La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 14/05/24
"Semita Voluptatis" est un livre qui se démarque par une approche rafraîchissante et profondément humaine de la relation BDSM. Écrit du point de vue d'un dominant, ce livre de Paul Fontaine offre une perspective rare et enrichissante sur la dynamique de pouvoir entre un Maître et sa soumise. Le récit, narré avec une plume à la fois élégante et incisive, explore les émotions complexes et les dilemmes moraux du Maître, un personnage que les lecteurs trouvent souvent "perturbant, troublant et excitant". À travers ses yeux, nous découvrons non seulement la puissance de la domination mais aussi la vulnérabilité inhérente à celui qui la détient. Ce dominant, loin d'être le stéréotype du tyran froid, se révèle être un personnage riche en émotions, partagé entre force et douceur, contrôle et doute. La soumise, décrite comme forte et déterminée, est loin d’être une victime passive. Elle est le pilier sur lequel repose l'équilibre de leur relation, apportant confiance et consentement, des thèmes chers aux lecteurs de ce genre. Le livre "a le mérite d’être clair" et offre une "immersion passionnante dans le monde du BDSM", comme le souligne un des commentateurs, ajoutant une couche de réalisme et d’authenticité à cette exploration de la soumission et de la domination. Les scènes détaillées de BDSM sont décrites avec un équilibre parfait entre intensité et respect, évitant l'écueil de la vulgarité tout en restant fidèle à la réalité de ces pratiques, ce qui fait de "Semita Voluptatis" un "voyage inconnu" qui provoque une "irrépressible envie de savoir jusqu'où ils vont aller". La relation entre le Maître et sa soumise est peinte avec une "belle plume" qui capture leur interaction complexe et leur croissance mutuelle. Cela est souligné par le fait que, selon les lecteurs, ce livre change la donne par rapport aux narrations typiques, offrant "une pépite dans le domaine du BDSM". "Semita Voluptatis" s'avère donc être un livre captivant et provocateur qui ne manquera pas de séduire celles et ceuxen quêtee d’une histoire où la psychologie des personnages est aussi importante que les actes qu’ils commettent.  
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Par : le 12/05/24
Sur les plateformes de dédiées à la rencontre comme Tinder ou partiellement dédiées à la rencontre comme notre site BDSM.FR, tout à chacun a pu constater le déséquilibre marqué entre le nombre de femmes et le nombre d'hommes. Ce déséquilibre impacte lourdement l'expérience des utilisateurs, hommes comme femmes.. Ce problème n'est donc pas cantonné à Tinder, mais c'est un symptôme généralisé sur toutes les plateformes de rencontres. Certains nouveaux membres de BDSM.FR s'en plaignent de manière assez critique et voir de manière acerbe comme si nous étions responsables et coupables de la disparité de nombre entre les femmes et les hommes sur le site (il n'y a pas une semaine sans qu'on se fasse littéralement insulter par le biais du formulaire de désincription). Dans le cas de Tinder, Nicolas Kayser-Bril et Judith Duportail ont effectué un test, il y a quelques années, et le résultat de l'expérience est à peine surprenant et en tout cas très significatif. L'expérience de Judith et Nicolas sur Tinder A des fins expérimentales les deux enquêteurs ont voulu voir "ce que ca faisait" d'être du sexe opposé sur l'application phare de la rencontre en ligne, Nicolas, s'est ainsi créé un profil féminin sur Tinder, et a rapidement dû fermer son compte, véritablement submergé par les sollicitations tournant parfois assez vite à l'agressivité. Judith, quant à elle, a constaté un manque de sollicitation sur son profil masculin, à l'inverse de ses expériences habituelles sur Tinder ou elle avait du succès, mettant en lumière que l'expérience entre un homme et une femme est radicalement différente en fonction du sexe. En effet, selon leurs recherches, le taux de match est de 50 % pour les femmes contre seulement 2 % pour les hommes sur Tinder. Causes et conséquences de cet état de fait Sur-sollicitation des femmes : les femmes sur les plateformes de rencontre sont souvent sursollicitées à un point tel qu'elles peuvent se sentir harcelées. Ce phénomène n'est pas seulement inconfortable; il peut conduire à jusqu'à des sitations réelles de cyberharcèlement. Frustration des hommes : les hommes, confrontés à un faible taux de réponse, peuvent ressentir une grande frustration. Cette situation est exacerbée par le modèle économique de Tinder, qui encourage les hommes à acheter des fonctionnalités supplémentaires pour augmenter leur visibilité, sans pour autant que les résultats soient à la hauteur des espérences que la monétisation fait naître. Conséquences : les femmes deviennent plus sélectives n'ayant que l'embarras du choix et voulant s'épargner les plus "collants" des hommes, et en arrivent juger de manière expériditive les dizaines (voire centaines) de solicitations qu'elles recoivent, tandis que les hommes peuvent se sentir floués et devenir agressifs face aux échecs répétés au quotidien (en ayant pourtant parfois bourses déliées). Et BDSM.FR dans tout ça ? BDSM.FR, comme tous les sites permettant l'interaction homme/femme et le contexte "Rencontre" pour bon nombre d'utilisateurs/utilisatrices, nous avions consience de cette problématique dès la création du site en 2012 et avons fait dès la genese ce que nous pouvions pour "soulager" les dames, tout en restant gratuit pour les hommes. Ce système repose depuis 2012 sur une prise de contact (demande d'ami) avant de pouvoir échanger, et sur un volontairement bridé (court) message introductif, pour que les dames est assez vite des éléments pour se faire une première impression sur leur correspondant (ne serait-ce pour voir les hommes qui font l'effort de personnaliser leur demande en quelques mots). Voici ainsi comment nous abordons la situation depuis 2012 (putain, 12 ans !): Gratuité, non discrimination par l'argent : BDSM.FR est un site entièrement gratuit qui ne repose pas sur un modèle économique poussant à l'achat de visibilité ou d'avantages supplémentaires. Chaque utilisateur, indépendamment de son genre, a les mêmes chances de réussite à partir de ses qualités intrinsèques (plutôt qu'à partir de son compte en banque), sans coût supplémentaire. Respect et sécurité : nous avons mis en place des mesures strictes pour éviter le harcèlement et assurer un environnement le plus sûr possible pour tous nos utilisateurs et surtout utilisatrices. Nous nous efforçons au quotidien, d'écarter les malfaisant(e) le plus rapidement possible, les fondateurs sont en cela bien aider par une équipe de modérateurs bénévoles, que nous ne remercieront jamais assez. Favoriser le dialogue et la convivialité : en offrant des espaces publics pour que les utilisateurs et les utilisatrices puissent se "vivre" pour se découvrir sans nécessairement encore avoir "matché" (demande d'amitié aboutie, sur BDSM.FR), nous encourageons une communauté basée sur le respect mutuel et l'ouverture. BDSM.FR se veut bien plus qu'une plateforme de rencontre; mais à l'ambition d'être un espace où les individus peuvent discuter, apprendre et explorer en toute sécurité et sans engagement. L'expérience de Tinder des deux journalistes montre clairement les limites et les défis des plateformes de rencontre traditionnelles. Sur BDSM.FR, nous nous efforçons de créer une alternative à la disparité homme/femme en nous efforçant à ce que chacun puisse se sentir valorisé et respecté. Nous invitons nos utilisateurs à contribuer à cette communauté, tout en profitant d'une expérience si possible la plus positive et la plus équilibrée, en espérant que certains puissent se rencontrer, s'il le souhaite, dans de bonnes conditions. Voir l'article sur Huffing Post A découvrir, le livre "L'Amour sous algorithme" de Judith Duportail Judith Duportail, est une journaliste qui, suite à une rupture amoureuse, décide de s'inscrire sur Tinder pour se distraire et reprendre confiance en elle. Alors qu'elle se laisse emporter par la frénésie de l'application, échangeant des textos avec une multitude d'hommes et profitant de l'attention qu'ils lui portent, elle découvre par hasard que Tinder utilise secrètement des données personnelles pour attribuer une note de « désirabilité » à ses utilisateurs. Cette révélation la choque profondément, car cela signifie que l'application manipule les rencontres en classant ses membres sans leur consentement. À travers son récit autobiographique, Judith partage non seulement les détails de son enquête, mais aussi ses expériences personnelles et émotionnelles, illustrant les impacts psychologiques des mécanismes de l'application de rencontres. Le livre offre ainsi une perspective unique sur la manière dont les technologies de rencontre influencent la séduction et les relations amoureuses, tout en mettant en lumière les enjeux de pouvoir et de domination, particulièrement en ce qui concerne la place des femmes dans ces dynamiques. Acheter ce livre
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Par : le 10/05/24
Née en 1941 en Ardèche, Xaviere a connu les affres de l'orphelinat dès son plus jeune âge, une épreuve qui marque profondément son écriture et sa perception du monde. Privée de ses parents et confrontée très tôt aux rigueurs de la vie, elle s'installe à Paris où elle commence à travailler dans des night-clubs. Cette période de sa vie, entre paillettes et ombres, lui confère une connaissance intime des marges et des interstices sociaux où se débattent ceux que la société préfère souvent ignorer. En fréquentant les bas-fonds parisiens et en côtoyant des destins brisés, Xaviere s'arme d'une plume et d'un regard qui ne cherchent pas à embellir la réalité, mais à la révéler dans toute sa cruauté. Ces expériences deviennent le terreau fertile de sa carrière littéraire qu’elle entame avec audace et détermination. Son œuvre majeure, "La Punition", publiée en 1971, est un cri du cœur et de la révolte. Le livre raconte l'histoire d'une prostituée punie pour son lesbianisme et son refus de se soumettre aux désirs pervers de certains clients. Avec une narration poignante et une finesse psychologique, Xaviere offre un témoignage poignant sur la condition des femmes exploitées et marginalisées. L’impact du livre est tel qu'il devient rapidement un best-seller, se révélant être une œuvre incontournable pour comprendre les violences infligées aux femmes dans des contextes de grande précarité. Le réalisateur Pierre-Alain Jolivet adaptera ce roman au cinéma et  captura l'essence brutale et la poésie sombre de l'œuvre de Xaviere, contribuant ainsi à élargir encore plus son audience et son impact. Dans "La Punition", Xaviere nous plonge dans les abysses sombres de la condition humaine à travers le prisme déchirant de la prostitution et de la punition auto-infligée. Le livre révèle avec une pudeur inattendue les horreurs auxquelles sont confrontées les protagonistes, enfermées dans un hôtel miteux de Lyon. La protagoniste principale, poussée par les circonstances au-delà des limites de la résilience humaine, incarne à la fois la victime et la révoltée. Ce récit, écrit au début des années 1970, bien que court (moins de 100 pages), est dense et intense. On en ressort avec des sentiments mitigés, de par la difficulté à s'immerger dans l'expérience psychologique des personnages et par le un style descriptif parfois un peu trop extrême. Mais la puissance du témoignage écrit, par certains autres côtés avec une retenue contraste fortement avec la violence des événements qu'il dépeint. La manière dont Xaviere présente ces femmes, en particulier Gloria, soulève une indignation profonde et une empathie pour "les autres, toutes les autres", souvent invisibles et silencieuses. Le style de Xaviere, mêlant brutalité et subtilité, frappe le lecteur tel un coup de poing. Le livre est un uppercut littéraire, mettant en lumière des vérités souvent occultées par la société (surtout si l'on se replace dans le contexte de l'époque). "La Punition" n'est pas seulement un roman, c'est un appel à reconnaître et à répondre à des souffrances souvent ignorées ou mal comprises. Dans ce style littéraire qui n'épargne souvent pas la noirceur, Xaviere parvient à faire résonner une note d'humanité, nous rappelant que chaque page de ce livre est un miroir de la réalité vécue par beaucoup, trop souvent reléguée aux marges de nos consciences. (Chronique rédigée suite à un conseil de lecture de BEAST MASTER)
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Par : le 05/05/24
. Sentir l'étirement, le pincement, la pression.. Du léger picotement, à la douleur stridente.. De la respiration haletante, à la retenue de ne pouvoir hurler.. Jamais plaisir plus grand ne m'a permis de me sentir aussi bien, possédée par la vie qui m'étreint. Calomniés par l'effleurement des caresses des hommes, évoquant en eux ma douceur, et honorer un idéal de noblesse qui les incombe.. Ces mamelons, ne sont auréolés que par la disgrace d'être triturés et malmenés. Me sentant frustrée d'être à chaque instant responsable de veiller sur eux, seules mes pinces, mes ongles, et la douce vision horrifique des poids lourdement portés par des inconnues sur internet, instiguent encore en moi un sentiment de réconfort.. Face à l'incompréhension d'une femme qui n'obtient pas ce qu'elle a envie et besoin. En soi : Pas grand chose. Un quotidien qui tourne à l'obsession, de s'infliger une punition à s'exploiter soi-même, Et ne prétendre qu'à l'espoir qu'ils servent sans ménagement les pulsions d'un mâle, aiguisés par ses instincts apte à les utiliser naturellement. Une ferme prise en main de ma poitrine, compressée à l'extrême, voulant sentir mes tétons se tordent, se contorsionner, devenir vulnérables.. sous l'exercice de doigts habiles et sévères. Contraindre ce barrage, et le soumettre à la pression de pouvoir enfin céder.. Dans un geyser hors de contrôle, jaillissant de mes paupières gonflées, honteuse d'obscénités et de redevabilité, de pouvoir libérer dans des spasmes grotesques et inarrêtables, ce canal onctueux et généreux d'entre mes jambes. M'arracher une complainte lancinante, où la douleur et le plaisir ne font plus qu'un, et où je ne m'appartiens plus.   La suite à vivre sous mon appartenance, ChatMOnYou. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction. https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
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Par : le 04/05/24
Je suis une vieille grosse salope très gourmande pour qui la luxure est une passion. Je suis à nouveau seule. Je recherche en priorité des Hommes entre 20 et 85 ans, endurant, dominateur.  Les photos sont indispensables afin d'effectuer le premier tri. Si ce monde vous attire, si vous avez l'âme d'un dominateur ou si vous l'etes déjà, venez me prendre  Je suis une véritable garage à bites vide couilles dans tous ses trous : mise à disposition totale possible, ouverte à tous et à toutes bites, seuls ou en groupes constitués pour tous plans tous lieux même Xtreme.... blacks, creampie, bareback, etc... Je ne veux que du réel pour des moments très chauds............  Hygiène bien évidemment respectée Bises libertines de sa soumise PS :  IMPORTANT ! URGENT ! En 1er je veux un photographe pour faire un album de moi, de mes trous pleins et vides 2èm - La vieille grosse chienne que je suis, recherche un Professionnel équipé et vicieux pour tatouages piercings branding scarification - Médecin pervers pour bien être  inoculée et défoncée - et un Maitre chien ou animal.
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Par : le 23/04/24
  Dans la masse des romans érotiques, "Pour me baiser, demandez-lui !" d'Edouard Offershare sort du lot son audace et son authenticité. Le livre plonge les lecteurs dans la vie intime de Lola et de son partenaire, explorant les thèmes du candaulisme, de la domination, et de lasoumission féminine avec une sincérité troublante. D'emblée, le livre interpelle par son titre provocateur et son contenu qui reflète les nuances complexes d'un couple qui explore des pratiques sexuelles hors normes. Le récit est se fait vrai et intense, c'est un témoignage qui oscille entre la fiction romancée et la réalité crue. Cette dualité captive et invite à la réflexion sur la nature des relations et des désirs humains. La prose d'Offershare est directe, parfois crue, parfois tendre. Elle peut être saluée pour son absence de clichés et sa capacité à immerger complètement le lecteur dans l'expérience des protagonistes. Le récit est un mélange d'introspections profondes et de descriptions explicites qui ne manquent pas de provoquer des réactions variées. Un autre lecteur souligne que le livre se "lit facilement sans marquer les esprits", ce qui pourrait suggérer une accessibilité qui peut soit plaire soit décevoir selon les attentes en matière de littérature érotique. Ce livre illustre également un amour peut-être inconditionnel, où voir son partenaire avec d'autres est perçu comme un acte d'amour ultime et sublime. Le candaulisme est traité non pas comme un simple fantasme, mais comme un véritable mode de vie qui défie les conventions sociales et personnelles. Avec "Pour me baiser, demandez-lui !", Offershare ne se contente pas de raconter une histoire; il invite ses lecteurs à questionner leurs propres perceptions de la fidélité, de l'amour et du désir. Ce roman, véritable fenêtre ouverte sur le monde souvent méconnu : le candaulisme, est un incontournable pour quiconque s'intéresse à l'évolution des relations amoureuses et des pratiques sexuelles dans la littérature contemporaine. (Livre découvert grace à Mme Angie)
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Par : le 12/04/24
Aujourd'hui, là où quelques jours, je me vois dans une situation lumineuse. Je m’aperçois que cette lumière que je me fixais était bien éphémère, je broie du noir, j'exclame et je crie en silence avec délicatesse ma noirceur qui me hante par dépit de ne pas pouvoir la faire subir à celle qui m’offrira avec délice son univers.  J'en ai fini d’être emprisonné de mes chaînes qui retiennent mon âme à s’adonner aux pensées des plus pervers et sadique soit-il.  Il est l’heure que cet oiseau noir vole à la recherche de sa proie auquel il prendra plaisir de la meurtrir de coups de griffes corps et âme jusqu’à la dernière goutte de son sang.  Passant stratégiquement dans la pénombre pour rejoindre le royaume de la lumière ou toute autre divinité qui serait bonne à visiter.
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Par : le 07/04/24
. Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle : À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question : Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ? Je suis jeune. Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts. M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien. J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger. Je suis des études. Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape". Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion. À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi. J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser.. Ce mec / cette meuf est trop beau / belle ! J'ai juste envie de m'éclater et de voyager. Je suis jeune. D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française (Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE). Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes.. Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ? La réponse est non. Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême. L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses. Cependant.. Il existe un petit pourcentage..   Je suis moins jeune que j'en ai l'air. - Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là. - J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale. - J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique. - J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents. - J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer ! - J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans. Je suis moins jeune que j'en ai l'air. À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains. Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement. Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité. Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins. Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter. Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM". Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau. Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail. Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte. Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose.. Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" : - Être Dominant. - Ne pas être Dominant. Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle". Plusieurs états d'esprits en résultent : Je ne suis pas dominant. - Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin. - Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là ! - Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante. - "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller. - "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ??? - "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda) - "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?" Je ne suis pas dominant.   Je suis Dominant. - Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance. - Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres. - "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter." - "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?" - "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?" - "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM." - "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner." Je suis Dominant.   Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge. Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez. Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences. Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM. Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence". Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas). En conclusion : La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..) Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent. Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux. Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ? La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ? Allez savoir.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître ! https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.  
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Par : le 03/04/24
[Ceci est le troisième volet d'une histoire en plusieurs actes. Honnêtement, ça vaut la peine de commencer par les premiers épisodes ! Vous les trouverez ici: https://www.bdsm.fr/blog/8314/Canis-lupus-[1]/ et là: https://www.bdsm.fr/blog/8329/Canis-Lupus-[2]/  J'avais prévu que ça ne fasse que trois épisodes, et voilà que mon histoire n'est toujours pas finie, au contraire! Celui-ci est presque comme un petit intermède avant de revenir à un peu plus d'action... J'espère quand même qu'il vous plaira. Bonne lecture !] ​​​​​​​ Alors voilà, pendant presque trois ans, j’ai été sa chienne. Vraiment, je ne sais pas comment le dire autrement, j’étais son animal apprivoisé, son amoureuse domestique, une bête domptée. J’ai continué ma propre vie, bien sûr, mais en parallèle, petit à petit et de mon plein gré, je me suis mise à l’écoute des désirs de cet homme, de mon Homme, et j’ai cherché à les satisfaire pleinement. J’ai fini par venir habiter chez lui, ce qui a été beaucoup plus fluide que je le pensais sur le plan professionnel. Et j’étais sa servante, son amie soumise, son amante animale. Ce qui était précieux pour moi, c’est qu’il n’avait pas besoin d’esclave : il s’occupait très bien tout seul de son existence, aussi bien sur le plan matériel que dans son équilibre mental. Aussi, lorsqu’il me demandait quelque chose, quand il exigeait de moi un comportement, c’était presque plus dans mon intérêt : je sentais bien que les services que je lui rendais étaient superflus pour lui, et qu’ils étaient plutôt un prétexte à l’intensité de notre relation. Bien sûr, ma présence lui était précieuse, essentielle, ce qu’il ne manquait pas de me rappeler, et notre lien nous donnait du sens à tous les deux. Mais à aucun moment, aussi loin que je me souvienne, je n’ai eu le sentiment qu’il profitait de la situation, alors même que vu de l’extérieur, il en était clairement maître et bénéficiaire. Si je me suis soumise à lui de la sorte, c’est donc déjà parce qu’il en avait le pouvoir, la stature, parce que je comprenais qu’il serait un bon maître. Mais surtout, je l’ai fait à cause d’un désir qui brûlait au fond de moi, et que notre relation asymétrique venait attiser et canaliser. Je voulais sentir mon énergie bestiale, réhabiliter mes pulsions profondes, que j’avais appris à réprimer depuis ma petite enfance. Mais je souhaitais aussi les maîtriser, et m’en sentant initialement incapable, je trouvai incroyablement sécurisant de les remettre entre les mains d’une personne qui ne s’en laisserait pas effrayer, qui au contraire comprendrait la valeur de cette offrande. Et c’est exactement ce qui s’est passé pendant mon dressage, mon éducation. Car c’est bien ainsi qu’il faut appeler ce processus, en arrivant dans sa vie je n’étais qu’un amas de désirs et de comportements désordonnés. Il m’a appris, avec patience et intransigeance, à faire le tri dans tout ça, à sentir monter des actions instinctives, et à laisser un petit espace à l’intérieur de moi pour décider si je souhaitais ou pas m’y engager – pour vérifier aussi, si cela serait conforme aux règles qu’il avait établies pour moi. Ça a commencé par de toutes petites choses, des petits rituels qu’il a instaurés. Par exemple, je devais le regarder commencer à manger avant qu’il m’autorise à entamer mon repas, et ce petit décalage me mettait en contact avec mon désir de me rassasier, et ma capacité à me retenir – tout en réaffirmant l’autorité qu’il avait sur moi, sans avoir à rien forcer. Je peux même dire que, passée une réticence initiale, j’aurais aimé aller plus vite dans le processus de ma soumission. Ma position d’obéissance nourrissait en moi une libido insatiable, piquante, brutale. Le voyant se détendre sur le canapé après avoir travaillé, il pouvait m’arriver d’être soudainement prise de l’envie de me tortiller, nue à ses pieds, et de renifler l’odeur de son sexe avant de l’engouffrer dans ma bouche. Mais même cela m’était interdit : je devais attendre que l’initiative vienne de lui, toujours. Mon enthousiasme dans la sexualité était le bienvenu, mais son désir devait primer sur le mien. Lorsque je dérogeais à une règle, il ne se faisait pas prier pour me châtier cruellement, avec amour pourtant. C’est là peut-être la principale différence qu’il y eut entre mon éducation et celle de sa petite chienne, Allkö, qui m’avait laissé une si forte impression lors de notre première rencontre. Elle était douce, folle et affectueuse, et je l’ai vite considérée comme une compagne, une sœur d’apprentissage. J’ai aimé sa disponibilité indéfectible, son sérieux pendant les jeux. J’ai passé des nuits lovée nue contre ses poils, j’ai envié sa chaleur omniprésente et son odeur bestiale. Elle semblait pouvoir offrir bien plus que moi à l’homme que nous aimions toutes les deux. Avec elle, il faisait preuve d’une patience infinie, et lui dédiait un temps spécifique pour des apprentissages, éprouvants mais toujours atteignables. Surtout, il s’attachait beaucoup à la rassurer dans les situations stressantes et la récompenser pour ses bons comportements. On pourrait dire qu’il créait ainsi un conditionnement, qu’il ancrait des habitudes ou des réflexes, mais je pense au contraire qu’il l’amenait en quelque sorte à réfléchir, à prendre du recul vis-à-vis de ses instincts. Avec moi, même s’il employait des méthodes similaires, il usait aussi de la badine, du martinet et de la fessée. Il m’obligeait à me déshabiller et à l’attendre à genoux, jambes légèrement écartées et tête baissée. Si j’avais fauté, je devais porter un cilice sous ma jupe, pendant toute une journée de travail. Et même si je mis un peu de temps à le comprendre, je sais aujourd’hui que ces punitions, ces sévices, sont un honneur qu’il me faisait. Déjà, parce qu’il y prenait du plaisir, je sentais nettement son désir gonfler quand il me ligotait, me fouettait. J’ai souvent su me réjouir et me satisfaire simplement de ça : ma soumission et ma souffrance le faisaient bander, c’était plus qu’il n’en fallait pour me rendre heureuse de les endurer. Pourtant il y avait aussi autre chose : s’il maniait les impacts, les liens et l’humiliation, c’est aussi parce qu’il savait que j’étais capable de comprendre, de relier les punitions qu’il m’infligeait avec les comportements que j’avais eus, de dépasser la peur et la souffrance pour les transformer en obéissance, en connexion, en amour même. En cela, peut-être plus qu’en toute autre chose, j’étais humaine, et ses châtiments étaient une manière de reconnaître et d’honorer mon intelligence. Et puis il y avait le sexe. C’est peu dire que j’ai aimé baiser avec lui, me faire prendre, pénétrer, posséder. J’ai joui de la brûlure de son sexe dans le mien, après le feu des lanières de cuir. Le tréfonds de mon corps a vibré, alors que ma langue goulue sur ses tétons lui extorquait un râle. J’ai imploré qu’il daigne transpercer mon cul, après avoir hurlé de douleur au travers du bâillon. Il m’a laissé ruisselante, turgescente et frustrée, éprouvant mes liens les yeux bandés, sans savoir quand la délivrance d’un orgasme me serait offerte. Je sais que jamais personne ne me fera plus l’amour comme ça, comme un Maître, un Dieu, un amant miraculeux. Il m’a offert, par ce biais-là aussi, de connaître la puissance de mon corps, l’étendue de mon pouvoir physique et spirituel contenu dans ses cordes et suspendu à son dard.
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Par : le 27/03/24
Au cours des dernières décennies, l'intérêt pour les love dolls (poupées silicone & Latex) a connu une croissance exponentielle à travers le monde, marquant une évolution significative dans la manière dont la société perçoit et interagit avec ces compagnons artificiels. Jadis reléguées aux marges de la culture populaire et souvent entourées de stigmatisation, les love dolls ont progressivement gagné en acceptation, à mesure que les avancées technologiques ont amélioré leur réalisme et leur fonctionnalité. Cette transformation n'est pas seulement le fait de l'innovation, mais reflète aussi un changement dans les attitudes sociétales, avec une reconnaissance croissante de la diversité des besoins et des désirs humains en matière de compagnie et d'intimité. Dans ce contexte, le DollForum émerge comme une ressource incontournable, offrant un espace où la passion pour les love dolls et la quête d'informations se rencontrent. Ce forum anglophone s'est imposé comme une communauté de référence, où amateurs, curieux, fabricants et revendeurs convergent pour partager des conseils, des expériences et des connaissances. Que vous soyez un collectionneur chevronné à la recherche de la dernière innovation dans le domaine des love dolls ou un nouveau venu curieux de comprendre ce monde fascinant, DollForum vous accueille avec une mine d'informations très complète et une multitude d'espaces de discussion dédiés à chaque aspect de la passion pour les love dolls. L'existence et le succès du DollForum témoignent de l'importance grandissante de ces partenaires artificielles dans la vie de nombreuses personnes. Le forum sert non seulement de plateforme d'échange et de soutien pour ceux qui partagent cet intérêt, mais il agit également comme un vecteur de normalisation et de démystification, en ouvrant des discussions honnêtes et respectueuses sur un sujet encore souvent tabou. En fournissant un accès direct aux fabricants, ainsi qu'un espace pour les avis de consommateurs et des articles de fond, DollForum se positionne au cœur de l'écosystème des love dolls, facilitant une meilleure compréhension et une appréciation accrue de ces formes uniques de compagnie.  À la découverte de DollForum DollForum se distingue dans l'univers des love dolls par son histoire riche et sa mission centrale, qui consiste à offrir une plateforme d'échange et d'information dédiée à ces compagnons uniques. Né de la passion d'une communauté de niche, ce forum a rapidement évolué pour devenir la principale ressource en ligne pour tout ce qui concerne les love dolls. Dès ses débuts, DollForum s'est fixé comme objectif de créer un espace sûr et accueillant où les amateurs de love dolls, qu'ils soient novices ou experts, pourraient se rencontrer, partager des conseils, des critiques, et des histoires personnelles, contribuant ainsi à une meilleure compréhension et acceptation des love dolls. La mission de DollForum dépasse le simple partage d'informations techniques ou de nouveautés produit. Elle englobe la volonté de construire une communauté solidaire, où les membres peuvent discuter librement de leurs expériences, poser des questions sans crainte du jugement et explorer les divers aspects de la possession d'une love doll. En outre, le forum s'engage à promouvoir une image positive des love dolls, souvent mal comprises par le grand public, en mettant en lumière leur rôle dans la fourniture de compagnie, de confort et même d'art. L'importance de la communauté anglophone dans l'échange d'informations et d'expériences sur DollForum ne saurait être sous-estimée. En rassemblant des membres de divers horizons culturels et géographiques, le forum bénéficie d'une richesse d'opinions et de perspectives. Cette diversité enrichit les discussions, permettant aux membres de découvrir des utilisations, des histoires et des pratiques variées liées aux love dolls, qui pourraient rester inconnues dans des communautés linguistiques plus restreintes. La langue anglaise, servant de lingua franca, permet à DollForum de transcender les barrières linguistiques, facilitant ainsi un partage global des connaissances et des expériences. Grâce à sa communauté active et engagée, DollForum s'est établi non seulement comme un lieu d'échange d'informations pratiques sur les love dolls mais aussi comme un espace de soutien émotionnel et social pour ceux qui trouvent dans les love dolls bien plus que de simples objets : des compagnons, des œuvres d'art, et parfois même des catalyseurs de bien-être personnel. Ce faisant, DollForum contribue de manière significative à élargir les horizons de ses membres, tout en démystifiant et normalisant les love dolls dans la société plus large. Les espaces de discussion de DollForum DollForum offre une variété d'espaces de discussion qui répondent à une large gamme d'intérêts et de besoins liés aux love dolls. Chacun de ces espaces apporte sa propre valeur à la communauté, enrichissant l'expérience globale des membres. CoverDoll : Un magazine vivant CoverDoll se distingue comme une caractéristique unique et vibrante de DollForum. Ce magazine en ligne, intégré au forum, se consacre à la mise en avant des love dolls à travers des photographies artistiques et captivantes. Les publications de CoverDoll, régulières et attendues, offrent aux membres et aux visiteurs un regard raffiné sur l'art de la photographie de dolls, mettant en lumière la beauté et la diversité des dolls à travers le monde. L'objectif de CoverDoll va au-delà de la simple exposition de photos ; il s'agit de célébrer l'expression artistique, de partager des histoires visuelles qui captivent et inspirent, et de reconnaître les dolls comme des œuvres d'art en elles-mêmes. Cette publication régulière enrichit la communauté en offrant de nouvelles perspectives sur les love dolls, tout en fournissant une plateforme pour les photographes de talent au sein de la communauté. Espace pour les fabricants américains et européens DollForum propose également un espace dédié aux fabricants américains et européens de love dolls, offrant aux membres un accès direct aux créateurs de certaines des dolls les plus réalistes et innovantes du marché. Des noms tels que 4Woods Europe et ABYSS Creations – RealDoll y sont régulièrement mentionnés, ces entreprises étant reconnues pour leur excellence dans la conception et la fabrication de dolls. Cette section permet aux membres du forum de poser des questions directement aux fabricants, de s'informer sur les dernières innovations et de recevoir des conseils d'experts sur le choix et l'entretien de leurs dolls. L'interaction directe avec les fabricants enrichit l'expérience utilisateur, en fournissant des informations précieuses qui ne sont souvent pas disponibles ailleurs. Autres sections à visiter Le DollForum ne se limite pas uniquement à des espaces pour les amateurs et les fabricants de love dolls. Il étend son offre à plusieurs autres sections, toutes cruciales pour enrichir l'expérience de sa communauté. Ces sections offrent des perspectives variées et répondent à des besoins spécifiques au sein de la communauté des love dolls. Shop Lovedoll Adult Parmi les espaces significatifs, le Magasin Lovedoll Adulte tient une place particulière. Cette section est spécialement conçue pour les amateurs de poupées gonflables, offrant une plateforme où les membres peuvent explorer des produits, partager des recommandations et discuter des dernières nouveautés dans le monde des poupées gonflables. L'importance de cet espace réside dans sa capacité à rassembler une communauté souvent négligée ailleurs, offrant un lieu d'échange dédié où les utilisateurs peuvent partager leur passion, leurs conseils d'achat, et leurs expériences avec des produits spécifiques. Espace pour les revendeurs certifiés TDF L'Espace pour les Revendeurs Certifiés TDF est une autre section essentielle, soulignant l'engagement du forum envers la qualité et la fiabilité. DollForum reconnaît l'importance de la confiance dans les transactions, particulièrement dans un marché aussi spécialisé que celui des love dolls. Les revendeurs souhaitant être certifiés par TDF doivent passer par un processus de vérification rigoureux, garantissant ainsi que seules les entreprises légitimes et de bonne réputation soient recommandées aux membres. Cette exclusivité de DollForum, proposant des sites vérifiés en France, aux États-Unis, et au Japon, assure aux membres une tranquillité d'esprit lorsqu'ils cherchent à acheter une love doll. Avis sur les fabricants et de revendeurs Enfin, l'espace dédié aux Avis sur les fabricants et les revendeurs constitue une ressource précieuse pour les membres, leur permettant de partager et de découvrir des avis sur la qualité des modèles de dolls et les services des revendeurs. Cette section participe à la transparence essentielle dans le domaine des love dolls, permettant aux utilisateurs de prendre des décisions éclairées basées sur les expériences d'autres membres de la communauté. En offrant un espace pour que les avis, qu'ils soient positifs ou négatifs, soient exprimés librement, DollForum contribue à élever les standards de qualité et de service au sein de l'industrie des love dolls. Chacune de ces sections joue un rôle vital dans la communauté DollForum, offrant aux membres une gamme complète de ressources pour enrichir leur expérience avec les love dolls. Que ce soit à travers le partage d'expériences, la recherche de produits de qualité, ou la navigation parmi les revendeurs fiables, DollForum se positionne comme une plateforme incontournable pour tous les aspects de la culture des love dolls. L'Expérience utilisateur sur DollForum L'expérience utilisateur sur DollForum est façonnée par une communauté dynamique et engagée, où les interactions entre membres, fabricants, et revendeurs forment le cœur vivant du forum. Cette synergie unique entre différentes parties prenantes contribue à créer un environnement riche en informations, en soutien, et en inspiration pour tous ceux qui partagent une passion pour les love dolls. Interaction entre les membres, les fabricants, et les revendeurs L'un des aspects les plus remarquables de DollForum est la facilité avec laquelle les membres peuvent interagir directement avec les fabricants et les revendeurs. Cette proximité offre une opportunité inégalée d'obtenir des réponses directes à des questions techniques, de recevoir des conseils personnalisés, et de se tenir au courant des dernières innovations et offres dans le monde des love dolls. Les fabricants et revendeurs, de leur côté, bénéficient d'un canal direct pour comprendre les besoins et préférences de leur clientèle, ainsi que pour présenter leurs nouveaux produits ou services. Les discussions sur le forum englobent une variété de sujets, allant des détails techniques et de l'entretien des dolls à des réflexions plus larges sur la place des love dolls dans la société. Les membres partagent également des critiques de produits, des photos, des histoires personnelles, et des conseils, créant ainsi une bibliothèque vivante de connaissances et d'expériences. Cette inter Pourquoi DollForum est devenu incontournable ? DollForum s'est érigé en véritable pilier pour la communauté des amateurs de love dolls, offrant bien plus qu'un simple espace de discussion. L'ampleur des informations disponibles, couplée à la qualité exceptionnelle de sa communauté, en fait une ressource incontournable pour quiconque s'intéresse de près ou de loin au monde des love dolls. Quantité d'informations disponibles La richesse informationnelle de DollForum est sans égale. Les membres ont accès à une variété impressionnante de contenus, allant des revues détaillées de produits, des guides d'achat, à des conseils d'entretien, en passant par des discussions sur les dernières innovations technologiques dans le domaine des love dolls. Ce forum abrite également des espaces dédiés où les membres peuvent échanger directement avec des fabricants et des revendeurs, leur permettant de poser des questions spécifiques et d'obtenir des réponses personnalisées. Cette mine d'informations fait de DollForum un outil indispensable pour prendre des décisions éclairées, que ce soit pour un premier achat ou pour enrichir une collection existante. Qualité de la communauté Au-delà des informations, ce qui rend DollForum véritablement spécial, c'est sa communauté. Les membres, allant de novices curieux à des collectionneurs aguerris, partagent une passion commune qui transcende les frontières géographiques et culturelles. L'atmosphère du forum est marquée par le respect, l'entraide, et une volonté partagée de s'enrichir mutuellement à travers des échanges constructifs. Cette ambiance bienveillante encourage les membres à partager librement leurs expériences, leurs réussites, et parfois leurs difficultés, créant ainsi un espace de soutien et de partage unique. Si vous n'êtes pas anglophone, à défaut, vous pouvez échanger dans notre groupe Poupée Silicone & Latex ou sur notre forum en français dédié aux love dolls en français
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Par : le 19/03/24
Pas toujours évident de s'y retrouver dans le BDSM quand on débute. La question de la relation Dominant/soumise (D/s) et de ses ressorts occupent une place centrale, témoignant d'une recherche constante d'équilibre entre pouvoir, plaisir, et consentement mutuel. Cette quête d'harmonie dans l'intimité repose sur des fondations de confiance, de respect, et d'une communication sans faille. La relation D/s, loin d'être une simple dynamique de domination, se révèle être un échange profondément intime et respectueux, où chaque partie trouve son épanouissement dans le rôle qui lui est dévolu. Cette exploration du BDSM, parfois perçue avec scepticisme par le grand public, mérite une attention particulière pour en dévoiler les aspects les plus enrichissants et les moins compris. "Comment débuter une relation D/s: BDSM - Domination - Soumission", d'Alexandre Contart, se présente comme un guide  pour les novices désireux de s'y retrouver dans ce qui ressemble parfois à des méandres. A.Contart, fort de son expérience personnelle et de son engagement quotidien , offre une perspective à la fois pédagogique et empathique sur la mise en place d'une relation D/s saine et épanouissante. L'ouvrage aborde avec délicatesse et précision les fondamentaux de cette dynamique, en soulignant l'importance de la communication, du consentement, et du respect mutuel. Idéal pour les couples cherchant à explorer de nouvelles dimensions de leur sexualité ou à vivre pleinement leur identité, ce livre se veut un compagnon de route pour ceux qui aspirent à une relation authentique et décomplexée. Ce livre ne manque pas de pertinence et constituera une bonne source d'information pour les personnes explorant le BDSM. Il est clair, accessible et plutôt juste en matière de conseils prodigués. La force de cet ouvrage réside dans sa capacité à démystifier la relation D/s, en la débarrassant des idées reçues pour révéler sa véritable nature : une connexion profonde, basée sur la confiance et le respect mutuels. Le livre est a  salué pour son approche réaliste et sa qualité rédactionnelle, rendant les concepts accessibles sans jamais simplifier outre mesure la complexité des dynamiques D/s. Il apparaît comme une bonne introduction pour ceux qui, débutants ou curieux, aspirent à comprendre et à intégrer les principes du BDSM dans leur vie . "Comment débuter une relation D/s" se révèle donc être une lecture bien utile, offrant des clés pour un épanouissement personnel et partagé dans le cadre d'une relation D/s, soulignant l'importance de l'authenticité, de l'amour et du respect dans toute démarche BDSM. Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 11/03/24
Dans la quête de compréhension et d'acceptation des diverses expressions de la sexualité humaine, le BDSM occupe une place à part, qui si elle a l'attrait du mystère a à souffrir aussi de bien des préjugés. Historiquement marginalisées et mal interprétées, les pratiques  BDSM  ont longtemps été bien mal considérées (dans tous les sens du terme). Pourtant, au-delà des apparences et des idées reçues, ces pratiques révèlent une complexité et une profondeur qui méritent d'être explorées et comprises dans leur intégralité. Le BDSM, dans son essence, est un échange de pouvoir consensuel, où les participants négocient des dynamiques de domination et de soumission dans un cadre sécurisé et respectueux. Cette négociation repose sur une communication ouverte, le consentement éclairé et une confiance mutuelle, éléments fondamentaux pour une expérience satisfaisante et enrichissante pour toutes les parties impliquées. Contrairement aux perceptions courantes, le BDSM n'est pas uniquement axé sur la douleur ou la domination, mais sur l'exploration des limites physiques, émotionnelles et psychologiques, dans le but de renforcer les liens entre partenaires et de favoriser une plus grande intimité. Cette exploration des limites et de la dynamique de pouvoir nécessite une compréhension approfondie des besoins, désirs, et limites de chacun. Elle demande également une capacité à naviguer dans ces espaces avec soin, éthique et responsabilité. C'est dans ce contexte que "L'art de dominer" de Dossie Easton prend toute son importance. L'ouvrage propose un cadre réfléchi et éclairé pour aborder les relations de pouvoir érotiques, en mettant en lumière les nuances et les complexités du BDSM. Il s'adresse à ceux qui sont curieux de cette pratique, ainsi qu'à ceux qui cherchent à approfondir leurs connaissances et à affiner leurs compétences dans l'art de la domination et de la soumission. L'art de dominer" de Dossie Easton constitue une excellente approche. L'auteure ne se contente pas de tracer les contours d'une pratique  ; elle plonge au cœur de la complexité et de la beauté inhérente aux relations de domination et de soumission, offrant aux lecteurs un guide à la fois philosophique et pratique. Ce premier volet est destiné entièrement à à la domination (le second ouvrage "L'art de se soumettre" est lui, ça alors, dédié à la soumission)  Le livre dépasse les stéréotypes et les simplifications excessives. Easton démystifie l'idée réductrice selon laquelle la domination serait synonyme de tyrannie ou la soumission de faiblesse. Au contraire, elle révèle comment ces rôles peuvent être source d'empowerment et de croissance personnelle, soulignant la distinction cruciale entre "prendre" le pouvoir et "se voir confier" le pouvoir dans un cadre de confiance et de respect mutuel. Au fil des pages, "L'art de dominer" aborde avec clarté et profondeur les différents aspects qui constituent la base d'une relation BDSM saine : la communication, le consentement, la négociation des limites, et l'importance du debriefing après les sessions. Easton insiste sur le fait que ces éléments ne sont pas seulement des prérequis à une pratique sécuritaire du BDSM, mais qu'ils sont également fondamentaux pour renforcer la connexion émotionnelle et psychologique entre les partenaires. L'ouvrage se distingue par son approche pédagogique, guidant les novices à travers les premiers pas dans l'univers du BDSM, tout en offrant aux adeptes plus expérimentés des réflexions et des techniques avancées pour enrichir leur pratique. Que ce soit à travers la discussion des jeux de rôle, des scénarios de domination et soumission, ou encore de l'importance des aftercare, "L'art de dominer" se révèle être une ressource précieuse, soulignant la diversité et la richesse des expériences que le BDSM peut offrir. Enfin, l'auteure ne néglige pas les aspects éthiques et moraux inhérents au BDSM, confrontant les lecteurs aux questions de responsabilité, d'éthique du consentement et du respect des limites. Ce faisant, elle positionne "L'art de dominer" non seulement comme un guide pratique mais aussi comme une réflexion morale sur la nature du pouvoir, de l'amour et de la confiance dans les relations humaines. Avec "L'art de dominer", Dossie Easton livre donc bien plus qu'un simple manuel ; elle offre une invitation à repenser la manière dont nous comprenons et engageons les relations de pouvoir dans un contexte érotique, en mettant en lumière le potentiel de croissance, de découverte et d'intimité qu'elles recèlent. C'est un ouvrage indispensable pour tous ceux qui aspirent à explorer les profondeurs de leurs désirs et à tisser des liens plus authentiques et épanouissants avec leurs partenaires. Après une lecture approfondie, il est manifeste que cet ouvrage se démarque car il se fait véritable ressource pour quiconque s'intéresse à la dynamique de la domination et de la soumission dans le cadre du BDSM. À travers ses pages, Dossie Easton transcende la simple explication des pratiques BDSM pour toucher à l'essence même des relations humaines, enrichies par un échange de pouvoir consensuel et réfléchi. L'auteur parvient à déconstruire les mythes et préjugés qui entourent souvent le BDSM, le présentant non pas comme un ensemble de pratiques marginales ou déviantes, mais comme une forme riche et variée d'expression relationnelle et érotique. Sa capacité à rendre ces concepts accessibles sans jamais simplifier à l'excès témoigne d'une réelle maîtrise du sujet. Un aspect particulièrement appréciable de l'ouvrage est d'insister sur l'importance du consentement, de la communication et du respect mutuel. L'auteure souligne régulièrement par l'exemple que ces principes ne sont pas uniquement cruciaux pour la sécurité et le bien-être des participants, mais qu'ils constituent également le fondement d'une relation BDSM épanouissante. En mettant l'accent sur le consentement éclairé et la négociation des limites, l'auteure encourage une pratique du BDSM qui est non seulement sûre mais aussi profondément connectée aux besoins et désirs de chaque partenaire. Le livre brille également par son approche inclusive, reconnaissant la diversité des expériences et des identités au sein de la communauté BDSM. L'auteure parvient à ne pas sombrer dans  une vision monolithique de la domination ou de la soumission, mais explore plutôt la richesse et la variabilité des rôles, des pratiques et des désirs qui caractérisent la communauté. Cette approche permettra à bien des lecteurs de se retroiuver dans les mots de l'autrice, qu'ils soient novices curieux ou pratiquants expérimentés cherchant à approfondir leur compréhension.   Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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