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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Dimanche 6 Octobre 2024
Mise à jour depuis le Vendredi 4 Octobre, un manque de couverture réseau me privant de mettre ce journal à jour.
En ce Vendredi de veille de week-end, première et nouvelle leçon de Maîtresse Pandora: être soumis n'implique pas être un sous-homme. Et je vais bien entendu remettre les choses dans leur contexte pour plus de clareté ... Comme j'ai déjà pu déjà l'exprimer, j'ai rapidement eu beaucoup de respect envers ma Maîtresse Pandora, et tout autant de dévotion à son égard.
Aux premiers jours, à la demande de ma Maîtresse, une sélection de cadeaux que j'ai pris plaisir à lui envoyer en guise d'offrandes, sélectionnant différents modèles de jolis atours que ma Maîtresse validait alors ... Hélas, deux des trois envois ayant certes bien été reçus par ma Maîtresse, les aléas des livraisons (mais peut-on bien parlé d'aléas lorsque l'on tombe sur un livreur qui ni n'appelle ni ne laisse d'avis de passage et argumente par une adresse incomplète ou érronée ?) laisse aujourd'hui un des précieux cadeaux destinés à ma Maîtresse Pandora dans la nature, encore sans nouvelles aujourd'hui. Conscient que ce désagrément n'est pas de mon fait en soi, mais aussi très déçu que ma Maîtresse n'ait pas pu avoir une de ses offrandes prévues, j'appréhende malgré tout sa propre déception et me confond naturellement en excuses auprès d'elle ... beaucoup d'excuses ... l'appréhension sûrement de ses potentielles punitions pour mon manquement me direz-vous ... et bien, bien au contraire ... c'est lorsque, m'en voulant vraiment malgré tout pour ce désagrément, j'en suis venu à demander à ma Maîtresse Pandora de ne pas me prendre pour un moins que rien, qu'elle m'a fermement repris en ma faisant bien savoir que je n'avais pas à m'excuser d'un fait qui ne venait pas de moi, qu'au contraire cela ferait de moi un sous-homme ... Et Maîtresse Pandora a besoin de soumis, de bon soumis dévoué, pas de sous-homme qui se rabaisserait d'eux-mêmes ... Vous comprendrez dès lors que mon respect et ma dévotion envers ma Maîtresse Pandora ne s'en est que plus renforcé alors ! Une leçon que je retiendrai, et je remercie encore Maîtresse Pandora pour cela !
Je profite d'aborder le sujet des offrandes, car encore une fois je n'ai pas hésité et c'est avec un très grand plaisir que je le fais ... car Maîtresse Pandora n'est pas ce que je qualifie de Maîtresse veinale, dans le sens où Maîtresse Pandora restera consciente de vos propres moyens, pas question pour elle de léser ses soumis ... être un bon soumis entend d'être non seulement disponible et au meilleur pour sa Maîtresse, mais aussi pour lui-même et ses propres obligations. Car plus loin que cet aspect pécunier, Maîtresse Pandora tient à ce que ses soumis aient une hygiène de vie respectable, pour eux-mêmes et envers elle ! Je tenais à faire cette parenthèse, que j'aurais pu aborder dans ma première entrée, car encore une fois c'est un aspect qui souligne d'autant plus le sérieux de ma Maîtresse Pandora et son respect envers ses soumis, et qui m'incite d'autant plus encore aujourd'hui à me dévouer tout entier à elle. Merci Maîtresse Pandora ... pour clore cette parenthèse, c'est aussi non sans fierté que je peux annoncer avoir fait mon premier cadeau spontané à ma Maîtresse Pandora, non sans avec une certaine impatience quant au moment où elle le recevra !
Passée cette première leçon, une seconde, aussi importante mais concernant une nouvelle étape dans mon dressage: cette veille de week-end, Maîtresse Pandora m'annonce que ce soir j'allais commencer à gôuter mon sperme ... loin d'y être réfractaire, j'avais pu expérimenter la chose avant d'être soumis à Maîtresse Pandora avec l'une de mes dernières relations ... le but final de cette leçon ... l'aimer ... aimer ma propre semence suffisament pour que le soumis que je suis accepte celle des autres, pouvoir nettoyer ma Maîtresse Pandora en toute circonstance, ne pas la laisser, elle et ses beaux atours, souillés par cette semence lorsqu'elle aura assouvie ses propres plaisirs ...
C'est donc à chacune de mes masturbations que Maîtresse Pandora m'a demandé de garder mon sperme pour, progressivement ... y tremper les lèvres d'abord ... 30 secondes ... puis de plus en plus longtemps ... et bien que parti en week-end familial jusuq'à aujourd'hui, c'est en soumis servil et dévoué que je me suis prêté à l'exercice, avec zèle et, je vais l'admettre, beaucoup de plaisir ... cette texture ... l'odeur de ma semence, et le goût malgré tout transparaissant au travers de mes lèvres ... ma Maîtresse Pandora sera d'ailleurs sans doute fière de voir les quelques progrès en la matière, j'admets y avoir trempé la langue ce matin, me léchant même les lèvres ... j'ai hâte de pouvoir lui en faire part ... mais je sais que cet apprentissage n'est pas fini ...
Ne serait-ce que ce soir, une nouvelle scéance, en attendant les nouveaux désirs et nouvelles leçons de Maîtresse Pandora pour son soumis ...
Dressage à suivre ...
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Jeudi 3 Octobre 2024
Première entrée de ce journal aujourd'hui. Encore en cours de dressage à l'heure actuelle et propriété de Maîtresse Pandora, je me suis décidé à tenir ce journal, à la fois pour partager mon expérience et mon parcours de soumis, et aussi comme une ode à ma Maîtresse Pandora envers qui je suis tout dévoué.
Mais commençons par le commencement ... Je m'appelle Fabien (Soumis Fabien maintenant pour ma Maîtresse Pandora), 44 ans et père de famille séparé.
Principalement fétichiste du nylon en général et des collants en particuliers avant tout depuis très longtemps (mes premiers émois de jeune ado), je n'ai commencé à assumer ce fétichisme que depuis récemment, quelques années tout au plus, n'ayant jamais osé le mettre en avant auprès des quelques relations que j'ai pu avoir dans ma vie jusqu'à maintenant.
Une activité sexuelle que l'on pourrait qualifier de classique, rien d'extravagant, jusqu'à mes dernières relations d'après ma séparation avec la mère de mon fils (trois rencontres en 6 ans pour être précis, avec une durée allant de quelques mois à un an pour la plus longue) ... j'ai en effet pu, peut-être le hasard, rencontrer ces femmes qui étaient prêtes d'elles-même, après discussion, à partager ce fétiche que j'avais pour le nylon.
Outre mon fétiche, il y a aussi ce plaisir que j'éprouvais d'être contrôlé par ma partenaire, sans forcément penser jusqu'à de la soumission à l'époque, bien que il faut que j'admette que l'idée m'effleurait l'esprit par moment ... fidèle de base en amour et présent auprès de ma partenaire dès le moment où je suis engagé, en quoi me soumettre à une Maîtresse serait-il différent me disais-je alors, conscient, bien que quelque peu ignorant alors sur les pratiques et relations dominant/soumis à ce moment, ce serait de toute façon différent dans le sens où une Maîtresse n'est pas une partenaire.
Cette idée a commencé à m'obséder de plus en plus avec l'une de mes dernières relations qui, en plus de prendre un réel plaisir à jouer de mon fétichisme, m'a fait découvrir l'expérience du plaisir anal, matiné d'un soupçon de domination ... je dois admettre encore que ce fut particulièrement ... perturbant ... mais paradoxalement très plaisant. Ajouté à cette sensation le caractère dominant de ma partenaire, bien que ce ne fut que dans l'acte en soi, cette relation a fini, dès lors que nous nous sommes séparé, par me motiver à tenter l'expérience de la relation dominant/soumis.
Plusieurs recherches, de nombreux sites et autres applications trouvées au hasard souvent d'internet, des plus sérieux, ou tout du moins des plus populaires à priori, aux plus fourre-tout ... me renseignant au passage sur les usages, le vocabulaire, des relations dominant/soumis et du monde du bdsm en général ... Pour résumer, très peu d'expériences, principalement négatives, sûrement dues entre autre à ma découverte de ce milieu, souvent peu de sérieux ressenti dans la démarche de mes interlocutrices, sans parler de ces faux profils qui pullulent malheureusement sur les sites de rencontres et autres ... quelques Maîtresses bienveillantes cela dit, qui, bien que je ne leur correspondait pas en tant que potentiel soumis, m'ont encouragé à ne pas désespérer de trouver une Maîtresse envers qui me dévouer.
Sans désespérer pour autant, une certaine résignation malgré tout, mais un échange autour d'un simple et agréable partage allait bientôt changer ma vie ...
Bientôt un an, je trouve un site où, à défaut d'aboutir à ma recherche d'une Maîtresse, je peux me laisser aller à mon fétichisme et à mes envies d'être contrôlé, bien que dans un contexte solo ... une communauté ouverte, relativement sérieuse, avec son melting pot de personnalités, des plus agréables aux moins agréables, le lot encore une fois d'internet ...
Il y a quelques jours maintenant, je tombe sur ce post sur le forum du site en question, invitant à se présenter comme soumis ... je tente ma chance. Echange cordial, un ressenti de sérieux dans la démarche ... celle que je vais rapidement appeler Maîtresse Pandora prend le temps de m'expliquer les tenant et aboutissant qu'une telle relation implique, me faisant remplir dans un premier temps la checklist bdsm afin de déterminer à quel genre de soumis Maîtresse Pandora aura à faire ... un point renforçant encore le côté sérieux de sa démarche ... Pas de précipitation d'un côté comme de l'autre, je prends le temps de remplir la checklist comme Maîtresse Pandora prends le temps de la consulter.
Loin de me bercer de belles paroles, Maîtresse Pandora prend en compte ma checklist, me propose mon contrat de soumission que je prends le temps de lire ... Maîtresse Pandora ne manque pas de me préciser que je serai éduqué et soumis en dressage dans un premier temps ... encore un agréable ressenti dans son sérieux, je sais que Maîtresse Pandora est sans aucun doute la Maîtresse dont j'ai besoin, il ne m'en faut pas plus pour signer le contrat ... Me voici soumis en dressage à Maîtresse Pandora.
Que dire à l'heure actuelle si ce n'est que je ne regrette en rien de servir Maîtresse Pandora, bien que cela soit encore très récent ... bien que ma dévotion envers Maîtresse Pandora soit entière, Maîtresse Pandora parfait encore mon éducation, et sait me punir justement lorsque je faute encore malgré moi, me montrant parfois encore négligeant lorsque je m'adresse à elle ... Maîtresse Pandora sait jouer de ces tortures aussi bien physiques que psychologiques pour me remettre à ma place de soumis, me remettre dans le droit chemin ... ces punitions sont nouvelles pour moi, mais je suis conscient qu'elles font de moi non seulement un meilleur soumis, mais me font aussi découvrir une façon d'autant meilleure d'appréhender le plaisir, que ce soit d'avoir pu apprendre de mes erreurs ou celui d'une simple délivrance ...
Car Maîtresse Pandora, si elle sait punir de manière juste le soumis que je suis à ses divins pieds, Maîtresse Pandora sait aussi être fière de son soumis lorsqu'il la satisfait par sa dévotion envers sa personne, et sait le récompenser lorqu'il le mérite, par son attention et sa reconnaissance. J'en viens à rebondir sur le sérieux de Maîtresse Pandora car son attention et sa reconnaissance (mais ses punitions aussi) concordent en tout point avec la checklist et le contrat ... je suis très reconnaissant à Maîtresse Pandora pour cela et lui est d'autant plus dévoué, lui appartenant entièrement. Merci à vous Maîtresse Pandora.
Mon dressage auprès de Maîtresse Pandora n'en est donc encore qu'à ses prémices mais je fais confiance à Maîtresse Pandora pour faire de moi le meilleur soumis qui soit, me dévouant tout entier encore pour le devenir et rendre Maîtresse Pandora fière de son soumis en la satisfaisant comme la déesse qu'elle est aujourd'hui à mes yeux.
Dressage à suivre ...
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Depuis plusieurs années mon mari et faisions des jeux de BDSM, alcool aidant. J'étais toujours la dominatrice et lui le soumis. Dans la vie de tous les jours c'était plutot le contraire. Puis un certain jours il m'a demander que cela ne soit pas juste un jeux mais un mode de vie. Comme lors des jeux je l'enculais, je me suis dit qu'il était un homosexuel refoulé. Je ne pouvais concevoir que quelqu'un prenais plaisir a se faire enculer et humilier. Je n'aimepas faire mal a quelqu'un sans raison valable. De plus mon mari je l'aime, alors pourquoi je détruirais son estime de lui-même...Il m'en parlait assez souvent et a chaque fois cela faisait en sorte que je m'éloignais un peu plus de lui. J'en suis même devenue a n'éprouver aucun sentiments positifs a son égard. On continuait les jeux a l'occasion. Puis j'ai commencé a lire des témoignages de dominatrice et de soumis. Cela m'a pris du temps mais j'ai compris et accepté le fait que vivre comme cela pour certaines personnes les rends plus stable mentalement, donc plus heureux. Plusieurs fois dans les jeux je lui prommettais de continuer dans la vie quotidienne...a chaque fois je ne tenais pas ma promesse. Puis peu a peu je me sentais bien dans mon couple que lorsque l'on jouait. Allors pourquoi, si cela me rends heureuse pourquoi ne pas le faire? Puis nous avons eu une discussion ou je lui ai demandé de respecter mon rytme et de respecter le fait que je puisse a l'occasion sortir de mon rôle de dominatrice. Ce n'est pas parce que l'on comprends quelque chose que l'on change automatiquement nos habitudes, J'ai compris qu'il avait besoin d'un encadrement serré et que me faire plaisiret me servir le rendait heureux. Nous avons discuté de nos attentes respectives. J'ai décidé de prendre cela au sérieux et au lieu de lui promette n'importe quoi, d'établir un contrat. Je vous dévoilerai le contenu de contrat lors d'une cérémonie ou je ferai de lui mon soumis officiel. Cela devant caméra pour ceux qui voudrons y assister. Comme il doutait de moi, j'ai pris les devants et lui ai tatoué sur le pubis un matricule contenant 2 lettres et 4 chiffres significatifs pour moi. Je dois encore lui tatouer quelque chose que je vous dévoilerai en temps et lieu. De manière innatendu, cela m'a rendu heureuse.et je suis redevenue amoureuse de cet homme devenu ma propriété, mon soumis, mon jouet, finalement tout ce que je veux.. Chaque jour j'apprivoise un peu plus ce mode de vie. Désormais c'est moi qui décide ce qu'il doit porter, sa nourriture, sa consommation d'alcool et les tâches qu'il doit effectuer. Comme présentement je travaille et que lui est a la maison, je l'appellerai en face time pour m'assurer qu'il m'obéit. J'ai commandé des caméras ou je pourrai l'observé de mon cellulaire. Si il désire faire quelque chose que je ne lui ai pas demandé, il doit me texter pour que j'approuve ou non. Je ne serai plus jamais sa servante et je penserai a mon plaisir avant tout. Devant nos enfants et les gens qui ne sont pas au courant, on est plus subtiles. Par contre il connait les limites qu"il ne doit pas dépassées sinon aussitôt que j'en aurai l'occasion je le punirai.soit en lui tappant les fesses ou si c'est vraiment grave, je lui fait manger son sperme que je conserve lorsque je le fais éjaculer. Cela le dégoute au plus haut point Pour vivre comme cela il faut une grande confiance réciproque. On a aussi établit un mot qu'il doit dire si je dépasse les limites ou que c'est dandereux car parfois j'ai tendance a exagérer.
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Vanessa prit quelques minutes pour redescendre de cette intense jouissance qui l’avait frappée, le visage enfoui dans le cou de David. Celui-ci lui caressait doucement le visage qu’il couvrait de doux baisers. Elle se sentait en sécurité dans ses bras. À mesure que son souffle se régularisait, Vanessa émergeait de son état d’extase, sa conscience revenant lentement à la réalité du bar chic autour d'eux. Chaque murmure, chaque rire alentour prenaient une teinte nouvelle, plus nette, comme si son expérience venait d'affûter ses sens. Elle se redressa légèrement, cherchant les yeux de David pour y puiser réconfort et affirmation.
David, percevant le mélange complexe d'émotions dans son regard, fierté, plaisir, une touche de rémanence de sa vulnérabilité et de honte, sourit doucement, ses yeux brillant d'amour. « Tu es extraordinaire, Vanessa. Chaque limite que tu explores, chaque barrière que tu franchis avec moi renforce la confiance, le respect et l’amour que j'ai pour toi. N'oublie jamais cela. Et n’oublie jamais que tu es libre de dire non quand tu ne veux pas ou ne te sens pas prête. D’accord mon amour ? »
Les mots de David agirent comme un baume sur les dernières traces de honte qui tentaient de s'infiltrer dans l'esprit de Vanessa. Oui, elle avait osé, oui, elle avait exploré des profondeurs de son désir qu'elle n'aurait jamais crues accessible ; et elle en ressortait plus forte, plus en phase avec elle-même.
« Je... Je n'aurais jamais pensé pouvoir faire quelque chose comme ça. C'était terrifiant …, mais tellement excitant aussi …, » confessa-t-elle, sa voix encore tremblante d'une vulnérabilité à nue. « J’espère qu’on ne m’a pas vu » souffla-t-elle en recalant son visage dans l’épaule chaleureuse de David.
David enveloppa Vanessa d'un bras protecteur, la tenant contre lui tout en scrutant la salle d'un œil calme et assuré. « Regarde autour de nous, Vanessa. Les gens sont absorbés dans leur propre monde, leur propre moment. Et ceux qui ont vu quelque chose, comme ce couple là-bas… » Il inclina discrètement la tête vers un couple de leur âge, élégant, dont les sourires étaient teintés d'une chaleur bienveillante.
Vanessa osa à peine lever les yeux, mais quand elle le fit, elle rencontra le regard de la femme, une très belle femme brune aux yeux clairs, qui lui sourit et lui envoya un baiser discret de la main. Le geste était empli d'un enthousiasme tacite, presque complice. Vanessa sentit ses joues s'empourprer de nouveau, mais cette fois, le rouge était mêlé d'une chaleur différente, une sorte de connexion humaine qui transcendait la gêne initiale. Elle répondit timidement par un sourire et renvoya un petit signe de la main, soutenue par la présence rassurante de David à ses côtés. « Ils ont vraiment apprécié, crois-moi, ma belle. Leurs sourires… c'est de l'admiration, Vanessa. De la reconnaissance de ta force et de ta beauté. »
Vanessa se tourna vers David, ses yeux brillants d'une lueur nouvelle, une combinaison de reconnaissance et de révélation. « Tout cela est si nouveau pour moi, si incroyable… Je me surprends à aimer ces explorations, ces… audaces. Merci, Monsieur, de me guider, de m'ouvrir à ces nouvelles expériences. Je me sens vivante, … tellement vivante. »
David caressa doucement sa joue, ses yeux reflétant son affection profonde et son respect. « Vanessa, chaque pas que tu fais, tu le fais avec une telle grâce et un tel courage. Je suis ici pour te soutenir, pour explorer avec toi, toujours dans le respect de tes limites. Ce que tu ressens, cette exaltation, c'est ton esprit et ton corps qui s'harmonisent avec des désirs que tu n'avais peut-être pas envisagés avant. Et c'est juste magnifique à voir. »
Sous la caresse de David et ses mots, Vanessa se sentait à la fois ancrée et prête à s'envoler. Ils créaient ensemble un espace où elle pouvait être elle-même, sans filtre, sans barrières, un espace où la honte n'avait pas sa place, remplacée par une acceptation totale. Ils restèrent encore un petit moment ainsi, les yeux dans les yeux, partageant le silence confortable, les regards, les caresses légères. Le monde autour d'eux continuait de tourner, mais pour Vanessa, ce moment avec David était un univers en soi, un sanctuaire de découverte et d'acceptation.
« On y va ? » dit soudain David. Vanessa cligna des yeux dans un assentiment tacite. Ils se levèrent, David prenant Vanessa par la main. David régla les consommations au bar et ils sortirent bras dessus, bras dessous par la terrasse du bar qui donnait sur un parc public au milieu duquel s’étalait un bel étang autour duquel courait un sentier et des arbres majestueux.
Le ciel nocturne s'étendait au-dessus d'eux, un long manteau bleu marine infinie parsemée d'étoiles scintillantes. La lueur de la lune dessinait des reflets argentés sur la surface de l'étang. Leurs pas sur le sentier gravillonné étaient légers, rythmés par le chant discret des criquets et le murmure lointain de la ville. L'air était frais, rempli des parfums de la nuit, herbe humide et fleurs nocturnes. Vanessa, se sentant libérée de toute contrainte sous l'éclat des étoiles, respirait profondément, s'imbibant de la paix de l'environnement. David, en observant son émerveillement, ne put s'empêcher de sourire, puis, subtilement, laissa sa main glisser sur les courbes rebondies des fesses de Vanessa.
« Vous les aimez, mes fesses, n'est-ce pas ? » dit-elle, un sourire malicieux aux lèvres, tournant légèrement la tête vers lui.
David, ne détournant pas son regard des étoiles, acquiesça avec une expression admirative. « Oh oui, je les adore… Elles sont parfaites, charnelles, rebondies, fermes et délicieusement fendues. Chaque fois que je les vois, je… » Sa voix s’abaissa dans un ton plus cru, « Je pense à combien elles sont délicieusement tentantes, faites pour être adorées, caressées, fessées .. ; et abusées …. Tu as un cul fait pour être vénéré et défoncé » dit-il en le regardant intensément.
Vanessa rougit, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres. « J'aime quand vous parlez d'elles comme ça… ça me donne des frissons. »
Encouragé par son aveu, David pressa doucement sur le plug, provoquant chez Vanessa un petit sursaut mêlé de surprise et de plaisir. « Peut-être qu'il est temps de le retirer, tu ne crois pas ? » Sa voix était douce, mais remplie d'une promesse taquine.
Vanessa acquiesça, le désir évident dans ses yeux. « Oui, Monsieur… je pense que oui. »
Ils trouvèrent un banc discret au pied de vieux saules pleureurs, un peu à l'écart des sentiers les plus fréquentés.
« Penche-toi at appuie-toi sur le banc, ma belle soumise » lui dit David. Vanessa s’exécuta. David souleva alors sa robe, dévoilant les fesses rebondies de Vanessa. Le plug brillait dans les lueurs de la lune au milieu de ses fesses. David resta quelques secondes admiratif devant tant de beauté. Il s’accroupit, caressant de ses deux mains les magnifiques fesses de Vanessa. Il déposa de doux baisers sur chacune d’entre elles, provoquant des gémissements de satisfaction chez Vanessa.
Vanessa frissonnait sous chaque caresse ; chaque baiser déposé sur sa peau déclenchait une sensation de chaleur croissante l'enveloppant alors que David continuait son exploration tendre et audacieuse de ses fesses. Alors qu'il manipulait délicatement le plug, elle pouvait sentir la pression et le frisson de plaisir mêlé à une légère appréhension. « Pousse mon amour » lui dit-il … Vanessa s’exécuta, sentant le plug glisser dans ses chairs et forcer l’entrée, enfin la sortie de son anus … Elle aimait cette sensation délicieusement indécente … Avec un geste doux mais ferme, David retira finalement le plug, provoquant chez Vanessa un mélange de soulagement et de vide qu'elle n'avait pas anticipé.
Juste à ce moment, un bruissement derrière eux les fit tous deux sursauter et s'arrêter net. Ils se retournèrent vers la source du bruit et découvrirent le couple du bar. La femme, aux yeux brillants de désir, caressait ouvertement le sexe turgescent de son partenaire qui la regardait avec une intense admiration. Le tableau était à la fois érotique et inattendu, et Vanessa, surprise, sentit son cœur battre plus fort, incertaine de la réaction appropriée.
« Oh pardon, ne vous arrêtez pas s'il vous plaît. Vous êtes si beaux, » dit la femme avec un sourire chaleureux et une voix doucement enrouée par le désir.
David regarda Vanessa, cherchant son accord ou son rejet, respectueux de ses sentiments. « Que souhaites-tu faire, mon amour ? » demanda-t-il, sa voix empreinte de douceur et de sérieux.
Sans un mot, mais avec un regard qui disait tout de sa confiance et de son désir de continuer, Vanessa se remit en position, soulevant elle-même le pan de sa robe. David, toujours attentif et délicat, caressa de nouveau ses fesses avec amour et sensualité. Le couple en face d'eux observait, visiblement captivé par la scène devant eux, leur propre excitation palpable dans l'air nocturne.
Chaque caresse de David était comme un pinceau trempé dans une palette de sensations, peignant un tableau de désir sur la toile de son corps. Vanessa sentait chaque toucher résonner profondément en elle, la chaleur se construisant, s'étendant bien au-delà de l'endroit de ses fesses et de là où le plug avait été.
« J'aime sentir vos mains sur moi, Monsieur … j'aime que vous … me montriez, … que vous m'affichiez comme vôtre... je suis à Vous … » murmura Vanessa, sa voix trahissant son abandon.
David, encouragé par ses mots et son abandon, intensifia ses caresses, chaque mouvement marqué par un amour profond et un désir brut. Le sexe de Vanessa coulait abondamment …
Il se releva soudain baissa son pantalon et dévoila son sexe qui était tendu à l’extrême. Il s’assit sur le banc et dit à Vanessa : « Viens t’empaler sur ma queue, ma petite chienne. Et regarde les »
Vanessa, respirant profondément pour rassembler son courage et sa passion, obéit sans hésiter. Elle s'approcha de David, ses yeux fixés sur les siens, reflétant un mélange de désir intense et d'audace naissante. Avec une grâce empreinte d'une érotisme palpable, elle se retourna et se plaça au-dessus de lui et souleva sa robe, ses mains trouvant appui sur les cuisses puissantes de David. Lentement, avec une précision délibérée, elle s'abaissa, guidant le sexe de David en elle, la sensation de plénitude et d'intense satisfaction s'épanouissant en elle à mesure que sa chatte s’écartait et s'ajustait à l’épaisseur de sa queue qui la pénétrait.
Le couple voyeur les regardait avec une intensité croissante, leurs propres gestes devenant plus audacieux et moins retenus. La femme, les yeux mi-clos mais ne perdant rien du spectacle que leur offrait David et Vanessa, s’était agenouillée et suçait avec entrain le sexe de son homme dans un rythme qui semblait mimer les mouvements de Vanessa, tandis que l'homme, les yeux rivés sur Vanessa, murmurait des encouragements à peine audibles.
Vanessa, maintenant pleinement empalée, avait commencé à bouger ; d'abord doucement, puis avec une assurance croissante. Chaque mouvement de ses hanches était en harmonie avec les soupirs et les respirations de David sous elle. « Vous les aimez vraiment, mes fesses, n'est-ce pas Monsieur ? » répéta-t-elle, un sourire ludique traversant son visage alors qu'elle avait penché sa tête en arrière, arquant son corps, pour capturer les lèvres de David dans un baiser profond.
« Plus que tu ne peux l'imaginer, » répondit David entre les baisers, ses mains fermement posées sur ses hanches, la guidant dans un rythme qui approfondissait leur connexion. « Chaque courbe, chaque contour, est un poème que j'adore lire avec mes mains... et bien plus encore. »
Cette conversation, chargée de désir et teintée de l'audace de leur exhibition, un sentiment nouveau pour Vanessa, faisait monter la température de leur interaction à un niveau presque insoutenable. Vanessa, emportée par la sensation et la situation, augmenta le rythme de ses mouvements, chaque descente mettant en évidence la force et la profondeur de leur connexion. Ses fesses claquaient sur le bas ventre de David ; comme si sa chatte voulait avaler à chaque fois plus profondément encore la queue de David. Bien que soumise à David, et fière de l’être, c’est bien elle qui en cet instant dirigeait clairement les ébats.
Le couple voyeur ne pouvait détourner leurs regards, leurs expressions trahissant un mélange d'envie et d'admiration. Vanessa se surprenait aussi à être très excitée à la vue de cette femme qui pompait ardemment son compagnon.
Submergée par les sensations, Vanessa sentit l'orgasme monter en elle, rapide et irrépressible. Elle accéléra ses mouvements, ceux-ci devenant moins précis mais plus passionnés. David, sentant le changement de rythme, la soutint fermement, ses propres gémissements se mêlant aux siens dans une symphonie d'extase.
À mesure que l'orgasme la submergeait, Vanessa se cramponna à David, ses cris de plaisir se mêlant à l'air nocturne. Elle sentit le sperme chaud de David envahir son intimité dans un dernier coup de queue qui laissa le sexe de son Maitre, de son amour, planté en elle et tremblant. Les yeux mi-clos, elle vit le foutre de l’homme voyeur qui couvrait le visage de sa femme et le sourire béat et sincère de celle-ci. Elle s’effondra alors de tout son long sur le corps de David, profitant de manière désinhibée de ce pur moment d’extase et d’abandon.
David, aux anges, caressait le ventre et la poitrine douce et soyeuse de Vanessa, la serrant contre lui ; apaisant les derniers tremblements de l'orgasme qui secouait encore son corps. Ils restèrent ainsi enlacés, les bruits nocturnes du parc enveloppant leur intimité.
Le couple qui les avait observés se rapprocha doucement, la femme ajustant ses vêtements avec un sourire satisfait. Avant de partir, elle se tourna vers Vanessa et David, leur lançant un « Merci, c'était magnifique de vous voir. Merci infiniment » Sa voix portait un mélange de gratitude et d'admiration, un témoignage sincère de la beauté et de l’intensité de l'instant qu'ils avaient partagé.
David et Vanessa les regardèrent s'éloigner, mains entrelacées, disparaissant lentement sur le sentier éclairé par la lune. Vanessa se blottit encore plus contre David, cherchant réconfort dans son étreinte. Elle respirait profondément, chaque inspiration semblant laver les dernières traces de doute ou d'inconfort.
« Je ne savais pas que je pouvais ressentir quelque chose d'aussi intense, » murmura-t-elle. David répondit par un baiser sur le front, un geste tendre et rassurant. « C'est la beauté de notre voyage ensemble, » dit-il doucement. « Chaque expérience nous construit, nous définit et nous rapproche encore plus. »
(A suivre)
Source de l’illustration : photo libre de droit de l'internet
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Enfermée, assise au sol, dans cette pièce vide, les yeux encore embués… car quoi de pire que l’indifférence, le silence… je préfère la punition claquante que la solitude de mon âme... Plus facile d’expier ses fautes par la punition qu’il inflige que la punition seule dans ce vide abyssal. Mon Maitre le sait la difficulté que cela représente pour moi et s’il en arrive à cette punition c’est que je la mérite car il est juste et bon avec moi…
Il doit être 13h, j’entends la télé, le journal télévisé. Je l’imagine assis, regardant les informations.
Et moi, parée de mon collier et ma laisse, symbole magnifique de notre relation, de notre lien, de notre appartenance, me voilà, devant ces feuilles et comme toujours aucun mot ne sort dans cet état de sensibilité accrue… tout se mélange, je le hais autant que je l’aime, je le déteste autant que je l’adore... Mon esprit navigue entre acceptation et rejet, entre accord de ma condition et rébellion interne, entre compréhension et protestation… Il aime me faire vivre mes ambivalences et je dois redevenir sereine et confiante pour reprendre ma place, celle que j’aime tant, celle qui me permet d’être tout simplement moi et de m’épanouir grâce à Lui, par Lui, pour Lui, avec Lui, mon Evidence.
Il m’a appris à me calmer et à me recentrer grâce à certaines positions. Je mets le coussin sous mes genoux, je prends la position d’humilité, à genoux, le buste au sol, les bras et mains vers l’avant, le dos bien cambré, les fesses relevées. Je respire profondément, je cale mon esprit sur ma respiration et me laisse porter par le silence. Je m’apaise peu à peu et arrive à calmer mes angoisses, mes hontes, mes agacements… Dans cette position, je laisse vagabonder mon esprit et imagine ma lettre, des mots tournent, sont ils suffisants pour expier mes fautes ? Dois-je lui dire de me punir physiquement encore, en plus ? qu’attends-t-il de moi ? d’autres idées jaillissent bien que rien à voir avec la lettre d’excuse et pourtant…
Au bout d’un certain temps, me sentant plus calme, je vais sur le rebord de la fenêtre donnant dans vers la rue… j’ai soif... j’ai peur de boire... car je sais que je ne saurais pas me retenir… rapidement je devrais vider ma petite vessie… tant pis, pas de honte, je suis seule, je bois plusieurs gorgées... et me rassoit au sol pour commencer à écrire…
Je prends une feuille et commence ainsi :
Mon Maître adoré,
J’ai fauté par honte en public, par timidité accrue, par manque de confiance
Mais jamais je n’aurais honte de Vous, et de N/nous
J’ai promis, contractualisé moralement et sur papier ma servitude et de ne jamais vous faire honte et j’ai failli à mes obligations, je vous prie de bien vouloir accepter mes plus humbles excuses et me punir à la hauteur de mes fautes répétées que j’ai commis en quelques minutes. Je vous en remercierais.
Embarrassée par la situation, j’en ai oublié ma place de façon répétée, sans savoir la reprendre. Dans vos yeux, j’aurais dû la retrouver.
Tout en Vous est à la hauteur, votre respect, votre protection sont des valeurs fortes que je connais et qui pourtant ne m’ont pas permis de dépasser ma honte, ma peur en public.
Allégeance à Vous, Mon Maitre, je prête et obligée consentie, je serais fidèle à votre éducation et à N/notre contrat
Isolée, et comme je suis honnête et sincère, je suis passée de la colère à l’acceptation de cette punition et je comprends le but de celle-ci, me faire réfléchir sur ma condition et ma volonté d’être votre soumise. Alors, avec apaisement et sérénité au plus profond de mon être, je vous réitère mon absolue soumission, mon abandon corps et âme, et mon entière obédience à Vous Mon Maître.
Maître, punissez-moi, faites-moi expier toutes mes fautes, aidez moi à être meilleure et à être celle que vous désirez pour Votre plaisir. Utilisez-moi comme bon vous le jugerez. Ma confiance vous est acquise.
Evident, je me présente à vos pieds et vous demande de bien vouloir accepter mes plus sincères excuses et de bien vouloir reprendre mon éducation
Votre Soumise Mia
Je t’aime Mon Maître «
Apaisée, soulagée d’avoir écrit cette lettre et ne laissant pas mon naturel indécis avec moi-même prendre le dessus, je relis et décide de ne plus y toucher.
Je me relève, je bois et m’assois sur le rebord de la fenêtre, l’envie d’uriner me prenant, je décide de me retenir. Sur mes genoux, des feuilles et l’envie de dessiner cette pièce vide mais surtout l’envie de la remplir, de lui donner un sens comme toute l’éducation que mon Maître me donne.
Me voilà remplissant cette pièce carré, blanche, avec une belle fenêtre amenant de la clarté et baignant à la lueur du soleil. Une fois dans le hall d’entrée, la pièce à vivre avec sa cheminée ( le salon/salle à manger) se trouve à gauche, la cuisine en face avec une porte donnant aussi sur cette grande pièce à vitre et cette pièce se situe sur la droite, juste avant la porte de la cuisine, sous les escaliers, une porte discrète ouvrant sur cette belle pièce. Nous avons imaginé en faire une bibliothèque, un bureau.
Je l’imagine en boudoir avec sa bibliothèque, des fauteuils clubs et leurs reposoirs, une table pour y écrire, travailler… dans des tons chauds et élégants, invitant notre imagination. Je m’y vois flâner, lire, écrire, mais aussi être au pieds de Mon Maître, la tête sur ses genoux… Mes pensées dérivent et je me vois dessiner des meubles à détourner pour notre univers. Un lit noir escamotable, des équipements de suspension permettant d’installer une balançoire ou de m’entraver, un banc d’immobilisation, un carcan, une croix, et des armoires murales truffées de nos équipements et objets de nos perversités.
Ce dessin en imaginant cette pièce a provoqué une vague d’excitation, je suis trempée, un effleurement et je jouis… Je n’ai pas le droit sans sa permission de jouir et je dois lui dire mon état d’excitation... Aussi, il me vient une idée espiègle, je passe mes doitgs entre mon entre-jambe et recueille mon élixir que j’appose sur mon dessin en guise de signature. Je porte la feuille comme si je lisais et m’aperçois qu’elle ne porte pas suffisamment mon odeur. Je me caresse un peu plus, laissant couler un peu plus de ma cyprine et l’étale sur la feuille comme si je colorais ce dessin.
Cette excitation m’amène au bord de la jouissance, je m’étale en position humilité et me recentre, je respire et fait redescendre mon excitation, sentant une certaine frustration…
Je respire profondément et l’envie d’uriner me reprends, pas le choix, je vais vers le seau, je m’assois, je commence à me soulager quand j’entends la clé et la porte qui s’ouvre…
Je suis face à Mon Maitre, assise sur ce seau, et lui m’observant, je rougis, baisse la tête, et il me dit : « finis ma belle chienne, et viens à mes pieds »…
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On vivait ensemble dans une maison qu’on avait choisi, on était au mois de décembre et on se préparait pour fêter Noel en famille.
En ce samedi matin, après une soirée dans notre bulle, notre espace, notre univers, nous échangions autour d’un café et vous proposez d’aller faire du shopping…
Nous voilà partis dans un grand magasin type Printemps à la recherche des cadeaux de noël de notre famille, on se baladait et avec un regard malicieux, vous me demandez de vous embrasser à pleine bouche... Je vous embrasse mais gênée par le monde autour je n’ai pas osé mettre ma main sur votre queue comme c’était exigé dans notre contrat, vous m’avez alors reculé avec un regard froid et implacable, celui qui me tétanise et ne me rends pas fière de vous décevoir, celui de votre exigence qui fait que mon éducation est stricte mais totalement consentie et respectueuse, et vous avez dit : « suis-moi !»
En passant dans le rayon, vous avez pris une chemise dans un rayon (assez moche violette) et vous êtes rentré dans les cabines d’essayage tout cela en me tenant le bras bien serré. Mon regard baissé, mes joues rougies par la honte, je savais que j’allais être punie. Un frisson traversait mon échine et des sentiments très paradoxaux m’enveloppaient : la honte de vous avoir déçu, le bonheur de mon éducation et de vous appartenir car j’aime votre exigence, et une part d’excitation me rappelant qu’elle était ma place.
Arrivés dans la cabine vous m’avez demandé de me mettre face contre mur, vous êtes mis derrière moi et à l’oreille vous m’avez posé des questions sur mon attitude et indiqué votre mécontentement. Ces moments interrogatoires sont difficiles car il faut verbaliser mes erreurs et la cadence des questions ont un effet montagne russe dans mes émotions, mais j’aime que vous soyez cette intransigeance et que vous me poussiez dans mes dépassements. Dans ce cas, dans notre contrat, il était acté que je devais passer de Monsieur à Maître... mais tétanisée par la situation, celle d’être en public, je ne répondais que par oui ou non Monsieur…
Plus que déçu par mon attitude en me rappelant les règles, vous avez relevé ma robe, et dit : tu vas compter et t’excuser à chaque coup sur tes fesses et je ne veux entendre aucun cri gémissement ... bien compris ma sale chienne ?
Vous avez sèchement claqué mes fesses 5 fois chacune, a chacune je soufflais le compte et vous demandez de bien vouloir accepter mes excuses et vous remerciez Maitre
Je me mordais les lèvres pour qu’aucun son à part ce qui était demandé ne sortent de ma bouche, quelques larmes coulaient.. mes fesses chaudes et rougies.. mais paradoxalement je sentais que je m’humidifiais et comme les règles établies entre nous le voulaient je devais vous le dire ,
Bloquée par la situation, je ne l’ai pas dit et vous l’avez constaté de vous-même .. Vous m’avez rabaissé la robe et vous avez dit « on part »
Vous me teniez par la main bien serrée on a traversé ainsi le magasin jusqu’à la voiture, on s’est installé, on a pris la route dans un silence de marbre, j’ai voulu m’excuser vous avez lancé un regard froid et dit de me taire et de baisser la tête ...
J’étais assiste au fond du siège, les yeux figés au sol, des larmes coulaient, c’était la première fois que je cumulais autant d’erreurs mais mon Maître était fermé, déterminé mais calme… j’étais perdue dans mes pensées et je m’en voulais terriblement d’avoir déçu mon Maitre et gâché ce moment…
Je sens la voiture qui ralentit, vous arrêtez, vous sortez, je sais que nous ne sommes pas à la maison, trop peu de temps s’est écoulé. Vous avez fait le tour de la voiture, et ouvert la portière arrière côté passager, puis la mienne, vous m’avez demandé de sortir, de me retourner et de m’allonger le torse sur le siège, les fesses tendues et de relever ma robe sur mes hanches puis vous m’avez expliqué que mon comportement était inadmissible et irrespectueux, que vous étiez déçu et pas fier, que vous aviez ainsi l’impression que j’avais honte en public, honte de notre relation ... j’essayais de répondre mais vous me disiez « «tais toi, tu n’as pas la parole, je ne veux plus t’entendre »
Puis vous m’avez fessé... quand j’étais bien rouge et je sentais la chaleur, arrachant bien malgré moi quelques cris, j’étais honteuse et les larmes coulaient, vous m’avez dit remonte on rentre
Dans un silence de mort, la tête baissée, les larmes coulaient, j’avais honte et j’avais envie de vous dire que j’étais vraiment désolée et que vous aviez raison mais je respectais le silence imposé.
Arrivés à la maison, dans le couloir d’entrée, vous m’avez demandé de me déshabiller, mis le collier et la laisse et emmenait dans une pièce qu’on avait pas encore aménager, j’étais debout les jambes écartées les mains derrière la tête bien cambrée et le regard baissé.
Vous êtes sorti revenu avec un coussin, des feuilles, crayons et un seau.
Vous m’avez dit : « je ne veux pas t’entendre ni te voir, voilà ton indiscipline, ton manque de soumission pour ton Maître te conduit à être punie ici dans cette pièce jusqu’à ce que bon me semble, tu as de quoi écrire une lettre d’excuse, à toi d’être convaincante et comme je ne sais pas quand tu sortiras voilà une bouteille d’eau et un seau pour tes besoins de chienne »
Les larmes coulaient de plus belles, jamais je n’avais été punie de la sorte et en même temps, je le méritais tant, j’avais cumulé un nombre important de fautes alors que je devais lui faire confiance, qu’il ne me demanderait rien qui ne pourrait toucher à mon intégrité.
Vous êtes sorti, et fermé la porte à clé ..
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David reposa Vanessa au sol et l’observa avec une tendresse infinie. « Que dirais-tu de sortir prendre un verre en ville, Vanessa ? J’aimerais te montrer à quel point je suis fier de toi. » Sa voix était douce, invitant à la continuation de leur soirée dans un cadre différent.
Vanessa, surprise mais ravie par la proposition, acquiesça, un frisson d'excitation lui traversant le corps. « J’adorerais, Monsieur. » Sa réponse fut prompte, teintée d'une joie évidente à l'idée de continuer cette soirée très spéciale.
« Bien, mais je veux que tu gardes le plug qui emplit ton beau cul de chienne ... pour que tu t’habitues à sa présence … pour que tu n’oublies pas cette sensation, pour te rappeler à chaque instant que tu es mienne, même là-bas » ajouta David avec un clin d’œil malicieux.
Vanessa sentit une vague de chaleur l'envahir à l'idée de garder ce secret intime alors qu'elle serait parmi d'autres. Cela lui donnait un sentiment de connexion continue avec David, très excitante, voire un peu audacieuse. « Oui, Monsieur » lâcha-t-elle en baissant les yeux.
« Puis-je cependant aller prendre une douche et me refaire une beauté, Monsieur » demanda-t-elle. « Bien évidemment ma bien-aimée » répondit David. « Tu sais déjà où est la salle de bains …» ajouta-t-il dans un sourire entendu.
Après avoir embrassé David et rassemblé ses vêtements et ses chaussures, Vanessa se dirigea vers la salle de bain pour se doucher. Elle déposa sa robe et ses bas sur la commode en chêne et ses talons au pied de celle-ci. Elle fit couler l’eau de la douche à l’italienne et se dirigea vers le lavabo. En se regardant dans le miroir elle découvrit à quel point son visage était dévasté : il était couvert de traces de son rimmel qui avait coulé sous l’effet de ses larmes ; son rouge à lèvres n’était plus qu’un lointain souvenir, des traces couvrant aussi son visage … Devant le grand miroir qui commençait à s’embuer, elle observait son corps nu : les mamelons de ses seins lourds étaient encore dressés par l’excitation de tout ce qu’elle venait de vivre ; ses fesses étaient rouge carmin, couvertes de stries plus marquées, presque violacées, témoins silencieux de la discipline de David. Aussi paradoxal que cela aurait pu lui paraître auparavant elle était heureuse de voir ce qu’elle voyait. Les marques sur ses fesses, bien que douloureuses, ce visage dévasté, étaient des ornements de sa dévotion, chaque ligne un rappel de son abandon et de sa confiance envers son Maître. Elle se tourna légèrement, le miroir capturant la vue du plug qui dépassait subtilement de son anus. L’objet, bien en place, ajoutait une dimension de possession à son reflet, un secret érotique qu'elle portait en elle. Le diamant en verre qui l’ornait était comme un bijou. À la vue de cela, une onde de chaleur mélangée à une satisfaction profonde traversa Vanessa. Le contact du métal froid contre sa peau intérieure, toujours un peu sensible, éveillait une série de frissons qui parcouraient son échine. Elle passa doucement sa main sur ses fesses, frémissant au toucher des zones endolories. La douleur, maintenant douce et familière, se mêlait aux vibrations du plug à chaque mouvement, renforçant son sentiment d'appartenance à David. C’était une sensation complexe, un mélange de douleur, de plaisir, et d’une profonde satisfaction émotionnelle. Vanessa se sentait fière et incroyablement vivante, consciente du chemin qu'elle et David parcouraient ensemble. Chaque marque, chaque sensation était un fil dans le tissu de leur relation, tissé avec soin et respect mutuel.
Vanessa se dirigea vers la douche à l’italienne. L’eau chaude coulant sur son corps semblait laver la fatigue mais ravivait également les sensations de la peau encore sensible de ses fesses. La présence du plug, maintenant une sensation presque rassurante, lui rappelait constamment le contrôle de David sur elle, même en son absence immédiate. Elle sourit … elle adorait cela.
« J’ai pensé que tu aurais sans doute besoin de ton sac à mains, ma belle » lança David en entrant dans la salle de bains et en déposant le sac sur la commode en chêne. Vanessa, nue sous la douche, sursauta et instinctivement protégea sa poitrine et son sexe de ses mains. David sourit : « Il n’est rien ici que je ne connaisse déjà ma chérie … » dit-il. « Et il est bien dommage de cacher tant de beautés » renchérit-il tout en s’avançant vers Vanessa. Se sentant un peu stupide, Vanessa laissa ses mains tomber le long de son corps, offrant pleinement sa nudité aux yeux de David. « Voilà qui est bien mieux. Tu es juste superbe, Vanessa » lui dit David en lui envoyant un baiser de sa main. « Tu trouveras tout ce qu’il te faut dans le meuble sous le lavabo. Je t’attends dans la patio. A tout de suite ma chérie ».
Après la douche, Vanessa se sécha avec l’une des longues serviettes en coton moelleux vert pomme qui se trouvaient là. Elle nettoya son visage avec la lotion qu’elle emmenait toujours avec elle dans son sac à mains, s’aidant des boules de coton qu’elle avait trouvées sous le lavabo. Elle refit le maquillage de ses yeux et de ses paupières ; déposa une couche délicate de rouge sur ses lèvres pulpeuses ; et un léger font de teint sur ses joues. Elle enfila un à un ses bas noirs sur ses jambes ; puis sa robe qui tomba sur son corps avec élégance, mettant en valeur chaque courbe de son corps. Devant le miroir, elle brossa puis ajusta ses cheveux de feu, laissant ses boucles tomber librement sur ses épaules. Elle serra enfin les sangles de ses talons hauts qui allongeaient ses jambes et cambraient plus encore ses fesses. Fin prête et fière de ce qu’elle voyait dans le miroir, elle déposa quelques gouttes de parfum sur son cou et entre ses seins et se dirigea vers le patio.
David l’y attendait. Il fumait une cigarette et avait tombé la veste. Elle découvrit ainsi qu’il portait les boutons de manchette qui avaient été à l’origine du début de leur relation ; cette conversation qu’elle n’oublierait jamais et qui avait changé sa vie lors de la soirée d’anniversaire de son amie Mélanie. Aussi ne fût-elle pas totalement décontenancée lorsque David lui intima : « Nadu »
Immédiatement, se rappelant de leur première nuit ensemble, Vanessa se mit en position devant lui. Elle déposa son sac à mains sur la table basse, releva légèrement sa robe et s’agenouilla devant David, le dos droit, les mains posées paume ouvertes sur ses jambes écartées, les fesses posées sur ses pieds, la tête baissée.
« C’est bien Vanessa. Je vois que tu te souviens bien. Es-tu prête à continuer ou préfères-tu que nous passions le reste de notre soirée dans un mode plus « vanille ? »
« Je suis à Vous, Monsieur » répondit Vanessa, ne laissant aucun doute sur son souhait de la tournure de la suite de la soirée par l’utilisation de ces mots.
« Bien ma belle, nous continuerons donc notre soirée comme nous l’avons commencée ». répondit David. « Collar me » ajouta-t-il.
A ces mots, Vanessa redressa sa tête et vint mettre ses deux mains derrière sa nuque, tendant son cou.
« Ma belle Vanessa. Tu as choisi en pleine conscience de devenir mon apprentie soumise, ma novice. Voici ton collier de novice. Tu le porteras avec fierté à ma demande ».
Le collier était incroyablement significatif pour Vanessa. Il symbolisait non seulement sa soumission, mais aussi l’affection et la protection de David. Elle le regarda avec attention : c’était un fin collier en cuir noir orné d’un superbe anneau doré. A la vue de ce collier, le cœur de Vanessa se mit à battre la chamade, débordant de bonheur et de fierté. Elle sourit et dit « Oh oui, Monsieur … Merci Monsieur » et tendit son cou plus fortement encore.
David s’approcha et plaça le collier autour de son cou, ses doigts effleurant brièvement sa peau, provoquant un frisson chez Vanessa. « C’est aussi pour que tout le monde sache à qui tu appartiens lorsque nous sortirons dehors … comme ce soir … » murmura-t-il. A ces mots, Vanessa lui sourit. David lui rendit son sourire : « Lève-toi ma bien aimée » ajouta-t-il. Vanessa se redressa. David la prit dans ses bras et l’enlaça. Ils échangèrent un long baiser, mêlant leurs langues avec douceur et délectation.
David enfila sa veste et prit Vanessa par la main. Ils sortirent ensemble, main dans la main. La soirée était douce. La brise légère de la soirée caressait agréablement la peau de Vanessa à travers le tissu léger de sa robe noire. Chaque pas avec David à ses côtés renforçait son sentiment d'appartenance et d'exaltation. La présence discrète du plug augmentait son excitation, un secret qu'elle portait fièrement alors qu'ils marchaient ensemble. Tout cela était si nouveau pour elle. Jamais elle ne s’était promenée cul nu en ville. Et encore moins avec un plug ornant son anus. La ville nocturne leur offrait ses lumières et son ambiance vibrante, et Vanessa se sentait comme dans un rêve, flottant dans une bulle d'intimité malgré les rues animées. Elle était consciente de chaque mouvement de son corps, chaque pas un rappel de la soirée intense qu'ils avaient débutée. La sensation du plug en elle était à la fois un confort et une excitation continue, chaque pas renforçant sa conscience de sa propre soumission volontaire à cet homme qu’elle aimait tant.
David, de son côté, ressentait une fierté profonde en marchant avec Vanessa à son bras. Il admirait la manière dont elle portait sa robe, sa posture, la confiance avec laquelle elle marchait à ses côtés. Chaque regard qu'ils recevaient des passants était un témoignage de la magnétique présence de Vanessa, et David savourait la reconnaissance de sa beauté et de sa soumission. Il se sentait honoré et respecté. Elle était certes sa soumise, mais elle était avant tout son égale. Et à deux, il formait un Tout qui dépassait de loin la somme de leur deux individualités.
Ils arrivèrent bientôt à un bar chic situé dans un hôtel de luxe de la ville. L'endroit, avec son éclairage subtil et son décor élégant, était un cadre parfait pour continuer leur soirée. Le personnel les accueillit avec discrétion et respect, conduisant le couple à une table un peu à l'écart, offrant intimité et confort. Vanessa se sentait à la fois vue et protégée, une combinaison qui ajoutait une couche supplémentaire à son excitation déjà palpable.
S'asseyant sur le canapé moelleux devant la table, Vanessa ajusta discrètement sa position pour accommoder la sensation du plug, un petit geste qui lui rappela encore une fois sa condition et les plaisirs de sa soumission. David, observant son léger mouvement, lui sourit avec tendresse et complicité, rassurant Vanessa de son soutien et de son amour constants, ainsi que de sa grande fierté de la voir ainsi à ses côtés. Il prit place à ses côtés et commanda deux coups de Ruinart rosé, le champagne préféré de Vanessa, ainsi qu’une coupelle de fraises.
Un serveur apporta les coupes de champagne et les fraises. David saisit une fraise et l’approcha des lèvres de Vanessa. « Ouvre la bouche, ma belle » lui dit David. Vanessa, un peu gênée d’agir ainsi en public, entrouvrit néanmoins ses lèvres, les yeux fixés dans le regard envoutant de David. « Mords en un morceau » ajouta-t-il. Elle mordit avec sensualité dans la fraise. Le jus sucré envahit son palais. David prit le reste de la fraise et la dégusta. Il se sait des deux coupes et tendit à Vanessa sa coupe de champagne. « Bois ma chérie ». Ils portèrent l’un et l’autre les coupes à leurs lèvres et burent une gorgée.
Lorsque le champagne pétillant rencontra le jus sucré des fraises encore présent dans la bouche de Vanessa, elle fut enveloppée d'une explosion de saveurs. La douceur des fraises, pleines et juteuses, se mêlait harmonieusement à l'effervescence vive du champagne, créant une sensation à la fois rafraîchissante et exquise. La boisson, légèrement acidulée, accentuait la richesse fruitée des fraises, tandis que les bulles fines picotaient délicatement son palais, lui apportant une sensation de fête et d'élégance. Vanessa, toujours plongée dans le regard de David, savoura ce mélange, sentant chaque bulle éclater sur sa langue, tandis que le goût de la fraise persistait, doux et riche. Elle se sentait comme emportée dans un moment de pure indulgence, un doux interlude dans leur soirée pleine de promesses et de sensations.
« Telle est notre relation, ma belle : à la fois douce et sucrée, mais aussi surprenante, acidulée et pétillante » lui dit David, en embrassant sa main.
Vanessa sourit à David, reconnaissante pour cette attention délicate et tout ce qu'elle symbolisait dans leur relation complexe et passionnément tissée.
La soirée se continua dans une atmosphère de grande complicité. Alors qu’ils devisaient de choses et d’autres, tout en appréciant une deuxième coupe de champagne, en plein milieu de la conversation David se pencha vers Vanessa et lui murmura à l’oreille :
« Ecarte tes jambes ! »
Vanessa sursauta légèrement à l'injonction inattendue de David, une onde de chaleur s'emparant d'elle malgré l'élégance environnante du bar. Son visage, un instant parcouru par une ombre de réticence, traduisait sa gêne face à la demande de David alors qu'ils étaient entourés de personnes.
"David, euh … pardon … Monsieur, … je... je suis nue dessous," chuchota-t-elle, sa voix tremblante révélant son incertitude. "Nous sommes en public ..."
David capta son regard, son expression était un mélange de fermeté et de tendresse. "Je sais, ma chérie. Mais n'oublie pas, tu es à moi. Et je suis toujours ici pour toi," lui répondit-il fermement mais aussi doucement, cherchant à apaiser ses craintes. "Et si jamais tu te sens trop mal à l'aise, pas prête pour cela, rappelle-toi que tu peux toujours dire ton mot de sécurité…. Ecarte tes jambes" répéta-t-il.
Vanessa respira profondément, la présence du mot de sécurité lui rappelant qu'elle avait en réalité le contrôle total sur ses limites. Ce rappel lui donnait la force nécessaire pour explorer plus avant les limites de sa soumission, même dans un cadre aussi public. Elle sentait son cœur battre rapidement, l'excitation et l'appréhension se mêlant en un tourbillon d'émotions. Après un moment de réflexion, elle releva les yeux vers David, cherchant du courage dans son regard protecteur.
"Je vous fais confiance, Monsieur," dit-elle finalement, sa voix encore hésitante mais décidée. Lentement, elle écarta ses jambes sous la table, le mouvement à peine perceptible pour quiconque n'était pas directement en train de l'observer. La sensation du plug se fit plus présente, un rappel constant de sa soumission et de son appartenance à David.
Le frisson de l'audace mêlé à la peur de l'exposition en public créait un cocktail enivrant. Vanessa sentit le mélange de fraise et de champagne dans sa bouche se transformer en une métaphore parfaite de leur relation : doux mais audacieux, risqué mais excitant. Elle était enveloppée dans une bulle d'intimité avec David, malgré les regards occasionnels des autres clients du bar. Sa décision de se conformer aux désirs de David malgré son inconfort initial renforçait leur lien, chaque acte de soumission forgeant un peu plus profondément son identité en tant que partenaire dévouée dans leur dynamique de pouvoir et de soumission consentie.
David, reconnaissant l'effort et la confiance de Vanessa, lui sourit avec admiration et tendresse. "Tu es magnifique, ma chère," murmura-t-il, sa main trouvant la sienne sous la table, la serrant doucement pour lui communiquer son soutien et son amour. Dans cet échange silencieux, ils partageaient un moment de parfaite communion, le monde extérieur s'estompant jusqu'à devenir un murmure lointain.
« Caresse toi maintenant »
Vanessa sentit son cœur s'accélérer sous la nouvelle demande de David. L'audace de l'instruction, combinée à la vulnérabilité de sa position, la plongea dans un dilemme intérieur profond. Elle regarda autour d’elle, comme affolée, scrutant les visages des autres clients, cherchant des signes d’observation ou de jugement. L'élégance discrète du bar, cependant, semblait envelopper chaque table d'une sphère privée, offrant une illusion de solitude même dans cet espace public.
« Je... Monsieur, je ne suis pas sûre, » murmura-t-elle. Son visage s’était empourpré, le rouge colorant ses joues alors qu'elle luttait contre ses propres limites. Son esprit se débattait entre le désir d'obéir et la peur, le tabou de l'exposition publique.
David resserra légèrement sa prise sur sa main, un geste de soutien et d'encouragement. "Vanessa, regarde-moi," dit-il doucement. Ses yeux étaient pleins de compréhension et de commandement, un phare dans ses turbulences internes. « Je suis là avec toi, à chaque instant. Et si c'est trop, tu n'as qu'à le dire. »
Le rappel de sa sécurité et la confiance absolue qu'elle avait en David solidifièrent sa résolution. Vanessa prit une profonde inspiration, se rappelant les nombreuses fois où David avait guidé et pris soin d'elle. Elle sentit un nouveau souffle de courage l'envahir. Lentement, presque imperceptiblement, elle laissa son autre main glisser de la table à ses genoux, puis plus haut, sous la robe.
La sensation de sa propre main sur sa peau nue sous la table, alors qu'elle caressait doucement ses cuisses, fit monter une nouvelle vague d'excitation. Le tissu de sa robe glissa silencieusement contre sa peau, cachant ses mouvements aux yeux des autres. Vanessa sentait chaque caresse comme un écho à la fois réconfortant et transgressif, un doux frisson qui contrastait avec la chaleur de la salle.
David observait attentivement Vanessa, déposant de doux baisers dans son cou, son visage exprimant fierté et admiration. "Continue, ma belle," murmura-t-il, sa voix un velours sombre qui se fondait dans les murmures du lieu. Sa présence, à la fois dominante et rassurante, enveloppait Vanessa d'un sentiment de sécurité.
Le contact de sa propre main, guidée par les mots de David, l'encouragea à explorer davantage, à flirter avec les limites de ce qu'elle n'aurait jamais pensé possible en public. Sa main atteint son sexe. Il ruisselait déjà de désir. La sensation du plug en elle devenait en outre un rappel constant de sa soumission et de son lien avec David. Chaque mouvement discret renforçait son excitation, un secret partagé uniquement entre eux deux, caché en vue de tous.
À mesure que Vanessa s'abandonnait à ses caresses discrètes sur sa vulve et son clitoris, elle se laissa aller à la sensation de liberté que lui procurait l'acceptation de sa vulnérabilité. Le mélange de peur et d'excitation se transforma en un puissant sentiment de libération. Elle était simultanément exposée et protégée, obéissante et affirmée, vivant pleinement le paradoxe de leur dynamique de pouvoir consentie. Ses limites fondirent comme neige au soleil.
David, voyant Vanessa s'épanouir dans l'acceptation de sa demande, lui sourit avec une affection profonde. « Tu es incroyable, Vanessa. Chaque moment avec toi est un cadeau précieux. »
A ces mots, Vanessa pressa son clitoris et partit en un orgasme fulgurant. Elle réprima son cri de jouissance en enfouissant sa tête dans le cou de David, son corps tremblant sous l’effet du plaisir qui la parcourait.
(A suivre)
Source de l’illustration : création de MaitreJeanM assistée par IA
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David resta à genoux derrière Vanessa, observant attentivement son corps s'acclimater à la présence du plug. Il posa doucement ses mains sur ses hanches, ses pouces caressant les courbes tendues par la position. Il se pencha en avant, son souffle chaud contre sa peau.
« Comment te sens-tu ma belle chienne ? » chuchota-t-il, sa voix basse empreinte d’un mélange de tendresse et de vice.
Vanessa, les yeux fermés, se concentrait sur les sensations qui parcouraient son corps. « C'est différent … mais je me sens bien … Monsieur, » murmura-t-elle, un frisson traversant son échine sous l'effet de sa voix.
Encouragé par sa réponse, David commença à explorer plus avant. Sa main gauche continua de masser doucement son cul endolori, tandis que l'autre glissait vers l'avant pour caresser délicatement son ventre, descendant progressivement vers son pubis. Ses doigts effleurèrent son clitoris avec une légèreté presque aérienne, provoquant des soubresauts de plaisir chez Vanessa. De son autre main David exerçait des pressions régulières sur le plug … le poussant plus avant dans les entrailles de Vanessa … puis le laissant se remettre en place … Vanessa gémissait doucement, ses mains crispées dans le bois du pilori, ses sens exacerbés par le contraste entre la douceur de ses caresses et la fermeté du plug qui emplissait et écartait son cul.
David augmenta la pression de ses doigts, dessinant des cercles précis et insistants autour de son clitoris, et accélérant les poussées de va-et-vient du plug … « Lâche-toi … laisse-toi aller à ces sensations, … ma belle chienne, » lui dit David, chaque mot une caresse, un ordre aussi puissant que ses touchers. Vanessa se sentait flotter dans un espace où seule la voix de David et ses caresses existaient. Le monde extérieur avait disparu, laissant place à une bulle de sensation pure. La pression en elle montait, construite soigneusement par l'alternance des caresses de David entre son clitoris et le plug. Elle commençait à pousser doucement son bassin contre ses mains, gênée par ses jambes et ses mains entravées, manquant parfois de perdre l’équilibre, cherchant plus de contact, plus de friction, plus de pénétration.
Soudain, David retira ses mains, laissant Vanessa haletante et suspendue à l'orée d'un plaisir intense. Dans un murmure brisé par la frustration, Vanessa laissa échapper : « Non … Mais pourquoi vous arrêtez-vous, …. Monsieur ? … ». Au moment même où elle allait finir sa phrase, sa voix se fit plus douce, plus hésitante, presqu’inaudible, comme si elle voulait rattraper et reprendre en gorge chacun des mots prononcés, consciente qu’elle venait de commettre un impair.
David s’approcha d’elle et la fixa droit les yeux, son expression se durcissant légèrement. « Vanessa, tu as pris la parole sans permission. Cela mérite une punition, » dit-il d'une voix ferme, ses mots précis comme des lames. Vanessa sentit une vague d'appréhension mêlée à un frisson de culpabilité. Elle acquiesça doucement, baissant la tête en signe de repentir : « Oui … pardon Monsieur » souffla-t-elle.
Il se dirigea vers le côté de la pièce, où il sortit du coffre en bois d’ébène une petite palette en bois clair, polie mais austère. Revenant vers elle, il glissa sa main sous son menton, la forçant à lever les yeux vers lui. « Comme tu en as pris l’habitude, tu vas compter chaque coup, petite effrontée » dit-il doucement mais avec une autorité indiscutable.
Il se positionna derrière elle et sans autre avertissement, la palette s'abattit avec un claquement sec contre sa fesse droite déjà endolorie. Vanessa hurla sous le coup. La douleur était aiguë, se répandant comme un feu à travers les marques précédentes. David attendit, regardant d’un coin de l’œil comment réagissait Vanessa. « Un, … merci Monsieur, » dit-elle d’une voix tremblante mais claire.
David ne tarda pas à administrer le second coup, cette fois sur sa fesse gauche, équilibrant la douleur qui s'étalait maintenant comme une onde sur les deux côtés de son cul rebondi. La sensation brûlante amplifiait l'intensité de la punition, rendant chaque respiration de Vanessa un peu plus sifflante. « Deux... Merci, Monsieur, » articula-t-elle, la voix brisée par l'effort de retenir les larmes.
Le troisième coup tomba, plus fort, faisant vibrer chaque nerf en éveil. Vanessa se mordit la lèvre pour ne pas crier, ses yeux se remplissant de larmes. « Trois... Merci, Monsieur, » murmura-t-elle, sa résilience testée mais pas brisée, ses pensées flottant entre la douleur et une profonde acceptation de sa soumission.
« Comprends-tu pourquoi tu es punie, petite chienne ? » demanda David d’une voix ferme mais douce, sa main caressant maintenant la zone rougie de ses fesses comme pour apaiser la douleur.
Vanessa, le souffle court et les yeux baigné de larmes, prit une grande respiration avant de répondre. « Oui, Monsieur... J'ai désobéi … J'ai parlé sans permission »
Le quatrième coup tomba dans la seconde qui suivit, comme un écho des précédents, renforçant la chaleur ardente qui semblait maintenant envelopper toute la région de son bassin. « Quatre » hurla Vanessa dans une respiration saccadée… ses mains crispant le bois du pilori, cherchant quelque chose à quoi se raccrocher. La douleur était intense et l’embrasait. Elle reprit son souffle et répéta « Quatre », ajoutant « Merci, Monsieur … ».
« A quoi cela sert-il de te punir, ma petite chienne ? » demanda alors David d’une voix forte.
Vanessa, encore sous l'effet tumultueux de la douleur et des émotions, essaya de rassembler ses pensées pour répondre de manière appropriée. Elle sentait la chaleur de chaque coup s'entremêler avec une montée d'adrénaline, mêlant paradoxalement douleur et une sorte de clarté mentale accrue.
« Cela sert à me rappeler les règles, Monsieur. … A m'éduquer, à m'assurer que je reste obéissante et attentive à vos désirs, Monsieur. » commença-t-elle. « Cela me montre que je dois toujours respecter vos commandements… que … que …. » … Vanessa hésita à prononcer ces mots, mais la dernière barrière mentale céda et elle reprit … « que je suis votre petite chienne soumise, heureuse d'être dressée par vous … mon Maître … » continua-t-elle avec un mélange de fierté et de soumission, sa voix tremblante mais ferme.
David, fier d’elle et profondément satisfait de sa réponse, prépara le cinquième coup. Il s'abattit avec précision sur l'autre fesse, la douleur se répercutant comme une onde profonde à travers tout son corps. « Cinq... Merci, Monsieur, » gémit Vanessa, ses larmes coulant librement maintenant, marquant des sillons sur ses joues déjà humides. La douleur était intense, mais elle y trouvait une étrange forme de soulagement, un renforcement de sa résolution à endurer, à accepter, et même à chérir ce rituel de discipline.
Le dernier coup, le sixième, fut donné avec une force mesurée, comme pour sceller leur pacte de domination et de soumission. L'impact résonna en elle, vibrant dans chaque fibre de son être. « Six... Merci, Monsieur, » articula-t-elle, sa voix cassée par l'effort, les larmes coulant encore plus, mais avec elles, un sentiment de libération et de connexion profonde avec David.
Les coups terminés, David s’approcha et posa sa main avec douceur sur la joue couverte de larmes de Vanessa, inclinant légèrement sa tête pour capturer son regard. « Tu as bien supporté ta punition, ma belle chienne. C'est bien. Je suis honoré et fier. Tu montres que tu es plus que digne de l'amour et de l'attention que je te porte. Rappelle-toi toujours pourquoi tu es punie et ce que cela signifie pour notre relation, » dit-il, sa voix maintenant empreinte de douceur et de tendresse.
Vanessa, respirant profondément, sentait les derniers soubresauts de douleur se mêler à un sentiment de fierté et de profonde affection pour son Maître, son David. Elle se sentait comme purifiée par l'expérience, renouvelée dans son engagement à lui et à leur mode de vie choisi. Les larmes qui continuaient de couler n'étaient plus seulement de douleur mais aussi de gratitude et de bonheur, d'être précisément là, avec lui, liée par plus que de simples entraves ou des règles, mais par un lien indélébile et indéfectible d'amour et de confiance.
« Oui, Monsieur, je comprends… je suis heureuse de vous appartenir, » murmura-t-elle, son cœur plein d'un amour inconditionnel pour l'homme qui la dominait, mais qui, dans chaque geste, chaque parole, lui montrait combien elle était précieuse à ses yeux.
David acquiesça, ses yeux brillants d'approbation et d’amour. « Tu apprends vite, ma dévouée. Et pour cela, tu seras récompensée, » murmura-t-il, inclinant son visage vers le sien pour capturer ses lèvres dans un baiser qui scellait leur échange, un baiser qui parlait d'amour, de pouvoir, de soumission et d'une promesse éternelle de soin et de respect mutuel.
Se levant, David vint libérer les chevilles de Vanessa de l’entrave. Il ne put s’empêcher de contempler avec délectation le cul rouge vif, strié des coups de badine, de sa belle. Il y posa ses mains. Vanessa sursauta et gémit. Ses fesses étaient brulantes. Il se dirigea vers un petit meuble en bois sombre dans le coin de la pièce et en sortit un flacon de crème apaisante. Revenant vers Vanessa, il ouvrit doucement le flacon, et ses doigts enduits de crème touchèrent la peau enflammée de ses fesses.
« Tu vas sentir une certaine fraîcheur, mais ça va apaiser la brûlure, » murmura David. Il étala la crème avec délicatesse, massant doucement les zones endolories. Chaque touche apportait un soulagement immédiat à la peau brûlante de Vanessa, et elle ne put s'empêcher de laisser échapper un soupir de contentement à chaque mouvement circulaire de ses mains. Les mains de David étaient fermes mais tendres, chaque pression dissipant un peu plus de la douleur accumulée, remplaçant l'ardeur des coups par une sensation de guérison et de tendresse.
Vanessa sentait la tension s'évaporer sous l'effet des mains expertes de David. La douleur laissait place à un confort croissant, ses muscles se détendant progressivement, et son esprit s'apaisant après l'orage émotionnel et physique qu'elle venait de traverser. Chaque geste de David renforçait leur lien, lui rappelant qu'au-delà de la discipline, il y avait un soin profond et un amour inconditionnel. Les larmes qui coulaient encore doucement sur ses joues n'étaient plus des signes de douleur mais des témoignages de gratitude pour la sensibilité et l'attention que David portait à son bien-être. Elle se sentait chérie, valorisée et incroyablement connectée à lui, chaque caresse sur sa peau meurtrie lui rappelant qu'elle était à la fois protégée et aimée.
« Est-ce que cela te fait du bien ? » demanda David
« Oui, Monsieur, beaucoup… Merci, Monsieur, » répondit Vanessa avec une douceur empreinte de vénération. Son ton portait la marque d'une soumission joyeuse et d'une confiance absolue en l'homme qui avait désormais la responsabilité de son corps et de son cœur.
Après avoir fini le massage apaisant des fesses de Vanessa, David vint la libérer du pilori. Vanessa se redressa avec difficulté. David la saisit par la nuque et le cou et l’embrassa avec passion ; elle se colla contre lui, dans un abandon total.
David caressa doucement les cheveux flamboyant de Vanessa, son regard plongeant dans le sien, cherchant à comprendre les profondeurs de son âme. Il lécha ses larmes et baisa ses yeux et sa bouche.
« Parle-moi, Vanessa. Dis-moi ce que tu ressens maintenant, tout ce que tu découvres en toi. » lui dit-il.
Vanessa, les yeux brillants d'émotions mêlées, pris une profonde inspiration, cherchant ses mots avec soin, voulant transmettre tout ce qu'elle ressentait. « Monsieur... je découvre des parts de moi que je ne connaissais pas. Je ressens... une joie profonde à être soumise à vous. C'est étrange, mais j'aime cela, j'aime être à vous, j'aime... » Sa voix trembla un instant, mais elle se reprit, une détermination claire dans son ton. « J'aime même quand vous m'humiliez, quand vous utilisez ces mots... crus. Ils me font frissonner, mais d'une manière que je n'aurais jamais imaginée. »
David écoutait attentivement, ses mains posées sur ses fesses charnues et encore chaudes. « Et cela te rend heureuse, ma belle petite chienne ? » lui demanda-t-il.
« Oh oui, Monsieur, plus que je n'aurais jamais cru possible. » Vanessa sourit doucement, une lueur de révélation dans les yeux. « Et je sens... je sens que vous m'aimez aussi, pas seulement en tant que maître, mais... »
David acquiesça doucement, un sourire tendre formant sur ses lèvres. Il la souleva de terre et la prit dans ses bras. « Oui, Vanessa, je t'aime. Profondément. Passionnément. »
Vanessa sentit son cœur battre plus vite, ses propres sentiments reflétés dans ses mots. « Je suis heureuse ici, … avec vous … dans cette pièce … et ailleurs. Heureuse et honorée d'être celle que vous choisissez de guider, de punir, d'aimer... Je souhaite que vous fassiez de moi tout ce que vous voulez. Je suis à vous, totalement …»
David l'attira plus près, son étreinte exprimant toute la force de son engagement et de son désir. « Et je te chérirai, te guiderai et t'aimerai avec toute la force de mon être. Je ferai de toi ma Princesse et ma Putain, ma Sublime. Tu es précieuse pour moi, Vanessa, ma dévouée, ma soumise, ma bien-aimée, ma Merveille Infinie d'Amour. »
Les mots de David enveloppèrent Vanessa d'une chaleur rassurante, consolidant leur lien déjà fort. Elle se blottit contre lui, s'imprégnant de sa présence, de son amour, se sentant complète dans cet échange de pouvoir, de douleur et d'amour profond.
(A suivre)
Source de l’illustration : dessin de l'artiste Erenisch
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quand on est heureux d’avoir une belle voiture, ça n’est pas du bonheur, c'est de la satisfaction,
Quand on est heureux d’avoir réussi un examen, çà n’est pas du bonheur, c’est de la fierté,
Quand on est heureux d’aller à un concert, ça n’est pas du bonheur, c'est de l’excitation
Quand on est heureux d’avoir bu une bonne bouteille, ce n’est pas du bonheur, c’est du plaisir,
TOUTES CES CHOSES LÀ SONT BELLES, MAIS SI TU CHERCHES TON BONHEUR LÀ-DEDANS, TU NE SERAS JAMAIS COMBLÉ !
ET POURTANT, LE VRAI BONHEUR EXISTE, IL T’ATTEND. INITIE_TOI AU BDSM !
le BDSM te fait découvrir l’amour, la joie, la paix
Le BDSM te fait découvrir la patience,
Le BDSM te fait découvrir la bonté, la fidélité, la douceur et la tempérance,
Le BDSM te fait découvrir que le bonheur n’est jamais dans la possession, mais dans l’abandon,
Le BDSM te fait découvrir que le vrai bonheur n’est pas dans le paraître, mais dans l’être,
Le BDSM te fait découvrir que le vrai bonheur n’est pas dans l’accumulation des richesses mais dans la relation.
LE VRAI BONHEUR EST À PORTÉE DE TA MAIN, IL EST DANS LA VIE PLEINEMENT VECUE,
LE VRAI BONHEUR EST DANS LE GOÛT DE LA DOULEUR ACCEPTEE DE BON GRE,
LE VRAI BONHEUR NE SE FANTASME PAS, IL SE VIT.
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Je dois le dire :
Martine est une "chic fille".
Je l'ai connue il y a quelques années alors que j'étais Consultant pour le Crédit Foncier.
Murielle, sa conseillère BNP lui avait proposé un rendez-vous avec un spécialiste de la défiscalisation immobilière.
Sans qu'il fût besoin de dire ou faire quoi que ce soit, nous avions compris que notre relation ne se limiterait pas aux convenances professionnelles.
Une fois scellée l'opération financière, j'invitai Martine à un dîner … de clôture … place Parmentier.
Elle était arrivée dans sa tenue de « Wonder woman », tailleur sobre, talons hauts, lunettes Hollywood, et chapeau Garbo.
Passé le Canard Laqué, passés les rares mots convenus, mes doigts, déjà, touchaient les siens.
Dans la demi-clarté nos sourires croisés consumaient le faible espace qui nous séparait.
Table.
Couverts.
Thé.
Déjà la rue nous absorbait et son souffle coupait le mien.
Bien que ma maison fût à quelques mètres de là, je savais que c'était chez elle qu'il me faudrait la prendre.
Voiture, jupe remontée, ma main, déjà ; sur sa cuisse.
Martine habitait près du Pont ; de chez elle on distinguait et la Seine et l'immeuble de la Sacem. Son appartement très bourgeois et pourtant très coloré me convenait, et tandis qu'elle passait à ma portée, deux coupes à la main je m'imprégnais du lieu. Repères, marques, espace.
Grandes et hautes fenêtres, voilages, lumière tamisée, une commode, quelques fauteuils, une table basse.
Les coupes s'entrechoquent. Les bulles éclatent. Nos lèvres se touchent.
Sa bouche est fraîche comme un printemps. Son ventre se colle au mien. Je relève l'étroite jupe et caresse ses fesses. Rebondies. Fermes. Satinées sous mes doigts.
La veste puis le corsage nous quittent. Elle ne porte aucun sous-vêtement. Je n'ai pas eu à le lui demander pour qu'elle soit ainsi. Mais c'est ainsi qu'elle devait être.
La jupe s'évapore, et elle est là, nue, incroyablement nue tant elle est belle. Jamais depuis Paule je n'ai contemplé telle perfection. Martine est grande. Brune avec des yeux gris-vert, presque pairs, un long cou et des épaules carrées. Ses seins sont étonnamment haut perchés, ronds, les mamelons assez proéminents et l'aréole joliment teintée. Son ventre est fort plat et ferme, ses hanches sont assez galbées, ses cuisses longues et musclées mais sans excès.
Je la contemple, je la détaille, je jauge.
Je me souviens de cette scène et de son intensité. Je me suis écarté puis assis dans un fauteuil :
"Tournez-vous je vous prie ! Ecartez légèrement vos jambes"…
La colonne vertébrale creuse un profond sillon sur son dos. Deux fossettes précèdent ses fesses curieusement rondes elles aussi pour une silhouette pourtant sportive.
"Penchez-vous. Posez vos mains sur la table et écartez vos jambes. Encore un peu. Là, c'est bien".
Elle est restée dans cette posture, tête plus basse que le bassin, tout le temps qu'avait nécessité ma contemplation. Je distinguais le renflement de son sexe encadré par ses cuisses, ses seins, la raie de ses fesses légèrement entrouverte. Son souffle était saccadé, et parfois, une vague la faisait onduler. De mon fauteuil j'assistais à la montée de son excitation.
Sans mots. Sans gestes inutiles.
Quand j'estimai que ses bras devaient commencer à être douloureux, je lui demandai de se redresser et de s'asseoir sur la petite table, jambes largement écartées, buste cambré et tête rejetée en arrière.
Je savais la position inconfortable et cela me ravissait.
Je la trouvais vraiment très belle et ma propre excitation devenait visible.
Elle trembla et je sentis que son dos et ses bras la faisaient souffrir. Son ventre était offert et son pubis arborait une toison aussi noire que ses cheveux. Se teinte t-elle là aussi ? pensais-je.
"Redressez-vous. Baissez les yeux et approchez".
J'ai posé mon bras droit sur le bras du fauteuil. Ma main en dépasse et, de mes doigts, je fais signe à Martine d'approcher. Quand elle est à portée, elle comprend que le chemin s'arrête justement à mes doigts. Il me suffit d'à peine relever l'avant bras pour que je sois dans sa moiteur. Doucement elle commence à onduler et je la sens couler tandis qu'elle geint et accélère son rythme.
Je suis heureux : je sais qu'elle va jouir ; et à coups de boutoir elle va, par ma main, chercher son plaisir dans sa fente épanouie.
Elle a crié, coulé abondamment, puis, son souffle revenu, sans un mot, elle s'est agenouillée.
Maxime
Neuilly-sur-Seine
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Le visage de Vanessa était un tableau de contrastes intenses. Ses joues étaient striées de larmes, des traces brillantes soulignant la courbe de son visage et se mêlant à des lignes noires où son rimmel avait coulé. Ses yeux, encore humides de pleurs, étaient bordés de cils épais, alourdis par le maquillage qui avait perdu sa perfection délicate initiale. Pourtant, au milieu de ce chaos, elle était resplendissante. Son sourire, large et sincère, illuminait son visage, trahissant une joie profonde et une satisfaction qui transpirait de chaque pore de sa peau. Ses lèvres, légèrement tremblantes, brillaient de bonheur ; tandis que ses yeux, malgré la fatigue et les larmes, scintillaient d'une lueur nouvelle … celle d'une femme qui venait de s'abandonner entièrement et en ressortait plus forte, plus radieuse que jamais.
Nue au milieu du cercle, éclairée par les bougies le formant, la tête posée sur l’épaule accueillante et protectrice de David, Vanessa sursautait légèrement alors que David tout en embrassant son front lui caressait le cul. Vanessa sentait toujours la brûlure vive et persistante envahir ses fesses, une chaleur intense qui semblait pulser avec chaque battement de son cœur. La peau de ses fesses était hypersensible, chaque mouvement, chaque frémissement exacerbant la douleur, mais aussi l’étrange plaisir qui y était associé. C’était une douleur qui irradiait, se diffusant lentement dans tout son corps, la faisant se cambrer instinctivement pour essayer de soulager l'inconfort, sans y parvenir vraiment. Pourtant, cette douleur n’était pas purement punitive ; elle avait quelque chose de profondément électrisant, une sorte de feu qui la consumait et l’excitait à la fois. Chaque picotement, chaque sensation brûlante la ramenait à l'instant présent, à l'acte d’abandon total qu’elle venait de vivre. La douleur avait été graduelle et de plus en plus intense et restait présente bien que s’apaisant peu à peu ; mais au-delà de celle-ci, il y avait une fierté nouvelle, une satisfaction intime d’avoir traversé cette épreuve pour lui, pour son Maître. Et au milieu de cette chaleur lancinante, elle sentait un désir croissant, une envie presque incontrôlable de plus, de se plonger encore plus profondément dans cette dynamique de soumission et de plaisir.
David murmura doucement à l'oreille de Vanessa, sa voix empreinte d'une douceur qui contrastait avec l'intensité des moments précédents. "Veux-tu continuer, ma dévouée ?" demanda-t-il, ses mots caressant son âme comme ses mains sa peau sensible. Vanessa, malgré la brûlure persistante sur ses fesses, n'hésita pas un seul instant. Son cœur battait toujours à un rythme effréné, mais au-delà de la douleur, elle ressentait une connexion profonde avec David, une sensation de se trouver exactement là où elle devait être. "Oui, Monsieur," répondit-elle d'une voix qui, bien que faible, était empreinte d'une détermination claire.
David, satisfait de sa réponse, se redressa légèrement et prit sa main, l'entraînant vers un coin sombre de la pièce. Il appuya sur un bouton qui fit s’éclairer cette partie de la pièce. Là, un lit à baldaquin se dressait majestueusement, ses colonnes en bois sombre sculpté montant vers le plafond, soutenant des drapés épais de velours rouge sombre. Le lit était large, avec une couverture en soie d'un noir profond, contrastant avec les drapés rouges qui encadraient l'espace de manière presque théâtrale. À l'extrémité du lit, se trouvait un pilori, un cadre en bois massif, patiné par le temps, ses contours adoucis par les années, mais imposant, témoignant d'une solidité rassurante.
Vanessa sentit une vague de chaleur l'envahir en voyant cet instrument de soumission, son cœur battant plus fort à l'idée de ce qui allait suivre. Chaque pas vers le pilori amplifiait son excitation et sa vulnérabilité. Le bois, bien qu’ancien, dégageait une certaine noblesse. David guida Vanessa avec une fermeté douce jusqu'à ce cadre. Il prit le temps de caresser ses épaules, ses mains glissant avec une précision mesurée jusqu'à sa nuque pour mieux l’enserrer, où il la guida doucement pour qu’elle place sa tête dans l’ouverture centrale du pilori. Vanessa ressentit un mélange de frissons d’appréhension et de d’excitation tandis qu'elle inclinait la tête sous la pression ferme de la main de David enserrant sa nuque, se préparant à ce nouvel abandon. Ses poignets trouvèrent tout aussi naturellement leur place dans les ouvertures latérales, ses mains tremblant légèrement sous l’effet de l’excitation. Le bois contre sa peau était froid, offrant un contraste saisissant avec la chaleur brûlante qui subsistait sur ses fesses. Vanessa ressentait une étrange tranquillité mêlée d’un désir ardent, comme si chaque cellule de son corps acceptait cette soumission avec un mélange d’impatience et de sérénité. Le claquement sec du pilori se fermant autour de son cou et de ses poignets la fit frissonner, un sursaut d’adrénaline envahissant son être. Elle était maintenant totalement immobile, enfermée dans cette position de soumission absolue, son corps tendu vers l’avant, ses fesses offertes de nouveau, ses seins lourds pendant du fait de la gravité ; les bras et la tête attachés, ne lui laissant d’autre choix que de se soumettre à ce qui allait suivre.
Les sensations dans ce pilori étaient paradoxales. Elle se sentait à la fois piégée et protégée, à la merci de David ; mais en même temps, portée par une confiance totale en lui. Elle pouvait sentir chaque battement de son cœur résonner dans ses oreilles, amplifié par le bois entourant sa tête. La position accentuait sa vulnérabilité, mais cette vulnérabilité était précisément ce qu’elle recherchait, ce qui la faisait vibrer de l’intérieur.
David se déplaça lentement derrière elle. Il ne put s’empêcher d’admirer le corps de Vanessa. Les courbes de Vanessa dessinaient une silhouette pleine de grâce et de volupté, ses hanches délicatement arrondies se fondant dans la cambrure de son dos, accentuant la douceur de sa taille. Ses seins, fermes et généreux, étaient comme deux pamplemousses dont on n’avait juste envie de goûter le nectar et la douceur, tandis que ses fesses pleines et rebondies appelaient au toucher … chaque ligne de son corps évoquait une sensualité naturelle et irrésistible. Face à tant de beauté David ne put réprimer un sourire de bonheur.
D’un superbe coffre en bois d’ébène, il sortit une entrave rigide d’un bon mètre recouverte d’un cuir noir de noble facture se terminant à ses deux extrémités par deux chevillières du même cuir. David se pencha, sa main effleurant doucement le bas du dos de Vanessa, avant de glisser lentement vers ses chevilles. Avec des gestes précis et mesurés, il passa la première boucle autour de la cheville gauche de Vanessa. Il resserra doucement la sangle, la laissant parfaitement ajustée, ni trop lâche ni trop serrée. Vanessa frissonna sous ce contact, sentant la pression légère du cuir contre sa peau. La sensation était curieusement apaisante, comme une extension de l'abandon qu'elle ressentait déjà. Chaque nouveau lien la rendait un peu plus consciente de sa propre soumission, accentuant ce mélange d'appréhension et d'excitation qui la consumait de l'intérieur. David se déplaça lentement vers l'autre cheville, posant cette fois-ci une main rassurante sur sa jambe, ses doigts glissant délicatement sur la peau fine avant de fixer la seconde boucle. Vanessa sentit immédiatement la contrainte physique, la rendant encore plus consciente de son état de soumission. Ses jambes étaient maintenant largement écartées, exposant davantage son intimité à son Maître, et cette pensée seule fit monter une chaleur encore plus intense en elle.
David se plaça à genoux juste derrière elle, son souffle chaud caressant délicatement la peau sensible de ses fesses encore marquées par la badine. D’un geste doux mais ferme, il posa ses mains sur ses hanches, ses doigts glissant sur sa peau avec une précision contrôlée. Il descendit lentement, ses paumes se plaçant de chaque côté de ses fesses généreuses, avant de les écarter doucement. Le contraste entre la fermeté de ses gestes et la tendresse de son toucher provoqua un frisson immédiat chez Vanessa, qui se tendit légèrement sous l'effet de cette nouvelle sensation. David observait en silence, admirant l'intimité offerte de Vanessa, son souffle se faisant plus profond. Ses mains, larges et puissantes, encadraient ses fesses, les écartant lentement pour révéler toute sa vulnérabilité. Il resta ainsi un instant, appréciant la vue et la réaction de son corps, avant de murmurer d’une voix rauque : « Tu es parfaite, ma dévouée… »
David savourait la vue qui s’offrait à lui. La fleur de Vanessa s'épanouissait avec une délicatesse infinie, comme une rose encore couverte de rosée, ses pétales d'une douceur satinée s'ouvrant lentement sous le souffle chaud de la passion. Ses contours, à la fois subtils et généreux, offraient une symphonie de textures et de courbes, où chaque frémissement révélait une sensibilité cachée, prête à éclore. Au centre, telle une gemme précieuse, son cœur palpitait, vibrant d'une chaleur intime, irradiant une beauté aussi fragile qu'envoûtante, comme la promesse d'un plaisir infini et tendre.
Vanessa ressentit un frisson intense lorsque la langue de David explora délicatement sa fleur épanouie, chaque passage éveillant un mélange de douceur brûlante et d'excitation palpitante. L'attention minutieuse de David suscitait en elle une cascade de sensations, amplifiant chaque frémissement de plaisir qui parcourait son corps en résonance avec le toucher tendre et explorateur de son Maitre. Dans un mouvement continu David vint explorer son intimité la plus profonde … Lorsque David pratiqua une feuille de rose sur Vanessa, elle ne put s’empêcher de retenir un petit cri : elle éprouva une onde de sensations nouvelles et intensément intimes. La douceur inattendue de sa langue contre la délicate zone provoqua en elle un frisson qui se propagea en vagues puissantes à travers tout son corps. Chaque contact était un mélange de surprise et de plaisir, transformant chaque souffle en un murmure de désir accru, tandis qu'elle se laissait submerger par cette expérience sensuelle et profondément personnelle. Vanessa avait jusqu’alors un tabou profond pour cette zone de son corps. Elle n’avait jamais laissé ses précédents amants accéder à cette partie de son corps qu’elle trouvait « sale ». Alors laisser son amant embrasser son anus, le laisser le lécher, l’explorer de sa langue … cette idée lui était plus qu’étrangère. Elle était jusqu’alors bannie de son esprit. Mais là, bizarrement, elle se laissait faire. Elle pouvait à tout moment tout arrêter ; elle en avait le pouvoir. Mais non seulement elle ne voulait pas arrêter, mais plus encore elle souhaitait qu’il continue. Chaque coup de langue de David, chaque introduction de son intimité par la langue agile de David était un émerveillement, une découverte qui la faisait fondre de plaisir. La honte qui aurait été la sienne il y a encore quelques temps laissait place à un plaisir jusqu’alors inavoué.
David se releva et vint se placer à côté de la tête de Vanessa et lui murmura : « As-tu déjà été enculée, ma belle petite chienne ? »
Les mots crus de David excitaient Vanessa de plus en plus. Elle frissonnait à chaque syllabe, chaque mot prononcé renforçant l'intensité de son désir, éveillant en elle un mélange de nervosité et d'excitation profonde. Elle se surprenait même à adorer cela. Elle adorait ce mélange d’amour et d’humiliation. Elle aimait qu’il l’aime et qu’il la traite de chienne dans leur moment de domination et de soumission.
Mais avec cette question, c’est aussi un frisson parcourut Vanessa de la tête aux pieds, ses muscles se tendirent sous l'effet de la surprise et d'une appréhension soudaine. Vanessa prit une profonde inspiration, son cœur battant si fort qu'elle craignait presque qu'il soit audible. Ses yeux, emplis d'une lueur d'appréhension mélangée à une confiance inébranlable en David, rencontraient les siens.
« Non, Monsieur, » sa voix tremblait légèrement, mais elle parvenait à maintenir un ton résolu. « Je... je suis vierge … de ce côté-là. » Elle déglutit, cherchant à rassembler son courage tout en se demandant comment David réagirait à cette révélation.
David observa Vanessa, ses yeux scrutant les moindres détails de son expression, cherchant à y déceler toute trace de peur ou d'hésitation. Il s'agenouilla pour être à la hauteur de son visage, sa main caressant doucement sa joue.
« Es-tu prête à explorer cette nouvelle expérience avec moi, ma dévouée ? » demanda-t-il, sa voix basse et rassurante.
Vanessa acquiesça, une lueur d'excitation mêlée de nervosité brillant dans ses yeux. "Oui, Monsieur, je vous fais confiance, » répondit-elle, sa voix à peine audible mais ferme. « Je vous appartiens … »
David lui sourit doucement, touché par sa confiance. « Je prendrai soin de toi, avec amour. N'hésite pas à me dire si tu veux arrêter, à tout moment, » lui rappela-t-il en maintenant son regard dans le sien pour accentuer la sincérité de ses mots.
Il se redressa et attrapa une petite bouteille d'huile, la réchauffant entre ses mains avant de commencer à l'appliquer délicatement autour de l'anus de Vanessa. Ses doigts agiles et doux massèrent la zone, la détendant progressivement. Vanessa sentait chaque frôlement de ses doigts, chaque mouvement circulaire qui lui apportait à la fois détente et une excitation croissante. Après quelques instants, David sorti du coffre prit un petit plug anal se terminant par une forme de diamant de couleur rouge rubis. Il le présenta à Vanessa. « Nous allons débuter tout doucement. Ceci va t'aider à te détendre et à t'habituer, » expliqua-t-il doucement en montrant l'objet à Vanessa.
Il enduisit le plug d'huile, le rendant luisant et glissant. Il alla se placer derrière Vanessa. « Respire profondément et détends-toi, » murmura-t-il alors qu'il commençait à placer le plug à l'entrée de son anus. Vanessa prit une grande respiration, se concentrant sur la sensation de pression douce alors que David insérait lentement le plug, son autre main caressant son bas du dos pour l'apaiser.
« Très bien, ma chérie, tu le fais parfaitement, » la complimenta David, une fois le plug bien en place. Vanessa, bien que tendue, se sentait étrangement comblée et rassurée par les soins méticuleux de David. Le sentiment d'être remplie ainsi était nouveau, étrange, mais pas désagréable. Elle se sentait plus ouverte, plus vulnérable et pourtant protégée et choyée. Elle était aussi remplie de fierté de lui offrir ce cadeau.
(A suivre)
Source de l’illustration : image libre de l’internet
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Ma vie de Domina ? En voici un extrait vu au travers des yeux de celle qui en parle sans doute le mieux.
-Récit rédigé à quatre mains avec le concours de Val' ma soumise.-
Vendredi après-midi je retrouve Ma Maîtresse à Tours après 2 semaines sans elle. Cela fait près d’une semaine que Maîtresse me taquine à propos de mon collier d’appartenance. Collier que j’attends avec beaucoup d’impatience, car celui-ci est tout particulier. En effet, Maîtresse l’a fait faire sur mesure et entièrement personnalisé auprès d'Agnescollier, artisane bourguignonne qui crée colliers et autres instruments d'impact. Sa forme est magnifique, sa couleur rouge est étincelante, orné de trois anneaux noirs il est juste somptueux. Il est le parfait symbole de notre lien.
Elle me le remet avec sobriété. Sans tambour ni trompette : il se suffit à lui-même. Enserrant mon cou, je ne souhaite déjà plus qu’il me quitte.
Après ce moment hautement symbolique, il est temps de partir pour un JAM shibari et évidemment je m’y rends avec mon nouveau collier. L’idée de Maîtresse dans ce JAM est simple : encorder pour contraindre, encorder pour impacter, encorder pour m’utiliser. J’apprécie beaucoup ce moment pour plusieurs raisons :
J’arbore mon collier
Je me présente comme la soumise de Maîtresse
Et putain que c’est bon d’être dans les cordes
Chaque fois que la corde se serre sur une partie de mon corps, je gémis de plaisir. Le contact avec une corde est rêche, mais paradoxalement tellement agréable. La sentir glisser sur ma peau est même envoutant ensuite, elle m’enserre pour mon plus grand plaisir.
Le samedi matin est consacré à la préparation de la soirée puisque nous recevons Madame Lydia et sa soumise Fleur. Maîtresse s’affaire en cuisine pendant que Nausika -mon nom lors du puppyplay- s’acclimate à son environnement. Être Nausika me rend heureuse, tellement heureuse. Je suis putain de libre !!! Nausika commence à apprécier la compagnie de Sa Maîtresse, elle semble moins farouche. Les cordes et autres ficelles sont en revanche toujours une attraction très agréable pour elle tout comme sa curiosité pour l'eau qui la pousse à toujours renverser son bol. D’autre part, je pense que Maîtresse travaillera plus en hauteur la prochaine fois qu’elle décortique des crevettes en présence de sa chatte…
L’après-midi est consacré à mon cul et aux impacts.
Coté cul, je goute aux plaisirs du spéculum mais surtout à ceux de la feuille de rose. Quelle sensation de se faire lécher là. C’est tout nouveau pour moi et j’y prends clairement plaisir. Il y a bien évidement le plaisir physique immédiat mais j’apprécie également le petit côté transgressif de cette pratique. Maîtresse me prendra évidemment au godeceinture par la suite. Un moment si intime, si intense pour nous deux.
Côté impact, le but de Maîtresse est simple : me marquer pour que je sois belle pour nos invitées. Ce n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. Mon côté exhibitionniste doit y être pour quelque chose, car j’ai envie de me montrer, je l’avoue. J’ai envie de montrer que je suis la soumise de Maîtresse et j’ai envie de la rendre fière auprès de nos invitées à travers mes marques particulièrement celles de son fouet.
Les invitées arrivent et Fleur doit écrire des lignes en guise de sanction. Ma Maîtresse m’ordonne de me mettre au coin pendant la moitié de sa sanction en guise de soutien. Je ne trouve pas cela injuste, c’est une marque de soutien envers Fleur. Je me voyais mal la regarder pendant la réalisation de sa sanction à vrai dire. Mais Fleur, n’en rajoute pas s’il te plait, ton coté brat me laissera toujours pantoise. C’est pour ce côté brat que je ne passe que la moitié de ta punition au coin, soutien à la soumise mais pas à la brat.
Une fois la sanction de Fleur terminée, Madame Lydia montre un nouveau jeu à Ma Maîtresse en passant une corde entre ses orteils puis en les enserrant. Madame Lydia fera de même sur moi ensuite. Un seul passage de corde ne me fait rien pour ainsi dire, en revanche lorsque qu’il y a deux passages, le jeu de Madame Lydia prend tout son sens. Clairement, je ne fais plus la maline. Pas besoin de beaucoup de choses pour montrer qui a le contrôle…
Arrive le repas, moment que j’attendais avec impatience, car je prends de plus en plus confiance en moi depuis quelque temps. Cette confiance me permet de me proposer en tant que Nyotaimori pour Ma Maitresse et nos invitées. J’arbore à la cuisse le cilice offert par Maîtresse et bien évidement mon collier d’appartenance, le tout agrémenté de sushis sur mon corps. Ne pas bouger n’a pas été compliqué même si Madame Lydia fait tout pour me faire réagir. Maîtresse, elle, m'ignore totalement et sa perversité la pousse à beaucoup m'évoquer lors des conversations. Moment troublant. L’important est de trouver la bonne position, car une petite erreur de placement et cela peut vite devenir difficile à tenir dans le temps, j’en veux pour preuve mes mains. Mal placées, je les ai un peu bougées durant le repas. J’ai beaucoup apprécié car encore une fois, j'étais fière de m’exhiber mais aussi parce que c’était un moment hors du temps, d’ailleurs je n’ai aucune idée de la durée de ce moment. Moment que j’ai trouvé très relaxant, je suis là sans vraiment l’être. C’était vraiment agréable. Ayez juste conscience qu’une fois fini, on ne bouge pas si facilement après une telle immobilité…
Après le repas, il est temps d’entrer dans le vif du sujet. Fleur ayant fait part de son côté voyeurisme il y a quelque temps à Madame Lydia, elle se retrouve encordée contre la rambarde d’escalier à regarder la scène. Quelle scène ? Tout simplement celle de Maîtresse et de Madame Lydia qui s’occupent de moi. L’ambiance est à la découverte ce soir, car c’est avec les instruments de Madame Lydia qu’on joue avec entre autres, câble, nerf de bœuf, etc. Je ne connais pas ces instruments mais surtout je ne les ai pas vus, de plus les sensations sont vives. C’était un peu difficile à appréhender mais cela n’a pas gâché le plaisir de la masochiste que je suis.
Mais j’ai découvert un autre instrument ce soir, un instrument de dingue, les griffes, ce fut juste fou. C’est Maitresse et Madame Lydia qui passent l’instrument dans tout mon dos et je deviens littéralement folle de désirs, je deviens l’esclave de mes plaisirs et tout mon corps ondule de plaisir sous cet instrument. Maîtresse voyant cela joue la carte de la sécurité : oh non elle ne fait pas arrêter Madame Lydia, bien au contraire. Elle continue de plus belle et Maîtresse me prend dans ses bras pour que je ne tombe pas tellement le plaisir m’envahit. Le plaisir monte, monte en moi, je suis vraiment proche d’exploser, d’exploser d’un orgasme, il est si proche ! Le plaisir me guide, je me souviens à un moment avoir dit « Oh putain la remontée des enfers » lorsque Madame Lydia a en effet passé les griffes sur mon flanc de bas en haut. Puis le plaisir me fait trouver les lèvres de Maîtresse, on s’embrasse comme jamais nous l’avons fait. Madame Lydia stoppe ses mouvements et rejoint Fleur, toutes deux nous regardent il me semble. Après ce moment d’une telle intensité, je récupère sur ma couette au sol, je suis clairement ailleurs.
Une soirée peut cependant vite changer du tout au tout. Après être montée si haut je suis descendue si bas avec une séance d’électro conjuguée avec le bâton électrique. Cet instrument me monte rapidement à la tête à tel point que j’en oublie mon safe word et crie littéralement sur Ma Maîtresse : « Mais arrêtez avec ce putain de bâton de merde ». Immédiatement, c'est la sanction et c’est mérité : Maîtresse m’isole dans un coin pour éviter que la situation s’envenime. Elle m'interdit de lui adresser la parole et encore moins de l'appeler Maitresse. Elle m'indique être déçue et me rappelle que "Maîtresse" se mérite. Viendra également une punition exemplaire pour ce comportement lors de notre prochaine rencontre. Une erreur ça arrive, mais celle-ci est énorme et j’ai vraiment honte de moi. Oui le BDSM c’est aussi ça et il faut en avoir conscience, tout n’est pas toujours parfait, Maîtresse et moi en avons fait l’expérience. C’est dans ces moments que le dialogue et le lien ont leur importance.
Malgré tout, la soirée est relancée après une très longue discussion avec Maîtresse, non sans pleurs. Nausika apparait mais elle sera très timide avec les invitées, rien de surprenant, on ne l’approche pas comme ça. De plus il y a aussi Pupuce qui est présente, et chien et chat ne font pas bon ménage. Qui sait, peut-être qu’un jour, ces deux-là s’entendront… La nuit se termine calmement vers 6h00 du matin avec Nausika lovée contre Sa Maîtresse.
Le lendemain avant mon départ, Maîtresse et moi prenons un verre dans un bar du centre-ville. J’arbore mon collier et il y a quelques regards interrogateurs, mais cela ne me gêne pas le moins du monde. Maîtresse me rassure sur ce qui s’est passé car elle voit bien que cela occupe toutes mes pensées. C’est évidemment une faute qui mérite une punition, mais ce n’est pas la chose à retenir du weekend. Il y a encore eu beaucoup de belles choses.
Autrices : Marie et Val'
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