La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 07/06/24
Une Nuit Inoubliable : Une Soirée BDSM dans une Église Abandonnée L'obscurité s'était installée lorsque nous avons pénétré dans les vestiges de cette église abandonnée. L'air était chargé de mystère et d'anticipation, l'endroit parfait pour une soirée BDSM d'une intensité rare. Nous étions cinq : deux dominants et trois soumis, prêts à transformer cette nuit en une expérience inoubliable. Le Choix du Lieu L'idée d'organiser une telle soirée dans une église abandonnée pouvait paraître sacrilège pour certains, mais pour nous, c'était l'ultime provocation, l'ultime liberté. L'atmosphère gothique de l'endroit, ses vitraux cassés et ses bancs poussiéreux, créaient une scène presque théâtrale. Les ombres dansaient sous la lumière des bougies, donnant à notre réunion des allures de rituel satanique. Le Périple pour Arriver Le voyage pour atteindre l'église s'est révélé être une aventure en soi. Située dans une région isolée, l'accès n'était pas simple. Nous avons dû emprunter des chemins de terre tortueux et mal entretenus, ce qui a ajouté une dimension supplémentaire d'excitation et de défi à notre soirée. Chaque embûche rencontrée sur la route renforçait notre détermination à parvenir à destination. Les voitures chargées d'équipements, de costumes et de participants ont lentement progressé dans l'obscurité, les phares perçant à peine l'épaisse végétation environnante. Lorsque nous sommes enfin arrivés, le soulagement et l'anticipation se mêlaient, marquant le début d'une nuit mémorable. Un Rituel de Soumission La soirée a débuté par un cérémonial de soumission. Chaque soumis a été conduit à l'autel, où il devait s'agenouiller et prêter serment d'obéissance. Les paroles résonnaient dans l'espace vide, amplifiées par l'acoustique de l'église. L'énergie qui circulait entre nous était presque palpable, une connexion profonde et intense. Les Jeux de Pouvoir Les dominants ont pris leur rôle à cœur, explorant les limites de chaque soumis avec une précision et une attention aux détails fascinantes. Les murmures de douleur et de plaisir se mélangeaient, créant une symphonie unique. Chaque acte, chaque geste était imprégné de respect mutuel et de consentement, fondement essentiel de notre communauté. Le Dépassement de Soi Parmi les soumis, l'un d'eux, Alex, a vécu une expérience de dépassement de soi particulièrement marquante. Alex, habituellement réservé et prudente, a choisi cette nuit pour explorer ses limites plus profondément que jamais. Sous la supervision attentive d'un dominant, Alex a accepté des défis qu'elle n'aurait jamais envisagés auparavant. L'un des moments les plus intenses a été lorsqu'elle a été attaché aux colonnes de l'église, ses bras étendus, et soumis à un jeu de sensations extrêmes. La douleur se mêlait au plaisir dans une danse envoûtante, chaque coup de fouet devenant un pas de plus vers une libération intérieure. Malgré la douleur, Alex a trouvé une force nouvelle en elle, découvrant une capacité de résistance et de résilience qu'elle ignorait posséder. Ce moment de vulnérabilité extrême a transformé Alex, lui permettant de se reconnecter avec elle-même d'une manière profondément authentique. L'émotion était palpable lorsqu'elle a exprimé sa gratitude et sa reconnaissance, les larmes aux yeux, marquant ce moment comme un tournant majeur dans sa vie. Un Rituel de Libération Au fur et à mesure que la nuit avançait, nous avons atteint un état de transe collective. Les limites du physique et du mental étaient repoussées, et nous nous sommes trouvés dans un état de libération totale. La soumission et la domination n'étaient plus que des concepts, remplacés par une pure expression de soi. Une Expérience Transformative Lorsque l'aube a commencé à poindre, nous étions tous transformés par cette expérience. L'église, témoin silencieux de notre soirée, semblait imprégnée de notre énergie. Nous avons quitté les lieux, laissant derrière nous un espace marqué par des souvenirs indélébiles. Cette soirée BDSM dans une église abandonnée restera gravée dans nos mémoires comme un moment de pure connexion, de dépassement des limites, et de liberté absolue. Ce fut, sans aucun doute, une nuit où nous avons touché l'essence même de notre être, dans un cadre à la fois sacré et profane.
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Par : le 23/05/24
J’ai envie de les voir Les yeux noirs Noirs de jais Je les imagine, les savoure à l’avance Le moment où je vais sentir ce regard qui devient plus profond Plus présent, plus intense Disparu le petit air amusé Envolé le sourire Cette lave liquide Ces deux lacs, puits sans fond Qui peuvent ordonner, me faire plier Me frustrer ….. et recommencer Ces deux lacs qui me regardent Sans rien me dire Juste me regarder Sur le grill Comme ils savent faire Laidy Sienne, tous droits réservés – Ne pas reproduire sans mon autorisation
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Par : le 12/05/24
Sur les plateformes de dédiées à la rencontre comme Tinder ou partiellement dédiées à la rencontre comme notre site BDSM.FR, tout à chacun a pu constater le déséquilibre marqué entre le nombre de femmes et le nombre d'hommes. Ce déséquilibre impacte lourdement l'expérience des utilisateurs, hommes comme femmes.. Ce problème n'est donc pas cantonné à Tinder, mais c'est un symptôme généralisé sur toutes les plateformes de rencontres. Certains nouveaux membres de BDSM.FR s'en plaignent de manière assez critique et voir de manière acerbe comme si nous étions responsables et coupables de la disparité de nombre entre les femmes et les hommes sur le site (il n'y a pas une semaine sans qu'on se fasse littéralement insulter par le biais du formulaire de désincription). Dans le cas de Tinder, Nicolas Kayser-Bril et Judith Duportail ont effectué un test, il y a quelques années, et le résultat de l'expérience est à peine surprenant et en tout cas très significatif. L'expérience de Judith et Nicolas sur Tinder A des fins expérimentales les deux enquêteurs ont voulu voir "ce que ca faisait" d'être du sexe opposé sur l'application phare de la rencontre en ligne, Nicolas, s'est ainsi créé un profil féminin sur Tinder, et a rapidement dû fermer son compte, véritablement submergé par les sollicitations tournant parfois assez vite à l'agressivité. Judith, quant à elle, a constaté un manque de sollicitation sur son profil masculin, à l'inverse de ses expériences habituelles sur Tinder ou elle avait du succès, mettant en lumière que l'expérience entre un homme et une femme est radicalement différente en fonction du sexe. En effet, selon leurs recherches, le taux de match est de 50 % pour les femmes contre seulement 2 % pour les hommes sur Tinder. Causes et conséquences de cet état de fait Sur-sollicitation des femmes : les femmes sur les plateformes de rencontre sont souvent sursollicitées à un point tel qu'elles peuvent se sentir harcelées. Ce phénomène n'est pas seulement inconfortable; il peut conduire à jusqu'à des sitations réelles de cyberharcèlement. Frustration des hommes : les hommes, confrontés à un faible taux de réponse, peuvent ressentir une grande frustration. Cette situation est exacerbée par le modèle économique de Tinder, qui encourage les hommes à acheter des fonctionnalités supplémentaires pour augmenter leur visibilité, sans pour autant que les résultats soient à la hauteur des espérences que la monétisation fait naître. Conséquences : les femmes deviennent plus sélectives n'ayant que l'embarras du choix et voulant s'épargner les plus "collants" des hommes, et en arrivent juger de manière expériditive les dizaines (voire centaines) de solicitations qu'elles recoivent, tandis que les hommes peuvent se sentir floués et devenir agressifs face aux échecs répétés au quotidien (en ayant pourtant parfois bourses déliées). Et BDSM.FR dans tout ça ? BDSM.FR, comme tous les sites permettant l'interaction homme/femme et le contexte "Rencontre" pour bon nombre d'utilisateurs/utilisatrices, nous avions consience de cette problématique dès la création du site en 2012 et avons fait dès la genese ce que nous pouvions pour "soulager" les dames, tout en restant gratuit pour les hommes. Ce système repose depuis 2012 sur une prise de contact (demande d'ami) avant de pouvoir échanger, et sur un volontairement bridé (court) message introductif, pour que les dames est assez vite des éléments pour se faire une première impression sur leur correspondant (ne serait-ce pour voir les hommes qui font l'effort de personnaliser leur demande en quelques mots). Voici ainsi comment nous abordons la situation depuis 2012 (putain, 12 ans !): Gratuité, non discrimination par l'argent : BDSM.FR est un site entièrement gratuit qui ne repose pas sur un modèle économique poussant à l'achat de visibilité ou d'avantages supplémentaires. Chaque utilisateur, indépendamment de son genre, a les mêmes chances de réussite à partir de ses qualités intrinsèques (plutôt qu'à partir de son compte en banque), sans coût supplémentaire. Respect et sécurité : nous avons mis en place des mesures strictes pour éviter le harcèlement et assurer un environnement le plus sûr possible pour tous nos utilisateurs et surtout utilisatrices. Nous nous efforçons au quotidien, d'écarter les malfaisant(e) le plus rapidement possible, les fondateurs sont en cela bien aider par une équipe de modérateurs bénévoles, que nous ne remercieront jamais assez. Favoriser le dialogue et la convivialité : en offrant des espaces publics pour que les utilisateurs et les utilisatrices puissent se "vivre" pour se découvrir sans nécessairement encore avoir "matché" (demande d'amitié aboutie, sur BDSM.FR), nous encourageons une communauté basée sur le respect mutuel et l'ouverture. BDSM.FR se veut bien plus qu'une plateforme de rencontre; mais à l'ambition d'être un espace où les individus peuvent discuter, apprendre et explorer en toute sécurité et sans engagement. L'expérience de Tinder des deux journalistes montre clairement les limites et les défis des plateformes de rencontre traditionnelles. Sur BDSM.FR, nous nous efforçons de créer une alternative à la disparité homme/femme en nous efforçant à ce que chacun puisse se sentir valorisé et respecté. Nous invitons nos utilisateurs à contribuer à cette communauté, tout en profitant d'une expérience si possible la plus positive et la plus équilibrée, en espérant que certains puissent se rencontrer, s'il le souhaite, dans de bonnes conditions. Voir l'article sur Huffing Post A découvrir, le livre "L'Amour sous algorithme" de Judith Duportail Judith Duportail, est une journaliste qui, suite à une rupture amoureuse, décide de s'inscrire sur Tinder pour se distraire et reprendre confiance en elle. Alors qu'elle se laisse emporter par la frénésie de l'application, échangeant des textos avec une multitude d'hommes et profitant de l'attention qu'ils lui portent, elle découvre par hasard que Tinder utilise secrètement des données personnelles pour attribuer une note de « désirabilité » à ses utilisateurs. Cette révélation la choque profondément, car cela signifie que l'application manipule les rencontres en classant ses membres sans leur consentement. À travers son récit autobiographique, Judith partage non seulement les détails de son enquête, mais aussi ses expériences personnelles et émotionnelles, illustrant les impacts psychologiques des mécanismes de l'application de rencontres. Le livre offre ainsi une perspective unique sur la manière dont les technologies de rencontre influencent la séduction et les relations amoureuses, tout en mettant en lumière les enjeux de pouvoir et de domination, particulièrement en ce qui concerne la place des femmes dans ces dynamiques. Acheter ce livre
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Par : le 07/04/24
. Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle : À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question : Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ? Je suis jeune. Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts. M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien. J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger. Je suis des études. Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape". Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion. À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi. J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser.. Ce mec / cette meuf est trop beau / belle ! J'ai juste envie de m'éclater et de voyager. Je suis jeune. D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française (Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE). Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes.. Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ? La réponse est non. Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême. L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses. Cependant.. Il existe un petit pourcentage..   Je suis moins jeune que j'en ai l'air. - Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là. - J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale. - J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique. - J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents. - J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer ! - J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans. Je suis moins jeune que j'en ai l'air. À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains. Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement. Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité. Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins. Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter. Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM". Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau. Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail. Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte. Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose.. Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" : - Être Dominant. - Ne pas être Dominant. Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle". Plusieurs états d'esprits en résultent : Je ne suis pas dominant. - Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin. - Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là ! - Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante. - "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller. - "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ??? - "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda) - "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?" Je ne suis pas dominant.   Je suis Dominant. - Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance. - Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres. - "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter." - "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?" - "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?" - "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM." - "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner." Je suis Dominant.   Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge. Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez. Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences. Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM. Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence". Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas). En conclusion : La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..) Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent. Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux. Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ? La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ? Allez savoir.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître ! https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.  
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Par : le 31/03/24
L’une des pires choses qu’un être humain puisse faire, selon moi, c’est de se comparer à un autre être humain.   Mais…   Mais il y a des fois où cette petite voie, insidieuse, vient distiller son venin dans les limbes de ma conscience. Surtout concernant ma « place » dans le milieu BDSM ainsi que mon « étiquette ».   Une amie m’as dit : Souvent les femmes se mettent dans un rôle de soumise et les hommes dans celui de Dominant alors qu’en les regardants ou en les côtoyants un peu, on se rend compte que le « casting » n’est pas bon ! Tout ça pour coller au standard que la société nous inculque.   Se faisant, et malgré le fait que je ne me sente pleinement épanouis qu’en ayant un Dominant, je me repose quand même la question ..   Oui j’ai un caractère bien tremper, J’adore taquiner, provoquer.. Une Brat dans toute sa splendeur, Le filtre entre mon cerveau et ma bouche n’a pas bien été calibré non plus, se qui donne une franchise pas toujours bienvenue… ! Et (parce qu’on me le dit assez) que j’ai une sacrée énergie pas forcément facile ni à gérer, ni à appréhender.   Et quelques personnes m'ont dit que je serais une bonne Domina... Problèmes : je n'en ressent ni l'envie ni le besoin ...   Donc avec tout ça, je me demande souvent (très, très, très souvent), si la personne avec qui j’ai fait une session a aimé le moment partagé. Parce que pour moi, le plaisir de l’autre dans le partage de ces moments est une question primordiale.   Si il (quelque fois elle mais le plus souvent c’est il ^^) n’ai pas frustré et/ou agacé par mon comportement. Si je suis pour lui une « bonne soumise » ou un « bon modèle », Si je ne l’ai pas déçus en étant assez "endurante" (dans les cordes ou dans mon masochisme), Si je n’ai pas fait quelque chose de déplacé, Si j’ai été assez ceci ou assez cela. Si je n'ai pas pousser le bouchon un peu trop loin (n'es ce pas Maurice!)   Bref un peut ce syndrome (tout vilain et pas sympa) de l’imposteur qui te dis « non mais tu n’as pas ta place ici, regarde toi » !   Une autre voie se fait aussi entendre : une petite voie qui me dit que si les gens pratique avec moi (et aime pratiquer avec moi) c’est justement parce que je suis moi. Entre attachiante et adulescente !   C’est toujours cette ambivalence entre le "moi" fait de feu et le "moi" qui s’épanouis sous le contrôle de quelqu’un qui se livrent bataille.. Et ce sont ces mêmes facettes, en symbiose bancale, qui font que je doute.
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Par : le 17/03/24
. Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler. Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts. Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal. Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage. Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin. À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité. Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices. Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour. Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps. -- Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués. Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter. Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps. Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet. Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot. À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents. Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre. Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes. D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé. -- Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe. Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir. L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes. Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille. Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids. Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander. Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité. Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie. Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû. Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient. Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant. Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse. Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !" Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail. D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi. -- Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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Par : le 20/02/24
Je ne sais pas si c’est un questionnement, un débat ou juste ma perception des choses que je met là mais après une conversation avec une certaine personne je vous pose ces réflexions ici. Notre conversation nous à emmener sur les sujets tels que l’emprise dans une relation D/s, le « pouvoir » que détenais le ou la soumise, les limites et la sexualisation dans certaines pratiques plus que d’autres. Je m’explique : Pour moi, il y a déjà la base à savoir qu’une relation D/s est consensuelle. C’est un accord entre deux parties dans laquelle l’une des partie cède le contrôle à l’autre. C’est une relation consensuelle ET hiérarchisé sur la base d’accord écrit ou verbaux passé entre deux personnes. Sans accords de l’un ou de l’autre : pas de pratique. L'interrogation qui viens naturellement après ça est tout simplement « Puisque c’est généralement le/la soumise qui pose les limites, au final, n’es ce pas elle/lui qui détiens tout le pouvoir dans cette relation ? » Et là, comme j’ai répondu lors de notre échange, c’est une question délicate. Certains vont crier au souminateur(trice) si je répond oui. Mais franchement, pour moi, c’est bien le cas. Et je n’ai pas l’impression de dominer quand je dit « non » ou « stop » à un Dominant. C’est parce que je suis consentante que l’échange de « jeu » est possible. Sans cela, c’est une agression, point. Et le pire des affronts ce sont les « dominants » (et je ne mettrais pas de majuscule dans ce cas là!), qui, sous couvert du « bien-être » et de « l’éducation » de leurs soumis(e) vont faire fît de ces limites ! En tant que Dominant, vous avez la responsabilité du bien être physique et mentale de votre soumise (que se soit en session ou autre : 24/7) ! C’est pour ça que ce type de relation n’est pour moi, vraiment mais vraiment pas à prendre à la légère ! C’est un engagement personnel envers quelqu’un, où la limite entre relation saine et emprise destructrice peut être ultra fine et qu’il se faille d’un rien pour passer dans quelque chose de malsain. Évidemment, il faut être en accord avec sois même, être le plus équilibré possible mentalement. Savoir ces faiblesses et, en fin de compte, simplement : se connaître. J’ai remarqué que les gens avaient peur de se retrouver/confronter face à eux même… Mais sans ce travail là comment pouvez vous mettre le moindre curseur « d’acceptable ou non » sur quoi que se sois dans votre vie ? Dans le BDSM cela se traduit par « es se que se que je vie est en accord avec mes principes ? Cela me porte t-il préjudice mentalement, physiquement ou émotionnellement ? Dans ma vision d’une bonne relation D/s, le Dominant est là pour « révéler » le/la soumise. Pour l’amener à se découvrir, à faire confiance et à céder le contrôle au Dominant (n’es ce pas ça qui vous fait vibrer ? Le pouvoir et le contrôle que vous exercer sur votre soumis(e) ?) Ce qui me fait peur c’est certains postes (et je ne citerais personne) que je peut lire où le/la sub est du « côté obscure de la force ». Il/elle c’est perdue, annihilé par cette relation qui est devenue écrasante que son/sa Dom n’a pas su gérer. C’est ça le secret : donner sans s’oublier. Céder sans que l’on devienne une coquille vide, avide de la remplir avec tout ce que l’autre donne. Parce que quand on est plus capable de remplir sa coupe (émotionnel, d’égo etc..) sois même on deviens dépendant. Et aucune drogue n’est jamais bonne à court ou long terme. La suite plus tard !
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Par : le 10/02/24
-Bravo Général Valeri, la mise sous contrôle de Donald est une totale réussite.  -une opération très amusante. Et qui pourra servir de modèle, camarade Président.  -elle m'a beaucoup fait rire, il est vrai. C'est toujours un plaisir de travailler avec vous.  L'opération "une chatte pour Donald" à pris du temps. Comment sélectionner une bonne espionne? D'abord, il faut une fidélité et loyauté à toute épreuve. Rien de mieux qu un conditionnement extrême sur mode bdsm. Au bout de quelque mois, l'espionne n'obéira plus qu'à son Maître qui pourra tout lui demander. Ce n'est toutefois pas le plus important. Ce qui compte c'est de réussir et donc d'alpaguer si fort la cible qu'elle passera sous contrôle.  Donald s'est vanté de choper les femmes par la chatte. Valeri a donc fait en sorte de lui en fournir une qui le rende fou. Comment savoir si une femme est vraiment bandante. Ce n'est pas nécessaire qu'elle soit sublimement belle, non, c'est autre chose. Valeri, en bon militaire a voulu tester. Il a sélectionné des hommes de la façon la plus variée possible et les à mis par groupes de douze, nus, dans une pièce, avec une grande baie vitrée et une glace spéciale pour qu'ils puissent voir sans être vus. Interdiction de se toucher le sexe. Les filles devaient attendre une par une, une dizaine de minute, dans la pièce en face, avec une simple chaise pour s'assoir et rien d'autre  et vêtues comme elles avaient l'habitude de l'être dans la vie courante.  Aux hommes de choisir. Pour chaque fille un numero et un vote de zéro à dix. Cela n'était en fait qu'une sorte de leure ou de mise en condition. Les hommes nus étaient observés sans qu'ils le sachent, et plus. Les votes n'avaient de fait aucune importance. La seule chose prise en compte était le désir réel. Ne fait pas bander qui veut. Et c'est de la sorte que la milice privé Stalin recruta ses meilleures espionnes pour ces missions très spéciales reposant sur le sexe. Laura fut vite repérée comme la championne toute catégorie. Sa seule présence faisait lever les bites comme des régiments levent les baillonettes. Aucun raison, aucune explication. Laura fait bander un homme par sa seule présence et ensuite par le souvenir.  Des que Donald a vu Laura, il a voulu la chopper par la chatte et pas que.  Il en est devenu raide dingue.  Et donc, fini les aides à l'Ukraine, fini les ambiguïtés. Pour avoir sa drogue quotidienne, une bonne baise avec Laura, il a du obéir.  En conclusion  la bite est elle le véritable cerveau de l'homme ? 
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Par : le 31/01/24
Attention, ceci n'est pas pour les personnes qui sont émotionnellement fragiles, ceci parle d'une relation que j'ai eu avec un dominant en fin 2022, avec des choses pouvant parler de suicide ou meme des descriptions de crises d'angoisse. A vos risques et périls. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 30/10/22 Je ne sais pas trop ce que se passe, enfin si mais peut être que je ne veux pas me l'avouer, je me lance sur la fin de ma relation avec Maître K. Beaucoup trop de choses ne vont pas, le manque de communication est très présent, j'ai vraiment l'impression d'avoir créé plus de liens avec L qu'avec Maître, et du coup la voir dans cet état a cause de lui me fait beaucoup de mal... Le manque de soumission est assez présent, il n'y a pas vraiment de contraintes, il n'en donne que quand il est triste ou en colère. A vrai dire j'ai pas spécialement l'impression de compter pour lui, et pourtant j'ai fait ma demande, peut être ai-je trop écouté mes manques ? J'ai été bien quand même parfois, mais finallement ces moments sont très rares et ils sont tout de suite mangé par une sorte de remords. On est 4 soumises, L et A sont là depuis longtemps et avec F nous on est arrivées il y a pas longtemps, et j'ai l'impression que c'est un peu du remplacement, mettre les anciennes de côté pour laisser la place aux nouvelles, j'ai pas l'impression d'être mise au même niveau que L, loin de la même et cela me dérange beaucoup. Les soumises appartenant au même Maître, peu importe le nombre, doivent avoir le même temps qui leur est offert par leur Maître, le même taux affectif ect... Enfin bref, elles doivent être au même niveau. C'est sur que nous avons des pensées, des corps, des pratiques, des manieres de faire différentes mais cela ne justifie en rien ces différences dans notre soumission, même si nous avons toutes les quatres le même problème, la communication avec Maître.  Peut être lui faudra-t-il un déclic, car a ce qui parrait, il n'était pas comme cela avant, je ne le connais que depuis un mois a vrai dire. C'est peut être court pour se faire une idée de la relation mais je me sent mal, très mal. Peut être suis-je trop empathique, mais avoir vu L fondre en larme car elle ne se sent plus considérée par Maître ma choquée et ma attristée énormément. Elle a vécu beaucoup de choses, beaucoup de choses très lourde, elle est restée pendant tout ce temps et c'est ainsi que ça finirai ?... Elle s'est retrouvée a boire pour essayer de faire passer la pilule, j'ai préféré prendre ma progestérone plus tôt et me shooter plutôt que de rester ainsi... Ça m'a rendue assez shootée pour me mettre à rire de n'importe quoi au bout d'une heure, j'étais a moitié la, je me sentais vaciller quand j'étais debout, j'arrivais à peine a penser. Mais ça a fait passer un certain type de soirée, avec L bourrée, A éméchée et moi shootée. On est restés à discuter dans la chambre avec F pendant que Maître était concentré sur la télé comme a son habitude, L riais pour rien, a peine elle lit un prout qu'elle est morte de rire pendant bien dix minutes, et je ris avec elle. La soirée se termine autour de minuit, lorsque Maître fini sa série, tout le monde part se coucher mais on oublie de se faire le bisou, on était trop a l'ouest sur le moment, je le dit a Maître et il me réponds :"On ne réclame pas". Du coup pas de bisou pour moi... C'est un coup de poignard en plein cœur, avec tout ce qu'il s'est passé, je n'ai même pas eu le droit au bisou... Tout autour de moi s'effondre, ma sécurité, ma carapace d'émotions que j'avais mise en place et que j'avais retiré grâce à la progestérone, n'a pas pu me protéger de cela. Tout ce que j'encaisse depuis des semaines, tout les doutes, les questions que je me posais sur ce que je fais la remontent, me rongent, mais je ne peux pas encore me permettre de craquer, je suis juste à côté de lui dans le lit. Les pensées fusent dans ma tête et le temps passe lentement, j'attends une dizaine de minutes sans trop bouger puis je me lève, je prends le plaid, puis je pars dans le salon. Je m'asseois j'essaie de me calmer de remettre ma carapace en place mais je craque, encore plus que d'habitude. Quelqu'un part dans les toilettes donc je reste silencieuse et j'attends qu'elle ai terminé pour fermer la porte. C'est a ce moment là où je m'effondre par terre, je me retrouve comme paralysées sur le sol du salon, a pleurer silencieusement pour ne réveiller personne. Mais il y en a deux qui viennent, elles ont entendu quelqu'un aller dans le salon et sont venus voir, L et A me voient dans cette position, cette position que je n'ai pas eu depuis mes 18 ans. J'essaie de leur faire croire que tout vas bien, qu'elles peuvent aller se coucher mais ça ne marche pas, elles se mettent au deux extrémités puis je fonds a nouveau en larmes d'une manière plus puissante qu'habituellement. On discute, de ce qu'il s'est passé, de ce qui passera. Cela dure une bonne vingtaine de minutes plus ou moins car je ne voulais pas retourner dans le lit, mais elles voulaient que j'y aille, je ne sais pourquoi... J'y ai passé une très mauvaise nuit, a m'endormir entre deux larmes qui coulent. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 08/11/2022 Le BDSM a toujours été tout pour moi, je n'ai d'yeux que pour mon Maître ou ma Maîtresse, tout ce que je fais tourne autour de lui ou elle, c'est pour lui faire plaisir, le/la rendre heureuse ou fière. Avec cela, mon côté hypersensible et hyperempathique qui ressort, ce n'est pas top, car je passe d'un extrême à l'autre, d'un côté des chocs forts de dopamine des le moindre geste ou le moindre mots, de l'autre des états dépressifs forts et des questions sur le fait de rester en vie, les larmes montent facilement autant dans la joie que dans la tristesse... Pendant un long, long moment j'ai caché cela, mais depuis que j'appartiens a Maître K, tout est différent. Je n'arrive plus à me cacher,  a me renfermer sur moi même, ou lorsque j'y arrive ne serais-ce qu'un peu, c'est déjà trop tard. J'avais réussi à contrôler mes émotions depuis quatre ans maintenant mais du coup tout ressurgit... Quelque part, je sais que je ne serais jamais heureuse, c'est ainsi, c'est comme ça, je suis née ainsi. Je suis trop dans les extrêmes, je suis trop fragile, trop dépendante pour. Mais du coup je fais tout pour rendre les personnes que j'aime heureuses mais ça ne fonctionne pas non plus, donc parfois je me demande a quoi bon. Je sais que je ne ferais rien d'important dans ma vie, et si en plus je n'arrive pas a remplir mon objectif de vie, a quoi bon vivre finalement ? Mais si je ne me suis jamais suicidé, depuis que j'ai commencé à avoir ce genre de pensées il y a quatre ans, c'est car j'ai peur, j'ai peur que ça me fasse mal, et j'ai peur que ca fasse aussi mal aux autres. Donc je ne le fais pas... Je suis restée une enfant au fond de moi, voire même un bébé... Cela m'a choquée moi même mes comportement avec Maître, L et A, je m'attendais pas du tout a cela. C'est un peu instinctif a vrai dire, et je m'y sent bien, même si j'ai énormément peur de demander certaines choses telles que des câlins ou des bisous... J'ai toujours peur de les déranger, peur de toujours demander trop, peur de trop vouloir, peur de moi même également, je ne veux pas devenir celle qui veux tout, tout le temps. Je suis une soumise, je souhaite, je laisse Maître vouloir et décider. Je n'aurais jamais pensé en arriver là finallement, j'appartiens a quelqu'un qui fume, et j'ai deux soeurs de soumission, deux choses que je considérais comme rédhibitoires chez la personne que je convoitait, mais finalement avoir des soeurs de soumission, enfin celles que j'ai, c'est vraiment génial, elles sont extrêmement bienveillantes, toujours là quand il faut, et même la quand il faut pas... Mais grâce à elle, je peux me libérer de certaines choses, des choses que j'aurais énormément de mal a dire a Maître, comme mes envies suicidaires... Mais il faut que je les laisses elles aussi gérer leurs soucis a présent, et que j'aille voir Maître, car c'est a lui que je suis soumise, et c'est a lui que je dois dire ce genre de choses. Finallement, je ne sais pas vraiment si j'ai plus peur de moi même, car je ne sais pas jusque ou je peux aller dans ma soumission, dans l'abnegation, ou si j'ai peur que la personne a qui j'offre tout cela, l'utilise pour me détruire encore plus que maintenant. Je ne sais pas...  --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 12/11/22 Finallement, les choses ne se passent toujours pas bien, je me suis remise à pleurer cette nuit car en quelque sorte, je détruit la relation entre L et Maître et A et Maître. Ce n'est pas ce que je voulais, je pensais que ça se passait bien que la relation était a quatre, mais Maître n'arrive a s'occuper que d'une soumise a la fois et a chaque fois, c'est la nouvelle. Pour le moment c'est moi car c'est moi la dernière arrivée, mais je sais que dans quelque mois cela changera et je ne serais soumise qu'à un fantôme, comme ça se passe avec L et A, qui sont là pour leur faire les courses, la cuisine et le ménage et c'est tout. Cela ne me donne pas envie, pour apprendre deux trois choses au début c'est cool, mais par la suite cela deviens très rapidement ennuyant et frustrant dans le mauvais sens, les manques remontent rapidement et certains sont déjà présents, j'ai besoin d'être soumise, j'ai besoin d'être une petite chienne pour mon Maître ou ma Maîtresse... Cette situation ne pourras pas durer des mois... --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Peu apres, j'ai pris mon courage a deux mains et j'ai récupéré les quelques affaires et j'ai posé les clés. Je suis repartie de mon coté et j'ai préféré couper court avec eux, meme si c'était tres tres difficile. J'ai découvert des choses assez bizarres a propos de K. C'était vraiment tres difficile, je me sentais inutile, la pire soumise qui existe, qui abandonnais son Dominant, les pulsions suicidaires etaient revenues mais c'est a ce moment la que j'ai commencé ma relation avec Maman, ce qui m'a beaucoup aidé.
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Par : le 28/01/24
Je t'ai connu très jeune, trop jeune peut être. À l'époque je n'ai pas compris, Pas compris la boite de Pandore que tu représentais. C’est ainsi, porté par les affres des hormones de mon jeune âge, J'ai voulus tout découvrir, tout essayer, : Tu t'es quelque peut épanouis. J'ai aimé, j'ai pleuré : Tu m'as haï autant que tu m'as chérie pour ça. Je me suis découverte, Et toi aussi. J'ai eu peur, Tu as ri : de toi, de moi, de nos actions, des Autres. Et puis je t’ai relégué au fond de mon être, Il m’as fallut ça pour te comprendre, nous comprendre. Je me suis questionné, énormément, J’ai fait de l’art de l’introspection un véritable toc ! D’où viens-tu ? Suis-je normal ? D’où me viennent ces envies ? Es-ce vraiment mes envies ? Mes besoins ? Ou es-ce le résultat de mon formatage précoce ? Et tu une partie de moi à découvrir ? Ou un parasite à bannir ? Je ne t’ai pourtant jamais vue comme un fardeau ou un secret, Mais par tous les diables : qu’es se que tu es compliquée à vivre ! En fin de compte, même si je t’ai bâillonnée, Tu étais là, grattant sous la surface, Me poussant à te laisser sortir ! Nous avons grandis, pas forcément en symbiose. Maintenant je te protège, farouchement. Si l’un de ces corbeaux au plumage encore plus faux que leurs ramages s’approchent, Je montre les crocs. Comprend moi aussi : « Chat échaudé craint l’eau froide » ! N’oublie pas que la confiance se gagne, Elle ne se donne pas ! Toi qui a tant besoin de lâcher prise, Qui ne demande qu’à t’épanouir, Qui me supplie de ne pas résister à cet appel de te libérer… Ne te fâche pas petite chipie, Je fait des progrès pour te laisser mener la danse. De se que j’ai compris, Tu as le même feu que moi, C’est peut être aussi pour ça que nous avons besoin, Autant toi que moi, Dans notre tourbillons extatique, D’émotions incontrôlée, D’une aura d’où émane autant de force que de sécurité, Pour que nous puissions nous embrasser. Nous avons aussi en commun cette soif d’apprendre, De nous comprendre, De nous transcender. Alors, Mon amour, Même si le chemin est encore long, Je te promet de tout faire pour que nous prospérions.
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Par : le 22/12/23
Le BDSM et la franc-maçonnerie sont deux univers qui, à première vue, semblent n'avoir rien en commun. Cependant, si l’on y regarde de plus près, il est manifeste que l’un et l’autre partagent certains éléments fondamentaux, même si leurs pratiques et leurs objectifs soient évidemment très différents. Une réputation sulfureuse BDSM et la franc-maçonnerie ont un premier point commun : ils sont tous deux sujets à des idées reçues, rumeurs et clichés, souvent dus à un manque de compréhension ou à une représentation sensationnaliste dans les médias et la culture populaire. Dans le cas du BDSM, les idées fausses sont largement répandues. Souvent, le BDSM est mal interprété comme étant abusif, dangereux voir pathologique d’un point de vue psychiatrique, ignorant le fait que les pratiques BDSM sont basées sur le consentement, la communication et la confiance mutuelle. La représentation médiatique du BDSM tend souvent à l'exagérer ou à le dramatiser, ce qui contribue à une incompréhension de ces pratiques et les caricaturant comme nécessairement extrêmes ou marginales. La franc-maçonnerie, quant à elle, est souvent entourée de bien des malentendus. Beaucoup de rumeurs et de théories du complot circulent autour de la franc-maçonnerie, la dépeignant comme une organisation secrète ayant des intentions cachées ou un pouvoir considérablement exagéré. Ces clichés sont alimentés par la nature discrète de certains de ses rituels et par sa longue histoire longue parfois mal interprétée (y compris par certains franc-maçons eux-mêmes qui voit la franc-maçonnerie comme à l’initiative de la révolution française, alors que cette légende résulte de la propagande anti-révolutionnaire (voir l’oeuvre de l’Abbé Baruel https://fr.wikipedia.org/wiki/Augustin_Barruel)). La représentation de la franc-maçonnerie dans les films et les livres, souvent dramatisée et romancée, contribue également à ces fausses idées, éloignant la perception du grand public de la réalité des pratiques et des objectifs de la Franc-maçonnerie. Ces idées reçues et clichés ont bien des effets pervers (si l’on peut dire). Pour le BDSM, les clichés peuvent entraîner discrimination et jugement de ceux qui pratiquent ces activités. Pour la franc-maçonnerie, les malentendus peuvent mener à une méfiance et une suspicion injustifiées. Dans les deux cas, les individus peuvent se sentir obligés de cacher leur appartenance ou leurs intérêts pour éviter la stigmatisation. La similitude dans la manière dont le BDSM et la franc-maçonnerie sont perçus par le grand public montre comment la méconnaissance et la représentation sensationnaliste peuvent fausser la compréhension des pratiques culturelles et des organisations. Rituels et cérémonies du BDSM et de la Franc-maçonnerie Dans le BDSM et la franc-maçonnerie, les rituels et les cérémonies jouent un rôle essentiel, bien que dans des contextes et avec des objectifs différents. En franc-maçonnerie, les rituels sont ancrés dans une tradition séculaire et s’avèrent très structurant dans la démarche. Ils sont utilisés lors des cérémonies d'initiation pour accueillir de nouveaux membres, lors des « promotions » pour marquer le passage à un degré supérieur, et lors de commémorations spécifiques. Ces rituels sont chargés de symbolisme, chaque geste, parole et objet ayant une signification particulière. Ils visent à transmettre des enseignements moraux et philosophiques, mais aussi à renforcer les liens entre les membres, et à perpétuer les traditions et les valeurs de la franc-maçonnerie. La répétition et la mise en scène de ces rituels créent un sens de continuité et d'appartenance à une histoire plus vaste. Dans le BDSM, les rituels peuvent, pour certains avoir une grande importance, même si bien sûr ils sont de nature différente. Ils sont souvent utilisés pour créer une dynamique et une atmosphère spécifiques dans le cadre des jeux de rôle et des interactions entre participants. Les rituels dans le BDSM peuvent inclure des pratiques comme la mise en place de règles ou de protocoles, des cérémonies de "collaring" (où un collier est utilisé comme symbole d'engagement dans une relation D/s), ou des scénarios élaborés où les participants jouent des rôles spécifiques. Ces rituels aident à établir les dynamiques de pouvoir, à renforcer la confiance et à intensifier l'expérience émotionnelle et physique des participants. Ils permettent également d'exprimer et d'explorer des désirs et des identités dans un cadre sécurisé et consensuel. Dans les deux cas, les rituels servent à créer un espace distinct du quotidien, où les participants peuvent vivre des expériences qui ont une profonde signification personnelle ou collective. Il y a dans l’un et l’autre cas une sacralisation de l’instant. Les rituels offrent un cadre structuré au sein duquel les individus peuvent explorer, apprendre et s'exprimer, tout en renforçant les liens avec les autres membres de leur communauté respective. Anecdotiquement, tant en BDSM qu’en franc-maçonnerie, les rituels peuvent avoir recours au bandeau, au feu, aux cordes, à l’enfermement, aux serments, à la nudité (partielle en franc-maçonnerie ;-) ) ... La confiance et le consentement sont déterminants en BDSM comme en franc-maçonnerie La confiance et le consentement sont des élément fondamentaux aussi bien dans le BDSM que dans la franc-maçonnerie, jouant un rôle crucial dans la façon dont les interactions et les relations se développent dans l’un et l’autre des domaines. Dans le BDSM, le consentement est la pierre angulaire de toutes les activités. C’est par une communication claire et honnête sur les désirs, les limites et les attentes de chaque personne impliquée que ce consentement est recherchée. Le concept de "SSC" (sain, sûr et consensuel) ou "RACK" (risk-aware consensual kink) est souvent mis en avant, soulignant l'importance d'une approche réfléchie et consensuelle des pratiques BDSM. Cette communication ouverte permet d'établir une confiance mutuelle, essentielle pour que les participants se sentent en sécurité et respectés. Dans les relations BDSM, la confiance permet aux individus de se livrer à des expériences intenses, sachant que leurs partenaires respecteront leurs limites et prendront soin d'eux. En franc-maçonnerie, la confiance est également un pilier central. Les membres sont souvent tenus de garder confidentiels les détails des rituels et des enseignements maçonniques, ce qui requiert un haut niveau de confiance mutuelle. Cette confiance est nécessaire pour maintenir l'intégrité et la solidarité de la loge. Elle est aussi essentielle pour créer un environnement où les membres peuvent ouvertement discuter de questions morales, éthiques et philosophiques, partageant des réflexions personnelles dans un cadre sûr et respectueux. Certaines cérémonies initiatiques y sont assez « physiques » et prévoit que l’impétrant(e) confirme son désir de poursuivre au fil de l’avancée des cérémonies. La confiance au sein de la franc-maçonnerie permet aux membres de s'engager dans des discussions profondes et significatives, sachant que leurs pensées et opinions seront reçues avec respect et discrétion. Dans les deux domaines, la confiance et le consentement sont donc non seulement essentiels pour la sécurité et le bien-être des individus, mais aussi pour renforcer la cohésion et la qualité des interactions au sein de la communauté. Que ce soit dans une loge maçonnique ou dans une relation BDSM, ces valeurs créent un fondement solide sur lequel les individus peuvent construire des relations enrichissantes et significatives.   Hiérarchie et définition des rôles en BDSM et en franc-maçonnerie La notion de structures hiérarchiques et de rôles définis est un autre élément commun entre le BDSM et la franc-maçonnerie, bien que ces structures servent bien évidemment des buts et des dynamiques différents . Dans le BDSM, la hiérarchie est souvent exprimée à travers les rôles de la personne dominante et de la personne soumise. Ces rôles ne sont pas simplement des étiquettes, mais représentent des dynamiques de pouvoir consenties et négociées et sont donc au cœur de nombreuses pratiques BDSM. Le dominant assume généralement un rôle de contrôle ou de direction, tandis que le soumis se place dans une position de consentement à cette direction. Cette dynamique hiérarchique est flexible et peut varier considérablement selon les personnes impliquées et leurs préférences. Elle est établie sur la base de la confiance, du respect et du consentement mutuel, et est souvent accompagnée de règles et de protocoles qui aident à définir la relation et à assurer la sécurité et le bien-être de tous les participants. En franc-maçonnerie, la structure hiérarchique est plus formellement établie. Elle est organisée en différents degrés ou niveaux d'initiation, chacun avec ses propres enseignements, rituels et responsabilités. Les jeunes maçon(ne)s sont contrait au silence, et la personne qui dirige la loge est le/la « Vénérable Maître(sse) ». Les membres progressent à travers ces degrés au fil du temps, souvent en démontrant une compréhension et un engagement envers les principes maçonniques. Cette progression est symbolique de la quête personnelle et spirituelle. Différence notable, la hiérarchie maçonnique n'est pas une question de pouvoir sur les autres, mais plutôt de développement personnel et de service à la communauté. Dans les deux cas, ces structures hiérarchiques et les rôles définis offrent un cadre pour la progression, l'apprentissage et l'expression. Dans le BDSM, ils permettent d'explorer des dynamiques de pouvoir complexes dans un environnement sécurisé et consensuel. En franc-maçonnerie, ils facilitent le perfectionnement moral et spirituel des membres et renforcent les liens entre eux. Bien que les motivations et les applications de ces hiérarchies soient différentes, elles jouent un rôle important dans la création d'une structure et d'un sens au sein de leurs communautés respectives.   Respect de la discrétion et de la vie privée La discrétion et la vie privée sont des aspects cruciaux tant dans le BDSM que dans la franc-maçonnerie, bien que pour des raisons et dans des contextes différents. Dans le BDSM, la discrétion est souvent lié à la protection de la vie privée des participants. En raison des jugements et des malentendus courants concernant le BDSM dans la société, beaucoup choisissent de garder leurs pratiques et intérêts dans ce domaine privés afin de s’épargner d’être victime de stigmatisation sociale, la discrimination au travail, ou simplement parce qu’ils nourissent le désir de séparer cette partie de leur vie de leur identité publique. La discrétion dans le BDSM est donc respectée pour sauvegarder l'intimité personnelle et la sécurité des individus impliqués, même dans les clubs ou les munchs. Elle permet aux participants de s'explorer et de s'exprimer dans un cadre où ils se sentent en sécurité et acceptés, sans crainte de jugement externe, en toute humanité et bienveillance. En franc-maçonnerie, la discrétion (même si on parle parfois de secret) a historiquement joué un rôle différent. Bien que l'institution maçonnique (les obédiences et les loges qui en dépendent) ne soit pas secrète en elle-même, certains de ses rituels et enseignements le sont. Ces « mystères » ne sont pas destinés à exclure les non-initiés, mais plutôt à renforcer le lien entre les membres et à préserver la nature sacrée et sérieuse des enseignements maçonniques. Le secret maçonnique crée un sentiment d'appartenance et un engagement partagé envers les idéaux de la humanisme. Il contribue également à la mystique et au respect de la tradition au sein de la franc-maçonnerie, ajoutant une dimension de profondeur et de continuité à l'expérience maçonnique. Dans les deux cas, le secret et la vie privée sont essentiels pour maintenir l'intégrité et la valeur de l'expérience pour ceux qui sont impliqués. Que ce soit dans le BDSM ou dans la franc-maçonnerie, la capacité de maintenir certains aspects de l'expérience à l'écart du regard public permet aux individus de se livrer plus pleinement et sincèrement à leurs activités, favorisant ainsi un environnement où ils peuvent s'épanouir et se développer en toute confiance.   Communauté et appartenance Le sentiment de communauté et d'appartenance est un élément fondamental tant dans le BDSM que dans la franc-maçonnerie, jouant un rôle crucial dans l'expérience des individus au sein de ces deux sphères. Dans le BDSM, la communauté offre un espace où les individus peuvent explorer leurs intérêts et désirs dans un environnement accueillant et sans jugement. Pour beaucoup, trouver une communauté BDSM (par les munchs, par exemple) est une expérience libératrice, leur permettant d'exprimer des parties de leur identité qui pourraient être incomprises ou stigmatisées dans d'autres contextes. Ces communautés fournissent souvent des ressources éducatives, du soutien, et des opportunités pour partager des expériences et des connaissances. Les événements sociaux, ateliers, et les sites communautaires comme BDSM.FR sont des exemples de la manière dont la communauté BDSM favorise la connexion et l'appropriation du rite par l'apprenti. Au sein de cette communauté, les individus trouvent souvent une réelle acceptation, un sentiment d'appartenance, et la possibilité de former des relations basées sur des intérêts et des valeurs partagés. Dans la franc-maçonnerie, la communauté est également d'une importance capitale. Les loges maçonniques ne sont pas seulement des lieux de réunion pour la réalisation de rituels, elles sont aussi des espaces de fraternité, de soutien mutuel, et de développement personnel. Les membres partagent un engagement envers des principes et des valeurs communs, tels que la fraternité, l’humanisme, et la quête de la vérité. Cette communauté offre un environnement où les membres peuvent développer des liens forts, s'engager dans des discussions profondes, et travailler ensemble pour des objectifs communs. Tant dans le BDSM qu’en franc-maçonnerie, la communauté et l'appartenance jouent un rôle essentiel dans l'enrichissement de l'expérience des individus. Que ce soit dans une loge maçonnique ou au sein d'une communauté BDSM, les membres bénéficient d'un sentiment de connexion, de soutien et de partage d'expériences. Ces communautés offrent un espace où les individus peuvent non seulement s'engager dans des activités qui leur sont chères, mais aussi trouver une reconnaissance et un respect mutuel, éléments clés pour le bien-être et l'épanouissement personnel. (Les initiés pourront rejoindre le groupe V.I.T.R.I.O.L : demandez moi en ami et faites vous reconnaître comme tel.le dans le message d'accompagnement : https://www.bdsm.fr/vitriol/ ) VOUS ETES CURIEUX/SE ? DEUX LIVRES ! : Pour les adeptes du BDSM curieux de la franc-maçonnerie : Ce guide se présente comme une ressource pour celles et ceux qui envisagent de rejoindre la franc-maçonnerie ou qui à tout le moins ont de la curiosité à cet égard. Sa structure méthodique et son approche claire le rendent très accessible. Les auteurs abordent le sujet sans prosélytisme excessif et en fournissant des informations essentielles tout en préservant le mystère et le caractère sacré des cérémonies d'initiation. L'un des points forts de "Devenir franc-maçon(ne)?" réside dans son approche pratique. Il guide le lecteur à travers les différentes étapes menant à l'initiation maçonnique, offrant une perspective introspective unique. Ce voyage initiatique est enrichi par la présentation des origines historiques et des idéaux maçonniques, permettant ainsi une compréhension approfondie de l'institution. Un autre aspect remarquable est l'absence de parti pris envers une obédience maçonnique particulière. 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L’auteure, dont l'intérêt pour le BDSM a débuté presque par hasard pendant ses études, offre une perspective unique et éclairée. Elle a passé plus d'un an à interroger et observer attentivement de nombreux adeptes du BDSM et c’est à l’issue de cette immersion qui lui a permis de découvrir une communauté non seulement réglementée, mais aussi extrêmement solidaire, qu’elle a écrit ce livre. "BDSM: Les règles du jeu" se pose donc comme une ressource précieuse pour ceux qui cherchent à comprendre les dynamiques complexes et les règles non écrites qui régissent le monde du BDSM. Il s'agit d'un guide éducatif et d'un témoignage culturel important, qui éclaire les aspects souvent méconnus de ces pratiques, tout en soulignant l'importance du respect, du consentement mutuel, et de la responsabilité partagée. 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Avec ses nombreux conseils, ce livre devient un véritable compagnon pour maîtriser les missions essentielles de l’Apprenti.e : mise en place du Temple, préparation des agapes, attitudes à adopter en Tenue et même un "guide de survie" pour naviguer sereinement dans les protocoles parfois impressionnants des premières expériences maçonniques. 📖 Un contenu riche et structuré : Des fondements du Rite Français à l’explication des rites et des rôles des Officiers, en passant par l’analyse des symboles initiatiques, ce guide regorge d’enseignements précieux. Et parce que les premiers pas peuvent être remplis de questions, une annexe complète propose un lexique détaillé des termes et abréviations maçonniques. ✨ Au sommaire : L’histoire et les particularités du Rite Français Les étapes de l’initiation : épreuves, voyages, symboles du cabinet de réflexion Une immersion dans la symbolique du Temple et des objets sacrés Les devoirs, attitudes et responsabilités de l’Apprenti.e La progression vers le grade de Compagnon 🌟 Un compagnon indispensable ! Que vous soyez nouvellement initié.e ou simplement curieux.se de mieux comprendre les mystères de la franc-maçonnerie, ce livre est un incontournable. Pédagogique, pratique et enrichissant, il vous guidera avec bienveillance sur la voie de la Lumière. Un guide à lire, relire et consulter à chaque étape de ce passionnant cheminement initiatique ! ✨
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Par : le 16/12/23
-Sergent No, j'ai une mission pour toi. Deux chasseuses de primes yankees, sont arrivées à Odessa, dans le but de me couper les couilles. Elles ont prévu de débarquer ici près de Sotchi après un périple discret en Mer Noire. Je te charge de les accueillir comme il se doit. Ne les massacre pas. Conduit les sans les amocher à  la base. On va s'occuper d'elles comme il se doit. Fais gaffe, elles manient très bien les fusils à longue distance.  -à vos ordres Général Valeri ! Et le colosse de zemble s'est mis en chasse.  Il étudie soigneusement la côte. Cherche tous les coins ou un accostage discret peut avoir lieu de nuit. No a un instinct redoutable. Il a l'habitude de chasser les ours polaires sur les banquises glacées de Zemble. Ce n'est pas ces deux tueuses pros qui vont l'intimiter.  Le sergent No se leche les babines.  Traquer et capturer des femelles. Comme d'habitude le général Valeri laisse toute latitude pour mener à bien une mission. Ne pas les tuer ou les tabasser, ce sont les seuls ordres. Ne pas les amocher non plus. De penser à ces femelles....lui donne l'intuition exacte du lieu où elles vont débarquer. Comment il sait cela? Il n'en sait rien sauf qu'il est certain de cela. C'est comme s'il voyait presque le futur proche. C'est un chasseur.  Il met donc en place ses pieges. Des seringues hypodermiques feront le reste.  Il fait le guet dans un abri invisible végétal. Pas besoin de lunettes à vision nocturne. L'ours de zemble est comme un prédateur, il sait, il sent, il devine. Et les deux tueuses se sont fait prendre à  peine débarquées.  Elles n'ont rien vu venir. C'est pas dans les manuels d'instructions militaires que l'on apprend à se battre contre le monstre de zemble.  Il décide de les amener dans sa cabane dans les bois pour s'amuser un peu avant de les livrer à Valeri. Pour l'instant elles roupillent dur à causes des piqûres dues aux seringues tirées au fusil. Des doses légères mais suffisantes pour endormir un ours.  Il les fout à poil toutes les deux et les attache par les mains à une poutre de sa cabane. Leurs pieds ne touchent pas le sol. On dirait deux belles dindes. Il les réveille à coup de baffes.   -Alors mes cocottes. Il paraît que vous voulez toucher la cagnotte pour les couilles de notre général ?  Les deux chasseuses de primes ne répondent pas.  Elles sont juste impressionnees par la taille du colosse de zemble. C'est peut etre pas un humain ce géant fruste et très poilu. Elles devinent vite qu'il est monté comme aucun homme ne peut l'être. Peut être les conséquences des essais nucléaires à zemble à l'époque de L'URSS ? Et ce monstre qui leur doigte la chatte et respire leurs odeurs intimes. -Mais vous êtes deux lesbiennes, je vois, dit le sergent No. C'est pour cela que vous êtes au courant pour la cagnotte. Combien déjà? 20 millions de $. Cela fait cher pour des burnes.  -Nous voulons être livrées à  la police. Pouvoir contacter notre ambassadeur ! -Vous allez pas bien les filles. Vous n'existez plus. Je peux vous découper en rondelles et vous manger crues si je veux. Alors fermez la et arrêtez de dire des conneries.  No passe par derrière et commence par leur donner une bonne fessée.  Il commence doucement. Il caresse ces deux très jolis culs bien bombes de sportives. Il tapotte au début. Pour faire peur. Puis il claque et les deux filles hurlent. Des frappes pareilles,  c'est inconcevable. Leurs culs deviennent rouge vif. Elles hurlent encore. Le sergent No s'amuse.  Il caresse  doigte les culs et les chattes, masse les seins et frappe. Un coup suffit pour déclencher une douleur insoutenable.  -arrete ! T'es trop con. Tu fais trop mal.  Baises nous si tu veux mais arrête de nous tabasser le cul. C'est intenable.   - Ben je peux pas mes mignones. Regardez. Mon sexe est trop gros. J'ai jamais pu pénétrer une femme. C'est impossible à rentrer. Les deux chasseuses de primes regardent avec horreur le tronc d'arbre qui lui tient de sexe avec pour gland comme un champignon atomique difforme et monstrueux. -mais tu te laves jamais? Tu pue le macaque et encore c'est une insulte pour les macaques. Allez libére nous on pourra te sucer.  -écoutez les femelles. Il faut arrêter votre cinéma d'allumeuses, sans quoi je vais frapper vos chattes de gouines.   No prend sa hache et part dans la forêt couper de bonnes branches. Il les taille et en fait des carcans pour la tête et les mains, pour les chevilles aussi. Satisfait de son travail il rentre avec le sourire. -Écoutez bien les filles. J'ai dressé des ours et des loups sur mon île du grand Nord, c'est pas vous qui allez me les briser longtemps.  Il les place toutes les deux  sous carcans, solidement liés et un nœud fait par No, seul No peut le défaire.  -Voilà vous êtes mes esclaves et vous devez obéir pour tout. Allez ouste,  à la niche. Et il les mène nues dehors, dans le froid, et les attache devant sa porte comme deux chiennes de garde. Il les laisse ainsi toutes la nuit. Lorsqu'elles gémissement trop fort, il sort et leur tire des baffes bien sonores. Le matin les deux tueuses sont brisées, elles ont peur des que No approche et tremblent. Une semaine passe sans jamais ôter les carcans. C'est ainsi que les mongols dressaient les esclaves. Les filles gardent désormais et les yeux baisses et ne disent plus rien.  No les nourrit bien  les lave à l'eau glacée, les frotte rudement avec de la paille et des orties.  Elles sont magnifiques même si elles ont en permanence un cul bien rouge sous les claques. Elles obéissent en tout avec diligence. Elles ont peur en permanence de No. Il est imprévisible et il a la baffe facile. Encore une semaine et il les détache des chevilles. Le carcan du haut leur fait horriblement mal.   La troisième semaine il peut commencer à les détacher, une à la fois seulement, toujours nues et elles doivent faire les corvées.  Puis de nouveau carcan et garde dehors devant la porte. Il ne les considère plus comme des femmes mais à peine comme des chiennes.   Au bout d'un mois, ce sont devenues de vraies esclaves, bien dressées et obeissantes en tout. Il est temps de les présenter à Valeri.  Ce dernier leur jette à peine un regard.  -Tu as fait du bon travail sergent No. A présent on va les rendre contre paiement. Mais je doute fort que cela puisse se faire. En attendant, mets les à dispositions de tous ceux qui dans la base voudront les utiliser sexuellement.  Effectivement, les américaines furent abandonnées. Personne ne voulu payer pour des chasseuses de primes en free lance.  Chose étrange, ces deux filles commencèrent à accepter leur sort et même à prendre du plaisir. De temps en temps, No passait les recycler. Gardes nues dehors, carcans, fessées, baffes, humiliations. Cela commençait à les faire jouir. Deux chiennes devenues fidèles à leur maître dans une obéissance totale.  Elles prenaient aussi plaisir à se faire prendre, à être sodomisees sans le moindre préliminaire, à devoir sucer des bites ou des chattes. cela devenait jouissif d'être traitées de la sorte.   Les chasseuses de prime ne furent plus que deux très jolies chiennes.  Elles furent marquées au fer rouge et déclarées comme appartenant totalement au sergent No. Elles trouvèrent la paix et le bonheur à être ses deux femelles. 
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