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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Bien qu'elle ne sente plus ses mains, et que ses cuisses lui semblaient gainées de plomb en fusion, son cerveau arrivait quand même à produire de brèves phases de sommeil agités de souvenirs. Son esprit divagua jusqu'au campus califormien où elle avait fait ses études de journalisme, irradiées par son premier "vrai" amant, un Français qui y était professeur de littérature comptemporaine. Dans son rêve, elle sentait ses mains sur sa poitrine, son corps, puis descendant
vers le renflement de son pubis où elles se firent plus insistantes, pesantes, pinçantes, de plus en plus vulnérantes... jusqu'à ce que sortant de sa torpeur, elle réalise que son rêve venait de fusionner avec le supplice qu'elle était en train d'endurer... Et de nouveau l'épouvantable douleur de la traction pour soulager le feu irradiant de son périnée, les dents serrées, une sueur froide inondant son visage, jusqu'à la plongée suivante dans le demi sommeil. Maintenant elle est dans la salle de rédaction de la Prensa, le journal de son père, après les heures de travail dans l'immeuble désert. C'est le moment qu'elle préfère, celui où enfin seule, juste éclairée par une faible lampe d'architecte, elle trouve les mots qui feront mouche pour alerter l'opinion sur le danger imminent de totalitarisme qui menace le pays. La pénombre aide à sa concentration : au moment précis où l'expression forte qu'elle cherchait lui vient à l'esprit, une lumière intense jaillit dans la salle de rédaction. Non, ce n'est pas la salle de rédaction : c'est la cave infâme dans laquelle elle endure son calvaire depuis trop longtemps, et où elle vient d'être tirée de son assoupissement par la lumière allumée par Pablo l'homme de main.
- Alors Princesse, on est bien installée ? Robeco m'a demandé de veiller un peu sur toi...
- Arrêtez, pitié, sortez-moi de là, je ne vous ai rien fait, hoqueta Laura.
- Pas encore, c'est vrai, répondit Pablo en pelotant sans retenue le corps offert à travers les vêtements, mais ça va venir. Je ne suis pas comme ce maricon de Robeco : j'aime les femmes, moi. Lui, sa femme, c'est Alfonso... tu te rends compte... les puercos ! Mais moi, quand j'ai un jambon comme ça pendu dans la cave, dit-il en pinçant méchamment le téton gauche de Laura, je m'en taille une tranche...
- Pitié, arrêtez ça, laissez-moi me reposer...
- C'est à voir. Mais ce serait assez risqué pour moi. Il me faudrait... comment dirais-je... une petite compensation. C'est normal, non ?
Laura restait silencieuse et haletante.
- Pas d'idée ? C'est bête, parce que vais devoir te laisser... Tu sais qu'il n'est que minuit ? A peine trois heures que tu es là... Moi, ce que j'en disais...
Et il se dirigea vers la porte. Trois heures ! Seulement ? Non, ce n'était pas possible : il semblait à Laura que son périnée était en lambeaux depuis la moitié de sa vie...
- Attendez, attendez, non, restez, ne me laissez pas !
- Ah ! j'aime mieux ça. Je suis sûr qu'on va pouvoir s'entendre... Pour commencer je vais te présenter un vieil ami, dit-il en défaisant sa braguette. Je suis certain que vous allez vous apprécier mutuellement.
Il fit quelques pas vers un tas de vieux parpaings qui traînaient, en empila deux devant l'entrée de la niche et monta dessus : son entrejambe était juste au niveau du front de Laura dont la tête pendait en avant. Il extirpa une verge à demi érigée.
- Allez, embrassez-vous, on est en famille !
Laura avait encore un peu de résistance :
- Non, pas comme ça, descendez-moi d'abord de là, et je ferai ce que vous
voudrez.
- Ta ta ta... pas question... je connais les pouffiasses de la haute dans ton
genre : elles prétendent faire une pipe, et elles font les trois quarts du boulot avec les mains ! Mais je veux voir ce que tu es capable de faire avec ta bouche seule... avec tes lèvres, ta langue, ta gorge... Je veux que tu me pompes à en avoir la sensation que tu me vides comme un poulet, c'est clair ?
Laura ne bougeait pas. Lever la tête de quelques centimètres suffisait à lui envoyer des langues de feu par tout le corps.
La baffe de Pablo la prit au dépourvu, et l'onde de choc fit exploser un paroxysme de douleur aux endroits les plus sensibles.
- Alors salope, tu te décides ?
Vaincue, Laura leva lentement la tête, et la verge de son tourmenteur balaya successivement son front, son nez, avant de s'immobiliser devant ses lèvres, qu'elle entrouvrit pour happer le prépuce fétide. Assurément, l'hygiène n'était pas une préocupation pour Pablo. Du fait de l'érection débutante, ses lèvres eurent du mal à décalotter le gland, jusqu'à découvrir le sillon cerné de smegma. Elle se retint difficilement de vomir... Puis, décidée à en finir le plus vite possible, elle prit une cadence accélérée en essayant d'oublier la douleur que chaque coup de piston réveillait dans son cou.
- Oh là, pas si vite, ma grande, on a tout notre temps, dit-il en la prenant aux oreilles pour lui inculquer le lent tempo qu'il souhaitait.
Laura obtempéra et commença à pomper régulièrement. Le temps passait mais Pablo semblait inusable... Il reprit.
- Tu sais, j'étais tellement excité à l'idée de venir te voir... j'avais peur que ça aille trop vite. Alors je me suis masturbé avant de descendre... comme ça, on reste plus longtemps ensemble ! Tiens, regarde, c'est pas des blagues...
Il sortit de sa poche un petit sac en plastic grossièrement noué, qu'il ouvrit pour en montrer le contenu gluant à Laura.
- Tu vois l'effet que tu me fait : il ne m'a pas fallu deux minutes ! Tiens, c'est pour toi, dit-il en étalant la matière visqueuse sur le visage de Laura. Allez, continue...
Cela n'en finissait plus. Laura était dans un état second, glacée par endroits, brûlante à d'autres, tout les muscles noués comme des cordes, la sueur dégoulinant de son visage et se mêlant au sperme de son bourreau.
A un moment, le sadisme de Pablo lui inspira l'idée de reculer un peu son marchepied improvisé, pour forcer Laura à avancer la tête, et lui parler comme à un chien.
- Venga, venga perrita !
Bien sûr, il savait qu'en obligeant la fille à se pencher en avant pour engouffrer son pénis, il la forçait aussi à écraser une région clitoridienne qu'elle
avait jusqu'à présent réussi à épargner relativement. Mais oedématiée et gorgée de sang à cause de la compression voisine, la zone était ultra-sensible... Enfin au bout d'un temps qui sembla interminable à Laura, il gicla faiblement au fond de sa gorge. C'était fini... enfin ! Pablo descendit de ses parpaings et se rajusta.
- Alors, comment tu as trouvé ? C'était bon, non ?
Elle n'avait plus la force de répondre. Bon prince, l'homme défit la menotte gauche, Laura s'effondrant comme une marionnette dont on aurait coupé les fils. Il la rattrappa juste à temps pour ne pas qu'elle se blesse, et la posa au sol. Puis il referma la menotte libre sur son pied droit, et sortit de la pièce. Malgré cette position croisée peu confortable, Laura s'endormit presque instantanément.
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Après le récit de la gouvernante et Laura consignée dans sa chambre, Felipe de Aranjuez-Pondragon pris le temps de la réflexion. Que faire ? Remettre officiellement Juan à la police pour viol sur mineure ? Le scandale serait énorme... Après tout, rien de bien irrémédiable ne semblait avoir été commis ; et à part Christina, il n'y avait aucun témoin. Ne valait-il pas mieux laver ce linge sale "en famille" (les Ortiz étaient employés sur l'exploitation depuis trois générations.) Felipe fit signifier aux Ortiz qu'ils leur donnait la nuit pour faire leurs paquets, et qu'à à l'aube ils devaient avoir quitté leur logement. Il fit aussi appeler ses trois plus fidèles chefs d'équipes pour leur donner des instructions plus confidentielles...
Laura pris le téléphone de la main de Robeco et le porta devant son oreille du côté de sa joue valide :
- Allo ?
- Laura ! quelle joie de t'entendre... nous étions si inquiets de ta disparition. Pas de doute : même quinze ans plus tard, c'était bien la même voix !
- Juan... ça fait tout drôle de t'entendre après si longtemps. Qu'est-ce qui se
passe ? Pourquoi m'a-t-on arrêtée ? Je n'y comprends rien...
- Laura, ma petite Laura... ne nous prend pas pour des imbéciles. Tu ne sais
pas qu'il y eu une petite révolution dans ce pays ? Que le commandant suprême m'a nommé chef du SSR, le service de sécurité de la Révolution ? Et toi, tu n'es plus la journaliste officielle de l'ancien régime, tu es une ennemie du peuple, recherchée et en fuite...
- Mais pourquoi ? Juan, tu sais bien que je n'ai jamais porté la main sur personne ! Il n'y a aucune raison de m'arrêter. Juan, au nom de notre vieille amitié, laisse-moi partir...
- C'est vrai que tu n'était pas la plus coupable dans cette affaire. Mais ton père ne t'as sans doute pas tout dit. Cette fameuse nuit, il m'a envoyé ses trois plus
fidèles larbins avec des manches de pioches ! Il m'ont cassé le nez, l'avant bras gauche, et m'ont explosé un testicule. Je ne suis même plus sûr de pouvoir encore faire des enfants...
- Oh ! Juan je suis désolée... je croyais qu'il s'était contenté de vous expulser.
- Et encore, ce n'est pas le plus grave : quinze jours plus tard mon père s'est pendu de honte ! Ma mère a dû faire des ménages depuis toutes ces années pour élever mes frères et sœurs... Et moi, j'ai commencé à m'engager pour que de telles choses ne se reproduisent plus.
- Juan, je ne sais pas quoi dire, c'est trop affreux ! Sincèrement je compatis, mais je ne suis pas responsable de ce désastre, ce sont les circonstances...
- Et elles ont changé, coupa Juan. Tu comprendras aussi que la révolution ne peut pas se permettre de laisser dans la nature une adversaire politique aussi médiatique, surtout si elle décidait de se répandre dans la presse étrangère. Nous aurons donc le plaisir de nous revoir sous peu. Repasse-moi Robeco.
- Mais Juan...
- Repasse-moi Robeco, je te dis !
Effondrée et vaincue, Laura tendit l'appareil au tondu qui écouta longuement
son chef, répondant quelquefois par monosyllabes, et terminant par "A vos ordres, señor colonel. Oui, je vous la repasse".
Laura reprit le combiné pour écouter Juan à nouveau :
- Et surtout ne t'inquiète pas, ma petite Laura, je ferai mon possible pour que les choses se passent bien. Ton père m'a beaucoup appris là-dessus !
La conversation était terminée. Laura raccrocha. Robeco la regardait avec un sourire mauvais :
- Bon, c'est pas le tout, il va falloir aller se coucher parce que demain, la journée sera longue. Nous n'avons pas encore pu équiper de chambre d'ami, dit- il sur un ton moqueur, mais nous allons bien vous trouver quelque chose pour
passer confortablement vos dernières heures en notre compagnie, dit-il avec un clin d'œil vers ses deux acolytes.
Tout le monde descendit à la cave où un couloir déservait plusieurs portes. Les trois hommes firent leur choix sur une petite pièce très basse de plafond, encombrée de tout un bric-à-brac poussiéreux au milieu duquel ils se frayèrent un chemin. L'un des argousins sortit des menottes de sa poche et les tendit à Robeco. Celui-ci referma un anneau sur le poignet droit de Laura, puis la tira sous un tuyau d'évacuation d'eau qui traversait la pièce de part en part un peu sous le plafond. Il leva le bras emprisonné vers le tuyau pour faire passer le deuxième anneau par-dessus, tandis qu'un acolyte tirait la main gauche de Laura en l'air pour refermer la deuxième menotte autour du poignet gracile.
- Vous n'allez quand même pas me laisser comme ça toute la nuit ! s'offusqua Laura qui, malgré ses bras levés, pouvait néanmoins reposer les pieds à plat sur le sol.
- Bien sûr que non : vous êtes une personne importante, on va vous chercher quelque chose de beaucoup plus confortable.
Il parcouru le capharnaüm du regard, et avisa dans un coin une vieille niche à chien en forme de maison mignature, d'un peu moins d'un mètre de haut. Une lueur mauvaise passa dans ses yeux. Il traîna péniblement le lourd objet vers Laura en demandant à ses hommes d'écarter les jambes de la fille. Il fallut la soulever un peu pour insérer le toit aigu de la niche dans le "V" inversé de ses cuisses, puis les hommes la lâchèrent : ses pieds ne touchaient plus le sol, et tout son poids reposait sur son pubis appuyé sur le faîte du petit bâtiment de bois ! Heureusement, ses vêtements offraient une légère protection.
- Aië ! enlevez moi ça, c'est horrible... glapit Laura.
- Mais c'est toi qui a demandé qu'on modifie ta position, rétorqua Robeco, goguenard. Peut-être qu'au bout d'un moment, ce sera un peu dur. Mais j'ai une idée qui te permettra de te soulager de temps en temps. Alfonso, attrape le fil de
fer, là-bas. Et toi Pablo, remonte-lui bien les pieds. Les deux hommes s'exécutèrent.
Avec une boucle de fil de fer, Robeco encercla la tige montante de chaque converse de Laura, avant de relier les deux boucles par une troisième passée en pont de part et d'autre du faîte de la niche.
- Et voilà, si la position devient trop pénible, tire un peu sur les mains et les pieds : ça te fera du bien, et surtout repose-toi... on a de la route demain. Bonne nuit.
Sur ces paroles, les trois hommes sortirent en éteignant la lumière.
Commença pour Laura la pire nuit de son existence. En serrant les cuisses, elle put d'abord limiter un peu la pression sur la zone tendre. Mais au bout de quelques minutes, la calvaire de ses adducteurs devint tel qu'elle relâcha insensiblement son ciseau, augmentant la pesée de son corps sur l'arête de quatre centimètres. Douleur tolérable un temps, progressivement intense puis insupportablement vrillante. Alors pendant quelques secondes, elle trouvait le courage (au prix de quelle douleur dans ses poignets !) de tirer sur ses menottes, de contracter ses quadriceps en feu, de changer un peu son point d'appui et de serrer les cuisses le plus fort possible pour prolonger le soulagement. Terribles efforts pour gagner deux ou trois centimètres... Mais inéluctablement ses muscles finissaient par se tétaniser, perdre toute force, et relâcher tout le poids de son corps sur les chairs meurtries de son entrejambe, jusqu'à nécessiter un autre mouvement de traction, encore... et encore... et encore...
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Le chef connaissait son affaire, car la douleur était insupportable. L'entrejambe de Laura, ses poignets, ses chevilles, étaient comme fouaillés par un feu continu. Malgré cela, la fatigue consécutive aux évènements
de la journée était telle qu'elle parvenait à dormir par bribes de quelques minutes, non sans que des cauchemars récurrents lui rappelle ces dernières heures. Jetée dans la jeep, elle avait été amenée au siège local du parti où elle avait repris ses esprits allongée devant le bureau. La moitié gauche de son visage avait doublé de volume, et son œil était à demi fermé par l'œdème. Tout de suite elle fut sommée de se tenir debout pendant que son agresseur décrochait le téléphone. Il dut franchir de nombreux barrages avant d'entendre enfin la voix sèche de l'interlocuteur qu'il désirait :
- Juan Ortiz. J'écoute.
- Mes respects señor colonel. Je suis Miguel Robeco, le commissaire politique de la commune d'Asturias. J'ai pensé que vous seriez heureux d'apprendre que nous avons appréhendé la dénommée Laura Margarita de Aranjuez- Pondragon...
Un long silence s'ensuivit, au point que Miguel se demanda si la communication n'avait pas été coupée :
- Colonel, vous êtes encore là ?
- Oui mon ami, merci et bravo. J'étais simplement étonné : on m'avait dit que toute la famille avait été emmenée au stade national...
- Pas toute apparemment, mon colonel, mais grâce à moi, elle devrait maintenant être au complet.
- Je saurai m'en souvenir, . Elle est avec vous ? - Oui colonel, devant moi.
- Passez-la moi, je vous prie.
Robeco tendit le cornet à Laura :
- Le colonel Juan Ortiz veut vous parler.
A ces mots, Laura cru défaillir. Juan Ortiz ! Se pouvait-il que ? Mais des Juan Ortiz, au San Teodoros, il y en avait des dizaines. Elle se remémora la dernière fois qu'elle l'avait vu sur l'hacienda de son père Felipe de Aranjuez-Pondragon, où comme toute sa famille il était ouvrier agricole. Il devait avoir alors une vingtaine d'années, et elle allait sur ses quinze ans. Adolescente précoce, elle n'aimait rien tant que tester ses charmes sur les jeunes mâles de l'exploitation. Mais Juan était son préféré : avec sa démarche féline, ses larges épaules et son visage viril au long nez droit, sa beauté la subjugait depuis toujours, depuis que toute petite il l'avait promenée à dos d'âne sur l'immense hacienda, lui avait appris à capturer des serpents, à fabriquer un arc ou un piège à oiseau. A force de minauderies étudiées, elle avait réussi à l'entraîner dans une remise à outil en fin de journée. Tout de suite elle l'avait embrassé et parcouru son corps de ses mains. Juan agissait de même, mais lorsqu'il insinua sa main sous la culotte de coton, elle l'arrêta :
- Non, pas encore, pas maintenant, je suis trop jeune...
Le jeune homme avait déjà sorti son puissant membre de son pantalon de grosse toile, et comprenant qu'il serait sans doute risqué de déflorer la fille de son patron à un âge si tendre, il se contenta de promener son index sur les lèvres de Laura en regardant son érection, tout en appuyant de l'autre main sur son épaule pour l'inciter à s'agenouiller. L'invite était claire, et Laura compris immédiatement. C'était la première fois qu'elle voyait un sexe d'homme, mais elle savait que ce genre de choses se faisait parfois, et au fond d'elle-même, elle avait envie de le faire... Mettant un genou à terre, elle commença par embrasser le bulbe gonflé, puis à le lapper à petits coups. Elle n'alla pas plus loin : la porte s'ouvrit à la volée et la silhouette de Christina, sa gouvernante, se découpa à contrejour ! L'employée saisit Laura par le poignet et se tourna vers Juan pour cracher :
- Toi, tu rentres chez toi et tu attends les ordres. Sinon, c'est à la police que tu auras affaire !
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