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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Rêves de traversées et d'ailleurs,
Réseau ésotérique de rhumbs,
Marteloire érotique de lignes de soie,
Rubans lie-de-vin sur belle océane brun havane
Dans l'échancrure d'un tailleur,
Merengue tangué par le clapot
Pour mâle de mer en mal d'aimer,
Aux yeux brûlés de soleil et de sels
A la quête de sources cachées,
Du fruit défendu dégorgeant de jus,
Et de conquêtes parfois amères.
Cocktail de nuit tropicale,
Dégustation apicale.
Indécence des sens affolés
Par l'appel de la peau de celles,
Femmes vaudous au sang mêlé ;
Qui à se dévoiler si lentement,
Possède et se joue de son amant,
Perclusion de l'homme,
Transe, envoûtement, fétiche, fièvre...rhum.
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C'est étrange de me souvenir de ce moment.
C'etait il y a un an, au milieu de la nuit.
Moi, face à la mer, assise sur la dune surplombant la mer.
Une bière, du saucisson et le bruit des vagues qui s'écrasent.
La météo m'obligeant à taire cette envie de plonger dans l'eau... Certainement gelée à cette époque de l'année.
Puis votre voix et moi qui gueule à m'en arracher les cordes vocales.
Des larmes qui s'écoulent sans discontinuer.
À des kilomètres de toute vie humaine, je me laisse aller.
Pourtant c'était mon choix, par une longue tirade textuelle comme j'aime faire.
Ma première relation D/s et ce sentiment d'avoir trouvé mon âme-soeur.
Je me rappelle les morsures, les impacts, la baise sauvage, l'emprise, l'amour, la faim, toujours, encore, en public à huis-clos...
Tout ce qui se vit et ne peut se dire...
Je me rappelle notre première rencontre et ce sentiment d'être à ma place. La plénitude, la sérénité et des larmes, accompagnées de vos doigts en moi...
Fermer la porte à tout cela n'a pas été facile.
Alors on a (vous avez) decidé de ne pas "arracher le pansement".
C'est drôle avec le recul : "tu es drôle toi, tu me demande de t'aider à me quitter".
Égoïstement oui.
Et vous n'avez pas failli.
En bon Maître, vous m'avez accompagné des mois durant dans cette "fin". Nous avons retiré le pansement millimètre après millimètre.
Même quand j'essayais d'avancer dans ma vie vanille...
Je me remémore vos mots sur la réalité de notre lien et sur la chance de cette exception.
Je le sais, je le ressens et encore plus maintenant qu'avant.
Et je ne sais quoi faire de ce sentiment.
Parce que, sans prendre cette décision, je n'aurais pas pris conscience de l'ampleur de Nous et de ce que nous avons pu traverser/vécu ensemble. Malgré mes démons d'abord, puis les vôtres, la douleur, mes besoins irréalisables...
Je crois que le sparadrap restera accroché... Il pend ridiculement et je le regarde avec humour, parce que finalement, quand on a aimé à ce point, quand on a vécu si intensément sa soumission et sa domination, il me semble difficile d'y mettre un point final.
Car j'en suis certaine, quoique la vie nous réserve, une part de vous m'accompagnera toujours.
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Tu es assis dans le canapé . Je danse voluptueusement en face de toi, moi, la femme de la nuit. Je sens ton regard se poser sur moi, sur mes hanches mouvant dans le nuage de fumée . Tu ne prends même pas la peine de dissimuler ton désir, tu t'enfonces encore un peu plus dans le canapé en ne me lâchant pas des yeux. Je suis perturbée un instant puis je me décide à jouer. La tension devient palpable, chacun de mes mouvements brave un peu plus l'interdit.
On ne sait rien l'un de l'autre. Tu sais juste que tu me trouves belle et ça te suffit. Tu me connais qu'en tant que femme de la nuit , soit une infime partie de ma personnalité mais aussi celle qui est la moins acceptée par la société. Tu ne prends pas vraiment la peine d'en savoir plus sur moi ou du moins tu feins de t'intéresser à moi, juste assez pour t'assurer l'accès à ma chatte.
Je ne sais quoi penser de ce mystère. Je ne sais ni vraiment où situer la frontière entre séduction et intimité ni de quoi nous pouvons parler, jusqu'où nous pouvons nous dévoiler. Tout cela répond à des règles que je ne connais encore que très peu , des règles qui relevent d'un jeu des plus vicieux. Dans ce jeu tu prends le rôle du chasseur et moi celui de la proie, une proie qui finit par succomber.
Les moments partagés deviennent pour moi des parenthèses enchantées. Tu me fais de l'effet comme personne ne m'en a jamais fait . Tu en ries. Tu prends plaisir à me tourmenter, a te faire désirer , a me faire patienter voire même me frustrer. Tu provoques l'effervescence de mon être grâce à un subtil mélange d'émotions dont toi seul connait le secret. Tu deviens mon fantasme suprême. Je pensais que comme tout fantasme il me passerait une fois assouvi mais non, celui- ci est différent, comme inépuisable. Il prend racine dans les abysses de mon être , dans sa face la plus sombre , celle de la femme de la nuit. C'est ce qui te rend tout autant adorable que détestable.
Tu es l'incarnation de toutes mes contradictions, de tout ce qui ne fait pas sens lorsqu'on compare mes valeurs profondes a mes actes. La féministe soumise. Un comble qui ressemblerait à un début de blague de mauvais goût mais qui est une réalité bien plus partagée que ce que l'on pourrait penser. Mes valeurs s'ecrouleraient donc une fois la porte de la chambre fermée. La femme libre qui crie le point levé qui se retrouve les mains menottées et la bouche bâillonnée pour son plaisir. Tu commences à me provoquer sur ce sujet et je ne sais quelle représentation de toi choisir entre celle du macho détestable et celle du dominant déconstruit. Tu es sans doute quelque part a la croisée des deux, une chimère logée dans mon esprit.
Au fil de nos rencontres, j'en apprends plus sur moi que ce que je ne parviens à en apprendre sur toi. Le lit se transforme en laboratoire pour une nuit où chaque expérience questionne un peu plus mes limites physiques et psychologiques.
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Allongée, tes mains attachées au dessus de la tête et les yeux bandés ,je prends le temps de t'observer...
Les minutes qui s'égrainent lentement dans ce silence que j'ai exigé se ressentent comme une torture passive alors que ton corps se crispe sous l'appréhension du traitement à venir qui pour toi est encore inconnu.
J'ai posé, à ton insu, un bol de glaçons à proximité.
Accroupi au bord du lit, la tête près de ton visage, je savoure l'apparition des signes de ton excitation aussi plaisants que ceux de ton incertitude...
Ta respiration est lente et profonde comme si tu tentais de te recentrer pour trouver ton équilibre et atteindre cet endroit dans ton esprit où tu te sens à l'aise et où rien ne peut t'atteindre. Ta nervosité se lit aux mouvements brusques de tes pieds et aux "spasmes" qui parcourent tes orteils.
L'expression physique plus ou moins subtile de ton conflit d'émotions... là sous mes yeux attentifs... participe grandement à la montée de mon propre plaisir.
Tu as malgré tout l'audace de "me" sourire et de passer ta langue sur ta lèvre comme pour me provoquer. C'est, après tout, le seul pouvoir qu'il te reste...
Calmement, je brise le silence et à voix basse ... au creux de ton oreille... t'assure que cette initiative ne sera ni récompensée ni oubliée...
Je laisse encore quelques minutes de silence et continue mon observation de tes indicateurs corporels non contrôlés.
Je me félicite intérieurement et me réjouis d'avoir pu réunir les conditions qui te permettent de consciemment faire le choix d'être "à ma merci".
Je plonge le bout de mes doigts dans le bol dans lequel les glaçons ont désormais commencé à fondre pour faire couler quelques gouttes sur ton corps nu.
Ma main vient ensuite immédiatement saisir ta gorge pour y étouffer ta réaction.
"Ssssssssssshhhhhh" au creux de ton oreille.
Je sens ton cou gonfler sous mes doigts mais je me retiens de resserrer l'étreinte.
Je te relâche.
J'ouvre doucement le tiroir sous le lit afin d'éviter d'éveiller le moindre de tes soupçons qui pourraient te donner le moindre indice sur la suite des évènements.
Tu as, après tout fait, le choix de me témoigner ta confiance.
Tu reconnais alors l'extrémité souple de la cravache alors que je lui fait parcourir la distance entre ton front et ton menton.
Le cuir souple descend maintenant le long de ton cou puis de ton épaule pour venir s'arrêter et tourner autour de l'auréole de ton sein.
Toujours à l'affût de ton plaisir et du mien, j'observe de nouveau les signes corporels de ton état psychologique du moment. Te voir tressaillir et presque entendre un semblant de murmure se mêler à ta respiration me fait de plus en plus d'effet.
Soudain l'envie de jouer avec tes nerfs de manière plus intense me donne une idée venue de je-ne-sais quelle pulsion : Le cuir vient tapoter d'abord ton sein puis se concentre de de plus en plus rapidement sans modifier la force ni l'intensité du mouvement sur ton téton comme pour le préparer par étape à un impact à venir.
Tu t'attends de plus en plus à ressentir cette sensation de lacération de manière imminente et j'en rajoute lorsque d'un mouvement de poignet j'éloigne le cuir de manière brusque dans une grande inspiration que je VEUX que tu entendes... Je n'ai pas le temps de regarder car je ne veux pas retarder le moment mais j'imagine ta mâchoire se serrer et tes sourcils se froncer en préparation de l'impact immédiat...
Mais c'est finalement du bout des dents que je viens torturer ton téton et ma langue humide vient se charger de jouer avec sa rigidité.
Tu laisses échapper un long râle dans un profond soupir.
Malgré la concentration qu'exige ce traitement de ta poitrine, je ne peux m'empêcher de sourire en me demandant s'il s'agit d'une expression de ta déception... de ton agacement... ou du plaisir d'une masochiste cérébrale.
Une nouvelle fois, je laisse s'écouler quelques instants qui pour toi, je l'espère paraissent une éternité puis reprend en main l'outil de MON jeu du moment.
L'extrémité souple reprend son chemin de ta poitrine pour glisser sur ton ventre... ce qui provoque un rire et une crispation sous la caresse que ton corps semble interpréter comme une chatouille.
L'idée me traverse l'esprit de te torturer "à la chatouille" puisque tu es attachée mais... je pense que cela ferait retomber la pression. Et c'est la dernière chose que je désire à l'instant présent.
Le cuir se balade désormais brièvement sur ton sexe déjà humide.
J'en fait la constatation lorsque j'observe une trace brillante et luisante sur le bout de ma cravache. Je viens donc ensuite titiller ton sexe de plus belle.
Je ne résiste pas à l'envie de venir te pincer le nez pour te forcer à ouvrir la bouche puis à t'ordonner de tirer la langue pour te faire goûter ton excitation avant d'exiger que tu m'en fasse la description.
Puis... la cravache revient entre tes cuisses qui s'ouvrent en plus grand. Devant le spectacle de ton désir, je décide alors qu'il est temps de t'offrir des sensations plus "saisissantes"... te faire le cadeau de te faire mal.
Faire mal... pour se faire du bien...
C'est ce qui nous différencie de la culture "vanille". Ce besoin de transcender les limites physiques de nos corps. L'entrave de nos corps en matière de possibilités de pénétrer, de recevoir, de se mélanger, de s'assembler, de se rencontrer... que l'on pallie avec les besoins d'impacts ou de sensations brutes pour partager plus, ressentir plus... aimer plus...
Le cuir tapote doucement ton intimité. Je te vois tortiller et t'entends "réclamer".
Cela m'excite trop pour te punir d'avoir des "exigences".
Je joue avec l'intensité et la fréquence du contact comme pour te torturer... toi qui, attachée, est sans défense.
Je pose de nouveau ma main sur ta gorge et par surprise, je t'inflige un coup bien plus sévère.
Dans un long râle mêlé à une profonde inspiration, tu te cambres... comme un corps qui revient à la vie... je profite de ce moment d'asphyxie pour venir te donner un profond baiser...que je choisis de laisser durer...
Le résultat escompté de ce traitement se lit dans la couleur rougie du haut de ta poitrine.
Le gonflement des veines de ton cou est le baromètre qui trahit ton état presque second.
Je réitère une fois... deux fois... puis trois fois l'alternance de l'intensité du contact de la cravache sur ton sexe puis je m'arrête...
De nouveau, je m'accroupis près du lit et d'un voix calme je te demande de me décrire ton envie et de me dire ce que tu es... qui tu es...ta condition...
Je te veux vulgaire...
Je ne peux désormais plus résister au besoin de te prendre... de te posséder...
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Avant de vous proposer l'article sur la différenciation des protocoles, rituels et règles de vie (https://www.bdsm.fr/blog/10550/Protocoles,-rituels-et-règles-de-vie/) je vous avais proposé un autre sur les rituels en soumission (https://www.bdsm.fr/blog/10494/Les-rituels-dans-la-soumission/), article qui m'avais inspiré le premier cité...
Je vous propose donc de revenir et de creuser sur les protocoles en soumission, chaque articles étant le compléments des autres...
Les protocoles transcendent de simples règles ou consignes : ils incarnent une expression profonde de la dévotion, de la discipline et de l’engagement mutuel dans une relation Maître-esclave. En établissant des normes claires et des attentes précises, ces protocoles renforcent la sécurité, la confiance et la connexion entre les partenaires, tout en affirmant la dynamique de pouvoir qui caractérise la relation.
Définir un protocole signifie instaurer une série de comportements, de gestes ou d’attitudes qui, répétés loyalement, viennent structurer le quotidien. Dans le cadre d’une relation Maître-esclave, ces protocoles ne sont pas de simples formalités, mais bien des outils essentiels qui concrétisent l’échange de pouvoir et les engagements consentis par chacun.
Voici quelques exemples de protocoles typiques :
• L' esclave doit se présenter de manière cérémonieuse à l’entrée du domicile du Maître, marquant ainsi le début du rituel quotidien de soumission.
• L’usage de formules spécifiques, telles que « Bonjour, Maître », lors des échanges, renforçant l’engagement à respecter les limites établies.
• Un protocole de posture obligatoire, où l’esclave garde une posture spécifique — agenouillé ou debout — lors des moments d’obéissance ou d’attente, symbolisant la discipline et le respect.
• Des protocoles de communication qui régissent la façon dont l’esclave s’exprime, par exemple en sollicitant la permission avant de parler ou de prendre des initiatives, afin de maintenir un contrôle harmonieux des échanges.
Ces pratiques, répétées avec intention, fonctionnent comme des repères dans la vie quotidienne et permettent au Maître comme à l’esclave de rester ancrés dans leur rôle respectif. En respectant les protocoles, l’esclave affirme non seulement sa position, mais renforce également la confiance et le lien émotionnel qui unissent les deux partenaires. Pour le Maître, ces protocoles assurent une structure rigoureuse dans laquelle il peut manifester sa responsabilité et son attention aux besoins de l’esclave.
Pourquoi ces protocoles sont-ils si essentiels ?
Les protocoles agissent comme des manifolds qui orientent l’énergie et la dynamique de la relation.
Un protocole bien établi transforme un geste habituel en un acte de dévotion. Par exemple, lorsque l’esclave attend le mot d’ordre avant toute action, ce comportement n’est pas seulement une demande, c’est une affirmation silencieuse du lien qui existe entre elle et son Maître. Chaque mouvement, chaque parole traverse ainsi le filtre d’un engagement total et conscient, permettant une connexion silencieuse mais puissante.
Imaginez l’esclave qui, chaque soir, prépare minutieusement l’espace pour une séance de discipline ou d’apprentissage. Ce simple acte — remplir l’espace de respect, de calme et d’intention — devient un protocole indispensable, symbolisant la transition du monde extérieur vers un espace sacré réservé à l’intimité et au jeu de rôles. Ce protocole, en apparence anodine, revêt une signification profonde et authentique : il rappelle à l’esclave qu’il appartient à une dynamique soigneusement orchestrée, où chaque geste compte et chaque moment renforce l’engagement mutuel.
Les protocoles, en proposant une structure prévisible, offrent également une sécurité indispensable dans un contexte où la vulnérabilité joue un rôle majeur. L’esclave, conscient de la constance et du cadre proposé par le Maître, trouve dans cette discipline un refuge contre l’incertitude du quotidien. Pour le Maître, l’application rigoureuse des protocoles permet de vérifier et affirmer la loyauté et la progression de l’esclave, tout en lui rappelant l’importance de son rôle de guide et de protecteur.
Pour mettre en place des protocoles adaptés à la relation Maître-esclave, il faut considérer les points suivants :
• Dialogue ouvert : Discuter avnt de dommencer la relation en détail des protocoles qui résonnent personnellement pour chacun. L'esclave potentielle peut vous proposer ceux qui peuvent lui parler intimiment et qui peuvent séduire le propriétaire, Un point souvent ignoré mais pouvant prendre toute sa dimension dans la dynamique !
• Simplicité d’abord : Commencer par des protocoles simples et évolutifs. Une complexité excessive peut rapidement devenir source de stress ou diminuer leur portée symbolique.
• Focus sur l’intention : s'assurer que chaque protocole ait une signification émotionnelle ou symbolique claire, au-delà de sa dimension formelle.
• Adaptabilité : Comme pour tout aspect d’une relation dynamique, les protocoles doivent être flexibles. Ils peuvent être réévalués, ajustés et approfondis au fil du temps, en fonction des évolutions personnelles et relationnelles.
En somme, les protocoles dans une relation Maître-esclave vont au-delà du simple observance de règles : ils incarnent un engagement profond et quotidien, formant le socle même de la relation. Chaque protocole, qu’il s’agisse d’un geste, d’un mot ou d’une posture, vient renforcer l’échange de pouvoir, la certitude de la discipline et la beauté de la dévotion. Dans un monde aux multiples exigences, ces pratiques offrent un espace unique de stabilité, de connexion et de transcendance, rappelant à la fois la rigueur du rôle et l’intimité émotionnelle partagée.
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Cette histoire se passe dans le futur, tous les gens sans exception sans majeurs. Personne n’est obligé d’obéir, ils acceptent ou pas ce qu’on leur propose.
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Je demande à Pearl et Zara :
— Vous savez ce qui va se passer, les filles ?
Les filles se regardent, bien sûr qu’elles ne peuvent pas me le dire. Oh merde ! Ça ne sent pas bon ! Soi-disant que j’étais redevenue normale… À voir leur mine ennuyée, je sens que je vais déguster, pour changer. Zara me dit :
— Le seigneur Shendy improvise en voyant comment les choses se passent. Il a des projets pour… Aïe !
Elle se frotte les fesses en disant :
— J’ai un problème de sciatique.
Pas à moi ! Elle a reçu une décharge électrique dans le nerf sciatique, elle allait sans doute dire des choses qu’on ne voulait pas que je sache. On est toutes le trois dans la piscine silencieuse au milieu de gros bonshommes et de belles filles qui s’amusent. Je pose la main sur celle de Zara, une façon de la remercier de m’avoir parlé et d’être punie. Il va se passer quelque chose, je le sens, je le sais. Une servante en uniforme, une de mes sœurs, s’approche et me dit :
— Voulez-vous bien me suivre, Mademoiselle Fanny ?
J’embrasse rapidement Zara et Pearl sur la bouche. Je suis la servante la servante dans le Fort, aussi nue qu’un ver de terre le jour de sa naissance. On prend un ascenseur moderne et on monte vers le sommet d’une tour refaite : la grande tour ronde est entourée d’un matériau très dur et transparent, ce qui permet de voir le paysage jusqu’à la mer et de faire pousser de belles fleurs, malgré le vent.
Chandra est assise devant une petite table et elle est occupée de travailler sur un PC. La servante me dit à l’oreille :
— Attendez qu’elle s’adresse à vous.
Je fais oui de la tête et j’attends… longtemps… elle parle en… hindi via son PC. Je ne comprends pas un mot bien sûr. Quand je dois attendre debout le bon vouloir de quelqu’un, j’attrape des crampes, puis j’ai soif et je dois faire pipi. Il paraît que c’est psychosomatique, mais je dois pisser pour de vrai. Elle termine sa conversation et me dit :
— Qu’est-ce que tu as à te tortiller comme ça ?
— Je dois faire pipi, Mademoiselle
— Serre les fesses
Sale garce ! Elle regarde son écran et ajoute :
— Les gens aiment te voir te tortiller.
Elle ajoute :
— Ils savent que tu es une vraie pisseuse. On va leur demander si tu as le droit de pisser maintenant. S’ils disent non et que tu pisses quand même, tu seras punie.
Au secours Monsieur Edgard, venez me sauver ! Chandra me montre son écran en disant :
— Regarde, ils sont ici.
Elle leur dit :
— Chers abonnés, je ne vais pas supporter qu’elle pisse sur ma terrasse et je devrai la punir. Est-ce que je lui donne le seau à champagne pour pisser ou je la laisse pisser sur ma terrasse, puis je frotterai son nez dedans en lui claquant les fesses ?
Elle me montre l’écran. Il y a ma photo, jupe relevée et culotte baissée, en train de
pisser à gros bouillon !!
C’est fait par une IA. Je ne vais plus tenir, je… Je vois les « oui » dépasser 100.000, c’est impossible ça… Ouch ! Je n’y tiens plus. Chandra me donne le seau à champagne qui est sur la table. Je m’accroupis dessus et je me transforme en chute du Niagara. Je pisse devant 100.000 spectateurs. Quand j’ai fini, je me secoue un peu, tandis que Chandra prend son téléphone pour appeler mon patron, elle,lui dit :
— Viens avec les deux filles sur la terrasse.
Pourquoi ? Qu’est-ce qu’elle a encore inventé ? Monsieur Edgard arrive avec Zara et Pearl, qui ont remis leurs uniformes. Monsieur Edgard a le mien sur le bras.
Chandra s’adresse aux deux filles et à moi :
— Vous trois, là-bas.
Du doigt, elle nous montre l’endroit le plus éloigné d’eux. On se serre l’une contre l’autre. On les regarde et je vois que Chandra lui montre sans doute les 100.000 « oui » sur l’écran de son PC. De loin, il a l’air d’accord avec ce qu’elle propose.
Lorqu'ils ont fini de parler, il l’embrasse sur la joue, puis il vient vers nous et il me dit :
— On retourne au village.
Puis il dit à Chandra et Pearl :
— Vous retournez masser.
Elles disent ensemble :
— Oui Monsieur.
Puis à moi :
— Habille-toi et prends le seau dans lequel tu as pissé.
Chandra est à nouveau sur son PC.
On sort et on s’arrête devant des toilettes où je vide le seau. Ensuite, on sort du Fort Cavaux et on va vers le village. Je demande à mon patron :
— Le projet de Mademoiselle Chandra n’est pas trop pénible, Monsieur ?
— Je serai là.
C’est gentil de me répondre ça, même si ce n’est pas une réponse. Je lui demande encore :
— On y aura installé un glory hole ?
— Oui.
— J’irai dedans, Monsieur ?
— Exceptionnellement et tu ne devras t’occuper que d’une ou deux personnes.
OK… Ma confiance en moi va à nouveau en prendre un coup. Puisque je peux poser des questions sans recevoir une claque sur les fesses, j’en profite :
— Monsieur, à part moi, qui y sera ?
Il lève les yeux au ciel, mais répond :
— Tu veux voir jusqu’où tu peux aller trop loin ?
Il a l’air d’écouter quelqu’un, je crois qu’il est connecté avec Monsieur Shendy ou son double IA. Ça, j’invente, je sais que Monsieur Shendy tient les rênes des IA bien courtes, mais il s’en sert.
Mon patron me répond :
— Les hommes et les femmes qui ont déplu à Monsieur Shendy, genre les voleurs de données, les tricheurs, les paresseux, hommes et femmes. Toi, tu iras de temps en temps parce que tu es la fameuse Fanny et qu’on t’offrira à d’importantes relations d’affaires.
Il réfléchit et poursuit :
— Les femmes ou les maris infidèles, alors qu’ils se sont engagés à ne pas l’être. Et puis les gamines qui posent des questions sans arrêt.
— Merci de m’avoir répondu, Monsieur…
On descend toujours le chemin et là, je vois un amandier couvert d’amandes. Je dis à mon patron :
— Regardez Monsieur, un amandier… Comme on est en juin, les amandes sont fraîches et délicieuses. Je peux en cueillir et vous les faire goûter ? S’il vous plaît.
Mon patron lève un tout petit peu les yeux au ciel en souriant et il dit :
— Oui, je suis curieux de connaître le goût des amandes fraîches.
Super, je cueille les plus grosses, puis je ramasse une pierre pour casser les bogues, ensuite j’enlève la peau parce qu’elle est amère et je mets une amande nue et brillante dans le creux de la main de mon patron. Il la mange et me dit :
— C’est délicieux, tu as raison. Manges-en aussi et puis on y a va, on a des choses à faire.
J’aurai fait un festin d’amandes avec mon patron... Il ajoute :
— On reviendra.
Je lui souris, je sais qu’il tient toujours ses promesses. On s’approche du village. Je vois une espèce de tunnel de dix mètres de long à la sortie du village, on l’a entouré de plantes à fleurs pour le camoufler. Comme mon patron est de bonne humeur, peut-être grâce aux amandes, je lui dis :
— Vous croyez que je vais garder un peu de confiance en moi ?
— Ce que tu dois te dire, c’est que tu t’adaptes. Tu plais en tant que servante qui s’occupe des gens du peuple, mais tu plais encore plus quand tu montres que tu es aussi une dure à cuire.
Je souris, dure à cuire… Il ajoute :
— Tu t’es rendu compte que tout évolue tout le temps. Monsieur Shendy, Chandra, moi et toi, on est dans une aventure qui évolue. Par exemple, demain, tu vas faire des photos dans le glory hole… Et tu en seras l’égérie.
Je n’ose pas lui dire que ça ne me plaît pas du tout. Il écoute la voix du patron dans son oreille et ajoute :
— Ils aiment quand tu es dans des situations difficiles, mais encore plus quand tu t’en sors grâce aux votes de tes followers.
Oui, ça, je m’en suis rendu compte. On arrive dans le village. Les gens me reconnaissent, bien sûr. Ils me sourient. Mon patron me dit :
— On va faire quelques photos.
Oh, que je n’aime pas cette idée, surtout qu’on se dirige vers… le tunnel fleuri. De près, il est beau. Un homme vient vers nous en disant :
— Bienvenue, Monsieur et Mademoiselle Fanny, je suis le photographe. On va faire des photos et des vidéos de notre star.
Je ne veux pas, je ne suis pas une star, je veux rentrer à Marseille ! La seule chose positive, c’est qu’il a dit « star ». On entre dans le tunnel. C’est en fait un « glory hole », un tunnel avec une cloison centrale percée de trous au milieu. Il y a une série d’ouvertures coulissantes bien rembourrées pour qu’on y pose le cou. À l’arrière, on peut avoir les poignets et les chevilles attachées. Ça ressemble comme deux gouttes de sperme à un long pilori.
À Marseille, dans des cafés de l’Estaque, j’ai vu l’ancêtre du glory hole. Dans certaines toilettes, il y avait un simple trou et derrière une fille à genoux. Ça plaît aux clients de se faire sucer la bite et ça fait une économie de papier de chiottes.
Le photographe me dit assez fort :
— Mademoiselle Fanny !!!
— Oui, pardon, je vous écoute.
— On va commencer par des fellations.
Une jolie fille habillée en infirmière me dit :
— Vous devez avaler ces deux comprimés, Mademoiselle Fanny.
Je réponds :
— C’est quoi ?
— Je l’ignore Mademoiselle, mais on m’a dit que vous devez les prendre.
Son ton se durcit quand elle ajoute :
— De gré ou de force, Mademoiselle.
Oui, bon, ça va. Je les avale. Le photographe a filmé la scène, bien sûr. Il me caresse la tête en disant :
— Une demi-heure de film et de photos, ça va bien se passer. Faites entrer le premier client.
Oh ! C’est Jeannot. Il me regarde avec un air contrit et sort son sexe, je vois et je sens qu’il ne l’a pas lavé. S’il a l’air contrit, c’est qu’on lui a dit de ne pas le faire. Il tire sur la peau du prépuce et je le lèche.
Après un petit moment, le photographe lui dit :
— C’est bien Monsieur Jeannot, vous pouvez passer derrière.
Une paroi coulisse et il va se mettre à genoux ou s’asseoir derrière mon cul. J’écarte les jambes et il plonge la langue la première dans mon cul. Je remue un peu les fesses. On entend un bruit, mais ce n’est pas moi, je le jure. J’entends Jeannot dire :
— Tu sens trop bon.
Oui, bon, c’est peut-être moi, chacun ses goûts après tout. Monsieur Jeannot doit partir, il me fait un gros baiser sur une fesse.
Ensuite, c’est un défilé de bites… au moins une vingtaine, de toutes les tailles, circoncises ou pas, sales ou seulement pas propres !! Ils jouissent dans ma bouche. Je ne l’ai pas encore dit, mais sur la paroi devant moi, il y a le dessin d’une fille qui fait une fellation et l’inscription : « Si vous n’avalez pas » et en dessous le dessin d’un fouet.
Tout à l’heure, je devais pisser, maintenant je voudrais vomir ET pisser. Je suis sûre que ma vessie est très gonflée. On me détache, j’ai les jambes qui tremblent et une terrible envie de pisser tout ce que j’ai avalé. Le photographe me dit :
— Mets-toi de profil, je vais faire une photo de ton ventre gonflé.
Je réponds :
— Mais je dois faire pipi, je…
Il m’interrompt :
— Retiens-toi sinon on doit tout recommencer.
Oh, nooooon… Heureusement, ils allument des projecteurs supplémentaires, un assistant m’apporte un vase transparent et je pisse… la partie liquide de tout le sperme que j’ai avalé. Ça va exciter qui, ça ? M’en fous, le principal, c’est que ce soit presque la fin. Le photographe me dit :
— Quand tu auras fini, relève-toi pour que je puisse prendre les gouttes qui coulent le long de tes jambes.
Quand c’est fait, le photographe me dit :
— Super séance, Mademoiselle Fanny.
Mon patron m’apporte mes vêtements et me dit :
— On ne m’avait pas dit comment ça allait se passer. Tu ne feras plus ça que, de temps en temps, pour un client très important. Promis.
Ouf ! Si mon patron le promet, c’est vrai.
À suivre.
Merci à Bruce Morgan, pour le super dessin.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Élise essayait de se raisonner, à défaut de parvenir à brûler le carton d’invitation dans la cheminée ou de le ranger dans un tiroir pour l’oublier. Un douche s’imposait. Plus fraîche qu’à l’accoutumé tant car il s’agissait autant de calmer son excitation que pour se défaire de l’odeur de cyprine qui s’était mêlée à celle de sa transpiration née de la lecture du livre et décuplé encore par la réception du pli anonyme.
Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain. Elle actionnait le robinet de la si chic douche à l’italienne, prenant soin d’ajuster le réglage du mitigeur pour que l’eau soit donc notoirement plus fraîche qu’à son habitude pour calmer son désir. Ou du moins, l’esperait-elle. Elle ôta fébrilement, un à un ses vêtements. Presque nue, elle frissonnait. Elle ne pu s’empêcher de jauger son émoi à l’aulne de la mouille dont elle avait imprégné son tanga. Elle voulu en détourner le regard en constatant l'effet de son excitation, mais le tâche déjà blanchâtre l’hypnotisait. Et elle se refusait d'y croire.
Elle parvenait finalement à laisser échapper la pièce de tissu au sol et à se glisser dans la douche. L’eau à peine tiède coulait sur sa peau, sensation désagréable mais faisant taire momentanément le tumulte qui régnait en elle. Elle ferma les yeux, cherchant à se vider l’esprit. Mais les images de ses fantasmes flashaient et flashaient encore, s'imposaient à elle.
Ses doigts effleurèrent sa peau avec une lenteur non calculée, traçant des cercles imperceptibles, comme si le carton d’invitation prenait possession de sa peau. Elle visitait son corps, redécouvrait ses seins sensibles comme rarement du fait de cette excitation d'un nouveau genre. Elle glissa sa main entre ses cuisses, faisant changer par la même la trajectoire du filet d’eau. Son autre main allait se poser sur le mitigeur. La Raison qui l’avait poussée à baisser initialement la température allait la quitter. Lentement, sa main gauche augmentait la température de l’eau pendant que ses doigts de la main droite s’immiscaient en elle. L’eau était maintenant très chaude, ses seins s’étaient teintés de rouge marbrures. Plus ses tétons lui brûlaient, plus le va et vient de sa main s’accélérait, plus elle recourbait en elle son annulaire et son majeur. Pour appuyer fort. Juste là au cœur de son intimité. Son souffle s’accéléra. Son corps ondulait s’arc-bouter, sa main sur le mitigeur ne pouvait s’arrêter d’augmenter encore l’apport en eau chaude. Elle appuyait sur la gachette permettant d’outrepasser vraiment la température maximum prévue par le robinetier. Elle était habitée par une envie de subir. A en avoir mal. Elle imaginait maintenant une silhouette l’observant de l’autre côté de la vitre. Elle poussait encore et encore le robinet. Jusqu’à atteindre la butée à fond. L’eau était brulante. Elle lui faisait mal. Elle se faisait mal. Et elle aimait cela. Dans un râle roque, glutural, elle allait s’abandonner. Son corps se tendait, se contractait maintenant par saccades, par spasmes. Elle était habitée. Seule son épaule adossée contre le carrelage l’empêcher de s’effondrer. Sa jouissance était violente. Intense. Ses deux mains tremblantes, comme prises de panique, perdues, allaient se jeter sur le mitigeur pour tout stopper : la souffrance avait décuplé l’orgasme venu. C’était trop.
Mais qu’avait-elle fait ?!? Que lui arrivait-il ?
Lorsqu’elle rouvrit les yeux alors que la panique s'estomplait, l’eau finissait de ruisseler sur elle. Elle avait mal. Elle était mal. Elle avait peur. Peur d’elle-même.
Elle parvenait à saisir le peignoir qui ne lui avait jamais paru aussi rugueux sur sa peau au point qu’elle devrait l’entrouvrir pour éviter le frottement sur ses seins maintenant écarlates et marbrés. Elle alla s’étendre sur son lit, les muscles endolorient par l'orgasme qui l'avait tétanisée. Et s’éteindre, rapidement. Elle se réfugiait dans le sommeil pour fuir celle qu’elle venait d’apercevoir dans le grand mirroir.
Sur la petite table du salon, le bristol d’invitation au Cercle serait là à son reveil.
Elle n’en avait pas fini... Ce n'était même probablement qu'un début
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La soirée avait commencé bien avant que nous nous retrouvions tous les trois dans cette pièce aux lumières tamisées. Vicky, ma soumise de longue date, m’avait parlé de son amie K depuis quelque temps déjà. Une jeune femme curieuse, apparemment intriguée par le monde que nous partagions, mais encore pleine d’hésitations. L’idée de l’initier lentement et de lui faire goûter nos jeux avait surgi comme une évidence. Ce soir-là, Vicky et K étaient agenouillées côte à côte, prêtes à suivre mes directives, tout en ne sachant pas encore jusqu’où cette expérience les mènerait.
Au début, l’atmosphère était empreinte d’une douce appréhension. K observait Vicky d’un œil admiratif, sentant probablement qu’elle pouvait compter sur son soutien pour appréhender cette première immersion. De mon côté, j’avais disposé sur une table basse le martinet et la cravache, bien en vue. L’idée était simple : les deux soumises allaient participer à un petit défi, et celle qui céderait la première paierait un gage à l’autre. Déjà, je sentais les regards mêlés d’excitation et de crainte. Je me suis avancé vers elles, prenant le temps de passer une main sur l’épaule de K, juste pour l’aider à se détendre.
Le défi en lui-même était un classique dans notre univers : un jeu de pincements. Chacune agrippe délicatement les tétons de l’autre, et l’objectif est de tenir le plus longtemps possible. Vicky, qui me connaît, savait qu’il lui fallait maintenir une pression soutenue, car céder signifiait être punie. K, plus novice, avait les doigts légèrement tremblants, mais elle s’est appliquée à pincer les tétons de Vicky avec une détermination inattendue. Les secondes s’étiraient. Les sourcils de Vicky se fronçaient légèrement alors que K, les lèvres pincées, persévérait pour ne pas abandonner. Les respirations se faisaient de plus en plus sonores, chaque pincement ravivant la tension. Finalement, c’est K qui a eu un mouvement de recul, lâchant les tétons de Vicky d’un geste instinctif, comme si elle venait de franchir un seuil trop élevé.
Un sourire à peine dissimulé a éclairé le visage de Vicky. Je me suis penché vers K pour lui rappeler, d’un ton calme mais ferme, la règle du jeu : « Tu as perdu, n’est-ce pas ? » Elle a hoché la tête, encore un peu essoufflée. « Alors tu vas devoir offrir une récompense à Vicky, comme convenu. »
K a d’abord hésité, le regard fuyant, puis elle a compris qu’elle était prête à honorer ce petit rituel. Doucement, elle s’est rapprochée de Vicky, s’agenouillant tout contre elle. J’ai posé une main dans le dos de K, l’incitant à assumer pleinement la ‘gâterie’ qu’elle devait offrir. Alors, sans précipitation, elle a laissé glisser ses lèvres entre les cuisses entrouvertes de Vicky, son souffle chaud caressant la peau frémissante. Elle hésita un instant avant d’oser presser sa langue contre l’intimité humide de sa partenaire, savourant le goût de sa soumission.
Vicky a frissonné violemment, un soupir s’échappant de sa gorge tandis que K explorait avec une maladresse délicieusement excitante. Ses mains se posaient timidement sur les hanches de Vicky, s’ancrant à elle comme pour se rassurer. Peu à peu, son audace grandit, sa langue s’affairant à dessiner des cercles langoureux autour du clitoris gonflé de désir.
Les gémissements de Vicky se firent plus intenses, son corps ondulant sous les assauts de cette langue avide qui cherchait à la pousser vers l’extase. Encouragée par la réaction de sa partenaire, K approfondit ses mouvements, alternant entre légères suctions et caresses plus appuyées. Ses doigts vinrent s’ajouter à son travail, s’enfonçant lentement en elle, la faisant haleter de plaisir. Je savourais la scène, observant K se perdre dans cette initiation charnelle, absorbée par l’intensité du plaisir qu’elle procurait.
Vicky, la tête renversée en arrière, s’abandonnait entièrement, ses soupirs se transformant en supplications à peine contenues. Son corps se tendait, réclamant l’apogée qu’elle sentait poindre, tandis que K, totalement immergée dans son rôle, ne relâchait pas son emprise, cherchant à la conduire jusqu’au bord de l’orgasme avec une dévotion touchante. La tension montait inexorablement, chaque coup de langue, chaque pression intensifiant l’extase qui approchait.
Je laissai le moment s’étirer, savourant la perfection de cette scène, où désir, soumission et découverte s’entremêlaient dans une symphonie aussi brutale que sensuelle.
Une fois la ‘dette’ honorée, j’ai laissé quelques instants de répit, puis j’ai pris le martinet en main. D’un geste ferme, j’ai ordonné à K de se mettre en position d’humilité : à genoux, front contre le sol, ses bras étendus devant elle, son dos cambré accentuant la cambrure de ses hanches. Son cul, offert sans la moindre possibilité de se cacher, exposait la moindre courbe de son intimité, la moindre pulsation trahissant sa nervosité et son excitation mêlées. Ses lèvres gonflées d’envie brillaient sous la lueur tamisée, tandis que son anus, bien visible entre ses fesses écartées, semblait attendre la moindre caresse, le moindre contact imposé.
Elle savait que chaque mouvement incontrôlé lui vaudrait une correction immédiate, et cette attente la faisait frissonner. Son souffle était court, ses cuisses légèrement tremblantes sous la tension de cette posture humiliante qui la réduisait à l’état de pure offrande. Ce spectacle d’abandon total me ravissait, et je savourais chaque détail de son exposition parfaite avant d’abattre lentement le martinet sur cette chair offerte. Mais je mesurais mes impacts, veillant à ce que K ressente la morsure sans être brusquée. Ses muscles se contractaient sous chaque frappe, un frisson traversait son échine, mais elle tenait sa position, front au sol, soumise et vulnérable.
Je fis un signe à Vicky, qui s’avança avec un sourire carnassier. « Viens honorer son abandon », ordonnai-je d’un ton bas et impérieux. Sans attendre, elle se pencha vers l’anus tremblant de K, sa langue effleurant la peau sensible avant de l’embrasser avec une lenteur délicieusement cruelle. K laissa échapper un soupir étranglé, ses doigts crispés sur le sol, tentant de résister aux vagues de sensations contrastées qui l’envahissaient.
Vicky, plus expérimentée, s’appliquait avec une précision exquise, alternant suctions légères et coups de langue appuyés, chaque mouvement accentuant la soumission de K. Pendant ce temps, je reprenais le martinet, caressant d’abord sa peau avant de laisser les lanières claquer sur ses fesses rougies, réveillant chaque nerf déjà électrisé par l’attention de Vicky.
K restait figée, son souffle court, suspendue dans ce jeu de contrôle où chaque sensation s’ajoutait à l’autre. Mon regard descendit vers son entrejambe, où l’excitation se trahissait dans la moiteur de ses lèvres gonflées. Je laissai mes doigts glisser entre ses cuisses, effleurant doucement cette humidité délicieuse, savourant la preuve irréfutable de son état. « Tu es parfaite ainsi… », murmurai-je en la caressant légèrement, jouant avec sa patience, renforçant l’humiliation de sa position.
Le mélange de douleur et de plaisir la transformait peu à peu, sa respiration devenant erratique, ses gémissements étouffés se heurtant au parquet sous elle. J’aimais cette vision, cette vulnérabilité offerte sous mon contrôle, et Vicky, avec sa dévotion sensuelle, savait exactement comment la pousser à ce point de non-retour.
Quand j’ai jugé le moment opportun, j’ai fait signe à Vicky de reprendre le martinet à son tour. Je me suis saisi alors de la cravache, l’agitant lentement dans l’air pour rappeler ma présence et mon autorité. Vicky, appliquée et déterminée, s’est placée derrière K, caressant doucement sa peau avant de laisser les lanières effleurer ses hanches. K se crispait légèrement à chaque contact, ses muscles tressaillant sous l’impact, mais elle ne reculait pas, luttant pour maintenir sa posture d’abandon total.
C’était un ballet exquis où la discipline et la sensualité s’entremêlaient. Vicky, avec une lenteur délibérée, alternait entre des caresses apaisantes et des frappes plus appuyées, s’imprégnant du rôle de dominatrice que je lui confiais le temps de cet instant. K, elle, oscillait entre tension et relâchement, cherchant inconsciemment à s’adapter aux sensations contradictoires qui la traversaient.
Je me suis approché lentement, observant avec satisfaction cette scène hypnotique. Puis, je me suis penché sur K, effleurant du bout des doigts la moiteur qui s’accumulait entre ses cuisses. Un sourire satisfait s’est dessiné sur mes lèvres en constatant l’évidence de son excitation. « Reste immobile », ai-je murmuré, ma main maintenant fermement posée sur son entrejambe, absorbant chaque frémissement qu’elle tentait de contenir.
Je laissais Vicky poursuivre son œuvre, la cravache venant marquer en douceur la peau offerte, tandis que je faisais glisser mes doigts le long des lèvres trempées de K, explorant cette humidité offerte. Le jeu était parfait : douleur mesurée, plaisir exacerbé, contrôle absolu. K, dans son abandon, apprenait à goûter à la puissance de la soumission, tandis que Vicky savourait le privilège de la guider dans cette découverte intense.
L’instant crucial est arrivé quand j’ai disposé le harnais de pegging à côté de Vicky, l’invitant d’un regard à le revêtir. K, surprise, a aussitôt compris qu’elle était concernée. Il n’y avait pas besoin de longs discours : elle percevait déjà qu’elle devrait occuper une place plus ‘soumise’ dans cette scène, la nouveauté résidant cette fois dans l’échange entre elle et Vicky.
Vicky, assurée dans ses gestes, a ajusté les sangles. Sa concentration faisait presque oublier la tension résiduelle qui flottait dans l’air. J’ai pris position derrière K, la cravache en main. Vicky, désormais équipée, a commencé à s’approcher de K, d’abord par de légers frôlements, testant sa réaction. K a laissé échapper un souffle saccadé, un mélange de prudence et de désir. Puis, avec une lenteur voulue, Vicky a amorcé le mouvement caractéristique du pegging.
Le moment était délicat, et je veillais à ce que tout se passe en douceur. Je frôlais parfois la cuisse de K du bout de la cravache, comme pour rappeler que je régissais le rythme. Vicky, d’un geste contrôlé, a entamé cet échange intime, l’une guidant l’autre dans un équilibre fragile entre curiosité, abandon et respect des limites. Les premières sensations ont paru troubler K, qui s’est crispée avant de finalement lâcher prise. Je suivais chacun de ses frissons, prêt à intervenir si nécessaire, ma main prête à interrompre la scène au moindre signe d’inconfort.
Mais K, au fil des secondes, s’est laissée porter par ce tango inattendu. Les mouvements se sont faits plus assurés, plus profonds, sans pour autant tomber dans la brutalité. Mes ordres ponctuaient leurs respirations : « Ralentis, Vicky. Maintenant, un peu plus ferme. K, respire. » Les claquements de la cravache ou du martinet, parfois simplement effleurés sur les flancs de l’une ou de l’autre, venaient renforcer la sensation de contrôle et de complicité, comme si ces objets incarnaient la cadence.
La pièce résonnait de soupirs, de murmures et d’un écho nouveau : celui de deux femmes, autrefois de simples amies, apprenant ensemble une forme d’intimité qu’elles n’auraient jamais imaginée. Le visage de K exprimait tour à tour l’étonnement, l’excitation, la fierté de se prouver qu’elle pouvait oser, et la gratitude envers Vicky qui l’accompagnait dans cet acte.
Quand j’ai enfin considéré que la tension avait atteint son point culminant, j’ai posé une main sur l’épaule de Vicky et une autre sur celle de K, signifiant la fin de l’expérience. Les souffles sont restés suspendus quelques instants. Vicky a lentement retiré le harnais, et K l’a aidée, encore fébrile de ce qu’elle venait de vivre. Je les ai laissées profiter de cette complicité toute neuve, observant leurs regards qui semblaient chargés d’une forme de respect mutuel, presque bouleversant.
Le silence qui a suivi était doux, enveloppant, loin de la gêne qu’on aurait pu imaginer. Elles se sont enlacées, submergées par l’intensité du moment, tandis que je les regardais, satisfait d’avoir pu orchestrer cette découverte. Dans un souffle, K a glissé quelque chose à l’oreille de Vicky, un mot que je n’ai pas saisi, mais qui a fait naître un sourire sur les lèvres de ma soumise habituée. Un sourire qui, à lui seul, résumait la soirée : la naissance d’une nouvelle connexion, une exploration partagée, et la promesse d’autres moments à venir, où le plaisir s’allie à la confiance pour repousser ensemble les frontières du désir.
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Dans une relation BDSM, la permission ne se limite pas à un échange de règles ; elle constitue la clé d’une dynamique de pouvoir consensuelle et évolutive qui influence la psychologie des partenaires. Cet article explore comment la permission s’articule dans la vie quotidienne et comment elle renforce la confiance, tout en soulignant ses défis et son évolution au fil du temps.
1. La Permission comme Lien Psychologique
Au-delà d’un simple rituel formel, la permission crée un lien psychologique fort entre le Dominant etet l'esclave. Par exemple, lorsqu’une esclave demande la permission de modifier son comportement ou de réaliser une action, elle affirme consciemment sa position tout en renforçant la hiérarchie. Ce geste n’est pas une contrainte, mais un échange qui permet au Dominant de prendre en compte les besoins et limites de son partenaire, établissant ainsi une relation de confiance et de soutien.
2. La Soumission Consciente et l’Expression Quotidienne
En transformant la soumission en un choix éclairé, la permission permet à l'esclave de participer activement aux rituels relationnels. Un exemple peut être constaté dans des gestes quotidiens – comme demander avant de s’asseoir ou de choisir une tenue – qui renforcent l’engagement mutuel et créent une tension excitante. Ces rituels quotidiens apportent non seulement structure mais offrent également au partenaire esclave une manière de redéfinir constamment ses désirs et limites.
Au fil du temps, ces gestes, initialement symboliques, évoluent et se transforment en rituels profondément ancrés dans la relation, permettant une réévaluation des règles et une renégociation des attentes au fur et à mesure que les partenaires grandissent ensemble.
3. L’Utilisation et l’Évolution des Micro-Permissions
Les micro-permissions, ces petites demandes de la vie quotidienne, rappellent en permanence l’existence d’une dynamique de pouvoir. Par exemple, demander la permission de prendre une décision apparemment anodine, comme choisir une activité de loisir, contribue à tisser un lien constant entre les partenaires.
Avec le temps, ces micro-interactions peuvent évoluer en véritables rituels, intégrant des ajustements selon les changements des désirs personnels et des situations de vie. Cette évolution permet d’éviter que les gestes ne deviennent mécaniques et souligne la nécessité d’une communication régulière pour maintenir la dynamique vivante et authentique.
4. La Sécurité Émotionnelle et la Gestion des Enjeux
L’établissement d’un cadre clair par la permission crée une sécurité émotionnelle permettant à l'esclave d’explorer sa soumission en toute confiance. Une structure bien définie aide à prévenir les malentendus et à mieux gérer les émotions liées aux moments de tension ou d’incertitude.
Cependant, il est important de souligner que cette structure doit rester flexible. La gestion des émotions peut varier : si dans certains cas, la permission renforce l’intimité et le sentiment de protection, dans d’autres, une routine trop figée risque de générer des malentendus ou une forme de distancing émotionnel. C’est dans cette capacité d’adaptation et d’introspection que réside la réussite de la dynamique.
5. Communication et Confiance : Les Piliers de l’Évolution
Une communication ouverte et honnête représente le socle sur lequel repose toute relation BDSM saine. Qu’il s’agisse d’échanges verbaux, écrits ou symboliques, la transparence dans l’expression des besoins et des limites permet aux partenaires d’ajuster leurs interactions au fil du temps.
La confiance s’installe progressivement à travers cet échange constant et évolutif. En partageant également leurs ressentis, les partenaires peuvent identifier ensemble les moments où la dynamique doit évoluer ou être négociée, assurant ainsi un équilibre entre structure et adaptation aux nouvelles circonstances.
Conclusion: La permission dans une relation BDSM est bien plus qu’une simple formalité : elle constitue un outil puissant pour créer et maintenir une dynamique de pouvoir évolutive, renforcer la confiance et favoriser une intimité profonde. En intégrant des rituels quotidiens et en adaptant continuellement les règles aux évolutions personnelles, les partenaires peuvent naviguer en équilibre entre structure et flexibilité.
Cette approche permet non seulement d’explorer et de redéfinir les désirs, mais également de gérer de manière constructive les enjeux émotionnels, assurant ainsi une relation épanouissante, enracinée dans l’écoute et la confiance mutuelle.
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Marre…Mâle…Mal…
Allez, on va crever l’abcès et commencer par le commencement…
Sur terres il y a…les femmes et les hommes…
Je ne vous apprends rien je sais…
Depuis que je suis jeune, depuis, on va dire que je suis en âge de comprendre les relations hommes/femmes et surtout depuis que je suis attiré par la gente féminine, j’ai toujours eu la même posture…c’est l’homme qui dirige.
Alors attention, je sens que les féministes frustrées de la culotte vont venir en disant…oui l’égalité..patati…patata…
Je ne vous parle point d’égalité ici. Car sur le fond, je suis pour légalité, notamment des droits, des salaires…patin couffin…
Mais…Mais.. je suis de la vieille école, de ceux qui allaient bosser, pendant que Madame éduquait les enfants, leurs faisait les devoirs, tenait (d’une main ferme) la maison …
Bref, ce qui aujourd’hui est revendiqué comme tradwife, soit par des bobos en quête d’hormones, soit par des femmes, qui trouvent que les hommes n’ont n’en plus…
Alors quand je dis que c’est l’homme qui dirige, je ne dis pas que elle doit se taire et obéir (elle peut parler et obéir 😊 ) non, j’aime les échanges, les discussions, mais il y a des principes, des valeurs.
Comme le principe que Monsieur doit porter les charges lourdes, passer devant pour braver le danger (ou tout simplement ouvrir la porte : ) ) bref, tout ce qui faisait les valeurs et principes des couples.
Les enfants avaient des repères, une éducation…
Il y a donc les Hommes et les Femmes, les Mâles et les Femelles…
Instinctivement, cela se reconnait, la femme qui a envie d’être soumise, de domination, qui a ce besoin instinctif d’être prise en main , parfois maltraitée, brusquée, utilisée…
Mon expérience avec les femmes, les soumises, me l’a clairement montré , confirmé, elles aiment être dominées.
La frontière entre soumise et esclave a parfois été franchie d’ailleurs…
Mais tout cela a été voulu, consenti, apprécié…
Alors parce qu’il faut de tout dans un monde, il y a bien sur les femmes dominatrices, évidemment vous vous doutez que je peux oui bien sur discuter avec elles, mais que on va pas être pouvoir avoir une relation 😊.
Et les neutres…ah les neutres, on va dire ça comme ca, celles qui pour moi ne font que suivre le mouvement de la société, ne prennent pas partie, position, car, d’un coté ou de l’autre, houla c’est mal, celles qui pour moi ont le moins de personnalité d’ailleurs, celles-là me qualifiaient de macho.
Alors quand je vois la société qui part en confiture, qui se délie, quand je vois dans les magasins que madame pousse le cady, et fais porter les courses (c’est pour schématiser) alors je me dis que …. Oui je préfère être macho, avoir des principes et des valeurs.
La question n’est pas que toutes les femmes doivent être soumises, que je n’accepte pas les dominatrices, ou que sais-je, mais je trouve que cette société perd ses valeurs, ses convictions.
Voilà c’était mon coup de gueule de la journée…
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Avant d'aller me coucher, un dernier tour sur le site..
Et je tombe juste sur ça: "modérateurs-trices"
Ma question est donc celle-ci:
Est-ce que cela rend le texte plus lisible pour autant?
Non !
Du moins, pas à mon point de vue !
Cela aurait même tendance à le rendre illisible !
Oui ! je sais !
Cela fait "je suis dans le coup, je suis "in"! je suis ouvert d'esprit, dans le vent !
Cool !
Mais quand on voit les fautes grossiére d'écriture, le "ce débattre" pour se débattre...
Est-ce bien la peine de rajouter cette MERDE d'écriture inclusive pour faire genre (pour parler 'djeune") et rendre les textes indigestes à lire?
La questions se pause !!!! (est-ce qu'avec les fote grossière le message passe mieux? s'il faut en passé par la, alors allonsy! se peut étre intéressant de le savoar!)
Alors oui, je suis con !!!!
Vous pouvez même y rajouter intolérant, d'extrême droaate, facho, réac, et tous les adjectifs pour me faire taire!
Les mots sont lancés, cela clos la discustion !
Mais quand on pense que, à l'école,et ailleurs, il est plus important de rendre un texte illisible par cette FOUTUE écriture dite insclusive que sur les fautes d'aurtho, d'ordo, bref de ce machin inutile...
PS! oui, il m'arrive aussi, suivant mon état de fatigue, de faire des fautes d'orthographe, surtout quand je laisse couler en chat, par exemple mais doigts sur le clavier., me concentrant plus sur le message que sur ce foutu truc!
Mais pour qu'un message soit clair, il est nullement nécessaire la paine de l'alourdir avec une écriture dite "inclusive" mais qui exclus nonseulement les vieux cons (dont je fais parti, je l'avoue volontier! mais aussi tout ceux dont la lourdeur du texte rebute !!!!
Sur ce, je vais me coucher !!!!
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Bonjour à toutes et à tous,
Je me présente à vous avec un récit en plusieurs chapitres, entièrement imaginé par mes soins. 🫣
Ce récit racontera l’histoire d’un jeune homme, aspirant soumis, qui fera la rencontre d’une Dominatrice expérimentée… Une femme qui saura le guider, le façonner, et peut-être faire de lui ce qu’il rêve d’être.
Ce premier chapitre, s'intitule "L'Éveil. '
Vos retours sont évidemment les bienvenus dans l’espace commentaire, qu’ils soient positifs ou négatifs (ces derniers sont parfois moins agréables, mais souvent plus instructifs...).
PS : Je suis loin d’être écrivain, simplement un apprenti soumis en quête d’exploration…
Bonne lecture à toutes et à tous ! 😁
Par une belle journée ensoleillée, Sam se rendit en ville avec une amie. Ils vivaient tous deux dans une vaste cité, peuplée de plusieurs centaines de milliers d’homo sapiens évolués.
La culture, la diversité et les musées en tout genre faisaient partie intégrante de la ville. Cependant, les beaux jours étant rares, nos deux protagonistes décidèrent d’en profiter pour user leurs souliers. La ville offrait un choix infini de possibilités, mais les espaces verts, eux, restaient plutôt rares.
Ils prirent donc la direction de l’un des rares parcs de la métropole. Dimanche ensoleillé oblige, les rues étaient bondées. Leur marche fut entravée par des embouteillages humains et le concert incessant des klaxons.
Pourtant, malgré cette agitation ambiante, Sam se sentait plus décomplexé que jamais.
Jessica, sa fidèle meilleure amie, était pour lui un véritable sanctuaire de bienveillance et de sérénité. Ils ne se connaissaient pas depuis si longtemps, et pourtant, ils avaient l’impression de s’être trouvés dès le premier jour de leur éveil intellectuel.
Jess’ faisait énormément de bien à Sam. Contrairement à lui, elle était extravertie, joueuse et débordante d’énergie. La honte, la peur et le jugement semblaient être des concepts étrangers pour elle.
Toujours ouverte aux possibilités que la vie pouvait lui offrir, elle faisait face aux aléas avec une aisance presque insolente. Les déconvenues ne l’épargnaient pas, bien sûr, mais elle savait habilement déjouer les pièges et contourner les tracas qui se dressaient sur son chemin.
Il faut dire que Sam était presque son opposé. Il n’était pas maladivement timide, mais pas très sociable non plus. Il s’inquiétait souvent pour un rien, se torturait l’esprit pour peu de choses et s’en voulait facilement.
Profitant tout de même d’un physique avantageux, il capitalisait principalement sur cela pour plaire à la gent opposée, sans immense succès, bien entendu.
Jessica, elle, était tout l’inverse. Elle croquait sa jeunesse à pleines dents, sans retenue, repoussant à plus tard les préoccupations liées au vieillissement. "Je penserai au régime quand mes premières rides apparaîtront", plaisantait-elle souvent.
Elle parlait de ses aventures de manière décomplexée, n’oubliant jamais un détail, ce qui avait le don de faire rougir Sam.
Il lui disait toujours :
— "Tu n’es pas obligée de tout me dire, tu sais…", lui lançait-il d’un ton à la fois amical et désabusé.
— "Sans les détails, c’est moins visuel, tu ne peux pas vraiment comprendre." répliquait-elle en grimaçant.
Nos deux amis finirent par arriver à destination : le plus grand parc de la ville. Comme mentionné plus tôt, la métropole en comptait peu, mais celui-ci restait tout de même grandiose. Ils poursuivirent leur marche, discutant de tout et de rien.
Finalement, ils trouvèrent un coin en plein soleil et s’allongèrent dans l’herbe. Le temps passa, et leur conversation continua, devenant de plus en plus détendue. À mesure qu’ils parlaient, ils se sentaient tous deux à l’aise, décontractés. Jessica, fidèle à son franc-parler, ressentait le besoin de se confier plus profondément à son ami.
Cependant, même pour elle, ce qu’elle s’apprêtait à lui révéler nécessitait un certain courage. Une sensation inhabituelle monta en elle… on pourrait presque parler d’une certaine gêne.
Elle voulait lui parler de certains de ses fantasmes les plus profonds, des désirs qu’elle n’avait jamais avoués à personne. Trop personnels, même pour elle. Bien entendu, elle ne comptait pas les lui dévoiler de but en blanc ; elle amorcerait d’abord la conversation sur la sexualité, instaurant une transition naturelle. Son côté direct ne l’empêchait pas d’avoir du tact.
Petit à petit, elle approfondit le sujet avec Sam, jusqu’à finir par avouer l’inavouable.
Sam fut réellement surpris. Il n’aurait jamais imaginé que son amie puisse nourrir de tels désirs. Pourtant, il l’écouta sans l’interrompre, comprenant instinctivement qu’elle avait besoin de parler. Après tout, s’ils étaient si proches, c’était aussi parce qu’ils savaient l’un comme l’autre qu’ils ne se trahiraient ni ne se jugeraient jamais.
Jessica continua donc son récit, allant jusqu’au bout de ses pensées sans détour.
Cette démonstration de courage et d’audace impressionna profondément Sam. Lui, qui s’autorisait si peu de fantaisies, qui bridaient autant ses envies que ses pensées, prenait soudain conscience de l’immense fossé qui le séparait de son amie, pourtant si proche de lui.
Il ne pouvait s’empêcher de rester pensif, comme perdu dans ses réflexions. Jamais il n’aurait pu avouer de telles choses… même à Jessica.
Et pire encore, il se demandait s’il aurait seulement été capable de se l’avouer à lui-même.
Sentant son humain préféré perdu dans ses pensées, Jess s’exclama :
— "Eh oh ! Le penseur fou est encore là ? Il y a encore quelqu’un là-haut ?", dit-elle d’un ton amusé.
Puis, elle ajouta :
— "Allez, ça va, c’est juste du sexe, tu ne vas quand même pas changer ta manière de me voir pour ça ?"
— "Bien sûr que non ! Excuse-moi, je ne voulais pas te contrarier… C’est juste que… tu m’impressionnes, voilà tout. Non, en fait, tu es vraiment épatante !" Il marqua une pause avant d’ajouter avec un sourire sincère : "D’ailleurs, je suis flatté… Si tu peux me confier ça, c’est que tu me fais vraiment confiance. Je suis touché."
— "Oh non, même pas tant que ça !" répliqua-t-elle avec ironie. "Je sais juste que tu n’aurais pas le cran de balancer, t’aurais trop peur des répercussions."
Ils échangèrent un sourire complice, et cette petite plaisanterie détendit immédiatement l’atmosphère.
Puis, Jess reprit, malicieuse :
— "Mais dis-moi… toi, tu n’aurais pas quelques petits fantasmes cachés, par hasard ?", lança-t-elle avec un grand sourire en coin.
— "Non, non, non, pas du tout, vraiment pas." répondit-il, visiblement peu assuré, se raidissant d’un coup et détournant le regard.
Jessica comprit immédiatement qu’elle avait touché un point sensible. Elle le supplia alors de tout lui raconter. Encore et encore, Sam répétait qu’il n’y avait rien à dire, mais elle connaissait son ami mieux que personne et savait parfaitement qu’il mentait.
Finalement, après quelques secondes d’hésitation, Sam craqua :
— "Bon… peut-être que j’en ai un, mais je ne te le dirai jamais. C’est trop personnel, je ne peux pas.", lâcha-t-il, visiblement mal à l’aise.
— "Oh allez, Sam, t’es pas cool ! Moi, je me suis mise à nu ! Et puis c’est moi, quoi ! Comme si j’allais partir en courant !" protesta-t-elle, légèrement vexée par son silence.
Sentant que son amie attendait un véritable échange et non un mur de réticences, Sam finit par céder :
— "Bon… ok. Mais tu jures que tu ne dis rien ! Secret à vie !"
— "Évidemment !"
— "Promis ?", demanda-t-il en la fixant avec de grands yeux.
— "Mais oui, Sam !"
— "Vraiment, vraiment promis ?"
Il savait pertinemment que Jessica ne trahirait jamais sa confiance. Il tentait juste de gagner du temps, essayant de rassembler son courage.
— "Bon, tu craches le morceau à la fin ou on en reste là ?", lança-t-elle, faussement agacée.
— "Oui, bon… c’est vrai qu’il y en a peut-être un…", admit-il finalement en baissant les yeux, gêné.
— "Allez, Sam, je vais pas te manger, tu sais."
— "Bon, j’avoue que parfois… je peux m’imaginer dans une position… disons… plus… à nu avec les filles."
— "De quoi ?" répondit-elle en plissant les yeux, comme si elle tentait de lire en lui. "Je ne comprends pas vraiment où tu veux en venir."
— "Baaaaaah…" Il prit une grande inspiration avant de lâcher d’une traite : "Disons que je fantasme un peu sur le fait d’être… dominé légèrement par une fille… Pas vraiment hein ! Juste un petit peu, histoire de tester, quoi…"
Sam ne disait pas toute la vérité.
Il ne fantasmait pas sur le fait d’être "légèrement dominé par une fille". Il rêvait d’être aux pieds d’une déesse. Il rêvait de lui appartenir corps et âme, de se donner entièrement à une femme sadique qui saurait le façonner à son image. Une femme qui prendrait le contrôle de tout : sa sexualité, ses pensées, ses actes.
Ce qu’il désirait réellement n’avait rien de léger, rien de tendre. Il voulait devenir un objet, une chose, une pute que l’on souille. Il rêvait de ne plus avoir le droit à rien sans l’accord de son dieu.
Mais ça, jamais il n’aurait pu l’avouer à Jessica.
Jess reprit la discussion en tapant sur son épaule :
— "Mais c’est tout ? Il ne fallait pas te faire tant de souci pour ça ! J’ai eu peur, j’ai cru que t’allais m’avouer un truc horrible !" dit-elle avec un grand sourire.
Puis, haussant les épaules, elle ajouta :
— "Franchement, je comprends… Moi aussi, ça m’excite d’être soumise. J’ai déjà essayé une fois, c’était une bonne expérience ! Ce n’est pas forcément ma came, mais c’était sympa. Pourquoi pas réessayer un jour, si l’occasion se présente."
La légèreté de Jess fit un bien fou à Sam. Il s’était imaginé une situation dramatique, et voilà qu’elle tournait le tout en une discussion des plus banales.
— "Ah bon ? Tu trouves ça… classique ?" demanda-t-il, surpris.
— "Bah, oui et non… Disons que c’est loin d’être honteux !" répondit-elle avec un grand sourire, fidèle à sa légèreté habituelle.
Ils n’approfondirent pas davantage le sujet et continuèrent de discuter de tout et de rien pendant des heures.
Le temps passa, et le soleil commença lentement à décliner. La chaleur de cette belle journée s’apaisa, les ombres s’étiraient sur l’herbe. Voyant cela, ils décidèrent de rentrer, toujours à pied, toujours en bavardant.
Ils habitaient à cinq minutes l’un de l’autre, et comme à son habitude, Sam insista pour raccompagner Jess chez elle, en parfait gentleman.
Une fois arrivés en bas de son immeuble, Jessica s’arrêta net et lança, d’un ton malicieux :
— "Tu sais, Sam, j’ai une super copine que j’ai rencontrée en soirée. Elle m’avait parlé d’un de ses fantasmes… Je te préviens tout de suite, elle est un peu plus vieille que nous, mais qu’est-ce qu’elle en impose !"
Sam comprit instantanément ce que Jessica allait lui dire. En une fraction de seconde, c’était comme si des années de fantasmes et de masturbations défilaient devant ses yeux.
Jessica, elle, poursuivit, avant même qu’il n’ait eu le temps de réagir :
— "Je sais que son kiff, c’est vraiment de dominer les mecs. Et elle n’en est pas à son coup d’essai… Je crois bien qu’elle en a déjà dressé plus d’un !" dit-elle d’un ton amusé.
Puis, voyant son ami figé, elle continua, un brin provocatrice :
— "Et la dernière fois que je l’ai vue, elle m’a dit qu’elle n’avait plus d’homme avec qui jouer en ce moment. Écoute… Je ne sais pas si tu veux aller plus loin dans ton fantasme, mais sache que je peux te filer son contact. Je la connais bien, et je sais que tu es totalement son type d’homme ! Tu devrais essayer, histoire de te lâcher un peu… Ça te ferait pas de mal un petit coup de fouet !" lança-t-elle en s’étouffant à moitié de rire.
Sam n’eut même pas le temps d’ouvrir la bouche que Jessica enchaîna :
— "Je vois bien que t’en as envie ! Tu sais quoi ? Je te laisse pas le choix. Je t’envoie son contact ce soir, et je lui envoie le tien. Elle saura à qui elle parle ! T’inquiète pas, t’es mon meilleur ami, je vais bien te vendre !"
Et avant qu’il n’ait pu protester, elle lui fit un clin d’œil et s’éclipsa dans son immeuble.
Sam resta là, immobile, seul avec ses pensées. Il sentit une légère pression au niveau de son entrejambe. Si lui hésitait encore, son anatomie, elle, semblait lui crier de foncer.
Il rentra chez lui, l’esprit en vrac, perdu dans un mélange d’excitation et de crainte.
Tout était allé beaucoup trop vite.
Dans cet état second, il n’arriva pas à penser clairement jusqu’à ce qu’il se retrouve dans son lit. Pris par l’émotion, il ne put s’empêcher de s’accorder un petit plaisir solitaire…
Son affaire terminée, il fonça sous la douche pour se calmer et se détendre. Il en avait bien besoin. Cette discussion l’avait littéralement chamboulé.
Comme à son habitude, il avait pris son téléphone avec lui pour écouter de la musique sous l’eau… mais, pris par l’urgence, il l’avait laissé dans sa chambre.
Une fois propre, il retourna dans sa chambre et entreprit de ranger rapidement le désordre ambiant. Il fit son lit, enfila son pyjama…
Puis, enfin, il se coucha et attrapa son téléphone.
Son cœur manqua un battement.
Sur l’écran, un message d’un numéro inconnu.
"Jess m’a parlé de toi. J’attends tes dispos pour un café."
Sam écarquilla les yeux.
Ça y est.
C’était réel.
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