La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/08/24
Comme pour le bondage et la soumission, on va retrouver des pratique d'autobondage, mais ce coup ci, les objectifs ne sont plus les même. I- L'auto humiliation Une personne masochiste peut avoir envie de se bloquer dans une posture défavorable de façon à s'humilier socialement. Il peut s'attacher lui même dans un lieu publique, se mettre des vêtements qui attire les problèmes et qu'il ne peux pas enlever etc... II- L'auto sabotage Il s'agit ici de s'attacher pour ne pas pouvoir agir dans une situation critique, pour être sure d'échouer. Un sportif qui se mutile avant une compétition pour gâcher sa carrière, une personne qui va prendre des drogue avant un entretient d'embauche ...etc, un homme qui se coupe une oreille avant d'aller draguer... III- La mise en situation de vulnérabilité Ici il s'agit d'attirer les sadiques. C'est un peu un regardez moi, je suis sans défense, frappez. La personne peux s'auto enchaîner pour être sure d'être prise, pour attirer la malveillance comme sur un pilori ou autre mais où la personne est volontaire. IV- La recherche d'une douleur permanente dans l'action La personne peut s'attacher un membre de façon douloureuse pour être douloureusement handicapé dans sa vie de tous les jours (comme un fil de barbelé entouré autour de la cuisse, du riz dans les chaussure ...etc)
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Par : le 31/07/24
Ici on entre dans une partie très sombre du bondage. le bondage peut se combiner au sadisme et l'histoire nous l'a beaucoup montrer. I- Les contraintes destructrices Il est possible de contraindre une personne de façon à l'empêcher de dormir ou de se reposer, la poussant dans un état de fatigue terrible sans effort. De telles méthodes ont été utilisé pour "mater" les femmes dans les prisons anglaises. II- Les contraintes pour le désespoir On peut désespérer des individus et détruire leur mentale en les torturant par l'isolement, en insistant sur les longues périodes d'enfermement qu'on va leur faire subir, en ne leur laissant aucun rapport sociale. Ce sont des méthode classique de torture dans les prison et les sociétés d'aujourd'hui. Notons que l'on peut aussi amputer une personne pour la désespérer ou la détruire, on remarque la castration comme châtiment ou méthode d'esclavage dans le passé. III- La honte pour toujours Il est possible de créer des lien éternelle ou des cicatrices en insistant sur le fait qu'elles sont définitives. Les esclaves pouvait être mutilés pendant le commerce triangulaire, les femmes pouvaient se voir couper le nez et les oreilles pour être privés de leurs beauté ...etc, certain filme sm japonnais parlent d'histoire de femme avec une ceinture de chasteté sans clé et parfois même enceinte... IV- La culpabilisation On peut pousser une personne à une souffrance terrible en l'attachant pendant qu'on fait devant elle une chose qu'elle n'aurait jamais toléré comme s'en prendre à la personne qu'elle aime le plus au monde (thème de underworld, spartacus, ...etc)
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Par : le 31/07/24
La soumission c'est de choisir soit même l'autorité d'une autre personne ou d'une idéologie. On ne peut pas parler de combinaison soumission / bondage sans parler de l'autobondage bien sure I- L'auto bondage L'auto bondage, c'est s'attacher soit même, il existe pour ça des menottes et des systèmes de "ice-lock" qui fixe un temps. La personne soumise qui fait de l'autobondage peut avoir plusieurs motivation tel que s'imposer une trêve (le lâcher prise, les vacances forcé) ou s'offrir aux autres. Une personne peut se mettre volontairement en situation de vulnérabilité avant de se donner a une personne dont elle choisie de recevoir l'autorité. Ici il s'agit plus d'un gage de confiance ou simplement pour rassurer. On voit souvent cet pratique dans le monde des affaire ou de la politique, on offre des garantie, des otages pour prouver qu'on respectera les condition fixer par l'autre partie. II-Le renoncement pure et simple Une personne qui a peur d'elle-même et souhaite suivre une autre vois que celle de sa nature peut le cas échéant s'infliger un bondage pour s'imposer une direction. Cela peut aller d'un simple rituel de s'enchaîner à un objet pour ne jamais s'en séparer, marcher pied nue pour rester humble a s'amputer ou se mutiler pour ne plus être capable de réaliser certaines chose (les soldat qui se tire dans le pied) III-La preuve de confiance Une personne soumise peut apprécier de s'offrir en bondage régulièrement à la personne qu'elle a choisie pour la guider affin de lui retémoigner encore et encore sa loyauté et de se rassuré elle même sur celle ci (car elle est sont objectif). Notons que les profession nécessitant la soumission de leurs employées sont souvent associé à des uniformes qui peuvent les objectifier en société et parfois même considérablement restreindre leur liberté de mouvement.
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Par : le 31/07/24
La domination, c'est imposer son autorité par la contrainte et le bondage restreindre les sens et les mouvement. Ces deux art se combinent donc très naturellement. I- La mise en état de vulnérabilité Évidement, un(e) soumis(e) attaché ou enchaîné de façon a ne pas pouvoir fuir ou esquiver n'aura pas d'autre chois que d'accepter tout ce qu'on lui fera subir. On peut donc l'obliger a accepter tout ce qu'on veut et le désensibiliser à résister à tous ces procédé et finir par les considérer comme normale. Évidement, il ne s'agit que de discipline de surface car aucune de ces actions n'a été accepté sans contrainte et c'est encore plus vrais ici. Cette pratique est présente dans la société, ce sont les grillages, les barricades et autres qui nous habitue à ne pas aller a certain endroit et a accepter que notre liberté de circulation soit constamment remise en question, nos papiers vérifié, notre argent pris aux péage etc... II- La mise dans un état de dépendance Si la personne est entravée, elle ne peut pas faire un certain nombre de chose toute seule et va avoir besoin de l'aide de son maître. Ainsi, elle s'habitue a avoir besoin de lui et a devoir lui plaire en toute circonstance pour pouvoir continuer a subvenir a ses besoin. L'exemple en société, c'est l'argent et la centralisation des moyens de production. Vous devez tous plaire au système pour pouvoir manger, etc... III- La destruction de la fierté Certains état fixé par le bondage sont humiliant et peuvent réduire l'estime que la personne a d'elle même (on voit ça dans les prisons aussi). Ainsi, attaché pendant que les autres sont libre, elle devra accepté l'idée qu'elle est moins qu'eux et sera plus prompte a se soumettre a toutes les injonctions qu'on lui donnera.
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Par : le 31/07/24
Le bondage c'est l'art de contraindre les sens et les mouvements par des méthode matériel. La discipline c'est la contrainte par des règles pour modeler le corps et l'esprit du/de la soumis(e). Leur combinaison évidement sera un bondage systématique ou de longue durée. I- les bondage systématiques : C'est tous simplement des routine journalière de bondage qui seront comme des exercice de méditation répétés afin de modeler l'esprit du sujet. Par exemple: * on peut faire dormir la soumise dans une cage, tous les matin, elle devra attendre qu'on lui ouvre la cage pour sortir et tous les soir elle devra se laisser enfermer dans cette cage. Cette pratique peut l'habituer peut a peut à l'idée quelle appartient bien a son maître, qu'elle y est liée et ne peut pas envisager sa journée (son commencement et sa fin) sans passer par celui ci et sa disponibilité. *  ca peut être bien aussi d'habituer sa soumise à présenter elle même ces mains et ses pied pour être entravé lorsqu'elle doit rester seul ou sortir. Cela lui fera ressentir qu'elle n'est jamais totalement libre de ses mouvement et qu'il va de soit qu'elle évolue toujours dans un cadre définie par son maître. Les deux méthodes ci dessus sont plus ou moins celles qui sont appliqué dans les prisons (et oui, le bdsm, bien plus qu'un style de vie ou un jeu sexuel est aussi une pare obscure de notre société). II- les bondage de longue durée Ici, c'est vraiment le bondage, qui agit comme outil de discipline. On peut par exemple: * enchaîner par le coup une soumise pour qu'elle ne s'éloigne jamais d'un espace restreint prévue pour elle dans le salon. Ainsi, son univers tout entier sera limité à cette espace, ses relations sociales seront les gens qui viennent dans cette espace et les seules interaction qu'elle aura seront celles qu'on lui donnera dans cet espace. C'est une façon de faire le vide en elle et de la sensibiliser extrêmement à ce que l'on veut. Cette technique est d'ailleurs très présente dans le monde du travail, une personne figé sur un poste fixe pour être sensibilisé, focalisé et modelé. * Bien sure, les entrave longue durée pour changer la façon de faire : on peut enchaîner a long terme une soumise ou un soumis pour qu'il/elle ne se déplace plus qu'a 4pattes, ne se serve plus de l'un de ses sens ...etc * la ceinture de chasteté est aussi un bon exemple de changement des habitude et des sensibilité. Plus de masturbation et une sensibilisation accrue des organes génitaux. III- Les bondages de disciplines Certain type de bondage sont de véritable outils de disciplines classique. Par exemple: *le collier électrique que l'on utilise sur les chien pour les empêcher d'aboyer. C'est à la fois un outil de bondage (matériel limitant les possibilité d'actions) et de discipline (punitif sur procédé). La sanction est immédiate, c'est mécanique et ca ne dépend pas du maître, on est donc ni tout a fait sur de la discipline ni tout a fait sur du bondage. Imaginé toutes les autres possibilités... * Il y a aussi les bondage de punition bien sure : on attache le sujet de façons inconfortable pour le punir ou de façon a le garder en place pour lui faire subir un traitement de discipline en continue.
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Par : le 20/04/24
Dong Li-Blackwell, appelée plus simplement Dong Li, est une artiste prolifique résidant à Brighton, au Royaume-Uni. Née en 1984 à Daqing, en Chine, Dong s’est forgé rapidement une petite réputation dans le monde artistique, se spécialisant principalement dans les aquarelles et explorant souvent le thème du nu féminin, dans des postures ne craignant parfois pas l’indécence et s’aventurant pour certaines œuvres dans la représentation de postures bondage/shibari. Dong Li-Blackwell utilise principalement l'aquarelle, technique qui se prête merveilleusement bien à la représentation du corps humain, en particulier le nu féminin. L'aquarelle, qui permet en effet de  capturer à la fois la transparence et l'intensité des couleurs, est utilée par Dong  Li pour jouer avec la lumière et l'ombre, soulignant la délicatesse et la vulnérabilité des formes. L'eau, élément central de cette technique, facilite une fusion des couleurs qui peut évoquer la fluidité et la douceur de la peau quand les postures sont pourtant bien cru.  Le choix du nu féminin et du shibari dans certaines de ses œuvres est une exploration de la forme et de la posture, mais on peut aussi y voir une manière de questionner les thèmes de la liberté, de la contrainte. Dong joue avec les conventions et les limites, tant dans ses sujets que dans sa technique. Bien d’autres artistes avant elle ont exploré le nu féminin par le biais de l'aquarelle, citons Egon Schiele, réputé pour ses représentations crues mais sensibles du corps humain, œuvres où la vulnérabilité et l'intensité se rencontrent. De même, Gustav Klimt a utilisé des techniques mixtes qui incluaient souvent l'aquarelle pour ajouter une dimension de douceur et de sensualité à ses célèbres compositions dorées. Au fil des années, Dong Li-Blackwell a participé à de nombreuses expositions qui ont été autant de preuve de connaissance pour son travail exceptionnel. Parmi ses réalisations notables, on note les honneurs que lui ont fait la Winsor & Newton Royal Watercolour Society à la Bankside Gallery de Londres en 2012, ainsi que plusieurs distinctions à la Northeast Normal University en Chine. Sa capacité à capturer l'intensité des corps a également été reconnue par Saatchi Art en 2013, où elle a été élue « Artiste à suivre ». L'œuvre de Dong Li-Blackwell, avec sa maîtrise de l'aquarelle et son exploration audacieuse du nu féminin et du shibari, invite à une réflexion sur la nature de l'art comme expression de la condition humaine. Ses tableaux, tout en subtilité et en intensité, captivent et provoquent. D’autres œuvres sont à découvrir sur son site internet : http://www.dongli.co.uk/ et sur les principaux réseaux sociaux.  
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Par : le 31/07/23
A la fois brillant, entrepreneur, sportif mais prêt à tout pour fuir un quotidien insupportable, avec cette fragilité et ce refus de s’adapter aux normes sociales établies. Louis a longuement trouvé un refuge dans une épaisse carapace d’indifférence et d’adaptation. Il nomme si bien cette période « l’hibernation ».  Il voyait son paradoxe, cultivant l’excellence, recherchant l’intensité dans tous les sports extrêmes pour se sentir vivre tout en contrôlant admirablement ses émotions. C’est assez touchant la manière dont il évoque ce processus de questionnement existentiel, sa quête réelle de sens, lui qui vous parlera si bien de Yung.    Navigant sans protection, Emilie aime tant se réfugier dans son imaginaire, créative, passionnée. Elle a cette splendeur, cette sensibilité sans égard et la puissance de ses émotions. Elle vous observe lentement, scrutant le moindre détail. J’ai toujours apprécié sa douceur et son exigence.    Ils ont en commun ce désir absolu d’arrêter de penser et de détester l’ennui. Je dirai que je n’avais jamais vu une aussi faible tolérance à l’ennui avec ce besoin permanent de nouveauté, de stimulation et d’intensité.    Ils s’étaient rencontrés depuis quelques années sur un site d’adultère et avaient progressivement laissé leurs cerveaux fonctionner pour s’auto-entraîner dans un nouveau monde sans limites. L’alternance était leur jeux, perdre le contrôle, le reprendre, apprendre, s’abandonner, découvrir… soumis ou dominant à la recherche de l’extase sensorielle.    J’ai toujours trouvé formidable leur liberté. Cette harmonie face à la complexité, leur analyse pour personnaliser l’instant et ressentir nos émotions.    Ils semblaient totalement complices et fusionnels à la fois. Nous étions dans leur danse sans jamais pouvoir pénétrer dans leur espace. Ils parlaient peu, toutes leurs attitudes, mouvements, décisions, se jouaient dans une forme d’intuition, de connivence pour stimuler nos esprits et maximiser nos plaisirs. On voyait qu’ils prenaient aussi du plaisir à nous voir transcendé.    Nous avions fait leur connaissance alors que notre couple battait de l’aile. Ils offraient leur talent à dominer des couples. C’était une expérience spirituelle pour eux. Ils n’étaient pas un couple comme les autres, ni des dominants stéréotypés. Ils avaient leurs règles du jeux, celles de la spontanéité et de l’absence de scénarios établis. Louis nous avait expliqué qu’il me transporterait vers un chemin qu’il ne connaît pas encore et qu’il essayerait de faire participer ma femme.   Je recherchais à être dominé mais je ne me sentais pas assez en confiance pour y aller seul. J’avais réussi à convaincre ma femme de m’accompagner. Nous avions répondu a quelques questions sur nos pratiques et tabous.    Nous nous retrouvions la première fois dans une cabane améliorée, poutre en bois, atmosphère de chalet. Cet espace était au milieu de la nature. Ils aimaient nous emmener dans ce lieu en forêt que nous réservions pour une journée.    Ma femme était réticente et j’étais gêné de voir son attitude. Elle était pourtant prête à jouer un peu. Émile allait la guider pour d’abord me dominer légèrement puis s’abandonner.    Nous nous sommes retrouvés nus et ils nous ont mouillé et huilé le corps. L’idée était qu’on se regarde avec nos corps brillants.  Nos mains furent attachées en l’air, nous étions tous les 2 proches pour se toucher par nos corps, légèrement suspendus. Je découvris alors les coups d’un martinet léger, puis d’un martinet plus lourd. C’est Louis qui donnait les coups. Je me retrouvais à crier et à mettre ma tête entre les seins de ma femme. Ce moment était d’extase, les coups étaient de plus en plus fermes et je découvrais de nouvelles sensations.    Émilie détacha ma femme et me banda les yeux. Elle accompagna ma femme à parcourir mon corps avec ses mains puis l’invita à nouer fermement mon sexe avec une cordelette. Il y avait beaucoup de bruit dans la pièce. Nous ne devions pas parler. J’entendais des chaînes, des bruits métalliques … d’un coup, une goutte brûlante de cire me tomba sur le corps. Émilie montrait à ma femme comment utiliser la bougie et dessiner sur mon corps.  Cette sensation me coupait le souffle, entre plaisir et supplice.  Ma femme respirait intensément. Je sentais son plaisir et j’étais excité à cette idée.  Voyant mon sexe en érection, Emilie lui demanda de verser des gouttes de la bougie sur mon pubis. C’est Louis qui la stoppa voyant que nous allions très loin et que j’étais presque en apnée depuis 30 s. Je crois que c’est le plus grand souvenir de la soirée, un souvenir d’une première fois que j’ai encore à l’esprit.    Ils m’enlevèrent le masque et mon corps était marqué de ces gouttes noires et rouges. Je fus détaché et ils m’ont demandé de m’allonger sur le dos. J’ai mis du temps à reprendre mes esprits.    Louis pris un couteau aiguisé et m’enleva la bougie sur mon corps. Mon sexe lui, a été frappé par un petit martinet léger. J’avais vraiment l’impression de m’abandonner et de ne plus savoir où je suis.    Ma femme était trempée et voyant son excitation Émilie lui demanda de venir s’assoir sur mon visage pour que je la déguste longuement.   Pendant ce temps, Louis m’attachait avec les cordes de shibari l’intégralité de mes membres. Je n’avais que ma langue pour s’occuper de ma femme.    Je revois encore Camille et Emilie se regarder lorsque ma femme eu un orgasme sur mon visage.    Emilie demande alors à ma femme de se mettre accroupi et de m’uriner dessous. Nous avions dit que nous ne voulions pas de jeux uro. Cette idée était totalement tabou dans nos esprits. Ma femme semblait avoir perdu totalement le contrôle. Je vois sa résistance et une forme de complexe à cette idée et j’adore. Émilie agit plus fermement sur ma femme en lui mettant des pinces sur les seins et en lui exigeant d’uriner. Ma femme subit des coups de badine sur les fesses. Émilie n’arrêtera pas sans cette urine chaude sur mon corps.  De petites gouttes puis un jet chaud me parcourent le visage. Je dois ouvrir la bouche et remplir ma bouche. Je ne sais plus quelle quantité j’ai avalé mais j’ai senti cette humiliation et ce plaisir si intense d’être entravé et trempé.    Mon sexe fut détaché par ma femme et les principaux noeuds sur mon corps par Camille. Ils nous laissèrent enlacés et allongés tous les 2 dans cette humidité en quittant la pièce. Nous avions perdu la notion du temps. Je découvris que nous avions été dans cet espace sans limites pendant plus 2 h.                 
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Par : le 11/01/23
[NdA: il y a une première partie à ce texte, à mon sens ça vaut la peine de la lire pour se mettre dans l'ambiance, mais ça n'est pas obligé!] J’entends la porte de la maison s’ouvrir, et des pas dans l’escalier. Je me rends compte brutalement que je n’ai pas du tout anticipé la manière dont nous allions nous saluer : nous pourrions être aussi bien des amants que des inconnus, ou des amis de longue date. Si bien que j’hésite entre de nombreuses possibilités : serrer sa main ? le prendre dans mes bras ? embrasser délicatement, ou langoureusement sa bouche ? Je n’en sais rien… Il se passe de longues secondes pendant lesquelles mon cerveau soupèse des informations contradictoires, et n’envoie plus aucune directive à mon corps, qui reste planté là, immobile. Pendant ce temps, il s’approche de moi doucement, un léger sourire sur les lèvres. Il a l’air calme, il est beau. Il porte des vêtements simples, élégants mais adaptés à la vie rurale, et arbore une petite barbe de trois jours qui lui donne beaucoup de charme. Surtout, sa démarche assurée et son regard pétillant me séduisent immédiatement. Je remarque qu’il est un peu plus petit que moi. Il arrive en face de moi, je n’ai toujours pas bougé d’un cil. Il approche sa main de mon visage, effleure ma joue, et saisit délicatement le côté de ma tête, sous la tempe et à la base du crâne. Puis il vient déposer un baiser léger, sensuel, sur l’autre joue, assez proche de ma bouche. Il enlace ma taille et me glisse à l’oreille « Bonjour ». Il fait un pas un arrière, prend ma main dans la sienne, et me regarde avec intensité. Son regard, ses yeux bleu-vert sont beaucoup plus beaux que tout ce que j’ai pu voir sur les photos qu’il m’a envoyées. Libéré de son dilemme, mon cerveau décide de se remettre en marche, je lui réponds son salut. Il m’entraîne dans l’escalier, et j’accorde enfin un peu d’attention au contact de sa main sur la mienne : sa peau est légèrement rugueuse, celle de quelqu’un qui manipule des outils, mais néanmoins plutôt fine et élégante, et surtout très chaude, rassurante. Il tient ma main un peu plus longtemps que ne le justifierait le simple fait de me guider vers sa maison, et joue très légèrement avec mes doigts, en caressant la pulpe de manière à peine sensible. L’étreinte de sa main est toutefois très galante, pleine de retenue, juste ce qu’il faut pour éviter de marquer franchement une relation amoureuse. Il me fait découvrir sa maison, faire le tour du propriétaire, comme il l’aurait fait avec un vieil ami venu lui rendre visite. Puis nous passons à table. Il a préparé mille petits mets délicieux, à la manière libanaise, et nous faisons un festin de saveurs, de couleurs et de textures. Pendant le repas, je suis tellement concentrée sur la qualité des plats, les sensations sur ma langue, que j’en oublie presque de lui prêter de l’attention, de chercher à lui plaire, de jouer avec l’ambiguïté de notre rencontre. Une fois ou deux, je lui lance un regard et découvre qu’il m’observe un peu en coin, amusé de mon oubli dans la gourmandise. Lui semble maîtriser la situation, à la fois seigneur et maître d’hôtel, comme s’il était habitué à une telle profusion d’émotions culinaires. Le café me dégrise un peu, et nous sortons prendre l’air. Les alentours sont très beaux, d’une grâce singulière dans laquelle le sauvage se mêle adroitement au domestique, à moins que ce ne soit l’inverse : ici des vergers dépareillés, enchevêtrés mais étrangement ordonnés ; là un jardin dont le plan incompréhensible semble sorti de l’imagination d’un génie ou d’un fou. Ailleurs encore, un chemin qui s’engage dans un bosquet semble une sente de sanglier, mais s’avère finalement ouvert et agréable, s’aventurant entre des arbres majestueux et inquiétants. Tout au long de notre promenade, nous parlons de tout et de rien, bras-dessus bras-dessous, nous avons l’air d’un marquis et une comtesse devisant galamment. Mais moi, je n’ai rien de la comtesse, et sentir la chaleur de cet homme juste à côté de moi, à portée de main et pourtant inaccessible, me met les nerfs à vif. Aussi, je suis perturbé par sa toute jeune chienne qui nous accompagne, et qui est le pendant chaotique de notre comportement civilisé : elle farfouille partout, pisse dans un coin, suit une trace odorante pour l’abandonner quelques secondes après. Elle lui saute dessus, et se fait vertement tancer, mais réitère pourtant son geste. Il s’amuse à exercer les quelques commandements qu’il lui a appris à respecter : « assis », et elle s’assoit. « Viens », et elle s’approche, mais s’arrête aussitôt qu’il lui lance un « stop », la queue hésitante et le regard interrogateur. Je suis fascinée, presque mal à l’aise de l’obéissance de cette petite créature, qui par ailleurs a tout de la bête sauvage. Et en même temps, une part de moi se laisse impressionner par l’autorité qu’il exerce sur elle. Je m’avoue timidement que je voudrais être à la place de cette chienne, quitter les oripeaux de la fille sage et jolie. Oser m’approcher jusqu’à sentir son entrejambe, et me faire punir pour cette audace. Lui sauter dessus et lécher son visage. Obéir s’il me commande de me coucher à ses pieds, de me mettre à quatre pattes et de présenter ma croupe. Pendant que je m’échauffe toute seule dans ma tête, je me demande où il en est, lui. Il a l’air imperturbable, sûr de lui, mais je crois deviner qu’il ne s’agit que de la surface. Durant nos discussions à distance, à certaines heures de la nuit, nous avons échangé sur nos fantasmes, nos désirs crus, viscéraux. Je cherche la trace de l’homme qui m’a fait mouiller ma culotte en me parlant de sexe comme si j’y étais, et je m’énerve de le sentir si propre, si distant à présent que ça y est, j’y suis ! Nous rentrons à sa maison, et comme il fait un peu frais il allume la cheminée. Il part aux toilettes, et moi je continue à construire ma frustration : « qu’est-ce que tu fous là ? », je me dis. « Alors ça y est, un feu de cheminée, et maintenant, c’est quoi ? Un scrabble, une tisane et dodo ? ». La flambée réchauffe mon ventre, mes seins. Je sens confusément que je laisse les forces profondes prendre le dessus sur ma raison, que j’autorise mon désir, ma colère et ma peur à débrancher mon cerveau. Il rentre dans la pièce, je le regarde fixement. Je relève ma robe, dégrafe mes bas. Puis je retire ma culotte, lentement, exposant ma chatte poilue et odorante. Il n’est qu’à quelques pas de moi, je lui lance ma culotte à la figure. Il la rattrape, la hume, son regard devient piquant, je vois une faille s’ouvrir en lui. Je défais la ceinture de cuir qui enserre ma taille par-dessus ma robe, et la lance également dans sa direction. Il s’en saisit et immédiatement, l’utilise contre moi avec force et précision. La lanière claque contre ma cuisse, m’arrache un cri. Il réitère son geste, et je sens une douleur cinglante sur ma fesse. J’ai à peine le temps de penser quelque chose comme « ah, tu veux jouer au dompteur ? ». Je saute sur lui, l’étale sur le canapé, j’arrache littéralement sa chemise. Je me demande furtivement si j’en ai arraché les boutons, s’il faudra la réparer demain. Je découvre son torse et ses épaules, les lacère avec mes ongles, mais je lui laisse les manches à mi-hauteur, ce qui contraint ses mouvements. Je monte mon bassin sur lui, et retiens ses bras avec mes jambes. Saisissant sa tête dans ma main, je l’embrasse, je le flaire, je le mords, et lui pousse des petits gémissements d’animal pris au piège. Ça me fait instantanément mouiller. Assez rapidement, je meurs d’envie de lui donner mon sexe à renifler, à goûter : toujours à califourchon sur lui, je pose ma chatte sur sa bouche, et tenant son crâne dans ma main, je le force à me lécher. Tout s’aligne en moi, tout prend sens, le trajet et la longue attente, les discussions interminables et le regard brillant, le jardin, la chienne. L’amour lové à l’intérieur de moi bondit comme un dragon hors de sa boîte. Mon clitoris exulte, mon sexe inonde son visage, étouffe ses cris haletés. Je me penche un peu en arrière, et de ma main libre je défais son pantalon, caresse son sexe tendu au travers du caleçon. Il se redresse soudain, et je bascule à la renverse, manque de me cogner sur le sol. Le temps que je comprenne ce qui s’est passé, il s’est débarrassé de sa chemise et de son pantalon, et il bondit sur moi. Nous roulons par terre, entremêlés, et pendant un moment nous ne sommes plus que grognements, griffes, crocs, langues. Nous arrachons sans nous en rendre compte la plupart des vêtements qu’il nous reste. J’ai l’impression de prendre le dessus, et je brûle d’envie de remettre sa langue sur mes lèvres. Mais il me saisit soudain par les cheveux et par la gorge, m’arrachant un cri de douleur, et me force à plat ventre avec le poids de son corps. Une de ses mains tient mon visage, étouffe mes cris sur ma bouche, tandis que l’autre attrape ma ceinture, celle qui a tout commencé, et l’enserre autour de mes coudes, dans mon dos. Je jappe, me débats, mais je ne peux que constater que l’étreinte est sérieuse : juste avec cette petite lanière de cuir, habilement liée, il est en train de gagner le combat. Je rugis carrément, impuissante et furieuse. Lui, il s’est relevé, et il rigole, ce qui me met encore plus hors de moi. Son sexe est dressé, je trouve cet homme magnifique et terrible, j’ai envie de le dévorer, ou d’être dévoré par lui. Il prend son temps pour aller chercher une corde dans un tiroir, et achève avec art de me posséder. Il lie mes poignets l’un avec l’autre, et les remonte sur mon dos en passant sa corde sous mes aisselles, puis derrière ma nuque. Ça me fait mal, un peu. Surtout, dans cette position, mes mains sont incapables de lui interdire l’accès à mon sexe et à mon cul, je me sens offerte de manière vertigineuse. J’essaie quand même de gigoter, de me débattre, je me relève et me jette sur lui à corps perdu. Mais je suis une proie facile : il arrête mon élan en saisissant mon visage dans sa main, et pince mes tétons avec rudesse. Un cri m’échappe, j’essaie de mordre sa main. Il me reprend par les cheveux, me force à m’agenouiller par terre, le buste sur le canapé. Il décide de se remettre à lécher ma chatte, et bien que j’en meure d’envie, je serre sa tête entre mes jambes pour refuser la caresse, dans une tentative désespérée de contrôler un tant soit peu la situation. Il se redresse, pousse un soupir d’insatisfaction. Pendant quelques instants, il pose sa main sur mon sacrum, le pouce sur mon anus. Alors, sans le vouloir, je me détends, me relâche instantanément. Je me sens me déposer au creux cette main, signer ma reddition dans la chaleur de sa paume. A présent, je le sais, il a tout pouvoir sur moi et c’est exactement ce que je désire, profondément. Ça ne m’empêche pas de hurler quand il met une grande claque sur ma fesse, puis sur l’autre. Enfin, à l’aide de cordes supplémentaires, il assujettit mes chevilles aux pieds du canapé, maintenant mes jambes écartées. Cette position est tellement humiliante que j’ai un soubresaut de révolte, je crie et lui lance des insultes : « Salaud ! salaud ! », je ne sais plus dire que ça. Alors, il fourre dans ma bouche ma propre culotte pleine de mouille, et la maintient en place avec un foulard. Sans que je maîtrise quoi que ce soit, des larmes coulent de mes yeux, je le supplie dans mon bâillon de m’enfourner, de me transpercer. Il prend son temps et moi je meurs de frustration, je brûle de mon désir bestial et dompté. Je ne sais pas ce qu’il fait, qu’est-ce qu’il attend pour me baiser ? Je secoue mes liens mais je suis toujours aussi prisonnière, ma chatte est béante et ruisselante, exposée et implorante. Il pose sur mon clitoris un vibromasseur, je ne m’y attends pas, je décolle d’un coup. Il se rend compte que je pourrais jouir là, maintenant, alors il le retire un peu, puis le remet, c’est incroyablement, exceptionnellement délicieux et terriblement cruel à la fois. Et puis il me pénètre, de toute la longueur de son sexe. Je suis tellement mouillée, tellement ouverte que la capote ne me gêne même pas, et qu’à vrai dire un pénis deux fois plus gros serait rentré sans mal. Mais j’aime le sentir en moi, mon cœur s’ouvre et mon corps s’abandonne. Il alterne stimulation du clitoris et pénétrations saccadées, de plus en plus appuyées et rapides, et ça me rend dingue. Je veux les deux en même temps, je l’implore mais ça ne sert à rien, je remue mais ça n’avance à rien. Il finit quand même par me satisfaire, règle le vibro au maximum et me baise sauvagement en agrippant mon dos avec ses ongles. Ses doigts enserrent ma gorge et contraignent ma respiration, je ne sais plus qui je suis, un cri se construit au profond de mes entrailles et cherche à remonter à la surface en gerbes explosives. Je me rends compte qu’il laisse couler de la salive sur mon anus, comme s’il voulait se mettre à m’enculer. C’est la goutte d’eau, je suis prise de spasmes, je jaillis, mon sexe l’avale et il jouit aussi, presque surpris de s’être fait attraper. Nous mêlons de longs hurlements rauques et sauvages, nous partageons un immense frisson de toute l’épine dorsale. Il aplatit son ventre sur mon dos, nous sommes tous les deux ruisselants de sueur. Mes mains toujours liées en profitent pour attraper ses tétons et les pincer, il gémit, il rigole et moi aussi, dans le prolongement des secousses de l’orgasme. Son sexe toujours en moi, il défait mon bâillon, puis lentement se retire. Il m’embrasse, me mordille, me caresse, mais ne me détache pas encore. J’ai les coudes, les épaules et les poignets en feu, mais le corps tellement vibrant d’énergie que je pourrais tout endurer. Il me regarde avec des yeux amoureux, exactement le genre de regard que j’ai rêvé qu’il pose sur moi. Prenant un air coquin, il me dit « je me demande si je ne vais pas te garder comme ça encore un peu… j’aime que tu sois ma salope, ma petite chienne, j’aime savoir que je peux te baiser quand je le décide. Je commence juste ton dressage, il y a du boulot ! ». Moi, sa petite chienne ? Non mais… Je lui lance mon regard de louve le plus convaincant, et il éclate de rire. Il m’embrasse avec tendresse, et défait mes liens tout en massant délicatement chaque partie de mon corps, au fur et à mesure qu’il le libère. Pour finir, il me prend dans ses bras, et je me laisse aller totalement, complètement, peut-être plus encore que pendant l’orgasme. J’ignore totalement combien de temps se passe ainsi. Quand je reviens à moi, je suis allongée sur le canapé près du feu, nue, une couverture douce et chaude est posée sur moi. Une odeur délicieuse traverse la pièce, je meurs de faim. Je me lève et découvre la table dressée pour deux, promesse de nouveaux délices culinaires. Je me sens heureuse, intensément amoureuse de cette homme doux, puissant, merveilleux. Quelque part en moi, je me demande s’il n’aurait pas été plus juste qu’il me fasse manger dans la gamelle, au pied de sa chaise.
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Par : le 08/11/22
Nous ne sommes pas spécialistes du bondage et encore moins du shibari (même si nous aimerions), mais nous nous interessons à ce sujet. Nous avons pas mal écumés le web et les forums pour essayer d'y voir plus clair. J'avais pris pas mal de notes, fais des copier/coller. J'ai essayé de synthétiser ce que j'ai lu et ce que j'ai compris. N'hesitez pas a commenter pour corriger une anerie ou pour faire valoir un avis différent (on se la jouera humble ;) ). Bondage ou shibari ? Le bondage est une version que l'on pourra appeler "grand public" de l'art japonais des cordes, qui s'appelle le shibari. Le bondage comme le shibari offre une expérience incroyablement sensuelle et érotique. Attacher ou se faire attacher permet d'explorer la soumission et la domination sous une forme plus apaisée (qui n’empêche pas l'extase) que les pratiques purement SM ou DS. Si pour les jeux BDSM, on explore surtout le volet SM par l'utilisation de cravache, martinet ou fouet, et de pinces en tout genre, le shibari se pratique uniquement avec des cordes en jute. Si vous êtes moins puristes et que vous souhaitez tester l'attachement et l'immobilisation sans pratiquer l'art du Shibari, mais juste "jouer", vous pourrez vous faciliter une partie de la prise de contrôle de votre partenaire en utilisant des bracelets en cuir avec des anneaux où vous ferez passer les cordes. Ces bracelets en cuir permettent de facilement prendre accroche autour des poignets ou des chevilles. L'autre point d'attache très prisé dans le bondage est le cou, là encore si vous n'êtes pas encore un pro du bondage, vous pourrez vous faciliter la vie en ayant recours à un collier en cuir, doté d'un ou plusieurs anneaux en inox dans lesquels vous pourrez faire passer votre corde. Il faut que les débutants soient très prudents. Passer la corde au cou de quelqu'un cela ne s'improvise pas... on devrait même dire que cela ne se fait pas, c'est autour des épaules, de la tête que cela se passera; Débutant, commencer avec un peu de cordes et des colliers et bracelets, plus tard, quand vous serez plus expérimenté, vous pourrez vous en passer et pratiquer les immobilisation de votre partenaire justes avec les cordes. Outre la simplicité des colliers et menottes (que les spécialistes du bondage trouveront regrettable), leur utilisation permet, pour les débutants, de ne pas prendre trop de risques en serrant à l'excès ou de manière inadéquate les poignets ou le cou de leur partenaire. Avec ou sans bracelets, avec les cordes, vous pourrez donc attacher, à l'aide d'un anneau votre partenaire juste pour l'immobiliser (maintenir les bras dans le dos attachés au niveau des poignets, forcer à écarter les jambes ...) ou vous pourrez jouer avec votre environnement (l'attacher à un lit, l'encorder à une rampe d'escalier ...). La plupart des menottes sont avec une boucle en acier inoxydable, mais vous en trouverez aussi qui se fixe avec du velcro. Dans les ersatz à disposition, on citera également les sangles (en général en nylon), prévues essentiellement pour les immobilisation sur un lit dans le cadre d'expérience de domination/soumission. Les remplace à la fois les cordes et les menottes puisqu'elles disposent en général de sorte de attaches en velcro pour attacher les chevilles et les poignées. Les premiers accessoires pour commencer dans le bondage Il vous faudra de la corde. Beaucoup de corde. Les puristes du shibari vous conseillerons souvent une corde de jute de 6-8 mm. La jute est une fibre naturelle qui est solide et durable, mais elle peut aussi être rugueuse pour la peau suivant la manière dont elle est préparée. En fonction de vos envies et celles de votre partenaire, vous pourrez jouer ou non avec la douleur en choisissant une corde plus ou moins douce et plus ou moins lisse. Il vous faudra également disposer d'une paire de ciseaux ou mieux d'un sécateur ! Évidemment, on ne découpe pas les liens après chaque utilisation. Par contre, un moyen de découpe efficace et rapide est toujours à prévoir en cas d'urgence (malaise, personne en soumission qui panique ou qui fait un malaise ...). N'importe quels ciseaux ou sécateurs fera l'affaire pour peu qu'il puisse trancher la corde efficacement. Il faut toujours en avoir sous la main. C'est tout sauf accessoire pour mettre fin dans l'urgence un bondage. Nous n'évoquerons pas dans cet article les accessoires BDSM qui n'ont rien avoir avec le bondage, stricto sensu. Certaines pratiquants aimeront s'adonner à des jeux et avoir recours à une cagoule pour la tête de la personne immobilisée pour la déshumaniser, d'autres mélangeront le bondage avec des pratiques SM (comme la pose de pinces sur les tétons ou sur le sexe de la personne soumise, le recours au masque pour les yeux, au collier de soumission, au bâillon pour la bouche...). Les types de cordes pour le bondage et le shibari Pour le shibari, il existe deux principaux types de cordes utilisées dans le shibari : hanayama et asanawa. Les cordes hanayama sont faites de jute tressé et mesurent généralement trois mètres de long. Les cordes asanawa sont faites de jute torsadé et mesurent généralement six mètres de long. Les deux types de cordes sont tout aussi efficaces pour le bondage, c'est donc vraiment une question de préférence personnelle de l'encordeur/encordeuse comme de l'encordé.e. Si votre envie vous incite à plus de simplicité, vous pourrez opter pour des cordes plus simples et donc pas cher, comme les cordes en nylon. Mais cela se manipule moins bien, c'est moins confort sur la peau, et vous vous privez de l'odeur toute particulière des cordes en jute. Quelle(s) longueur(s) pour les cordes de bondage ? Vous aurez besoin de longueurs de corde différentes pour chaque personne, même si vous utilisez le même type de corde. Ne vous souciez donc pas d'obtenir la "bonne" longueur Concentrez-vous plutôt sur l'apprentissage de la manière d'utiliser l'excédent de corde éventuel. A moins d'une exigence spécifique, la plupart des encordeurs travaillent avec un jeu qui contient 2 ou 3 longueurs standard : 3m :  Parfait pour les poignets ou les chevilles, ou pour attacher les membres aux poteaux de lit, des choses comme ça.   C'est ce qu'on appelle parfois une "corde courte". 4,5m :   Cette corde est appelée "demi-corde" et peut être utilisée autour des cuisses ou des genoux, comme ceinture de taille ou lorsque vous devez tirer une corde. 9m :   Très bien pour faire des harnais et les longues courses.   On l'appelle parfois simplement "corde". Quelle(s) épaisseurs pour les cordes de bondage ? Cela dépend ! :). Chacun ses goûts, mais on peut préciser quand même que : Le diamètre le plus prisé est de 6 mm, La corde de 5 mm offre plus de finesse dans l’exécution et propose un esthétisme particulier. Pour les suspensions on choisira souvent du 8mm, vous verrez de nombreuses personnes utiliser des suspentes de 6 mm également. Cela dépend aussi du gabarit de votre partenaire. Si votre partenaire est plus grand, vous pouvez utiliser une corde de 8 ou 10 mm pour le travail au sol (bondage non suspendu). Cela répartit la force sur une zone plus large et peut être plus confortable. Le seul inconvénient des cordes plus épaisses est que les nœuds ont tendance à devenir encombrants rapidement... Quelles cordes acheter des cordes pour le bondage et où ? Il y a quelques éléments à prendre en compte lors de l'achat d'une corde de shibari ou de bondage. La première est le matériau dans lequel la corde est fabriquée. Les matériaux les plus courants sont les fibres naturelles comme le chanvre ou le jute. C'est le choix des puristes. Les pratiquants curieux pourront opter pour les fibres synthétiques comme le nylon ou le polyester. Les cordes en chanvre et en jute sont à la fois solides et durables, mais elles peuvent être agressives pour la peau. Elles ne sont pas non plus très élastiques et cela va avoir tendance à compliquer le bondage en suspension. La corde en nylon est, c'est un avis personnel, moins facile à travailler et moins agréable au toucher. La corde en polyester se situe entre le nylon et le chanvre/jute en termes de résistance et d'élasticité, ce qui en fait une corde polyvalente. Mais seul le chanvre et la jute sont utilisés par les puristes La deuxième chose à prendre en compte est le diamètre de la corde. Les diamètres les plus courants sont 6 mm, 8 mm, 10 mm comme on l'a vu et plus rarement le 12 mm. Là encore, chaque diamètre présente des avantages et des inconvénients. Les cordes plus fines sont plus faciles à nouer, mais elles ne sont pas aussi solides que les cordes plus épaisses. Les cordes plus épaisses sont plus adaptées aux jeux de bondage lourds, mais il peut être plus difficile de faire des nœuds complexes avec La troisième chose à prendre en compte est la longueur de la corde. Les cordes de bondage sont généralement vendues en longueurs de 3 mètres (10 pieds), 7,6 mètres (25 pieds), 15 mètres (50 pieds) ou 30 mètres (100 pieds). Évidemment, plus la corde est longue, plus elle est polyvalente. Cependant, les grandes longueurs de corde peuvent aussi être plus difficiles à travailler, donc si vous débutez, il est préférable de s'en tenir à des longueurs plus courtes jusqu'à ce que vous ayez le coup de main . Si vous êtes un pratiquant du BDSM qui cherche juste à tester le bondage, vous pouvez vous rabattre vers des cordes peu chères que vous trouverez par exemple dans les grandes surfaces (genre Leroy Merlin ou Castorama). Si vous souhaitez mettre plus de noblesse dans votre pratique, achetez des cordes en chanvre ou en jute. Nous vous conseillons de les acheter dans des boutiques spécialisées (ou sur leur site internet). Les cordes de boutiques BDSM ou Shibari ont subit des traitements compatibles avec leur utilisation. Faire un stage de bondage (voir de shibari) ? On trouve de plus en plus de formation ou de stage pour apprendre à jouer avec les cordes, avec plus ou moins de sophistication, des encordages simples à ceux plus artistiques des maîtres du shibari. Ce peut être une bonne idée de faire un stage, d'une part car cela permet de savoir si l'activité vous plait, mais cela vous permet vraiment de vous sensibiliser aux règles de sécurité, et au dela d'apprendre ce qu'il faut faire, une formation vous apprend ce qu'il ne faut pas faire, et à parer aux urgences, si votre bondage tourne à la catastrophe. C'est important pour vous (pour apprendre) mais aussi et surtout pour votre partenaire qui vous fait confiance en vous laissant l'attacher. Soyez prudents !
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Par : le 03/10/22
Il me suffit de penser au bondage, sans même le vivre pour entrer dans une profonde excitation. Quand je pense au bondage, ce sont avant tout les sensations qui me font fantasmer. Les liens serrés autour de mes poignets, de mes chevilles ou qui enserrent ma poitrine. Je pense à ce que je ressent quand la corde rugueuse frotte contre ma peau nue. Le contrôle que mon Maître exerce sur moi. C'est cela que j'aime dans le bondage : les sensations. J'aime me sentir attachée (j'aime aussi d'ailleurs être enchaînée). J'aime savoir que je ne suis pas libre de partir ou de faire ce que je veux. Je ne me qualifie pas comme une soumise mais je sens bien que la sensation de la contrainte m'excite terriblement. Je suis entièrement à la merci de mon partenaire quand il m'attache et cela me procure un sentiment intense de bien-être. C'est une sensation unique que je ne peux ressent en nulle autres circonstances. Les liens qui me maintiennent captives me donnent l'impression d'être des plus vulnérable et cela ajoute une vraie dose d'excitation quand Il me possède sexuellement. Je sais que mon partenaire peut me faire ce qu'il veut, et cette idée me plaît beaucoup. C'est pour cette raison que je fantasme souvent sur le fait d'être pris au piège des cordes et de ne pas pouvoir m'échapper. Cela me fait mouiller terriblement. Le bondage est une pratique sexuelle (oui, je le considère comme une pratique à part entière) qui me procure beaucoup de plaisir car elle est pour moi basée sur les sensations qui s'emparent de moi quand il m'encorde, quand les noeuds se font et se défont. J'aime tant cette sensation de me liée et à la merci de mon partenaire, car cela ajoute un frisson d'excitation à toutes nos pratiques (qui ne sont pas spécialement SM d'ailleurs). Il y a une charge cérébrale intense dans "mon bondage à moi"... Mon amant n'est pas un grand spécialiste du bondage, et a découvert cette activité en même temps que moi. Un jour, je pense que je m'en remettrai à un maître shibari pour aller un peu plus loin, notamment explorer les sensations des suspensions. Mais cela ne se fera pas tant que je serai en couple, et comme je n'envisage pas un seul instant de le quitter ...
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Par : le 16/08/21
Voici enfin arrivées ces deux semaines en ta compagnie. Depuis le temps que dure notre relation, c’est la première fois que nous allons pouvoir passer autant de temps ensemble. Je m’en délecte d’avance. Même si j’affirme depuis des semaines qu’en cette satanée année, ce ne sont pas de vraies vacances, ce séjour restera spécial quoi qu’il en soit. Signe d’un regain de forme notable doublé d’une certaine motivation, pour ne pas dire d’une motivation certaine, tu me proposes dès le deuxième soir de procéder à quelques essayages de tes dernières trouvailles. Je savais qu’elles existaient sans savoir à quoi elles pouvaient ressembler. Si pour la parure blanche, il faut remettre à plus tard, le temps d’adapter la taille, il en va, en revanche, différemment pour la noire. J’ai l’impression de ne pas encore avoir assez minci pour y rentrer. Pourtant tu as bien raison, le corset sombre avec ses motifs floraux blancs finit par bien s’ajuster sur mon corps de « mannequin ». J’ai de nouveau un doute lorsque tu me tends le string coordonné. C’est vraiment un petit modèle, surtout que ce genre de situation ne me laisse jamais de marbre. Pourtant, là encore, tout finit par se mettre en place. Et cette matière translucide souligne mon anatomie tout en ne dissimulant rien de mes sensations : quel lubrique et impudique nounours je deviens à cet instant précis. Tant qu’à y être, tu me fais chausser les talons avant de me faire prendre diverses positions lascives sous le regard curieux et attentif de ton objectif. La modiste semble ravie de son œuvre. En tout cas l’expression de ton visage l’exprime. Je reconnais, je le suis tout autant par cette mise en bouche. De toute façon, j’aurais peine à affirmer le contraire. C’est aussi l’occasion de me prélasser ainsi légèrement vêtu sur le nouveau drap en vinyle violet : protecteur, rehausseur de couleur, contact spécial. Je sens qu’il ne va avoir que des avantages. Validé malgré cet essai rapide ! Mercredi, le grand jour est arrivé ! Enfin, plutôt un jour spécial, et même deux pour être précis. Tu as organisé une visite pour nous permettre d’expérimenter des choses qui ne seraient pas (ou du moins pas encore) possible dans ton antre. Direction plein ouest, les pins, la chaleur, …, en cette chaude journée pour de nouvelles aventures. Sans surprise, l’accueil qui nous est réservé est des plus chaleureux et nous faisons alors la connaissance de la soumise de notre hôte. Passées les agapes du déjeuner, nous pouvons nous attaquer aux choses sérieuses, ou moins sérieuses (tous les points de vue sont possibles). Galanterie ou pas, il se trouve que ma « collègue » de soumission ouvre le bal sous les assauts des différents fouets de sortie, principalement ceux que tu as apportés. Il ne fait pourtant pas froid. Pourquoi donc vouloir directement faire monter autant la température. J’attends patiemment mon tour en profitant du spectacle et des marques roses et rouges qui commencent à joliment orner son dos et son postérieur. C’est troublant de se retrouver spectateur plutôt qu’acteur. Je suis totalement détendu et décontracté en attendant mon tour. La confiance aide beaucoup même si c’est une double première pour moi, à la fois dans la pratique et dans le fait ne pas être en ta seule présence. Visiblement, ma pudeur des débuts s’est bel et bien envolée. Depuis quelques années, tu as pris goût aux cordes pour mon plus grand plaisir. Oui mais voilà, tu n’avais pas la possibilité de me suspendre. Il faut dire que c’est loin d’être si simple : il faut la technique et un environnement adéquat. D’où l’intérêt de cette visite amicalement encordeuse … et plus. Tout est là : de solides poutres, une barre de suspension spécialement conçue pour cela et l’expertise qui va avec. Pour une première dégustation, nous choisissons tous ensemble de faire simple. Il ne s’agirait pas de tout gâcher en se lançant trop vite dans la difficulté. Ce sera donc tout simplement à l’horizontale sur le dos. Il n’y a, a priori, pas besoin de plus pour goûter à ces aériennes sensations, toutes nouvelles pour moi. Autant le levage au niveau des cuisses et des chevilles ne me gênent pas le moins du monde, autant la première tentative à hauteur du torse me donne une soudaine sensation d’oppression, comme un berceau de bois qui viendrait me broyer. Rapide retour sur une surface stable pour bien repositionner les cordes et l’ascension peut reprendre. Cette fois, je ressens l’inévitable emprise des cordes autour de mon corps, mais plus du tout cette première sensation gênante et désagréable. Grâce à la cagoule qui n’était pas prévue pour cela, j’ai l’impression de me concentrer encore plus sur l’instant présent, d’intérioriser à fond ce moment. Chaque seconde qui passe, la très légère appréhension des tous premiers instants se mue en un agréable instant. Illusion ou pas, j’ai l’impression de me balancer dans le vide. Ce n’est pas encore la sensation d’être un oiseau mais c’est clairement agréable de flotter ainsi, même contraint. De se sentir bercé, presque tout léger. Je ne te remercierai jamais assez de m’avoir permis de goûter à cette nouvelle sensation. Toutes les bonnes choses ont une fin : atterrissage en douceur avant de passer à une suite, cette fois partagée. Pour une fois, les marques sont au rendez-vous : tu ne manques pas l’occasion de les immortaliser. Comme quoi je marque … parfois. On a juste toujours pas l’explication du quand et du pourquoi ;-). Une soumise, un soumis, deux compagnons d’(in)fortune, deux cerveaux dominants, il eut été dommage de ne pas en profiter pour un tableau commun. Chacun avec notre bien légère tenue en vinyle noir, nous nous livrons à leurs cordes et à leur imagination fertile. Dos à dos, main dans la main, nous nous retrouvons partiellement suspendus, en presque parfaite symétrie, chacun faisant le pied de grue … ou de héron ;-). J’avoue que c’est une sensation nouvelle de sentir cette chaleur dans la main, d’entendre ma partenaire de cordes s’inquiéter de mon état. Tout compte fait, ce n’est pas désagréable du tout de partager ce genre de moments, quand bien même la contrainte des cordes reste quelque chose d’individuel. Je confirme aussi que l’humain n’est pas fait pour être un « monopède », pas plus que le nounours d’ailleurs. Il est quand même beaucoup mieux sur ses deux pattes … au moins. Faites vite les photographes, je fatigue ! Histoire de ne pas faire de jaloux, mon tour est venu d’être « réchauffé ». A mon plus grand regret (temporaire), le préchauffage avec ta toute nouvelle langue de dragon ne s’est même pas inscrit dans mon esprit, souvenir probablement submergé par le flot qui a suivi. En revanche, la longue tapette à clous a réussi à ne pas se faire oublier : il faut dire qu’elle a des arguments « percutants », tout à fait adaptés à un postérieur rebondi et avide. A priori, par la suite, il semblerait que j’expérimente surtout les dernières acquisitions de notre hôte. Si la queue de dragon du fouet court se révèle bien impactante lorsqu’elle vient atterrir tantôt sur mes épaules, tantôt sur mon dos ou encore sur mes fesses, le fouet arc-en-ciel me fait plus penser à un lourd flogger. A choisir je prendrais plutôt le « cracheur de flammes » ! Il semblerait que je sois dans un contexte favorable, mon endurance tout comme ma réceptivité se révèlent bien meilleures que la dernière fois, ce qui serait pour te satisfaire. Atmosphère décontractée de vacances ? Changement d’air ? Inconsciente volonté d’être à la hauteur devant nos hôtes pour que tu sois fière de moi? Un peu de tout cela probablement. Du coup, ce moment dure, dure, … s’étire en longueur. A tel point je suis presque surpris par toutes ces chaudes traces rouges et boursouflures sur mon dos lorsque je les découvre en photos. De l’intérieur, je ne soupçonnais pas une telle intensité. Disons que je me laissais aller à l’instant présent et profitais de ces nombreuses morsures, lâchant ici et là quelques grognements de satisfaction. Et dire qu’il est de notoriété publique que je ne me marque pas. A priori, quelque chose a dû changer. Et en bien ! Sinon, vive la cagoule ! Mon oreille gauche sifflerait presque encore de quelques claquements « proches ». La cravache qui t’est proposée n’est pas spécialement stimulante malgré sa tête en coeur, du moins tant que tu t’en tiens à son usage classique. Mais évidemment, tu ne résistes pas à montrer à un de tes « nombreux » petits plaisirs : la version ventilateur d’extrême proximité sur mon intimité avec un modèle plus standard. Impossible d’encaisser sans réagir, malgré les spectateurs : je ne peux pas faire autrement que me tortiller et couiner. Voici qui conclut à merveille cette première journée. Que demander de plus ? Des personnes sympathiques, un esprit décontracté. Il n’en faut pas plus pour que tout le monde s’amuse. Le petit-déjeuner est propice à phosphorer, bien évidemment pour produire des idées sadico-perverses. Pauvre soumise, c’est elle qui va pâtir de ces deux imaginaires démoniaques. Pour ma part, je suis simplement mis à contribution pour les préparatifs. Si seulement le barbecue n’était pas resté tout près de la terrasse… Il n’en fallait pas plus à nos deux esprits encordeurs pour envisager de la mettre à la broche au-dessus du grill. Je reconnais que le résultat final est plutôt visuellement réussi : je sais, c’est facile à dire quand on voit cela d’un œil extérieur et distant. Il était évident que je finirais par être mis à contribution. Ou plutôt que je finirais par être le centre des attentions. Il faut dire qu’un jardin tranquille et suffisamment dégagé se prête parfaitement à ce que tu espérais depuis longtemps déjà. Difficile d’exploiter tes plus longs fouets dans la quiétude protectrice et rassurante de ton antre. Quant à moi, je reconnais que le pépiement des petits oiseaux et la douce caresse sur ma peau des quelques souffles d’air matinaux offrent un environnement des plus emballants, déjà qu’il ne m’en fallait pas beaucoup pour être motivé par le programme esquissé. Simplement paré de ma cagoule en cuir, encore plus indispensable en ce jour, je me positionne au milieu de la pelouse, les orteils dans l’herbe. A partir de là, je suis bien incapable de dire ce qui se passe vraiment autour de moi. La seule certitude, c’est que je suis assailli de diverses manières : une langue de cuir vient me claquer régulièrement dans le dos, un bien long brin de cuir vient régulièrement enserrer mon torse … il y a même un fouet qui ose venir passer par-dessus mon épaule pour venir s’acharner sur ma main. Le fouet arc-en-ciel semble appliqué de manière légèrement différente : un ou deux brins viennent claquer avec un léger retard. Ca claque, ça mord, ça cingle, ça virevolte, mon esprit s’envole et se délecte … Pour autant, comme hier, je me sens particulièrement réceptif, et je me laisse bercer par cette vivifiante fouettée extérieure. J’ai l’impression qu’il y a un passage de relais dans mon dos. Les cibles visées et la façon d’impacter sont différentes, peut-être moins variées. Il faut dire que tu es plutôt du genre à ne pas faire de jalouses entre les diverses parties de mon corps. Ce que je n’aurais pas soupçonné, certainement plongé dans mes sensations, c’est que vous vous êtes mis à quatre mains pour vous occuper de moi pendant quelques minutes. Limite inattentif le nounours ! Il faut dire qu’à ce moment-là je suis plus dans l’intensité des impacts que sur leur fréquence. Effet chauffant efficace après de longues minutes offert à vos tourments respectifs, je suis en nage, mais ravi de l’être... La pause est la bienvenue, sous une bonne douche régénérante. Visiblement tout le monde en a bien profité, Maitresse comme moi.
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Par : le 29/07/21
Au delà des aspects esthétique et de douleur, le bondage est un bon moyen d'imprimer des sensation, des sentiments en s'appuyant sur un code kinésique naturelle. En effet, chaque posture renvoie à un type de sensation. Je vous propose d'en voir quelque uns. 1- Le rabattement On peut attacher quelqu'un pour qu'il soit plié ou courbé vers ses jambes par devant ou bien courbé vers l'arrière. a- Attaché rabattu vers l'arrière Cela impose de s'offrir sans pouvoir résister, cette posture donne un fort sentiment de vulnérabilité b- Attaché rabattu vers l'avant Cette posture a un coté rabaissant, c'est un bon moyen de punir ou de donner un sentiment d'inferiorité 2- Les mains Attacher les mains donne un grand sentiment de réduction à la passivité, une personne qui a les mains attaché ne pense plus à agir. a- Les mains attachés devant Cette position donne le sentiment d'être là pour suivre, pour se laisser guider b- Les mains attachés derrière On revient à un sentiment de vulnérabilité, on ne peut plus se defendre 3- Les jambes Quand on attache les jambe d'une personne, elle perd sa mobilité, cela l'infantilise énormément. A- devant ou derrière? a- Les jambes attachés devant Quand les jambes sont attachés devant, on peut les regarder, on se contemple soit même, cela donne un genre d'introspection. b- Les jambes attachés derrière Cela donne un sentiment de déséquilibre, de peur et de perte de contrôle, rien de telle pour stresser. B-jointes ou écartés a- Les jambes attachés jointes lorsque les jambes sont attachés jointes, la neutralisation est plus forte mais c'est aussi plus sécurisant b- Les jambes attachés écartés cela est plus anxiogene 4- Publique ou privé a- publique En publique, la notion de statu s'exprime automatiquement. Quand on attache une personne en publique et que tout le monde la regarde, elle peut avoir le sentiment de ne plus être au même niveau que les autres mais une sorte d'animale en dessous. Le sentiment qui en résulte est à la foi un sentiment de solitude (à moins que d'autres soit attachés en même temps) et de libération. b- privé En privé, c'est la confiance qui prime. Une personne que l'on attache en privé est obligé de donner sa confiance. 5- Matière du lien a- Foulard Il a un coté festif et amusant b- cordes La corde peut presque être perçu comme une partie de son propre corps quand elle reste suffisamment longtemps c- métal Il a un coté tragique, il est froid et absolut. Il fait peur car il est impitoyable. 6- La privation sensoriel a- les yeux Bander les yeux de quelqu'un et l'obliger a avancer l'oblige beaucoup à la confiance et le place en position d'hypervulnérabilité. b- les oreilles Si la personne ne peut plus entendre, elle se sent isolé comme si elle était dans une sorte de rève. c- le nez On en a tous fait l’expérience avec le masque, tout semble avoir moins de goux, tout semble plus terne sans ordeurs. 8- L'obstruction des orifices a- le baillon La personne ballonné ne peut plus parler, c'est bizard de voir a quel point ce bondage est inacceptable pour l'esprit. Une personne ballonné cherchera toujours a s'exprimer. Bref, je ne comprend pas trop... b- l'anus L'anus bouché, c'est un sentiment de fragilité et de proximité 9- La respiration a- au début Au début, bloquer la respiration envoi un signale fort. C'est plus le moment de rigoler. C'est une façon très brutale d'imposer le sérieux et le calme. b- à la fin, c'est de l'anxiété et de la terreur (à moins d'avoir affaire a quelqu'un de suicidaire ou qui n'aime plus la vie) 10- La durée a- Longue durée Le bondage longue durée est méditatif, on peut y perdre la notion du temps. Il peut aussi être très inconfortable et supplicié b- courte durée un bondage trop cour n'a pas le temps d'exprimer tout ses effets, on aura d'avantage la sensation qui accompagne le passage d'un état libre à un état restreint une foi encore, la présence d'un publique combiné à la durée ont un fort pouvoir d'amplification.
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