu… Ça te ferait pas de mal un petit coup de fouet !" lança-t-elle en s’étouffant à moitié de rire.
Sam n’eut même pas le temps d’ouvrir la bouche que Jessica enchaîna :
— "Je vois bien que t’en as envie ! Tu sais quoi ? Je te laisse pas le choix. Je t’envoie son contact ce soir, et je lui envoie le tien. Elle saura à qui elle parle ! T’inquiète pas, t’es mon meilleur ami, je vais bien te vendre !"
Et avant qu’il n’ait pu protester, elle lui fit un clin d’œil et s’éclipsa dans son immeuble.
Sam resta là, immobile, seul avec ses pensées. Il sentit une légère pression au niveau de son entrejambe. Si lui hésitait encore, son anatomie, elle, semblait lui crier de foncer.
Il rentra chez lui, l’esprit en vrac, perdu dans un mélange d’excitation et de crainte.
Tout était allé beaucoup trop vite.
Dans cet état second, il n’arriva pas à penser clairement jusqu’à ce qu’il se retrouve dans son lit. Pris par l’émotion, il ne put s’empêcher de s’accorder un petit plaisir solitaire…
Son affaire terminée, il fonça sous la douche pour se calmer et se détendre. Il en avait bien besoin. Cette discussion l’avait littéralement chamboulé.
Comme à son habitude, il avait pris son téléphone avec lui pour écouter de la musique sous l’eau… mais, pris par l’urgence, il l’avait laissé dans sa chambre.
Une fois propre, il retourna dans sa chambre et entreprit de ranger rapidement le désordre ambiant. Il fit son lit, enfila son pyjama…
Puis, enfin, il se coucha et attrapa son téléphone.
Son cœur manqua un battement.
Sur l’écran, un message d’un numéro inconnu.
"Jess m’a parlé de toi. J’attends tes dispos pour un café."
Sam écarquilla les yeux.
Ça y est.
C’était réel.
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Il est possible de classer les termes et concepts BDSM selon un certain degré d'implication et de contrôle, bien que cela ne soit pas nécessairement une hiérarchie stricte et fixe. Chaque personne peut avoir une interprétation différente de ces termes et de leur signification, et il est important de communiquer clairement et ouvertement avec votre partenaire pour vous assurer que vous êtes tous les deux à l'aise avec le niveau d'implication et de contrôle dans votre relation BDSM.
Jeux sexuels occasionnels : Les jeux sexuels occasionnels sont des activités BDSM qui sont pratiquées de manière ponctuelle et qui ne dépassent pas le cadre du jeu sexuel. Ces activités peuvent inclure des jeux de rôle, du bondage ou de la douleur, mais restent confinées à la sphère intime.
Jeux de rôle avancés : Ce niveau implique des scénarios BDSM plus élaborés, avec une exploration plus poussée des dynamiques de pouvoir, sans pour autant aller jusqu'à la soumission complète. Les partenaires s'engagent dans des jeux de rôle complexes, tout en conservant une certaine autonomie.
Partenariat de pouvoir : Le partenariat de pouvoir est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel les deux partenaires ont un certain degré de contrôle et de pouvoir dans la relation. Ils travaillent ensemble pour prendre des décisions et définir les règles et les limites de leur interaction.
Contrats de service : À ce niveau, un contrat formel est établi entre le dominant et le soumis, définissant les tâches, les responsabilités et les limites du soumis envers le dominant. Cependant, le soumis conserve une autonomie en dehors de ces moments contractuels.
Soumission partielle : La soumission partielle est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel la soumission est limitée à certains aspects de la vie, tels que les activités sexuelles ou les décisions liées à la vie privée. Le soumis accepte de se soumettre à certaines demandes ou instructions du dominant, tout en gardant un certain degré de contrôle sur sa propre vie.
Contrats de service : Un cadre formel dans lequel un accord écrit ou tacite définit les tâches, responsabilités et limites spécifiques attribuées au soumis par le dominant, tout en assurant que l'autonomie demeure préservée en dehors de ces engagements contractuels.
Relation maître/esclave à temps partiel : À ce niveau, le soumis accepte une dynamique maître/esclave, mais seulement dans des contextes ou moments précis, conservant une autonomie en dehors de ces moments.
Soumission complète : La soumission complète est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel le soumis accepte de se soumettre entièrement au dominant dans tous les aspects de sa vie, y compris les décisions quotidiennes, les finances, les relations et les activités. Le soumis transfère entièrement le contrôle de sa vie au dominant, tout en pouvant conserver certains droits et privilèges.
Relation maître/esclave à long terme : Ce niveau implique une dynamique maître/esclave établie sur le long terme, avec un transfert important du contrôle. Cependant, des mécanismes de sauvegarde et de négociation peuvent être mis en place.
Soumission 24/7 : La soumission 24/7 est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel le soumis accepte de se soumettre entièrement au dominant en tout temps, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Le soumis est constamment sous le contrôle du dominant, même en dehors de la maison ou en public.
Esclavage consensuel : Ce niveau met l'accent sur le consentement et la négociation, avec des droits et privilèges clairement définis pour l'esclave. Les esclaves peuvent avoir des mécanismes en place pour garantir le respect de leur consentement et de leur bien-être.
Propriété personnelle : Ce niveau extrême implique que le soumis accepte d'être la propriété personnelle du dominant, sans aucun droit ni privilège, se rapprochant de l'esclavage sans le consentement explicite.
Esclavage (Slavery) : L'esclavage est un rôle dans lequel une personne accepte d'être la propriété d'une autre personne, généralement appelée le maître ou la maîtresse. Les esclaves sont souvent considérés comme des objets ou des biens, et peuvent être utilisés pour le plaisir ou le service de leur maître ou maîtresse.
Culte de la personnalité : Ce niveau implique une forme de vénération et de soumission totale envers le dominant, allant au-delà du simple transfert de contrôle. Le soumis voue un culte à la personnalité du dominant, l'idolâtrant et se soumettant complètement à son autorité.
Total Power Exchange (TPE) : Il s'agit d'une forme extrême de domination et de soumission dans laquelle une personne transfère entièrement le contrôle de sa vie à une autre personne. Dans un TPE, le dominant prend toutes les décisions importantes et le soumis n'a aucun contrôle sur sa propre vie. Les TPE sont souvent des relations à long terme et peuvent inclure des éléments de soumission, d'esclavage ou de propriété.
Total Life Control (TLC) : Le Total Life Control (TLC) est un niveau d'implication et de contrôle dans lequel une personne accepte de se soumettre entièrement au dominant dans tous les aspects de sa vie, y compris les décisions quotidiennes, les finances, les relations et les activités. Dans une relation de TLC, le soumis transfère entièrement le contrôle de sa vie au dominant, y compris tous les aspects de son existence. Le Total Life Control (TLC) est souvent une forme extrême de soumission et de contrôle, et peut inclure des éléments d'esclavage ou de propriété
Il est donc primordiale, avant de commencer une relation d'être bien sûr d'être sur la même longueur d'onde et donc de bien définir la relation !
Pour ma part, vous l'aurez compris avec mon annonce que je ne peux que commencer à partir du 8.
Mais ce genre relation est une spirale dans laquelle nous nous enfoncons inexorablement... avec le temps, la confiance étant là, le but est d'atteindre le 16....
Voir le 17....
Oui! je sais! il n'est pas là....
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Daddy Ernest est trader pour son propre compte, depuis des paradis fiscaux. Cela fait longtemps déjà qu'il a fait fortune. Il est très doué. Un sixième sens inné pour sentir les bon coups. Après une vie désastreuse avec une meuf dont il était fou amoureux au début, il a décidé de ne plus baiser que des superbes sissys bien soumises et obéissantes. Depuis il prend son pied.
Il habite dans une superbe maison, sur une île de l'atlantique nord où les impôts sont quasi inexistant. Une vie de rêve et de luxe. Il a pris soin de se choisir pour son harem de sissys, les plus belles, avec un cul serré et bien souple. Il vit avec ses trois femelles dévouées. Il adore faire l'amour et a de gros besoins. Ses sissys sont toutes les trois sous cages de chasteté et avec des implants mammaires pour former de superbes seins comme il aime. Daddy Ernest est très généreux mais il veut une obéissance et une fidélité absolue.
C'est un bon Daddy. Il en a une très grosse et ses sissys doivent trouver le plaisir uniquement par sissygasmes. Bien baisees, elles sont heureuses avec lui. Elles doivent toujours se tenir prête pour une saillie. Daddy Ernest n'aime pas les préliminaires. C'est un defonceur de petites chattes anales bien serrées. Faut pas faire sa chochotte quand Daddy a envie.
Il aime aussi claquer les fesses de ses trois soumises. Il frappe fort mais c'est jouissif pour ses sissys. Elles adorent avoir le cul bien rouge et filent droit.
Daddy Ernest aime être obéi en tout et pour tout. Dans son harem, chacune de ses trois sissys a sa tâche. Ce sont de très bonnes femmes d'intérieur qui savent choyer leur Daddy.
Si Cadetroussel avait 3 maisons, Daddy Ernest a trois petits culs de jolies sissys à son service exclusif. A chacun ses choix de vie.
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Élise Menard était un modèle de réussite aux yeux de son entourage. À trente ans, elle s’était construite une solide réputation d’avocate au sein d’un prestigieux cabinet lyonnais. Son éloquence tranchante et son sens aigu de la stratégie faisait d’elle une redoutable adversaire de prétoire qui gagnait la majorité de ses dossiers, faisant toujours preuve d'une maîtrise implacable.
Mais derrière cette façade faisant montre d'un équilibre apparent, une part d’elle la rongeait. Chaque soir, après les joutes verbales ou les négociations âpres, elle retrouvait son appartement cossu du sixième arrondissement, seule. Son appartement était spacieux, épuré, décoré avec goût, mais il lui apparaissait de plus en plus froid. Impersonnel. Glacial. Quand elle déambulait en escarpins sur le parquet de bois clair ni l’écho de ses pas solitaires, ni la lumière tamisée de ses lampes de créateurs ne parvenaient plus à chasser l’ombre grandissante de sa solitude.
Son quotidien se résumait à des repas trop rapidement avalés devant son écran d’ordinateur, quelques verres de vin pour apaiser tant la tension accumulée tant lors ses trop longues journées et que durant ses nuits trop courtes où l’insomnie s'invitait trop souvent. Elle passait des heures à fixer le plafond, une main posée sur son ventre, cherchant dans le silence une réponse à cette insatisfaction sourde qui la rongeait. Cette réponse qui ne venait pas la faisait s’enfoncer chaque jour un peu plus dans les limbes de la déprime voire de la dépression.
Parfois, elle s’autorisait à rêver d’un abandon total, d’une soumission volontaire où elle n’aurait plus à penser, à contrôler, à dominer. Elle tentait d’imaginer quelle pouvait être la sensation d’entendre un ordre murmuré à son oreille, de sentir un regard sévère la contraignant au silence, d’une main ferme contraignant ses gestes, l'empoignant parfois. Ces pensées l’effrayaient autant qu’elles l’attiraient. Elles étaient aux antipodes de l’image qu’elle renvoyait au quotidien. Avocate brillante et respectée d’un côté, femme en quête d’un mentor invisible de l’autre. Un paradoxe qu’elle taisait consciencieusement. De toute façon, à qui aurait-elle pu le confier ?
Un soir, alors qu’elle feuilletait distraitement un des nombreux ouvrages récupérés lors de la vente du chalet familial en Maurienne, ses doigts effleurèrent la couverture avec une lenteur presque rituelle. « Pouvoir et la domination » indiquait les lettres d’or défraîchies par l’épreuve du temps. Le cuir vieilli du livre dégageait une odeur qui la fit frissonner. Elle se laissa absorber dans sa lecture, chaque mot nourrissant en elle un désir secret, une envie d’explorer les limites de son propre contrôle. L’excitation se mêlait à la peur, une peur exquise, de celle que l’on ressent quand on s’apprête à franchir la frontière de ce que les psychologues nomment la « zone de confort ». Elle avalaient les pages les unes après les autres. Elle en mouillait.
Puis, léger un bruissement attira son attention. Bien que l’appartement fut plongé dans un silence absolu, elle était certaine d’avoir entendu quelque chose. Se levant doucement, elle s’approcha de la porte d’entrée. Sur le seuil, une enveloppe d’un blanc immaculé venait d'être glissé sous la porte. Anonyme. Aucune marque, aucune indication.
Fébrile, elle la ramassa du bout des doigts, son cœur battant plus fort. D’un geste mélant crainte et nervosité, elle déchira le bord de l’enveloppe et en extirpa une simple carte.
Quelques mots, écrits au style plume, firent accélérer encore les battements de son cœur :
“Madame Menard,
Nous avons entendu parler de vos discrètes envies. Ce que vous cherchez se trouve au-delà du voile des conventions.
Si vous désirez explorer, laissez votre instinct vous guider.
Demain soir, 22h, Le Cercle.
Venez seule.”
Ses mains tremblaient légèrement. Une invitation. Un appel vers l’inconnu. Elle relut la carte plusieurs fois, s’attardant sur chaque mot, comme si elle pouvait en extraire un indice supplémentaire. Qui étaient “ils” ? Comment avaient-ils su ?
Son souffle était court. Une multitude d’émotions s’entrechoquaient en elle : la peur, la curiosité, l’excitation… Une part d’elle-même lui soufflait de vite jeter ce carton dans la cheminée, de faire comme si elle ne l’avait jamais reçue. Mais une autre, plus impérieuse, plus profonde, lui intimait l’ordre de saisir ce qui pouvait être une opportunité. Elle en avait envie. Très envie.
Elle ferma les yeux un instant. Le vin participait à rendre ses idées plus que confuses. Elles s’entrechoquaient, se muant progressivement en images inavouables, indécentes, lubriques. Elle se sentait une forme de fièvre s’emparer d’elle, ses joues lui brûlaient presque. Puis son corps frissonna sous l’effet d’anticipations toujours plus vertigineuses. Ses tétons se faisaient bien indécents sous son chemisier de working girl. Son tanga était maintenant plus que moite.
C'était une évidence : le moment était venu.
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Pourquoi parler de santé sexuelle ?
D’après la constitution de l’OMS, la santé est “un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité”
La santé sexuelle a donc toute sa place quand on évoque la santé de façon globale.
Cependant, nous restons des êtres mués par nos pulsions et parfois, reconnaissons et acceptons qu’en termes de plaisir et de sexualité, nous pouvons prendre des risques ! C’est normal, c’est juste…humain…
La santé sexuelle, c’est quoi ?
La santé sexuelle englobe divers aspects autant physiques que cérébraux.
-Protection contre les infections sexuellement transmissibles (IST)
-Consentement
-Santé mentale et sexualité
Les IST
-Chlamydia
Relations sexuelles non protégées (vaginales, anales, orales).
Souvent asymptomatique. Peut causer des douleurs lors des rapports, des pertes anormales, ou des sensations de brûlure en urinant.
Traitement : Antibiotiques
-Gonorrhée
Relations sexuelles non protégées (vaginales, anales, orales).
Symptômes : Infections génitales, anales ou pharyngées. Peut entraîner des écoulements purulents, douleurs ou sensations de brûlure en urinant. Généralement asymptomatique chez les femmes cis.
Traitement : Antibiotiques
-Syphilis
Contact avec des lésions syphilitiques (souvent lors de rapports sexuels).
Symptômes : Éruptions cutanées, fièvre, fatigue menant à des complications graves (neurologiques, cardiovasculaires).
Traitement : Antibiotiques
-Hépatites B et C
Virus de l’hépatite B ou C transmis par le sang, les rapports sexuels non protégés, le partage d’aiguilles.
Symptômes : Fièvre, fatigue, jaunisse, douleurs abdominales. Peut devenir chronique.
Traitement : Vaccin pour l’hépatite B. Traitement antiviral pour l’hépatite C.
Il existe aussi l’hépatite A, relative à ce qui touche la digestion (anulingus…)
-HPV (Papillomavirus Humain)
Contact peau à peau (y compris relations sexuelles). Ce virus suit l’histoire de l’humanité et toute personne ayant des relations sexuelles en est infectée! La plupart ne déclare pas de forme symptomatique. Cependant certaines formes peuvent engendrer des condylomes (verrues génitales) voir des lésions cancéreuses.
Symptômes : Verrues génitales, lésions précancéreuses du col de l'utérus, de l'anus, ou de la gorge (cancer).
Traitement : Pas de traitement curatif pour le virus, mais il existe des vaccins préventifs. Les condylomes et lésions précancéreuses peuvent être traitées.
-VIH (Virus de l'Immunodéficience Humaine)
Virus qui attaque le système immunitaire et se transmet par le sang, sperme, sécrétions vaginales, lait maternel.
Symptômes : Phase initiale avec fièvre, fatigue, éruptions cutanées. Peut évoluer vers le SIDA si non traité.
Traitement : Pas de guérison, mais des traitements antirétroviraux permettent de contrôler le virus et offrent une espérance de vie identique aux personnes séronégatives.
-Une personne qui prend son traitement ne transmet pas le VIH !
indétectable = Intransmissible!
La prévention
-La meilleure des préventions reste le dépistage. Idéalement tous les 3 mois en cas de partenaires multiples ou de pratiques traumatiques (sang, pénétrations hard, etc…)
-on peut avoir une IST sans se sentir malade ou avoir de symptômes
-une IST diagnostiquée tôt permet un meilleur traitement
-un dépistage permet d’éviter de transmettre une infection de ses partenaires
-Il existe des vaccins (hépatites, HPV, monkey pox)
Rendez-vous dans un CEGIDD. Il s’agit de centres de santé sexuelle GRATUITS et pouvant être anonymes. Vous pourrez y faire des dépistages, être vacciné-e, être traité-e en cas d’IST, recevoir des infos pour limiter les risques en fonction de vos pratiques. (Fun fact : c’est un médecin du CEGIDD qui m’a appris tous les gestes d’hygiène pour pratiquer le needleplay)
-Vous pouvez aussi prendre la Prep’, traitement médical prophylactique et gratuit empêchant une infection par le VIH (disponible dans un CEGIDD avec suivi et dépistages ou auprès de son médecin traitant)
-Quelques mesures simples peuvent limiter aussi les risques :
-désinfecter ses jouets quand on change de partenaires (particulièrement les instruments d’impact et évidement les sextoys)
-changer de capote quand on change d’orifice et/ou de partenaires (Capotes gratuites et illimitées dans les CEGGID et auprès d’assos de prévention)
-Une prise de risque concernant le VIH? Il existe le traitement post-exposition (TPE) Rendez-vous dans un CEGIDD ou aux urgences dans les 48h maximum.
-Chacun-e est libre de consommer des produits psychoactifs. Cependant, ces prod’ peuvent altérer notre conscience et favoriser la prise de risque. Rapprochez-vous d’assos de RDR (réduction des risques) pour des conseils et du matos gratuit.
Il est bien évident que toutes les structures citées ne portent aucun jugement sur nos pratiques et restent bienveillantes et à l’écoute !
Le consentement : La base d’une sexualité saine
On en parle beaucoup du consentement. Et tant mieux !
Il y a beaucoup de ressources à ce sujet. Je vous en propose une autre :
Retenons le mot désir -D, E, S, I, R-
D = DONNÉ LIBREMENT. C’est un choix personnel que je fais. Pas de consentement si la personne est sous l’influence de prod’ ou si elle n’est pas consciente.
E = ENTHOUSIASTE. J’ai envie de participer à ce qui m’est proposé ! Cette envie s’exprime par des signes verbaux, un langage corporel positif, le maintien du contact visuel, un hochement de tête.
S = SPÉCIFIQUE. Je dis oui à un acte ou à une pratique spécifique. Je donne mon consentement à une chose, ça ne veut pas dire que je dis oui à autre chose.
I = INFORMÉ. Je consens à une activité sexuelle en étant informé-e de ce qui va se passer et des impacts (positifs et négatifs). Pas de consentement s’il y a de la tromperie, des mensonges.
R = RÉTRACTABLE. Je peux changer d’idée à n’importe quel moment. Si je dis non, on arrête.
Santé mentale et sexualité
La sexualité fait partie intégrante du bien-être global. Une sexualité épanouie peut contribuer à une meilleure santé mentale.
À l’inverse, des troubles de la santé mentale (anxiété, dépression, stress, etc.) peuvent affecter le désir, la libido et la confiance en soi.
Stress et fatigue : Leur rôle dans la baisse de libido et des difficultés relationnelles
Le stress, qu'il soit lié au travail, à des responsabilités familiales ou à des situations personnelles, peut avoir un impact direct sur la sexualité :
-Le stress chronique augmente le niveau de cortisol, une hormone qui inhibe le désir sexuel en perturbant les équilibres hormonaux, notamment ceux liés à la testostérone et aux oestrogènes.
-La fatigue physique ou mentale diminue l'énergie disponible pour les interactions intimes, rendant les moments de connexion plus difficiles.
-Sur le plan relationnel, le stress peut engendrer des tensions ou des conflits, affectant la communication entre partenaires.
Comment y faire face ?
-Pratiquer des techniques de gestion du stress comme la méditation, le yoga ou des exercices de respiration.
-Planifier des moments de détente en couple pour recréer un espace propice à l’intimité sans pression.
Traumatismes sexuels : L’impact des violences sexuelles ou des expériences négatives sur l’intimité
Les violences sexuelles ou des expériences intimes négatives peuvent laisser des séquelles durables sur la santé mentale et la sexualité :
-Les victimes peuvent développer des troubles post-traumatiques (flashbacks, évitement, anxiété) qui rendent certaines formes d’intimité difficiles.
-La peur de perdre le contrôle ou d’être vulnérable peut entraîner un blocage émotionnel ou physique face à l’acte sexuel.
-Les sentiments de culpabilité ou de honte peuvent également freiner la reconstruction de la confiance en soi et en autrui.
Comment y faire face ?
-Se tourner vers des professionnels de la santé mentale (Chaque CHU dispose d’un CMP, Centre médico-psychologique, établissement gratuit pouvant accompagner tout besoin psychologique)
-Avancer à son propre rythme : il est important de respecter ses propres limites et de ne pas se forcer.
-Communiquer avec ses partenaires pour expliquer ses besoins et se sentir soutenu.
Pressions sociales : l’idéalisation de la performance sexuelle et les normes culturelles
La société impose souvent des attentes irréalistes concernant la sexualité et les rôles de genre :
-Performance sexuelle : L’idée qu’il faut "performer" lors des rapports (durée, fréquence, intensité) peut engendrer une anxiété de performance, réduisant le plaisir.
Normes culturelles : Ces normes, encore bien présentes, peuvent marginaliser les orientations sexuelles ou les pratiques qui sortent de l’hétéronormativité.
Comment y faire face ?
-Redéfinir ses propres attentes en fonction de ses envies et besoins réels.
-Se détacher des représentations irréalistes véhiculées par les médias ou la pornographie.
Honte ou tabous : Stigmatisation autour de certaines pratiques, orientations ou identités
La honte ou les tabous liés à la sexualité peuvent limiter l’expression de soi :
-Nos pratiques alternatives (BDSM, polyamour, etc.) peuvent être victimes de jugements, nous amenant à cacher ces pratiques ou à nous sentir isolé-es.
-Nos orientations sexuelles et nos identités de genre minoritaires sont encore stigmatisées dans de nombreux contextes, ce qui peut générer un mal-être profond.
-La honte corporelle, souvent alimentée par des standards de beauté inaccessibles, peut également freiner la confiance dans l’intimité.
Comment y faire face ?
-Chercher des espaces bienveillants où échanger (Merci bdsm.fr…).
-Apprendre à normaliser la diversité sexuelle et à s’éduquer sur ces sujets.
La santé sexuelle va au-delà de la prévention des IST.
Elle implique également le respect du consentement et des diversités sexuelles et de genre.
En étant respectueux et inclusif-ves, nous créons des espaces safe où chacun·e peut vivre sa sexualité librement et sereinement.
Respect, écoute et ouverture contribuent à une communauté plus saine et bienveillante pour toutes et tous.
Prenez soin de vous et des autres.
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Cet "article" est en réalité un faisant parti d'un ensemble qui m'a été inspiré par la question "Naît-on esclave ou le devient-on" et dont ma réponse pourrait être le premier article de cette série à venir. (Réponse que vous pouvez retrouver sur mon Mur Perso).
C'est donc une exploration de la relation que j'explorerai ici, une vision telle que je la conçois...
Le BDSM est une pratique à la fois complexe, personnelle et riche de multiples dimensions, qui peut offrir de nombreux bénéfices lorsque celle-ci est pratiquée de manière consensuelle, informée. Cette approche permet non seulement d’explorer des aspects souvent négligés de la sexualité, mais également de développer une meilleure connaissance de soi, d’enrichir la dynamique relationnelle et de repousser certains cadres sociaux traditionnels. Plusieurs axes de réflexion et de précaution doivent être pris en compte.
I. Avantages potentiels
Exploration de soi
• Le BDSM offre un espace sécurisé pour se confronter à ses fantasmes, désirs tabous et aspects cachés de sa personnalité, permettant ainsi une expression authentique et la découverte de nouvelles facettes de soi.
Renforcement de la confiance et de la sécurité
• Fondé sur un échange de confiance mutuelle, contribuant à un environnement où chacun peut explorer ses désirs sans crainte de jugement.
Évasion et lâcher-prise
• En se concentrant pleinement sur l’instant présent et en se déchargeant temporairement des responsabilités quotidiennes, le BDSM peut procurer une sensation de liberté et de détente profonde.
Plaisir physique et émotionnel
• L’exposition à des sensations intenses – qu’elles soient physiques ou psychologiques – permet de vivre des expériences uniques, où la douleur, lorsqu’elle est pratiquée de manière consensuelle, se transforme en source de plaisir et renforce les liens entre partenaires.
Exploration de la dynamique de pouvoir
• Le jeu entre domination et soumission offre la possibilité de renverser les normes établies, redéfinissant ainsi les rapports de pouvoir et offrant à chacun la chance d’explorer sa propre identité dans un cadre défini.
Dimension psychologique et émotionnelle
• La pratique permet d’aborder en profondeur ses vulnérabilités et d’explorer des besoins émotionnels enfouis. Pour certains, cette démarche peut même constituer une libération cathartique d’émotions refoulées.
Créativité et mise en scène
• L’élaboration de scénarios et le recours au jeu de rôle stimulent la créativité, rendant l’expérience sensorielle et relationnelle d’autant plus intense et personnalisée.
Recherche d’un équilibre entre contrôle et abandon
• Même dans la pratique d’un rôle soumis, l’établissement de limites précises permet de vivre chaque expérience comme un acte choisi, équilibré entre le contrôle conscient et le lâcher-prise nécessaire à l’épanouissement.
Dimension spirituelle et transcendantale
• Pour certains, le BDSM prend des connotations rituelles ou sacrées, impliquant un voyage vers des expériences qui touchent à l’aspect spirituel et transcendant de l’être.
Évolution personnelle
• La nécessité d’une communication transparente et d’un ajustement constant lors des interactions contribue au développement personnel, tout en permettant l’acquisition de compétences relationnelles applicables dans d’autres domaines de la vie.
Impact relationnel à long terme
• Le BDSM pratiqué dans un climat de confiance peut renforcer durablement la dynamique d’un couple. Une communication ouverte favorise l’instauration de liens profonds, durables et basés sur une compréhension mutuelle.
Appartenance à une communauté
• La participation à des événements, ateliers ou discussions permet de rejoindre une communauté partageant des intérêts similaires, favorisant ainsi le soutien mutuel et la formation continue.
II. Précautions essentielles
Communication claire et honnête
• Avant tout, il est essentiel d’engager une conversation approfondie afin de définir explicitement les désirs, limites et appréhensions. Le consentement éclairé et l’utilisation de mots de sécurité tout au long de l’échange sont des fondements incontournables.
S’informer et se former
• Il est impératif de se renseigner et d’acquérir des connaissances solides avant de s’engager dans une pratique BDSM inconnue. Livres spécialisés, ateliers, séminaires ou tutoriels dispensés par des experts permettent de mieux comprendre les techniques, les signaux de sécurité et le respect des limites.
Gestion des activités à risque
• Il est essentiel de pratiquer de manière progressive et d’éviter les activités potentiellement dangereuses sans avoir acquis l’expérience et les précautions indispensables afin de prévenir tout risque de blessures graves.
Pratique dans un environnement sécurisé
• Choisir un lieu adapté et sécurisé, et s'assurer de maîtriser les gestes de premiers secours en cas d’incident.
Contexte juridique et éthique
• Bien que le BDSM soit fondé sur le consentement mutuel, il est nécessaire de rappeler que les pratiques doivent impérativement se conformer au cadre légal en vigueur dans le pays.
• Les implications d’un consentement éclairé prennent une dimension juridique : il appartient à chacun d’être conscient de ses responsabilités et de veiller à ce que toutes les parties respectent la législation en matière de pratiques sexuelles.
• L’aspect éthique implique également une réflexion sur le bien-être de chacun et sur l’intégrité des interactions.
Veille sur la santé mentale et physique
• Les personnes ayant des antécédents de traumatismes ou de troubles psychologiques doivent aborder cette pratique avec la plus grande prudence, éventuellement sous accompagnement professionnel ou dans un cadre thérapeutique.
Soins post-séance (Aftercare)
• L’aftercare est une étape cruciale qui peut inclure des gestes tendres, une conversation réconfortante, sur le ressenti ou toute autre forme de réassurance, visant à restaurer l’équilibre émotionnel et physique après une session intense.
Sensibilisation aux risques émotionnels
• Restez vigilant quant aux impacts psychologiques potentiels. Si une session s’avère trop intense ou difficile à gérer émotionnellement, il est important de reconnaître les signes et de solliciter un soutien, que ce soit auprès de proches ou de professionnels.
Précisions sur le rôle de « victim »
• Certaines pratiques intègrent l’adoption d’un rôle de « victim » dans le cadre de jeux de rôle scénarisés. Il est essentiel que ce rôle, pleinement consenti par toutes les parties, soit exercé avec une attention particulière pour éviter toute interprétation pathologisante ou stigmatisante. Une discussion préalable sur les attentes et les limites liées à ce rôle est indispensable pour en faire une expérience enrichissante et respectueuse.
En résumé, le BDSM peut représenter une voie riche en découvertes et en plaisirs multiples, à condition qu’il soit pratiqué de manière responsable, informée et consensuelle. Que vous soyez débutant ou pratiquant expérimenté, il est crucial de placer l’éducation, la communication, la sécurité au cœur de chaque interaction. Intégrer un cadre juridique et éthique solide, poursuivre une formation continue et prêter une attention particulière aux soins post-séance assurera une pratique épanouissante et sécurisée, tant sur le plan personnel que relationnel.
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La soirée de la Saint-Valentin était arrivée, nous avions décidé de vivre quelque chose de différent, quelque chose de plus intime, plus profond. L'atmosphère est chaleureuse, la lumière tamisée par des bougies.
Nous avons pris un moment pour nous déconnecter du quotidien, en laissant la musique électro envelopper la pièce, créant une ambiance qui favorise le lâcher-prise. Les basses vibrantes nous ont aidés à relâcher les tensions, à nous immerger pleinement dans l’instant présent. Ensemble, nous avons plongé dans des respirations profondes, nos corps se synchronisant lentement, dans une danse silencieuse, pleine de promesses et de sensations qui s’éveillaient peu à peu.
Tout autour de nous, le monde semblait se dissoudre, comme si nous étions dans une bulle, hors du temps. Nos regards se croisant et se mélangeant dans un échange sans mots. Une connexion silencieuse s’est installée entre nous. Nos corps se sont rapprochés lentement, en parfaite synchronisation, comme guidés par une énergie douce et puissante à la fois.
Nous avons laissé nos mains explorer, éveiller les zones de nos corps qui avaient été endormies par la routine. Le toucher était doux, attentif, chaque caresse était comme un dialogue silencieux entre nos sens. Les gestes étaient naturels, presque instinctifs, comme si nos corps avaient toujours su exactement ce qu’ils désiraient.
Je me suis alors tourné vers le sextoy en silicone, celui que nous avions choisi ensemble, impatients de découvrir comment il pourrait nourrir notre connexion. Avec sa texture douce et souple, il se glissait facilement dans le mouvement de nos corps, amplifiant lentement l’excitation. Je l’ai utilisé pour éveiller les sensations de ma partenaire, jouant avec délicatesse pour intensifier son désir. Puis, j'ai introduit le jouet dans son cul, en douceur, créant une sensation d’extase progressive et de profonde relaxation.
À cet instant précis, il n’y avait plus de distinction entre elle et moi, seulement une fusion parfaite, une extension de nos énergies, comme si nous étions devenus une seule entité. La sensation de flotter dans cet état de flow était incroyable, une douce ivresse, un état de conscience modifié qui nous permettait de ressentir chaque frisson, chaque soupir avec une intensité nouvelle. Chaque mouvement était un chant silencieux entre nos corps, une danse où les frontières entre l’un et l’autre se dissolvaient peu à peu.
Vous aimez les aventures et histoires que je partage ?
Je suis aussi bloggueur ou je partage mon travail de recherche et d'exploration. Consultez mon site bdsm.fr/search/?q= pour en savoir plus 🔥
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https://youtu.be/hls4tikESm8
L’obscurité ne peut cacher la tristesse de mon regard.
Les jours passent, mais la nuit est toujours trop courte.
Chaque soir, je vous retrouve au fond de mon rêve
Et c’est toujours le même songe.
Encore une nuit éclairée par la lumière de votre sourire
Telle la lumière, vous attirez les papillons égarés
Perdu dans cette nuit noire, vous êtes l’étoile qui guide mes pas
Cherchant mon chemin dans le méandre de mes désirs inavouables.
Je tombe à vos pieds, nu
À Genoux, votre lumière m’inonde de votre chaleur
Comme un interdit, vous jouez sur mon corps
Chevauchez les égos et entre vos bras
Je m’abandonne, sans interdit
Le danger avec un parfum de volupté,
Sens interdit
Je ne peux retenir une larme
Cette perle d’eau salée, c’est tout l’océan dans une goutte
L’océan de mes peurs, l'océan de tous mes regrets,
Une mer de souffrances enfouies.
Tourné vers le Passé, cherchant un futur
Essayant de vivre le présent
Toujours vivant ?
Puis de vos mains qui savent se faire douces
Vous recouvrez mes plaies les plus profondes
Parce que vous avez ce pouvoir
Madone des marins égarés sur les flots tumultueux de cette vie
Je suis une coquille flottant entre vos mains
Votre souffle me guidant vers de calme rivage
À l’abris des tempêtes de mes sombres pensées
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Toc Toc , ca frappe à la porte,
Hop hop à 4 pattes et que ça saute.
Malette à la main,
Remplie d'objets malins.
Une corde solide et puissante,
Pour attacher cette soumise douce et impuissante.
Bloquée sans plus aucunes façons de bouger,
La première fessée vient alors frapper.
Un cri soudain mélangeant douleur et extase,
Aux vibrations puissantes faisant trembler le vase.
Une cravache sortant de la malette,
Qui doucement caresse ces fesses en levrette.
L'avant bras droit qui recule d'un geste certain,
La main gauche aggripant ce doux bassin.
Les cheveux enroulés autour du poignet,
Un coup sec en arrière pour te cambrer.
Mon avant bras droit n'a pas pu résister,
La cravache vient de te frapper !
A suivre..
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