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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage à livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage à faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture
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En 2017
J’ai déjà survolé cette année de nymphomanie dans le chapitre précédent, l’année où Lady Bitch est née, où j’ai couché avec une centaine d’hommes et où je me suis affranchie de la morale !
Il y’a pourtant encore beaucoup à en dire tant cette année changea ma perception des hommes, du sexe et de la perversion.
L’année 2017 commença par un nouvel an torride et immoral avec mon meilleur-ami, notre relation évolua au fil de cette année lors de multiples baises bien plus importantes mais je traiterais son cas comme d’habitude dans un chapitre bonus qui lui sera dédié.
Restons donc concentrés sur mes coups d’un soir qu’ils viennent de sites de rencontres ou de mes sorties en boites de nuits. En avançant dans l’année, la salope avide de queues que j’étais devenue tournait a trois ou quatre plans culs par semaine avec de nouveaux mecs et il devenait de plus en plus difficile de m’exciter ou me faire jouir.
J’avais prise conscience que je pouvais avoir n’importe quel mec, que s’il s’agit de sexe et uniquement de sexe, ils sont majoritairement toujours partants ! Je passa des mois à me taper des Apollon, des beaux-gosses qui me faisaient mouiller rien qu’avec leur belle gueule ou leur regard de feu, des corps musclés ou athlétiques, ces mecs n’avaient rien à envier à des mannequins et je coucha avec des physiques dont je n’aurais jamais osée rêver autrefois.
Je découvris divers types de bites, des longues et épaisses, des longues et fines, des épaisses mais courtes, des raides, des courbées, des glands imposants, des glands pointus, des couronnes perlées, etc…
Je devins une experte pour les sucer, j’appris au fil de mes rencontres que tous les hommes ne sont pas sensibles de la même manière au traitement qu’on réserve à leur queue !
Certains gémissent et jutent rien qu’avec des léchettes répétées sur le frein, d’autres ne supportent pas qu’on le titille.
Certains adorent qu’on roule une pelle à leur gland et lèche soigneusement chaque recoin de leur couronne, d’autres n’y prennent aucun plaisir.
Certains aiment qu’on pompe et aspire fortement leur queue, d’autres trouvent ça désagréable.
Certains aiment qu’on aspire et gobe leurs couilles, d’autres ne tolèrent que les coups de langues.
Tous néanmoins aiment qu’on avale entièrement leur queue et mes années d’entrainement à la gorge profonde combla toujours ces messieurs.
Après des mois a essayé diverses queues, je savais lesquelles étaient mes préférées et lesquelles pouvaient poser problème…
Il arriva un moment où voir de nouvelles bites ne m’excitait plus autant les ayant toutes plus ou moins déjà vus.
Il arriva un moment où coucher avec des beaux-gosses ne m’excitait plus autant c’était devenu courant.
Il arriva un moment où les corps musclés, les abdos saillants, les pectoraux et biceps de dieu vivant ne m’excitait plus autant, j’en avais tellement eus que ça n’avait plus rien d’exceptionnel.
En l’espace d’une année, ma surconsommation de partenaires tous plus sexy les uns que les autres m’avait fait perdre le fait d’apprécier de tels physiques.
Je me souviens qu’il y’a quelques mois je fondais dans un regard ardent, je léchais avec envie du bout de ma langue les abdos et tétons des carrures fitness, je mouillais rien qu’en caressant leurs muscles, je jouissais quand des golgoths me pilonnait en me sentant si fragile sous leurs assauts mais tout ça c’était devenu trop fréquent pour être encore efficace…
C’est comme si une partie psychologique avait quittée mes ébats, l’excitation n’y était plus malgré des partenaires plus qu’agréable, je n’étais plus stimulée par mes rencontres pourtant je ne pouvais m’en passer même si je jouissais de moins en moins. Les plans culs devenaient lisses et seuls ceux qui faisaient preuve d’originalité dans leurs attitudes, pratiques, envies, insultes pouvaient encore me faire assez d’effet pour rallumer la flamme et que je jouisse pleinement.
J’essaie de vous retranscrire cet attrait pour les beaux corps et les belles gueules qui m’avait quitté mais attention j’aimais toujours autant aller me faire sauter c’est juste que cela n’avait plus du tout l’intensité et l’euphorie des débuts.
Je me tournai progressivement vers des annonces de sexe en ligne ayant conscience qu’il me fallait de l’originalité, que mes plans culs se ressemblaient trop. Je savais qu’il fallait que je ressente de nouveau le frisson de l’aventure, de l’inconnu car même si c’était de nouveaux partenaires, j’étais enfermée dans ce schéma où j’allais chez eux pour faire des préliminaires, baiser et partir ! J’avais plusieurs fois fait le lien entre ma jouissance et l’attitude de mes partenaires, ceux qui avaient fait preuve d’une perversion plus prononcée, qui m’avait exposée à leurs vices, c’était ceux qui m’excitait aujourd’hui et me laissait un souvenir d’eux. Il fallait que je rencontre des personnalités différentes, des hommes aux désirs singuliers, que je renoue avec cette sensation d’exploration de ma sexualité.
Je me masturbai régulièrement sur divers sites répertoriant les annonces de sexe de centaines d’hommes, je passai de longues minutes à lire leurs envies, leurs fantasmes et m’imaginer les rencontrer ou non. J’épluchai les annonces de ma région, les catégories et plongeai encore davantage dans les vices masculins lisant certaines requêtes plus obscènes, tordues, assumées sur ces sites qu’aucun homme ne l’avait jamais fait sur mes sites de rencontres (l’anonymat aidant sûrement).
Je fantasmai plusieurs fois à l’idée de publier moi aussi des annonces pour assouvir certains de mes fantasmes, certaines de mes envies qui germent en moi depuis l’adolescence, depuis Thomas, depuis mon addiction au porno, depuis ma dépression…
Ma première rencontre fût un trentenaire qui voulait seulement toucher des seins…
Il passa me chercher en voiture à la sortie de la Fac, j’avais mis un décolleté généreux ce jour-là. Je ne lui avais demandé aucune photo me disant qu’il était sûrement assez moche pour avoir si peu de prétentions (il ne se souciait pas non plus de ça puisque son annonce stipulait qu’il s’en fichait du physique, de l’âge et des mensurations, tout ce qu’il voulait de son côté c’était toucher une paire de seins). Je m’étais dit que ça serait bien de débuter ce type de rencontres par quelque-chose de léger et de faire en plus une bonne action, que si le gars ne me plaisait pas, tant pis, ce n’était que lui montrer ma poitrine et le laisser la tripoter un peu, pas besoin d’attirance pour ça...
Cela ne manqua pas, il était assez vilain (cheveux courts avec une mèche façon Tintin, des petites lunettes carrés, une barbe de trois jours avec plusieurs trous dont la pilosité faciale ressemblait plus à des poils pubiens qu’une barbe, un sourire nerveux qui montrait trop ses dents) bref c’était pas un sex-symbol, il avait une allure plutôt négligé et sa tenue vestimentaire comme sa personnalité c’était le cliché du geek ou du trentenaire chez ses parents qui bégaie devant une fille et semble visiblement ne rien savoir de ce qu’il faut faire pour améliorer ses chances…
Soyons clairs, si j’avais vu une photo ou qu’il m’avait abordé, j’aurais fuie et j’ai failli le faire devant sa portière tant il ne me plaisait pas mais je décida d’assumer jusqu’au bout en me rappelant que je n’avais pas demandé de photos car il n’y avait pas de rapports sexuels.
Il s’était garé sur le parking devant ma Fac, je connaissais le modèle et la couleur de sa voiture, je l’aborda rouge comme une tomate étant très déstabilisée par son physique et ce que je faisais tout de même guidée par une adrénaline que je n’avais plus ressentie depuis un moment. Je monte côté passager quelques secondes plus tard, je fais bonne figure devant lui mais je suis tétanisée, je lui parle de tout sauf ce qui nous attends, je lui demande s’il a trouvé facilement, s’il y’avait de la circulation, s’il m’a attendu longtemps, s’il connait le coin et toutes ses réponses sont encore plus stressées que mes questions et malaisantes ! Je ne comprends pas comment l’idée de montrer mes seins a ce mec me gêne soudainement autant alors que je me fais défoncer à droite et à gauche depuis des mois par des inconnus. Le gars est gentil et doux ça se voit qu’il ne ferait pas de mal à une mouche, je ne me sens pas en danger mais je prends conscience que sortir de ma zone de confort et m’exhiber à un mec pour qui j’ai aucune attirance, aucun désir est ce qui me stress autant. J’ai une sorte de pression de devoir assurer, de lui devoir ça maintenant que je me suis mise là-dedans, de ne plus pouvoir reculer alors que je le peux, il suffit de me rétracter mais je ne veux pas le décevoir maintenant que je suis montée dans sa voiture, il a fait la route pour me voir, je n’ai pas demandé de photo c’est ma faute, j’avais envisagé cette option (qu’il soit repoussant), j’ai voulu me lancer un défi, je ne peux pas le décevoir et ME décevoir, suis-je vraiment la salope que je pense être ?
Il se gare sur le parking d’un magasin de literie après 5 minutes de trajet. Il n’a pas menti, c’est discret ! Son véhicule fait face a un mur de pierre et les deux seules autres places du parking sont derrière nous et vides, c’est l’un de ces parkings derrière le bâtiment d’une enseigne qui a peu de places, il m’a dit en connaitre trois ou quatre dans le coin si jamais celui-ci était occupé...
Lorsqu’il coupe le contact, je sais qu’on y est et un blanc s’installe après ma confirmation que le parking est en effet discret ! Il me regarde gêné et me dit que je suis « vraiment très jolie » ce qui me fait sourire mais me rappelle que je ne peux lui retourner le compliment ... Je me décide néanmoins a prendre les choses en main et en finir le plus vite possible n’ayant aucunement envie de me décevoir et nous avoirs fait perdre tout ce temps.
Je me mets face a lui, le dos contre la fenêtre. Assise en tailleur, je baisse mon décolleté sous ma poitrine sans retirer mon haut et extirpe mes seins hors de mon soutif pour les lui dévoiler !
« Bon, on est là pour ça alors voilà ! »
Je me souviens de ses yeux qui s’écarquillent, de ses pommettes qui s’enflamment, de son sourire jusqu’aux oreilles alors qu’ils les regardent avec émotion. J’ai montré ma poitrine a des centaines de mecs avant lui et pourtant il n’y a que Kévin mon meilleur ami et Clément un de mes premiers copains (le précoce) qui m’ont paru aussi émerveillés par ma paire. J’ai dans cette voiture et les yeux de cet inconnu l’impression d’avoir une des poitrines les plus belles de la Terre, je vois dans ses yeux quelque-chose que je n’ai pas souvent vu, je me sens sexy, divine, torride et l’ambiance change alors peu à peu, le malaise ambiant se mue en quelque-chose de plus suave, je me sens soudainement plus à l’aise, coquine, attisée. Je discute quelques instants avec mon admirateur qui ne cesse de me complimenter ou du moins jeter des fleurs a ma poitrine. Je le taquine et le titille en lui demandant si elle lui plait alors que je commence à la malaxer et me tirer sur les pointes, le pauvre garçon semble bouillonner. Il ne peut plus décrocher son regard de mes seins et je pourrais presque dire qu’il en a la bave aux lèvres, voilà que la situation m’excite, rendre fou ce gars me plait soudainement…
Je regarde son entre-jambe, je vois qu’il bande sous son jean, sa bite est plaquée contre sa cuisse gauche, elle ne semble pas très longue mais elle est bien visible…
Je lui dis qu’il peut toucher, il avance alors timidement la main et caresse le haut de mes deux seins bien mis en avant par mon soutif et le décolleté, je le regarde faire avec amusement, je n’ai pas souvenir d’avoir un jour été touchée aussi délicatement par un homme. Je ne dis rien pour voir ce qu’il va en faire, elle est à lui pour l’instant cette paire de seins, amuse-toi bien garçon me dis-je.
Il appuie maladroitement sur mes seins comme s’il voulait voir ce que ses gestes avaient comme répercussions sur la peau, c’est comme si ses yeux prenaient des photos pour plus tard, qu’il mémorisait ce qu’il voit, ce qu’il fait ! Je le trouve autant attendrissant que ridicule pour son âge, cette impression de faire une bonne-action m’envahit, moi qui avais peur d’assouvir sa demande il y’a encore quelques instants, voilà que j’ai envie de l’aider à en garder le plus beau souvenir possible !
Il caresse encore et encore mes mamelons en passant sa paume et ses doigts dessus, il fait tourner son pouce autour de mon mamelon droit, il effleure mes tétons mais n’ose pas tirer dessus ou les pincer, ça me frustre, « lâche-toi » me dis-je.
Je lui dis qu’il peut se masturber s’il veut, il me répond que non ça va aller, je l’invite de nouveau à se mettre à l’aise en lui expliquant que je vois clairement qu’il est « à l’étroit » dans son jean mais il refuse une seconde fois me disant que ce n’était pas prévu et qu’il ne compte pas abuser de ma gentillesse. J’essaie alors de lui expliquer que si je lui propose c’est que je suis pour qu’il le fasse mais il se confonds en excuses avant d’avouer être pudique et que c’est moi qui devais m’exhiber pas lui.
Je vois qu’il n’a pas confiance en lui et n’a peut-être jamais montré son sexe a une fille, il me fait de la peine alors qu’il remet les mains sur son volant et me remercie pour ce bon moment, il me dit qu’il va me déposer à l’arrêt de bus qu’on avait convenus.
Je commence à remettre ma poitrine a sa place alors qu’il ne me regarde même plus, c’est alors qu’une pulsion s’empare de moi et que j’agis sans réfléchir, je pose ma main sur sa bite encore en érection ! Il sursaute et me regarde alors qu’il allait repousser ma main je lui dis de se détendre avec ma voix la plus douce ! Je lui explique que des bites j’en ai vus et revus, que la sienne ne peut en aucun cas me surprendre et que d’ailleurs ça m’importe peu à quoi elle ressemble ! Je frotte avec mon index le bout de son érection, je sens que je suis sur son gland, sa queue est coincée entre le jean et sa cuisse, ma paume va et vient le long de sa verge, je scan sa queue a travers son pantalon et prouve à mon peureux partenaire que tout va bien.
Il est rouge de honte, il transpire et a le souffle court, il m’explique qu’elle n’est pas épilée, qu’il ne s’attendait pas à ça, que je n’ai pas besoin de faire ça, qu’il est déjà content comme ça !
Son comportement m’excite, ma prise de contrôle me fait me sentir supérieure, puissante, dominante et j’ai l’impression de pouvoir briser ou combler ce type, il est si attendrissant, ses failles si exposées, je veux prendre soin de lui, jouer avec son désir !
C’est nouveau pour moi, ce type de mecs, ce type de plans, cette position que j’ai visiblement sur lui, je ne sais pas ce que je ressens, l’effet que ça a sur moi mais je crois que c’était grisant a 21 ans d’avoir littéralement le dessus sur un mec de 35 ans, d’avoir une telle emprise sur la situation, j’avais jamais ressentie ça.
Je lui explique que j’ai envie de lui laisser un souvenir inoubliable, qu’il a une fille chaude et ok pour faire plus que prévu dans sa voiture, qu’il devrait profiter d’une telle occasion qui ne se représentera peut-être pas, que je veux bien qu’il se branle pendant qu’il joue avec mes seins et que j’aimerais le voir éjaculer pour moi. Il me regarde alors en silence, je vois qu’il hésite, je n’en reviens pas comment on lit a travers chaque expression de ce gars comme un livre ouvert…
Je retire ma main de sa cuisse, me remet en position face à lui et baisse de nouveau mon décolleté sauf que cette fois je décroche mon soutien-gorge par-dessous mon t-shirt pour être plus a l’aise et le jette sur mon spectateur qui rigole nerveusement comprenant que je suis sérieuse. Je me pétris les seins devant lui alors que je lui ordonne de se branler, « Allez sors-la, branle-toi » je sais que je l’ai répété plusieurs fois avant qu’il n’obéisse, déboutonne son jean, attrape sa queue et la sorte au grand jour. Une bite a l’effigie du bonhomme, quelconque, chétive, elle ressemblait a un os et il avait en effet une pilosité abondante plus que négligée ce qui refroidit directement mes ardeurs d’éventuellement lui offrir encore davantage.
Il se branla doucement au départ alors que son regard plongeait de nouveau sur ma poitrine, je le provoquai en lui disant qu’il avait deux mains et en lui prenant le bras pour poser sa main gauche sur mon sein, il se tourna alors face a moi et entama une masturbation plus franche et frénétique alors qu’il soulevait a tour de rôles mes seins et les agrippais par moments enfin comme un vrai mec ! On s’échangea quelques grossièretés alors que je cherchais a l’exciter et lui répondre a mes provocations, je lui dit de me tirer sur les tétons, de les pincer, de maltraiter un peu ma paire car j’en crevais dorénavant d’envie, j’en avais marre qu’il soit sur la retenue, je voulais qu’il se lâche maintenant qu’il se dégorgeait le poireau sans pudeur devant moi ! Le gars devint alors de plus en plus viril et commença a m’écraser les seins, me tordre les tétons, me remettre a ma place et je pris du plaisir a me faire tripoter les seins par ce pauvre mec sur un parking …
Une voiture entra soudainement sur le parking et une cliente du magasin se gara sur une des deux places derrière nous. Je remonta mon haut par sécurité alors qu’elle sortait de son véhicule et se dirigeait vers l’entrée du magasin mais lui cacha juste son sexe avec ses deux mains.
La dame quitta le parking pour faire ses achats. Je ressortis de nouveau mes seins et agrippa le sexe du conducteur inquiet ! Je savais qu’elle reviendrait dans quelques minutes alors autant essayer de le finir rapidement. Je branlai avec vigueur le pauvre homme qui n’allait pas me résister longtemps, je le savais, je me défiais d’échouer avant le retour de la cliente. Mon pouce frottait parfois son gland baveux et le début de son frein, mon poignet s’abattait frénétiquement contre son jean alors que sa verge coincée dans ma poigne la plus ferme était pressée comme un fruit dont on veut extraire le jus ! « Touche mes seins et jouis avant qu’elle revienne » lui dis-je, il agrippa alors a deux mains mes seins et de multiples jets chauds ne tardèrent pas a jaillir sur ma main et partout sur son t-shirt. Je lui vida les couilles patiemment m’assurer de tout faire sortir car visiblement le garçon en avait a revendre. Je plaisante sur la densité de la vidange et l’état de son t-shirt complétement souillé, il me dit que ce n’est pas grave alors je m’essuie la main dessus puisqu’il est plus à ça près ! Je me rhabille alors qu’il étale son sperme qui pénètre le tissu de son t-shirt, un spectacle effroyable.
Il me dépose a l’arrêt de bus pour rentrer chez moi en me remerciant pour la rencontre, je lui souhaite une bonne continuation et de toucher d’autres poitrines et quitte son véhicule. Je jette un dernier regard amusé a son t-shirt maintenant recouvert de tâches blanches en espérant qu’il ne croise personne jusqu’à pouvoir l’ôter...
A peine arrivée chez moi, je fonce dans ma chambre, j’attrape mon plus gros gode et je me défonce la chatte en repensant a ce type, a celle que j’ai été pour lui, dans ses yeux, dans sa vie … Je suis euphorique de cette sensation que j’ai ressentie à ses côtés, cette supériorité sur lui, l’impression de pouvoir faire ce que j’en voulais, cette féminité et sensualité qui émanait de moi, cette assurance dont j’ai fait preuve, cette aventure que je viens de vivre, voilà ce qui me manquait cruellement depuis quelques-temps, du risque, de l’obscénité, l’expérimentation !
Les semaines suivantes j’alternai entre des plans culs comme d’habitude pour « le physique » et des rencontres avec de nouveaux pervers qui avaient tous différents types d’envies pour « le challenge » mais surtout « le psychique » que je tirais de ces rencontres plus stimulantes...
Je continuai sur des rencontres légères et des envies humbles mais je me confrontai à des hommes plus âgés que mes habitudes dans ces annonces, des physiques encore une fois plus disgracieux que mes standards... Je m’habituai à faire des cochonneries avec des hommes qui ne m’attiraient absolument pas, à ne plus me soucier du physique mais plutôt de l’acte, la perversion, l’expérience et c’est parce-que je débutai par des plans sans pénétration et rapport complet que je m’acclimatai une rencontre après l’autre à ne plus être motivée par l’apparence de mes partenaires.
Après le trentenaire qui me tripota les seins, je rencontra un fétichiste des pieds voulant que je le branle du coup vous l’aurez deviné avec mes pieds !
Il avait la vingtaine et on fit ça chez lui. Là encore, je tirai du plaisir à faire triper un mec avec si peu de choses, il vouait un culte à mes pieds toute la rencontre et semblait super épanoui d’être avec une fille qui assouvisse son penchant sans gêne ou jugement, le voir juter sur mes pieds et repartir de chez lui sans même avoir ôter un vêtement (juste mes talons) fut assez déroutant mais au final excitant et valorisant niveau sex-appeal !
Le suivant c’était un cinquantenaire voulant juste me lécher la chatte et me faire jouir avec sa langue.
Il avait deux demandes, que je vienne a sa rencontre en jupe sans culotte et que je sois entièrement épilée (ce que je suis constamment). Ce fût un grand défi pour moi d’aller m’offrir a un homme de cet âge (plus du double du mien, plus de 30 ans d’écart…) mais cela faisait écho a mes penchants sombres envers mon père, a mon envie d’un jour faire du libertinage en club comme lui et de me taper des gars de son âge. J’appliqua le même raisonnement que pour les gars précédents, ce n’est « qu’un cunni », « que des coups de langues » pas besoin d’être séduite pour ça et justement voyons s’il saura quand même me faire jouir rien qu’avec la technique, sans le désir !
Je demanda quand même une photo de « Didier » un nom qui me marqua car il était camionneur et avait une belle bedaine de la bière, je me souviens que je m’amusai de ne tomber que sur des clichés ambulants mais Didier avait tout d’un nounours bienveillant, un regard doux et gentil, chauve avec un bouc, je me surpris à l’imaginer entre mes cuisses et me dire « pourquoi pas » !
Didier m’invita chez lui, il était divorcé et père de deux garçons, ils étaient chez sa mère ce soir-là. Je n’en menais pas large devant lui et il prit les choses en main avec beaucoup de douceur, il m’installa sur le bord de son lit, me coucha sur le dos, se mit à genoux face à moi, remonta mes jambes puis les écarta. Il contempla ma petite chatte quelques secondes en la complimentant puis il embrassa mes cuisses et plongea son visage sous ma jupe. Didier m’embrassa longuement les parties intimes, il n’arrêtait pas de me dire que j’avais une jolie chatte, ça me gênait à la longue car je prenais de plus en plus conscience que j’étais sur le lit d’un père divorcé ayant 30 ans de plus que moi.
Je ne le voyais pas m’embrasser le sexe, la jupe cachait son crâne, je ne voyais que ses gros doigts enfoncés dans mes cuisses où il s’agrippait alors je me souviens que je regardais plutôt le plafond de sa chambre. Il y avait un ventilateur de plafond qui ne tournait pas mais que je fixais du regard longuement alors que Didier semblait tout faire pour me rouler une pelle langoureuse avec mes lèvres du bas, ça dura un moment interminable et pas l’ombre du début d’une sensation de plaisir.
J’étais déçue, la magie n’opérait pas, l’excitation de la situation ne prenait pas et l’homme que j’imaginais expérimenté par son âge faisait ça mal, c’était la désillusion et je songeais a lui demander d’arrêter le massacre, que j’allais rentrée !
Didier releva le visage par-dessus ma jupe et me dit « Je te sens tendue, détends-toi ma chérie » avant d’embrasser tendrement mes cuisses et mon pubis.
Cette phrase changea quelque-chose, déjà j’étais en effet tendue et il l’avait senti, c’était peut-être pas le manche que je croyais car beaucoup des mes plans culs ne se rendent pas compte quand ils sont en train de me perdre, ça me rassura sur le fait qu’il savait finalement peut-être comprendre une femme et être a l’écoute de son corps mais ce qui me déstabilisa c’était qu’il m’ai appelée « Chérie ».
Il y’avait dans sa voix cette bienveillance des ainés sur les enfants, ce côté protecteur et rassurant que je n’ai finalement jamais vraiment connu ayant grandie sans père. Cette marque d’affection lui donna une aura, un charisme instantané sur moi et je ne pouvais plus qu’obéir, essayer de me détendre en effet et lui faire confiance, après tout c’était la spécialité du bonhomme de lécher une chatte !
J’acquiesça et m’excusa docilement, je pris une grosse respiration et posa mes mains sur les siennes, je ferma les yeux et me détendit autant que possible. Il me dit une phrase du genre « Bon, on peut- y aller » ou « Commençons les choses sérieuses » puis il retourna sur mon sexe mais cette fois-ci pas pour l’embrasser mais le lécher. Je ressentais dorénavant bien plus de choses, sa langue humide qui glissait le long de mes lèvres, qui roulait sur mon clitoris, qui allait et venait de plus en plus vite sur mes lèvres. Je commençai à prendre du plaisir, à gémir, à avoir chaud et je compris que le vieux briscard avait joué avec moi, qu’il m’avait faites languir, qu’il avait enquiquiné mon sexe de tous ces baisers pour le rendre aussi disposé à savourer sa langue au moment opportun. Je passai de baisers tantôt grossiers, tantôt délicat mais toujours ennuyants à une langue large, spongieuse, précise qui savait ce qu’elle faisait et comment asservir mon plaisir. Je me sentais vulnérable, prévisible et quelconque pour être finalement aussi simple à manipuler, il m’avait pourtant dit qu’il saurait me faire jouir juste avec sa langue mais son début calamiteux m’avait fait abandonner l’idée qu’il puisse y arriver. Un combat intérieur émergea en moi alors que le plaisir grandissait, je me refusai à l’accueillir me disant qu’il ne pouvait pas m’avoir aussi facilement, qu’il ne pouvait pas faire ce qu’il lui plait au départ puis après s’être bien amusé me faire jouir comme bon lui semble. Je maudissais ce lécheur autant que je l’adulais, comment pouvait-il être si doué ?
« Ne te retiens pas, jouis sans gêne ma chérie ! Je suis là pour ça, je veux t’entendre couiner »
Comment savait-il que j’étais en train de me retenir ? C’était de la sorcellerie pour moi, il parlait toujours au moment propice et puis cette sensation de plénitude a l’entendre me dire « Ma chérie » j’étais SA chose a l’instant T ça c’était sûr !
« Huuuum d’accord » soupirais-je vaincue.
Mes mains enlacèrent celles de Didier, je m’agrippai à ses phalanges alors que je cessai de lutter pour retenir mes gémissements, je me laissai aller et ébruita mon plaisir aux oreilles de mon bourreau.
Il ralentit lorsque je culmina, sa langue effleurait dorénavant mon clito sans vraiment y appuyer un contact. Mon bas-ventre bouillonnait, ma fente voulait être fouillée par un doigt ou une queue, je perdais la tête alors qu’il faisait monter avec stratégie et maitrise l’orgasme en moi. Je m’imaginais déjà me faire prendre par ce camionneur bedonnant, le supplier de me passer dessus alors que j’étoufferais sous son poids le regard toujours sur ces foutues hélices au plafond ! J’avais envie de JOUIR, que ma chatte en feu se fasse calmer, qu’on me la laboure avec violence, que cet homme fasse de moi sa chose.
J’avais les larmes aux yeux et je perdais le contrôle de ma respiration alors qu’il continuait d’effleurer mon clito, je mouillais abondamment et je voulais qu’il me boive ! Je tira sur ma jupe, agrippa son crâne chauve et le supplia de mettre sa langue en moi ! Il plongea aussitôt sa langue a l’intérieur de mon vagin, tirant sur mes cuisses pour me soulever en l’air, je bascula sur les épaules alors qu’il se redressait sur le bord du lit. Il m’avait soulevée comme un vulgaire sac, j’étais dorénavant les jambes suspendues dans le vide, le cul en l’air avec les mains de mon assaillant pour me maintenir droite et stable, il enfonçait sans aucune retenue sa langue en moi, je le regardais me baiser la chatte avec sa langue que je sentais aller et venir dans l’entrée de mon trou, j’hurlais comme une folle alors qu’il baignait dans ma mouille. On y était, l’orgasme, je jouissais, j’hurlais ma faiblesse devant le plaisir. Didier me léchait l’intégralité du sexe, passant de haut en bas mes lèvres du plat de sa langue, frappant sans douceur mon clito de la pointe de sa langue et enfonçant celle-ci en moi pour la remuer contre mes parois, quelle obscénité, quelle déchéance pour cet homme, quel cunnilingus !
Je cherchai à me dégager à plusieurs reprises pendant l’orgasme mais il me poursuivit de la bouche a chaque fois s’assurant que je ne me dérobe pas et subisse le plaisir ultime jusqu’au bout. Nous terminâmes au milieu du lit quand je le suppliai d’arrêter, que c’était fini. Je n’oublierais jamais son bouc luisant, ses babines trempées et ma chatte irritée et toute rouge par les multiples frottements de son menton. C’était le cunni le plus bestial de ma vie mais surtout le plus maitrisé, un véritable brasier qui avait pris petit à petit, d’une braise qui avait failli s’éteindre était née une explosion inoubliable, quel salaupard, il savait ce qu’il faisait le gourmand ! On discuta un moment au bord du lit de sa technique alors que mes jambes flageolaient trop pour que je tienne debout, ma chatte était hors-jeu et l’idée de coucher avec Didier éclipsée après avoir jouie. Je garda ça évidemment pour moi et seule la honte d’avoir été ainsi asservie et facilement pilotée subsista ! Je quittai Didier sans quoi que ce soit de plus entre nous, il était très satisfait d’avoir pu manger la moule d’une jeunette et moi très décontenancée par tout ce que j’avais ressentie.
Je me masturba plusieurs fois en repensant à Didier mais ma quête devait continuer.
La rencontre suivante fut moins réussie, un fétichiste de lingerie qui voulait me masturber à travers ma culotte, je sais même plus la tranche d’âge dans laquelle il était mais je me souviens que je n’y ai pas pris de plaisir. Il me frottait le clito à travers une culotte en dentelle, ce n’était pas fou et quand il me doigtait en enfonçant le tissu a l’intérieur encore moins… Je l’avais branlé avec mes seins en gardant mon soutif, coinçant sa queue dans le creux de mes seins et sous le gousset du soutif, ça avait été assez pratique car je n’avais rien à faire pour la garder en place grâce au gousset mais bon, zéro fun pour moi surtout qu’il y’avait pas ce petit feeling quand je vois que je comble ou rends-fou le mec en réalisant son kiff.
Le pire avait été qu’il voulait cracher dans ma culotte donc je l’avais retirée et pas remise en rentrant, assez écœurant de voir son sperme séché dedans en la mettant à laver alors que je n’avais pas spécialement passé un bon moment…
Mes rencontres suivantes furent de nouveau un fétichiste des pieds et un fan de gorge profonde.
Le fétichiste avait la quarantaine et voulait surtout me sucer les orteils, j’avais kiffé car là encore je voyais vraiment que le mec était a fond et adorait mes pieds. J’avais aussi été très excitée qu’il ai le double de mon âge et qu"il soit pourtant a mes pieds, a me demander de lui écraser le visage avec, voir un daron passer sa langue entre mes orteils pendant qu’il se branle c’était là encore grisant. Il était tombé si bas juste pour mes pieds, si docile, esclave de ses penchants, plein de désir…
Ce quarantenaire qui lèche mon talon, respire la plante de mes pieds, se branle comme un chien en rut devant moi a des amis, une famille, des collègues qui ignore tout de ses petits penchants, du dépravé qu’il est et moi, je le vois tel qu’il est !
C’était ça que j’aimais dans ces rencontres, ces plans particuliers, voir leur part d’ombre et incarner leur plaisir !
Quand je suis allée me faire baiser la bouche par ce gars de mon âge, qu’il m’a insultée de tous les noms, m’a étouffée avec son sexe, faites pleurée et bavée sur sa verge, qu’il a pu assouvir ses bas instincts dans ma gorge et bien je savais très bien que je lui offrais une prestation qu’il n’est pas prêt de réassouvir. Je lui permets de kiffer comme sa future femme ne saura pas le faire, je sais que ce mec a envie de malmener une femme avec sa bite, qu’il est excité a l’idée de lui baiser la gueule sans respect pourtant il fera le gendre idéal devant ses beaux-parents, le féministe devant sa sœur ou sa mère mais moi, je le vois, je l’expérimente, tel qu’il est vraiment ….
Je me questionne dorénavant sur deux voies qui semblent se dessiner devant moi et que j’ai envie d’explorer puisqu’elles m’offrent des sensations incomparables. L’une où je domine plus ou moins les hommes comme les fétichistes ou le tripoteur de seins sur le parking jouissant de cette sensation de pouvoir que j’ai sur eux et l’une où je m’offre et m’abandonne à leurs désirs pour devenir leur chose comme notamment avec Didier !
Il n’y a plus trop d’annonces avec des demandes humbles ou légères dans ma région, beaucoup d’autres choses me tentent comme des plans a plusieurs, essayer un couple, certaines propositions avec des scénarios plus hard mais même si je me sais dorénavant plus stimulée par le vice que le physique, j’ai quand même envie de prendre mon temps et ne pas faire tout et n’importe quoi trop vite alors je prends du recul et remets les étapes supérieures a plus tard.
Mon changement d’état d’esprit sur le physique me pousse dans une nouvelle direction, il y’a une catégorie dont j’étais particulièrement friande dans le porno, un contenu sur lequel je revenais souvent et qui m’excitait d’une façon que je n’arrivais pas expliquer, un contenu vers lequel on glisse vite quand on apprécie les grosses bites …
Le sexe interracial !
J’ai des heures de masturbation sur des centaines de vidéos où des noirs baisent des blanches, des jouissances avec de grosses queues noires sous les yeux, j’aime les grosses bites et pourtant je n’ai jamais essayé les Blacks ! La raison est simple, je ne les trouve pas attirants physiquement, ce n’est juste pas ma came pourtant j’aime bien leurs queues enfin justement non pas vraiment ! Disons que visuellement je les trouve souvent monstrueuses, animales et c’est ce qui m’excite quand je les vois dilater des blanches par contre je ne trouve pas qu’elles soient jolies et je suis plus excitée par les nanas qui encaissent de telles poutres que les mecs à qui elles sont rattachées…
On a tous des goûts, des préférences et sans être raciste, ce n’est pas mon délire les renois, les arabes, les latinos, les asiatiques, les indiens bref je suis exclusivement attirée par les blancs ! Les stars de couleurs ne me font pas fantasmer, les renois que j’ai rencontrés je n’ai jamais eu de bon feeling et la plupart étaient de gros lourds en discothèques ou sentaient mauvais (désolée).
Ayant passé un cap, accordant moins d’intérêt au physique, ayant toujours autant envie de grosses queues, d’aventure, de me challenger, de rencontres différentes, cela m’apparait comme une expérience à tenter au moins une fois et une suite logique.
Des mois que je refuse les avances des noirs sur des sites de rencontres, que je ne retiens pas leurs profils, je me dis qu’il est tant d’essayer !
Le prochain chapitre leur sera dédié car j’ai été accroc à la BBC quelques mois…
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________
Fin 2016
Ce chapitre bonus est là pour vous dévoiler un événement important qui s‘est déroulé au nouvel an 2016/2017 alors que je commençais à enchainer les plans culs dans la ville où je faisais mes études.
Cet élément n’ayant pas sa place dans le récit relatant ma première année de coups d’un soir, j'ai fait le choix de vous raconter l’évolution de cette relation année après année dans des chapitres annexes.
Je vous dévoile donc dans ce chapitre des informations complémentaires sur cette époque.
Cela faisait deux mois que j’avais débuté les plans culs lorsque les vacances de fin d’année arrivèrent et que je rentra chez ma mère pour les fêtes. Je passais Noel comme chaque année en famille où nous avions l’habitude d’aller chez mon grand-père pour y retrouver mes tantes et leurs enfants. Pour ce qui est du nouvel an, j’avais également l’habitude de toujours le passer avec ma bande de potes du collège et j'avais hâte de les revoir.
Je profite de ces vacances pour me ressourcer étant loin de mes proches dans cette nouvelle école, je ne rentre jamais chez moi le week-end.
Ma mère me félicite pour mon début d’année et semble soulagée de me voir enfin épanouie, on passe de bons moments mère/fille et le reste du temps je le passe avec Clara (ma meilleure-amie) et une autre copine à faire du shopping ou seule a jouer aux jeux-vidéos et regarder des séries que j’ai en retard.
Les jours passent et mon envie de sexe commence a se faire ressentir, je me masturbe de plus en plus et regrette de ne pas avoir pris un ou deux sex-toys avec moi …
Je me frotte contre mon oreiller le matin au réveil ou me caresse le clitoris en repensant à mes plans de ces dernières semaines.
Je regarde des scènes hards de gang-bang sur mon téléphone en me doigtant et me stimulant plus fort avant de dormir.
Quand je reste seule à la maison en journée ça dérape souvent sur une session sites de culs où je calme mes ardeurs …
Je prends conscience que je me suis habituée à me faire sauter par un inconnu toutes les semaines et que cela me manque !
J’ai besoin de ma dose, de découvrir une nouvelle bite, de me faire baiser ...
Je m’interdis d’avoir ce type de rencontres dans ma ville, je préfère faire la salope loin de chez moi et m’impose de me retenir la douzaine de jours que je passe chez ma mère. Je ne raconte même pas mes aventures à Clara qui avant savait tout de ma vie sexuelle et mes frasques donc ce n’est pas pour faire n’importe quoi parce-que je commence à avoir le feu au cul !
Aucune rencontre pendant les vacances, je me l'étais imposé, je tiendrais !
De toute façon, j’ai quelqu’un en tête ... Je sais sur quelle bite je vais m’empaler pour assouvir mes besoins.
Mon meilleur ami, Kévin. Je ne l'ai pas revu depuis qu’il m’a baisée quelques jours avant mon départ pour la rentrée.
On s’est échangés plusieurs messages ces dernières semaines où il s’inquiétait beaucoup pour moi vis-à-vis de mes blessures de l’année dernière et je l’ai énormément rassuré sans jamais lui parler de mes plans-culs ! Il ne se doute pas un instant de tout ce que j’ai pu faire ces derniers temps ni de ce que je prévois de faire avec lui durant ces vacances …
Je lui ai envoyé un message pour lui souhaiter un joyeux noël, il m’a retourné la politesse et j'ai alors proposé de se voir (sans manifester aucune arrière-pensée bien que j’en avais) mais il m’a répondu ne pas être disponible avant le soir du nouvel-an …
Je patienta donc jusqu’au réveillon que nous fêtions chez les parents de Gabriel (un copain de la bande) où toute la bande du collège et leurs mecs/nanas (pour ceux en couple) se retrouvaient pour une soirée arrosée dans une maison rien que pour nous.
Vers 17 heures, j’écris à Kévin en lui demandant s’il pouvait passer me chercher pour m’emmener chez Gab (ayant envie de le voir en tête a tête pour éventuellement faire un bail avant la soirée). Il me répondit qu’il était chez Laura (sa copine depuis 5 ans) et qu’ils pouvaient passer me prendre vers 19h45 pour aller à la soirée, j’accepta frustrée qu’elle l’accapare déjà …
Je suis clairement une garce d’avoir autant manquer de respect à Laura, la pauvre bichette était déjà cocue a deux reprises à cause de nos conneries. Il l’avait trompée deux ans après le début de leur relation quand je l’avais branlé et l’avait laissé me bouffer les seins alors que j’étais moi aussi en couple avec Thomas puis une seconde fois quand j’avais égoïstement insistée pour qu’il me fasse l’amour quatre mois auparavant …
Laura était une copine, elle trainait dans nôtre bande de potes depuis 5 ans et même si elle était avant tout la « meuf de » Kévin, ça restait une fille sympa avec qui je délirais beaucoup et que j’appréciais pourtant je n’arrivais plus à me freiner pour elle depuis qu’on avait déconnés. Je me disais que le mal était fait …
Je m’habille donc en bombe ce soir-là, bien décidée a rendre fou son mec et en profiter une nouvelle fois ...
Je porte un soutif et un string motif léopard, une robe noire et moulante avec un bon décolleté qui est assez courte puisqu'elle m'arrive juste au-dessus des genoux. De beaux talons aiguilles avec sandales a lanières noires, du vernis rouge tout frais d’il y’a une heure et j’emprunte le fer a friser de ma mère pour me boucler les cheveux bref j’envoie du lourd et m’assure qu’il ne puisse pas me résister mais fais attention a un détail, ne pas mettre de rouge a lèvres, pour pas qu’on se fasse cramer …
Laura sonne à la porte, je prends mes affaires et va a sa rencontre, elle me reluque de la tête au pied et me dit que je suis trop belle, je lui retourne le compliment. Je monte à l’arrière de la voiture de Kévin qui nous attends garé devant chez moi, on se salue et se fait la bise, il s’amuse de me voir avec des bouclettes et démarre le véhicule.
Je suis frustrée qu’il n’est pas eu un mot pour ma tenue ou me dise que je suis jolie, il semble mal à l’aise en présence de Laura et je ne retrouve pas mon meilleur pote comme je le connais, cela me tends et me mets mal à l'aise également.
Nous arrivons chez Gabriel, nous saluons tout le monde et plusieurs personnes me complimente sur ma tenue et ma coiffure, cela me fait plaisir mais renforce ma frustration de ne pas avoir eu une réaction similaire de la part de celui pour qui j'ai fait tout ça. Kévin ne m’approche pas vraiment durant la première heure et cela commence à m’agacer, j’hésite entre aller crever l’abcès au plus vite ou lui faire la gueule toute la soirée s’il continue et ne plus le calculer …
J'évite l'alcool depuis mes soucis de l'année dernière mais cette fois-ci je craque et décide de déroger a la règle pour le nouvel an même si dans le fond c'est sûrement pour ne pas affronter les pensées qui m'assaillent vis a vis de mon meilleur-ami, je me doute que cela le forcera a s'en inquiéter et venir me parler.
Je trinque avec mes amis en leur expliquant faire une exception pour cette soirée a part et m'engage a ne pas reboire de l'année suivante, Kévin ne dira rien ...
Plus tard dans la soirée, je surprends une conversation entre Laura et la copine d’un pote a nous où elle se confie en disant qu’en ce moment ça ne va pas fort avec Kévin et qu’ils ont faillis faire un break le mois-dernier …
Il ne m’en a jamais parlé par messages quand nous prenions des nouvelles l'un de l'autre et instantanément je m’inquiète en me demandant si j’en suis responsable …
J’attrape Clara dans une chambre pour lui demander si elle est au courant de quelque-chose de son côté et elle m’assure que je lui apprends, qu’il n’en a jamais parlé avec elle non plus.
La soirée se passe et j’enchaine les verres, je vois Kévin partir chercher des bouteilles avec Gab dans le garage et décide d’aller lui parler !
« Tu vas faire la gueule encore longtemps ?
- Je ne fais pas la gueule, pourquoi tu dis-ça ?
- Je ne sais pas, tu m’ignores depuis le début et a chaque fois que je m’approche, tu t’en vas alors qu'en général tu passes la plupart de ton temps avec moi donc je ne comprends pas cette distance !
- Je vais vous laisser, dit Gab en rigolant, prenant les bouteilles et quittant le garage ...
- Pourquoi je te ferais la gueule ? Y’a rien t’inquiète, je n’ai pas dû faire attention.
- Ouais c'est ça et pourquoi tu ne m’as pas parlé de vos soucis avec Laura ?
- Comment tu sais-ça ?
- Je l’ai entendue en parler tout a l’heure dans la cuisine.
- Y’a pas grand-chose à en dire puis c’est normal des hauts et des bas dans un couple quand ça fait aussi longtemps, je n’avais pas envie de parler de mes problèmes qui d’ailleurs se tassent …
- Je n’aime pas ça, depuis quand notre amitié s’est délabrée comme ça pour que tu ne me confies plus tes problèmes …
- Elle ne s’est pas délabrée, juste t’es peut-être plus la mieux placée pour qu’on parle de Laura, tu ne crois pas ? »
Un silence s’installe, je suis choquée par ce qu’il vient de dire et a la fois je le comprends.
Cela me vexe et me déçoit sur le plan amical mais c’est logique du point de vue « amants » … Cela fait mal a entendre mais je reconnais qu'il n'a pas tord.
« Je ne pensais pas que ce qu’on avait fait changerait des choses entre nous …
- Cela n’a rien changé c'est juste que si j’ai des soucis avec ma meuf, j'ai moins envie d’en parler avec ma pote que j’ai sautée dans son dos.
- Tu as peut-être raison mais maintenant qu’on en parle, tu t’en veux du coup ?
- De ?
- Bah tu sais, ce qu’on a fait ...
- Non ! Enfin vis-à-vis d’elle, SI ! Disons que je porte une culpabilité mais c’est moi qui avais commencé la première-fois et j’avais toujours voulu le faire avec toi donc je ne regrette rien même si ça devait niquer mon couple, fallait que je le fasse …
- Je vois mais si c’était à refaire ?
- Je le referais et toi ?
- Pareil et pour rien te cacher, j’avais envie de le refaire … Je voulais que tu passes y’a des jours, cette aprèm ou qu’on se capte avant que je reparte mais je voulais qu’on le refasse …
- Ouais, je … m’en doutais ...
- Comment-ça ?
- C’est pour ça que j’étais « fuyant », « pas dispo » ces derniers jours bref que tu me trouvais distant tout a l’heure ... Je sais que si tu t’approchais trop, j’allais avoir envie de remettre le couvert ! Je compte plus le nombre de fois où je me suis branlé en repensant a ton corps depuis qu’on l’a fait … Tu sais que j'ai toujours été très sensible à tes charmes ...
- On a vraiment une relation a part toi et moi, j'arrive plus a mettre un mot dessus et je m'en fiche mais il faut pas que ça te fasse du mal !
- En fait, je ne voulais pas refaire ça à Laura, mettre mon couple en danger… Je l’aime mais le sexe est devenu plus ennuyeux avec elle, c’est plat, routinier et je crois que j’en ai fait le tour, je me demande si je ne rate pas une partie de ma jeunesse et elle-aussi donc ça me terrifie ...
- C’est délicat de te répondre mais je ne pensais pas que ça polluerait ton histoire comme ça qu’on couche ensemble …
- Pour être franc, j’ai préféré coucher avec toi qu’avec elle, je trouve ton corps plus bandant que le sien, j’ai plusieurs fois pensé a toi pendant que je le faisais avec elle et j’ai envie de toi encore et encore depuis qu’on a franchi le cap !
- Arrête, tu m’excites trop quand tu me dis des trucs comme ça !
- Viens-là ! »
Il s’approche d’un coup et m’embrasse, nos langues se mêlent, un tsunami déferle dans ma culotte comme si je contenais mon excitation depuis des heures et pouvait enfin la laisser m’envahir, il agrippe mon cul et me relâche soudain pour plonger ses yeux dans les miens.
Je brise vite l’instant avant qu’il ne se ravise en lui disant « je veux que tu me baises ! »
« Pas ici, pas ce soir, trop risqué !
- On va trouver un moment, des jours que j’y pense et que je veux ta queue !
- On peut se faire gauler par nos potes, par Clara ou pire Laura qui ferait un scandale et ça tournerait au drame ... Pleurs, baston entre vous la connaissant, bref on niquerait la soirée de tout le monde …
- Le risque m’excite encore plus, je veux être vilaine ce soir, des jours que j’attends de te voir ... »
Je me mords les lèvres en lui faisant des yeux de biche tout en posant la paume de ma main sur son entrejambe.
« Ecoute, je vais y réfléchir et on se voit demain ou après-demain si on est encore chauds mais clairement faut se tenir chez Gab, y’a trop à perdre ... »
Je prends sa main et la glisse sous ma robe, il sourit et frotte ma chatte avec son majeur à travers mon string
« Arrête-toi, t’es bourrée ou quoi ? dit-il en rigolant
- Rentre-un doigt ! »
Il s’exécute et insère le bout de son index dans ma chatte humide après avoir écartée mon string avec son majeur.
« T’es trempée, me dit-il
- Tu vas me regarder toute la soirée et à chaque fois que tu poseras les yeux sur moi, je veux que tu penses a cette chatte trempée qui n'attends que toi ! Tu pourras la prendre quand tu veux et où tu veux, trouve une pièce, un timing, une excuse et isolons-nous autant de fois qu’on le pourra pour être de vilains cachotiers »
Il sourit toujours et commence à me doigter faisant aller et venir son index en moi
« Ah ouais ? Je ne te savais pas si coquine !
- Oh arrête, t’en sais tellement ! En tout cas ce n’est pas que ton doigt que je veux !
- Tu sais bien que je ne peux pas te résister … »
Il rigole une dernière fois, retire son doigt et quitte la pièce sans se retourner.
Je repositionne mon string correctement et retourne dans la maison a mon tour. Des gens me parlent sur le trajet mais je n’ai qu’une envie, poser de nouveau mes yeux sur lui pour voir s’il va pécher ou non ! J’écourte la conversation et pars à sa recherche. Je me prends une bouffée de chaleur en arrivant dans le salon, la salope en moi est en train de bouillonner, c’était trop intense pour que j’en reste-là !
Je le retrouve dehors avec Laura dans ses bras, il l’enlace par derrière alors qu'elle discute avec Clara et son mec.
Mon regard capte celui de Kévin qui n’est plus fuyant mais assez lubrique, un brin provocateur comme s’il guettait ma réaction.
Une pointe de jalousie se fait sentir mais son regard me prouve qu’il n’est plus dans l’état d’esprit du début de soirée, je m’isole alors pour prendre un verre seule et rassembler mes pensées.
Un pote vient me parler mais je n’y prête pas vraiment attention, je suis en train de réfléchir à cette pointe de jalousie ...
Laura est sa meuf et je n’ai pas de soucis avec ça, je comprends alors que je suis plus piquée dans ma fierté de femme qu’il aille se blottir contre elle l’air de rien alors qu’il avait son doigt en moi il y’a deux minutes ! Je prends cette action comme une manière de me "décourager" de sa part, de m’envoyer une image forte pour me dire « regarde, c’est elle ma copine et tu fais de la merde » et ainsi me culpabiliser. Cependant vu son attitude en quittant le garage et son regard quand il l'enlaçait, n’était-ce pas plutôt une façon de me "challenger" pour voir si j’en avais vraiment "rien à foutre" et comptait courir après sa queue quoi qu’il en soit ?
J’avais trop envie de sexe, de le refaire avec lui et de continuer a entretenir ce lien unique que l’on tissait.
C’est mon meilleur pote, mon frère, il sait presque tout sur moi et on partage tout même nos corps et nos envies.
Il est la seule personne dans ma vie actuelle à connaitre les deux facettes de moi ...
J’ai envie de lui en montrer plus sur ma seconde nature et surtout de découvrir la sienne que j’avais plusieurs fois entrevue et que je semble avoir réveillée ce soir … J'avais envie de sexe avant la soirée et ce n'est pas maintenant que je venais de me faire brièvement doigter que ça allait s'apaiser ... S'il voulait jouer a qui est le plus faible, on va jouer !
Je me remets dans la soirée et profite un peu des festivités avec tout le monde, Kévin et moi échangeons comme a notre habitude devant les autres mais je cogite de plus en plus a des façons de m’isoler avec lui. J’ai une sorte de radar qui sait précisément où il se trouve dans la maison même si je ne le regarde pas, surveillant la moindre occasion de " le coincer" tout en réfléchissant a des manières de le chauffer sans que les autres ne nous voient/comprennent !
Ma première action aura été de lui toucher la queue a travers son pantalon en le croisant dans un couloir alors qu’il suivait Laura et un pote !
Il s’était retourné pour me jeter un regard qui en disait long alors que je continuais ma route et lui, la sienne ...
Ma seconde provocation fut un geste de la main façon félin « grrrrr » quand il me regarda ce qui le fit rire (je le fis discrètement mais tout de même devant tout le monde, sachant que personne ne comprendrait si on me voyait, se disant au pire qu’on délire).
C’est lui qui opéra ensuite une manœuvre risquée en me touchant le cul pendant que nous parlions avec des potes dont Laura …
Nous étions tous les deux dans la cuisine à se préparer un verre et eux étaient dans le salon. La cuisine des parents de Gab comportait un bar ouvert sur le salon donc nous ne voyions que le haut du corps de nos interlocuteurs et eux de même. Je discutais avec Laura et deux potes quand il posa sa main droite sur ma fesse droite, je fût très surprise qu’il initie un geste comme celui-ci en présence de nos potes et plus particulièrement sa copine …
Sa main resta posée sur ma fesse au départ puis il commença a la remuer de haut en bas alors qu’il prit la parole. Il était en train de discuter avec eux et moi d’écouter tout en préparant mon verre, personne ne se doutait de rien et cela aurait dû m’exciter mais j’étais trop paniquée, je ne quittais plus Laura des yeux. Sa main palpait ma fesse a travers ma robe, il agrippait parfois pleinement ma fesse, je m’extirpa dès que mon verre était prêt pour rejoindre nos amis dans le salon et ainsi continuer la conversation face a lui. J’étais mal à l’aise, il me fit rougir et me donna un coup de chaud ...
Minuit pile arriva quelques minutes plus tard, on se souhaita tous « bonne année » avec des accolades, je regarda Laura et Kévin se rouler une pelle et s’enlacer, on ne fit rien de spécial quand vient nôtre tour étant en présence de tout le monde.
Dans les minutes qui suivirent, plusieurs d’entre-nous sortirent dans le jardin pour prendre ou passer des appels afin de souhaiter la bonne année a des amis. Certains restèrent a discuter en terrasse et d’autres se promenaient dans le jardin pendant leurs conversations téléphoniques, je raccrocha d’un coup de fil avec Ines ma coloc et vit que Kévin était au téléphone a côté de moi et que nous étions seuls dans le noir au fond du jardin.
Il n’y avait plus que deux personnes dans le jardin et elles étaient proches de la terrasse, je m’approche donc de Kévin qui était au téléphone avec un pote et commence a lui déboutonner son pantalon, il jette instantanément un regard vers la terrasse ! Ma main froide extirpe sa queue chaleureuse hors de son caleçon et commence a le branler, il tourne autant que possible le dos a la terrasse et pose sa main sur mon épaule alors que je lui fait face, il se laisse faire tout en cherchant a écourter son appel. « Je dois te laisser, bonne année mon pote, on se voit à la rentrée » dit-il en raccrochant alors qu’il a ses yeux dans les miens et que mon poignet frappe en rythme contre ses couilles.
Depuis quand ce mec m'excite-t-il autant ?
« Bordel t’avais la main froide, me dit-il directement
- J’avais justement envie de me réchauffer les doigts, répondais-je
- T’es folle, on pourrait se faire voir …
- Ah ouais ? Et quand tu me touchais le cul dans la cuisine aussi ... T’as vu, ça surprend !
- Non, ils ne pouvaient rien voir !
- T’as osé me tripoter le cul alors que tu parlais avec ta meuf !
- C’était excitant …
- Salaud, tu me baises quand ? demandais-je tout en lui faisant une léchette dans son cou
- Laura commence à être bourrée, fais-la bien picoler qu’on la couche et quand ils seront tous ivres, on devrait se trouver un moment ...
- Ok, je vais la faire boire »
Je lâche sa bite sans prévenir et retourne dans la maison sans me retourner, le laissant la queue a l’air au fond du jardin (petite vengeance pour le garage).
J’entreprends alors nôtre plan machiavélique et demande à Laura de trinquer avec moi, dans l’heure qui suit c’est trois verres que je fais boire à la miss alors que je me sers dorénavant des cocktails sans alcool.
Je vois Kévin l’inciter à boire un verre avec lui a un moment alors qu’elle commence à être K.O, il est dorénavant plus que motivé !
Tout le monde commence à être déchirés, on approche de 3 heures du matin et certains comatent dorénavant sur le canapé alors que d’autres dansent, que quelques mecs continuent de boire a table et que les fumeurs passent maintenant la plupart de leur temps en terrasse, le groupe est dispersé et certains vomitos sont déjà au lit dans les chambres a l'étage.
Laura est inerte dans les bras de Kévin, il la laisse un moment pour aller pisser et la couche sur le canapé puis part aux toilettes.
Je le suis sans qu’il me remarque et l’attends devant la porte, je l’entends pisser malgré la musique et patiente une minute devant la porte lorsqu’il l’ouvre enfin pour sortir. Je m’engouffre à l’intérieur en le poussant, ferme la porte a clé et commence à l’embrasser.
« Je viens de pisser, tu ne vas quand même pas me sucer maintenant ?
- Non, c’est toi qui vas me bouffer la chatte, je tiens plus et je ne quitterais pas ces chiottes sans que tu me fasses jouir ! »
Je soulève ma robe, retire mon string que j’accroche a la poignée de la porte et tends mon pubis en avant, il se mets a genoux sans un mot et commence à m’embrasser les lèvres puis il aspire mon clito et bientôt entre sa langue dans ma chatte qui dégouline de plaisir sur sa bouche. Je me retiens autant que possible de gémir mais quelques sons s'échappent alors qu’il dévore mon entre-jambe, heureusement la musique et les murs étouffent tout ce qui peut sortir de ces toilettes. Je mets mon pied droit sur la cuvette des WC, je m’appuie le dos contre le mur alors que mon talon glisse sur la cuvette, cette position est la plus obscène que j’ai jamais prise pour me faire bouffer la chatte, ça m’excite trop. J’agrippe mon meilleur pote par les cheveux, j’écoute la musique et nos potes qui chantent, je suis une trainée, sa petite-amie est dans le salon, je suis en robe avec mon string léopard sur la poignée de porte et le visage de mon meilleur ami entre les cuisses … Il glisse un doigt en moi et me masturbe pendant que sa langue frotte dans tous les sens mon clito, je me redresse alors et empoigne ses cheveux a deux mains pour écraser son visage contre ma chatte, je pousse un cri que j’étouffe instantanément de la main droite relâchant les cheveux de celui qui n’arrête aucunement de me lécher alors que je jouis comme la trainée que je suis ! Mes jambes sont en cotons, je m’appuie au mur alors que je recule pour libérer Kévin, il est décoiffé et son menton recouvert de cyprine/salive. Il s’essuie le menton du poignet et se relève, on rigole en se prenant dans les bras puis je rebaisse ma robe, remets mon string et nous constatons que mon talon aiguille a rayé le dos de la lunette des WC ... On la remet en position debout pour que personne ne le voit et on se promet de garder ça secret, le pauvre Gab comme ses parents n’en connaitront jamais la cause ni les responsables ... Nous quittons les toilettes.
Il se recoiffe de la main devant un miroir et nous regagnons le salon, je titube un peu dans le couloir lors de mes premiers pas puis je m’installe dans un des canapés pour me remettre de cette péripétie, le meilleur cunni de ma vie ...
Kévin rejoint Laura dans le canapé à coté du mien, elle est couchée exactement comme il l'a laissée, il la redresse et elle le prend dans ses bras, elle se met alors à l’embrasser et je regarde la scène avec une certaine appréhension proche de la panique ...
"Est-ce qu’elle va sentir qu’il pue la chatte ou qu’il a un certain gout ? "
Mon cœur fait un bond et leur baiser me coupe la respiration, j’attends de voir plus qu’inquiète de ce qui va suivre …
Laura retire enfin sa bouche de celle de Kévin et couche son front sur son épaule, elle le chevauche et semble s’endormir sur lui.
Il me regarde par-dessus son épaule alors que je lui fais de grands yeux, il sourit et lui touche les fesses alors qu’elle est sur lui.
Je viens de jouir et pourtant me voici de nouveau très excitée, elle vient d’embrasser la bouche sur laquelle j’ai dégoulinée ...
Les lèvres de son mec étaient sur mon clitoris et la pointe de sa langue a l’intérieur de mon vagin il y’a quelques instants et elle vient indirectement de goûter à ma cyprine ... Pour avoir embrassée maintes fois mes partenaires après qu’ils m’aient bouffés la chatte, je sais qu’il y’a un goût, Laura est sûrement trop bourrée pour se rendre compte que son mec venait de bouffer une chatte mais c’est quelque-chose qui se sent à un intervalle aussi court après l’acte …
Je regarde Kévin qui a les mains sur le fessier de la pauvre Laura qui ne se doute pas un instant de ce qu’il vient de faire avec moi, il me regarde d’un œil lubrique et je me rends compte que ce mec cache bien son jeu, qu’il est un pervers qui a su me cacher sa vraie nature toutes ces années …
Il soulève alors Laura et l’emmène à l’étage pour la coucher, elle est complètement torchée et a besoin de prendre appui sur lui pour monter l'escalier. Les deux/trois potes qui étaient dans la maison sortent tous dans le jardin en m'invitant a les suivre, je décline en disant attendre Kévin et vouloir rester au chaud.
Il redescend seul l’escalier et vient s’asseoir à côté de moi qui l’attendais, on se dit qu’on est « enfin seuls » et je me sens soudainement intimidée par la situation. Je suis comme une proie qui s'amusait a se jouer de son prédateur, lui filant entre les pattes au dernier moment mais cette fois, je sais qu'il va me chasser sérieusement et que plus rien ni personne ne pourra m'aider a lui échapper ...
J'ai lancé cette partie de chasse et réveillé son instinct primaire pourtant bien que je souhaitais être prise dans ses filets c'est au moment où je le suis que je réalise que je ne connais rien de cette partie sombre de mon meilleur-ami, qui est ce male que rien ne semble pouvoir arrêter dorénavant ? Je me sens comme un bout de viande qu'il voulait dévorer, plus rien d'autre ne semble compter pour lui que d'user de la femelle que je suis et une curieuse sensation de malaise s'entremêle a un profond désir d'être sa chose.
Clara rentre alors dans le salon, elle revient de la terrasse, je ne l'ai pas vu depuis un moment et elle semble ivre comme rarement, "vous êtes-là !" s'écrie-t-elle alors qu'elle retire son manteau et cours vers nous pour nous sauter dessus et s'avachir sur ses deux potes.
Elle est bourrée, nous dit qu'elle nous aime et nous fait des câlins, Kévin redevient le gars que je connais et nous discutons un long moment avec notre meilleure pote saoule. Elle se demande a un moment où est Laura, il lui explique l'avoir couchée car elle était trop bourrée et elle le taquine en lui disant de ne pas trop profiter d'elle cette nuit si elle est ivre. Il lui rétorque que son mec ne devrait rien lui faire aussi vu qu'elle est pompette et elle s'esclaffe de rire en disant qu'elle espère bien qu'il va pas raisonner ainsi, on lui fait remarquer que c'est contradictoire avec ce qu'elle disait pour Kévin puis elle rigola toute seule avant de retourner dehors chercher son mec.
« J'en connais une qui va se faire limer comme il faut ...
- Pfffff, t'es con, elle est bien bourrée en tout cas !
- Si tu veux filer en douce, c'est quand elle ira se coucher, c'est la dernière ici qui fera a peu près attention à ce qu'on fait ...
- T'as peut-être pas tort, je commence à me dire que c'est risqué voir très probable que quelqu'un nous crame.
- Tu te dégonfles ?
- Euh ... Non, juste je commence a être fatiguée et je vois plus trop où on pourrait se mettre ...
- Dans ma voiture ou on marche un peu et on fait ça dehors dans un coin discret !
- Ah ouais ? Je vois que t'as réfléchi
- Je suis chaud bouillant !
- Intéressant, dis-moi tout, comment on fait ?
- Ils sont tous torchés, même moi je le suis pas mal d'ailleurs, la plupart sont couchés et ceux qui restent sont dans un tel état qu’ils ne feront pas gaffe d'où on est et qui est encore debout ! Une fois Clara au lit, on file par la porte d'entrée et on se fait du bien un peu plus loin ?
- Plus loin dans le sens petit-coin discret ? La voiture est plus une option ?
- Bah disons qu'on est a l'étroit dans une bagnole et je suis pas libre de mes mouvements, on va crever de chaud et on peut se faire griller par un con qui irait fumer devant, c'est toi qui disais vouloir être vilaine ce soir et que ça t'excitais le risque d'être surprise !
- On va se les cailler dehors mais tu marques un point, ça rendra cette soirée encore plus inoubliable.
- On s'éclipse dès que Clara monte se coucher, faut juste que je trouve une capote avant, je crois que Gab en a dans sa chambre et il est dehors pour l'instant donc je vais aller voir !
- Pourquoi faire ? On en a pas mis la dernière fois et rien a changé !
- T'as pas couché avec des mecs ?
- Juste un et on a mis une capote donc y'a qu'avec toi que j'en mets pas car tu couches qu'avec ta meuf depuis des années !
- Sérieux, on refait sans ?
- C'est bien meilleur !
- Ouais, c'est clair ...»
Si vous avez lu le chapitre précédent, vous savez que je me tapais un mec par semaine a cette période et que je commençais a augmenter la cadence donc j'ai menti en lui disant que j'avais couché qu'avec un garçon néanmoins JAMAIS je n'ai couché avec un seul coup d'un soir sans préservatif. Kévin sait que je prends la pilule et que je ne jouerais ni avec sa sécurité, ni la mienne. Lorsque nous avions couchés ensemble il y'a quatre mois j'avais fait un dépistage suite au regrettable accident qui m'avait servit de déclic et il savait que j’étais clean, que j'obligeais toujours le port du préservatif a mes partenaires hors petit-ami et qu'il était l'exception.
Clara et son mec partirent se coucher aux alentours de 4 heures du matin, un pote a nous se la joua pot de colle et je m'impatientais commençant a fatiguée. Ma chatte humide réclamait la queue de Kévin et je ne pouvais plus m'empêcher de penser a Clara qui devait être en train de se faire fourrer délicieusement par son mec sous la couette dans l'intimité d'une chambre rien qu'à eux !
De longues minutes plus tard, on réussit à s'en débarrasser et nous filèrent instantanément par la porte d'entrée en veillant a embarquer les clés pour ne pas nous faire enfermer dehors, on courrait dans la rue trop excités d'avoir enfin réussit a prendre la fuite sans témoins.
Il m'attira au fond d'une impasse au croisement du quartier de chez Gab et m'embrassa fougueusement contre la clôture d'une maison.
« Je commençais a me dire qu'on y arriverait jamais !
- Quel enfer, j'ai jamais autant attendu pour du sexe ! »
Je m'empresse de déboutonner son pantalon et sortir sa queue, elle se fait engloutir par ma bouche immédiatement et je commence a la travailler avec appétit. Il se laisse aller et passe une main dans mes cheveux alors qu'il regarde l'heure sur son portable et que personne n'arrive. La rue est plongée dans l'obscurité, elle est calme, aucune des maisons aux alentours semblent encore éveillés, les fêtards sont absents ou endormis par ici mais je n'y prête pas vraiment attention trop heureuse d'être a quelques rues de chez Gab et nos potes ...
J'en ai plus rien a faire si des inconnus nous voient ... On les connaient pas donc on s'enfuira et puis c'est tout !
Kévin me montre qu'il est bientôt 5 heures du matin en plaisantant que nôtre pote bavard aura bien retardée notre évasion, je le suce alors plus fort pour qu'il oublie son portable et de surveiller les alentours, crétin concentre-toi sur nous, on est enfin seuls !
Il agrippe mes cheveux et commence a me baiser la bouche, pas un mot n'a été prononcé mais il semble avoir ressenti et compris le message. Je pince ses couilles du bout des doigts pour lui éviter qu'elle ne frappe mon menton alors qu'il s'en donne a cœur joie avec ma gueule. J'écarte mon string sous ma robe et commence a me frotter le clito tout en lui tenant toujours les couilles de l'autre main et le laissant me défoncer la gorge, je constate que je suis trempée ...
Mon meilleur ami est en train de me baiser la bouche en pleine rue à 5 heures du matin à quelques mètres d'où sont tous nos potes pendant que sa meuf dort ... Je me masturbe comme une trainée accroupie alors qu'il insère sans ménagement son sexe dans ma bouche et me réduit a un sex-toy buccal, je ne respire plus et mes jambes flanchent lorsque je me retire tombant sur les fesses.
Je reprends mes esprits en regardant la queue de Kévin pleine de salive a peine éclairée par un lampadaire au bout du croisement, il allume le flash de son téléphone et m'aide a me relever, il relève alors totalement ma robe au-dessus de mon nombril, baisse mon string en me plaquant contre la clôture a mon tour sauf que c'est mon visage et mes mains qui sont faces au grillage. Je passe mes doigts entre les mailles rigides de la clôture que j'agrippe alors qu'il me pénètre et entame ses coups de butoirs a l'intérieur de mon antre. J'exprime mon plaisir sans trop de retenue étant en confiance dans cette impasse, je l'ai tellement attendue sa bite, qu'elle en est divine ! Ma chatte l'absorbe pleinement et semble ne plus vouloir la laisser ressortir, je contracte mes muscles pelviens souhaitant resserrer les parois de ma chatte sur sa queue afin de la lui compresser autant que possible pour mieux le sentir, il se régale et me baise comme un lièvre en s'acharnant contre mon petit cul bien tendu ! J'ai le front dans le grillage, mon dos et mes jambes font un angle droit, je cambre et lève mon postérieur qui subit des assauts vifs et puissants, mon string pends entre mes cuisses m'empêchant de trop écartées les jambes me forçant a rester bien étroite, je beugle comme une pute avec un client trop violent ! On devait nous entendre a deux rues d'ici, je pense que nos potes auraient presque pu nous entendre du jardin ... Kévin cracha de longs jets chauds tout au fond de moi avant de se retirer, je resta quelques secondes cramponnée au grillage avant de me redresser et sentir son foutre dégouliner en moi, je me vida sur le trottoir alors qu'il me regardait et cela m'excitait autant que ça me dérangeait, on en avait fait du chemin dans notre amitié ...
Je remis mon string, rebaissa ma robe et il me demanda de faire un détour avant de rentrer, je pris la main qu'il me tendait et le suivit.
On discuta sur le chemin, il passa un bras par-dessus mon épaule et je me fit la réflexion que je tenais beaucoup a lui.
Nous finîmes par arriver dans une sorte de petit parc ou plutôt une énorme parcelle de pelouse entre deux quartiers, rien que de l'herbe avec un sentir de sable/terre devant et rien autour. Il m'expliqua qu'il passait souvent ici en vélo au collège quand ils allaient chez Gab et que ce serait un coin parfait pour le refaire.
« Premièrement je suis plus en état, tu m'as démolie la chatte et puis on est parti depuis un moment, faut rentrer maintenant !
- Tu crois vraiment que tu vas t'en tirer sans que je goûte à tes seins ?
- Fallait-y penser avant de me plaquer contre une clôture !
- Allez, c’est toi qui m’a dit que je pourrais avoir cette chatte où et quand je le voulais ce soir, autant de fois que je le souhaitais …
- T’en rates pas une, c’est quelque-chose …
- Je t'ai baisée comme une salope en pleine rue, maintenant laisse-moi te faire l'amour comme une princesse !
- Qu’est-ce que …
- Je vais être doux avec ta petite chatte ce coup-ci, en douceur, comme la dernière-fois ...»
Ses paroles s'accompagnent d'une main entre mes cuisses qui frottent mon clitoris à travers mon string qui en voit de toutes les couleurs.
Ses mots me renvoient a notre première-fois si fusionnelle, il m’embrasse et arrive a ses fins, je m’incline.
Il m'allonge dans l'herbe avec lui, elle est humide à cause du froid de la nuit, c'est désagréable mais ses baisers et ses caresses ne le sont pas. Il baisse les bretelles de ma robe et extirpe ma poitrine hors de mon soutif sans me le retirer, il tète mes seins avec douceur.
Il insère par la suite un doigt dans ma chatte visqueuse qui contient encore un peu de son foutre, "arrête c'est dégueu" lui dis-je ...
Il retire son doigt en faisant une remarque obscène sur son éjaculation en moi puis déboutonne a nouveau son pantalon pour frotter sa queue contre ma chatte. Il manie son sexe en érection contre mes lèvres le remuant pendant que son gland est écrasé sur mon clito, il attise mon désir et se joue de ma chatte en la faisant réclamer un second round, je mouille et n’attends plus qu’une chose, qu’il entre en moi ...
C’est alors qu’il se couche sur moi et me pénètre petit a petit, je serre mes bras autour de lui et émets un soupir de douleur, il me dit que ça va aller alors qu'il va et vient délicatement en moi. Il est doux, il n'a pas menti et me prends avec calme décomposant ses mouvements lentement, je sens sa queue gonflée de désir qui me ramone ...
" C'est trop bon, elle est si chaude et visqueuse, j'aime trop !
- Elle est surtout sale et usée ...
- J'ai toujours aimé baigner dans mon foutre, remettre ma bite dans une chatte que j'ai remplie ...
- Ah ouais ? Bah contente d'apprendre que Laura se fait fourrer à ras bord ...
- Hahaha plus depuis longtemps, c'était a nos débuts qu'elle me laissait le refaire plusieurs fois !
- Décidemment, je suis un exutoire pour toi.
- T'es la meilleure, ma meilleure amie, mon fantasme et ce soir tu es mon sac a foutre !
Il m'embrasse a pleine bouche en prononçant ses mots et me roule une pelle profonde et ferme alors qu'il accélère la cadence et que ma chatte fatiguée ressuscite, cela ne me fait plus mal mais du bien, il me fait de nouveau gémir comme une salope ...
Il relâche ma bouche et me dévore dorénavant le cou, je le laisse me baiser a sa convenance, je suis excitée par la situation sortant encore une fois de mon corps pour voir la scène dans son ensemble ...
"Tu peux y-aller plus fort maintenant si tu veux, vide-toi les couilles encore une fois dans ta salope de pote !
- Putain, t'es trop la chienne dont je rêve !"
Il s'étale de tout son poids sur moi et me pénètre alors en profondeur, il passe un bras derrière ma nuque pour surélever ma tête et avoir plus d'amplitude dans ses coups de queues. Je lève alors mes jambes et les referme sur lui pour le garder bien contre moi.
Il est encore doux la plupart du temps, sa queue frappe parfois fort et profondément, souvent elle glisse lentement en moi et parfois elle se déchaine avec de vifs allers-retours. On s'embrasse tour a tour dans le cou, on se susurre des mots doux ou obscènes, l'instant est aussi beau que pervers, j'ai du mal a réaliser que c'est mon meilleur-ami avec qui je vis de tels instants.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés là a jouir dans le creux de l'oreille de l'un et l'autre.
Je ne sais pas combien de coups de bites j'ai pris couchée dans l'herbe humide d'un premier janvier.
Je ne sais pas a quels animaux en rut nous devions ressembler si vous étiez passés sur ce sentier et aviez surpris deux jeunes en plein acte.
Je sais juste la pute que j'étais de jouir d'une telle situation, d'aimer me faire culbutée dehors contre le sol, de faire l'amour habillée en ayant encore ma robe et mes sous-vêtements. Qu'est-ce que c'était bon d'être une salope, de sentir son sperme dégouliner hors de ma chatte alors qu'il me baisait, de me faire souiller ainsi par l'homme d'une autre, ma jouissance n'était pas que charnelle ...
Il avait commencé a me baiser, nous étions dans le noir le plus total mais lorsqu'il s'affala sur moi pour reprendre son souffle après avoir éjaculé, le jour commençait à se lever.
On se redresse, je replace mon soutif et remets les bretelles de ma robe, son sperme coule déjà dans mon string.
Il range sa queue dans son pantalon, frappe mes fesses et mon dos de la main pour me retirer de l'herbe que j'ai partout et là c'est le drame ...
Ma robe noire est foutue, elle est tachée par l'herbe contre laquelle j'ai frottée encore et encore lors de ses multiples va et viens ...
Je n'ai qu'une seule tenue et je sais qu'au réveil tout le monde va se demander pourquoi je suis dans cet état ...
Je lui demande l'heure qu'il est sur le chemin de la maison de Gab, il me dit qu'il est 6H20. Je décide d'appeler ma mère pour lui demander de venir me chercher, je sais qu'elle se lève habituellement vers 8/9h donc qu’elle ne m’en voudra pas trop ...
Heureusement ma mère décroche et me dit qu'elle arrive, j'ai prétexté ne pas réussir à dormir et vouloir mon lit.
On se dit aurevoir devant la porte de chez Gab, il m'embrasse une dernière-fois et on décide de devenir des sex-friends, on se promets de le refaire aux prochaines vacances scolaires quand je reviendrais dans le coin.
Il entre a l'intérieur discrètement, me rapporte mon sac et j'attends seule devant la maison que ma mère arrive (on habite pas loin).
J'ai réussi a ne pas me montrer de dos pour que ma mère ne voit pas l'état de ma robe, je fonce a la douche pour me nettoyer et découvre que mon string léopard a été mis a rude épreuve, je vous passe les détails mais il était vraiment souillé ...
Je fonce au lit et m'endors aux alentours de 7 heures et demi du matin.
A mon réveil vers 16 heures, j'ai de multiples messages de Clara, Gab etc ... qui me demandent pourquoi je n'ai pas dormi sur place.
J'explique que je ne me sentais pas bien et que je préférais décuver chez moi donc ma mère est passée me prendre.
Je resta au lit quelques minutes à me demander si tout était réellement arrivée, c'est quoi cette nuit de fou ?
Je toucha ma chatte et constata qu'elle était bien K.O mais c'est en tombant de nouveau sur ma robe tachée d'herbe et mon string léopard recouvert de taches blanchâtres que je pris la mesure de la salope que j'avais été hier soir ...
On s'échangea quelques messages avec Kévin pour savoir si tout allait bien, il m'expliqua n'avoir croisé personne sur la route de la chambre et avoir pioncer jusqu'a 11 heures avec Laura. On se chauffa pas mal sur notre prochaine baise et ni lui, ni moi ne regrettèrent cette nuit qui marquait le début d'une relation à part, une relation qui marquerait la fin de son couple et un tremplin pour nos deux sexualités.
Je commença l'année 2017 dans le péché et comme vous le savez avec le chapitre précédent, ce n'était que le début de mes aventures ...
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________
De fin 2016 a fin 2017
Nous voici à un tournant de ma sexualité car après un premier plan cul aussi satisfaisant, une véritable salope était née ou du moins libérée/assumée (l’ayant un peu toujours été) …
J’avais adoré ça ! Me taper un parfait inconnu, le sélectionner pour sa belle-gueule, sa grosse queue, sa promesse d’une baise endiablée !
Rejoindre un garçon juste pour baiser avec, faire nos affaires et rentrer l’air de rien sans que mes collocs ne le sachent, quelle liberté !
C’était excitant de faire du sexe pour le sexe sans rien vouloir ou attendre de l’autre, j’y étais allée que pour sa bite et qu’il me baise, il ne m’avait pas déçue ! J'avais l'impression d'avoir fait une chose que la plupart des femmes s'interdisent, d'être passée a un stade supérieur sexuellement et spirituellement, je ne regrettais aucunement d'avoir osée me faire ce beau-gosse, il avait été le mieux foutu et le mieux membré de tous mes partenaires mais aussi le plus performant/excitant ...
Je me masturba plusieurs fois en repensant à sa main qui m’étranglait sans concession …
A son épais morceau de chair qui m’avait détruite comme jamais …
A la manière qu’il avait de se comporter avec moi, de prendre ce qu’il voulait de moi …
Sans le savoir, j’avais éveillé mes premiers attraits pour la soumission…
J’avais toujours aimée être docile avec les hommes, leur donner ce qu’ils attendent de moi, faire de mon mieux pour satisfaire leurs besoins. Ayant été abandonnée enfant par mon géniteur et ayant grandie sans figure paternelle, j’avais développée une peur de l’abandon et la certitude de ne pas mériter l’amour d’un homme mais aussi surtout un malsain besoin d’attention de la part de ceux-ci.
Le sexe a toujours été un besoin vital pour moi, celui de jouir et faire jouir, d’exister à travers l’autre, de le sentir physiquement mais aussi de le ressentir spirituellement ...
J’aimais tout découvrir de l’autre, son corps, son intimité mais aussi sa partie sombre, obscène, primale que les autres ne verront jamais …
Je me sentais épanouie en constatant le désir de mon partenaire, en me rendant utile à son plaisir, en ressentant sa passion à mon égard …
Le sexe m’apportait l’intérêt, l’affection et les sensations que je voulais, j’y trouvais l’équilibre d’une relation Homme/Femme telle que je la concevais, pour moi et mes failles personnelles …
Il m’est arrivée néanmoins de m’oublier pour l’autre, « d’acheter » l’autre avec du sexe ...
J’ai plusieurs fois été utilisée par les hommes dans leur quête égoïste de sexe, je me suis laissée conquérir et asservir par des hommes qui m’imposèrent leurs besoins.
Il m’est arrivée de détester ça et d’en souffrir mais aussi d’en jouir et d’avoir conscience que c’était ma façon de les garder auprès de moi …Avec le recul, je sais qu’ils avaient de l’emprise sur moi et qu’ils « dominaient » la relation mais il n’y a qu’aux côtés de Thomas que j’ai vraiment eue l’impression d’être sa chose, d’avoir une sorte de maître à qui je me dévouais …
Quoi qu’il en soit, que je m’en sois rendue compte ou non, toutes ces relations étaient révolues et c’est le plaisir pris à me faire traiter sans ménagement par cet inconnu qui me troublais …
J’avais décidé de vivre ma sexualité a fond, de jouir sans tabous, de réduire les hommes a des bites sur pattes qui allaient me donner du plaisir alors pourquoi avais-je autant jouis à me faire manquer de respect, rabaisser, utiliser, maltraiter ?
Comment pouvais-je prendre mon pied à faire l’amour avec mon meilleur ami mais tout autant voir davantage à me faire labourer sans une once de délicatesse par le premier venu ?
J'avais décider de me gorger de sexe et ne m'en tenir qu'a sa fonction primaire "donner du plaisir/jouir" pourtant je m’étouffais moi-même en me caressant dorénavant et je ne m’imaginais plus me faire prendre mais démonter sauvagement ...
Pourquoi le sexe devait-t-il toujours s’orienter vers un rapport de force ?
C’est avec une obscénité inédite et une soif d’aventures incommensurable que j’aborda mes prochaines rencontres.
Je fis la rencontre du prochain garçon une quinzaine de jours plus tard, un samedi soir.
Un beau-gosse de mon âge que je rencontra dans un bar répétant le même schéma que la fois précédente (conversations sur un site de rencontres, sextos, nudes puis rencard) il fut beaucoup plus timide que son prédécesseur et c’est moi qui mena la discussion du début à la fin, je m’interrogea sur mon envie de poursuivre car il n’était pas sûr de lui, peu entreprenant et donc pas vraiment excitant …
Je lui donna quand même sa chance bien qu’il n’avait pas du tout la même prestance en vrai qu’en virtuel mais une fois chez lui et mes vêtements sur le sol, il se réveilla et m’offrit de délicieux préliminaires en me bouffant la chatte et le cul debout comme un affamé, il réussit à me faire jouir avec son cunni et ses doigts !
Je l’installa alors sur le canapé pour lui faire une belle pipe et même si sa queue ne tenait pas la comparaison avec la précédente, elle était supérieure a la moyenne et bonne a sucer. Je le chevaucha par la suite sur son canapé où il commença à se lâcher, il me baisa fougueusement en missionnaire et sans retenue en cuillère avant de jouir dans la capote. Je me souviens avoir été très excitée alors qu’il m’empoignait par les hanches et se déchainait contre mes fesses me demandant si c’était toujours le même garçon que celui de tout à l’heure, sa timidité s’étant clairement évaporée ! On se rhabilla, échangeames quelques banalités puis je partis rapidement ne préférant pas m'attarder sachant que je ne le reverrais pas mais je garde un bon souvenir de cette petite baise qui n’était pas gagnée d’avance !
Je rencontra le prochain dès le samedi soir suivant en répétant toujours le même schéma mais ne le choisissant que pour sa belle-gueule car cette-fois on n'écheangea pas de nudes. Il se montra lui aussi plus timide en vrai que par messages par contre ce fût un fiasco au lit, une vraie déception, il y’a eu tromperie sur la marchandise car il m'avait promis de belles performances et il ne fournit qu’un missionnaire monotone et une levrette trop classique qui le fit venir avant que je ne commence à vraiment grimper aux rideaux ...
Je rentra frustrée et revancharde cette nuit-là alors j’alla à la rencontre du suivant dès le lendemain avec une conversation express du genre « salut BG, tu fais quoi ce soir ? » et en 3/4 messages j’étais chez le mec pour me faire soulever …
Je me souviens m’être sentie plus salope de faire ça dès le lendemain, d’enchainer deux queues différentes en 24 heures, d’aller me faire sauter un dimanche soir alors que j’avais cours tôt le lendemain et surtout d’aller chez lui sans se voir dans un bar avant !
Le gars devait avoir dans les 23 ans, je me souviens que je l’avais choisie pour ses abdos sur l’une de ses photos à la plage et son beau minois, j'avais le feu au cul !
Je lui envoya un message quand je fus devant chez lui, il descendit me chercher et mon excitation se transforma en une légère appréhension alors que je pénétrai dans le hall de son immeuble. Dans l’ascenseur il me complimenta sur mon physique et me dit qu’il se demandait si j’allais venir pensant que je n’étais pas sérieuse ou réelle.
Je lui répondit fébrilement que j’étais bien là comme il pouvait le constater et il rougit.
Une fois dans son appartement, il me proposa un verre, je rétorqua avec une assurance qui me surprit moi-même que je n’étais pas là pour boire un coup mais me faire baiser !
Il s’approcha alors pour me retirer mon manteau, m’embrassa sans dire un mot et commença a passer ses mains sous mes vêtements, je su en quelques instants que lui, il allait me faire du bien !
Comme a mon habitude, je commença par me faire tripoter et déguster dans le salon y délaissant tous mes habits puis je le suivis dans sa chambre pour les choses sérieuses !
Il me coucha sur son lit tout en m'embrassant, ses doigts rentrèrent en moi et il me masturba avec patience et savoir-faire tout en me roulant des pelles, j'étais trempée et ultra excitée ... Je me souviens que j'aggripais son t-shirt et cherchait parfois a prendre une bouffée d'air pour respirer mais qu'il replongeait instantanémant sa langue dans ma bouche comme pour me garder en apnée. J'étais en train de gémir dans la bouche d'un parfait inconnu, ses doigts qui allaient et venaient en moi me comblaient et ma chatte humide faisait des bruits obscènes sous son traitement. Je me sentais si salope que j'en tirais une satisfaction déroutante.
J'étais arrivée chez ce mec dont je ne sais rien, il m'avait caressée, déshabillée, tétée les seins, bouffée la chatte avant de m'emmener dans sa chambre et maintenant il salive dans ma bouche, j'avale sa bave, il suce ma langue, enroule la sienne autour de la mienne, je suis totalement nue et sous son contrôle alors qu'il n'a pas enlevé le moindre vêtement, c'est si bon toute cette dépravation.
Je resserrais mes cuisses sur sa main et me tortillais dans tous les sens quand il réussit a me faire jouir, j'hurla ma satisfaction lorsqu'il libéra enfin ma bouche. J'avais de la bave sur le menton, la nôtre car il avait sûrement autant saliver dans ma bouche que moi durant cette apnée, je repris mes esprits alors qu'il secouait ses doigts trempés de ma cyprine au dessus de moi laissant tomber quelques gouttes sur mon ventre, on rigola un moment en se disant que c'était intense ! Il se coucha a côté de moi, me regardant avec un regard attendrissant alors que je reprenais ma respiration, sa main se promena sur mes seins qu'il malaxa tendrement, je me sentais vulnérable ayant jouie devant cet homme encore habillé alors que j'étais à poil, rouge comme une tomate et plutôt sâle.
Je pris alors rapidement les devants et me mis a quattre pattes devant lui pour lui retirer son pantalon, il m'aida en s'amusant de ma fougue, je fit voler son froc, son calbut et sa paire de chausettes jusqu'au bout de la chambre puis je lui embrassa les pieds avant de remonter avec ma langue de ses chevilles jusqu'à ses couilles.
J'empoigne alors sa bite et découvre qu'elle suinte de liquide séminal, il y'en a vraiment beaucoup et son gland visqueux glisse entre mes doigts, je constate qu'il était visiblement très excité aussi par ce qu'il m'a fait. Je le branle doucement en promenant mon pouce sur la surface de son gland pour le stimuler mais aussi éponger tout ce pré-sperme, il semble apprécier et être à point. Sa bite est un peu décevante car elle est de taille banale, assez inférieure a mes précédentes rencontres tout du moins mais elle attire mon attention car son érection est tordue et son prépuce assez serré lui donne un aspect peu commun, on dirait que son gland porte une capuche !
Je m'amuse de cette particularité sans lui faire un commentaire tout en le branlant, j'éponge a plusieurs reprises son pré-sperme abondant du pouce et termine de reprendre toute ma respiration avant de le sucer. Il me supplie du regard de m'y mettre sans oser dire un mot, je fais durer le plaisir volontairement avant d'enfin lui gober la queue.
Je m'applique a bien le sucer voulant lui rendre la pareille mais son gland est difficile a garder décalotté et je me retrouve a lui titiller le prépuce plus que la surface du gland la plupart du temps ce qui ne semble pas le déranger car il soupire agréablement, me complimente et me caresse les seins avec douceur. Je m'habitue a sa bite particulière et apprécie de le branler dans ma bouche sentant son prépuce aller et venir sur son gland gonflé de désir, j'ai l'impression que sa queue tient plus de l'animal que de l'homme, ça m'excite et je commence a me dire pour je ne sais quelle raison qu'il va probablement beaucoup éjaculer...
Sentant que ma chatte est de nouveau d'attaque et pleine d'envie, je lui demande où est le préservatif ?
Il m'indique un tiroir de son bureau, je lui enfile la protection et commence a le chevaucher.
Comme je m'y attendais, je ressens sa queue tordue d'une façon différente des bites raides que j'ai cotoyées jusqu'ici, quand je redescends dessus son gland et une bonne partie de sa verge frotte contre ma paroi vaginale. Je prends le temps de ressentir cette bite particulière en la chevauchant lentement, découpant bien chaque mouvement pour bien la ressentir. Je commence a me dire que j'aime bien, que ça change un peu et que c'est pas désagréable alors je me couche sur le mec et lui dit qu'il peut-y-aller !
Sans tarder il aggripe mes fesses, relève ses jambes et commence a me labourer la chatte, je prends des coups de bites puissants qui me font instantanément gémir.
Le gars me baise avec panache, m’insulte moi et ma chatte quelques fois de salope, chienne ou pute ce qui m’excite terriblement vis-à-vis de la situation. Comment pourrais-je appeler une fille qui envoie un message a un inconnu et qui moins de deux heures plus tard est en train de s’empaler sur sa bite ? Je commence a gueuler sans retenue puisqu'il semble aimer m'entrendre, sa verge inclinée frappe au même endroit depuis un moment et cette zone de ma chatte est en feu, j'ai l'impression qu'il me creuse de l'intérieur. Je suis sur le point de jouir alors qu'il pétris mes fesses lorsqu'il me demande soudainement a passer en levrette pour apprécier mon cul (je sais plus comment il l'a dit mais c'était bien plus vulgaire).
Je me retire alors curieuse d'essayer sa bite dans cette position, je cambre comme une chienne en chaleur avec la chatte bien dilatée pendant qu' il retire son t-shirt. Une fessée s'abat sur mon postérieur avant qu' il ne vienne aggriper mes fesses et me la mettre sans les mains, le boug démarre fort et me martèle le cul instantanément sans retenue.
Sa bite est comme un crochet qui va et vient en moi, son gland me lime la paroi inverse de la position précédente, des fessées s'abattent sur mes fesses a la chaine, des noms d'oiseaux fusent, je prends un pied monstrueux et l'implore de continuer a me démonter.
Il me fit jouir avec une levrette des plus sauvages avant de se retirer le souffle court pour me demander si je pouvais le finir avec ma bouche car il était épuisé ayant tout donné niveau cardio dans la levrette. Je m’exécuta satisfaite d’avoir été bien baisée et voulant lui faire plaisir a son tour. Je le branla a toute vitesse moins de deux minutes dans ma bouche tout en le suçant goulument alors qu’il reprenait son souffle.
Il se vida copieusement, son sperme chaud dégoulina plusieurs fois alors que ma langue qui lapait le haut de son prépuce recceuillait ses jets, j'avala successivement chacune des coulées de laves que ce volcan crachait et son goût prononcé me déplu mais pas la sensation d’avoir fini avec brio le travail !
Il me remercia pour ce qu'il décrit comme la meilleure finition de sa vie, je le remercia pour la soirée puis je regagna le salon en quête de mes fringues alors qu'il se rhabillait dans la chambre. Il demanda comme les autres a me revoir et je lui expliqua que c'était vraiment sympa mais pas dans ma façon de faire puis je lui dis adieu.
Dans l'ascenseur, je réalisa ce que je venais de faire, je me remémora mon coup de stress à l'aller qui n'avait rien a voir avec l'euphorie du retour ...
Je rentra assez tard chez moi, ne dormis pas mon quota minimum et attaqua la semaine avec la tête dans le cul mais le lundi matin en classe, je repensa avec satisfaction a ma soirée de la veille plus que sympathique !
Les semaines s’enchainèrent et ma fréquence de rencontres également, je commençais a rencontrer un nouvel amant deux fois par semaine m’autorisant dorénavant une rencontre en début de soirée un soir de semaine et le samedi soir !
J’avais pu constater que la plupart ne voulant que baiser et n’étant pas très à l’aise avec une parfaite inconnue niveau conversation, il était préférable de raccourcir autant que possible la mascarade des premiers échanges et d’aller a l’essentiel.
Mes expériences précédentes m’ayant prouvées qu’une grosse queue et des beaux-parleurs n’étaient pas toujours ceux qui baisent le mieux, je me concentrai dorénavant sur leur physique et leur disponibilité pour les sélectionner.
Il fallait voir comment des gars sûrs d’eux et excitants par messages pouvaient se révéler timide, mal a l’aise et décevant en réel.
L’expérience m’apprit vite qu’il fallait s’en remettre a la chance, la magie de l’inconnue pour tomber sur un bon coup, qu’il n’y avait pas de règles ou de garanties mais qu’en multipliant les rencontres, il y’en aurait toujours quelques-uns qui sortiraient du lot comme le premier mec ou la bite tordue.
Adieu donc le schéma "conversations, sextos, nudes, rencard dans un bar/café puis on va chez eux" dorénavant je faisais mon marché vis a vis de leurs photos, ils m’envoyaient leurs adresses, je sonnais à l’interphone, montait jusqu’à leur appart et à peine entrer, je me désappais pour leur sauter dessus et cela donnait des départs souvent bien plus torrides et excitants pour moi que les moments gênants et affligeants ou le type bégaie, rougit, me fuit du regard et se demande comment on va débuter …
Mon quotidien s'accoutuma vite a cette sexualité débridée !
Studieuse et rigoureuse en cours comme en dehors, les plans culs étaient un moyen de me détendre et me faire du bien qui fonctionnait carrément.
Il y'avait Charlotte, l'étudiante qui était dans les meilleurs de la classe, la colloc sage et discrète, la bonne copine sympa et disponible mais il y'avait aussi cette autre fille que j'incarnais le temps de quelques heures qui sélectionnait un beau-gosse en ligne (qu'elle aurait sans doute pas osé aborder dans la vraie vie) pour aller s'envoyer en l'air sans la moindre gêne.
J'aimais être la gentille fille qui ne fait pas de vagues, celle qu'on complimente pour sa rigeur, son hygiene de vie, ses résultats scolaires et j'aimais aussi être la pire des salopes qui enfonce la queue d'un inconnu au fond sa gorge, se fait insulter, utiliser comme un vide-couilles.
Ces deux entités co-existatent dans mon quotidien, celle qu'on voit en cours, a l'appart, en famille ou entre amis et que je m'efforce de rendre la plus admirable et respectable possible et plus profondement enfoui, il y'avait cette part d'ombre, cette fille pas présentable et incarnable aux yeux du monde, celle que je nommerais plus tard Lady Bitch, qu'on ne voit qu'en privé et dans l'intimité, qui adore se dévergonder, qui ne veut pas être respecter mais plutôt utiliser, une dépravée que j'appenais a devenir ...
J'avais fût un temps eue peur de mon addiction au sexe, de ma nymphomanie mais pour la première fois de ma vie je l'embrassais et m'épanouissais dedans n'y allant pas pour de mauvaises raisons. J'étais enfin en phase avec mon corps, acceptant pleinement mes charmes, mes formes, mon physique, je pris confiance en moi en me donnant a tous ces garçons, en constatant que je plaisais et pouvais avoir qui je voulais, je dis au revoir a tous mes complexes et gagna grandemment en assurance.
Je me masturbais moins ayant dorénavant plus souvent l'occasion de me faire démonter de A jusqu'à Z avec des préliminaires toujours gourmands (on est tous un peu plus généreux quand on goûte a un nouveau corps pour la première fois) mais je me godais toujours s'il se passait plus de deux jours sans sexe.
J'acheta énormément de lingerie cette année-là, bien que j'avais de beaux soutifs et des culottes ou strings assez sexy, je voulais avoir des tenues qui rendent fous mes partenaires et me fassent sentir encore plus désirable. Je souhaitais crédibiliser la salope en moi et renforcer cette démarche dans laquelle j'étais d'être le coup d'un soir le plus torride de ces types !
Pour la première fois de ma vie, j'investissais donc dans de la lingerie coquine et portais des ensembles en dentelles échancrés laissant voir mes mamelons ou ayant une ouverture au niveau du vagin, de la vraie lingerie de "pute", celle qu'on ne porte pas pour aller en cours mais se faire baiser ...
Je me pris une guépière violette, des portes-jaretelles, un body noir et jaune avec l'entrejambe ouvert bref je passa un cap dans ma féminité et c'est une bombe atomique qui débarquait dorénavant chez ces messieurs d'ailleurs ils aimaient tellement ça qu'ils ne m'enlevaient meme plus tout préférant souvent me baiser dans mes petites tenues qui faisait leur effet ...
En parallèle de tous ces coups d’un soir organisés via les sites de rencontres, je sortais de plus en plus avec des copines en boite de nuit, a peu près un week-end sur deux, il m’arrivait de plus en plus d’y embrasser des gars et parfois de finir chez eux ou dans leurs voitures pour un coup vite-fait cachant néanmoins autant que possible mes fresques a mes amies.
Je ne buvais jamais d’alcool en soirée/sorties me méfiant de mes anciens démons et craignant l’état dans lequel je pourrais vite me retrouver si j’alliais de nouveau sexe et alcool (en plus de ça en discothèque avec des inconnus) …
J’étais donc en pleine possession de mes moyens lorsque je chauffais ou dansais avec des hommes, mes copines se mettaient souvent des caisses et ne se rendaient pas compte de tout ce que je pouvais faire sur la piste ou dans certains recoins des lieux dans lesquels nous sortions.
Je ne couchais pas dans les WC mais il m’arrivait souvent de frotter mes fesses contre les bites en érections de mes partenaires de danse ou d'aller aggriper quelques bites de certains "piliers de bars" a travers leurs pantalons.
J’aimais sentir une bosse se former au niveau de leur entre-jambe alors que ma robe ou jupe se remuait sur leurs queues et jouer avec le risque d'être vue par une de mes copines. Je frottais parfois la paume de ma main sur leur entre-jambe ou glissais ma main dans leur pantalon pour toucher leur queue quand nous étions chauds et il était amusant de voir ces mecs qui souvent se permettent d'être trop tactiles ou entreprenants avec les autres demoiselles être surpris ou géné par mon audace !
Tous les mecs en boite sont des queutards, la plupart sont bourrés et déshinibés et ça m'amusait de les allumer bien franchement ou de me faire passer pour la meuf ivre, de toute façon personne ne les croiraient vu comment ils étaient alcoolisés ...
Je ne jouais qu'avec les beaux-garçons parfois pour le fun, parfois pour finir chez eux, parfois pour leur donner mon numéro et les revoirs dans la semaine dans un contexte plus propice a ma seconde nature ...
Le maximum que j’ai fait sur place c’est de branler quelques secondes un type dans un recoin de la salle avant de la lui remettre dans son pantalon et de lui souhaiter une bonne fin de soirée sinon je me contentais de passer ma main dans leur caleçon afin de palper la taille de leur verge et voir s'ils avaient les couilles rasées m'aidant souvent a choisir celui avec qui je finirais la nuit ...
Les mois passèrent, mon body-count explosait mais je prenais mon pied, je ne m’étais jamais sentie aussi libre, sexy et bien dans ma peau. Mes résultats en cours étaient excellents, je travaillais dur comme pour me faire oublier l’échec de l’année dernière, je voulais me prouver que j’en avais les capacités et que cette année infernale s’éclipse dans l’esprit de mon entourage.
L’année fila a une vitesse folle presque autant que l'augmentation de mes envies de sexe.
J'avais débuté les plans culs avec une rencontre tous les samedis soirs puis très vite je fût a deux rencontres par semaine avant d’être régulièrement a trois les semaines où j’allais en boite (finissant souvent avec un mec) ...
Il m’arrivait parfois de me taper quatre gars différents dans la même semaine ayant par exemple une rencontre le mardi soir ou mercredi soir, une seconde le jeudi ou vendredi soir et une le samedi comme le dimanche soir ….
Très vite je ne pouvais plus tenir le compte, il pouvait m’arriver de renter de boite de nuit sans rien avoir fait (juste embrasser des gars) et d’avoir des semaines plus calmes si j’étais a fond dans les études ou plus fatiguée/débordée mais clairement il ne se passait plus une seule semaine sans que je ne rencontre au moins un gars !
J’ai largement dû coucher avec une centaine de garçons différents au cours de mon année scolaire ...
Il y'a eu tellement de baises que je ne pourrais toutes vous les conter et elles ne sont clairement pas toutes mémorables alors je vous en détaillerais quelques-unes marquantes sur le parcous de Lady Bitch, celle qui en voulait toujours plus et cherchait toujours plus de dépravation.
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________
En 2016
C’est la rentrée, me voici dans une nouvelle ville et une nouvelle école pour un nouveau départ !
Ayant appris de mes erreurs et étant dorénavant consciente de mes démons, j’emménage dans une collocation avec deux étudiantes que je ne connais absolument pas.
La colocation était une manière de partager le loyer et d’avoir de l’aide pour les tâches ménagères mais c'était aussi surtout une solution pour ne ne pas vivre seule afin d’avoir une vie sociale m'assurant une présence limitant ma capacité à faire une rechute ou me laisser aller.
C'est ainsi que je fais la connaissance d’Ines et Delphine mes deux colocataires de 19 et 20 ans qui faisaient également leurs études loin de chez elles.
Ines est dans mon université, elle est studieuse, d’un naturel calme et a une joie de vivre contagieuse, elle est célibataire.
Delphine est plus turbulente, a un sens de l’humour affuté et est plus bordélique, elle est en couple.
Nous devinrent rapidement copines et vivre avec elles au quotidien était très agréable, ça me changeit de mon année précédente avec pour seules compagnes ma solitude et la déprime. Je ne vais pas détailler plus que ça de la manière dont nous vivions par contre je vais aborder les deux seuls points qui ont de l’intérêt :
- Les garçons étaient interdits à l’appart
- Nous n’avions pas le droit d’entrer dans la chambre des autres.
Le premier point était une règle nous permettant de rester concentrées sur nos études, de ne pas imposer la présence de nos fréquentations ou petits copains aux autres et ça m’allait très bien car cela posait des barrières autour de mon addiction au sexe tout en évitant que les filles m’entendent jouir ou me faire défoncer (ce qui valait aussi pour elles).
Le second point était essentiel pour que l’on garde une vie privée et un semblant d’intimité, ma chambre était comme mon havre de paix, la pièce dans laquelle je pouvais me couper de mes colocs afin de réviser, me détendre ou... me faire du bien.
Cette chambre ressemblait à la chambre de la parfaite petite étudiante, un lit double, un bureau, une armoire et du matériel de make-up, elle était toujours propre et rangée.
Pour autant si vous regardiez sous mon lit, vous y découvririez une valise avec à l’intérieur toute une collection de sex-toys et si vous aviez le mot de passe de mon pc portable pour le déverrouiller vous y découvririez un historique internet et des favoris cochons, l’étudiante studieuse en prends un coup !
Les premières semaines je me masturba calmement dans mon lit en repensant à Kévin ou quelques fantasmes habituels mais très vite je recommença a consommer du porno et me goder savourant ce plaisir secret et intime à l’abri du regard de mes colocs.
Plus les jours passèrent et plus je passai du temps sur les sites de rencontres où je m’étais inscrite à parler avec des mecs en quête de mon premier plan cul, il était temps que je me fasse sauter !
Mon envie de bite se faisait de plus en plus ressentir et ma concentration en cours commençait à en pâtir car je me surpris plusieurs fois à scruter des garçons en me demandant s’ils feraient l’affaire ...
Je voulais m’amuser et j’avais décidée de rencontrer des mecs pour leurs queues et rien que leurs queues !
Je ne voulais plus durant les prochains mois m’intéresser à eux mais uniquement à ce qu’on allait faire ensemble ...
Se rencontrer, Se déshabiller, Se consommer et Se séparer.
J’y avais mûrement réfléchi et j’avais décidée de m’assumer en tant que salope et d’enchainer les aventures, de profiter de ma jeunesse, de m’épanouir sexuellement et de jouir de ce physique si durement retrouvé !
Quelques garçons me tournaient autour en cours, comparée à l’année dernière j’étais mieux intégrée et j’avais réussie à me faire des amis (filles comme garçons) mais j’étais trop dévouée a mes cours et mes révisions pour flirter avec eux.
Je m’appliquais à avoir de bons résultats afin de ne pas revivre une désillusion scolaire et ma mère payant cette fois-ci le loyer afin de m’éviter de prendre un petit boulot à côté, il était primordial d’avoir une bonne moyenne pour lui prouver que je n'allais pas me foirer et que cet effort financier portait ses fruits.
L'école nétant donc pas un terrain de chasse propice a des coups d'un soir (surtout que je me serais rapidement fait une réputation) et bien je me tourna naturellement et rigoureusement vers les sites de rencontres.
Alors pourquoi après plusieurs semaines n'avais-je pas encore trouvée ma prochaine conquête ?
Vous devez vous demandez pour quelle raison prenais-je autant de temps à sélectionner ce mec ?
Il allait être ma 10ème bite …
Jusqu’ici je tenais le compte et même si j’avais prise la décision de les enchainées prochainement et de ne plus me soucier de mon nombre de partenaires, le fait de passer la dizaine me donnait envie de bien la choisir, qu’elle soit mémorable car je savais que ce gars allait être la fin de cet intérêt pour mon nombre d’amants mais aussi l’amorce de quelque-chose donc je ne voulais pas me précipiter et m’assurer d’avoir un amant inoubliable ou une bite extraordinaire pour ce premier plan cul …
J’ai conversé avec beaucoup de garçons. J’étais très sélective physiquement, je cherchais un mec qui me fasse de l’effet ...
Un beau-gosse qui serait mignon de visage et à la carrure plutôt sportive, le gars qui me ferait mouiller comme une folle !
Mon profil, mes photos et ma bio étaient équivoques, je n’étais sur ces sites que pour du cul !
J’avais postée 3 photos de moi :
- L' une prise du dessus qui plongeait dans mon plus beau décolleté afin de montrer que j’avais « du monde au balcon »,
- Une seconde de mes jambes dans la baignoire avec de la mousse sur mon entrecuisse (camouflant mon pubis) où l’on pouvait voir tout le bas de mon corps sans que mon intimité ne soit révélée et où j’affichais fièrement mes pieds pour les fétichistes (je me trouvais super sexy sur cette photo).
- La troisième de derrière où l’on me voyait de dos en bikini sur la plage pour avoir un aperçu de mes fesses.
J’enchainais les matchs et les conversations mais je me rendais vite compte que la plupart des mecs étaient tous les mêmes, peu bavard et bien souvent trop rentre dedans dès le départ en cherchant un rendez-vous immédiatement …
La rançon de la gloire quand on a fait la fille facile dans sa bio et son allumeuse avec ses photos …
Mon plan cul devait être excitant physiquement mais aussi psychiquement, je voulais que cette 10ème bite soit parfaite, que cette baise soit inoubliable et pour ça il me fallait un gars qui sache me stimuler.
La plupart ne sortait pas du lot quand je commençais à les chauffer ou leur demander ce qu’il me ferait si je venais chez eux ce soir (il fallait qu’ils puissent recevoir étant dans l’impossibilité d’en ramener un a l’appart). Leurs réponses étaient peu originales et c'était rarement excitant de lire ce qu’ils avaient en tête ou ce qui les excitaitent.
Quelques gars se démarquèrent parfois mais au moment de discuter de nos pratiques ou fantasmes c’était là encore plutôt fade et convenu ...
Celui qui se démarqua apparu fin octobre alors que j’allais avoir mes premiers jours de vacances de l’année, j’avais fait le choix de rester à l’appartement pour me reposer, réviser et rattraper mon retard sur une série TV mais c’est une soirée chez ce beau-gosse que je programma finalement le soir du départ en vacances.
Il avait de beaux cheveux longs qu’il attachait avec un chignon, c’était un mec musclé qui affichait de beaux abdominaux et de gros pectoraux/biceps sur ses photos torse nu, physiquement une bombe, je me voyais déjà promener mes mains sur son corps pendant qu’il me baiserait !
Il m’avait fait de l’effet par messages en me disant qu’il aurait aimé prendre ce bain avec moi pour glisser sa main entre mes cuisses et m’ôter cette mousse (visible sur ma photo) ...
On s’était alors chauffer quelques jours et il m’avait dit être très endurant, accroc au sexe et incapable de se poser avec une fille tant il aimait séduire. Cela me vendait du rêve et puis au moins c’était clair, avec lui aucune chance ou de s’attacher ce qui en faisait un coup d’un soir de choix ! Il avait eu le courage et l'audace de m’envoyer sa bite en photo quand je lui avait demander s’il en avait une grosse et la photo avait été une réponse des plus convaincantes, elle était épaisse, bien veineuse et imposante donc j’étais ravie.
Pour être honnête, je ne me rappelle plus de son prénom mais je me souviens qu’il avait 5 ans de plus que moi (25 ans), son propre appart en plein centre-ville et qu’il fournissait les capotes donc puisqu’il m’excitait à mort physiquement et par messages, je décida de foncer !
Nous avions choisis de nous rencontrer dans un bar proche de chez lui, je me rendis là-bas avec un décolleté plongeant mettant en avant mes atouts, un pantalon simili cuir et des talons de pétasse. Coté lingerie, un string noir à dentelle que je portais avec un soutif rouge lui aussi à dentelle. Je me souviens avoir été toute excitée en me rasant la chatte quelques heures avant, de m'être caressée en sortant de la salle de bain et d'avoir été fière de l'allure que j'avais dans mes sous-vêtements face a mon mirroir. Le régime et mes nombreuses séances à la salle avaient payées ! Je m'étais maquillée avec soin, j'avais mis mon plus beau rouge à lèvres, je m'étais faites aussi belle que possible et habillée de façon sexy pour lui.
Dans la rue, je vois plusieurs hommes me reluquer, je me sens sexy et leurs regards me confirme que j’ai probablement choisie une bonne tenue pour stimuler rapidement ce beau mâle qui m’attends.
J’entre dans le bar, il est comme prévu assis à une table au fond. Je ne suis pas déçue, il est encore plus beau en vrai que sur ses photos. Je m’installe à sa table timidement et légèrement mal a l’aise n’ayant jamais encore "date" un parfait inconnu, il semble a l’aise et sûr de lui, le feeling passe bien.
Après quelques minutes, deux trois échanges de banalités et l’arrivée de nos verres, il lance enfin un sujet plus croustillant en me complimentant sur mon physique. Je lui demande alors si je lui plais car il n’avait aucune photo de mon visage ?
Il me confirme son attirance, ce a quoi je lui réponds ne pas être déçue également, une tension sexuelle s’installe, elle est palpable, son regard dans le mien est électrique, il me déstabilise autant que j’ai envie de foncer chez lui !
Il commence a poser sa main sur la mienne au fil de notre conversation, on évoque mon inexpérience en dates et que c’est la première fois que je viens à la rencontre d’un gars pour du sexe, il m'expose alors le contraire, son habitude à ce type de rencontres et me rassure sur le fait qu’il va prendre soin de moi et que tout va bien se passer, qu’on va se régaler …
Une pulsion m’anime alors et je lui demande « qu’est-ce qu’on attends pour y aller dans ce cas ? »
Il sourit, termine son verre d’une seule gorgée et me réponds « allez, c’est parti » !
J’avale d’une traite le mien à mon tour et prends mon sac pour le suivre, on rigole, il prends ma main, mon cœur s’emballe ...
Que suis-je en train de faire ?
On marche quelques instants, il passe sa main par-dessus mon épaule et m’explique qu’il habite à deux rues d’ici, il sent bon, j’aime l’odeur de son déo/parfum, le soleil est en train de se coucher et illumine son visage d’une sublime teinte.
Je le trouve si beau …
Me voici dans son appartement, un léger stress s’empare de moi au moment où il ferme la porte a clé, il se retourne et me sourit, je lui rends timidement son sourire sans un mot.
Il s’approche, pose ses deux mains sur mes joues et m’embrasse langoureusement.
Mon stress s’envole et mon bas-ventre s’éveille.
Alors que nous nous embrassons plus sauvagement et que nos langues se mêlent, il me pousse en arrière tout en me gardant contre lui, je recule en continuant notre baiser avant de basculer a la renverse sur son canapé.
Ses lèvres et sa langue quittent ma bouche pour plonger dans mon décolleté et m’embrasser le haut des seins !
J’adore sa fougue et qu’il y aille aussi franchement sans même me dire un mot depuis qu’on entrés chez lui ... Il m'excite.
Ce garçon que je ne connaissais pas il y’a 20 minutes est en train d’enlever mon haut et sortir mes seins de leur soutif pour me dévorer les mamelons, je gémis comme la salope que je suis alors qu’il me suce les pointes et malaxe d’une poigne ferme ma poitrine. Mes gémissement de plaisir semblent le déranger car il enfonce rapidemment deux doigts dans ma bouche comme pour me faire taire ou m’ordonner d’essayer d’endurer sa fougue le plus discrètement possible.
Je commence alors a sucer ses doigts, promener ma langue autour de ceux-ci, ce qui a pour effet de le faire devenir plus bestial, il commence à mordiller mes tétons et m'assenne même des claques sur les seins.
J’aime qu’il me traite ainsi, je me sens comme une Femelle réduite à l’usage de ce Mâle, il est si sauvage que plaisir et souffrance se mêlent mais j’ai la sensation d’être sa chose et ça m’excite carrément.
Je commence à avoir mal aux seins, mes tétons ont étés maltraités et le tripotage sans retenue ainsi que les multiples coups administrés a ma poitrine me donne la sensation de n’être plus que deux énormes bleus ...
Je n’allais pas tarder à arrêter de lui sucer les doigts pour lui demander de laisser un peu de répit a ma pauvre poitrine quand il se redressa de lui meme pour déboutonner son pantalon face a moi et me donner un ordre des plus directs « Suce moi ! ».
Je me redresse sur le canapé alors qu’il grimpe dessus, la situation m’embarrasse, son sexe est en érection face a moi, je l’ai littéralement sous le nez et je trouve cela légèrement rabaissant, il ne m’a pas laissé le plaisir de découvrir sa queue, de l’extirper de son pantalon/caleçon, la prendre en main, la lécher, jouer avec avant de le prendre en bouche …
Il me l’a mise directement sous le nez, à quelques centimètres de moi et m’a donné l’ordre de le pomper, cette posture avec les mains sur les hanches alors qu’il bande aussi virilement devant moi me gêne, c’est comme si cette situation affirmait sa supériorité sur le jouet sexuel que je semblais être pour lui, ça m’excitait autant que ça me gênait qu’il soit si à l’aise.
Je m’exécute tout de même, j’empoigne sa grosse queue gonflée de désir, elle est chaude et plus dure que toutes les queues que j’ai le souvenir d’avoir un jour prise en main ...
Je le branle délicatement alors que ma langue se pose sur sa verge, je prends conscience du morceau et réalise qu’elle est vraiment monstrueuse, une vraie bite d’acteur porno …
Je lèche cette queue d’une rigidité inquiétante en me demandant si elle ne va pas me faire mal quand je l’aurais en moi ?
Ma langue parcourt son chibre et ses veines donnent du relief à « l’objet », sa queue est encore plus impressionnante qu’en photos, il était définitivement le meilleur choix !
Son énorme bite me fait fondre d'excitation autant que je la crains pour la suite ...
Je suis complètement excitée par la situation, être les seins à l’air avec le soutif encore agrafé sur mon ventre dans le salon d’un parfait inconnu en train de goûter à la bite la plus virile qu’il m’a été donnée de voir est super excitant.
J'adore cette liberté que je m'accorde, cet interdit que je brave, je me sens cochonne et supérieure à celles qui n'osent pas vivre ça.
Je décalotte pleinement le gland de mon partenaire et enfonce sa queue dans ma bouche, je la lèche, la suce, l’aspire, la pompe et la goûte comme si je n’en avais pas eue en bouche depuis des années, je me sens affamée, j’ai envie de la déguster encore et encore, je prends du plaisir à le sucer.
Je commence à me laisser totalement aller et faire tout ce qui me passe par la tête, ma fellation devient plus obscène et baveuse, je lui fais du « sâle » alors que ma chatte est en feu, j’ai l’impression d’être trempée, j’ai envie de me caresser le clito pendant que je le pompe, d’enfoncer un doigt en moi pour constater l’effet qu’il me fait …
D’un coup, il se mets à me tenir le crâne et me baiser la bouche, ses pouces sont au-dessus de mes oreilles alors que ses 8 autres doigts m’écrasent le crâne, il ne fait preuve d’aucune délicatesse dans sa manière de me tenir la tête et encore moins dans la manière dont il me baise la bouche. Ses couilles volent au rythme de ses vas et viens, elles claquent parfois contre mon menton tellement il y va vite, il me fourre la bouche comme si c’était une chatte, je le trouve encore une fois beaucoup trop a l’aise et humiliant pour un plan avec une parfaite inconnue mais là aussi ça m’excite d’en être déjà à faire des choses si obscènes/intimes avec un mec que je connais à peine ...
Il me fait soudainement basculer en arrière bloquant ma tête entre le dossier du canapé et son pubis afin de me la mettre plus profondément, j’ai son énorme queue en plein dans la bouche, j’étouffe comme je n’ai jamais étouffé mais je prends sur moi …
Ma langue est coincée sous sa queue, il a trouvé la bonne inclinaison pour se payer ma gorge, il me baise la bouche plus calmement mais bien plus loin ! Je n'y arrive pas, sa queue tient à peine dans ma bouche et me coupe totalement la respiration, son énorme morceau de chair appuie sur ma langue et me donne envie de vomir. Ma gorge se fait malmener un moment sans que je puisse gérer ce qu’il se passe, m'avouant vaincue, je commence à taper sa cuisse pour lui demander de me laisser respirer mais sans succès, il ne m’écoute pas et continue son œuvre.
J’essaie alors de m’extirper mais il me tient fermement par les cheveux, coincée contre le canapé et le poids de ce gars sur moi, je n’y arrive pas. J’ai l’impression que je vais lui gerber sur la queue et m’étouffer par manque d’oxygène, c’est un énorme relent qui m’aidera finalement à le dévier en m’extirpant dans un rejet qui frôla le vomissement ! Ce fut un véritable haut de cœur et j’en bondissa hors du canapé pour saliver abondemment sur son parquet comme une vulgaire pute …
« Mec, c’était quoi ça ? T’es malade ! » lui reproche-je alors que je reprends péniblement mon souffle et ravale ma salive.
Il me redresse, essuie mon eye-liner qui dégouline sur mes pommettes, m’embrasse à pleine bouche alors que je suis encore pleine de bave, dégrafe mon soutien-gorge qui tombe au sol puis me pousse de nouveau sur le canapé où il se mets a enlever mon pantalon, je reprends encore mes esprits après avoir étouffée sur sa queue lorsqu’il me donne un nouvel ordre : « A quatre pattes maintenant » …
Il me fait cambrer devant lui afin d’admirer mon cul en string puis l’écarte pour plonger un doigt en moi, il m’informe que je suis trempée (comme si j’en doutais) puis il baisse mon string avant de venir plonger son visage entre mes fesses afin de me lécher les deux trous avec gourmandise.
Je suis décontenancé, il ne s'est meme pas excusé pour m'avoir faites presque vomir avec sa gorge profonde. J'en reviens pas qu'il ne m'a même pas répondu quand je me suis plaintes. Ce mec m'a embrassée, déshabillée et mis dans la position qu'il souhaite et je me suis docilement laissée faire ... Il me traite comme un jouet dont il peut disposer et je le laisse faire ...
Je prends conscience de la chienne qu'il croit avoir chez lui, son attitude me renvoit brièvement a mes séances de psy ...
Suis-je capable de me laisser encore traitée ainsi par un homme ? Puis-je laisser un homme faire ce qu'il veut de moi ?
Suis-je d'accord avec ça ? Est-ce normal de finir toujours dans cette posture, ce rôle, cette façon de coucher ?
Est-ce qu'une femme est faites pour se faire prendre de la manière dont l'homme en a envie ? Ne suis-je pas faites pour ça ?
Voulais-je baiser avec un inconnu ou me faire utiliser par un inconnu ? Pourquoi ce traitement toxique m'excite-t-il ?
Suis-je une chienne qui ne veut que ça ? Servir les besoins des hommes ?
Ces questions se bousculent dans ma tête alors qu'il me dévore sucessivement les trous.
Sa façon de me bouffer le cul est animale et sale, il salive beaucoup trop et ma raie finit trempée ce qui est loin d’être agréable. Il enfonce plusieurs fois sa langue dans mon anus ce qui n’est pas ce que je préfère.
En revanche, sa manière de me lécher la chatte est plus maitrisée et fait mouche, il embrasse mes lèvres du bas avec les siennes et sa langue se promène dans mon trou ou sur mes lèvres, de bons coups de langues bien précis et quelques frottements du doigt titille à souhait mon clitoris et me font fondre sous ce traitement.
Je m’agrippe au dossier du canapé totalement excitée par le fait de sentir son front et son nez complètement enfoncés dans mon cul, lui aussi est a son tour en apnée entre mes fesses. Mes pensées s'estompent pour ne laisser place qu'à une image où je me vois à quatre pattes en train de prendre mon pied avec l’intégralité du visage de cet animal dans mon cul, on ne m’avait jamais fait ça dans cette position !
Il se redresse après de longues et délicieuses minutes, il me dit de ne pas bouger, fait quelques pas puis revient vers moi avec une capote, il la déchire et l’enfile avant de venir frotter sa queue contre ma chatte. Je me crispe instantanément en me demandant si commencer par la levrette est une bonne idée avec une telle bite ?
Il ne me laissera pas le temps d’en débattre et me la mets lentement, cela me coupe le souffle, elle est énorme et l’absorber est incroyable.
Je me fais prendre avec patience et maitrise, ma chatte s'habitue à son membre avec bonheur, elle est trempée et était finalement totalement prête à l’accueillir. Mon amant est bon, on vient de commencer mais je sens instantanément qu’il sait y faire, il me lime doucement pour bien que je sente sa verge sur toute la longueur.
Je constate qu'il sait se jouer d'une femme quand il me lime l’entrée plusieurs fois rapidement en me pénétrant peu puis pousse d’un coup vif et puissant au fond pour me faire l’encaisser profondément et m'arracher a coup sûr un cri/gémissement ! Je m'habitue a le laisser m'entendre jouir sous ce traitement, il tape deux fois tout au fond avant de reprendre une dizaine de courtes pénétrations pour me faire saliver et espérer de plus gros coups de reins, pas de doute, il sait y faire pour asservir une femme à sa queue.
La véritable levrette débuta après m'avoir totalement décomplexée, de vrais coups de reins en cadence me faisaient dorénavant couiner comme une chienne en chaleur et ma chatte aspirait son épaisse bite comme si elle avait toujours été aussi dilatée.
Ses mains parcourent mes fesses, il les malaxent, les écartent, les remuent ! Il s'aggripe à mes fesses et les broient entre ses doigts, il me secoue le cul sur sa bite sans qu'on bouge comme pour se branler avec ma chatte, il me fait remuer dessus seule, il profite de tout ce que j'ai à offrir ... Les minutes passent et ma chatte se fait pulvériser, de grands coups de bites s'abattent dorénavant en moi pendant qu'il me tient par les hanches, il me frotte l’anus du pouce, passe une main sous mon ventre pour me caresser le clito ou par moments il tripote mes seins qui pendent dans le vide. Il m'arrache de nombreux gémissements intenses et me fait jouir a répétitions.
« T’as l’air d’apprécier être ma chienne, dis-moi que t’aimes cette queue !
- Je l’adore, elle est trop bonne ! Et toi ? T’aimes ma chatte ?
- Tu mouilles abondement, ma bite glisse si facilement en toi ! J'aime le bruit que ta chatte de salope fait, ça m’excite grave !
- C’est parce-que tu me rends folle, baise-moi plus fort ...
- Oh, tu veux y aller à fond ? Voyons ce que tu peux encaisser !
- Défonce-moi, je suis là pour ça »
Une levrette brutale, intense et mémorable débuta.
Il retire sa queue de ma chatte, me repositionne à l’avant du canapé alors qu’il se met cette fois debout face a mon cul.
Il ôte mon string que j'avais sur les chevilles depuis un moment, j'allais l'aider a retirer mes talons quand il refuse et me dit de les garder, ça l'excite. Il rentre de nouveau en moi et débute alors une série de coups de bites bien plus brutaux.
Je suis le cul en l’air avec le visage contre le canapé, un étalon me prends sans retenue et fracasse mes pauvres fesses contre lesquelles son pubis et ses cuisses claquent a toute allure. Il est brutal, ses coups de reins sont effrénés et sa lance me perfore trop profondément, j’ai l’impression qu’il tape contre mon utérus, j’en ai mal au ventre mais l’intérieur de ma chatte et mon clito se régalent, mes parois vaginales sont limées sans ralentissements, j’hurle de plaisir/surprise/douleur sous ses assauts.
Quelques insultes/compliments accompagnent ses coups de reins, on se lâche complétement verbalement et physiquement, il n’est plus qu’un chien en rut, vulgaire et violent et je ne suis plus qu’une chienne en chaleur, obscène et soumise.
Le bruit de son corps qui s’entrechoque avec mon fessier, nos gémissements décomplexés, nos obscénités verbales et le bruit que fait son canapé qui avance sur son parquet par moments me font penser aux voisins qui doivent nous entendre, ça m’excite, on est des putains d’animaux.
Je prends mon pied, je couine, gémis, hurle par moments et j’ai les larmes aux yeux car je commence à ne plus supporter tout ça, j’en perds le souffle, la tête et ma chatte ressent trop de choses, du bon comme du mauvais, il me la broie de l’intérieur, j’ai l’impression de n’être plus qu’un trou béant qui ne se refermera plus, sa grosse queue me fait autant de bien que de mal et je ne sais pas si j’ai envie de pleurer de plaisir ou de douleur.
Une fessée puis deux puis trois s’abattent sur mes fesses, je sens déjà ma peau rougir, il m’insulte de chienne et autres joyeusetés alors qu’il me frappe. Le paradoxe se fait de nouveau sentir, est-ce que j’aime qu’il fasse ça ?
Pourquoi je me sens mal à l’aise ou humiliée/rabaissée à être traitée ainsi ?
Pourquoi est-ce que ça me dérange qu’il se permette ça sans m’en avoir parler ?
Pourquoi est-ce que je ne l’arrête pas alors que ça fait mal ?
Pourquoi est-ce que je me sens excitée par le fait qu’il me manque de respect comme ça, me réduise a ça, se permette ça, me traite comme ça ?
Pourquoi est-ce que je le trouve viril et excitant a se comporter ainsi ?
Pourquoi est-ce que j’aime du coup qu’il fasse ça ?
Est-ce que ça fait du bien ou juste mal ?
Je suis partagée et est-ce que ce n’est pas cette dualité entre mes sensations/sentiments qui m’excite autant justement ?
Quelque-chose grimpe en moi, quelque-chose d’intense, j’ai envie d’ouvrir les bras a cette sensation autant que la fuir pour qu’elle s’éloigne. Mon bras commence alors à freiner instinctivement mon partenaire, je pose ma main contre son ventre pour réduire sa capacité de pénétration et sa vitesse, je constate qu’il est en sueur. Cela m’excite ... NON !!! Ce n’est pas le but ... Pourquoi je n’arrive plus à me tenir ?
Il me prend alors le bras puis l’autre et me voici encore plus vulnérable avec les deux poignets l’un sur l’autre alors qu’il me menotte de sa main. Il me baise moins vite mais pas moins fort, je n’arrive plus à tenir, ça fait mal, ma chatte n’est plus en mesure de le servir, je le supplie d’en finir l’informant que je suis hors-service !
Il me soulève alors le haut du corps a la force de ses bras en tirant sur les miens, il bascule son dos légèrement en arrière et me pilonne sans aucune retenue ou pitié alors que je viens de lui dire être détruite ... Mes seins volent dans tous les sens, je suis droite, à gémir de douleur et de bonheur sous le traitement que je subis, je suis empalée sur sa queue, il va définitivement me détruire la chatte, je serre les dents et attends qu’il finisse me fiant a sa respiration haletante et la vivacité de son assaut, il ne tiendra plus longtemps.
C’est alors que l’impensable arriva, dans un dernier élan destructeur pour moi et salvateur pour lui.
Il passe son bras droit entre mon dos et mes deux bras, fermant mes bras entre son avant-bras et son biceps et me redresse contre lui, je me retrouve le dos contre son torse avec les deux bras maintenus fermement par le sien !
Sa main gauche me malaxa un moment les seins et les tétons avant de se fermer sur mon cou, il m’étrangla alors dans un dernier élan de sauvagerie et ce n’était pas un étranglement délicat ou pour le jeu sexuel ... C’était un étranglement réel, bestial, brutal qui aurait pu s’avérer fatal car je sentais qu’il ne relâcherait qu’après avoir joui.
J’entends cet homme en rut râler de plaisir alors qu’il me déboite, mon corps est tordu en deux, mon cul et mes hanches sont cambrés sur sa queue et le haut de mon corps fait une arche, ma tête est sur son épaule, il me lèche la joue alors qu’il m’étrangle de toute ses forces comme s’il allait me tuer.
Je n’arrive plus à parler, je ne respire plus depuis un moment, j’ai mal au dos, à la chatte et je commence à perdre connaissance, je ne l’entends bientôt plus gémir, le bruit de ses coups de reins disparait et je ne ressens plus rien.
Rien sauf sa queue qui me pilonne, la sensation que j’ai cherchée à éloigner accélère subitement et je me tords alors sentant le bas de mon ventre imploser, c’est intense, c’est comme s’il avait rompu quelque-chose en interne dans ma chatte.
J’essaie d’hurler mais j’étouffe, je suis de retour dans le monde réel et me débat, j’essaie de me jeter en avant tout en remuant ma tête dans tous les sens, il relâche subitement ma gorge, je tousse et m’écroule, ses bras me libèrent, je suis sur son canapé à trembler de partout et m’agripper à l’accoudoir ...
Je pousse enfin un long gémissement de plaisir alors que ma chatte semble jaillir, je viens d’avoir mon premier orgasme.
Je reste un moment affalé sur le canapé avec les jambes qui tremblent, je reprends mon souffle péniblement, quelques larmes coulent, j’ai la gorge en feu et ma chatte semble n’être plus qu’un trou béant. Mon corps accuse un sérieux contre-coup, j’ai mal partout mais je suis aussi comme sur un petit nuage, je me sens légère, je flotte hors du temps et je me sens en paix.
Une palpation de mes fesses me ramène avec lui alors qu’il s’approche de ma chatte détruite.
Je m’extirpe aussitôt hors de son contact refusant qu’il me la touche de nouveau.
Je me retourne face a lui pour lui dire que je suis hors-service et que je vais le finir avec ma bouche mais je constate qu’il commence à débander et que la capote est pleine de sperme.
« Doucement, je suis plus en capacité de te laisser la toucher …
- Haha, ok !
- Je ne savais pas que t’avais joui, t’es venu quand ?
- Bah en même temps que toi, quand tu te tordais dans tous les sens, j’étais en train d’envoyer la sauce.
- Tu veux dire qu’on a … jouis en synchro ?
- Oui, ensemble, te voir avoir un orgasme m’a achevé !
- Je ne crois pas avoir déjà eu un orgasme ... En tout cas pas d'avoir joui aussi intensément et ça ne me parle pas non plus d’avoir joui en même temps que mon partenaire, je trouve ça fou ...
- On était compatibles, que veux-tu !
- Ouais … plutôt …
- En tout cas, peu de filles arrivent a encaisser ma bite comme tu l’as fait !
- C’est vrai ? Bah, je dois avouer que j’ai super mal au ventre maintenant mais c’était le pied.
- C’est normal, j’ai tellement tapé dans le fond … Tu veux boire un truc ?
- Un verre d’eau s'il te plait puis je vais y aller …
- Ah ouais, tu ne veux pas passer la nuit ici ? On pourrait recommencer tout à l’heure puisque t’as l’air d’avoir aimé ça ?
- Haha j'apprécie ton entousiasme mais je suis plus du tout en état, je t’assure que là c’est impossible.
- Ok, pas de soucis, c'est toi qui vois
- Ta salle de bain est où, je vais aller me passer un coup d'eau »
Il retire sa capote, la jette dans la poubelle de la cuisine, m'indique la salle de bain et ouvre son frigo.
Je m'éclipse péniblement, mes jambes flageolent, j'atteins la salle de bain et découvre une fille en piteux état !
Mon maquillage est ruiné, je ressemble a un panda, mon eye-liner a coulé partout, mes cheveux sont en bataille, je suis hideuse.
Je me rince le visage, tente de me redonner une apparence présentable et me passe un coup d'eau sur les cuisses.
Je retourne dans le salon pour y retrouver mon hôte, il est toujours nu, je suis encore nue aussi ne portant que mes talons, on boit un dernier verre ensemble en se complimentant mutuellement physiquement et pour cette bonne baise puis je me rhabille et quitte ce dangereux étalon. Il m’embrasse sensuellement devant le bas de sa porte, mon cœur s’emballe, je rentre chez moi avec une sensation de plénitude.
C'est dingue, je pourrais tomber amoureuse du premier mec qui me baise ?
Je m'étais jurée de ne jamais remettre le couvert une autre fois avec mes futurs plans culs alors pourquoi j'ai déjà envie de le revoir ?
Je sais depuis le début que ce queutard est incapable de se poser et qu'il va en baiser d'autres alors un peu de sérieux Charlotte ...
Il m'a fait prendre mon pied comme jamais ce mec, bien foutu, bon coup, un brin dangereux et pervers, quelle rencontre !
Raison de plus, si un parfait inconnu peut me baiser aussi bien, autant en essayer pleins d'autres et vivre d'aussi bons moments !
En rentrant dans l'appartement je croise Ines qui me demande si j'ai passée une bonne soirée, je lui dis avoir été au restaurant avec un mec mais qu'il n'était pas très intéressant. Elle me réponds que c'est dommage. Je lui mens ouvertement afin qu'elle ne se doute pas un instant que sa coloc vient de se faire démolir par un inconnu. Je lui explique que je suis morte et que je file prendre une douche avant d'aller dormir.
Une fois nue dans la salle de bain, je constate les dégats !
Mes seins ont des rougeurs, mes fesses gardent des traces de ses fessées, ma chatte est hyper-sensible, le passage du jet d'eau ou de mes doigts est une sensation trop vive.
Comment ce gars a-t-il pu me faire jouir plus fort que tous mes exs et me démolir plus que tous mes partenaires ?
J’ai envie de me toucher en me mettant au lit mais je n’y arrive pas, je ne suis pas en état alors que j’en crève d’envie.
Je m’endors péniblement, je repense a sa main sur ma gorge, a sa grosse bite dans ma bouche, a ce qu'il a fait de ma chatte ...
Ma chatte resta sensible le lendemain, impossible encore de me masturber, mes seins et mes fesses gardèrent quelques jours des ecchymoses, les voirs m'excitait, ça me ramenait à lui, aux coups que j'ai pris, au traitement que j'ai subis, au plaisir qu'il m'a donné.
Ces bleus étaient de courts trophées, ils s'estompèrent comme mon envie de le recontacter laissant place a une soif d'aventures, de nouvelles bites, de nouveaux amants, de nouveaux souvenirs mais cette 10ème bite me resta en mémoire comme l'une des meilleures baises de ma vie et je m'étrangla moi-meme en solitaire quelques fois dans les semaines qui suivirent en me masturbant ...
L'année ne faisait que commencer, ce premier coup d'un soir avait été un franc succès et avait éveillé de nouveux vices en moi, plus motivée que jamais a me découvrir sexuellement et profiter des hommes pour ce qu'ils sont, je débuta ma nouvelle vie.
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________
En 2016
C’est la rentrée, me voici dans une nouvelle école pour refaire mon année, je vais mieux et j’ai soif d’aventures, il est temps que je profite de tout ce que la vie peut m’offrir.
Les derniers mois furent salvateurs pour la jeune femme abimée que j’étais, cette rentrée est pour moi un nouveau départ mais avant de vous conter cette nouvelle et tumultueuse aventure, revenons sur ma rédemption.
J’étais suivie par un psychologue à qui j’ai pu tout dire de mon rapport aux hommes, mettre le doigt sur mon problème avec mon père, ce que son absence a créée chez moi ainsi que pointer du doigt mon envie d’autodestruction et ma culpabilité vis-à-vis de Thomas.
Je travaillais avec lui sur la vision que j’avais de moi et des relations hommes/femmes, je mettais pour la première fois de ma vie des mots sur mon besoin d’affection, mon insécurité quand il s’agit de s’attacher à un homme, ma peur de l’abandon ou encore mon estime de moi et au fil des séances, je sentais que je reprenais confiance en moi.
Je me confiais beaucoup à ma mère sur mon manque de confiance en moi et ma peur de l’abandon, à Clara sur mes addictions et la relation toxique que j’avais eue avec Adrien et enfin à Kévin sur ma sexualité, mes vices et mon besoin d’affection, tout ce beau-monde m’aida a affronter mes démons.
Il se passa plusieurs semaines où mon quotidien se résumait à regarder des séries, à jouer aux jeux-vidéos, à faire du shopping, profiter de mes proches. La vie était agréable, sans pression, loin des cours et de cette vie solitaire que j’avais menée, je pouvais me consacrer à mon introspection et ma thérapie mais surtout à tenir mon régime et me buter à la salle de sport pour retrouver un corps dont je sois fière.
La salle de sport était l’endroit où j’étais le plus vulnérable, je devais faire face à mon corps et ce qu’il fallait que je change mais j’y étais majoritairement entourée d’hommes et je sentais leur regard sur moi. J’essayais d’y aller l’après-midi pour éviter les heures où la salle est trop fréquentée, je savais que voir des beaux garçons pourraient me donner des envies que je ne pouvais m’autoriser dans mon état actuel et que me faire accoster par des mecs là-bas mettrait à l’épreuve la vision que j’ai de moi, je n’étais pas prête pour du flirt surtout que j’avais jurée de faire abstinence le temps d’aller mieux.
Etonnamment l’addiction dont j’avais le plus de mal à me sevrer ce n’était pas l’alcool ou la drogue mais la masturbation et ma consommation de porno, mon psy m’avait demandée de réduire drastiquement ma fréquence de plaisir en solitaire et c’est la résolution que j’avais prise que j’avais le plus de mal à appliquer. Ayant reconnue que j’étais nymphomane et que le sexe prenait trop de place dans ma vie et dans mon rapport avec les hommes, il fallait que je m’en détache un certain moment afin de mieux appréhender pourquoi j’étais aussi accroc à la chose. Mon psy pensait que ma surexposition au porno et l’obscénité du contenu sur lequel j’avais l’habitude de fantasmer ne pouvait qu’alimenter la faible estime que j’avais de moi et ma vision peu flatteuse du rapport homme/femme donc il me conseillait d’essayer de ne plus en regarder et de faire appel à mon imagination si je devais me toucher.
Ce qu’il n’avait sûrement pas imaginé c’est qu’un tel exercice me ferait fantasmer sur lui, il était automatiquement dans ma tête au moment où je devais me retenir de céder a mes pulsions et j’avais la sensation d’être sous son contrôle à lui obéir…
Je me touchais en m’imaginant le faire sur son canapé en pleine séance, j’avais envie qu’il me voit en train de me toucher comme la petite salope que je suis, qu’il me dise qu’il allait calmer mes envies avec sa propre bite …
Bref, je me touchais en m’imaginant me faire sauter par mon psy dans son bureau alors on ne peut pas dire que j’arrivais à m’assagir …
Les mois passèrent et ma convalescence psychique commençait à arriver à son terme, je me caressais certes moins et faisait dorénavant beaucoup plus appel à mon imagination et mes fantasmes que du porno mais j’étais par contre plus perverse que jamais …
Mon envie de sexe n’avait pas diminuée, il m’arrivait de temps en temps d’aller chercher dans le coffre de ma voiture mon sextoy a ventouse pour m’empaler dessus quand mon besoin de sexe était trop intense (vivant de nouveau chez ma mère, il était essentiel que je cache mes jouets dans ma voiture pour être certaine qu’elle ne tombe pas dessus) mais ça ne remplaçait pas une vraie bite et j’étais en manque.
Je reconnais que m’éloigner du porno avait en effet participer à changer ma façon de voir le sexe mais cela n’avait en rien réduit ma perversion, je me touchais moins souvent mais j’étais toujours aussi cochonne quand je le faisais, il m’est arrivée de prendre la voiture et aller me garer sur une route de campagne pour me goder librement et pouvoir jouir sans retenue hors de la demeure familiale …
J’avais souvent les mêmes garçons en tête :
- Mon psychologue qui abusait de son statut sur moi durant une séance ...
- L'’un des coachs de la salle de sport qui fermait a clé la salle des cours de fitness pour m’arracher mon jogging et m’offrir une séance cardio des plus intenses ...
- L'’un des adhérents de la salle, un chauve hyper musclé à qui j’aimais m’imaginer donner rendez-vous aux toilettes pour qu’il me démonte comme une pute ...
- Le père de Clara chez qui je dormais régulièrement et que je rejoignais secrètement en pleine nuit pour un 69 sur le canapé du salon ou qui me laissait m'empaler sur sa queue dans la salle de bain pendant que sa femme et sa fille dorment ...
- Kévin, mon meilleur ami qui dormait régulièrement avec moi depuis des mois, je connais sa bite, je connais son désir pour mon corps et il serait si simple quand il dort de commencer à le branler, le sucer ou me mettre nue pour venir le chevaucher …
Je confesse avoir tout fait pour que Kévin craque et se permette un geste ou une parole déplacée quand nous dormions ensemble …
Je faisais exprès de ne porter qu’un t-shirt sans soutif avec une culotte pour l’aguicher, le tenter mais lui qui autrefois m’avait palpé le cul dans mon sommeil sans mon autorisation n’a jamais rien fait durant cette période. Je lui ai fait part de mon manque de sexe à diverses reprises pour lui lancer des perches, je le câlinais tendrement parfois comme une petite amie quand nous dormions mais rien ne semblait motiver mon meilleur ami a raviver la flamme qui l’avait autrefois consumé !
Pourtant tout bascula lors de notre dernière nuit avant qu’il ne parte en vacances avec sa petite amie pour deux semaines et que je ne fasse ma valise pour ma rentrée …
Je ressentais une certaine nostalgie à me dire que nous n’allions plus dormir ensemble avant très longtemps mais j’avais aussi beaucoup de reconnaissance pour sa présence à mes côtés lors de ces derniers mois particulièrement difficiles alors je me montra particulièrement douce et attentionnée ce soir-là. On passa une belle soirée à discuter, délirer et regarder un film puis nous nous couchâmes afin de discuter encore un peu sur l’oreiller comme nous avions l'habitude de le faire.
Je lui fit part de mes craintes pour la rentrée à venir, qu’il allait me manquer et nous nous primes dans les bras, il me réconforta sur le fait que maintenant j’étais « clean », forte et que c’était derrière moi. Je le remercia pour sa présence indéfectible et son soutien durant cette période de désintox, il m’embrassa sur le front. Je lui avoua avoir besoin de tendresse et être bien dans ses bras, il me dit qu’il serait toujours là pour m’en donner. Je lui confessa avoir besoin de plus d’affection qu’il ne pouvait m’en donner et un silence s’installa. Mon cœur se mit à battre la chamade, une chaleur s’empara de moi, j’attendais sa réaction, je leva les yeux vers lui et c’est quand mes yeux plongèrent dans les siens qu’il me demanda de quelle affection j’avais besoin ? Je fus intimidée comme une vierge qui n’oserait parler de sexe pourtant c’était mon confident sexuel, celui avec qui j’en parlais ouvertement, celui que j’avais déjà sucé plus jeune, qui m’avait bouffé les seins et que j’avais branlé mais j’avais l’impression que j’allais dire quelque-chose d’honteux, tabou et risqué …
« J’ai besoin de tendresse, qu’on me fasse l’amour »
Je me sentis rougir, cela faisait des années que je n’avais pas été intimidée de la sorte, je baissa les yeux, trop gênée pour soutenir son regard …
« Tu sais que je ne peux pas Charlotte, y’a Laura et puis t’es dans une période de ta vie où c’est compliqué de savoir si tu le veux vraiment … Je veux dire, je ne sais pas si ça serait une bonne chose pour toi.
- Je sais, je sais, je n’aurais pas dû te le dire mais j’en ai vraiment besoin et puis va bien falloir que je remonte en selle. »
Je m’allonge sur son épaule et pose ma main sur son pectoral, résignée mais toujours génée.
« Haha ouais c’est sûr, je ne t’imagine pas te faire nonne !
- Aucune chance !
- On rigole mais reprends quand tu te sens prête et avec la bonne personne, quelqu’un qui te respectera et ne risquera pas de réveiller de mauvais souvenirs ...
- Justement, je me disais et je voulais que ça soit toi mais je comprends vis-à-vis de Laura … »
Un silence s’installe, il ne réponds pas, un bref espoir jaillit en moi, je connais cet instant.
« Tu sais à quel point … J’ai toujours fantasmé sur toi malgré que tu sois ma meilleure amie alors je t’assure que j’en crève d’envie mais c’est aussi parce-que je suis ton meilleur ami que je dois prendre soin de toi plutôt qu’écouter mes bas-instincts.»
Je passe ma main sous son t-shirt et caresse son torse, une flamme s’embrase dans mon bas-ventre.
« Si tu veux prendre soin de moi, fais-moi tendrement l’amour Kévin, j’en meurs d’envie !
Tu sais que je ne dirais rien à Laura, ça restera entre toi et moi comme toujours et je sais que tu l’auras fait pour moi …
Comme j’ai pu faire le reste autrefois pour toi …
- Beaucoup trop tentant mais de toute façon je n’ai pas de capotes …
- Si c’est toi pourquoi en mettre ? Je n’ai rien fait depuis mon dernier test de dépistage et puis toi t’es en couple depuis des années, que je sache tu le fais qu’avec elle, non ? »
Mes yeux descendent vers son caleçon, je constate qu’il bande, je prends ça pour un signal de départ et commence à l’embrasser dans le cou alors qu’il acquiesce ne coucher qu’avec sa petite-amie, mes lèvres humides embrassent langoureusement son cou et ma langue se permets quelques léchettes, je suis en chaleur et dorénavant incapable de ralentir les évènements.
« Je veux te sentir en moi, je veux que tu jouisses en moi … dis-je entre deux baisers alors que je commence à agripper son sexe.
- Ok, t’as gagnée ! »
Il passe au-dessus de moi, m’embrasse fougueusement, nos langues s’entrelacent pour la première fois, mon cœur fait un bond, c’est mon meilleur ami qui m’embrasse, c’est la salive de Kévin qui coule dans ma bouche, ce geste d’amour que nous partageons ne devrait pas avoir lieu avec celui que je considère comme mon meilleur pote depuis plus de 8 ans et ça m’excite terriblement.
Sa main remonte mon t-shirt au-dessus de mes seins, il descend dessus et les embrasses, les caresses, les lèches, il est doux, sensuel, patient rien à voir avec la dernière fois qu’il a eu l’occasion de les voir, je fonds sous ce traitement, ma poitrine ne m’a jamais autant excitée.
Sa langue se perds sur mon ventre, il titille mon nombril, joue avec mon désir pendant qu’il s’approche de ma culotte que je sais déjà bien humide, il me l’ôte soudainement et contemple mon intimité, je suis embarrassée par le fait qu’il me regarde ainsi, ses doigts écartent mes lèvres, il complimente ma chatte en même temps qu’il commence a la caresser, je deviens folle alors qu’il stimule mon clitoris, je n’ai qu’une hâte, qu’il me laboure la chatte ...
Il plonge sa bouche sur mon sexe et me goûte, des baisers, des coups de langues maitrisés et diverses caresses de la main me font jouir en quelques minutes, ça faisait longtemps, c’est si bon, il me fait prendre mon pied juste avec sa bouche.
Kévin se redresse le menton trempé, il vient m’embrasser, il sent la mouille, il plonge un doigt dans ma chatte si sensible après avoir joui et me roule une pelle où j’ai l’impression de me bouffer le minou au passage. Je lui demande de ralentir avec ses doigts étant trop sensible après avoir pris mon pied, il retire alors sa main de mon sexe et je l’invite à me laisser faire à mon tour, il s’installe sur le dos alors que je retire son caleçon pour m’occuper de lui.
J’empoigne sa queue qui n’est plus très dure, je commence à le branler délicatement tout en lui caressant les boules, sentir sa queue durcir dans ma main est plaisant, la chaleur et la douceur d’une bite m’avaient manqué.
Je découvre que sa queue est bien baveuse, visiblement il a été très excité tout ce temps et son gland est déjà bien lubrifié,. Je promène ma langue sur sa verge et ses couilles sans jamais m’approcher de son gland luisant qui suinte du pré-sperme me suppliant de le mettre à contribution, je veux qu’il crève d’envie que je le prenne en bouche et les gémissements de Monsieur comme ses gestes me font sentir qu’il est a bout. Je me redresse face a sa queue, j’hésite un instant a baver sur le sommet de son gland ou a l’essuyer d’un bref passage du pouce mais finalement je décide de le savourer tel qu’il est, baveux et généreux, plein de désir pour moi.
J’offre a mon meilleur ami la meilleure pipe possible, je lui lustre le gland avec passion et tendresse, je m’applique a promener ma langue partout et a varier la cadence de mes aspirations, succions et léchettes, il se régale et me complimente pour ma technique.
« C’est pour te remercier d’avoir pris soin de moi ces derniers mois !
- T’avais aucunement besoin de faire ça mais je ne vais pas m’en plaindre …
-Je veux que tu sentes à quel point je t’en suis reconnaissante
- Tu suces tellement bien et c’est si excitant parce-que c’est toi …
- T’aimes voir ta meilleure amie avec ta queue dans la bouche ?
- Ouais ça me rappelle des souvenirs et faut dire qu’elle a bien progressée !
- Heureusement que je suce mieux qu’au collège … J’en ai taillé des pipes depuis.
- Tu peux me branler dans ta bouche comme tout à l’heure pendant que tu me léchais ?
- Attends, j’ai encore mieux à te montrer puisque tu vantais mes progrès, tu vas m’en dire des nouvelles ! »
J’empoigne alors sa queue et la glisse tout au fond de ma bouche, je décompose le mouvement avec une cadence lente et salive a volonté sur sa verge raide que je fais à chaque va et vient glisser un peu plus loin dans ma gorge. Kévin se crispe et pousse des gémissements à chaque plongée, il devient plus vulgaire dans sa façon de parler mais gémit quand je l’avale complètement, son bassin commence a remuer instinctivement et ma bouche débute alors une gorge profonde plus rapide.
Mon meilleur ami se fait pomper la dard sans retenue, je lui délivre ma meilleure performance en lâchant prise et ne me considérant plus que comme une ventouse bonne a aspirer son membre, il me baise la bouche du bassin alors que je m’efforce de ne pas m’étouffer et le garder dans ma gorge, il n'a plus l'air de se soucier de mon cas et me baise la bouche comme si c'était ma chatte.
Après quelques minutes, il retire ma tête subitement en me suppliant d’arrêter sinon il va cracher, je l’embrasse a mon tour baveuse et je reprends mon souffle avant d'ôter mon t-shirt pour venir le chevaucher. Je prends sa queue baveuse et raide que j’oriente vers l’entrée de mon corps, je m’assois alors délicatement sur celui qui connait tout de moi, mon confident, mon meilleur pote, mon frère pénètre alors en moi.
Je m’écroule sur lui, savourant sa queue qui commence à se remuer en moi, il imprime une cadence calme et efficace, je ne dis plus rien, je gémis juste dans son cou alors que ses mains parcourent mon dos, mes hanches, mes fesses et que sa queue me laboure. Je prends mon pied, le faire avec lui est plus fort émotionnellement qu’avec mes autres partenaires, quand il empoigne mon cul pour l’écarter et me baiser plus fort c’est plus intense que dans mes souvenirs, ma chatte se liquéfie sur son membre et j’ai terriblement honte qu’il m’entende jouir ou me voit ainsi mais c’est aussi ce qui rends l’instant si puissant et déroutant.
Alors que j’allais jouir de ce divin traitement, Kévin me bascule sur le dos et ralentis la cadence, me disant qu’il commençait à perdre le contrôle et que je voulais "faire l’amour", il m’embrasse alors puis reprends plus doucement sa course de face. Il décompose les mouvements me faisant ressentir l’intégralité de sa queue en moi, je la sens frotter mes parois, taper dans le fond et limer l’entrée de mon trou, il joue avec mes seins, les embrasses, les suces et je me sens si belle, féminine, sexy entre ses mains, nos corps ne font plus qu’un, nos sexes fusionnent et pour la première fois depuis des années, je fais l’amour et je n’ai pas l’impression d’être l’objet de plaisir de cet homme mais que nous sommes égaux, qu’il se dévoue a moi.
Il me demande si je suis prête a conclure ? J’acquiesce alors il se couche sur moi, empoigne mes fesses par le dessous et me fourre avec vigueur, sa queue bute au fond de ma chatte, j’ai l’impression de l’avoir dans le ventre, il s’affale de tout son poids sur moi et me pine comme un lapin, il buffle virilement sous l’effort et je couine comme une chienne en chaleur les jambes en l’air subissant la fougue de ce male devenue si sauvage, un long jet chaud me parcourt soudainement, puis un second et un troisième alors qu’il reste empalé profondément en moi.
Il se retire puis bascule sur le coté, il reprends sa respiration, mes seins et mon ventre sont en sueur, la chaleur et le frottement de nos corps nous ayant faits transpirer c'est comme si l'air sur ma peau me démangeait, il reprends péniblement sa respiration alors que je regarde sa queue débander, il me demande si c’était bon, je lui réponds que c’était parfait.
Alors que nous reprenons nos esprits et que les remords commencent à arriver, une première coulée de sperme se fit sentir entre mes lèvres, je l'abandonna alors pour aller me vider aux WC.
Dans les toilettes, je regarde ce sperme visqueux dégouliner hors de ma chatte alors que je pousse pour le faire sortir, je m’essuie avec du papier et constate qu’il s’est bien vidé les couilles, je prends conscience que ce foutre est celui de mon meilleur pote et que je viens de commettre l’irréparable.
J’inspire profondément alors que je tire la chasse et retourne en direction de la chambre, nue et de nouveau mal a l’aise, je m’empresse de chercher mon t-shirt pour me couvrir, c’est là qu’il se lève et m’enlace entre ses bras, me disant qu’il est heureux d’avoir pu le faire avec moi et qu’il ne regrettera de son côté jamais ce moment qu'importe les éventuelles conséquences. Je l’en remercie et l’enlace en retour puis me rhabille avant de glisser sous la couette.
Nous parlâmes de sexe un moment, de nos sentiments sur ce qu’on venait de faire puis nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre sauf que pour la première fois il s’endormit avec sa main sous mon t-shirt avec l’un de mes seins en main.
Lorsque je me réveilla il était déjà sous la douche, il avait un repas de famille de prévu le midi et notre grasse matinée ne lui permettait pas de trainer, je resta un peu sur ma faim ayant secrètement espérer qu’on recommence une dernière fois avant qu’il ne parte ...
Je fis ma rentrée dans une nouvelle ville quelques jours plus tard, je me créa un profil sur deux sites de rencontres étant résolue a profiter de ma jeunesse et jouir de ce physique si durement retrouvé, je me jura de ne donner que dans les coups d’un soir et ne pas m’intéresser autrement que sexuellement aux hommes que je daterais. J'aimais le sexe, le plaisir charnel et il était temps que je puisse assumer la nymphomane accroc au sexe que j'étais ayant maintenant connaissance de mes faiblesses émotionelles et mes failles mais sachant aussi a quel point je ne pouvais pas me passer de cul, je décida de devenir une salope qui s'assume et qui resterait libre comme l'air refusant d'être sous le controle d'un homme. Un choix qui me changera a tout jamais avant que l'on ne me montre où est ma place.
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________
De 2015 a 2016
Me voici dans une nouvelle ville que je ne connais pas pour deux années d'études, je n'ai réussi qu'à me faire une copine, je ne me suis pas très bien intégrée mais cela m'importe peu.
Je vis dans un petit appartement assez miteux, j'ai une cuisine qui fait le strict minimum, une douche dans laquelle je me sens bien trop a l'étroite pour apprécier m'y laver, un salon qui ne contient qu'un petit bureau pour réviser ou être sur mon PC portable et un lit qui est la seule véritable chose dans laquelle j'ai pu investir afin de bien dormir !
Les premiers mois furent très compliqués, je n'avais jamais vécue seule donc j'avais beaucoup de mal a trouver du temps pour les tâches ménagères, faire la cuisine, réviser mes cours et me détendre ...
Je passe tout mon temps en cours ou a bosser dans un Mac Donald, je suis fatiguée et plutôt démoralisée car ma mère, mes amis et mon ex me manquent mais surtout je me sens seule comme je l'ai jamais été dans une ville où je ne connais personne. Il m'arrive souvent de craquer et pleurer avant de dormir, il n'y a qu'en me masturbant que je m'échappe de mon quotidien et que je ressens un peu de plaisir à vivre ...
Je tombe assez vite en dépression mais je le cache à mes amis et ma mère, je prétends que tout va bien. Je prends rapidement du poids entre les Mac Do que je mange au taff et la bouffe rapide que je me cuisine, faute de temps !
Mes notes font une chute libre bien que j'essaie de m'accrocher et réviser dès que j'ai du temps mais je n'en dégage pas assez ... Mon moral est constamment à zéro, j'ai l'impression d'être une incapable et de ne plus valoir grand-chose.
Disons que j'avais espéré mieux comme nouveau départ ...
Je repense souvent à Thomas, il me manque mais il va de l'avant de son côté donc je ne le recontacte pas !
Il m'arrive régulièrement de me reprocher ce que j'ai fait, de ruminer notre histoire et de m'en vouloir de l'avoir fait souffrir, de regretter de l'avoir quitté, je cogite énormément sur la fin de notre relation et comment il se comportait avec moi, je me convaincs que je le méritais et que d'ailleurs je méritais bien pire.
N'être plus que son vide-couilles n'était-ce pas déjà un trop grand honneur pour moi ?
J'avais envie de le redevenir, de pouvoir sucer de nouveau sa queue, qu'il me l'enfonce profondément en moi et me fasse jouir de toute sa hargne ! Je me touchais souvent en pensant a lui, a nous et j'avais envie qu'il me maltraite, m'humilie, me fasse payer, me détruise ...
Thomas avait fait de moi une dépravée, une nymphomane qui ne pouvait plus se passer de sexe ...
S'il y'a bien une chose pour laquelle je prenais du temps c'était me masturber ! Au réveil, en rentrant du taff, entre deux cours, avant de dormir ... C'était ce qui me réconfortait mais c'était aussi l'une des rares choses pour laquelle vivre seule était plaisant, je pouvais le faire quand je voulais et sans me soucier du bruit que j'allais faire ! Mon premier salaire fut dépensé en partie dans l'achat de mes premiers sextoys, un vibro violet et un godemichet à ventouse beige avec de grosses veines ... Ma nymphomanie passa un cap quand je pris goût à m'enfoncer ces jouets dans la chatte tous les jours, j'adorais me pénétrer avec le vibrant devant du porno, le faire aller et venir dans ma chatte en manque sur des vidéos de plus en plus hard mais mon préféré c'était celui avec la ventouse que je pouvais faire adhérer à un mur pour y mimer une levrette en tapant mon cul contre le mur ou le clouer au sol pour venir m'empaler dessus ...
Je jouissais de cette liberté, celle de pouvoir me goder ou me caresser où je voulais chez moi, de pouvoir posséder des sextoys (je me l'étais interdit avant de peur que ma mère tombe dessus), de ne pas effacer l'historique de mon ordinateur et mettre du porno dans mes favoris, de pouvoir me balader à poil chez moi ...
Je reconnais avoir porté un regard assez dur sur celle que j'étais devenue et m'être énormément déçue mais avoir aussi aimé devenir cette nympho pathétique qui n'éprouvait plus que de l'intérêt pour du porno et se goder ! J'aimais m'avilir ainsi et parfois ça m'excitait c'était comme si je voulais toucher le fond et n'être plus qu'une sombre pute, j'avais conscience d'être dans une spirale autodestructrice et de ne pas réussir à gérer les choses mais je n'avais pas la force pour me confronter à ce gouffre en moi alors je le fuyais en prenant du plaisir comme je pouvais étant même à ce stade trop lâche pour rencontrer un homme et avoir du vrai sexe.
J'avais peur de me lier de nouveau à quelqu'un, de m'attacher et souffrir par la suite, être abandonnée ...
J'avais peur d'avoir un coup d'un soir et de voir comment je réagirais entre les mains d'un nouvel homme, s'il me traitait mal est-ce que je pourrais le supporter ?
A l'inverse s'il me traitait avec douceur et me faisait l'amour passionnément, le méritais-je ?
J'avais la certitude que j'allais fondre en larmes pendant le sexe avec un autre homme et j'avais peur d'avoir par la suite un traumatisme à l'idée de coucher pourtant j'étais sacrément en manque et ma chatte en voulait ...
Quand je ne me touchais pas en m'imaginant être malmenée par mon ex, quand je ne me godais pas devant des gang-bangs, gorges profondes abusives ou des vidéos bdsm et bien je me connectais sur Chatroulette pour y exhiber ma chatte et tomber sur des mâles en rut qui me stimulerait !
J'avais découvert ce site avec Clara, il nous arrivait quand je dormais chez elle qu'on passe des nuits toutes les deux à interagir avec des inconnus ne sachant jamais sur qui ou quoi nous allions tomber !
J'imagine que tout le monde a connu ce site où le principe est de connecter deux inconnus par webcams pour discuter jusqu'à ce que l'un des deux appuie sur un bouton qui expulse la personne pour une nouvelle.
Sur ce site il y'a de tout, des gens seuls pour discuter, des hurluberlus qui vont vous faire rigoler, des groupes d'amis qui veulent se moquer mais surtout tout un lot d'exhibitionnistes qui veulent se branler devant des gens. Clara et moi passions des nuits dans son lit sur son PC portable connectées sur ce site à taper des barres sur les inconnus que le site nous amenait.
Si la personne semblait ennuyante on swapait direct, si c'était un groupe de potes, on discutait un peu avec eux, si c'était un beau gosse, on le chauffait pour rigoler par écrit et dans de rares cas si c'était une belle queue, on la regardait se branler et on lui disait de faire des trucs ... Je confesse qu'on a bavées quelques fois sur de gros chibres mais la plupart du temps on était plutôt dans le mood de se moquer des gens et délirer donc on swapait directement les zgegs sauvages ...
Toujours est-il que je savais qu'il y'avait sur ce type de sites, des queues prêtes à se branler et discuter avec une salope en manque comme je l'étais, j'y retourna donc seule et du coté exhib cette fois-ci pour offrir en gros plan une vue sur ma vulve avec mes jouets à portée de main si je tombais sur un gars intéressant. Je ne montrais jamais mon visage mais j'aimais que diverses personnes voient mon intimité, une fille, un garçon, un groupe de potes, deux copines, des jeunes, des vieux, je ne swapais jamais attendant leurs réactions ou commentaires devant mon sexe ...
Il y'avait ceux qui écarquillaient leurs yeux dans les premières secondes, sans doute peu habitués à voir une fille faire comme tous les pervers habituels, ceux qui swapaient sans aucune réaction, les queues en érection qui entamaient instantanément leurs masturbations et ceux qui rigolaient avant de swaper ou discuter !
Mes deux réactions préférées étaient celles où une ou plusieurs personnes en appellait d'autres à venir voir comme si ma chatte était un événement et quand des filles me complimentait instantanément du style "Jolie chatte" avant de swaper ou rester discuter. Je me fixais pour principe de ne pas swaper et faire ce que mon interlocuteur/trice souhaitait, il n'y a que si je voyais quelqu'un essayer de filmer ou devenir insultant que j'appuyais de moi-même sur Next !
Ces exhibitions virtuelles m'aidaient à reprendre confiance en moi, n'étant pas épanouie psychologiquement et détestant mes nouvelles formes, mon corps me dégoutait, je me sentais grosse, pas désirable alors j'aimais qu'on me complimente ou exprime du désir envers moi ou du moins ma chatte.
Mes sessions Chatroulette étaient une manière d'avoir de l'attention, de me stimuler, de prendre du plaisir, de faire des rencontres et pouvoir discuter en tout anonymat, j'aimais être docile et obéir aux souhaits de mon/ma voyeur(e), certaines conversations étaient enrichissantes et me permettaient d'avancer sur le deuil de ma précédente relation ...
Les mois passèrent, les kilos restèrent, la dépression et l'addiction à la masturbation aussi.
En cours, je commence a remonter la pente mais je suis encore loin du nécessaire, je traine toujours avec la même fille qui est une nana très studieuse. Certains garçons m'ont plusieurs fois approchés mais mes soucis persos me poussaient à fuir toute relation avec eux, ils abandonnèrent tous l'idée d'être amis avec moi devant la distance que je mettais entre eux et moi.
Au boulot, je me lie pourtant d'amitié avec un gars et une fille, à force de trimer ensemble et se voir autant d'heures par semaine, rien d'étonnant, je commence a fumer avec le garçon pendant nos pauses, il me paie des clopes et m'allume parfois un petit joint quand on débauche. Mon argent durement gagné passe dans mon loyer, ma bouffe, diverses charges, des fringues ou chaussures (mon péché mignon) et dorénavant pas mal la clope ...
La cigarette j'y deviens assez vite accroc, déjà parce que c'est un exutoire au boulot quand on peut prendre une pause clope mais surtout parce que ce sont les moments où je peux rigoler avec mes collègues, ça a un effet déstressant plutôt fort sur moi. La weed en revanche c'est plus occasionnel, c'est quand Adrien en a sur lui, quelques taffes et cela me perche, je plane, je suis ailleurs et souvent cela me détends aussi, je me sens moins triste et relativise plus sur ma situation, on part aussi souvent dans des délires avec Adrien et ce sont des moments assez chouettes, ça fait du bien d'être un peu proche de quelqu'un.
A l'appart, je bosse mes cours, je fais ma lessive, mon ménage et j'y dors.
Mon activité principale quand j'ai un moment reste la masturbation, je consomme toujours à haute dose du porno très hard et dégradant pour la femme, je fantasme comme une chienne en chaleur sur des gang-bangs, des bukkakes, j'aime voir ces filles se faire défoncer par tous les orifices, ces hommes les souiller. Je ne me lasse pas des vidéos de gorges profondes où je peux admirer de belles bites utiliser la bouche d'une femme pour leur plaisir, j'aimerais moi aussi qu'on m'étouffe de la sorte, qu'on me manque de respect, qu'on me force a sucer de la bite comme si je n'avais que cette fonction ...
Je tombe de plus en plus dans les vidéos BDSM où le corps de la femme est objectifier, voir ces soumises n'être plus qu'un jouet sexuel ou une esclave pour les hommes qui prennent d'elles ce qu'ils souhaitent me rappelle ma place, cela m'excite quand je m'imagine aux pieds de Thomas, j'ai envie qu'il m'utilise comme il lui plaira ...
Je me surprends au fil du temps a consommer de plus en plus de porno interracial et aimer voir de grosses queues noires dilatées des chattes blanches, je n'ai jamais été attirée par les blacks mais plus j'en regarde et plus j'ai envie d'essayer un jour, tenter de confirmer si la légende est vraie et qu'ils sont tous mieux membrés que les blancs ...
J'ai envie de trahir ma race, de servir de vide-couilles à ceux qu'on appelait "sauvages" il y'a pas si longtemps, qu'il fasse de moi sa chose et venge son peuple a coup de bite dans ma chatte.
Je m'égare aussi de plus en plus pour voir des jolies filles coucher avec des veilliards ou des gros lards, j'ai là encore envie de m'abaisser à ça, qu'un gars qui ne devrait pas me baiser puisse se défouler sur moi, l'immoral et la perversion m'excite, je tiens ça de Thomas ...
J'ai conscience d'etre dangereusement excitée par des situations où je cherche à mettre a mal le peu d'égo qu'il me reste, je vois la spirale autodestructrice dans laquelle je suis mais je n'y peux rien, on ne commande pas ses pulsions et je fantasme sur des choses où je serais malmenée, rabaissée, souillée. Quand je ne suis pas sur Chatroulette a exhiber ma chatte ou sur des vidéos de Seniors qui sautent des petites jeunes, je me touche à l'ancienne d'une façon plus normale, avec des scénarios ou idées en tête et là, il n'y a que trois acteurs, Thomas, Kévin ou mon père.
Je me caresse en repensant a d'anciennes baises avec mon ex, à la soumise que je serais s'il m'ordonnait de revenir le servir. Je me touche en repensant a la bite de mon meilleur ami, quand je l'avais en bouche plus jeune ou face a moi il y'a pas si longtemps, à comment nous baiserions comme des animaux si nous l'osions, à sa queue en moi et ce que ça me ferait si c'était lui ! Je me tripote en m'inventant des plans imaginaires dans des clubs libertins avec des quarantenaires et l'idée de sucer mon géniteur sans le savoir ou qu'il déverse son sperme dans mes entrailles ...
Plus cochonne que jamais et pourtant mal a l'aise avec son nouveau corps et son rapport aux hommes, je n'ose franchir le pas et chercher un plan cul, ça fait des mois que je sombre mais je n'ai toujours pas eu le déclic pour me reprendre ...
Après la fermeture du restaurant le soir (la nuit), nous avions pour habitude de boire quelques bières entre collègues sur le parking avec un peu de musique devant nos voitures, il arrivait qu'Adrien fasse tourner un joint à ceux qui le souhaite mais c'est en tête a tête, une fois que tout le monde partait que nous avions pour habitude de nous en fumer un petit "pour la route" entre nous. C'était quelque-chose de très idiot, je conduisais après souvent défoncée et je mettais potentiellement ma vie en danger ainsi que celle des autres, je ne compte plus le nombre de fois où je me suis réveillée chez moi sans me souvenir de comment j'étais rentrée !
J'ai toujours été très sensible aux effets de la weed, cela amusait beaucoup Adrien qui me disait qu'en deux taffes, j'étais déjà sur une autre planète ...
Adrien avait deux ans de plus que moi, il avait un charisme particulier, c'était un garçon très grand et maigre, au regard magnétique, on voyait tout de suite a son attitude et sa façon de parler qu'il était un fumeur de cannabis mais pourtant il avait une aura ou une prestance plutot intimidante.
Je ne me rappelle pas très bien des événements car nous étions complétement défoncés mais il passa ses mains sous mon sweet un soir alors que je planais dans sa voiture en écoutant de la musique, je me souviens avoir trouver ça trop entreprenant et direct dans sa façon de faire mais étant bien perchée, je l'avais laissée faire sans doute trop contente de ne pas avoir eu plus que ça un blocage grâce a la beuh. C'est assez flou mais je crois qu'il m'a bouffer les seins dans sa voiture cette nuit-là et que nous nous sommes embrassés, j'étais fatiguée par la fin du taff, l'alcool et la weed donc dans un état second. Que je sache, nous nous en sommes tenus à du tripotage de nibards, de la succion de mamelons et quelques roulages de pelles avant qu'on ne rentre chacun de notre coté.
Nous avions faits comme si rien ne s'était passé pendant quelques jours jusqu'à ce qu'il m'invite chez lui pour fumer et rester dormir un samedi soir, j'accepta sans d'autres arrières pensées que la fumette gratuite et une fin de soirée sympa avec mon collègue/pote ! On picola et fuma pas mal, de nouveau dans un état second, je ne me souviens pas bien de comment cela démarra mais je me retrouva a me faire lécher par Adrien sur son canapé devant des clips musicaux a la TV ! Je coucha avec lui sans trop de soucis de mémoire, mes peurs ne se justifièrent pas et je ne fonda pas en larmes durant l'acte même si je ne m'en souviens pas suffisamment pour dire si c'était le pied tant attendue ou non. Je crois d'ailleurs que je n'ai pas fait grand chose, il m'a prise en missionnaire sur son canapé et je pense que je me suis juste laisser faire.
On baisa une seconde fois au réveil le dimanche matin mais d'une manière plus douce et romantique, il m'embrassa partout et fit monter le désir en moi puis il me prit avec passion et délicatesse, je me revois en cuillière en train de jouir pendant qu'il m'embrasse dans le cou avec une main sur mon sein et l'autre sur mon clito.
C'était bon de sentir les mains d'un homme sur mon corps et son sexe en moi, je me sentais de nouveau complète.
Adrien devint le plan cul que je n'osais concrétiser, si nous fermions ensemble ou débauchions à des horaires proches, je finissais chez lui où on se défonçait puis baisait ! Nous baisions même parfois dans sa voiture sur le parking en journée comme à la fermeture et je le suçais parfois dans les chiottes des mecs.
Adrien n'avait pas une bonne influence sur moi, il m'avait faites commencer a fumer du cannabis comme la cigarette, nous étions souvent ivres chez lui en plus d'être défoncés et nous baisions donc la plupart du temps dans des états seconds, j'aimais me mettre minable avec lui et qu'il me saute mais je savais qu'il représentait parfaitement toute cette autodestruction que j'avais inconsciemment souhaitée ...
Le samedi soir, il m'emmenait dans des raves partys ou des "afters" chez des potes à lui où il m'encouragea à prendre des drogues plus dures, je n'essaya que la coke ... Mes notes en prirent un sacré coup quand je tomba vraiment dans la drogue et l'alcool sous son emprise, nous commencions même a cumuler des retards ou absences au taff car nous étions trop fatigués pour tenir la cadence, ma moyenne scolaire que j'avais peiner a remonter se vit pulvériser en un mois et demi. J'étais constamment épuisée, des poches sous les yeux, le cerveau au ralenti, je commençais a ne pas me reconnaitre dans le miroir en plus de me trouver encore plus grosse qu'avant, j'avais l'impression que la vie me mettait une grande claque et que j'allais jamais m'en remettre physiquement mais je me sentais plus heureuse avec lui et avec ce train de vie que les mois précédents, quand j'étais seule ! J'avais conscience que j'y laisserais mon année mais il me semblait être la voie de la guérison, celui qui apaiserait mon coeur ou consummerait mon âme, j'avais la sensation de vivre ce que j'étais censée vivre.
Ma relation avec Adrien qui n'en était pas vraiment une dans le sens où nous n'avions jamais mis d'autres mots sur ce que nous étions l'un pour l'autre que des "collègues" prit un tournant à l'arrivée de Said dans l'équipe ! Said était un petit rebeu plutôt fougueux et très drole, en seulement un mois il était devenu le collègue qui dynamisait l'equipe et que tout le monde appréciait, celui qui faisait rire les autres et s'intégrait admirablement bien. Il fumait régulièrement avec nous du cannabis après le taff et la fille avec qui j'étais copine et lui commencèrent à nous suivre en soirée le samedi.
J'étais contente d'avoir pu retrouver une bande d'amis.
L'appart d'Adrien devint un QG où plusieurs collègues faisaient des Afters et quand ce n'était pas avec les collègues du Mac Do, c'était des potes à lui qui squattaient. Attachée a Adrien et ayant l'impression de vivre ma jeunesse à fond, heureuse de rencontrer du monde et faire tout le temps la fête, noyer mes problemes dans l'alcool et les oublier dans la drogue, je mis du temps a me rendre compte que nous faisions dorénavant des soirées 4/5 soirs par semaine et que son appart était constamment une porcherie où trainait des déchets et bouteiles vides.
Un jeudi soir après le taff, nous nous mimes une énorme race avec le quatuor des débuts.
Notre amie prit une énorme cuite alors Adrien alla la coucher dans son lit, je continua de fumer et boire avec Said et Adrien dans le salon, ce soir-là je trouva que mon "copain" avait la main plus lourde que d'habitude pour me resservir a boire, il remplissait constamment mon verre et vantait mon endurance a l'alcool. Alors que je planais devant la TV complètement ailleurs, les garçons sortirent sur le balcon quelques minutes, je rigola toute seule un moment en pensant aux cours que j'allais rater demain et que j'étais vraiment en train de planter mon année.
Je commença à m'endormir sur le canapé lorsqu'Adrien me réveilla, il m'embrassa tendrement sur le front puis la joue, il me chuchotta des mots doux et commença a glisser ses mains sous mes vêtements.
Il fit voler mes fringues une par une et commença à me lécher, le réveil était agréable, il me redressa et m'embrassa avec fougue puis me demanda de le sucer, il baissa son pantalon et m'offrit sa verge fièrement, je me mis à le pomper mais sans grande conviction étant trop ivre et défoncée pour bien sucer.
J'étais nue et à quattre pattes en train de branler dans ma bouche Adrien qui s'allumait une clope confortablement assis dans le canapé lorsqu'il demanda "Tu veux une taffe ?" ce a quoi la voix de Said répondit "Non merci, ça va" !
Je me redressa en panique, cela me fit comme un élétrochoc, je poussa un cri et tomba a la renverse !
Les garçons se précipitèrent sur moi pour m'aggriper et me calmer
" Ho, ho, du calme !
- Qu'est-ce qui te prends Charlotte ?
- Said ... Il était encore là ? Je ... je l'avais oubliée ... Je pensais qu'il était parti quand tu m'as réveillée ... Je ...
- Hahaha, c'est pour ça que tu as hurlée comme ça ? C'est rien, détends-toi ..."
Said me caresse tendrement le bras avec lequel je cache ma poitrine, je serre mes cuisses pour dissimuler mon sexe ...
Adrien est la bite à l'air en train de me cajoler et me dire que Said a déjà tout vu et qu'il n'y a plus rien à cacher, il me dit de me détendre et me laisser aller tout en écartant mes bras, je suis a la limite du bad trip et la crise de panique mais aussi très excitée par ce qui se passe, mon cerveau a comme disjoncté.
J'obéis sans trop m'en rendre compte et laisse Adrien dévoiler de nouveau ma poitrine à Said, il plonge ensuite sa main entre mes cuisses qu'il force à s'ouvrir pendant qu'il m'embrasse et commence a me masturber, Said recule et nous regarde.
"Tu sais, il a vu la chienne que tu es tout a l'heure alors y'a plus rien à lui cacher, c'est nôtre pote alors on va le régaler un peu."
Adrien me dit une phrase qui fit écho en moi, cela résonna sur plusieurs de mes fantasmes et mon envie d'être rabaissée, Adrien prit la main de Said et la posa sur mon sein, "Laisse-le en profiter" me dit-il alors que notre compère commençait à malaxer ma poitrine.
Said complimenta mes seins alors qu'Adrien se redressait pour venir mettre sa queue dans ma bouche, il me baisa la bouche en se cramponnant à ma tete pendant que Said glissait entre mes jambes pour me caresser, les doigts de mon collègue rentrèrent en moi pendant que mon autre collègue, celui que je considérais comme mon "copain" me baisait la bouche. Cela m'excitait, j'avais l'impression de ne plus etre la spectatrice des vidéos que j'aimais mais l'actrice !
Adrien demanda à passer sur le canapé, il s'y installa et me dit de venir le sucer, je suivis son ordre avançant à quattre pattes vers la queue raide qui se tenait devant moi, Said suivit mon cul et y plongea son visage, il me lécha les trous sans retenue pendant que je m'efforçais de combler le pervers qui avait l'air d'avoir planifier tout ça.
Un simple "va-y" d'Adrien et sans qu'on me demande mon avis, Said entra en moi, sa queue me fit l'effet d'un pieu qui me transperça, j'étais chaude bouillante pour ça mais je n'aurais jamais pensée qu'il me pénétrerait en premier et sans me demander si j'étais prête, je bava longuement sur la queue d'Adrien pendant que Said découvrait et labourait ma chatte.
Quelques fessées sans retenue de Said qui ne me respectait plus s'abatte sur mon cul, quelques insultes fusent, les deux males commentent ce qu'ils me font et s'encouragent à me défoncer, je me sens inférieure à eux, je suis leur chose et les coups de reins que je reçois me font fondre.
J'ai deux bites qui se relaient dans ma chatte et ma bouche, je découvre à quoi ressemble le sexe de Said, il y'a une bite que je connais très bien et une autre que je découvre pour la première fois, je suce cette queue arabe dans tous les recoins ! Je compare ces deux verges, leurs goûts, leurs tailles, les sensations qu'elles me font quand elles me remplissent et la manière dont leurs propriétaires les utilisent !
Je me régale d'être leur chienne et m'emploie à les satisfaires, je me souviens qu'ils voulaient me faire boire leur sperme, qu'il ne fallait pas "salir ma chatte pour l'autre". Said fût le premier a exploser dans ma bouche pendant que je le suçais, Adrien le second qui s'écria "Switch" avant de courrir pour me remplir la bouche pendant que Said retournait dans ma chatte pour un second tour après qu'il ai repris de la vigueur sous mes caresses buccales.
Je me revois le visage contre le canapé à regarder Adrien sortir le cul a l'air se griller une clope sur le balcon pendant qu'il me laisse entre les mains de nôtre pote qui donnait tout ce qu'il avait contre mon cul. Said profita de moi en solo pour son second tour, je me rapelle de son sperme chaud qui coule sur ma joue alors que je reste inerte à le laisser se vider une seconde fois grâce à moi pendant qu'Adrien ne nous calcule même plus. Que suis-je réellement pour ce mec ?
J'en parla le lendemain avec Adrien qui m'expliqua que j'étais son plan cul, sa sexfriend et je lui cacha ma déception.
Nous passions tout notre temps libre ensemble, de collègues à amis nous étions devenus amants et presque collocataires tant je passais tout mon temps chez lui, je me considérais comme sa petite-amie quand il me présentait a ses potes.
Dans les jours qui suivirent, mon manager me réprimanda sur l'un de mes retards en me disant que si je ne me faisais pas baiser par toute l'équipe, je serais peut-être plus ponctuelle, je fut tétanisée par ses propos et lui demanda pourquoi il disait ça. Il m'expliqua que Said et Adrien s'était vantés tous les deux de m'avoir sautée et que la fille qui comatait dans le lit d'Adrien avait confirmée leurs dires ...
Je démissionna instantanément, je me sentais trahie par Adrien, celui que j'avais pu considérer comme un "petit-ami", par Said celui que j'avais pu considérer comme un "ami" et par ma collègue qui avait enfoncer le clou. Je passa quelques jours a pleurer et ne répondit pas aux multiples appels d'Adrien, un soir je débarqua tout de même chez lui étant en manque (pas sexuellement) et ne sachant pas où me fournir ...
Il m'expliqua que c'était la fille qui en avait parlé et que Said avait tout confirmé donc qu'il pouvait pas mentir dérrière, j'avais deux versions différentes et je m'en fichais dans le fond tant j'étais humiliée et trahie dans tous les cas. Me sentant trop mal pour rester seule, je me défonça avec lui ce soir-là et nous fimes l'amour, je passa une semaine chez lui a boire, fumer et comater; nous baisions comme toujours dans des états seconds et j'avais conscience d'avoir enfin toucher le fond, des jours sans aller en cours, plus de taff, plus rien.
Cela faisait 10/12 jours que je squattait chez Adrien, lui sortait pour aller travailler, moi uniquement pour le suivre chez des potes à lui quand il y'avait une soirée ou m'acheter des clopes. Un soir nous partimes chez des amis à lui, on picola et fuma toute la nuit, nous passions une bonne soirée jusqu'à ce que je me réveille le lendemain après un énorme trou noir.
Je me réveilla avec l'impression qu'un camion m'avait roulée dessus, le plafond tournait, mon crane implosait et j'avais envie de vomir, je me redressa pour aller gerber aux toilettes lorsque je prit conscience que je ne connaissais pas la chambre dans laquelle j'étais.
Je regarde autour de moi et découvre un gars dans le lit à coté de moi, je ne le connais pas, il est torse nu.
Je sors du lit et découvre que je ne porte plus que mon T-shirt, je m'écroule ...
Je sors de la chambre le cul a l'air, je trouve les toilettes dans le couloir et part y vomir.
Je reprends mes esprits, je m'asseois sur la cuvette des chiottes pour pisser et constate qu'en plus d'avoir la chatte a l'air, j'ai du sperme séché sur ma cuisse droite, je glisse instantanément un doigt en moi et constate que ma chatte est visqueuse, j'en suis certaine, quelqu'un a éjaculer en moi !
Je pisse, pleure un coup ne comprenant plus trop ce qui se passe et retourne dans la chambre, le type dort toujours.
Je cherche ma culotte, je ne la trouve pas mais je retrouve ma jupe.
Je me rhabille et réveille le mec, il me regarde avec un grand sourire et me demande si j'ai bien dormi, je lui explique que je ne me souviens de rien et qu'il faut qu'il m'explique !
Le gars se redresse, le drap descends et je constate qu'il est entièrement nu sous la couette, cela confirme mes craintes avant meme qu'il ouvre la bouche.
"Sérieux, rien de rien ?
- RIEN JE TE DIS, je sais meme pas ce que je fous là !
- Hey, du calme ma belle, on a juste coucher ensemble hier soir, c'est tout, dit-il en tentant de me prendre le bras
- C'est tout ? Gars je sais meme pas qui tu es, on est plus dans l'appart des potes d'Adrien, hurlais-je en repoussant sa main
- Oh tu te détends ! Je suis un pote à Yohan, tu sais l'un des collocs chez qui était la soirée, t'as fini la soirée chez moi, c'est tout !
- Arrete, c'est loin d'etre normal, comment t'as pu me faire rentrer avec toi sans qu'Adrien le remarque ...
- Tu rigoles ? Non, sérieux, tu rigoles ?
- J'ai l'air de plaisanter, t'as abusée de moi et sans capote, enfoiré !
- Charlotte, c'est Adrien qui t'a mise dans ma caisse, il nous a chauffer pour qu'on baise ensemble, il te disait de bien t'amuser !
- Tu mens ! Je ... peux pas te croire ...
- T'étais complétement bourrée, tu te foutais a poil toute seule dans la bagnole, Adrien était pas en état de te ramener chez lui et voulait rester a la soirée, quand j'ai voulu me rentrer, il m'a dit que tu voulais finir la soirée avec moi et que t'étais chaude comme la braise, il t"a dit de bien t'amuser et tu lui disais qu'il fallait pas en douter. On est rentrés, on s'est embrassés, je t'ai doigtée dans le salon directement, tu m'as dit de te baiser comme une salope, c'est ce que j'ai fait !
- Aide-moi à retrouver ma culotte, je file et je vais voir ça avec Adrien mais t'es un bel enfoiré de te taper une meuf complètement bourrée !
- Ouais bah tu disais pas ça hier soir, tu t'en souviens peut-être pas mais moi je me souviens de comment tu kiffais !"
J'ai envie de mettre une patate à ce connard mais il y'a plus important, je prends mes affaires et fonçe à l'appartement d'Adrien pour avoir des explications. Sur le trajet, je me sens salie, je suis en colère contre ce mec, Adrien et surtout moi-même. Lorsque j'arrrive chez Adrien, une fille dormait encore dans son lit, une scène de ménage éclate, je lui reproche d'avoir coucher avec cette fille et de m'avoir offerte en pature à un gars alors que je n'étais pas en pleine possession de mes moyens, il m'insulte et me dit que je ne suis pas sa meuf, qu'il se tape qui il veut et que je suis assez grande pour me gérer, je lui dit que je vais porter plainte pour viol, il me dit que j'étais consentante vu comme j'allumais le mec dans la voiture, je le frappe, il me frappe ...
Adrien me jette à la porte, je suis en miettes, je le déteste, je me déteste, je rentre chez moi.
Je me haissais pour celle que j'étais devenue, je passa quelques jours avec des idées très noires, je faisais le point sur ma vie, sur ces derniers mois et je pincais mes bourlets nue devant mon mirroir, je m'en voulais physiquement et mentalement pour tout ce que j'avais pu faire depuis mon arrivée dans cette ville. J'avais fait un test de dépistage pour le VIH et tout autre MST ayant de toute évidence couché avec un parfait inconnu et ayant également envie de me rassurer vis a vis d'Adrien et Said qui m'ont également prise sans capotes. Le fait de faire cette démarche et m'en inquiéter me fit prendre conscience que je voulais vivre, je chassa mes idées noires et je pris la décision de me sevrer, d'arrêter les drogues, la clope et même l'alcool quelques temps, je reconnu mon problème et demanda de l'aide, je me fit suivre quelques temps par un psychologue.
Je raconta tout ce qui m'était arrivé et alla chercher du réconfort aurpès de Clara et Kévin, je décida de combattre mon surpoids en allant à la salle de sport 4 fois par semaine pour récupérer mon corps, j'avais la haine et une envie de redevenir celle que je voulais !
Mon année fût jetée la poubelle mais je soigna mon âme aurprès de ma mère et mes amis, Kévin et Clara m'ont probablement sauvés la vie mais nous ne rentrerons pas dans les détails, tout ce qu'il faut en dire c'est que je combattis mes démons quelques mois et entama ma guérison. Je me fis la promesse de ne plus jamais vouloir vivre à travers un homme, d'avoir plus d'estime pour moi et de vivre avant tout pour moi, j'avais envie de m'aimer, de me souhaiter du bon et j'avais appris à me détacher du regard des gens.
Je fit ma rentrée l'année suivante dans une autre ville, je pris une collocation cette fois avec deux inconnues pour me répartir les tâches ménagères et j'étais bien résolue à me concentrer sur mes études et tout déchirer.
C'est cette année là qu'une véritable pute a pris son envol.
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture
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De 2012 a 2015
Ce chapitre bonus est là pour vous dévoiler quelques événements importants qui se sont déroulés durant ma relation de 3 ans avec Thomas, j'ai fait le choix de me concentrer uniquement sur mon couple dans le chapitre précédent tant il y'avait à en dire. Je vous dévoile donc dans ce chapitre des informations complémentaires sur cette époque.
Je vais commencer par revenir sur le point que j'avais abordé dans le chapitre précédent, Thomas et moi, nous nous masturbions souvent côte a côte (le dimanche matin au réveil par exemple) en se racontant des histoires de culs fictives, souvent sur nos potes ... Il fantasmait sur un plan a trois avec deux filles et moi sur les clubs libertins donc souvent nous nous racontions des choses avec un invité au sein de notre scénario et cela nous excitait tous les deux ...
Thomas fantasmait pas mal sur Clara, ma meilleure amie !
Elle est très jolie, n'a pas de poitrine mais a un très joli fessier, ce qui l'excitait le plus c'était ma proximité avec elle, à ses yeux elle était la candidate la plus réaliste pour son fantasme.
Depuis le collège, je partage une amitié fusionnelle avec Clara et Kévin, nous avions tous les trois une complicité exceptionnelle.
Comme vous le savez, j'ai sucé Kévin après un chagrin d'amour où il était inconsolable quand nous avions 14 ans en lui faisant promettre de ne jamais en parler à Clara.
De l'autre coté, Clara et moi étions assez intimes pour prendre nos douches ensemble, nous embrasser en soirée complètement bourrées ou la plus inavouable des choses, nous être masturbées côte a côte un soir dans son lit ...
Je lui avais raconté ma première fois sans omettre un seul détail, encore vierge, elle s'intéressait beaucoup aux descriptions des sensations que l'on ressent quand on a une queue en nous. Elle m'avait dit en rigolant "arrête tu me fais mouiller, ça me donne envie" et je l'avais taquinée sur son crush secret de l'époque en lui demandant si elle s'imaginait l'avoir en elle ?
Elle m'avait alors demandé si ça me dérangeait si elle se touchait à travers sa culotte sous la couette pendant que je lui racontais de nouveau mon souvenir d'été ... Je l'avais taquinée en lui disant que c'était une coquine tout en lui donnant la permission ...
C'est ainsi que nous nous sommes toutes les deux caressées côte a côte sous la couette, je ne voyais rien et elle ne voyait rien, nous faisions ça en toute pudeur la main dans nos culottes et sous le drap. Nous nous faisions toutes les deux du bien dans notre coin pendant que je revivais ma première fois et lui en donnait une nouvelle fois tous les détails, nos regards étaient au plafond la plupart du temps sauf a la fin où je l'ai regardée jouir ! Je me souviens de sa respiration qui s'accélère au fil des minutes, de certains commentaires qu'elle osait dire comme "putain j'aimerais que Micka me la mette comme ça", de certains gémissement qui nous échappe alors que nous essayions de ne pas trop nous donner en spectacle, de ses jambes qui se referment et son regard dans le mien quand je l'ai regardée jouir, de la chaleur sous la couette et mes jambes en sueur quand je reprenais mes esprits avec ma meilleure amie qui rigole de ce que je l'ai faites faire ...
Clara était celle qui excitait le plus Thomas lors de nos masturbations, il adorait initier un scénario où Clara nous surprenait en plein acte et se joignait à nous ou que je lui raconte des aspects de sa vie sexuelle que je faisais fuiter auprès de mon petit ami ...
Thomas aimait que je lui décrive le corps de Clara, que je lui raconte les fois où nous avions pris nos douches ensemble, que j'invente une histoire où je la savonne, la tripote, la lèche ... Je décrivais a mon mec à quoi ressemble ma meilleure pote à poil, la forme de ses seins, ses mamelons, ses tétons, sa chatte ... Je lui avouais certaines confidences de ma pote sur ce qu'elle aimait au lit, ce qu'elle avait fait avec son mec de l'époque, sur la façon dont elle avait joui quand nous nous étions caressées côte a côte ...
Thomas adorait nous imaginer au lit avec Clara, me raconter comment elle et moi nous nous ferions du bien entre filles, comment nous le sucerions toutes les deux en même temps, comment il la baiserait en levrette pendant que je la lécherais d'en dessous tout en lui léchant aussi les couilles, je pouvais le faire venir facilement en lui demandant de s'imaginer Clara s'asseoir sur son visage pendant que je le chevauche par exemple ...
De mon coté, j'aimais bien lui rendre la monnaie de sa pièce en ramenant parfois l'un de ses potes dans nos histoires, qu'il m'imagine en train de sucer son meilleur pote ou de me baiser avec l'un des gars avec qui il traine mais cela ne le dérangeait pas plus que ça, il fallait voir aussi comment il pouvait être obscène en imaginant un scénario avec une de ses potes où il la baiserait comme une pute alors qu'avec elle, c''était un amour ... Quand il était la queue a la main, Thomas perdait pas mal le sens des réalités et se laissait aller aux pensées les plus vicieuses, j'avoue que souvent ça m'excitait ...
Je ne saurais dire combien de fois nous nous sommes touchés de cette façon, je sais juste que c'était très fréquent et que celui qui m'excitait le plus c'était Kévin, je n'ai jamais dit à Thomas que je l'avais sucé plus jeune de crainte qu'il soit jaloux pour rien après ou ne le considère comme une menace. Nous dormions souvent ensemble tous les trois avec Clara et Kévin, Thomas s'en fichait car c'était mes potes depuis des années et nous avions toujours fait ça. Entre le collège et le lycée, on a dû dormir tous les trois une bonne dizaine de fois ensemble, souvent Clara et moi nous nous endormions blotties contre Kévin, nous étions tous les trois assez friands de câlins et gestes de tendresse.
Il y'a pourtant eu, une nuit où je me suis réveillée et j'ai senti la main de Kévin sur ma fesse droite, il l'avait amené l'air de rien mais ses doigts entouraient bien toute ma fesse qu'il tenait sans vraiment la tenir dans sa main. Je suis certaine que toutes les autres nuits, il n'a jamais eu de gestes déplacés alors pourquoi celle-ci ? J'étais au début un peu tétanisée et paniquée par la situation alors je ne bougeais pas en cherchant à voir s'il le faisait bien volontairement, après de longues secondes, il commença par resserrer avec beaucoup de légèreté ses doigts avant de les desserrer et marquer de nouveau plusieurs longues secondes d'arrêt avant de retenter une pression ... Je ne rêvais donc pas, mon meilleur pote était bien en train de me toucher le cul dans mon sommeil, sa main palpait ma fesse qui ressortait de mon shorty, je fis mine de bouger en dormant et me tourna sur le dos avant de me tourner de nouveau sur le coté mais cette fois, face a lui ! Il ne me toucha pas de nouveau. Le lendemain matin, je fis comme s'il ne c'était rien passé et je garda ça pour moi mais je savais maintenant que mon meilleur pote avait du désir sexuel pour moi.
Les fois où Kévin était amené par Thomas ou par moi dans l'un de nos scénarios, ça m'excitait carrément plus que les autres car je savais à quoi ressemble sa queue, qu'il avait du désir pour moi et à force de me masturber en pensant a lui, j'en développais petit a petit aussi pour lui.
Kévin organisa une énorme soirée chez lui pour ses 18 ans, nous passâmes tous une très belle soirée et avec Clara nous lui avions offert des cadeaux en rapport avec plusieurs de nos délires, dans la semaine qui suivit la soirée nous passâmes une fin d'après-midi tous les deux et il me fit une demande à laquelle je ne m'attendais pas.
Mon meilleur pote, en couple lui aussi à l'époque me demanda si pour son anniversaire je pouvais le laisser me faire un cunnilingus ...
J'étais choquée par sa requête mais il m'avoua avoir terriblement envie de moi depuis la pipe que je lui avais faites quand on avait 14 ans, il m'expliqua que j'étais la première à l'avoir sucé et que pourtant j'avais mieux sucé que sa meuf actuelle ne le suce, que j'avais vu son sexe et pas lui en retour, qu'il avait donc envie de me rendre la pareille pour qu'on soit à égalité.
Je refusa catégoriquement en lui disant que j'étais en couple avec Thomas et que sa demande était très déplacée vis a vis de mon mec, sa meuf et notre amitié !
J'étais en colère, rien dans sa requête ne m'excita, je paniqua même un peu devant l'aplomb qu'il avait eu à me la formuler aussi directement.
Il avoua avoir conscience d'à quel point c'était déplacé et pas correct pour nos compagnons mais qu'il crevait d'envie depuis des années de m'en parler, qu'il pensait que pour ses 18 ans, j'aurais peut-être été disposée à lui accorder cette faveur. Je lui fit alors une piqure de rappel sur pourquoi je lui avais fait cette pipe à l'époque et que je lui avais bien mentionné que ça n'arriverait plus, que c'était une erreur vis a vis de notre amitié.
Un malaise était palpable, je commençais à me sentir mal et avoir envie de partir, il semblait mal vivre mon refus et regretter sa tentative, je lui dis calmement qu'il ne fallait pas que ça brise notre amitié mais que c'était impossible qu'on fasse quoi que ce soit.
"Alors au pire tu te mets nue devant moi et comme ça on sera quittes"
Mon sang se glace, le mec ne semble pas vouloir lâcher l'affaire ou comprendre, je ne le reconnais pas, sa perversion l'aveugle, je crois voir Thomas qui m'invente des scénarios farfelus quand il se branle et n'a plus qu'une bite dans le cerveau, sauf que là, le scénario je suis en train de le vivre et le gars ne se branle même pas mais est déjà déconnecté du monde réel ...
Je me lève fébrilement et commence à partir en lui disant que je ne le reconnais pas !
Kévin se lève aussi attrape mon bras et me ramène contre lui, mon cœur s'emballe, je crie "lâche moi, tu me fais peur" mais il me prends dans ses bras, m'enlace de toutes ses forces et s'excuse immédiatement.
"Je suis vraiment désolé Charlotte, j'ai complètement dépassé les bornes, je ne voulais pas te paraitre grossier ou te mettre mal à l'aise, encore moins t'effrayer, pardonne moi" il fond en larmes pendant qu'il s'excuse et me tiens dans ses bras.
Je me calme, l'enlace a mon tour et prends la mesure de la situation, je vais perdre mon meilleur ami dans cette histoire si on ne se comprends pas tout de suite.
"Tu m'as fait flippée à insister et me demander ça aussi brutalement mais y'a pas mort d'homme, je sais comment vous êtes les mecs.
- Je suis navré, je comprendrais que tu veuilles plus m'approcher, je suis censé être ton meilleur ami et j'ai envie de toi, je te mérite pas.
- C'est clair que c'est un souci mais dis pas que tu ne me mérites pas après tout ce que tu as fait pour moi, c'est parce que t'es précieux pour moi qu'il faut pas de sexe entre nous, j'aurais pas dû te faire cette pipe au collège, c'est moi qui a pas pris la mesure de mes actes à l'époque ...
- Non, cette pipe est la plus belle preuve d'amitié que tu m'as faites !
- Depuis tu fantasmes sur moi et t'as l'impression qu'on est pas quittes car j'ai vu ton sexe, pire move de ma part !
- Tu penses vraiment Charlotte que je fantasme sur toi depuis que tu m'as sucé ?
- Quoi ? (il me relâche, se mets devant moi et me regarde dans les yeux, je commence a bégayer)
- T'as beau être ma meilleure amie, je reste un homme ! Tu étais la plus belle fille du collège, je connais pas un mec qui fantasmait pas sur ta poitrine, qui avait d'aussi gros seins que toi à ton âge ? Tu portais des décolletés car tu étais fière d'avoir de la poitrine plus tôt et plus fortement que les autres mais tous les mecs parlaient sans cesse de ta paire de seins, disaient que t'étais bonne ! Puisque j'en suis a me confesser, je me suis branlé en pensant à toi bien avant que tu me suces !
- Euuh ... là tu vois ... ça me fait un peu flipper ...
- Pas à moi, je sais presque tout de ta vie sexuelle, tu m'as plusieurs fois dit que voir ton mec faire preuve de perversion ou d'obscénité t'excite, je dis pas que je vais un jour te sauter dessus, je sais me tenir mais juste, je veux plus te mentir, tu m'as toujours excité et je le confesse !
- Ouais et la nuit où tu m'as palper le cul, c'est ce que t'appelles te tenir ?"
Un blanc s'installe, je l'ai dit avec un ton plein de reproches, il est mal a l'aise et a semblé vouloir nier avant de prendre conscience qu'il ne valait mieux pas, l'ambiance s'alourdit de nouveau et je n'aime vraiment pas ça, pas avec lui, c'est mon frère spirituel, mon meilleur pote !
"Je me suis réveillée ce soir-là et j'ai senti que tu me tripotais discrètement, tout ce désir que tu sembles avoir pour moi, c'est pas sain !
- Je sais mais j'y peux rien, t'es trop bonne ..."
Cette phrase me fis rire, elle me fit plaisir et n'alourdissait pas davantage l'ambiance, au contraire devant mon rire et ce que je venais de prendre pour de la flatterie, nous nous relâchions de nouveau.
"Je sais que je plais aux mecs, je m'habille plutôt sexy et je suis pas avare de confessions sexuelles quand on discute donc ça serait bête de ma part, de pas comprendre que je peux t'attirer surtout que c'est ma faute, je t'ai taillé ta première pipe donc forcément après t'as fantasmer sur le fait d'en avoir plus ...
- Pas plus ! Je voulais juste qu'on soit quittes, que je puisse aussi voir ce que tu as vu de moi et te faire le bien que tu m'as fait ...
(Ses mots me mettent dans la tête une image de lui entre mes cuisses, de moi qui jouit potentiellement grâce a lui)
- Si tu n'avais pas été en couple et moi aussi, je pense que j'aurais pu comprendre et peut-être accepter pour qu'on soit en effet "quittes" mais on a des gens qui nous font confiance, je refuse de leur faire ça ...
- Oui tu as raison, c'est pour ça qu'après, je t'ai juste demander de te mettre nue devant moi car je me disais que là c'était pas tromper.
- Haha tu demanderas à Thomas et Laura ce qu'ils en pensent !
- Non mais ils avaient pas à le savoir et puis bon, si y'a pas de préliminaires ou de pénétration, je vois pas où on les trahis ...
- J'ai bien compris que t'avais envie de défendre ton point de vue mais à part te faire fantasmer encore davantage y'a rien a y gagner et puis je considère qu'il n'y a que mon copain qui puisse voir mon corps ...
- Le gars de ta première fois, c'était ton copain ?
- Sois pas désagréable, il me plaisait et on flirtait depuis des jours, un amour de vacances !
- Clara c'est ta meuf ? Hahaha j'arrête mais voilà y'a des exceptions ... Juste je pensais que par amitié tu m'accorderais cette faveur pour mon anniversaire mais je comprends ton point de vue et que tu refuses ...
- Ok un point pour Clara mais c'est une meuf et ma meilleure pote, y'a rien de sexuel quand on se voit nues, toi, je sais ce que tu as dans la tête, petit obsédé !
- Maintenant tu sais que je suis qu'un pervers, je me sens mal d'avoir osé te demander ça mais y'a une partie de moi qui est soulagée d'avoir eu le cran d'essayer, au moins je suis fixé !
- Vraiment désolé, sincèrement, je comprends que tu puisses avoir du désir pour moi vis a vis de notre relation et cette pipe au collège mais je peux pas faire ça vis a vis de Thomas. Tu sais que je suis pas la plus pudique ou la plus coincée sur ça et bien sûr que je comprends que tu considères que c'est pas juste que j'ai vu ta bite alors que toi t'as rien vu, j'aurais aimer répondre favorablement à ta requête d'anniversaire, je t'aurais fait ce cadeau tant je tiens à toi mais le timing vis a vis de nos couples est pas bon ...
- Dans ce cas, est-ce que tu accepterais de juste me laisser voir tes seins ?"
Ma première réaction fut de me dire "il retente le con" mais instantanément une seconde l'occulta "oh et puis merde, si ça lui fait plaisir" suivit d'une troisième "si ce n'est que les seins, en quoi c'est grave, il voit ma poitrine c'est pas tromper, y'a des femmes qui font du topless sur la plage" puis je pensa "et puis c'est son anniversaire" tout en me disant "ça réglera ce malaise entre nous et on sera quittes" et je prenais également conscience que ça avait fini un peu par m'exciter, son désir pour moi, sa manière de faire front et "négocier" ...
"Juste les seins ? Tu promets ?
- Non ! Sérieux ! Tu veux bien ?
- Tu me saoules depuis tout a l'heure, si ça permets qu'on soit quittes !
- Je te crois pas, tu charries ?
- C'est bien parce que c'est ton anniversaire mais ça reste entre nous !
- Merci Charlotte, merci et promis comme pour la pipe, j'en ai jamais parlé !
- Bon je te les montres et c'est bon, t'es content ?
- Laisse moi me branler devant, s'il te plait !
- J'hallucine toujours plus, tu vas me demander quoi après !
- Non mais tu me les montres comme ça on est quittes et pour mon anniversaire, je peux me toucher devant, s'il te plait !
- Allez si tu veux, ça sera moins gênant que d'être toute seule a être dénudée ..."
Me voilà en train de retirer mon t-shirt devant mon meilleur ami, je suis en soutif devant lui, il a les yeux rivés dessus et une bosse apparait déjà à travers son jean, je suis excitée, je sais que je mouille, j'ai peut-être commencé durant notre conversation ...
Que ne ferais-je pas pour satisfaire un homme ? Comment je me suis retrouvée de paniquée a essayer de rentrer chez moi à dix minutes plus tard être en soutif devant lui et avoir envie qu'il me matte ? Je ne suis qu'une salope, je suis en couple et je vais montrer mes seins à un autre garçon a mon meilleur ami, que suis-je en tant que femme ? Ne suis-je bonne qu'à combler leurs désirs ? Pourquoi je ne peux pas dire non a quelqu'un qui me manifeste de l'intérêt et du désir ? Pourquoi est-ce que j'aime tant leur plaire ? Mon cher père, je ne peux m'empêcher de penser que c'est de ta faute !
Je dégrafe mon soutien-gorge et glisse la bretelle hors de mon épaule, j'ôte mon soutif en ressentant de la gêne, cela ne m'est pas arrivée depuis bien longtemps mais l'homme qui à les yeux rivés sur ma poitrine n'est pas n'importe qui pour moi, ça reste gênant de lui montrer cette partie de mon corps. Kévin à les yeux grands ouverts, il n'en rate pas une miette, mes seins sont dorénavant nus sous ses yeux, je n'ose plus croiser son regard et fixe alors la bosse devenue plus grosse dans son jean. Il y'a quelques secondes où je suis là, en silence et gênée, seins nus devant lui à ne plus bouger, ne pas cacher ma poitrine en luttant contre le reflexe de mettre mes bras ou ma main devant puis ma seconde nature prends le dessus, je regarde son érection contenu dans son pantalon, je sens que ça bouillonne en moi, j'aime qu'il bande en me regardant, j'ai envie de la revoir, sa queue !
" Tes seins sont encore plus beaux que je ne les avaient imaginés et en plus tu rougis en me les montrant, trop mignonne !
- On a plus 14 ans et après toutes ces années c'est gênant parce que c'est toi ...
- Moi c'est encore plus bandant parce que c'est toi !
- Justement, montre moi ça et fais ce que tu as faire, qu'on en finisse !
- Hahaha à tes ordres"
Il me prends la main et m'entraine sur son lit, il me fait asseoir pendant qu'il baisse son jean et son caleçon, le voici en t-shirt/chaussettes qui bande fièrement avec son sexe bien droit devant moi, mon bas du ventre s'échauffe, l'espace d'un instant, j'ai envie d'engloutir goulument son sexe sans me poser de questions !
Kévin commence alors à se décalotter et entamer de lents vas et viens, j'ai les yeux rivés sur sa queue, elle est plus longue encore qu'il y'a quatre ans, je n'ai jamais pu oublier sa longue queue et je suis certaine qu'elle est encore plus longue qu'avant !
Monsieur se rase dorénavant les boules, je me souviens de ses couilles poilues qui sont cette fois lisses comme celles d'un nouveau-né, j'ai envie de palper ses bijoux de famille, d'empoigner sa queue et le branler moi-même, qu'est-ce qui m'arrive ?
Alors que je commençais à perdre la raison et vouloir devenir active, il me demanda de reculer dans le lit, j'obéis et le regarde se coucher sur le dos à coté de moi, "va devant moi et montre moi bien tes seins maintenant", j'obéis là encore, il vient de me rappeler que je dois rester passive et juste le laisser profiter de la vue, c'était le deal ...
Je suis assise sur le coté gauche de son lit, au niveau de ses genoux, il est allongé sur le dos et se branle de plus en plus vite en me regardant, il me complimente régulièrement sur ma poitrine et j'aime ça, je m'en amuse petit a petit et lui les montres dorénavant sans aucune pudeur. Je suis excitée a fond, j'adore voir la tête qu'il fait quand il se branle aussi frénétiquement, il commence à transpirer et pousser de petits gémissements, il est excité a mort, je le vois et ça me fait de l'effet ! J'aime regarder à quel point il tire sur sa bite, j'ai l'impression qu'il va la casser tellement ça va vite et certaines empoignades semblent fortes, je n'ai jamais vu un homme se branler aussi ouvertement, je l'imagine déjà exploser et envoyer du sperme partout !
J'ai envie de me toucher, je sens que je suis trempée en dessous et que je n'arriverais plus à me contenir de l'après-midi, qu'il faut que je calme ma chatte, je ne cesse de contempler sa longue queue, j'ai envie de venir m'empaler dessus, je m'en veux de penser à ça et d'être à deux doigts de le faire, Thomas et Laura, que faisons nous dans votre dos ?
Le branleur fou devant moi n'a plus une once de conscience non plus, il me dit qu'il n'en revient pas qu'il est en train de voir mes seins, qu'il en tant rêvée, que c'est trop bon, il me demande si je peux les rapprocher ou les écraser l'un contre ?
Je croise les bras et compresse ma poitrine qui grossit pour lui faire plaisir, il lâche des "putain t'es trop bonne", je rigole, il rigole !
Je surélève ma poitrine en passant mon avant bras en dessous de mes seins, je caresse mes mamelons devant ses yeux captivés, je tire sur mes tétons et malaxe ma paire de seins, il craque et me demande s'il peut les toucher !
Je suis bien trop chaude pour opposer la moindre résistance, à cet instant, il pouvait m'arracher mon pantalon et me fourrer comme une chienne en chaleur, j'aurais crié "plus fort" ! Je me rapproche de lui et lui tends ma poitrine, il prends dans sa paume mon sein gauche et y referme sa poigne, la sensation de nos peaux qui se touchent termine d'inonder ma culotte, c'est fait, je n'ai plus aucune barrière, il peut faire ce qu'il veut de moi. Je pose ma main sur sa cuisse, j'ai envie d'aller empoigner sa queue mais je tente de me contenir "s'il me le demande, je le ferais, s'il ne dit rien, reste dans ce que tu avais convenu" je me répète ça alors qu'il pétrit de plus en plus sauvagement mon sein ...
"J'en reviens pas que je tripote ma meilleure pote" me dit-il, "Tais toi, idiot" lui-dis-je en posant un doigt sur sa bouche !
Il en profite pour faire rouler mon téton entre ses doigts, voici qu'il le pince et tire dessus, je pousse mon premier gémissement alors que mon doigt est encore sur sa bouche, mon regard se perds dans le sien, il me voit telle que je suis, une salope ...
Kévin change alors de sein et écrase encore plus fortement entre ses doigts mon second sein, je lui dit d'y aller doucement, il réponds par une claque sur mon mamelon, je suis surprise par cette violence soudaine, il me dit que si la nature m'a dotée d'une telle paire c'est pas pour qu'on la touche avec douceur, ses mots m'excitent, c'est vraiment mon meilleur pote que j'entends ?
Il passe d'un sein a l'autre régulièrement, conscient qu'il les sollicites plus que ce n'est supportable, je commence à avoir mal aux deux et ne plus pouvoir le supporter, je l'en informe et recule. Je suis surprise qu'il n'a pas encore envoyer la sauce, il y'a la trace de ses doigts sur le haut de ma poitrine, je suis moins excitée qu'il y'a quelques minutes, je veux qu'il jouisse maintenant et qu'on revienne a la réalité !
"Il serait temps de se vider les couilles, mon cher !
- Ah, tu en as marre ? J'avoue avoir tout fait pour que ça dure, je me régale
- J'ai les seins en compote, si tu pouvais finir ça serait bien ...
- Laisse moi y gouter et je crache dans la minute !
- Hein ? Comment ça ?
- Je veux embrasser tes seins et sucer tes tétons !
- T'as deux minutes, pas une de plus !"
Il se redresse et vient prendre mes deux seins à pleine main, sa bouche passe d'un mamelon a l'autre, il lèche tout autour de mes tétons sans les toucher puis les titilles enfin de quelques coups de langues. Il reprend sa bite en main et se branle à fond de nouveau pendant qu'il aspire mes mamelons, il me fait mal mais je sens qu'il va pas tarder à venir, je pose mes mains sur ses épaules et le laisse finir ... Je me souviens encore de la sensation, sa bouche était comme une ventouse qui englobait tout mon mamelon, il aspirait si fort que j'avais l'impression qu'il voulait me faire un suçon, l'intérieur du sein s'en retrouvait tirer vers l'avant, il me suçait le nibard sans plus aucune retenue ou respect, sa tête remuait d'avant en arrière pendant qu'il me tétait mais le bruit de son poing qui claquait contre ses couilles et de sa queue visqueuse qu'on entendait bruyamment se faire décalotter en boucle m'indiquait qu'il ne tiendrait plus longtemps à ce rythme ! Voilà que je l'entends, il pousse un râle étouffé contre mon sein et le relâche enfin, je passe ma main dans ses cheveux en sueur et caresse son crâne pendant qu'il termine de se vider, l'instant est beau, il s'écroule sur le lit avec du sperme plein la main, sur sa queue et sur le bas de son t-shirt !
Je regarde sa queue crémeuse qui est encore raide, le foutre qui est dans les poils de son pubis ou qui dégouline sur ses couilles, il a vraiment une belle bite, je la trouve si virile tant elle est longue, je la nettoierais bien ...
Il me jette un regard complice et contemple mes seins encore une fois, je les regarde aussi, bon dieu ce qu'ils me font mal !
Il me remercie, me dit que c'était trop bon, je lui dit que maintenant on est quittes et que ce cadeau d'anniversaire sera la dernière fois qu'on se retrouve à dépasser les bornes, il rigole et m'assure que c'est le cas, je me rhabille et lui dit que je vais rentrer chez moi, qu'on a eu notre compte d'aventures pour aujourd'hui, il s'inquiète de comment j'ai vécu la chose et que tout va bien entre nous, je le rassure.
Sur le chemin du retour, les remords m'assaillent, qu'avons-nous faits ? Notre amitié, Laura mais surtout Thomas ...
J'arrive chez moi, j'enlève mes vêtements, je constate encore quelques rougeurs sur mes seins, j'enlève ma culotte, elle est souillée, je touche ma vulve, elle est encore trempée ...
Je m'assois sur le lit et me caresse en repensant à la queue de Kévin et ce que j'ai faillis faire !
Dans les jours qui suivirent, Thomas ne pu pas trop me toucher les seins car j'ai eu mal presqu'un mois a celui qui avait été sur-sollicité, Kévin et moi, nous rediscutèrent une ou deux fois pas plus des événements pour nous assurer que tout était cool entre nous puis nous firent comme si rien ne s'était passé par la suite.
Lorsque nous nous masturbions avec Thomas et que dans nos scénarios Kévin faisait une apparition, ça m'excitait plus que les autres, j'aimais faire imaginer à Thomas qu'il se branle en nous regardant baiser mais ce qu'il ne savait pas c'est que mon imagination n'avait pas à imaginer grand-chose pour retranscrire avec réalisme son visage excité, sa longue queue qui se fait marteler, son râle de plaisir, le sperme qui coule de sa queue ...
Ce chapitre bonus qui relate les masturbations que nous avions avec Thomas mais aussi la fois où je l'ai trahis plus concrètement que celle pour laquelle il m'a punie ne pouvait être ignoré. Je me suis faites sodomiser et punir par Thomas pour avoir flirter par messages avec un autre mais c'est aussi pour m'être exhiber et faites tripoter par mon meilleur pote que j'ai endurée tout ça, j'avais des choses qu'il ignorait à me faire pardonner et s'il fallait en passer par là pour absoudre mes péchés, je l'ai fait.
Nos masturbations et leurs scénarios fictifs ont nourris en moi, une perverse qui aime se jouer des interdits, s'exciter sur des membres de son entourage ... Elles sont aussi mes premiers instants de plaisir en ayant une fille en tête ...
Vous verrez que dans les années qu'il me reste à vous conter; ce chapitre bonus aura eu un impact sur divers aspects de ma sexualité et qu'avec Kévin, nous n'allons finalement pas en rester là ...
A suivre ...
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture :wink:
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De 2012 a 2015
Je suis en terminale, fraichement célibataire et plutôt déçue du sexe, je ne suis plus autant en quête d'un pénis pour combler ma vie ...
Je me réfugie auprès de mes copines et dans mes loisirs choisissant de me concentrer sur mes études pour le BAC en fin d'année !
Il y'a pourtant dans ma nouvelle classe un garçon qui ne me laisse pas indifférente, il a des yeux bleus à tomber, de beaux cheveux mi-longs blonds et il me fait beaucoup rire mais je ne me projette pas dans une quelconque relation pour le moment.
Plusieurs garçons me tournent autour ayant appris ma rupture durant l'été et certains se montrent assez grossier en se comparant à Clément, ils sont d'emblés à mes yeux inintéressants en s'y prenant de la sorte mais pensent avoir une chance.
Mon Crush discute de plus en plus avec moi par messages, nous avons beaucoup de points communs et une complicité rare, il flirte de plus en plus ouvertement, me complimente souvent le soir sur ma tenue du jour, me dit qu'il va rêver de moi quand il va dormir ...
Je m'amuse en retour a lui dire que je suis en pyjama dans mon lit quand je lui parle ou bien que je sors juste de la douche (alors que souvent ce n'est pas vrai), je fais en sorte de lui mettre des images plus ou moins sexy de moi dans la tête pour attiser son désir et voir comment il réagit dans ses messages suivants.
Je me caresse régulièrement avant de dormir en l'imaginant se branler en pensant à moi, un soir alors que je me touche pendant que nous échangeons par messages, il me dit le plus spontanément du monde, qu'il me laisse-là car il doit aller se branler avant de dormir et qu'il est tard !
J'hésite entre lui répondre un simple "d'accord, bonne nuit, à demain" ou le chauffer mais ma chatte qui supplie que je continue de jouer avec elle me pousse à choisir la seconde option, je lui réponds alors "c'est moi qui te mets dans cet état ?"
Son texto mets quelques instants a tomber ...
"Truc de mecs ma belle, faut faire sortir le venin pour bien dormir, n'y voit pas là un rapport avec toi, tu n'es pas le centre du monde"
Je le prends un peu mal car il refroidit l'ambiance mais je sais qu'il cherche a me taquiner et me faire parler de sexe ou manifester par écrit une quelconque déception, je m'amuse alors de cet affront et décide de surenchérir !
"Je parie que t'as déjà la main dans le calbar pourtant puisque t'as mis un peu de temps a répondre, pas joli-joli de m'envoyer un message alors que tu secoues Popol !"
" J'avoue que j'ai peut-être commencé mon affaire, après-tout je te l'ai dit, il se fait tard et on se lève tôt demain ..."
" Ah tu vois, bon garçon j'aime quand tu es honnête, du coup ça se branle sur quoi ?"
(Je me frotte le clito comme une folle sur notre conversation quand je ne lui réponds pas et attends son message)
" Qu'est-ce que ça peut te faire ? C'est un peu gênant en plus; tu trouves pas ?"
" Oh voilà qu'il fait le timide maintenant, je sais pas, je pensais que t'assumerais puisque c'est toi qu'a commencé a parler branlette !"
" Je regarde une scène porno, t'es contente ?"
" Ok, quelle genre, petit cochon ?"
" Pourquoi tu veux en regarder un aussi peut-être, petite cochonne ?"
(Je mouille comme une folle depuis plusieurs messages, il m'excite carrément trop, j'ai envie de lui, de le voir se branler ...)
" Qui sait ? Peut-être que je vais m'en faire un petit avant de dormir aussi ..."
" Ah ouais, tu regardes des pornos toi ?"
" Moi aussi je me caresse souvent avant de dormir pour ta gouverne !"
" Charlotte ... T'es en train de carrément m'exciter là, faut pas me dire des choses pareilles !"
" De ? Savoir que je me frotte la chatte ça te rends fou ? Y'a pas que les mecs qui aiment le porno et prendre du plaisir avant de dormir"
" C'était pas le moment pour me dire des choses comme ça, je me branlais petite idiote, maintenant je t'imagine le faire ..."
" Bah justement si je peux aider, je vois pas où est le problème ..."
" Ah ça te dérange pas de savoir que je suis en train de me branler en discutant de ça avec toi ? Que tu m'excites ..."
" Non au contraire surtout de savoir que ça t'excite est flatteur et puis je fais peut-être la même chose ..."
" Jure ?! Tu te touches là ?"
" Peut-être, peut-être pas, en tout cas, je t'imagine t'acharner sur ta queue mon cher et ça m'amuse"
" Bordel, je viens de finir, tu m'as complétement fait vriller, j'en ai mis partout, je me sens un peu honteux "
" Faut pas, ça restera notre petit secret, j'espère que c'était bon en tout cas"
" Ok, on fait ça, je te promets d'en parler a personne, j'ai kiffé mais a la fois je me dis qu'on a dérapé, allez bonne nuit la miss"
" Yep a demain et y'a pas de mal a se faire du bien, dors bien"
Je me caressa encore quelques instants totalement en transe avant de m'endormir avec un peu de remords d'avoir été aussi cru.
Le lendemain matin, Thomas arrive dans la cour du lycée, me prends par la main, m'entraine avec lui en me disant qu'il faut qu'il me parle, il me plaque contre le mur derrière les toilettes, me regarde fixement dans les yeux "Je t'aime, petite cochonne" me dit-t-il avec aplomb, je rigole et lui réponds "moi aussi petit cochon", il me roule une pelle des plus intenses en me prenant dans ses bras, je fonds littéralement et tombe inéluctablement folle amoureuse de lui.
Thomas et moi étions un couple très fusionnel, il était beau garçon, populaire et très apprécié, je l'étais aussi donc nous devînmes l'un de ses couples stars d'un bahut. Plusieurs de mes copines m'enviait notre relation, plusieurs de ses copains jalousait celui qui profitait de mon corps et ça, pour en profiter, il en profitait ... Thomas fut une révélation, il répara les dégâts de Clément (le précoce) avec lui je redécouvris cette passion que j'avais pour la queue, j'adorais sa bite, l'avoir dans ma main, dans ma bouche, dans ma chatte !
Thomas était endurant, mieux membré, plus sauvage, plus pervers, il me prenait dans toutes les positions, dans plusieurs pièces de nos maisons, à l'extérieur, il avait toujours envie de moi et c'était à chaque fois un réel plaisir que de satisfaire ses besoins !
Le sexe était un fondement de notre relation, on baisait tout le temps, on parlait de cul tout le temps, on était des animaux en ruts qui se découvrent une sexualité et la consume a toute vitesse ! J'adorais le voir en érection, savoir qu'il bande pour moi. J'adorais embrasser son gland, couvrir ses boules de baisers et dévorer son chibre de longues minutes en l'écoutant gémir de plaisir. J'adorais quand il dévorait ma poitrine, bouffait ma chatte et me léchait le cul, sentir son envie pour mon corps. J'adorais par dessus-tout ses coups de reins violents, sa bite raide qui tapait si fort et profondément en moi, la fougue qui le caractérisait et nos parties de jambes en l'air digne des pornos que nous regardions ! Thomas réveilla de nouveau la salope qui dormait en moi, il me rendit accroc a sa bite, au sexe et me déprava !
Totalement en confiance avec ce garçon qui me témoignait tout son amour et tous ses désirs, je me laissais aller et oubliait petit a petit la conception de pudeur, tabous ou limites. Thomas avait instauré une règle dans notre couple, nous devions toujours tout faire pour le plaisir de l'autre et ne rien lui demander que nous ne pourrions faire nous-même ! Si tu m'aimes, pourquoi m'empêcher de prendre du plaisir ou faire ce que j'aime ? C'était un peu son crédo et dans le fond ça se tenait. Je me dévouais a le faire prendre son pied et m'assurer qu'il exprime toutes ses envies et en retour il s'assurait également que je jouisse avant lui et communique sur mon ressenti ou ce dont j'avais envie. Thomas me fit découvrir le véritable plaisir, il m'emmena aux portes de l'orgasme que je ne franchissais pas mais nous n'étions pas loin, il savait me faire jouir et je vénérais sa queue.
Il fut le premier garçon que je présenta a ma mère, elle l'appréciait beaucoup.
Quelques semaines après avoir officialisé mon couple auprès de ma Maman elle m'offrit mon premier string en me disant que maintenant j'avais l'âge d'en avoir un, elle se doutait que j'étais devenue sexuellement active avec mon petit-copain alors elle me posa la question, je lui confirma que je couchais avec Thomas. Monsieur souhaitait que je prenne la pilule pour que l'on se passe du préservatif, j'en parla a ma mère en lui disant que je souhaiterais avoir une contraception plus sûre, elle m'encouragea a prendre en effet la pilule. Les premières baises sans capotes furent incroyables, la sensation du peau contre peau me fit redécouvrir sa queue ou la bite de manière plus générale, tout était plus doux, sensuel, meilleur et le sentir jouir en moi était une satisfaction totale, les jets chauds qui se déversaient dans mes entrailles me donnait l'impression de servir de vide-couilles, accomplir ma fonction jusqu'au bout.
Au fil des mois, Thomas me baisait de manière plus brutale et j'aimais cela, ces mots devenaient plus crus, il parlait de mon corps de manière obscène, de moi en des termes peu élogieux mais dans les situations que nous vivions, il disait toujours vrai ...
Comment contester le fait que j'étais une salope ? Moi qui adorait le sucer, m'étouffer sur sa queue raide pleine de salive, m'empaler dessus pour m'y remuer sans pudeur, gémir sans honte sous ses coups de bites, me faire remplir de sperme ...
Comment contester le fait que j'étais une chienne ? Moi qui voulait toujours me faire baiser, qui en prenait plein la chatte tout le week-end, qui cambrait mon cul à m'en déboiter le dos et écartait mes deux fesses pour lui offrir la meilleure vue sur mes trous ...
Comment contester le fait que j'étais une pute ? Moi qui obéissait à toutes ses envies, me faisait baiser en extérieur avec le risque d'être surpris, jouissait avec ses parents dans la pièce d'à coté, lui gobait les deux boules en même temps pendant qu'il se branle, lui léchait le cul s'il me le demandait, avalait son sperme ou le laissait me recouvrir le visage ...
Au lycée et devant nos amis, j'étais sa petite amie. A la maison ou chez ses parents, j'étais sa copine. Entre nous, j'étais sa femme, sa meilleure amie, sa confidente, sa partenaire mais au lit quand les vêtements tombaient je n'étais plus qu'une salope bonne qu'à se faire défoncer la chatte, une chienne docile vouée a lui vider les couilles et une pute dépravée qui ferait tout pour satisfaire sa queue ...
J'aimais cela, j'aimais être cette salope, j'aimais le sexe, la bite, sa bite et j'aimais ce qu'on était, c'était parfait ainsi !
Durant l'année de mes 18 ans, j'ai discuté un jour a cœur ouvert avec ma mère sur l'abandon de mon paternel, elle me raconta qu'ils ne s'entendaient plus du tout, qu'elle ne le comblait pas assez sexuellement selon lui mais aussi qu'elle savait qu'il avait une maitresse, fréquentait des établissement libertins et avait une double vie. Les révélations de ma mère me poussèrent a m'investir encore plus sexuellement avec Thomas, à le combler et ne rien lui refuser. Avec le recul, je pense que ma soumission trouve ses origines dans cet instant, mon rapport aux hommes a toujours été influencé par l'absence d'une figure paternelle dans ma vie mais mon rapport au sexe a aussi toujours été influencé par ce besoin d'affection et cette volonté de combler l'autre pour m'assurer qu'il reste a mes cotés.
Savoir que mon géniteur était un salaud infidèle a la libido insatiable qui faisait passer ses besoins sexuels avant tout le reste m'aida a le détester encore plus mais je releva aussi les points communs que nous commencions à avoir ... Pire encore, parfois quand je me masturbais, j'imaginais cet homme qui baisait autrefois ma mère, elle qui m'a éduqué de façon plutôt stricte, que je ne vois jamais se relâcher, qui n'a jamais refait sa vie et que je ne peux imaginer avoir eu ne serait-ce qu'une aventure depuis leur séparation. A quoi pouvait bien ressembler leurs parties de jambes en l'air ?
Un fantasme commença à germer en moi, celui d'un jour aller en club libertin !
Je m'informais régulièrement sur le milieu, ses codes, son fonctionnement et consommait de temps en temps du porno en lien avec le libertinage, l'échangisme ou les glory-holes.
Quand je me caressais, Il m'arrivait de fantasmer sur une soirée dans un club avec Thomas, de voir des gens en train de baiser, de nous joindre à eux mais je n'en étais pas capable, ce n'était que des pensées obscènes quand j'étais trop excitée ...
Pourquoi cela m'excitait autant d'ailleurs ? Est-ce que j'avais réellement envie de sexe a plusieurs ? Que Thomas me voit coucher avec un autre homme sous ses yeux ? De sucer la bite d'un parfait inconnu sans savoir à quoi il ressemble physiquement en le pompant à travers le trou d'un mur ? Un soir, je pris conscience que ce qui m'attirait autant dans ce fantasme du club libertin ce n'était pas tant le milieu décomplexé sexuellement et tout ce qui va avec mais plutôt l'idée de marcher sur les traces de mon paternel, que ce qui m'excitait c'était de me dire que je pourrais tomber sur lui, que je ne le reconnaitrais pas et lui encore moins, que je pourrais me faire baiser par mon propre père ou sucer sa queue sans le savoir ...
Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis faites du bien avec des pensées pareilles dans la tête ...
Je fantasmais sur le fait d'entrer dans un club, de voir une femme se faire prendre sous mes yeux et de me dire que c'est peut-être mon père qui est en train de la baiser.
Je fantasmais sur le fait de me faire baiser par Thomas devant des voyeurs et que mon paternel serait peut-être dans le groupe d'hommes qui me regarde, qu'il constate la chienne que je suis sans que lui ou moi ne le sachions.
Je fantasmais sur le fait de sucer des bites dont je ne sais rien, d'en voir de toutes les tailles et diverses formes, de m'atteler à en vidanger plusieurs sans avoir la moindre idée de la beauté de l'homme derrière le mur, sa corpulence ou son âge.
J''étais excitée par l'idée de sucer des mecs repoussants, qu'ils soient moches, gros ou vieux mais que je n'en sache rien. Que je sois en train de pomper un gars de mon bahut, un de mes profs, le père d'une amie mais que je n'en sache rien.
Que je sois en train de vider les couilles de mon propre père dans ma bouche mais que je n'en sache rien.
Je fantasmais sur le fait de me faire prendre par de parfaits inconnus, que Thomas m'offre à des mâles en rut, m'échange à un gars contre sa copine, de n'être qu'un corps dont des hommes dont je ne sais rien disposent pour leurs besoins. Il y'avait de la perversion en moi qui aimait l'idée que mon père soit un jour l'un d'eux, qu'il pénètre dans la chatte de sa propre fille, celle qu'il a abandonnée dont il ne connait rien et surtout pas le manque dont elle a souffert, qu'il profite de ce qu'il a engendré, que son égoïsme et ses vices comme ma dépendance aux hommes et ma dépravation nous conduisent a baiser ensemble comme les obsédés maudits que nous sommes.
Ce fantasme était irréalisable et bien trop immoral, il se manifestait dans un coin de ma tête quand j'étais très excitée et perdait le sens des réalités avant de jouir, je ne pouvais pas en parler à Thomas tant il était obscène, difficile a comprendre sans une parfaite connaissance de mes blessures psychiques et je ne voulais pas que mon petit-ami voit cet aspect de moi ...
La vie suivait son cours, j'étais épanouie tant socialement, émotionnellement que sexuellement !
Depuis les révélations de ma mère et ma décision de m'offrir sans aucune limites a mon petit-ami, je ne faisais plus l'amour, je me faisais baiser. Je ne suçais plus simplement une bite, je m'exerçais a la gorge profonde. Je ne recrachais plus le sperme après une pipe, j'avalais son foutre, le laissait venir sur mon visage, ma poitrine, mon cul ou la plupart du temps, au fond de ma chatte !
Thomas était un conquérant, celui qui annexait mon corps, lui faisait vivre diverses premières fois mais surtout celui qui me ferait tout faire, tout vivre, tout essayer ne serait-ce qu'une fois juste pour voir ! Il ne cachait plus sa part d'ombre et me délivrait toutes ses envies, à chaque fois que nous repoussions nos limites ou faisions quelque chose de nouveau, il se tournait instantanément vers la prochaine étape, c'était comme une liste de pratiques, perversions, situations, jeux de rôles qu'il voulait cocher comme pour se dire, on l'a fait !
Mon obsédé de petit-ami m'avait convaincu de me laisser prendre en photos totalement nue et filmer en plein acte pour qu'il se branle sur moi/nous plutôt que du porno pendant la semaine. Il vouait un tel culte a mon corps que j'avais acceptée par amour de lui faire confiance pour garder ça pour lui. Je me disais que si ça l'aidait à rester focus sur moi même dans ses moments solitaires, il n'en serait que plus bouillant le week-end lorsqu'il retrouverait "la came" sur laquelle il se branlait toute la semaine ! Je me fis violence au départ pour lui offrir le contenu qu'il recherchait pour ses branlettes, les premiers shootings furent éprouvants et gênant mais quand il me filmait en train de le sucer c'était excitant de me dire que je devais fournir une belle prestation car elle était enregistrée et qu'il allait la revivre en solo. Au fil des mois, je me pris finalement au jeu et il amassa plusieurs centaines de photos allant de shootings complets dédiés a une tenue ou un ensemble de lingerie a des photos prises a la va-vite pendant nos ébats. Une baise sur deux, il sortait dorénavant son téléphone pour me filmer, il se filmait en train de se faire sucer, de me baiser et d'éjaculer sur mon visage ou mon corps. Déjà bien dépravée et sans pudeur, le fait de savoir qu'il détenait autant de photos/vidéos compromettantes sur moi où il avait la preuve que j'étais bel et bien une salope fit voler en éclats ma capacité a garder encore quelques limites ou lui refuser quelque-chose ...
J'étais déjà soumise à cet homme sans le dire, nous ne mettions pas de mots sur cela mais dans les faits ma dévotion était totale depuis des mois, mes tabous presque tous envolés et la notion de limites, il savait la faire disparaitre.
La semaine nous avions maintenant du sexe virtuellement, allant des sextos/appels cochons où on se touchent avant de dormir aux échanges de nudes, il n'y avait plus de temps morts avec le week-end où nous passions aux rapports plus concrets.
J'aimais envoyer des photos de mon corps a mon mec, qu'il me réponde avec une photo de sa queue en érection ou me dise que si j'étais face a lui, il boufferait la chatte que je venais de lui envoyer ! J'aimais qu'il me promette "de me détruire" ce soir quand je lui envoyais une photo de moi dans mon bain m'épilant la chatte pour lui. J'aimais me réveiller et avoir une photo de ses jets de sperme sur le parquet de sa chambre où il me disait que c'était le résultat de sa masturbation devant notre vidéo du week-end dernier ! J'aimais aussi me toucher sur nos vidéos, parfois je lui demandais de m'en envoyer certaines quand j'avais trouver le moment génial pour pouvoir me masturber devant. Je ne m'en suis pas rendue compte à cette époque mais je pense que c'est à cette période que je suis devenue nymphomane, le sexe était présent chaque jour.
Ma dévotion totale à mon petit ami, sa recherche constante de nouveautés et notre volonté de tout essayer nous poussèrent à aller très loin pour des jeunes de nos âges.
Lorsqu'il m'avait demandé de lui faire un anulingus par exemple, j'avais au départ émis des réticences mais il avait argumenté en me disant qu'il me le faisait bien lui, alors pourquoi pas l'inverse ? J'avais rétorqué le fait de n'avoir rien demandé mais avec le couplet sur le fait de donner du plaisir à la personne qu'on aime en veillant a son épanouissement, j'y étais allé !
Les premiers coups de langues furent fébriles mais il s'était entièrement épilé pour l'occasion alors je lécha le pourtour de son anus et appuya légèrement sur son entrée, les gémissements de plaisir de mon copain m'encouragèrent a poursuivre cette mascarade. Dans les minutes qui suivirent, je recevais des ordres clairs et autoritaires me disant d'embrasser ses fesses, de lécher plus vite, de remuer de haut en bas ma langue, de la laisser sortie et de ne bouger que ma tête, de lui limer la raie dans son ensemble ! Son cul était baveux, le bas de mon visage recouvert de salive, j'étouffais parfois entre ses fesses, cherchant a reprendre une respiration contre son cul, il se branlait lui-même en me regardant et appuyais parfois sur ma tête pour me maintenir entre ses fesses. Il m'ordonna de rentrer ma langue dans son cul, je ne voulais pas le faire, lécher l'extérieur était une chose mais j'avais peur du goût ou d'un accident ...
En exprimant un refus, il argumenta aussitôt sur le fait qu'il me le faisait, qu'il rentrait sa langue dans mon cul mais aussi dans ma chatte alors il prit ma tête et l'enfonça entre ses fesses en m'ordonnant de lécher, "mets-la dedans" me dit-il plusieurs fois alors que je léchais l'entrée puis j'obéis et pénétra son anus de la pointe de la langue ! "Fais des vas et viens, je veux te sentir entrer et sortir en moi" me dit-il en m'agrippant les cheveux. "Plus loin s'il te plait" me dit-il en appuyant derrière mon crâne pour m'enfoncer le visage dans ses fesses alors que ma langue était en lui. "Encule-moi avec ta langue" me dit-il pendant que je gardais ses fesses écartées et que j'y mettais des hochements de tête la langue enroulée pour en faire une pointe qui le gode ...
Voici comment je suis passée en moins de dix minutes de quelqu'un qui ne s'était jamais approchée d'un anus a quelqu'un qui raclais l'intérieur d'un trou de balle avec sa langue !
Après cette première fois, je lui léchais le cul un week-end sur deux pendant nos préliminaires et cela ne me dérangeait plus.
L'anus de mon mec était copieusement léché s'il soulevait ses jambes pour m'y laisser l'accès et j'aimais que ma langue remonte en continu de sa raie à ses couilles pour revenir à sa queue. L'anus de mon mec était habilement sollicité s'il se mettait à quatre pattes, je lui écartais bien les fesses et l'enculait avec ma langue tout en masturbant sa queue qui pendait dans le vide. L'anus de mon mec était violemment frotté contre ma langue et sur mon visage quand il s'asseyait sur moi pour que j'étouffe entre ses fesses alors qu'il se remuait sur la pointe de ma langue tout en se branlant et m'agrippant parfois par les cheveux pour enfouir mon visage dans son cul.
Nous avions 18 ans et je bouffais le fion de mon petit-copain comme une actrice de gonzos !
Je pense que le plus hors du commun ou inavouable c'est quand nous nous sommes mutuellement pissés dessus ...
Thomas m'avait plusieurs fois fait part de son envie de m'uriner dessus, sur le visage plus précisément mais j'avais évidemment tout de suite décliner la proposition et bien qu'il en reparle parfois sur ce sujet il ne me forçait pas la main sachant que c'était bien plus hardcore. Je lui avais demandé ce qu'il cherchait là dedans et il m'avait expliqué vouloir voir jusqu'où je pourrais aller pour lui, si ma dévotion était réelle et que c'était une façon de se sentir supérieur à moi sur l'instant, une envie d'humiliation, de dominer. Un soir après une bonne baise chez lui, nous avions tous les deux envie d'aller aux toilettes pour pisser puis a la douche, nous venions de passer un bon moment et lorsqu'on se chamaillait pour la première place aux WC, il me dit que je n'avais qu'à pisser dans la douche puisque je devais y aller, je lui concéda alors les toilettes en acceptant de le faire sous l'eau de la douche. Alors que je déclenchais l'eau, Thomas s'engouffra dans la salle de bain, la ferma a clé et me chuchota (parents dans le salon au rez de chaussée) que si j'étais capable de me pisser dessus moi-même dans la douche et bien nous n'avions qu'a nous pisser dessus à tour de rôles dans la douche. Je lui demanda pourquoi ça et il me rappela qu'il ne me demanderait jamais de subir quelque-chose qu'il n'est pas prêt à faire aussi donc que s'il me pissait dessus, il subirait l'expérience en retour ! Je ne sais pas si c'est l'euphorie de la soirée sympa que nous passions ou le fait que j'avais trop envie de pisser pour que l'on débatte mais j'accepta si c'était juste sur le corps. Thomas coupa l'eau, se positionna dans le bac de la douche et me dit de mettre un pied sur son épaule puis de me laisser aller, je fis ce qu'il dit et commença à uriner. Au début je me pissa plus le long de la jambe qui me servait d'appui que sur lui, je me retins alors de nouveau pendant qu'il se positionnait davantage sous moi bien collé à ma cuisse alors qu'il maintenait mon autre jambe sur son épaule. La seconde tentative fut aussi calamiteuse mais fonctionna, ma pisse coulait sur lui, sur son bras, une partie de son ventre et ses cuisses, il me demanda d'orienter ma chatte de la main alors je tira dessus pour tenter de viser avec le jet et lui en mettre un maximum dessus, on rigola énormément lorsqu'il me dit que "c'était très bizarre la sensation, chaud et que ça puait" alors que j'arrosais son torse et savourait ses grimaces. Monsieur se rinça puis m'invita a prendre place. C'était mon tour, je m'accroupis jambes écartés en étant bien appuyé sur mes talons, il me demanda de tenir et écraser mes seins l'un contre l'autre puis il débuta, c'était tout de suite bien plus facile pour un homme de viser ... Il s'amusa à pisser sur mes seins, mes épaules, mes cuisses, c'était brulant et ça démangeait, l'odeur était forte, je puais la pisse ! Il me fit me retourner a quatre pattes pendant qu'il retenait ses derniers jets puis il urina sur mes fesses et mon dos. Je me mis debout, puante avec des relents de dégout devant l'odeur de l'urine, on prit un fou rire en concédant tous les deux que ça puait et que c'était n'importe quoi ce qu'on venait de faire puis je me rinça en vitesse à grand renfort de gel douche !
Il est difficile de vous conter toutes les parties de jambes en l'air et diverses pratiques que nous avons vécues au sein de cette relation mais si je devais encore vous partager quelques anecdotes, je vous parlerais de notre penchant pour le sexe en extérieur !
Déjà c'était pratique, deux adolescents/jeunes adultes chez leurs parents c'est pas toujours simple pour baiser discrètement chez nous donc le faire à l'extérieur était un bon plan en plus de terriblement nous exciter avec le risque d'être surpris.
Il y avait un petit bosquet derrière le quartier de Thomas, je ne sais pas combien de fois je me suis faites baiser contre un arbre ...
Au lycée, nous nous éclipsions parfois le midi pour faire nos affaires entre les buissons d'un parc à coté du bahut ou dans une ruelle.
Chez moi, nous partions nous promener dans les champs et mes premières exhibitions furent devant un troupeau de vaches.
Il y'a aussi une anecdote honteuse, un week-end où les parents de Thomas n'étaient pas a la maison, il me fit part d'une découverte !
Monsieur avait trouvé dans l'un des placards de sa mère, un gode vibromasseur et il voulait que l'on essaie ...
J'ai au départ comme souvent tenté de refuser en lui expliquant que c'était à sa mère, qu'elle se l'enfonçait dans la chatte et qu'il était hors de question que je fasse de même avec son jouet a elle !
"N'importe quoi, y'a rien de sale, je vais le passer sous l'eau avant de toute façon et on le nettoiera aussi après ! C'est qu'un jouet et puis tu faisais pas toutes ces manières quand on a baisé dans le lit de mes parents le mois dernier !"
Thomas continua de me forcer la main en m'expliquant qu'on avait l'occasion d'essayer et de voir ce que ça me ferait, il alluma le sex-toy qui commença a vibrer et en regardant ce jouet en forme de pénis fuchsia vibrer, j'eue en effet envie de savoir ce que ça faisait.
Mon pervers de petit-copain enleva ma culotte et me fit me coucher sur le dos, les jambes bien écartées, il frotta la tête du jouet contre mon sexe, les vibrations étaient agréables et stimulaient bien mon clitoris, je mouillais sur le sex-toy de ma belle-mère !
Thomas commença alors à me lécher, à insérer ses doigts puis fit entrer le gode en moi, au début il me pénétra avec le sex-toy à l'arrêt, il faisait des vas et viens en moi, j'étais trempée et très excitée. Thomas me goda de longues minutes avant de me défoncer littéralement la chatte à la force de son avant-bras, si le jouet n'était pas aussi bon que sa queue en sensations, la vitesse de pénétration et la cadence des vas et viens qu'il pouvait imposer à ce pénis par la force de sa main était bien supérieur à celle de ses coups de reins ! Je serra les cuisses et voulu interrompre la folle cadence ne tenant plus devant tant d'intensité, il me retourna, suréleva mes fesses et reprit de plus belle bien agrippé a mon postérieur qu'il tenait coincée entre son torse et ses bras ! Il alluma le vibromasseur qui commença alors à vibrer et résonner en moi, mes parois étaient chatouillées mais c'est plutôt la pénétration effrénée que reprit vite Thomas qui me faisait péter un plomb, trop de plaisir se mêlaient en moi.
"Je croyais que t'en voulais pas ? Ecoute les bruits obscènes que fait ta chatte maintenant ! T'aimes te faire goder ma salope, regarde comment tu mouilles sur le sex-toy de ta belle-mère, tu vois que t'es qu'une pute !
- Oui, je suis qu'une pute qui aime s'en prendre plein la chatte !"
Je gémis comme une chienne en chaleur, plusieurs fois je tente de fuir l'intensité de ma jouissance mais mon masturbateur ne me laisse pas bouger, je ne peux qu'encaisser sa fougue tant que son poignet en a sous le coude !
Thomas cessera ce divin supplice après d'intenses minutes, relâchant mon cul et me laissant inerte avec le sex-toy éteint mais encore plantée dans la chatte c'est un ordre qui me fit revenir a moi.
"Allez maintenant, je veux que tu le suces bien fort et nettoie toute la mouille que t'as mis dessus"
Thomas retire le jouet de ma chatte dilatée, il l'approche de ma bouche et je l'avale, il le remue entre mes lèvres et me demande de bien le lécher, je m'exécute et goute à de la mouille tout sauf délicieuse, il sort alors sa queue et me dit de manger de la vraie bite.
Je me souviens que je l'ai sucé avec application, qu'à un moment j'ai repris le sex-toy de sa mère pour me goder moi-même pendant que je le suçais ... J'avais conscience d'être une dépravée mais j'ai eu du mal a regarder sa mère dans les yeux quelques temps après cet épisode.
La dernière anecdote qui sort du lot et mérite d'être racontée serait qu'on se racontait des histoires de culs fictives avec des potes à nous dedans pour nous exciter ... Thomas fantasmait sur un plan a trois avec deux filles, moi sur mon club libertin donc souvent nous aimions nous masturber en écoutant l'autre nous raconter des obscénités sur nous et quelqu'un qui nous excite mais cet aspect sera plus amplement évoquer dans un chapitre bonus.
Thomas était un pervers insatiable et moi j'étais devenue une salope dévergondée, nous nous comblions tellement !
Le seul point noir dans notre sexualité était le sexe anal, lui en raffolait et en regardait énormément en vidéos, moi pas plus que ça.
Il avait forcé de longues semaines pour que je le laisse me sodomiser, j'avais fini par accepter d'essayer !
De longs préliminaires, beaucoup de lubrifiant et une pénétration patiente et progressive n'avait pas réussit à me détendre suffisamment pour que j'y prenne du plaisir, la sodomie avait été douloureuse et déplaisante. Une seconde tentative avait eu lieu le mois suivant de mémoire et c'était encore moins bien passée, il m'avait enculée jusqu'à se finir alors que je n'en pouvais plus et j'avais pris sur moi pour le laisser finir en me cramponnant au matelas de longues minutes ...
Depuis ce jour, la sodomie avait été proscrite de nos ébats et si j'autorisais le doigt dans le cul, je lui refusais dorénavant l'accès à ce trou avec sa queue qui était synonyme pour moi de mauvais quart d'heure !
On ne pouvait pas dire que j'avais peur de la douleur ou que je ne laissais pas mon mec me violenter, les fessées franches en levrette, le tirage de cheveux pendant la pénétration, les claques pendant la pipe ou la baise, les étranglements et les jeux de salives étaient monnaies courantes après notre première année de couple mais l'anal restait a l'écart.
Alors que nous approchions de nos deux ans de relation, je commis une grave erreur, toujours folle amoureuse de mon copain et épanouie, je ressentais néanmoins qu'une routine s'installait entre nous et passant tout mon temps avec lui, je ne me sentais plus que comme la copine DE alors je me demandais si je plaisais encore aux autres hommes ...
Comme un besoin de séduire, de me rassurer ou de braver un interdit, j'alla flirter par messages avec un garçon qui prenait mon bus et que je trouvais pas mal, nous discutions de temps en temps et je le chauffait légèrement pour m'attirer ses compliments. Thomas le découvrit un jour en fouillant dans mon portable (chose qu'il ne faisait jamais mais il avait senti que quelque-chose se tramait) s'en suivit une dispute dévastatrice où je m'excusa à ses pieds et le supplia de ne pas me quitter, que je ne faisais que jouer pour me rassurer, que je ne l'aurais jamais trompé, il ne l'entendait pas ainsi et considérait que je l'avais trahi, il me quitta ...
Ce fut un week-end à pleurer, m'en vouloir et tenter de le reconquérir, il était blessé, trahi et vexé. Mes déclarations d'amour, mes excuses, mes promesses de me racheter ne changeaient rien et alors que je le pensais perdu a jamais, il me donna rendez-vous chez lui le week-end suivant en me disant de venir que si j'étais prête à tout pour le récupérer ...
Je rejoignis mon petit-copain blessé qui me faisait la gueule depuis plus d'une semaine, nous sauvâmes les apparences devant ses parents et montèrent vite à l'étage pour nous enfermer dans sa chambre et discuter. Thomas affichait toujours une mine grave, je le prit dans mes bras en m'excusant et lui rappelant que je l'aimais plus que tout, il me rassura en me disant que lui aussi et qu'il avait énormément de mal à vivre sans moi, que cette séparation le dévastait mais qu'il n'en était pas la cause, juste la victime suite a ma trahison, que si je voulais regagner sa confiance, je devrais lui prouver que je suis prête a tout pour lui et que je lui appartiens !
Je lui confirma être folle de lui et ne pas vouloir le perdre, que je saurais me racheter alors il me répondit d'un ton froid et autoritaire "on va voir ça, enlève ta culotte" ...
Je m'exécuta avec un peu d'appréhension mais en me disant qu'il voulait sûrement se réconcilier par le sexe.
"Voilà" dis-je les fesses à l'air devant lui, il me positionna a quatre pattes sur le matelas, baissa son jogging, cracha sur son sexe, sur mon anus et commença à y engouffrer un doigt, "Non pas ça ..." suppliais-je, notre dernière sodomie remontait a plus d'un an ...
"Ta gueule, t'as pas le choix ! T'as dit être prête à tout ! Vouloir prouver que tu m'aimes ! C'est une bien maigre punition vu que ce que t'as osée faire, salope !" sa voix était différente, agressive, en colère, pleine de rancune !
"Alors j'entends rien ? Tu veux te faire pardonner ?"
"Oui mais tu sais que je vais avoir mal, que j'aime pas ..." sa bite s'enfonce en moi, il me la mets sans prévenir et plus franchement que d'habitude, son gland entier entre d'un coup et il continue de la plonger dans mon anus sans aucune forme de retenue.
Je pousse un cri et tente de faire ressortir sa bite, il m'agrippe le cul et les bras avec fermeté !
"J'espère bien que tu vas avoir mal, tu crois pas que j'ai eu mal, moi, hein ?"
J'hurle de douleur, sa bite vient d'enflammer mon cul, d'habitude déjà, j'ai du mal a encaisser mais alors sans préliminaires ni lubrifiant, je dérouille ... Il me bouche la bouche, me dit de "fermer ma gueule", je me mets à pleurer ...
"C'est ça, chiale pour une bonne raison, c'est facile de pleurer quand on se fait chopper a draguer un autre mec, là au moins t'as une bonne raison de pleurer" me dit-il revanchard et culpabilisateur !
Sa bite va et viens dans mon cul sans pitié, il me baise par ce trou si difficile pour moi comme si c'était ma chatte, je suis en larmes et pleure bruyamment ...
"Allez mords donc dans l'oreiller, je veux pas t'entendre Charlotte, souffre en silence, a chaque fois que t'as mal, dis-toi que c'est rien comparé à ce que tu m'as fait et comment moi j'ai mal de découvrir que ma copine est une sale pute infidèle"
Je pleure dans l'oreiller, mords dans le tissu et étouffe mes cris pendant qu'il m'encule sans la moindre retenue, pitié ou tendresse !
Je comprends ce qu'il me dit, je ne nie pas l'avoir blessé et devoir faire amende honorable, s'il a choisit mon cul pour cela, alors soit ...
Je sens sa haine pour moi sur l'instant, que je n'ai surement que ce que je mérite, il me dit que ça lui fait du bien et qu'au moins après ça, il pourra sûrement me pardonner si je le laisse m'enculer à fond comme il en rêve depuis toujours, il ira mieux !
Il m'encule avec vigueur, se cramponne à mes hanches et mes fesses, me demande parfois d'écarter mes fesses, il filme la scène en commentant des obscénités très humiliantes du genre "Voilà ce qu'une chienne en chaleur mérite, ça t'apprendra à allez remuer du cul auprès d'un autre", "Sale pute t'as que ce tu mérites", "Dis moi merci de te punir et te pardonner, je devrais même pas t'enculer, tu mérites même plus d'avoir un gars comme moi" les minutes passent, la colère de Thomas redescends, je baigne dans mes larmes et ma salive avec le visage enfoui dans l'oreiller, je ne suis plus là depuis plusieurs minutes, mon cul me brule, il est en feu mais je ne sens même plus sa bite qui se déchaine. Il est désormais couché sur moi; il se termine avec des coups violents et profonds, je sens une éruption de lave coulée en moi, se mêler au brasier qu'est mon anus, Thomas se retire, prends en photo la destruction de mon fion et me laisse pleurer quelques minutes en me regardant. Je suis détruite psychologiquement comme physiquement, ma culpabilité me dévore et m'empêche de le détester pourtant je ressens bien de la haine et de la colère pour lui, mon anus me lance et son sperme qui en coule me fait me sentir encore plus souillée, je me sens sale, abusée, meurtrie. Je me tiens les fesses et pleure de nouveau à chaudes larmes maintenant que c'est enfin fini, je réalise a quel point cela a été éprouvant.
"Voilà ce que ça fait, la trahison, la souffrance, je pense qu'on est a peu près quittes" a-t-il osé me dire pour briser le silence.
"T'es qu'un connard" lui lançais-je haineuse a mon tour !
"Ouais c'est bien le minimum pour être avec une pute comme toi, maintenant soit on se pardonne, soit on va se faire foutre mais au moins, on est quittes"
Je quitte la chambre part prendre une douche, expulser son sperme qui coule de mon cul en feu, j'ai mal, je pleure encore une fois sous la douche partagée entre les remords de l'avoir autant blessé pour l'avoir rendu aussi méchant lui qui était un amour et la honte de ce qu'il vient de me faire subir ...
En sortant de la salle de bain, il me prends dans ses bras, m'embrasse et me demande si on est quittes, je lui dit qu'on l'est, il me réponds que dans ce cas, nous allons aller de l'avant.
Les semaines suivantes je retrouva mon Thomas, le petit ami doux et amusant, l'amant sauvage et super bon coup mais dans les mois qui suivirent plusieurs choses dans son comportement changèrent au lit ...
Adepte des jeux de soumissions et du sexe plutôt hard, Thomas était assez dominant et plutôt brutal au lit mais depuis cette "tromperie" je le trouvais plus dur dans sa manière d'être et plus tourné sur son plaisir dans les pratiques que nous faisions !
En bonne chienne docile que j'étais, j'obéissais et comblait toutes ses envies mais moi qui aimait particulièrement sucer je me retrouvais presque exclusivement à me faire baiser la bouche, la gorge profonde ou le baisage de gueule étaient quelque-chose que j'avais appris à maitriser et qui parfois me reposait (rien a faire, juste laisser monsieur aller et venir dans ma bouche) mais quand cela représente 90% de vos rapports buccaux ce n'est plus la même chose ...
Thomas m'insultait constamment au lit alors qu'autrefois c'était une manière de pimenter nos ébats qui se manifestait ponctuellement, il n'éjaculait plus que sur mon visage ou dans ma bouche, il marquait au Stabilo sur mon corps des injures ou "Propriété de Thomas", "Sac a foutre de Thomas", "Pute de Thomas", nos rapports contenaient maintenant toujours une part d'humiliation ou de violence qui autrefois étaient des événements irréguliers et donc appréciables, cela devenait malsain et dégradant ...
J'aimais toujours le sexe, j'aimais toujours qu'il me baise, j'aimais toujours le hard mais je n'aimais pas la façon qu'il avait de parler de moi au lit, l'image que je me renvoyais à moi-même dans le miroir, je perdais petit a petit confiance en moi et commençais a subir mon couple au point de ne plus me sentir à l'aise avec lui ...
Quand nous baisions, j'incarnais mon personnage et remplissais ma fonction avec brio mais quand nous étions le reste du temps simplement nous, un couple, Charlotte et Thomas, j'avais l'impression qu'il ne restait plus grand chose ...
N''étais-je pas devenue qu'une salope, une pute, une chienne, un sex-toy, un vide-couilles à ses yeux ?
Après presque 3 ans de relations, je décida de le quitter formulant mes envies de profiter un peu plus de ma jeunesse, la sensation d'avoir perdu nos sentiments l'un pour l'autre et de n'être plus que des partenaires attachés l'un a l'autre, il confirma moins m'aimer et n'avoir jamais vraiment réussit à pardonner mon faux-pas mais me témoigna son attachement et sa reconnaissance pour notre histoire.
Je quitta Thomas quelques semaines avant de partir étudiée dans une autre ville, je fis le choix d'un nouveau départ, je venais d'avoir 19 ans, j'allais avoir mon premier appartement, je devrais me trouver un petit job étudiant, prendre ma vie en main et c'est une Charlotte dépravée mais amochée par sa précédente histoire qui allait devoir se reconstruire seule afin de devenir celle qu'elle voulait être ...
A suivre ...
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture :wink:
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De 1996 à 2012
La jeune Charlotte grandit sans connaitre son père, élevée par une mère célibataire qui lui consacra tout son temps, elle ne manqua ni d'amour, ni de rien. Je pense pouvoir affirmer que j'ai eu une enfance heureuse, une éducation un peu stricte et où je sentais les espoirs de ma mère sur moi mais dans l'ensemble je fus choyé par mon entourage. Mon paternel a quitté ma mère et a disparu de nos vies sans jamais reprendre contact lorsque j'avais 5 ans, j'ai très peu de souvenirs de lui, je ne distingue même plus concrètement son apparence et ma mère ayant détruit toutes les photos qu'elle avait de lui, il est a mes yeux un parfait inconnu.
Enfant, j'étais une petite fille joviale, innocente, un peu casse-cou et je cultivais un caractère de princesse, on me disait souvent que j'étais très jolie et cela me faisait plaisir, je recherchais constamment de l'attention, que l'on discute avec moi, me complimente, me regarde ...
A l'école j'étais populaire, j'avais beaucoup de copines et les garçons étaient gentils avec moi, je sentais qu'ils ne me traitaient pas toujours comme les autres filles, je ressentais par contre une gêne a expliquer a mes camarades que je n'avais plus de Papa, un malaise a évoquer le fait qu'il m'ait abandonné, c'était une comme une blessure qui s'ouvrait quand je voyais les pères de mes camarades a la sortie de l'école, le pire étant la fête des pères où souvent la maitresse nous demandait de préparer un cadeau ...
Les années passèrent et mon besoin d'attention ne s'atténua pas, je cherchais même dorénavant de l'affection et je la transposa assez inconsciemment sur les garçons qui m'offrait en général l'intérêt dont j'avais besoin.
Je trainais donc plus en plus avec une bande de garçons dont deux qui étaient de supers copains, un après-midi durant la récréation, l'un d'eux me demanda si je pouvais lui montrer "ma nénette", je lui demanda ce que c'était et il m'expliqua que c'était ce que j'avais entre les jambes, que les filles et les garçons n'avait pas la même chose et qu'il voulait voir a quoi ça ressemblait.
Innocente comme je l'étais, je n'y voyais pas d'objection mais il avait en plus attisé ma curiosité, j'accepta en lui disant que c'était d'accord s'ils me montraient également tous les deux leur chose.
Mes deux compères acceptèrent et nous nous rendîmes dans les toilettes des garçons, l'un des garçons faisait le guet a l'entrée pour nous prévenir si quelqu'un arrivait, je souleva alors ma robe jusqu'à mon ventre et baissa ma culotte pour dévoiler mon sexe au curieux qui l'avait demandé, il sembla surpris par ce qu'il voyait et se baissa pour bien regarder avant de dire que ce n'était en effet pas pareil.
Je rappela a mon voyeur que c'était a son tour et il baissa alors comme promis ses vêtements pour me dévoiler son sexe. Je crois me souvenir avoir trouver cette petite trompe assez vilaine mais amusante, on s'est regardé quelques secondes pour bien mémoriser de quoi était fait l'autre puis il a remit son pantalon, est sorti et a informé notre copain que c'était son tour.
L'autre garçon en arrivant dans la cabine me trouva la culotte toujours baissée jusqu'aux chevilles, il se figea devant moi et rougit.
Je me souviens très bien que sa réaction me troubla, pourquoi lui réagissait ainsi et pas l'autre ?
Il me regarda un moment sans dire un mot puis me demanda s'il pouvait "la toucher", je commençais a être gênée par la situation en sentant qu'il se passait quelque-chose que je ne soupçonnais pas mais j'acquiesça, il appuya avec son index dessus quelques fois et m'informa qu'il trouvait que ce que j'avais entre les jambes était "plutôt mignon".
Ce fut son tour de me montrer "son zizi" en baissant lui aussi son pantalon, je ne sais pas si c'était parce-que je n'avais plus la surprise de la découverte mais je trouva la sienne plus jolie, il me demanda si notre copain avait montré "son champignon" ce a quoi je demanda ce que c'était et il se décalotta pour me présenter son gland et donc le fameux "champignon" qui m'intrigua fortement !
"Touche aussi si tu veux" m'encouragea t-il donc j'appuya alors a mon tour sur son champignon quelques fois.
On se rhabilla et dans les jours qui suivirent je repensa moultes fois a ce champignon si bien que je demanda a son porteur de le revoir, nous nous montrâmes nos sexe plusieurs fois dans l'année comme si dès que nous commencions a oublier a quoi ressemblait le sexe opposé, nous souhaitions revoir nos sexes ! Je nourrissais maintenant un intérêt pour le corps des garçons, cette différence entre nous ...
Mon anecdote suivante se déroule dans la même année ou l'année suivante avec le fils d'un couple d'amis de ma mère chez qui nous allions fréquemment diner ou l'inverse. Un soir alors que je suis dans la chambre du jeune homme pour jouer aux jeux-vidéos, il me demande si j'ai déjà vu la "zezette" d'un garçon, ce a quoi, je réponds oui. "Tu joues toi aussi au jeu du docteur me dit-il alors ?" ce a quoi je lui réponds que non, je ne connais pas et l'interroge sur ce jeu. Il m'explique alors y jouer avec sa cousine qui est dans nos âges et qu'il faut a tour de rôle jouer au docteur et au malade avant de me demander si je veux essayer ? J'accepte de jouer, il me dit alors que je vais commencer par être la patiente et lui le docteur, que je dois sortir de sa chambre, frapper pour y revenir et m'inventer un problème de santé.
Je frappe a la porte, j'entre, il me demande ce qu'il peut faire pour moi et semble avoir une attitude plus adulte, celle d'un vrai médecin assis sur sa chaise de bureau, il ne me regarde pas ...
"J'ai mal a la tête depuis 2 jours Monsieur"
-Très bien, déshabillez-vous, on va regarder-ça"
Il se lève et me fait signe d'aller sur le lit, j'enlève mon haut et mon pantalon, m'assoit en culotte sur son lit.
Il me dit de me coucher sur le ventre puis vient me masser les épaules et me caresser le dos, c'est agréable, je me laisse aller pendant qu'il prétexte chercher a localiser ce qui pourrait causer mon mal de tête. Sa main se perds dorénavant sur mes fesses qu'il tripote, alternant entre des caresses de la paume sur la peau de mes fesses et des moments où il empoigne plus franchement toute ma fesse.
Le docteur me dit après une ou deux minutes avoir localisé le problème et de me détendre, il sort de je ne sais où un spray de Ventoline, baisse ma culotte et tire un coup entre mes fesses ! Une vague de froid s'abat sur mon anus et me glace la raie, je sursaute en poussant un cri de surprise. Le garçon me dit de me tenir tranquille durant l'intervention, il pose une main rassurante sur ma hanche avant d'appliquer un second jet de spray au même endroit, c'est si froid. Le docteur est dorénavant en train de m'embrasser et de me lécher les fesses, il lèche la surface de mes fesses et dépose des baisers un peu partout sur mon cul pendant une bonne minute avant de me dire que le spray a fait apparaitre la zone du problème et qu'il faut dire au virus de partir ! J'ai a peine le temps d'interpréter ce qu'il dit, qu'il mords copieusement dans ma fesse droite ! Je pousse un cri de douleur, il s'arrête aussitôt et me prends dans ses bras en me disant que c'est terminé, que je n'aurais plus mal a la tête, je pleure de douleur mais je me sens étrangement bien dans ses bras, il est tendre et affectueux, je ne lui en veux pas.
Je me rhabille puis il me dit que nous pouvons maintenant inverser les rôles, il sort de la chambre, frappe et prétends avoir une énorme douleur au zizi en rentrant (comme par hasard-me dis-je) cela me va ! Je lui dis d'enlever son slip et commence moi-même a tenter de faire apparaitre son champignon, c'est concrètement la première fois que je manipule aussi franchement une bite. Je ne sais plus trop ce que j'ai fait, je crois l'avoir touché un peu partout, boules comprises et qu'avec le recul cela devait être très proche d'une branlette ... Je prétextais vérifier qu'elle n'était pas casser, je l'ai manipulé plusieurs minutes en long, large et travers puis je lui ai appliqué aussi un coup de Ventoline sur le gland en lui disant que le froid allait l'aider a se remettre.
Ce jeu du docteur m'amusa au final beaucoup et j'avais hâte de le revoir pour recommencer la prochaine fois, la manière dont il avait porter de l'intérêt a mes fesses plutôt que mon sexe m'intriguait, il n'y a par contre jamais eu de nouvelle fois ...
Le lendemain lors du bain, ma mère remarqua une trace sur ma fesse droite, elle me demanda de lui montrer et m'interrogea immédiatement sur l'identité de la personne qui m'avait fait ça, je lui dit au début que ce n'était rien, que j'étais tombée, elle s'énerva en me disant voir très clairement la trace des dents et de dénoncer immédiatement le coupable ! Je lui révéla alors ce jeu du docteur et après avoir pris une photo de ma fesse elle passa un coup de fil mouvementé a son couple d'amis pour dénoncer les agissements de leur fils. Une dispute éclata entre elle et son amie qui minimisa les évènements en disant que nous n'étions que des enfants mais qu'ils auraient une discussion avec leur fils, nous ne les avons jamais revus après ce jour ...
Le jour suivant ma mère me convoqua pour une leçon de morale sur l'intimité, les garçons et le fait de garder pour moi mon "jardin secret". Elle m'expliqua que plus tard, j'aurais de la poitrine et des poils, que mes fesses, ma minette et ma poitrine devront rester cachées, que c'est un cadeau que l'on fait a l'autre quand il est très important pour nous et qu'on l'aime. Je compris ce que je voulais de ce cours maladroit que tenta avec beaucoup de bonne volonté de me donner ma maman car en réfléchissant je m'imagina que ces 3 garçons qui m'ont montrés leurs intimités devaient alors m'aimer et que j'étais surement du coup importante pour eux, que si les garçons voulaient a ce point cela des filles, c'était sûrement la meilleure manière de leur plaire !
Me voici dorénavant au collège, ma poitrine s'est développée assez rapidement et fortement, j'avais mes poils pubiens et j'étais réglée a mes 12 ans. Le regard des garçons sur moi est différent, déjà devenu plus vicieux, il me dérange plus qu'avant et ma poitrine précoce faisait aussi bien parler les filles que les garçons. Les garçons parlent beaucoup de sexe et ne semblent pas gênés de le faire devant les filles, les blagues de cul sont monnaies courantes et j'en suis souvent la cible. Un jeu est très répandu, il consiste a faire un classement du sexe opposé par classes ou générations, je suis très flattée d'être dans le top 3 de tous les garçons mais quand j'apprends que c'est ma poitrine et les pensées salaces qui vont avec qui me valent leurs faveurs, je suis moins honorée ...
Mon classement des garçons que je trouve les plus beaux fait beaucoup de bruit, la plupart des gars s'y intéressent et là encore, je ne fais pas l'objet du même intérêt que les autres filles ...
C'est comme ça qu''un certain Pierre découvrit mon intérêt pour lui, il jouait tout le temps au foot et ne s'intéressait pas aux filles mais après avoir su qu'il était premier de mon classement, il me demanda si je voulais sortir avec lui.
Pierre fut mon premier petit-ami et nous nous embrassions tout le temps, je tomba amoureuse de lui rapidement et il m'apporta une sensation de protection dans l'enceinte du collège qui me rassurai vis a vis des autres garçons. Mon premier petit-copain avait les mains baladeuses, il me mettait souvent une main au cul même devant les autres et ma poitrine finissait régulièrement entre ses mains ou ses lèvres dès que nous étions seuls.
Un après-midi alors que nous étions dans sa chambre, il me masturba même si je devrais plutôt dire qu'il me doigta uniquement n'ayant ni lui, ni moi, aucune connaissance du clitoris ... C'était la première fois qu'un garçon jouait avec ma chatte même moi, je ne le faisais pas encore en solitaire ... Je n'aimais pas spécialement me faire doigter trouvant cela plutôt brutal et peu plaisant mais j'appréciais de le sentir remuer son doigt en moi et aller et venir.
Lorsqu'il me le proposa, je déboutonna son pantalon pour lui rendre la pareille, ce fut la première bite en érection que je vit, dans mes souvenirs cela ne ressemblait pas a ça, comment leurs petites trompes molles avaient-t-elles pu se transformer en de raides et imposantes barres de chairs ? J'étais émerveillée par la chose, prendre l'engin de Pierre entre mes mains n'avait plus rien en commun avec ce que je touchais autrefois, la sienne était si grosse et si dure, cela devrait aller en moi un jour ?
Je branla avec envie et émerveillement la queue gonflée de plaisir de mon petit-copain, admirant son appareil génital dans son ensemble, les poils de son pubis, les poils sur ses couilles, c'était tellement plus obscène qu'autrefois ...
La branlette brouillonne mais motivée que j'offris déboucha sur la première éjaculation dont je fut témoin, il explosa dans ma main en me remerciant, j'adora ça ... J'aimais le toucher, j'aimais voir son sexe, son intimité, être la seule a voir cette partie de son corps, j'aimais l'entendre prendre du plaisir, le voir jaillir et se matérialiser sous mes yeux, sur mon corps, toutes les semaines, je le branlais.
Un jour, il me demanda de le sucer, je lui expliqua que je ne savais pas comment m'y prendre et il me dit de ne pas m'en faire et juste d'essayer ! Ma première pipe était approximative, mauvaise et très bâclée, croiser son regard pendant que j'avais son chibre en bouche me gênait, je ne savais pas trop quoi en faire d'ailleurs de cette queue mais je tentais juste de la savourer, de la gouter, de la cajoler. Pierre me complimentait, me conseillait, me guidait, ma pipe fit le job car il éjacula dans ma bouche, je recracha son sperme et lui demanda comment c'était, il me confirma que c'était incroyable, j'en éprouva de la fierté.
Durant plusieurs semaines je m'exerça a sucer Pierre, a le branler du mieux que je pouvais et a essayer des techniques différentes, j'avais 12 ans et j'affirme que j'aimais déjà sacrément la queue !
Les mois passèrent et Pierre me quitta pour une autre fille de sa commune, il prétexta être tombé amoureux d'elle, cela me dévasta et laissa un grand vide dans mon quotidien, je n'avais plus ce garçon a qui parler tout le temps et encore moins cette bite a sucer/branler, imaginer Pierre et sa nouvelle copine faire des choses ensemble m'anéantissais ! J'expérimenta la déception amoureuse et l'abandon qui me retournèrent plus que je n'étais prête. Je tomba dans une sorte de dépression, le premier chagrin d'amour est violent et pour quelqu'un qui a été abandonnée par son paternel voir un garçon qu'elle aimait l'abandonner a son tour lui fit penser que c'était peut-être elle le problème ...
Je surmonta ma peine grâce a mes deux meilleurs amis, Clara et Kévin, mon meilleur ami m'apportait beaucoup, nous étions très complices, nous rigolions tout le temps et il était assez tactile donc me donnait souvent de l'affection en me prenant dans ses bras, il était une épaule sur laquelle pleurer, un confident a qui tout raconter et un coach de vie pour ne jamais me laisser aller !
Lorsque nous avions 14 ans, Kévin expérimenta a son tour le chagrin d'amour a la suite d'un râteau, il était inconsolable et rien de ce que je ne pouvais lui dire ne semblait pouvoir lui remonter le moral, c'est alors que je lui proposa de le sucer ...
" Qu'est-ce que tu viens de dire ?
- Tu veux que je te suce ? Est-ce que ça t'aiderait a te sentir mieux ?
- C'est pas le moment de plaisanter avec ça ...
- T'as été là pour moi quand ça allait pas alors laisse-moi te rendre la pareille, je sais pas quoi faire d'autre pour te remonter le moral
- T'es vraiment sérieuse ? Je sais que toi tu le faisais avec Pierre mais moi j'ai jamais fait ça
- Enlève ton pantalon et laisse-moi faire"
Il se leva gêné et retira son jean, je l'installa sur son lit, baissa son caleçon et commença a le branler a genoux face a sa queue, il ne disait plus rien et me regardait faire. Je trouvais sa bite douce entre mes doigts, cela me faisait plaisir d'en revoir une depuis celle de Pierre, il avait une belle queue, moins épaisse mais plus longue que celle de Pierre, ses couilles étaient beaucoup plus poilues, je les caressais, c'était une nouvelle sensation pour moi. Mon meilleur ami était maintenant bien dur, je lui demanda s'il était prêt, il acquiesça de la tête, je débuta alors ma fellation ! Je m'appliqua a lui donner de la tendresse, a prendre soin de sa queue, a le sucer comme un roi. Au début je faisais ça pour lui, pour l'aider a se sentir mieux, c'était mon meilleur ami, celui avec qui je partageais tout alors je ne voyais pas de raison pour ne pas lui faire ce cadeau mais au fil des minutes, je renouais avec la satisfaction que j'éprouvais a sucer, a donner du plaisir, a avoir une queue en bouche, je le suçais sur la fin pour moi.
Je le termina en le branlant activement dans ma bouche, je laissa dégouliner son sperme de ma bouche sur sa queue et on rigola un moment de ce qu'on venait de faire, il me remercia en me disant qu'en effet après ça, tout allait mieux, je lui fit promettre de ne jamais raconter ça à Clara et de ne pas s'attendre à ce qu'on le refasse, que c'était a titre exceptionnel !
La deuxième bite que je suça était celle de mon meilleur ami et elle réveilla en moi de bas instincts ...
Je suça ma 3ème bite peu de temps après à une soirée complètement bourrée, j'avais de plus en plus envie de sexe, de voir des bites, de les gouter, des les comparer et un copain d'un copain m'ayant porté de l'intérêt ce soir-là avait suffit a me laisser aller a lui faire une gâterie au fond du jardin. Je commença a me documenter sur les rapports sexuels, ce qu'aimait les garçons, ce qui faisait jouir les filles, comment se masturber, a regarder du porno et surtout regarder des bites, beaucoup d'hommes nus ...
Je me caressais dorénavant de temps en temps, me remuant la plupart du temps contre un traversin que je bloquais entre mes cuisses pour y frotter mon entre-jambe, je repensais souvent a la queue de Pierre, celle de Kévin et celle du gars a la soirée, elles étaient si différentes ... Il arrivait que je me touche devant des queues sur le net, sur des pornos dont je commençais a avoir des acteurs favoris et parfois juste je pensais a des gars du collège. Je bouillonnais d'envies et réfléchissait de plus en plus a réaliser ma première fois, je me sentais prête.
C'est durant l'été où j'allais faire mon entrée au lycée que je coucha pour la première fois, nous faisions du Camping en Corse avec ma mère et je sympathisa avec d'autres ados a la piscine, mon maillot de bain semblait mettre mes atouts en valeur et beaucoup plaire aux garçons, un jeu de séduction s'installa vite avec deux d'entre eux mais un seul me plaisait réellement. La veille de mon départ j'embrassa mon Crush estival sur la plage, il avait deux ans de plus que moi et embrassait bien mieux que Pierre, un courant électrique parcouru mon corps lors de notre premier baiser. Il me reproche de ne l'embrasser que maintenant alors que nous n'avons plus qu'une journée a passer ensemble en plaisantant, je prends sa main pour la poser sur mon sein qu'il palpe instantanément a travers mon maillot en lui disant qu'on a aussi une dernière soirée ensemble et qu'il ne tient qu'a nous de la rendre mémorable !
Il m'embrasse de nouveau en me demandant s'il a bien compris ce que j'avance, je lui confirme vouloir faire ma première fois avec lui, ce soir ! Je rentre m'épiler ayant a cet âge mes poils en horreur et tenant a avoir une chatte totalement imberbe ayant lu que c'était ce que préféraient les garçons, je me maquille et enfile ma plus belle robe pour lui. Ma mère grille a mon look du soir que j'ai un rencard et s'en amuse me souhaitant une belle soirée tout en me donnant la permission de minuit. Je pense qu'elle ne se doutait pas un instant de ce que sa fille avait prévue ce soir-là m'imaginant surement trop jeune pour ça ...
Mon prince charmant m'attends a l'entrée du camping comme convenu, il a avec lui un sac a dos et c'est aussi fait beau pour l'occasion. Il m'emmène faire une promenade dans le bois près du Camping et après une romantique escapade main dans la main, il me demande si je suis toujours partante pour perdre ma virginité avec lui, j'acquiesce. Il sort alors un drap de son sac a dos et nous arrange un petit coin hors du sentier, nous nous embrassons de longues minutes couchés l'un sur l'autre jusqu'à ce qu'il sorte l'un de mes seins de ma robe et me dévore la poitrine.
Sa main droite s'engouffre ensuite dans mon entrejambe, il glisse sa main dans ma culotte et me caresse le clito, c'était la première fois qu'un garçon me masturbait réellement cela n'avait rien a voir avec les doigts que me mettait Pierre ! Je mouille et gémis déjà sous ses caresses tout en me délectant du traitement que sa bouche afflige a mes mamelons qu'ils ne lâchent pas !
Il descends alors entre mes cuisses et contemple mon intimité en retirant ma culotte, je suis gênée de le voir me regarder a cet endroit mais il plonge un doigt en moi, intimidée par le fait qu'il voit tout de moi aussi crûment et a la fois très excitée par le déroulé des évènements, je retiens difficilement mes gémissements. Mon corps est bouillant, j'ai chaud, j'ai déjà trop envie de lui. Ce fougueux partenaire plonge alors entre mes cuisses pour me lécher la chatte, une grande première pour moi qui avait sucer 3 bites auparavant mais n'avait jamais reçu ce traitement ! Il s'appliqua a me faire du bien et embrasa le bas de mon ventre, c'était divin, comment une langue pouvait être aussi bonne ? Titille-moi le clito, lape mes lèvres ou rentre-la dans mon trou, je prends mon pied !
Après m'avoir bien dévoré le sexe et rendu folle, il propose a la chienne en chaleur que je suis actuellement de lui rendre la pareille en se couchant sur le dos. J'ai l'impression d'avoir la chatte gonflée, pleine de désirs, je passe ma main sur mon entrejambe et constate comme je mouille, sa salive et ma cyprine ont trempées aussi bien mon sexe que le menton de mon partenaire, je l'embrasse et goute pour la première au goût que j'ai.
Je retire ma robe pour être totalement nue devant lui et le débarrasse de son bermuda avant de lui dévorer la queue, j'e suis en chaleur comme jamais je ne l'ai été et j'ai envie de cette bite plus qu'aucune autre avant, elle est si bonne, ses marques de bronzage lui confèrent un petit plus qui la rends encore plus excitante, il m'a fait du bien et m'a copieusement mangé le sexe, a moi de faire aussi bien ! "Putain mais t'es pas vierge pour sucer aussi bien, c'est pas possible" m'a-t-il dit, cela m'excita davantage et je m'en amusa alors qu'il semblait ne plus pouvoir tenir très longtemps.
Il me demande une dernière fois si je suis prête a passer aux choses sérieuses, je sors sa queue de ma bouche en lui demandant si je n'en ai pas l'air ? Monsieur me bascule sur le coté, m'embrasse en touchant mes seins, se redresse, prends une capote dans son sac, l'enfile et se prépare a me pénétrer. Je prends conscience de l'instant, je suis nue couchée sur un drap dans un bois avec un garçon que je connais seulement depuis une semaine, sa queue se frotte a l'entrée de mon vagin, j'avais imaginée cet instant tellement de fois au cours des derniers mois mais aucun de mes scénarios n'était a la hauteur de ce moment, tout est parfait, cela m'excite, il m'excite, il est si beau, si doux, si bon.
Sa queue entre doucement en moi et me déchire de l'intérieur, je me cramponne a ses épaules alors qu'il me dit que ça va aller, je l'encourage a continuer et ne pas tenir compte de ma douleur, il l'enfonce alors plus profondément et plus vite, les vas et viens commencent et la sensation d'être perforée s'atténue petit a petit.. Je le sens aller et venir en moi, c'est incroyable, je sens son sexe en moi, cela n'a rien a voir avec les moments où j'aime sentir un doigt qui me fouille, c'est tellement plus large, plus brutal, son pieu me perfore et me lime, toutes les parois de mon vagin sont sollicités, il est en moi, nous ne faisions plus qu'un. La douleur s'éclipse au fur et a mesure que je me concentre sur sa queue plus que mon trou, mon partenaire devient alors de moins en moins doux et commence a taper en moi sans retenue, ses râles de plaisir et ses commentaires m'excitent, alors c'est ça, se faire baiser ? J'en veux plus, je l'invite a me prendre comme il en a envie, je prends appuie sur mes coudes et me redresse pour admirer mon Apollon se démener dans ma chatte. Voir de mes yeux un bout de sa queue qui entre et sort de ma chatte me rends folle, j'ai envie de me toucher, de toucher sa bite alors ne sachant pas quoi faire de mes mains, je retiens mes seins qui volent de haut en bas et me font mal, je tire sur mes tétons, que suis-je en train de devenir ? Mon doux prince charmant ressemble dorénavant a ses acteurs porno que je regarde, il me baise a une cadence infernale, ma chatte est en miettes et ne me semble plus capable de ressentir de la douleur tant il me l'a dilatée. "Fais-moi tout ce qui te plaira, je suis a toi" a peine ai-je finit de prononcer ses mots qu'il me retourne sauvagement, me cambre et me reprends aussitôt en levrette ! Je suis le visage contre le sol, la pénétration est plus franche et profonde, la douleur reprends alors, ça fait mal, il tape trop loin en moi, j'en ai le souffle coupé ! Chaque coups de reins écrase ma joue contre le sol, je ne sais plus quoi faire, je serre fort le drap sur lequel nous sommes et lui demande de ralentir, il s'exécute ... Il se cramponne tantôt a mes hanches, tantôt a mes fesses en complimentant un coup ma chatte qui est bonne, un coup mon cul qui est beau et lâche par moment quelques obscénités du genre "t'aimes ça te faire baiser", "elle te fait du bien ma queue", " je suis en train de mouler ta chatte a la forme de ma queue" et ces mots pimentent terriblement les choses pour moi qui commence a apprécier d'être ainsi le cul en l'air a me faire défoncer !
C'est lorsque je recommençais a jouir que mon partenaire s'effondra sur mon dos dans un râle de plaisir avant de se retirer.
Il enleva le préservatif maintenant rempli de sa semence et repris son souffle en sueur a mes cotés, le rapport terminé, je me sentais un peu sale, j'avais mal dans mon ventre et l'intérieur du vagin qui brûle mais j'étais contente de l'avoir fait, on s'embrassa un moment avant de se rhabiller et de rentrer.
Je fis ma rentrée au lycée en ayant perdue ma virginité, un nouvel établissement s'ouvrait a moi et donc de nouvelles rencontres, de nouveaux garçons, de nouvelles bites potentielles et un éventuel nouveau petit-ami. Mon envie de plaire, de séduire et de profiter de ma jeunesse était plus forte que jamais, je m'habillais de manière plus sexy, me sentant plus féminine, j'étais maintenant fière de ma poitrine qui plaisait tant aux mecs et je n'arborais plus que des décolletés plongeants, j'attirais le regard des garçons et j'aimais de nouveau cela. Je demanda a ma mère de m'acheter quelques strings, certaines filles en portaient au bahut et voir le début de ce sous-vêtement dépasser excitait pas mal les mecs ! Ma mère refusa, je lui expliqua longuement que plusieurs copines en avaient et que je paraitrais moins cool si je n'en avais pas mais elle ne voulu rien entendre.
Je passa mon année de seconde a flirter avec des garçons, a m'attirer leurs faveurs, jouer de mes charmes et de leurs désirs, de ma féminité mais avant tout je cherchais a découvrir le pouvoir que l'on pouvait avoir sur eux bien qu'au fond c'était moi qui ne pouvait me passer de leur intérêt. Ce besoin que je ressentais depuis toujours d'avoir de l'attention et que j'avais au fil du temps transposer sur les garçons avait gagné en intensité depuis que j'avais découvert le sexe, le fait de donner du plaisir a l'autre, d'en recevoir, de s'offrir a quelqu'un, découvrir son intimité, partager avec l'autre plus qu'avec la plupart des gens, je me nourrissais beaucoup de cela et fantasmais de nouvelles rencontres, nouvelles histoires, nouveaux rapports.
Beaucoup de garçons me tournaient autour au lycée même des plus âgés mais aucun ne me plaisait plus que ça, leur intérêt, leur sollicitude c'était comme si ça leur faisait perdre de l'intérêt a mes yeux, comme une proie piégée a l'avance qui n'a plus rien d'excitante, mon envie de refaire du sexe était là mais je ne trouvais pas le garçon qui en vaille la peine.
Je revivais régulièrement le souvenir de ma première fois avec ce garçon dans les bois en transformant le manche de ma brosse a cheveux en sextoy d'infortune, me fourrer la chatte a quatre pattes en repensant aux trucs cochons qu'il m'avait dit durant la levrette m'assurait de jouir à tous les coups ...
Un ami a moi me déclara sa flamme en fin d'année de seconde, il était objectivement plutôt moche, bien trop maigre et sans aucun charme mais je ne voulais pas lui faire de mal. Il semblait vraiment m'aimer et vouloir prendre soin de moi, ce garçon avait de l'amour a revendre et j'estimais en avoir besoin bien que je n'ai jamais imaginé autre chose que de l'amitié avec lui ... J'accepta de sortir avec lui, voulant lui laisser sa chance et ne pas le perdre en tant que pote. Notre couple fit beaucoup de bruit, mes copines ne comprenaient pas que je sorte avec un gars aussi banal, les garçons disaient qu'il avait commis "un braquage" et qu'un "3/4 sur 10 se tapait une 8/9 sur 10", les mauvaises langues disaient que je faisais de la charité, d'autres que je ne méritais finalement pas d'être aussi populaire pour m'abaisser a sortir avec un gars pareil, ... C'était assez dur pour nous mais dans le fond surtout pour moi car de son coté la plupart de ses potes le félicitait pour sa prise là où moi, on me critiquait pour la mienne ... Ce garçon s'appelait Clément et il embrassait très bien, c'était un bon petit-ami, il veillait tout le temps à ce que je me sente bien, avec lui tout était fluide, instinctif et sympa donc cela fonctionnait bien. Le sexe était par contre plutôt décevant, Clément était précoce et ayant peu d'expérience, je ne m'en offusquais pas mais je ne montais jamais aux rideaux, mon manche de brosse a cheveux était plus efficace que mon copain ...
Le sexe qui m'attirait tant perdait en saveurs maintenant que je le pratiquais, je me disais que finalement ce n'était peut-être pas aussi bien que ça, j'étais très attachée a Clément et bien que je ne le désirais pas ardemment physiquement, j'étais finalement tombée sous son charme. Je l'avais dépucelé en le guidant lors de notre première fois, il adorait mes seins et me les touchaient énormément mais ils étaient ma plus grande malédiction car toutes les positions où ils les voyaient réduisaient encore davantage son temps déjà court ...
Clément me faisait l'amour avec tendresse et passion mais ne tenait pas la cadence sur une période décente pour me faire assez de bien, je confesse que je me masturbais souvent a cette époque devant du porno plutôt hard pour contrebalancer ce que j'avais dans mon lit ... Je me sépara de Clément après une année de relation suite a une crise de jalousie de sa part sans fondements pendant les vacances d'été. La rupture lui fit plus de mal que moi, j'embrassa quelques gars en soirée mais n'alla pas plus loin de tout l'été et c'est lors de ma rentrée de Terminale que je rencontra le garçon qui allait changer ma vie, du moins sexuellement ...
A suivre ...
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