La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 29/09/24
Il faut savoir que je suis quelqu'un qui pratiquent beaucoup en virtuel. C'est donc ma première séance en réel.  Cela fait maintenant 1 mois que je discute avec un hypnotiseur qui se trouve loin de chez moi. Un évènement fait que je serais dans sa ville le weekend. On décide donc de se voir.  On fait une première séance a distance très soft. Il me fait raconter mes fantasmes et envie.    Nous sommes le jour j.  Il va arrivé a l'hôtel où je suis. Étrangement je ne suis pas si stressée que ça. Un appel, c'est lui, il est en bas. Je pars le rejoindre. On se fait la bise et nous montons. Il m'a apporté le petit déjeuner. Nous discutons de banalité. Il me montre ses prototype de jeux de société. Je me détends. Après avoir jouer au jeux. Il me propose un massage que j'accepte. Me voila sur le ventre lui au dessus de moi.   Il me détend par les gestes et par les mots. Il me dit d'une voix basse et douce de me détendre. Sa voix me fait chavirer. Et me détend tous de suite.  Il passe ses mains sur mon dos et parfois descend plus loin.  Une fois le massage fini il me relève. Je ne ressens plus aucun stress.je suis concentrée sur l'instant présent.    Il me demande de mettre mes main devant moi. Plus elle se rapproche et plus je suis détendue. Un foi qu'elle se toucheront je serai totalement détendu. Une fois touche je tombe doucement sur le lit.  Il me fait imaginer puis raconter mes fantasmes. Il fait un comptage de 1 à 10 et a 10 je joui. Le premier a été plutôt faible Il m'a ensuite réveillé.   Il me fait alterner entre réveille et endormissement de nombreuses fois. Je ne savais plus quand j'étais réveillée ou non.    Il lui suffit de passer sa main en me disant dort dort dort. Pour que je m'endorme. Il peut ainsi me rendormir quand il le désire.    Une fois endormie il me fait visualiser mes fantasmes ou les siens. J'arrive a parfaitement visualiser mais je ne ressens pas toute les sensations. Je ne ressentais pas le vent ou son sexe en moi.    Sous hypnose il m'a humilier en me faisant devenir chienne ( pas l'animal). Il me faisait lécher son pantalon au niveau de son sexe. Plus je me sentais humilier plus mon plaisir augmente ( se son ses mots) Tout en faisant cela il comptait a nouveau de 1 à 10 et a 10 je jouissait.    Une de ses suggestions est qu'à chaque fois qu'il me touche je ressens un énorme plaisir. Rien que le fait de me frôler provoque beaucoup de plaisir chez moi.  Il refait un compte de 1 à 10. Cette fois c'est encore plus intense. Il l'avait fait de nombreuses fois avant celle ci. Et mon plaisir ressenti augmente a chaque fois.    Il s'amuse avec ma frustration. Et bien sûr plus je suis frustrée plus je ressens du plaisir et plus je suis frustrée. Il me rend ainsi folle d'envie.   Ma conclusion a tous cela  Je suis bien plus suggestible en réel, les gestes aident beaucoup. Je me sens bien plus vulnérables qui me plaît beaucoup. Je trouve qu'il y a beaucoup plus de liberté en réel qu'en virtuel.
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Par : le 29/09/24
Entravé, fouetté, tétons ou sexe torturé, une morphine naturelle est fabriquée, qui supprime toute sensation désagréable. Le cerveau transforme la douleur en un bien-être immédiat. Le soumis a mal mais, paradoxalement, il en redemande. Cette tolérance euphorique à la douleur est comparable au ressenti après une course à pied lente, de faible intensité. Les gens qui fréquentent les salles de sport sont un peu maso, parce que l’effort fait mal, et certains d’entre eux  en deviennent même accro. Jadis, entendez quand j’avais quarante ans de moins, lorsque j’arrivais à la séance, j’étais assez stressé et excité à la fois. Je n’étais jamais angoissé parce que j’avais foi en mon dominant. Tous mes sens étaient en éveil, surtout lorsque la première opération de mon “coatch“ était de me bander les yeux. Il y avait en moi une montée d’adrénaline et de cortisol, substance chimique qui transforme le gras en sucre pour donner plus de force. Ces substances me rendaient tolérants à la douleur et prêt à l’emploi, pour le plus grand bonheur de mon dominant. Que le soumis soit torturé ou caressé, fessé ou sodomisé, il ne pense plus à rien, il ne pense plus au qu’en dira-t-on, il ne pense plus à la morale. Non, rien de tout cela. Il lâche prise. A ce moment précis, le corps, cet admirable outil d’expériences, , fabrique l’ocytocine qui fait qu’il en redemandera.  Cela n’est possible que dans un cadre spécifique et avec des personnes en qui le soumis peut s’abandonner en totale confiance. Et quelqu’un de confiance, à notre époque, est un joyau à ne pas égarer. Si l’endorphine secrétée par le cerveau est considérée comme l’hormone du plaisir, il en est une autre qui est l’hormone de l’attachement et de la confiance: l'ocytocine.  Elle est secrétée lors de relations sociales saines, dans un cadre sécurisé. Dans son principe, le BDSM  développe un cadre sécurisé sain. Le soumis en redemande grâce à l’hormone du plaisir, tandis que l’ocytocine le rend dépendant de son maitre. Je n’insisterai jamais assez sur la confiance mutuelle. Après une séance, parfois éprouvante, le  dominant caressera son soumis avec sa main, ses doigts ou sa langue. Je l’ai déjà dit : le corps est un fabuleux outil d’expériences. Il est indisensable que le soumis se sente aimé. Voilà, c’était mon petit mot d’aujourd’hui, un clin d’œil à quelqu’un qui fréquente ce site  et en qui, je l’espère de tout mon cœur,  je pourrai placer ma confiance.
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Par : le 27/09/24
« Le désir est l’essence de l’homme. » — Baruch Spinoza Dans le tumulte du quotidien, il y a ces moments suspendus où le monde entier semble s’effacer. Nous sommes ce monde, celui que nous créons à notre image. Ce lien invisible et puissant nous anime. Ce sentiment d’être à ma place, d’être là où je dois être, avec toi. Ton nom résonne, essentiel, même dans les gestes les plus banals, comme faire les courses ensemble et acheter ces oranges. Il y a dans cette attention, dans ce soin que tu portes à parcourir des kilomètres pour me faire plaisir, quelque chose de terriblement pervers et séduisant. Ce kilo d’orange devient alors le symbole de notre complicité. De l’extérieur, tout semble parfait, sans faille. Mais à ceux qui auraient un regard différent, plus audacieux, apparaîtraient des indices cachés. Ma jupe, courte, effleure à peine le haut de mes cuisses, et sous ce tissu, le vide. Rien d’autre qu’un plug, geste de possession, une connexion profonde qui me rappelle, à chaque instant que je t’appartiens, même en te tenant la main dans ce magasin. Je m’offre à toi, harnachée, vulnérable et pourtant si pleine de pouvoir. Mon collant déchiré à l’entrejambe, ma jupe en vinyle dissimulée dans une perfection apparente, te laisse le passage. Rien ne vient troubler le regard extérieur, et pourtant, tout en moi est à toi, dédié à ton plaisir. C’est dans ces nuances secrètes que nous nous révélons, perversement authentiques. LifeisLife 
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Par : le 26/09/24
Cinq ans déjà que tu nous as quitté, alors que tu étais à peine sorti de l’adolescence. Je me souviens du moment où je te préparais à l’acte d’amour. Je ne t’ai jamais dit que je t’aimais passionnément. La douleur que je t’infligeais et à laquelle tu consentais de bonne grâce, représentait, à chaque séance, un fragment de discours amoureux, et révélait quelques clés du désir. Les quelques mots que je m’employais toutefois à utiliser, le plus justement possible, réveillaient en toi et en moi un désir ardent. Mon langage érotique était rarement cru, parfois tendre et toujours amoureux. Attaché, contraint, soumis, tu avais le désir d'affronter chaque jour un peu plus de douleur sur laquelle nous nous entendions avant chaque séance. Tu me suppliais parfois d’arrêter, sans prononcer ton saveword. Alors je poursuivais bien que la douleur t'arrachait des larmes qui ruisselaient le long de tes joues. Les pinces mordaient tes tétons et l’intensité électrique les rendait plus sensibles encore. Le fouet laissait des traces bleutées sur ton dos ou ton abdomen, et je trouvais cela beau. La vision de ta nudité m’invitait à poursuivre et l’endorphine que produisait ton corps au moment de la douleur suscitait en toi le désir de poursuivre et de recommencer. Pendant les deux ans que nous nous sommes connus, je t’ai toujours trouvé beau et désirable. Avant de te toucher, je te regardais toujours quelques instants. Tu réclamais un baiser que je te refusais et mon attitude te faisait perdre la tête. Oui, voilà cinq ans que tu as succombé sous les coups d’homophobes malveillants alors que tu venais me rejoindre pour la fête.  C’était le 14 février, c’était ma fête et aussi mon anniversaire.
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Par : le 26/09/24
« Le corps n’est pas seulement un lieu d’emprisonnement de l’âme, mais aussi un langage, un moyen d’expression. » – Maurice Merleau-Ponty   Qu’il est bon de ressentir son corps, de le laisser se révéler, sans contrainte, sans masque. Après tant d’années de quête éperdue, d’errances sans nom, je me rends enfin à l’évidence : il m’a toujours parlé, ce corps, il criait parfois, mais je l’ignorais. Je ne savais pas que nous pouvions être en dialogue, lui et moi, dans cette langue non apprise de frissons et de soupirs. Aujourd’hui, je sais. Je sais quand le désir monte, imperceptible au début, puis envahissant. Je sens cette chaleur, cette humidité qui trahit mon état, et je m’y abandonne. Je n’ai plus besoin de contrôler, je n’en ai plus envie. Ce désir me définit, il m’appartient, il est la clé de qui je suis. Et puis, il y a toi. Lorsque tu prends les rênes de mon plaisir, lorsque ton contrôle me libère  l’excitation devient torrent. Elle éclate en mille nuances, en mille vagues, plus forte que tout ce que j’avais imaginé. L’orgasme, si intense, me terrasse.  Je suis là, allongée, défaite, et soudain le rire éclate – un rire pur, sans retenue. Parce que c’est fou, tout ça. Parce que cette découverte est un vertige, un saut dans l’inconnu, et pourtant, elle me ramène à moi, à l’essence même de mon être, parce que c'est toi. Merci  MyLord  LifeisLife 
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Par : le 24/09/24
  Histoire de vie…cherche soubrette à demeure…   Vincent était en couple avec Eva et ils étaient mariés depuis 2 ans, vivant le parfait amour dans une relation « vanille ». Elle avait 22 ans il en avait 25, quand ils découvrirent le livre « histoire d’O ». Vincent était naturellement dominant et Eva sa jolie petite femme mutine, câline et joueuse devint sa soumise, sa chienne… Ce fut comme une révélation, ils commencèrent doucement mais sérieusement à y prendre goût, et bientôt leur vie sexuelle tourna autour de cette découverte. C’était, toute proportion gardée, comme de passer de la cuisine traditionnelle à une cuisine gastronomique composée de mets raffinés réveillant les papilles et les sens…   Avec imagination et curiosité ils expérimentèrent différentes facettes, selon leurs envies et désirs, mais toujours avec l’amour en toile de fond. Le grenier de la maison de campagne fut discrètement aménagé pour servir de donjon et ils rencontrèrent parfois des couples Bdsm lors de soirées ou de week-ends. Certains devinrent des amis. Bien sûr il ne fut pas très facile de concilier le côté « vanille », famille, travail, enfants, vacances et ce côté sombre qui était leur secret et devait à tout prix le rester. Et il le resta !   Ils s’étaient toujours dit qu’une fois les enfants devenus grands et casés, et une fois à la retraite, ils pourraient réaliser certains de leurs fantasmes en toute liberté. Vincent rêvait d’une croisière Bdsm, avec deux autres couples sur un voilier et les soumises comme mousses, et la mer comme terrain de jeu. Vincent avait acheté une grande maison au bord de la Méditerranée. Avec le soleil presque toute l’année la vie y était douce, et les enfants et les petits enfants en vacances, un mois par an. A la retraite ils y passèrent ensemble deux années merveilleuses. Amour et BDSM. Mais le destin se joue des projets, et un accident tragique emporta sa douce Eva, et il se retrouva seul dans sa grande maison. Plusieurs mois passèrent oū il apprivoisa la solitude et vécut en ermite avec son chien et son chagrin. Ses enfants voulaient qu’il revende la maison et se rapproche d’eux mais retourner dans le nord ne lui disait rien et il était résolu à finir sa vie ici. En bonne santé, il faisait de longues balades sur la plage, voyageait régulièrement, avait des copains. Épicurien, esthète, cultivé il aimait lire au bord de sa piscine.   Il paraît que si on n’a plus de rêves on est mort. Alors il lui arrivait parfois de rêver q’une femme divorcée soumise cherchant à fuir une vie triste et voulant trouver la mer et le soleil le rejoindrait. Ou nourrie logée contre quelques heures de travail: une sorte de gouvernante aimant le Bdsm . Ou même d’un couple soumis oū le mari serait chauffeur et jardinier et la femme soubrette. Oui Vincent rêvait encore. Peut être mettra t il une offre d’emploi : cherche soubrette à demeure ???          
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Par : le 23/09/24
O...se tenait dans la cuisine, ses jambes gainées par des bas rose vif, comme V... lui avait demandé. Le haut de son corps était couvert par un tablier de cuisine. Comme le tablier ne couvrait que le devant, ses fesses étaient pleinement exposées. seule une petite bande rose était visible entre ses fesses. V.. avait insisté pour qu'il porte ce string et comme on ne refuse rien à sa maîtresse O... avait obéi. Un œil averti pouvait voir le contour d'un petit dispositif de chasteté à travers le tablier. De plus, il portait un collier noir avec un anneau qui permettant à V..si l'envie lui venait,à d'y attacher une laisse. O.... Suivant les directives de sa maîtresse préparait le déjeuner. Ses mains tenaient une cuillère en bois avec laquelle il remuait habilement le contenu d'une casserole. Une fois satisfait de sa préparation, il éteignit la plaque à induction et commença à mettre la table. juste au moment où tout était dressé, la  porte d’entrée de l'appartement s’ouvrit. V.. entra. "Salut, ma petite salope", dit V . en entrant dans le salon" Elle s'est arrêtée devant lui, le regardant comme une proie potentielle. O... surpris par ce regard qui en disait long sur ses possibles intentions répondit d'une voix inquiète :"bonjour, maîtresse." Elle était venue habillée d'un magnifique ensemble jupe et veste noire complété de bas noirs satinés du plus bel effet. "Si je peux me permettre,tu es vraiment sexy, maîtresse." Ajouta O... visiblement subjugué. "Oh, merci, chéri." répondit V..., sans le quitter des yeux. "Comment c'est passé ta journée?" » demanda-t-elle avec un grand sourire sur le visage. "J'espère que je n'ai pas été trop cruelle ce matin." Ce matin la, juste avant que V... ne quitte l'appartement, elle avait imposé les accessoires d'O.... et par accessoires, elle entendait sa cage de chasteté et son plug anal, qu'il n'avait pas le droit retirer sauf indication contraire. la cage de chasteté, cependant, ne pouvait pas être retirée par O.. de toute façon, cage était en acier inoxydable était étroitement verrouillé autour de son sexe et la clé ostensiblement accrochée au cou de sa dominatrice. Alors que V..  tripotait de manière ludique le cul et les couilles de son soumis, s'attardant sur la base du plug anal, elle a expliqué à O.. les propriétés particulières de cet accessoire: "Tu vois, ma petite salope, j'ai acheté celui-ci juste pour toi ; il a une forme spéciale, donc il touche un point sensible de ta prostate à chaque fois que tu fais un pas." Elle ajouta: "Bien sûr, il dispose également d'une option vibrante que j'utiliserai occasionnellement tout au long de l'après-midi." Elle saisit son téléphone et ouvrit l'application liée au plug. "Prêt pour les premiers essais. Mets toi à genoux que je puisse voir ton cul vibrer" ordonnat-elle.  O.... s'exécuta et dès que les doigts de sa maîtresse commençaient à caresser son écran de portable, les vibrations envahirent son fondement. Après une série de test qui semblèrent durer un temps infini ou V... essayait toutes les options possibles de l'application O.. toujours à genoux devant sa maîtresse, était complètement épuisé par les excitations générées. "Montre-moi," dit V.., le sortant de ses pensées, "montre-moi ton adorable petite bite engagée." "Oui, maîtresse", dit O... en se levant et positionnant ses mains derrière son dos. "Ah, ah, ah," dit V.., "est-ce que j'ai dit quelque chose à propos de tes mains, salope ?" "Non, maîtresse, désolé, maîtresse", répondit O.. en baissant les yeux. "Maintenant, montre le moi en écartant ton string", ordonna V... Alors, O... tirera son string sur le côté et montra à sa maîtresse ce qu'elle voulait voir. La situation a devait être ridicule parce que V..  commençait à se moquer de lui, elle aimait l'humilier et elle adorait le voir se tortiller sous ses ordres. il avait l'air si pathétique en essayant de remuer le string sur le côté. Ses grands yeux innocents cherchaient désespérément quelque chose pour se sortir de cette humiliation. Ses lèvres laissaient échapper de doux gémissements de frustration alors qu'il continuait à suivre ses ordres. "Très bien, salope, ça suffit", dit V... d'une voix sévère en tirant le string d'O...sur ses talons, dégageant complètement la petite cage. Elle a effleuré la cage de manière ludique avec le bout de ses chaussures tout en murmurant : "à qui cela appartient-il ?" O...  était tellement en attente de jouir après cette journée de taquineries et de déni qu'il a oublié de répondre à la question de sa maîtresse. les mouvements de ses chaussures étaient tout simplement trop agréables. une gifle au visage le fit sortir de son état. "Depuis quand tu ne réponds pas quand on te pose une question salope ?" peut-être parce qu'O.. n'a pas répondu tout de suite ou simplement à cause de la première erreur, V...  l'a fessé. Ca faisait un peu mal, mais il ne pouvait toujours pas s'en empêcher d'apprécier malgré tout la situation. Sa bite tendu dans sa cage en était la preuve, les paroles dégradantes de sa maîtresse, combinées à la douleur, l'excitaient réellement. "Je suis désolé, elle t'appartient maîtresse", répondit enfin O... V... lui attrapa le menton et lui dit en le regardant dans les yeux: " Tu es une bonne petite salope. je vois que tu n'es pas si stupide après tout.  Maintenant, mangeons sinon, ton délicieux dîner deviendra froid."  V... était redevenue gentille et attentionnée. elle lâcha son menton et s'assit devant la table. O..., bien sûr, n’était pas autorisé à s’asseoir,  il se tenait debout  juste à côté de sa maîtresse. Il devait se pencher à chaque fois que V... deniait lui présenter la fourchette avec un peu de nourriture. Elle en profitait pour le troubler en lui tapotant les fesses, la cage voire lui malaxer les testicules. Mieux encore, elle lui demandait régulièrement de se retourner, offrant à sa vue le plug anal d'O.. désormais visible dont le faux diamant brillait à travers le fin tissu de son string. Après que V.. ait fini son plat, elle dit : "Très bien, c'est l'heure du désert mon garçon !" O... savait trop bien ce que cela signifiait ; il se mis à nouveau à genoux et se glissa entre les jambes de sa maîtresse. elle les écarta et laissa apparaître une culotte noire. Il  fit glisser la dentelle sur le côté avec ses dents, comme V... l'avait exigé, et commença à dévorer sa chatte. Elle gémissait d'excitation, "Oui... c'est bon.. applique toi bien, j'adore et c'est juste à ça que tu es bon, en fait, ma petite salope, n'est-ce pas le seul but de ta condition ?" Sa voix douce mais stricte le faisait rougir,  sa bite tendu contre la grille de sa prison. il pouvait sentir que V... était proche de l'orgasme. Elle a attrapé de ses mains ses cheveux et a pressé un peu plus sa tête sur sa chatte. Il a continué à la lécher, le manque d'oxygène lui faisait tourner la tête alors que ses gémissements devenaient de plus en plus forts alors qu'elle s:abandonna en  une série de spasmes orgamiques puissants. Elle respirait lourdement, tenant toujours sa tête appuyée contre sa chatte. Lorsqu'elle le relâcha de son emprise, il retomba à genoux, à bout de souffle. "Bon garçon," fini par dire V.., "maintenant, allons au lit, d'accord ?" Elle a attrapé la laisse, l'a attachée au collier d'O.... et l'a tirée derrière elle. O... La suivait à quatre pattes, regardant son corps envié. Sa virilité contenue dans la cage pendait entre ses jambes alors qu'il la suivait jusqu'à sa « chambre ». V...  a ouvert la porte de la chambre. C'était un endroit confortable, un lit deux places, une armoire en cerisier et le mur du fond de la pièce bleu paon. S'il y avait eu quelqu'un pour regarder à l'intérieur de la maison, il aurait aperçu la silhouette d'une femme tirant la laisse de son esclave.  
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Par : le 22/09/24
Vanessa sentait son cœur s'accélérer alors qu'elle observait David, son allure imposante et élégante la captivant complètement. Dans cette position d’Inspection, elle se savait vulnérable, exposée, mais en même temps, elle ressentait une fierté inattendue à l'idée d'être ainsi scrutée par lui. La sensation de l'air frais sur sa peau nue contrastait avec la chaleur qui montait inexorablement en elle, alimentée par l'intensité de la situation. David la fixait avec une intensité qui la faisait frémir. L'objet qu'il tenait dans sa main et qui retenait maintenant toute l’attention de Vanessa, créant en elle un mélange d'appréhension et d’excitation, était une cravache en cuir … D'une longueur d'environ 70 cm, c’était un objet de raffinement et de subtilité. Son pommeau, d'une élégance rare, était finement sculpté, offrant une prise en main à la fois ferme et agréable. La tige, souple mais résistante, se courbait légèrement sous les doigts de David, témoignant de sa qualité et de sa flexibilité. Elle se terminait par un morceau de cuir rectangulaire, soigneusement découpé, ajoutant une touche finale à son allure sophistiquée et assurée. David jouait avec cette cravache, la faisant glisser entre ses doigts, la courbant doucement pour en tester la souplesse, laissant présager l'usage qu'il allait en faire. Vanessa retenait son souffle alors que David continuait de jouer avec la cravache, ses gestes lents et délibérés amplifiant l'atmosphère déjà chargée de tension. Elle sentait chaque seconde s'étirer, comme si le temps lui-même avait ralenti pour intensifier ce moment. La cravache devint le centre quasi-exclusif de son attention ; elle sentait sa présence comme une extension de la volonté de David, prête à explorer chaque centimètre de son corps, à la marquer. David fit glisser la cravache sur la peau de Vanessa, en commençant par la courbe de son épaule, la faisant courir lentement le long de son bras. Le cuir était doux mais porteur d'une promesse implicite de contrôle, voire de douleur. Le frôlement léger provoqua un frisson le long de sa colonne vertébrale. David continua son exploration, guidant la cravache le long de son dos, puis la faisant glisser sur ses hanches, épousant chaque courbe avec une précision calculée. La sensation était à la fois douce et électrisante, chaque mouvement éveillant plus encore ses sens, la laissant à la merci de ses émotions, partagée entre l'appréhension et le désir. Lorsqu'il remonta la cravache le long de sa cuisse, s'attardant un instant sur l'intérieur de son genou, Vanessa sentit une vague de chaleur envahir son bas-ventre. Ses jambes tremblaient légèrement sous la caresse ferme mais délicate, son corps réagissant instinctivement au contact. Son souffle s'accélérait, son esprit se vidant de tout sauf de l'intensité du moment. David, sans un mot, continua de la scruter, sa main ferme sur la cravache, ses yeux capturant chaque réaction, chaque frémissement qui trahissait l'effet de ses gestes sur elle. La tension était presque palpable, et Vanessa, malgré son désir de plaire, ne pouvait s'empêcher de se sentir de plus en plus vulnérable, exposée non seulement physiquement, mais émotionnellement aussi. David fit remonter la cravache le long du corps de Vanessa, chaque mouvement calculé pour provoquer un mélange de sensations contradictoires en elle. La fine lanière de cuir glissait avec une délicatesse trompeuse sur ses côtes avant de s’attarder sur la courbe de ses seins. Le contact, à la fois doux et ferme, éveillait en Vanessa un frisson de plaisir mêlé de crainte, ses tétons se durcissant instinctivement sous cette caresse inattendue. Il traça lentement des cercles autour de ses seins, frôlant à peine la peau tendue et sensible, avant de laisser la cravache effleurer ses tétons. Chaque passage, léger mais plein de promesses, envoyait une décharge de désir à travers le corps de Vanessa, accentuant sa vulnérabilité et son besoin de se soumettre. Le mélange de douceur et de la possibilité d'une douleur future la plongeait dans un état de tension délicieuse, chaque nerf en éveil. David, toujours silencieux, observait attentivement chaque réaction de Vanessa, ses yeux scrutant les moindres détails. Satisfait de ce qu’il voyait, il abaissa la cravache, la faisant glisser lentement le long de son ventre, chaque contact éveillant un peu plus son désir. Vanessa se tenait immobile, ses lèvres légèrement entrouvertes, son souffle s'accélérant sous l'effet de l'excitation. La cravache s’insinua alors dans son entre-jambes. Dans un mouvement lent mais ferme elle coulissa entre ses lèvres intimes, frottant son clitoris déjà surexcité. Vanessa ne put retenir un râle de plaisir, suivi d’autres alors que la tige de la cravache avait entamé un mouvement de va et vient sur son sexe humide. David retira la cravache et avec une lenteur délibéré, les yeux plantés dans ceux de Vanessa, il amena la cravache devant son visage et la fit glisser jusqu'à ses lèvres entrouvertes . Le cuir frais maculé de son miel intime contrastait avec la chaleur de sa bouche. Elle frissonna de tout son corps. Ses lèvres se refermèrent instinctivement autour de la lanière de cuir, comme si son corps cherchait à établir un contact plus profond, plus intime avec l’objet qui symbolisait le contrôle qu’il exerçait sur elle. « C’est bien ma dévouée » dit David. « Garde la en bouche. Goûte ton miel. C’est ainsi que tu dois toujours être pour ton Maitre : le sexe humide, les mamelons de tes seins fiers et dressés. Prête à être saillie ». À l'écoute des mots de David, Vanessa sentit une énième vague de chaleur intense envahir tout son corps. Elle sentait son sexe qui coulait abondamment. Son cœur battait à tout rompre, chaque battement résonnant dans ses oreilles comme un tambour martelant son excitation et sa soumission. Les mots de David, pleins d'assurance et d'autorité, la pénétraient profondément, éveillant en elle un mélange de fierté, de désir et de soumission. L'idée de se savoir ainsi désirée, prête à être possédée, la plongeait dans un état de vulnérabilité délicieuse. Elle se sentait à la fois exposée et envoûtée par la domination de David, chaque mot, chaque geste, chaque caresse la rapprochant un peu plus de cet abandon total qu'elle désirait tant. Son corps tout entier vibrait, ses sens en éveil, chaque fibre de son être réclamant ce lien intime et profond avec son Maître. Le goût de son propre désir sur ses lèvres, sous l'ordre de David, la faisait frémir, renforçant encore cette connexion intense et indéniable qui les unissait. « Cependant tu m’as désobéi en laissant échapper ces cris de jouissance et de plaisir sans que je te le permettes. Pour cela tu mérites d’être punie. » ajouta David, reprenant la cravache de la bouche de Vanessa. « Penche-toi en avant et cambre bien tes fesses de chienne » lui ordonna-t-il. Vanessa, les joues en feu et le cœur battant à tout rompre, s’exécuta sans hésiter. Elle se pencha en avant, les mains toujours derrière sa tête, et cambra ses fesses comme David le lui avait ordonné. La position la rendait encore plus vulnérable, ses fesses exposées et offertes à son Maître, mais elle sentait en elle un mélange de honte et de fierté qui amplifiait son excitation. Mais elle découvrait qu’elle aimait cette impudeur qu’elle lui offrait. Parce que c’était lui. Parce que c’était pour lui. David se plaça derrière elle, sa présence imposante renforçant son sentiment d'abandon. « Tu vas compter chaque coup, ma dévouée, et me remercier. Et tu ne feras plus d’erreur », déclara-t-il d’une voix ferme, mais contrôlée. Le premier coup de la cravache tomba, rapide et précis, sur la peau tendre de ses fesses. La douleur vive qui suivit provoqua un sursaut en elle, mais au-delà de la douleur, il y avait un étrange plaisir qui montait. « Un … Merci Monsieur », dit-elle, sa voix tremblante, à peine plus qu'un murmure. David ne tarda pas à administrer le second coup, cette fois un peu plus fort, comme pour marquer son autorité ; mais aussi pour juger de la réaction et de l’acceptation de Vanessa. Vanessa respira profondément avant d’articuler : « Deux ... Merci Monsieur » Le cuir de la cravache mordait la peau de ses fesses avec précision, mais Vanessa ne ressentait pas seulement la douleur ; elle percevait également l'acte comme une purification qui la rendait plus digne de son Maître. David continua, sa main ferme sur la cravache, chaque coup précis et calculé pour éveiller en Vanessa une gamme complexe de sensations. Le troisième coup tomba, mordant un peu plus profondément dans la chair tendre de ses fesses rondes et charnues. Vanessa sentit la douleur s'étendre, mais avec elle, une vague de plaisir inattendue qui parcourut son corps. « Trois... Merci Monsieur, » dit-elle, sa voix se faisant plus rauque, plus vibrante d'émotion. Chaque coup suivant renforçait ce mélange étrange et enivrant de douleur et de plaisir. Le quatrième coup la fit vaciller légèrement, les larmes commençant à poindre aux coins de ses yeux. « Quatre... Merci Monsieur .. » Elle sentit les larmes couler lentement sur ses joues, mais elle ne les repoussa pas. C’était son choix, son désir de se soumettre entièrement à David, de lui offrir tout, même ses larmes. Le cinquième coup tomba avec une précision implacable, le cuir cinglant à nouveau ses fesses. La douleur la fit frémir, mais au lieu de se rebeller, elle s’enfonça plus profondément dans l’abandon. « Cinq... Merci Monsieur … » murmura-t-elle, sa voix tremblante mais résolue. Elle savait que David faisait attention, qu'il surveillait chaque réaction, prêt à arrêter si elle le souhaitait. Cette certitude, loin de la calmer, alimentait son désir de continuer. Le sixième coup, plus fort encore, la fit gémir, un mélange de douleur et de plaisir envahissant tout son corps. « Six... Merci … Monsieur, » articula-t-elle, tandis que son souffle se faisait plus court, plus saccadé. Elle était surprise de s’entendre apprécier cette douleur, de se sentir vivante et connectée à David d'une manière qu'elle n'avait jamais imaginée. Le septième coup la fit vaciller de nouveau, mais elle se redressa rapidement, déterminée à continuer, à montrer à David qu'elle pouvait le supporter. « Sept... Merci Monsieur, » dit-elle, sa voix teintée de détermination et d’un profond désir de plaire, mais aussi tremblante des pleurs qui coulaient sur ses joues. Le huitième coup tomba, cette fois un peu plus bas, presque sur l'arrière de ses cuisses. Vanessa étouffa un cri, sentant la brûlure s'étendre, mais elle tint bon. « Huit... Merci Monsieur … » dit-elle, sa voix brisée par les larmes, mais pleine de résolution. Le neuvième et dernier coup tomba, cette fois entre ses jambes, frappant directement son sexe humide. La douleur fut fulgurante, mais elle fut immédiatement submergée par une vague de plaisir si intense qu’elle la laissa sans voix pendant un instant. Les larmes coulaient librement sur ses joues, mais elle ne put s’empêcher de ressentir une étrange satisfaction, une profonde connexion avec David. « Neuf... Merci Monsieur …  » dit-elle enfin, sa voix n’étant à peine plus qu’un souffle. David s’avança alors vers elle, ses doigts se glissant dans ses cheveux avec une tendresse inattendue. Il la redressa doucement, tirant sa tête en arrière, et faisant descendre ses bras le long de son corps. Il planta ses yeux dans les siens. « Je t'aime, ma merveilleuse dévouée, » murmura-t-il avant de l’embrasser avec une passion brûlante. Vanessa se perdit dans ce baiser, sentant toute la douleur, toute la vulnérabilité se transformer en amour et en appartenance. « Bienvenue chez toi … chez nous … » ajouta-t-il, ses lèvres effleurant encore les siennes, scellant ainsi ce moment de soumission et de connexion profonde.   (A suivre) Source de l’illustration : image libre de l’internet
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Par : le 21/09/24
Vanessa se détendit dans la douce chaleur de sa chambre, son esprit encore enveloppé par les sensations intenses qu'elle venait de vivre. La satisfaction se mêlait à une légère excitation doublée d’une petite impatience, celle de savoir comment David réagirait à la vidéo qu'elle venait de lui envoyer. Le silence de la nuit était apaisant, contrastant avec la jouissance qui l'avait consumée quelques instants plus tôt, comme en témoignait son intimité encore humide. Elle se leva lentement, savourant la sensation de ses muscles relâchés après l’orgasme. Son psyché lui renvoya l'image d'une femme sereine et épanouie, une femme qui savait désormais ce qu'elle voulait et à qui elle appartenait. Le sourire qui s’épanouissait sur ses lèvres en était la preuve. Vanessa se dirigea vers sa salle de bains, ses pieds nus effleurant le sol froid, une sensation qui contrastait agréablement avec la chaleur encore présente dans son corps. La lumière douce du plafonnier éclaira la pièce d'une lueur tamisée, créant une atmosphère intime et apaisante. Elle se tenait devant le miroir, observant de nouveau son reflet. Les bijoux intimes, qui avaient si parfaitement épousé son corps tout au long de la journée, brillaient doucement sous la lumière. Le pendentif en forme de pomme reposait encore contre sa poitrine, les serre-tétons tirant légèrement sur sa peau délicate. Quant au bijou intime qui parait son sexe, il avait laissé son empreinte sur son corps. Avec une lenteur délibérée, elle commença à retirer ces parures. Ses doigts glissèrent doucement sur la chaîne du pendentif, détachant le fermoir avec précaution. Un frisson la parcourut tandis que ses doigts effleuraient ses seins pour détacher les serre-tétons. Elle les retira un à un, ressentant une légère tension se relâcher, suivie d'une vague de douceur qui envahissait ses seins libérés. Les petites feuilles dorées cliquetèrent doucement. Elle fit glisser l’ensemble avec délicatesse entre ses doigts, le déposant sur le bord du lavabo. Puis vint le tour du bijou intime, également jouet de plaisir. Vanessa se pencha légèrement, ses mains glissant le long de ses hanches pour détacher les fines ficelles qui tenaient la goutte courbée bleu saphir contre son puits d’amour. Lorsqu'elle retira enfin le bijou, un soupir de satisfaction s'échappa de ses lèvres, mêlé d'une douce nostalgie pour le plaisir qu'il lui avait procuré tout au long de la journée. Lorsqu’elle constata que celui-ci n’était pas seulement humide mais était maculé de son miel intime, elle rougit. C’était encore un peu de la honte mais c’était aussi et surtout un sentiment de surprise et de satisfaction qui l’envahissait en découvrant combien elle était désormais capable de lâcher prise, de vivre pleinement et sans tabou ces moments intimes. Elle fit couler l’eau du robinet en laiton du lavabo et lava délicatement la goutte courbée. Après l’avoir séchée, elle la nettoya de nouveau avec une lingette alcoolisée qu’elle avait sortit de sa boîte se trouvant dans l’armoire en bois clair se tenant à la droite du lavabo. Elle déposa ensuite le bijou au côté de l’autre avant de se diriger vers la douche. Se sentant légère et libre, Vanessa fit couler l’eau de la douche. La vapeur commença à envahir la salle de bains, enveloppant la pièce d’une brume douce et chaude. Elle entra sous le jet, laissant l'eau chaude couler sur son corps. Sa peau portait encore les marques subtiles de ces ornements, une mémoire tactile de ce qu’elle avait vécu sous leur influence. Les gouttes caressaient sa peau avec douceur, glissant sur ses épaules, le long de ses bras, et sur sa poitrine, avant de dévaler le long de ses hanches et de ses jambes. Vanessa ferma les yeux, s’abandonnant à cette sensation apaisante. L’eau massait ses muscles encore légèrement tendus par l’intensité des émotions qu'elle avait ressenties. Elle se laissa aller sous ce déluge réconfortant, son esprit vagabondant entre les souvenirs récents de ses interactions avec David et la sérénité que cette douche lui procurait. Elle se saisit d’un flacon de mousse pour douche au jasmin et déposa quelques noisettes du gel dans ses mains. Ses mains glissèrent sur son corps, massant doucement les muscles de ses épaules, de son cou, descendant le long de sa colonne vertébrale pour détendre les derniers nœuds de tension. Elle caressa et pétrissa doucement ses seins, sentant leur douceur naturelle, et descendit jusqu’à son ventre, effleurant son sexe avec une tendresse infinie. L’eau s’infiltra partout, emportant avec elle les dernières traces de la journée. Lorsque Vanessa éteignit enfin l'eau et sortit de la douche. Elle s'enveloppa dans une grande serviette moelleuse, étreignant la chaleur réconfortante du tissu contre son corps. Tandis qu'elle sortait de sa salle de bains, ses pensées dérivaient doucement vers David, vers ce qu'ils avaient partagé et ce qu'ils partageraient encore. Elle se sentait plus que jamais prête à se laisser guider, à explorer encore plus profondément cette relation unique qui la comblait. Elle ajusta légèrement la serviette qui entourait encore son corps, s'approchant de la fenêtre de sa chambre pour regarder les étoiles. Le ciel nocturne était clair. Un long manteau bleu marine constellé d’étoiles le parait. De petites lumières scintillantes qui lui rappelaient la lueur dans les yeux de David lorsqu'il la regardait. Cette pensée la fit frémir de plaisir. Le son de son téléphone, un léger tintement qui résonna dans le calme de la pièce, la tira de sa rêverie. Vanessa se précipita pour voir le message. C’était David. Son cœur s'emballa à l'idée de lire ses mots, de ressentir à travers eux sa présence si proche et pourtant si lointaine. Mais ce n’était pas un message écrit, mais un message vocal.  Elle appuya, fébrile, sur la flèche de lecture. La voix rauque de David emplit la pièce : « Ma chère Vanessa, Merci pour cette superbe vidéo. Tu m’as comblé. Ta dévotion et ton abandon sont un véritable trésor pour moi. Voir ta beauté capturée dans ces moments d’intimité m’a procuré un plaisir immense. Tu es parfaite, exactement comme je l'avais imaginé, et même bien au-delà … Ta soumission volontaire, ta confiance en moi, tout cela me remplit d’honneur et de fierté. Ce soir, tu m'as offert bien plus qu'une simple vidéo : tu m'as offert ton âme et ton cœur …  Je t'en suis éternellement reconnaissant. Tu es à moi, ma Vanessa. Je te veux comme apprentie soumise, novice. Je veux faire de toi ma Sublime. Ma Princesse et ma chienne ; mon amour et ma salope … Je veux être à toi. Être ton homme et ton Maitre … Que Nous formions un Tout … Et qu’ensemble nous écrivions le livre de notre vie, dans le respect de nos personnalités et l’osmose de nos désirs … dans cette appartenance mutuelle de domination et de soumission consenties … et d’un amour profond … Si tel est aussi ton ressenti et ton souhait, je te donne rendez-vous chez moi demain soir à 20h30. Tu connais l’adresse et tu as les clés … Tu porteras une courte robe noire qui mettra en valeur tes jambes parées de bas noir, ainsi que tes courbes généreuses. Je te veux aussi avec des talons hauts. Ne porte pas de bijoux autour de ton cou et laisse tes cheveux tomber en cascade sur tes épaules et ton dos. Sous ta robe, tu ne porteras … rien … Je t'attends …  mon amour … ma dévouée … » Vanessa resta immobile un instant, le souffle court, alors que les derniers mots de David résonnaient encore dans la pièce. Son cœur battait à tout rompre, une vague de sensations contradictoires la submergeait. Excitation, appréhension, désir... Tout se mélangeait dans un tourbillon d’émotions intenses.  Elle sentit une chaleur douce l'envahir, comme si les mots de David avaient embrasé chaque fibre de son être. Ses mains tremblaient légèrement tandis qu'elle serrait le téléphone contre sa poitrine, son souffle court se mêlant à la montée d'une excitation irrésistible. Elle ferma les yeux, se laissant porter par l'idée de se retrouver entre ses mains, de s'abandonner entièrement à lui. Les mots de David, "Ma princesse et ma chienne; mon amour et ma salope," résonnaient en elle comme une douce caresse et un commandement puissant, éveillant en elle une profonde dualité de fierté et de soumission. Elle se sentit à la fois élevée et possédée, enivrante contradiction qui la fit frémir de désir et de dévotion pour lui. La sensation de la serviette contre sa peau nue lui semblait soudainement insuffisante, presque superflue, comme si elle voulait déjà se préparer pour lui, se dépouiller de tout artifice. Son esprit vagabondait entre la douceur de son amour pour David et l'intensité de la soumission qu'elle était prête à lui offrir. Elle se sentait à la fois vulnérable et puissante, enivrée par l'idée de répondre à ses attentes. La simple pensée de se présenter devant lui, dans cette robe noire qu'il avait choisie, sans rien en dessous, faisait monter en elle un désir brûlant. Son corps tout entier réagissait, une douce tension se mêlant à l'impatience d’être déjà à nouveau à ses côtés. Le lendemain, la journée de Vanessa au travail se déroula comme dans un rêve. Chaque tâche qu'elle accomplissait semblait baignée dans une douce impatience, chaque seconde qui s'écoulait la rapprochant de cette soirée tant attendue. Son esprit ne cessait de revenir à David, à la manière dont ses mots avaient éveillé en elle un désir et une dévotion qu'elle n'aurait jamais cru possibles. Elle se surprenait à sourire à la moindre pensée de lui, ses joues s'empourprant légèrement lorsqu'elle se rappelait les instructions qu'il lui avait données. Bizarrement elle était aussi très excitée par l’idée d’être traitée de salope et de chienne … Tout simplement parce que ces mots venaient de lui … celui à qui elle se sentait appartenir … celui qui la possédait corps et âme… Bien que cela pouvait paraître irrationnel alors qu’ils se connaissaient depuis fort peu de temps, Vanessa savait qu'elle avait trouvé en David non seulement un maître, mais aussi un amour profond, un homme capable de la combler, de la comprendre et de la guider dans cette exploration intime de ses désirs. L'idée de le retrouver ce soir, dans cette ambiance qu'il avait soigneusement préparée, l'électrisait. À chaque battement de son cœur, l'excitation grandissait, une chaleur douce se répandant dans tout son corps. Lorsqu'elle rentra enfin chez elle, elle n'avait qu'une seule pensée : se préparer pour lui, exactement comme il l'avait demandé. Elle se dirigea d'un pas décidé vers sa garde-robe et en sortit la robe noire qu'elle savait être parfaite pour l'occasion. Le tissu léger épousait ses formes, soulignant ses courbes de manière élégante et sensuelle. Vanessa l'enfila avec soin, appréciant la sensation du tissu contre sa peau nue, la robe glissant sur elle comme une seconde peau. Elle ajusta ses bas noirs, remontant délicatement la dentelle le long de ses jambes. Chaque geste renforçait en elle la sensation d'être belle, désirée, prête à se soumettre à la volonté de David. Une fois prête, elle se regarda dans son psyché. Ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, exactement comme il l'avait demandé, et son regard brillait d'une lueur à la fois douce et intense. Vanessa se sentait à la fois belle et vulnérable, consciente de ce qu'elle allait offrir à David ce soir. Elle enfila une paire de talons hauts, accentuant encore plus sa silhouette et ses fesses rebondies. Le temps semblait suspendu tandis qu'elle se dirigeait vers la maison de David. L'excitation grandissait à chaque pas, mêlée à une appréhension délicieuse. Arrivée devant sa porte, elle sonna, son cœur battant à tout rompre. Aucun bruit ne se fit entendre de l'intérieur. Elle attendit quelques instants, et resonna. Toujours rien. Elle répéta l’opération plusieurs fois, toujours en vain. Elle ressentit comme une appréhension, une tristesse : peut-être n’était-il pas là ? et s’il avait changé d’avis ? Ou peut-être lui était-il arrivé quelque chose ? Soudain elle se rappela les clés que David lui avait offertes. Avec des mains légèrement tremblantes, elle les sortit de son sac à main, les inséra dans la serrure, et tourna. La porte s'ouvrit dans un léger grincement, révélant une maison plongée dans la pénombre, éclairée seulement par la douce lueur vacillante de bougies disséminées un peu partout. Vanessa sourit, rassurée. Il voulait qu’elle utilise ses clés. L'atmosphère était intime, presque mystique, baignée dans une lumière chaleureuse et apaisante. À l'entrée, Vanessa aperçut une enveloppe portant son nom. Elle la prit délicatement, l'ouvrant avec une légère appréhension mêlée d'excitation. « Ma douce Vanessa, Bienvenue. Ta présence ici ce soir est la preuve de ta dévotion, et je t'en remercie. Suis les bougies qui te guideront jusqu'à une pièce de la maison que tu ne connais pas encore. Là-bas, tu trouveras un cercle de bougies allumées au sol. Place-toi en son centre, mets tes mains derrière ta tête, ferme les yeux, baisse la tête et ne parle pas. A plus tard, ma belle apprentie soumise. Votre David » Les mots de David résonnèrent en elle comme une douce promesse. Elle sentit un frisson la parcourir, une onde de chaleur qui naquit dans son ventre pour se répandre à travers tout son corps. Sans hésiter, elle posa son sac à main près de l'entrée et se mit en route, suivant les bougies qui formaient un chemin lumineux à travers la maison. Chaque pas la rapprochait de lui, et l'excitation ne cessait de grandir en elle. Arrivée dans la pièce, elle découvrit le cercle de bougies allumées, leur lumière créant une aura presque sacrée. Vanessa entra dans le cercle, son cœur battant à tout rompre. Elle mit ses mains derrière sa tête, ferma les yeux, baissa la tête et s'abandonna à l'attente, son corps vibrant d’excitation. Vanessa attendait dans le silence, ses sens en éveil ; chaque fibre de son corps tendue vers l'inconnu. Le temps semblait s'étirer à l'infini, amplifiant la tension délicieuse qui montait en elle. Soudain, une musique baroque s'éleva doucement dans la pièce, emplissant l'espace de sonorités anciennes, riches et envoûtantes. Le rythme mesuré de la musique, ni trop fort, ni trop doux, ajoutait une dimension mystique à l’atmosphère déjà chargée de la pièce. Vanessa sentit son cœur battre plus vite, son souffle devenir plus court. Elle entendit alors des pas assurés se rapprocher. David … Son corps réagit immédiatement, une vague de chaleur la traversa, partant de son ventre pour irradier jusqu’à ses doigts qui tremblaient légèrement derrière sa tête. Elle se concentra sur le son de ses pas, tentant de deviner ses intentions, chaque pas renforçant ses sentiments de vulnérabilité et d'excitation. David fit lentement le tour d'elle, ses yeux la scrutant, prenant en compte chaque détail de son apparence, chaque courbe, chaque mouvement infime. Vanessa sentait son regard, presque comme une caresse, une évaluation silencieuse qui la faisait frissonner. Elle voulait être parfaite pour lui, digne de son attention et de sa confiance. « Tu as bien suivi mes ordres. C'est bien, ma dévouée, » déclara-t-il d’un ton ferme et assuré, sa voix résonnant comme une vérité incontestable dans le silence de la pièce. Les mots de David pénétrèrent profondément en elle, la remplissant d’une satisfaction immense. Elle se sentait reconnue, valorisée dans son rôle, et cela renforça son désir de se soumettre pleinement à lui. Son cœur se gonflait de fierté, de plaisir intense à l’idée d’avoir répondu à ses attentes. David s'approcha alors davantage, et d’un geste délicat mais ferme, plaça sa main sur son cou, enserrant légèrement sa gorge. Vanessa sentit une nouvelle vague de chaleur l'envahir, son corps tout entier réagissant à ce geste de possession. La sensation de la main de David sur son cou, cette emprise douce mais ferme, éveillait en elle un désir brûlant, la plongeant dans un état d’abandon total. Elle se sentit entièrement sienne, prête à tout pour lui plaire, pour recevoir sa guidance. Il releva sa tête avec douceur et l’embrassa. Vanessa lui rendit son baiser avec une passion contenue, mêlant douceur et dévotion dans ce contact intime. Leurs lèvres se rencontrèrent, partageant un moment de complicité et de promesse, un lien qui se renforçait à chaque seconde. Puis, David s’écarta légèrement, avant de reprendre la parole. « Tu es dans la pièce où tu seras désormais éduquée et parfois dressée pour devenir une soumise parfaite… Ma soumise parfaite… Ma Sublime ... Ma princesse et ma putain … Une femme vénérée et aimée .. et une chienne lubrique et indécente …. Ici, et pour l’heure, tu ne m’appelleras plus David mais Monsieur … Es-tu toujours d'accord pour cela ? » Sa voix, ferme et pleine d’assurance, résonnait en elle comme une invitation irrésistible. Vanessa, les yeux encore fermés, sentait son cœur battre à tout rompre. Une vague d’émotions la submergea, un mélange de gratitude, de désir, et d’un profond sentiment d’appartenance. Elle savait, sans l’ombre d’un doute, que c’était tout ce qu’elle désirait. Elle était à lui. Totalement. D'une voix douce mais assurée, elle murmura, « Oui, Monsieur, je suis à Vous. » David sourit doucement en entendant la réponse de Vanessa. Il laissa planer un instant de silence, puis murmura d'une voix basse mais claire : « Bien, ma dévouée. Et n'oublie pas que tu as un mot pour arrêter tout cela à tout moment ». Il marqua une pause, s'assurant qu'elle comprenait pleinement ce qu'il venait de dire. La sécurité, la confiance entre eux, était primordiale, même dans ce moment de soumission intense. « Garde cette pose, ainsi que les yeux fermés. Ne parle plus. » Son ton était ferme, mais empreint de douceur, comme une caresse verbale qui s'ajoutait à l'atmosphère déjà chargée de la pièce. Vanessa sentit un frisson lui parcourir l'échine alors que David se déplaçait derrière elle. Elle était immobile, mais son corps vibrait en anticipation de ce qui allait suivre, chaque fibre de son être tendue vers ce qui allait venir. Son souffle s'accéléra légèrement, son cœur battant à un rythme rapide mais régulier. Elle se sentait à la fois exposée et protégée, en totale confiance malgré la vulnérabilité de sa position. David posa ses mains sur ses épaules presque dénudées, la chaleur de son toucher se diffusant immédiatement dans le corps de Vanessa. Lentement, ses doigts glissèrent le long de ses bras, effleurant sa peau avec une douceur calculée. Chaque mouvement était maîtrisé, précis, comme s'il connaissait déjà par cœur la carte du corps et des désirs de Vanessa. Il laissait ses mains dériver, caressant doucement le creux de ses coudes, remontant jusqu'à ses omoplates, dessinant des arabesques invisibles. Il descendit ensuite vers le bas de son dos, ses doigts effleurant la courbe délicate de sa colonne vertébrale, avant de se poser sur ses hanches. Vanessa retint son souffle lorsque ses mains descendirent sur ses fesses rebondies, les pétrissant avec une fermeté mesurée, savourant la sensation de leur rondeur sous ses paumes. Le contraste entre la douceur de ses caresses et la fermeté de sa prise éveillait en Vanessa un désir brûlant, un mélange de plaisir et de soumission qui la rendait encore plus réceptive à ses gestes. David continua son exploration, ses mains glissant sur l'arrière de ses cuisses, puis remontant lentement, traçant un chemin de feu sur la peau délicate de Vanessa. Il s'attarda de nouveau sur ses fesses, les modelant, les pressant légèrement, avant de remonter à nouveau vers sa taille, ses doigts effleurant le tissu fin de sa robe. Chaque mouvement semblait délibéré, calculé pour maximiser le plaisir qu'il lui procurait. Il déplaça ensuite ses mains vers l'avant de son corps, remontant le long de ses flancs jusqu'à atteindre la courbe de ses seins. Vanessa sentit son souffle se couper alors que les mains de David se refermaient doucement sur ses seins, les caressant, les soupesant avec une délicatesse qui la faisait frémir. Ses doigts effleurèrent ses tétons à travers le tissu, provoquant une décharge de plaisir qui la fit presque vaciller. Elle se mordit la lèvre pour ne pas laisser échapper un gémissement, se rappelant l'ordre de ne pas parler. Les mains de David continuaient de caresser ses seins à travers sa robe, les pétrissant doucement, jouant avec ses tétons déjà durcis par l'excitation. Vanessa se sentait à la fois envahie et comblée par ses gestes, chaque caresse la plongeant un peu plus dans un état de soumission totale. Elle se laissait totalement aller à ses sensations, son esprit se vidant de tout sauf du contact des mains de David sur son corps. Son cœur battait à tout rompre, son corps réagissant avec une intensité qu'elle n'avait jamais connue auparavant. La musique baroque, entrecoupé seulement par leur respiration, amplifiait chaque sensation, chaque frôlement. Le désir montait en elle, irrépressible, une vague de chaleur qui se propageait depuis son bas-ventre jusqu'à la pointe de ses seins. David retira soudainement ses mains, rompant le contact qui avait enveloppé Vanessa dans une chaleur enivrante. Le temps semblait s'étirer à l'infini, la laissant dans une attente presque douloureuse, une frustration douce-amère qui faisait battre son cœur encore plus fort. Chaque seconde passée dans cette immobilité, sans savoir ce qui allait suivre, accentuait son désir, la plongeant dans un état de vulnérabilité totale. Puis, elle sentit un léger mouvement dans son dos, suivi du bruit discret de la fermeture éclair de sa robe qui glissait lentement. L'air frais de la pièce caressa sa peau nue lorsque le tissu léger tomba à ses pieds, dévoilant son corps totalement offert. Une onde de frissons parcourut son corps, mélange d'excitation, de nervosité et d'une sensation d'exposition totale. Elle se sentait à la fois terriblement vulnérable et étrangement puissante et fière, consciente de l'effet que cette nudité avait sur elle-même et sur David. Son souffle se fit plus court, chaque battement de son cœur résonnant dans ses oreilles comme un écho de l'attente délicieuse qui l'envahissait. David se pencha. Il prit un à un les pieds de Vanessa, retirant délicatement ses chaussures à talons et les dégageant de la robe les entravant. Il déposa le tout sur un fauteuil en cuir non loin de là. Revenant vers Vanessa il s’adressa de nouveau à elle : « Ecarte les jambes ! » Vanessa obéit sans hésiter, écartant doucement les jambes, ressentant immédiatement une nouvelle vague de chaleur l'envahir. David continua d'une voix calme mais autoritaire : « Ouvre les yeux, ma dévouée. » Elle obéit, découvrant David debout devant elle. Il était habillé d'un costume sombre qui épousait parfaitement sa silhouette, ses chaussures Richelieu brillantes ajoutant une touche d'élégance à son allure. Sa chemise blanche légèrement ouverte laissait entrevoir son torse, et la lumière des bougies accentuait les ombres sur son visage, le rendant encore plus séduisant, presque imposant. « Cette position s'appelle 'Inspection'. Tu t’en souviendras » déclara-t-il d'une voix douce mais ferme. Vanessa acquiesça silencieusement, ses yeux capturant chaque détail de son apparence, notant avec une légère appréhension l’objet qu'il tenait à la main ... Ses émotions se mélangeaient entre appréhension et désir, fascinée par l'aura de contrôle et de puissance qui émanait de lui.   (A suivre) Source de l’illustration : création de MaitreJeanM - la tenue de Vanessa pour se rendre chez David
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Par : le 21/09/24
"Maintenant que tu es là, j'aimerais mettre en place de nouvelles règles" dit-elle avec un sourire tout en léchant ses lèvres alors que qu'elle regardai l'homme en face d'elle se tortiller. Depuis qu'elle avait rencontré O... elle supposait qu'une des choses qui l'attirait le plus vers elle était son inexpérience. En tant que nouvelle dominatrice, elle était certaine qu'avoir un soumis comme lui apporterait de très bonnes expériences. C'est pourquoi elle avait accepté ce rôle et décidait  maintenant de pousser le bouchon le plus loin possible. Une fois arrivée chez O...elle s'installa sur le canapé et lui demanda, comme à son habitude,de lui préparer son café. "Bien sûr,V...," la réponse d'O... lui déclancha un petit rire. "Tu viens d'enfreindre la règle numéro un, O..." Elle était sûr que le ton sévère de sa voix l'excitetait. "Pardon?" « Dans cet appartement, tu ne m'appelleras que maîtresse. » lui dit-elle tout en se penchant au dessus la table basse et rapprochait le plus près possible son visage de celui d'O.... "Maintenant, chaque fois que tu enfreindras une règle, tu seras puni en conséquence, c'est compris?" En disant celà, elle regardait O... qui instantanément se decomposait sous son regard. "Oui V..," dit-il en baissant les yeux pour tenter d'échapper à son regard. Quand il réalisa son erreur il voulut se reprendre : "Je suis désolé, je voulais dire oui m... maîtresse" bégaya-t-il. "Oh mon dieu, tu es vraiment un effronté," dit-elle avec un grand sourire et attendit qu'O... se détende.  "Règle numéro deux, tu me satisferas toujours en premier, alors seulement tu seras autorisé à jouir," "Oui maîtresse" gémit O.... "Tu es un bon garçon, tu apprends vite. Maintenant, règle numéro trois, tu ne feras rien sans ma permission explicite," elle attendit qu'O.... hoche la tête avant de continuer, "Maintenant que nous avons réglé ça, nous pouvons enfin commencer ». Elle se leva et me dirigeait vers le couloir. "Enlève tous tes vêtements, je te veux nu comme un ver avec bien entendu juste ton appareil de chasteté et ensuite tu attends patiemment que ta maîtresse revienne." Sans attendre sa réaction, V... sorti de la pièce. Elle s'est rendu à la salle de bain et a enlevé juste son jean et son corsage, révélant la belle lingerie noire préparée pour l'occasion. Bien que qu'elle n'aie pas eu besoin de beaucoup temps pour se déshabiller et se retrouver en sous-vêtements, elle a passé plus d'une demi-heure heure enfermée dans la salle de bain pour laisser languir l'homme qu'elle savait nu et certainement anxieux. Elle a sorti de son sac à main une paire menottes matelassées qu'elle venait d'acheter et se dirigeait le salon. Au moment où elle est arrivée, O...se tenait debout devant le canapé. Ses yeux fixant le sol. Sa bite comprimée dans sa cage de chasteté laissait déjà perlé quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire. Il n'a prononcé aucun mot à son arrivée, mais il s'est redressé ses yeux fixés sur les atours excitants de sa maîtresse. "Regarde devant toi et mets tes mains derrière ton dos,".Ordonat'elle. O... s'exécuta. Elle se dirigeait maintenant vers lui, en veillant à adopter une démarche la plus excitante possible. O.... était tellement subjugué par sa silhouette si sexy  qu'il a à peine eu le temps de réagir quand V...l'a menotté. Elle l'a dirigé vers le canapé le faisant lourdement tomber sur le dos dès qu'il y en fût suffisamment proche. Il s'affalait en poussant un grognement. D'une voix suave elle lui chuchota: « Sois un bon soumis et fais en sorte que ta maîtresse se sente bien, d'accord ?"  Se tenant debout, face au visage d'O.. elle entreprit d'enlever sa culotte très lentement, a joué avec elle en la faisant tourner devant le visage d'O avant de lui enfiler V.... était radieuse en contemplant son soumis, mains et bite impuissantes. Elle lui lança : "Comme ça, je t'assure que tu est très mignon.... plutôt mignonne avec cette petite culotte en dentelle. Tu sais ce qu'il te reste à faire ?" D'une voix entourée O... Répondit :"Oui, maîtresse."  "Bien ma petite salope, maintenant à toi de jouer". V... a chevauché O.....et a glissé sur lui jusqu'à ce que sa chatte soit à quelques centimètres de son visage. Une fois bien positionnée, elle a plaqué son sexe sur le visage d'O.... Sa bouche s'ouvrit rapidement et sa langue trouva facilement son chemin. il lapait sa chatte encore et encore. V ..est restée fermement planté sur son visage pendant qu'il oeuvrait de son mieux pour lui procurer le plaisir promis, gage de sa libération. Alors qu'elle restait immobile au début, ses mains agrippèrent rapidement les cheveux d'O... Puis ses hanches commencèrent à se balancer et à tourner sur son visage. Sa langue remuait avec de plus en plus de ferveur témoignant du plaisir qu'il prenait aussi. V.... était ravie d'avoir un soumis aussi enthousiaste. Après quelques minutes de travail silencieux, O...a commencé à pousser quelques gémissements accentuant, du coup, le plaisir de V... Elle gémit à son tour en plasmodiant:"Oui, comme ça, continue" Sa voix commençait à vaciller alors que l'orgasme approchait. Ses hanches s'accéléraient, et chaque mouvement la rapprochait de plus en plus du point de jouissance. Son rythme rapide, combiné au jeu de la langue intrusive de son soumis, l'a fait jouir peu de temps après.  Un "Ahhhhhh oui....."  sorti de sa bouche, sa voix était à peine plus forte qu'un gémissement. Ella a instinctivement serré ses cuisses autour de la tête de son bienfaiteur en appuyant son clitoris le plus profondément possible sur son visage. Ses hanches tremblaient, la langue d'O...ne s'était pas arrêtée et continuait à travailler son clitoris pendant qu'elle jouissait. Son plaisir a duré plus longtemps que prévu. O....était désireux de bien faire, mais sa chatte palpitante n'en pouvait plus. Elle mit fin à son enthousiasme: "arrête putain!" Lâcha t'elle. Après que son orgasme se soit calmé, elle s'est allongée sur O... Sa tête juste au-dessus de la sienne. Elle a regardé son visage humide, s'est penchée et a embrassé profondément ses lèvres avant de le féliciter pour sa performance. "Tu as fait du bon boulot, ta maîtresse est satisfaite". Elle glissait un autre baiser avant de l'assoir et de de se placer derrière lui. Elle lui glissa à l'oreille :"Maintenant, a moi de te faire du bien," Elle a tendu la main vers son collier pour se saisir de la clé de la cage de chasteté et pu ainsi libéré la queue d'O...V... avait sa chatte encore bien humide et elle a utilisé son jus d pour lubrifier sa main puis a commencé à lui faire une branlette. La main délicate de V...a commencé à glisser de haut en bas sur sa hampe. "Est-ce que ça fait du bien, ma petite lécheuse ?" Demanda-t-elle ? "Oui, maîtresse," répondit O...d'une voix rauque. Après avoir décidé qu'il était suffisamment excité, V...a stoppé les mouvements de sa main et a ordonné à O...de se mettre debout. Elle se mis à genoux face à lui, tout en levant des yeux pour le fixer du regard puis a saisi sa bite entre ses lèvres. Elle a ensuite attrapé les fesses d'O....et a commencé une magnifique fellation. "Maîtresse, ça fait vraiment du bien", a soupiré l'heureux bénéficiaire... Heureuse d'entendre qu'il appréciait ses efforts V.. a répondu avec un bourdonnement qui a fait trembler sa bite. La sensation de la bite remplissant sa bouche a généré des nouvelles palpitations dans sa chatte. Elle ralentit son rythme et a déplacé une de ses mains vers son sexe humide tout en continuant à s'affairer sur la bite d'O... "Maîtresse, je vais bientôt jouir," dit O... à bout de souffle. Elle a retiré la bite d'O...de sa bouche avant de répondre, "tu vas pouvoir jouir au bon vouloir de ta maîtresse, Je vais te finir à la main." Elle saisit d'une main la bite d'O... et la masturbation a repris de plus belle en augmentant progressivement la vitesse des allers-retours. Elle pouvais sentir qu'O.... se rapprochait de plus en plus de l'éjaculation de la façon dont sa bite palpitait. Quand sa seconde main a rejoint la mêlée O.. a finalement fait exploser sa charge sur la poitrine de sa maîtresse. "Maîtresse !" cria O... sa bite venant de projeter des volutes de sperme chaud alors qu'elle continuait à le traire. Quand l'orgasme d'O... s'est finalement calmé, V...l'a regardé et d'un ton malicieux lui a dit: "Maintenant, il est temps pour toi de nettoyer tout ça!".
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Par : le 20/09/24
Vanessa arriva chez son frère un peu après l'heure prévue, le cœur battant d'une excitation à peine contenue. En entrant dans la maison familiale, elle fut accueillie par les rires et les voix familières de ses proches, un contraste apaisant après le tourbillon de sensations qui avait animé son corps et son âme ces dernières heures. Elle embrassa chaleureusement sa grand-mère, qui rayonnait de bonheur entourée de sa famille pour célébrer ses 90 ans. Tandis que l'après-midi s'écoulait, Vanessa ne pouvait s'empêcher de sentir les bijoux intimes qui lui caressaient la peau à chaque mouvement. Le pendentif en forme de pomme, qui reposait délicatement contre sa poitrine, semblait pulser en écho avec son propre cœur. Les serre-tétons, bien cachés sous sa robe, tiraient doucement sur ses seins à chaque respiration, provoquant des frissons de plaisir qui la parcouraient parfois sans prévenir. Mais c'était le bijou intime, celui qui ornait son clitoris et emplissait délicieusement son sexe, qui la troublait le plus. La goutte courbée couleur saphir, lovée contre et dans sa chair sensible, se balançait à chaque pas, envoyant des vagues de sensations délicieuses qui la tenaient constamment à la limite de l'excitation. Elle essayait de participer aux conversations, souriante et enjouée comme à son habitude, mais une partie d'elle était toujours consciente de la présence de ces bijoux, de la manière dont ils soulignaient son abandon à David, même au milieu de sa famille. Ce secret, bien que caché aux yeux de tous, ajoutait une couche d'intensité à tout ce qu'elle faisait. Elle se sentait à la fois vulnérable et puissante, comme si elle portait une part de David en elle, même loin de lui. Comme s’il était là et la possédait. Alors que la fête battait son plein dans le jardin ensoleillé de son frère et qu'elle était en train de servir du gâteau à sa grand-mère, son téléphone vibra discrètement dans sa poche. Vanessa attendit un moment plus propice avant de se retirer dans un coin tranquille du jardin pour vérifier son message. Le cœur battant, elle sortit son téléphone et découvrit que c'était un message de David comme elle s’en doutait. « Comment se passe ton après-midi, ma belle ? Et surtout, …. que ressens-tu en portant ces bijoux que je t'ai offerts ? … » lui écrivait David, concluant ce message de deux smileys des plus évocateurs ❤️😈 Vanessa sourit, une chaleur douce envahissant son cœur, alors que ses joues rougissaient. Il savait. Bien sûr qu'il savait. Il avait anticipé qu'elle ne pourrait résister à l'envie de porter immédiatement ces cadeaux intimes, qu'elle se sentirait liée à lui, même dans une situation aussi ordinaire que ce déjeuner familial. Son sourire s'élargit alors qu'elle tapait sa réponse, ses doigts tremblant légèrement d'excitation. « Mon après-midi est… intensément délicieux. Je ressens votre présence à chaque instant. Ces bijoux sont bien plus que de simples accessoires, ils me rappellent combien je suis à vous, même ici, entourée de ma famille. Je ne peux m'empêcher de penser à vous à chaque pas, chaque respiration. Vous me manquez, mais je me sens incroyablement connectée à vous. Merci pour ce merveilleux cadeau… Votre dévouée Vanessa» David répondit rapidement, comme s'il attendait son message avec la même impatience qu'elle avait ressentie en lisant le sien. Son téléphone vibra à nouveau, envoyant une décharge d'excitation à travers le corps de Vanessa. « Je n'en attendais pas moins de toi, ma belle. Tu es à moi, clairement et profondément … Rien ne me rend plus fier que de savoir que tu portes mes marques en ce moment, même au milieu de ta famille. J'aimerais que tu m'envoies maintenant une photo… que je puisse admirer ce que je t'ai offert, porté par la femme qui est mienne … » Vanessa sentit son souffle se couper en lisant ces mots. Une chaleur intense monta en elle, envahissant chaque parcelle de son être. David n'était pas seulement un homme qui l'attirait ; il la possédait, mentalement et émotionnellement. Il la dominait d'une manière qui la faisait frémir de désir et de soumission. Cette domination douce mais implacable était ce qu'elle avait toujours cherché, sans jamais oser l'admettre pleinement. Elle en était désormais pleinement convaincue. Avec lui, elle n'avait pas à jouer un rôle ; elle pouvait se révéler telle qu'elle était vraiment, sans retenue, sans filtre. Et ce qu'elle était, elle le réalisait de plus en plus, c'était une femme qui aimait être à la disposition, sous la coupe de son homme, de son amour, … de son Maître. Le désir de répondre à sa demande brûlait en elle, mais un léger voile d'anxiété venait troubler cette envie. Comment faire cela en plein milieu de l'anniversaire de sa grand-mère ? Mais elle savait, au plus profond d'elle-même, qu'elle le ferait. Non par obligation, mais par désir. Parce que c'était ce qu'elle voulait, ce qu'elle désirait faire au plus profond d’elle. En pleine conscience. C’était son choix, sa liberté. Prenant une profonde inspiration pour calmer le tremblement de ses mains, Vanessa se dirigea vers l'intérieur de la maison, prétextant un besoin de se rafraîchir. Elle entra discrètement dans une pièce vide, un petit bureau qui offrait l'intimité nécessaire pour accomplir ce que David avait demandé. La lumière filtrée par les rideaux donnait à la pièce une atmosphère douce, presque intime. Elle se tenait devant un grand miroir mural, et en voyant son reflet, elle réalisa combien elle était excitée. Sa respiration était rapide, son cœur battait à tout rompre. Elle glissa doucement la fermeture éclair de sa robe, laissant le tissu glisser le long de son corps, révélant peu à peu ses courbes vertigineuses et les bijoux qui ornaient sa poitrine et son intimité. Le pendentif en forme de pomme, suspendu juste au-dessus de ses seins ornés des serre-tétons dorés, brillait doucement dans la lumière tamisée. Elle s'examina dans le miroir, fascinée par la manière dont ces bijoux accentuaient sa féminité et son désir. Elle prit son téléphone, ajusta la caméra pour capturer son reflet dans le miroir, s’assurant que chaque détail soit visible. La pomme dorée, les chaînes délicates qui reliaient les serre-tétons, la goutte de saphir lovée entre ses cuisses. Son visage reflétait un mélange d'excitation et de soumission. Elle prit la photo, son cœur battant à tout rompre, avant de la regarder une dernière fois pour s'assurer que tout était parfait. Vanessa hésita une seconde avant d'appuyer sur le bouton « Envoyer », mais ce fut une hésitation fugace. Elle savait que c'était ce qu'elle voulait, ce qu'elle désirait profondément. Appartenir à David de cette manière, lui donner tout ce qu'elle était, même dans les moments les plus intimes et les plus privés. Lorsque le message fut envoyé, une vague de satisfaction l'envahit, accompagnée d'une douce chaleur qui la fit frissonner. Elle savait que David serait satisfait, que son acte de soumission le comblerait. Et cela la comblait elle aussi, d'une manière qu'elle n'aurait jamais cru possible. Elle se rhabilla rapidement, se sentant à la fois légère et libre, et retourna discrètement rejoindre sa famille, un sourire complice aux lèvres. L'après-midi se poursuivit comme si de rien n'était, mais Vanessa savait que quelque chose avait définitivement changé en elle. Chaque fois que son téléphone vibrait, les battements de son cœur s’accéléraient, se demandant si c'était un autre message de David. Mais surtout, elle se sentait plus proche de lui, plus à lui que jamais. Elle était fière de ce qu'elle venait de faire, et l'idée de ce que David penserait et ressentirait en voyant cette photo l'excitait au plus haut point. Elle était véritablement à lui, et rien ne la rendait plus heureuse que de se soumettre à sa volonté. Alors que la fête d'anniversaire touchait à sa fin, Vanessa se tenait sur le pas de la porte, saluant les membres de sa famille. Les rires et les conversations s'estompaient peu à peu, laissant place à la douceur de la soirée. Pierre, son frère, s'approcha d'elle avec un sourire complice, son regard la scrutant avec curiosité. « Je te trouve radieuse, ma sœurette ; tu sembles très heureuse. Y aurait-il un nouvel homme dans ta vie ? » demanda-t-il, l’œil pétillant de malice. Vanessa ne put s'empêcher de sourire, se sentant prise en flagrant délit. Mais elle aimait cette sensation, ce secret qu'elle portait en elle, comme une flamme intime. Elle répondit d'un ton tout aussi complice, « Peut-être... » Pierre haussa un sourcil, mais n'insista pas, se contentant de lui faire un clin d'œil avant de la serrer dans ses bras. Vanessa prit congé, le cœur léger, mais avec une intensité intérieure qui ne la quittait pas. En rentrant chez elle, elle trouva sur le pas de sa porte un magnifique bouquet de roses rouges. Ses yeux s'illuminèrent de surprise et d'émotion. Elle s'agenouilla pour ramasser le bouquet, remarquant une enveloppe délicatement posée parmi les fleurs, portant son nom écrit à la main d’une écriture qu’elle reconnaîtrait désormais entre mille. C'était David. Son cœur battait la chamade alors qu'elle entrait chez elle, refermant doucement la porte derrière elle. Elle s'assit sur le canapé de velours bleu marine de son salon, posa le bouquet à côté d'elle sur la table basse en verre fumé et ouvrit l'enveloppe. Elle déplia la lettre et commença à lire, chaque mot la plongeant un peu plus dans cet état de soumission volontaire qu'elle découvrait chérir de plus en plus. « Ma chère Vanessa, ma belle soumise … Merci infiniment pour la photo que tu m'as envoyée. Tu étais magnifique, exactement comme je l'avais imaginé, portant fièrement les bijoux que je t'ai offerts. Cette image de toi restera gravée dans mon esprit, comme un souvenir précieux de ta beauté et de ta dévotion. Je savais que tu porterais ces bijoux sans hésitation, parce que tu es désormais prête, profondément et sincèrement, à répondre à mes demandes. Ta soumission m'honore, et je veux que tu saches combien j'apprécie chaque geste, chaque signe de ta confiance. Ce soir, avant de te coucher, je te demande de te donner du plaisir. Prends ton temps, explore ton corps avec la même attention et le même désir que je le ferais. Filme cet instant pour moi, pour que je puisse partager cette intimité avec toi, même à distance. Envoie-moi cette vidéo, ma dévouée, avant de t'endormir ;  et souviens-toi que même lorsque nous sommes loin l'un de l'autre, tu es toujours à moi... je suis toujours là ... Avec toute mon affection et mon désir, Votre David, votre Maître. » Vanessa sentit une vague de chaleur monter en elle, mélange de désir, de soumission et d’excitation. Les mots de David l'enveloppaient, l'enivraient. Elle se savait à lui, profondément. Et elle aimait ça. Cette domination qu’il exerçait sur elle, cette autorité douce mais implacable, la faisait se sentir vivante, pleinement elle-même. Sans hésiter, elle se leva et se dirigea vers sa chambre. Son psyché lui renvoyait l'image d'une femme belle et désirable. Elle retira sa robe et ses chaussures. Elle ajusta l'éclairage pour que la lumière douce mette en valeur les courbes généreuses de son corps, encore paré des bijoux qu'elle portait depuis ce matin. Elle posa son téléphone sur le bord de son lit, ajustant l'angle pour que la caméra capture chaque mouvement, chaque frisson. Vanessa s'allongea sur le lit, sentant l'excitation monter en elle, le désir de répondre à l'appel de David la consumant. Elle commença à caresser son corps, explorant chaque courbe, chaque creux, avec une lenteur délibérée. Les serre-tétons tiraient doucement sur ses seins à chaque mouvement, ajoutant une délicieuse intensité à ses caresses. Elle laissa ses mains glisser vers son intimité, effleurant le bijou couleur or et saphir qui ornait son clitoris. Chaque contact envoyait des vagues de plaisir à travers tout son corps. Les gémissements qui s'échappaient de ses lèvres étaient doux, presque un murmure, mais porteurs d'une intensité croissante. Elle savait que David regarderait cette vidéo avec attention, et cela la poussait à se donner entièrement, sans retenue. Ses mouvements devinrent plus insistants, ses doigts explorant son sexe avec plus d'urgence, de désir. Elle jouait avec cette goutte courbée comme s’il s’agissait d’un gode : pénétrant sa chatte de plus en plus fort ; venant presser son clitoris désormais dressé et devenant de plus en sensible. Son autre main tirait sur les chaines pour étirer ses tétons, ce qui la faisait frissonner dans un mélange subtil de douleur et de plaisir. Elle se sentait totalement désinhibée ; totalement femme ; totalement soumise à son homme, son Maitre. Fière et heureuse de l’être. Le plaisir montait, inéluctable, et elle le laissa venir, se donnant complètement à l'instant..., à David... Lorsqu'elle atteignit l'orgasme, son corps se tendit sous la vague de plaisir qui l'envahit, ses gémissements se transformant en une succession de cris de de plaisir. Son souffle était rapide, ses mains tremblantes alors qu'elle atteignait l'apogée de ce moment de plaisir et de soumission. Vanessa resta allongée quelques instants, savourant les dernières vagues de plaisir qui parcouraient son corps. Elle se dirigea vers son téléphone en train de la filmer. « Pour vous, David. Pour vous … mon Maître » dit-elle dans un sourire avant d’éteindre la caméra. Elle regarda la vidéo avant de l'envoyer à David, satisfaite de ce qu'elle voyait : une femme entièrement dévouée, entièrement à lui, sans tabou, libre et heureuse. En appuyant sur « Envoyer », elle ressentit une nouvelle vague de satisfaction, mêlée à une non moins douce et excitante soumission. Elle savait que David serait satisfait, que ce moment partagé, même à distance, renforcerait encore plus leur lien. Ce lien qui la rendait plus heureuse que jamais.    (A suivre) Source de l’illustration : création de Sophie Monthulé
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Par : le 17/09/24
Je suis libertin depuis de nombreuses années et j'y ai fait de nombreuses rencontres, toutes plus enrichissantes les unes que les autres. Mais depuis quelques années, mes envies ont évolué, elles vont de plus en plus vers le milieu bdsm sans pour autant oublier mon côté libertin. J'ai déjà rencontré des couples candauliste mais toujours avec des hommes hétéros. Mais depuis quelques temps, je souhaite découvrir et passer du temps avec un couple Hbi actif pour assouvir leurs envies sans gènes et tabous. À proprement parler, je ne suis pas attiré par les hommes ou la pénétration mais plus par une situation. Ce qui m'excite dans cette situation, serait de ne pas avoir le choix... De me retrouver à genoux nu devant vous, inférieur. Dans l'attente d'un ordre ou d'une action de votre part. Que ce soit l'humiliation verbale, crachats, fouet, attaché, anulingus, face-sitting, fellation forcée, pet play, uro ainsi que jeux de sperme. Pénétration diverses et variées (Mr et sextoys), mais dans mes limites et le respect. Car malgré toutes ces envies, j'imagine que cela se fera dans une ambiance conviviale, où chacun aura sa place naturellement et l'espace de ces instants, nous ne ferons plus qu'un. Je rêverais que cette relation soit dans l'idéal suivie pour passer d'autres moments intenses ensemble. Si ce récit vous a plu, inspiré et donné envie, n'hésitez pas à me contacter car je souhaite qu'il ne reste pas un fantasme mais qu'il devienne réalité.
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