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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Tu me veux nue pour toi.
Totalement nue, physiquement, moralement.
Sans le moindre vêtement, ni sous vêtement.
Parce que le vêtement est une protection, une barrière,
vis à vis des autres, de l’autre.
Une femme nue face à un homme habillé
est en situation de faiblesse,
d’infériorité, de vulnérabilité,
Il y a quelque chose d’humiliant pour elle à se présenter ainsi face à lui.
Mais c’est ainsi que tu me veux.
Pour que je sache que je dois être disponible pour toi.
Toujours.
Pour que tu aies accès à tout moment à toutes les parties de mon corps.
A mon sexe, à mes reins si tu décides de me prendre.
Pour me toucher, me cravacher, m’utiliser, me pénétrer.
Mais tu ne te contentes pas de la nudité du corps.
Tu veux que je m’offre totalement,
corps et âme.
Tu veux tout savoir de moi
de ce que je pense, de ce que je ressens,
de mes craintes, de mes doutes.
Pour que je sois totalement à toi.
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C'est ainsi que je veux m'offrir à toi,
en étant nue pour toi.
Je n’ai pas peur.
Je ne me sens pas humiliée de me présenter ainsi à toi.
Je n’ai pas besoin de protection face à toi.
Parce que c’est toi mon protecteur.
Celui auquel je veux appartenir.
Alors prends moi ainsi.
Nue, entièrement, totalement nue.
Parce que je suis à toi.
Pour toi. A toi.
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Au risque de choquer, de m’inscrire à nouveau à contre-courant de l’idéologie dominante, j’aime me sentir femme objet.
L’objet de ton désir,
l’objet de ton plaisir,
un objet utilitaire,
un objet que tu possèdes.
Parce que ce n’est pas nier la femme que de « l’objectifier » parfois (dieu que ce mot est laid).
D’en faire simplement un instrument de plaisir,
De ton plaisir et du mien.
D’être utilisée pour assouvir tes fantasmes,
et de réaliser ainsi les miens.
Il n'y a rien de mal à aimer les objets.
Et tu aimes les beaux objets.
Belle, je ne sais pas si je le suis,
ailleurs que dans tes yeux.
Mais j’aime quand tu m’aimes et me traite comme telle.
Je serais toujours femme, laisse moi être "objet" chaque fois que tu le voudras.
A la manière de cette nuit encore.
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J’ai grandi dans le culte de la liberté.
Ce mot qui parfois encore orne le fronton de nos écoles et de nos bâtiments public.
Mes parents m’ont toujours laissée libre de mes choix, de conduire ma vie comme je l’entendais.
Me soutenant toujours, sans me juger jamais.
Ils m’ont aussi appris que la liberté avait un corollaire, celle de toujours assumer ses décisions.
Je crois aussi en l’égalité.
Pour moi cela implique que qui que nous soyons, hommes ou femmes, de quelque race, religion, origine, nous sommes d’abord des êtres humains et que nous nous devons de nous respecter pour cela.
Cela m’a conduit à me définir comme « féministe modérée », parce que si je refuse que nous les femmes soyons considérées comme inférieures aux hommes, je ne me reconnais pas dans les outrances de certaines, qui voient dans l’homme un ennemi, le mal (sans e) absolu.
J’ai toujours considéré nos différences, qu’elles tiennent à nos caractéristiques physiques, à nos origine, notre culture, nos désirs comme une source d’enrichissement.
Et ces valeurs je continue de les porter en moi et d’essayer de les faire vivre.
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Mais il y a deux ans, je t’ai rencontré, toi, Maxime, mon mec, mon compagnon, mon Mâle, mon Maitre.
Et ma vie bien organisée, mon obsession de ne jamais dépendre de personne, mon regard sur les hommes en ont été bouleversés.
Tu m’as fait comprendre que s’engager vis à vis d’un autre ne signifiait pas renoncer à être libre.
Que s’offrir à un homme corps et âme, jusqu’à se sentir totalement dépendante de lui n’impliquait pas de cesser de croire en l’égalité des sexes.
Que me prosterner devant toi n’avait rien de dévalorisant puisque je le désirais.
Tu m’a fait découvrir qu’un homme ce n’était pas seulement un partenaire pour le cul, une bite dont je jouissais quand il me baisait.
Au fil des mois, j’ai appris à te connaître, à te faire confiance en toute circonstances, à te respecter en tant qu’homme, à te servir en tant que Maitre.
Je n’ai pas changé dans ce que je crois, dans ces valeurs qui ont jusqu’ici structuré ma vie.
J’ai simplement appris grâce à toi qu’elles n’étaient que plus fortes lorsqu’on les partage.
Merci à toi d’être d’être ce que tu es désormais pour moi.
L’ami, le confident auquel je peux tout confier, sans craindre jamais d’être jugée.
Le compagnon sur qui je sais que je pourrais toujours compter.
L’amant tendre et attentionné que tu sais être souvent.
Le Mâle arrogant fier de sa queue, que je désire aussi que tu sois
Le Maitre qui me permet de jouir de la violence qu’il porte en lui.
Tout simplement toi, Maxime, l’homme qui m’a faite pleinement femme, femelle fière de me soumettre à toi et d’être désormais ton esclave.
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J’ai toujours aimé voyager.
Découvrir d’autres horizons, d’autres cultures, laisser du temps au temps.
J’aime les paysages d’Asie, les rizières à perte de vue.
Le Maroc et son passé impérial, New York et l’Ouest américain.
J’ai adoré l’an dernier découvrir le Québec grâce à toi.
Et te sucer à genoux dans notre chambre du 17ème étage face aux chutes du Niagara.
Cette année Covid oblige nous sommes restés en France, alternant les escapades de quelques jours et une dizaine de jours en Normandie.
Tu m’as fait découvrir les plages du débarquement.
Et un hôtel merveilleux, niché dans la campagne normande, les petites rues et les musées de Bayeux.
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Je connaissais l’histoire, moins bien que toi néanmoins, celle de ces centaines de milliers de jeunes hommes, américains, anglais, canadiens, neo-zélandais débarquant une nuit de tempête sur les plages du Cotentin et de la Manche.
Très peu de français, parce que de Gaulle n’avait été prévenu que peu de temps auparavant.
Et aussi parce que Roosevelt, cousin par alliance de Laval, ne voulait pas des Français libres pour pouvoir faire de la France libérée un protectorat américain.
Pourtant, face aux croix blanches du cimetière d’Omaha, quand tu m’a pris la main, j’ai ressenti que nous communiions dans la même émotion, la mémoire de tous ces boys à qui nous devions notre liberté.
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Le soir de la visite du cimetière américain, nous avons été dîner à Bayeux.
Et, au retour, tu es repassé par la côte, vide de touristes désormais.
Tu t’es arrêté face au petit bunker sur la côte de Saint Laurent, tu m’y a entraînée, nous y sommes entrés et là, à côté d’un canon antiaérien allemand rouillé, je t’ai sucé et nous avons joui.
Cet hommage au sacrifice de milliers de jeunes hommes n’avait pour nous rien d’obscène ou de vulgaire. C’était l’hommage de la vie à ceux qui étaient tombés, grâce auxquels nous avions la chance d’être libres, vivants, ensemble.
Plus que jamais ce soir là, ton foutre a eu pour moi le goût du sacré.
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Les vacances touchent à leur fin.
Comme toujours quand je suis avec toi, j’ai profité de chaque instant passé ensemble.
Plus encore peut-être cette année, au vu du contexte et de ces lieux de mémoire que tu m’a fait découvrir.
Merci à toi, Maxime.
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Cela fait 3 jours qu’il fait chaud sur Paris.
Et la température ne baisse pas durant la nuit.
Même si ce n’est pas seulement du fait de la canicule.
Comme chaque matin, je me suis réveillée avant toi.
Ça ne me gêne pas, au contraire.
J’aime contempler ton corps endormi, ton sexe au repos.
J’ai pris ma douche sans faire de bruit, eau tiède d’abord, avant de baisser la température jusqu’à ce qu’elle soit froide, presque glacée.
Puis, encore ruisselante, je suis venue me coller à toi,
me réchauffer à la chaleur de ton corps,
excitée de sentir encore sur toi les effluves de nos ébats de la nuit.
J’aime l’odeur de ton corps, le goût de ta sueur,
embrasser, renifler, lécher tes aisselles.
Je me suis allongée nue sur toi pour te rafraîchir de mon corps,
parcourant le tien de ma bouche, de ma langue,
sentant ta queue durcir sous mes caresses.
Ce n’est qu’après avoir longtemps profité de toi
que je t’ai pris en bouche pour te sucer lentement,
jusqu’à ce que ton foutre gicle,
me remplisse et que je te boive jusqu’à la dernière goutte.
Puis je suis revenue m’allonger à tes côtés,
la chatte encore humide de mon désir pour toi,
comblée du plaisir que je t’ai donné,
reconnaissante de celui que j’ai reçu de toi.
La journée sera encore chaude, mais belle grâce à toi.
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Week end avant le 14 juillet, vendredi soir.
J’avais eu une journée chargée. Il devait être près de 20 heures quand je suis rentrée chez toi.
Enfin, chez « nous » désormais.
Le temps de prendre quelques effets et nous sommes aller dîner chez l’italien d’à côté, avant de prendre la route pour passer le week end dans ta villa près de Deauville, là où, il y a maintenant un peu plus de deux ans, pour la première fois, je me suis donnée à toi, et où j’ai décidé que je serais ton esclave.
Spaghetti vongole, un blanc du nord de l’Italie, un café et la voiture qui file dans la nuit.
La même destination, la même autoroute vide, vu l’heure tardive,
les souvenirs qui remontent, ta main qui se pose sur mon sexe humide, qui me caresse avant de me fouiller.
Péage de Heudebouville, la bifurcation vers Rouen laissée derrière nous, bientôt l’aire de Josapha.
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Cette nuit là, il y a deux ans, je n’en pouvais plus de t’attendre.
Les hommes que j’avais connus avant toi n’avaient qu’une hâte, me baiser, jouir de mon corps.
Toi, au contraire, tu voulais tout savoir de moi, me mettre à nu, m’obliger à te livrer mes pensées les plus intimes, mes désirs les plus secrets.
Pendant un mois, nous avions dialogué, échangé, partagé,
mais tu continuais de te dérober, alors que ne désirais que te rencontrer, m’offrir à toi, te faire jouir et jouir de toi.
Jamais aucun homme ne s’était comporté de la sorte.
Et jamais je n’avais vécu une telle attente, une telle frustration.
Mais le moment que j’avais tant attendu était enfin arrivé.
J’étais avec toi, à tes côtés, tremblante de ce désir si longtemps refoulé,
craignant de pas être à la hauteur de ce que je savais déjà ressentir pour toi,
sans oser encore me l’avouer.
Après le premier péage, tu m’as demandé d’écarter mes cuisses.
Tu as posé la main sur mon sexe humide,
introduisant un doigt dans ma chatte pour commencer à me fouiller
et pour la première fois j’ai joui de toi.
Après Rouen, tu as mis le clignotant. Aire de Josapha.
Vide à cette heure tardive.
Tu es sorti de la voiture, tu as ouvert ma portière et demandé de te suivre.
Tu m’as emmenée dans les toilettes pour handicapés,
plus grandes que les autres,
tu as refermé la porte derrière toi,
tu m’as ordonné de me déshabiller et de me m’agenouiller.
J’ai obéi, sans oser rien dire.
Une fois à tes pieds, les gestes me sont venus naturellement.
Embrasser l’emplacement de ton sexe, dégrafer ton pantalon, te prendre en bouche.
Ta réaction m’a libérée de ma peur de ne pas être à la hauteur de ce que tu attendais de moi.
L’avantage, avec les hommes, c’est qu’il est des signes qui ne trompent pas.
Je t’ai sucé un long moment,
jouissant enfin de ce sexe dont j’avais si longtemps été frustrée, le tien.
Puis tu m’as relevée, plaquée contre le mur, ordonné de cambrer mes reins.
J’ai refusé que tu enfiles une capote,
ce que je n’avais jamais fait jusqu’alors avec quiconque,
pour te supplier de me prendre ainsi, à sec, brutalement, violemment.
Aucun homme ne m’avait jamais baisée de la sorte,
dans un lieu aussi sordide, glauque,
comme si je n’étais rien d’autre qu’une pute, une chienne, une salope.
Mais c’est ce que j’attendais, ce que j’espérais,
ce que je savais au fond de moi que je voulais être dorénavant pour toi.
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Tu n’avais pas choisi cette aire au hasard.
Josapha.
Prénom oublié, tombé en désuétude.
Image d’une femme belle, mais fragile, ayant peur de s'attacher ou de paraître vulnérable.
Les Josapha sont réputées secrètes, introverties.
Elles ont confiance en elles mais à condition de se sentir soutenues.
Belle je le suis, au moins dans tes yeux.
Quant au reste, tu m’avais bien cernée.
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Depuis, deux ans sont passés.
Cette aire de repos, désormais, est devenue comme un fétiche pour nous,
l’arrêt obligatoire chaque fois que nous allons à Deauville.
Pour y renouveler ce qui est plus qu’un rituel à mes yeux,
le serment réitéré de l’offrande de mon corps,
qui désormais t’appartient.
J’aime m’y exhiber, nue devant toi, m’agenouiller, te sucer,
avant que tu ne me plaques contre le mur, pour me prendre, me défoncer, me féconder.
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Je mesure, en écrivant ces lignes, le chemin que tu m’a fait parcourir en deux ans.
Moi, secrète et réservée pour tout ce qui concernait l’ « intime », tu lis désormais en moi comme dans un livre ouvert.
Moi, qui refusais jusqu’alors de m’engager, je partage aujourd’hui ta vie.
Moi, qui passais d’un mec à l’autre, je ne désire plus que toi.
Ce chemin, c’est toi qui m’y a entraînée, mais je sais que je n’attendais que cela.
Rencontrer celui qui me donnerait envie de le parcourir avec lui.
Toi, mon mec, mon compagnon, mon confident, mon Mâle, mon Maître.
Merci à toi, Maxime, d’être tout cela à la fois, et plus encore.
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A mon réveil, je me suis rapidement douchée.
J'ai préparé ton petit déjeuner.
Café, croissants, jus d'orange.
Caresses buccales pour te réveiller.
Tu m’as demandé de te prendre en bouche, pour te soulager en moi de ta pisse de la nuit
Puis tu m'as prise dans tes bras et tu m'as fait l'amour.
Quand j'ai voulu à nouveau te prendre en bouche, tu as refusé.
"Laisse moi faire, te rendre un peu du plaisir que tu m'as donné."
Je me suis laissée faire.
Tu as exploré, caressé, embrassé chaque parcelle de mon corps.
Tu as posé tes lèvres sur ma chatte, tu m'as pénétrée avec ta langue
jusqu'à ce que je me torde de plaisir.
Avant de me prendre, doucement, longuement, tendrement.
Te retenant de jouir, pour me faire jouir plus longtemps.
Pour finir par me laisser épuisée d'orgasmes quand tu t'es répandu en moi.
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J’ai refait du café, le précédent était froid.
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Il n’aura fallu qu’un week end normand,
voulu par toi, choisi par toi, décidé par toi,
avec toi
pour ramener le sourire sur mes lèvres,
le soleil dans mes yeux.
Une fois encore, tu as été tout à la fois,
tendre et câlin, animal, bestial, brutal,
homme et amant, Mâle et Maître,
pour m’aimer, me posséder, me baiser, me dominer.
Je ne suis qu’un matériau brut,
qu’il t’appartient de façonner.
J’ai besoin que tu me dresses, encore et toujours,
à coups de fouet et de sexe.
Je voudrais être davantage encore salope, chienne, pute, esclave,
pour toi, pour moi, pour nous,
pour pouvoir te rendre autant que tu me donnes.
Je suis accro à toi,
raide dingue de toi,
droguée à toi et de toi.
Merci à toi.
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J’ai toujours été sensible aux odeurs.
Je ne sors jamais sans porter une eau de toilette ou un parfum.
Et je veille en permanence à être d’une hygiène irréprochable,
sauf quand je n’ai pas le choix,
à l’issue de nos séances, après avoir été utilisée par mon Maitre.
Mais j’ai toujours été attirée par l’odeur des Mâles.
Pour moi, elles font partie de leur virilité.
Il ne s’agit pas de jeux « crades » pour autant : la scatologie et tout ce qui tourne autour, très peu pour moi.
Mais j’aime l’odeur de leur sueur, de leur sexe, qui pour moi font partie de leur virilité.
J’aime renifler longuement les aisselles de Maxime, les embrasser avant de les lécher.
J’aime le fumet qui s’en dégage, parfois délicat parfois soutenu lorsqu’il rentre d’un jogging ou d’avoir fait du sport.
J’aime me placer à ses côtés, lui debout, les mains posées sur sa tête, moi le visage enfoui dans ses aisselles et qu’il me laisse m’imprégner de l’odeur de sa sueur, le sentir puis l’embrasser avant d’y goûter.
J’aime m’agenouiller à ses pieds, pour renifler son slip ou son boxer,
sentir ce mélange d’odeurs de sueur, de pisse et de foutre,
qui caractérise le Mâle.
Puis, après lui avoir témoigné mon désir,
lui retirer son boxer du bout des lèvres et des dents, humer son entrejambe et sa toison pubienne
avant de lui lécher longuement les couilles, la queue, le gland.
J’aime l’Homme, sa virilité, et tout ce qui contribue à en faire un Mâle.
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J’ai toujours été sensible à la beauté des corps masculins
(celui de Maxime en particulier :smile:).
J’aime les torses en V, les tétons plantés dans une pâle aréole,
les poils sombres sous les aisselles,
les ventres plats, les abdos en tablettes,
les muscles fins et puissants.
J’aime les toisons pubiennes fournies,
l’arrogance de la queue fièrement dressée,
la fragile puissance des couilles du Mâle.
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Je n’ai jamais été attirée par le corps des femmes
pas davantage le mien que celui des autres.
Je trouve nos mamelles disgracieuses,
de même que nos tétines plantées dans de larges aréoles.
Je n’aime pas nos culs proéminents
ni le trou qui orne nos entrejambes
et l’obscénité de ses replis divers.
Aux courbes femelles, je préfère la fière rectitude du corps masculin.
Mais peu importe.
Ce qui compte c’est le désir que nos formes inspirent aux Mâle,
que mon corps soit au goût de Maxime et convienne à l’usage qu’il en fait.
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