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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Je t'avais fait la proposition et tu as accepté. D'ailleurs, qu'as tu refusé jusqu'à présent ? Mieux, que n'accepterais-tu pas ? Surtout quand tu te lâches. C'est moi qui n'insiste pas trop, bien que mon imagination s'envole...
Tu l'avais choisie parmi tes connaissances. Ton contraire, une fille un peu ronde, s'est laissé tentée par curiosité, tu as su la convaincre. Le soir même elle est notre invitée. Tu l'aimes ton amie, elle est souriante et bien dans sa peau. Nous l'avions choisie pour que ce soir là elle te finisse en te faisant l'amour. Je suis impatient, la bouteille de whisky circule, ta boisson préférée, qui ne fait pas grossir d'après toi. Un verre ou deux et je te reproche ta conduite, ton inconstance. Je t'entraine aussitôt par les cheveux vers le lieu de ta punition malgré tes suppliques en veillant à te faire revivre les cauchemars de ton enfance.
J'attache tes poignets, tes bras sont tendus par une corde dont chaque extrêmité est fixée un angle de la pièce. Sur la pointe des pieds tu vacilles pour te maintenir en équilibre. Une seconde corde entoure ta taille. J'aime quand ton bas ventre est serré. Parfois j'ajoute un livre, ou une petite bouteille d'eau pour accentuer la pression, à te couper le souffle, je serre autant que je peux. Un bandeau couvre tes yeux, il ne faut pas que tu anticipes la sangle qui te frappe. Pour ton amie c'est une initiation, sa première soirée BDSM il faut la rassurer, lui garantir que tu ne chercherais pas à te venger. Ainsi je lui promets que tu vas ignorer la main qui t'inflige la douleur, en même temps cela m'offre un excuse pour forcer les coups : je les mets sur le compte de la maladresse de notre novice. Incidemment, j'attends de cette soirée qui s'annonce longue que ton amie se laisse aller, profitant de l'impunité...
Tu t'es offerte. Le jeu a commencé. Pour que tu ne repères pas l'auteur de tes tourments, j'indique à ton amie de tourner autour de toi, tandis qu'elle abat le martinet ou la sangle. Nous entamons tous les deux notre ronde cruelle, les coups pleuvent en cadence. On prend notre plaisir ton amie et moi, cela dure, tu cries. Les coups pleuvent en cadence, on n'arrête pas, sur les cuisses et les fesses, les reins, les seins... Aucun centimètre de ta peau n'est épargnée pendant que tu bascules la tête en arrière.
Quand ta peau est déjà bien colorée, ton dos et ton ventre striés de lignes rouges, je passe la main entre tes jambes, je remonte lentement le long de ta cuisse, un doigt puis plusieurs, le mouvement qui te donne du plaisir. Tu ne mets pas longtemps à t'abandonner, fontaine, tes jambes sont parcourues de tremblements. Tu réclames à boire, le whisky te soutient.
C'est le moment d'ajouter le baillon, tu protestes car pas moyen alors de prononcer le safe word ! -mais c'est le jeu, nous en avons un autre de secours, convenu lorsque je t'avais expliqué la soirée dans son intégralité : une paume ouverte. Mais là, aucun secours à espérer du voisinage si nous poussons le jeu... Tu es à notre merci. Nous continuons, le temps défile tu essaies de plus en plus d'éviter les coups. Aucune chance : l'un ou l'autre de tes bourreaux te te redresse à force de coups. Ton verre n'est pas loin, on veille à ce que tu ne manques pas de remontant. Tu es sublime sous la douleur, ta tête se renverse quand c'est trop violent.
Avec le baillon tu ne peux exprimer comment cela te fait du bien. Je prends parfois sur moi pour te tromper davantage d'accuser ton amie quand je porte un coup bien appuyé. Je peux détacher ton bandeau, tu roules des yeux effarés : « on peut tout supporter, dis-tu souvent, avec un peu de tendresse ». Je te donnes les bisous que tu réclames. Pas beaucoup. On te détache enfin, tu n'as pas fait le code, c'est toujours ainsi, tu ne plies pas et je capitule, à un moment, je ne saurais dire pourquoi, je lève la main tu as eu assez.
La fin de la soirée, alors que tu es à pamoison, est un peu décevante. Tu t'offres à ton amie qui t'entreprend avec le god pendant que je te réveille par mes morcures. Mais ton amie est trop molle quand il faut te bousculer. Aors, pourtant accablée de fatigue, c'est toi qui prend l'initiative et lui donnes du plaisir. Tu ne laisses jamais l'ennui contaminer nos soirées. Tu fais à la place des autres leur travail.
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