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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Rappel: Partie 1
Le lendemain, nous arrivons plus tôt.
Je crois et j'espère que tu as plus peur que la veille, où tu as subi les événements sans les anticiper.
- Descends!
Tu t'exécutes et tu m'attends à genoux, le temps que je mette la laisse.
Cette fois-ci tu es complètement nue depuis que nous sommes partis, au plus grand bonheur des conducteurs et conductrices croisés.
Je prends la laisse et je te conduis à la table de camping à côté de la rivière.
- Debout!
Je prends le marqueur que j'ai amené pour écrire sur ton corps. Pute à 5€, sale chienne et, au rouge à lèvres, WHORE sur ton visage. Garde la bouche ouverte pour qu'on voit bien que tu es une WHORE.
- Ah quel plaisir de vous revoir Messieurs. Et merci pour les 5 euros. Comme convenu, j'ai installé une caméra pour immortaliser la première fois qu'elle se fait payer pour se faire prendre. Vous pouvez mettre vos masques comme discuté. Sachez que je partagerai la vidéo alors rendez_la populaire.
Le premier se couche sur le dos sur la table.
Le second te prend par les cheveux, crache dans ta bouche toujours ouverte et te conduit, sans ménagement, sur son ami.
10 secondes plus tard, tu as sa queue dans le cul. 20 secondes plus tard, la queue du second va et vient dans ton sexe.
Je suis heureux de constater que tes yeux commencent déjà à se mouiller.
Il faut dire qu'ils y vont fort.
Il faut aussi dire que je les y encourage de la voix
- Prenez cette chienne comme elle le mérite. Elle est là uniquement pour servir. Elle a été payée cette sale pute. Défoncez-là.
Le troisième vient se placer à l'autre bout et te prend par le cou. Il commence à te frapper les joues puis la bouche avec sa queue massive.
- Ouvre grand, salope. Jamais deux sans trois comme on dit.
Il te fourre sa queue dans la bouche et te regarde t'étouffer à moitié. Tu luttes, ta salive semble en quantité infinie et, comme il te tient la tête bien droite, ton visage devient de plus en plus blanc.
Comme s'ils s'étaient donnés le mot, les deux premiers hommes explosent et remplissent le cul et le sexe. Tu es obligée de changer de position pour les laisser se relever et le troisième en profite pour te prendre par le cou et t'obliger à te mettre à genoux.
De toute façon tu vis pour être à genoux, salope.
Le sperme te coule le long des cuisses pendant qu'il prend ta tête pour la baiser à fond.
Il regarde ses copains et leur demande de passer derrière toi et de t'ouvrir bien grand la bouche.
Ça ne l'empêche pas de t'en fouttre aussi partout sur ton visage déjà blanc et sur tes seins.
Je prends la caméra et je tourne autour de toi en te traitant de pute. J'alterne les gros plans sur ton visage blanchi de vraie salope. Ton cul bien dilaté qui laisse échapper le sperme. Sale chienne.
D'ailleurs à propos de chienne...
- Pas bouger
On s'écarte un petit peu et on discute à voix basse.
Ta prochaine surprise devrait nous plaire à tous les deux !
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Préambule: Merci de ne pas poursuivre la lecture si vous n'êtes pas à l'aise avec l'idée de sexe non-consenti. C'est une histoire et si ça n'en était pas une, bien sûr que ce fantasme aurait été discuté au préalable et que l'idée aurait été acceptée.
Mon Maître m'a offert ce collier de jour et, transportée par la joie, j'ai bien évidemment accepté ce cadeau venant de Lui. Il me l'a immédiatement attaché autour du cou. Je l'ai senti au ras de mon cou toute la journée et, à chaque fois, j'ai ressenti une dose d'excitation. Malheureusement Il m'a interdit de me toucher depuis le début de la semaine.
C'est donc avec une excitation non dissimulable que je l'accompagne à l'aéroport, direction quelques jours dans le sud de la France. Il m'a ordonné de porter des talons hauts, un haut relativement décolleté et une jupe volante que je n'ai pas le droit de tirer malgré sa longueur qui pose problème car je n'ai, bien sûr, pas le droit de porter de sous-vêtements. Il a raison, je suis une salope. Aucune raison de le nier. Mais je suis Sa salope.
Nous prenons un café juste assez de temps pour que mon Maître m'ordonne d'écarter les jambes suffisamment pour que le couple en face de nous profite de ma chatte parfaitement épilée. Je suis trempée déjà mais je sais que j'aurai très certainement le droit de me toucher devant mon Maître ce soir. Ça m'aide à tenir. J'ai envie de lui offrir un orgasme en le regardant droit dans les yeux s'il me le permet.
Ma valise me semble relativement lourde mais Il s'en est occupé donc rien d'alarmant. Plus alarmant, par contre, est ce portique de sécurité qui se profile. Je Le regarde et son sourire, que je qualifierais volontiers de pervers faute de meilleur mot, m'indique qu'il n'a aucune intention de me permettre d'enlever le collier de soumission.
C'est bientôt à moi. J'ai posé ma valise sur le tapis. Mon coeur s'emballe. Je dois essayer d'enlever le collier. Il ne verra peut-être pas ou Il me le pardonnera. Pour une fois.
J'ai beau essayé de défaire le mécanisme mais rien n'y fait. Manque de temps, stress ou mécanisme volontairement inviolable, je n'y arrive pas.
Je sens mon Maître derrière moi qui me force à avancer au lieu de m'aider.
Je ne comprends pas ce qui se passe. Je ne crois pas avoir rêvé. Il m'a poussé et le portique s'est mis à bipper. C'est moi ou l'homme devant moi a un grand sourire et regarde derrière moi ? Je me retourne pour Le vois arborer, lui aussi, un très grand sourire.
Madame, veuillez enlever votre collier et repasser le portique.
Je balbutie mais je ne peux pas l'enlever, je n'y arrive pas.
Dans ce cas, merci de bien vouloir me suivre en prenant votre bagage avec vous.
Tout s'est passé très vite. Trop vite en fait. L'agent de sécurité me fait entrer dans une salle sans fenêtre qui ressemble à une salle d'interrogatoire avec une grande table et quelques chaises et pose la valise dessus.
Je reviens. Ne bougez pas. Je n'ai pas le droit de vous fouiller Madame.
Je suis un peu rassuré mais mon coeur s'emballe quand je vois arriver deux femmes dans la salle et qu'elles laissent également entrer mon Maître.
Elles se tournent vers lui comme pour demander une confirmation et je l'entends très clairement dire que je suis, maintenant, à leur disposition.
Madame vous avez refusé d'enlever votre collier et nous allons devoir vous fouiller.
Je ne comprends pas très bien et je commence à avoir peur. Je suis au bord des larmes en imaginant que je suis habillée comme une pute ou plus exactement comme une salope en chaleur.
Madame posez les deux mains sur la table s'il vous plaît et écartez les jambes.
Je m'exécute et je sens mon Maître sourire tellement fort que je crois l'entendre.
Je suis appuyée sur la table, le corps légèrement penché en avant. Je sens que la première agent appuie quelque chose contre ma jambe pour me les faire écarter.
Je me retourne légèrement pour voir qu'elle pousse avec la matraque qu'elle a sorti pour que j'écarte les jambes.
J'écarte les jambes en demandant si c'est vraiment nécessaire d'en arriver là.
Les deux femmes se mettent de chaque côté de moi. Je sens la première qui passe sous mon haut et je sens qu'elle commence à palper mes seins.
Hé, qu'est-ce que vous faîtes. Et en même temps que je proteste l'autre s'aventure sous ma jupe et remonte le long de mes cuisses.
Elle n'a pas de soutien-gorge. Ni de culotte non plus.
Ok c'est une chienne mais elle ne cache rien sur elle.
Mais je ne vous permets pas. Et aussitôt que j'ai prononcé ses mots, Mon Maître me gifle. Tu ne leur réponds pas, esclave. Tu vas les laisser faire leur boulot. Et même ce qu'elles voudront faire de toi, c'est compris ?
oui Maître.
Comme si elle n'avait rien écouté, j'entends l'agent continuer. Ok rien sur elle. Empêche la de bouger, je vais fouiller sa valise. Et je sens un genou appuyer contre mes reins. Je suis plaqué contre l'arrête de la table et je sens ses mains continuer à palper mes seins sans aucun ménagement.
En même temps que la valise arrive sur la table et s'ouvre en grand, je sens une douleur sourde envahir mes seins. Cette salope vient de me pincer les tétons si fort que je ne peux pas m'empêcher de crier.
Va chercher du scotch qu'on l'empêche de faire un esclandre dans l'aéroport. Mais aussitôt l'autre lui répond victorieuse. J'ai mieux et en agitant le baillon boule qu'elle a trouvé dans mes affaires.
10 secondes après je l'ai dans la bouche.
Elle repart examiner la valise et j'entends une exclamation, un OH sonore qui retentit dans la pièce. Je l'aperçois se saisir de quelque chose et elle se ramène devant moi et je vois une espèce de reveil en plastique. Un jouet d'éveil fait pour les 3-6 ans.
Un détonateur ! Un putain de détonateur !
Quoi [enfin quoi si je n'avais pas le baillon dans la bouche]. Mais elles sont folles. Et je Le vois rigoler. Ce n'est plus un sourire mais un rire franc et massif. J'ai été piégée. Je lui avais parlé de ma fantaisie de me retrouver à la merci d'autres personnes qui feraient ce qu'elles voudraient de moi. ça se confirme et je me sens curieusement rassurée. Et aussi complètement trempée malgré la douleur que je continue à ressentir.
Ok on a affaire à une terroriste je pense. Hereusement que j'ai trouvé ces menottes dans sa valise. On va lui attacher les mains dans le dos.
Enlève-lui son haut d'abord. ça sera plus sûr. Bah enlève lui tout. Laisse lui ses talons, je trouve que ça lui va bien.
Et une minute plus tard, je suis penchée sur la table, mains attachées dans le dos avec un baillon dans la bouche. Un début de week-end pas tout à fait banal.
Le contenu de ma valise est renversé sur la table.
Je comprends qu'elle était lourde. S'y trouve tous mes jeux habituels ainsi que quelques dildos supplémentaires dont la taille me semble terrifiante.
Oh mais quelle pute, sérieux ! Une pute-terroriste, ça existe tu crois ? On dirait en tout cas.
Va chercher un miroir. On va essayer ces jouets sur elle et je veux qu'elle nous voit faire. Prends la caméra aussi qu'on reste dans la loi en enregistrant.
Bon on a pas d'avocats mais préviens peut-être les autres agents que ça pourrait intéresser.
Je secoue la tête, je ne suis pas prête pour ça.
Mais le temps qu'elle revienne, j'ai prix un plug dans le cul et des clamps descendent de mes seins et je vois les lests les tendre. Je sens une douleur bien plus forte que d'habitude. Mon Maître a visiblement fait du shopping spécialement pour ce week-end.
Quand la première agente revient, elle va mettre en place le miroir afin que je ne puisse pas perdre une miette de ce qu'il se passe et commence à ranger les dildos du plus petit au plus gros.
Je ne vois que les 2 femmes et mon Maître. Pas de renfort et je suis soulagée.
Je sens qu'on tire mes cheveux et qu'on me force à me tirer.
C'est la brune, plus grande, plus costaude. On va tous les essayer un par un. Et en même temps elle me touche. Mais elle est trempée cette chienne. Complètement trempée. Elle me crache au visage et me remet sur la table.
S'ensuivent des très très longues minutes pendant lesquelles elles vont m'insérer dans la chatte et le cul tous mes jouets anciens et les nouveaux qui ont, visiblement, rejoint ma collection aujourd'hui. Elles prennent leur temps, elles rigolent et n'hésitent jamais à m'humilier en me faisant remarquer à quel point je suis trempée. Je perds la notion du temps mais durant ce qui me semble être une heure, la pièce se remplit petit à petit.
Elles finissent par me susurrer chacune à une oreille. Allez c'est bientôt fini. On ba te faire exploser. Tu dois bien ça au public et après tu les remercieras. J'étais distraite et je n'avais pas vu que ledit public se composait maintenant de 8 hommes. Quelques-uns le pantalon sur les chevilles ou carrément enlevé.
Grimpe sur la table salope. A quatre pattes. Écarte bien les genoux. Je regarde dans le miroir et je les vois chacune avec leur matraque. Je sens la première s'enfoncer dans mon cul et j'ai envie de hurler malgré le gag. Les dildos m'ont préparé mais la douleur est forte quand je sens l'autre matraque s'enfoncer dans mon sexe. Elles me hurlent d'exploser. Me traitent de chienne. je regarde autour de moi. Je me regarde dans le miroir. La vérité est que j'ai envie d'exploser. Besoin d'exploser. Mon sexe commence à papillonner. Je vois ma salve faire une longue traînée qui coule depuis le gag jusqu'à la table. Je ne veux pas leur obéir. Mais le mouvement de leurs bâtons ne me laisse pas le choix. J'ai l'impression d'exploser, de hurler comme une possédée. Une vague inouïe de plaisir me parcourt.
Je regarde mon Maître qui doit lire la gratitude dans mes yeux. Je lis dans les siens que ce n'est pas fini. Il me saisit par les cheveux en me disant que je l'humilie devant tout le monde. Il me fait descendre par terre. A genoux. Face aux hommes. Mes cheveux me font mal mais il lâche prise.
Je l'entends dans mon dos et, quand il revient, il m'enlève le baillon. À la place, il m'enfile une cagoule. Je ne vois plus rien. Je sens qu'il n'est pas facile de respirer mais je sens que ma bouche est libre.
Messieurs, merci de baiser ma soumise. Je suis au regret de vous demander, pour des raisons de fatigue de ces autres trous, de bien vouloir la prendre par la bouche. En attendant votre tour, elle a 2 mains bien sûr et sait très bien s'en servir.
Merci de bien vouloir lui faire savoir quand vous êtes sur le point d'exploser afin qu'elle puisse ouvrir grand sa bouche pour avaler tout ce qui ne finira pas sur la cagoule ou sur ses seins.
Et je vais passer le quart d'heure suivant à branler et sucer férocement toutes les queues qui se présentent à moi. Je veux rendre mon Maître fier de son esclave. Il sait que je fais ça pour lui, pour lui montrer qu'il peut tout me demander.
Huit, ça y est. Il a explosé longtemps et m'a fait léché sa queue pour ne rien perdre. Tu peux enlever ta cagoule et la poser sur le sol. C'est la voix d'une des deux femmes. Je sens qu'elle me prend les mains pour les rattacher dans le dos.
Tu as une minute pour qu'il n'y ait plus aucune trace de blanc sur cette cagoule. Si tu y arrives, nous considèrerons que tu as fait preuve de bonne volonté et que tu ne présentes pas une menace pour la sécurité.
J'entends le décompte final 5 ... 4 ... 3 ... 2 ... 1
À zéro, je suis tiré violemment en arrière.
Je vois la fierté dans les yeux de mon Maître.
La cagoule est brillante de salive mais elle est entièrement noire.
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CNC. Merci de ne pas lire plus loin si l'idée de sexe consenti non consenti, de simulation de viol vous rebute.
Pour les autres, bonne lecture et sachez que je suis preneur d'un commentaire. Idéalement pour dire que cette lecture vous a emoustillée mais tout autre commentaire, même critique bienveillante me poussera à oser vous proposer ma prose.
Tu ouvres la porte.
Aussitôt je te pousse violemment et la referme derrière moi.
[note pour les exhibitionnistes, merci de considérer que la porte reste ouverte [pas la peine de me remercier, ça me fait plaisir]]
Ma main s'est enroulée autour de ton cou et je te pousse quelques mètres jusqu'à te plaquer contre le mur.
La surprise semble toujours présente. Est-ce ton Maître, tout de noir vétu. Celui même qui devait s'absenter pour un imprévu.
L'excitation se lit dans tes yeux quand j'arrache ton chemisier de ma main disponible.
Je voulais ne pas me trahir mais trop dur de ne pas parler.
Je vais te forcer à jouir salope.
Je m'introduis chez toi. Tu ne fais rien pour m'arrêter. Tu es déjà offerte.
Je vais te violer et tu vas exploser comme la pute que tu es.
Ma main passe sous ta jupe pour découvrir que ton string est déjà complètement trempée.
Je te l'arrache.
Ouvre la bouche.
Je sais que tu ne vas pas crier. Enfin pas pour alerter qui que ce soit mais tu es bien plus bandante avec quelque chose dans la bouche. Et aujourd'hui ça sera ton string.
Je saisis le vibro que j'ai amené et je te le carre contre le sexe.
Sois une gentille fille, tiens-le pendant que je joue avec toi. Interdiction de l'écarter sous peine de représailles giflesques.
Un semblant de oui Monsieur semble s'échapper de ta bouche mais dur de comprendre avec le string qui rend ta prononciation hésitante.
Je te demande en chuchotant.
Mais quelle chienne fait ça ? Laisser rentrer un visiteur, se fait arracher ses vêtements et prendre le vibro pour se branler avec ? Sérieusement quelle genre de chienne en chaleur fait ça ?
Une grosse salope je crois. Une énorme salope en chaleur.
En même temps je te presse contre le mur cette fois en saisissant tes seins.
Je pince et tire très fort les pointes jusqu'à voir apparaîtres les prémisses de larmes.
Continue de te branler !
Je veux que tu exploses, que tu sois tellement trempée que tes cuisses soient luisantes.
J'enlève le baillon de fortune.
Ouvre la bouche, je vais te la fister.
Un rapide oui Monsieur et ta bouche s'ouvre en grand et mon poing commence à aller et venir.
D'avord doucement puis de plus en plus vite.
Les larmes dans tes yeux commencent à couler quand je décide de laisser ma main à l'intérieur de ta bouche.
Je crois qu'il n'y a rien de plus beau que le visage d'une soumise ruiné par son mascara.
[note pour plus tard ou pour les commentaires: est-ce plus ou moins beau qu'un visage couvert de sperme ?]
Je sens que tu es sur le point de squirter (come on dit an ardéchois ou en drômois) et je m'approche de ton oreille pour t'ordonner dans un murmure: "vas-y explose salope". Il est trop tard, de toute façon. Mais je sais que la permission de ton Maître te fera exploser encore plus fort.
Et c'est le cas. Explosion après explosion, tu giclais sans pouvoir t'arrêter.
Après avoir enfin fini, tu t'es naturellement mise à genoux, appuyé ta tête contre le mur et gémi
Baise ma bouche contre ce mur. Explose-la Maître. Je t'en supplie. Et peins-moi en blanc
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