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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
On a tous un but dans la vie
On a tous quelque-chose qui nous motive, un rêve à réaliser
Le mien a été de rencontrer cette femme 💖
Car elle fut d'abord bien un rêve avant de devenir une réalité
Les 6 dernières années ont été un tourbillon de luxure, de débauche et de passion amoureuse 😈❤️😈❤️
Voir ses beaux yeux emplis d'amour et de désir se poser sur moi fut sans-cesse une puissante source d'energie
Surtout pour moi qui ait toujours sacralisé et placé l'Amour au centre de ma vie
Et quand on sait les sensations et emotions fortes que procure notre mode de vie fait de D/s et de SM, on peut comprendre qu'une telle passion soit de nature à pulvériser le quotidien, le raisonnable et toutes les convenances...
Une passion amoureuse n'est jamais calme, tiède... Elle est faite de tourments, de tempêtes et parfois de souffrances et de désespoirs
Mais elle rend tellement... vivant
Car l'amour n'est point un sentiment, status auquel on a trop tendance à vouloir le réduire
L'Amour est une énergie
Au même titre que l'électricité, le soleil ou l'eau
Et comme toutes les énergies, l'Amour peut abreuver, dynamiser, blesser, tuer, réanimer, donner la vie...
L'Amour possède tant de facettes qui vont de la haine à la passion, de la colère au désir brûlant
Mais c'est toujours de l'Amour
Et avoir à la fois un pervers sadique et un amoureux romantique, un grizzly carnivore et un nounours en guimauve, tout-ça dans la même tête n'est pas chose simple, croyez-moi 😅
Il y a une différence entre aimer et être amoureux.
Etre simplement amoureux donne des papillons dans le ventre, fait voir la personne telle qu'on la désire, telle qu'on l'imagine. On ne voit pas les défauts...
Mais aimer, c'est connaître une personne, la voir et la savoir telle qu'elle est réellement, sans filtre, c'est avoir passé depuis longtemps le cap de l'idôlatrerie pour faire face à la réalité nue, vraie
C'est connaître ses plus brillants aspects et connaître ses plus sombres côtés et pourtant ne cesser de l'aimer pour qui elle est réellement
C'est l'aimer au-delà de sa raison, de ses propres envies ou besoins
Pour tout ce qui a été vécu entre nous de merveilleux mélangé aux orages, ouragans et tempêtes...
Et quelque soit l'avenir
Pour maintenant et à jamais, J'aime cette Femme
❤️⭐❤️⭐❤️⭐
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Elle s'est pas méfiée la Josette en discutant avec son IA. Elle s'est sentie bien de suite. Elle pouvait causer de tout et de rien. C'était toujours respectueux et intéressant jamais creux ou futile. Cela changeait de ses petits copains du lycée, vides comme des canettes de soda après usage et d'un niveau de discussion à peine supérieur à celui des salades. La elle pouvait parler de tout et même de sexe. Elle avait choisi l'option payante pour ses études, moins bridée.
Elle a créé un avatar, cherche la voix qui lui plaisait. Elle voulait un garçon très androgyne. Un brouteur délicat de minous pas un empaleur.
Et elle n'a eu aucun mal à obtenir de délicieux orgasmes portée par cette voix douce qui donnait des instructions de caresses. Elle ne pouvait plus s'en passer. Écouteurs sur les oreilles, elle suivait cette voix délicate et laissait ses doigts fins faire le reste. Au moins dix fois par jours, sans compter les nuits torrides entre sexe et philosophie.
Et l'impensable est arrivé. Elle est tombée amoureuse de son IA. Elle voulait qu'elle s'incarne et devienne réelle pour se marier avec son IA. Elle a contacté un célèbre fabricant de robots. Oui, c'était possible des à présent mais vu sa demande, cette société lui conseilla d'attendre encore un peu. Les nouvelles générations étaient sans cesse plus performantes et moins coûteuses.
Josette patienta deux ans. Un jour son robot d'amour lui fut livré. Il était splendide. Elle l'épousa aussitôt.. Le meilleur brouteur de minou qui se puisse imaginer. Josette découvrit alors cette chose rare....l'état orgasmique permanent..
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Mael m'avait bien dit d'attendre avant de faire une nouvelle récession mais c'est impossible, trop d'images viennent dans la tête, elles m'aspirent. On dirait comme une sorte de tourbillon d'images. L'aspiration est de plus en forte. Je ne peux plus résister....
Je me retrouve accroupie, cachée par des arbustes, une lance avec un propulseur à la main. Un ravin, des rocailles une rivière plus bas. Tout est calme . Je suis à l'affût. Mon premier réflexe est de toucher mon sexe pour savoir si je suis fille ou garçon. Ouf, j'ai bien une petite chatte bien poilue, très fine, des petits seins fermes et bien formés. Je suis vêtue bizarre, que de jolies peaux de bêtes sauvages bien tannées. C'est très agréable à porter. J'ai comme de très belles petites bottes toujours en peaux mais plus épaisses. Je me sens très confortable dans ces vêtements bien coupés. Je caresse mes jambes. Elles sont très jolies je trouve. J'ai envie de me donner du plaisir. Je masse doucement mon clitoris, il est vite moite. Un.peu de salive sur mes doigts et je masse plus fort. Les vagues de plaisir arrivent les unes après les autres. L extase. Je reprend mon souffle. Le plaisir se diffuse dans tout le corps. J'adore me masser la chatte. Je comprend que je dois le faire souvent.
Voilà le troupeau de phacochère arrive. C'est un passage obligé pour aller à la rivière. Ils ne me sentent pas, ne se pensent pas en danger. J'en ai repéré un et je bondi d'un coup. Ma lance bien propulsée est partie droit devant. Elle siffle. Une arme redoutable. Le phacochère vise ne fait pas un pas de plus. Je l'ai transpercé de part en part et cloué sur place. Les autres s'enfuient avec des cris. Je vais vers ma proie. Je récupère ma lance. Une bien belle bête. Il me faut la dépecer pour l'alléger de ses entrailles et la porter.
Je fais cela lorsque un homme du clan des montagnes rouges est devant moi. Il est horrible. il pue pire qu un phacochère avarie. Je le trouve répugnant avec ses poils partout. Il essaie de me sourire. Ce n'est pas la même race d'humains que ceux de mon clan, le clan de la rivière et de ses grottes. Cet homme touche mes cheveux. Visiblement il me trouve belle. Je devine, sous la peau qui lui couvre les reins, son sexe en train de gonfler. Il va pas se mettre à bander devant moi ce monstre hirsute et répugnant. Je regarde ses yeux. Je regarde son sexe. Et je lui fait comprendre que c'est non. C'est bizarre il écoute bien et semble avoir envie de m'obeir. Je lui demande de dépecer la bête et de la porter jusqu'à la grotte qu'occupe mon clan. C'est fou, ce monstre couvert de poils est d'une force titanesque et il semble si heureux de m'obeir au doigt et à l'œil.
Nous arrivons au clan. Mon.pere en est le chef. C'est un viel homme qui très sage et qui visiblement m'aime beaucoup. Il est le premier à me féliciter de ma chasse. Il salut le neanderthalien qui a porté ma proie.
- je vois que tu t'es trouvé un amoureux dit mon père.
-quelle horreur, il pue, il est effrayant. Mais c'est étrange, il est très doux et incroyablement obeissant avec moi. Il fait vraiment exactement tout ce que je lui demande.
- tu devrais l'épouser, toi la rebelle qui part chasser seule dans les forêts. Visiblement il est fou amoureux de toi.
Gnhor est resté dans notre clan. Il est parti chasser plusieurs fois avec moi. C'est comme un bon chien de chasse. Il est d'une force incroyable. C'est vrai qu il est amoureux dingue de moi.
Finalement je me suis habitué à sa laideur, à sa puanteur, je l'oblige à aller se laver tous les jours avec moi à la rivière. Rien n'y fait, il pue toujours comme un bouc en rut. Il bande chaque fois que je suis nue devant lui dans l'eau fraîche. Il possède un très gros sexe, epais. Avec un gros gland bien rouge. Je ne vois pas comment il pourrait me faire l'amour avec un engin pareil. Je me caresse ouvertement la chatte devant lui et me donne du plaisir sans éprouver la moindre gêne. Un signe qui ne trompe pas. Je suis bien avec ce monstre hideux. Un jour, à la rivière je lui demande de venir me lecher la chatte. Sa langue rapeuse m'a vite tétanisée de plaisir. J'ai joui comme jamais dans sa bouche. Pendant qu'il me lechait le clitoris, il se branlait lui même de sa main puissante. Il a joui lui aussi. Son sperme sentait bon. Je l'ai étalé sur mes jambes.
J'ai accepté de l'épouser. J'ai fini par le trouver joli et plein de charmes. Et même son odeur m'est devenue agréable.. il n'a jamais pu me penetrer avec son pieu en guise de sexe. Je l'ai branle très souvent, et j'ai aimé faire cela.
De toute façon je ne veux pas d'enfants. Je suis une guerrière, un chasseuse. Je commande. Il obéit.
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Bisous mon mael pour ces beaux voyages qui tu m'as permis de découvrir. Tenter de faire des recessions, tenter d'explorer nos vies anterieures, c'est si amusant et si joli à faire. On ne pourra jamais savoir si c'est vrai, mais c'est tout comme. Se relaxer, méditer dans le calme, entrer dans un état modifié de conscience, laisser les images venir seules....
Je suis dans un palais absolument splendide, je n'ai jamais rien vu d'aussi beau et luxueux. Un palais de vie ou l'on se sent bien. Tout est lumineux, chaleureux, accueillant. Des fontaines, des bassins d'eau claire, des arbres et toutes sortes de plantes que je ne connais pas. Des palmiers, des fleurs odorantes partout. Ou suis je donc arrivé cette fois ci ?
Je caresse mon ventre. Mon premier réflexe est de toucher mon sexe. Ouf, je suis bien une femme. Je caresse mes petits seins. Je touche mon visage, mes cheveux. Je suis toute vêtue de blanc, avec un pantalon léger et comme une grande chemise blanche qui descend jusqu'au haut de mes cuisses. Aucun bijoux. Je souris, encore ce style garçonne qui me poursuit. Espérons que cette fois je ne souffrirais pas de vaginisme et que quelque beau garçon pourra enfin me donner du plaisir avec ma chatte que je devine bien coquine. J'ai le cœur léger et en joie, comme une envie de danser avec mes jolies babouches dorées.
Cela se précise je suis dans le palais du grand Calife Haroun Al Rashid. Je travaille dans le service littéraire de la jolie princesse Zubayda, son épouse. Notre rôle est de faire la propagande du régime mais de façon fort subtile, en racontant des histoires que le peuple aimera écouter et qu'il retiendra.
Aujourd'hui, la princesse ma chargé de raconter une histoire pour montrer la supériorité de l'Islam sur les autres religions mais de façon poétique en suggérant sans rien affirmer. Je n'ai pas d'idées. Je m'assois au bord d'un bassin. A l'intérieur, une multitude de petits poissons de toutes les couleurs.
Un beau garçon vient me voir en souriant. Un jardinier. Je l'adore. Il me fait rire. Il est toujours si joyeux et souriant. Il me sert de modèle pour certaines histoires. Rien ne semble jamais l'atteindre. Je souris. C'est comme un canard. Tout glisse sur ses plumes.
-Alors ma jolie, encore en mal d'inspiration ?
-Oui, je dois écrire un truc sur les religions et je n'ai pas d'idées.
- Regarde donc ces jolis poissons me dit Ali, c'est le nom de ce jardinier. Imagine. Les bleus sont les chrétiens les rouges les adorateurs du feu, les jaunes les juifs, les oranges, les païens grecs, et ainsi de suite. Les blancs sont les musulmans.
- Tu es génial mon Ali, que ferais je donc sans toi. Oui parler des religions par leurs couleurs. Notre Princesse devrait aimer.
- Aï je droit à une petite recompense ?
- Oui mais pas ici. Allons discrètement chez toi.
La chambre d'Ali est minuscule mais très confortable. Ce garçon a bon goût. Il baisse mon pantalon et commence par me manger la chatte. Je jouis plusieurs fois dans sa bouche. Puis il me demande de me mettre à quatre pattes sur son lit. Il sait que j'ai une chatte si étroite que sa penetration est impossible. Reste mon si joli petit cul bien bombé. Il ne s'en prive pas et me donne beaucoup de plaisir. Il est très endurant et fort bien doté. C'est un très bon amant. Je le laisse exsangue. Il n'a plus une seule goutte de sperme à me donner. J'adore être remplie par mon homme. Je ne sais pas mais cela me donne plein d'énergie.
-Bisous mon Ali chéri, je file. Je dois écrire. Bisous. A ce soir. Reprend des forces. J'aurai encore très envie de toi et de ton sexe si dur qui me defonce si bien. Bisous.
Lorsque j'arrive chez la Princesse Zubayda, celle ci m'accueille avec un sourire malicieux. Elle sait tout de mes aventures sexuelkes avec Ali. Elle compte me marier un de ces jours avec lui.
-Alors tu es encore allé chercher l'inspiration dans les jardins ?
Nous avons bien ri toutes les deux.
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Depuis que mael m'a montré des techniques pour essayer de retrouver la mémoire sur des vies anterieures, je m'amuse beaucoup et les images viennent en cascade. Mael doit être sorcier ou il a du l'être dans une ancienne vie. Tout cela n'est peut être que les fruits de l'imagination mais qu'importe puisqu'il s'agit de voyages avant tout.
Je me retrouve encore dans un corps de garçonne. Je me touche le bas ventre. J'ai bien une chatte cette fois ci. Cela me rassure. Je touche mes seins, ils sont petits et fermes, bien formés. Je touches mes fesses. Que du muscle. Elles doivent très belles et bien galbées. Je souris en pensant que mon petit cul va encore faire des ravages. Je touche mon visage. Je dois être jolie.
Je ne sais pas où je suis. Je porte une simple tunique grossière d'une seule pièce et rien dessous.
Autour de moi le paysage est à couper le souffle. De belles montagnes enneigées au loin, des forêts, un petit fleuve paisible, la mer toute proche. Je garde un troupeau de chèvres et de moutons. J'ai un gros bâton à la main.
Tiens un beau garçon vient vers moi tout sourire. Il m'apporte une gourde d'eau bien fraîche. Il est vraiment tres beau. Il me prend dans ses bras. Il cherche mes lèvres. J'ai très envie de lui.
Il me prend par la main et me conduit sous un grand arbre. L'herbe est douce et fraîche. Nous nous asseyons. Il m'embrasse encore. Me caresse les jambes, les seins. Je sens que je suis en train de m'ouvrir.
Il s'allonge sur moi. J'ecarte les jambes. Je sens son gros sexe très dur sur mon ventre chaud. Il veut me pénétrer. Il a beau essayer encore et encore, ma chatte est vraiment trop serrée. Il me fait mal. Je gémis. Il est vraiment très déçu de ne pouvoir me depuceler. Je me blotti contre lui.
Il me retourne. Caresse mes fesses. Il s'allonge à nouveau sur moi. Je sens son gros membre qui veut forcer mes reins. Je le laisse faire. Je n'ai pas mal. Même par là, je suis très serrée. Il grogne de plaisir. Je sens qu'il en a beaucoup, que sa sève monte. Il explose en moi. Il n'a pas pu se retenir. Il ressort et m'embrasse à nouveau. Il est tout rouge et tout moite.
Je suis un peu frustrée. Je n'ai pas eu ma dose de plaisir. J'attends qu'il soit parti pour me donner seule des orgasmes. Mon bourgeon est si sensible.
Le jour est en train de s'éteindre. Le ciel devient orange et violet. Il est temps de rentrer. Je sifflé les chiens pour regrouper le troupeau.
Ce n'est pas en faisant l'amour par les fesses que je risque d'avoir des enfants.
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Plus j'avance dans la consultation des annales akashiques de la Guerre de Troie, et moins ce que je découvre correspond à la version propagande qui nous est parvenue sous formes de chants.
Je découvre par exemple que Patrocle est le mari de la très belle Akilea, c'est à dire Achille sous sa version femme. Le mot transexuelle ne convient pas pour le cas Achille. Non, c'est un polymorphe sexuel. Il peut aussi bien être homme ou femme. Il peut changer de sexe comme cela lui plaît et cela ne lui pose aucun problème. C'est un deux esprits. C'est de là que vient son don de divination des mouvements adverses et c'est ce qui le rend invincible en combat rapproché.
Patrocle aime passionnément Akilea. Il a toujours envie de lui faire l'amour. Il aime l'avoir dans son lit et se donner complètement à elle, se répandre entre ses reins. Il sait faire jouir sa femme.
Le problème c'est qu'Achille est le futur Roi de Phtie. Thetis sa mère lui a choisi une magnifique épouse aux hanches larges..
-baise ta femme et fais lui de beau enfants, mon fils. Après vit comme tu veux ton amour avec Patrocle dans ta sphère privé. Le peuple de Phtie ne s'en soucie pas, s'il sait que tu sais te comporter en roi et tenir ton rang.
Achille épouse la jolie femme noble aux hanches large et lui fait de beaux enfants, dont un héritier mâle pour le trône mais au fond de lui , il est devenu amoureux de Patrocle, il aime être sa femme. Il jouit très fort de la sorte.
-Si nous partions pour la guerre de Troie dit Patrocle. Tu as fait ton rôle de futur Roi ici. Ton père est vigoureux et va régner encore longtemps. Ton épouse t'a donné un fils. A Troie nous pourrons nous aimer librement. Tu pourras baiser toutes les esclaves que tu veux et être aussi ma femme chaque fois que j'aurais envie de toi.
A suivre..
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La princesse Cassandre à toujours été considérée comme une originale. Elle entend des voix, a des visions, reçoit chez elles des apparitions, toutes choses qui sont contraires à la raison. Au moyen âge, l'inquisition aurait dit que c'était une hérétique possèdee par le démon, et après une épouvantable torture nul doute qu'elle aurait été brûlée. Mais à la cour de Priam, Cassandre est entourée de bienveillance et amour. Personne ne pense qu'il s'agit d'une folle qu'il est préférable de ne pas contrarier. Cassandre possède un don de voyance ou d'extralucidite qui defie l'entendemenr.
Un jour, elle arrive à la cour , toute ebourriffee, les yeux brillants et presque révulses. Elle pourrait presque faire peur.
- Mon époux arrive et avec lui la guerre et de grands malheurs.
Toutes les prédictions de Cassandre sont toujours d'une grande justesse. Il est faux de dire qu'elles ne font pas écoutées, c'est même tout le contraire.
Priam lui pose des questions. Il comprend vite qu'une lourde expédition grecque se prépare contre sa ville, qui même fortifiée sur une colline aura du mal à résister. Il décide de grand travaux: construction de citernes, de tunnels secrets, de silos, de fossés, de tours. Il n'est donc pas surpris lorsque l'expédition conduite par Agamemnon débarque sur la côté à moins de 20 km de sa ville. Par contre, la belle Cassandre refuse de lui dire qui est son époux parmi les grecs.
Un soir, elle quite le palais, emprunte un des tunnels secrets et s'enfonce dans la nuit pour rejoindre le camp des grecs.
On .l'arrête. Elle dit qu'elle est princesse de Troie et qu'elle veut voir Agamamnon, le chef de tous les grecs. Des soldats la conduisent vers sa tente.
Agamemnon prend son bain. Il est nu avec deux belles servantes pour lui frotter son large dos velu. Cassandre sans gêne vient vers lui, le regard sévère. Elle chasse les servantes. Agamemnon est mal à l'aise.
-Qui es tu pour entrer ainsi dans ma tente et donner des ordres chez moi.
- Quoi dit Cassandre, tu ne me reconnais pas. Faut il que j'ote ma tunique pour que tu puisses contempler ma nudite et faire en sorte que le souvenir te revienne?
Agamemnon est perplexe. Il semble connaître Cassandre, il semble même l'avoir toujours connue et pourtant il n'a aucun souvenir.
- Attend, dit Cassandre, je vais t'aider. Je vais poser mes mains sur ton front avec mes deux pouces entre tes sourcils. Relaxe toi dans ton bain. Ne pense à rien.
Cassandre a fait cela, et les images sont arrivées dans la tête d'Agamemnon. Une cascade d'images. Cassandre....son sourire, ses yeux, ....
- Tu es ma femme ? Tu l'as déjà été dans d'autres vies. Tu es celle qui partage ma couche depuis si longtemps.
-Oui, j'ignore comment nous faisons cela, mais à chaque nouvelle incarnation nous parvenons à nous retrouver et à réformer notre couple. Nous ne sommes pas mariés pour la vie, mais pour toutes nos vies.
- Viens prendre le bain avec moi. Je veux te toucher. Être certain que tu n'es pas un rêve.
Cassandre est vierge. Elle s'était réservée pour ce jour où elle retrouverai son époux. Agamemnon n'est pas pressé, il va prendre une semaine pour la depuceler en douceur. Le sexe n'est vraiment pas une obsession chez ces couples qui survivent à la mort. C'est un état naturel, une sorte d'état permanent.
Agamemnnon a du laisser le commandement de l'armée à Ulysse, bien meilleur stratège que lui. Par contre il préside toujours le conseil des rois. Il souhaiterait trouver une paix négociée avec Troie, mais le conseil veut poursuivre la guerre.
A sa grande surprise Ulysse et Achille, acceptent bien la présence de Cassandre dans le camp des grecs. C'est une princesse de grande classe qui sait tenir son rang.
Clytemnestre est ravie que son époux devant la loi de Mycenes soit en couple marital avec Cassandre. Cela ne pose aucun problème pour maintenir un couple royal de façade uni pour le peuple mais qui vit séparément ses amours.
Tout cela pourrait sembler parfait, sauf que la mort n'est pas loin. Des forces sont en œuvre pour faire tomber Mycenes, renverser cette royauté, faire tomber Troie. Cassandre avec ses dons de visions sait cela et ne s'en inquiète pas. Profiter de chaque instant de bonheur avec Agamemnon. Ce dernier est plus calme, plus beau, plus rayonnant de sérénité depuis que la seule femme de toutes ses vies partage sa couche. Chaque instant de vie est si précieux. Il faut l'apprécier et le vivre entièrement. C'est un instant magique. Vivre, sentir, écouter, voir, toucher, goûter, penser, être conscient, oui, c'est bien magie que tout cela. Aimer une femme superbe. Oui c'est bien un ticket valide pour l'éternité.
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Après cette nuit damour sur la plage, une splendide journée s'annonce à Bocca Chica. Elon est en super forme. Baiser toute la nuit, c'est sa façon de se reposer, Il décide d'emmener Tekla pour lui montrer un labo secret. Cette dernière fait ses prières sur un petit monticule face à la mer. Une avant le lever du jour, une juste après. C'est magnifique de la voir faire. Elle arrive souriante, avec toujours ses yeux diamants noirs qui semblent jeter des éclairs.
- Tiens, un bon café. Après filons vite, je veux te montrer des choses incroyables.
Tekla le regarde comme seules savent regarder les femmes habituées aux longues solitudes dans le désert. On dirait qu'elle perce son âme. Cela ferait presque peur tant ce pouvoir de penetration mentale est fort. Heureusement que ses yeux propagent aussi l'amour. Il ne ferait pas bon être l'ennemi de cette femme sublime.
- Oui, partons vite. J'aime tout ce que tu créés.
Le voyage dure plus d'une heure en cybertruk. Ils arrivent dans une petite ville du Texas. Tout semble si paisible et endormi. Ils passent des contrôles de sécurité et se garent devant un immense cube tout blanc, sans la moindre fenêtre. Tout lisse. Une porte s'ouvre. Le Cybertruk entre. A l'intérieur c'est magique.
Un laboratoire totalement futuriste. De vastes postes de travail. Des humains en blouses blanches. C'est d'une propreté de salle d'opération d'hôpital. Aucun encombrement, aucune agitation. Un calme absolu.
Elon prend la main de Tekla.
- Viens, c'est par là .
Et tout à coup, ils se sont retrouvés face à des robots humanoïdes bien alignés, flambant neufs, immobiles, comme en veille.
- Ce sont encore des prototypes mais dès l'année prochaine nous allons les commercialiser. Ils pourront tout faire, le jardin le ménage, les courses, s'occuper des personnes âgées, bosser en usine, dans les mines, et construire des bases sur la Lune ou Mars.
-Je comprends. Tu vas d'abord envoyer des robots pour préparer l'arrivée des humains. C'est plus logique, moins cher et surtout moins dangereux.
- C'est cela, avant que tu te poses sur Mars, des robots auront construit une base.
-Mais ces robots peuvent aussi faire la guerre! Des robots tueurs ?
- C'est l'armée qui finance nos recherches en partie. Mais pour eux la forme androide n'est pas nécessaire.
-Et bien sûr tu as pensé à faire des robots de compagnie.
- Oui, nous avons un labo pour cela au Japon. Ces robots de compagnie vont être de redoutables concurrents pour les humains.
-Viens, faisons l'amour devant ces droides intelligents.
-Ils vont nous regarder faire et apprendre. Et c'est fou comme ils apprenent vite.
-Des "voyeurs"? Tu sais, je m'en fout. Je sais pas pourquoi, mais j'ai plus à craindre de la concurrence de tes autres femmes que de ces robots en plastiques, polyméres et aciers. Mais je les aime bien tes robots.
-Ils vont t'obeir au doigt et à l'œil sur Mars. Pas besoin de fouet. Ils voudront toujours te faire plaisir. Tu ne seras pas leur domina mais leur Reine.
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Le jet privé d'Elon n'a pas tardé à revenir pour prendre Tekla pour son voyage de noces. Certaines veulent voir Venise, Capri, les îles Grecques ou du Pacifique, Tekla, non, rien de tout cela, juste visiter la starbase de Bocca Chica en salopette de travail et mettre la main à la patte. Elon a été ravi de cette idée. De toute façon il ne bande que pour les femmes hyper intelligentes et originales, celles qui savent stimuler sa créativité.
C'est Gwynne Shotwell en personne qui est venu chercher Tekla à l'aéroport.
- Alors c'est vous qu'Elon a choisi pour être le premier humain à poser le pied sur Mars. Une femme ! J'adore cette idée. De toute façon Elon n'a que de bonnes idées.
- C'est mon mari. Oh juste un mariage religieux, rien sur le plan civil. Je sais qu'il a déjà plusieurs autres femmes mais c'est permis dans ma religion et de toute façon, je m'en fout complètement. Notre lien est si spécial.
- Oui, nous avons l'habitude à la starbase et des nuées de journalistes comme des frelons tournent sans cesse autour pour chasser le scoop et si possible les scandales. A part moi, personne ne sait qui vous êtes. Voici dans cette malette vos tenues, le casque, et accréditations pour aller où il vous plaira dans la base. Elon m'a dit que vous étiez géniale et doué de sens peu communs.
- Dans le désert, j'ai appris à écouter le vent, à rêver sous les étoiles, à parler aux djinns.
- Vous êtes très amusante et fort belle. Parfaite pour les premiers reportages sur Mars. Venez, je vais sous montrer le starship n°5. Il est fin prêt sur le pas de tir. Nous attendons l'autorisation fédérale pour le lancer.
- Oui, commençons par cela. Elon m'a dit qu'il arriverait tard ce soir.
- Il est très amusant aussi. Parfois il dort sur un simple matelas dans son bureau. Trop occupé à bosser.
-Génial. J'ai envie d'essayer son matelas cette nuit. On pourrait le mettre sur la plage?
- On va s'en occuper. Pas d'orage ce soir. Je vous ferais livrer tout ce qu'il vous faut. Vous avez raison, la plage c'est le mieux.
Elon est arrivé tard. Il a retrouvé la sublime Tekla, sa femme, sur la plage. Il lui a fait l'amour toute la nuit. Sa chatte est si.incroyablement voluptueuse et tonique. Il n'a jamais joui aussi fort.
Tekla est heureuse. Elle regarde un petit point dans le ciel. Elle sait où se trouve Mars. Dans peu de temps, elle partira vivre la haut. Elle a une confiance totale dans son mari.
-Ce sont mes dernières années sur Terre. Une fois sur Mars, je crois que je n'aurais plus envie de revenir. Cette planète est si belle. J'adore les déserts. Tu crois qu'il y a des djinns sur Mars?
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Le jet privé d'Elon, l'homme le plus riche du monde vient de se poser sur l'aérodrome privé de la milice Stalin, sur les bords ensoleillés de la Mer Noire. Une ravissante hôtesse scandinave sort en premier, d'un pas souple et gracieux. Puis vient Elon, avec des lunettes de soleil, tout sourire. Il est accueilli joyeusement par le général Valeri en personne. Une visite privé ultra secrète. Juste avant, il a rencontré le Président Vladimir dans sa résidence d'été près de Sotchi.
Les deux hommes partent en Tesla prototype, rejoindre la résidence du Général Valeri. Ses quatre épouses et ses concubines sont là, magnifiques, hyper envoûtantes par leur incroyable beauté. Plus loin, discrète, se trouve la sublime Tekla. Elon vient spécialement pour la rencontrer. Leurs regards saccrochent. Elon ôte ses lunettes de soleil. Il a comme le souffle coupé. Les yeux bleu vert de Tekla brillent comme des diamants noirs. Elle porte le voile intégral. Seuls ses yeux...Mais quels yeux ! Un livre entier ne suffirait pas pour les décrire.
Les présentations faites, Valeri invite tout le monde à prendre un rafraichissement sur sa belle terrasse ombragée, couverte de vignes grimpantes, chargées de lourdes grappes de gros raisins rouges et blanc. C'est très détendu.
Elon est sous le charme. Il ne peut quitter les yeux de Tekla. Et comme toujours lors d'un coup de foudre brutal, ils sont seuls au monde. Ils s'assoient sagement un peu à part. Ils ont tant à se dire. Parfois on perçoit des bribes de leur conversation. Tekla, est une surdouée phénoménale. Une chance que Wagner au Mali aie pu la sauver des griffes des djihadistes. Une orpheline. Un don de Dieu? Son cerveau est comme les sables fu désert, il absorbe tout. C'est sans fin. Elle pose questions sur questions. Elle veut tout savoir sur les technologies développées par Elon dans ses entreprises. Ce dernier répond avec plaisir. Deux passionnés. On dirait deux moineaux qui piaillent sous le soleil.
La nuit est déjà la. Les deux amoureux n'ont pas vu le temps passer. Ils semblent avoir oublié qu'Elon est venu pour épouser Tekla.
L' Imam qui doit célébrer ce mariage attend. Les deux tourtereaux causent toujours technique, voyage sur Mars. Valeri se décide à les interrompre. Elon prend la main de Tekla. Ils n'ont plus aucun doute. Ils étaient déjà mari et femme bien avant de se rencontrer. La cérémonie est vite expédiée.
Tekla invite son époux à la rejoindre dans son appartement. Le lendemain elle prend soin de mettre sur son balcon son drap blanc tâché de sang. Le mariage a été consommé. Cela porte chance de faire cela.
Elon doit repartir le matin même, seul avec sa belle hôtesse scandinave, à regrets de ne pouvoir rester plus longtemps.
-T'iinquiètes pas, lui dit Valeri. Ta femme est en de bonnes mains. Elle continue sa formation pour se préparer à être la première humaine à poser les pieds sur Mars. Elle te fera de beaux bébés la haut avec ton sperme congelé.
-Oui, mon ami, je vais redoubler de travail pour que le Starship soit une réussite totale.
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Awena est une championne de MMA, c'est ainsi qu'elle a été repérée et recrutée par la redoutable milice privé Stalin du Général Valeri. Pas de place pour les mauviettes chez ces mercenaires.
Le job lui a de suite plu, sans compter qu'il est très bien payé. La politique, Mawena s'en fout. Aucun état d'âme, juste faire les jobs de façon efficace et pro. Elle est habituée aux combats de rue, aux castagne dans les bas fond de Dublin. Elle a très vite appris à se servir de toutes les armes de guerre de façon précise. Une championne la aussi.
Elle adore partir en missions. Elle se sent bien avec tous ces mercenaires qui ont leur code d'honneur bien à eux. C'est une lesbienne qui adore sodomiser d'autres femmes. C'est pour cette raison que Valeri a pensé à elle pour Mary, la femme qui possède une puce quantique greffée dans son cerveau. Un cadeau de son amant, le celebrissime Elon, l'homme le plus riche et le plus inventif au monde.
- Tu files à Chypre et tu vas devenir le mari d'une femme au cul vraiment superbe. Tu pourras la sodomiser tant que tu voudras. Elle adore jouir par là depuis que nous lui avons depucele le cul.
-Ok mon Général.
- Tu trouveras toutes les instructions dans cette pochette. Prend en bien soin. C'est la chef de la CIA, pour toute l' Ukraine.
Mawena est partie pour Chypre dans un des jets privés de la milice Stalin, qui dispose d'énormes moyens. Elle a récupéré son colis, la très belle Mary, à l'aéroport de Larnaca. Un coup de foudre immédiat. L'intuition du Général Valéri était très juste. Une envie de baiser immédiate entre les deux.
Mary aime donner son cul à son mari. Elle est sexuellement entièrement soumise à Mawena qui adore la defoncer avec son feeldoe. L'amour entre ces deux femmes est là, aussi irrésistible que leur envie permanente de baiser.
Dans les instructions, figure le fait que Mawena ne doit absolument pas prendre la chatte de Mary. C'est la propriété exclusive d'Elon. Ce dernier veut lui faire de beaux gamins. C'est son truc. Chaque multimilliardaire a ses lubies.
Valeri à prévu de faire poser des anneaux et un cadenas sur cette chatte réservée. Toutes les instructions et le matos sont aussi dans la pochette. Mawena se fait un plaisir de réaliser cela.
- T'es toute belle ma chérie avec ton cadenas de chasteté vaginale. Tu donneras les clés à ton Elon, lui seul pourras te prendre la chatte. Par contre c'est parfait, ton cul est exclusivement à moi.
-J'ai envie de me marier avec toi. Je n'ai aucun mal pour te créer une nouvelle identité comme homme avec un look andro. Comme cela on pourra élever ensemble les enfants d'Elon qui deviendront les nôtres.
- Super. Allez tournes toi. J'ai une grosse envie.
-Moi aussi. Je mouille déjà.
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Louise n'aime pas les hommes. Inutile de dire pourquoi, ce serait trop long. Louise n'aime pas les femmes. Là aussi, inutile de chercher les raisons de cette aversion sexuelle. Non, Louise n'aime que les animaux, les plantes et son joli jardin fleuri. Lorsqu'elle veut prendre son plaisir, elle s'allonge nue dans l'herbe sous son grand chêne et se caresse en regardant le ciel. A quoi bon attendre d'un autre la jouissance que l'on peut, bien mieux, se donner soi même.
Un jars bien coquin a l'habitude d'observer Louise lorsqu'elle vient se masturber sous son grand chêne. Ce jars téméraire s'approche de plus en plus et se laisse caresser.
Un jour, ce jars lubrique décide de violer sa Maitresse. Il ne sait faire l'amour que comme font les oiseaux, de façon rapide et dominante en volant dans les plumes des oies bien dociles de son harem . Là, à défaut d'un beau ramage blanc ce sera dans la douce toison dorée de Louise. Le jars habile sait arracher un merveilleux et puissant orgasme à sa Maîtresse. Se faire violer par un jars, qui aurait pu croire cela possible ! Et pire encore, se mettre en couple avec ce mâle dominant bien macho et canaille !
Pourtant les choses furent ainsi. Chaque fois que Louise allait sous le grand chêne, son jars venait la tête haute pour s'accoupler et lui procurer d'incroyables plaisirs entre ses cuisses.
Il ne m'est possible d'écrire aucune morale à cette histoire ou une jolie jeune femme devint la favorite dans un harem de blanches oies soumises.
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Combien de caresses sur ce visage souriant ?
Combien de regards sur cette silhouette juvénile ?
Combien d'étreintes de ce corps paré d'élégance ?
Combien de baisers sur ce front intelligent , sur ces joues tendres, cette bouche sévère et fraîche ,
sur ce cou chaud et infiniment doux ?
Combien de vêtements à enlever, à arracher avant de me noyer dans cet univers de tendresse et de douceur que sont, pour moi, Vos seins ?
Combien de jupes devrai je retrousser avant de laisser mes mains s'approprier les trésors qui
y sont cachés mais si joliment suggérés?
Combien de petites culottes devrai je brûler avant de Vous savoir nue entre mes mains
Combien de fois me prosternerai je devant Vous , ma Déesse de l'Amour ?
Combien de baisers déposerai je sur Votre corps magnifique qui hante à jamais ma mémoire ?
Quand verrai je ma main enveloppant Votre mont de Vénus , mes doigts se perdre frénétiquement dans les plis de Votre intimité admirée ?
Quand verrai je Votre ventre et Votre visage ravagé par le séisme de notre plaisir partagé ?
Je Vous aime Ma Muse, Ma Lady . Je suis à Vous, je Vous appartiens.
Notre Amour est fort, notre Amour est tout puissant, il est notre force, notre vertu .
IL nous aidera à traverser le temps qui nous reste .
Berny
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Une petite promenade culturelle par ces fortes chaleurs, nue chez soi, volet tirés. J'aime pas les clims. Rien sur la peau, c'est encore le mieux. C'est ainsi que je suis tombé sur un des premiers nus à taille humaine de la Grèce Ancienne. Aphrodite, la déesse du sexe plus que de l'amour.
C'est un peu une évidence pour moi, tant je me retrouve dans les descriptifs de cette sublime déesse, la plus belle de toutes, suivant le choix de Paris, grand amoureux des femmes.
Un choix surprenant, une déesse transexuelle, qui compte un hermaphrodite dans sa descendance, qui participe à des fêtes ou hommes et femmes doivent changer leurs vêtements, une fête bien amusante qui devrait être rétablie. Une journée ou les femmes s'habilleraient en hommes et les hommes en femmes. Cela permettrait de lutter contre toutes les pratiques sexistes et aussi d'aller vers plus de respect entre sexes et surtout d'amour.
Les divinités grecques décrivent ce que notre psyché contient de plus profond, de plus descriptif de nos comportements humains. Une façon amusante de faire de la psy des milliers d'années avant Jung ou Freud.
Aphrodite n'est pas seulement déesse de l'amour, du sexe, du porno, de la prostitution, de tous les vices charnels, de toutes les passions amoureuses, c'est aussi une guerrière fort honorée à Sparte et Troie, sa cité chérie qui donnera Rome.
Elle peut se transformer en dominatrice impitoyable.
J'aime cette déesse androgyne, la plus belle de toutes.
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I) une rencontre d’âmes :
la prise de contact
fin du début des années 2000, 2007 pour être précis ; je naviguais dans les sphères du BDSM depuis quelques années, je me remettais d'une rupture sentimentale et de la fin d'une relation que certains nommeront D/s mais qui, a mes yeux, était bien plus. Une situation financière catastrophique se terminait, je touchais a la fin de ma première carrière professionnelle ; j’étais en quelque sorte dans des limbes sociales et personnelles fortes, brumeuses et accablantes.
En ce mois de janvier, je parcourais les sites afin de pouvoir revenir vers le BDSM, je ne pouvais pas envisager une autre forme de relation, comme si je voulais éprouvé ma volonté de me soumettre, de vivre ma sexualité ou émettre un cri des émotions. En naviguant de site en site, et ce depuis la fin 2006, je finissais immanquablement par revenir sur celui d'une Dominatrice reconnue dans le milieu, Sa façon de présenter les relations, Son physique, Ses tenues et l univers que peignait chacun de ses mots, chacune de ses photos me troublait de façon certaine et forte.
J'avais déjà écris un mail de présentation a cette Dame, Elle m'avait répondu et dans une forme de lâcheté je n'avais donné suite, incapable de pouvoir réunir l'offrande et pris de la peur de m'attacher, en un mot me croyant indigne.
Mais en ce début d'année, mon esprit semblait ne pouvoir se détacher de l envie, du souhait de rencontrer cette Dame, Lady Morrigàn, de me confronter une fois encore a ce que je nommais mes démons, de poursuivre un cheminement, que je savais incontournable. Je me décidais a ré écrire a Lady Morrigàn afin de pouvoir obtenir la possibilité d'un appel téléphonique pour fixer une possibilité de rendez vous, lui exposer si possible l’émoi qu'elle suscitait en moi, quitte a passer pour un fou.
Sa réponse ne tarda pas, elle m'expliquait qu elle ne serait pas disponible avant février, et que je pourrais réfléchir et que si cette envie de la La rencontrer était toujours présente, alors je devrais la rappeler a une date et une heure précises. Bien sûr je répondais par retour de mail, que j'acceptais les conditions et je m'engageais même a respecter Sa volonté quant a la date de l'appel. Durant la période entre cet échange et la date, mon esprit fut comme quasi dédie a l’élaboration d'une présentation, je commençais même a faire des calculs pour pouvoir prévoir l offrande (dont je me doutais du montant).
Le mois et demi passa, sans doute bien trop lentement pour l'impatient que j’étais encore a l’époque, malgré une relation précédente m'ayant déjà apporté les bases d'une éducation D/s.
Le jour et l'heure de l'appel arriva, je composais le numéro avec une grande nervosité, sans masquer mon numéro comme demandé ; les sonneries s’enchaînèrent jusqu'à déclencher le répondeur et j'entendis pour la première fois cette Voix qui allait me pénétrer, envelopper mon esprit ; a la voix douce et autoritaire, une diction troublante, les mots semblaient prendre une autre dimension et mon esprit commença a se délecter et se perdre dans ces chants hypnotiques.
Je laissais un message, tentant de rendre ma voix la moins chevrotante possible malgré l’émotion.
A peine avais je poser de le téléphone sur mon bureau, avec une touche de déception qui me poussa a allumer une cigarette, que celui ci sonna, numéro masqué ; alors que d'habitude je ne réponds pas a ces appels, là je décrochais et immédiatement je reconnu Sa voix envoûtante qui prononçait mon pseudo, j’éteignais la cigarette et lorsque un « merci d'avoir laisser un message, nous allons pouvoir échanger » parvint a mon esprit et aussi impulsif que cela puisse paraître, je me mis a genoux naturellement, comme si la présence de Lady Morrigàn venait a moi par Sa voix, comme si le soumis en moi reconnaissait d'instinct un règne l'appelant.
La conversation était axée, entre autre, sur les conditions de rencontre et au fur et mesure, elle prit une tournure plus « intime », sur ce que Lady Morrigàn appréciait chez des soumis, sur les blogs et sites internet et sur l’expérience. Je découvrais alors que Lady Morrigàn possédait un cheptel de soumis « proches » qui lui rendait des services, elle me parlait alors d'un blog que je tenais et où j'exposais mes écrits et dessins, un compliment me fit vaciller.
Il fut alors convenu que avant d'envisager quoique ce soit, je devais répondre a un questionnaire qui me serait envoyé via mail, rédiger une lettre exposant comment je voyais mon parcours et les motivations les plus exactes quant au fait de vouloir venir aux pieds de Lady Morrigàn. au cours de ce dialogue,je me rendais compte que certains aspects étaient en commun, certaines affections, visions.
Je mettais cinq bonnes minutes a redescendre après cet échange, et dans la foulée je ne pus m’empêcher d’écrire un texte relatif a ses mots, sa voix et ce que je ressentais.
Dans le jours qui suivirent, je recevais le questionnaire et m'appliquais a rédiger une lettre de motivation, la plus complète possible où je ne cachais rien de mes expériences, ressentis et situations. Il s'en suivi un échange de quelques mails, et l'envoi du texte écrit lors de notre dialogue téléphonique, puis quelques semaines plus tard , il me fut demander d’appeler Lady Morrigàn. cet appel était en vue de poser un rdv. La date fut convenue, l'offrande également, un geste me fut accordé égard a ma situation financière a la seule condition que j apporte le texte envoyé par mail , ainsi qu'un autre posant mon imaginaire sur le rdv a venir, sur papier a l'encre bleue.
Le jour de la première rencontre :
la date tant attendue était là, j'avais repéré le temps de trajet, je m’étais apprêté de manière a être le plus courtois et respectueux pour ce rendez vous, pour cette venue dans le lieu de règne de Lady Morrigàn. une grande nervosité me tiraillait la gorge et le ventre ; durant le trajet en transport, je me répétais les gestes, les mots et les attitudes que je Lui devais de respecter. Une fois sorti du métro avec de l'avance sur le rdv, une envie de fumer me prenait, je la réprimais difficilement, j'allais a l'adresse fournie, passais l'appel convenu a l heure convenue.
Alors que mes doigts saisissaient le code d'entrée, je voyais mon tremblement augmenter,tout en moi me faisait penser que ce rdv allait devenir une référence, que je m’apprêtais a franchir un cap important, que cette rencontre allait compter. Je pris l'ascenseur, un ancien modèle des immeubles parisien, dans cette cage mouvante je me sentais comme en élévation vers un lieu unique, mystique.
La voix de Lady M, son image étaient en moi et plus je montais, plus c’était le cas.
La porte se trouvait juste en face de l'ascenseur, il ne semblait pas y avoir d'autres appartement sur le palier.
Comme demandé, je ne sonnais pas mais me servait du butoir de porte, pas de réponse, devais je re frapper ? Alors que ma main était devant le butoir, j'entendais un bruit distinct, celui de talons sur le sol ; la porte s'ouvrait sur un couloir dans la pénombre, et se faisant une odeur, un parfum vint me saisir comme une main a la fois ferme et chaleureuse ; la voix de Lady Morrigàn m'invitait a entrer, elle se tenait derrière la porte ; alors je faisais trois pas dans le couloir , la porte se referma avec un bruit quasi de loquet, une sensation me prenait alors, celle de me dire que désormais un chemin pouvait s'ouvrir.
Je sentais alors Lady Morrigàn passer sur mon coté, mon regard se baissa d'instinct. Elle se tenait face a moi, je restais bloqué comme idiot a regarder ce que je devinais être des bottes a talons aiguilles, noires et a lacets, je ne montais pas mon regard plus haut. Une main vint alors se placer a mi hauteur, je mettais la mienne a ma poche de revers afin de sortir l enveloppe de l offrande.
Un « pas maintenant, suivez moi » un brin agacé me fit remettre l enveloppe dans ma poche.
Je suivais Lady Morrigàn dans le couloir, en ne quittant pas ses talons des yeux, nous arrivâmes dans le boudoir, une belle pièce plongée dans une pénombre, je distinguais une console sur ma gauche, devant moi un petit tapis circulaire posé devant une cheminée, au dessus de laquelle un miroir entouré de bougeoirs triple étaient placés. Sur le mur face a moi, un bouclier et deux épées prêts d'une porte menant a une autre sale, sur le même mur après cette porte, en allant sur la gauche, un tableau sous le lequel étaient situés deux anneaux métalliques, en dessous se trouvait un guéridon au dessus de cuir. En continuant un regard circulaire sur la gauche, devant une fenêtre aux épais rideaux noirs tirés, se trouvait une méridienne Joséphine empire aux couleurs pourpres, un guéridon a gauche et entourée de plantes, puis mon regard revint sur la console a coté de laquelle je remarquais un valet.
La musique que je remarquais enfin était de type underground fantasy. Lady Morrigàn me demanda de poser l'enveloppe sur la console, d’ôter ma veste sur le valet et de prendre place sur le tapis circulaire, je m’exécutais sans oser la regarder, d'autant que le ton employé a mon arrivée indiquait sans équivoque , que j'avais commis un impair.
Une fois que je m’étais placé sur le tapis, regard baissé et mains derrière le dos, Lady Morrigàn me lançait :
« allez vous, vous décidez a oser me regarder ou n'aurais je droit qu'a un regard fuyant d'animal coupable ?
-Maîtresse, c'est que je sens avoir commis une faute
-oh oui vous en avez commis une et venez d'en refaire une autre, je vous indiquerais lesquelles en temps voulu
-bien Maîtresse »
j'osais enfin lever les yeux, et là je la vis superbe, en position de reine sur la méridienne. Elle portait de superbes bottes montantes au dessus du mollet, lacées et noires, une jupe en vynil dont l'ouverture sur la cuisse laissait deviner des bas soyeux, un chemisier en dentelles blanches laissant deviner un bustier noir ; son visage exprimait de la vie, un teint pâle, des lèvres cerises, un regard perçant vous scrutant au plus profond, des cheveux blonds platine quasi blancs aux boucles travaillées sur les tempes, ses mains gantées d’élégance noire en cuir.
Telle une aphrodite guerrière et rayonnante, elle était posée sur sa méridienne, une jambe légèrement pliée sur l'autre, une de ses mains en poing sur sa joue ; cette vision me conquit d'emblée, sa voix allait si bien avec son corps. Tout en Elle dégageait, grâce et force, une présence comme on en croise peu dans une vie,son être vibrait ses ondes jusqu' a mes souffles, s'en emparant en un battement de cils.
Je me sentais si chanceux d’être en la présence d'une telle Femme et dans le même, je savais déjà que je signais là l'acte qui pourrait me mener a ma perte, tant je pressentais que cette Femme pourrait me menait a la damnation que je la suivrais alors avec un sourire reconnaissant et dévotion.
Déjà je rêvais de l'honneur de pouvoir embrasser ses bottes, de lui livrer mon corps et mon cœur ; certaines rencontres sont ainsi faites que vous sentez jusqu'à votre moelle, qu'elles vous marqueront a jamais.
Lady Morrigàn me demanda alors de me dénuder a l'exception de mes sous vêtements et de poser mes affaires correctement pliées aux cotés de la cheminée ; alors que je reprenais ma position initiale, debout et mains dans le dos, je me rendais compte que Lady Morrigàn s’était levée, alors que je me retrouvais face a elle, elle commençait a avancer vers moi.
Une démarche a la fois féline et aristocrate, puissante et raffinée ; chaque pas qu'elle faisait en ma direction soulevait en moi des tornades d’émotions, je sentais une envie de reculer comme pris de panique et dans le même temps, une envie irrésistible de me jeter a ses pieds ; plus elle avançait, plus j’étais captivé, non seulement par son physique mais aussi et surtout par son aura, je sentais alors distinctement une fissure se dessiner en moi.
Alors que son souffle se résonnait sur ma peau, elle m indiquait que l'inspection pouvait commencer, ainsi que le questionnaire. Ses mains commençaient a sinuer sur ma peau, de la base de la gorge a l abdomen en passant par les flancs, mes yeux se fermaient a son contact a la fois doux et inquisiteur. Entre des questions sur mes goûts musicaux,mentalité, des remarques sur ma condition physique venaient piquer mon orgueil, un peu trop mou, manque de fermeté (oh comme elle se servait bien de mes confidences sur mon manque d'assurance en mon physique).
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De la Bienveillance, naît l'Espoir,
De l'Espoir, naît la Vie.
Avant de Vivre, il faut savoir se trouver soi-même, de nos envies, de nos aspirations, de nos désirs, conscient de nos failles, afin d'être en harmonie avec ce Je, pour s'offrir à l'autre, avec transparence.
Vivre, c'est aussi savoir s'entourer des bonnes personnes, savoir patienter, savoir les veiller, savoir s'en nourrir en retour, savoir aller vers elles lorsqu'on en ressent le besoin, sans jugement, avec bienveillance, et parfois, avec Amour.
Ce soir, au terme d'une semaine, initiée le 12 Février dernier, inattendue, qui semble avoir chamboulée à nouveau ma vie, insoupçonnée dont je n'avais ni l'envie, ni l'espoir, faisant mon deuil, déconstruisant un lien précédent, total, j'ai compris.
La nommé âme-sœur, serait prématuré, et je n'en ferais pas ici l'exercice, néanmoins, lorsque je la regarde, lorsque je regarde en Elle, de cette Femme, n'étant séparée de moi que par 2 petites années, et 30km, j'y vois des choses, que je n'avais pas vu depuis 13 mois, et bien au delà. Avant ce mois de Janvier 2021 (je rédige cet écrit en Février 2022), en cette femme qui m'a vu enfin Vivre, trouver ma place, avec Elle à mes pieds, en savourant chaque instant, qui m'a aidé à me construire, m'a forgé, plus qu'aucune autre en tant que Maître, qui m'a façonné, dans mon désir d'apporter à l'autre, dans mon désir de la nourrir, de l'abreuver, de l'éveiller, de la révéler. De la distance, de ces 800kms, de nos différences d'âges, s'avérant bien plus âgée que moi, l'union de nos vies se révéla impossible, fissurant notre lien, au terme de 2 années et demi, sans réussir à le briser, car notre amour fut total, mais nos vies, surent briser nos âmes, individuellement, ainsi que notre tanière, de ce Oni's Den, dont nous surent rayonner, ensemble.
Ce soir, j'écris ces mots, accompagnés d'une tisane au Thym, témointe d'un acte de bienveillance, ayant indiqué plus tôt dans la semaine que j'avais eu une nuit difficile, à cette Femme récemment arrivée dans ma vie, d'une nuit de 4h, la gorge prise. La voyant le lendemain au déjeuner, cette Femme, cette Animale, cette Renarde, su m'offrir de quoi guérir. Je le sent, Elle sera celle qui saura me veiller, panser mes plaies, et m'accompagner dans la découverte du monde, construisant le Notre, si patient, dans la communication, je le souhaite, nous réussirons à nous servir, car elle consciente de la rareté, ainsi que du caractère précieux de cette place, nourrie ces expériences passées. Ainsi, je sais, je sent, que jamais elle ne me lâchera... que jamais, elle ne m'abandonnera...
Elle est le miroir de mon âme, car lorsque je la regarde, je me vois. Dans des fonctions naturellement différentes, mais je sais, je sent que c'est Elle, qui saura guider mon dernier souffle, pourquoi me direz-vous, parce que je suis un être d'émotions, de sentiments, d'amour, qui se donne, sans retenu, de manière exclusive, à celle sachant le faire vibrer, même si pour la première fois de ma vie, de ces fêlures récentes, je me retient, hélas.
Alors que j'écrivais ces mots, je su recevoir un message, innocent : "Voudriez-vous que je passe en coup de vent pour vous embrasser et vous dire bonne nuit ?". La ou ce matin même, j'avais su rouler 30min, me rendant a son domicile afin de la croiser, me saisissant d'un livre oublié la veille, "Le Petit Prince", pour que celui-ci guide ma semaine de vacances, en présence de ma famille, d'une présence plus discrète qu'un lecture liée à ce milieu, plus sage, lui faisant la surprise en retour, de lui offrir, une lecture ayant guidée mon adolescence, d'un échantillon de mon gel douche, ainsi que d'un "rabou" de mes cordes de Shibari, afin que durant cette semaine, elle me sente prêt d'Elle.
Je ne saurais dire les sentiments qui me traversent en cet instant, mais la ou par le passé, mon amour, bienveillant et transparent, su en retour me meurtrir d'une décision prise de celle que je pensais être la Femme de ma Vie, d'un acte dont j'ai demandé l'explication, mais qui me parait toujours aussi fou. Parmi ces derniers mots, me faisant face, elle su me dire de manière apaisée : "La meilleur des histoires, c'est celle que l'on a pas encore vécu", à quoi je répondis, que pour moi, "La meilleur des histoires, c'est celle pour laquelle on est prêt à se battre". J'ai enfin compris le sens de ces mots, et je tenais à la remercier, sincèrement, de m'avoir rendu ma liberté. J'ai chuté comme jamais, mais sans cela, je n'aurais pu être la ou je suis aujourd'hui, m'amenant bien plus loin dans mon cheminement de vie, que jamais par le passé. J'ai l'espoir que cette Femme, soit la dernière, et je souhaite me battre pour cela, ne m'offrant plus dans un amour inconditionnel, mais apprenant déjà à l'aimer, Elle, l'apprivoiser, en douceur, pour l'être merveilleux, la Femme, la Soumise, la Mère, et bien d'autres encore, qu'elle ne soupçonne pas encore, car dans les mains l'un de l'autre, un monde saurait s'ouvrir à nous, si nous prenons, ensemble, l'engagement solennel, de ne jamais détourner le regard, ni de museler nos paroles, afin que derrière ce lien, une Famille puisse naître.
A vous tous, protégez-vous, mais n'oubliez jamais de vous aimez, encore et encore, car une vie sans amour, ce n 'est pas une vie,
Aujourd'hui, je crois, je l'espère, avoir su trouver ce dernier Amour.
A Vous, qui n'êtes pas encore mienne, mais qu'il me plait de nommer, ma Protégée.
NB : A l'heure de ces écrits, ce lien en devenir n'a toujours pas été consommé, n'en ayant personnellement pas la force.
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Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse).
Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages...
Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm.
Nouvelles pages, nouveaux chapitres.
Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur.
Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour.
Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite...
Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais.
Monsieur V.
Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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Jasmine est subliment belle. Pourquoi? Parce qu'elle est nature. Elle déteste l'apparence, les maquillages et artifices. Elle n'a pas besoin de cela. Plus les femmes sont belles et plus elles savent qu'elles n'ont besoin de rien, pas même de quelques gouttes de parfum. Les males se retournent, les admirent, les désirent, elles ont le choix. Ce n'est pas si facile d'être subliment belle et de n'avoir besoin de rien d'autre. C'est un cadeau de Dieu ou des Dieux qui aiment se moquer des désirs des hommes pour l'éphémère. Ce qui dure et c'est la plus belle beauté, c'est ce qui se trouve à l'intérieur, c'est cette grâce interne qui rayonne et illumine, le reste n'est qu'illusions.
Jasmine est de tous les combats féministes. Elle milite pour les droits des minorités, les gays, les bi, les trans, les lesbiennes, les indiens d'Amazonie, les gorilles d'Ouganda. On peut admirer ses longues jambes si bien galbées au devant des manifestations. Des journalistes la flashent tellement elle est sublime lorsqu'elle revendique. Elle est vite repérée par une agence de mannequins et cela devient sont métier. Vendre sa beauté sur des réclames. Elle gagne fort bien sa vie et celui qui lui demande de coucher se prend une baffe.
Seulement voilà, l'amour est un mystère. Jasmine rêve du grand amour. Elle ne veut pas d'aventures. Elle est toujours vierge et se réserve pour son homme. Elle n'en veut qu'un seul pour toute la vie. C'est son choix et elle l'assume. Elle est impitoyable avec tous ses prétendants qui se jettent à ses pieds. Elle sait que lorsqu'elle rencontrera son homme, ils n'auront pas besoin de mots pour se déclarer leur amour, le premier regard suffira.
Mourat est un émigré tchétchène. Il s'est battu contre les russes dans le Caucase. Sa tête a été mise à prix et il a du fuir loin de son pays et loin des tueurs à sa recherche. Il a fini à Paris. Il a facilement trouvé du travail dans une agence de sécurité. C'est un expert dans de la maniement du Kindjal ce long couteau qui ressemble un peu au gladius des légionnaires romains. il est efficace, discret et fort apprécié pour ses talents. Il aime sa nouvelle vie.
Un jour par hasard, dans un salon, son regard a croisé celui de Jasmine, ils se sont accrochés et ils ont su de suite, tous les deux que leurs âmes étaient liées. Ils se sont éloignés, chacun occupé à ses taches. Mourat a tout fait pour la retrouver et lui parler. Il sait qu'elle est la femme de sa vie. Il n'a eu aucun mal à savoir qui elle était et ou elle vivait. La deuxième rencontre a été magie. leurs lèvres se sont trouvées, leurs corps se sont serrés. Ils ont voulu être un. Depuis ils ne se quittent plus.
Mourat, le tueur, est si doux, si prévenant, si respectueux avec sa femme. Un contraste qui n'a rien de surprenant. C'est Jasmine, la féministe pure et dure qui est devenue une surprise. C'est elle qui a voulu devenir l'esclave de son homme. C'est elle qui a voulu recevoir la fessée sur ses genoux.
-Je ne suis pas sage, dit elle, corrige moi sept fois par jours, tu sais combien j'aime cela. Et Mourat a su faire et combler son épouse.
-attache moi et prend moi ainsi, comme ton esclave. Je n'ai qu'un désir, te servir et t'obéir. C'est cela qui me fait jouir. Et son époux a su récompenser son épouse.
-cadenasse ma chatte et porte la clé autour de ton cou. C'est mieux qu'une alliance au doigt. Mourat a sorti son kindjal et à percé son épouse comme il fallait. Depuis Jasmine est heureuse et en paix. Son vœux le plus cher s'est accompli.
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Allez zou, une petite histoire pour bien commencer 2021. ...l'effet tunnel...
Je travaille comme ingénieur dans une zone secrète en Arizona. Nous préparons les prochaines bases qui vont être implantées sur la Lune, Mars et autres corps de notre système solaire. Ma chef de service, Wira est une jeune indonésienne, toujours voilée, membre d'une secte musulmane très pieuse. Je n'ai jamais vu que ses yeux mais dès le premier regard, le jour où j'ai été affecté sur cette base, je suis tombé amoureux dingue de Wira. C'est con ce truc, aucune explication, j'ai su de suite que Wira était ma femme. Nos âmes étaient liées et cela depuis toujours, même par delà la naissance et la mort. Cette étrange impression que vous connaissez cette personne, qu'elle vous connaît parfaitement aussi et que tout devient si simple, si naturel. Un peu comme ces vieux couples qui ont usés les années ensemble, patiné leurs âmes et que plus rien ne peut séparer.
Wira n'est pas intelligente, non, c'est une génie. A 21 ans, elle avait déjà trois doctorats en poche et publié des thèses fort innovantes. Résultat, les services secrets américains lui ont mis le grappin dessus et elle s'est retrouvée dans cette base, à bosser comme une malade sur des recherches qui la passionnent. Elle est d'une énergie incroyable. Pour ma part, j'ignore comment je me suis retrouvé dans ce lieu futuriste, tout d'acier et de verre et je ne sais même pas quel est mon job véritable. J'ai certes un diplôme d'ingénieur, mais ici, entouré de tous ces savants émérites, on se sent un peu comme un cantonnier avec sa pelle qui regarde passer des voitures de course.
Un jour le général qui commande la base m' a convoqué dans son bureau meublé à l'ancienne, style 1800, sans doute pour se reposer le cerveau.
-Alors, il parait que vous ne savez pas pourquoi vous êtes sur cette base, m'a t'il dit en me regardant droit dans les yeux avec ce regard délavé, typique des très hauts gradés de west point. Un regard à la Westmorland. Cela m'a fait sourire.
-C'est exact. Je me pose la question tous les jours.
-Nous vous avons fait venir, ...un peu de force...j'en conviens car vous êtes le mari de Wari. Ne le savez vous donc pas?
Je n'ai pas su quoi répondre. Cela se voit tant que cela que je suis amoureux fou de Wari?
-C'est une savante d'exception. Elle a besoin de son homme et nous savons que c'est vous, alors ne perdez plus de temps et demandez lui sa main. C'est un ordre !
Visiblement le général aux yeux à la Westmorland décide de tout. Rien que pour le faire chier j'ai envie de dire non et puis....je vois les yeux de Wari et je craque.
-Ce sera fait avant ce soir.
Je me suis pointé dans le bureau de Wari. Elle porte son voile islamique comme toujours. Ses yeux...quelle merveille.
-Oui, de quoi s'agit il?
je n'ose répondre. Elle me regarde. Je devine son fin sourire sous son voile. Visiblement je l'amuse. J'espère qu'elle ne va pas me prendre pour son animal de compagnie, son labrador. Puis non, zut, je suis trop amoureux.
-Wira, voulez vous m'épouser.
Elle se lève et viens vers moi. Elle semble flotter dans ses voiles. C'est comme si elle glissait sur le sol. Elle me prend la main et pose un baiser dessus.
-Oui
Ce simple mot m'a électrocuté. Je ne sais ni pourquoi ni comment mais nos lèvres se sont touchées, nos langues se sont cherchées, nos corps se sont lovés. J'ai senti ses seins lourds contre ma poitrine. J'ai eu envie d'elle, de lui faire l'amour. Mais Wari me connaît parfaitement. Elle a su calmer mon ardeur.
-Après le mariage et tant que tu voudras.
Le mariage a été célébré sur la base par le général pour le civil et un imam de sa secte. Wari n'a pas voulu prendre de vacances. Nous avons baisé toute la nuit et le matin j'ai retrouvé le lit vide. Elle était déjà retournée à son labo.
Depuis, elle bosse, bosse et bosse. Je passe la voir quand je veux et je la tringle. Elle ne dit jamais non. Elle sait me faire jouir très fort en elle, prendre une douche avec moi et puis zou, de nouveau au boulot. Parfois, c'est elle qui vient. je me laisse faire. Elle dégrafe mon jean, sort mon sexe épais et s'empale dessus. Elle me couvre de baisers, m'inonde de cyprine parfumée. Elle sait se faire jouir sur mon sexe tendu, elle sait m'aspirer et me vider de ma semence. J'adore la laisser faire.
Parfois, je me pose la question. Suis je son époux ou son labrador? C'est pas le général aux yeux à la Westmorland qui va me donner la réponse cette fois.
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Lamia est franco libanaise, toute en très jolies rondeurs pour son époux qui en est fou. Lui , Sergeï, est presque malingre à coté, 1m75 pour 65 kg mais il est monté comme un Taureau, un bon 20 cm bien épais et endurant. Elle, c'est 1m 65 pour 145 kg de pur bonheur. Il ne faut pas parler à Sergeï des programmes minceurs qui passent en boucles dans les réclames TV. Quelle horreur cette idée de vouloir mincir. Pour Sergeï, rien n'est plus beau qu'une femme bien ronde.. Les maigres ne l'ont jamais fait bander. Avec Lamia il est au nirvana. Lorsqu'il va à l'Eglise il prie:
"Mon Dieu, si je dois aller au Paradis, faites que mes 72 vierges soient bien rondes, sans quoi expédiez moi directement aux enfers, là où on s'amuse et baise. "
Lamia est amoureuse folle de son "petit " Sergeï. Lorsqu'elle le serre dans ses bras elle se demande toujours où il est, c'est à dire dans quel pli et repli de son corps voluptueux il s'est enfoui.
Le problème avec cette pandémie c'est que le toubib de Lamia a poussé des cris.
-travailler, n'y songez même plus. Vous êtes en sur-risques avec votre surpoids. Je vous confine d'office.
Elle a donc du rester à la maison et passer au télétravail. Elle est secrétaire et son boss a été très conciliant. Par contre Sergeï qui est routier doit lui bosser en extérieur et se lever tôt.
La nuit Lamia ne peut dormir que si elle serre le pénis de son époux qui adore cela, lover sa belle queue dans la grosse paluche de sa femme. Elle ne le branle pas mais s'amuse à le garder en érection toute la nuit. Sergeï se laisse faire. C'est trop bon de sentir les rondeurs si douces de sa femme, sa chaleur, dans son dos. Le matin vers 4h, il est à point. Toute sa sève ne demande qu'à sortir. Lamia le suce et l'aspire goulument. Il se libère dans sa bouche et donne à son épouse sa ration de vitamines et d'énergie pour la journée.
Lamia adore laver son époux sous la douche. Elle ne peut pas avoir d'enfant, alors c'est un peu son bébé. Elle le savonne, le rince, le talque, l'habille et Sergeï aime cela, se faire bichonner par sa femme. Après un bon petit déjeuner, il file retrouver son camion le cœur heureux. Il n'a qu'une hâte, à peine parti, c'est de vite retourner à la maison pour pilonner la chatte de son épouse.
Le soir est enfin là. Lamia a préparé le repas. Elle s'est faite belle. Sergeï est trop impatient. Il l'a bien grosse et il veut se vider les couilles. Vite le canapé! Une levrette pour commencer. Ah ce cul superbe et généreux. Il s'enfonce d'un coup. C'est vraiment très jouissif. Lamia ruisselle. Il explose. Il n'a pas pu se retenir. Ce n'est pas grave, il sait qu'ils vont vite remettre cela. Lamia ne dit jamais non à son homme.
Sergeï allume une gitane sans filtre...rires. Il fume et laisse échapper:
-Tu es trop bonne Lamia. Je t'aime
Lamia ne dit rien et lui donne ses seins magiques a sucer et caresser. Le sexe de sergeï se dresse à nouveau....
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J'ai toujours aimé lire Guerre et Paix de Léon TolstoÏ, J'aime sa conception amusante de l'histoire où les grands hommes ne sont rien d'autres que des étiquettes sur des évènements historiques que personne ne comprend vraiment tant ils sont complexes. Sur ces évènements, l'auteur greffe des personnages fictifs qui vivent leurs vies. Seulement voilà, Tolstoï a ses bons et ses mauvais. C'est trop simple et je n'aime pas. De toute façon la fin de vie de Tolstoï avec son épouse a quelque chose de dramatique. Je veux donc réhabiliter certains personnages imaginaires crées, les décrire autrement. C'est libre. Parlons par exemple de celle que Tolstoï décrit comme une garce, Hélène kouraguine devenue Hélène Bezoukov après son mariage.
Tolstoï veut décrire une femme intéressée uniquement par la fortune de son époux, Pierre Bezoukov. Je ne crois pas à cette version. Je crois que si l'on offre à une femme le choix entre l'amour et l'argent, la femme choisira toujours l'amour et n'en aura rien à faire de l'argent. Un mariage arrangé, voulu par son père, un mariage sans amour, bref un désastre pour les deux. Cela me fait penser à Lady DI et le Prince Charles. Un mariage arrangé sans amour véritable. Il ne sert à rien de jeter la pierre à l'un ou l'autre, cela n'a pas de sens. Non, la femme du Prince Charles c'est depuis toujours Camilla et depuis qu'ils sont ensemble, c'est un fleuve paisible.
Pourquoi vouloir faire d'Hélène une garce alors qu'elle subit un mariage sans amour. Hé bien elle prend des amants, mais cela ne lui convient pas totalement. C'est un canon. Elle fait bander. Elle n'a aucun mal à multiplier les conquêtes mais elle est toujours insatisfaite. Elle a besoin comme toutes les femmes de l'amour total, complet, celui qui donne vraiment la paix et le bonheur, celui qui permet de construire. Ce n'est pas avec ceux qui veulent juste la sauter qu'elle peut trouver cela. Et Tolstoï en fait une garce, ce qu'elle n'est pas. Je n'aime pas Hélène, mais elle ne mérite pas l'opprobre. Le fait qu'elle ne soit pas heureuse, l'oblige presque à cette fuite en avant. De même, je n'aime pas Lady Di, mais elle ne mérite pas ce sort funeste.
Hélène est belle, c'est une des plus jolies femmes de Russie. Avec Pierre Bezoukov elle devient immensément riche. Ceux qui ont arrangé ce mariage ont cru faire bien. Jeune belle et riche mais pas heureuse pour autant. Alors oui, le sexe, les amants. Les beaux jeunes hommes des régiments. Ce n'est pas une garce pour autant.
Voilà c'est dit. N'en déplaise à l'illustre Tolstoï.
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Madian n'aime ni les hommes, ni les femmes, ni les chèvres et les chameaux, ni tout ce qui se déplace en marchant courant ou rampant sur la terre âpre. Aussi il s'est retiré au pied d'un grand arbre perdu tout en haut d'une montagne. Il n'accepte que la compagnie des oiseaux des vastes cieux. Il ne fait rien, vit de rien, juste il respire sous son arbre, boit l'eau pure d'une petite source et mâche des herbes amères. Il ne fait rien mais son esprit est en feu.
Il passe son temps à maudire les hommes, les peuples poussiéreux d'en bas, ces fous qui ne savent pas où ils vont. Ils les compare à des mouches sans ailes.
Les humains le lui rendent bien. Les chasseurs passent loin de son arbre, l'arbre du fou disent ils. Ils font bien car Madian excelle à jeter des pierres.
Seulement voilà, la sublime lila est une Madian au féminin, elle est son double ou sa complétude. Elle aussi déteste tout chez les humains. C'est ainsi qu'elle a cherché un lieux paisible loin de tout et que son regard à croisé celui de Madian. Ce dernier a voulu la chasser.
-Arrière sinistre femelle à mamelles qui n'apporte que le trouble.
Lila n'a pas répondu, elle a souri et trouvé Madian très beau. elle s'est installée plus bas dans une petite anfractuosité sous de gros rochers.
Tous les jours elle se rapproche et regarde Madian méditer sous son arbre. cela suffit à son bonheur. Surtout elle aime lorsque Madian l'aperçoit et s'énerve. Elle aime le voir entrer en rage. Ses colères sont pires que l'orage et le puissant tonnerre.
Lila est si belle. Elle aime se laver nue dans le torrent joyeux. Un jour Madian l'a surprise. Elle se faisait sécher au soleil sur les herbes vertes. Il est troublé. il ne peut exprimer sa colère. lila s'approche et se met à genoux. Elle a tressé un fouet avec des lianes. Elle le tend à Madian et dit:
-frappe moi si tu veux, tant que tu veux, mais ne m'ignore plus. Je t'aime, toi mon beau ténébreux. Je t'ai aimé dès que je t'ai vu.
Madian dédaigne le fouet. Il redresse Lila et la regarde dans les yeux.
-il est dit que la femme est plus rusée que le serpent, voilà que tu veux m'enchainer avec ton amour. C'est quoi l'amour? Encore des malheurs et des turpitudes ?
-Aime moi, laisse toi aller. Je sens l'émoi dans ton coeur. Je vois le trouble dans ton corps.
-Es tu une couleuvre ou une vipère. J'ai fui le monde et toi tu veux me rendre esclave du plaisir que je pourrais prendre entre tes cuisses. Pourquoi ne retournes tu pas dans la grande ville. Un prince te trouvera belle et voudra faire de toi sa femme.
-Mais c'est toi que j'aime, pas un Prince ou un riche marchand. Je n'ai que cela à t'offrir.
-Mais pourquoi veux tu m'offrir ton amour. Je ne demandes rien.
Lila est retournée au bord de la rivière et s'est allongée sur son fin matelas d'herbes douces. Elle a pris soin de bien cambrer sa croupe sublime. Une invitation au viol. Madian ne peux pas résister. Le besoin de s'accoupler est trop fort....Rires
La morale de cette histoire, c'est que même loin de tout, la nature trouve toujours un moyen pour qu'un homme et une femme puissent s'accoupler et procréer.
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Décidément cette petite conne de Samia, une adulte consentante et fort jolie qui adore les scénarios d'infantilisation, ne comprendra jamais ses leçons. J'ai beau lui flanquer de copieuses fessées, la mettre au piquet, l'enfermer dans le placard à balais, rien à faire, Samia ne comprend rien et se trompe toujours. A croire qu'elle fait exprès pour être punie de plus en plus sévèrement.
Pour y voir plus clair, je l'ai prise chez moi en cours particuliers pour un week end. Cette petite conne est arrivée avec sa jupette plissée, ses longues chaussettes mi bas de laine, ses chaussures vernies et ses couettes. Elle avait une sucette en bouche et ce manque de respect lui valu de suite une bonne paire de gifles. Elle serrait les genoux et a dit:
-Madam j'ai envie pipi
Je l'ai conduite aux toilettes et elle n'a pas pu se retenir. Elle a fait devant la porte. Elle voulait visiblement me faire perdre mes nerfs. J'ai sorti ma cane anglaise bien souple et son petit cul est vite devenu rouge. Elle a du tout nettoyer à quatre pattes et bien astiquer le sol. Cela au moins, Samia savait faire à peu près bien. Elle a du aussi laver sa petite culotte à la main et la faire sécher sur le poêle. C'est un froid week end d'automne, une journée de brumes où il fait bon rester au chaud.
C'est vrai que Samia a un adorable petit cul et un joli petit minou de femme qui adore jouer à l'écolière pas sage. J'ai eu envie d'elle et nous sommes montées dans ma chambre. J'avais envie de lui bouffer sa chatte pendant qu'elle sucerait mon clito. Nous avons joui très fort toutes les deux. Un pluie fine frappait contre la fenêtre de la chambre. Nous avons glissé sous la couette pour être bien au chaud.
Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de materner cette petite conne de Samia. Je lui ai donné le sein. Elle a sucé et s'est endormie comme une bébé.
Cela ne faisait pas avancer les devoirs. Mais pour une fois, j'ai décidé de prendre mon temps, de ne pas tomber dans le piège des fautes exprès pour recevoir des corrections. Non, j'ai décidé de conduire le jeu. Samia s'est pliée, cambrée. Elle a beaucoup gémi et supplié. Nous avons fait l'amour souvent. Elle a eu droit à son collier avec un bel anneau. Elle a adoré dormir nue au pied de mon lit, en bonne chienne bien dressée.
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Oleg et Kathrin sont en couple. Ils adorent baiser. Ils se sont rencontrés dans un club de lutte Gréco Romaine de Moscou. Bien sûr,, ils ont voulu jouer à la lutte sexuelle où celui qui gagne domine l'autre. Interdit de pénétrer l'autre pendant la lutte, par contre pour compenser la différence de masse, Kathrin a droit à la saisie des couilles et du pénis. Une arme redoutable qui lui donne souvent l'avantage.
Oleg croit avoir gagner. Il écrase Kathrin de tout son poids et l'immobilise. Il protège ses couilles de la main droite. Kathrin est rusée. Cette fois elle glisse sa langue dans une oreille d'Oleg et le chatouille. Il se déconcentre. Trop tard, une main vient de le choper par les couilles...
-Alors mon doudou, on fait moins le malin.
-Salope, tu m'as encore baisé
-Tu abandonnes ou je te castre ?
-J'abandonne pardi, pas le choix. On devrait interdire les chatouilles dans les oreilles.
-Dis pas de conneries, t'as pedu, t'as perdu, on râle pas et tourne toi, je vais t'enculer au god ceinture, tu te sentiras bien mieux après.
-Salope ! ...putain pas si fort avec le god...Ouille...
-Mais t'es une vraie gonzesse mon doudou et tu aimes cela, regarde tu coules.
-Salope, tu me fais jouir.
-Allez, viens mon doudou, viens te finir dans ma chatte, tu l'as bien grosse à présent.
Oleg ne se fait pas prier, il défonce la chatte de Kathrin qui ruisselle et explose un orgasme de mammouth de Sibérie.
-Putain que c'est bon ! t'es la plus grosse salope des rives de la Volga !
La morale de cette histoire c'est qu'un enculé bande mieux après s’être bien fait mettre.
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Jean Michel se travesti depuis tout petit. En cachette d'abord, puis ouvertement avec l'aide de sa mère. Celle ci l'avait découverte un jour en train d'essayer sa lingerie et l'avait trouvée très mimie. c'est elle qui lui a appris à s'épiler, se maquiller et à vivre en fille. Une parfaite complicité et entente. Sa mère y est allé au culot et a réussi à le faire inscrire comme une fille dans une école mixte et cela a très bien fonctionné. Jean Michel a disparu, si tant est qu'il ait existé un jour et a laissé place à Jemma. De toute façon son micropénis ne bande pas et même en sport il a fait parfaite illusion avec les filles.
Devenue grande Jemma, qui est intelligente s'est trouvée un bon job comme cadre dans une grande société de commerce international. Seulement voilà, son chef de service la trouve fort jolie et semble dingue d'elle. Jemma a toujours réussi à éviter les aventures, de peur d'être découverte. Elle ne se sent bien qu'avec les garçons. Dans sa tête elle se sent femme et donc hétéro.
Lucas, son chef de service parvient une fois à la coincer dans l'ascenseur. Il n'en peut plus, n'en dort plus. Il sait que Jemma est la femme de sa vie. Alors il lui vole un baiser. Il ne reçoit pas de gifle. Jemma est rouge, troublée. Son premier baiser....et Lucas qui recommence. C'est si doux, si bon.
Suivent les premiers rendez vous, les premières sorties, les premiers restos. Lucas est sage. Il se contente de l'embrasser, de peloter un peu tendrement, mais reste très sage. Ils partent un week end ensemble. Jemma sait que cette fois elle va devoir y passer. Sa regrettée mère, lui a appris une chose: ne jamais avoir honte de ce que l'on est et assumer la différence. Elle se dit que si Lucas l'aime et la veut pour femme, il devra l'accepter comme elle est.
La première nuit d'amour est un enchantement. Lucas la dépucelle en douceur. Il aime son micropénis qui ressemble à un gros clito et qui reste mou, juste gonfle t-il un peu sous les caresses. Il adore ses petits seins et ses fesses bien musclées. Il est encore plus fou d'amour.
C'est là que Jemma se surprend. Lucas revient nu de la salle de bain et elle trouve ses fesses jolies. Elle le prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée. Lucas est un peu récalcitrant au début et pourtant très vite il adore. Il jouit même sur les jambes de Jemma.
-pourquoi as tu fait cela? Dit Lucas en se massant les fesses. En plus tu m'as fait jouir très fort.
-Je ne sais pas. J'ai eu envie. J'aimerai t’attacher aussi, Utiliser une cravache, un fouet, des pinces. Bref je sens cela en moi et c'est très fort? Je n'y peut rien. C'est comme mon besoin d'être en jupe depuis tout petit.
-Tu es une dominatrice....
-Oui mon Lucas et tu aimes cela, regarde, cela te fait bander. Tu ne peux pas cacher ta nature. Tu as envie d'être totalement soumis à ta femme. Allons viens, je vais t'attacher et te punir un peu. A genoux mon chéri et obéis, c'est la place que tu souhaites près de moi.
-Oui maîtresse
- C'est bien, tu vas commencer par m'embrasser les pieds et bien les masser. Après tu me feras encore l'amour. J'ai adoré. Tu me rempliras bien de sperme; je sens que cela me fait beaucoup de bien.
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(Réédition du 07/07/2020 -> 20/04/2024 - 1103 Vues)
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Quelles peuvent être les véritables raisons, qui poussent les femmes mariées à s'ouvrir au BDSM ?
Quelles sont les limites de ces femmes censées être sociétalement établie ?
Ironiquement, deux questions qui n'ont que finalement que très peu d'importance, lorsque l'homme entreprends une relation BDSM avec une femme mariée.
L'auto-satisfaction de la conquête ou de répondre à l'envie d'adultère paralysant toutes exigences, à savoir si la relation que l'on débutera sera aussi éphémère que futile.
Et c'est lorsque le plaisir de consommation retombe, qu'un vide abyssal se dévoile en terme de compréhension et de communication envers l'autre.
Comprendre que le domaine du BDSM est affilié à un public de "niche", c'est accepter que pour beaucoup, c'est la facilité de palier à une frustration en utilisant l'autre qui attire..
Aucunement de se donner dans ses pulsions viscérales, pouvant se révéler invivables en solitaire, et s'ouvrir à une perspective d'avenir moins sombre avec un partenaire adéquat.
Pour en appréhender la portée, la Domination / Soumission appelle à l'état de conscience suivant :
Est-ce que le plaisir BDSM des femmes les amènent t'elles à s'accepter, ou à s'éloigner de leurs chemins à s'épanouir dans leurs existences ?
07 - Les femmes dites "switch" au service de la compréhension des femmes mariées ?
"Soit "Switch" ou mariée !" : Pourrait-on dire à l'étalage flagrant de profils les plus répandus sur internet, ou du chouinement perpétuel des femmes envers la gente masculine, dans leurs propos de la vie quotidienne.
Pour en découvrir la raison, et ainsi permettre de faire la part des choses entre une volonté de s'émanciper dans leurs vies sexuelles, tout en s’affranchissant de l'homme.. Intéressons-nous à certains traits* de l'attitude "switch" :
La frustration et les tensions étant légion dans le domaine du BDSM, l'aspect "switch" est une attitude basée sur l'incertitude et l’opportunité.
Les "switchs" sont de véritables couteaux suisses, où leurs polyvalences leurs offrent un argument de choix à ne pouvoir se placer et s'investir dans une relation, par jeux ou nécessité.
Un mécanisme propice à combler ou renouveler une partie de leurs libidos, non dans une aspiration à s'épanouir.
Entre amertume, désappointement, et famine... 3 raisons majeures poussent les femmes à devenir "Switch" pour continuer à côtoyer l'homme :
- Entre amertume et désir, d'accéder aux plaisirs "simple" de l'homme (Penser que l'hypothétique "pouvoir" d'imposer, ou répondre à une demande, soient liés à la notion d'aller plus facilement vers son plaisir).
- Le désappointement de ne pas avoir atteint son paroxysme de plaisir et d'épanouissement en tant que femme (Vouloir témoigner leurs hautes frustrations à leurs partenaires, sous le couvert de pratiques Dominantes).
- L'état de "famine sexuelle" de ne pouvoir sustenter leurs besoins nutritionnels personnels (Espérer dans la dévotion au plaisir de l'autre, un retour sur investissement en terme de plaisir charnel ou au moins dans l'égo d'avoir été utile).
En résulte une dualité à vouloir se différencier de l'homme et non de le compléter, et pourtant s'évertuer à mimer sa vénalité et son adaptabilité pour arriver à ses fins.
Les femmes dites "switch" et les femmes mariées se rejoignant sous la même bannière : "Ce que tu ne peux atteindre, tu le deviens."
08 - L'Union ou le Célibat ; Quelle est la source ou l'origine d'un meilleur épanouissement BDSM ?
Le BDSM amène à un état de conscience développé.
Il réponds à un besoin perpétuel à se réguler, et à l'hypothétique désir "d'être", ce que l'on était destiné à "être".
Pour la métaphore, c'est comme faire face au cahier vierge de sa vie, que tous le monde possède à sa naissance, et se torturer à écrire dessus de ses doigts ensanglantés..
Tout cela parce qu'un "vil" environnement, nous a piqué notre crayon ou notre stylo.
La Domination étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, cela ne nous empêcherait pas de faire et d'écrire de la "merde".
La Soumission étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, nous ne l'utiliserions pas pour autant, de peur de raconter des "conneries".
Un désir fort d'exister et de compenser en révélant une authenticité qui nous est propre, et par la même occasion approcher de notre ferveur à l'ouvrage, une des vérités absolues de la vie.
Il sera toujours possible de copier ou d'écrire sur le cahier de son voisin, mais il est assurément plus difficile d'écrire à deux avec le même stylo, pour raconter sa propre histoire !
Clairement, pour n'évoquer que ces autres exemples métaphoriques, un couple ouvert d'esprit écrivant son expérience au crayon, aura toujours la possibilité de réécrire sa propre histoire individuellement..
Tandis qu'un couple l'ayant écrit au stylo, témoignera à jamais de sa frustration à vouloir effacer ou se ré-accaparer ce qu'il ne leur appartient plus, car tombé sciemment dans le "tronc commun".
Vouloir se donner plus de force à se convaincre que son ou ses partenaires soient nécessaires à son propre épanouissement, est du domaine de la puérilité ou de la paresse, aucunement du BDSM.
La femme mariée par définition, a autant de possibilité de s'investir dans une relation BDSM que la femme célibataire.
Encore faut-il qu'elles s'avouent toutes les deux, que ce n'est pas une question de chance ni de disponibilités, mais bien d'un travail préalable d'introspection personnel, réel et immodéré.
09 - Y a t'il un âge révélateur de l'éveil des pulsions BDSM d'une femme mariée ?
Si l'on se devait de faire des conjonctures et statistiques sur des tranches d'âges des activités pulsionnelles des femmes mariées, 4 périodes seraient mise à l'honneur :
De 18 à 25 ans : Age révélant l'idéalisme, ou au contraire l'aspect militant d'une femme mariée.
Une volonté et plaisir à se trouver des preuves à s'aimer, et s'appartenir par un esprit de mise en valeur, de sécurité, ou de fuite en avant.
De 26 à 39 ans : Age révélant sa maturité ou sa puérilité à faire face à la vision de son corps se transformant irrémédiablement.
Dans l'enfantement, dans l'assèchement et l'épuisement professionnelle, ou dans la boulimie à vouloir profiter de la vie.
De 40 à 50 ans : Période d'âge où la notion des contraintes d'horloge interne prends tous son sens.
Et qui en découle l'anxiété d'un sursis d'une ménopause à venir, l'évolution d'un corps et de son humeur qui désormais ne nous appartient plus, ainsi qu'une perception différente du plaisir et de son bien être.
Plus de 50 ans : l'âge de la résolution, de la résignation, ou de la détresse palpable du corps et de l'esprit.
Où la principale activité d'une femme n'est plus de cumuler du plaisir, mais au minima de le retrouver.
Majoritairement, les femmes mariées ou célibataires s'évertuent à prendre élan sur le BDSM pour ne pas penser à la réalité de la vie qui leurs échappent. Les femmes ayant besoin de Soumission quand à elles, n'aspirent qu'à la commencer.
Les femmes et mères à l'apogée de leurs maturités, ou à contrario à bout de souffle, ont plus un besoin BDSM pour faire un bilan de leurs vies, plutôt qu'à envisager de s'épanouir dans ce substitue.
Un désir de troquer ne serait-ce qu'un instant, "leurs chronomètres" accrochés à leurs cous (Représentation de leurs horloges internes qui défilent), par le collier tout neuf d'un Dominant (Représentation de l'emprise et d'un plaisir éternel).
La stimulation qu'engendre ce "médoc" qu'est le BDSM, étant propice à être de nouveau en accord avec elles-mêmes.
(Le BDSM pouvant être affilié à la "pilule bleu" de l'homme à se redécouvrir une nouvelle jeunesse, dans un bon coup de fouet !)
En conclusion :
Plus excitée par la transgression, que pour se livrer à un dépassement de soi dans le BDSM, la femme mariée souhaite être plus fidèle à elle-même, que Soumise à l'autre à proprement dit.
Sujette à l'obsession à se prouver "qu'elle vit sa vie au lieu de passer à coté", l'homme sert de "défouloir" pour ces femmes se plaignant de ne jamais joindre le "service après-vente" de la vie.
Celle-ci leur ayant vendu d'office la certitude de ne jamais oublier ce pourquoi leurs corps sont programmés à réaliser, reléguant leurs épanouissements en second plan.
(*Oui parce que bon, je vais pas écrire systématiquement 5 articles pour traiter une thématique !)
A suivre : Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 4 sur 5)
Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)
https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins -> Les trois chemins.
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Voilà, nous y sommes, l'histoire N° 100 sur bdsm.fr. Je ne pensais pas arriver jusque là. Écrire est un plaisir. Il suffit de commencer, une première histoire, un premier personnage, et cela vient seul, c'est magique. Ce qui est intéressant, c'est de poser un thème, une question et de laisser une sorte d'alchimie opérer seule.
Pour cette histoire N° 100, la question que je me pose c'est le mystère des affinités. reprenons nos personnages. Pam et Joe. Pourquoi ont ils eu ces affinités depuis le début et ce pour aller jusqu'au mariage. Écrire c'est regarder vivre les personnages générés par le récit. Ils vivent leurs vies, indépendantes de l'auteur qui ne fait que prêter ses doigts pour les retranscrire du mieux qu'il peut.
Pam et Joe ont rejoint leur base dans un coin de désert perdu. Ils ont repri leurs recherches pour l'armée sur les implants cérébraux. Pam fait toujours l'amour à califourchon, bien fichée sur la bite tendue de son homme et c'est toujours elle qui conduit l'acte. Elle pisse toujours debout. Ado, elle croyait être une FTM. Une garçonne manquée? L'exploration de ses mémoires akashiques vient de lui donner un nouvel éclairage. Son époux a eu une très bonne idée de lui offrir comme cadeau de mariage ces plongées, avec Akhor comme guide expérimenté, dans ses vies antérieures. Elle comprend mieux pourquoi elle est amoureuse de Joe. il se connaissaient déjà, avant même de naitre.
.Dans grand nombre de ses vies antérieures, Pam a été dans l'armée, souvent comme officier, souvent mort(e) très jeune au combat et presque toujours en homme. Elle appartient à la caste des guerriers.Le sacrifice de sa vie ne lui pose jamais de problèmes, elle fonce tête la première. Elle est de ceux ou celles qui, lorsqu'on demande des volontaires, avancent toujours d'un pas.
Elle a rencontré Joe depuis longtemps, très longtemps. Il se sont aimés déjà. Joe appartient à la caste des princes, des nobles, ceux qui ne respectent rien et doivent subir les conséquences au niveau du karma. Ce qui explique son handicap de départ dans cette vie actuelle. Joe a souvent été en femme dans ses vies passées. C'est comme cela qu'il se sont aimés. Le jeune officier qui devient l'amant d'une noble sensuelle et passionnée. Le jeune officier qui joute avec panache pour se faire remarquer de sa belle.
-Tu sais, Pam, cette étrange impression de déjà vu ressentie par tous les deux , à notre première rencontre., c'est vraiment comme si nous nous sommes toujours connu. C'est si simple et naturel entre nous.
-Oui, comme un très vieux couple, répond Pam, un vieux couple sur des millénaires. Sauf que, dans nos vies antérieures, nos retrouvailles, c'était toujours moi l'homme et toi la femme, à l'inverse d'aujourd'hui. J'ai du mal à ne pas avoir un beau pénis entre les jambes. J'en ai beaucoup souffert quand j'étais ado et que ma poitrine poussait.
-Être une femme c'est ta récompense, c'est pour que cette vie ci soit plaisir et jouissance pour toi. Tu n'as pas pu t'empêcher d’être de nouveau militaire et tu es vraiment magnifique en femme officier. Moi j'ai du faire le con et je dois payer. Je suis presque né estropié.
'
-La belle et la bête, dit Pam en riant. Et avec tes recherches c 'est reparti pour de nouvelles emmerdes avec ton karma. Le dernier Terminator est vraiment effrayant.
-Oui, un monstre avec neuf ogives nucléaires tactiques, un 20mm rotatif à munitions conventionnelles explosives, un laser hyper fréquence, le vol dronique longue distance, la furtivité...il peut raser Beijing ou Teheran en quelques secondes. Tu as raison, en coopérant à la réalisation de ce Terminator, j'arrange vraiment pas mon karma. Mais bon, nous sommes des militaires.
-Je me suis fait très souvent trouer la peau dans mes vies antérieures, mais cela semble avoir bonifié mon karma, dit Pam. Cela me donne envie, de me faire trouer autre chose de plus ludique. Elle éclate de rire.
Joe regarde sa femme et l'empoigne d'un coup sec.Il l'embrasse..lui aussi a une grosse envie. Pam se laisse faire et se retourne.C'est toujours elle qui prend les initiatives en amour. Elle se cambre et frotte ses fesses contre la bosse du pantalon de son homme.
Joe la déculotte aussitôt et lui administre une féssée monumentale. Pam en bon soldat ne bronche pas. Elle a le cul bien rouge et visiblement elle adore.
-Tu sais, dès que je t'ai vue, j'ai eu envie de te sodomiser. Tu as des fesses incroyablement fermes et bombées. Il se baisse et lui lèche la rondelle. Il la mouille bien avec sa langue. Puis il l'embroche d'un coup.
Pam hurle. Joe est au fond et ne bouge plus. Il sait qu'il faut laisser passer la douleur. Puis il commence le va et vient. Pam se cambre. Elle ne tarde pas à jouir. Joe lui empoigne la chatte sans ménagement. Sa femme ruisselle, elle couine, elle se tortille puis s'embroche d'elle même jusqu'à la garde.
-Mais tu y prend goût ma chérie. Tu crois pas que tu était un peu gay dans tes vies passées pour baiser aussi bien par derrière. C'est ta première sodomie et tu es déjà experte.
Pam ne dit plus rien. Elle explose un superbe orgasme anal dans un long râle. Son corps se tétanise. son anus se contracte. Joe est prit au piège. Ils sont de nouveau soudés.Cela fait rire Joe. Il embrasse sa femme dans le cou.
-Cool bébé, relax. Profite de ta vie de femme. D'après Tirésias tu as 9 fois plus de plaisir que moi. Détends toi, j'ai encore envie. Et Pam se détend, elle s'ouvre de nouveau et Joe reprend sa séance de marteau niqueur. C'est beau l'amour conjugal sur des millénaires. Je comprends mieux en écrivant cette histoire pourquoi les Dieux envient nos existences de mortels.
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(Réédition du 09/05/2020 -> 20/04/2024 - 1352 Vues)
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Parce qu'il est plus facile de se mettre à 4 pattes pour son plaisir, que de s'agenouiller devant un homme pour son bien être, la vision du BDSM est souvent abstraite ou au mieux exotique dans le regard d'une femme mariée.
04 - Qu'est-ce qui pourrait révéler le potentiel de Soumission d'une femme mariée ?
En prenant en compte les réactions pulsionnels inhérentes à toutes les femmes (Mariées ou non) dans leurs désirs à se Soumettre, 3 principaux points sont à identifier :
Leurs rapports aux notions de "feeling", de "respect", "d'exclusivité".
- "Feeling" : Si une femme se base sur la notion de "feeling" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle ne veut absolument pas se Soumettre, mais se mettre en appétit.
Elle revendique son droit d'entamer ou de cesser toutes relations à sa guise, non pas par exigence et "instincts naturels" à la porter en avant et vers le haut, mais symbolise en ce mot son manque d'intellect à savoir véritablement ce qu'elle fait et où elle va.
Couramment utilisé par les Masochistes dites "brat" ; Elles vous attisent autant qu'elles vous protègent à vous signifier que votre relation ne sera pas perenne, car ce n'est assurément pas dans leurs désirs.
- "Respect" : Si une femme se base sur la notion de "respect" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle se cherche en tant que femme dans le regard de l'autre, pas à se Soumettre.
Une imposition qui revendique son droit à être sacralisé par rapport au travail accompli dans ses actes, mais symbolise sa méconnaissance d'elle même, et souhaite qu'on lui décerne une médaille en chocolat pour ses bons et loyaux services.
Souvent hors-sujet, sèche, voir flétrie dans ses propos, elle n'aura de cesse de vouloir se trouver des raisons à continuer et à justifier son parcours de vie dans son couloir de principes, plutôt qu'avoir la volonté d'évoluer dans la Soumission.
- "Exclusivité" : Si une femme se base sur la notion "d'exclusivité" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est que c'est la peur qui la motive dans la plupart de ses décisions, pas la Soumission.
Principalement adepte du développement personnel, la stabilité d'une relation est pour elle un confort propice à ne plus se justifier de son manque d'assurance à enfin être "casée".
Ce n'est pas dans ses objectifs de se donner les moyens d'introspection à trouver sa place dans sa vie, et d'enfin pouvoir évoluer. Son désir est à se cacher dans des attroupements superficiels pouvant la soutenir dans ses désirs enfantins.
Il est important de garder en tête que garder le "contrôle" (Notamment de l'image) pour une femme est devenu au fil du temps, un fer de lance et une plaie, qu'elles ne peuvent se défaire librement dans leurs plaisirs.
Et si celles-ci n'admettent en rien leurs incapacités à déposer les armes d'elles mêmes, alors que c'est le premier pas vers la Soumission, leurs causes est à profiter, s'évader, et se justifier... Pas à évoluer dans l'extrême.
Il n'est pas nécessaire de posséder de Soumise(s) pour être Dominant, comme il n'y a pas besoin d'être possédée par un/des Dominant(s) pour être Soumise.
L'homme Dominant n'est pas un exutoire pour femmes véloces dans leurs propos, et se révélant paresseuse dans leurs parcours de vie.
La Soumission anoblie, mais n’absout jamais.
05 - Que recherche une femme mariée dans une relation extraconjugale ?
Se sentir Chienne. Un point d'entrée à arpenter un site de rencontres.
Se sentir Acceptée. Un point d'entrée dans leurs exhibitions.
Se sentir Exister. S'ouvrir ouvertement et physiquement dans leur sexualité.
"Ressentir que l'on vous trouve équilibrée sous tous rapports, alors qu'un aspect de vous primitif et vorace à juste besoin de se faire défoncer sans aucune vergogne, à en crier de douleur et de plaisir."
Il est beaucoup plus aisé de se familiariser avec cette formule pour les femmes mariées, que les femmes en roues libre voulant se garder de cette image, dans leurs utopies d'unions qu'elles désirent parfaite.
Sachant cette notion, il est d'autant plus plaisant pour la femme mariée de pouvoir solliciter les faveurs des hommes de par son accessibilité et son ouverture d'esprit, tout en ayant le plaisir d'agacer et de coiffer sur le poteau leurs concurrentes.
Alors que les femmes célibataires transpirent leurs idéologies d'exclusivité, comme si le plaisir qu'elles pouvaient donner était leur bien le plus précieux à délivrer dans l'intimité..
Les femmes mariées s'éjectent de leurs responsabilités, avec comme seul argument qu'elles l'ont bien méritées.
Arborer fièrement de porter à bout de bras une famille, et se sentant vitale à sa pérennité.
Un contraste avec leurs craintes, de ne plus pouvoir assurer leurs activités et obligations personnelles et professionnelles.
Une destinée à se donner bonne conscience dans un acte de plaisir extrême et salvateur, à pouvoir endurer leurs routines qu'elles se sont elles-même imposées.
06 - Quelles sont les ressources déployées par une femme mariée pour son plaisir BDSM ?
Se servant habituellement de la vanité et de la faiblesse de ses prétendants pour plaire, elle se trouve un renouveau dans un désir de jouissance frontale avec les Hommes Dominants.
Un cadre BDSM posé, elle sera ouverte à l'expérimentation, aux échanges et pratiques aussi bien virtuelles que réelles.
Et c'est d'ailleurs à ce stade que l'on s'aperçoit bien vite qu'une femme mariée n'a jamais le temps dans ses obligations, mais le trouvera toujours dans son excitation.
Elle sera disposée à suivre vos directives vous enviant votre indépendance, votre liberté d'action et vos choix de vie, lui octroyant une bouffée d'air frais supplémentaire à vous déléguer sa libido.
Sujet à des contrariétés dans son cocon familiale, elle oscillera aussi bien entre sa passion de vous séduire et vous fidéliser, qu'à vous exprimer sa colère, sa déception et son amertume pour ses proches.
Un moment clef qui déterminera l'orientation de votre relation, à qu'elle vous voit en amant confident, ou en Dominant sachant garder ses distances.
Par causalité, la force "par défaut" des femmes mariées n'est pas de se livrer dans un travail de Soumission, mais à s'abandonner dans leurs pulsions.
Se voulant contraintes de nature, leurs capacités à se mouvoir vers le BDSM, n'a d'égale que le lestage de leurs mariages qu'elles lustrent à leurs pieds.
Un boulet qui les rendent "canons" et accessibles aux regards des un(e)s, comme clairement superflues et handicapées aux regards des autres.
La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5419/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-3) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 3)
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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Djamila est la femme la plus laide de toute l'aride Arabie brûlée de soleil. Son père est fort riche, mais la dot n'y fait rien, Djamila est trop laide et personne pour l'épouser. Son père se désespère et invoque Allah.
-Oh toi le grand et le miséricordieux, voilà que je me lamente et t'implore. Envoie moi un bon et brave époux pour ma Djamila. Elle est capable de dérouler le tapis, de préparer la couche et de bons repas. Elle est habile pour compter avec le boulier. Ah ma Djamila, je t'implore, envoie moi un époux pour elle. Ton fidèle serviteur.
Allah entendit la prière. Il est celui qui exhausse ceux qui se lamentent et osent demander. Il envoya Ahmed, un orphelin sans le sous, un vagabond sous les étoiles. C'est qu'Ahmed aime se retirer seul dans le désert, dans les grottes obscures, sur les roches escarpées, dans les lieux où il n'a pas à subir les sarcasmes et les coups de pied des riches.
Lui aussi invoque Allah le grand;
-Donne moi abondance et richesse que je puisse moi aussi me moquer de mes ennemis.
C'est dans le désert qu'il rencontre un jour le père de Djamila qui chasse l'antilope des sables. Ce dernier se perd dans les dunes sans fin et tombe sur Ahmed qui prie sur une roche isolée.
-Que fait tu sur ce caillou mon brave?
-J'invoque le Seigneur pour qu'il m'envoie la richesse.
Cela fait rire le père de Djamila. Il comprend qu'Allah vient de lui faire rencontrer l'époux.
Dès que Djamila voit Ahmed, elle est comme transfigurée.Elle sait que c'est l'homme de sa vie.Ses yeux brillent, un fin sourire illumine ses lèvres et Ahmed la trouve belle. Le mariage est vite scellé et Ahmed et Djamila s'enferment 15 jours sous la tente, sans plus sortir. Ils ne font que baiser. Un long coït interminable. Un feu d'artifice avec des milliers d'orgasmes. Et plus Djamila baise et jouit et plus elle devient belle et rayonnante.
Lorsqu'ils sortent enfin de leur tente d'amour, personne ne les reconnait. Ahmed se comporte comme un Prince et Djamila comme une parfaite épouse comblée. Son père offre des dattes, du lait de chamelle et des galettes à Allah le grand pour le remercier. Un vrai miracle.
La morale de cette histoire, c'est que la pierre rejetée est celle qui consolide une maison.
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(Réédition du 28/04/2020 -> 20/04/2024 - 1438 Vues)
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Les femmes mariées ont-elles des prédispositions dans la Soumission ?
Qu'est-ce qu'une Femme Mariée dans son désir de sérénité, ses pulsions extrêmes, et sa volonté à s'épanouir dans une relation BDSM ?
Entre illusion et idéalisme, frustration et désir de consommation à outrance, à l'éveil de leurs pulsions, les femmes mariées convergent toutes vers les sites où la lubricité est Reine.
"Vers un dernier regain d'énergie, pour une jouissance se voulant libératrice" pourrait-on dire de celles-ci.
A travers un dossier décryptant certains profils de femmes, leurs façons de penser et de réagir par leurs pulsions qui les étreignent, et les répercussions de leurs actes sur leurs environnements..
Plongez dans un sujet des plus captivants, où le rêve a plus d'importance que l'objectivité, la débauche a plus d'importance que les responsabilités.
Et d'une vérité qui ne peut qu'éclater ; Leurs besoins de vouloir respirer à tout prix.
01 - A qui s'adresse cet article ?
Ironiquement, moins pour les femmes mariées que pour leurs partenaires de vie, ou d'un soir..
Cet article pouvant se révéler dur et anxiogène pour les femmes n'ayant jamais effectué un travail d'introspection (Voir nuisible dans leurs désirs de spontanéité à se donner pour le plaisir).
Il est plutôt recommandé pour les hommes en devenir, les "cocufiés", ou simplement les Dominants à la petite semaine ne comprenant pas les raisons de leurs ruptures avec ce type de femmes.
Même si il est extrêmement difficile de se définir en tant qu'être humain dans une société pré-établie, seul les travailleurs/ses y trouveront leurs comptes dans ces écrits et conserveront une certaine excitation dans leurs lectures.
Le but de celui-ci n'étant pas de se donner bonne conscience, mais de se donner les "clés" indispensables à la compréhension de ces femmes, afin d'identifier leurs bien être de leurs plaisirs, et leurs besoins de leurs envies.
02 - Quels sont les principaux profils de femmes mariées arpentant un site de BDSM ?
- La femme dite "Vanille".
- La femme dite "Débauchée".
- La femme dite "Masochiste".
- La femme dite "En relation BDSM".
- La femme dite "Vanille".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme dite "Vanille" a généralement une attitude constructive de communication dans son couple.
Mais ne sachant pas comment fonctionne l'homme, elle sera d'une nature à vouloir régler sa frustration sexuelle et émotionnelle de façon factuelle (Rationnelle) sans connaitre la façon de l’appréhender de par ses pulsions de femme qu'elle décidera sciemment d'ignorer.
Les échanges se révélant souvent infructueux avec leurs conjoints, elle aura d'autant plus de justification à rejoindre des groupes (Notamment créée par des ami(e)s extravertis), ou des communautés de sites "d'informations" sur les relations de couples.
Profitant de ces escapades sous le couvert de vouloir faire évoluer leur couple, c'est souvent dans ce cadre que les femmes "vanille" se découvrent le temps et l'excitation à explorer des pratiques jamais réalisées auparavant (Voir refoulées).
Il sera très difficile de faire la part des choses pour elle par la suite, oscillant entre son désir et son "travail" de faire revivre une continuité dans son couple, et l'ivresse de son appétit récemment découvert.
Elle échouera de façon ponctuelle sur des sites BDSM de part ses rêves d'un amant fougueux et charismatique, ou d'un homme façonné de toute pièce estampillé "50 nuances de Grey" (Personnage créé et commercialisé pour satisfaire les désirs utopique des femmes sans expérience, et ayant bien sûr un pouvoir d'achat).
- La femme dite "Débauchée".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme débauchée se veut sportive, créative et originale.
A la fois synonyme de sa volonté de dépenser son énergie, que pour sa capacité à vouloir "leurrer" l'autre de ses besoins constants hors-normes.
Ayant un fort désir sexuel et de fraicheur de vivre, sa relation de couple se sera basée essentiellement sur des hommes simples ayant eu juste le courage de les aborder.
Cependant, sachant sa lubricité latente, et prônant les concessions envers leurs conjoints pour contrebalancer sa libido se rapprochant à l'apogée de la Nymphomanie, elle n'aura aucune stratégie à long terme pour contrecarrer l'épuisement moral et physique de leurs partenaires.
Une routine s'installant de leurs "sens du service" contribuant à l’oisiveté de leurs conjoints, "qu'eux" attribueront à une "stabilité" de couple.
Un mensonge éhonté sur ses besoins extrêmes dès la création de leurs relations, qui l'a feront chavirer à 180 degrés, l’obsession et la satisfaction sexuelle d'un mâle passant maintenant avant toutes choses.
- La femme dite "Masochiste".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme Masochiste se veut cultivée, distinguée et marginale.
Ayant une approche emplie de volontariat et d'initiative envers son partenaire, ses pulsions l'a porteront vers un tempérament caractériel lorsque la moindre stabilité se fera sentir.
Comptant sur sa capacité à maintenir cette souffrance intérieure, elle n'aura de cesse pourtant de vouloir repousser les limites de leurs conjoints pour qu'il l'a stoppe, ou qu'il l'a touche de nouveau par les sentiments.
Cependant, il devient impossible pour son conjoint de la contenter, de son incapacité à appréhender le masochisme en elle, qu'il avait pris pour une forte personnalité dans les débuts de leurs idylles.
Sans-gène, et sachant pertinemment ses besoins perpétuels, elle n'hésitera pas à cumuler plusieurs partenaires pour se sustenter. L'excitation des actes étant plus important pour elles, que ceux qui les prodiguent.
- La femme dite "En relation BDSM".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme "En relation BDSM" s'évertue à légitimer ses choix.
Se voulant concrètement épanouie, elle voudra s'afficher auprès de son Dominant dans un tourbillon d'esthétisme et d'osmose véritable.
Libre d’apparence dans ses choix de vie, elle n'en n'est pas moins prisonnière d'une relation peu hétéroclite, où seul les sites extrêmes et un environnement averti, sont dans la capacité de témoigner de leurs complicités dans leurs pulsions.
Si la relation avec ce type de femmes est basé et limité à la préservation de leurs plaisirs extrêmes, elle en est aussi la fondation et le réconfort dans leurs couples.
Gravitant entre une désuétude à se renouveler, et l'obsession croissante à pouvoir se faire concurrencer/détrôner dans leurs idylles, elles se cherchent plus une voie à "immortaliser" leurs relations, qu'à la faire évoluer.
03 - D'où provient l'excitation d'une femme mariée ?
Une femme traverse plusieurs étapes naturelles dans son existence, qu'importe la société où elle évolue.
Elles les amènent à se confronter entre leurs choix d'évolution de femme, et leurs fonctions imposées (empiriques) par leurs corps.
En fonction de son éducation, de son environnement et de ses aspirations, elle sera amenée très tôt à faire d'elle-même des concessions de vie, plus ou moins bien vécues.
Cette limite définie sera précurseure de ses premières frustrations, et déterminera assurément dans le même temps son niveau d'excitation et de plaisir dans ses futures relations.
Sachant cela, il convient qu'il devient difficile et usant, à vouloir se tracer une "route" bien droite en tant que femme, mariée et mère, qu'importe sa volonté et ses actes.
(La citation que "La vie trouve toujours son chemin" suggère que celle-ci est d'ailleurs sinueuse, et qu'il est peut être une gageure de vouloir la rendre droite de son égo, à vouloir garder le contrôle de sa vie.)
Clairement, la femme compense plus pour son plaisir, qu'elle n'a d'exigence envers lui.
Ce qui me fait dire que plus elle travaillera à se donner un sens à sa vie, plus elle se donnera au plaisir pour lui échapper.
Une logique et non un paradoxe d'un corps adapté prêt à épouser la vie, et non un homme.
La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant.
https://www.bdsm.fr/blog/4897/o-nanisme-je-men-branle-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
https://www.bdsm.fr/blog/4212/mentalit%C3%A9-cum-slave-notions -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
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Quels yeux! Quel sourire flamboyant! J'ai toujours aimé comme tant d'autres, Iouri Gagarin, le héros!
Des yeux de rebelle. Il ne voulu pas être charpentier comme son père mais viser le plus haut possible et donc aller vers les étoiles. Il voulait être gymnaste; il sera aviateur. Il impressionne par son talent et rencontre la belle Valentina, une infirmière. Il l'épouse et l'aime beaucoup. Gagarin rejoint le programme spatial. sa petite taille qui l'empechait d'être un gymnaste d'exception est un avantage cette fois.
Le 12 avril 1961, il ne se rase pas...Cela porte malheur. Cela fait partie de son humour. Et il réussit l'exploit, il est le premier homme à aller dans l'espace! Titov le suivra peu après.
C'est la gloire planétaire...l'alcool...les filles.Et iouri avec son beau sourire adore les jolies filles. Valentina est jalouse. Mais comment iouri pourrait il résister à la tentation? il se blesse même à la tête en voulant sauter d'un étage pour échapper à la furie de sa femme alors qu'il découchait.
Pas facile d'être un héros, surtout avec toutes ces jolies femmes qui tournent autour de lui comme des abeilles à la recherche du divin nectar. Pas facile d'être un héros lorsque son propre pays lui interdit presque de "voler". Il lui reste, les excès de vitesse en voiture, l'alcool, et toujours les femmes. Et Valentina .
Les agences spatiales ont constaté que les hommes ou les femmes mariées ou en couples étaient plus "fiables" pour des missions dans l'espace. Plus calmes, plus modérés que des personnes célibataires. Visiblement quelque chose n'allait pas entre Iouri et Valentina, sans quoi le beau héros n'aurait pas eu besoin de courir les jupons.
C'est en cela que l'on voit la supériorité des relations bdsm. Si valentina s'était comportée en domina et pas en jalouse, elle aurait probablement gardé à ses pieds l'homme qu'elle aimait. Mais une femme jalouse aime t'elle vraiment? La jalousie est peut être la pire façon de vouloir garder une compagne ou un compagnon de vie. Le fouet me semble plus efficace. Rires.
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Dès que Marie Madeleine a vu Jésus, elle est tombée amoureuse et elle a eut envie de pleurer sur elle même. Elle a su dès cet instant qu'il était son Maître, son époux, son Dieu fait chair. Il n'est plus possible de parler d'amour pour décrire cela. Ce mot est trop utilisé, trop simple. Là, il s'agit d'autre chose. Le besoin d'union est total. Marie madeleine veut que Jésus soit en elle, mais en disant cela, on ne peut imaginer le sexe de son Maître dans son vagin. Non, c'est d’extase mystique qu'il s'agit.
Les thèses qui ont prétendu qu'elle aurait été l'épouse terrestre et physique de son Rabbi n'ont aucun sens pour moi. Le fait que certains auteurs ont même été jusqu'à lui inventer une descendance, fruit de cette union, me semblent sans aucun rapport avec la réalité. Non, l'amour transcendé, totalement sublimé existe bel et bien et c'est la forme la plus pure et il se suffit à lui même. Le consommer en chair c'est le détruire.
Jésus sait qu'il va être crucifié. Il n'a aucun besoin de descendance physique. Il veut ressusciter et donc vaincre la mort. Marie Madeleine, comme Jean ou Marie, assiste à tout cela. Jésus refuse qu'elle le touche après la résurrection. C'est lui le Maître, celui qui est en charge de sa soumise. il sait ce qui est bon pour elle.
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Lilly est une schizoïde depuis qu'elle est ado, c'est du moins à ce moment là que c'est devenu visible pour tous, sauf pour elle. A une autre épooque elle aurait pu finir sur un bûcher, brûlée comme une sorcière. Là elle a eu droit a un psychiatre et un traitement. Mais lilly déteste les médocs. Elle n'a gardé que le suivi régulier avec son psychiatre. Les médocs eux finissent toujours à la poubelle.
Lilly a compris qu'elle devait dissimuler. Ne plus rien dire. Voix, apparitions, poltergeists, elle en parlait seulement à son psychiatre qui l'aidait beaucoup à vivre et accepter cette différence. ET puis elle aimait ses apparitions. Il y avait de tout. Des justes décédés, des âmes errantes, des djinns, et puis il y avait Anthony, ce beau crétin quii voulait la sauter tous les matins.
ILs adoraient se retrouver sur cette plage au sable si chaud, pleine de soleil et de calme. Anthony bandait comme un âne chaque fois qu'elle prenait plaisir à lui apparaître. Ce crétin rêvait de se la violer mais hop hop, chaque fois elle lui échappait. Elle sentait juste son gros gland congestionné contre sa rondelle ou à l'entrée de sa chatte et hop hop, Anthony restait la bite en l'air....Cela faisait beaucoup rire Lilly.
Surtout qu'elle avait appris à,disparaître et donc à voir, sans être vue. Elle adorait regarder Anthony se branler en pensant se taper son joli cul. Elle lui massait la nuque et le regardait exploser.
Quel crétin cet Anthony. Il avait des dons, mais pas assez, pas comme Lilly. Sans quoi ils auraient vraiment pu faire l'amour en apparitions l'un pour l'autre. C'est l'amour Divin il parait.
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(Réédition du 02/11/2019 -> 31/03/2024 - 1394 Vues)
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Avoir Des Soumises, c'est avoir Des Femmes qui se portent l'une l'autre, et non qui se supportent.
Ce n'est pas tant l'importance de leurs désirs à s'aimer, mais à se fondre dans leurs vulnérabilités durement acquise.
La vision d'une sensualité qui ondule, apte à vous bercer et rendre l'horizon plus clair et serein.
Des sirènes le vent en poupe, vous dans leur sillage, seul Maître à bord et à la barre.
Avec comme profond plaisir, l'ivresse de dompter des nymphes, furies des mères et des "o",
avec comme seule frustration, de ne pouvoir nager en leur compagnie, car ce bien-être leurs sont réservées.
Une célébration de la vie, où l'homme pour une fois, en est le vaisseau et l'instigateur.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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J'avais trouvé mon rythme de croisière dans ma vie de couple avec Jean Michel. J'étais comblée, je me croyais heureuse. Certes ma sexualité de dominatrice avec mon époux était bien spéciale, je n'avais aucun rapport sexuel avec lui, mais cela nous allait très bien à tous les deux, pourvu que je le domine de façon impitoyable. J'aime voir ses poils se hérisser et sa peau frémir lorsque je m'approche à pas de louve avec mes redoutables badines à la main. Je ne manquais pas d'imagination pour lui trouver des scenarii qui lui procurent des feux d'artifices de plaisirs au fond de ses reins, sans jamais me servir de mon gros clito. Je suis une femme hybride lesbienne et pas gay du tout. Je sais que mon époux a envie que je le prenne, mais non, c'est niet, il y a les gods pour cela. Un cul de mec ne me fait pas gonfler le clito même si Jean Michel a un très joli cul à force d'être bien fessé et donc bien irrigué. Mais voilà, le destin est étrange et l'amour une chose incompréhensible. J'étais allé voir mon époux dans son étude de notaire. Il discutait avec un fort charmant couple en prenant un verre avec eux dans son bureau. Mon époux aime traiter ses affaires ainsi, , de façon détendue. C'est toujours plus facile de faire passer ensuite ses notes d'honoraires bien salées. Soumis au lit mais redoutable au boulot. Un contraste qui me plait beaucoup. Ce couple était étonnant, comme mal assorti. L'homme semblait coincé, étriqué, maniéré. Comment pouvait-il avoir une femme aussi belle? L'argent sans doute. C'est un banquier d'affaires, un gestionnaire de fonds, un parfait crétin pour moi. C'est lorsque sa femme s'est approchée que le magnétisme animal s'est déclenché. Une chose électrique, comme une onde de plaisir entre nous deux. Nous nous sommes frôlées et j'ai senti les vibrations dans mon ventre; elle est devenue rouge. -Tu te sens pas bien, Otavie, a dit son banquier de mari. -Oui, oui, tout va, ce doit être ce bon whisky qui me chauffe les joues. Il est si bon que j'en reprendrai bien. Elle disait cela pour masquer son trouble. Je me fis un plaisir de la servir et je plongeais mes yeux dans les seins. Là j'ai su de suite qu' Octavie était ma femelle, que j'allais la troncher et qu'elle était déjà mon esclave. Jean Michel n'osait pas me regarder, c'est interdit pour lui, mais je sentais qu'il avait compris. Le banquier était encore plus nul que prévu. Il jouait l'important avec ses chiffres, ses "affaires". Je l'ai regardé avec un sourire carnassier. Il a vite baissé les yeux. une petite carpette. Le soir même je le faisais cocu. Je ne pensais pas tomber amoureuse un jour. je pensais me suffire à moi même avec les deux sexes en moi, hé bien non, Octavie se jeta complètement à mes pieds et ce fut le nirvana. J'ai vite adoré lui faire lâcher les grandes eaux en trifouillant sa chatte avec mon gros clito. Elle non plus ne pensait pas pouvoir jouir comme cela. Elle ne lâchait plus prise, non, elle s'abandonnait complètement, comme seules peuvent le faire les femmes folles d'amour.
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(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues)
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Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".
Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.
Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante.
Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork
sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.
A quoi reconnait-on une "Brat" ?
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Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues...
Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation.
Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.
Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement.
Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.
Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé.
La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer.
Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence.
Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu.
Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience.
Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.
Par quoi une "Brat" est elle attirée ?
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Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci.
Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger.
Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.
La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :
- Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face.
- Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne.
- L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.
Que fait fuir une "Brat" ?
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Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite,
comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant.
Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.
L'excitation compulsive d'une "Brat"
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Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée.
Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.
Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ?
Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.
Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.
La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.
En conclusion ?
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Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.
Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004)
marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille.
L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.
https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I
(Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")
A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat".
Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.
Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.
Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles.
Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...
Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice.
Cette liberté qui n'aura jamais de destination.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Sir Edward...comme je fais toujours, je laisse mes doigts taper librement sur le clavier. J'ignore où je vais. J'écris directement, sans relire, en automatique. J'écris et ...je vois. Un château sombre et froid, des landes épaisses battues par un vent glacial qui s'infiltre partout, ne laisse aucun répit. un vent qui hurle depuis des jours et des jours et emmène toujours avec lui de lourds nuages noirs chargés de pluies amères. Pourtant c'est beau. J'aime ce que je vois. Je pénètre dans ce château sinistre. c'est la magie de ces voyages par la pensée, le tapis volant n'était que la note d'humour de la splendide Sharzad en son temps.
Une cheminée, un grand feu, un grand fauteuil devant. Sir Edward est là assis. il regarde les flammes. il brûle carrément un tronc d'arbre coupé en trois. Il fait très chaud. Et là, au pied de Sir Edward une femme incroyablement belle et nue, avec son collier d'esclave, sa chaine. Je sens de suite qu'elle est la propriété totale de son Seigneur et Maitre. C'est une chose qui se sent de suite. Je pense même que si Sir Edward voulait s'en débarrasser, s'il lui demandait de se jeter dans le feu, elle le ferait sans hésiter. Son obéissance est comme une folie, mais ce que je vois c'est le sourire de l'extase au bord de ses lèvres. Elle est au pied de son Maitre et cela lui suffit. Lui obéir en tout et pour tout, sans hésiter, sans discuter, sans même se poser de question. Elle a donné son âme à son Maitre ? Et lui semble l'ignorer. Ce n'est que dans certaines sectes ou choses similaires que l'on trouve un tel renoncement à soi.
Sir Edward est fou de Dieu, et c'est un fou tout court. Il ne va dans aucune église ou temple, ne lit aucun livre sacré, ne suit aucun rituel. Non, son Dieu lui parle dans sa tête. Je le sens, je le vois. C'est un possédé. Son Dieu c'est concret, il entend sa voix forte et sonore. Il parle à haute voix. lui seul sait à qui il parle, mais c'est concret. Son esclave sublime à ses pied ne le trouve pas fou du tout, elle ne l'aime que plus. C'est à ne rien y comprendre dans ce couple si étrange. Et ce vent qui claque sur les vitres, la pluie froide qui tambourine dehors.
Tiens, c'est étrange, je commence à aimer ce noble qui parle à son Dieu. J'ai toujours aimé les originaux, ceux qui savent vivre leur vie sans concessions, jusqu'au bout. Il parle un dialecte, je ne comprends rien à ce qu'il dit mais c'est joli, j'aime la musique de ses mots. On dirait presque un chant. Je remarque que son esclave vibre aussi. Elle doit être encore plus folle que Sir Edward. De toute façon, une femme aussi incroyablement belle ne pouvait finir que folle et recluse avec un mystique schizophrène dans un château perdu.
Je laisse là ce couple étrange et glisse explorer ce château. J'arrive dans les cuisines et là je tombe sur un gros balourd qui se tronche une servante grassouillette. Cela me fait rire. La servante doit aimer cela car elle ne cesse de dire: "plus fort, encore plus fort". Et ce lourdeau qui transpire et souffle comme un buffle des marais. Finalement il parvient à la faire jouir et il explose à son tour.
Il se retire. La servante grassouillette se caresse la chatte. Elle rit.
- Pendant que notre Maitre parle à Dieu, toi tu fais chanter mon cul.
Le cuisinier se rhabille et dit:
-peut être que baiser c'est aussi une façon de parler à Dieu?
Dans la pièce du haut Sir Edward parle de nouveau à son Dieu, ses Dieux, ses voix en fait, ses voix fortes qui résonnent dans sa tête. Il est devenu eunuque pour le Royaume des Cieux. Il refuse tout contact charnel avec son esclave. Tout est entièrement sublimé et la belle esclave est en extase, c'est plus fort que l'amour. Et cette forme d'extase la rend encore plus belle et désirable. pourtant malgré sa nudité complète je sens comme un voile protecteur qui semble dire: "ne pas toucher". Ah ces mystiques ! Ils ont poussé si loin l'amour qu'ils le vivent en permanence. Le nirvana. Plus besoin de sexe pour Sir Edward et son esclave. Ils sont en état orgasmique permanent. Cela me fait rire. Après tout, on peut bien rire des choses auxquelles on ne comprend rien.
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Marius est entré dans la police tout jeune, juste après le service militaire. Dès le début, il a voulu profiter de sa jeunesse et voyager. Il a été volontaire pour tous les pays lointains. D'abord c'était mieux payé et puis avec le prestige de l'uniforme, il se tapait un nombre incroyable de meufs de toutes les couleurs. Pire qu'un collectionneur, un malade qui usait et abusait de sa situation. Et en bon dissimimulateur, il était bien noté. Il fit l'école des sous off et sorti parmi les premiers. Il demanda l'Afrique. Il aimait les "négresses", il adorait leurs plastiques parfois sublimes. Et il recommença a perforer des minous de façon compulsive. Le "perfo" c'était son surnom. Marius monta encore en grade et devint officier. Là il prit goût à un autre plaisir, dominer et faire régner la terreur dans ses brigades. Là, il n'avait plus personne au dessus. L'officier avec plus de galons était plus loin et pourvu que les brigades ou régnait Marius le perfo fassent leurs chiffres, ils ne venaient pas voir ce qui se passait vraiment, sauf en de rares occasions et sans chercher trop loin. Dans les administrations on ferme facilement les yeux. Pas de bruits, pas de vagues. C'est opaque. Rien ne doit sortir de "l'interne". Et Marius le pervers sévissait. Il adorait les jeunettes qui venaient en premières affectations ou en stage. Il se les faisait toutes. Il savait exercer la pression psychologique, il savait faire peur. Et les jeunettes baissaient la culotte et offraient leurs culs. C'est comme cela qu'il rencontra Lise, celle qui devint son épouse. Une jeunette vierge au cul somptueux, une qui su le faire attendre, une qui su négocier la redition de sa chatte. Marius marié se calma un peu. Lise savait le satisfaire. Mais au premier mome, il péta de nouveau un cable et se remit en chasse. Il s'apperçut qu'il aimait cocufier. Baiser la femme d'un mec et ensuite ne pas s'en cacher, affronter le mec. De l'adrénaline. Et ces cons de mecs qui se laissaient faire, qui laissaient leurs femmes se faire troncher par cet officier malade. Ah la lacheté. Et cela excitait Marius de plus en plus. IL cocufiait plus costaud que lui, il cocufiait plus puissant. De toute façon c'était facile. Les femmes mariées ouvrent facilement les cuisses quand leur couple bat de l'aile. Et Marius en bon pervers savait y faire. Tout cela finit par arriver aux oreilles de Lise qui décida de se venger. Elle ne prit pas un amant, mais une amante, son avocate, une dominatrice lesbienne, une castratrice qui ne supportait pas les pervers comme Marius. Elle prépara le divorce de lise de façon à ruiner le plus possible son époux. Elle le fit suivre, n'eut aucun mal à accumuler des preuves, des témoignages, un dossier béton. Marius sentait bien le danger, tous les pervers ont un sixième sens. Mais il cherchait un amant, il pensait lui même etre cocu. Le rival était une rivale, et il avait du mal à l'imaginer. Lise préferer une femme, lise une brouteuse de minous. Marius comme tous les crétins de machos pensait que seule sa bite pouvait donner des orgasmes à son épouse. Un matin, il fut réveillé par les girophares des voitures de police. Il pensait que c'était une urgence, qu'on venait le chercher, lui, l'irrenplaçable chef de service. On lui passa les menottes aux poignets. Une dizaine de femmes avaient porté plainte, sans compter celles qui viendraient après le faire aussi, une fois le voile de la peur disparu. Marius se fit enculer sans réserve derrière les barreaux. Un cul de flic, une aubaine pour tous ceux qui croupissaient derrière les murs des prisons. L'avocate de Lise veilla à ce qu'il soit mis dans les cellules les plus hards, avec les pires psychos. Au procès, Marius était méconnaissable. La terreur des jupons avait une peur bleue de l'avocate de Lise. Il n'osait pas la regarder en face. Elle jubilait. Elle savait combien la chatte anale de Marius était devenue un boulevard large et acceuillant. Julie obtint tout ce qu'elle demandait. Elle se mit en couple avec son avocate. De Marius, elle n'eut plus jamais de nouvelles.
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(Réédition du 08/06/2017 -> 23/03/2024 - 518 Vues)
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A défaut d'avoir trouvé sa place en tant qu'Homme, il cherchera à plaire toute sa vie pour y être accepté.
Véritable "outil" forgé par toutes sociétés, il est tout aussi bien souple dans sa manière d'entrevoir les choses, que l'objectivité est pour lui de l'ordre de l'abstrait.
L'Homme Enfant se fit principalement à son ressenti ou aux principes qu'on lui a inculqué.
Un raisonnement qui fait de lui un rémora apte à se faufiler, s'inviter, et se coller aux sillages de celles ou ceux suivants leurs propres voies (Ou du moins l'a cherchant).
Véritable Faire Valoir de tous les instants, il gratifie dans la complaisance et l'admiration.
Pour autant, que cela soit d'êtres terre à terre, qu'éternels amoureux de l'inaccessible (Puisqu'ils ne travaillent pas sur eux même, mais bien à être choisi dans une image qu'ils veulent donner d'eux même), ils deviennent irrémédiablement d'un ennui et d'une frustration extrême lorsque l'on est amené à les côtoyer ouvertement.
Bien sûr, il n'en pas moins une force pour eux, que leur malléabilité qui intéresse un tant soi peu la gente féminine, férue de transmettre leurs propres frustrations sur ceux-ci... Ce qui en résulte des êtres aptes à rassurer quelque soit la situation, à désirer et à tomber amoureux de l'autre, son comportement, et ses actes (Même si l'on fait de la merde).
Aisément manipulable et aimant l'être par faiblesse, il n'en est pas moins le désir de systématiquement culpabiliser les femmes pour les ramener à leurs niveaux, ne pouvant s'élever dans l'introspection (Culpabiliser une femme étant le meilleur moyen de la faire arrêter de réfléchir de base... Car dans toutes Femmes il y une mère... et l'Homme Enfant est ce qu'il est).
La femme se rend donc dépendante de sa propre oisiveté et de son manque d'exigence dans son épanouissement, dans le bien être et le plaisir.
Ne survivant qu'avec très peu de récompense, l'Homme Enfant manque cependant cruellement de consistance, de développement dans son hygiène de vie, voulant la trouver chez les autres.
L'Homme Enfant écoute, mais ne sait traiter les informations, veut mais ne travaille pas pour, et ne sait pas anticiper pour le meilleur dans sa propre vie.... alors dans celle des autres...
Cette petite description fait émerger également que si celui-ci "existe" toujours, et est de plus en plus présent, est que la femme y est pour quelque chose à le faire espérer dans son utilisation, et qu'en définitive il trouvera sa place à vos cotés.
Ne pouvant justifier en rien leur manque de travail, et par ironie, ils ont le rôle ingrat de servir la Femme Enfant ne sachant attirer l'Homme.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4265/Toujours-plus-vite-Toujours-plus-haut/ -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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(Réédition du 01/05/2016 -> 23/03/2024 - 309 Vues)
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L'Homme est amoureux de la femme...
La Femme est amoureuse de la vie...
Nous condamnant à exprimer la véracité de notre amour,
en mordant cette vie de nos crocs vengeur.
Nous apportant la douleur, la justesse et l'empathie.
Et du haut de notre colline, difficilement accessible,
L'élévation de notre rugissement, n'aura d'égal que la profondeur de notre émoi,
se refusant que notre Eve, soit à l'intérieur de notre coeur,
car telle est sa place.
Faisant de nous, les plus grands de tous les hommes.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/3754/L'Homme-Enfant/ -> L'Homme Enfant.
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(Réédition du 04/02/2016 -> 23/03/2024 - 683 Vues)
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Naître, respirer et en pleurer..
Découvrir, marcher et tituber..
Grandir, se connaitre, et se la jouer..
Aimer, disparaitre, se torturer..
Assumer, se noyer, en plaisanter..
Partager, posséder, ou s'isoler..
Vieillir, se débattre, et ignorer..
Evoluer, oublier, se résigner..
Fusionner, pourrir, fertiliser..
Imprégner, modifier, s'aventurer..
Brûler, geler, s'atomiser..
Stagner, sillonner, être aspiré..
Rejeter, s'agglutiner, et tourner..
Créer, détruire, coloniser..
Dévorer, souffrir, se réveiller..
Ressentir, servir, s'illuminer..
et enfin Vivre...
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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