La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 19/10/24
Il s'éclaircit la voix en toussotant légèrement et il rompt ce silence interminable comme suit :  « Ma chienne, regarde-moi dans les yeux », je vois un regard dure et froid que je n’ose soutenir et il ajoute : « je pense que tu as oublié quelque chose et je vais finir par croire que tu le fais exprès. Aussi, je vais te laisser une minute pour faire ce que tu as oublié, il ne tient qu’à toi de respecter tes engagements et d’obéir comme il se doit si cela a de l’importance pour toi ! le décompte débute… » Je vous regarde, le regard embué de larmes, les joues rouges de mes regrets de me montrer une nouvelle fois indigne de vous. Pas le temps de me lamenter, de me poser milles questions, j’ai cette unique minute pour me rattraper, mais qu’ai-je pu oublier ? Pas ma tenue, je suis nue, mes cheveux sont bien dans mon dos, je suis dans la bonne position, ma laisse est bien entre mes seins… je suis perdue, je ne sais pas, et le temps défile, je panique et une lueur d’intelligence fulgurante éclate en moi : la Lettre, bien sûr la Lettre d’excuse… je me retourne, toujours à quatre pattes, je me dirige vers le coussin, je prends la lettre entre mes lèvres, sentant mes sécrétions de chienne lubrique soumise qui me rende fière à cet instant et reviens à ma place, en faisant attention à ma position et mes obligations, non sans avoir jeter un œil vers vous, vous tenant la debout devant moi, la ceinture toujours dans vos mains, le pantalon déboutonné, et votre chemise ouverte. Malgré cette situation d’échec à mes engagements, je mouille par votre simple présence. Je ne peux parler pour vous le dire et pourtant je dois vous en faire part comme l’exige notre contrat. Il est convenu qu’en cas de silence demandé ou d’impossibilité de parler car ma bouche serait entravée, je devais lever le doigt. Je m’exécute et lève le doigt sans relever la tête.  Attentif à ma position, vous voyez cette main se lever, vous tourner autour de moi, et vous restez derrière moi : « Mia, je vais prendre ta lettre et avant que je la lise, tu as la parole pour dire ce que tu veux exprimer en levant cette main ». Ces paroles accompagnant le geste, vous me retirez la lettre et sans attendre je vous dis : « Mon Maître, je dois vous dire humblement que je suis toute humide »   J’entends qu’il sent ma lettre, j’entends son inspiration à plusieurs reprises, et j’imagine le sourire vicieux et pervers qui se dessine sur son doux visage et son regard empreint de cette lueur si diabolique qui illumine mon âme si souvent. Je n’ai qu’une envie le regarder mais je n’en ferais rien.  J’entends vos pas, vous vous éloignez vers la fenêtre, et vous revenez rapidement devant moi, votre déplacement par des pas rapides et quasi sautillants, je comprends dès lors que ma lettre vous a plu et surement que l’audace de mon dessin aussi. Je sais que vous aimez que je prenne des initiatives qui m’impliquent un peu plus dans ma soumission auprès de vous et qui vous surprennent toujours un peu plus. Je sens que vous respirez pour poser votre voix : « Ma Mia, tu as beaucoup de gout et je pense que cette pièce sera parfaite pour nous abandonner à nos plaisirs simples et à nos retrouvailles perverses, tu as colorié ton dessin de ton élixir en respectant j’en suis sure mon ordre de ne pas jouir sans mon autorisation, et cette audace me ravit. Comme toujours, tu trouves les mots qui sortent de ton cœur et ton âme avec ta façon bien à toi de les écrire et de les mettre en perspective. Sache que j’accepte tes excuses. Cependant, tes innombrables fautes ne peuvent s’éteindre aussi facilement et ta punition n’est pas finie. Tu peux t’exprimer si tu as quelque chose à dire avant que je continue. » Je le savais et pourtant je reçois votre message comme une lame froide, transperçant mon corps qui me rappelle mes écarts et me renvoie à ma condition voulue et consentie. Pourtant, aucune rébellion en moi, juste l’envie de satisfaire et d’obéir et d’expier la faute.  Je vous dis : « Mon Maître, j’accepte votre punition car elle est nécessaire à mon éducation et me servira à expier mes fautes et à apprendre a ne pas les renouveler. Je vous remercie mon Maître de l’attention que vous me portez et permettez-moi de vous renouveler mes plus sincères excuses ».  « Très bien, tes excuses sont acceptées, et j’apprécie ta résilience. Tu es ma soumise, ma chienne, ma pute et mon objet de luxure. Relève-toi et regarde-moi » Debout, les mains dans le dos, les jambes écartées, je vous regarde. Nos regards intenses expriment nos sentiments respectifs. De l’intransigeance pour Vous, de la pugnacité pour moi… nous nous comprenons.  Vous prenez en main la laisse, et vous tirez celle-ci vers vous, me voilà à quelques centimètres de votre corps avec une envie pressante de le toucher, de vous embrasser, mais l’instant serait mal choisi pour le faire. Vous savez que cela provoque une certaine frustration et vous en jouez. Toujours les yeux dans les yeux, je ne détourne pas mon regard, je vous transperce du mien, prenant toutes les informations, toutes les forces qui me sont nécessaires pour me sentir si unique et si aimée pour m’abandonner et lâcher prise. Ce temps est si intense que chaque parcelle de mon corps réagit, que je me sens si vulnérable et si forte à la fois pour me dépasser et me livrer, m’offrir corps et âmes. Je sens aussi que vous l’avez ressenti car on sait se lire sans se parler. Vous tirez encore la laisse, je suis vraiment au bord de vos lèvres, et vous me susurrez : « je vais te punir pour tes fautes ma Mia »  
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Par : le 19/10/24
Samedi 19 Octobre Une semaine de passée depuis la dernière entrée de ce journal, une semaine marquée principalement par mes exercices de dégustation et ma recherche de testicules à vider pour cet entraînement, ponctuée par quelques séries de claques sur mes couilles de soumis, au bon plaisir de ma Maîtresse Pandora comme pour un rappel à l'ordre de mon appartenance envers elle et l'excellence que je me dois d'avoir envers sa divine personne. Bien que n'ayant pas pu encore concrétiser ces mises en bouchen, plusieurs contacts depuis le début de ma recherche, sans pour autant avoir un afflût de profiteurs avides et peu respectueux, la plupart de ces contacts ont l'air sérieux et me motivent d'autant plus à me lancer dans cet acte q'est la fellation ... Et que dire ... ce fantasme inavoué pendant longtemps, additionné à mes dégustations récurentes depuis ces nombreux jours passés maintenant sous le dressage de Maîtresse Pandora ... ma Maîtresse Pandora a réussi ce que je n'aurais jamais pu imaginer il y a encore quelques jours,, transformer ce fantasme en envie, presque irrépressible, voire totale à l'heure actuelle, de pouvoir me retrouver un sexe d'homme en bouche, le suçant langoureusement, y prélevant la moindre goutte de sa semence avec gourmandise ... serai-je à la hauteur ? en tout cas tel est le but de cette transformation, pouvant satisfaire pleinement les désirs futurs de ma Maîtresse Pandora. Une certaine impatience me gagnant même aujourd'hui à concrétiser ces rencontres ... Un évènement intéressant a marqué la journée d'hier: un thérapeute, vidéaste, avait pris contact avec ma Maîtresse quelques jours auparavant, désireux de s'entretenir avec l'un de ses soumis. En attente aujourd'hui de son article, l'entretien fût cordial et portait principalement sur les rapports dominant/soumis ... n'étant que récemment au service de Maîtresse Pandora, peut-être ne pouvais-je prétendre être le meilleur soumis auprès de qui se renseigner (j'imagine que ce thérapeute a du s'orienter vers plusieurs profils différents), mais c'est avec honnêteté et sincérité que je répondis à ses questions, mettant en avant la relation très positive et de respect que j'ai avec Maîtresse Pandora, me basant sur ma propre expérience de soumis. Aujourd'hui, je compte donc entretenir mes contacts, espérant trouver le meilleur moment pour concrétiser mes exercices, mais avant cela, une demi-heure de méditation sur ma condition de soumis, à la demande de ma Maîtresse Pandora; en me caressant tout du long de cette médiation, ce sans aller jusqu'à l'éjaculation. Dressage à suivre ...
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Par : le 16/10/24
Bonjour Voici un premier texte qui pose les personnages. J'ai volontairement  prénomé  mes personnages S pour Soumis (e) et D pour le Dom. Chacun mettra les prénoms et les genres qui lui conviendront. Je plante dans ce premier volet la situation que beaucoup rencontrent certainement sur les sites. Et le ressenti pour les premiers rendez-vous. IL faut donc imaginer que nos deux personnages ont loguement echangé par message mais qu'ils ne se sont encore jamais vu même pas en cam. Vous comprendrez le titre de cette histoire dans un prochain  Je souhaite à tous ceux qui vont lire une bonne lecture. Merci à Jardinenfriche pour la relecture. Ymer White Le jardin  C1 - Premier rendez-vous Après tous ces échanges de présentation fastidieux et classiques. Ces nombreux messages pour faire connaissance et déchiffrer les attentes de chacun sur les sites de rencontre. Après tout ce tri de messages qui deviennent des agressions masculines quand on est une femme soumise ou non. Après tous ces faux profils qui demandent de l’argent à un moment donné quand on est un homme. Après toutes ces désillusions de ceux ou celles qui vous faussent compagnie sans dire au revoir et sans aucun prétexte. Certainement les mêmes qui vous posent une question dans une soirée et qui n’attendent pas la réponse pour partir discuter avec une autre personnne. Après toutes ces frustrations provoquées par la malhonnêteté de ceux ou celles qui vous tiennent en haleine pendant une semaine, (rarement plus) et qui ne sont venus que pour s’émoustiller un peu. Après s’être rassuré quant à la réalité et l’existence de la personne qui se cache derrière le pseudo. Souvent très difficile à faire pour des raisons de confidentialité et de sécurité disent-ils ou elles. Alors qu’enfin, on pense avoir rencontrer une vraie personne.  Et que les désirs commencent à faire leurs œuvres. Que les sentiments naissants poussent à la confidence, l’addiction fait son chemin. Les messages sont attendus avec impatience et anxiété. Les ventres se nouent sans s’être vu, ni touché. L’angoisse de perdre l’autre devient prégnante, Après tout ce que l’on s’est dit, tous ces sujets abordés. Toute cette intimité dévoilée.  Deux mois d’échanges avec un rythme qui s’est accéléré et qui devient effréné. Il faut maintenant se décider, faire le pas, vite se rencontrer. Cela devient difficile de travailler. De vivre à coté tout simplement. L’esprit devient tout occupé à cet (te) inconnu (e) virtuel(le) avec qui on partage un autre monde. Le mobile posé à côté du clavier pour elle, affiche les notifications sur l’écran avec cette petite sonnerie qu’elle lui a choisie pour différencier l’arrivée de ses messages. Ses collègues commencent à sourire à chaque fois que l’écran s’allume et frétille.   Elle se jette dessus comme une goulue qui a déjà besoin de sa dope. Elle a envie de lui faire sa demande. C’est à elle de le faire. C’est lui qu’elle veut comme maitre. L’univers qu’il lui propose, sa façon de voir la relation, lui convient. Mais elle n’a que deux photos de lui. Peut-être des photos qui ont dix ans. Comment va-t-elle le reconnaitre. Va-t-il lui plaire ?  Pour lui, entre une réunion client et une réunion avec son équipe, cela devient de l’impolitesse et cela frôle parfois l’irrespect… Mais c’est plus fort que lui, il a besoin d’elle maintenant pour avancer. Il le sait, c’est elle qui va le compléter, qui va l’accompagner. Si cela se trouve c’est encore un brouteur africain, qui se fait passer pour ce qu’il veut entendre. Et si elle vient vraiment à ce premier rendez-vous va-t-elle lui plaire ? Évidemment les deux photos qu'elle a envoyées sans montrer son visage sont magnifiques. Certainement des photos de vacances où le corps rayonne. La première rencontre est convenue vers 14.00 heures dans un café de centre-ville. S n’a aucune contrainte vestimentaire. Elle doit faire selon sa nature, son statut et la façon qu’elle imagine devoir s’habiller pour vivre sa relation M/s en toute sérénité. Il va sans dire que c’est totalement nouveau pour S.  Elle se décide à franchir le pas. Elle est en ébullition, entre excitation et anxiété. Cela a été plus fort qu’elle, même si elle a longtemps résisté. Elle a visité les sites dédiés à la domination et à la soumission. Elle a fait des dials avec des personnes qu’elle n’a jamais rencontrées. Cela fait des années qu’elle fantasme sur ce thème, malgré un mariage réussi et une vie de famille tranquille et réglée dans le respect des conventions. Un amour qui s’est transformé en affection mutuelle. Des ados qui finissent de saper son couple tranquille. Elle a un travail qui la comble, des responsabilités professionnelles et familiale, son cerveau est en ébullition.   Mais, il y a un mais.   D’où vient ce besoin de glisser dans cet imaginaire à en rêver la nuit ? ou à ne pas en dormir. D’où vient cette attirance pour la soumission ? Pourquoi ce désir de se donner à un ou une autre ? Qu’est ce qui lui manque ? Se faire diriger, punir comme lorsqu’elle était enfant. Se sentir protégée, en sécurité lorsqu’elle se donnera ?  Et peu importe que ce soit avec une femme ou un homme.  Car elle est certaine de vouloir une autre vie, un autre univers, une autre intimité, d’autres règles qui régiront sa vie. Elle est prête à faire ce qu’on lui demandera de faire. Enfin elle ne sait plus... Elle se persuade qu’elle ne refusera pas les caresses d’une femme pour la mener à l’extase. Elle ne s’est jamais senti Bi pourtant. Tout cela affole et chahute son quotidien et son éducation. C’est une remise en question de beaucoup de ses certitudes. Une remise en question de ses interdits, des conventions sociales, de son éducation.  Où va-t-elle s’arrêter, si elle franchit le pas ? Le pourra-t-elle ? A la maison c’est elle qui gère. Mais là, dans cette relation qui se présente, elle retrouve sa nature profonde. Sa fragilité et ses forces aussi. Son désir reprend sa place. Sa nature commence à crier. Un besoin de vivre autre chose la tiraille. Elle a l’impression de reprendre la main sur son destin et en même temps de partir à l’aventure. La lumière du café baignait la salle d'une ambiance à la fois chaleureuse et mystérieuse. Au fond, une musique douce et sensuelle flottait dans l'air, créant un cocon propice aux confidences. Quelques clients du service de midi étaient encore attablés. C’est vendredi, l’ambiance est plus décontractée. Le soleil d’octobre fait de la résistance. Une chaleur douce presque estivale donne l’impression que l’on est encore en vacances. S est arrivée en avance, s’est installée à une table discrète en fond de salle. Un café et un verre d’eau lui a été servi. Ses doigts jouent nerveusement avec le bord de sa tasse de café. Elle porte une robe rouge et blanche qui épouse ses formes avec élégance, laissant entrevoir juste ce qu'il faut de sa poitrine. C’est peut-être exagéré, pensait-elle pour un premier rendez-vous.  S avait changé plusieurs fois de tenue avant de partir en retard. Sa garde de robe ne lui convient plus. Ça aussi il faut que cela change mais ce ne sera pas à elle d’en décider. Elle a le cœur qui bat un peu plus vite à l'idée de le rencontrer. Dans sa tête c’est une tempête d’images qui défilent comme un film, des messages qui sonnent et lui reviennent à l’esprit. Ce qu’elle a dit, ce qu’il lui a dit. Elle a envie de fuir et est incapable de le faire. Elle a un furieux désir de laisser le destin accomplir sa trace. Et surtout de ne jamais avoir la frustration de ne pas avoir saisi l’opportunité de reprendre sa vie en main. De créer son univers. Son jardin. S envoie un message à D pour le prévenir qu’elle était arrivée et où elle se trouve. La jupe sans être trop courte laisse ses cuisses coller à la banquette. Les dernières chaleurs contribuent à envelopper S d’excitation et de nervosité qu’elle ne sait ou ne veut plus gérer. Les secondes d’attentes deviennent des minutes, les minutes deviennent des heures. Calme, son regard balaye la salle avant de se poser sur elle. D est habillé, d’une simple chemise blanche qui souligne ses épaules, un jean et une veste de costume sombre. Rien d’ostentatoire. Une démarche calme. Il repère S et s’installe à une table derrière elle, sans qu’elle ne puisse l’entendre ni le voir.  Il commence à lui parler d’une voix douce à l’oreille. Elle sursaute et tente de se retourner. Mais très vite D lui ordonne de rester en place. Elle ne sent que sa chaleur et son parfum. « Êtes-vous toujours certaine de vouloir me rencontrer et me voir ? Vous pouvez encore vous enfuir » lui demande-t-il. « Oui encore plus certaine » « Confirmez-vous ce que vous m’avez dit sur vos messages ? » Il lui liste d’une voix douce et calme à l’oreille. « Vous cherchez un statut d’esclave, à devenir la propriété d’un homme. C’est la seule vision de la relation, du mode de vie dans lequel vous souhaitez vous épanouir. Être totalement dans un cadre d’appartenance convenu conjointement. Un cadre comprenant : Obéissance, servilité, subordination au maitre. Liberticide et coercitif en permanence. Le propriétaire devient la seule et unique référence et le centre de votre pensée, tout le reste étant secondaire. Les règles de l’univers créées ensemble (Notre jardin), avec ce rapport Maitre Esclave qui supplante totalement les règles communes de la société Vanille. Ce cadre vous ôte réellement toute liberté. Je vous cite « que je sois sous emprise, asservie et que si je ne satisfais pas ou déroge aux règles pour x raisons, le Maitre me le fasse savoir de manière stricte. » Vous acceptez, souhaitez et validez en toute conscience d’être punie de différentes façons, parfois comme une enfant, parfois comme un animal de compagnie, parfois comme une esclave. Les tabous et pratiques intouchables sont : pedo, zoo, marques au sang, aiguilles, scarification, scato poussée, usage de drogue, tout ce qui peut être à risque pour la santé et les dégradations définitives du corps. Le tutoiement sera utilisé pour le dominant. Le vouvoiement exclusivement pour l’esclave. Des rituels seront imposés pour la dévotion que doit avoir l’esclave à son maitre. Votre corps et votre intimité ne devra avoir aucun mystère a votre propriétaire. Vous donnez l’entièreté de votre liberté de choix à votre maitre. Des positions seront imposées pour formaliser les moments importants du quotidien. Vous souhaitez portez un symbole en toute circonstance même dans le monde vanille. Est-ce bien cela ? » « Oui Monsieur c’est ce que je vous demande. C’est ce que je veux avec vous. » « Dans ce cas, pour me signifier votre accord, retirer votre culotte Si vous décider d’aller le faire aux toilettes. A votre retour, vous traverserez la salle avec votre culotte à la main et vous la posez sur la table. Vous me retrouverez assis en face de vous.» S a un instant de surprise et tente une bravade :« Et si je n’en porte pas. » « Il va falloir me le prouver sur le champ. Vous pouvez l’enlever ici si cela vous chante. Pour le moment vous avez encore cette liberté de choisir. Dans le monde dans lequel vous vous apprêtez à entrer, vous n’aurez plus ce choix.» S se lève et se dirige vers les toilettes pour s’exécuter. Un dernier regard dans le miroir du sous-sol, sa culotte à la main, elle se regarde une dernière fois, retouche sa coiffure, tire sur sa robe pour la descendre encore plus bas, pour ne pas ressembler à une bimbo de vingt-cinq ans qui veut « pécho ». Elle qui en a 25 de plus. À son retour elle découvre son futur se dessiner. Elle dépose le morceau de tissu fin, blanc sur la table avec un sourire malicieux en signe de victoire. Maintenant elle ne peut plus revenir en arrière. C’est fait. Elle s’assoie et le dévisage enfin. À cet instant, un sourire complice se dessine sur ses lèvres, et elle sait qu’elle a fait le bon choix. Il s’approche d'elle, son regard brillant d'une lueur taquine. « Enchanté, S. j’espère que tu n'attends pas depuis trop longtemps. » « Juste ce qu'il me faut pour me mettre dans l'ambiance » répondit-elle avec insolence en le fixant dans les yeux, un léger frisson parcourant son dos. Ils échangèrent des banalités au début, mais rapidement, la conversation devint plus intense, plus chargée. Les mots se frôlent comme des caresses, les sous-entendus s'accumulent entre eux comme une promesse silencieuse. Comme s’ils se connaissaient depuis fort longtemps, mais que des années de séparation les avaient mis à distance. Ses cuisses se recollent au plastique de la banquette et un feu intérieur commence à ruisseler doucement entre ses cuisses. S sait ce que cela veut dire et sans culotte cela va très vite devenir gênant. Cette situation ne fait qu’empirer au fil des minutes qui passent. Son excitation devient difficile à contrôler. Mais ce qui la surprend, c’est qu’elle s’en fout.  Complétement. Elle a presque envie de le crier. « Alors, ce que nous avons partagé sur le site... c’est sérieux pour toi ? » demanda-t-il, s’appuyant légèrement en avant, les yeux rivés sur les siens. Elle soutint son regard. « Pour moi, chaque rencontre a son propre potentiel. Mais j’aime l’idée de découvrir... jusqu’où cela peut aller. L’univers que nous avons dessiné lors de nos échanges m’attire et fait écho en moi.» D se pencha encore un peu plus, sa voix devenant un murmure. « J’ai toujours cru que le vrai équilibre réside dans l’établissement de la soumission et de la domination. Est-ce que cela te parle ? » S sentit un frisson d’excitation la traverser. « Plus que vous ne l’imaginez et c’est la seule raison de ma démarche aujourd’hui. Je veux découvrir ce jardin dont vous m’avez parlé.» Il esquissa un sourire, satisfait. « Alors, dis-moi, ce qui t'attire vraiment ? » Sans retenue et avec un enthousiasme à peine retenu, elle répond : « L’inattendu, la tension, l’inconnu, ma culotte sur la table à la vue de tous. » Elle marque une pause, savoure le moment. « La possibilité de perdre le contrôle… sous le regard d’un homme qui sait ce qu'il veut, devenir sa propriété et le servir pour son plaisir, être protégée, que le jardin que vous m’avez décrit devienne notre refuge. Je veux devenir une femme. Celle que vous souhaiterez que je devienne. » Leur échange devient un jeu, chaque mot pesé, chaque geste chargé de promesses. Le serveur vient avec leurs cafés, son regard est instantanément capté par la culotte qui trône. Il dessert la tasse vide et repart avec un sourire entendu vers D. Mais son service devient secondaire à ce qui se joue entre eux. S prend une gorgée, ses lèvres glissent délicatement sur la tasse, puis elle la pose lentement, ses yeux ne quittant pas ceux de D. « Que dirais-tu de continuer cette conversation ailleurs ? » proposa-t-il, une lueur de défi dans le regard. Elle hésita un instant, le cœur battant, puis un sourire provocateur se dessina sur ses lèvres. « J’aime bien l’idée. Mais n’oubliez pas, que je ne vous appartiens pas encore. Vous m’avez dit que je serai éduquée et que c’est seulement après que je serai définitivement votre.» « Alors pourquoi avoir accepté de me présenter ta culotte ? N’est-ce pas un premier vœu d’appartenance ?» “Non du courage, un esprit de challenge et de curiosité, l’envie de mener avec vous mon cheminement dans cet univers que je ne connais que de façon virtuelle. C’est une décision de raison.” Les joues de S se teintent de rose, elle baisse les yeux et lui dit avec un sourire teinté de légère provocation : « Non C’était pour vous découvrir et parce que nos échanges et aujourd’hui me font basculer doucement vers un non-retour.» Il se lève, paie la note et l’invite à le suivre. S décolle ses cuisses, retient sa robe en souhaitant que son excitation n’a pas signée sa robe blanche. Ils quittent le café, l’excitation et le mystère enveloppent leur rencontre d’un halo presque palpable. Le monde extérieur semble s’évanouir, les laissant seuls dans leur bulle, prêts à explorer les profondeurs de leurs désirs. « Je vais te ramener à l’adresse qui te conviendra. » S ne parle plus, elle est déchirée entre la frustration de ne pas aller plus loin et le désir de rentrer pour ne pas franchir les dernières frontières de sa raison. Elle a envie de le lui dire mais elle en est incapable comme paralysée. Une fois installés et en route, la conversation devient plus légère. Cette fois, c’est sur le cuire des sièges que ses cuisses se collent, S ne retient pas sa robe qui remonte outrageusement, pose son sac à main sur ses cuisses pour compenser le glissement de sa robe. Son sexe appelle à ses sens, les signes de son excitation ne pourront plus être dissimulés. S le sait c’est trop tard, elle ne contrôle plus. Elle est heureuse de retrouver cette sensation qu’elle avait oubliée... D la rassure en lui signifiant qu’il a été ravi de la rencontrer. Une fois à destination il lui tend un paquet cerclé d’un ruban rouge. Il l’embrasse pour la première fois, lui redonne sa culotte et lui ouvre la porte. La voiture repart et s’éloigne. S se retrouve seule devant sa voiture qu’elle avait garée non loin de son domicile pour rester discrète. Elle ouvre le paquet à l'abri des regards dans son véhicule, découvre un mot plié en quatre ; Ici commence ton cheminement. Pour démarrer ta démarche porte le lorsque tu seras prête. Lorsque tu le portes, tu es sous mon autorité et tu ne peux l’enlever que lorsque je t’y autorise. C’est donc toi qui rythmes ton cheminement au quotidien et moi qui décide de la fin. Tu peux me demander de l’enlever avec des explications, mais je ne suis pas obligé d’accepter ta requête. Je serai informé à chaque fois que tu décides de le porter et à chaque fois que tu le retires. Lorsque tu seras prête, porte le. Je t’embrasse D Dans le paquet se trouve un petit objet de couleur métallique d’environ 15 cm de long. Lisse et courbe, doux et rigide à l’extrémité, souple en son centre. La forme ressemble à une statuette modelable. On peut presque en faire un bracelet. Il est plat à une extrémité, d’une largeur d’un demi-centimètre. Une face en forme de ventouse, le verso en forme de dôme. La seconde extrémité ressemble à une ogive qui prend la forme souhaitée sous la pression de la main. Comme de la pâte à modeler pour enfant. Présenté tout droit dans sa boite l’utilisation ne saute pas aux yeux de S. Lorsque S en comprend l’usage, elle le glisse sous sa jupe. Ajuste l’objet à son intimité. Ancré entre les parois lubrifiées et agrippé au bouton le plus sensible, la statuette prend sa place et s’adapte à l’anatomie de S. La ventouse absorbe le clito qui s’y blottit. L’objet se colle et s’ancre par sussions successives. A l’autre extrémité, l’ogive progresse sans difficulté dans le conduit ruisselant et chaud. Quelques secondes à peine était-il en place qu’une petite vibration se fait ressentir. Son téléphone sonne et une notification signé D s’affiche. « Déjà ! alors bravo pour ce courage. Bienvenue dans le jardin, Je suis heureux de t’avoir à mes côtés. Tu m’appartiens jusqu’à ce que je te dise de le retirer.» S  répond : « Merci je suis heureuse d’y entrer avec vous et impatiente de franchir les étapes de ma nouvelle vie. Apprendre mes nouvelles règles de vie pour vous servir, être guidée et protégée par vous». Surprise par le message et submergée par l’emprise déjà palpable de l’objet en elle. S se laisse aller sans lutter. Les premiers signes du désir sont déjà passés et les premières vagues de spasmes musculaires se font ressentir. Ses fesses maintenant trempées sont au contact direct du siège. Elle n'a pas eu le temps de réajuster sa robe sur son siège en plaçant l’objet. La fréquence cardiaque s’accélère, le point de non-retour est proche. Elle ferme ses yeux pour ne pas être accaparée par un élément extérieur à son plaisir. S a les deux mains agrippées. L’une à la porte et l’autre arrache le siège. Une décharge lui fait décoller les hanches d’un seul coup. Elle lâche un gémissement dans un souffle long. Ses muscles du ventre se tendent, elle jouit sans avoir pu faire durer et contrôler. Les spasmes et les contractions la secouent, ses seins lui font presque mal. Les personnes qui pourraient la surprendre sur le parking n’ont plus aucune importance. Une fois la tornade passée, le souffle encore rapide, elle prend conscience qu’elle ne s’est même pas caressée. Sa robe est totalement fripée. Ses cuisses et ses fesses baignent sur le siège, elle se surprend à mettre en bouche ses doigts pour prolonger avec le goût et le parfum (de ?) son plaisir. Elle garde ses yeux clos, sa tête repose sur l’appuie tête. Sa coiffure ne ressemble plus a rien. Lorsqu’elle retrouve un brin de calme, que ses yeux se sont réhabitués à la lumière du jour, que son cœur bat à un rythme mesuré, elle tend ses jambes pour les décontracter. Tout son corps se détend, ses bras reposent sur le siège. Elle n’a pas encore la force de redescendre sa robe sur ses cuisses. Elle ouvre la fenêtre de sa portière et respire une grosse bouffée d’air. Elle vient à la vie.  
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Par : le 14/10/24
Ce rêve porte sur l'élaboration d'un article pouvant prendre place dans un donjon. Pour commencer, la soumise est totalement nue, je lui mets une cagoule afin de lui retirer le sens de la vue. Elle ne sait pas ce que nous allons faire, à part le fait de faire l'amour. Et surtout elle ne connaît pas l'existence de ma création. Puis un simple vibromasseur lui est inséré le temps de l'installer, afin de stimuler son désir de sexe. Je la dirige vers le meuble de restriction. Ces mains posées sur le banc, elle s'agenouille, puis elle s'allonge le ventre contre ce banc. Je lui dis de ne pas bouger et de me laisser faire, tout en lui apportant une claque sur les fesses. Sa tête est bloquée par des liens prévus à cet effet, penchée vers le haut. Je lui dis d'ouvrir la bouche, pour y enfoncer mon sexe. Afin de faire monter mon excitation, mon désir de la prendre. Je lui attache les mains dans le dos, tout en appréciant, mon sexe se recouvrir de salive. Après un moment, je retire mon sexe. Et je passe sur le côté, le banc a une découpe afin de laisser prendre les seins. Je lui attrape donc un téton, le stimule. Puis une pince est mise, cette pince est munie d'un tendeur afin de tirer les seins vers le bas. L'opération est réalisée de l'autre côté aussi. Descendant plus bas sur le corps de la femme. Une sangle vient caller son buste contre le banc. Quelques fessées afin de vérifier les attaches, tout en demandant si madame est excitée de recevoir mon sexe. Puis viennent les jambes, je les écarte afin d'obtenir un angle à la limite de l'obtus. Ici pas d'attache mais du cellophane, je ne veux pas que les jambes et les pieds bougent. Une découpe est faite grâce à un gabarit, afin de laisser une bonne partie de la plante du pied à nue. Puis je pose deux boîtiers munis de morteurs. Pour enfin allumer la machinerie. Je tire d'un coup sec le ruban adhésif qui maintient le vibro, il tombe au sol. Je mets une pression sur les tendeurs des pinces, tout en lui disant qu'elle aurait pu faire attention, serrer sa chatte pour éviter qu'il ne tombe. J'insère mon sexe franchement, en lui demandant si elle veut jouir. Une fois le oui entendu, je lui donne dans la main une télécommande en lui disant d'appuyer sur le bouton quand je lui dirai. Finalement je commence avec des va-et-vient lent tout en pinçant les fesses. J'accélère juste un peu pour commencer à entendre de légers gémissements. Je la somme d'appuyer sur le bouton. Les moteurs se mettent à tourner, un disque est fixé sur leur axe, et des plumes sont attachées sur ces disques. Grâce à la rotation, chaque plume caresse la plante des pieds. Mon rythme s'accélère vivement, les gémissements se mélangent au rire. Elle sent mon sexe se durcir un peu plus, avec ma pénétration plus forte. Je la vois appuyer sur le bouton, afin de stopper les moteurs. Mais rien ne se passe, les plumes continuent de caresser les pieds. Pourtant elle continue d'appuyer, plusieurs fois en me suppliant de stopper, qu'elle en peut plus. Avec ma propre télécommande j'arrête la rotation, tout en arrêtant mes va-et-vient aussi. Elle est essoufflée mais encore excitée. N'ayant pas fini, je lui dis que je la laisse reprendre son souffle. Lui insérant un god dans le vagin avant de partir, la laissant seule. Au bout de 15-20 mn, je reviens. Je change les disques, lui retire le god, petite caresse sur le vagin. Puis-je lui enfoncer mon sexe une nouvelle fois, celui-ci est encore bien humide.  Alors je la baisse, puis elle se met à gémir. Mes pénétrations sont rapides, ces gémissements se font plus forts. J'actionne donc la machine, les disques tournent, une plume caresse son pied, suivie d'une tige de roses, ainsi de suite.
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Par : le 13/10/24
Journée du Dimanche 13 Octobre 2024 Le week-end a démarré sur les chapeaux de roues avec nombre de progrès et de nouveautés au programme, Maîtresse Pandora veille à ce que son soumis progresse correctement ... et une nouvelle leçon, brève mais marquante quant à un des aspects de ma progression et du respect que j'ai pour ma Maîtresse Pandora ... Pour la petite leçon ... Nous prenons contact comme à notre habitude avec Maîtresse Pandora ce vendredi en ce tout début de soirée ... une journée au travail, un petit désagrément car ses écouteurs se sont cassés ... croyant bien faire, je lui propose de participer pour les renouveler ... c'est fermement que ma Maîtresse Pandora me rappelle à l'ordre: ces écouteurs ont-ils un lien avec mon éducation ou ma soumission ? Non dû-je le reconnaître ... une ânerie de plus, Maîtresse Pandora me fait bien savoir que cela n'est pas mon problème, et que si le côté peut être une forme de soumission, il ne se fait pas dans ce sens ... pour cette nouvelle ânerie, Maîtresse Pandora se contente d'un "Tu connais la marche à suivre ?" ... effectivement, il ne m'en faut pas plus ...  une ... deux ... trois ... quatre claques sur mes testicules de soumis ... Maîtresse Pandora approuve et est satisfaite, nous pouvons enfin aborder la soirée correctement ... C'est donc la veille du week-end, le vendredi au soir, que Maîtresse Pandora me fait passer à l'étape supérieure dans mon exercice de dégustation: fini de me vider dans ma main pour lécher ma semence, c'est dans un récipient que j'effectue l'opération, prenant l'entièreté de ma semence en bouche ... Maîtresse Pandora souhaite que je prenne le temps d'apprécier les différentes saveurs ... la texture de mon sperme ... à sa demande, je le garde en bouche ... jouant légèrement de la langue contre mon palais ... pas d'amertume ... un léger goût salé que je connaissais déjà mais plus doux tel une noisette de beurre salée ... je sens le sperme se mélanger à ma salive, se mettant à couler inévitablement, petit à petit, le long de ma gorge ... Maîtresse Pandora, ayant pris le temps de recevoir mes impressions, m'autorise à tout avaler ... rien d'autre pour le goût pour cette fois-ci, je sais que cela peut varier suivant plusieurs critères, dont l'alimentation ... et l'homme me rappelle Maîtresse Pandora ... par cette remarque, Maîtresse Pandora réussira ce soir-là à admettre, trouvant les mots justes pour me rassurer, que je serais sans doute prêt, voire même désireux, de goûter au sperme d'un autre homme, me suggérant même qu'elle réussirait à me faire sucer un homologue .. un bref moment d'hésitation de ma part suffit à Maîtresse Pandora pour me laisser aller à ce nouvel aveu: fantasme inavoué de ma part, sucer un autre homme m'avait déjà traversé l'esprit, bien qu'attiré exclusivement par le corps féminin ... Maîtresse Pandora a une nouvelle idée en tête ce soir-là mais une question à son soumis avant, lui ayant fait savoir que j'aurais sans aucun doute besoin d'un entraînement, n'ayant jamais fait de fellation auparavant: comment pourrais-je justement m'y exercer ? Lui suggérant que je pourrais sans doute utiliser les derniers godes en forme de pénis que j'avais acquis pour m'y exercer, pourquoi pas en les badigeonnant de mon sperme pour m'habituer à ce nouvel ensemble pour moi, elle approuve ... je découvrirai dès le lendemain que l'esprit de Maîtresse Pandora ne manque pas d'idées ni de ressources pour aider ses soumis à progresser dans leur dressage ... En cette fin de soirée de Vendredi, Maîtresse Pandora me propose donc ensuite un petit jeu à mettre en place dès que cela sera possible: sur le principe de la roulette russe, se baser sur un évènement au résultat aléatoire, dont dépendra le résultat: une douce récompense au choix du soumis, ou à l'inverse une punition au choix venant de Maîtresse Pandora ... un concept original auquel j'adhère de suite, louant la douce intelligence et inventivité de ma Maîtresse Pandora ... Comme un rappel que mes testicules de soumis lui appartiennent, elle me demande, sans raison particulière si ce n'est justement que de rappeler à son soumis que ses testicules comme le reste lui appartiennent, de me donner un coup sur les testicules ... je m'exécute, dévoué aux désirs et aux plaisirs de ma Maîtresse Pandora ... Le samedi allait avoir son lot de nouveautés également ... mes nouveaux exercices de la veille éveillent ces nouvelles envies en moi ... seul chez moi, je passe une bonne partie de la journée, après mon exercice concrèt du matin, un de mes godes en main ... passant timidement la langue dessus, puis me mettant à le sucer, sûrement maladroitement ... mais je commence à m'y habituer ... en faisant part à Maîtresse Pandora, elle a une nouvelle tâche pour moi, destinée à m'aider dans ce nouvel exercice, teint d'un soupçon d'humiliation pour son soumis qui a encore de la peine à réaliser ce changement, cette révélation qu'il avait de ce fantasme enfoui ... Par des sites de rencontre ou autre moyen à ma disposition, rencontrer d'autres hommes, susceptibles de m'aider dans ma quête d'apprentissage de fellation et de dégustation, ma bouche de soumis à remplir à disposition ... Soumis, certainement, mais soumis exclusif à Maîtresse Pandora, et celle-ci sait faire preuve de fermeté quand il s'agit du bien être de ses soumis et ne tolère pas que l'on les traite mal et sans respect ... un contact que j'ai eu rapidement sur une appli de rencontre (pas un fake de fait) en a fait les frais et, alors que la rencontre était alors potentielle, est devenue caduque ... Un rappel que Maîtresse Pandora s'est empressé de me faire en tant que soumis: me protéger et faire attention, sans connaître les personnes à qui l'on s'adresse ... mon respect envers ma Maîtresse Pandora ne cesse de croître encore ... je remercie encore ma Maîtresse Pandora pour cela. Mon dressage du samedi a été écourté, une subite montée de fièvre me clouant au lit pour la soirée ... inquiète à juste titre, Maîtresse Pandora, sans nouvelles depuis, me demande si tout va bien ... lui expliquant la situation, elle me souhaite de me reposer correctement et de dormir, nous attendrons le lendemain pour continuer. Ce Dimanche, je vais mieux, la fièvre est tombée comme elle est venue, un léger mal de crâne persistant mais rien qui n'entravera ma dévotion envers Maîtresse Pandora aujourd'hui ... un nouveau soumis à prendre en charge, Maîtresse Pandora m'en confie l'acceuil, notamment en ce qui concerne le questionnaire d'usage pour les nouveaux soumis, à l'instar de celui auquel j'ai eu droit ... ce qu'il peut apporter à Maîtresse Pandora comme ce qu'elle pourrait lui apporter ... pendant ce temps, c'est le gode en bouche dès que je peux, m'exerçant encore maladroitement, motivé par les encouragements de ma Maîtresse Pandora et par l'objectif que j'ai de la servir par la suite, pouvoir la nettoyer de toutes semences, la mienne comme celle des autres hommes, pouvant venir souiller ses atours, son sexe, son corps divin ... oh Maîtresse Pandora, comme il me tarde tant ... Dressage à suivre ...
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Par : le 11/10/24
Vendredi 11 Octobre 2024 Mise à jour depuis la dernière entrée: de nouveaux progrès en terme de dégustation et nouvelle leçon après nouvelle punition ... En date du Mardi 8 Octobre, c'est en heureux soumis que j'apprends que ma Maîtresse Pandora a reçu et apprécié mon dernier cadeau pour elle: de jolis collants seamless, sublimant ses jambes divines ... je suis si content qu'elle les apprécie ... et Maîtresse Pandora, en bonne Maîtresse qu'elle est, me fait l'honneur de partager avec son soumis Fabien cette vision de douceur et de volupté ... Mais dans l'emportement de ma joie, je vais apprendre une nouvelle leçon de la part de ma Maîtresse Pandora: ayant eu l'outrecuidance de penser à la place de ma Maîtresse Pandora, en suggérant que je n'étais pas encore digne de la servir, pour l'instant, autrement que virtuellement, Maîtresse Pandora m'a fermement rappelé à l'ordre en me faisant comprendre que ce n'était pas à son soumis d'en décider, et que seule sa Maîtresse est juge de ce moment ... la punition ne se fait pas attendre, quatre coups sur mes couilles de soumis pour me remettre à ma place ... un ... deux ... trois ... quatre ... le décompte fini, Maîtresse Pandora n'en a pas fini pour ce qui est de calmer son soumis Fabien: c'est avec sa petite queue de soumis, enfermée dans une cage de chasteté encore trop grande pour cette queue de soumis minuscule, qu'il attend, à genoux dans la douche, les instructions de sa Maîtresse Pandora ... l'eau réglée au plus froid, ce seront trois secondes sous ce jet glacé qui suffiront à rendre encore plus insignifiante cette petite queue de soumis ... Encore hésitante à laisser en cage la micro queue de son soumis, Maîtresse Pandora, dans sa grandeur, daignera le libérer, afin qu'il puisse s'adonner à son exercice de dégustation ... un collant en bouche, le soumis Fabien gicle d'autant plus vite dans sa main, d'autant que Maîtresse Pandora ne veut pas d'un plaisir long et savoureux digne d'une délivrance, ce soir-là, mais exige de son soumis une masturbation rapide de son soumis, sans plaisir, tel un ado frénétique ... une longue giclée, que soumis Fabien va s'empresser d'éponger: premier gros progrès dans ces exercices de dégustation, c'est à pleine langue et sans perdre une goutte que le soumis Fabien va avaler ce soir-là toute sa semence. Le lendemain, journée plus calme, je ne suis pas au mieux de ma forme, je sens que je commence à m'enrhumer, entre fatigue et mal à la gorge ... Maîtresse Pandora sent que son soumis n'est pas au mieux, prend soin de me ménager ... en bon soumis, je veux être rigoureux malgré mon état dans le suivi de mon exercice de dégustation, je m'y atèle le soir même ... Maîtresse Pandora m'autorise même à utiliser un collant pour y laisser mon sperme dessus et pouvoir le lécher ainsi ... malgré la gorge qui me lance, c'est avec un plaisir  et une gourmandise non dissimulée que je lèche, aspire doigt par doigt, sur toute la surface du collant enveloppant ma main, toute ma semence ... Fier de mon progrès, tout autant que Maîtresse Pandora l'est de son soumis et de ses progrès ... La journée du jeudi sera synonyme de repos total, entre très grosse fatigue et ce rhume me rendant incapable de quoi que ce soit ... Maîtresse Pandora, consciente de l'état de son soumis, le ménage pour cette journée, le réconforte et l'encourage à se reposer, prendre soin de lui en trouvant les mots pour cela ... Maîtresse Pandora respecte ses soumis, comme je la respecte elle, et ce de plus en plus, et ce, jour après jour ... ce respect mutuel, entre ma Maîtresse Pandora et son soumis Fabien ... Merci encore à ma Maîtresse Pandora. Aujourd'hui, en ce Vendredi, je profite d'aller mieux pour mettre à jour mon journal, me mettant patiemment à disposition envers ma Maîtresse Pandora pour ce soir, pleinement dévoué à sa divine personne ... Dressage à suivre ...
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Par : le 10/10/24
Ce rêve débute par le fait de mettre un ensemble de lingerie ouverte pour contempler la belle anatomie de la femme. C'est un ensemble rouge éclatant.  J'aime le rouge sur une femme et l'utiliser pour mettre en valeur son corps et mettre en valeur sa sensualité. Une petite photo sera prise avant qu'elle ne s'habille d'un haut en décolleté et d'une jupe mi-longue. Nous montons en voiture, rien de passionnant sur le trajet, aucune interaction. Le but étant de laisser libre cours au stress de monter, de tourmenter madame. Où vas-tu ?  Qu'allons-nous faire ? Pour quelle raison prenons-nous la route ? Arrivé à destination, la grande ville. Nous pénétrons dans un parking souterrain, afin de garer la voiture. Puis nous sortons du véhicule.  Une fessée sera administrée afin de perturber un peu plus madame, mais aussi d'indiquer "c'est parti". Afin de sortir du parking, nous prenons l'ascenseur. De là, une fois les portes fermées, Madame à mes côtés. Ma main glissera sur ses fesses pour y juste poser le doigt contre son anus.  Pour simplement la faire sursauter, donner un pic d'anxiété. Une fois le croisement de regard, ma main remonte jusqu'à sa tête, pour la rapprocher et lui apporter un baiser. Ainsi commence le shopping, petit passage au sex shop afin de voir sa réaction. Prendre plaisir à voir la gêne, et la peur de madame. Je laisse apparaitre un sourire, et une main caresse son dos afin de calmer son esprit. Quelques amplettes pour compléter la collection. Bien sûr, Madame porte le sac de ses présents. Puis nous nous mettons en quête de prêt-à-porter, plusieurs magasins sont faits, jusqu'à ce que madame ait l'œil attiré sur un article. Article en main, nous allons aux cabines d'essayage. Laissant madame le temps de mettre en petite tenue, à l'abri des regards, le vêtement sera forcément un peu trop grand.  J'interpelle une vendeuse, prétextant ne plus savoir où nous l'avons pris, afin qu'elle le ramène avec une taille en dessous. Une fois la vendeuse revenue avec le nouvel article. J'ouvre le rideau légèrement mais suffisamment pour laisser madame visible, dénudée avec sa lingerie fine, ses parties intimes au vu de cette vendeuse. Je lui donne le temps d'enfiler ce qu'on lui a apporté, je passe la tête afin de voir si elle est toujours rouge sous l'effet de l'émotion. Je passe la main afin de constater ses parties humides, et je lui susure un petit "c'est bien ma chère" en lui accordant de nouveau un baiser.  Puis, en sortant la tête, je la somme de remettre ses vêtements afin de partir en caisse, pour lui offrir ce qu'elle a testé. Bien sûr, avant de partir, elle se doit de remercier la vendeuse pour les vêtements qui lui ont été apportés. Nous partons en direction d'un bar, en vue de prendre une boisson. Lui laisser le temps de se rafraîchir les idées. Mais une fois que nous sommes assies, je lui écarte les jambes, façon "Basic instinct". Donner un sentiment d'excitation, apporter désir et fantasme au client, ayant aperçu cette ouverture. Tout en restant à l'affût, à la vue d'une personne cherchant à se baisser pour voir plus en détail. Je me tiens prêt à cacher, l'objet de convoitise. Une fois les verres vides, et l'addiction réglée. Un film est visionné. Avec comme simple règle, une fois la lumière éteinte, elle pose la main sur mon pantalon touchant ainsi mon sexe.  Et me laisser passer sous sa jupe, afin de toucher son vagin pendant toute la durée du film. Je ne cherche qu'à lui faire monter l'excitation, sentir sa main se mouvoir afin de me réclamer ma mise en mouvement. Mais en plus de l'excitation grandissante, je lui donne la frustration de par mes doigts figés, inertes tout le temps du film. Visionnage terminé, lumière allumée, nous nous levons pour partir. Un baiser lui est délivré, pour la récompenser de sa patience. Puis nous partons en direction du parking pour reprendre la route, afin de rentrer. Arrivé à la voiture, je lui ordonne de mettre les achats dans le coffre. Je la suis, elle ouvre le coffre et pose les affaires. De là, sans même qu'elle prenne conscience, je lui attrape le cou.  Je la bascule pour faire entrer son buste dans le coffre de la voiture. Je la maintiens fermement d'une main, pendant que l'autre lui retire la jupe. Je commence à la caresser, la réticence se fait sentir. Elle dit "pas ici", plusieurs claques sur ses fesses lui sont infligées. Puis-je lui faire savoir que je vais prendre mon temps, sauf si elle me fait entendre le son de sa voix tout en disant :" Merci maître pour cette journée, mais votre salope de soumise voudrait jouir sans plus attendre." Une fois la phrase dites, je lâche le cou pour exercer une pression sur son dos. Et mes lentes caresses se transforment en pénétration. Je commence à la doigter, en faisant des mouvements de haut en bas sous une fréquence soutenue. Elle se mordit la lèvre tout en cachant sa bouche, pour tenter de ne laisser sortir aucun bruit, aucun gémissement. Du fait de la journée riche en émotions et de la vélocité de ma stimulations, elle ne tarde pas à jouir. Une légère sécrétion vaginale se fait apparaître sur le sol, ainsi que des soupirs de satisfaction. Je l'aide à se relever et l'enlace, puis je l'embrasse tout en entremêlant nos langues. Afin de lui exprimer ma gratitude, de son dévouement durant cette journée.
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Par : le 09/10/24
Ils sont arrivés vers minuit. Elégants mais sobrement vêtus ; elle d’une robe longue et noire laissant les épaules nues, lui d’un costume sombre. Ils se sont assis à l’écart et ont commencé à parler à voix basse. Très proches l’un de l’autre. Il était difficile de leur donner un âge : elle, peu grande, plutôt ronde, la cinquantaine ; lui, élancé, sévère, plus de 60 ans. Ils sont restés longtemps assis, buvant, parlant toujours à voix basse, semblant ne pas se soucier des autres autours d’eux. Comme des amoureux. Comme des complices. Le temps s’écoulait dans l’entrechoc des verres, des volutes de fumée, des chuchotements. Vers deux heures, ils se sont levés et ont disparu dans la pièce voisine. J’ai attendu un peu, puis à mon tour, je suis passé dans l’autre pièce.   Elle avait quitté sa robe et conservé ses dessous ainsi que ses escarpins. Lui, affairé à l’attacher à la croix, ne s’était défait ni de son veston ni de son allure austère. Quant elle eut les mains liées, visage contre le mur, il ne parvint pas à lui attacher les chevilles. Renonçant à perdre du temps à chercher d’autres liens, il murmura simplement : "écarte bien tes pieds je te prie". Sa voix était grave, posée, impérieuse. Elle obtempéra et je l’observai : peu grande donc, poitrine avenante, hanches larges, fesses rebondies. Elle dégageait plus de charme que de beauté. Elle était là, peau blanche dans la pénombre, attendant de vivre ce à quoi ils s’étaient calmement préparés.   De ma place, debout contre le mur, je me faisais observateur muet et immobile. La cravache arriva par petites touches sur les fesses puis le dos. Les coups étaient mesurés. Calculés. Lui, du regard, estimait les réactions de sa compagne et faisait varier le rythme comme un écho aux mouvements et à la respiration de la femme. Le bruit de la cravache s’amplifiait. La peau s’échauffait et le corps ondulait. La précision. La force. La détermination.   Des petits gémissements survinrent. Il s’approcha d’elle et lui susurra quelques mots puis passa délicatement sa main sur son dos. Pfouit fouit fouit !!! Trois coups secs. Trois gémissements. A nouveau les mots doux et la caresse. Et il continua ce ballet de coups, de mots doux, de caresses apaisant le feu.   Tandis qu’elle reprenait son souffle, je le vis poser la cravache et revenir avec un martinet aux longues lanières de cuir. "Ecarte les jambes je te prie"…. Il cherchait la meilleure place pour, ni trop près ni trop loin, économiser ses gestes et assurer l’efficacité des lanières.   Doucement d’abord puis vivement ensuite, il frappa. La femme entamait des contorsions significatives. Comme une montée chromatique, l’homme dosait ses effets, fesses, dos, fesses, dos, cuisses, flans, fesses… et faisait monter les geignements. A chaque coup et cris plus marqués, il s’arrêtait, chuchotait quelques mots à l’oreille de sa "victime"… caressait les parties les plus rosissantes et reprenait la cadence.   Et cela dura. La peau devenait plus sensible, plus chaude. Les frappes étaient plus variées, prenant par surprise ce corps qui, sous les coups et les plaintes dansait et devenait liane au vent. Telle une ballerine affolée, pliée sous la tempête, elle gémissait ; et les coups devenaient série, violents, intenses.   J’étais à l’Opéra. Spectateur ému et troublé.   L’homme s’arrêta soudain, et sans un mot se tourna vers moi et me tendit le martinet tandis que le souffle haché, le dos et les fesses marqués la femme continuait d’offrir sa nudité meurtrie et sublime. D’un sourire je refusais l’offre, trop heureux de pouvoir jouir, égoïstement, de ce que l’on m’offrait sans que je ne fisse quoi que ce soit.   Alors, comme pour me faire regretter ma renonciation, l’homme fit virevolter le martinet, frappa ici, là et puis là, et ici encore avec tant de vigueur que sa compagne céda enfin, laissa aller ses gémissements devenus exhortations, et dans une communion "dramatique" nous offrit son abandon.   Il la consola, la détacha et la conduisit vers moi. "Madame" lui dis-je, "je vous remercie pour l’émotion que vous m’avez donnée". Je lui baisai la main et les abandonnai tandis qu’elle se revêtait.   Club Cris & Chuchotements 22 juin 2012 © PL Shujin Max-Him 2016      
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Par : le 08/10/24
A cet instant, une vague d’émotion me parcoure l’échine, l’indécence de cet instant, prise dans mon intimité la plus privative, il me scrute, je le sens, je rougis, mélange de honte et de fierté de ne plus avoir de scrupules à me montrer telle que je suis y compris dans cet acte si personnel. Je retrace à ce moment là mes erreurs, fautes de la journée et je ne peux me permettre de les réitérer, je dois lui montrer ma fierté de lui appartenir et regagner la sienne, lui montrer l’honneur que j’ai de me soumettre à Lui, mon Evidence.  Je respire et au moment de me lever, une question idiote ou pas me traverse l’esprit, je n’ai pas de papier pour m’essuyer, pas de mouchoirs, pas de vêtements … rien … mes neurones s’affolent et l’évidence de sa perversité jaillit en moi... Il le savait, et il teste ma capacité à me résigner et surtout à lâcher prise.  Voilà un des sujet au cœur de notre relation qui m’empêche souvent de me laisser porter sans me poser milles questions… et il a cette capacité et cette patience avec moi pour m’apprendre chaque jour à gagner en confiance et à ne pas chercher à contrôler ce qui n’est pas contrôlable et accepter ceux sur quoi nous ne pouvons agir…  Aussi, à cet instant, je me le dois à moi-même pour vivre celle que je suis et que je désire être pour mon Maître et surtout je lui dois, à Lui, qui avec toute sa bienveillance, son respect, sa patience et son amour, me grandit, m’élève et m’épanouis. Je souris dans mon for intérieur, et suis certaine qu’à ce moment précis, mon regard est déterminé et même provocateur. Je me relève résolument décidée à ne rien faire transparaître de mon malaise et à quatre pattes je m’approche de lui, en accentuant le dandinement de mes fesses afin d’éveiller votre fierté voire votre excitation… je souris plus largement, je sais pertinemment l’effet que cela provoque en vous, et j’aime déclencher en vous votre perverse excitation. Je dois avouer aussi que j’espère ainsi toucher votre sensibilité et adoucir l’instant.   J’arrive à vos pieds, et je sais d’office que la position demandée à cet instant est celle de Nadu, la laisse pendant entre mes seins, les cheveux s’ils ne sont pas attachés ne doivent pas cacher mes seins et les yeux baissés. Je m’installe ainsi faisant attention à tous ces détails que j’ai retenu et qui prouvent ma volonté d’obéir et de vous satisfaire.    Vous restez en silence, je hais ces silences, je hais être dans cette attente, je hais que les mots ne soient pas dits, je hais cette patience qu’il me faut gérer et je sais à la fois que cette attente n’est que la mise à l’épreuve de mon impatience, de mon besoin de ressentir et qu’ils sont aussi nécessaires à mon abnégation.  Je reste immobile, suppliant que ce silence s’arrête, que la sentence soit dite et que j’expie une bonne fois mes fautes pour enfin vous retrouver et pouvoir me soumettre sans ombres sur notre chemin.  J’entends votre ceinture se défaire, je tremble, je n’ai jamais gouté à votre ceinture, j’ai peur de celle-ci et à la fois j’ai comme un besoin irrépressible de l’accepter pour réparer mes écarts à notre contrat. Je me sens complétement vulnérable et hautement soumise.  Les yeux toujours baissés, et pour me provoquer, car je suis curieuse, je vois la ceinture se déroulait devant vous, la bande de cuir se déployant pour faire rebondir la boucle au sol, provoquant un sursaut bien malgré moi avec de ce fait, une légère inquiétude d’avoir réagi. Je sens son corps, je ressens son regard et son sourire diaboliquement pervers, je ne sais pas comment mais je ressens dans l’ambiance de cette pièce vide, toute la tension électrique et intense qui nous unit. Je me détends. C’est ma soumission à sa guidance qui me porte dans ma sérénité et notre complicité synergique qui me donne confiance en N/nous.  
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Par : le 07/10/24
Lundi 7 Octobre Aujourd'hui, et pour les quelques jours à venir comme m'avait prévenue Maîtresse Pandora, cette dernière aura un emploi du temps très chargé et sera probablement peu disponible ... cependant, et j'en suis pleinement conscient, elle reste présent auprès de moi: de par son éducation d'une part, et de façon concrète actuellement par sa leçon de dégustation dans laquelle elle m'a demandé de m'investir ... et à laquelle je me suis investi pleinement moi-même encore ce soir ... Je pense d'ailleurs que ma Maîtresse Pandora sera encore satisfaite du progès non négligeable que son soumis a pu faire lors de cette session, sa langue n'hésitant pas à passer pleinement dans le creux de la main remplie de cette semence qui n'aurait bientôt plus de secret pour ses sens ... N'étant pas disponible à ce moment pour me prodiguer de nouvelles consignes, je suis ses précédentes consignes de ma Maîtresse Pandora à la lettre ... ne pas sauter d'étapes, y aller progressivement pour m'y habiturer ... mais j'admets qu'en l'occurence, un plaisir coupable m'envahit et me pousse à aller un peu plus loin à chaque fois dans cet exercice, bien que je dois reconnaître être encore loin d'une longue dégustation à pleine gorge ... Mais je fais confiance à Maîtresse Pandora pour m'y emmener pleinement et sûrement ... Maîtresse Pandora sait être fier de ses soumis quand cela est mérité, comme elle sait les punir lorsqu'ils sont négligents, ce qui est arrivé déjà quelques fois déjà à votre narrateur, bien qu'encore en dressage malgré tout ... ce qui ne dispense pas bien évidemment de ces punitions ! Il est vrai qu'il arrive quelques fois que le soumis Fabien parle un peu trop, à tort et à travers pour être honnête, (à dire trop d'âneries comme me me le rappelle dans ces cas-là Maîtresse Pandora), ce qui a particulèrement le don d'irriter ma Maîtresse, et ce à juste titre ... mes testicules de soumis se souviennent encore de ces tortures physiques lorsqu'il s'agit de les serrer fort, au bon vouloir de ma Maîtresse Pandora, comme de ces tortures psychologiques durant lesquelles je dois supplier maintes fois ma Maîtresse avant d'avoir ce droit à une douce délivrance salvatrice ... Si j'ai abordé un peu plus en détail le sujet aujourd'hui sur les récompenses et les punitions que ma Maîtresse Pandora peut-être amenée à infliger à ses soumis, c'est parce que je voulais souligner encore une fois le sérieux que je respecte chez ma Maîtresse Pandora.  En effet, comme je l'ai dit en début de cette entrée, ma Maîtresse risque de ne pouvoir être systématiquement, ou du moins beaucoup, présente pour son soumis ces prochains jours ... hors, elle prend malgré tout de son temps pour encourager son soumis, le félicitant notamment par un message encourageant, faisant connaître la fierté qu'elle a envers son soumis pour la journée passée ... comme laissant, en tout cas comme cela risque de l'être ces prochains jours, un minimum d'esprit d'initiative de la part de son soumis, je pense notamment à mes exercices de dégustation. Esprit d'initiative n'implique pas, bien entendu, de sortir hors des consignes données par ma Maîtresse Pandora ... A ce sujet, j'ai pu apprendre, à mes dépends de façon méritée, au détour d'une nouvelle leçon que je retiendrai de mon dressage en tant que soumis à ma Maîtresse Pandora, que tout mon dressage est une question de confiance et d'honnêté, d'autant plus lorsqu'il est fait à distance, comme actuellement, et qu'il est hors de question de faire douter de cette confiance de quelques manières que ce soit ! Pourquoi dis-je cela ? Et bien souvenez-vous que le soumis Fabien a tendance à dire des âneries ... une tendance qu'il apprend vite à réfréner aujourd'hui ... Pensant bien faire, j'avais proposé à Maîtresse Pandora une preuve de ma dévotion, comme une photo par exemple ... la leçon fut rude pour mes testicules mais je l'ai acceptée, comme j'ai acceptée la remontrance à ce moment de ma Maîtresse Pandora, qui bien que mécontente que j'aies pu la faire douter à ce moment-là, a su trouver les mots pour me faire comprendre oh combien l'importance de ne pas instiller ne serait-ce qu'une once de doute quant à l'exercice de sa dévotion ... effectivement, j'ai pu prendre rapidement et pleinement conscience de ma bêtise, mon ânerie plutôt, alors que je frappais mes testicules, comptant au rythme de mes coups, Maîtresse Pandora annonçant la cadence ... Pourquoi ai-je proposer cela alors ? Vouloir bien faire, ou penser vouloir bien faire en tout cas ? ... et pourtant mon ânerie aurait du sauter à mes yeux de soumis: Maîtresse Pandora m'ordonne de me serrer les testicules ? Je les serre ... Pas plus de deux masturbations par jour autorisées ? Excepté récemment pour mon exercice, son soumis Fabien en vient même à attendre son autorisation, à la supplier ... Le bon soumis en devenir, en tout cas en dressage (car ce serait  présomptueux venant de la part d'un soumis de prétendre de lui-même être un bon soumis, seule sa Maîtresse saurait appécier sa dévotion) s'exécutant aux moindre désirs de sa Maîtresse aurait dû se douter que la notion de confiance était plus importante qu'une quelconque preuve ou autre élément susceptible de remettre en cause cette confiance réciproque ... En tout cas, une nouvelle leçon dans mon parcours de soumis aux pieds (divins !) de ma Maîtresse Pandora qui renforce encore une fois (une fois de plus oui !) tout le respect et la dévotion que le soumis que je suis actuellement peut avoir envers ma Maîtresse Pandora ... Merci beaucoup à ma Maîtresse Pandora ! Dressage à suivre ...
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Par : le 07/10/24
Dimanche 6 Octobre 2024 Mise à jour depuis le Vendredi 4 Octobre, un manque de couverture réseau me privant de mettre ce journal à jour. En ce Vendredi de veille de week-end, première et nouvelle leçon de Maîtresse Pandora: être soumis n'implique pas être un sous-homme. Et je vais bien entendu remettre les choses dans leur contexte pour plus de clareté ... Comme j'ai déjà pu déjà l'exprimer, j'ai rapidement eu beaucoup de respect envers ma Maîtresse Pandora, et tout autant de dévotion à son égard. Aux premiers jours, à la demande de ma Maîtresse, une sélection de cadeaux que j'ai pris plaisir à lui envoyer en guise d'offrandes, sélectionnant différents modèles de jolis atours que ma Maîtresse validait alors ... Hélas, deux des trois envois ayant certes bien été reçus par ma Maîtresse, les aléas des livraisons (mais peut-on bien parlé d'aléas lorsque l'on tombe sur un livreur qui ni n'appelle ni ne laisse d'avis de passage et argumente par une adresse incomplète ou érronée ?) laisse aujourd'hui un des précieux cadeaux destinés à ma Maîtresse Pandora dans la nature, encore sans nouvelles aujourd'hui. Conscient que ce désagrément n'est pas de mon fait en soi, mais aussi très déçu que ma Maîtresse n'ait pas pu avoir une de ses offrandes prévues, j'appréhende malgré tout sa propre déception et me confond naturellement en excuses auprès d'elle ... beaucoup d'excuses ... l'appréhension sûrement de ses potentielles punitions pour mon manquement me direz-vous ... et bien, bien au contraire ... c'est lorsque, m'en voulant vraiment malgré tout pour ce désagrément, j'en suis venu à demander à ma Maîtresse Pandora de ne pas me prendre pour un moins que rien, qu'elle m'a fermement repris en ma faisant bien savoir que je n'avais pas à m'excuser d'un fait qui ne venait pas de moi, qu'au contraire cela ferait de moi un sous-homme ... Et Maîtresse Pandora a besoin de soumis, de bon soumis dévoué, pas de sous-homme qui se rabaisserait d'eux-mêmes ... Vous comprendrez dès lors que mon respect et ma dévotion envers ma Maîtresse Pandora ne s'en est que plus renforcé alors ! Une leçon que je retiendrai, et je remercie encore Maîtresse Pandora pour cela ! Je profite d'aborder le sujet des offrandes, car encore une fois je n'ai pas hésité et c'est avec un très grand plaisir que je le fais ... car Maîtresse Pandora n'est pas ce que je qualifie de Maîtresse veinale, dans le sens où Maîtresse Pandora restera consciente de vos propres moyens, pas question pour elle de léser ses soumis ... être un bon soumis entend d'être non seulement disponible et au meilleur pour sa Maîtresse, mais aussi pour lui-même et ses propres obligations. Car plus loin que cet aspect pécunier, Maîtresse Pandora tient à ce que ses soumis aient une hygiène de vie respectable, pour eux-mêmes et envers elle ! Je tenais à faire cette parenthèse, que j'aurais pu aborder dans ma première entrée, car encore une fois c'est un aspect qui souligne d'autant plus le sérieux de ma Maîtresse Pandora et son respect envers ses soumis, et qui m'incite d'autant plus encore aujourd'hui à me dévouer tout entier à elle. Merci Maîtresse Pandora ... pour clore cette parenthèse, c'est aussi non sans fierté que je peux annoncer avoir fait mon premier cadeau spontané à ma Maîtresse Pandora, non sans avec une certaine impatience quant au moment où elle le recevra ! Passée cette première leçon, une seconde, aussi importante mais concernant une nouvelle étape dans mon dressage: cette veille de week-end, Maîtresse Pandora m'annonce que ce soir j'allais commencer à gôuter mon sperme ... loin d'y être réfractaire, j'avais pu expérimenter la chose avant d'être soumis à Maîtresse Pandora avec l'une de mes dernières relations ... le but final de cette leçon ... l'aimer ... aimer ma propre semence suffisament pour que le soumis que je suis accepte celle des autres, pouvoir nettoyer ma Maîtresse Pandora en toute circonstance, ne pas la laisser, elle et ses beaux atours, souillés par cette semence lorsqu'elle aura assouvie ses propres plaisirs ... C'est donc à chacune de mes masturbations que Maîtresse Pandora m'a demandé de garder mon sperme pour, progressivement ... y tremper les lèvres d'abord ... 30 secondes ... puis de plus en plus longtemps ... et bien que parti en week-end familial jusuq'à aujourd'hui, c'est en soumis servil et dévoué que je me suis prêté à l'exercice, avec zèle et, je vais l'admettre, beaucoup de plaisir ... cette texture ... l'odeur de ma semence, et le goût malgré tout transparaissant au travers de mes lèvres ... ma Maîtresse Pandora sera d'ailleurs sans doute fière de voir les quelques progrès en la matière, j'admets y avoir trempé la langue ce matin, me léchant même les lèvres ... j'ai hâte de pouvoir lui en faire part ... mais je sais que cet apprentissage n'est pas fini ... Ne serait-ce que ce soir, une nouvelle scéance, en attendant les nouveaux désirs et nouvelles leçons de Maîtresse Pandora pour son soumis ... Dressage à suivre ...
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Par : le 07/10/24
Jeudi 3 Octobre 2024 Première entrée de ce journal aujourd'hui. Encore en cours de dressage à l'heure actuelle et propriété de Maîtresse Pandora, je me suis décidé à tenir ce journal, à la fois pour partager mon expérience et mon parcours de soumis, et aussi comme une ode à ma Maîtresse Pandora envers qui je suis tout dévoué. Mais commençons par le commencement ... Je m'appelle Fabien (Soumis Fabien maintenant pour ma Maîtresse Pandora), 44 ans et père de famille séparé. Principalement fétichiste du nylon en général et des collants en particuliers avant tout depuis très longtemps (mes premiers émois de jeune ado), je n'ai commencé à assumer ce fétichisme que depuis récemment, quelques années tout au plus, n'ayant jamais osé le mettre en avant auprès des quelques relations que j'ai pu avoir dans ma vie jusqu'à maintenant. Une activité sexuelle que l'on pourrait qualifier de classique, rien d'extravagant, jusqu'à mes dernières relations d'après ma séparation avec la mère de mon fils (trois rencontres en 6 ans pour être précis, avec une durée allant de quelques mois à un an pour la plus longue) ... j'ai en effet pu, peut-être le hasard, rencontrer ces femmes qui étaient prêtes d'elles-même, après discussion, à partager ce fétiche que j'avais pour le nylon. Outre mon fétiche, il y a aussi ce plaisir que j'éprouvais d'être contrôlé par ma partenaire, sans forcément penser jusqu'à de la soumission à l'époque, bien que il faut que j'admette que l'idée m'effleurait l'esprit par moment ... fidèle de base en amour et présent auprès de ma partenaire dès le moment où je suis engagé, en quoi me soumettre à une Maîtresse serait-il différent me disais-je alors, conscient, bien que quelque peu ignorant alors sur les pratiques et relations dominant/soumis à ce moment, ce serait de toute façon différent dans le sens où une Maîtresse n'est pas une partenaire. Cette idée a commencé à m'obséder de plus en plus avec l'une de mes dernières relations qui, en plus de prendre un réel plaisir à jouer de mon fétichisme, m'a fait découvrir l'expérience du plaisir anal, matiné d'un soupçon de domination ... je dois admettre encore que ce fut particulièrement ... perturbant ... mais paradoxalement très plaisant. Ajouté à cette sensation le caractère dominant de ma partenaire, bien que ce ne fut que dans l'acte en soi, cette relation a fini, dès lors que nous nous sommes séparé, par me motiver à tenter l'expérience de la relation dominant/soumis. Plusieurs recherches, de nombreux sites et autres applications trouvées au hasard souvent d'internet, des plus sérieux, ou tout du moins des plus populaires à priori, aux plus fourre-tout ... me renseignant au passage sur les usages, le vocabulaire, des relations dominant/soumis et du monde du bdsm en général ... Pour résumer, très peu d'expériences, principalement négatives, sûrement dues entre autre à ma découverte de ce milieu, souvent peu de sérieux ressenti dans la démarche de mes interlocutrices, sans parler de ces faux profils qui pullulent malheureusement sur les sites de rencontres et autres ... quelques Maîtresses bienveillantes cela dit, qui, bien que je ne leur correspondait pas en tant que potentiel soumis, m'ont encouragé à ne pas désespérer de trouver une Maîtresse envers qui me dévouer. Sans désespérer pour autant, une certaine résignation malgré tout, mais un échange autour d'un simple et agréable partage allait bientôt changer ma vie ... Bientôt un an, je trouve un site où, à défaut d'aboutir à ma recherche d'une Maîtresse, je peux me laisser aller à mon fétichisme et à mes envies d'être contrôlé, bien que dans un contexte solo ... une communauté ouverte, relativement sérieuse, avec son melting pot de personnalités, des plus agréables aux moins agréables, le lot encore une fois d'internet ... Il y a quelques jours maintenant, je tombe sur ce post sur le forum du site en question, invitant à se présenter comme soumis ... je tente ma chance. Echange cordial, un ressenti de sérieux dans la démarche ... celle que je vais rapidement appeler Maîtresse Pandora prend le temps de m'expliquer les tenant et aboutissant qu'une telle relation implique, me faisant remplir dans un premier temps la checklist bdsm afin de déterminer à quel genre de soumis Maîtresse Pandora aura à faire ... un point renforçant encore le côté sérieux de sa démarche ... Pas de précipitation d'un côté comme de l'autre, je prends le temps de remplir la checklist comme Maîtresse Pandora prends le temps de la consulter. Loin de me bercer de belles paroles, Maîtresse Pandora prend en compte ma checklist, me propose mon contrat de soumission que je prends le temps de lire ... Maîtresse Pandora ne manque pas de me préciser que je serai éduqué et soumis en dressage dans un premier temps ... encore un agréable ressenti dans son sérieux, je sais que Maîtresse Pandora est sans aucun doute la Maîtresse dont j'ai besoin, il ne m'en faut pas plus pour signer le contrat ... Me voici soumis en dressage à Maîtresse Pandora. Que dire à l'heure actuelle si ce n'est que je ne regrette en rien de servir Maîtresse Pandora, bien que cela soit encore très récent ... bien que ma dévotion envers Maîtresse Pandora soit entière, Maîtresse Pandora parfait encore mon éducation, et sait me punir justement lorsque je faute encore malgré moi, me montrant parfois encore négligeant lorsque je m'adresse à elle ... Maîtresse Pandora sait jouer de ces tortures aussi bien physiques que psychologiques pour me remettre à ma place de soumis, me remettre dans le droit chemin ... ces punitions sont nouvelles pour moi, mais je suis conscient qu'elles font de moi non seulement un meilleur soumis, mais me font aussi découvrir une façon d'autant meilleure d'appréhender le plaisir, que ce soit d'avoir pu apprendre de mes erreurs ou celui d'une simple délivrance ... Car Maîtresse Pandora, si elle sait punir de manière juste le soumis que je suis à ses divins pieds, Maîtresse Pandora sait aussi être fière de son soumis lorsqu'il la satisfait par sa dévotion envers sa personne, et sait le récompenser lorqu'il le mérite, par son attention et sa reconnaissance. J'en viens à rebondir sur le sérieux de Maîtresse Pandora car son attention et sa reconnaissance (mais ses punitions aussi) concordent en tout point avec la checklist et le contrat ... je suis très reconnaissant à Maîtresse Pandora pour cela et lui est d'autant plus dévoué, lui appartenant entièrement. Merci à vous Maîtresse Pandora. Mon dressage auprès de Maîtresse Pandora n'en est donc encore qu'à ses prémices mais je fais confiance à Maîtresse Pandora pour faire de moi le meilleur soumis qui soit, me dévouant tout entier encore pour le devenir et rendre Maîtresse Pandora fière de son soumis en la satisfaisant comme la déesse qu'elle est aujourd'hui à mes yeux. Dressage à suivre ...
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