Catégories
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Je découvre Laure sous un autre jour. Je suis perdu, j’ai mal, mon cœur s’écrase contre ma poitrine. Je me sens oppressé mais en même temps, une excitation, comme jamais ressentie, s’empare de moi. Je la sens, dans chaque parcelle de mon corps, de mon être, de mon âme. Mon esprit alterne, entre l’émoi et le désir, incommensurable, de plus en plus incommensurable. Emoi et envie, s’emmêlent, s’entremêlent, fusionnent, ne font plus qu’un. Un étrange et extraordinaire désir et paradoxalement contrasté, contradictoire. Douleur et jouissance, jalousie et excitation, réticence et envie, tout est confus.
Mes yeux sont rivés sur le corps de Laure, qui comme une ode s’offre, peu à peu, à son dominant qui répand sa maitrise sur tout son être. Elle est nue devant moi, devant lui, avec toute sa pudeur, mais elle la sacrifie pour lui, elle le lui offre. Son pied est toujours sur l’accoudoir du fauteuil, cambré, comme si elle se prosternait. Il est fuselé et le rouge noir, de son vernis, accentue plus encore la bague qui orne désormais son orteil. Elle porte son sceau.
Paul pose sa main sur sa cheville et la remonte le long de son mollet, de sa cuisse, tout en me fixant intensément. Il marque le galbe de sa jambe, qui m’envoute. Sa position se cambre d’avantage, a chaque avancée de la main de son maitre. Ses fesses s’arrondissent fermement et me donne envie d’elle comme jamais. Je perçois le scintillement du rosebud qui scelle son anus, qui me sera, désormais, interdit.
L’équilibre de Laure, semble précaire, son dos chancèle, mais m’envoute comme une danse serpentine. Je suis en orient, à l’image de la chaine qu’elle porte à la cheville. Eunuque de ce harem, dont elle est la seule, l’unique, l’incroyable cadine. La favorite.
La main du Sultan s’arrête à l’orée de son sexe. Il a assurément effleuré, ses grandes lèvres, totalement dévoilées. Laure sursaute, trésaille et soupir lorsqu’il arrête brusquement sa progression. Je ne sais pas, si sa plainte est celle d’un soulagement ou d’une déception.
Je suis de plus en plus bouleversé.
« Laure n’as-tu pas un présent à m’offrir également ? », lâche soudain Paul.
« Oui mon Maître » chuchote Laure en gardant la tête baissée.
« Plus fort, Laure, ton mari n’a pas bien entendu » reprend Paul.
« Oui Mon Maître » lâche-t-elle à son tour avec plus de tonalité mais avec une grande pudeur.
Mon Maître, je suis estomaqué. L’utilisation de ce pronom personnel me fait l’effet d’une aiguille qui me transperce le cœur et pourtant je sens mon érection s’accentuer davantage.
Laure se détourne du fauteuil et se dirige vers une console de notre salon. Ses pas ne pas ne semblent pas toucher le sol, ils s’inscrivent dans une farandole lancinante. La pierre du rosebud ondule à chaque mouvement et crispe les arabesques de ses fesses qui semblent chuchoter, appeler quelque chose, dont je ne suis pas sûre de saisir ou que je crains de savoir.
Elle ouvre un tiroir, y saisit un objet que je ne peux voir de ma position et reviens vers son Maître. Elle tient en main une laisse rouge toute fine et un petit collier en cuir noir orné d’un petit anneau argenté en son centre. Elle les tend à Paul qui se lève et lui ordonne de se mettre à genou.
« Tu as bien choisi tes liens, Laure », lui félicite-t-il lorsqu’il passe le collier au coup.
La laisse retombe entre ses seins voluptueux, souples et arrogant. Ses tétons, dont elle a si honte, pointent insolemment. Ils sont incandescents et pourpres et font saillir le teint de porcelaine de sa poitrine.
- « A présent suce moi » ordonne Paul en tirant, fermement, la laisse pour attirer la tête de Laure contre son entre-jambe.
Ma femme, si fière et rebelle, à l’accoutumée, est totalement sous son joug. Elle défait son pantalon et prend le sexe de Paul en bouche délicatement.
Paul m’avait longuement interrogé, lors de notre première entrevue, sur les qualités sexuelles de Laure. Je lui avais vanté ses fellations. L’art qu’elle avait d’enlacer de sa langue mon sexe, des délices qu’elle semait en parcourant ma tige, des frissons qu’elle provoquait en léchant mes bourses jusqu’au zone plus reculées.
Laure se donnait avec plus de gourmandise. Sa bouche allait et venait, léchait, suçait, gobait. Alternait entre l’érection de son maitre et les contreforts de son sexe de plus en tendu. Elle soupirait, gémissait même, plus elle avalait la virilité de son maitre, qui explosa violemment en elle, dans sa bouche, sans qu’elle ne fasse le moindre mouvement de recul, bien au contraire. Laure l’avala comme une offrande, alors qu’elle n’avait jamais, au grand jamais, voulu m’accorder une telle faveur, en dix années de vie commune.
Elle lui donnait plus qu’elle ne m’avait jamais donné. Il s’en alla, en accrochant sa laisse et son collier au porte manteau de notre entrée, afin qu’ils soient offerts à la vue de tous nos visiteurs à l’avenir, sans qu’ils n’en comprennent le sens, et qu’ils nous rappellent à chaque instant, la soumission de Laure.
321 vues
15 aime
[…] Pour notre …. Dressage. Le mot claqua comme une gifle, rude, brutale, presque vulgaire, mais je crois qu’il correspondait à ce que nous recherchions réellement.
Notre dressage… le sien, celui de son corps et de son âme et le mien à travers elle.
C'est comme si, j'y suis encore:
Le rendez-vous était pris, nous attendions l’heure fatidique, sans échanger un mot, comme la veille. Je ne sais pas cependant, si Laure a la même appréhension que moi, si elle perçoit l’atmosphère fatidique comme moi je la ressens, comme si je la perdais sans la quitter. Une fois que la sonnette retentirait, nous ne pourrions plus, quoiqu’il advienne, revenir en arrière. Nous aurons franchi à jamais une ligne dont le franchissement ne s’effacera jamais.
Pas une seconde de plus, pas une de moins, la sonnette retentit à l’heure exacte qu’il avait donnée. Je regarde une dernière fois Laure, qui d’un simple regard scelle, de manière incontestable notre sort, en me faisant comprendre que je devais aller ouvrir à celui qui allait devenir son maître et indirectement le mien.
Elle reste assise dans le fauteuil, les jambes croisées, sa jupe remontée à mi-cuisse. L’une de ses chevilles, qui ondule sur elle-même, trahissant assurément son appréhension, manque de faire tomber l’une de ses mules à terre.
Je me lève, alors, et me dirige vers la porte d’entrée, après avoir emprunté le vestibule qui la sépare du salon. Paul est, comme la première fois, très élégamment vêtu. Je le débarrasse de sa veste pour l’accrocher sur notre porte manteau. Il tient en mains deux petits paquets. Il prend soin de me demander comment je me porte. Je ne puis lui cacher mon anxiété. Il me regarde alors fixement dans les yeux et avec une extrême bienveillance, me rappelle que je demeure libre et serai libre toujours de renoncer. C’était un choix mutuel auquel que je m’associe. Si l’un de nous renonçait, il ne continuerait plus. Il s’enquiert alors une nouvelle fois de ma volonté. J’y consens de vive voix mais en baissant les yeux.
- « Puisqu’il en est ainsi, conduis-moi auprès de Laure, je te prie » me dit-il d’un ton calme mais déterminée.
Le vestibule est à une dizaine de mètres du salon, et les craquements du parquet en chevron alertent surement Laure, de notre arrivée. J’ouvre la porte qui donne sur le séjour et connut ma première stupéfaction.
Laure est entièrement nue, a genou, les mains croisées derrière la tête, les yeux baissés. Comme une offrande, elle nous attendait, ou plutôt l’attendait.
Paul ne semble, quant à lui, pas surpris de la scène. Il félicite même Laure, d’avoir suivi à la lettre ses instructions. Je suis décontenancé, plus encore, lorsqu’il lui indique qu’il s’attend à ce qu’elle ait suivi toutes les autres instructions qu’il lui avait prescrites. Je prends en pleine face, dès cet instant, la soumission de ma femme et mon effacement.
Paul s’assied, alors, sur le fauteuil Voltaire de notre salon, face à Laure, qui reste toujours agenouillée les bras en croix derrière sa nuque, les yeux baissés. Il la contemple sans dire un mot. Je reste, quant à moi, sur ses instructions, debout en retrait, dans un coin du salon.
Le silence règne quelques instants.
« Acceptes-tu de te soumettre à moi, Laure ? », questionne-t-il enfin.
« Oui » répond timidement Laure.
« Comment je n’ai pas bien entendu, Laure ? » dit-il irrité.
« Oui Maître, pardonnez-moi Maître » reprend Laure, toute confuse.
La messe était dite à cet instant, ma femme nous offrait, à son maître et j’y souscrivait.
Paul lui ordonne alors de se relever et de se mettre en position d’inspection. Je suis de nouveau décontenancé. Laure s’exécute immédiatement. Elle semble connaître déjà parfaitement les codes et positions de ce genre de relation, alors que nous n’avions, jamais, jusqu’à là, explorer ce milieu.
Paul lui ordonne d’écarter un peu plus les jambes afin qu’il discerne mieux l’exécution des instructions qu’il lui avait donné concernant son sexe. Je suis à nouveau surpris. La toison fine et brune de ma femme, qui recouvrait habituellement son con, a totalement disparu. Non pas que son sexe soit, à présent vierge de tout poil, mais il est en grande partie lisse. Seul, un très mince filet de poil subsiste sur le haut de son pubis. Comme une flèche, signalant, encore plus, le gable immaculé de ses lèvres.
Il lui ordonne alors de se tourner, de sorte à lui montrer ses fesses. Naturellement, elle doit se pencher, plus avant, pour s’offrir davantage à vue. Elle demeure les yeux baissés lorsqu’il lui ordonne de me regarder droit dans les yeux. Il était temps qu’elle assume également vis-à-vis de moi sa condition et qu’elle marque son appartenance. Il se lève et s’approche de sa croupe. Y pose sa main. Puis, tout en me regardant, à son tour, droit dans les yeux, il demande à Laure de m’indiquer ce qu’elle porte, à cet instant, dans son cul.
Elle semblait hésiter à me répondre. Il lui claque, alors, la fesse fermement. Laure s’exécute en m’indiquant qu’elle porte un plug. Paul la tient par les cheveux, pour qu’elle ne puisse pas baisser les yeux et affronte mon regard perdu, bafoué mais aussi terriblement excité. Paul m’explique alors que ce plug me signifie, que désormais, durant toute la soumission de Laure, je n’aurai plus accès à son cul, que cela lui était exclusivement réservé. C’est la première règle qui me fixe.
Paul retourne s’assoir, laissant Laure, debout au milieu de la scène, toujours en position d’inspection, face à, moi.
Il ouvre, le premier petit paquet, qu’il avait ramené et me tend une petite chaine de cheville. Elle est fine et scintille. Il m’ordonne de la lui mettre en signe de soumission de ma femme. Je me rends au pied de Laure, toujours debout, les mains croisées derrière la nuque. Elle lève le regard, pour ne pas croiser le mien lorsque je lui ceints la cheville du bijou.
« Retournes-toi à présent » lui ordonne-t-il et « approche-toi de moi ».
Laure s’exécute et pose son pied ainsi marqué, sur l’accoudoir du fauteuil dans lequel Paul est installé. Il prend alors du second paquet, une petite bague d’orteil, toute sculptée et or, qu’il lui passe à son tour, comme signe d’appartenance de Laure désormais ,sa soumise.
441 vues
21 aime
[Aux lecteurs de passage, je souhaite partager avec vous, et sur les conseil de mon Maître adoré, quelques brides de textes que je lui ai expédié. Une façon pour moi de lui rendre hommage ici]
I - LE COLIS
" Bonjour à vous Monsieur,
Votre soumise swann, en mode agent secret ce midi, a pu enfin récupérer son coquin colis, sous le regard pantois des nombreux clients de ce bistrot de campagne, occupés à prendre l’apéritif à cet heure propice… S’ils savaient… Est-ce qu'un seul d'entre eux peut imaginer ce qui ce cache sous mes airs de mère de famille très sage ?
Vous me connaissez assez pour savoir que je n’ai évidemment pas pu résister à l’envie d’ouvrir discrètement le petit carton sans plus attendre : un plug, une combinaison en vinyle et une cagoule de la même matière. Je suis donc repassée chez moi, sachant qu’il n’y avait personne… ce qui m’a permis de faire mes essayages très tranquillement. Quelle belle salope je suis ! Je suis fière et heureuse de porter la tenue que vous avez spécialement choisi pour moi. Je m'y sens à l'aise, prête à vous servir de la sorte. Le retour au travail fut assez étrange. La swann n’était pas très concentrée…totalement déconnectée même !
Je n’ai donc pas eu le temps de déjeuner ce midi, mais si mon estomac est vide, c’est mon cul que j’ai bien envie de remplir de mon nouveau jouet : le robebud noir. Il me fait terriblement envie… j’aimerais beaucoup l’essayer. Sa texture est juste démentielle, semblable a de la peau très douce. Sa forme et ses dimensions sont parfaites, telles que je les imaginais. Quand on l’agite, on peut sentir une lourde bille se mouvoir à l’intérieur…Je suis curieuse de savoir quelles sensations cela pourrait me procurer au plus profond de moi… Voilà un outil idéal que je ne vous remercierais jamais assez d’avoir choisi avec moi.
Je rêve du jour où vous me baiserez avec ce plug en place entre mes fesses…"
II - EXHIBITION INVOLONTAIRE
"Savez-vous qu'hier, après ma journée de travail, et avant de me rendre à la salle de sport, je suis allée dans mon institut/spa habituel pour mes épilations ?
J'aime mes douces séances de "torture" comme je les appelle... C'est la jeune Aurore qui s'occupe de ma petite toison... C'est une brune aux cheveux longs, douce, pulpeuse avec une belle poitrine opulente et des lèvres bien dessinées. Elle me fait écarter grand les jambes en toute indécence, passe du talque sur mes petites lèvres puis l'étale doucement avec ses mains, frôlant mon clitoris au passage, avant d'appliquer la cire chaude. Quand elle se penche au dessus de moi, je peux parfois sentir ses seins lourds me frôler...c'est une sensation très agréable, qui me fait oublier la douleur quand elle tire sur chaque bande de cire. Le meilleure moment est à la fin, quand elle a terminé, elle applique une huile apaisante en me massant...c'est très sensuel.
Après ma séance, je me suis rendue comme d'habitude au vestiaire pour prendre une douche...et là, au moment de déverrouiller et d'ouvrir la porte, j'entends un drôle de bruit au niveau de la poignée et le verrou qui tourne dans le vide. Bon, pas de panique, je me dis que j'ai du faire une fausse manipulation, je garde mon calme et tente d'ouvrir à nouveau...sans succès. J'appelle pour voir si quelqu'un peut m'aider, mais il est près de 19h et il n'y a plus personne dans les parages. Par chance, j'avais emporté mon téléphone avec moi dans l'idée de faire un petit selfie. J'ai donc téléphoné à l'accueil de l'institut. Je suis tombée sur le patron, H.. C'est un homme de 45/50 ans, de ma taille (1m75), un brun ténébreux, chemise blanche toujours impeccable. C'est une personne souriante, avenante et aussi un homme attirant, ce qui ne gâche rien. Il été désolé, voire gêné, de la situation et m'a dit qu'il restait en ligne avec moi pour ne pas que je me sente délaissée, ce que j'ai apprécié. J'ai plaisanté en lui disant que je n'étais pas claustrophobe. Il a été se munir de tourne-visses et je l'ai entendu bricoler au barillet pour le démonter. Cela a pris un certain temps quand même...en tous cas ça m'a semblé long. J'ai eu peur un instant qu'il ne réussisse pas à résoudre la situation ! Durant tout ce temps, il n'a cessé de me parler (il a un casque pour répondre au téléphone à l'accueil, ce qui lui laisse les mains libres) pour me rassurer et me dire où il en était et en faisant de l'humour pour détendre l'atmosphère. Quand il a enfin réussi à ouvrir la porte, il m'a trouvé planté devant lui, une serviette blanche enroulée autour de mon buste, jusqu'à mi-cuisses et j'ai vu un éclair de malice passer dans son regard, qui m'a scanné de haut en bas. Il s'attendait peut-être à me trouver habillée, mais je ne prends pas mes vêtements avec moi dans la cabine de douche pour ne pas les mouiller. Il a vu que son regard insistant ne me gênait pas du tout, que cela ne me déstabilisait pas et que je le regardais droit dans les yeux. J'avoue qu'à ce moment là, de lubriques envies de salope me sont soudainement passées par la tête. La situation aurait peut-être pu déraper... j'aime à le penser en tous cas ! Je l'ai remercié évidemment en l'appelant "mon sauveur" en plaisantant, avant d'aller me rhabiller. Au moment de régler en caisse, il m'a glissé un compliment sympa, ce qui m'a flatté. J'ai beaucoup pensé à mon Maître qui aurait été, je l'espère, fière de moi et de mon exhibition involontaire. Le patron m'a offert la prestation pour se faire pardonner de ce petit désagrément.
Sympathique moment, non ?"
III - AU BUREAU
"Ce matin au bureau, j'ai vécu un petit moment plutôt émoustillant que je souhaite partager avec vous Monsieur...
Cela concerne une de mes collègues, une jeune femme que je trouve très séduisante, toujours très féminine et apprêtée. Elle a un beau visage expressif, les traits fins, ce qui lui donne beaucoup d'élégance.
Je me suis retrouvé avec elle dans le local de reprographie. Elle était en train de s'agacer avec la machine. Je l'ai évidemment aidé à faire ce qu'elle voulait en bonne collègue sympa que je suis !
Puis tout à coup, sans que je m'y attende, elle à relevé sa robe jusqu'en haut de sa cuisse droite, en soulevant son pied du sol et tendant la jambe, m'interpellant avec un grand sourire :
-"As-tu vu mes nouveaux collants, ils sont beaux hein ?". Elle m'avait littéralement scotché et bien évidemment mes yeux se sont posés là où elle le souhaitait.
Elle m'a donné a observer des collants opaques noirs jusqu'à mi-cuisse et plus haut la matière est différente, en voile fin, ce qui fait un effet de bas en trompe l’œil tout à fait réussi !
Je lui ai dit, en répondant à son sourire, que c'était très sexy et vraiment très joli, qu'elle le portait très bien. D'un petit air coquin elle me lance
- "oui, tu as vu ça comme c'est sexy, j'adore !"...et ensuite elle m'a expliqué où elle les avaient eu et à quel prix. Voilà qui égayé ma journée ! Pour autant je pense qu'il ne faut pas y voir là autre chose qu'une femme naïve aux gestes innocents. Elle devait être vraiment fière de son acquisition voilà tout. C'est mon esprit mal placé qui a tendance à voir la malice là où il n'y en a pas... quoique... sourires…"
J'embrasse mon convoité Maître comme il se doit
Votre dévouée swann
[photos perso]
3.8000 vues
29 aime
Jacobé avance nue sous sa longue robe de toile rustique.
Son confesseur l'attend, le regard sévère, une badine d'une main, un livre saint de l'autre.
-tu devras avouer toutes tes fautes!
- oui, Monseigneur, toutes, je ne suis que coupable.
La soumise s'agenouille et la confession commence. Ah combien sont nombreuses ses fautes.
Il ne sera pas de pénitence, de punitions et de corrections suffisantes pour les expier en une fois.
La badine siffle dans l'air.
La soumise tremble.... cela ne fait que commencer.
"Vous irez vers vos femmes comme un laboureur va vers un champ fertile".
-Approche, tu n'es qu'un trou béant de stupre et fornication. Approche, gouffre de débauches.
-Oui, Monseigneur, me voilà, votre entièrement.
-A genoux, femme, adoratrice du serpent, par toi sont venues toutes les malédictions sur la terre.
-Oui, Monseigneur, voilà et je tend ma croupe offerte à vos ardeurs.
-Je vais te labourer les reins et de grâce garde tes gémissements pour toi
-Je n'en puis plus Monseigneur, prenez moi, prenez moi....
«Et je trouve la femme plus amère que la mort, parce qu’elle est un traquenard, que son cœur est un piège et que ses bras sont des liens.» Ecclésiaste, 7, 26.
-Approche donc traquenard, Tu n'est qu'un trou poisseux, l'antre de Lucifer .
Le démon t'a fait belle pour piéger les hommes.
-Non, non, Monseigneur, je suis douce, aimable et si gentille.
-Tais toi, Tu n'es qu'un sentier de perdition.
-Non, non, je fais tout pour vous servir, vous être agréable.
-100 coups de fouet ne pourront te délivrer du démon.
« C’est de la femme que vient tout le mal. C’est par la femme qu’a commencé le péché. C’est à cause d’elle que nous mourrons tous.» Ecclésiastique (XXV, 24).
-Femme tu es impure tu dois expier
-Non, Monseigneur, je sors du bain
-Alors ton bain aussi est impur. Voici une cage de fer. Tu y resteras en prières jusqu'au soir!
«Les femmes peuvent détruire les purs préceptes. Elles s’écartent de l’accomplir des mérites et des honneurs. En empêchant les autres de renaître au paradis. Elles sont la source de l’enfer» (T. 11, p.543)
«Il faut se méfier des femmes. Pour une qui est sage, il en est plus de mille qui sont folles et méchantes. La femme est plus secrète que le chemin où, dans l’eau, passe le poisson. Elle est féroce comme le brigand et rusée comme lui. Il est rare qu’elle dise la vérité : pour elle, la vérité est pareille au mensonge, le mensonge pareil à la vérité. Souvent j’ai conseillé aux disciples d’éviter les femmes.»
-Ah te voilà, femme.
-Oui, Monseigneur
-Prosterne toi et demande pardon.
-Mais je n'ai pas commis de faute.
- Oui, déjà deux fois. La première pour me contester, et la seconde pour nier.. Ta peine sera doublée.
-Ah combien les Dieux se sont moqués des hommes avec ce boulet que sont les femmes.
-Non, Monseigneur, vous ne pouvez dire cela, je suis votre douce, votre obéissante.
-Hélàs, hélas, oui plus qu'hélas, la compagnie des femmes est pire que bagnes lointains ou galères amères.
-Non, Monseigneur, ne vous lamentez pas, je suis toute à vous et au plaisir que vous prenez entre mes cuisses.
- C'est turpitude et malheur que d'aimer une femme, c'est un chemin où rodent tous les démons
-Non Monseigneur, c'est bonheur pour vous lorsque vous vous abandonnez dans mes bras si doux.
- Ah j'enrage de ce sort voulu par les démons qui rendent l'homme esclave du désir.
-Non, Monseigneur, aimez moi, aimez moi.
-C'est le diable qui parle par l'enclos de tes dents.
------------------------
J'aime écrire, cela me permet de "voir". Ce paradigme ci dessus ne concerne que très très peu de personnes, peut être une sur dix millions et encore; Cela ne concerne que les fous de Dieu, ceux qui se rendent eunuques pour le Royaume des Cieux. Ce paradigme appliqué au plus grand nombre est néfaste, mais il montre que ce sont très souvent les extrêmes et les extrémistes qui réussissent à imposer leur loi, hélas. Ceci montre que le célibat des prêtes dans l’Église catholique est une absurdité. Ils n'ont pas vocation à être eunuques pour le Royaume des Cieux. etc...etc...
Ce qui est amusant et cela se sent bien, c'est qu'un nouveau paradigme se met progressivement en place.
804 vues
0 aime
Top rédacteurs
Sujets tendances
Tendance depuis 19/11/24