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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Je suis donc l'instructeur qui interroge Catherine avec le jeune milicien comme assistant. Je suis assis à mon bureau, plongé dans l'examen du dossier et écoutant les réponses de la femme.
Le jeune milicien intervient :
« Madame je vois que vous ne jouez pas le jeu ! Vous ne gardez pas la poitrine gonflée !
- mais si, je, je...enfin si !
- Non Madame, vous vous ne gardez pas la poitrine tendue, tant pis pour vous. Retirez votre chemisier. Allons, vite ! »
Catherine se tourne vers moi implorante :
« Oh, s’il vous plaît Monsieur, pas cela ! Je, je…
- Obéissez si vous ne voulez pas goûter encore à la canne de bambou. »
Rouge de honte, Catherine sort les pans de son chemisier de son pantalon et commence à le dégrafer puis retire le vêtement et le pose sur une chaise à côté d'elle ; elle croise pudiquement les bras.
« Madame, placez les mains sur la tête et ne cachez pas votre soutien-gorge. Respirez, tendez votre poitrine... ! »
Depuis mon bureau, je me régale du spectacle des seins lourds dans le soutien-gorge tendu. Le milicien place carrément sa badine sous les seins de Catherine et les soulève :
« Bien, parfait ; gardez la position. »
Je reprends le dossier sachant que les questions qui arrivent vont la déstabiliser :
« Madame, de quand date votre dernier rapport sexuel ? »
Catherine suffoque :
« Oh mais Monsieur, je… je… C'est très intime, je ne peux pas... »
Elle n'a pas le temps de finir sa phrase : la badine du milicien frappe ses seins sur le soutien-gorge de haut en bas, visant les tétons.
« Aïeee, noooonn, aïïe ! »
Catherine se tortille mais garde les mains sur la tête, le milicien lui impose de se redresser.
« Je vous écoute, Madame…
- Euh, il… Il y a quatre jours, sanglote-t-elle, vendredi soir, Monsieur...
- Avec votre mari ?
- Oh oui, bien sûr : je suis une épouse fidèle, je... Je n'ai pas d'aventure...
- Jamais ?
- Oh non Monsieur... »
Je prends mon temps et relis un peu le dossier.
« Vous avez joui ? »
Catherine se liquéfie, les questions devient très intimes. Elle bafouille :
« Euh oui… Oui Monsieur.
- Vous aimez jouir ?
- Euh… Bien, oui…Oui Monsieur.
- Vous pratiquez la fellation, Madame ? »
Catherine est très choquée mais elle sait qu'elle doit répondre, le milicien promène sa badine sur son soutien-gorge, prêt à frapper, cela fait un moment qu'il lui agace et caresse les tétons qui pointent sous le soutien-gorge.
« Je… Oh mon Dieu, je… Noon, noon, jamais Monsieur, c'est pas bien, c'est... »
Je me lève en souriant et viens vers Catherine avec le dossier ; arrivé à son niveau, sans un mot, je la gifle d’un aller-retour avec le dos de la main.
« Aïïeii ! Ooooh mais je… je… Pourquoi ? Sanglote-t-elle.
- Madame, cela fait un moment que vous vous moquez de nous ! J'ai reçu votre mari il y a une semaine pour remplir avec lui votre dossier, écoutez sa réponse à cette question :
"Oui, ma femme pratique la fellation. Elle aime d'ailleurs beaucoup cela ; pendant les préliminaires elle le fait systématiquement, cela l'excite beaucoup, je peux même dire que c'est une très bonne suceuse, experte. Par contre, elle a beaucoup de réticence à avaler le sperme, il m'arrive parfois de le lui imposer, cela lui donne envie de vomir… Mais sucer, oui : elle adore !"
Alors, qu'avez-vous à dire, Madame ? Votre mari est un menteur ? »
Catherine est blême, elle commence à transpirer beaucoup.
« Non monsieur, il a raison : je… je… Oui, je pratique la fellation...
- Vous êtes donc une menteuse ?
- Oui Monsieur, désolé.
- Vous allez être punie, Madame... Retirez votre soutien-gorge. Allons, vite ! »
Malgré sa honte, Catherine sait que rien ne sert de résister. Elle dégrafe le sous-vêtement, fait glisser les bretelles et le maintient devant sa poitrine.
« Allons Madame : retirez-le ! Et montrez-nous vos seins ! »
Catherine est morte de honte ; elle obéit et se présente seins nus. Je suis ravi de pouvoir humilier cette femme, ronde, sensuelle ; je me place derrière elle, lui bloque les mains dans le dos et ordonne :
- Cinq coups... sur les seins... Cela lui apprendra à mentir...
- NOOOOOON, aïe, pas sur les seins, aïïïïe, nonn, c'est trop douloureux ! Snifff… Aïïe, pas les tétons, pas les tétons !... Aïïïïe ! »
Je lâche Catherine, le milicien lui impose de se tenir droite, seins tendue mains sur la tête. Ces gros seins sont zébrés de 5 stries rouges, " passent à travers les tétons.
« Bien, que cela vous serve de leçon. Vous allez obéir ?
- Oh oui Monsieur !
- Vous ne mentirez plus ?
- Non Monsieur. »
Je fais un signe au milicien qui commence à ouvrir le bouton du pantalon de Catherine puis descend la fermeture éclair... et attend. Je lui fais signe de continuer et il commence à descendre le pantalon, la femme apparaît en culotte, le jean baissé aux genoux, nous pouvons l'admirer.
« Faites ballotter vos seins de droite à gauche Madame ! »
Catherine, qui ne veut pas recevoir une seconde punition, obéit malgré sa honte, elle balance ses seins doucement.
« Plus vite et plus fort, Madame ! »
Elle obéit ; ses seins claquent une fois à droite, une fois à gauche et deviennent douloureux. Catherine transpire beaucoup ; malgré tout, ses tétons sont érigés, gorgés de sang.
« Stop ! »
Elle éclate en sanglots.
« Retirez votre pantalon, complètement... Vite ! »
Elle obéit, il ne lui reste que sa culotte. Elle est déjà pieds nus depuis la salle d'attente, c'est le premier principe d'humiliation : quand une femme arrive au centre, elle retire ses chaussures, ses chaussettes ou ses collants, elle se présente pieds nus devant l'instructeur.
Je reprends le dossier.
« Bien. Madame, depuis ce rapport sexuel, il y a euh, quatre jours, vous vous êtes masturbée ? »
Catherine sombre un peu plus, hésite et du coup, reçoit un coup de canne sur les fesses.
« Aïïïïee !
- Alors ?
- Non Monsieur, non !
- Vous vous masturbez régulièrement ? »
Catherine sait que son mari a dû parler de ses pratiques, elle doit être franche.
« Euh, non Monsieur, pas très souvent mais parfois cela m'arrive. Je euh, oui, pas très souvent mais régulièrement, mon mari me demande de le faire devant lui. Au début, je n’aime pas mais après, cela euhh, cela m'excite, Monsieur.
- Et vous jouissez ? »
Catherine baisse les yeux.
« Oui Monsieur.
- Répondez par une phrase, je vous prie : "oui Monsieur, je jouis".
- Oh pardon. Je, je… Oui Monsieur, je jouis.
- Bien. Vous utiliser des accessoires pour vous masturber, ou uniquement vos doigts ?
- J'utilise uniquement mes doigts, Monsieur.
- Bien. Je vois que vous êtes devenue plus docile, c'est parfait. »
Je pose le dossier et m'approche d'elle, je la regarde dans les yeux et lui empaume les seins. Je lui soupèse, je les palpe... Elle a toujours les mains sur la tête, les seins offerts c'est un vrai régal. Au bout d'un moment, ce que j'attendais arrive : elle craque, elle se secoue et libère ses seins.
« Arrêtez, laissez-moi ! Je, je… »
Le milicien s'apprête à frapper je lui fais signe d'arrêter :
« Non, attends ! Apporte le tabouret... »
Il place au centre de la pièce une espèce de caisse d'environ soixante centimètres de haut et, saisissant Catherine, lui menotte les mains dans le dos.
Je m'approche d'elle ; je vois à son regard qu'elle est terrorisée. Je lui caresse doucement le ventre puis, pour marquer ma domination, j'écarte l'élastique de sa culotte et regarde son sexe poilu et brun...
« Tu as déjà été épilée ? Complètement ?
- Oh non Monsieur, jamais ! »
Je fais claquer l'élastique sur son ventre :
« Monte sur la caisse. Comme tu manques encore d'obéissance, tu vas être punie... Saute ! »
Catherine saute. Ses seins claquent douloureusement contre son ventre.
« Remonte ! Saute ! Remonte, saute ! »
Les nichons claquent, ballottent dans tous les sens, rougissent, deviennent douloureux et extrêmement sensibles, les tétons sont gonflés.
« Remonte ! Saute ! Remonte ! Saute… »
Au dernier saut, Catherine chute au sol et se met à sangloter.
« Allons, Madame Aldo, relevez-vous et arrêtez de pleurnicher comme une gamine. »
Elle se relève péniblement, ses mains étant toujours menottées derrière son dos, et, ne voulant pas être à nouveau punie, se tient droite et gonfle la poitrine.
« Je pense que cette fois vous avez compris la leçon ? Durant votre séjour ici, vous devez être dans l'obéissance TOTALE !
- Oui, oui Monsieur, je serai obéissante, promis !
- Durant votre séjour ici, vous serez considérée comme un objet sexuel, les maris de femmes présentent au Centre auront accès à votre cellule de jour comme de nuit grâce à leur carte magnétique ; seul votre mari ne pourra pas accéder à votre cellule. Mais bien sûr, à celles de toutes les autres pensionnaires. Quoi qu'ils vous demandent vous devrez obéir c'est compris ?
- Oui Monsieur.
- Vous pourrez également être louée à de riches personnalités qui souhaitent réaliser leurs fantasmes, seuls ou avec leurs épouses ou des amis... Ce qui plaît beaucoup en ce moment, est le scénario de la visite médicale en tenue de collégienne... »
L'homme sourit.
« … Mais l'arrestation par la Gestapo et l'interrogatoire plaisent également beaucoup. Dès demain votre dossier, avec photos nue, sera diffusée à notre clientèle privée.
- Oh mon Dieu...
- En tout cas, vous avez intérêt à être obéissante sinon, la prochaine fois, vous allez goûter aux plaisirs de la suspension mammaire... »
Catherine n'ose pas parler, terrorisée. Je m'approche et commence à lui palper les seins, qui sont douloureux et bleus après le dernier exercice. Cette fois Catherine ne dis rien malgré sa honte elle se laisse palper.
« Vous avez les seins douloureux ?
- Oh oui Monsieur.
- Retire lui les menottes. »
Le jeune milicien les lui retire.
« Vous allez masser vos nichons, Madame.
- Euh mais je, je...
- Allons, ne discutez pas. »
Catherine passe ses mains sous ses seins et commence à les masser, les soupesant, cela calme un peu la douleur. Pendant qu'elle se masse, je l'observe, tourne autour d'elle.
- Vous portez toujours des culottes aussi... enveloppantes... Taille haute... ?
- Oh euh, oui, oui Monsieur. »
Pendant qu'elle continue à se masser, je saisis l'élastique de sa culotte et remonte le sous-vêtement fermement vers le haut...
« Aiiiie ! Ohhh, sniff… »
Cela a pour effet de faire pénétrer le tissu dans sa raie culière et dans sa fente, puis je roule l'élastique sur ses hanches jusqu'à dévoiler environ quatre centimètres de son pubis et le haut de son sillon fessier ; aussitôt, je la sens tendue, humiliée à l'extrême. Je ricane :
« Voici une culotte plus conforme à ce que nous exigeons ici... Massez également vos bouts, Madame. Allons, obéissez. »
Catherine pose ses paumes sur ses bouts et les frotte, je vois bien que cela les fait gonfler...
« Vous êtes excitée Madame ? »
Elle rougit de plus belle.
« Euh, je, non, je ne sais pas pourquoi…
- Votre dossier mentionne que lorsque votre mari vous impose de vous masturber devant lui, vous commencez toujours par vous caresser les seins, donc je me pose la question.
- Oh mais... Je… »
Bien sûr, j'ai remarqué qu'elle commençait à respirer plus fort en se caressant les seins et qu'elle commençait malgré elle à être un peu excitée.
« Tirez sur vos pointes de seins, Madame.
- Oui monsieur. Aïeee, aïïee, hummmm !
- Plus fort Madame : pincez bien vos tétons...
- Aïeee !
- Bien. Stop, mains sur la tête… Parfait ! Nous allons vérifier un point du dossier. »
Je fais signe au jeune milicien d'approcher.
« Baisse ton pantalon. »
Il s'exécute.
« Baisse ton caleçon. »
Catherine voit apparaître le sexe en demi-érection du jeune homme, elle est stupéfaite quand d'une main, je saisis les testicules du jeune homme et de l'autre, je commence à le masturber...
« - D'après votre dossier, vous êtes une très bonne... "suceuse". Vous allez nous montrer cela ! À genoux ! Gardez les mains sur la tête ! Avancez sur les genoux... »
Stupéfaite, Catherine regarde le sexe du jeune milicien que je suis en train de masturber sans pudeur. Ayant encore les seins bleuis et douloureux suite à la première punition, elle a peur d’être encore corrigée et s’empresse d’obéir. Elle avance sur les genoux avec les mains sur la tête, en se tortillant de façon ridicule. Elle sait qu’elle va devoir sucer le milicien, puisque son mari a affirmé qu’elle était une bonne suceuse. C’est vrai qu’elle aime faire les fellations mais à son mari, pas à des inconnus, ni sous la contrainte...
« Approchez-vous plus près, Madame. »
Son visage couvert de larmes est à cinq centimètres du sexe du garçon que je masturbe encore et qui est devenu très dur.
« Vous allez commencer par lécher ce sexe de la base au gland, en sortant bien la langue et en salivant fortement. »
Terrorisée, Catherine s’exécute et même s’applique, malgré sa honte et son dégoût, elle lèche, sort la langue en grand…
« Les testicules maintenant. Allez, léchez ! »
Elle a horreur de cela : le jeune homme à les testicules poilues et cela lui donne des haut-le-cœur mais je la stimule avec ma baguette en tapotant ses fesses.
« Bien. Maintenant, prenez le sexe en bouche et sucez. »
Le jeune homme respire fort et gémit, Catherine s’applique redoutant une nouvelle correction.
Elle pense : "Pourvu qu’il ne me mette pas tout dans la bouche".
Mais elle suce avec ardeur, aspirant bien la verge, serrant bien ses lèvres autour, et passant souvent sa langue sur le gland du garçon qui gémit de plus en plus... Quand elle sent que la verge gonfle et devient de plus en plus dure, elle essaye de retirer le sexe de sa bouche pour éviter la décharge... Mais le garçon plaque ses mains sur sa nuque, enfile sa verge au fond de sa gorge et immédiatement, éjacule un sperme gras et abondant au fond de sa gorge. Catherine éructe, tousse, est prise de vomissements, mais le jeune homme la maintient fermement, ce qui l’oblige à avaler l’intégralité de sa liqueur. Le milicien prend son temps ; Catherine étouffe, manque d’air... Puis il relâche sa pression et retire son sexe repu. Catherine s’affale au sol et sanglote.
« Allons, cessez vos jérémiades et vos pleurnicheries. Debout, vite ! »
Catherine se relève et se place mains sur la tête, bien droite, poitrine tendue mais encore secoué de sanglots.
Du regard j’interroge le milicien :
« Oui, son mari a raison : elle suce parfaitement, sa langue est douce sur le gland.
- Bien, c’est parfait. »
Je remplis son dossier en même temps.
« Madame, nous allons maintenant procéder à l’examen de vos orifices, puis au marquage. »
Catherine, entre deux sanglots, me regarde avec un regard affolé mais ne semble pas tout comprendre.
« Retirez votre slip madame et tendez-le-moi. »
Catherine est effondrée : cette fois, elle va être toute nue devant les deux hommes sans aucun rempart pour sa pudeur. Néanmoins, elle obéit, descend son slip en se baissant, puis l’enjambe et, honteuse, me le tend avant de reprendre sa pose. Nous pouvons enfin apprécier sa touffe fournie de poils bruns. J’examine le fond de sa culotte et je lui fais remarquer qu’il est humide, Catherine rougit et baisse le regard.
« Il me semble que le fait de sucer provoque un grand émoi chez vous, Madame.
- Je euh, noon, je, je ne sais pas… Sniff ! »
Cette femme ronde et pudique, nue, presque indécente, me donne très envie de l’humilier et me provoque une forte érection. J’enfile des gants d’examen et m’approche de Catherine qui, par réflexe d’obéissance, rectifie sa position et tend la poitrine dont les tétons semblent durcis.
Je commence à examiner ses cheveux en disant que cela sera agréable de la voir être tondue par le coiffeur du centre. Puis saisissant sur la table un spéculum auriculaire, j’inspecte ses oreilles en veillant à n’être pas trop doux afin que l’examen soit douloureux.
« Penchez la tête en arrière, Madame, je vais inspecter vos narines, penchez plus ! Allons…
- Oui, aïeeee, oooh c’est désagréable !
- Bien. Redressez-vous ! Ouvrez grand la bouche ! Tirez la langue ! »
J’enfile deux doigts au fond de sa gorge et lui maintiens la nuque...
« Allons, résistez : ne vomissez pas ! »
Catherine bave beaucoup tousse, manque de s’étouffer…
« Allons, reprenez votre calme ! »
Je la gifle, elle se redresse automatiquement.
« Oh pardon, excusez-moi Monsieur. »
Je continue mon examen un peu approfondi : mes mains descendent sur ses seins. Pour la première fois, je les palpe avec plaisir puis je saisis les tétons et les tords en les tirant vers le haut. Catherine se retrouve sur la pointe des pieds, le visage grimaçant, elle essaye de résister à la douleur puis craque :
« Aïïïe ! Arrêtez, arrêtez, je vous en supplie : c’est trop douloureux ! Aïïïïeeeee ! »
Je la laisse reprendre la pose mais pas de répit : je descends ma main sur ses fesses et les caresse longuement, juste pour qu’elle sente que j’ai tous les droits sur son corps... Je joue un peu avec sa raie, mais ne touche pas encore son sexe... J’effleure à peine son anus. Puis je lui indique la table gynécologique :
« Installez-vous, Madame... Les pieds dans les étriers... »
Catherine hésite, tremblante ; le jeune milicien la saisit par un bras et la dirige de force vers la veille table gynécologique entièrement en métal, un peu rouillée...
« Allongez-vous Madame... »
Catherine obéit, le métal froid lui donne la chair de poule. Le jeune milicien commence à l’immobiliser sur la table : il passe une sangle de cuir autour de son cou, une au niveau des hanches, bien serrée ; il positionne ses pieds correctement dans les étriers et passe une sangle au niveau des chevilles et une au niveau des genoux. Catherine se sent complètement impuissante. Pour le moment, seuls ses bras ne sont pas attachés. Le jeune garçon écarte les étriers au maximum. Catherine sent son sexe s’ouvrir, son intimité se dévoile, impudique ; elle sanglote de honte. Je passe des gants d’examen propres...
« Bien. Madame, nous allons continuer l’examen de vos orifices.
- Oh noon… S’il vous plaît… C’est terriblement humiliant ! Je… oh mon Dieu ! »
Je commence à palper longuement son ventre et son pubis, fouillant son nombril. Cela est douloureux, elle gémit.
« Humm, c’est bien ce qu’il me semblait : votre vessie est pleine... Passez-moi une sonde, je vous prie....
- Mais enfin nonn… Pourquoi, je… »
Le jeune homme me passe un sachet chirurgical d’où j’extrait un cathéter. Catherine essaye de se débattre ; le milicien saisit ses mains et les maintient au niveau de sa tête... J’ouvre son sexe d’une main et découvre sans ménagement le méat urinaire ; j’enfile le tube de plastique. Catherine gémit... Rapidement, le tube se remplit d’urine.
« Bien. Nous sommes dans la vessie. »
Je plonge l'extrémité du tube dans un bocal et ouvre le robinet... L’urine s’écoule rapidement et emplit le bocal bruyamment, pour la plus grande honte de Catherine qui se sent se vider sans pouvoir se contrôler. Dès la dernière goutte dans le bocal j’arrache la sonde sans ménagement. Catherine hurle de douleur...
« Allons Madame, modérez-vous, je vous prie. Bon. Vous êtes droitière ?
- Euh oui, oui, pourquoi ? Je, je... »
Le jeune milicien lui attache le bras gauche le long du pied de la table.
« Bien. Madame, je vais devoir procéder à un examen en profondeur de votre vagin ainsi que de votre utérus. Pour cela, vous devez être bien lubrifiée, et rien ne vaut la lubrification naturelle... »
Catherine ne comprend pas mes propos jusqu’à ce que l’ordre tombe :
« Masturbez-vous, Madame. »
Catherine est estomaquée, abasourdie.
- Me...Oh non, jamais… Je ne peux pas faire ça devant vous, jamais ! »
Je fais un signe au milicien qui approche une table à roulette avec dessus des câbles et un générateur. Le jeune homme m’interroge du regard :
« Sur les bouts de seins.
- Bien Monsieur. »
Le jeune homme pose des pinces sur les tétons de Catherine et les relie à la machine.
« Mais arrêtez ! Mais que faites-vous... Je, je.... »
Sur un signe de tête, le milicien déclenche une décharge. Catherine hurle, son corps s’arc-boute... La douleur est terrible. Après la coupure, elle tremble.
« Ah, ah ! Pas cela, arrêtez... Je vous en prie… Ahh !
- Bien, alors soyez obéissante, sinon la prochaine fois, ce sera une décharge sur le clitoris. »
Catherine baisse le regard.
« Oh mon Dieu, je vous en prie, pas là... Oui Monsieur, je serai obéissante. »
Je prends sa main droite et la pose sur son sein.
« Bien... Commencez par vous caresser les seins, Madame. »
Catherine rougit et hésite, mais les pinces du terrible générateur sont toujours fixées sur ses tétons et elle redoute une nouvelle décharge. Avec sa main droite, elle se touche les seins sous le regard vicieux des deux hommes. Au bout de quelques minutes, je prends sa main et la guide... Je passe sur son ventre puis place sa main entre ses cuisses ouvertes, sur sa vulve ; elle frémit au contact de sa propre main...
« Allez-y, Madame : masturbez-vous... »
Sa main commence timidement à bouger entre ses cuisses, massant sa vulve... Catherine respire de plus en plus fort... Nous regardons attentivement ses gestes. Ses doigts deviennent de plus en plus précis, son index décalotte son clitoris et le masse... Elle gémit...
« Hummmmm’ohhhhh huummmm !
- Vous aimez que l’on vous regarde en train de vous masturber, Madame ?
- oh mon Dieu, noon : c’est terriblement gênant...
- Gênant certes, mais cela vous excite... »
Catherine est rouge de honte et d’excitation, jamais elle n’avait fait cela devant deux hommes... Parfois son mari lui demandait de le faire, pour lui seul.
« Ooohhh oui, oui Monsieur, c’est honteux et excitant... Hummmm hummmm, oui, c’est bon… J’aime que vous me regardiez... Faire ça ! »
Catherine est de plus en plus excitée… Elle mouille terriblement.
Sanglée sur la table gynéco Catherine continue à se masturber avec ardeur malgré sa honte. Je lui impose de garder les yeux ouverts et de nous regarder... Son corps nu est trempé de sueur... Elle gémit de manière indécente...
À sa tension et à ses gémissements, je remarque qu'elle va jouir... Je fais signe au jeune milicien qui, aussitôt, saisit sa main et l'attache à la table, la laissant dans un état de frustration terrible.
« Ohhhh ! Non, je vous en prie, laissez-moi prendre du plaisir... Je, je, oh j'ai trop envie... de… de jouir, oh mon Dieu ! »
Elle éclate en sanglots
« Allons Madame, reprenez-vous. Restez digne, je vous prie. »
Le milicien lui envoie une décharge électrique dans les seins... pour la calmer.
« Aiiiiiiiieeeee ! Non, non, stop !
- Je ne souhaitais pas que vous ayez un orgasme... Je voulais juste que vous soyez parfaitement lubrifiée pour examiner votre vagin ainsi que votre utérus... »
Une suite à l'admission de Catherine...
Elle est nue, sanglée sur la table gynéco, et je viens de lui annoncer que j'allais examiner son vagin et son utérus.
Je passe calmement des gants d’examen puis prépare sur un plateau métallique les instruments. Le générateur est toujours branché sur les tétons de Catherine. Elle me regarde les yeux ronds, terrorisée... Elle vient de se masturber de force devant nous et d'être frustrée de son orgasme.
« Bien, voyons cela, Madame... »
J'écarte sans ménagement ses petites lèvres et la pénètre à deux doigts... Elle gémit doucement.
- Bien. Vous êtes parfaitement lubrifiée, Madame... Vous mouillez toujours comme cela ? »
Elle est rouge de honte.
« Euhh, oui, je pense, oui Monsieur. »
Je fais allez et venir mes deux doigts dans son vagin. Catherine se raidit, elle gémit...
« Hummm, ohhhh, hummmm ! Oh, je vous en prie, arrêtez... Vous, ohh, vous allez me... me faire jouir !
- Ce n'ai pas le but, Madame. »
Je pousse mes doigts au fond de son vagin et palpe le col de l'utérus... L'examen est douloureux ; à plusieurs reprise, Catherine crie de douleur.
« Allons Madame, restez digne je vous prie. Je vais mesurer votre utérus. »
Je prends sur le plateau un longue tige métallique terminée par une forte boule. La tige est graduée et une bague coulisse dessus. Je pose l'instrument froid sur le ventre de Catherine. Puis je prends un fort spéculum métallique et le lui présente :
« Je vais vous ouvrir, Madame.
- Oh noon, s’il vous plaît, noon, pas ça ! »
Je la pénètre avec l'instrument et actionne la molette.
« Aïïïe ! Non, pas plus ! Aïïïe, c'est douloureux !
- Je sais, Madame, mais je dois vous examiner. »
Son sexe est béant, humide, tellement ouvert que son clitoris est décapuchonné et complètement tendu, gorgé de sang... hypersensible…
Je demande au milicien de me passer une petite pince aux bords dentés.
« Je vais vous poser cette pince sur le clitoris pour vous calmer, Madame.
- Noooon, noooon, je vous en prie ! »
Je place la pince sur le petit bourgeon. Catherine hurle, essaie de bouger dans les sangles et pleure de douleur. Sans la laisser respirer, je la pénètre avec la tige, place la boule sur le col et d'un geste sec, la fait entrer dans son utérus. Catherine hurle un bref moment puis s'évanouit… Avec une pince, je fais coulisser la bague contre le col pour prendre la mesure.
Puis m'adressant au milicien :
« Comment tu la trouves, cette femelle ? Un peu ronde mais baisable ?
- Oui plutôt. J'aime bien ses gros nichons et elle semble une salope au lit.
- D'après son dossier, elle apprécie la sodo en plus, cette chienne ! »
Les hommes ricanent.
Profitant de son évanouissement je décapuchonne fortement son clitoris tourmenté.
-« Tu as vu : elle à un gros clito. »
Les hommes rient encore.
« Bon, allez, réveille-la. »
Le milicien appuie sur le bouton et envoie une décharge dans les seins de Catherine qui se réveille en gémissant. Je retire la tige :
« Bien. Profondeur utérine sept centimètres et demi, vous êtes dans la moyenne, Madame. »
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Du premier instant, son visage m'a fasciné. Ses yeux tout d'abord, assortis à sa robe quoique d'un ton plus soutenu, entre pervenche et lilas, avec cette nuance de myopie et de fragilité commune aux iris clairs. Et surtout son regard. Je hais les yeux qui vous laissent à leur seuil. Les yeux de Charlotte vous accueillent sans mesquinerie. Ils ne racolent pas, mais ils vous permettent d'entrer. Je suis entrée dans les beaux yeux de Charlotte. Sa bouche fine et pourtant pleine, aux commissures un peu relevées par le sourire me disait des mots que je reconnaissais. Deux ans déjà et je continue de m'interroger sur les mobiles qui entretiennent cette sorte d'amitié amoureuse, comment appeler autrement nos tête-à-tête ? Il me semble qu'en aimant d'amour, on n'aime quelqu'un d'autre et même simplement en faisant l'amour. Pour employer le vocabulaire usuel: on se donne. De nature plus narcissique, l'amitié tolère l'égotisme, elle l'encourage. Le climat tempéré de l'amitié favorise l'éclosion du beau sentiment dont chacun renvoie à l'autre l'image délicieuse. Rien d'urticant, rien de vénéneux dans ce jardin. La fleur bleue n'a pas d'épines. Complaisante plus que toute autre, l'amitié amoureuse est un jeu de deux miroirs qui reproduisent à l'infini le meilleur profil de soi-même. Il s'agit d'un accord, dont les orages de la passion ne risquent pas de troubler l'harmonie et, surtout, d'un moyen de se contempler mieux que dans la solitude dont l'ombre portée obscurcit le jugement. Pour moi, tout est simple, puisque depuis longtemps les glaces sont déformantes, je chéris en Charlotte mon reflet véritable. Elle est mon seul témoin. Mais elle ? Je peux concevoir ce qu'elle trouve dans nos rapports. J'ignore ce qu'elle cherche. Qu'elle trouve un climat apaisant après les tumultes d'un mariage dont je sais par de brèves confidences qu'il fut, comme un feu de maquis, imprévu et dévastateur. Mais je connais assez les femmes pour savoir que celle-ci a terminé sa convalescence. Qu'elle ne refuse pas à son corps les plaisirs qu'il mérite. Dès lors que cherche-elle dans nos relations inachevées ? Charlotte n'a pas besoin de témoin, elle pour attester sa jeunesse, sa grâce, pour affirmer qu'elle est vivante. Elle m'ouvre ses bras parce que je tends les miens. Il est sept heures du soir chez moi, à Sauzon. Un feu s'emballe dans la cheminée. Il fait bon. Les glaçons fondent dans le whisky de malt. Charlotte cherche à se convaincre de ce que trop d'artifices nuisent à l'essentiel et qu'un certain degré de baroque ... Je l'écoute. La méridienne comporte un haut dossier enveloppant, tracé de telle sorte qu'il invite les corps à l'abandon. Charlotte est nichée dans cette coquille, chère à Madame de Récamier, une jambe repliée sous elle, le buste tourné vers moi pour me parler et cet effet de torsion évoque une danseuse immobilisée à l'instant de son plus grand déhanchement. La pose est belle et troublante. Sa robe, d'un coton souple, drape exactement la flexion du corps et l'accuse. Des soupirs, des pauses s'installent entre nos phrases. Charlotte, d'abord étonnée par ce changement de registre, rend silence pour silence et c'est un dialogue d'arrière-pensées qui s'échange à présent. Tout bascule sur un point d'orgue. Elle sourit, se penche, pose sa bouche sur la mienne et me dit: "Moi aussi, j'ai envie de toi". La voici allongée, gisante plutôt qu'abandonnée. La nudité la revêt d'une sorte de décence. Son visage est tel que je le connais: lisse et attentif. Sans doute les yeux grands ouverts sont-ils plus sombres qu'à l'ordinaire mais le regard reste net. Rien dans l'attitude de ce corps parfait n'indique le trouble. Irréprochablement nue et dénouée, Charlotte n'est pas provocante, elle ne va pas au-devant de la femme qui s'étend près d'elle mais aucun mouvement du moindre muscle ne trahit le recul. Ni offerte, ni réticente, elle n'est qu'attente, plus lointaine en fin de compte, sous la main qui se pose, plus abstraite qu'à certains instants de nos conversations amicales. Je guette un signe, l'amorce d'un mouvement de gêne pendant que je déchiffre lententement l'étendue de Charlotte, qui me laisse m'attarder en tous sens sur elle. Privés du bruit et du goût des mots, nous abordons en terre étrangère. Puis ses bras m'entourent et m'attirent et la proximité limite mon champ de vision au seul visage. Je n'y lis rien que je ne sache. En silence, nous continuons à nous parler. Voici qu'elle s'anime de mouvements amples et se tend à ma rencontre. Charlotte qui, dans un language de commencement du monde, prie et implore et qui va mourir et qui meurt. En reprenant ses esprits, elle a cru me dire: "Je t'aime". J'ai besoin de sa chaleur. Les solitudes hautaines ne m'attirent pas, ne m'attirent plus, l'amitié est moins un état passionnel qu'une indulgence patagée, attentive, une communauté strictement réduite aux acquêts. Je veux que mes amis durent, non qu'ils flambent, le temps d'un coup de foudre. Nous partageons alors des émotions paisibles, sans jugements, ni d'inquisitions superflues.
J'ai besoin de voyager et seule, une île bretonne me procure du réconfort. Par ce pays, j'entends le territoire avec lequel j'ai entretenu de longs rapports intimes, que j'ai physiquement découvert et moralement appris au cours de ma jeunesse. J'en ai tracé secrètement les limites pas à pas, dans les rochers et les genêts sauvages. On fait aisément le tour de Belle-Île, bénéficiant de la relation étrange et romantique avec l'océan à l'entour. Les peintres et les écrivains, qui s'y succédèrent, ont fait cette découverte enthousiasmante et propice à l'inspiration. Le jour n'en finit pas de se lever et le spectacle de l'aube réticente est exaltant. Le corps se détend et accueille la mer qui l'investit. Une harmonie nouvelle s'établit comme une sorte de bien-être mystique. La pluie, le soleil, la brume ont peut-être plus d'influence sur notre comportement amoureux que nous l'imaginons. il me semble que la nature a toujours émis des messages. Et le vent. Le vent qui soulève le sable du désert, des oasis du Hoggar, et les dépose sur les arbousiers du maquis corse. L'invisible, ses sarabandes, ses fêtes, ses débauches, ses orgies des sens, la fabuleuse orchestration qui s'y déroule sans qu'on y prête attention, quelle conscience nous reste-il de l'immensité de tout cela ? Un instrument d'observation inapproprié, un organe atrophié fossile d'une fonction perdue, l'amour. Lui seul nous fait pressentir l'invisible. Et la poésie des corps. Mais c'est encore l'amour qui la suscite, l'éclaire, module son chant et fait frémir ses incantations lumineusement obscures. Le désir le conjugue au plus-que-parfait. Chaque étape initiatique de notre existence, par des liens secrets, est en relation avec un amour qui épanouit ses virtualités. Parfois, quand l'inanité d'écrire me ravage, je ne reprends confiance qu'en m'agrippant à la certitude que ce que je recherche ne réside que dans le partage, et la seule chose qui m'importe est ce qui jette mon destin dans de vastes espaces, bien au-delà de moi-même. La grande distinction d'Arletty coiffée de son turban blanc. Trois années avaient passé depuis ce réveillon où j'avais fait connaissance de Charlotte. Cette rencontre m'avait placée dans une position qui avait le caractère d'une parenthèse. Elle appartenait à un monde irréel puisque aucun des maux de ce monde ne l'atteignait. Un univers trop parfait n'est pas fait pour une femme qui veut toujours se prouver quelque chose en modifiant le cadre de son existence. Le temps passait avec une lenteur inexorable. Il semblait enfermer Charlotte dans une perpétuité du bonheur. Il me fallait des drames, des souffrances, un théâtre d'émotions, des trahisons qui ne pouvaient nullement se développer sur ce terreau-là. Charlotte, insatisfaite comme on l'est lorsqu'on choisit le chemin de la perfection, avait trouvé en moi un dérivatif à sa passion d'aimer endurer. Aimer c'est souffrir mais c'est aussi vivre. Vivre avec Charlotte ? J'y songeais, je le souhaitais et je le redoutais. Je le souhaitais parce que le sentiment amoureux qui ne se double pas d'amitié n'est qu'un état intérimaire de peu de durée, que l'indispensable amitié se fonde sur le temps qui passe, sur une accumulation heureuse de situations partagées, de circonstances vécues en commun. Je le redoutais parce que j'ai déjà fait l'expérience de prendre des trains en marche. Pas besoin d'imagination pour prévoir ce qui, tôt ou tard, adviendra, il me suffit d'avoir un peu de mémoire. Me voici, soumettant Charlotte. Nous dégustions les charmes de cette situation nouvelle dans une profonde entente mutuelle. Je la fouettais avec application tout en réfrénant son masochisme. Je ne voulais pas casser ma poupée de porcelaine. Me manquait-il une certaine cruauté ? Voici Charlotte qui s'anime d'amples mouvements à la rencontre du cuir. Voici qu'ils se confondent et s'exaspèrent et que, de sa bouche captive, elle pousse un gémissement qui me déchire le cœur. L'insensée crie et m'invite plus intensément. Ils se perdent ensemble au comble d'une tempête dont je suis le vent. Les yeux clairs s'agrandissent et leur eau se trouble. Elle ne me voit plus, son regard s'accommode au-delà. L'un après l'autre, les traits du visage changent d'ordonnance, ils se recomposent en une géographie que je ne connais plus. Sur ses lèvres qui s'entrouvent, les miennes se posent, ma langue pénètre, cherche et investit. La bouche de Charlotte accepte et bientôt requiert. Les yeux immenses se ferment et je devine qu'ils se tournent en dedans sur un univers ignoré. Toutes les grâces du monde sont présentes, à cette époque, en ce lieu. Le crépuscule du matin rosit le ciel vers le levant, au dessus de la plage de Donnant, tandis qu'à l'horizon le soleil émerge des brumes basses de l'aube. Toutes les deux, nous sommes seules pour la dernière fois de notre vie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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En plus de ne pas être propres, ses pieds sont vraiment moites. On ne met pas des baskets quand il y a plus de 30°... Je masse comme Lucinda me l'a appris, en passant soigneusement mes pouces le long de la plante de ses pieds. Les filles discutent entre elles. Après une dizaine de minutes, Dolorès me dit :
— Passe ta langue entre ses orteils.
Je dois me baisser, et je passe ma langue. Le goût est un peu salé. La fille me dit :
— Suce-les.
C'est presque comme si je faisais une fellation à des petites bites... qui ne sentent pas bon. Quand la blonde en a assez, elle me repousse du pied. Après elle, j'enlève les baskets des deux filles brunes. J'ai mal aux genoux, aux reins et mes mains vont puer jusqu'à la fin des temps. Je termine par Dolorès qui a des bottes courtes, un peu abîmées. Là, je suis surprise de l'odeur de ses pieds qui se mélange à celle du cuir, c'est beaucoup moins déplaisant. Au bout d'un moment, elle crie :
— Zizi, aux pieds !
Une esclave arrive aussitôt et dit :
— Oui Maîtresse.
— Va dire à Luis de venir
— Oui Maîtresse.
Je connais Luis, c'est un des gardes. Il arrive bientôt et demande :
— Vous avez besoin de moi, Mademoiselle Dolorès ?
— Je veux que tu baises cette chienne pendant qu'elle me suce les orteils et que tu la fasses jouir.
Dans tes rêves, garce ! La semelle sur ma chatte c'était vraiment fort, mais maintenant, j'ai joui. Si tu crois que je vais prendre mon pied en léchant les tiens, tu.... Luis s'est mis à genoux derrière moi et, en me tenant fermement par les hanches, il frotte ma fente avec son gland mouillé. Il s'enfonce en moi et me baise lentement. Le traître me caresse le clito en même temps. Je suce le pouce du pied droit de Dolorès tandis que cette bite va et vient de plus en plus vite en moi... Impossible de résister... tout en suçant l'orteil de Dolorès, je jouis en gémissant. Une de filles dit :
— Elle jouit, la chienne.
Dolorès fait un geste à Juan, qui se retire de moi et s'en va, puis elle me dit :
— Qu'est-ce qu'on dit :
— Merci Maîtresse.
— Pour ?
— M'avoir permis de masser vos pieds et ceux de vos invitées.
— Tu as joui deux fois, qu'est-ce que tu es ?
— Une esclave et une chienne en chaleur, Maîtresse.
— C'est bien... dégage.
Je me relève. Du sperme coule le long de ma jambe. Je ramasse mon uniforme, ma culotte blanche et je m'en vais. Difficile d'humilier davantage quelqu'un... Mais, j'm'en fous de tout ça, dans 2 ou 3 jours, je ne serai plus ici. En fait, je ne m'en fous pas... je suis morte de honte.
Je vais sur la plage me rincer les mains et le visage à l'eau de mer.
C’est la fin de l'après-midi. Je me balade un peu, puis je vais à la cuisine, en faisant un grand détour pour éviter Dolorès et ces sorcières d'amies.
Après le repas, je discute un peu avec Lucinda et les gardes. Elle boit de la tequila et elle est de bonne humeur, ce soir... Elle parle même d'une soirée qui aura lieu demain. Je lui demande :
— J'y serai, Madame ?
— Ah oui et même en Cléopâtre.
— Et Summer, Madame ?
Je vois qu'elle hésite à répondre... Je me mets à genoux à côté d'elle et je joins les mains comme si je priais en disant :
— S'il vous plaît...
Elle aime me voir comme ça, elle me caresse la joue et répond :
— Dans trois jours, tu pars avec elle. Mademoiselle aura une autre servante.
Trois jours, ça veut dire trois fois dormir et je pars !!
***
Le lendemain, commence le même cérémonial dans la chambre de Dolorès et de son père. Quand je suis à genoux penchée sur ses pieds, elle dit à son père :
— Quand on la voit tellement soumise, tellement humble, difficile d'imaginer qu'elle a été la Première Dame des États-Unis.
Puis, en remuant ses orteils qui sont sous mes lèvres, elle ajoute :
— Difficile d'imaginer, hein, petite ?
Je réponds à son gros orteil :
— Oui Maîtresse.
M'en fous de son gros orteil et d'elle, plus que deux fois dormir et je serai loin d'ici, avec Summer.
Quand le cérémonial du lever et de la salle de bains sont terminés, je sers le petit déjeuner, puis le repas de midi. C'est l'après-midi que les choses bougent. D'abord, deux esclaves me lavent soigneusement. Ensuite, je vais sur la terrasse où une esthéticienne m'épile quand c'est possible et me rase quand les poils sont trop courts. Quand elle a fini, je suis aussi douce et polie qu'une agate polie des chevilles aux aisselles... Je parle de la pierre, pas d'une fille qui s'appelle Agathe et qui serait bien élevée. Je pense ce genre de bêtises, ça va mieux (plus que deux fois...)
Sous les regards des invités, une femme vient me coiffer à la mode égyptienne, en se basant sur des modèles qu'elle a sur sa tablette.
Ensuite, on me maquille le visage et le bout des seins... Elle me met quelques gouttes de parfum de lotus bleu, j'imagine, sur mes aisselles et mon pubis complètement lisses.
Enfin, deux esclaves viennent m'habiller avec une robe compliquée qui laisse voir les seins, les fesses et même mon sexe. J'entends des commentaires flatteurs des spectateurs, le drone ronronne au-dessus de moi.
Dolorès vient voir le résultat. Elle a l'air satisfaite et me dit :
— Tu vas accueillir les invités... ensuite, on te dira.
— Oui Maîtresse.
Quoi de plus vraisemblable : la reine d'Égypte accueille ses invités comme une simple servante !! Je dois me mettre face à l'entrée entre deux rangées d'esclaves nues maquillée à l'égyptienne. Ça me fait un peu mal aux seins de le dire, mais le tout doit avoir pas mal d'allure. Les invités sont des hommes plutôt âgés accompagnés de jolies femmes. Je dois m'incliner et dire :
— Bonsoir, soyez les bienvenus.
Ils ne répondent pas mais plusieurs me caressent les seins, les fesses ou le pubis. Une des femmes me demande :
— C'est toi l'ex Première Dame ?
— Oui Madame.
— Et maintenant, tu n'es plus qu'une esclave.
— Oui Madame.
C'est pas vrai mais si ça lui fait plaisir... Les invités sont souvent accompagnés de gardes du corps. Bientôt, il y a une petite armée privée autour de la maison. Un garde vérifie les invitations. Un peu parano, le señor de la Cruz.
Bientôt, plus personne n'arrive. Une esclave vient me dire :
— Suivez-moi...
Pas très stylée, l'esclave. Il faut dire qu'on ne sait plus très bien qui je suis, ici. Moi, je ne sais qu'une chose : plus que deux fois dormir. La fille me conduit dans les sous-sols jusqu'à une salle de cinéma. Oh ! J'ignorais qu'il y avait ça, ici. Les invités sont assis dans de confortables fauteuils rouges, face à un grand écran. L'esclave me dit :
— Vous devez vous asseoir devant, à côté de Mademoiselle Dolorès.
Je fais ce qu'elle dit et dès que je suis assise, la salle est plongée dans le noir.
Je pense qu'on va regarder mon film "Cléopâtre"... Non, le film s'appelle simplement "Ashley" et les premières images sont des photos de moi, gamine, et des photos d'école... C'est dingue, ça : ils ont été dans mon village chercher ces photos. Je ne vais pas déjà pleurer, mais ça m'émeut de me voir à cette époque. Les scènes suivantes, c'est moi au "House of Pussies." Je danse sur une table... Quand on voit la Première du film au Grauman's Chinese Theater, je n'ai plus les larmes aux yeux, mais je pleure vraiment, sans même avoir de kleenex. Je revois tout ce qui s'est passé depuis ma rencontre avec Monsieur Sam jusqu'à mon arrestation et ma vie chez les Crassway.
J'ai écrit tout ce qui s'est passé... sauf une scène. Je ne l'ai pas fait parce que c'est vraiment gênant. J'imagine mon lecteur imaginaire trépigner d'impatience et couinant : "C'est quoi, c'est quoi ?" Bon, d'accord !
C'est à Alcatraz. Joe, un des gardes, m'appelle :
— Eh, Cléopâtre, viens ici !
Je me dépêche d'aller près de lui. Qu'est-ce qu'il me veut ? D'autres gardes s'approchent en rigolant. Oh ! Que j'aime pas ça. Il me dit :
— Tu as le choix : te faire fouetter ou te faire baiser.
— Me faire baiser, chef.
— D'accord.
Il siffle et un garde arrive avec un grand chien. Okay, j'ai compris. Franchement, je préfère me faire baiser par un chien que par ces salauds de gardes. L’animal vient me sentir. Il est beau, je pense que c'est une variété de chien de traîneau. Joe me dit :
— Déshabille-toi et mets-toi à quatre pattes pour faire connaissance avec ton amoureux.
— Oui, chef.
Quand je suis à quatre pattes, le chien vient me lécher la bouche. Un autre garde dit :
— Rends-lui son baiser.
J'ouvre la bouche et je tire la langue, ça plaît au chien. Il me lèche un peu la bouche, puis il fait le tour pour flairer mon arrière-train. Les gardes font des photos, tandis que le chien commence à me lécher.
Un des gardes me dit :
— Tu vas poser ton front sur le sol.
Je mets vite mes mains l'une sur l'autre, et mon font dessus. Le garde pose son sur ma tête pour me maintenir sur le sol. Pourquoi il fait ça ? Ils savent bien que je n'oserais pas bouger. Le chien vient me renifler, je crois que je lui plais !
Les poils du chien me chatouillent les fesses, tandis qu'il enserre ma taille de ses grosses pattes. Le bout de son sexe tâtonne un peu avant de trouver ce qu'il cherche : l'entrée de mon vagin. Ses pattes me serrent plus fort et son sexe me pénètre ! Ouch ! Ce sexe est aussi gros que celui d'un homme très bien membré. Le garde me dit :
— Tu la sens bien sa bite, petite chienne !
Il appuie sur le côté de ma tête avec son pied.
Je réponds d'une voix hachée, car le chien me baise vigoureusement :
— Ah ouiiii chef, je la sens bien.
— Ne jouis pas trop vite, profites-en pour une fois qu'on te baise.
C'est vrai ! Les gardes se font sucer mais me baisent rarement. Et là... ce sexe qui va et vient à toute vitesse, ça me rend folle. Je sais que je vais jouir et je sais que c'est ce qu'ils veulent. Il ajoute ::
— Manifeste ton plaisir, petite chienne.
Aussitôt, je me laisse aller et crie :
— Ooohhh ouiiiii... c'est booon aaahhhh... je vais jouir....
Ce n'est pas du cinéma : je jouis.... comme une chienne en chaleur qui se fait monter, mais moi, j'en ai honte. Surtout que c'est la deuxième fois : d'abord une godasse ensuite un clebs ! Bravo Ashley, la classe. Oui, mais j'en peux rien. Le chien continue à me baiser à toute allure. Son maître annonce :
— Maintenant, vous allez voir une merveille de la nature.
Je ne sais pas ce qu'il fait, mais soudain, quelque chose de très gros envahit mon vagin. Je crie de douleur, cette fois-ci... À moitié dans les vapes, je me dis ça doit être ce qu'on appelle le nœud, une très grosse protubérance à la base du sexe, que le mâle enfonce dans la vulve de la femelle pour être sûr que son sperme pénètre partout. Le maître dit :
— Et voilà, ils sont collés ! Pour que le chien puisse ressortir, il faut attendre ou leur balancer un seau d'eau froide.
Rires des spectateurs, car les touristes sont venus voir le spectacle. Le chien bascule sur le côté et je le suis en criant, puisqu'on ne forme plus qu'un ! On est dans la position dites de la cuillère, je crois... Quelqu'un écarte bien une de mes jambes pour que tout le monde puisse voir le sexe du chien profondément enfoncé en moi. Un des gardes me dit :
— Te tracasse pas, petite chienne, on te donnera à manger et à boire... et dans 24 h, vous pourrez vous séparer.
Ça, c'est pas vrai, c'est impossible !
On reste là, le chien encore haletant au début, puis plus calme. Deux fois, il essaye de s'extraire de moi, mais je crie tellement qu'il arrête. Enfin, après 20 minutes environ, une dernière tentative lui permet de s'extraire de moi ! Je crie à nouveau et vois ma chatte béante d'où s'écoule le sperme du chien. Les spectateurs poussent des cris et applaudissent. Ils font aussi des photos. Je pleurniche :
— Elle ne sera plus jamais comme avant.
Un garde me donne un petit coup de pied dans les fesses en disant :
— Et les femmes qui accouchent, alors, stupide esclave ? Allez, rhabille-toi et retourne à tes corvées !
Par la suite, ils m'ont plusieurs fois obligée à me laisse monter par le chien. J'écris ça en me souvenant de ce qui s'est passé, parce que je ne l'ai pas regardé sur grand écran. Le film s'achève quand je passe la frontière du Mexique.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Croix N°2 = Horizontal
Exposition temporaire N°2 C.V au sol
Convoqué pour 9 heures, j'arrive tranquille chez mon Dominateur Niçois. En guise d'accueil, je dois mettre les mains sur la tête ,puis il baisse mon short jean et m'inflige une rigoureuse et puissante fessée à mains nues!
Je remonte mon court short et je le vois en train de préparer un sac de sport : des cordes, menottes, une cagoule, des bracelets, un gros marteau et des bouteilles d'eau!
A son injonction je prends le sac et je le suis. Direction grande corniche, puis un petit chemin. Il gare sa voiture et je le suis en portant le sac assez lourd! Arrivé à une clairière, je dois me déshabiller en gardant mes chaussures et immédiatement, je prends une volée de fessées, suivi de caresses bien sensuelles sur mes fesses probablement déjà roses! C'est bizarre et excitant cette alternance de douceur et de douleur!
A sa demande, il me demande d'enfoncer quatre pieux à l'aide du maillet à l'emplacement indiqué par son pied.
Puis Mon Maître me pose un collier un peu serré et une cagoule cuir également un peu trop serré, puis les bracelets aux chevilles et poignets, et me demande de m'allonger dans l'herbe sur le dos, tout nu bien sur.
Je sens une forte traction sur les bracelets et je me sens vigoureusement écartelé : il Fait chaud avec le soleil déjà haut et je commence à bien transpirer sous la cagoule cuir : ce qui m'excite et je me mets à bander sérieusement.
Combien de temps suis-je ainsi resté ainsi exposé à la vue de Mon Maître mais aussi d'éventuels passants?
De temps Mon Maître s'amuse avec mon corps qui commence aussi à bien transpirer.
Un premier arrosage me surprend, me rafraichit et me procure un grand plaisir. Il me semble alors que Mon Maître tire encore un peu plus sur les bracelets des poignets et des chevilles pour essayer de m'écarteler encore un peu plus!
De temps en temps je sens ses mains et sa bouche parcourir l'ensemble de mon corps en pleine sueur, en s'attardant plus particulièrement sur mes aisselles rasées, mes seins et surtout mon sexe en totale furie !
J crois qu'il a essayer de me poser un cokring avec beaucoup de difficulté! Deuxième arrosage encore plus agréable et à nouveau une palpation générale des plus sensuelles!
Je sens la sueur dégouliner sur mon torse bien transpirant, je n'ai plus aucune notion du temps qui passe.
Probablement une serviette vient m'essuyer les seins et je pressens la pose de pinces. Au début sensation bien agréable qui devient de plus en plus douloureuse sous la pression de plus en plus forte exercée par Mon Maître. C'est à la fois terrible et particulièrement excitant ce subtil mélange de douleur et de bonheur de sentir ainsi son corps à totale disposition d'une personne en qui on a totalement confiance!
Puis à nouveau une forte palpation générale des mains et de la bouche, s'attardant bien spécialement sur mes seins, au point d'arriver à enlever les pinces, ce qui m'arrache un fort gémissement de douleur et de soulagement!
Moment de pose avant un troisième arrosage encore plus généreux lorsque je sens mon sexe avalé, tandis que deux mains me triturent de plus en plus forts mes seins !
Je sens ma jouissance arriver, partagé entre la douleur sur mes seins et le plaisir et l'envie irrésistible de jouir !
Comme si Mon Maître sentait venir mon éjaculation, tout s'arrête et je suis bien déçu de cette arrêt ou de cette pose.
Pose à nouveau de pinces peut-être différentes sur mes seins déjà bien douloureux, je sens mes seins durcir et gonfler sous la pression de plus en plus forte, mais du plus en plus insupportable : je suis à la limite de ce que je peux supporter !
Nouvelle palpation et tiraillement de plus en plus fort au niveau des seins généreusement arrosés. A nouveau, mon sexe est avalé avec un travail simultanée sur mes seins et très vite je jouis de bonheur et de douleur simultanées!
Heureux et fier d'avoir pu offrir tout mon Corps librement et volontairement jusqu'à en jouir violemment pour les plaisirs bien partagés et simultanés.
Toujours en croix, je ne sais combien de temps je suis resté à attendre une libération et surtout le relâchement et la forte tension sur mes bras et mes jambes?
Forcément, j'ai été libéré et soulagé de pouvoir me relever sans la cagoule, ni bracelets et je me suis douché et rincé de mon sperme avec une eau bien tiède.
Lentement, j'ai remis mon short et un débardeur, ce qui a provoqué une nouvelle palpation sur mes seins, mais aussi également une descente de mon short pour mes fesses qui ont bien entendu claquer les mains de Mon dominateur!
" c'est fini" et rhabille toi, on rentre m'informe mon Maitre et je range le matériel dans le sac de sport, retour en silence et totalement satisfait de cette exposition temporaire bien excitante! A quand la prochaine fois je suggère ?
Arrivé à la maison, Mon Maître me dit " vient et suis moi" : j'ai oublié le dessert! Il m'emmène dans son garage et m'attache les poignets à un crochet au plafond, un bandeau sur les yeux et déchire mon débardeur avant de descendre short et slip.
Nouvelle fessée à mains nues. Je sens ses mains étaler un produit sur mes deux seins et je comprends vite que c'est un préalable à la pose de pompes! Grosses pompes à forte aspiration.
Je pensais que mes tourments étaient finis quand Mon Maître a fait pivoter les pompes augmentant encore un peu plus l'aspiration déjà bien puissante et douloureuse.
Mon sexe à nouveau en folie bande aussi douloureusement. Je commence à avoir des fourmis dans les mains, car Mon Maître n'a pas utilisé les bracelets mais plutôt enroulé bien serrée une corde autour de chacun de mes poignets. Je suis sur la pointe des pieds pour essayer de soulager la tension sur mes bras devient à la limite du supportable et étonnamment !je jouis à nouveau au grand plaisir de Mon Maître qui n'a pas eu besoin de me branler.
Nouvelle libération douloureuse de mes seins, dernière fessées manuelles avant de pouvoir remonter mon slip et mon short jean enfin je rentre chez moi torse nu, épuisé et heureux!
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Confortablement assi dans son jet privé, le dernier falcon de Dassault aviation, copieusement subventionné par son ami, le Président Vladimir, le général Valeri, qui ne lesigne plus sur les moyens, consulte le dossier en sirotant un excellent cognac du Causase. Il a un peu de mal a se concentrer. Il pense au délicieux depucelage de Valentina, sa seconde épouse, à son cul de rêve et à sa chatte anale de sportive bien serrée. Un délice. Il serait bien reste une semaine de plus, chez lui, à s'envoyer en l'air avec ses deux femmes. Il vient juste de les quitter et c'est déjà si loin. Une mission hard et très dangereuse. Exfiltrer un connard d'oligarque russe qui pensait faire de juteuses affaires au Soudan dans le dos du Président Vladimir. Ce con est à présent retenu comme otage par un groupe d'enrages armes jusqu'aux dents. Pas facile. Et comme toujours le danger donne envie de baiser.
A ses côtés, Xian, la terrifiante tueuse manchoue semble dormir. Rien à foutre. Valeri la retourne, lui baisse son pantalon, pas de culotte, et s'enfonce dans son anus serré. La manchoue se laisse faire. Elle a l'habitude avec Valéri. C'est son seul homme. Aucune aventure. Elle n'aime pas le sexe. Pourtant elle jouit chaque fois. Valeri lui caresse son délicat clitotis de la main pendant qu'il la pilonne. Ils jouissent tous les deux en même temps. C'est une de ses concubines attitrée et cela va très bien pour Xian qui ne supporterait pas d'avoir un homme à la maison en permanence. Il faut dire qu elle a été violée par un oncle lorsqu'elle était gamine et que le traumatisme est toujours là. Les hommes qui s'approchent trop près elle les castre et pas seulement psychologiquement. Avec Valeri c'est pas pareil, elle accepte ce rôle de soumise sexuelle totale. Il peut la prendre comme il veut et il est bien le seul. Et puis le sexe permet à ces deux tueurs de ne faire plus qu'un dans l'action.
-putain de merdier que le Soudan, lâche Valeri. Un bon terrain pour nos milices et faire de bons plans.
Xian ne dit rien. Elle médite. De toute façon Xian ne dit jamais rien. C'est à se demander si elle a une langue. Elle adore les missions avec Valeri. Elle prend plus de plaisir à "nettoyer" qu'à baiser. Surtout que cette fois ils vont tester les nouvelles armes expédiées par Kim qui a pris un contrôle quasi total sur le milliardaire chinois Lio et son épouse. Drones électriques ultra-légèrs et furtifs, fusils à tirs corrigés par intelligence artificielle et bien d'autres choses encore. Elle a hâte d'essayer ce nouveau matos, ce qui se fait de mieux dans le monde.
L'emplacement où l'oligarque russe est retenu est vite repéré et observé. Avec les fusils de très haute précision, Valeri et Xian font un carnage à distance. Plus personne n'ose pionter le bout de son nez. Il partent finir le reste au couteau. Deux ombres qui se glissent dans la nuit. Un autre carnage. Ils coincent le chef et ses trois femmes dans une pièce. Xian ne peut résister au plaisir de l'emasculer avant de le liquider. Ils retrouvent l'oligarque dans une pièce verrouillée, tout piteux et sale, avec des doigts en moins, sans doute pour le faire parler.
Valeri l'embarque dans un pic up des rebelles avec les trois femmes, les seules survivantes du carnage. Il compte les offrir en récompense aux policiers corrompus qui ont aidé pour faire le job. Elles sont superbes. Ils vont apprécier, même si une femme vaut moins qu'un bon chameau.
Retour dans le jet avec l'oligarque qui est menotte sur son siège.
- tu as des comptes à rendre connard.
Pendant le vol retour Valeri à besoin d'évacuer le stress de la mission. Les jolies petites fesses de Xian sont là pour cela. Mais cette fois il préfère sa petite chatte si délicate. Xian jouit très fort, mais en silence. Elle aussi a besoin.de se détendre un peu.
Valeri ne pense déjà plus qu'à la chatte de Roxana et au cul serré de Valentina. Il s'endort d'un coup au dessus de l'océan. Encore une mission réussie.
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Valentina est née garcon, pour la plus grande joie de son père au début, le sévère général Rostov et son plus grand desespoir ensuite. Un garçon unique. Le père rêvait d'une grande carrière militaire pour son fils. Mais dès le début Valentina s'est habillée en fille, peut etre née du profond désir de sa mère, la belle Anastasia, d'avoir une fille. Tout était en double. Elle devait être garçon pour le père, et fille pour elle même, ce qu'elle savait être sa veritable nature et identite. Elle a adopté très vite le style garçonne pour plaire au père et donc pas du tout efféminée mais style bagareuse.
Très vite elle a aimé la baston à l'ecole puis dans les classes secondaires. Voyant cela son père qui pensait toujours avoir affaire à un garcon, l'inscrivit très tôt à toutes sortes d'arts martiaux, pensant que ce serait bon pour sa carrière militaire future. Une championne ! Personne pour lui résister sur un tatami. Par contre, seule le soir dans sa chambre, elle passait une jupe et vivait en fille. Sa mère venait la voir et comprenait, toute heureuse de pouvoir discuter avec sa fille.
Arrivée à la puberté, ses petits seins avaient poussé, oh, pas comme ceux d'une fille cisgenre, mais plus que les pectoraux des garçons. Elle avait pris des fesses aussi et très peu de poils, de longs cils. Comme garçon elle ne passait plus. Alors un jour, elle est allée à l'école en fille. Une révolution dans cette école de préparation militaire. Le père a été convoqué. Sa fille était très belle. Adieu le petit Valentin! Elle a refusé tout net de continuer à s'habiller en garçon. Une rupture définitive. Grace aux puissantes relations de sa mère et à son talent de persuasion, elle a pu continuer les cours, désormais inscrite comme Valentina. Sa mère avait entamé les démarches pour cette transition, mais dans la Fédération de Russie, ce n'est pas la loi qu'il faut suivre mais les passe-droit et surtout les "dons" généreux. Anastasia avait les moyens.
Finalement le général Rostov accepta d'avoir une fille un peu spéciale et compris que la seule unité qui pouvait l'intégrer c'était le GRU. Ce dernier refusa et recommanda la milice privée du général Valéri, réputé pour ne sinteresser qu'aux compétences réelles.
La première recontre avec Valeri se passe très mal. Ce dernier lui demande de se foutre à poil et Valentina refuse. Valeri lui propose un combat et s'il gagne elle devra se foutre à poil. Non mais, cest pas cette fille qui va faire sa loi ! Valentina a beau être une championne, elle ne fait pas le poids contre le pire tueur de Russie, formé par un Grand Maître Nord Coréen, expert en techniques secrètes. Elle doit tomber la robe, sa culotte et montrer son joli cul. Valentina est fort belle, elle a pris quelques hormones de transition et sa poitrine est bien formée. Son pénis est imposant.
-tu es vierge?
-oui, je n'ai connu ni homme ni femme.
-Veux tu devenir ma deuxième épouse?
Valentina rougit et se demande si elle n'est pas tombée avec le pire fou de Russie.Pourtant, elle est troublée par le magnétisme animal que dégage Valeri. Elle sent son anus s'humidifier. Elle rougit encore plus.
-Bon remet ta culotte et ta jupe et allons diner. Je ne vais pas te violer et il faut d'abord que ma première épouse t'accepte. C'est elle qui va décider au final.
Valentina pense que le pire fou de Russie ne doute de rien. Pourtant troublée, elle accepte. Le soir même, ils partent en avion pour Sotchi ou Roxana est en vacances dans la luxueuse résidence offerte par le Président Vladimir pour services rendus.
La rencontre avec la première épouse est plus délicate qu'avec Valéri, le loup de l'Oural. Valentina se sent de suite à l'aise avec cette femme de la haute noblesse perse, toute en culture et raffinements. Elle regarde Valeri autrement et finalement elle sent l'émoi au fond de son coeur. Le soir, lors du repas, elle donne sa réponse:
-J'accepte de devenir la deuxième épouse.
Roxana la regarde, les yeux brillants comme des diamands noirs, lui prend la main.
-Tu es sûre de cela? tu ne pourras plus faire marche arrière. seul Valeri aurait droit de te répudier et sous certaines conditions. Tu devra lui obéir et te donner à lui. Tu devras m'obéir aussi.
-Oui Maitresse Roxana, je le veux.
-le mariage est le seul sacrement que l'on se donne soi même, je te prend comme deuxième épouse, dit Valeri.
Et comme il ne traine jamais en rien, il l'emmene aussitôt pour consomer et sceller le mariage et la depucelle. Valentina découvre le sexe et les joies incroyables des orgasmes par sa chatte anale. Valeri rassasié laisse sa place dans la couche à Roxana et sort fumer un havane face à la Mer Noire. Il laisse les deux femmes faire l'amour entre elles comme bon leur semble. Valentina se dépucelle une deuxième fois lorsqu'elle enfonce son pénis dans le vagin brulant de sa Maitresse. Une véritable extase.
Valeri recoit un appel sur son téléphone securisé.
-Salut Valeri, J'ai une mission urgente pour toi au Soudan, une exfiltration. Un hélico est en route pour venir te chercher. Il sera là dans 30 mn environ. Emmene ta Xian, ta manchoue si redoutable, tu risques d'en avoir besoin. Tu auras toutes les instructions dans l'Hélico. Bonne chance.
-Ok camarade Président. Un peu d'action me fera du bien.
-Je viens d'apprendre pour ta deuxième épouse. Je te souhaite plein de bonheur. Valentina est exceptionnelle. Sois discret c'est tout.
-Les murs de ma résidence ont des oreilles je vois. Après tout, je m'en fous.
-Tu es trop précieux Valéri ! Longue vie à toi !
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Exposition temporaire N°1 C.V Grillage
Après une demi-heure de marche à pieds dans la nature, Mon Maître s'arrête et m'ordonne de me déshabiller!
Je marche désormais nu comme un vers en pleine nature , quand soudain Mon Maître s'arrête , à sa demande je pose le sac à dos que je portais, fouille dedans et me pose la cagoule de cuir bien serrée avec le lacet noué derrière la nuque !
Désormais, je sui aveugle et encore plus à son entière disposition!
Je sens la pose des menottes bien serrées à mes poignets et mes chevilles et je me retrouve, nu cagoulé et mis en croix, attaché à un grillage en plein soleil.
Se savoir ainsi exposé en plein soleil, nu : quelle excitation bien facile à vérifier , dégoulinant de plus en plus de transpiration, combien de temps, suis-je ainsi resté sans aucune possibilité de mouvement ?
Puis des voix de plus en plus proches, des rires mêmes commencent à m'inquiéter ! Des gens vont-ils me voir et me trouver ainsi nu, attaché en croix en plein soleil !
Qui les a prévenus clandestinement qui bien sur ne m'avait rien dit, de mon exposition dans cet endroit plutôt désert ?
Surement Mon Maître, qui bien sur ne m'avait rien dit et qui en attendant avait bien du profiter du spectacle de mon corps librement et volontairement offert !
Les voix e rapprochent, puis se taisent, combien étaient-ils ? au moins 3 ou 4 qui maintenant chuchotaient !
Et ce qui devait arriver, arriva : des mains et des bouches parcouraient tout mon corps, s'attardant délicatement sur mes seins et mon sexe, voir même mes oreilles. Aussitôt Mes seins gonflent, durcissent, mon sexe qui bande encore plus fort à en devenir douloureux. Manquait plus que ce doigt inquisiteur et bien intrusif qui fouraillait mon petit anus vierge et bien fragile!
A la fois agréable, sensuel et dérangeant, ma transpiration et mon excitation était au maximum de ce qui me paraissait supportable : je n'avais jamais connu une telle situation !
Je suis au bord de l'explosion et prêt à jouir, quand je sens un lien autour de mon sexe et de mes testicules devenir de plus en plus serré !
Mes seins sont toujours avalés, mordus, aspirés, pincés, la pénétration anale encore un plus incisive devient presque insupportable mais ho combien jouissive!
Puis une main ouvre le fermeture éclair buccale de ma cagoule et alors un doigt cherche à attraper ma langue, puis une autre langue fourrage ma bouche!
Une main, peut-être même plusieurs en alternance avec une ou des bouches s'amusent avec mon sexe bien attaché! Mes seins deviennent de plus en plus volumineux, de plus en plus sensibles et douloureux! Mon sexe est en feu!
Je crois que j'ai hurlé de plaisir avec mon éjaculation libératrice si attendu et vivement souhaité
Epuisé mais heureux, une dernière fois les mains et les bouches ont parcouru l'ensemble mélangeant la sueur et le sperme !
Au bord de l'épuisement, , les voix se sont éloignés avec des rires forcés, je ne saurais dire combien de temps encore je suis resté ainsi exposé nu en croix et dégoulinant de sperme et de transpiration ?
Puis Mon Maître m'a libéré des bracelets et enfin de la cagoule !: dans le sac à dos, il y avait un vaporisateur de 2 litres et un gant de crin et une serviette de bain. Toujours nu comme un vers, au soleil, mains sur la tête, Mon Maître s'est occupé à me doucher, me masser vigoureusement au gant de crin avec projection d'eau tiède bien agréable et laver mon humble corps et pour finir un massage général bien sensuel en s'attardant plus spécialement sur mes seins encore bien douloureux.
Je me suis rhabillé et nous sommes rentrés sagement et tranquillement à la maison, sans un mot. Tout ceci s'est passé sous le regard complice, amusé, heureux, organisateur et complice de Mon Maître, tranquillement assis dans le petit fauteuil que j'avais apporté
Le soir, Mon Maître avant de dormir m'a posé une cage de chasteté, puis un collier et attaché chacun de mes pouces sur les anneaux de droite et gauche, j'ai dormi comme ça, sauf que de temps en temps Mon Maître tâtait mon sexe emprisonné et caressait l'ensemble de mon corps s'attardant plus particulièrement sur ma poitrine et encore plus sensuellement sur mes seins encore bien sensibles!
J'étais particulièrement fier et heureux de pouvoir partager sa couche !
Incroyable, mais vrai, si Vous voulez vérifier et expérimenter à Votre tour : je reste à Votre entière disposition en PACA !
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Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne.
Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine.
Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa.
Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte.
Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa.
Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie.
Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil.
Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie.
Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud !
.....................
Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition.
La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient.
Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie.
Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle.
Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage.
Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa.
Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé.
Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté.
Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix.
Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir.
Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa.
Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie.
Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses !
Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper !
Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies.
Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable.
Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements.
Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien.
Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions.
LE LENDEMAIN
Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin !
Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti.
Tiens, ils ont sorti le pilori !
Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ?
A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée.
Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa.
Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie.
D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire.
A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières.
J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort !
La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise.
Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope !
Ce n’est pas vrai ! Tu exagères !
Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir !
Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi.
Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie.
De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût !
Salope !!!!!
On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils !
Oh non, pas ça, j’ai trop honte !
Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées !
Non....
Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière !
Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie.
...................
Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument.
Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement.
Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café !
Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ?
Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée.
L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées !
J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille.
Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc
Pour demain soir si cela ne vous dérange pas !
..............
Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité.
Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge !
Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes.
Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa.
Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir.
Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse.
Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu.
Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas !
Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main.
Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa.
Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie.
Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets !
Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main.
Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon.
Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse.
Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi !
Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer.
Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage.
Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal !
Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie.
Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro.
Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc.
Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie.
Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée.
Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse.
Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu.
Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense.
En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler.
A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler.
Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment.
Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel.
..........
Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle.
A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game.
Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas.
Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa.
Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse !
Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot.
Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer.
Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre.
Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices.
Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations.
Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça !
Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses.
Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler.
Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet.
Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir !
Salope !
Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses !
Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa.
Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou.
Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet.
Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne.
Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents.
C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée.
Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher.
Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa.
Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels.
Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation.
Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée.
Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir.
Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins.
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Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission.
En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ?
Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa.
Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds !
Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises !
Tu es soumise parfois ? Demande Julie.
Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps.
Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine.
Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine.
Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture.
Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ?
Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ?
Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ?
En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier.
Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées.
Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ?
Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut !
Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer.
A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard.
Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein.
Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie.
Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur.
Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux.
Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert.
Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu.
Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe.
Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement.
Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse.
Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas.
oonnn en eu us ! Supplie Julie.
Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous.
Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ».
................
Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon.
Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ».
Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied !
Volontiers ! Répond Léa très motivée.
Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle !
La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées.
Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus.....
Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse.
Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce !
La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête.
Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée !
En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité.
J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa.
J’en pense que j’ai horriblement honte !
Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra.....
Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation.
Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où...
En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit.
Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose !
Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie.
Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure.
Aie ! T’es folle ou quoi ?
Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy !
Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère.
Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon.
Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile !
Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore.
A L’ATTENTION DES LECTEURS
Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique.
DERNIER JOUR DE VACANCES
Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne.
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A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ.
Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa
La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine.
Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise.
Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine.
Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc.
Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée !
Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles.
Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse.
Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour.
Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée.
La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur.
Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle.
Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie.
« ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ».
Mais tu es maso des fesses toi !
Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ?
En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie.
Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait.
C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur.
Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages.
Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge.
Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses.
Elles virent au bleu à certains endroits ma puce.
Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie.
Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser.
Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément.
Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée !
Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas !
Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin.
Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées.
Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses.
EPILOGUE
Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel.
FIN
TSM
Note de l’auteur
• Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes.
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-Bonjour Valeri, j'ai un cadeau pour vous. Voici vos étoiles de général de brigade de 1er classe et la medaille de diamant de la Croix de Saint Georges.
-Vous savez bien Président Vladimir que je me fous des titres et décorations.
-C'est pas pour vous Valeri, mais je suis bien renseigné, c'est pour votre épouse, Roxana, cette noble perse, qui adore les grades, médailles et décorations.
-Si c'est pour elle, alors OK. C'est vrai qu'elle veut toujours faire l'amour lorsque je suis en uniforme de cérémonie.
-Une femme remarquable et qui nous rend bien des services pour conduire les drones vers des cibles militaires. Mais je ne vous ai pas convoqué pour cela. Le camarade Prigojine a pété un cable. il braille comme un chien enragé. Il faut lui clouer le bec.
-définitivement camarade Président ?
-oui, par substitution d'un sosie. Nous en avons fabriqué un qui fera parfaitement l'affaire. Voici les détails de la manip.
Valéri les examine rapidement, assi sur le bureau de Vladimir, pose des questions.
-C'est Ok, j'ai la tueuse qu'il nous faut. Xian, une manchoue redoutable.
-Bon, vous avez les directives. A vous de jouer, mais sans droit à l'erreur, comme d'habitude.
-Bien ce sera fait suivant vos plans. Par contre, si Roxana aime les médailles, moi j'aimerai bien avoir une résidence pres de Stochi, pour les vacances et faire du ski en hélico dans le Caucase.
-Pas de problèmes, vous serez récompensé comme il se doit, et vous aurez même une médaille de plus pour faire plaisir à Roxana.
Valeri n'a pas perdu de temps. il a convoqué Xian, la tueuse manchoue. Avant de lui expliquer quoi que ce soit, il a commencé par bien la sauter. C'est sa façon de faire avec son effectif feminin. Cela permet des echanges en profondeur par mélange de fluide. Xian sait cela et elle est arrivée sans culotte, histoire de ne pas perdre de temps avec la bagatelle. C'est une tueuse pro. Baiser c'est pas son truc. Par contre, cette fois Valeri veut lui forcer les reins.
-Non, pas par la, j'ai l'anus trop serré et votre pénis est bien trop gros.
Valeri n'a même pas écouté. Il s'est empalé d'un coup. Xian n'a plus rien dit. Dans ce petit cul de manchoue, Valeri a vite joui. Il a senti Xian se détendre et finalement aimer cela. Ils discutent à présent de l'opération en buvant un thé. Après l'amour c'est plus détendu. Une espionne doit savoir baiser, même si c'est pas son truc, c'est du moins la doctrine de Valeri.
La colone de véhicules et blindés légers fonce sur Moscou. Le Prigojine est tombé dans le piège et il ne se doute de rien. Depuis Rostov, le trajet est long et une halte est prévue pour satisfaire à des besoins et se ravitailler. C'est là ou se trouve le piège, dans cette aire d'autoroute pour refaire les pleins et se sustenter.
Prigojine a voulu aller pisser. Avec son pistolet et une balle dans le canon, il croit ne rien risquer. Son garde du corps l'attend devant la porte. Il baisse son pantalon. Tout est allé très vite. Un plouf, et le garde du corps s'est effondré. Xian est entrée comme une ombre. Trois frappes très précises sur des points vitaux secrets et Prigo ne pouvait plus ni bouger, ni parler.
Xian sort un fin couteau manchou et émascule d'un coup le Prigo. Elle arrose la plaie de gel d'azote liquide pour empecher le sang de couler. elle jette les organes de Prigo dans la cuvette et tire la chasse. Un extra qu'elle a rajouté au plan. Prigo n'a pas mal à cause de son bas ventre gelé à l'azote. Pourtant ses yeux expriment toute sa terreur. C'est fini pour lui. Deux frappes simultanées avec les pouces pliées sur ses tempes. un éclair dans son cerveau. il a déjà rejoint le territoire des ombres.
Le faux Prigojine sort de sa cachette. Tout est nettoyé. Plus aucune trace de l'élimination. Le faux Prigojine rejoint le restaurant, même démarche, même voix, même gouaille. Ses hommes n'y voient que du feu.
Quelques heures plus tard, le faux Prigo annonce sa redition. La manip a parfaitement réussi.
Valeri decouvre sa nouvelle résidence sur les bords majestueux de la Mer noire. Il a passé son bel uniforme de gala avec ses étoiles et ses décorations. A ses bras Roxana est rayonnante. Valeri devine que la culotte de sa femme est trempée de délicate cyprine parfumée. Il ne perd pas de temps à visiter. Il a une furieuse envie de baiser lui aussi. Il la viole presque sur une peau d'ours de siberie dans le salon. Roxana est insassiable ce jour là. Elle a envie d'etre fouéttée et sodomisée.
Pas de problème pour Valéri. Il enfonce sa petite culotte dans la bouche de sa femme aux anges. il la ligote et sort son fouet de chasseur de loups. il fouette les fesses sublimes de son épouse et une fois qu'elles sont bien rouges et brulantes, il la sodomise d'un coup. Elle se cabre puis se détend. Roxana jouit mieux lorsqu'elle est prise par les reins. Une vrai chatte perse. Ses yeux sont révulsés. elle explose les orgasmes. Valeri prend tout son temps.
Après l'amour, il allume un bon havane et se sert un excellent cognac local. Roxana, nue, le dos zébré de longues marques rouges vient le rejoindre et ses love dans ses bras.
-Toi tu sais parler aux femmes.
-c'est de l'humour perse? Tu sais bien que je ne cause pas pendant l'acte et même avant.
Roxana n'a pas répondu. Elle est au courant de toutes les infidelités de son époux. Elle n'en est pas jalouse, au contraire , elle en est fière. En Perse, les hommes riches se doivent d'avoir femmes, concubines et aventures. Seule l'épouse doit rester totalement soumise et fidèle.
-j'aimerai bien que tu prennes une deuxième épouse. Je pense que je l'aimerai beaucoup moi aussi. Pourquoi pas cette manchoue si redoutable.
-Non pas elle, elle est froide comme un iceberg. Mais promis je vais en chercher une qui te plaise à toi aussi.
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La jeune femme serait entourée de sœurs de soumission. Il était difficile de savoir si elle en serait fière ou non. Il était également convenu qu'un jeune homme serait dressé. Autour d'elle, tout avait l'air étrangement calme et inanimé. Le temps lui-même semblait figé, inerte, exactement comme si cet instant de sa vie s'était tout entier contracté et que rien ne lui succéderait jamais. Un tel déni de réalité avait forcément une explication. Ce rôle que le destin lui attribuait tout à coup s'apparentait à la vérité. Elle savait quelle demeurait transparente aux yeux de sa Maîtresse. Il est vrai qu'elle ne faisait rien pour attirer son regard. Elle n'était pas du tout le genre de femmes à débarquer dans une soirée cheveux au vent, les seins débordant d'un haut trop petit, moulée dans une jupe très sexy et arborant des chaussures à talons vertigineux. Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention. Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se degorgea. Epuisée, des gouttes de sueur étaient venus éclater sur ses épaules, mais elle était fière de l'hommage buccal rendu à la chair durcie. Pendant ce temps, le jeune soumis, agenouillé sur le sol, les yeux baissés, se masturbait lentement, obéissant aux ordres qui lui intimaient de ralentir le rythme de sa carence infamante. On lui ordonna de jouir et presque aussitôt, il lébéra un jet de sperme qui éclaboussa les dalles de pierre. Il fut obligé de lécher jusqu'à la dernière goutte. Puis il fut flagellé pour avoir éjaculé aussi abondamment. Elle était résolue, avec plus de rage que d'élan. On lui avait demandé de retirer ses bas et de demeurer muette. Ses jambes effectuaient alors une drôle de rotation, et elle se mit à tourner sur elle-même, les bras écartés à la façon d'un pantin désarticulé, tandis que les mouvements de son corps semblaient complètement déconnectés de sa conscience, les yeux perdus dans le vide, aussi dépourvue de ressources qu'un animal attaqué par le non-être. Pourtant, elle savait qu'elle n'avait pas le droit de se laisser à la peur.
Elle lui avait caressé les cheveux, l'avait embrassée comme autrefois. Son amante lui avait dit: "On appelle ça de l'amour". Alors, elle voulait se racheter par orgueil, pour prouver qu'elle pourrait devenir un jour une parfaite esclave, enviée de tous les Maîtres, sujet d'orgueil de la seule qu'elle vénérait, sa Maîtresse. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne. Elle se rendait compte également que sa façon de tout prendre en charge effrayait la plupart des femmes, même si Juliette ne s'en plaignait pas, bien au contraire, de son efficacité pendant les heures de bureau ou dans un lit. On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite, qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair. Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Charlotte prit plaisir à exhiber ainsi son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette et de ses invités, en acceptant le supplice pour être digne d'elle. Elle n'était plus à elle, et ce qui d'elle était le moins était certainement cette moitié de corps qui pouvait si bien servir en dehors d'elle. Le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait en la réhaussant dans son statut d'objet sexuel. Que ce désir de soumission ait pu se transformer un jour en une affection mutuelle et exclusive devait relever d'une conjonction astrologique.
La jeune femme savait maintenant que c'était l'histoire d'un amour. Quand on est forte, on ne laisse pas les autres démolir cet amour. Quand on est forte, on ne décide pas de se cacher. Même si cette relation n'était pas non plus tout à fait dénuée d'arrière-pensées, de part et d'autre. Quelque chose d'indéfinissable semblait avoir pris le contrôle de son cerveau et commandait à son corps de jouir de cette humiliation prégnante magnifiée par son obéissance servile. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités. Juliette prit tout son temps, étalant longuement l'huile sur sa peau frémissante, glissant le long de ses reins, sur ses hanches, ses fesses, qu'elle massa doucement, puis entre ses jambes. Longuement. Partout. Elle s'aventura bientôt vers son sexe ouvert, écarta doucement la sa chair et introduisit alors deux doigts glissants d'huile en elle. Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle. Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'inconnu, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes. Mais on lui opposa un refus bref et sévère. Une angoisse incontrôlable l'envahit alors.
Son amante était une femme de génie et une personne très séduisante. Elle avait des yeux auxquels on obéissait toujours et elle parlait d'une montagne inconnue, beaucoup de bonté et monstruosité. Pourquoi, à chaque fois qu'elle le constatait, en était-elle, non pas surprise, mais comme persuadée à nouveau, avec à chaque fois aussi fort le même trouble qui l'immobilisait, et qui la livrait davantage ? Qu'importe que des hommes se soient servis de sa bouche comme celle d'une putain, qu'on la malmenât et l'abreuvât de leur plaisir, c'était une forme ultime d'humiliation, et Juliette en était tout à fait consciente, comme elle était consciente d'être dans ces moments-là la complice objective de sa perversion, qui frôlait souvent par sa passivité la complaisance. Charlotte lui paraissait seulement plus pâle, mais encore plus désirable qu'à son habitude, dans ses manières humbles et son air abattu,qui la prédisposaient encore plus favorablement. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement. Charlotte n'était plus l'ingénue libertine de ses débuts, elle avait gagné ses galons d'objet servil. Elle ne pouvait, puisqu'elle l'aimait, qu'aimer tout ce qui venait de Juliette. Sa Maîtresse obtiendrait sa soumission, non malgré elle mais pour l'incomparable plaisir de lui appartenir. Béatrice, à la fin du repas, interrompit ses méditations en lui ordonnant de s'agenouiller pour recevoir quelques coups de fouet avec laquelle elle marqua ses seins de longues estafilades que Charlotte fut longtemps fière d'exhiber. Puis, elle lui pénétra les reins avec un olisbos plus épais, mais très court, qu'elle décida de laisser en place jusqu'à la fin de la soirée, avant de la forcer à s'asseoir sur le tabouret, de lui bander les yeux et de lui lier fermement les mains derrière le dos avec des menottes, en lui ordonnant de cambrer au maximum ses reins, de façon à renfler sa poitrine. Les Maîtres s'approchèrent d'elle, et sous la lourdeur des regards,se déversèrent tous sur son visage, ou sur ses seins nus offerts. On la libéra ensuite pour l'attacher de nouveau à la croix de saint André. Ainsi contrainte, il ne lui serait plus possible de se caresser et de jouir de ses propres caresses, la douleur se muant lentement en plaisir. Elle s'endormit en souriant, impudique mais heureuse..
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Au début le milliardaire chinois lio avait souri. Il pensait faire une belle séance au pied de sa sublime maîtresse, la nord coréenne Kim. Lio, la cinquantaine, bien marié, bon père de famille, riche à milliards avait cru au début à une simple aventure. C'est Kim qui l'avait viole dans son bureau. Un rdv qu'il croyait facile avec une militaire qui voulait lui acheter pour une milice privée russe des drones dernière generation. D'habitude c'est lui qui violait la fille avant toute discussion. Le vagin plein de sperme facilitait les négociations. Mais là, il n'avait rien pu faire. Kim l'avait neutralise comme s'il n'était qu une mince feuille de papier et l'avait broyé. Elle l'avait ensuite empale sur un énorme god ceinture. Il n'avait même pas pu hurler. Kim savait agir sur ses points vitaux pour le paralyser. Et lio avait jouit du cul comme jamais il n'aurait pensé cela possible. Des orgasmes de la prostate à répétition. Son sperme avait coule et Il avait du tout nettoyer.
Depuis cette salope de Kim le tenait par les couilles. Il était devenu accro complet de cette folle qui le battait, le giflait, l'humiliait sans cesse, le fouettant jusqu'au sang. Après elle le baisait et il jouissait toujours très fort, très vite et en cascades. Cette salope de Kim l'avait cocufie en allant sauter sa femme devant lui. Depuis il portait et les cornes et une cage de chasteté.
Il ne s'était pas méfié ce jour là. Un énorme gode en porcelaine. Avec comme des tores toujours plus gros jusqu'à la base. Et Kim l'avait empale dessus. Les premiers tores étaient rentrés faciles. Il avait jouit fort. Mais à présent il avait peur. Et cette folle de Kim qui semblait l'ignorer. Il voudrait hurler. La peur cela ouvre le cul, c'est bien connu. Un tore de plus!!! Largeur ballon de rugby 🏉. Le prochain c'est largeur ballon de football ⚽️. Une horreur. Il a le cul tellement ouvert à présent que cela se déchire à l'intérieur. Et celle folle de Kim qui l'ignore. Il voudrait hurler. Maudit points vitaux bloqués par cette salope. La trouille terrible est la. La peur de mourir. Et zou le ballon de foot est entre.
Kim s'approche et lui tire une paire de baffes bien sonores.
- Non, tu vas pas mourir connard. Mais tu vas racker des milliards. Notre chef Valeri en réclame. On va juste te mettre à contribution. Tu veux bien faire plaisir à ta maîtresse et dire merci ?
Lio a dit oui des yeux. Cela l'a fait jouir. Et merde...un tore de plus dans le cul. Kim l'arnache avec des cordes pour stopper l'empalement. Cette salope va le laisser comme cela longtemps. Elle eteind la lumière et le laisse dans le noir avec son cul explose et defonce.
-A demain, connard. Je file au resto avec ta femme et je vais bien la baiser après. Un de ces jours on mangera tes couilles grillées devant toi.
Une folle!!! Et rien que d'y penser lio a encore jouit très fort.
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Le journal à la main, par cet après-midi de printemps, il monte dans la rame de la ligne numéro un, répète tout ce qu'il va dire à son futur employeur. Les roues de caoutchouc glissent dans les rails, la rame entre en gare dans la station Étoile. Parmi la nuée de passagers avalés par l'espace confiné, une jeune femme d'une trentaine d'années, vêtue d'une jupe courte prend place sur le strapontin d'en face et croise ses jambes de gazelle. L'affluence augmente la chaleur ambiante. La houle du train balance les corps qui, défiant les lois de la pesanteur, tentent de demeurer droits. Les bras suspendus à la barre centrale dégagent une odeur de transpiration. Un freinage un peu brusque, une agitation qui prépare la prochaine descente, les jambes de gazelle se déploient, s'écartent à peine. L'œil de Vincent accroche alors le fond de la culotte, la femme voit qu'il la regarde, elle le toise, hautaine, pimpêche. Il la déteste sur le champ. Impression curieuse, les boutons de son jean compriment sa verge et lui font mal. Elle descend, gracile, le fixant toujours droit dans les yeux. Vincent ne peut s'empêcher de se détacher de ses deux amandes provocatrices. Il emboîte le pas, oubliant le journal. Elle accélère, lui aussi. Le couloir est long jusqu'à l'escalier qui mène au grand jour. La bouche de métro les crache avenue Charles-de-Gaulle. Les rais du soleil l'éblouissent, il croit la perdre de vue. Son regard rapide ratisse le trottoir. Les jambes longilignes piétinent le macadam à l'arrêt du 43. Vincent s'approche, se colle presque tout contre elle. L'effluve de son parfum l'excite, une odeur inédite, certainement inabordable; le corps devant lui se raidit. Combien de fois, Charlotte, la pointe de mes seins s'était-elle dressée à l'approche de tes mains ? Combien de fois au petit matin ? À la sortie de la douche ? Le bus arrive, la belle monte et s'assied juste derrière le chauffeur. Le siège de derrière est occupé. Vincent s'installe sur la banquette opposée. Il observe le profil racé, les traits de la jeune femme sont crispés, le froncement du sourcil trahit l'inquiètude et il s'en réjouit. Il la dévisage longuement, admire le galbe de ses seins semblable aux contours d'un joli pamplemousse et rêve de se désaltérer au fruit défendu. La jeune femme lui paraît de plus en plus nerveuse. Ils descendent à la même station devant le musée des automates. Elle prend un ticket et dépasse le portillon. Vincent est frustré, il ne peut payer l'entrée. Tant pis, il attendra dehors, il fait beau et il doit se calmer mais elle se retourne. Je posais le livre sur la couverture. La ligne du 43, c'est celle que nous empruntions le dimanche pour aller promener le chien. Même le chien, tu l'avais oublié. "- Vous ne me suivez plus ! Vous n'aimez pas les automates, peut-être ?" Quelle prétention dans la voix. Vincent va la faire plier cette pimpêche, elle ne perd rien pour attendre. Il la suivra jusqu'au moment propice où il pourra se l'approprier, même si cela doit lui prendre des jours et des nuits. Il achète un ticket pour le musée. Vincent a soudain peur. Jamais il n'a connu ce sentiment. Il suit la croupe légère qui s'enfonce dans la salle des automates. L'obscurité est quasi complète, seuls des spots blafards éclairent les drôles de pantins qui répètent dans un mouvement saccadé des gestes identiques. Une voix suave conte l'histoire des curieux personnages. Le jeune homme n'a jamais vu un tel spectacle et s'approche du cordon qui barre l'accès aux créatures magiques. La fraîcheur de la pièce contraste avec la chaleur du dehors.
Et bientôt, la magie s'opère dans le musée. Les deux êtres deviennent alors, bien malgré eux, des personnages de roman. La jeune femme vient se coller à lui, ses cheveux effleurent la joue rasée. Elle le prend par la main. Une main chaude et douce, rassurante. " - Venez plutôt par là, c'est mon préféré!." Vincent ne s'intéresse plus au jouet de fer mais à cette main qui pour la première fois s'est tendue à lui. Ils sont seuls dans la pièce. La main le guide habilement d'un personnage à l'autre, les doigts graciles pressent les siens. Elle les arrête devant un duo. Il regarde. Une petite tête de fer avance et recule la bouche ouverte sur un pénis rouillé, la nuque du propriétaire balance de droite à gauche dans un lent et imperceptible grincement. L'image de ce pénis rouillé, Charlotte ..."- Quel souvenir !" Je reprenais hâtivement ma lecture. "- Il manque d'huile, vous ne trouvez pas ?." Mais elle le provoque ! Le jeune homme sent monter en lui une sève brûlante, son gland le tiraille, sa violence originelle le tenaille, il ne peut plus se retenir et tant pis s'il fait mal à cette main tendue. Il se dégage et soulève la jupe. Il s'attend à un cri. La jeune femme ne dit rien, elle accélère seulement soudain le rythme de sa respiration. Vincent ne comprend rien. Il s'en moque. Pressé par son désir, il fourre sa main sous le tissu et plonge ses doigts à l'intérieur du sexe humide de sa proie. Nul besoin de dégraffer son jean, une main habile vient à sa rencontre qui se faufile et aggripe sa verge. Elle le masturbe frénétiquement. La jeune femme se plie en deux, enfonce le gland gonflé au fond de sa gorge et mime avec application la scène des deux pantins. La béance boulimique l'avale littéralement, tentant d'atteindre la luette. Prêt à décharger, possédé par l'étrange créature, il la relève. Ses bras costauds soulèvent ses cuisses légères, seule la pointe des pieds résiste à cette élévation. Il l'empale sur son jonc tendu. Malgré les ongles qui éclatent la peau, la jeune femme se laisse glisser avec volupté sur cette gaillarde virile. Le rythme fort de leur respiration s'accorde, laissant à la traîne le grincement de l'automate. L'instant d'après, l'extase les submerge, vertigineuse et folle. Jamais personne ne s'est offert à lui avec tant de générosité. La jeune femme desserre l'étreinte, elle agite le pied gauche, son bénard en soie bordé de dentelle coulisse le long de sa cheville. Dans un geste rapide, sa main froisse l'étoffe soyeuse et la fourre dans son sac à main. La déculottée trémousse son arrière-train, rajuste la jupe et quitte les lieux, assouvie d'un plaisir charnel. Le jeune homme la regarde s'éloigner, déjà elle ne le connaît plus. Pourtant, elle se retourne, pédante: "- Il vous reste beaucoup de choses à apprendre". Et toi, Charlotte, que te restait-il à apprendre ? Tu croyais tout savoir en matière d'amour. J'aurais tant aimé, à cet instant de la lecture, que tu sois près de moi. J'aurais pu alors t'embarquer pour de nouveaux voyages. Pourquoi m'as-tu quitté, espèce de garce. Je soupirais et je reprenais, j'étais là pour te haïr, pas pour te regretter. Quelle littérature de gare !! Vincent n'a plus qu'une obsession, retrouver cette offrande, ce don divin balancé de la voûte céleste. Lui qui n'est pas croyant se surprend même à prier, à supplier, mais le ciel n'est jamais clément à son égard. Les jours, les mois défilent. Le miracle ne daigne pas s'opérer. Chaque jour, le jeune homme emprunte le même chemin, celui qui l'a mené à ce sexe offert. Fébrile, il l'attend. Errant dans les bouches de métro, les gares, les cafés, tous ces lieux où se croisent les âmes non aimées, il cherche les jambes de gazelle qui lui ont échappé. Un après-midi d'hiver, alors que les flocons de neige mêlés au vent du Nord flagellent les visages, Il remarque deux chevilles montées sur des talons aiguilles qui abandonnent les marches du 43.
Le bus et le blizzard l'empêchent de distinguer la silhouette. Emmitouflée dans un long manteau de fourrure, la créature est là en personne. Elle lui passe devant sans un regard et d'un pas lourd et rosse enfonce son talon pointu dans l'extrémité du godillot. La douleur aiguë qui le transperce, soudain se transforme en une érection subite. "- Encore vous ! Suivez-moi !" Le ton péremptoire ne supporte aucune discussion. Rien n'a changé dans la salle obscure, si ce n'est la chaleur, contraste des saisons. Tant d'attente ! Vincent brûle d'impatience. Il peut encore et il pourrait des milliards de fois s'il le fallait. Un regard rapide atteste de leur heureuse solitude. Le jeune homme se jette sur la fourrure, il va lui montrer ce que c'est que de faire trop patienter un tronc assoiffé. Saisissant la chevelure, il fait plier le genou gracile et guide la tête vers son sexe. Il veut l'humilier. Brusquement, un mouvement de recul et les perles de porcelaine incisent cruellement son derme. "- Pas tout de suite, suivez-moi d'abord". Vincent, blessé, obéit. Les talons pressés dépassent le couple d'automates où l'huile fait toujours défaut, mais n'y prêtent aucune attention. "- Fermez les yeux !" Le jeune homme se laisse conduire par cette main qui, une fois encore, se tend à lui. "- Ouvrez maintenant. Là, regardez. N'est-ce pas extraordinaire ce travail de précision ? " Vincent découvre deux automates. L'un tient un manche à balai qu'il introduit chirurgicalement dans le trou du derrière de l'autre figurine. Face à ce mécanisme parfait, l'homme sent poindre les foudres du désir, résiste tant qu'il peut à la lave incandescente. La belle se met à quatre pattes sur le sol glacial, relève la pelisse. Le balancement de sa croupe se met à l'unisson de celui de la pantomime. La chute des reins de fer aspire le bois rugueux. La bande sonore, très généreuse en détails impudiques, crache de façon nasillarde, l'histoire de Sodome et Gomorrhe. Le jeune homme n'en a cure. Seuls les mots suggèrent à son membre contrarié, nourri d'une sève prospère, le chemin à suivre pour atteindre la voie promise. À genoux derrière elle, il presse son pouce tout contre l'ovale brûlant, la fente muqueuse. Le nid douillet gazouillant semble suinter de tous ses becs. Et d'un geste puriste, la jeune femme désigne le bout de bois. Pinocchio ravale son désir et se met à fouiller partout en quête d'un balai. Essouflé, le dard raide, il revient du pont d'Arcole, victorieux. À la pointe de son bras jubile l'objet du caprice. L'aide de camp Muiron dormira ce soir sur ses deux oreilles. Enfin, le jeune homme va pouvoir se mettre à l'attaque, la tenir au bout de cette étrange queue. S'enfoncer loin dans le noir, l'entendre le supplier de ne pas s'arrêter. Mais lui, Vincent, n'est pas un automate que l'on remonte à l'aide d'une clef. Fait de chair et de sang, comme les grognards de l'Empereur, ses sens aiguisés, le cerveau vomira tous ses fantasmes, peut-être même juqu'à la dernière charge. Ce sera son Austerlitz à lui. Le jeune homme prend son élan, ferme les yeux et plante sa baïonnette. Le manche à balai lui revient en pleine figure, lui arrachant la moitié du menton. Le bois a cogné le carrelage et a ripé. Hurlant de douleur, il se penche, une main appuyée sur sa mâchoire endolorie, l'autre prête à saisr son arme. La belle a disparue. Stupéfait, notre hussard bleu tourne en tout sens, agité comme un pantin désarticulé. Plus de pelisse, plus de petit cul offert, plus rien. Seule une voix impertinente: "- Décidemment, Vincent, vous n'êtes pas un artiste, jamais vous ne comprendrez le mécanisme automatique". À cet instant précis du récit, je jubilais. Je te voyais toi, Charlotte, et je répétais à voix haute, la phrase machiavélique qui te réduisait en cendres. J'étais si contente de te voir humiliée de la sorte que je n'ai rien entendu. Soudain, le livre m'échappa des mains, un corps gracile s'était abattu sur moi, entraînant dans sa chute la lampe de chevet. Mon cœur s'arrêta net de battre dans le noir. Je laissai des mains inconnues cambrioler mon corps paralysé de terreur, voguant sur mes seins, mes reins, à l'intérieur de mes cuisses, comme une carte du Tendre. Les méandres de mes courbes, ces doigts agiles les connaissaient par cœur. C'est alors que je te reconnus. Moi qui désirais tant te détester, je ne pus résister au supplice de tes caresses. Innondée de plaisirs, je m'offris à toi, assoiffée, je t'avais dans la peau, bien sûr, tu le savais, tu étais une artiste, Charlotte, à l'encre de ma rage. Je te remercie d'exister.
Hommage à l'œuvre littéraire de Roger Nimier.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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La mer n'avait pas changé. Sa rumeur et son odeur étaient les mêmes, les vagues allaient et venaient comme celles de jadis. Vingt ans plus tôt, Juliette avait contemplé l'océan depuis cette même plage en songeant à la vie qu'elle avait devant elle, et à présent, elle sentait le sable râpeux sous ses pieds et la brise iodée emmêler ses cheveux. Elle inspira profondément et ferma les yeux. Le noir derrière ses paupières l'aidait mieux que celui de la nuit à se perdre dans le passé pour éviter de penser à l'avenir. En ces derniers jours du mois de mai, le fond de l'air était encore frais, et son chemisier et sa jupe de coton ne lui tenaient pas très chaud. Elle croisa les bras sur sa poitrine pour se réchauffer, en pensant, cependant, que ses frissons étaient une réaction appropriée aux souvenirs de cet été désormais si lointain qui revenaient en trombe. Les souvenirs qu'elle avait de lui, jeune écrivain d'une force et d'une précocité monstrueuses. Vingt ans durant, elle avait essayé de l'effacer de sa mémoire, pour se retrouver, de retour sur la plage de Donnant, tout aussi incapable de l'oublier qu'elle l'avait toujours été. Elle leva le visage, et la brise repoussa ses cheveux en arrière. Elle ouvrit la bouche pour l'avaler et s'en régaler. L'odeur iodée emplit ses narines et enveloppa sa langue, saisissant son esprit comme s'il s'agissait d'une friandise. Elle était stupide et trop âgée pour croire aux contes de fée. Et les voyages dans le temps n'existaient pas, il n'y avait aucun moyen de retourner en arrière, aucun moyen, même de rester simplement au même endroit. Son seul choix, le seul choix que quiconque avait, c'était d'aller de l'avant. Cette pensée en tête, elle avança. Un pas, puis un autre. Ses pieds s'enfoncèrent dans le sable et elle se tourna pour regarder la terrasse de sa maison et la bougie solitaire qui y luisait. Un coup de vent agita la flamme et la fit vaciller, et Juliette s'attendait à ce que cette frêle lumière s'éteigne, mais celle-ci résista vaillamment derrière sa cloche de verre. La maison se trouvait pratiquement isolée à l'époque, se rappela-t-elle, tandis qu'à présent, il fallait supporter la joie bruyante des enfants et celle des surfeurs en herbe osant affronter les rouleaux de Donnant. Elle avait découvert à son arrivée la villa tapageuse de trois étages construite juste derrière la maison centenaire, aussi nouvelle pour elle que les dunes tachetées d'algues, inexistantes vingt ans plus tôt. Cependant, au mois de mai, les vacanciers n'avaient pas encore pris leurs quartiers d'été, et, à l'exception d'un bungalow au loin dont elle voyait les fenêtres éclairées, les autres habitations acadiennes semblaient vides. Elle fit encore un pas. La mer était trop froide pour nager, sans compter que le reflux risquait d'être puissant. Pourtant, poussée par les souvenirs et le désir, elle ne résista pas à son envie d'avancer vers les flots. Juliette s'anime de mouvements amples et se tend à la rencontre de l'autre, à leur accords et à leurs noces.
L'océan lui avait toujours donné une conscience aiguë de son corps et de ses cycles. Les marées soumises à la force d'attraction de la lune, lui avaient toujours paru un phénomène très féminin. Elle n'avait jamais été une grande nageuse, mais lorsqu'elle se trouvait au bord de la mer, Juliette se sentait plus vivante et plus sensuelle. Elle avait connu les eaux chaudes des Bahamas et les vagues froides de la côte bretonne, la douce houle du golfe du Morbihan, mais aucun de ces lieux ne l'avaient autant ensorcelé que ce bout de terre isolé et les eaux qui le baignaient. Belle île en mer était unique dans la cartographie de sa mémoire. Et vingt-ans après, de façon heureuse, le charme était plus fort que jamais Elle sentit sous ses pieds le sable compact et humide que la dernière vague venait de lécher. L'écume blanchissait ici et là le rivage, mais l'eau ne touchait pas encore sa peau. Elle avança avec précaution en tâtonnant avec ses orteils pour ne pas trébucher sur un rocher ou se couper avec un coquillage. Un pas de plus, et elle sentit le sable plus mouillé, doux et fuyant. Elle rouvrit la bouche pour aspirer les gouttelettes invisibles que l'air charriait, et les savoura comme elle l'avait fait avec la brise. Avant qu'elle ait fait un autre pas, une nouvelle vague échoua sur ses chevilles et la tiédeur enveloppa ses mollets en éclaboussant ses jambes nues. Juliette s'accroupit lentement et les flots embrassèrent son corps tel un millier de baisers, l'écume trempant son short. Elle frissonna de plaisir, et se laissa aller en arrière pour que l'eau couvre son visage de sa volupté iodée. Elle contint sa respiration jusqu'à ce que la vague se retire. Elle ouvrit les bras, mais l'océan ne se laissait pas étreindre, et elle referma les paupières, ses yeux la brûlaient à cause du sel de la mer et du soleil. Ils avaient fait l'amour sur cette plage, leurs cris couverts par la clameur de l'océan. Il l'avait caressé et embrassé jusqu'à la faire trembler. Elle avait guidé son sexe en elle, croyant lier leurs corps pour toujours. Elle s'était fourvoyée. Peu importait qu'ils aient vécu un été de passion, leur histoire n'avait pas tenu. Le plaisir était éphémère, elle le savait, et tout avait une fin. Elle commença par se caresser.
C'est le soleil qui la tira d'un sommeil bienheureux, un soleil ardent, né de tout. Le sable érafla sa peau lorsqu'elle pressa ses seins. Juliette écarta ses cuisses pour que la mer lèche son sexe et elle souleva ses hanches, nostalgiques du poids qui répondait à son mouvement, autrefois. Les eaux se retirèrent, laissant son corps exposé à l'air froid de la nuit. D'autres vagues bercèrent son corps. Cela faisait très longtemps qu'elle ne s'était pas donné du plaisir, si longtemps que ses mains semblaient appartenir à une autre femme. Il n'avait pas été son premier amant, ni le premier homme à la conduire à l'orgasme. Il n'avait même pas été son premier amour. Mais il avait été le seul à la renverser rien qu'avec un sourire, et le seul à la faire douter d'elle-même. Son immense talent littéraire et sa grande modestie. Pour lui, la vie était un roman. C'était un personnage de roman. C'était avec lui qu'elle avait plongé au plus profond de la passion, pourtant elle ne s'y était pas noyée. Pourquoi cet amour d'une saison continuait-il à l'habiter ? Ce n'avait été qu'un chapitre dans le livre de sa vie, à peine quelques pages. Elle avait passé plus d'années sans lui qu'avec lui, beaucoup plus. Mais plus rien de cela ne comptait. Lorsqu'elle se caressait, c'était à son sourire qu'elle pensait, à sa voix murmurant son prénom, à ses doigts enlacés aux siens. La main qui saisit sa cheville était aussi tiède que l'eau, et le temps d'une seconde, elle pensa qu'il s'agissait d'une algue. Le poids d'un corps, un poids solide, la recouvrit. Elle ouvrit la bouche et ses lèvres rencontrèrent un vrai baiser. Elle aurait dû crier et se défendre de cet inconnu qui arrivait de nulle part, sur la plage de Donnant dans le noir. Mais ses mains ne lui étaient pas inconnues. Ce n'était qu'un fantasme, une simple chimère, mais peu lui importait. Elle s'ouvrit à lui comme elle s'était ouverte à la mer. Demain, lorsque le soleil se lèverait sur sa peau écorchée et rougie par le sable, elle aurait le temps de se traiter de folle, mais, cette nuit, l'appel du désir était trop fort pour s'y soustraire, son corps la poussait à céder. Elle sentit ses mains puissantes s'enfoncer dans ses cheveux, il l'attira contre lui pour s'emparer de sa bouche. Sous elles, elles pouvait sentir le relief de ses vertèbres. Les vagues allaient et venaient, mais la marée baissait et les flots ne les couvraient plus. La mer le lui avait ramené, et elle accepta ce don sans se poser de questions. Tout ce qui venait de se passer lui sembla irréel à la lumière du jour, et tant mieux. Alors elle se relèverait pour quitter la plage de Donnant et regagner son lit. Mais ce moment qui n'avait pas existé, lui sembla aussi réel que le ciel et le sable, elle ne voulut plus penser à rien d'autre de peur que tout disparaisse. Elle souhaita alors fermer les yeux. Sur sa bouche, la bouche de l'autre se posa.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Bonjour
je suis un soumis éduqué par plusieurs personnes à distance.
Ma première éducatrice est restée ma conseillère.
Elle pense que je dois suivre l'éducation d'une nouvelle personne pour étayer mon expérience.
je viens donc poser ma candidature à une nouvelle expérience de soumission. Je suis disponible pour écouter les propositions que cet article pourrait susciter.
region var ou savoie .. début en distanciel
marie 64 ans
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Son récit — RETOUR DE VACANCES ECRIT PAR MA PETITE S……
Nous nous retrouvons après plusieurs semaines de vacances. Le maître trouve un lieu très joli, un champ de pommiers avec une très jolie vue, ainsi que des haies de mûre que nous dégusterons après des folies de nos corps.
Nous nous embrassons délicieusement mais mon désir est trop présent. Très rapidement je fais glisser son pantalon sort son sexe déjà prêt à être accueillir par ma bouche. Je le suce puis il enfonce ses doigts en moi, hmm. Très vite je me retrouve allongée dans sa voiture. Il me pénètre… wouah, c'est si bon de le sentir me remplir. Chaque coup de rein est un délice et à chaque fois qu'il s'enfonce tout au fond, qu'il me remplit, je jouis, je me sens à lui. À certains moments il agrippe mon sein droit, le griffe, pince mon téton. Il sait que de cette façon il me fait très mal mais aussi que ça m'excite encore plus. Toujours en moi , il me dit qu'il a très envie de s'enfoncer dans mon cul ou bien de s'enfoncer dans le fond de ma gorge. Dans ma tête je me dis que mon cul, oh oui, avec plaisir. Par contre dans ma gorge, non j'ai envie de le supplier de ne pas le faire. Il le sait et comme s’il lisait dans mes pensées, il me dit que je sais qu'un jour il me le fera puis il continue de me faire jouir.
Le maître se retire puis il sort d'un panier une huile de massage. Je sais ce qui va m'arriver, ce n'est pas pour un doux massage du dos. Non, il trempe sa main de cette huile. Il me demande d'écarter mes cuisses et mes petites lèvres. Ses doigts puis sa main entre dans mon vagin. La sensation qu'il me procure est indescriptible, une douleur mais aussi une telle jouissance, mon corps n'est plus rien et n'appartient qu'au maître.
Il me pénètre de nouveau, me fait jouir encore et encore en continuant d’agripper mon sein et de le torturer. Il se retire puis je le prends en bouche pour y récupérer son nectar. Je fais des vas et viens, il baise ma bouche en me tenant par la tête puis je le sens frémir, son nectar chaud se dépose sur ma langue. Hmmm je me retire pour avaler ce que le maître vient de m'offrir. Je le remets en bouche pour récupérer la dernière goûte.
Nous nous allongeons dans les bras l'un de l'autre.
Merci maître pour ce moment délicieux
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Son fantasme (mercredi 18 juillet 2018 12:55) : Fantasme d'après coupe du monde de ma S......
J'adorerai me retrouver en voiture avec mon maître. La coupe du monde bat son pelin à l’audimat, et la radio commente le match, mais cela, je m’en fou complètement.
Nous roulons, puis une envie soudaine me vient à l'esprit. D'un regard coquin, je pose ma main sur sa cuisse, remontant vers son entre jambe. Très rapidement pendant que je continue mes caresses, le maître change de direction et se gare dans un endroit tranquille. À peine la voiture arrêtée, je descends et le rejoins côté conducteur, il est toujours assis face à moi. Je déboutonne son pantalon, sors son sexe déjà dur. Je lèche son gland de la pointe de ma langue, passe ma langue tout autour de son gland plusieurs fois puis je remonte le long du frein. Ma bouche enveloppe son gland puis descend le long de sa verge pour faire des vas et viens pendant qu'il pince mes tétons
Le maître m’ordonne de me mettre face au capot de la voiture et de m'y pencher. Il s'approche de moi, admire mes fesses. Sa main claque contre mes fesses, puis il me pénètre et me fait jouir.
Je le suce pour qu'il puisse jouir à son tour et déguster son nectar.
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Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.
Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées.
Se questionne.
Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées sont réalisées à la perfection.
Minutieuse elle espère le rendre fière,
Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.
Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,
Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraité, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.
Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyant, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux.
N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements.
Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention.
Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.
- Ouvre les yeux salope.
La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,
Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce,
En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.
Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.
- Debout, danse.
Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, balançant ses hanches, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait que grandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées perverses.
Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, la fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie.
Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncé d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abats sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes
Il glisse sa mains le long de ses fesses, examinant l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevé, allongé sur le canapé, ses trous offert, prête à être utilisée.
Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chochotte à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue.
Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souillé.
Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role d'object sexuel, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisée, elle supplie.
Le maitre accepte.
Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.
Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.
Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur de ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre.
Le rêve devient réalité.
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J ai été contactée hier début de soirée sur mon site préférée, ici donc, en me demandant si je pouvais venir tout de suite à la grande motte. J ai pas demandé pourquoi et j ai accepté. A 21h30 devant lidl.
Je suis à l heure, je suis encore en talon haut rose, un body résille bien rentré dans le cul,des bas marrons et une démarche de cochonne. J ai du rose à lèvres et je sors comme ça
De la voiture à côté sort un couple, la trentaine, genre BCBG.
Ils s approchent de moi et me disent: parfait!
Et me font monter dans leur véhicule. Ils me disent de mettre une cagoule noir avec juste une ouverture pour la bouche.
Et m explique que je sers à motiver une salope, qui veut dépasser ses limites.
Arrivés dans un hangar, avec une odeur de renfermé mélangé à de l essence . Il y a un treuil à chaîne qui descend au milieu et une jeune femme brune en bas et talons noir avec une belle poitrine apparente, tête baissée, bras dans le dos.
Ils me poussent vers le treuil, et passe un manche à balai dans mon dos, pour ensuite m attacher les poignets, puis les avant-bras à ce bâton. Ils m ont ensuite fait plier les cuisses, bien écartées, et on attaché mes chevilles aux extrémités du bâton. Une position cul cambré, ouvert, efficace.
Puis, ils m ont attaché les cuisses qu ils ont accroché au treuil et m ont levé comme ça
Ils ont dit à la soumise qui était là : regarde ce qu on attend de toi!
Ils ont mi un tabouret sous moi, et dessus, un énorme plug rouge.
Ils m ont empalé dessus, après m avoir bien graissé, direct.
Dans cette position, je pouvais pas faire grand choses. J ai commencé à gémir, et ils m ont rempli la bouche avec du tissu.
Et ça forçait. Ils me claquaient les fesses régulièrement, appuyaient pour faire rentrer, et me stimulaient en disant: tu y es presque ! Allez, lâche prise!
J ai relâché tout les muscles, et tel une marionnette, je me suis lâchée, j ai senti que ça allait passer, mais ça allait m éclater.
Et, juste après une claque bien placées sur chaque fesses en même temps, c est rentré.
Un soulagement. Il était bien en place, jusqu'au bout.
Ils m ont ensuite détaché du treuil, et fait marcher, en tortillant des fesses avec le plug toujours planté, et ils s amusaient à me mettre des fessées.
Ensuite, ils m ont mi à quatre pattes et ont dit a la soumise de me l enlever. Elle a galéré bien dix bonne minutes avant d y parvenir. C était chaud.
Elle a dû ensuite me fister à deux mains. J en pouvais plus, j étais sans résistance, mais c était délicieux.
Ils m ont ensuite ramené au parking, et j ai dû souffler une heure avant de pouvoir repartir, la tête et le corps détendu et en apesanteur.
A votre service.
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Un Monsieur m a contacté sur ce site, et m a fait venir chez lui, dans son salon.
J étais maquiller comme une petite pute, en talon haut rose et bas résille. Il avait préparé tout un tas de jouets. Notemment des jouets pour chiens, gros os en plastique, haltère. Il m a mi un gros os en plastique dans la bouche, m a mi à quatre pattes, et fait cambrer mon cul.
Il a commencé direct à me lubrifier en y mettant les doigts avec force.
Il rentrait plusieurs doigts une main, puis pareil avec l autre.
Il me demande si j aime quand ça force, je lui fais oui de la tête.
Il a alors enlevé l os de ma bouche, et introduit à la place un gros gode cours, qu il a attaché derrière ma tête, a l aide d une facette qui passait a la base du gode.Remplie.
Ensuite il a commencé à forcer. D abord avec les plus petits jouets, qui déjà étaient énormes.
De tant en tant, il me disait: bonne petite chienne ça !
Et il a enchaîné sur du gros, du très gros.
Tous n ont pas pû rentrer, malgré son insistance et mon envie
Il a même forcé une fois avec le pied.
Mais qu en c est rentré, j ai été fendu en deux, et impossible de crier avec ce gros gode dans la gorge qui s enfonçait quand je bougeais ma tête.
De tant en tant, des claques sur les fesses, pour attendrir, et c était reparti avec des canettes Perrier, coca, ses poings.
Il m a dit ensuite que ça l a bien existé, si je voulais sucer et avaler.
Je me suis retrouvé, tjrs dans la même position, avec sa grosse queue au fond de la gorge, et j aspirais.
Il m a ensuite lancé : tire-toi salope!
Je l ai remercié en lui disant que j étais à sa disposition, comme toujours.
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Debout à l’avant du pont, cheveux au vent, je ferme les yeux pour me sentir en communion avec la nature, ressentir le souffle de l’air frais sur mon visage, entre mes cuisses. Je ne porte pas de culotte. Jamais ! Ordre du Maître.
Le ferry s’approche du petit port de Rønne. Il va être temps de quitter le pont et de regagner ma voiture pour le débarquement.
Les attaches du porte-jarretelles qui dépassent largement de la micro-jupe me donnent un air de pute, j’en suis persuadée. Toujours cette gêne que je ressens. Difficile de se débarrasser de ma pudeur instinctive issue de mon éducation de fille bien sage. Mais je n’y peux rien, c’est mon Maître qui choisit mes tenues, même quand nous sommes séparés.
« Ainsi tout le monde sait que tu aimes la bite, et moi ça m’excite de le faire savoir » me répondait-il en souriant quand je lui faisais part de ma gêne. Ce n’est pas faux. J’adore la bite. Mais de là à le faire savoir aux inconnus que je croise…
Un jeune homme m’aborde. Même pas sûre qu’il soit majeur. Pour moi qui suis dans la trentaine, j’avoue que c’est flatteur.
« Hej frøken, rejser du alene? »
Je lui réponds en anglais, que je suis française et que ne comprends pas le danois.
Surprise ! Il me répond en Français, avec un fort accent, mais très compréhensible.
« Ah la France ! Quel beau pays ! Blablabla… »
Je comprends surtout qu’il aimerait bien me mettre la bite. Mon Maître n’a pas tort, le message délivré par ma tenue est sans ambiguïté.
Il me demande combien de temps j’ai prévu de rester et me propose de m’accompagner pour me faire découvrir l’île.
Les consignes sont claires : je ne suis pas autorisée à prendre des décisions importantes toute seule. Je dois contacter mon Maître pour lui demander la conduite à tenir. Mais là je n’ai pas le temps, il faut que je regagne ma voiture pour le débarquement. Alors je décline poliment. J’en informerai mon Maître plus tard et il décidera s’il y a lieu de me punir pour cette entorse au règlement.
Il me demande mon mail. J’apprécie la délicatesse, c’est moins intrusif que le tél. Il est sympa finalement. Je crois que je l’aime bien. Mais même ça je ne veux pas. Je lui demande quand même le sien pour garder une possibilité de contact, au cas où. Il me l’écrit sur un papier et me souhaite bon voyage. Il ne me met pas la pression. J’apprécie.
Depuis l’instauration du fucking pass [1], les jeunes redoublent d’envie de baiser en cachette, malgré les risques encourus. L’attrait de l’interdit… Cela me donne un peu d’espoir. Peut-être qu’il reste encore un peu d’humanité dans cette société lobotomisée.
Je suis très concentrée pour débarquer, cramponnée au volant. La passerelle est étroite, et j’ai l’impression que je n’ai pas intérêt à faire un écart. Cela ferait certainement rire mon Maître, comme à chaque fois que ma nature de grande anxieuse remonte à la surface.
Je pousse jusqu’ à Gudhjem, sur la côte Nord-Est de l’île. C’est un bourg pittoresque aux maisons colorées. Mais je n’arrive pas à profiter de l’endroit. Mon Maître me manque. Quand je suis à ses côtés, même le plus quelconque paysage me semble magnifique. Quand je suis loin de lui, tout me semble gris.
Allez, il faut que je me ressaisisse ! « Un bon coup de pied au cul, rien de tel pour sortir de la spirale des idées sombres » m’a dit mon Maître quand un jour j’ai osé lui confier le découragement qui me traverse parfois l’esprit lorsque son absence me pèse trop. Je grimpe en courant à toute vitesse jusqu’au sommet de la colline pour admirer le panorama. Un sacré sprint… J’y arrive complètement essoufflée, mais ça m’a fait du bien, comme si courir jusqu’à la limite de mes capacités m’avait aidée à évacuer mes pensées toxiques.
Sur la route vers l’hôtel, je me fais arrêter pour un contrôle du pass carbone. Ce n’est pas la police, visiblement. « Demokrati Forsvarsbrigader », c’est ce qui est écrit sur leurs casques. Ici aussi ils ont leur milice, apparemment. J’ai intérêt à me tenir à carreau pour ne pas attirer l’attention, mais dans la panique je n’arrive pas à retrouver mon pass. Ouf ! Le voilà. Je dois avoir l’air d’une fille qui a quelque chose à se reprocher, parce que dans la foulée il me demande aussi mon identifiant pour vérifier mon solde de crédit social.
L’hôtel qui m’a été réservé est correct, sans plus. Mais, peu importe, j’y suis juste pour dormir, je dois me lever très tôt. Je ressors la pochette dans laquelle j’ai mis les documents étranges que j’avais reçus dans ma boîte aux lettres. Quelqu’un les y avait déposés, j’ignore qui, mais pas le facteur en tout cas. Un itinéraire, des réservations d’hôtels, une feuille listant quelques consignes avec, en filigrane, à peine visible, le pangolin fou.
Rapide petit déjeuner. Beurk ! Viennoiseries à la farine d’insectes, confiture d’asticots… Tant pis, je vais me contenter du café, ce sera bon pour ma ligne.
Je laisse mon téléphone portable dans la chambre, comme indiqué sur la feuille de consignes. Au sein de la Suprême Alliance Démocratique, tous les téléphones sont maintenant équipés d’un dispositif de traçage, actif en permanence même quand le téléphone est éteint. L’intelligence artificielle qui analyse les données va peut-être trouver bizarre que je ne quitte pas la chambre de la journée, mais espérons que ça sera jugé sans grande importance.
J’emprunte le sentier côtier, collier d’esclave au cou, conformément aux consignes. Le soleil est à peine levé, pas un brin de vent, mer d’huile, silence absolu. « Matin calme à Bornholm ». C’est le prochain titre que je donnerai au mail quotidien que j’expédie à mon Maître, pour lui raconter mes journées, mes émotions, mes joies et mes peines, …
J’arrive à la destination qui m’a été indiquée. Un long escalier en bois, à l’accès envahi par la végétation, descend à pic le long de la falaise. Cela fait un moment que personne n’est passé par ici. Je dois me faufiler parmi les ronces qui entaillent méchamment mes jambes nues.
J’emprunte prudemment la descente, en faisant attention à ne pas déraper sur une marche instable. Le périple valait la peine. J’arrive à une magnifique petite crique déserte. C’est superbe. Mais qu’est-ce que je fais là ? Je l’ignore, mais autant profiter du cadre, puisque j’y suis. Je me déshabille entièrement, je range mes vêtements dans mon sac à dos, et je m’accorde une petite baignade. Aie Aie Aie ! Ca saisit ! L’eau est bien fraîche ici. Mais je suis bien rôdée avec les douches froides que m’impose mon Maître, alors j’y vais.
Le sel me brûle, à cause des profondes lacérations que les ronces ont infligées à mes jambes, alors je ne m’attarde pas trop.
Après m’être séchée et rhabillée, j’aperçois à l’autre extrémité de la crique un objet que je n’avais pas remarqué. A mesure que je m’en approche j’en distingue de mieux en mieux la forme.
Une cage identique à celle qui se trouve chez mon Maître. Mais ce n’est pas la même. Ca j’en suis sûre. J’y ai passé du temps dans cette cage ! J’ai rayé les barreaux avec mes ongles dans mes moments de rage. Je la reconnaîtrais entre des millions tellement elle m’est devenue familière. Pourtant c’est exactement le même modèle.
Dans la cage se trouve un petit coffre. Je l’ouvre. Il contient trois pénis parfaitement imités, de taille impressionnante, des accessoires de fixation, des bracelets, des anneaux, des cadenas, et un schéma explicatif.
J’essaie d’organiser mes pensées rapidement pour déterminer ce que je dois faire. Pas de doute, cette cage m’est destinée. Cela ferait trop de coïncidences si elle était là par hasard. Je dois y entrer, mais il n’y a personne ici, cela me paraît risqué. Je laisse mon sac à côté de la cage et je parcours la plage en courant à la recherche du moindre indice. Mon Maître serait caché quelque part, à observer mon comportement ? Mais rien, je ne trouve rien. Je suis seule, ou alors celui qui m’observe est très bien caché.
Tant pis, je retourne vers la cage. Soit je ne prends pas de risque, je n’y vais pas, mais ce n’est certainement pas ce que l’on (c’est qui « on » ?) attend de moi, soit j’y vais mais ça me fait peur. Affronter ma peur ou décevoir celui qui a installé cette cage pour moi ? Mon Maître ou quelqu’un en lien avec lui, sinon ce serait une incroyable coïncidence que le modèle soit parfaitement identique. Pas besoin de réfléchir très longtemps, je sais ce que j’ai à faire.
Je me déshabille à nouveau et je range soigneusement mes vêtements dans mon sac à dos, que je dépose prudemment tout près de la cage. J’ai un peu hésité, mais je doute que l’on attende de moi que j’entre dans cette cage habillée. Chez mon Maître, j’y entrais toujours nue.
J’enfile les lourds bracelets métalliques autour de mes chevilles, et en haut des cuisses. Clic ! Ils se verrouillent automatiquement, comme je m’en doutais. Les anneaux de cuisses sont très serrés, mais c’est sans doute nécessaire pour qu’ils ne bougent pas. Malheureusement je me suis coincée la peau dans celui de gauche en le verrouillant et je n’arrive pas à la dégager. Ca fait un mal de chien. Il va falloir supporter.
Un dernier anneau, garni de pointes acérées, autour de l’abdomen. Clic ! Me voilà équipée. L’anneau me serre très fort le ventre ce qui, par contraste, souligne mes hanches. Mon Maître adorerait mes formes de femelle, s’il pouvait me voir. J’ai l’impression que les pointes vont me transpercer l’abdomen, mais non, c’est certainement bien étudié pour que ce soit sans risque.
Je cadenasse mon collier d’esclave. J’ai bien fouillé le petit coffre. Aucune clé. Pas du tout rassurant, mais le choix entre les deux alternatives qui s’offraient à moi m’est apparu comme une évidence. Je fixe solidement deux pénis aux barreaux, conformément au schéma. Ils sont tous les trois différents, chacun étant adapté à un orifice. Le troisième, celui qui est destiné à ma gorge, devra attendre que je sois dans la cage et que j’aie descendu la grille coulissante.
Il faut que je me lubrifie le cul en prévision de la pénétration. Pas de lubrifiant dans le coffre mais heureusement j’en ai dans mon sac à dos. Je dois toujours avoir du lubrifiant anal à portée de main. Ordre du Maître !
C’est au moment d’entrer dans la cage que j’ai un flash.
« Zut, la marée ! »
Est-ce qu’il y a des marées en mer Baltique ? Je n’en sais rien. Je réfléchis rapidement. C’est une mer presque fermée, 2000 km de longueur, à la louche. Probablement pas assez pour déclencher de puissantes ondes de marée. Mais je ne suis pas très rassurée malgré tout. Je ressors de la cage pour examiner le rivage, à la recherche d’indices, algues, couleur des rochers, qui me permettraient d’avoir une idée du niveau maximal, mais je ne vois rien de très concluant. Sans doute que les variations de niveau sont de trop faible amplitude, conformément à mon intuition. Sur la plage, la cage n’est qu’à une cinquantaine de centimètres au dessus du niveau actuel. En Bretagne, j’aurais été submergée dans ma cage en moins d’une heure.
Je retourne dans la cage, en veillant bien à emporter avec moi tous les accessoires non encore utilisés, et je referme la grille, qui se verrouille automatiquement comme chez mon Maître. Maintenant les dés sont jetés… Pas de retour en arrière possible.
Heureusement que le schéma est clair, car je n’aurais pas su comment fixer tout cela et dans quel ordre m’attacher. Je fixe le dernier pénis à une hauteur qui devrait me permettre de le sucer sans me tordre les cervicales.
Avant de m’attacher les chevilles, je m’introduis les orifices pour vérifier l’écartement et l’orientation. L’introduction simultanée de la chatte et du cul est difficile, les pénis étant de diamètre généreux. J’y arrive péniblement, mais ça ne va pas, ils sont trop rapprochés, ça me comprime douloureusement la paroi. Je ne tiendrai pas longtemps comme ça, d’autant plus que je n’ai aucune idée du temps que je vais passer dans cette cage. Je dois les écarter un peu plus. A ce rythme là, je vais y passer la matinée avant de trouver le bon réglage, me dis-je. Mais par chance le deuxième essai est le bon, l’écartement est parfait.
Je peux enfin m’attacher les chevilles. Pas facile à faire quand on est à quatre pattes en cage.
Le schéma stipule que les anneaux de cuisses doivent être reliés à deux courts et larges élastiques préinstallés. Il faut tirer fort sur les élastiques pour arriver à les fixer et l’attache me glisse entre les doigts à plusieurs reprises. La tension est trop forte. Une fois fixés, je comprends leur utilité. Ils plaquent mes fesses très fort contre les barreaux, entraînant par là même une profonde pénétration de mes orifices, à laquelle il m’est impossible de me soustraire à moins de dépenser une énorme énergie pour lutter contre la tension. L’anneau abdominal est plus facile à attacher à une courte chaîne qui pend du haut de la cage, heureusement.
Deux gros hameçons sont au sol, reliés au plancher par de larges élastiques. Je ne suis pas encore annelée, alors il va falloir que je me perce les tétons. Le schéma ne laisse place à aucune ambiguïté. La tension des élastiques maintiendra mes mamelles en extension. Je commence par m’occuper de la mamelle gauche, après m’être bien badigeonné les tétons de la solution antiseptique que j’ai trouvée dans le coffre. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois avant d’y arriver. Dès que ça commence à piquer trop fort, je renonce et là je vois que je n’ai rien percé du tout. C’est laborieux. J’y passe un temps fou, à me faire très mal à chaque fois, mais sans rien percer. Enfin j’y arrive ! L’hameçon est équipé d’un crochet anti retour. Impossible de l’enlever sans avoir une pince pour le couper.
Pour la mamelle droite, ça va plus vite, j’ai enfin compris, il faut serrer les dents, ne pas réfléchir et y aller franchement. C’est le seul moyen.
Après avoir introduit le pénis dans ma bouche, je fixe, péniblement, mon collier d’esclave à la courte chaine qui pend du haut de la cage.
Et maintenant ?
J’attends, à quatre pattes dans ma cage. La position n’est pas confortable, c’est le moins que l’on puisse dire.
Personne à l’horizon. Le soleil monte rapidement. J’espère que je ne vais pas prendre un coup de soleil. J’aurais dû y penser et me mettre de la crème. J’en avais dans mon sac à dos. Mais maintenant c’est trop tard. Quand on n’a pas de tête…
Je contemple la mer d’huile, mes yeux se fixant sur la ligne d’horizon. C’est ici qu’au milieu de l’été 2022 les plongeurs de combat formés à Panama City, en Floride, ont introduit de puissantes charges de C4 dans l’armature en béton qui protège les pipelines NordStream 1 et 2. Deux mois plus tard, le 26 septembre 2022, un avion de surveillance P8 de la marine norvégienne a effectué un vol prétendument de routine et a largué une bouée équipée d'un puissant émetteur d'ondes acoustiques [2]. Le signal acoustique codé s'est propagé sous l'eau à la vitesse 5 300 km/h vers les gazoducs. Depuis deux mois, les récepteurs associés aux détonateurs analysaient en continu les signaux acoustiques sous-marins dans l’attente d’un code particulier.
Pourquoi m’avoir conduite ici, sur les lieux du crime ? Ce n’est certainement pas une coïncidence. Plus le temps passe, moins je comprends les plans du pangolin fou.
C’est long !
Chez mon Maître, je me masturbais pour faire passer le temps. Mais là, à quatre pattes dans ma cage, enchaînée, empalée, aucun mouvement ne m’est possible. Seuls mes bras sont restés libres. Je pourrais, bien que difficilement, atteindre mon clitoris. Mais quand bien même, je n’ai aucune sensation depuis que le zebralyvox y a élu domicile, alors quel intérêt ?
Désœuvrée, je me mets dans l’idée de sucer le pénis qui est profondément enfoncé dans ma bouche. Difficile, car le collier relié à la cage ne me laisse quasiment aucune possibilité de recul. Mais je fais de mon mieux, avec ma langue, mes lèvres.
Je suis surprise par une puissante éjaculation au fond de ma gorge, qui a failli m’étouffer. Je tousse, je suffoque et heureusement j’arrive à retrouver ma respiration très vite. Ils auraient pu prévenir ! Je reconnais le goût du sperme de mon Maître. Pas de doute.
Cela me donne d’un seul coup une énergie incroyable, l’impression que je peux soulever des montagnes. Ma peur a disparu. Quoi qu’il doive m’arriver, je sais maintenant à 100% que j’ai fait le bon choix en entrant dans cette cage. Le sperme de mon Maître, c’est ma potion magique.
Je savoure le sperme, je le garde le plus longtemps possible en bouche.
Peut-être qu’il en reste dans le pénis ? Je me remets à sucer, longtemps, très longtemps, mais malheureusement rien ne se passe. Le réservoir est sans doute vide. Ou alors je ne suce pas assez bien. J’essaie de m’appliquer. Je me souviens des moments où je suçais la bite de mon Maître, quand il me mettait des baffes jusqu’à ce qu’il soit satisfait. « Je dois sentir ton émotion, sentir que tu y mets toute ta sensualité, toute ton énergie de chienne ! »
Enfin ! Une nouvelle décharge au fond de ma gorge. Qu’est-ce que c’est bon, la semence du Maître !
Un dispositif électronique qui analyse la manière dont la femelle suce la bite et qui ne la récompense que si elle le mérite ! On n’arrête pas le progrès.
Un canot motorisé apparaît à l’horizon et s’approche lentement. Deux grands gaillards blonds en débarquent. Ils parlent entre eux en danois je crois, ou bien dans une langue scandinave. Ils me sourient. L’un d’eux me dit quelque chose que je ne comprends pas. Impossible de lui répondre avec le pénis dans la gorge. Je crois qu’ils plaisantent entre eux. Une femelle nue, enchaînée et pénétrée, … Il y a certainement de quoi s’amuser. J’espère qu’ils apprécient le spectacle. Mais au moins ils ont l’air bienveillants. Je ne me sens pas en danger. Je suis rouge comme une tomate. Je me sens tellement humiliée que tous les seuils de honte sont probablement franchis.
Ils ont remarqué les lacérations sur mes jambes et semblent s’en inquiéter. Je crois qu’ils me demandent ce qui m’est arrivé. Mais on ne peut pas communiquer.
Ils embarquent la cage sans ménagement, et la balancent dans le canot. Heureusement que je suis bien sécurisée par mes multiples attaches, mais chaque secousse se fait brutalement ressentir dans ma chatte, mon cul, ma gorge via les pénis, dans mon abdomen via les pics de mon anneau ventral, dans mes mamelles via les hameçons. J’ai morflé. J’ai hurlé malgré le pénis dans la gorge. Je ne comprends pas ce qu’ils disent, mais visiblement ils s’excusent, mes hurlements leur ayant fait réaliser à quel point ils ont manqué de délicatesse. L’un d’eux me caresse la joue comme pour me réconforter.
C’est donc pour être transportée que j’ai dû me sécuriser de manière aussi complexe ? La science du transport des femelles en cage a visiblement privilégié le côté humiliant sur le confort.
Je pensais retrouver un peu de tranquillité une fois sur le canot, mais dès que le moteur deux temps du canot est démarré, je comprends mon malheur. Les vibrations du moteur se transmettent à mes entrailles de femelle multi-pénétrée. C’est une vraie torture. Je ne sais pas si je vais tenir le coup longtemps comme ça et je n’ai aucune idée de la durée du trajet. Je n’ai aucune idée du lieu où ils me conduisent.
à suivre…
Références
[1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication)
[2] Seymour Hersh, “How America Took Out The Nord Stream Pipeline”, https://seymourhersh.substack.com/p/how-america-took-out-the-nord-stream
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Je vais à la cuisine. Heureusement, Lucinda sait ce qu'ils veulent et elle a tout préparé. J'apporte le café, le thé, puis tout le reste... Ils ont tout le temps besoin d'autres choses. Dolorès et son père arrivent aussi.
Quand tout le monde a terminé, je suis rouge et en sueur. Je dois débarrasser et tout ramener à la cuisine, toute seule, alors qu'il y a des esclaves... Telle est la volonté de Dolorès. En partant, elle me dit :
— À partir de 3 h, sois dans la cuisine.
— Oui, Maîtresse.
— Ah, oui, tu sais masser les pieds ?
— Je ne l'ai jamais fait, Maîtresse.
— Demande à Lucinda et tâche d'apprendre vite. Sinon, tu seras punie.
Elle fait un petit geste qui signifie "maintenant, dégage". Je fais une révérence et je vais à la cuisine. Masser des pieds... Pourquoi moi, alors qu'il y a des esclaves partout ? Oui, bon, je sais pourquoi : pour frimer et pour avoir des photos. Les pieds des gens, ça me dégoûte. Sauf ceux de Summer.
A la cuisine, j'explique à Lucinda :
— Mademoiselle Dolorès m'a dit de vous demander comment masser des pieds.
— Demande ça mieux.
Je me mets à genoux et je répète :
— Je vous en prie, Madame, dites-moi comment il faut faire...
Elle pousse un gros soupir avant de répondre :
— Assieds-toi par terre.
Elle bouge sa chaise et pose son pied droit sur ma cuisse. La première chose qu'elle me dit de faire, c'est enlever sa sandale, ensuite... mais j'expliquerai tout quand je devrai masser les pieds de Dolorès. Lorsque, j'ai fini de masser les pieds de Lucinda, elle me dit :
— C'est à peu près bien... Tu peux manger, mais sans te laver les mains, ça me vexerait.
Ça fait rire les deux gardes qui sont là. Quand j'ai fini de manger, Lucinda me dit :
— Tu peux aller où tu veux mais sois à l'heure à ton rendez-vous.
— Je peux aller sur la plage, Madame ?
— Oui.
Je pourrais m'enfuir... mais aller où, sans papier et surtout sans Summer ? Et puis, on est sur une île, il faudrait trouver un bateau... Je sais aussi qu'avec Summer, je me sens bien, apaisée. Cette partie de l'île est privée, alors, arrivée sur la plage, j'enlève mon uniforme et la culotte blanche que j'ai dû mettre. Je cours sur le bord de sable dur, léché par la mer. Il y a un drone qui me suit, rince-toi l'œil petit robot ! J'entre un peu dans l'eau, mais je me méfie de tout ce qui vit ici. On dit que la mer de Cortez est une des plus riches du monde...
Peu après, je vois des dauphins bondir hors de l'eau. On en voit souvent et même des baleines, m'a dit Mateo, mon amant du premier soir... Je m'allonge sur la bande de sable dur... Je me relaxe, enfin... Le drone ne me quitte pas de l'œil. Je n'ai plus de bijoux, ni de montre. Alors, quand j'ai l'impression qu'on approche de midi, je retourne à la cuisine pour manger avec les gardes. Les esclaves prennent leur repas assises par terre.
Quand j'ai fini de manger, j'irais bien m'allonger à l'ombre d'un arbre dans la propriété, mais j'ai peur de m'endormir et de ne pas être ici à 3 h, comme Dolorès me l'a dit. Je demande Lucinda :
— Je peux attendre ici que Mademoiselle Dolorès me fasse appeler, Madame ?
— Bien sûr et tu vas même te rendre utile.
Elle va prendre une grande boîte, pleine de couverts oxydés, et la met devant moi, avec une bouteille de nettoyant et un chiffon, en ajoutant :
— Fais briller ces couverts, comme ça tu ne t'ennuieras pas.
Garce ! Mais, prudente, je ne discute pas. Ah, le drone revient me survoler. Il doit y avoir un homme dans la salle de contrôle qui est amoureux de moi ou alors, Dolorès veut me filmer dès que j’ai une autre activité. Nettoyer de l'argenterie, c'est un sale boulot, le produit pue et il faut frotter fort... Je fais ça pendant 2 h... Les gardes qui viennent manger me parlent un peu.
Enfin, une esclave arrive et se met à genoux devant Lucinda, en disant :
— Mademoiselle Dolorès demande qu’Ashley les rejoigne, Madame.
— D'accord. Ashley, lave-toi les mains et vas-y.
— Oui Madame.
Lorsque j’ai les mains propres, l'esclave m'amène sur la terrasse. Dolorès est là avec trois autres filles, deux brunes et une blonde. Elles sont en short et tee-shirt. Je regarde Dolorès qui me montre le sol devant elle. Je m’approche, mais elle fait un geste de haut en bas avec son index. Je m'agenouille... Summer sera bientôt là. Le sol est dur sur la terrasse... Les filles parlent "garçons" et "vêtements", jusqu'à ce que Dolorès leur dise :
— Regardez bien cette esclave.
Tous les regards se tournent vers moi, une fille lui demande :
— Qu'est-ce qu'elle a de spécial ?
Dolorès répond :
— C'est Ashley Stirland, la vedette de Cléopâtre, qui est ensuite devenue Première Dame.
Exclamations des filles... Une brune avec des bottes (par cette chaleur) lui dit :
— Fais-la se déshabiller, Lola (diminutif de Dolorès).
Un regard de Lola et je me relève. J'ai mal aux genoux. J'enlève la jupe noire, le corsage et la culotte blanche qui compose mon uniforme. Elle me dit :
— Tourne-toi.
Une de ses amies y va de son commentaire :
— Elle a une de ces paires de fesses... Tu devrais la mettre au régime et l'obliger à faire de la gymnastique. C'est ce que je fais avec mes esclaves.
Dolorès répond :
— C'est vrai qu'elle a des grosses fesses. Saute sur place, Ashley.
Je me mets à sauter... Les filles rigolent parce que mes fesses vont et viennent. Dolorès ajoute :
— De face, maintenant, et saute plus haut !
Nouveaux rires idiots en voyant mes seins se balancer. Je saute bêtement pendant quelques minutes, jusqu'à ce que Dolorès me dise :
— Tu as été bien ridicule, maintenant, présente-toi à chacune de mes amies comme tu le fais le matin.
Summer va venir me chercher, le reste, je m'en fous... Je vais devant la blonde en short, bustier et baskets noirs. Je me mets à genoux et j'embrasse sa cheville.
Ensuite, je me redresse et lui demande :
— Je m'appelle Ashley, que puis-je faire pour vous Mademoiselle ?
— Fais la chienne !
Quoi ?! Je me mets à quatre pattes et j'aboie... un peu. Les gens qui sont sur la terrasse rigolent. La fille me dit :
— Va chercher un bâton.
Je me relève, mais Dolorès crie :
— À quatre pattes, stupide animal !
Oh putain ! Je vais dans la pelouse, près des arbres, et je reviens avec un bâton dans... la gueule. Je le donne à la blonde. Les filles se marrent et continuent pendant un moment à me lancer le bâton.
Dolorès arrête le jeu en disant :
— Continue à te présenter.
Je vais me mettre à genoux devant sa voisine, qui est brune. J'embrasse également sa cheville et lui répète la même phrase. Elle me dit :
— Tu es une chienne en chaleur ! Couche-toi sur le dos, les pattes en l'air.
Quand je suis dans cette position ridicule, elle pose sa basket sur ma chatte et frotte. Ouch ! D'abord c'est dégoûtant pour ma pauvre chatte et au bout de quelques minutes... ça m'excite. Oui, c'est dingue. Elle me frotte juste assez fort pour que je me tortille sous son pied. Là, les gens qui sont sur la terrasse viennent voir le spectacle. La semelle de sa basket, c'est pire qu'un sex toy... Je finis par jouir sous son pied, comme... oui, une chienne en chaleur. La fille me dit :
— Lèche la semelle maintenant.
Elle pose le talon par terre, le pied relevé. Je dois ramper pour arriver à lécher la semelle pendant quelques minutes. Dolorès me dit :
— Va nous chercher à boire. Dépêche-toi !
— Oui Maîtresse.
Je vais à la cuisine en pleurant, nue comme une esclave. Lucinda me demande :
— Qu'est-ce que tu as ?
— Elles me font des choses horribles, Madame.
Elle me prend contre elle et me dit à l'oreille :
— Summer sera là bientôt et vous partirez.
Elle lève les yeux vers le drone. Je fais juste une pression de la main sur sa taille, un geste qui signifie : 1000 mercis... Comme pour le petit déjeuner, Lucinda sait ce que les filles veulent. Je prends un plateau couvert de boissons et de trucs à manger. Ouch ! C'est lourd. Pourvu que je ne tombe pas ! J'arrive tant bien que mal à mettre le plateau sur une table basse devant ces sales petites putes ! Maintenant, mon problème, c'est que je ne sais plus qui a commandé quoi. Dolorès me demande :
— Tu attends quoi ?
— J’ai oublié qui...
Une de brunes me coupe la parole :
— Tu serais pas stupide ?
— Si, Mademoiselle.
Moins que toi, sale... Dolorès me rappelle quelle boisson je dois servir. Ensuite, elle ajoute :
— Si on se faisait masser les pieds, les filles ?
— Oui, bonne idée !
Dolorès me dit :
— Commence par la demoiselle blonde.
— Oui Maîtresse.
— Tu vas aller te mettre à genoux devant elle, lui ôter ses chaussures et lui masser les pieds. C'est à la portée de ta faible intelligence ?
— Oui, Maîtresse.
Je vais m'agenouiller devant elle, les fesses posées sur les talons. Je défais les lacets et enlève les baskets. Ouch ! La brune qui a des bottes courtes s'exclame :
— Mae, tes pieds puent ! Il y a longtemps que tu ne les as plus lavés ?
En riant, la fille répond :
— Quelques jours.
Les filles se mettent toutes à rire.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Bonjour à toutes et à tous, je vous souhaite un agréable weekend et de belles rencontres attachantes.
Elle m'a contacté par e-mail pour me faire part de son fantasme qui la poursuit jour et nuit depuis qu'elle a découvert le Shibari, le Bondage sur le net.
Voir ces Femmes contraintes, encordées, attachées, offertes, dans un lâcher prise qui l'avait impressionné.
Voir ces Hommes qui habillent les corps, les esprits de ces Femmes en toutes complicités, sans sexe, sans attouchements, sans violence, dans un esprit de partage, d'offrande de part et d'autre.
Le besoin d'apporter des plaisirs partagés, d'offrir la découverte de son corps avec de nouvelles sensations, de nouveau ressenties et de nouveaux plaisirs.
Nous avons échangé par mail pendant plus de trois mois.
Un rendez-vous autour d'un verre dans un lieu public et cette fois, échanger yeux dans les yeux et s'immerger dans l'esprit de l'autre.
Ensuite partager un déjeuner, puis un autre mais cette fois, une fois ce repas terminé, elle me regarde dans les yeux, les baissant et me dit, je suis prête à m'offrir à vos cordes, maintenant, j'ai confiance en vous.
Heureux et honorés de sa confiance qu'elle m'offre ainsi, avant de m'offrir son corps et son esprit, nous prenons mon véhicule et nous nous rendons ensemble chez elle.
Elle ouvre la porte, m'invite à entrer.
Après avoir récupéré ma valise magique où, mes cordes de déplacements sont bien rangées et prête à venir en toute délicatesse sur un corps féminin et ainsi lui offrir l'évasion qu'il recherche dans la contrainte.
Elle me demande de me tourner et de ne pas regarder.
Je respecte sa demande et me tourne.
Après quelques minutes, elle me demande de me retourner et de la regarder dans les yeux.
Je me retourne et la vois, sans sa jupe, sans son chemisier, en sous-vêtements trois-pièces, bas et talons hauts. Elle est magnifique ainsi élégante, féminine Femme avec un grand F.
Elle me demande de toucher les cordes.
Je lui en donne un fagot et la laisse s'imprégner de mes cordes, les passants sur son corps où, la peau est 'nue et lis sur son visage mais également sur son corps, l'émoi qui l'envahit.
Je la regarde et lui demande si elle est prête pour vivre enfin ce fantasme qui la ronge.
Elle ne sort pas un son mais me dit oui par mouvement de la tête.
Ses joues rouges, sa peau frissonnante, une petite chair de poule, elle est prête.
Je prends ses bras et les dirige à l'arrière de son dos.
Lie ses poignets et commence à passer mes cordes en dessus, en dessous de sa poitrine, passe ma corde entre ses seins, remontent celle-ci pour verrouiller l'ensemble et passent sur le dessus de ses épaules, sa nuque, rendent ce Shibari du buste artistique et contraignant à souhait.
Je viens devant elle, l'observe, lui demande si elle va bien, si cela lui plaît, si elle aime les sensations, les ressenties qui commencent à envahir son corps de Femme mais également son esprit de Femme, doux mélange d'indépendance et de soumission.
Elle me répond avec un sourire aux lèvres et des yeux qui brillent qu'elle aime beaucoup ce qu'elle ressent.
Je lui demande si elle veut que je continue et ainsi la contraindre encore plus sur la totalité de son corps, de son âme
Elle me répond d'un oui qui sort du cœur sans aucun doute. Je prends donc des cordes dans ma valise à malice et commence la contrainte des hanches, des jambes.
Je prends ma corde et commence par prendre ses hanches dans ma corde pour un appui de départ.
Commence par lier ses cuisses sur trois niveaux pour lui permettre de bien ressentir l'emprise de ma corde sur elle.
Verrouillent mes tours par des passages complexes pour ne pas faire de nœud.
Je continue mon encodage par ses mollets, également trois passages pour une contrainte, un encodage des plus esthétiques, artistique mais également bien contraignant pour elle et ainsi prendre conscience qu'elle s'est offerte à ses fantasmes, ces envies de soumissions, appartenir à un Homme, à ses cordes sans pour cela lui appartenir physiquement.
J'arrive sur ce qui est ma zone préférée chez une Femme, ses chevilles car, c'est la partie du corps d'une Femme que j'aime lier.
La fragilité, la finesse, la beauté d'une cheville de Femme, mise en valeur par des cordes, je ne connais rien de plus beau.
La voilà bien encordée, prisonnière de ses envies de soumission.
Elle est magnifique dans cette tenue légère où, la beauté de la Femme est mise en lumière par mes cordes et les contraintes provoquées par celles-ci.
Je viens à côté d'elle et lui demande si elle est bien ainsi encordée ?
Un sourire sur son visage avec un zeste de joues rouges qui montre qu'elle est un peu gênée de montrer, de me montrer par diverses manifestations comportementales et de son corps qui s'exprime, les plaisirs qu'elle ressent.
Je lui conseille pour accentuer ces plaisirs, de bouger comme si elle voulait se libérer et ainsi constater, comprendre que cela est impossible et qu'elle est à moi, offerte.
Elle réalise que de tenter de se libérer lui provoquent des plaisirs plus forts car son subconscient prend conscience de la fragilité de cet instant, de la détresse fantasmée qu'elle ressent à cet instant.
Je la laisse un instant profiter de ces nouvelles sensations, ressenties, plaisirs et reviens vers elle pour lui proposer l'extrême plaisir, un bandeau sur les yeux, un bâillon.
De ces contraintes supplémentaires accentuent déjà les plaisirs qu'elle a à cet instant.
Elle hésite, réfléchie, je reconnais que le bâillon peut être impressionnant mais, il offre-t'en de ressentis forts et puissants combinés avec les cordes et le bandeau qu'il serait bête de passer à côté de cette expérience.
Elle accepte mais si je peux lui bâillonner la bouche pour commencer et ensuite, lui poser le bandeau.
Bien sûr toujours prêt à rendre service et d'offrir à ces dames plaisirs intenses et découverte de leurs véritables personnalités, j'accepte. Je prends le bâillon avec cette sangle en cuir noir et cette boule rouge qui va se marier à merveille avec ces lèvres rouges.
Je lui demande d'ouvrir la bouche, elle l'ouvre doucement avec timidité et une légère angoisse.
J'insère la boule entre ses lèvres, passe derrière elle, verrouillé la sangle.
La voilà encordée, contrainte, offerte, bâillonnée, elle est superbement féminine ainsi, le bâillon et magnifique entre ses lèvres et artistiquement la rend si belle, si Femme. Il est temps de couvrir ces magnifiques yeux verts, j'avance mais elle a un léger geste de recul. Je la rassure, lui parle doucement à l'oreille et la met en confiance.
La voilà entièrement à moi, entièrement à ses fantasmes, ses envies d'être soumise à un Homme, à ce Dominateur, ce Maître qui l'a rendue esclave de ses désirs d'être ainsi entièrement contrainte et dans l'obligation d'attendre le bon plaisir de celle-ci pour être libérée même, si dans sa main, un vieux jeu de clés que j'utilise spécialement pour cela.
Il lui suffit de le faire tomber sur le sol et je sais qu'il y a quelque chose qui ne va pas, la sécurité est essentiel tout comme la confiance, le partage, la complicité.
Je la laisse avec elle et se ressentit, ses sensations, ses plaisirs et l'admire ainsi Femme offerte, quoi de plus beau ?
Avec la pulpe de mes doigts, je vérifie les cordes, sa peau, si elle va bien. Je constat que la pointe de ses seins qui pointent, sa peau qui frissonne, ses cuisses qui cherchent à se resserrer comme quand une Femme ressent des envies inavouables devant un Homme qui lui plaît.
Bien sûr elle ne peut bouger ses cuisses et à ce moment, je sais que l'inquiétude l'envahit et qu'elle s'inquiète que je constate le plaisir qui envahit la totalité de son corps et qui se manifeste par une légère humidité sur le tissu de sa petite culotte.
Je la libère et vois, lit, sur son visage les plaisirs intenses qu'elle a découvert.
Lui enlève le bâillon, lui offre un verre d'eau, retire la goutte qui ruisselle le long de son cou et qui conduit mon pousse à la 'naissance de ses seins ce qui, provoque chez elle un gémissement qui en dit long sur son état d'excitation.
Je lis sur son visage une légère gêne d'avoir réagi ainsi, trahissant sont états d'excitation forte, je suis heureux de lui avoir offert autant de plaisirs.
Une fois libre de mes cordes, de mes contraintes, nous nous retrouvons tous deux sur le canapé et échangions sur ses ressenties, ses plaisirs, ses étonnements.
Au bout d'un moment d'échange très intéressent et agréable, elle me demande de la contraindre à 'nouveau mais cette fois, sur le ventre, les jambes relevées et très fortement contraintes vers la nuque pour ne pouvoir bouger et à 'nouveau ressentir cette overdose de plaisirs intenses et pour la premier fois de sa vie intime de Femme, découvrir le lâcher prise.
Je suis fière et heureux d'avoir eu l'honneur de sa confiance, de lui avoir permis de découvrir les plaisirs intenses et profonds, qui envahissent tout son corps , son esprit et son âme de Femme soumise, révélée aujourd'hui.
J'espère que ce récit vous à plus et que sous une forme ou une autre, vous vous êtes identifié dans ces plaisirs attachant que sont le Shibari, le Bondage, ma Passion qui est plus forte que le sexe car, il marie l'art et l'offrande, la complicité et la confiance, la beauté de la Femme et la révélation de sa soumission. Bien à vous Passions
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Sans parler de ce site, ici je ne fait que passer ou trépasser
mais en discutant avec des amis je constate qu'un soumis doit etre de préférence milliardaire et surtout trés con
première chose qu'il lui est demandé c'est une offrande
et bien sur en ticket PCs Transcach Neosurf ou autre moyen de paiement permettant de surtout lui baiser la gueule
car non seulement il paye mais bizarement la pseudo domina disparait une fois la preuve d'achat envoyé par photo
Alors je dirais a tous mes amis soumis si vous trouver une bonne dominatrice normalemnt elle vous ne demandera jamais d'argent
Mais cela ne vous empeche pas de lui offrir des fleurs, voir du champagne que vous dégusterez avec elle le moment venu
Désolé pour mon coup de gueule mais je déteste voir les gens se faire arnaquer pour prendre du plaisir quel qu'il soit
bon courage a vous tous
soyez vigilant
PS : si une soumise milliardaire traine dans les parage je suis prenneur
Qui ne tente rien n'a rien :)
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Ce n'est que très récemment que j'ai pris conscience de son emprise sur moi.
Son petit sourire narquois a le don de me faire chavirer.
À flots dans les limbes du désir, je rassemble les quelques pans de bois restant de mon ego pour me construire un radeau. Je n'ai que peu d'espace afin de me maintenir hors de ces eaux troubles. Seul sur cette Méduse, face à moi-même, je dérive et m'enfonce dans les ténèbres. L'obscurité a quelque chose de rassurant. La quiétude qui y règne me permet de m'abandonner et de dépasser mes peurs. Perdre certains sens en décuple d'autres. Plus ma vue se trouble, plus mon toucher s'étend.
J'ai l'impression que mon corps est aussi sensible qu'une digitale.
Je m'ouvre par défaut et me referme dès que l'on m'effleure. Dans ce mouvement incessant entre tension et relâchement, j'y laisse un pétale. Ce n'est que dans sa chute qu'il raconte l'histoire de mon tourment. Lorsqu'il tombe, je me sens dans le plus simple apparat. Maintenant, que je suis dénué de tout artifice, que la beauté n'est plus sublimé par l'emballage, je me sens bien. Je ressens toute cette sève accumulée dans la tige tendue. Elle ne demande qu'à jaillir. Pourtant, c'est elle qui me maintient : moi, la fleur.
Ce n'est qu'au moment où le pétale touche les eaux que l'onde se multiplie. Les forces qui s'exercent me dépassent. Est-ce bien un simple pétale qui entraîne la création de ces arcs infinis ? Comment d'une simple moue, peut-elle m'atteindre si profondément ? Je ne souhaite pas le savoir par peur d'en briser la mystique. Qu'adviendrait-il si je trouvais la réponse ? J'y perdrai sans doute mes racines, celles qui me permettent de m'abreuver de Son essence.
Elle est ma terre, mon socle, mon terreau,
Je serai la chair, Patrocle, un héros,
Lumière surgit, m'ôtant le bandeau,
Pour elle, je vis, jusqu'à mon tombeau.
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Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.
Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées.
Se questionne.
Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées est réalisées à la perfection.
Minutieuse elle espère le rendre fière,
Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.
Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,
Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraiter, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.
Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyants, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux.
N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements.
Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention.
Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.
- Ouvre les yeux salope.
La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,
Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce,
En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.
Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.
- Debout, danse.
Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait qu'agrandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées sadiques.
Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, l'a fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie.
Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncer d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abattent sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes
Il glisse sa mains le long de ses fesses, examine l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevés, allongée sur le canapé, ses trous offerts, prête à être utilisée.
Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chuchote à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n'est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue.
Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souiller.
Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role de femme, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisé, elle supplie.
Le maitre accepte.
Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.
Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.
Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur des ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre.
Le rêve devient réalité.
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Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________
En 2016
C’est la rentrée, me voici dans une nouvelle ville et une nouvelle école pour un nouveau départ !
Ayant appris de mes erreurs et étant dorénavant consciente de mes démons, j’emménage dans une collocation avec deux étudiantes que je ne connais absolument pas.
La colocation était une manière de partager le loyer et d’avoir de l’aide pour les tâches ménagères mais c'était aussi surtout une solution pour ne ne pas vivre seule afin d’avoir une vie sociale m'assurant une présence limitant ma capacité à faire une rechute ou me laisser aller.
C'est ainsi que je fais la connaissance d’Ines et Delphine mes deux colocataires de 19 et 20 ans qui faisaient également leurs études loin de chez elles.
Ines est dans mon université, elle est studieuse, d’un naturel calme et a une joie de vivre contagieuse, elle est célibataire.
Delphine est plus turbulente, a un sens de l’humour affuté et est plus bordélique, elle est en couple.
Nous devinrent rapidement copines et vivre avec elles au quotidien était très agréable, ça me changeit de mon année précédente avec pour seules compagnes ma solitude et la déprime. Je ne vais pas détailler plus que ça de la manière dont nous vivions par contre je vais aborder les deux seuls points qui ont de l’intérêt :
- Les garçons étaient interdits à l’appart
- Nous n’avions pas le droit d’entrer dans la chambre des autres.
Le premier point était une règle nous permettant de rester concentrées sur nos études, de ne pas imposer la présence de nos fréquentations ou petits copains aux autres et ça m’allait très bien car cela posait des barrières autour de mon addiction au sexe tout en évitant que les filles m’entendent jouir ou me faire défoncer (ce qui valait aussi pour elles).
Le second point était essentiel pour que l’on garde une vie privée et un semblant d’intimité, ma chambre était comme mon havre de paix, la pièce dans laquelle je pouvais me couper de mes colocs afin de réviser, me détendre ou... me faire du bien.
Cette chambre ressemblait à la chambre de la parfaite petite étudiante, un lit double, un bureau, une armoire et du matériel de make-up, elle était toujours propre et rangée.
Pour autant si vous regardiez sous mon lit, vous y découvririez une valise avec à l’intérieur toute une collection de sex-toys et si vous aviez le mot de passe de mon pc portable pour le déverrouiller vous y découvririez un historique internet et des favoris cochons, l’étudiante studieuse en prends un coup !
Les premières semaines je me masturba calmement dans mon lit en repensant à Kévin ou quelques fantasmes habituels mais très vite je recommença a consommer du porno et me goder savourant ce plaisir secret et intime à l’abri du regard de mes colocs.
Plus les jours passèrent et plus je passai du temps sur les sites de rencontres où je m’étais inscrite à parler avec des mecs en quête de mon premier plan cul, il était temps que je me fasse sauter !
Mon envie de bite se faisait de plus en plus ressentir et ma concentration en cours commençait à en pâtir car je me surpris plusieurs fois à scruter des garçons en me demandant s’ils feraient l’affaire ...
Je voulais m’amuser et j’avais décidée de rencontrer des mecs pour leurs queues et rien que leurs queues !
Je ne voulais plus durant les prochains mois m’intéresser à eux mais uniquement à ce qu’on allait faire ensemble ...
Se rencontrer, Se déshabiller, Se consommer et Se séparer.
J’y avais mûrement réfléchi et j’avais décidée de m’assumer en tant que salope et d’enchainer les aventures, de profiter de ma jeunesse, de m’épanouir sexuellement et de jouir de ce physique si durement retrouvé !
Quelques garçons me tournaient autour en cours, comparée à l’année dernière j’étais mieux intégrée et j’avais réussie à me faire des amis (filles comme garçons) mais j’étais trop dévouée a mes cours et mes révisions pour flirter avec eux.
Je m’appliquais à avoir de bons résultats afin de ne pas revivre une désillusion scolaire et ma mère payant cette fois-ci le loyer afin de m’éviter de prendre un petit boulot à côté, il était primordial d’avoir une bonne moyenne pour lui prouver que je n'allais pas me foirer et que cet effort financier portait ses fruits.
L'école nétant donc pas un terrain de chasse propice a des coups d'un soir (surtout que je me serais rapidement fait une réputation) et bien je me tourna naturellement et rigoureusement vers les sites de rencontres.
Alors pourquoi après plusieurs semaines n'avais-je pas encore trouvée ma prochaine conquête ?
Vous devez vous demandez pour quelle raison prenais-je autant de temps à sélectionner ce mec ?
Il allait être ma 10ème bite …
Jusqu’ici je tenais le compte et même si j’avais prise la décision de les enchainées prochainement et de ne plus me soucier de mon nombre de partenaires, le fait de passer la dizaine me donnait envie de bien la choisir, qu’elle soit mémorable car je savais que ce gars allait être la fin de cet intérêt pour mon nombre d’amants mais aussi l’amorce de quelque-chose donc je ne voulais pas me précipiter et m’assurer d’avoir un amant inoubliable ou une bite extraordinaire pour ce premier plan cul …
J’ai conversé avec beaucoup de garçons. J’étais très sélective physiquement, je cherchais un mec qui me fasse de l’effet ...
Un beau-gosse qui serait mignon de visage et à la carrure plutôt sportive, le gars qui me ferait mouiller comme une folle !
Mon profil, mes photos et ma bio étaient équivoques, je n’étais sur ces sites que pour du cul !
J’avais postée 3 photos de moi :
- L' une prise du dessus qui plongeait dans mon plus beau décolleté afin de montrer que j’avais « du monde au balcon »,
- Une seconde de mes jambes dans la baignoire avec de la mousse sur mon entrecuisse (camouflant mon pubis) où l’on pouvait voir tout le bas de mon corps sans que mon intimité ne soit révélée et où j’affichais fièrement mes pieds pour les fétichistes (je me trouvais super sexy sur cette photo).
- La troisième de derrière où l’on me voyait de dos en bikini sur la plage pour avoir un aperçu de mes fesses.
J’enchainais les matchs et les conversations mais je me rendais vite compte que la plupart des mecs étaient tous les mêmes, peu bavard et bien souvent trop rentre dedans dès le départ en cherchant un rendez-vous immédiatement …
La rançon de la gloire quand on a fait la fille facile dans sa bio et son allumeuse avec ses photos …
Mon plan cul devait être excitant physiquement mais aussi psychiquement, je voulais que cette 10ème bite soit parfaite, que cette baise soit inoubliable et pour ça il me fallait un gars qui sache me stimuler.
La plupart ne sortait pas du lot quand je commençais à les chauffer ou leur demander ce qu’il me ferait si je venais chez eux ce soir (il fallait qu’ils puissent recevoir étant dans l’impossibilité d’en ramener un a l’appart). Leurs réponses étaient peu originales et c'était rarement excitant de lire ce qu’ils avaient en tête ou ce qui les excitaitent.
Quelques gars se démarquèrent parfois mais au moment de discuter de nos pratiques ou fantasmes c’était là encore plutôt fade et convenu ...
Celui qui se démarqua apparu fin octobre alors que j’allais avoir mes premiers jours de vacances de l’année, j’avais fait le choix de rester à l’appartement pour me reposer, réviser et rattraper mon retard sur une série TV mais c’est une soirée chez ce beau-gosse que je programma finalement le soir du départ en vacances.
Il avait de beaux cheveux longs qu’il attachait avec un chignon, c’était un mec musclé qui affichait de beaux abdominaux et de gros pectoraux/biceps sur ses photos torse nu, physiquement une bombe, je me voyais déjà promener mes mains sur son corps pendant qu’il me baiserait !
Il m’avait fait de l’effet par messages en me disant qu’il aurait aimé prendre ce bain avec moi pour glisser sa main entre mes cuisses et m’ôter cette mousse (visible sur ma photo) ...
On s’était alors chauffer quelques jours et il m’avait dit être très endurant, accroc au sexe et incapable de se poser avec une fille tant il aimait séduire. Cela me vendait du rêve et puis au moins c’était clair, avec lui aucune chance ou de s’attacher ce qui en faisait un coup d’un soir de choix ! Il avait eu le courage et l'audace de m’envoyer sa bite en photo quand je lui avait demander s’il en avait une grosse et la photo avait été une réponse des plus convaincantes, elle était épaisse, bien veineuse et imposante donc j’étais ravie.
Pour être honnête, je ne me rappelle plus de son prénom mais je me souviens qu’il avait 5 ans de plus que moi (25 ans), son propre appart en plein centre-ville et qu’il fournissait les capotes donc puisqu’il m’excitait à mort physiquement et par messages, je décida de foncer !
Nous avions choisis de nous rencontrer dans un bar proche de chez lui, je me rendis là-bas avec un décolleté plongeant mettant en avant mes atouts, un pantalon simili cuir et des talons de pétasse. Coté lingerie, un string noir à dentelle que je portais avec un soutif rouge lui aussi à dentelle. Je me souviens avoir été toute excitée en me rasant la chatte quelques heures avant, de m'être caressée en sortant de la salle de bain et d'avoir été fière de l'allure que j'avais dans mes sous-vêtements face a mon mirroir. Le régime et mes nombreuses séances à la salle avaient payées ! Je m'étais maquillée avec soin, j'avais mis mon plus beau rouge à lèvres, je m'étais faites aussi belle que possible et habillée de façon sexy pour lui.
Dans la rue, je vois plusieurs hommes me reluquer, je me sens sexy et leurs regards me confirme que j’ai probablement choisie une bonne tenue pour stimuler rapidement ce beau mâle qui m’attends.
J’entre dans le bar, il est comme prévu assis à une table au fond. Je ne suis pas déçue, il est encore plus beau en vrai que sur ses photos. Je m’installe à sa table timidement et légèrement mal a l’aise n’ayant jamais encore "date" un parfait inconnu, il semble a l’aise et sûr de lui, le feeling passe bien.
Après quelques minutes, deux trois échanges de banalités et l’arrivée de nos verres, il lance enfin un sujet plus croustillant en me complimentant sur mon physique. Je lui demande alors si je lui plais car il n’avait aucune photo de mon visage ?
Il me confirme son attirance, ce a quoi je lui réponds ne pas être déçue également, une tension sexuelle s’installe, elle est palpable, son regard dans le mien est électrique, il me déstabilise autant que j’ai envie de foncer chez lui !
Il commence a poser sa main sur la mienne au fil de notre conversation, on évoque mon inexpérience en dates et que c’est la première fois que je viens à la rencontre d’un gars pour du sexe, il m'expose alors le contraire, son habitude à ce type de rencontres et me rassure sur le fait qu’il va prendre soin de moi et que tout va bien se passer, qu’on va se régaler …
Une pulsion m’anime alors et je lui demande « qu’est-ce qu’on attends pour y aller dans ce cas ? »
Il sourit, termine son verre d’une seule gorgée et me réponds « allez, c’est parti » !
J’avale d’une traite le mien à mon tour et prends mon sac pour le suivre, on rigole, il prends ma main, mon cœur s’emballe ...
Que suis-je en train de faire ?
On marche quelques instants, il passe sa main par-dessus mon épaule et m’explique qu’il habite à deux rues d’ici, il sent bon, j’aime l’odeur de son déo/parfum, le soleil est en train de se coucher et illumine son visage d’une sublime teinte.
Je le trouve si beau …
Me voici dans son appartement, un léger stress s’empare de moi au moment où il ferme la porte a clé, il se retourne et me sourit, je lui rends timidement son sourire sans un mot.
Il s’approche, pose ses deux mains sur mes joues et m’embrasse langoureusement.
Mon stress s’envole et mon bas-ventre s’éveille.
Alors que nous nous embrassons plus sauvagement et que nos langues se mêlent, il me pousse en arrière tout en me gardant contre lui, je recule en continuant notre baiser avant de basculer a la renverse sur son canapé.
Ses lèvres et sa langue quittent ma bouche pour plonger dans mon décolleté et m’embrasser le haut des seins !
J’adore sa fougue et qu’il y aille aussi franchement sans même me dire un mot depuis qu’on entrés chez lui ... Il m'excite.
Ce garçon que je ne connaissais pas il y’a 20 minutes est en train d’enlever mon haut et sortir mes seins de leur soutif pour me dévorer les mamelons, je gémis comme la salope que je suis alors qu’il me suce les pointes et malaxe d’une poigne ferme ma poitrine. Mes gémissement de plaisir semblent le déranger car il enfonce rapidemment deux doigts dans ma bouche comme pour me faire taire ou m’ordonner d’essayer d’endurer sa fougue le plus discrètement possible.
Je commence alors a sucer ses doigts, promener ma langue autour de ceux-ci, ce qui a pour effet de le faire devenir plus bestial, il commence à mordiller mes tétons et m'assenne même des claques sur les seins.
J’aime qu’il me traite ainsi, je me sens comme une Femelle réduite à l’usage de ce Mâle, il est si sauvage que plaisir et souffrance se mêlent mais j’ai la sensation d’être sa chose et ça m’excite carrément.
Je commence à avoir mal aux seins, mes tétons ont étés maltraités et le tripotage sans retenue ainsi que les multiples coups administrés a ma poitrine me donne la sensation de n’être plus que deux énormes bleus ...
Je n’allais pas tarder à arrêter de lui sucer les doigts pour lui demander de laisser un peu de répit a ma pauvre poitrine quand il se redressa de lui meme pour déboutonner son pantalon face a moi et me donner un ordre des plus directs « Suce moi ! ».
Je me redresse sur le canapé alors qu’il grimpe dessus, la situation m’embarrasse, son sexe est en érection face a moi, je l’ai littéralement sous le nez et je trouve cela légèrement rabaissant, il ne m’a pas laissé le plaisir de découvrir sa queue, de l’extirper de son pantalon/caleçon, la prendre en main, la lécher, jouer avec avant de le prendre en bouche …
Il me l’a mise directement sous le nez, à quelques centimètres de moi et m’a donné l’ordre de le pomper, cette posture avec les mains sur les hanches alors qu’il bande aussi virilement devant moi me gêne, c’est comme si cette situation affirmait sa supériorité sur le jouet sexuel que je semblais être pour lui, ça m’excitait autant que ça me gênait qu’il soit si à l’aise.
Je m’exécute tout de même, j’empoigne sa grosse queue gonflée de désir, elle est chaude et plus dure que toutes les queues que j’ai le souvenir d’avoir un jour prise en main ...
Je le branle délicatement alors que ma langue se pose sur sa verge, je prends conscience du morceau et réalise qu’elle est vraiment monstrueuse, une vraie bite d’acteur porno …
Je lèche cette queue d’une rigidité inquiétante en me demandant si elle ne va pas me faire mal quand je l’aurais en moi ?
Ma langue parcourt son chibre et ses veines donnent du relief à « l’objet », sa queue est encore plus impressionnante qu’en photos, il était définitivement le meilleur choix !
Son énorme bite me fait fondre d'excitation autant que je la crains pour la suite ...
Je suis complètement excitée par la situation, être les seins à l’air avec le soutif encore agrafé sur mon ventre dans le salon d’un parfait inconnu en train de goûter à la bite la plus virile qu’il m’a été donnée de voir est super excitant.
J'adore cette liberté que je m'accorde, cet interdit que je brave, je me sens cochonne et supérieure à celles qui n'osent pas vivre ça.
Je décalotte pleinement le gland de mon partenaire et enfonce sa queue dans ma bouche, je la lèche, la suce, l’aspire, la pompe et la goûte comme si je n’en avais pas eue en bouche depuis des années, je me sens affamée, j’ai envie de la déguster encore et encore, je prends du plaisir à le sucer.
Je commence à me laisser totalement aller et faire tout ce qui me passe par la tête, ma fellation devient plus obscène et baveuse, je lui fais du « sâle » alors que ma chatte est en feu, j’ai l’impression d’être trempée, j’ai envie de me caresser le clito pendant que je le pompe, d’enfoncer un doigt en moi pour constater l’effet qu’il me fait …
D’un coup, il se mets à me tenir le crâne et me baiser la bouche, ses pouces sont au-dessus de mes oreilles alors que ses 8 autres doigts m’écrasent le crâne, il ne fait preuve d’aucune délicatesse dans sa manière de me tenir la tête et encore moins dans la manière dont il me baise la bouche. Ses couilles volent au rythme de ses vas et viens, elles claquent parfois contre mon menton tellement il y va vite, il me fourre la bouche comme si c’était une chatte, je le trouve encore une fois beaucoup trop a l’aise et humiliant pour un plan avec une parfaite inconnue mais là aussi ça m’excite d’en être déjà à faire des choses si obscènes/intimes avec un mec que je connais à peine ...
Il me fait soudainement basculer en arrière bloquant ma tête entre le dossier du canapé et son pubis afin de me la mettre plus profondément, j’ai son énorme queue en plein dans la bouche, j’étouffe comme je n’ai jamais étouffé mais je prends sur moi …
Ma langue est coincée sous sa queue, il a trouvé la bonne inclinaison pour se payer ma gorge, il me baise la bouche plus calmement mais bien plus loin ! Je n'y arrive pas, sa queue tient à peine dans ma bouche et me coupe totalement la respiration, son énorme morceau de chair appuie sur ma langue et me donne envie de vomir. Ma gorge se fait malmener un moment sans que je puisse gérer ce qu’il se passe, m'avouant vaincue, je commence à taper sa cuisse pour lui demander de me laisser respirer mais sans succès, il ne m’écoute pas et continue son œuvre.
J’essaie alors de m’extirper mais il me tient fermement par les cheveux, coincée contre le canapé et le poids de ce gars sur moi, je n’y arrive pas. J’ai l’impression que je vais lui gerber sur la queue et m’étouffer par manque d’oxygène, c’est un énorme relent qui m’aidera finalement à le dévier en m’extirpant dans un rejet qui frôla le vomissement ! Ce fut un véritable haut de cœur et j’en bondissa hors du canapé pour saliver abondemment sur son parquet comme une vulgaire pute …
« Mec, c’était quoi ça ? T’es malade ! » lui reproche-je alors que je reprends péniblement mon souffle et ravale ma salive.
Il me redresse, essuie mon eye-liner qui dégouline sur mes pommettes, m’embrasse à pleine bouche alors que je suis encore pleine de bave, dégrafe mon soutien-gorge qui tombe au sol puis me pousse de nouveau sur le canapé où il se mets a enlever mon pantalon, je reprends encore mes esprits après avoir étouffée sur sa queue lorsqu’il me donne un nouvel ordre : « A quatre pattes maintenant » …
Il me fait cambrer devant lui afin d’admirer mon cul en string puis l’écarte pour plonger un doigt en moi, il m’informe que je suis trempée (comme si j’en doutais) puis il baisse mon string avant de venir plonger son visage entre mes fesses afin de me lécher les deux trous avec gourmandise.
Je suis décontenancé, il ne s'est meme pas excusé pour m'avoir faites presque vomir avec sa gorge profonde. J'en reviens pas qu'il ne m'a même pas répondu quand je me suis plaintes. Ce mec m'a embrassée, déshabillée et mis dans la position qu'il souhaite et je me suis docilement laissée faire ... Il me traite comme un jouet dont il peut disposer et je le laisse faire ...
Je prends conscience de la chienne qu'il croit avoir chez lui, son attitude me renvoit brièvement a mes séances de psy ...
Suis-je capable de me laisser encore traitée ainsi par un homme ? Puis-je laisser un homme faire ce qu'il veut de moi ?
Suis-je d'accord avec ça ? Est-ce normal de finir toujours dans cette posture, ce rôle, cette façon de coucher ?
Est-ce qu'une femme est faites pour se faire prendre de la manière dont l'homme en a envie ? Ne suis-je pas faites pour ça ?
Voulais-je baiser avec un inconnu ou me faire utiliser par un inconnu ? Pourquoi ce traitement toxique m'excite-t-il ?
Suis-je une chienne qui ne veut que ça ? Servir les besoins des hommes ?
Ces questions se bousculent dans ma tête alors qu'il me dévore sucessivement les trous.
Sa façon de me bouffer le cul est animale et sale, il salive beaucoup trop et ma raie finit trempée ce qui est loin d’être agréable. Il enfonce plusieurs fois sa langue dans mon anus ce qui n’est pas ce que je préfère.
En revanche, sa manière de me lécher la chatte est plus maitrisée et fait mouche, il embrasse mes lèvres du bas avec les siennes et sa langue se promène dans mon trou ou sur mes lèvres, de bons coups de langues bien précis et quelques frottements du doigt titille à souhait mon clitoris et me font fondre sous ce traitement.
Je m’agrippe au dossier du canapé totalement excitée par le fait de sentir son front et son nez complètement enfoncés dans mon cul, lui aussi est a son tour en apnée entre mes fesses. Mes pensées s'estompent pour ne laisser place qu'à une image où je me vois à quatre pattes en train de prendre mon pied avec l’intégralité du visage de cet animal dans mon cul, on ne m’avait jamais fait ça dans cette position !
Il se redresse après de longues et délicieuses minutes, il me dit de ne pas bouger, fait quelques pas puis revient vers moi avec une capote, il la déchire et l’enfile avant de venir frotter sa queue contre ma chatte. Je me crispe instantanément en me demandant si commencer par la levrette est une bonne idée avec une telle bite ?
Il ne me laissera pas le temps d’en débattre et me la mets lentement, cela me coupe le souffle, elle est énorme et l’absorber est incroyable.
Je me fais prendre avec patience et maitrise, ma chatte s'habitue à son membre avec bonheur, elle est trempée et était finalement totalement prête à l’accueillir. Mon amant est bon, on vient de commencer mais je sens instantanément qu’il sait y faire, il me lime doucement pour bien que je sente sa verge sur toute la longueur.
Je constate qu'il sait se jouer d'une femme quand il me lime l’entrée plusieurs fois rapidement en me pénétrant peu puis pousse d’un coup vif et puissant au fond pour me faire l’encaisser profondément et m'arracher a coup sûr un cri/gémissement ! Je m'habitue a le laisser m'entendre jouir sous ce traitement, il tape deux fois tout au fond avant de reprendre une dizaine de courtes pénétrations pour me faire saliver et espérer de plus gros coups de reins, pas de doute, il sait y faire pour asservir une femme à sa queue.
La véritable levrette débuta après m'avoir totalement décomplexée, de vrais coups de reins en cadence me faisaient dorénavant couiner comme une chienne en chaleur et ma chatte aspirait son épaisse bite comme si elle avait toujours été aussi dilatée.
Ses mains parcourent mes fesses, il les malaxent, les écartent, les remuent ! Il s'aggripe à mes fesses et les broient entre ses doigts, il me secoue le cul sur sa bite sans qu'on bouge comme pour se branler avec ma chatte, il me fait remuer dessus seule, il profite de tout ce que j'ai à offrir ... Les minutes passent et ma chatte se fait pulvériser, de grands coups de bites s'abattent dorénavant en moi pendant qu'il me tient par les hanches, il me frotte l’anus du pouce, passe une main sous mon ventre pour me caresser le clito ou par moments il tripote mes seins qui pendent dans le vide. Il m'arrache de nombreux gémissements intenses et me fait jouir a répétitions.
« T’as l’air d’apprécier être ma chienne, dis-moi que t’aimes cette queue !
- Je l’adore, elle est trop bonne ! Et toi ? T’aimes ma chatte ?
- Tu mouilles abondement, ma bite glisse si facilement en toi ! J'aime le bruit que ta chatte de salope fait, ça m’excite grave !
- C’est parce-que tu me rends folle, baise-moi plus fort ...
- Oh, tu veux y aller à fond ? Voyons ce que tu peux encaisser !
- Défonce-moi, je suis là pour ça »
Une levrette brutale, intense et mémorable débuta.
Il retire sa queue de ma chatte, me repositionne à l’avant du canapé alors qu’il se met cette fois debout face a mon cul.
Il ôte mon string que j'avais sur les chevilles depuis un moment, j'allais l'aider a retirer mes talons quand il refuse et me dit de les garder, ça l'excite. Il rentre de nouveau en moi et débute alors une série de coups de bites bien plus brutaux.
Je suis le cul en l’air avec le visage contre le canapé, un étalon me prends sans retenue et fracasse mes pauvres fesses contre lesquelles son pubis et ses cuisses claquent a toute allure. Il est brutal, ses coups de reins sont effrénés et sa lance me perfore trop profondément, j’ai l’impression qu’il tape contre mon utérus, j’en ai mal au ventre mais l’intérieur de ma chatte et mon clito se régalent, mes parois vaginales sont limées sans ralentissements, j’hurle de plaisir/surprise/douleur sous ses assauts.
Quelques insultes/compliments accompagnent ses coups de reins, on se lâche complétement verbalement et physiquement, il n’est plus qu’un chien en rut, vulgaire et violent et je ne suis plus qu’une chienne en chaleur, obscène et soumise.
Le bruit de son corps qui s’entrechoque avec mon fessier, nos gémissements décomplexés, nos obscénités verbales et le bruit que fait son canapé qui avance sur son parquet par moments me font penser aux voisins qui doivent nous entendre, ça m’excite, on est des putains d’animaux.
Je prends mon pied, je couine, gémis, hurle par moments et j’ai les larmes aux yeux car je commence à ne plus supporter tout ça, j’en perds le souffle, la tête et ma chatte ressent trop de choses, du bon comme du mauvais, il me la broie de l’intérieur, j’ai l’impression de n’être plus qu’un trou béant qui ne se refermera plus, sa grosse queue me fait autant de bien que de mal et je ne sais pas si j’ai envie de pleurer de plaisir ou de douleur.
Une fessée puis deux puis trois s’abattent sur mes fesses, je sens déjà ma peau rougir, il m’insulte de chienne et autres joyeusetés alors qu’il me frappe. Le paradoxe se fait de nouveau sentir, est-ce que j’aime qu’il fasse ça ?
Pourquoi je me sens mal à l’aise ou humiliée/rabaissée à être traitée ainsi ?
Pourquoi est-ce que ça me dérange qu’il se permette ça sans m’en avoir parler ?
Pourquoi est-ce que je ne l’arrête pas alors que ça fait mal ?
Pourquoi est-ce que je me sens excitée par le fait qu’il me manque de respect comme ça, me réduise a ça, se permette ça, me traite comme ça ?
Pourquoi est-ce que je le trouve viril et excitant a se comporter ainsi ?
Pourquoi est-ce que j’aime du coup qu’il fasse ça ?
Est-ce que ça fait du bien ou juste mal ?
Je suis partagée et est-ce que ce n’est pas cette dualité entre mes sensations/sentiments qui m’excite autant justement ?
Quelque-chose grimpe en moi, quelque-chose d’intense, j’ai envie d’ouvrir les bras a cette sensation autant que la fuir pour qu’elle s’éloigne. Mon bras commence alors à freiner instinctivement mon partenaire, je pose ma main contre son ventre pour réduire sa capacité de pénétration et sa vitesse, je constate qu’il est en sueur. Cela m’excite ... NON !!! Ce n’est pas le but ... Pourquoi je n’arrive plus à me tenir ?
Il me prend alors le bras puis l’autre et me voici encore plus vulnérable avec les deux poignets l’un sur l’autre alors qu’il me menotte de sa main. Il me baise moins vite mais pas moins fort, je n’arrive plus à tenir, ça fait mal, ma chatte n’est plus en mesure de le servir, je le supplie d’en finir l’informant que je suis hors-service !
Il me soulève alors le haut du corps a la force de ses bras en tirant sur les miens, il bascule son dos légèrement en arrière et me pilonne sans aucune retenue ou pitié alors que je viens de lui dire être détruite ... Mes seins volent dans tous les sens, je suis droite, à gémir de douleur et de bonheur sous le traitement que je subis, je suis empalée sur sa queue, il va définitivement me détruire la chatte, je serre les dents et attends qu’il finisse me fiant a sa respiration haletante et la vivacité de son assaut, il ne tiendra plus longtemps.
C’est alors que l’impensable arriva, dans un dernier élan destructeur pour moi et salvateur pour lui.
Il passe son bras droit entre mon dos et mes deux bras, fermant mes bras entre son avant-bras et son biceps et me redresse contre lui, je me retrouve le dos contre son torse avec les deux bras maintenus fermement par le sien !
Sa main gauche me malaxa un moment les seins et les tétons avant de se fermer sur mon cou, il m’étrangla alors dans un dernier élan de sauvagerie et ce n’était pas un étranglement délicat ou pour le jeu sexuel ... C’était un étranglement réel, bestial, brutal qui aurait pu s’avérer fatal car je sentais qu’il ne relâcherait qu’après avoir joui.
J’entends cet homme en rut râler de plaisir alors qu’il me déboite, mon corps est tordu en deux, mon cul et mes hanches sont cambrés sur sa queue et le haut de mon corps fait une arche, ma tête est sur son épaule, il me lèche la joue alors qu’il m’étrangle de toute ses forces comme s’il allait me tuer.
Je n’arrive plus à parler, je ne respire plus depuis un moment, j’ai mal au dos, à la chatte et je commence à perdre connaissance, je ne l’entends bientôt plus gémir, le bruit de ses coups de reins disparait et je ne ressens plus rien.
Rien sauf sa queue qui me pilonne, la sensation que j’ai cherchée à éloigner accélère subitement et je me tords alors sentant le bas de mon ventre imploser, c’est intense, c’est comme s’il avait rompu quelque-chose en interne dans ma chatte.
J’essaie d’hurler mais j’étouffe, je suis de retour dans le monde réel et me débat, j’essaie de me jeter en avant tout en remuant ma tête dans tous les sens, il relâche subitement ma gorge, je tousse et m’écroule, ses bras me libèrent, je suis sur son canapé à trembler de partout et m’agripper à l’accoudoir ...
Je pousse enfin un long gémissement de plaisir alors que ma chatte semble jaillir, je viens d’avoir mon premier orgasme.
Je reste un moment affalé sur le canapé avec les jambes qui tremblent, je reprends mon souffle péniblement, quelques larmes coulent, j’ai la gorge en feu et ma chatte semble n’être plus qu’un trou béant. Mon corps accuse un sérieux contre-coup, j’ai mal partout mais je suis aussi comme sur un petit nuage, je me sens légère, je flotte hors du temps et je me sens en paix.
Une palpation de mes fesses me ramène avec lui alors qu’il s’approche de ma chatte détruite.
Je m’extirpe aussitôt hors de son contact refusant qu’il me la touche de nouveau.
Je me retourne face a lui pour lui dire que je suis hors-service et que je vais le finir avec ma bouche mais je constate qu’il commence à débander et que la capote est pleine de sperme.
« Doucement, je suis plus en capacité de te laisser la toucher …
- Haha, ok !
- Je ne savais pas que t’avais joui, t’es venu quand ?
- Bah en même temps que toi, quand tu te tordais dans tous les sens, j’étais en train d’envoyer la sauce.
- Tu veux dire qu’on a … jouis en synchro ?
- Oui, ensemble, te voir avoir un orgasme m’a achevé !
- Je ne crois pas avoir déjà eu un orgasme ... En tout cas pas d'avoir joui aussi intensément et ça ne me parle pas non plus d’avoir joui en même temps que mon partenaire, je trouve ça fou ...
- On était compatibles, que veux-tu !
- Ouais … plutôt …
- En tout cas, peu de filles arrivent a encaisser ma bite comme tu l’as fait !
- C’est vrai ? Bah, je dois avouer que j’ai super mal au ventre maintenant mais c’était le pied.
- C’est normal, j’ai tellement tapé dans le fond … Tu veux boire un truc ?
- Un verre d’eau s'il te plait puis je vais y aller …
- Ah ouais, tu ne veux pas passer la nuit ici ? On pourrait recommencer tout à l’heure puisque t’as l’air d’avoir aimé ça ?
- Haha j'apprécie ton entousiasme mais je suis plus du tout en état, je t’assure que là c’est impossible.
- Ok, pas de soucis, c'est toi qui vois
- Ta salle de bain est où, je vais aller me passer un coup d'eau »
Il retire sa capote, la jette dans la poubelle de la cuisine, m'indique la salle de bain et ouvre son frigo.
Je m'éclipse péniblement, mes jambes flageolent, j'atteins la salle de bain et découvre une fille en piteux état !
Mon maquillage est ruiné, je ressemble a un panda, mon eye-liner a coulé partout, mes cheveux sont en bataille, je suis hideuse.
Je me rince le visage, tente de me redonner une apparence présentable et me passe un coup d'eau sur les cuisses.
Je retourne dans le salon pour y retrouver mon hôte, il est toujours nu, je suis encore nue aussi ne portant que mes talons, on boit un dernier verre ensemble en se complimentant mutuellement physiquement et pour cette bonne baise puis je me rhabille et quitte ce dangereux étalon. Il m’embrasse sensuellement devant le bas de sa porte, mon cœur s’emballe, je rentre chez moi avec une sensation de plénitude.
C'est dingue, je pourrais tomber amoureuse du premier mec qui me baise ?
Je m'étais jurée de ne jamais remettre le couvert une autre fois avec mes futurs plans culs alors pourquoi j'ai déjà envie de le revoir ?
Je sais depuis le début que ce queutard est incapable de se poser et qu'il va en baiser d'autres alors un peu de sérieux Charlotte ...
Il m'a fait prendre mon pied comme jamais ce mec, bien foutu, bon coup, un brin dangereux et pervers, quelle rencontre !
Raison de plus, si un parfait inconnu peut me baiser aussi bien, autant en essayer pleins d'autres et vivre d'aussi bons moments !
En rentrant dans l'appartement je croise Ines qui me demande si j'ai passée une bonne soirée, je lui dis avoir été au restaurant avec un mec mais qu'il n'était pas très intéressant. Elle me réponds que c'est dommage. Je lui mens ouvertement afin qu'elle ne se doute pas un instant que sa coloc vient de se faire démolir par un inconnu. Je lui explique que je suis morte et que je file prendre une douche avant d'aller dormir.
Une fois nue dans la salle de bain, je constate les dégats !
Mes seins ont des rougeurs, mes fesses gardent des traces de ses fessées, ma chatte est hyper-sensible, le passage du jet d'eau ou de mes doigts est une sensation trop vive.
Comment ce gars a-t-il pu me faire jouir plus fort que tous mes exs et me démolir plus que tous mes partenaires ?
J’ai envie de me toucher en me mettant au lit mais je n’y arrive pas, je ne suis pas en état alors que j’en crève d’envie.
Je m’endors péniblement, je repense a sa main sur ma gorge, a sa grosse bite dans ma bouche, a ce qu'il a fait de ma chatte ...
Ma chatte resta sensible le lendemain, impossible encore de me masturber, mes seins et mes fesses gardèrent quelques jours des ecchymoses, les voirs m'excitait, ça me ramenait à lui, aux coups que j'ai pris, au traitement que j'ai subis, au plaisir qu'il m'a donné.
Ces bleus étaient de courts trophées, ils s'estompèrent comme mon envie de le recontacter laissant place a une soif d'aventures, de nouvelles bites, de nouveaux amants, de nouveaux souvenirs mais cette 10ème bite me resta en mémoire comme l'une des meilleures baises de ma vie et je m'étrangla moi-meme en solitaire quelques fois dans les semaines qui suivirent en me masturbant ...
L'année ne faisait que commencer, ce premier coup d'un soir avait été un franc succès et avait éveillé de nouveux vices en moi, plus motivée que jamais a me découvrir sexuellement et profiter des hommes pour ce qu'ils sont, je débuta ma nouvelle vie.
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Satyne a besoin de nouvelles robes. Enfin besoin... Sa penderie est pleine à craquer comme beaucoup de femmes. Mais là elle veut une robe cache coeur ou boutonnée pour jouer à s'exhiber plus facilement.
Comme toujours elle est nue sous sa robe pour partir à cette session de shopping-exhib, et reçoit la consigne d' obéir sans poser la moindre question.
Premier arrêt, premiers essayages, jolie robe, mais le rideau de la cabine d'essayage est bloqué, impossible de le laisser à moitié ouvert.
Deuxième arrêt, beaucoup plus intéressant. Je vous décris le lieu, c'est important : le stand est ouvert sur deux côtés dont un est plus ou moins '' fermé'' par des portants de robes. Et sur l'avant deux petits portants réduisent l'ouverture. Nous pénétrons dans l'espace exigu, je remarque qu'il n'y a pas de cabine.
Ma chérie a repéré deux robes parmi celles proposées par le vendeur. Elle essaie la première par dessus la sienne (je me dis qu'elle manque d'initiative, elle sera punie si elle continue comme ça). Deuxième robe j'interviens, je dis au vendeur que s'il sort, elle pourra se déshabiller dans son stand vide de client. Il s'exécute et ma petite exhibe se dénude. Elle constate que des passants la voient entre les portants sur l'avant du stand. Mais elle ne repère pas tout de suite le vendeur qui se rince l'œil en '' arrangeant '' des vêtements sur le portant latéral.
Passants et vendeur se régalent de son corps nu, les passants ne remarquent peut-être pas les piercings aux tétons et aux grandes lèvres de ma salope , mais le vendeur a tout le temps nécessaire.
La robe est jolie, s'ouvre facilement, elle va la prendre. Nouveau déshabillage, pour le plus grand plaisir du vendeur.
La connaissant, ça doit énormément l'exciter d'être nue, au milieu du marché, à la vue de n'importe qui (elle a maintenant remarqué le manège du vendeur). Elle finit de se rhabiller, mais ... C'était la première fois que je l'emmenais au marché mais ce ne sera pas la dernière : nous y retournerons, surtout sur des stands sans cabine...
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Un lope gays devient pire qu’une chienne destinée à la reproduction BDSM.
- Allo
- Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte.
- Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ?
- Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ?
- Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres.
- On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ?
- Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle.
- C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ?
- Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.
- J’ai encore une question ?
- Je vous en prie !
- Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ?
- La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes.
- Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places.
- Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ?
- Oui c’est ça !
- A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location.
Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM.
Sur Fessestivites il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client.
Pauvre Damien....
Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.
Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence....
A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».
Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres)
A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage.
- Cela vous plait ? Demande Damien
- Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier !
- Au gîte fétichistes !
- C’est assez surprenant répond Master Paul.
- Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider !
Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou.
Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting.
Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien.
Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.
Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit.
Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques.
Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky.
Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony.
- La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter.
Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain.
- Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier !
- Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ?
- Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ?
- Non jamais !
- Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter.
Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ».
Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout.
Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.
Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....
Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.
Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour.
Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^.
N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir...
Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive.
Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné.
- Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices.
Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain.
Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage.
- Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, en plus le rosebud est petit, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café.
Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui.
La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes.
Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner.
C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max.
- Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir.
C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.
FIN
TSM
- Si Marc existe réellement
- Si le gîte fétichistes existe réellement
- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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-Mais à peine sortis du magasin ,poussant le cady le plus vite possible pour atteindre notre voiture ;des cris ;des rires !ce sont eux !!!regardez comme ils filent –Oui, les voleurs !rires !
-Une femme agée, ses cheveux gris en bataille hurle :moi je trouve qu’elle n’en n’a pas eu assez !
-ouais !!!
-Bientôt, hommes femmes et même gamins nous entourent !tous ages et tout sexe confondu ; les yeux brillants, l’insulte à la bouche !
-Salope voleuse, putain pour ma femme, et moi cocu p’tite bite !!!
-Chiche qu’on leur en met une bonne de fessée déculottée !
-Oauis, aux deux !
-Allez, cul nu la fessée !hihi !
-Tous nus plutôt insiste la vieille, on les fout à poils !
-Morts de peur, tétanisés par cette foule haineuse, je suis incapable de nous défendre , ma petite femme encore moins !
-De plus la foule qui nous entoure a grossit ; tous ne sont pas actifs mais les regards ironiques et les mines éxcitées me font comprendre qu’aucune aide ne viendra ;ils sont là pour s’en mettre plein la vue.
-Dailleurs, à voir les portables et les tablettes numériques brandies vers nous,ce qui les interesse c’est de nous filmer à poils !
-Nous sommes alors empoignés ; des mains fébriles s’attaquent à nos vêtements !
-Inutile de resister, ma petite femme est mise rapidement nue,
-On garde leurs fringues !oui ils repartiront à poils !rires !
-Amon tour, je suis dénudé ;malgré ma honte où peut-être est-ce- la cause je me mets à bander !
-Regardez le cochon il a la trique !!rires !!!
-on nous met à quatre pattes ,et des claques commencent à nous rougir le cul !chacun leur tour avec plus où moins de force
-La plupart des hommes ayant claqué le cul de ma femme en profitent pour glisser leurs doigts dans son sex,et les ressortir luisant de mouille en ricanant !
-Lui il bande, elle, elle mouille !
-Alors les insultes redoublent de vigueur !grosse salope ;ça la fait mouille la pute !
-Mettez lui un doigt dans le cul on va voir si elle aime ça aussi !rires !
-Ils ne se gênent pas pour doigter le trou du cul de ma femme qui couine de plus belle !
-Si elle aime ça, vous n’avez qu’a l’enculer hurle la vieille qui semble la plus virulente !
-Oui, on l’encule allez !
-Déjà des mecs se présentent devant le cul de ma femme, leur queue sortie du slip !Et sous mes yeux hagards mon épouse se fait enculer en public !l’un après l’autre des mecs, surtout des jeunes viennent lui fourrer le cul !
-Elle se met immédiatement à couiner sous les rires et les quolibets !elle aime ça la pute !!!
Heureusement l’arrivée de Pascal de ses deux adjoints met fin à cette folie !
-Ils arrivent armés de matraques électriques !
-Ça suffit hurle Pascal !laissez- les et barrez- vous !
-Seule la vieille vache se met en travers ; virulente !a
Laissez- nous la punir !
-Attend , toi tu vas voir ce que ça fait d’être mise à poils en public !
-Et, sous nos yeux il sort un poignard et lacère la robe de la vieille ,qui pousse un cri de terreur, ensuite il tire sur son soutien-gorge et l(arrache, il continue avec sa culotte qu’il lui arrache, et voici la vieille
Entièrement nue, frissonnante de honte essayant de cacher son pauvre corps, des seins flasques qui lui tombent sur la poitrine, des cuisses pales, des jambes bleuient de varices, un cul mou et laid !
-Si vous voulez enculer une salope elle vous atttend lance Pascal !
-Il récupère le soutien-gorge en lambeaux pour lier les mains de la vieille dans le dos, incapable de se défendre, elle est alors entourée et attrapée ;avant de voir ce qui va lui advenir, nous profitons de l’occasion pour grimper dans notre voiture et nous enfuir, non sans avoir lancé un Merci vers Pascal qui rigole !
-A ce soir les jeunes !je viendrai vous faire une petite visite.
-Je m’y attendais mais pas si rapidement !
-Après être rentrés, nus courses rangées, ma petite femme enlacée nue,le cœur battant :
-Alors maintenant tu vas me dire tout !
-Oui chéri !
-Tu m’as trompé ?
-Oui soufle t-elle !
-Beaucoup où un peu ?
-Euh !!!
-Je veux dire avec un mec où deux où plus ?
-Plus, répond – elle les yeux baissées ?
-Oh !plus de cinq où moins ?
-Plus !
-Oh ;plus de dix ?
-Oui !
-Je n’ose pas aller plus loin dans les investigations, j’ai peur qu’elle me réponde plus de vingt !!!
-Je la prends dans mes bras et l’embrasse, je t’aime quand même !
-Tu me pardonnes ?
-ça t’excites un peu de savoir que je me fais mettre par d’autres ?
-Oui un peu !
-Tu es mon petit cocu chéri ?
-Oui !
-Tu es content d’être mon petit cocu chéri ?
-Oui !
-Dis -le –Je suis content d’être ton petit cocu chéri !
-Dis-moi que tu m’aimes encore plus quand je te fais cocu ! dis-le !
-Je t’aime encore plus quand tu me fais cocu, ma chérie !
-Elle se serre plus fort contre moi !
-Viens sur le lit et prend moi mon cocu !ce soir Pascal va venir me baiser !
-Fou de désir j’allonge mon épouse, lui écarte les cuisses, et , vite je lui fourre ma petite bite ! quelques va-et vient et je décharge en elle, fou de bonheur !
-Vers 20h,on sonne ;Pascal arrive accompagné de ses deux adjoints .
-On vient chercher notre récompense nous dit-il en souriant !
-Voici henri, un type d’une quarantaine d’années, et georges, un sympathique noir costaud et souriant de toutes ses dents blanches !
-Ils vont baiser ta femme, mais avant tu vas les sucer !
-Mais avant on va boire un coup ;il sort deux bouteilles de champagne d’un sac !
-Tu vas faire le service, cocu, pendant qu’on chatouille un peu ta femme !rires !
-Ensuite ils l’emmèneront dans la chambre pour la tringler !
-Quand à moi je vais passer la nuit avec !Oui, ce soir je couche avec Thérèse !
-Je frissonne en entendant cette phrase cet homme va coucher avec ma femme !!!
-Je fais le service, on a tôt fait de liquider le champagne ;Thérèse, assise entre les deux hommes, ses jambes écartées, leurs mains plongées entre ses cuisses ;sa culotte baissée à ses chevilles puis, otée, je devine d’après le mouvement de leurs bras, qu’ils la branlent doucement !
-Allez, lance Pascal la chambre est au premier !baisez la, elle n’attend que ça !hihi !
-Mon épouse, évitant mon regard se laisse emmener sans protester !
-On va l’écouter jouir s’amuse Pascal !Georges le noir en a une énorme s’amuse –t-il, tu le suceras la prochaine fois, va !!hihi !
-Ta femme va le sucer , elle !
-Quelques minutes plus tard, j’entends effectivement mon épouse couiner !humm ohhh ouiiiiii oh ouiiii ohhhhhhça y est !!!!ouiiiii !
-Elle vient de jouir ta salope commente Pascal !
-ça t’excite s’amuse Pascal en posant sa main sur ma braguette !
-Je sursaute !je n’ose pas bouger !
-Tu bandes mon salaud !
-Oui !
-Il serre sa main sur moi !
-Je suis tout rouge !
-Tranquillement il se met à déboutonner ma braguette, il ouvre mon pantalon !
-Soulève tes fesses !
-J’obéis ;il tire sur le pantalon et le slip ;me voici déculotté !
-Ma petite bite à l’air, dressée,
décalottée !
-C’est à ce moment que les deux vigiles redescendent de la chambre après avoir baisé Thérèse !
Souriant !
-Oh le petit cocu bande ! s’esclaffent-ils !
-Oui il entendu sa femme jouir !
-Sûr qu’elle a bien joui !
-Allez cocu branle toi !
-Oh je je !
-Ma femme arrive ,elle est nue !
-Regarde ta femme comme elle est mignonne, tout à l’heure ça va être mon tour de la tringler !
-Allez astique toi devant nous !Thérèse écarte els cuisses , montre ton minou pour exciter ton cocu !
-Ma femme obéit ; sa craquette ouverte laisse sourde un long filet de sperme qui lui coule vers l’interieur des cuisses !
-sans force, excité , comme un fou j’empoigne ma zezette, et je me branle ,sous les yeux amusés des amants de ma femme !
-flic floc et rien de temps je décharge sous les rires des hommes !
-Pascal recueille mon sperme dans un verre !En riant il me le fait boire !
-Ils prennent congé de ma femme en lui roulant une pelle !A la prochaine !
-Je vais aller laver Thérèse lance Pascal !et il pousse ma femme vers la salle de bain !j’aime bien laver une femme des pieds à la tête !
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Homme dominant de Strasbourg de 57 ans cherche femme soumise sur Strasbourg peut recevoir maitrephke
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À mesure que l'aurore chatouille la rosée, la roseraie du jardin de ma Dame dévoile ses couleurs chatoyantes.
Cette humidité perlée s'ajoute à celle déjà présente sur l'épiderme de mes cuisses. Le contraste de température des deux fluides provoque en moi un excès d'excitation. Pourtant raisonné par cet habitacle métallique que ma Dame m'oblige à porter, je ne peux m'empêcher de gémir tant mes sens sont stimulés.
Seul au milieu des plantes, agenouillé dans ce gazon recouvrant l'humus, je suis une statue. Mes bras sont tendus par des liens raccrochés à la structure métallique de la roseraie. Je donne à ma Dame la vue qu'elle désire en lui faisant dos. Pendant qu'elle sirote son Nicaragua dans la véranda, elle s'amuse de mon isolement.
Je dois bien en convenir; ce lever de soleil est magnifique.
La chaleur recommence à monter en moi tant la lumière caresse mon corps nu. Les épines de roses logées entre mes omoplates me rappellent à l'ordre comme ma Dame sait le faire. C'est ainsi qu'elle me marque de son sceau. La douleur se calque sur le battement de mon cœur qui ralentit de plus en plus depuis qu'elle est partie.
Pendant que la lumière révèle le reste de la flore, c'est la faune qui se réveille. Les oiseaux gazouillent, s'abreuvent et jouent dans une des vasques du jardin. J'aimerais aussi pouvoir me libérer de cette étreinte et m'envoler...
"- Tu les envie n'est-ce pas ? À quoi te servirait cette liberté à toi ? Et pour aller où ? Dit fermement la Dame aux Roses, qui s'était rapprochée à pas feutrés.
- Nulle part, Madame, dis-je piteusement en cachant ma surprise. Que ferais-je sans vous ?
- Tu n'irais pas bien loin, c'est certain, dit-elle sèchement. Au moins, tu as le mérite de le reconnaître. Décidément, mes chéries ont vraiment un bon effet sur toi."
Au même moment, je sens comme une pression sous ma nuque. La Dame appuie avec la semelle de sa botte sur les épines restées ancrées dans le haut de mon échine. Je ne puis m'empêcher de mordre ma lèvre inférieure afin d'étouffer la moindre plainte. Plus elle appuie, plus les épines déchirent ma chaire laissant couler de légers filets vermillons que je sens rouler jusqu'à mon bassin. Après que mon cou se soit contracté de douleur, me faisant lever la tête et contempler le ciel, ma tête retombe. Je ne vois plus que mon torse suintant et cette cage entre mes deux jambes.
Après un rictus sonore, appuyant un peu plus son emprise, la Dame s'en retourne dans sa véranda.
Éreinté, je ferme les yeux et m'assoupis peu après.
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Comme tous les jours maintenant il faut que j'aille me préparer pour notre séance de 19h.
Avant de monter je te demande si faut que je redescende nue tu me réponds oui.
Je monte me doucher. Je me nettoie de fond en comble pour être prête pour toi.
Une fois fait, je mets mon plug et je descends habillée seulement de mon collier.
Arriver au pied de l'escalier, je te vois jouer sur ton pc. Je m'installe à genoux à côté de toi et j'attends tes ordres.
Tu me regardes, me fait une caresse sur la joue et m'ordonnes :
- Va me préparer un thé s'il te plaît.
-qu'elle thé, Monsieur ?
-Un thé à la cerise.
-Je m'en doutais .
Je repars le sourire au lèvre pour lui préparer son thé. Je suis comme toujours heureuse. De faire ce rituel de 19h.
Selon les règles, je dois préparer ce thé en ne faisant rien d'autre alors je m'affaire à ma tâche.
Une fois le thé prêt, je viens vers toi avec le thé chaud dans les mains.
Je me mets à genoux et j'attends.
Tu te lever et me dit :
Je vais aller dans le canapé. Toi tu vas me servir juste de porte thé à côté. Je veux que tu le porte correctement et si y a un goût qui tombe tu sera punie.
Je me lève en disant
-D'accord Monsieur. Je vous suit.
Je le suit jusqu'au canapé. Il s'installe. Je me pose juste à côté de lui au sol.
Je me mets à genoux. Le bras tendus avec le thé. Le thé est chaud alors j'ai du mal à le tenir correctement. Mais je fini par réussir à le tenir droit en tenant sa hanse.
Maintenant tu es un porte thé et rien d'autre. Si je te vois regarder la télé ou penser à autre chose ça sera punition.
-Bien Monsieur
Je ferme les yeux pour me concentrer sur ma tâche. Je fais tourner en boucle la phrase "je suis un porte thé".
J'entends la télé et je reconnais une série que je voulais lui faire découvrir. Le bougre, il l'a mis en anglais pour pas que je sois distraite.
Après cette constatation je retourne à ma phrase. Je deviens ce que signifie cette phrase. Je ne pense plus. Je pars petit à petit en méditations. Plus rien n'existe à part cet instant où je suis simplement un porte thé pour Monsieur.
Voilà 30 minutes que je suis à genoux. Mes genoux et chevilles me font mal.
Je commence à gesticuler dans tous les sens. Mon Monsieur me remet à l'ordre à chaque mouvement:
tu es un porte thé et rien d'autre.
En réponse, j'arrête de bouger.
Monsieur a fini son thé et je continue à bouger malgré moi.
Alors il me dit :
Bon on va changer ton utilité. Allonge-toi par terre.
Je suis nue, le sol est couvert de carrelage froid.
Je pose mes fesses sur le sol et tout de suite le froid me fait tressaillir.
Malgré ce ressenti, je m'allonge sur le sol.
Le sol froid me fait prendre conscience où je suis mais pour en rajouter à la situation Monsieur pose ses pieds sur moi.
Me voilà humilié, je ne suis plus qu'un paillasson.
-Et bien sûr tu diras en boucle cette phrase :
"Je suis un paillasson. " Tu ne penses à rien d'autre.
Je récite cette phrase. Cela me fait partir en méditations. Je ne pense plus à rien à partir de maintenant.
Je ressens seulement le froid du carrelage et le poid de ses pieds.
Pour en rajouter à la situation. Il ne se prive pas de poser ses pieds. Sur ma gorge, sur ma bouche, sur mon sexe, il pose ses pieds là où dicte son envie.
Ce serait mentir si je disais que cette situation n'est pas excitante. Me sentir ainsi rabaissé est très plaisant.
ça fait 30 min à nouveau que je suis ainsi.
Il retire ses pieds et me dit de me lever.
Je le rejoins sur le canapé.
-Merci, Monsieur, pour le moment. Lui dis- je en m'installant.
-es ce que ça va? Comment tu te sens ?
-ça va bien, je me sens détendu et toi comment tu vas? Tu a aimé ?
-oui bien-sûr et toi tu as aimer?
-c'était très agréable. Je ne pensais à rien . Quand mon esprit vagabondait. La phase que je me répétais me faisait revenir.
On reste l'un contre l'autre pendant de longues minutes pour faire redescendre la pression. Mais aussi pour ce montrer qu'on s'aime.
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Parlons dévotion,
" Un pied dans les flammes, un autre dans la glace, séduit par les extrêmes j ai trouvé ma place " Lomepal
Ce chanteur fabuleux mets en avant l'équilibre de deux facettes opposées d'une personnalité ou nous pouvons toutes et tous nous identifier, qui creer la complexité de nos desirs et de nombreux paradoxes, comme celui, pour mesdames les soumises, de devenir une femme à travers l infantilisation, une femme responsable, qui prend soin de son Mari, de ces enfants, de son habitat, de son travaille, une femme organisée, disciplinée, serviable et douce, sans oublier bien-sûr très chienne prête à ouvrir sa bouche et ces cuisses pour lacher l'éxcitation de satisfaire son homme, loin des exemples féminins de la femme indépendante, et pourtant, la femme indépendante que fait elle dans son quotidien ? Une vrai pieuvre multifonction n'est ce pas ? La seule différence, c'est la dévotion, la femme soumise ne réalise pas toutes ces taches que pour elle même, mais aussi pour l'homme qu'elle admir, au delà de son satut, qu'elle vénère et qu'elle aime, une passion envahissante qui l'à fait aimer être punie, être fessée, se faire humilier, recadrer, une dépendance qui l'à fait mettre à genoux aux pieds de son Maitre qui fait reigner son autorité à travers la douceur, son sadisme à travers l'empathie, le dépassement des limites à travers l'analyse.
Le fondement des relations bdsm, basés sur deux mentalités contraires pour arriver au même but, une mentalité archaïque dans un monde moderne, le quotidien d'une femme d'affaire à travers la dépendance, le dévouement, et l'infantilisation.
Il faut reussir à trouver sa place et son équilibre malgré le faite d'aimer jouer à la balançoire dans ce monde paradoxal.
Prochain article davantage érotique, cet article est surtout fait pour présenter ma façon de penser, et qui peut aider aux jeunes novices d'avoir un point de vu sur le fonctionnement de ces relations.
Bisous ;)
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Bonjour à vous,
Une question me taraude l'esprit. Pas de jugement, juste une question.
"pour une soumise ou un soumis, que porte l'humiliation ?"
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Une voix qui répète qu'elle vous aime et, derrière cette voix, imaginez ce qu'il vous plaira, car elle ne dira rien rien d'autre. Les silences tendres, les mots échappés, tout cela importe peu. Cette voix vous accable. Vous voudriez la chasser. Hélas, elle est toujours là. Ses yeux, ce fut longtemps tout ce qu'elle connut d'elle. Beaucoup croient qu'elle fut séduite par sa voix. Mais il a fallu longtemps pour qu'elle en entende le timbre et, déjà, tout était joué. En vérité, c'est son regard qui l'a frappé au cœur. Quand un tel choc amoureux arrive, le temps est suspendu. Bien ou mal, un corps finit toujours par réagir mais à forcer la repartie, on en amoindrit la valeur et le sens. En aimant d'amour, on aime quelqu'un d'autre et même en faisant l'amour, on se donne. De nature plus narcissique, l'amitié tolère l'égotisme, elle l'encourage. Car le climat tempéré de l'amitié favorise l'éclosion du beau sentiment dont chacun renvoie à l'autre l'image délicieuse. Rien d'urticant, rien de vénéneux dans ce jardin. La fleur bleue n'a pas d'épines. Complaisante plus que toute autre, l'amitié amoureuse est un jeu de miroirs qui reproduisent à l'infini le meilleur profil de soi-même. Il s'agit d'un accord, dont les orages de la passion ne risquent pas de troubler l'harmonie et, surtout, d'un moyen de se contempler mieux que dans la solitude dont l'ombre portée obscurcit le jugement. Charlotte entrait dans l'enfer. Elle ne le savait pas. Une miséricordieuse providence cachait l'avenir de rencontres fortuites et de désespoirs où elle avançait. Elle avait repris ses habitudes. Les chagrins s'y cachaient encore, tapis sous les souvenirs et sous les gestes quotidiens, mais le temps qui passait les entourait d'un brouillard, les insensibilisait peu à peu. Elle avait mal mais elle pouvait vivre. Une existence mélancolique où l'attente était remplacée par la résignation et les espérances par des reproches toujours sanglants qu'elle ne pouvait cesser de s'adresser. Elle n'était pas encore descendue à ces profondeurs de souffrances où de mystérieux rendez-vous lui avaient été donnés auxquels il lui fallait devoir se rendre. Il lui semblait qu'elle aurait à souffrir. Mais les prémonitions sont toujours aisées après coup. Elle avait tant de fois retourné dans sa tête tous ces monstrueux enchaînements. Un simple coup de téléphone. L'espoir l'avait ressaisie d'un seul coup, l'avait enlevée, comme un paquet de mer, vers des hauteurs où elle flottait avec un peu d'hébétude, d'où l'incrédulité n'était pas absente. La voix de Juliette avait été très sèche, froide. Elle se répétait que le bonheur, ce n'était plus possible. Mais l'espérance était là pourtant.
Il ne s'agissait pas de cette mélancolie qui vous fait bâiller, mais vous permet de rire de soulagement une minute plus tard. C'était quelque chose de grave, qui atteignait l'esprit et le désolait. On imagine trop volontiers que le mal est armé de flèches précises qui étincellent au soleil. Chez Juliette, c'était faux. Il s'engluait dans sa malice universelle. Les vieux rêves de Charlotte ne l'avaient pas abandonnée. Elle allait se jeter encore dans ses bras et le monde entier en serait transformé. C'est cette fille innocente et belle si cruellement violentée par ses propres fantasmes que Juliette avait le désir de protéger. Vient toujours un moment où les mères ressentent le désir douloureux et désespéré de protéger à tout prix leurs adolescentes, comme s'il était en leur pouvoir de leur donner à vivre une autre vie. On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espérant un jour, qu'elle changerait. Juliette l'avait promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber dans la routine. Charlotte n'aimait pas en discuter avec elle, parce qu'elle savait qu'elle ne lui disait pas la vérité. Son travail était prenant, comme au temps de son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée, constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs, des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage. Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connues en khâgne au lycée Louis-le-Grand et rencontrées par hasard sur la plage de Donnant à Belle île en Mer un soir d'été. Elle n'avait pas changé. Elle avait à présent vingt-trois ans, elle venait de réussir comme moi l'agrégation de lettres classiques.
Elle faisait plus jeune qu'elle. On disait aussi qu'elle peignait un peu. Il était drôle qu'on lui attribuât cette amante quand elle avait connu tant de femmes futiles. Elle avait également conservé un air juvénile, perpétuant son adolescence. Les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil, épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelée, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez elle. Elle m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-elle dit, j'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que ce n'est pas une habitude. Quand elle la vit s'avancer vers elle, elle eut un imperceptible mouvement de recul. Puis, sans y penser, elle lui tendit la main. C'était une manière tout à la fois de s'en approcher et de se tenir à distance. Le contact de sa main chaude la surprit et la fit revenir à elle. D'un coup, le rêve prenait une réalité et la femme à laquelle elle songeait cessait de d'être une pure apparence pour devenir un corps et promettre le plaisir. Elles venaient de quitter une vie qu'elles ne vivraient jamais plus. Celle pendant laquelle elles ne s'étaient pas connues. Elles furent ainsi frappées par l'amour. Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait. Mes cheveux étaient mouillés, elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main, m'a attirée à elle. Je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique.
Qui sait ? Se laisser toucher, se faire battre, s'étendre à côté d'elle, être aimable et toujours nue, à la rigueur, c'était possible. L'époque compare souvent l'amour physique à une partie de tennis. Il n'est même pas nécessaire de savoir bien jouer. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne force personne. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. Elle fut si heureuse que tout ce qu'elle vit, rendit encore plus séduisante la femme impétueuse. Elle aimait son regard couleur d'aveline, l'épi de cheveux noir de jais sur le coin de son front. Elle aimait sa gêne et son malaise car elle y lut la confirmation qu'elle était aussi fortement attirée par elle. Très hardie dans l'intimité, elle parvint à tout lui céder. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Charlotte comprit en cet instant qu'elle ne cesserait plus de désirer Juliette et que cet assouvissement, dont elle s'était passée pendant si longtemps, lui deviendrait dès lors aussi nécessaire que l'air qu'on respire, le silence qu'on entend.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir
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