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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Charlotte est vaincue, nous le savons déjà. L'important est de savoir comment elle chutera, si tant est que l'on puisse
parler de chute pour une femme pressée de consentir. Peut-être le plus important est-il d'ailleurs de savoir où elle
chutera car elle a perdu, depuis le début, sa superbe et l'initiative. Elle sait que c'est inéluctable mais elle n'est plus
en mesure de décider du jour ou de la nuit. Ce n'est pas la première fois, c'est la seconde. La première a été une cruelle
déception, une déception unique dont elle conserve un souvenir humiliant. Elle est sortie frustrée de cette épreuve qui
ne lui a pas appris le plaisir et a laissé en elle une défiance animale à l'égard des femmes dominatrices. Or, par une
fatalité assez fréquente, elle est retombée une fois encore sur une femme qu'elle est assez lucide pour ranger dans la
catégorie détestée. Néanmoins, elle peut espérer que cette séductrice aux mille ruses saura lui faire partager ses émois.
Il y a dans chaque femme aux abois de l'amour une part de fragilité. La passion, la jalousie, le dépit et la fureur entrèrent
en même temps dans sa vie et l'occupèrent toute entière. La victoire de Juliette avait fait écrouler ses espoirs, mais elle
avait encore fortifié leur amour. Une espèce de violence l'avait saisi sur l'instant. Le temps passé à l'attendre s'était
transformé, non en une absence de temps, mais en un temps qui n'était plus tendu vers ce seul espoir: la revoir, et qui
s'était comme affaissé en s'abandonnant à une doucereuse déréliction. Le monde de l'amour malheureux est à la fois
orienté et absurde; orienté, parce qu'il est tout plein d'un seul être; absurde, parce que cette présence envahissante
n'est pour nous qu'une absence et qu'elle ne semble être là que pour nous faire subir un vide. Charlotte était sortie du
monde de l'indifférence pour entrer dans un monde où la passion l'avait contrainte par la force à donner un sens aux
choses. Tandis qu'elle rêvait d'étreintes sublimes au clair de lune sur la plage de Donnant, ou dans des draps blancs dans
la chambre de l'hôtel du Phare à Sauzon, furieusement mélancolique, sa séductrice méditait une leçon d'amour dans un
endroit où sa victime ne pourrait rêver et, refusant un affreux décor, fermerait les yeux pour ne penser qu'à elle. Elle avait
la certitude qu'elle serait définitivement écrasée par la laideur et la promiscuité d'une maison sordide de rendez-vous.
Quand Charlotte, à bout de force, fut enfin capable de renoncer à ses rêves pour la recevoir, elle la conduisit dans une
une maison de rendez-vous près de la Place Saint-Sulpice, non loin de l'église. Cette maison se distinguait à peine des
autres dans une rue bourgeoise sans boutiques à cela près que ses volets étaient clos. L'entrée par une lourde porte en
bois donnait sur un petit hall où la réceptionniste ramassait la monnaie, contre sa discrétion, remettait une clé avec un
numéro correspondant à l'étage et prévenait la femme de chambre en appuyant sur la sonnette. L'ascenseur ne marchait
plus depuis longtemps et dans l'escalier, elles croisèrent un couple qui descendait; une femme légère et un gros homme
rougeaud qui semblait satisfait et arborait un sourire béat. Charlotte baissa la tête et supporta avec un haut-le-cœur la
femme de chambre du palier qui les accueillit avec un regard complice, en leur confiant les deux serviettes et le savon
bleu. La chambre elle-même était sinistre avec ses rideaux tirés, l'armoire à glace hideuse, le grand lit de bois marron,
le lavabo et l'obscène bidet. Charlotte ne retint plus ses larmes. Elle était très loin de la plage de Donnant, de celle des
Grands Sables, près du village de Bordardoué, ou des promenades romantiques dans la vallée de Chevreuse. En fait,
elle ne comprenait pas ce que Juliette voulait, ni pourquoi, elle lui infligeait ce supplice. Quand elle la déshabilla, elle
demeura passive, le regard perdu. Juliette eut la surprise de découvrir un ravissant corps de jeune fille, une douce poitrine,
de jolies et longues jambes. Son sexe était une discrète ombre claire au bas du ventre. Sa maîtresse fut émue, un vague
remords la saisit. Elle la caressa debout, contre elle, plus pour calmer sa honte que pour la voir défaillir dans ses bras.
Charlotte fut à la fois consentante et paralysée. Juliette acheva de la déshabiller. Elle la poussa vers le lit sur lequel
elle tomba et se retourna n'offrant que ses reins et ses fesses naïves dont la vue soudaine provoqua sur le visage de
son amante un sourire impatient où le désir l'emportait sur la satisfaction. Les coups pleuvirent mais elle ne dit rien.
Elle n'eut pas très mal. Elle espérait seulement un châtiment plus brutal, plus violent et plus sauvage. Elle savait bien
que cette attente pouvait mener Juliette à la passion. Elle serait là, discrète, calme et amoureuse. Alors sa maîtresse
finirait par l'aimer de nouveau. Les passions sont traversées ainsi de zones calmes et douces où souvent l'horreur des
bouleversements cède la place, pour quelques heures à des apaisements illusoires qui ne font rien d'autre que nous
rendre à une vie normale, mais qui nous apparaissent, par contraste, comme des sommets de félicité. La passion tend
à se perpétuer. Qui n'a vu le monde changer, noircir ou fleurir parce qu'une main ne touche plus la vôtre ou que des
lèvres vous caressent ? Mais on est où nous le sommes, on le fait de bonne foi. C'est tellement peu de choses que ce
n'est rien. Mais on n'avoue jamais ces choses-là. Comme c'est étrange cette douleur infligée par les corps, parce que
des souffles se mêlent et qu'une commune sueur baigne ses plaisirs, une âme au loin, une imagination souffrent des
tortures incroyables. Mais parler en amour, c'est agir. Juliette passa ses bras autour du cou de Charlotte. Elle l'enlaça à
contrecœur tandis qu'elle posait la tête contre sa poitrine. Elle l'embrassa dans le cou et se serra contre elle. Glissant
la main dans ses cheveux, elle posa ses lèvres timidement sur sa joue puis sur sa bouche, l'effleurant délicatement
avant de l'embrasser passionnément. Involontairement, elle répondit à ses avances. Elle descendit très lentement ses
mains dans son dos, et la plaqua contre elle. Ce fut dans la clandestinité et la laideur qu'elles s'aimèrent tendrement.
La nuit qui tomba fut un ravissement sous les grands arbres éclairés par les lampadaires aux globes de verre laiteux.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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10 aime
Une voix qui répète qu'elle vous aime et, derrière cette voix, imaginez ce qu'il vous plaira,
car elle dira rien d'autre. Les silences tendres, les mots échappés, tout cela vous importe
peu. Cette voix vous accable. Vous voudriez la chasser. Hélas, Charlotte, avec ses belles
mains fines, était là, toujours là. Elle se multipliait au long des semaines, monotone et
identique. On ne se sauve que par l'excès, se disait-elle. Elle ne précisait pas devant quoi
elle se sauvait. Elle avait entre les reins une terrible dureté, dont on abusait trop souvent.
Elle n'avait pas besoin de bonheur. La souffrance, qu'elle savait parfaitement se procurer,
l'avait rendue presque sensible à l'existence des autres filles qui comme elle étaient livrées.
Dire que dès la seconde où sa Maîtresse l'eût quittée, elle commença de l'attendre, est peu
dire. Elle ne fut plus qu'attente et que nuit dans l'abstinence de ses supplices. Tout le temps
qu'elle demeura dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir, incapable de retenir
l'eau qui s'échappait de son corps. Il faisait plus chaud que d'habitude. Le soleil et la mer
l'avaient déjà dorée davantage, ses cheveux, ses sourcils et la très fine toison de son ventre.
Il y aurait beaucoup de choses à lui dire, mais d'abord, celle-ci, que je crains de deviner en elle de la légèreté.
Elle aimait la légèreté des choses, des actes, de la vie. Elle n'aimait pas la légèreté des êtres, tout ce qui était
un peu au-dessus du niveau semblait heurter Charlotte. Elle ne recherchait pas à s'attribuer beaucoup de mérites
en ce monde ni dans l'autre, celui de l'abandon. Un sentiment d'insécurité pour son corps sans cesse meurtri. Elle
était bien jeune et ne savait même pas si elle possédait un peu de lumière. Juliette était arrivée quand elle était
dans l'ombre, et maintenant, il fallait arranger les choses. Tant pis pour elle. Les souvenirs qui ont su être poètes
de sa vie, c'est à dire dans le désordre, plaisir et enivrement de l'imagination. Mais dans la moindre de ses paroles,
raisonnable douce-amère, ce cadeau impérieux du ciel, le lot avait oublié sa jeunesse, l'allégresse avec laquelle
elle devait accepter l'insistance, la mauvaise grâce, et la maladresse. Comme le fouet et les doubles fenêtres pour
que l'on ne l'entende pas hurler. Ses mains s'agrippaient aux colonnes du lit, où Juliette les assujettissait à l'aide de
fines cordelettes qui lui sciaient les poignets. Des sangles passaient dans les bracelets de ses chevilles. Elle était
allongée sur le dos, de telle façon que ses jambes surélevées et écartelées laisse à Juliette toute la fantaisie de la
fouetter. Elle était debout à coté d'elle, un martinet à la main. Aux premières cinglades qui la brûlèrent aux cuisses,
Charlotte gémit. Mais elle ne voulait pas demander grâce, même quand sa Maîtresse passa de la droite à la gauche.
Elle crut seulement que les cordelettes déchireraient sa chair, tant elle se débattait. Mais Juliette entendait marquer
sa peau de traces nobles et régulières et surtout qu'elles fussent nettes. Il fallut subir sans souffle, sans troubler
l'attention de Juliette qui se porta bientôt sur ses seins. Elle allait retrouver sa considération en s'accommodant de son
statut d'esclave et non pas de soumise. Et il n'était pour elle de plus grand bonheur que de se savoir appréciée.
L'amour mais avec un arc-en-ciel d'émotions vertigineuses en plus rayonnait toujours chaque parcelle de son corps.
Charlotte n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles
fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses
et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs,
entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent
plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla.
Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'accroupit près des épaules
de Charlotte et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.
Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins.
Charlotte laissa couler quelques larmes. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens,
mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit.
Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses
lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de
sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda
à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et
ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité
même. Penchée au-dessus d'elle, Juliette tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir s'inclina sur
sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux.
Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait
l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était
terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse
ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire.
Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme
pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation.
De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues,
être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne
la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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12 aime
D'où vient l'opinion que la beauté est féminine ? Plus belles, je n'en suis pas sûre mais plus discrètes en tout cas,
moins apparentes, c'est une forme de beauté. Je ne songe pas à la décence, un peu fade et fausse, qui se contente
de dissimuler, qui s'enfuit devant la pierre et nie l'avoir vue bouger. Il est une autre sorte de décence, irréductible et
prompte à châtier qui humilie la chair pour la rendre à sa première intégrité et la renvoie par la force aux jours où le
désir ne s'était pas déclaré encore et le rocher n'avait pas chanté. Une décence entre les mains desquelles il est
dangereux de tomber. Car il faut pour la satisfaire des mains liées derrière le dos, des corps écartelés et des larmes.
Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable.
Il pleuvait; mes cheveux étaient mouillés. Elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main,
m'a attirée à elle, je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée,
depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe,
mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais
froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener
dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est
revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses,
en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé
que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir
longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer
un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait
couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je
n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait.
Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine,
d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir.
Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller.
J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais
je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds
un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À
cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue
absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux
aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre
chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses.
C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous
pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle
avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un
inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour
voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne
pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves.
La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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J'ai repris mon cahier
J'aime, il m'est fidèle
Il garde et amoncelle
Mes mots sur son papier
J'en aime la caresse
Offerte à chaque ligne
Lorsque je l'égratigne
Il m'offre ses promesses
De lendemains heureux
D'oublis, d'amour d'antan
Lorsque la vie d'avant
Nous comblait tous les deux
Parfois, j'ouvre les pages
De poèmes anciens
Dont tu es le gardien
Blessures, apprentissage
Je baise chaque lettre
Que forme ton prénom
Eteignant pour de bon
L'écho de nos peut-être
Je ferme le cahier
Ses feuillets noircis
Et je conserve ainsi
Le secret de t'aimer
Le 23 06 2020
Les écrits ne sont pas toujours vains. Ils donnent un sens à ce que l'on ressent. Conservent nos diverses émotions.
L'encre inscrit des mots, des sentiments, de la tendresse, de la sensibilité, des colères parfois, tant de choses dont les cahiers sont les gardiens.
Ils fixent l'instant d'une humeur, d'un amour, d'une douleur/épreuve, aucun computer ne les remplace.
Des écrits dont on se détache pour ne garder que l'essence...
Tourner les pages et en ouvrir d'autres.
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La pièce est terriblement sombre. Seul une veilleuse au plafond diffuse une lumière blafarde.
Je m’approche à 4 pattes de la gamelle d’Allan. La bouillie n’est pas très appétissante mais c’est mangeable et puis mon estomac vide crie famine.
J’ai soif et je lape l’offrande de Maîtresse Célia avec réticence au début, puis le goût assez délicat aidant, je reviens boire avec plus d’entrain. Mieux vaut s’habituer rapidement si je ne veux pas me déshydrater avant la fin des jeux.
Rassasié, je vais m’occuper de ma couche mais surprise, j’arrive bien à saisir la couverture laissée par Allan mais la chaîne trop courte m’interdit de m’allonger sur la couche.
Je n’ai que la solution de m’envelopper dans la couverture et de m’allonger à même le sol. La nuit risque d’être longue !
Rapidement je suis éveillé par le froid du sol. Je ne peux que me lever et marcher pour me réchauffer. Le cliquetis de la chaîne rythme mon exercice. Après un petit quart d’heure, je tente un nouveau sommeil. C’est seulement une forte envie d’uriner qui vient interrompre mes rêves.
Je ne peux uriner que dans cette gamelle comme l’a exigé Maîtresse Célia. Ma pisse vient se mélanger au reste de son urine. La gamelle est maintenant bien pleine.
Plus grande envie de dormir. Le temps s’égrène lentement jusqu’à cinq heures.
Je m’assoupis, le bruit de la porte me sort de ma torpeur. C’est toujours Allan qui me drive.
Je lui montre qu’il m’est impossible de m’allonger sur la couche mais cela ne l’émeut pas plus que ça.
Allan remplace vite la chaîne par une laisse à gros maillons argentés. Il me tend des bracelets de cuir que je m’empresse de mettre à mes poignets et mes chevilles. Les bracelets sont reliés par des chaînettes courtes qui me contraignent dans mes déplacements.
Nous n’avons pas encore quitté la cellule. Allan en profite pour me faire un descriptif des lieux. C’est une ancienne champignonnière aux multiples tunnels. Ils en ont équipés quelques uns en logement avec donjon, cuisine, salon parfaitement équipés pour tous les petites misères de la pratique SM. Habituellement, ils les louent à des clients fortunés. C’est pour cela que je n’aurais que peu de contact avec les autres soumis.
Je me retrouve sous la table de la cuisine et ma gamelle est déjà là. Aucun doute, c’est toujours l’urine de ma nuit agrémentée d’un pain qui a du être sec avant de tremper ici.
- «Dépêche de finir ton petit déjeuner, il faut encore faire ta toilette et te préparer pour ta première Maîtresse. Si tu veux avoir une chance avec elle, il te faut être présentable»
Allan me tire avec la laisse en me laissant à genoux et toujours entravé pieds et mains, alors c’est compliqué. Je me retrouve dans une sorte de grande douche à l’Italienne. Allan a saisi une lance et dirige un fort jet d’eau froide contre moi. Je suis saisi, grelottant et écraser dans l’angle de la douche tant le jet est puissant.
Allan me relève brutalement. Je suis bleu et je tremble mais les serviettes sont en option ici et je sécherais sur place. Il me retourne et m’accroupis de force, le cul bien relevé. Il m’enfile un tuyau dans l’anus pour un lavement profond. Allan reprends le gros jet pour me nettoyer et évacuer mon lavement dans un petit caniveau. C’est toujours aussi froid. Allan me fait allonger sur une table métallique aussi froide que l’eau. Sur le dos il m’examine et malgré mon épilation, il me rasera encore un peu plus et m’installe une cage de chasteté avec des piquants qui ne m’annonce rien de bon en cas d’érection. Il me retourne sur la table, continue d’enlever tous les poils visibles. Après cela, il m’enfile un plug de bonne taille dans mon cul. La douleur est là car il ne s’embarrasse pas de lubrifier mon petit trou.
Il se fait tard et Allan s’empresse de me tirer dans le salon où trône sur un mur une grande croix de Saint André.
Il m’attache poignet s et chevilles, me passe un bâillon boule qu’il serre tellement qu’il m’est même difficile d’exprimer le moindre grognement.
Allan s’en va en me souhaitant , sourire au lèvres, une bonne journée.
- «Ta Maîtresse du jour va arriver»
Il s’éclipse rapidement me laissant planté là sans pouvoir bouger. Le temps me semble une éternité. Mais bientôt, une jeune fille vêtue d’un vinyle rouge brillant et de talons qui prolonge de belle jambes très fines. Au premier regard elle m’apparaît fragile mais j’apprendrais vite que c’est moi qui casserais le premier.
- «Humm, tu es le premier candidat alors je crois que je vais bien me défouler» me lance-t-elle»
Je lui fais face sur la croix et je la vois prendre un fouet noir très fin. Elle me tourne autour en me passant le fouet sur mon corps pour une caresse d’échauffement. En s’éloignant un peu elle commence par quelques coups qui me cinglent le ventre, le pubis, les cuisses mais je la sens encore se retenir un peu. A chaque coup, un cri étouffé tente de traverser le bâillon boule.
Abandonnant son fouet, elle prend une roulette et me laboure le ventre, passe sur ma cage en piquant mon sexe, mes testicules et l’intérieur de mes cuisses. Je me tortille pour lui échapper mais la croix me retiens fermement. Excédée par mes mouvements désordonnés, je reçois un grand coup de pied dans mes couilles. Je ne serais pas attaché, je me roulerais de douleur à ces pieds.
Satisfaite de son effet, elle me détache, me fait me retourner et me rattache sur la croix face au mur.
Je sens de nouveau la roulette me labourer le dos puis ces griffes m’arrachent des cris de douleurs qui restent prisonniers de mon bâillon.
Maîtresse m’ayant arraché suffisamment de peau, elle reprend son fouet. Je reçois une vingtaine de coups partant du côté droit puis autant du côté gauche. Mon dos doit être bien zébré maintenant.
Finalement, malgré sa jeunesse, cette jeune Maîtresse est déjà bien expérimentée et très sadique.
Elle me détache de la croix et je glisse au sol comme une vulgaire serpillière. Le fouet m’a lessivé mais il a donné beaucoup d’entrain à Maîtresse et en plus, il lui a ouvert l’appétit.
Elle m’indique où trouver une assiette de tapas et un tonic que je m’empresse de lui apporter. Je me retrouve à 4 pattes devant elle et c’est moi qui lui servirai de table. Je me tiens le plus droit possible et Maîtresse vient piquer fort ces tapas avec une fourchette qui me rentre dans la chair. Je sens bien son plaisir m’irriguer quand elle revient piquer un tapas et une bonne partie de mon dos. Je viens seulement de bouger un petit peu et je reçois une grosse gifle qui claque sur ma joue, et un crachat au visage pour rabattre ma fierté. Je resterais parfaitement immobile jusqu’à la fin de son repas malgré la tasse de café brûlante qu’elle se sert sur mes reins. Maîtresse allume une cigarette en consultant sa messagerie de téléphone.
- «ouvre la bouche, relève la tête»
Je suis maintenant son cendrier moi qui ne fume jamais.
Le repas de Maîtresse s’achève. Elle étend ses fines jambe sur moi et se détend en appelant ces amies.
- «J’ai une belle lope à mes pieds» dira-t-elle à l’une d’entre elles. Tu pourras l’utiliser si je retiens sa candidature mais je vais encore m’en occuper quelques jours avant de faire mon choix.
Cela me promet donc encore d’intenses moments avec elle. L’après-midi risque d’être douloureux…..
A suivre ....
Tout est fiction, aucun fantasme, seulement le plaisir d’écrire en me servant de mon vécu et de mes lectures.
Je le dédicace à ma Maîtresse qui nourrit mon inspiration de grands et beaux souvenirs
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Dans la rue qui conduisait au restaurant où elles devaient dîner, Juliette prit l'initiative de demander à sa
Maîtresse Ka-Sandra de l'autoriser à se soulager dans le caniveau, ce qu'elle fit, agréablement surprise.
Elle s'accroupit donc entre deux voitures et comme une petite chienne qu'elle voulait être ce soir-là, elle se
laissa aller au besoin naturel, satisfaction qui se doubla de l'humiliation d'être observée dans cette posture
intime. Au moment d'entrer dans le restaurant, sans que j'aie le temps de poser une question, Ka-Sandra
me poussa dans le hall d'entrée de l'immeuble mitoyen et me tendit un walkman en m'ordonnant d'écouter
la cassette glissée à l'intérieur et de suivre les instructions à la lettre. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette
épreuve inattendue, je tentai d'intercepter le regard de Ka-Sandra. Mes jambes commençaient à trembler.
Autour de moi, tout s'écroulait. Aurai-je la force, le courage d'appuyer sur le bouton "on" et d'écouter les
indications ? J'ai alors réussi à contrôler les battements de mon cœur, et j'ai pressé le bouton pour écouter
la bande. Voici scrupuleusement mot pour mot les ordres qui m'étaient donnés par ma Maîtresse Ka-Sandra.
- "Dans le hall de l'entrée, appuie sur le bouton marqué au nom de Monsieur Alexandre. Prends l'ascenseur
jusqu'au deuxième étage, c'est la porte de droite. Une très jolie jeune femme t'ouvrira, tu la déshabilleras et
tu lui feras l'amour sans t'être déshabillée. Tu recevras ensuite un homme avec lequel tu devras te comporter
avec gentillesse, tact et élégance. Tu le feras rentrer dans la chambre. Tu lui dégraferas son pantalon avant de
lui ôter ses vêtements et tu donneras l'ordre à Valérie de se dévêtir. L'homme te remettra la somme convenue.
Elle le masturbera sur ta demande et lorsque son sexe sera suffisamment en érection tu le prendras délicatement
dans ta bouche. Tu t'allongeras ensuite sur le lit, en prenant soin de tenir tes jambes bien écartées. Allongée sur
le lit, tu t'offriras à lui pour qu'il te prenne. Une fois qu'il t'aura prise, Valérie te léchera jusqu'à ce que tu jouisses
dans sa bouche. Puis vous irez toutes les deux dans la cabine de douche où l'homme urinera sur vous. C'est son
fantasme. Tu accepteras sans rien dire. Ensuite, tu urineras sur Valérie et elle en fera autant sur toi. Accepte cela
et accomplis ta tâche."
J'appuyai sur le bouton de l'interphone, sans rien ne pourrait commencer. Mes mains tremblaient et je sentis mon
corps plus vulnérable encore. Aucune voix ne répondit. Je frappai à la porte, une très belle jeune femme apparût.
Je commis ma première faute: j'oubliai de la déshabiller. Elle le fit elle même, avec grâce et naturel. Il me fallait
réagir, si je ne voulais pas commettre une seconde erreur. Je commençais à embrasser son ventre doux et moite,
délicatement parfumé, lorsqu'on frappa à la porte. Valérie parut étonnée de cette visite. L'homme entra. J'entrepris
de dégrafer la ceinture de son pantalon suivant les instructions. Valérie acheva de le déshabiller et prit le sexe de
l'homme entre ses doigts effilés. Elle le masturbait lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair.
La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité. Après avoir ordonné sèchement à
Valérie de cesser de le masturber, il m'ordonna de m'allonger sur le lit, et après avoir écarté et levé bien haut mes
jambes, sans que je sois préparée, il me pénétra sans le moindre égard. Ensuite, il demanda à Valérie de se mettre
en position et la prit à son tour tout aussi brutalement que moi. L'homme demanda d'une voix autoritaire:
- Laquelle veut me recevoir ?
Je répondis spontanément que je le désirais. Il m'ordonna de le prendre dans sa bouche pendant que Valérie caresserait
la partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Je suçai avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous ma langue.
Le membre devint si volumineux que j'eus quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il
se contracta, manquant de ressortir de mes lèvres. Il éjacula brusquement, inondant ma gorge d'un liquide que je pris à
coeur de boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Je pensais fort à ma Maîtresse, à la fierté qu'elle éprouverait.
Il nous envoya nous laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant que nous ayons eu le temps de nous mettre sous la
douche, il urina sur nous en nous éclaboussant d'un jet dru et tiède. Nous tournions sur nous même afin que chaque
parcelle de notre peau reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta me donna l'envie de lui offrir une scène d'amour
entre Valérie et moi. Nous fîmes l'amour presque tendrement. La sonnette de la porte retentit. Valérie se précipita pour
ouvrir. Je la vis se jeter au cou de Ka-Sandra et fus stupéfaite de la dureté avec laquelle ma Maîtresse la repoussa.
Valérie fut contrainte de se mettre à quatre pattes et eut droit à une sévère correction. Elle ne put retenir ses larmes
sous l'effet de la douleur et le spectacle de cette jolie fille en pleurs m'émut étrangement. Après une minutieuse toilette,
Maîtresse Ka-Sandra nous ordonna de nous rhabiller avant de descendre dîner. J'étais heureuse et très fière d'avoir
accompli ma mission. Je lui remis l'argent de mon travail. Ce soir-là, j'avais réalisé l'un de mes fantasmes, me vendre.
Hommage à Ka-Sandra, la Maîtresse de Juliette.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Au delà des aspects esthétique et de douleur, le bondage est un bon moyen d'imprimer des sensation, des sentiments en s'appuyant sur un code kinésique naturelle. En effet, chaque posture renvoie à un type de sensation. Je vous propose d'en voir quelque uns.
1- Le rabattement
On peut attacher quelqu'un pour qu'il soit plié ou courbé vers ses jambes par devant ou bien courbé vers l'arrière.
a- Attaché rabattu vers l'arrière
Cela impose de s'offrir sans pouvoir résister, cette posture donne un fort sentiment de vulnérabilité
b- Attaché rabattu vers l'avant
Cette posture a un coté rabaissant, c'est un bon moyen de punir ou de donner un sentiment d'inferiorité
2- Les mains
Attacher les mains donne un grand sentiment de réduction à la passivité, une personne qui a les mains attaché ne pense plus à agir.
a- Les mains attachés devant
Cette position donne le sentiment d'être là pour suivre, pour se laisser guider
b- Les mains attachés derrière
On revient à un sentiment de vulnérabilité, on ne peut plus se defendre
3- Les jambes
Quand on attache les jambe d'une personne, elle perd sa mobilité, cela l'infantilise énormément.
A- devant ou derrière?
a- Les jambes attachés devant
Quand les jambes sont attachés devant, on peut les regarder, on se contemple soit même, cela donne un genre d'introspection.
b- Les jambes attachés derrière
Cela donne un sentiment de déséquilibre, de peur et de perte de contrôle, rien de telle pour stresser.
B-jointes ou écartés
a- Les jambes attachés jointes
lorsque les jambes sont attachés jointes, la neutralisation est plus forte mais c'est aussi plus sécurisant
b- Les jambes attachés écartés
cela est plus anxiogene
4- Publique ou privé
a- publique
En publique, la notion de statu s'exprime automatiquement. Quand on attache une personne en publique et que tout le monde la regarde, elle peut avoir le sentiment de ne plus être au même niveau que les autres mais une sorte d'animale en dessous. Le sentiment qui en résulte est à la foi un sentiment de solitude (à moins que d'autres soit attachés en même temps) et de libération.
b- privé
En privé, c'est la confiance qui prime. Une personne que l'on attache en privé est obligé de donner sa confiance.
5- Matière du lien
a- Foulard
Il a un coté festif et amusant
b- cordes
La corde peut presque être perçu comme une partie de son propre corps quand elle reste suffisamment longtemps
c- métal
Il a un coté tragique, il est froid et absolut. Il fait peur car il est impitoyable.
6- La privation sensoriel
a- les yeux
Bander les yeux de quelqu'un et l'obliger a avancer l'oblige beaucoup à la confiance et le place en position d'hypervulnérabilité.
b- les oreilles
Si la personne ne peut plus entendre, elle se sent isolé comme si elle était dans une sorte de rève.
c- le nez
On en a tous fait l’expérience avec le masque, tout semble avoir moins de goux, tout semble plus terne sans ordeurs.
8- L'obstruction des orifices
a- le baillon
La personne ballonné ne peut plus parler, c'est bizard de voir a quel point ce bondage est inacceptable pour l'esprit. Une personne ballonné cherchera toujours a s'exprimer. Bref, je ne comprend pas trop...
b- l'anus
L'anus bouché, c'est un sentiment de fragilité et de proximité
9- La respiration
a- au début
Au début, bloquer la respiration envoi un signale fort. C'est plus le moment de rigoler. C'est une façon très brutale d'imposer le sérieux et le calme.
b- à la fin, c'est de l'anxiété et de la terreur (à moins d'avoir affaire a quelqu'un de suicidaire ou qui n'aime plus la vie)
10- La durée
a- Longue durée
Le bondage longue durée est méditatif, on peut y perdre la notion du temps. Il peut aussi être très inconfortable et supplicié
b- courte durée
un bondage trop cour n'a pas le temps d'exprimer tout ses effets, on aura d'avantage la sensation qui accompagne le passage d'un état libre à un état restreint
une foi encore, la présence d'un publique combiné à la durée ont un fort pouvoir d'amplification.
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Sur ce site très SM, une annonce attire mon attention : « recherchons partenaires pour jeux d’adultes consentants». Rien de plus mais suffisant pour éveiller ma curiosité, suivait un numéro de téléphone de mobile suisse.
Je décidais donc d’assouvir ma curiosité et j’appelais sans attendre ce fameux «Natel».
Une voix d’homme me répond ; elle est douce et suave. Après les présentations d’usages, il m’explique qu’il est chargé par sa Maîtresse, qui est aussi son épouse, d’organiser un jeu où trois de leur amies Dominantes pourront tester et choisir leur soumis.
L’homme me demande de l’appeler Allan à partir de maintenant. Je n’en saurais pas plus aujourd’hui
C’est un concours version télé-réalité. Aucune sélection ne sera faite. Ils ont décidé de s’en remettre au hasard et les six premiers candidats seront retenues.
Toutefois, je dois remplir tout un tableau des pratiques SM où je dois indiquer mon niveau sur une échelle de 0 à 5. Ce sera mon seul engagement écrit acceptant par avance les pratiques énumérées à l’exception de celle que je note «0».
Impatient, je renvoie mon engagement par mail. En accusé de réception, Je reçois une date à partir de laquelle je devrais être à leur disposition deux semaines complètes. Le point de rendez-vous me sera seulement communiqué deux jours avant le début de la sélection.
L’attente est longue et mon excitation grandit proportionnellement aux jours qui passent me rapprochant de cette aventure mystérieuse.
J-2 arrive enfin et je reçois cette invitation tant attendue. Je dois me présenter à la porte d’un hangar à flan de colline à 16 heures, ni avant, ni après. Aucun retard ne sera toléré.
Encore deux jours à patienter. Pas besoin de vous dire que mon excitation était à son comble
A l’heure dite, je me présentait devant le hangar qui semblait s’enfoncer dans la colline. C’était de lourdes portes métalliques. L’une d’elle coulissa dans un grand fracas et j’entendis une voie féminine m’invitant sèchement à entrer. La porte se referma derrière moi et je me retrouvais dans la pénombre. C’était impressionnant, comme si je quittais ce monde.
Pas le temps de gamberger.
«Mets toi à poil et les mains contre le mur. Je suis Maîtresse Célia et j’ai demandé à Allan de préparer ce jeu mais maintenant tu m’obéis»
Je m’empresse de poser mes vêtements mais sans doute pas assez vite car je reçois un cinglant coup de fouet sur mon dos.
- Allez, presses-toi, on ne va passer la journée ici
- Oui, Maîtresse
Et je m’empresse de me mettre face au mur. Je sens quelqu’un s’approcher, me passer un bandeau sur les yeux et m’attacher un collier autour du cou. Je leur appartiens déjà et plus moyen de reculer. Ma curiosité prends le dessus et tout mon être accepte cette prise de pouvoir.
Au collier est bien vite attachée une laisse. Elle se tend immédiatement et je suis mon hôte privé de tout repère.
- STOP, ne bouge plus, on va t’examiner. Si tu n’est pas impeccable, tu repars immédiatement.
Je dois présenter ma plante des pieds, mes mains. L’on me fait tourner sur moi-même et je sens une main saisir mes testicules et les tirer brutalement vers le sol. Je serre les dents mais aucun son ne sort de ma bouche.
- A genoux, mains au sol, présente nous ton petit cul m’ordonne Maîtresse Célia
Un gel coule sur ma raie et je sens des doigts fouiller mon intimité. Elle en profite pour
me donner une forte claque sur mes fesses en ressortant ces doigts
- Redresses toi. L’impression est correcte mais attention au moindre écart, c’est dehors.
- Oui Maîtresse
- Maintenant, on va t’expliquer comment cela va se passer.
- Tu es le dernier arrivé, cinq autres soumis sont déjà en cage.
- Ce soir, nous allons surtout tester ta motivation et ton envie de soumission. A partir de demain, trois Maîtresses auront la journée pour se faire une opinion en vous testant à leur bon vouloir. Tu ne connaîtras pas leur nom et tu devras les appeler Maîtresse tout simplement. Je ne connais pas leur envie donc ce sera surprise pour tout le monde. Nous sommes suffisamment bien équipé ici et tu pourras crier tant que tu veux, nous serons 30 mètres sous terre.
Vos Maîtresses auront le choix de prendre 1 ou/et 2 soumis à la journée et cela durera 9 jours. Elle pourront vous accorder jusqu’à une journée de repos par tranche de trois jours mais dans ce cas vous restez au cachot et je ne sais pas si tu auras vraiment envie de te reposer !
- Allan va te conduire à ta cellule. Tu pourras retirer ton bandeau et tu m’attendras à genoux, front contre terre et mains au sol devant toi.
Mon collier me tire en avant et l’on peut dire que je suis Allan aveuglément. Au fur et à mesure de notre progression, je sens de plus en plus de fraîcheur probablement le signe que nous nous enfonçons sous terre.
J’entends une porte métallique grinçée et la tension de la laisse cesse. La porte s’est refermée. Allan me conseille de ne pas tarder à prendre ma position d’attente.
Je me débarrasse de mon bandeau. La cellule est très sombre et il me faut quelques minutes avant que ma vue ne distingue des murs noirs équipés d’anneaux auxquels sont attachées des chaînes. Le sol est en pierre froide et je commence même à grelotter. Je ne découvrirais le mobilier qu’un peu plus tard car je me mets immédiatement dans la position souhaitée par Maîtresse Célia.
Bien m’en pris car j’entends la porte s’ouvrir et les jambes de Maîtresse Célia viennent taper mes côtes sans ménagement.
- Ce soir, je vais me faire plaisir avant de te laisser à mes amies. Allez bouge-toi un peu et vient nettoyer mes talons.
- Oui, Maîtresses
Je m’empresse de lui obéir et je lèche consciencieusement ces chaussures. Elles sont assez terreuse et j’ai du mal à leur rendre leur éclat mais Maîtresse Célia semble satisfaite.
Elle me pousse avec ces talons pointus qui s’enfonce dans ma chair et je bascule sur le dos. S’étant déchaussé, elle m’enfonce ces orteils dans la bouche. Ils ont un goût de transpiration mais je fais attention à lui faciliter l’accès à ma bouche.
Après ce traitement, elle me fera me lever et m’approcher du mur. Elle m’attache par mon collier à une des chaînes que j’avais repérée. En me poussant contre le mur, elle m’attache les bras et les chevilles bien écartés dans des anneaux métalliques.
Le contact d’une cravache sous mes testicules ne laisse pas de doute pour la suite du scénario. Elle me détend habillement en me frôlant avec l’extrémité de cuir plat de la cravache. Je me détend et je reçois un grand coup sur les fesses qui me fait tressaillir. Les coups s’enchaîne sur mon dos.
Variant les plaisirs, Maîtresse Célia me tapote les testicules. C’est douloureux. Je me tortille mais les anneaux d’attaches me maintiennent fermement à sa merci. Je capitule et demande pitié ce qui n’a aucun effet sur elle. La douleur devient terrible et je pends lamentablement sur les anneaux.
Elle me détache et me retourne. Dos au mur et de nouveau prisonnier, la cravache me cingle le ventre, les tétons et le sexe. La douleur reprend toujours plus vive. Mes gémissements finissent par déclencher un emballement terrible de Maîtresse Célia.
A ce moment mes certitudes vacillent. Ai-je bien fait d’accepter ce jeu ? De toute façon, il n’est plus possible de revenir en arrière alors autant faire bonne figure et satisfaire Maîtresse Célia.
Le temps s’est arrêté et il m’est difficile de déterminer combien aura duré mon supplice.
Maîtresse Célia me détache et je m’effondre sur le sol froid.
Je n’ai pas vraiment le temps de récupérer qu’elle demande mon attention pour me donner ses instructions pour la nuit qui vient.
Elle me montre une couche dans un coin de la cellule.
- Tu dormiras là. Si Allan ne l’a pas oublié, tu dois avoir une couverture.
Je remarque aussi 2 gamelles en aluminium.
- Allan viendra te verser ton repas dans l’une d’elle. Pour la boisson, je vais te gâter
Sur ce bon mot, Maîtresse Célia s’accroupit au-dessus de la gamelle, écarte son string et la remplit de son urine.
- Voilà un nectar divin, ne le gâche pas.
Si tu as encore soif, tu n’auras qu’à la remplir avec ta propre urine. A partir de maintenant ce sera ton unique boisson.
- Sur ce je te laisse, demain réveil à 5 heures, petit déjeuner et toilettes. A son sourire narquois, je devine que ce ne sera pas de l’hôtellerie de luxe.
A peine maîtresse Célia partit, Allan vient me verser une bouillie dans ma gamelle.
- Bon appétit, sois en forme demain.
Et sur ce, il s’éclipse discrètement et referme la lourde porte métallique à double tour.
A suivre ….
Ce texte n'est qu'une fiction sortie de mon imagination. Je ne rajouterais donc pas la phrase fatidique "Toutes ressemblances...etc"
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Mia O. Propriété de Maitre G.
Carnet de soumise. Extrait
J 663 - Séance XX
Sujet : Je veux, je voudrais, je suis. Expression libre
Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - Dessin perso
…
Monsieur.
Je dois vous remercier solennellement.
Merci de me nourrir de vos mots.
De m’exciter juste à vous lire 😍.
Chaque jour, chaque nuit …
Juste entendre votre voix
Je me transporte.
Vos mots sont sacrés.
Quelques lignes.
Vous me manquez, et je vis dans cette belle attente et ce désir permanent.
Je suis souvent dans le nous.
Dans la chambre d’hôtel à quatre pattes, à votre disposition, comme une simple pute.
Une simple pute, Sí, mais votre pute, personnelle, à vous, et mon salaire est de vous satisfaire.
Cela me conforte dans le plaisir d’être votre esclave.
Je suis payée pour satisfaire les besoins du client, que vous choisissez pour moi.
Vous pouvez décidez si, et à qui vous voulez me louer, me prêter, ou si vous souhaitez m’utiliser pour votre usage personnel.
Monsieur,
Je vis pour vous exclusivement, juste pour vous satisfaire.
Mon âme et mon corps vous appartiennent.
Et s’il le faut, rien ne pourrait me fait plus plaisir que de me prostituer pour vous.
Un pas de plus dans le nous et une preuve de mon amour et du don de moi pour vous.
Ma décision d’être votre esclave serai ainsi actée et gravée sur mon âme.
Je désire être exploitée par, et pour vous.
Je vous donnerai mes salaires à genoux et des larmes de bonheur couleront sur mes joues.
Prêtez-moi si cela vous plait.
Même si j’ai bien entendu que cela n’apporterait rien ni à mon éducation, ni à vos besoins.
Que cela ne vous intéresse pas.
Juste sachez que je suis à vous.
Corps et âme.
Je suis votre pute à vous Monsieur.
C’est pour satisfaire vos caprices, envies, et besoins, que je suis là.
Je ne compte plus.
Dans ma vie, seul votre bien-être à de l’importance.
C’est ce qui me rend heureuse, pleine et libre.
Mes larmes dues à votre absence physique sont versées en silence ♥️.
La souffrance va de pair avec l’amour et la dévotion.
Je vis avec plaisir d’être un simple objet.
J’adore profondément être votre table ou votre sac à sperme.
La fierté de vous lécher les pieds devant vos invités.
💋
Je vous remercie de dilater mon vagin jusqu’à pouvoir mettre un autre sexe.
J’attends avec impatience le moment que vous aurez choisi pour faire de même avec mon anus.
J’aimerais être dilatée à votre taille.
En permanence.
Lors de cet usage de mes reins, je sentirais mieux votre domination et votre emprise sur mon âme.
Même avec la satisfaction d’être transportée par le plaisir d’être usée, comme un objet, je vous promets de rester alerte et conserverai en toutes circonstances une posture élégante pour satisfaire vos yeux.
Je veux être parfaite à vos yeux Monsieur 🙏
Et mon anus accueillera chaleureusement votre queue autant de temps et de fois que nécessaire.
Ehhh oui, je serai à vous, esclave.
J’aime être utilisée et usée par vous.
Je vais dilater mon anus en votre absence pour faciliter votre entrée, quand l’envie vous prends.
Le jour ou la nuit.
Aux moindres claquements de vos doigts.
Merci beaucoup de me réveiller la nuit et de me rappeler ma condition d’esclave.
Je vais caresser mon clito et fouiller mon vagin à chaque fois que je vous lis ou que je vous écris.
J’attendrai vos gifles, de fortes gifles, qui me déstabilisent et qui me font voler en quelques secondes.
Monsieur, je rêve de recevoir à nouveau des giclées de sperme sur mon visage.
Quand l’envie vous prend, tirez-moi fort sur les cheveux, lâchez-vous.
Ma bouche attend être utilisée comme mon vagin et mon anus.
J’adore être asphyxiée et respirer juste à travers vous.
J’adore toucher mon cou et sentir votre verge à l’intérieur de ma gorge avec ma main.
Au fond.
J’ai besoin d’apprendre à vous faire des meilleures pipes.
Je veux vous satisfaire mieux, je veux souffrir.
Je veux les nausées, les bruits du viol, ma gorge de plus en plus profonde, les larmes et la salive 👅.
A peine quelques secondes de répit et je veux que mon apprentissage recommence, que vous enfoncez votre sexe le plus profond possible, que je ne respire plus que par vous monsieur.
Vous pourrez sortir de ma bouche.
Je serais haletante à genoux 🧎♀️
Vous pourrez coller fortement votre beau sexe en érection sur mon visage.
J’adore quand vous me frappez le visage lors des séances de gorge profonde.
Mes joues attendent des coups de queue et des gifles.
Votre sexe rentre à nouveau au fond de ma gorge, pas de pitié, je suis juste un orifice.
Je veux être un orifice dénué d’humanité.
Juste un trou.
Ça sera long et ça sera bon !
Je veux, avec le temps, prendre pleine conscience de n’être qu’un objet.
Votre objet.
Que vous vous serviez de moi exclusivement pour votre satisfaction me rend heureuse.
Savoir que je serai fouettée chaque jour de mon éducation est une fierté.
Comme O, dans les histoires d’O.
Je suis heureuse d’être votre soumise baisée et dilatée.
Mes fesses attendent d’être roses ou rouges.
J’aime le bruit de la cravache qui me marque, et surtout le picotement dans les fesses avec votre main, votre force et votre vitesse.
Voir mon envie de me faire fesser, encore et encore, fait briller vos yeux.
J’adore vos yeux qui brillent.
J’aime être ce morceau de chair sur lequel vous voulez vous lâcher 😌
Je suis heureuse d’être votre soumise, baisée par tous les orifices et bien dilatée pour les besoins de mon Maître.
Plus je me donne à vous, plus vous êtes content de moi.
Plus je me donne à vous, plus je suis contente de moi.
Heureuse.
Mon seul devoir est de vous satisfaire Monsieur.
Je suis nue en ce moment, juste avec mon collier et des pinces sur mes seins.
J’ai besoin de ressentir de la douleur pour vous appartenir encore plus.
Merci beaucoup de marquer mes jambes, mes fesses et mon dos.
J’aimerais tellement porter une morsure sur mes seins. 🤩
La marque de vos dents sur mes seins blancs et turgescents.
Puis m’exposer au soleil, en public, marquée de vous.
Me sentir utilisée sans retenue me donne un sentiment d’accomplissement vital.
Je suis très bien 🤩
Ma fonction principale le matin est de vous sucer, vous branler, jusqu’à vous réveiller.
Lécher mes doigts pleins de sperme, vous lécher l’entrejambe et l’anus.
Vous accompagnez aux toilettes avec votre bijou dans ma main.
Vous sucer pour enlever la dernière goutte de pipi.
Préparez votre café et vous le servir.
Rester à vos pieds le temps de votre petit déjeuner.
Habillée comme une soubrette, une servante.
Je veux que vous aimiez quand je suis en servante, avec mes seins à l’extérieur, à disposition.
Vous les pincerez à chaque fois que mes tétons ne pointeront pas assez.
Quand ils ne sont pas à votre goût vous verserez une goutte de café chaud.
Brûlure et silence. C’est mon éducation 😌
J’adore les bougies…vous le savez.
Je veux être une bonne soumise.
Je dois par tous les moyens, en mettant notamment mes trous à disposition, et plus généralement par mon obéissance absolue et mon apprentissage, vous permettre de « lâcher prise ».
Parfois, je dormirai, pénétrée par vous, vôtre main sur mon sexe, mon clito bien gorge de sang, avec l’interdiction de bouger ou d’orgasmer.
Mais souvent, je dormirai simplement contre vos pieds.
Vous, assis sur le fauteuil du maitre.
Pendant que vous dormez, les lèvres de ma chatte, ornées de leurs anneaux, seront fermées avec le cadenas portant vos initiales.
Je veux voir votre plaisir, me sachant chienne et soumise à côté de vous, à vos pieds.
Très envie d’orgasmer et frustrée par cette ceinture de chasteté, le cadenas ou votre main.
Vos doigts me fouilleront de temps en temps, tard.
Une grande satisfaction vous envahira… très lubrifiée votre soumise ! excitée et frustrée…pour vous et par vous.
Mon Maître sera content de lui 💋.
Tard dans la nuit, quand votre respiration changera et que vos corps et cerveau se répareront, je pourrais me frotter contre votre genou, votre jambe, vos poils.
Lécher vos pieds et me masturber avec votre sexe dans ma bouche.
Et pleurer, pleurer devant la beauté du moment 💓💓💓💓
Orgasmer sans votre permission m’est totalement interdit, estrictamente.
Je suis votre esclave.
Cette règle s’applique que vous dormiez ou non.
Pas d’exception.
Pour obtenir votre permission, vous devez être fier de moi.
Et sentir aussi que je suis fière de moi.
Ma prestation doit-être exceptionnellement satisfaisante.
Pour ce faire, je veux et je dois être sûre et certaine d'avoir parfaitement rempli mon rôle d’aspirateur à bite et de sac de sperme.
Que vos couilles soient parfaitement et totalement vidées.
Lorsque vous serez épuisé de m’avoir usé, alors que vous vous endormez, je n’avalerai pas votre dernière éjaculation.
Je la déposerai en grande partie près de votre gland, sur votre bas-ventre.
En petite partie sur vos couilles, pour qu’elle coule sur votre anus.
Comme vous m’en avez donner le droit, je profiterai de votre demi sommeil pour me faire plaisir… ;-) ♥️ 💓💓
Je frotterai mon visage sur vos couilles pleines de sperme et vous nettoierai l’anus avec ma langue comme une chienne assoiffée lèche sa gamelle.
Je viendrai près de vous, sur le côté, en chien de fusil, et enlacerai votre jambe en posant ma chatte sur votre pied.
Je vous sucerai lentement pour accompagner votre sommeil, la tête posée sur votre estomac.
A chaque va et viens, je prendrai bien soin de prendre toute votre bite en bouche, jusqu’au fond de ma gorge.
Dans le même temps, je frotterai mon visage contre votre ventre, pour qu’il soit bien sali de votre sperme….♥️♥️♥️
Je voudrais qu’il sèche vite et que mon visage reste collé à votre peau pour l’éternité 💓♥️💓
Ma bouche remplie et le visage collant, je pourrais me frotter sur le bas de votre jambe comme une chienne en chaleur mais avec la contrainte du cadenas.
Alors, si mes trous sont restés parfaitement dilatés et à disposition, si vos couilles sont bien vides et moi bien usée, remplie et salie de votre sperme, je me donnerai entièrement jusqu'à ce que les mots esclave, pute, salope et chienne qualifie exactement mon comportement.
Je voudrais que ce soit les conditions minimums pour déroger à la règle.
Que je sois une bonne esclave, pute, salope et chienne.
Que cela se voit et se sente.
Si vous jugez ma prestation satisfaisante, alors votre main me tendra peut-être la clé.
Je me sentirai au paroxysme du bonheur.
Je me branlerai sur votre pied.
De toute façon, me maintenir dans la frustration et aussi une récompense. 😍
Mais il me faudra être sûre vous dormiez profondément pour ne pas vous déranger.
Et être rapide, car si je suis trop longue, je devrai d’abord vous vider à nouveau.
Entretenir les couilles de mon Maitre bien vidées et une priorité bien plus importante que mon orgasme.
Jouir et pleurer devant cette beauté ne m’est permis que la bouche pleine.
Votre queue profondément en bouche, au chaud et protégée pendant votre sommeil.
Si vous saviez à quel point j’attends ce moment.
Pas pour jouir de la chatte, après deux ans d’éducation cela ne représente plus rien.
Parce qu’avoir permission de jouir et le geste que j’attends.
Il atteste de votre reconnaissance.
Faire jouir mon âme.
Vous me voyez enfin comme je veux être vue par vous, avec la fierté dans votre regard.
Votre esclave, votre pute, votre salope et votre chienne.
Votre objet.
Votre soumise.
Ce sera bon…♥️♥️♥️
Et là, l’orgasme de l’âme me terrassera, comme à chaque fois.
Pendant votre sommeil, après mon orgasme, je vous nettoierai avec ma langue pour ne rien gaspiller et me nourrir.
Je me reposerai uniquement le temps nécessaire pour être réutilisable.
Mon repos terminé, je m’appliquerai immédiatement au respect de la règle d’entretenir les couilles de mon maitre bien vides.
Donc dès que possible, je vous sucerai et branlerai à nouveau.
Ma pulsion d’être « esclave pipi » est peut-être prématurée.
Mais il me semble que de vous laisser vous occupez de ses basses et sales œuvres, est plutôt du ressort d’une esclave, donc à moi à le faire.
Merci de me confier cette mission Monsieur, s’il vous plait,
Je me sens assez mature pour m’en montrer digne.
Monsieur,
Je veux vous remercier chaque jour de ma vie, de pouvoir vivre dans le bonheur de vous servir.
Grâce à vous je « suis »
Putain « Je suis ! »
Enfin
Soumise Mia O. 😌
♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️
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Mia O. Propriété de Maitre G.
Carnet de soumise. Extrait
J 522 - Séance 23
Sujet : Séance anale en fôret.
Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - Photo perso
…
Ce matin j'ai bien préparé mon cul pour toi.
Conformément à tes instructions.
Je t’ai senti à chaque lavement.
La sensation d’être remplie pour toi.
Me préparer pour toi.
Je n’ai pas mis de plug.
Obéissance.
Être certaine que tu forces pour rentrer.
…
Et à midi je t’ai attendu dans les bois.
Dans ma voiture.
Les yeux fermés.
Les jambes écartées.
Les fourmis dans le clito.
Puis le bruit de ta voiture.
Tes pas.
L’odeur de ta cigarette.
Les pas du maitre.
Ma porte qui s’ouvre.
Ta main dans mes cheveux.
Ta main qui me traine par les cheveux hors de la voiture sur quelques mètres.
« Chienne »
Pas d’« inspection», ni « mur », ni « table » … aujourd’hui.
Pas de cravache non plus.
Pas de liens.
Je suis là pour « prendre ».
Je vais prendre.
Et donner.
Me donner.
Vous appartenir.
Le bruit du déploiement de votre chaise.
Est-ce que mes entrainements vont porter leurs fruits.
Mes épaules en arrière.
Mes omoplates qui se serrent.
Mon buste remonte et ma poitrine aussi.
Le bruit de tes pas.
Le poids de ton regard.
Mes dessus de pieds, jamais au sol.
Juste les pointes.
Mes jambes écartées.
Ta respiration.
Ma tête qui se relève.
Mon dos plat.
Non, le dos plat c’est « table ».
J’aurai dû réviser.
Quelle conne !
Danger ! Danger ! Danger !
Vite, me cambrer.
Mes fesses qui s’ecartent.
Ma bouche béante.
Ma langue tirée.
Je suis en position. Ma posture et comme je l’ai apprise.
Mes yeux s’entrouvrent.
La bosse sur ton pantalon.
Ouf !
Putain.
Que tu partes m’aurait déchiré.
Mais je sais que tu en est capable si je n’obéis pas correctement.
Une bonne petite gifle tombe.
Enfin.
Puis une caresse sur mon visage.
Je tressaille.
L’air frais sur ma chatte humide.
Longue caresse.
Boule de feu dans le ventre.
Un doigt sur mes lèvres.
Je gémis.
Je décolle.
Mes yeux se referment.
Ou es-tu ?
Juste le bruit de ta braguette.
Le temps d’un éclair.
Et la douceur de ton gland sur mon anus.
Aujourd’hui, même pas le droit d’être à genoux,
A tes pieds,
Lorsque tu es dans ton fauteuil,
Le temps d’une cigarette.
Putain là, je vais prendre.
Et ce sera bon.
Tu me pénètres.
En force.
En me forçant l’anus.
Mon souffle ce coupe.
Mon esprit se libère.
Putain que j'aime.
Que j’aime ça.
Que j’aime l'anal.
Putain que c’est bon.
Cette queue qui va toujours plus loin.
Plus profond.
Qui me transperce.
Chaque jour tu m’ouvres un peu plus.
Jusqu’avoir un anus ouvert, bien rond et parfaitement dilaté pour tes besoins.
Prêt à l’emploi, sans délai.
Belle et douce sodomie.
Je n'attends que ça pour ressentir plus profondément mon appartenance.
Douleur lors que tu me dilates,
Bonheur lorsque tu me possèdes.
A crier pour que tu continus,
Encore
Et encore.
Saisi mes hanches.
Que je sente les mains du maitre.
Putain, défonces moi.
Lâche-toi sur moi.
Je suis là pour ça.
Pour te servir.
J'aimerais te sentir jouir et couler dans mon anus maintenant.
Tu me fais mal en serrant fort mon buste dans tes bras et je pleure de plaisir.
Mais non.
Patience.
Tu vas, et viens.
Très lentement.
Très profondément.
Tu restes à l’intérieur quelques secondes sans bouger.
Bien au fond.
Tes mains agrippées à mes hanches.
Ton bassin qui force sur mon corps pour rentrer plus.
J'ai mal et tu le sais.
La douleur du bonheur.
Le bonheur de la douleur.
Ton doigt caresse mon clitoris pour vérifier sa force.
Il est bien gorgé de sang.
Il appelle l’orgasme.
Je suis à fleur de peau.
Mais pas sans permission.
Je suis bien éduquée Monsieur.
Tu recommences à nouveau tes vas et viens.
Longtemps.
Je me sens usée.
Comme un objet.
Ton objet.
Je perds conscience.
Je suis juste à toi.
Dans cet état second et merveilleux.
Tu m'élargies.
Quelle délicatesse.
Je voudrais que jamais cela ne s'arrête.
Tu te retires.
😢
Tu prends ma main pour que je touche mon anus dilaté.
Uhmmm je suis bien ouverte.
Je m’excite moi-même d’être aussi salope.
Que c’est bon.
Je suis chienne.
« Merci Monsieur ».
« Non Mia, pas encore assez "
Tu rentres à nouveau.
Tu me chevauches longtemps.
Longtemps.
Le temps que je perde mon humanité.
Que je me sente trou.
Sans toucher ni mon vagin coulant, ni mon clitoris prêt à exploser.
Juste user mon anus.
Enfonces-toi.
Baises-moi.
Transperces-moi.
Je voudrais que tu me dilates plus.
Rentre tes doigts.
Ta main.
Entière!
Dilates-moi encore et enfonces toi.
Je veux te sentir dans mon cul.
Que tu sois en moi.
En entier.
Que tu serres mes tripes avec tes mains.
Que tu voies mon âme être tienne.
Que tu poses tes lèvres sur elle.
Que tu lui donnes un baiser délicat.
Remet ta queue.
Prends-moi.
Comme un animal.
Comme la chienne que je suis.
Je suis ta pute.
Je suis ton esclave
Abuses de moi
Je t’en supplie.
Continus.
Ne t’arrêtes pas.
Ne sors pas.
Surtout ne sors pas.
Utilises-moi.
Longtemps.
Que je coule.
Que ma chatte gicle.
Que je couine.
Que je rugisse.
Que j'halète.
Que j'hurle.
Fesses-moi fort entre chaque coup de reins.
Gifles-moi si je ne crie pas assez fort.
Gifles-moi même si je cris assez fort.
Possèdes-moi encore.
Prends-moi encore.
Putain.
Ne sort pas.
Abuses de mon cul.
Mets la toute entière.
Bien raide.
Rigide.
Inflexible.
Bien dure.
Fouilles-moi le cul.
Qu'elle me fasse mal.
Bien mal.
Rempli moi de ton sperme.
Salis-moi.
Souilles-moi.
Rugis fougueusement.
Vides-toi.
Que je sente ta chaleur en moi.
Que mon cerveau explose.
Mon anus est maintenant forgé.
Il épouse parfaitement chaque relief de ta queue.
Comme s'il était conçu pour la satisfaire.
Forgé par toi.
J’aime ce mot : forgé.
Dans le feu de mon ventre.
…
Ton orgasme arrive tard.
Après m’avoir bien utilisée.
Mes genoux abimés par le frottement de la terre.
Quel plaisir de t'écouter gémir.
Mes tripes se nouent.
Je n'arrive plus à respirer.
Sentir la chaleur dans mon cul.
Dans mes entrailles.
Puis sur mon anus.
Puis couler sur ma chatte.
Le poids de ton corps qui s'appuie sur moi.
Sentir ton regard fier, de m'avoir bien usé et bien rempli lorsque tu te retires.
Tu prépares ta queue pour ma bouche.
Je vois à travers tes yeux.
Je vois ton sperme qui dégouline de mon cul pendant que tu te branles.
Tu me redresse en tirant mes cheveux.
Tu le prends et l'étales sur mes seins.
Puis sur mon visage.
L'odeur de ton sperme m'achève.
Puis la petite cuillère sur ton gland, pour ne rien gaspiller.
Le froid et le chaud dans ma bouche.
Qui me nourrit.
Je suis en Trans.
Je ne maîtrise plus rien.
Puis tu me couche sur le dos.
Sur les épines de pins.
Puis à califourchon sur mon visage.
Ton anus se pose contre ma bouche, pendant que tu regardes mes mains étaler ce qui reste sur ma chatte et mes seins.
Ma langue qui lape ton cul comme les chiens.
Puis tes deux couilles que tu rentres en force dans ma bouche et qui me gonflent les joues.
Et ma main qui touche ma chatte et la fouille compulsivement.
Je te sens encore dans mon cul dilaté.
Puis ton gland, encore coulant, qui s'essuie sur mes lèvres gourmandes.
Qui me nourrit encore.
Je voudrais que tu me donnes des litres et des litres de sperme pour apaiser ma soif.
Puis ta queue qui s'enfonce et se pose au fond de ma gorge.
Qui m'étouffe.
Qui me baise la bouche.
Je veux te bouffer.
Te dévorer.
Te déguster.
Tes couilles frappent mon visage à chaque coup de reins.
Que c’est bon.
N'être qu'un trou dédié à ta satisfaction.
Ton objet.
Mon bonheur.
Je dois jouir.
Putain, je dois jouir maintenant.
Je n'en peux plus.
C'est trop.
Trop fort.
Trop puissant.
Il faut qu'un orgasme me libère.
Je ne peux pas supporter plus.
J’attends ma permission.
Patiemment pendant que tu baise ma bouche.
Elle vient cette putain de permission ?!.
Je vous en supplie.
Monsieur.
Monsieur.
Je vous en supplie.
Obéir.
Ne rien demander.
Attendre.
Mais j'ai passé le stade de l'orgasme physique.
Mon âme et mes tripes bouillonnent.
Ma main fait n’importe quoi sur ma chatte.
Je vais exploser.
« Orgasme maintenant ! »
Ahhhhh…enfin…Putain !
J'explose.
Littéralement.
« Merci monsieur ».
Je hurle la bouche pleine de ta queue.
Quelque chose à péter dans mon cerveau.
Plus rien ne répond.
Je sens mon ventre.
Comme un bigbang.
L'expansion de l'univers entier dans mes tripes.
Je bave.
Je crie.
Je suis un animal.
Mes spasmes sont incontrôlables.
Je suis épileptique.
Les bruit de ma bouche lorsque ta queue la baise.
J’entends ma bouche défoncée par ta queue.
Je ne contrôle plus mon corps.
Ton corps.
Je t’appartiens.
C'est trop.
C'est trop bon.
Je me sens bénie.
Quel cadeau.
Vivre ça.
« M..ci M…sieur ».
Le souffle court.
Je suis terrassée.
Complètement K.O.
Les orgasmes pour monsieur.
Trop puissant.
…
Tu me prends dans tes bras comme une princesse.
Ma tête dans ton cou.
Tes lèvres baisent les miennes délicatement.
Tu m'allonges au sol sur le dos, à côté de ta chaise.
Comme la belle au bois dormant.
Tu t'assois.
Je n'arrive plus à respirer.
Je panique.
Trop d’émotions.
J'ai perdu pieds.
Quelle violence orgasmique.
Quelle puissance
Je n'arrive pas à me remettre.
Je n’arrive pas à l’admettre.
Je n'arrive pas à lutter.
Je n'arrive pas à respirer.
Un pied se pose sur mon visage
L'autre sur ma poitrine
Ma respiration se calme.
Comme par magie.
Comme à chaque fois que je suis ton marche-pieds.
Ton paillasson.
Protéger tes pieds de la terre.
J’entends le vent dans les arbres
…
Tes pieds me retournent délicatement.
Mes seins contre la terre.
Ton corps vient peser de ton son poids sur le mien.
Écrases-moi.
Après ce long chemin de croix,
Ta queue rentre dans mon anus et se cale bien profondément.
Que c'est bon de me sentir dilatée pas toi.
Mon cul et là aussi pour apaiser ta queue après l'effort.
Tes mains se posent sur les miennes.
Tes doigts entre mes doigts.
Les bras en croix.
Et ta queue bien profonde en moi.
Sous ton poids.
Après ce long chemin de croix,
Je suis crucifiée.
Par toi.
Pour toi.
Et comme si cela ne suffisait pas, tu poses un tendre baiser sur ma joue.
Mon cœur s’arrête.
Je décède de l’intérieur.
Te servir avec autant de douleur me rend si heureuse.
Je pleure un peu.
Je suis à toi 💋
Merci Monsieur
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Boujour aujourd'hui je voulais vous partager les ressentie que mon soumis ma écrit suite à une sceances il n'était pas sensée être partagée mais en lisant ses ressentis la fierté qui m'a envahit ma donné envie de le partager certain passage ne seront peut être pas forcément compréhensible pour tous j'aurai put le modifier ou lui demander de le réécrire pour l'adapter à une publication mais je n'ai pas voulu car je ne voulais pas le denaturer perdre l'authenticité et l'âme ainsi que la beauté du texte
VOICI :
"J'ai enfin un peu de temps pour t'écrire mes ressentis de notre dernière séance.
J'étais donc un peu perdu en arrivant sur le parking, en jogging sans caleçon, tenu de sport....
Je pensais vraiment que tu allais me faire faire du sport !!
Puis tu es arrivée, et tu m'as dit de monter dans ta voiture... je ne comprenais plus rien. Je pensais que l'on allait partir à pied du parking..
Et par dessus, tu me fais mettre des lunettes avec lesquelles je ne voyais vraiment rien même pas mes pieds !! Et je les ai gardé tout le temps !!!
Nous arrivons à destination... et tu m'annonces que tu vas me laisser seul les yeux bandés en pleine nature !
J'entends ta voiture partir, mais j'étais décidé à respecter tes consignes donc je n'ai pas touché aux lunettes même si j'en avais très envie... mais j'étais certain aussi que tu allais me surveiller de loin. Déjà que j'allais recevoir des coups de ceinture alors si en plus je lève les lunettes je vais être encore plus puni.
Je suis donc resté sage.
Je n'entends plus ta voiture, je pense que tu es partie loin. Et tout d'un coup J'entends des pas derrière... ça ne peut pas être toi tu es trop loin en voiture... et là me reviens en tête ton histoire qu'il y aurait peut-être une personne avec nous... quand tu l'as écrit je n'y croyais pas du tout, je savais que tu bleuffais. Mais là à 6 ou 7 m de moi il y a quelqu'un qui s'approche en marchand dans l'herbe mais sans parler... là je n'en mène pas large ! Je me demande bien ce qui va m'arriver,, qui est cette personne qui marche vers moi... je flippe vraiment.... je retiens mon souffle, je ne peux rien voir avec ces lunettes et je ne veux pas trahir ta confiance, et toute l'organisation de cette séance, donc je prends sur moi et je garde mes mains contre mon corp je m'interdit de toucher aux lunettes.
La personne qui marche derrière moi s'arrête, ne parle toujours pas.... et fait un bruit avec sa bouche... ouf c'est un cheval en fait !!
Le soulagement !! Puis tu es très vite arrivée, me voilà rassuré J'ai une confiance aveugle en toi, donc j'étais impatient de la suite.
Je pensais que tu allais m'enlever les lunettes pour me faire découvrir où nous étions... et non!
Tu m'as guidée à travers des broussailles, je ne savais pas du tout où tu m'enmenais. Mais j'étais bien guidé par ma maîtresse qui m'avait préparé une belle séance !
Et chose que j'ai adoré nous nous sommes tenus par la main! On ne peut jamais faire ça normalement dehors !
Nous voici arrivés au lieu mystérieux. J'entends des gens parler pas très loin et des chiens aboyer... bizarre
Je pensais que tu allais m'attacher à un arbre ou quelques choses comme ça...
mais tu as fouillé dans mon sac à dos, et je me suis retrouvé avec le crochet anal et le bâillon harnais, la tête en arrière, complètement à tes ordres.
Tu commences par ton jeu favori : martyriser mes tétons !
Tu fouilles de nouveau dans mon sac et je comprends que c'est pour attraper la ceinture !
Et l'heure de ma punition est arrivée. Je vais prendre 8 coups de ceinture.
Les premiers coups je les ai à peine sentis, les derniers un peu plus. Donc je n'ai pas vraiment été puni. Il faut que tu tapes bien plus fort même si mes fesses deviennent violette !
Ensuite tu m'as posé des pinces sur mes tétons.
Et j'ai entendu un briquet et l'odeur de la bougie qui s'allume.
J'aurais dû y penser ... à l'extérieur c'est facile de jouer avec la cire qui en met partout sinon dans une maison !
La tête bien en arrière coincé par le crochet anal, tu as commencé à déposer la cire sur mes seins. Avec la position je comprenais que ce n'était pas simple pour toi! La brûlures de la cire était intense! Et je pensais déjà aussi à comment tu allais faire pour la retirer !
J'ai adoré ton application, comment tu communiquais avec moi, vraiment j'étais complètement transporté uniquement à ton écoute. Et oui tu as dû enlever la cire avec différentes ustensiles, toujours plus sadique et en me laissant les pinces.
J'ai adoré la manière pendant cette séance où tu as géré le temps, tu étais calme et tu allais jusqu'au bout des choses... j'ai dû supporter les pinces et la position pendant longtemps, une éternité, mais je devais résister
Ensuite la cire à coulée sur mon sexe... aïe aïe aïe... j'ai mordu le bâillon là !
J'imaginais mon sexe recouvert de cire. Et c'était sympa que tu prennes les photos comme j'avais eu les yeux bandés !
Mais finalement sur le sexe ça fait tellement mal quand on met la cire que de l'enlever c'est supportable !
Après mon sexe débarrassé de la cire tu m'as bien branlé et sucer... et moi je dois me maîtriser car c'est interdit de jouir.
Je pensais que tu allais me libérer... et tu m'annonces que maintenant tu vas recouvrir mes fesses de cire. Je ne m'y attendait pas... mes seins commencent à me faire mal et le crochet me tire bien... mais je vais devoir résister pour toi.
Je mets mes fesses en arrière comme je peux pour recevoir la cire chaude... je suis vraiment entre la douleur et le plaisir.
Et le fait que tu continues que tu prennes ton temps c'était vraiment bien, tu m'as emporté loin très loin, tu as torturé toutes les parties de mon corp avec patience. J'étais sur mon nuage.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin...tu me retires les lunettes, et je découvre où nous sommes, la sensation était sympa. Et surtout je pouvais enfin t'embrasser sans ce bâillon
Tu m'annonces que l'on va aller chez toi, je me dis ouf c'est terminé... mais tu me dis que tu vas me remettre le crochet... oh non j'ai déjà les fesses en feu 🔥!
Et en plus de doit courir avec et escalader ta fenêtre !
Et arrivé chez toi, tu m'attaches toujours avec l'anus rempli !
Et là c'était vraiment dur...tu as été redoutable de me refaire vivre tes sévices après déjà avoir bien joué avec mes seins et mes fesses! j'avais mal aux fesses et les tetons en feu.. et tu as continué à jouer avec. A chaque fois que tu attrapais mes tétons c'était intense, une énorme douleur et en même temps une sensation unique
Et le final est arrivé, tu m'as attaché le crochet au cou et surtout les testicules avec les instruments de cuisine qui me coince les testicules sur les cuisses.
Zt tu m'as fait marcher ainsi, je ne pouvais presque pas avancer. Heureusement tu n'as pas été trop sévère, en par exemple me promenant un peu plus en laisse... mais tu avais trop envie que je te lèche ! Et oui ma récompense est arrivée, pouvoir lécher ton sexe goulûment, et te faire jouir, te rendre le plaisir que tu venais de me donner avec plus de 2 heures de sévices.
Pour terminer nous avons baisé simplement, et ensuite j'ai adoré ton idée de jouir avec mon sexe dans ta bouche... c'était une sensation extraordinaire... je sentais ton corp vibrer car tu avais du plaisir et tu arrivais à garder mon sexe dans ta bouche.. je me suis dit vraiment cette fille m'étonnera toujours, je t'adore !!
Merci pour toutes sensations folles et intenses que nous arrivons à nous apporter mutuellement
J'ai une confiance aveugle en toi, donc j'étais impatient de la suite.
Je pensais que tu allais m'enlever les lunettes pour me faire découvrir où nous étions... et non!
Tu m'as guidée à travers des broussailles, je ne savais pas du tout où tu m'enmenais. Mais j'étais bien guidé par ma maîtresse qui m'avait préparé une belle séance !
Et chose que j'ai adoré nous nous sommes tenus par la main! On ne peut jamais faire ça normalement dehors !
Nous voici arrivés au lieu mystérieux. J'entends des gens parler pas très loin et des chiens aboyer... bizarre
Je pensais que tu allais m'attacher à un arbre ou quelques choses comme ça...
mais tu as fouillé dans mon sac à dos, et je me suis retrouvé avec le crochet anal et le bâillon harnais, la tête en arrière, complètement à tes ordres.
Tu commences par ton jeu favori : martyriser mes tétons !
Tu fouilles de nouveau dans mon sac et je comprends que c'est pour attraper la ceinture !
Et l'heure de ma punition est arrivée. Je vais prendre 8 coups de ceinture.
Les premiers coups je les ai à peine sentis, les derniers un peu plus. Donc je n'ai pas vraiment été puni. Il faut que tu tapes bien plus fort même si mes fesses deviennent violette !
Ensuite tu m'as posé des pinces sur mes tétons.
Et j'ai entendu un briquet et l'odeur de la bougie qui s'allume.
J'aurais dû y penser ... à l'extérieur c'est facile de jouer avec la cire qui en met partout sinon dans une maison !"
Merci beaucoup pour ce beau texte Mimi tu est un merveilleux soumis ta maîtresse qui est très fière et honoré d'avoir un tel soumis
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Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait.
Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une brume froide et blanche les
enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches
mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Sarah tournait son visage vers
le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Patricia demeurait silencieuse.
Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle
serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle
avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme
on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ?
Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Mais, elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime."
Patricia avouait son amour dans la soumission et la douleur. Sarah la croyait. La brume l'aidait à
supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout est vrai. Il y avait d'assez jolis reflets sur le lac.
Les yeux extasiés de Patricia, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son
succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait
pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa Maîtresse.
Sarah avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces. Elle s'était allongée sur elle.
Quel plaisir nouveau ce fut quand Patricia la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les
pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir
quand à sa fantaisie, Sarah imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus large, l'élargissait.
Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Patricia en était
éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire
intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute
la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elle lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité
de la terre. La vie, elles la supportent, les outrages et les châtiments corporels. Elles l'aiment parfois tant qu'elles
ne la connaissent pas, elles l'inventent pour la rendre semblable à elles mais l'illusion est brève. Patricia rêvait.
Lorsque Patricia s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame
d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des
femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre
à ramper sous le fouet n'est pas exaltante. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te
heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus
triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le
cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et
toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être battue, il semble
qu'elle aurait dû s'habituer aux coups, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au fouet à force d'être flagellée.
Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire,
le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qui l'élargissait, le silence, son refuge
y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des jeunes femmes livrées comme elle.
Je te comprends d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de
m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels.
Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir
et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du
charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans
doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur
de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée.
Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois
te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est
la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes
pupilles. Tes yeux rieurs. Sarah sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût.
Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir.
Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont
glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont
frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec
cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou.
Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son
corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée,
précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe.
Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur.
Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau
proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller
encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et
cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance.
Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet.
Le temps cessa d'être immobile. Sarah lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba sur elles.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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De mon avis, l'un n'exclut pas l'autre, le coté sexuel n'étant à priori pas une souffrance ce n'est donc pas une pratique sadique en soit ? Tant qu'il ne comporte pas de "sadisme"
(Sadisme Perversion sexuelle dans laquelle le plaisir ne peut être obtenu que par la souffrance infligée à l'objet du désir.
Sadisme et masochisme.)
Le sexe peut être une pratique DS dans la domination, devenir ou être soumise à, ne comporte pas de restrictions dans les punitions ou récompenses d'ailleurs.
De mon avis (qui n'engage que moi) et c'est comme cela que je le pratique, il doit être scénarisé.
Les images que vous voyez peuvent en être l'aboutissement, la finalité étant purement cérébrale, le D/s "vanilla" est plus pour moi plus du ressort de la domination "tantrique" sous réserve du mot dans son sens réel.
Ceci dit effectivement, on voit depuis quelques années (l'apparition du sida entre autres) des versions plus ou moins édulcorée du D/s (On appelle aussi ça jouer à touche pipi avec un gant au bout d'une perche ou sans se mouiller les doigts. (l'image m'amuse.)
Pour exemple, des soumises de ma connaissance aiment être offertes comme objets et pour autant ne supportent pas la douleur.
Est-ce la pluralité masculine qui leur plaît ? Non pas vraiment, c'est uniquement le côté cérébral de la contrainte, devenir un objet ou cette espèce de peur qui les motive et les attirent, ce moment ou tout va basculer.
Alors la PEUR est elle DS ou SM, les soumloves connaissent toutes ce moment où la trouille est là, sorte de vertiges, jambes qui flagellent, mais ce petit quelques choses qui pousse à aller un peu plus loin. (lors des premiers sauts en parachute à l'armée, ils appellent ça le pipi de la peur.).
Dans tous les cas le seul but de ces pratiques (certaines) est le plaisir Partagé de la soummise et accessoirement celui du dominant, uniquement entre adultes consentant avec toutes les précautions d'usages.
Public disgrâce, exhiber une soumise (dans des lieux appropriés, car l'exib public tombe sous le coup de la loi en France)
Bound Gang Bangs, offrir une soumise attachée, avec un scénario, comme récompense après une privation d'orgasme ou comme punition.
Device Bondage, pratiqué de différentes manières, pinces bougies, etc...
Sadistic Rope ou shibari pour dominateurs très attachants et soumlove patientes
Water Bondage, ou jeux d'"O" évidemment l'utilisation d'un jet haute pression relève plus du SM à mon avis et peut être extrêmement dangereux
Fucking Machines, est il besoin d'expliquer ?
Whipped Ass , fouet, cravache, paddle, fessées tout est question de dosage et de matériel
Glory hole, À la base une pratique gay devenu plus courante de nos jours elle était une pratique DS avec un sac en papier ou une boite en carton troué sur la tête
Il existe bien d'autres pratiques D/s, l'humain de manque pas d'imagination en la matière.
Dogging, offerte en voiture, parking, routiers, garage
Pour ce qui est des gifs que je mets, ils représentent un panel très incomplet de ce que peut-être le DS, je ne posterais pas d'image "sadique ", car je ne suis pas plus fan de Sacher-Masoch que du divin Marquis.
Si un jour vous pratiquez ce genre de domination scénarisée (je vous donnerai plus de détail si vous voulez.) avec une soumise ou un soumis tentez l'expérience d'isolation sensorielle (bandeau) par exemple... Une fois, cette séance terminée demandé lui ce qu'elle ou il a imaginé (à condition d'avoir été sous le bandeau durant sans interruption), vous verrez ce que l'imaginaire peut faire dire, c'est assez impressionnant et édifiant, et ce retour vous donnera un excellent sujet pour une prochaine séance.
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Je le vois, au loin, dans des effluves rouges, brûlantes.
Ses yeux brillent dans la pénombre, ses lèvres sensuelles me susurrent des mots que je ne comprends pas mais qui m’enivrent. Je me retrouve à genou, coincé, sans pouvoir bouger. Il est là, à côté de mon lit, il m’observe. Je voudrais qu’il vienne s’allonger sur moi si fort, que j’en ai le cœur qui accélère.
Les battements de mon cœur augmentent tellement qu’ils me font mal. Il se penche vers mon visage. Je sens sa main, froide contre ma joue, qui glisse contre mon cou. Qu’il serre et qu’il empoigne, fort. Je ne peux plus bouger. Je n’ai pas froid, bien au contraire. Aussitôt qu’il me touche, mon cœur s’apaise. Je plonge mes yeux dans les siens, je les vois, sombres, avec des éclats de braises rouges qui scintillent.
Je sens sa main glaciale, mais pourtant si agréable, elle caresse mes cheveux. J’entends sa voix, mais je ne comprends pas ce qu’il me dit. Sa voix grave et basse m’ensorcelle. Il me parle dans une langue que je ne connais pas, et pourtant, cela me touche au plus profond de moi. Je vibre à chaque mot. Soudain, ses doigts s’enfoncent dans ma chevelure. Avec ses mots, encore, je suis paralysée, comme si ses phrases étaient de longues chaines qui m’entravent. J’essaye de me libérer mais les liens se resserrent. Il tire sur mes cheveux, ma tête bascule en arrière.
Son autre main caresse mon dos, puis je sens une douleur vive, ses ongles qui s’enfoncent dans ma peau.
Je sens son sexe, dur, contre mes fesses. J’entends sa respiration qui s’accélère. Je ne peux pas bouger. Sa main passe de mon dos sur ma poitrine. Va-t’il me prendre en levrette ? Me sodomiser ?
Je me réveille, il a disparu ! Reviens éphèbe ! Mon corps frémit de tant de délices inavouables. Ça ne m’était encore jamais arrivé. Je peine à sortir cette silhouette massive de ma tête. Je ferme les yeux, et tout de suite, je vois les points de braise dans son regard, qui me fixe, m’hypnotise, me fascine. J’ouvre les yeux, j’ai mal comme si j’avais fixé un brasier, mes joues sont rouges et chaudes. Mon front est couvert de sueur, mes mains sont moites, je respire vite.
Ma belle est à côté de moi, inquiète. « Tu vas bien ma chérie? Tu as rêvé de moi ? Tu as l’air tout émoustillée !
_ Oui...C’est ça…»
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La messe, par SoeurClo et Monseigneur Softail
Voilà t-y pas que Sainte (on peut toujours y croire) Kate et Jésus (il doit être d'origine latine) Phoenix nous demandent à Soeur Clo et moi-même une messe spéciale. Rien que ça. Bon j'en veux aussi un peu à Loic33 qui a force de m'appeler Monseigneur (titre certes usurpé mais que je déteste point au demeurant), a du contribuer à faire germer cette idée saugrenue dans leur esprit déjà fécond. Ceci dit il s'est largement rattrapé depuis en commettant notre notre photo du jour, il donc -presque- absous. Merci donc frère Loic,
Un sermon spécial passe encore. Eddy Mitchel en a bien trouvé un remarquable. Mais m'imposer l'assistance de SoeurClo ! Bah comme tout serviteur de notre seigneur qui se respecte, c'est que je les aime bien moi mes jeunes enfants de cœur... En plus c'est une vraie chaudasse la Clo sous ses airs de sainte qui touche, spécialiste des tenues outrancières sous sa chasuble de nonne ; son corset de cuir et bas résilles n'avaient pas laissé Moral indifférent la dernière fois qu'elle s'était changée dans la sacristie. Difficile de ne pas éclater de rire non plus quand elle m'expliqua que son ordre religieux intimait les voeux de pauvreté (passe encore), chasteté (et la marmotte...), ainsi que d'obéissance (Jésus Phoenix lui même a des doutes sur le sujet, c'est dire).
Elle m'avait parlé de son ordre pendant que fidèle à son habitude, après s'être copieusement plugé le cul, elle enfilait ses boules de geisha avant la messe, sans cela elle n'était pas concentrée et ne disait et faisait que des conneries parait-il. Bon perso, je n'ai pas vu de grandes différences sur ce sujet avant, pendant et après, bref. Donc notre moniale avait rejoint l'ordre des cisterciens. Chemin faisant elle s'étaient arrêtée voir la veille, les frères, les purs, de l'abbaye fondatrice à Citeaux justement (pardon pour cette parenthèse aussi véridique qu'historique pour ceux qui n'espéraient que du BDSM), à côté de notre sainte paroisse dijonnaise. Ses yeux cernés, ses traits tirés (eux aussi), témoignaient certainement d'une soirée contemplative, signe de leur ordre. Quand je lui fit subtilement remarquer (« j'taurais bien dis que ta la tête dans le cul poulette ce matin, mais même mon cul à l'air plus frais que toi »), elle argua que c'était le planning quotidien de l'ordre, dimanche compris évidemment, de se lever à 4h30 pour la première prière. Je venais de comprendre d'où venait le non de l'ordre de Citeaux (oubliez l'autre explication donnée par Wilkipédia).
Bon comment passionner mes ouailles passablement perverties du forum ? En leur disant la vérité pardi, et en faisant appel à leurs plus bas instincts (heureusement pas besoin d'aller chercher très loin).
_ SoeurClo ...
_ Oui Monseigneur ?
_ Raccourcissez votre chasuble, mi cuisses disons . Voilà à la limite de votre jarretière.
_ Mais...
_ Oui bah on voit vos crocs, c'est pas grave. Pareil pour le haut.
_ A mi cuisses aussi ?
… Soupir... Saint Phoenix ouais.
_ Allez, aérez moi un peu cette par ailleurs jolie paire de nichons. Voilà que ça déborde un peu du corset. Ah oui une dernière directive : pendant l'office, ne dites rien, ne faites rien, je suis déjà assez dans la merde comme ça. Pour vous occuper vous tiendrez le cierge, il paraît que vous faites ça très bien. Et puis arrêtez de vous trémousser!
_ C'est que... Ce sont mes boules Monseigneur qui font effet...
_ Oui bah moi aussi j'en ai et je reste sobre non ? Ah si une dernière chose : la musique. Quand vous enverrez les cantiques, ne confondez pas cette fois. Je vous rappelle vos choix discutables lors de nos dernières visites de charité : « allumez le feu » au crématorium , « alors on danse » au centre pour handicapés, « Papaoutai » à l'orphelinat, « où sont les femmes » au bar gay de la gare, « et tu tapes, tapes, tapes c'est ta façon d'aimer » au centre pour femmes battues...
C'est pas le tout mais que vais-je leur dire moi à cette bande de mécréants dépravés ? L'évangile selon Sainte Kate sûrement. Verset 69.
Mes bien chères soeurs, mes bien chers frères (tu parles d'une famille...),
Ce matin comme chaque dimanche en vous levant après avoir dignement honoré votre évidemment légitime épouse, n'est-ce pas (note pour moi-même : je me demande bien pourquoi on les appelle les fidèles), les moins croyants de notre petite communauté de la Chapelle Fistine ont du se dire : mais à quoi bon aller entendre toujours le même genre de sermon ? Et bien je vais vous le dire : le Christ est sexe, et même adepte du BDSM !
Je vois à votre mine dubitative que le doute vous habite. Je vous invite à ouvrir votre esprit autant que Soeur Clo ses cuisses. L'évangile est truffé de clin d'oeil pour qui sait les voir. Déjà le mot pieux revêt bien des sens n'est-il pas ? De même le Seigneur de prônait-il pas l'amour ? Qui a dit qu'il devait être uniquement spirituel ? Aimez-vous les uns les autres est bien évidemment une divine incitation à la partouze ! La mer rouge qui s'ouvre est bien entendu une allégorie aux cuisses de votre bien aimée. Et passons sur l'exhibitionnisme du Christ qui se promenait en pagne.
Soeur Clo, cessez de vous trémousser s'il vous plait.
Pour en venir au sujet préféré des pervers que vous êtes, oui, évidemment le Christ est BDSM. D'ailleurs pour certains d'entre vous le BDSM EST une religion à part entière. Son chemin de croix, la flagellation et le reste nous montrait évidemment non seulement la voix mais aussi ses penchants pour les sensations fortes que nous affectionnons tant. Saviez-vous qu'avant d'être crucifié, il fut attaché à la croix ? Hymne au bondage évidemment. Certes la couronne d'épines est couramment remplacée de nos jours par les orties, mais là encore ne s'agissait-il pas d'utiliser les ressources de dame nature pour satisfaire à notre passion, En parlant de cela, la passion du Christ, ne viendrait-elle pas de là ???
D'ailleurs l'église catholique a su lire entre les lignes et suivre ce chemin : l'inquisition et ses pratiques délicieuses n'en sont que la suite logique. Certes de nos jours on a remplacé le bûcher par la cire, un peu moins définitif...
Mais revenons à notre Seigneur, connaissiez-vous son prénom secret, André ? La croix, vous faites enfin le lien ? Vous allez me dire , celle chrétienne est droite ! N'avez-vous jamais vu d'icônes représentant la chute du Christ, Croix toujours sur l'épaule ? Et oui elle était bien inclinée. Quand on vous attache à la croix de Saint André, ce n'est dans d'autre but que d'atteindre la rédemption via la douleur. Que vous faut-il le plus devant cette évidence bande de mécréants ?
Soeur Clo, allez-vous cessez oui, vous me déconcentrez !
Et la vierge Marie dans tout cela ? Sa Domina voyons ! Inaccessible, ce qui explique sa virginité ? Elle toujours debout alors que lui était souvent à genoux. Une évidence vous dis-je !
Qu'ajouter ? La grande partouze finale, immortalisée dans la Céne par léonard de Vinci est l'ancêtre du bukkake : prenez et mangez-en tous ! La multiplication des pains (dans la gueule ou ailleurs), bref n'en jetez plus la cour est pleine.
Alors mes chères ouailles, je vous attends fervents pratiquants de notre belle religion, et pas seulement le dimanche s'il vous plaît. Allez en pets (et oui même cet déviance ci vous avait échappé malgré son évidence), Jésus Phoenix et Sainte Kate vous bénissent. Vous pouvez jouir Soeur Clo.
Amen.
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1) Je suis issus d’une fratrie de 4 enfants je suis la seule fille je me plais à dire que je suis fille unique ben oui tout les autres on eu un zizi 🤣🤣🤣
2) Je suis parfaite 🤩😏😌😊 parfaitement imparfaite 🙄🙄🙄 et oui au moins j’ai le mérite de le savoir
3) Un humour décaper et décapant j’aime l’autodérision les jeux de mots qui permettent les sous entendus bien placé 😏😏😏 sous la ceinture bien évidement je suis lubrique.
4) Je suis têtu, fier, j’ai un ego un peu mégalo et je suis orgueilleuse 😅😅😅pourtant pour faire plaisir à mon Maître je suis capable de mettre tout ça de coter☺️☺️☺️
5) J’ai portez la vie 4 fois et mis au monde 3 garçons et oui hein je suis toujours entouré de beaux gosses 😜😜😜 j’ai très mal vécu ma fausse couche ça reste un sujet délicat
6) Je suis quelqu’un de sérieux dans mes engagements mon maitre me dit binaire c’est tout ou rien noir ou blanc
7) Je suis souvent dans l’introspection j’ai souvent peur d’avoir blessé par maladresse les mots peuvent parfois être tellement violent j’ai absolument rien d’une sadique.
8) j’ai grandis avec un sentiment de culpabilité ma mère est croyante et j’ai été bercé dans la religion Jesus est mort pour moi pour un enfant binaire c’est très culpabilisant je pense que c’est rester au fond de moi je me sens coupable facilement. Par contre le petit Jesus je le préfère qu’on me le mets dans la crèche 😜😜😜
9) A 18 ans j’ai ma meilleure amie d’enfance qui c’est suicidé en voiture elle a foncer dans un arbre sur une ligne droite. Depuis je suis incapable de noué des liens qui dure dans le temps je ne passe que dans la vie des gens j’ai qu’une amie dont l’amitié perdure c’est elle qui m’a aidé à tenir bon à cette époque même si j’ai été dure avec elle un animal blessé c’est rarement tendre quand ça a la chaire à vif.
10) Je travaille dans le médico social j’ai aimé mon métier et je lui ai beaucoup donner depuis le Covid et ma fausse couche je me suis mis en réserve je suis dans un lieu de vie où il y a de l’agressivité quasi journalière et des gros troubles du comportements l’autisme est un univers à part et plus particulièrement quand les conditions institutionnelle ne sont pas ou top
11) Autant engage je suis un ange autant sans engagement je suis un 😈 j’évite de rester trop longtemps seule j’ai bien compris que j’ai besoin d’un ancrage sinon je fais vraiment n’importe quoi une vrais boule de flipper.
12) j’étais une vrais tête brûler j’ai traverser plusieurs fois la France pour rejoindre des hommes pour qui j’avais un coup de coeur je suis revenu déçus à chaque fois quand on s’attend à être tenus et qu’au final personne ne tiens rien….
13) J’aime ma relation avec mon maitre elle me permet de lâcher prise et faut dire que ce début d’année m’a pas fait de cadeau l’annonce du cancer de mon père la c’est le mari à ma mère à qui on vient d’annoncer une leucémie … je pensais avoir un peu de repris la génération de mes grands parents c’est éteinte il y a juste 2 ans
14) Je suis souvent dans un monde alternatif lunaire je vois pas le temps passez quand je suis en mode vianney t’es ou pas la …🎶🎶🎶
15) Parfois ne pas être pour moi est un soulagement en même temps j’ai peur de plus pouvoir vouloir revenir.
16) J’ai un rapport particulière avec la douleur physique je crains les marques mais pas de souffrir je pense que là douleurs du corps et quantifiable celle du psychique ne l’es pas
17) Mes frères on eu une période de sadisme vis à vis de moi quand j’avais environ 10 ans ils se mettaient ensemble pour me chatouiller jusqu’à se que je me pisse dessus parfois plusieurs fois dans la même journée ils finissaient par se moquer et moi je pleurais 🙄🙄🙄 avec le recule je me dis que j’aurais du leurs pisser dessus 😂 ça les auraient calmer
18) On jouaient aussi à des jeux que je retrouve maintenant se balancez dans les orties se courser avec des tiges de noisetiers pour se frapper avec courrir dans les champs de maïs vive les micros coupures 😅😅😅
19) Une famille de Fou j’ai pris de la distance quand je suis devenu maman l’instinct maternelle et de protège de la folie
20) Je suis grosse mon imc me classe en obésité morbide mais entre nous je m’en fous royale je me coupe mes ongles des doigts de pieds toute seule donc tout vas bien 😂😂😂
21) J’aime pas le mensonge et les gens faux cul
22) pour moi la confiance est la chose la plus importante j’estime que quand il y a confiance on peut tout se dire pas de mensonge pas d’omission on n’a confiance dans la capacité de l’autre de nous comprendre.
23) j’aime m’ouvrir pour mon maitre même si au début j’ai crus plusieurs fois que j’allais pas y arriver j’ai même pleuré
24) Et oui je pleure rarement mais quand ça vient c’est pas un peu en plus j’alterne avec le rire parce que je me trouve complètement pathétique de pleurer et après je pleure parce que je suis pathétique enfin c’est un joyeux bordelle tout ça 😂😂😂
25) la vie n’est pas une longue fleuve tranquille mais p…. qu’elle est belle!
26) je regrette rien je suis toujours pour allez à fond et au font même du trou 🤣🤣🤣
27) c’est mon numéro préférée je suis née un 27 bon j’étais pas chaude pour sortir ils on dû allez me chercher avec une ventouse j’avais déjà besoin d’accessoire 😅😅😅
28) J’aimerais bien découvrir le sexe avec une femme et qui sait peut être crée une relation
29) je suis juste moi avec mes mille et une facette
RAPPEL DES REGLES DU JEU:
Ceci est le jeu du portrait Québéquois qui fait fureur sur fetlife.
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Vous devrez alors:
1 écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2 me dédicacer le titre de la manière suivante" X choses sur moi pour soumise x le trou
3 le publier dans la section article
4 me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte.
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Patricia n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles
fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses
et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs,
entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent
plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla.
Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules
de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.
Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins.
Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens,
mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit.
Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses
lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de
sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda
à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et
ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité
même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur
sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux.
Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait
l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était
terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse
ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire.
Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme
pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation.
De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues,
être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne
la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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l’envie était trop forte aux acheteurs de baiser cette salope et de s’occuper de ses trous encore ouverts .
au moins une dizaine ,voire quinze hommes leurs queues dressées, car natacha ne put les compter , entourèrent la femelle,
en soumission complète l’esclave s’est laissé faire de peur d’être sévèrement puni.
la douleur du fouet sur son cul lui rappela cette acceptation forcer .
de bourgeoise arrogante elle était passée en salope docile et humilier
elle commençait à comprendre qu’elle était devenu une vraie esclave sexuelle
qu’elle avait joui en public de cet état pour sa plus grande honte.
elle fut mise à genoux
« suce salope »
impressionner et effrayer par tant de membres érigés elle eut un moment d’hésitation .
malheurs à elle ,là ou on l’attendait se précipitant sur la queue comme une vorace une vraie salope qu’elle est
cette hésitation allait lui coûta cher .elle fut prisse brutalement pour les cheveux une bite lui força la bouche
avec violence pour arrive directement en gorge profonde . ce fut un choc une humiliation supplémentaire.
mais le plus bandant était son expression d’étonnement de douleur ,avec des cries étouffés des gargouillis obscènes.
la honte en public de cette introduction violente lui a été insupportable ,elle faillit vomir.
mais bien vite elle comprit qu’elle n’avait pas le choix d’aussitôt en sucer une autre puis une autre et encore, encore de passé de bite en bite
le spectacle devient vite de plus en plus hard des filets de bave se mélangeaient aux fluides des queues.
soudain comme convenu le plus gros des sexes se présenta devant ces lèvres, il était énorme et long devant la dimension natacha eut un mouvement
de recul bien vite ressaisi elle ouvrit la bouche en grand pensant uniquement sucer le gland déjà la vision de sa bouche écartelée sur celui-ci qui lui défigurait le visage
était très obscène tous regardaient le tortionnaire la saisi par les cheveux d’autres les bras l’esclave comprit ce qui allait lui arriver elle ne put rien faire
le membre pénétré sans aucun management forçant le passage de la bouche trop petite la masse de chair lui remplissant complètement la bouche
il poussa encore les yeux de la salope avaient une expression de panique ce qui excitait tous les pervers autour d’elle le membre continua
le corps de l’esclave se raidit mais elle était bien tenue des crie étouffés avec des bruits de sucions ajoutait au tableau particulièrement hard de la scène
c’était une gorge profonde très profonde car bientôt on vit la forme de son gland au niveau de son cou malheureusement l’homme ne put faire les
va et vient prévu dans sa gueule de chienne en chaleur les dents de l’esclave avec sa mâchoire écartelée au maximum risquaient de le blesser .
la future pute ne pouvait plus respirer et avait une grande envie de vomir ces réactions de désespoir se sentait sur le membre épais ce qui
excitait énormément son propriétaire qui n’en pouvant plus déchargea abondamment et fortement au fond de sa gorge . la pression du sperme était forte
c’est par le nez que celui-ci s’échappa cette scène répugnante et vulgaire réjouie l’assemblé de pervers mais l’esclave ne pensait plus qu’à sauver sa peau.
heureusement que l’homme retira sa queue ce qui permit à la pauvre salope de vomir et de cracher dans des sanglots tous les liquides qu’elle avait dans gorge.
à quatre pates avec des filets de baves qui allaient de sa bouche au sol l’esclave ressenti alors une immense humiliation et honte de ce qu’elle venait de vivre.
mais le pire pour elle était que son con que tout le monde voyait était trempée car elle avait joui de cette situation honteuse vraiment elle mérite bien son inscription
sur ses siens salope on devrait même lui tatouer définitivement son état pour tout le monde sache ce qu’elle est sa véritable nature .
comme déjà une scène rodée un des hommes se coucha par terre le dos sur le sol le membre érigé on ordonna à l’esclave de se placer à quatre pates au-dessus de lui
ce que fit aussitôt celle-ci de peur que ces malades mentaux ne lui fassent subir des dérivés extrêmes.
puis on lui demanda de s’empaler la chatte ce qu’elle fit sans problème mouillée et ouverte comme elle est .
cette chienne en chaleur était sans plus attendre elle fut aussitôt enculée et la bouche ne tarda pas à être aussi rempli.
voila elle était prise par les trois trous une triple pénétration elle n’avait jamais été prise comme ça elle criait de douleur d’humiliation et jouissances.
aussitôt que l’un se retirait un autre venait prendre sa place il y avait quinze hommes chacun voulait la prendre par la bouche la chatte et le cul
elle eu droit a toute les positions et situations
ils voulaient visiter chacun de ses orifices ils l’avait acheté aussi pour cela bientôt les trous de l’esclave débordèrent de foudres son corps son visage coulait de sperme abondant
le spectacle de cette bourge devenu objet sexuel était affligeant comment une femme pouvait devenir cette chose répugnante cette larve qui rampe pour des queues et du sperme
elle était digne de ses inscriptions sur son corps.
c’était vraiment devenu un sac à jus comme le méritait cette esclave bien salope. sa décadence était totale mais pas suffisant
il fallait maintenant la transformer en véritable pute .
pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise.
Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues.
En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante.
J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette.
Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation.
Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles.
une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier
même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer !
Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente.
Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire.
J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi.
Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse.
J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela !
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise.
Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues.
En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante.
J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette.
Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation.
Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles.
une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier
même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer !
Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente.
Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire.
J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi.
Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse.
J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela !
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait intelligemment, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. C’est une partie de la mentalité du mâle, qui implique que les femelles sont supposées servir les mâles et avoir des gestes sexuels de soumission pour leur plaisir. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. Les hommes, par nature, respectent le pouvoir, et leur évolution les a programmés pour se soumettre à plus puissant qu’eux. Malheureusement, elle les a aussi programmés à tenter de dominer ou d’exploiter plus faible qu'eux aussi. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, heureusement certains homme ont l'intelligence naturelle de savoir d'instinct que les Femmes sont très nettement Supérieurs aux hommes et cela tout à fait naturellement. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante, à celle qui lui ordonne cela et qui lui imposera beaucoup d'autres choses. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant lui avoir pénétré l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette d’amant. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope personnelle. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de vraies salopes. Alan est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachai les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui correctement. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles à certaines punitions. Une domina peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui. Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter et le torturer légèrement. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour son plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Puis je punis brièvement et légèrement ses testicules en les serrant, les secouant. En faisant ainsi, je lui dis que je lui administrerai une punition sévère aux testicules s'il n’obéit pas parfaitement, et je vérifie qu’il comprend bien !. Quand Alan arrive, je le salue à la porte et lui permet même de me donner un baiser bref sur la joue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme « Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! ». Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se présenter et de ce mettre debout devant mon amant. Alan est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma salope d’amant à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon amant de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas et dis des mots humiliants sans merci alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actif !
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Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable.
Il pleuvait, mes cheveux étaient mouillés. Elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main,
m'a attirée à elle, je me suis sentie soumise, sans volonté. Elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée,
depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe,
mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais
froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener
dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est
revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses,
en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé
que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir
longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer
un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait
couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je
n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait.
Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine,
d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir.
Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller.
J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais
je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds
un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À
cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue
absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux
aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre
chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses.
C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Sarah se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous
pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Patricia se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle
avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un
inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour
voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne
pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves.
La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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L'initiation
Chapitre 6 : Croisement
Le second Jack Daniels commençait à me faire oublier l'inconfort de la banquette aux formes torturées. J'aimais le bruit du glaçon que je faisais machinalement tourner dans mon verre. Mon regard comme celui du reste de la population masculine de l'assemblée avait du mal à se détacher de la créature assise nonchalamment sur le tabouret en cuir du bar. Elle n'était pas que sublimement belle. Elle n'était pas qu'un sosie de Monica Bellucci incarné. Elle ne portait pas qu'une vêtue tout droit sortie de mes fantasmes. Non, elle possédait une rarissime qualité: une classe folle. Beaucoup d'autres qu'elle n'auraient eu l'air que d'une fille de petite vertu dans cette tenue délicieusement indécente. Elle, c'était la sensualité faite femme, la définition même du sex-appeal. Et elle le savait.
Je l'avais remarquée dans la rue déjà, m'approchant de ce club parfaitement inconnu. De dos, sans la voir. Sa démarche de mannequin, assurée, naturelle malgré ses bottines noires aux talons largement plus hauts que la moyenne avaient captivé mon attention. Ses bas noirs à couture également. Ses longs cheveux de jay flottaient au gré de son pas chaloupé sur son trois quart sombre. Je bénis le ciel qu'elle aille, pour quelques secondes au moins dans la même direction que moi. Elle semblait marcher sur un fil, sachant en outre parfaitement où elle allait, d'un pas serein.
Les battements de mon muscle cardiaque se sont accélérés quand elle s'engagea sous le porche qu'un ami m'avait indiqué. « Tu verras, l'immeuble est banal. Le nouveau club installé au rez-de-chaussée et en partie au sous-sol beaucoup moins. L'entrée est non seulement hors de prix mais en outre la clientèle soigneusement sélectionnée ». De fait après avoir franchit le barrage du portier puis le seuil du lieu après qu'une hôtesse outrageusement décolletée m'eût délesté simultanément de ma veste et de quelques billets, j'avais eu l'impression de pénétrer le saint des saints. Dire que certains feignent de croire qu'un minimum d'argent ne fait pas le bonheur...
C'est l'infarctus cette fois que j'évitai de justesse lorsque l'inconnue confia devant moi son manteau au vestiaire. Un demi sourire qui n'était en rien de la gène mais plutôt un amusement devant l'air niais que je devais avoir éclaira son visage lorsque délestée de sa protection contre le froid elle m'apparut uniquement vêtue d'un corset en cuir noir, de gants qui lui remontaient au coude, et de bas de soie noirs -un trop rare délice à l'oeil- reliés à son corset par 3 jarretelles. Sa peau blanche, presque laiteuse tranchait avec le rouge et le noir d'un entrelacs de roses tatoué sur son épaule droite. Il rappelait le carmin qu'elle avait soigneusement appliqué sur ses lèvres fines. Un mélange incongru mais terriblement sensuel de blanche neige et de Mata Hari. A sa démarche souple et féline lorsque elle s'éloignait feignant d'ignorer l'incendie qu'elle venait d'allumer, j'aurais juré qu'elle avait fait de la danse.
Chapitre 5: Le lieu du crime
Après avoir visité le rez de chaussée doté outre un vaste espace bar et d'un coin salon, d'une petite piste de danse, je m'étais assis sur cette banquette traumatisante pour mon auguste fessier. J'aurais été incapable de l'approcher. Tétanisé sans doute par un enjeu qu'il me plaisait d'imaginer à la hauteur de sa plastique parfaite. L'idée d'une Monica Bellucci de 25 ans , bien que je fusse passablement peu doué pour ce jeu de d'attribuer un âge à autrui- me revenait à la vue de profil de son somptueux 95C. J'admirais ses bottines en cuir vernis, lacées sur le devant, mettant parfaitement en valeur ses jambes fines, élégamment gaînées de ces bas voiles qui s'assombrissent comme d'une jarretière au fur et à mesure que l'on approche du Saint Graal...
A la serveuse qui se déplaçait de table en table je commandai cet alcool comme pour me redonner contenance. Cette dernière pourtant fort jolie et sexy dans sa courte et décolletée robe ivoire était transparente. Les jambes de ma Diva retenaient toute mon attention ; fines mais musclées, délicatement galbée, comme j'adore. Elle était sportive, j'en étais convaincu. J'en étais là dans ma pseudo analyse Sherlock Holmesque lorsque qu'un indésirable visiblement moins sur la retenue que moi l'aborda. Je dis indésirable, pour moi cela va de soi, étant évident désormais que quiconque parlerait à la déesse deviendrait de fait mon ennemi mortel. Mon incongrue jalousie étant renforcée par le fait que le mâle tentant sa chance était élégant dans son costume sombre et plutôt bien fait de sa personne. Je ne saurai jamais ce qu'elle lui répondit mais les talons qu'il tourna rapidement eurent le mérite de me dessiner un sourire d'une oreille à l'autre.
Pendant la demi heure qui suivi une demi-douzaine de pourtant dignes représentants de l'espèce mâle tenta sa chance, tous sans le moindre succès. Le plus méritant du tenir à ses coté 5 minutes, dont les 3 dernières sans le moindre mot ni regard de la belle. Finalement le scénario m'amusait, un peu sadiquement je l'avoue. Assez lâchement également j'en conviens vu que je n'étais pas suffisamment suicidaire pour courir moi aussi au désastre. Une icône inaccessible sortie des magasines...
La situation semblait aussi amuser une femme à quelques mètres de moi. Sans grand intérêt à vrai dire ; des traits fins pourtant, mais les affres du temps qui ne nous épargnera pas non plus, l'avaient affublée de quelques rondeurs pas forcément disposées aux meilleurs endroits. Une opulente poitrine certes, mais une opulence disons un peu généralisée. Sa robe stricte, aux genoux, au col ras de son cou était certes classe mais pas franchement un appel au viol. Pourtant elle dégageait quelque chose d'attirant ; sur l'instant j'aurais néanmoins été incapable de dire quoi. Peut-être son chignon impeccablement tiré ; tout sur elle était parfaitement ordonné. Elle sirotait tranquillement un alcool blanc, une vodka peut-être.
Deux couples et quelques femmes seules commençaient à prendre possession de la piste de danse. Sur la banquette à quelques encablures, deux femmes goûtaient visiblement avec plaisir aux lèvres l'une de l'autre, sous l'oeil égrillard de leurs conjoints respectifs. Visiblement l'affaire fut rapidement conclue, l'un des hommes entraînant sa moitié vers un court couloir donnant sur des marches descendant à priori vers un sous-sol, suivi par l'autre couple se tenant par la taille. Dur statut que celui d'homme seul dans ces lieux. Certes je découvrais cet endroit récemment ouvert, mais ce genre de club ne m'était pas inconnu. Depuis une bonne dizaine d'années. Généralement je les fréquentais avec ma conquête du moment, parfois seul, avec des fortunes il faut bien l'avouer assez diverses. J'en étais là de mon apitoiement sur mon pauvre petit sort lorsque le fantasme incarné fit mouvement.
Chapitre 4: L'allégeance
Elle entama quelques pas sur la piste, jouant avec une barre de Lap Dance sous le regard à la fois agressif, exaspéré, désespéré et il faut l'avouer envieux des représentantes de la gente féminine présentes. Sentiments probablement accentués par la bave coulant aux commissures des lèvres des mâles présents, auxquels je ne faisait pas exception. Elle n'était donc pas que sublimement belle, son corps ondulant avec une grâce infinie. Danseuse disais-je ? Rapidement elle se dirigea vers cette femme proche de moi et s'agenouilla à ses pieds sans mot dire, tête baissée, semblant lui tendre son cou gracile. Sans même un rictus de victoire qui n'eut pourtant rien eu d'exagéré celle ci y fixa un collier métallique de soumise. Elle la regarda avec une visible tendresse , lui caressa la joue en lui murmurant quelque chose d'inaudible sous la musique de fond.
Certains mâles semblaient désespérés, d'autres rassurés quant à leur pouvoir de séduction en découvrant que dès le départ ils n'avaient pas l'once d'une chance. Cette attelage hétéroclite, la maîtresse devant probablement avoir l'âge de la mère de la soumise, la première avec un physique et une tenue relativement banale alors que la seconde mériterait de faire la couverture de Playboy pour les 1.000 prochaines années, étrangement me parut parfaitement assorti. Presque une évidence. Je les comprenais, toutes les deux. Leurs différences complémentaires sans doute ajoutaient la pointe pimentée qui plaçait de cette relation dans le haut du panier de mes fantasmes. J'étais pourtant totalement novice dans ce type de relation qui m'attirait beaucoup, essentiellement par son coté fétichiste. Ces tenues, matières avaient toujours provoqué sur moi des effets étranges... En l'absence d'internet à l'époque et son flot d'information, j'ignorais tout en revanche du coeur de cette connexion si particulière.
La jeune femme resta un moment ainsi, finissant par poser sa tête sur les cuisses de sa maîtresse qui ne semblait pas prête à galvauder la fin de son verre. Celle-ci ne se privait pas, en caressant les longs cheveux de jais de proie, d'observer son environnement, plus par curiosité que par provocation. Je crois que c'est cela qui me fit le plus d'effet. Sobre dans la victoire, la marque des grands. Les questions se bousculaient dans ma petite tête tandis que j'observais ostensiblement la superbe croupe, absolument pas protégée par son string noir. J'étais abasourdi par le fait qu'elles aient toutes les deux été capable de jouer, feignant de ne pas se connaître, devant cette assemblée plus que troublée. Bien vu, bien joué. J'arborais un inexplicable sourire, d'une encore moins explicable tendresse à leur égard. Alors que désirs ou jalousie était plutôt la norme alentours.
Je ne remarquai le pourtant imposant sac posé à coté de la maîtresse que lorsque elle s'en saisit en se levant. Point besoin de laisse, sa soumise la suivit avec un plaisir non dissimulé, prenant le chemin des catacombes. J'étais précisément en train de me dire qu'il me fallait absolument visiter plus avant les lieux que plusieurs mâles visiblement prêts à échanger sans drame un statut d'acteur pour celui de voyeur (faute de grives...) me devancèrent, s'engouffrant à leur suite. Chienne de vie. Le passage opportun de la serveuse me décida à changer de fesse sur cette maudite banquette et à recommander la même chose.
Il me fallut un bon quart d'heure pour remettre mon cerveau à peu près en état de fonctionner quand le coup de grâce arriva. J'en était à regarder enfin les autres présentes et à me dire que finalement , certaines méritaient un certain intérêt pour ne pas dire un intérêt certain, que la maîtresse remonta seule. Et vint s'asseoir sans l'ombre d'une hésitation à mes cotés. Mon regard ahuri du l'amuser un instant. Que voulait-elle? Je ne l'avais pas vu me regarder auparavant. Elle ne se départit pas de son sérieux pour autant en me posant cette question hallucinante: serais-je capable de respecter ses consignes et de lui obéir absolument strictement, condition sine quanon pour entrer momentanément dans leur univers. Je ne m'entendis pas répondre, ou peut-être prit-elle mon étranglement pour acceptation, toujours est-il qu'elle me dit sur un ton qui n'appelait ni réponse ni discussion: « suis moi ».
Chapitre 3: Hypnotique
Dire que j'étais fier comme Artaban en passant devant mes congénères atterrés est un euphémisme. Déjà en descendant l'escalier je me faisais l'impression d'être l'Elu. J'étais pourtant bien trop stressé malgré une ridicule apparente décontraction pour me la péter un minimum. On a tous notre heure de gloire parait-il, la mienne était visiblement venue. Un petit hall en bas donnait sur plusieurs couloirs, chacun abritant des pièces différentes, comme à thème. En suivant cette femme qui en imposait et semblait connaître les lieux comme sa poche, nous passâmes devant une salle vidéo, un glorihole, et divers « coins câlins », certains occupés, d'autres non. Des gémissements de bon aloi parvenaient de certaines alcôves. Je ne me demandai pas longtemps où m'emmenait la Maîtresse en avisant plusieurs types attendant devant une porte désespérément close.
Elle s'arrêta devant, la mer semblant s'ouvrir devant elle. Elle me fixa: « à partir de maintenant, pas un mot si je ne t'ai questionné, pas un geste que je ne t'aie ordonné; aucune seconde chance, une seule sanction, la porte. Suis-je claire? ». Le fait qu'elle m'ait dit cela devant ces types dont certains arboraient un rictus aussi moqueur que jaloux me déstabilisa, ce qui était assurément son second objectif. Et peu compliqué à atteindre en outre tellement je me sentais flotter hors de mon corps. Dans un effort surhumain, je parvins à articuler « parfaitement clair »; c'est non sans un sourire vengeur et inutile vers les mâles destinés à rester dehors que je pénétrai dans cette salle à sa suite. Lorsqu'elle referma derrière elle, j'eus le sentiment que l'on venait de me passer les menottes.
Sa soumise était là, immobile, assise sur ses talons, mains sur les genoux au centre de la pièce. Elle ne me regarda même pas. Rejet, indifférence, dans sa bulle de soumission? Mon questionnement intérieur fut interrompu par un signe du doigt de la Maîtresse, me désignant visiblement ma place. J'avais juste eu le temps de voir un chevalet derrière la belle, une croix de St André au mur, un anneaux auquel pendait une solide corde accroché au plafond que la maîtresse répondit involontairement à ma question. «Sophie est punie; elle déteste être observée en séance, qui plus est par un homme, elle qui, comme moi est purement lesbienne. Ta présence est donc une partie de sa punition». Si j'avais jamais rêvé d'être un cadeau...
Le coup de grâce fut «à poil» ; je mis un certain temps à comprendre qu'il m'était destiné. Comme cette femme diabolique lisait en moi comme dans un libre ouvert, elle simplifia ma réflexion et nettoya mon esprit des centaines d'idées qui s'y carambolaient: "je déteste attendre ou répéter; je te rappelle que tu as toujours le choix". Ce n'est pas une hypothétique carotte qui s'annonçait que la certitude qu'il n'y avait pas autre chose de plus intelligent à faire qui me poussa à m'exécuter gauchement. Choix rapidement fait et tout aussi vite exécuté.
C'est donc en tenue d'Adam que je m'installai sur une sorte de pouf en cuir rouge. Surtout ne pas poser la moindre question quant à la raison de la punition de sa soumise. Au moins n'aurais je pas de mal à me taire, assurément aucun son n'aurait pu franchir la boule au fond de ma gorge. Au fait pourquoi ma nudité ? Instaurer une sorte d'équilibre entre sa soumise et moi ? Se rincer l'oeil (quel prétentieux...) ? Gêner encore plus sa divine complice ? Participer d'une façon ou d'une autre ? Elle ne voudrait quand même me dominer au si, elle m'aurait demandé mon avis. Au fait, j'étais en train de faire quoi là à part lui obéir ?
Tranquillement la Maîtresse sortit une cravache, un single tail, un martinet de son mystérieux grand sac, ainsi que des pinces et quelques sex-toys, sans oublier d'autres objets dont j'ignorais autant l'existence que l'utilité. Une sorte de balais commença alors entre les deux femmes, parfaitement réglé, absolument silencieux. La jeune femme se leva; sa maîtresse passa derrière elle pour défaire son soutient-gorge que je n'avais pas vu: en cuir noir aussi, se fondant avec le corset. Deux merveilles apparurent alors, à peine troublés par la loi de la gravité. Il me vint à l'esprit une autre réponse potentielle à mon questionnement : observer avec certitude l'effet sur moi produit.
Chapitre 2: Dans le vif du sujet
Privilège de la jeunesse. Injustice de la nature penseront d'autres. La façon dont elle enleva son string sur l'ordre de sa Maîtresse, se baissant sans fléchir ses jambes, la croupe tendue en ma direction eu un effet comment dire, Eiffelesque? Les tétons de la soumise furent amoureusement caressés, gobés, suçotés; je compris rapidement que l'effet recherché était loin d'une d'une intention de douceur, mais pragmatiquement de faciliter la pose d'imposantes pinces japonaises sur d'appétissants tétons roses dardés. Sophie ferma les yeux en se mordant les lèvres lorsque son sein droit fut ainsi décoré. Nul attendrissement en vue de la domina qui équilibra le tableau sur le téton gauche. Après une caresse sur la joue de sa soumise, elle joua douloureusement avec la chaînette les reliant. Elle semblait admirer elle aussi cette poitrine somptueuse dont elle comptait bien user et abuser. Une caresse sous le dessous du sein me donna l'impression qu'elle voulait le soupeser ainsi paré. Imposants, ronds mais d'une absolue fermeté, je me serais aisément vu y apporter mon estimation personnelle. Dont elle n'avait bien entendu cure.
Tournant autour de sa proie, elle multipliait les caresses, sur la croupe, sur le pubis totalement glabre de la belle. Elle finit par s'agenouiller devant elle, et après avoir embrassé ce mont de vénus si pâle, elle fixa deux autres pinces, plus petites sur chacune des lèvres. Je crus voir sa langue pointer pour goûter le résultat de son travail. Depuis le départ aucun mot n'avait été échangé. Un frisson me parcouru lorsqu'elle se saisit du martinet, me regardant. Mon visage inquiet devait lui dire « non pas moi, il y a erreur, je ne suis que spectateur ! Privilégié, certes mais... ». Elle installa sa soumise les mains posées sur le chevalet, croupe tendue, jambes légèrement écart; cette dernière avait pris la position rapidement, semblant la connaître parfaitement. La maîtresse se tenait dans le dos de la belle, de sorte que celle-ci ne devait pas savoir ce qui l'attendait. Elle fut vite au fait de son futur immédiat lorsqu'un premier coup, que je jugeai assez violent pour le novice que j'étais, lui cingla la croupe, laissant une trace rouge. Sa peau blanche et fine marquait très vite. Elle devint en quelques minutes cramoisie sous l'avalanche qui s'abattait sur elle: pas de brutalité, mais de la régularité, de la sérénité, un objectif bien précis. J'étais impressionné, la Domina enfin dans son élément irradiait étrangement désormais. Le ballet souple et coordonné de ses gestes précis, les lanières virevoltantes, les bruits secs. La belle se tortillait de plus en plus, dansant d'une jambe sur l'autre. Jusqu'à ce qu'une plainte sortit de sa jolie bouche. Un dernier coup fut appliqué entre ses cuisses... lui arrachant un véritable cri de douleur cette fois.
Je me disais que la maîtresse devait se rendre compte qu'elle était allée trop loin lorsqu'elle cessa pour se diriger vers ses « jouets ». Elle en revint en fait avec un bâillon boule noire qu'elle fixa tranquillement, sa soumise ouvrant la bouche toute grande pour lui faciliter la tâche. Sa docilité me stupéfiait. Sans doute un long dressage... Elle reprit le martinet et c'est le haut du dos de Sophie qui fut cette fois durement marqué. Sa précision était diabolique, ses gestes sûrs et appliqués. Je vis une larme couler doucement sur la joue de la belle. Je me faisais presque violence pour ne pas bouger. La Maîtresse l'avait vu également. Elle l'avait même sûrement deviné avant moi. Elle repassa devant sa soumise, la regarda un moment, comme pour la jauger, essuya sa larme d'un revers de la main en souriant. Sans me regarder, toujours les yeux plantés dans ceux de la belle,elle lança: « va me ranger ça -me tendant le martinet- et ramène moi la cravache ». Un instant interdit, tant par le fait qu'elle n'en était visiblement qu'au début de son œuvre que par le fait qu'elle s'adresse à moi, je m'exécutai rapidement. J'étais partagé entre le souhait de voir s'interrompre le supplice de Sophie qui devait vraiment souffrir, et l'envie égoïste de continuer à découvrir un spectacle aussi excitant qu'inédit pour moi.
Elle jouait avec la cravache sur le corps de mon fantasme incarné comme un musicien avec son archet sur un violon. C'était beau, enivrant comme un Gevrey-Chambertin; j'avais la sensation qu'elle pouvait en tirer le son qu'elle voulait. Pour l'heure il s'agissait de gémissements de plaisirs, déformés par le bâillon, lorsque l'instrument caressais lentement une peau qui semblait si douce. Lorsqu'elle passa entre les magnifiques cuisses de la belle, l'instrument ressortit luisant... C'est alors que le premier coup laissa une courte traînée rouge sur la fesse de la belle.
Chapitre premier: la révélation
La bave qui coulait aux commissures de ses fines lèvres carmin tombait sur ses seins. Obscène et aimantant à la fois. Sa croupe se striait de traces rouges foncé qui s'entrecroisaient. Pourtant rien de vulgaire, comme si sa classe et sa beauté fussent inoxydables, peu importe la situation. Ce spectacle pourtant trash , inédit pour moi, sonnait comme une révélation, comme si quelque chose émergeait peu à peu du plus profond de mon être. Un verrou sur un couvercle depuis toujours fermé venait de sauter. Mon avenir était dans ce monde, sans grande certitude quant à ma place. Evidemment bien davantage de questions que de réponses, mais quel immense espace de découverte s'ouvrait...
La Maîtresse recula de quelques pas; elle semblait contempler son œuvre, son coté artiste sans doute. Son inflexibilité intimement lié à une visible énorme tendresse pour sa complice m'impressionnait autant que la docilité de celle-ci. Le courage aussi de cette dernière. Encore que je ne savais pas trop s'il fallait parler de courage si elle recherchait ces sensations. Mes idées s'entrechoquaient, mes certitudes tombaient les unes après les autres ; par exemple quant les pinces furent enlevées c'est à ce moment précis que Sophie semblait avoir le plus mal. Un murmure à son oreille, une caresse sur sa joue, un baiser furtif sur ses lèvres, et la voilà attachée sur le chevalet par une corde. Nœuds rudimentaires mais efficaces ; les chevilles et les poignets en bas, sa poitrine s'écrasait sur le cuir usé. Sa croupe insolemment tendue était un véritable appel au crime. L'impressionnant plug en plastique dur et transparent dont la domina se saisit me confirma qu'au moins cet avis était partagé...
J'aurais donné n'importe quoi pour qu'elle me fît participer à ce qui aurait pu ressembler à la récompense de sa soumise après les jeux d'impact. Mais c'est elle-même qui caressait le petit trou de la belle qui semblait enfin se détendre. Ces gestes tendres, sensuels, contrastaient avec la taille de l'objet qu'elle avait lubrifié avant de commencer à l'introduire de le fondement de sa proie consentante. Cela ne rentrerait jamais... Si. Un baiser sur la fesse, des doigts qui frôlent les lèvres et voici que la soumise entamait une plainte déformée par la bâillon. Le plug fut ressorti et rentré plusieurs fois, à chaque fois plus facilement. Ce n'était visiblement pas une première. La Maîtresse, qui semblait m'avoir oublié, caressait la belle, trouvant rapidement son bouton d'amour avec lequel elle jouait. Comme tout à l'heure avec sa cravache, elle semblait utiliser un instrument de musique. Obtenant de jolis sons... Sophie n'avait depuis longtemps plus le droit de ne jouir qu'ainsi, l'anus rempli.
Le plus hallucinant peut-être était que tout semblait naturel, j'allais dire «normal» si je n'exécrais pas ce mot. Oui on pouvait être impitoyable et tendre, oui on pouvait faire mal et donner du plaisir en même temps, oui on pouvait avoir une grande distance hiérarchique et une énorme proximité intellectuelle et affective... Sentiment étrange de découvrir autant de mes « certitudes » aussi rapidement qu'évidemment balayées, définitivement sans doute. Ce fut le moment que choisit la Maîtresse pour débâillonner sa soumise, sans doute parce qu'elle aimait l'entendre jouir. Un god vibrant se joignit bientôt au plug inerte, se frôlant à travers une frêle parois. La dextérité manuelle de la domina faisant le reste, ce fut bientôt une véritable symphonie qui bientôt empli la pièce.
Sophie haletante, en sueur, fut vite emportée dans une tempête de jouissance que sa Maîtresse organisait avec dextérité. Cette dernière me fascinait, gardant toujours sa maîtrise de soi, ne montrant rien sur son visage. Ses gestes aussi inflexibles qu'attentifs et tendres parlaient pour elle. J'aurais juré qu'il y avait de l'amour entre elles. Un hurlement emplit soudain la pièce. J'avais je n'avais vu un orgasme aussi intense, dévastateur. Et ce n'était pas fini...
Prologue: l'ouverture
Préciser l'état physique de votre serviteur me semble totalement inutile. Les pensées en revanche parvenaient à la vitesse grand V à l'infime partie de mon cerveau encore capable d'un semblant de réflexion. La domina envisageait-elle me faire participer autrement qu'en voyeur? Une fellation se Sophie en guise de punition finale pour sa soumise me semblait de plus en plus une excellente idée. Probablement qu'en me concentrant très fort, la transmission de pensée ferait le reste... J'avais encore un peu de travail avec de devenir un véritable jedi.
Le calme revenait peu à peu dans la pièce. La belle semblait émerger d'un quasi état de transe tandis que sa maîtresse caressait amoureusement son dos, ses cheveux, ses seins, sa croupe meurtie. C'est à peu près au même moment que ma lucidité revint. A cet instant précis je me sentis furieusement de trop, comme gêné d'être là. Comme si la scène devenait tout à coup trop intime. On changeait d'univers. Je ne voyais plus l'utilité d'une quelconque participation et était plein de reconnaissance pour cette maîtresse femme qui avait ouvert tant de portes en moi, fait sauter tant de verrous. Sans jamais s'occuper de moi pourtant. J'avais le sentiment d'avoir vécu un instant incroyablement privilégié.
Convaincu que je devais les laisser seules pour partager sans moi cette intimité, je me levai et remerciai avec sincérité ces deux femmes. Je leur était infiniment reconnaissant et le leur dit. Ma meilleur récompense fut un même sourire éclairant leurs deux visages. La domina me raccompagna vers la porte, instant pour que je la franchisse mes vêtements à la main, nu comme un vers. Pour la refermer aussitôt derrière moi non sans m'avoir glissé qu'elle était certaine que nous nous reverrions... C'est à ce moment précis que je compris ce que signifiait vraiment marcher sans toucher le sol.
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Elle effleura des lèvres le duvet brun autour du pubis. Sous la peau souple et veloutée, les abdominaux se contractèrent
à ce contact. Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus tard, le sexe de Xavier s'étirait comme
après un long sommeil. Il se déroula paresseusement, se redressa un instant puis retomba contre le ventre mais sans
cesser de grandir. Sarah observa la fascinante métamorphose de ce fabuleux objet de désir. Quelle chance pour les
hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait
encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante
palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah
s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de
balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant
toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune
femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur
un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains liées dans le dos,
de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins.
Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusqu'à la
commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier
sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter
l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il
perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la
nuque de Sarah jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à
entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche.
La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un
bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula.
Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que
je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce
que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus
en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la
pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer
cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de
figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier.
J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce
sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une
chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme
les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre
la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre
les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est
plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne
plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le
moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu,
je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules
de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout.
Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je
l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante
de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que
l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues
ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide
d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant
ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même
tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler.
Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une
fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé.
Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je la fouetterai, je la fouillerai. Tenaillée entre deux
douleurs, elle hurlera en me suppliant. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à ce plaisir sadique de l'entraver.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le journal à la main, par cet après-midi de printemps, il monte dans la rame de la ligne numéro un, répète tout ce qu'il
va dire à son futur employeur. Les roues de caoutchouc glissent dans les rails, la rame entre en gare dans la station
Étoile. Parmi la nuée de passagers avalés par l'espace confiné, une jeune femme d'une trentaine d'années, vêtue d'une
jupe courte prend place sur le strapontin d'en face et croise ses jambes de gazelle. L'affluence augmente la chaleur
ambiante. La houle du train balance les corps qui, défiant les lois de la pesanteur, tentent de demeurer droits. Les bras
suspendus à la barre centrale dégagent une odeur de transpiration. Un freinage un peu brusque, une agitation qui
prépare la prochaine descente, les jambes de gazelle se déploient, s'écartent à peine. L'œil de Pascal accroche alors le
fond de la culotte, la femme voit qu'il la regarde, elle le toise, hautaine, pimbêche. Il la déteste sur le champ. Impression
curieuse, les boutons de son jean compriment sa verge et lui font mal. Elle descend, gracile, le fixant toujours droit dans
les yeux. Pascal ne peut s'empêcher de se détacher de ses deux amandes provocatrices. Il emboîte le pas, oubliant
le journal. Elle accélère, lui aussi. Le couloir est long jusqu'à l'escalier qui mène au grand jour. La bouche de métro les
crache avenue Charles-de-Gaulle. Les rais du soleil l'éblouissent, il croit la perdre de vue. Son regard rapide ratisse le
trottoir. Les jambes longilignes piétinent le macadam à l'arrêt du 43. Pascal s'approche, se colle presque tout contre elle.
L'effluve de son parfum l'excite, une odeur inédite, certainement inabordable; le corps devant lui se raidit. Combien de
fois, Sarah, la pointe de mes seins s'était-elle dressée à l'approche de tes mains ? Combien de fois au petit matin ? À
la sortie de la douche ? Le bus arrive, la belle monte et s'assied juste derrière le chauffeur. Le siège de derrière est
occupé. Pascal s'installe sur la banquette opposée. Il observe le profil racé, les traits de la jeune femme sont crispés, le
froncement du sourcil trahit l'inquiétude et il s'en réjouit. Il la dévisage longuement, admire le galbe de ses seins semblable
aux contours d'un joli pamplemousse et rêve de se désaltérer au fruit défendu. La jeune femme lui paraît de plus en plus
nerveuse. Ils descendent à la même station devant le musée des automates. Elle prend un ticket et dépasse le portillon.
Pascal est frustré, il ne peut payer l'entrée. Tant pis, il attendra dehors, il fait beau et il doit se calmer mais elle se retourne.
Je posais le livre sur la couverture. La ligne du 43, c'est celle que nous empruntions le dimanche pour aller promener le
chien. Même le chien, tu l'avais oublié. "- Vous ne me suivez plus ! Vous n'aimez pas les automates, peut-être ?" Quelle
prétention dans la voix. Pascal va la faire plier cette pimbêche, elle ne perd rien pour attendre. Il la suivra jusqu'au moment
propice où il pourra se l'approprier, même si cela doit lui prendre des jours et des nuits. Il achète un ticket pour le musée.
Pascal a soudain peur. Jamais il n'a connu ce sentiment. Il suit la croupe légère qui s'enfonce dans la salle des automates.
L'obscurité est quasi complète, seuls des spots blafards éclairent les drôles de pantins qui répètent dans un mouvement
saccadé des gestes identiques. Une voix suave conte l'histoire des curieux personnages. Le jeune homme n'a jamais vu
un tel spectacle et s'approche du cordon qui barre l'accès aux créatures magiques. La fraîcheur de la pièce contraste avec
la chaleur du dehors. La jeune femme vient se coller à lui, ses cheveux effleurent la joue rasée. Elle le prend par la main.
Une main chaude et douce, rassurante. " - Venez plutôt par là, c'est mon préféré!." Pascal ne s'intéresse plus au jouet de
fer mais à cette main qui pour la première fois s'est tendue à lui. Ils sont seuls dans la pièce. La main le guide habilement
d'un personnage à l'autre, les doigts graciles pressent les siens. Elle les arrête devant un duo. Il regarde. Une petite tête de
fer avance et recule la bouche ouverte sur un pénis rouillé, la nuque du propriétaire balance de droite à gauche dans un
imperceptible grincement. L'image de ce pénis rouillé, Sarah ... Quel souvenir ! Je reprenais hâtivement ma lecture.
"- Il manque d'huile, vous ne trouvez pas ?" Mais elle le provoque ! Le jeune homme sent monter en lui une sève brûlante,
son gland le tiraille, sa violence originelle le tenaille, il ne peut plus se retenir et tant pis s'il fait mal à cette main tendue. Il
se dégage et soulève la jupe. Il s'attend à un cri. La jeune femme ne dit rien, elle accélère seulement soudain le rythme de
sa respiration. Pascal ne comprend rien. Il s'en moque. Pressé par son désir, il fourre sa main sous le tissu et plonge ses
doigts à l'intérieur du sexe humide de sa proie. Nul besoin de dégrafer son jean, une main habile vient à sa rencontre qui
se faufile et agrippe sa verge. Elle le masturbe frénétiquement. La jeune femme se plie en deux, enfonce le gland gonflé
au fond de sa gorge et mime avec application la scène des deux pantins. La béance boulimique l'avale littéralement,
tentant d'atteindre la luette. Prêt à décharger, possédé par l'étrange créature, il la relève. Ses bras costauds soulèvent ses
cuisses légères, seule la pointe des pieds résiste à cette élévation. Il l'empale sur son jonc tendu. Malgré les ongles qui
éclatent la peau, la jeune femme se laisse glisser avec volupté sur cette gaillarde virile. Le rythme fort de leur respiration
s'accorde, laissant à la traîne le grincement de l'automate. L'instant d'après, l'extase les submerge, vertigineuse et folle.
Jamais personne ne s'est offert à lui avec tant de générosité. La jeune femme desserre l'étreinte, elle agite le pied gauche,
son bénard en soie bordé de dentelle coulisse le long de sa cheville. Dans un geste rapide, sa main froisse l'étoffe soyeuse
et la fourre dans son sac à main. La déculottée trémousse son arrière-train, rajuste la jupe et quitte les lieux, assouvie d'un
plaisir charnel. Le jeune homme la regarde s'éloigner, déjà elle ne le connaît plus. Pourtant, elle se retourne, pédante:
- Il vous reste beaucoup de choses à apprendre.
Et toi, Sarah, que te restait-il à apprendre ? Tu croyais tout savoir en matière d'amour. J'aurais tant aimé, à cet instant de
la lecture, que tu sois près de moi. J'aurais pu alors t'embarquer pour de nouveaux voyages. Pourquoi m'as-tu quittée,
espèce de garce. Je soupirais et je reprenais, j'étais là pour te haïr, pas pour te regretter. Quelle littérature de gare !!
Pascal n'a plus qu'une obsession, retrouver cette offrande, ce don divin balancé de la voûte céleste. Lui qui n'est pas
croyant se surprend même à prier, à supplier, mais le ciel n'est jamais clément à son égard. Les jours, les mois défilent.
Le miracle ne daigne pas s'opérer. Chaque jour, le jeune homme emprunte le même chemin, celui qui l'a mené à ce sexe
offert. Fébrile, il l'attend. Errant dans les bouches de métro, les gares, les cafés, tous ces lieux où se croisent les âmes
non aimées, il cherche les jambes de gazelle qui lui ont échappé. Un après-midi d'hiver, alors que les flocons de neige
mêlés au vent du Nord flagellent les visages, Il remarque deux chevilles montées sur des talons aiguilles qui abandonnent
les marches du 43. Le bus et le blizzard l'empêchent de distinguer la silhouette. Emmitouflée dans un long manteau de
fourrure, la créature est là en personne. Elle lui passe devant sans un regard et d'un pas lourd et rosse enfonce son talon
pointu dans l'extrémité du godillot. La douleur aiguë qui le transperce, soudain se transforme en une érection subite.
- Encore vous ! Suivez-moi !
Le ton péremptoire ne supporte aucune discussion. Rien n'a changé dans la salle obscure, si ce n'est la chaleur, contraste
des saisons. Tant d'attente ! Pascal brûle d'impatience. Il peut encore et il pourrait des milliards de fois s'il le fallait. Un
regard rapide atteste de leur heureuse solitude. Le jeune homme se jette sur la fourrure, il va lui montrer ce que c'est que
de faire trop patienter un tronc assoiffé. Saisissant la chevelure, il fait plier le genou gracile et guide la tête vers son sexe.
Il veut l'humilier. Brusquement, un mouvement de recul et les perles de porcelaine incisent cruellement son derme.
- Pas tout de suite, suivez-moi d'abord.
Pascal, blessé, obéit. Les talons pressés dépassent le couple d'automates où l'huile fait toujours défaut, mais n'y prêtent
aucune attention.
- Fermez les yeux !
Le jeune homme se laisse conduire par cette main qui, une fois encore, se tend à lui.
- Ouvrez maintenant. Là, regardez. N'est-ce pas extraordinaire ce travail de précision ?
Pascal découvre deux automates. L'un tient un manche à balai qu'il introduit chirurgicalement dans le trou du derrière
de l'autre figurine. Face à ce mécanisme parfait, l'homme sent poindre les foudres du désir, résiste tant qu'il peut à la
lave incandescente. La belle se met à quatre pattes sur le sol glacial, relève la pelisse. Le balancement de sa croupe
se met à l'unisson de celui de la pantomime. La chute des reins de fer aspire le bois rugueux. La bande sonore, très
généreuse en détails impudiques, crache de façon nasillarde, l'histoire de Sodome et Gomorrhe. Le jeune homme
n'en a cure. Seuls les mots suggèrent à son membre contrarié, nourri d'une sève prospère, le chemin à suivre pour
atteindre la voie promise. À genoux derrière elle, il presse son pouce tout contre l'ovale brûlant, la fente muqueuse.
Le nid douillet gazouillant semble suinter de tous ses becs. Et d'un geste puriste, la jeune femme désigne le bout de
bois. Pinocchio ravale son désir et se met à fouiller partout en quête d'un balai. Essoufflé, le dard raide, il revient du
pont d'Arcole, victorieux. À la pointe de son bras jubile l'objet du caprice. L'aide de camp Muiron dormira ce soir sur
ses deux oreilles. Enfin, le jeune homme va pouvoir se mettre à l'attaque, la tenir au bout de cette étrange queue.
S'enfoncer loin dans le noir, l'entendre le supplier de ne pas s'arrêter. Mais lui, Pascal, n'est pas un automate que l'on
remonte à l'aide d'une clef. Fait de chair et de sang, comme les grognards de l'Empereur, ses sens aiguisés, le cerveau
vomira tous ses fantasmes, peut-être même jusqu'à la dernière charge. Ce sera son Austerlitz à lui. Le jeune homme
prend son élan, ferme les yeux et plante sa baïonnette. Le manche à balai lui revient en pleine figure, lui arrachant la
moitié du menton. Le bois a cogné le carrelage et a ripé. Hurlant de douleur, il se penche, une main appuyée sur sa
mâchoire endolorie, l'autre prête à saisir son arme. La belle a disparue. Stupéfait, notre hussard bleu tourne en tout sens,
agité comme un pantin désarticulé. Plus de pelisse, plus de petit cul offert, plus rien. Seule une voix impertinente:
- Décidemment, Pascal, vous n'êtes pas un artiste, jamais vous ne comprendrez le mécanisme automatique.
À cet instant précis du récit, je jubilais. Je te voyais toi, Sarah, et je répétais à voix haute, la phrase machiavélique qui te
réduisait en cendres. J'étais si contente de te voir humiliée de la sorte que je n'ai rien entendu. Soudain, le livre m'échappa
des mains, un corps gracile s'était abattu sur moi, entraînant dans sa chute la lampe de chevet. Mon cœur s'arrêta net de
battre dans le noir. Je laissai des mains inconnues cambrioler mon corps paralysé de terreur, voguant sur mes seins, mes
reins, à l'intérieur de mes cuisses, comme une carte du Tendre.
Les méandres de mes courbes, ces doigts agiles les connaissaient par cœur. C'est alors que je te reconnus. Moi qui
désirais tant te détester, je ne pus résister au supplice de tes caresses. Inondée de plaisirs, je m'offris à toi, assoiffée,
je t'avais dans la peau, bien sûr, tu le savais, tu étais une artiste, Sarah, à l'encre de ma rage. Je te remercie d'exister.
Hommage à l'œuvre littéraire de Roger Nimier.
N.B: texte republié à la demande d'une amie chère à mon cœur.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Un gros homme est assis derrière un bureau. Il remplit des documents. On le salue en inclinant le buste, puis... on attend... longtemps. Est-ce que ces uniformes rendent invisible ? Non, tout à coup, il nous rappelle à l’ordre :
— Ne vous appuyez pas contre le mur et gardez toujours les yeux baissés.
Bienvenue en Chine.
Je ne l’avais pourtant regardé qu’un instant... J’ai juste remarqué qu’il ressemble à Bouddha... Mais il n’a pas le côté bienveillant et un peu dans la vape du vrai Bouddha. Au contraire, dans son large visage, ses yeux ressemblent à ceux d’une mygale qui aperçoit un gros criquet distrait. À part, que cet homme n’a que deux yeux et pas huit. Je regarde mes pieds... Je les aime bien, mais ils n’ont pas beaucoup de conversations. Pour le moment, ils se plaignent parce qu’ils n’ont pas de chaussures. Je bouge mon pied pour toucher le pied de Inge qui est à côté de moi... Elle répond à ma légère pression. On se réconforte un peu via nos pieds. Ils peuvent discuter entre eux... C’est le genre de bêtise qui fait passer le temps. Soudain, l’homme me demande :
— Toi, la brune, quel est ton nom ?
— Samia de Préville, Monsieur.
Il donne un coup de baguette sur son bureau en disant :
— Ton vrai nom !! Et quand je te parle, tu dois me regarder.
Faudrait savoir ! Je réponds :
— Samia Sgorski, Monsieur.
— Approche !
Je vais près de lui et il vérifie si le numéro sur le collier est le même que sur ses listes. Il fait la même chose pour Giulia et pour Inge. Ensuite, il donne à chacune une feuille de papier sur laquelle il est écrit :
******
Règlement concernant les ouvrières de 3e classe
******
Durant mon séjour ici, je devrai obéir à tout le monde, sauf aux ouvriers et ouvrières de 3e classe, à moins qu’un chef en décide autrement. Je travaillerai toujours du mieux que je peux afin de contribuer à mon humble échelon à la grandeur et à la prospérité de la Société.
Si je manque à mes devoirs d’ouvrière de 3e classe, je serai punie.
Si je suis maladroite, je recevrai 5 coups de la canne en bambou sur la paume des mains.
Si je n’obéis pas assez vite, 5 coups sur les plantes des pieds ou les mollets.
Si je suis insolente ou désobéissante, 10 coups sur les fesses.
***
Organigramme :
Le directeur général
5 directeurs de secteurs
50 contremaîtres
100 chefs
500 ouvriers et ouvrières de première classe
1500 ouvriers et ouvrières de seconde classe
10 chiens de garde
un certain nombre d’ouvrières de 3e classe.
*****
D’abord, je constate qu’on n’est pas très haut dans la hiérarchie, peut-être juste au-dessus des rats et des cancrelats ! Ensuite, ma gorge et mon vagin se sont serrés à la lecture des punitions. Le gros nous dit :
— Apprenez par cœur.
Il est malade l’autre ? Comment il veut qu’on apprenne ça ?
Giulia et Inge sont déjà occupées à lire attentivement... Je commence à lire aussi. Dix minutes plus tard, il me dit :
— Toi, récite le règlement.
Je commence :
— Durant mon séjour, je....
Merde, j’ai déjà un trou de mémoire. Il se tourne vers Inge en disant :
— À toi.
Elle a visiblement la trouille, peut-être même plus que nous, mais elle a retenu beaucoup plus que moi. Ensuite, c’est au tour de Giulia qui a retenu lui aussi beaucoup plus de texte. Il aurait pu faire moins bien que moi, on en reparlera. Le méchant Bouddha se lèche les babines et il nous dit d’un ton faussement attristé :
— Je vais être obligé de vous punir, estimées ouvrières.
C’est ça, fous-toi bien de nos gueules ! On devine tout de suite que punir, c’est sa passion ! Il ajoute :
— Enlevez toutes votre pantalon.
On se retrouve toutes les trois les fesses à l’air et serrées par l’appréhension. Il caresse celles de Inge, puis celles de Giulia, joue un instant avec son petit zizi, décidément... Puis il caresse les miennes... longuement.... Il nous dit :
— Si vous n’acceptez pas la punition, ce sera un défaut d’obéissance et c’est beaucoup plus grave. J’appellerai des ouvrières pour vous tenir. Vous acceptez ?
J’incline le buste en disant :
— Oui, Monsieur.
Les deux autres disent la même chose. Il faut essayer de faire ce qu’il veut. Il se tourne vers Inge en disant :
— Couche-toi sur le ventre, les jambes serrées, les pieds bien parallèles au sol.
Dès qu’elle est en position, il prend son fouet rigide pour lui caresser la plante des pieds en disant :
— Le premier coup sera ici. Deux coups si tu restes en position, cinq ou dix si tu bouges.
Il lève le fouet et l’abat au milieu des deux pieds de Inge. Elle pousse un cri et remue un peu les pieds mais reste en position. Le deuxième coup atterrit exactement sur la marque rouge laissée par le premier. Elle crie plus fort. Ses pieds s’agitent dans tous les sens mais elle reste toujours en position. Il lui dit :
— Maintenant, près des orteils.
Il frappe et une marque apparaît sur l’avant de son pied. Elle pousse un nouveau cri, puis un deuxième quand il refrappe au même endroit. Le gros a l’air de se délecter de ses cris. Il caresse les marques rouges sur ses pieds, tandis qu’elle gémit. Il lui dit :
— Plus que deux, mais hélas, ce sera sur les talons, l’endroit le plus douloureux.
Il se tourne vers nous en disant :
— Tenez ses chevilles. Si vous vous la lâchez, ce sont vos pieds qui vont souffrir.
On obéit, bien sûr. On maintient fermement ses chevilles en nous reculant pour le laisser frapper. Premier coup, qui atteint le centre du talon... suivi instantanément d’un cri aigu de la fille. Il explique :
— Sur le talon, ça fait très mal parce que la douleur se répercute dans toute la jambe.
On s’en fout, ignoble brute ! Deuxième coup juste sur le premier. Nouveau cri de Inge. Il dit :
— Lâchez-la et aidez-la à se lever.
On la remet sur ses pieds. Le simple contact de ses pieds sur le sol la fait crier à nouveau. Elle danse d’un pied sur l’autre sur ses plantes de pieds meurtries. Le gros nous dit :
— J’aime voir cette petite danse. Bon, maintenant on va faire danser... toi.
Il désigne Giulia et ajoute :
— Ce sera les mollets. Tu peux danser aussi mais pas te déplacer.
Il prend une chaise s’assied et frappe les mollets de Giulia. Là, elle crie bien et elle danse aussi. Son petit sexe danse dans tous les sens. Il se prend une vingtaine de coups sur les mollets qui deviennent tout rouges. Quand il s’arrête, Giulia continue à gémir. Le gros nous dit :
— Quel cinéma pour une petite punition. Ce sont des corrections pour les enfants. Dans deux jours, il n’y aura plus rien ou presque... Bon, toi, viens te mettre en travers de mes genoux. Je vais être clément et te donner une fessée à la place du fouet.
Et c’est mieux ? Sans doute, oui... Il rentre un peu son ventre pour que je m’allonge sur ses cuisses. Ensuite il me bloque en passant une de ses jambes au-dessus des miennes. Puis il prend mon poignet droit avec sa main gauche et le maintient sur mes reins. Je suis complètement immobilisée. Il caresse mes fesses en disant.
— J’adore les grosses fesses des Occidentales. Ici, les filles ont des petits culs.
Je m’en fous, je veux descendre !!
Paf ! Je reçois une bonne claque sur les fesses et puis une autre, puis des dizaines d’autres. Il frappe fort, ça fait mal, je crie, je pleure, je supplie.... Enfin, il s’arrête essoufflé... Il me lâche pour m’annoncer :
— Ooh, c’est pressé, là. Viens vite te mettre à genoux entre mes jambes, sinon je prends le fouet.
J’obéis, les fesses en feu. Il a sorti son sexe de son pantalon et me le met dans la bouche. Mes joues sont pleines de larmes et mon nez coule. Il me dit :
— Ne bouge pas !!
On reste comme ça quelques minutes, puis il fait une grimace et jouit dans ma bouche. Je n’ose pas faire autrement qu’avaler le sperme de ce gros salopard ! Il me repousse, range son engin et nous dit :
— Remettez vos pantalons, prenez les feuilles et allez à côté.
Il me caresse encore le derrière en disant :
— Tu es très agréable à fesser.
Je renifle et réponds :
— Merci, Monsieur.
Il tombe amoureux de moi, il enlève mon collier, on s’évade, il me donne une fessée et je le tue. Ensuite, je prends le million de $ qu’il a dans une mallette et j’achète une villa en Thaïlande. Je récupère Giulia qui redevient mon domestique Julien. Le problème vient que ce n’est pas moi qui écris mon destin.
La brute me pousse dans la pièce d’à côté en me tapotant les fesses. Il est obsédé ! On entre dans un immense atelier, il y a des dizaines, non des centaines d’ouvrières qui travaillent. Elles sont assises derrière une petite table. Certaines ont des machines à coudre, d’autres cousent à la main. Elles ont des uniformes bleus ou gris. Il y a aussi beaucoup de filles en orange dont certaines n’ont pas de pantalon, mais par contre des marques de fouet sur les fesses. L’enfer doit ressembler à ça, surtout quand on est en uniforme orange. Une grande femme mince en vêtements de ville vient vers nous. On salue en s’inclinant toutes les trois. Elle non, je suppose qu’on ne salue ni les chiens de garde ni les ouvrières de 3e classe... Elle regarde un papier et nous dit :
— Giulia, Inge et Samia.
On s’incline à nouveau en répondant :
— Oui, Madame.
— Je suis Madame Liu. Vous êtes des ouvrières de 3e classe, c’est-à-dire qu’on peut vous demander n’importe quel travail. Vous allez avoir 3 jours d’écolage, on vous apprendra à coudre et à obéir à n’importe quel ordre. Suivez-moi.
Toutes les ouvrières qui sont debout saluent. On passe dans un autre atelier, semblable à celui-ci. Enfin, tout au bout, il y a deux portes, au-dessus desquelles il y a des idéogrammes chinois et il est écrit, sur l’un « Cours accéléré d’anglais » et sur l’autre, « Formation accélérée d’ouvrières de 3e classe ». C'est dans cette pièce-là, qu'on entre. Des filles en orange sont assises par deux derrière une table, sur des bancs. Il y en a qui n’ont également pas de pantalon. Certaines sont assises comme ça sur le banc, d’autres sont à genoux. Toutes les filles se lèvent et s’inclinent sauf celles qui sont agenouillées. La femme qui s’y trouve est une très grosse matrone d’une cinquantaine d’années avec une longue tresse noire.
Madame Liu lui dit :
— Trois nouvelles pour vous, Madame Wang.
— Merci Madame Liu, vous êtes très aimable.
Elles sont très polies, on se croirait à la cour d’Angleterre, sauf que là, on ne fouette pas les filles... Enfin, je suppose. Madame Liu s’en va tandis que Madame Wang nous dit :
— Asseyez-vous sur les deux bancs du fond... Voici comment ça se passe : une erreur et vous enlevez votre pantalon, une deuxième erreur, vous vous mettez à genoux sur le banc pour travailler penchée. Une troisième erreur, c’est le fouet ou toutes punitions que j’aurai décidées. C’est clair ?
Toutes les trois, on répond :
— Oui, Madame.
Elle ajoute :
— On fait de la couture, ensuite vous aurez un cours... d’obéissance.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Nos livres sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Calée dans les bras de l’homme, elle expose son dos dénudé. Appuyé contre le mur, ses yeux dans les siens, l’homme fait face à Max qui manie le fouet. Il maintient la femme offerte, ses deux bras autour de son cou délimitent leur forteresse protectrice. Oui, il la protège symboliquement de cette douleur qu’il lui inflige, par instrument et mains interposés. Il fait confiance à celui qui frappe et cingle en rythme, précisément, implacablement. Et il a une entière confiance en elle, prisonnière volontaire de son étreinte.
Marcus :
Je te maintiens, fermement. Je sais que tu as besoin de ma lucidité et de ma détermination pour t’abandonner, pour supporter cette douleur limite, une de celle qu’on ne supporte que parce qu’on l’offre. Tu m’offres ta douleur, princesse... Absorbe ma force, sers-toi, elle est là pour toi.
Si j’aime te faire mal, cette expérience est nouvelle pour moi. J’aime te voir souffrir, oui, mais quand j’endosse le rôle du bourreau, quand je suis l’ordonnateur, l’exécuteur et le consolateur. Aujourd’hui, ce n’est pas moi qui officie, j’ai délégué mes actes, un autre est réactif dans l’équation de notre processus alchimique. Aujourd’hui, je te ressens différemment, je te ressens profondément, je ressens tous tes raidissements et tes relâchements, je sens tes morsures dans ma chair, je sens ta respiration saccadée, je sens chaque frémissement de ton corps qui se densifie, je sens ta pression exigeante et ta tension qui irradie... De mon pouce je caresse ta joue pour prendre en douceur ta douleur, pour me repaître de toi.
Tu es sur le fil, funambule au-dessus de l’inconnu, je le sais, et il m’appartient de te communiquer ce sursaut final d’acceptation, en recueillant tes cris à pleine bouche. Je te protège mon amour. Tu peux lâcher prise, je suis là.
L’émotion de te prendre, de te posséder m’emplit et s’amplifie, je bande de ce cadeau inestimable, je bande de ton abandon, je bande de te tenir, toi, ma vie, entre mes mains.
Constance :
À chaque coup, je me cabre contre ton corps, il me sert de point d’ancrage, de digue provisoire contre cette vague qui va m’emporter. J’ai souhaité être là. J’ai souhaité être là, et endurer le fouet qui me flambe en surface et me consume à l’intérieur. Je ne peux pas être ailleurs qu’ici, dans cet espace que nous créons ensemble, où l’instigateur du supplice est le seul qui peut m’en protéger. À chaque trace de feu boursouflée qui marque ma peau, je m’immisce sous ton enveloppe, je fusionne avec ton corps. Je t’aime. Je te sais concentré, attentif, directif, je te sais indéfectible. Je laisse enfler mes gémissements, mes cris, je mords ta poitrine, le creux de ton bras. Digue rompue, je hurle la souffrance qui me traverse, et tu avales mes hurlements pour accompagner mon chemin vers l’autre côté...
Je n’ai plus qu’une seule certitude : tout mon monde est suspendu à ton contact, tout mon monde est réduit à ce point où se concentrent ta chaleur, ta force, ta volonté. Je suis chose en toi, et jamais un autre endroit ne pourrait m’offrir un refuge plus sûr.
Marcus :
Je sens ton corps s’alourdir, abandonné enfin. Je sais que tu as basculé. Je fais signe à Max de ne pas cesser, pendant que mes bras viennent couvrir ton dos, se posent à ta taille. La lanière de cuir tressé strie ma peau, la morsure du fouet ravive toute ma lucidité, toute mon acuité. Je murmure alors ta délivrance à ton oreille : « C’est fini... ». Je t’ai fait toucher le fond, je t’y ai maintenue, je t’ai sentie t’enfoncer, te noyer, te diluer. Lentement, je vais te ramener, essoufflée, épuisée de douleur, trempée de sueur, trempée de ces larmes que je lèche doucement, mes mains de part et d’autre de ton visage lumineux et serein. Vibrante. Ma princesse, tu es bouleversante.
— Regarde-moi...
Tes mains rivées à mes avant-bras, tu enfonces tes ongles en gémissant doucement.
— Si. Regarde-moi. Maintenant.
Je plonge dans tes yeux grand ouverts baignés d’eau salée, je sonde, je vérifie. Je vérifie que tout est bien.
Constance :
À quelle vitesse s’enfuient les minutes et les heures quand, imbriquée en toi, je te donne ma reddition ? Dans cet espace hors du temps je te respire, enveloppée d’impressions sonores étouffées, apaisée par les battements de ton cœur ; ils forment la barrière protectrice érigée pour clore et garder notre monde à l’abri. Je ne veux pas le quitter, pas encore, pas si vite. Ta voix, ferme, à mon oreille à nouveau. Je reviens à l’autre monde en ouvrant les yeux, en reconnectant mon cortex anesthésié. Mon dieu, tout en toi rayonne la puissance et l’attention, et je t’aime, tellement, totalement, absolument. Tu me tiens, tu m’observes, tu me décryptes ; je te donne ces larmes qui coulent doucement, elles t’appartiennent, elles sont ma récompense, elles sont ta récompense.
À présent embastillée entre tes jambes, ma joue posée contre ton aine, je peux refermer les yeux, plus rien ne peut m’atteindre... Tu observes mon dos, ton doigt parcourt ma peau, dessine des traits et des frontières, remonte jusqu’à ma bouche, y laisse un goût métallique... Tu poses ta chemise blanche sur mes épaules, tu enveloppes mes frissons d’un tissu de douceur imprégné de ton odeur. Je ne veux pas quitter ton contact, jamais. Je souris en embrassant doucement le creux de ta main, puis, surprise, je passe et repasse mes lèvres sur les reliefs rouges piquetés de tes avant-bras...
— Pourquoi ?
— J’en avais besoin...
— Pourquoi ?
— Proximité et vigilance. Je ne dois pas oublier combien c’est douloureux. Je ne dois pas oublier la valeur de ce que tu me donnes.
Tu refermes ton emprise et ton cocon sur moi.
Tout est bien.
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De retour de congés, je suis impatient d’être aux pieds de Ma Maîtresse qui a décidé de me soumettre en extérieur. Direction les bois où Elle a ses habitudes près de sa table de pierre. Elle avait tout prévu et m'a fait cueillir de très beaux orties bien piquantes. Maîtresse me fait préparer un lit de feuilles d’orties où je dois m’allonger sur le ventre pendant qu'elle prépare ses cordes. Elle me ligote sur la pierre avec. Je ne peux plus bouger et Maîtresse prend possession de mon corps. Elle n’oubliera pas un centimètre carré de peau avec les orties. Les premiers instants sont piquants et je me donne pour que Maîtresse puisse extraire tous les plaisirs qu’Elle veut. Aux caresses urticantes des orties succèdent le sifflement du grand fouet que j’ai apporté à sa demande. Maîtresse le guide parfaitement et les coups s’abattent cinglant mes fesses, mon dos, mes cuisses. Je gémis rapidement de douleur et je sens que Maîtresse apprécie, Elle me transporte dans un lâcher prise rassurant et s’emballe de plus en plus. Maîtresse me débarrasse des orties avec le fouet.
Entre fouet, orties, sourire de Maîtresse et le soleil, je ne sais plus bien qui me réchauffe le plus, mais j’ai chaud, très très chaud.
La cuisson doit être égale de chaque côté alors Maîtresse me retourne en me libérant des cordes. Mon dos retrouve le lit d’orties et Ma Maîtresse me libère des orties du ventre avec le fouet. Entre temps, Elle m’a introduit un vibro dans mon anus. Je retrouve un grand plaisir car après 92 jours de chasteté, le vibro est mon premier plaisir anal. Maîtresse me traite de salope car je mouille comme une jeunette. J’ai encore droit a des belles séries de fouet et une fessée avec autant de claques que de jours de chasteté. Maîtresse se lâche de bon cœur et j’ai un peu de mal à suivre le décompte qu’Elle m’impose.
Le fouet a bien souffert à tournoyer au dessus de mon corps et Maîtresse l’achève en me fouettant avec ardeur ; il cède ! Un peu comme moi et je capitule car dans cet emballement final, la douleur m’irradie de plus en plus. Maîtresse termine en venant chercher ce qu’elle aime obtenir de moi, des «Pitié, PITIÉ», le mot sacré qui me fait dépasser mes limites de plus en plus loin. Ma Maîtresse m’extrait ces «pitiés» du fond de mes entrailles car elles lui appartiennent.
Le temps est encore passé trop vite. Vu son sourire, aucun doute, Maîtresse a apprécié.
Je ressens ce plaisir qui m’imprègne également.
Sur le chemin du retour, Maîtresse me dit que les orties me tiendraient compagnie cette nuit plus quelques jours. Je confirme, cette première nuit a été un enfer. Pas moyen de m’endormir sans des démangeaisons épuisantes. J’imagine le grand sourire de Maîtresse dans ces instants pénibles. Qu’est-ce que je ne supporterais pas pour Elle ?
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Chapitre 3 - le dernier
Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian.
Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied.
Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous.
Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian".
Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite. Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! " " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club, Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?" ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé.
Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?" "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer.
Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées.
"vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application.
"Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres.
"ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche
"La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué.
Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert.
"Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire...
" stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur" ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets.
Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air.
D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls.
" ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"...
Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence.
Fin
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Chapitre 2
Alex a executé les instructions données par son maitre chanteur et ce n'est pas sans honte et excitation qu'il s'est photographié léchant son sperme a meme le sol. Un sms l'avait felicité en retour, lui ordonnant d'aller prendre une douche mais sans possibilité de retirer le plug. Consigne qu’il avait prudement suivi. Il avait ensuite brievement diner d'une soupe puis etait allé se coucher, avec en permanence cette situation qui trotait dans sa tête... et dans son cul. Impossible de trouver une echapatoire. Vers minuit il avait essayé de se revolter en retirant son plug mais il avait recu un sms dans les secondes qui suivirent "ce serait dommage que tes collegues decouvrent en fond d'ecran une photo de toi en se connectant à leur PC" et aussitot il avait remis le plug. "attention, joues pas avec le feu". Difficile de s'endormir. Nuit horrible.
Ça vibre à répétition, il s'eveille en sursaut et realise que c'est le plug qui vibre... aussitot il recoit un sms "depeches toi, tu vas etre en retard au cabinet! Et n'oublies pas les consignes de ce matin douche et nettoyage de cul et de plug avant de le remettre". Et oui..., il est tard, il risque d'être en retard s'il ne se dépèche pas. Sans reflechir, il saute du lit prend son petit dej, la douche le plug, en prenant soin de suivre les consignes de temps. Il est prêt et part au bureau dans la précipitation. Il arrive a l'arrache peut de temps avant son premier client. Il croise Melanie dans le couloir... "ben dit donc, salle nuit on dirait et salle guelle ce matin, tu vas faire peur à ta cliente..." dit elle en partant dans un éclat de rire de concert avec Leaticia prenant son café ... sympa les filles!
La matinée se passe difficillement mais une fois bien calé et une position trouvée, il a reussi a oublier le plug, qui d'ailleurs n'a montré aucune envie de vibrer. Il est midi, et Alex part avec les filles et Paul manger un bout. Gérard est resté pour préparer son premier rendez vous de l'apres midi. Apres tout cela l'aidera peut etre a reprendre du poil de la bete... chacun est assis et commence tout en discutant lorsque le plug se met à vibrer, par secousse successive allant crescendo. Alex manque de s'etouffer, et devient tout rouge... "ben ca va pas Alex, quelque chose qui ne passe pas?" Demande Leaticia?" Alex a l'impression que tout le monde dans le resto entend ces vibrations. En plus, il ne sait pourquoi mais la situation l'excite et il commence a bander. Leaticia dit " c'est ton telephone Alex que l'on entant vibrer?"... "euh...." Un sms arrive "va te branler salope" a cette lecture, Alex sent qu'il bande encore plus "ah oui tu as raison... excusez moi je dois m'absenter quelques instants", il se leve de table le pantalon peu discretement gonflé par sa queue pour se diriger vers l'interieur du restaurant. Commentaire de Melanie, "ah oui, là je le vois bien vibrer son portable..." aussitot tous eclatent de rire, Leaticia ajoutant "on a même envie de décrocher pour lui. Le plug a continué de vibrer de plus en plus fort, arriver dans les toilettes, Alex s'enferme baisse son jean et son slip et commence a s'astiquer... bzzzz sms " et n'oublie pas de lecher ton foutre apres!". le plug lui procure tellement de plaisir combiné avec la branlette qu'il ne tarde pas à jouir. A peine fini que le plug se met a vibrer tellement fort que cela en est douloureux, bzzz sms "a genoux et leche ton foutre slave" Alex se met a genoux et leche tout le foutre sur le sol a peine propre. Le plug s'arrete. Alex se rhabille se nettoie le visage et la bouche au mieux et rejoint ses collegues a table. En le voyant arriver et en matant son jean, tout comme melanie, leaticia ironise "Ah, je te sens soulagé"... "ah Ha Ha..." dit alex. "bon on ta commandé un choux a la creme en dessert, je pense que tu adores ca!".
Une fois le repas fini, ils rentrent pour reprendre les rendez vous... rude journée aujourd'hui il finira le dernier. L'apres midi se passe sans soucis, bien qu'un peu fatigué il reussi a se concentrer. Un café a 5 heures et c'est reparti. Il a pris un peu de retard, il est 19h40 et c'est son dernir patient avant le week end. Il regarde le dossier que Leaticia lui avait posé en debut d'apres midi... non le nom ne me dit rien. Il ouvre la porte de la salle d 'attente et salut son nouveau patient. Bonjour Monsieur Grimaud, c'est a nous. Comme d'habitude il observe celui ci se lever et commence a se créer une image mentale de sa personalité et de ces maux probables. Type grand, costaud, musclé même, mine patibulaire (mais presque....), mais pas désagreable, tout droit sorti d'un film d'espionnage!. Il sourit discrêtement à cette pensée, et tend la main a Mr Grimaud, qui à son tour lui broie litéralement la main. "Enchanté mr Christiaaaaann Grimaud". "Je vous en prie prenez place, et raconté moi ce qui vous ameme?" Dit Alex en s'asseillant. "je pense que vous allez pouvoir m'aider" répond Grimaud en lui tendant une grande enveloppe blanche.
Alex prend et ouvre l'enveloppe, la photo de lui hier soir lechant son foutre sur le sol. Le sang d'Alex ne fait qu'un tour il hurle "salaud" et saute quasiment par dessus son bureau se precipitant sur Grimaud pour l'étrangler. Au dernier moment, celui ci esquive sur la droite assaine un atemi dans le foi d'alex, et lui fait un croche pied. Pris par son élan ce dernier s'écrase lamentablement au sol, accusant le choc et la douleur dans les cotes. A peine au sol, Christian est déjà sur lui lui tordant le bras dans le dos. "Alors ptit fiote on veut faire le malin" dit il en l'attrapant par les cheveux et lui cognant la tête le sol. "Tu ne peux rien contre moi, il faut que tu comprennes que tu es mon esclave" en même tant qu'il prononçait ces paroles, Christian sorti une paire de menotte qu'il passant a ses deux poignés en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. "mais qu'est ce que vous voulez à la fin...?”
" c'est tres simple on te l'a dit 10 fois mais tu ne veux pas l'admettre. On ne veut que ton bien et ton accomplissement. Nous sommes un club bdsm tres fermé et nous recrutons nos membres qu'apres beaucoup de recherches et de préparations. Tu devrais etre flatté d'avoir été selectionné. Nous te suivons depuis un ptit moment et nous avons analysé ton profil avec soin, et nous s'avons tres bien que ce que tu veux c'est de te faire dominer... ton profil psychologique montre même que tu aimerais devenir esclave d'autres mecs qui t'utiliseront, te baiseront, t'humilieront.... mais pour nous pas de honte à cela, puisque cela te fera plaisir. C'est du donnant donant quoi. En plus t'es gay tu aimes etre passif voir traité comme une salope, et tu as une grosse queue, ... des comme toi on en manquait... alors qu'est ce que tu en penses?"
Accusant le coup de ce qu'il vient d'entendre il baffouille, Christian lui met une clac "ah je vois que ca rentre pas vite au cerveau... attends je vais un peu t'aider" il retourne Alex sur le dos, baisse son pantalon et lui fourre sa queue dans la bouche. Alex manque d'etouffer de surprise, meme si c'est plutot un pro dans ce domaine. Christian lui baise litteralement la gueulle et commence a bien raler. Alex se controle pour ne pas ettoufer. " tu m'excites bien toi...., tu suces vraiment comme une salope... on va voir ton cul maintenant, je suis sûr qu'il est pret à me recevoir." Christian saisit Alex et le balance a plat ventre sur son bureau puis lui baisse son pantalon et lui arrache son slip tel une bête sauvage, et lui fourre dans la gueule. Alex panique pour la suite, mais entend Christian lui dire qu'il va mettre un preservatif.
Il retire le plug du cul d'Alex dans un bruit et fourre sa queue dans son cul, celle ci entre sans difficulté le plug ayant fait son ouvrage...
Christian laboure alex pendant 15minutes tantot le tenant par les cheveux, tantot lui mettant les doigts dans la bouche et finalement en lui mettant son pied sur la tete tout en l'insultant régulièrement. Alex est pris de tremblement, Christian redouble la pression et tous deux finissent par jouir en meme temps. "T'as aimé ça ptit pute hein? " lance Christian à Alex qui fini par décrocher un timide oui. A peine sa queue retirée que Christian replace le plug dans le cul d'alex. Chrisitan saisit alex du bureau le met a genoux devant lui et demande a alex de bien nettoyer sa bite. Vaincu celui ci s'execute. Puis Christian couche alex au sol et lui pisse dessus. " fait pas ta bourgeoise, on sait que tu aimes ça...et boit bien tout..." alex humilié de savoir tout ses secrets connus s'execute comme un bon soumis qu'il devient devant cet inconnu.
"bon voila le topo alex, demain c'est le week end. au dos de la photo de l'enveloppe tu trouveras une adresse ou te rendre a 14h sans faute. Tu repartiras dimanche soir a 18h00. Ton premier dressage de slave se fera durant ces deux jours. Inutile d'amener des affaires de change tu seras a poil durant ces deux jours...compris?"
"Euh, mais, demain j'avais" Christian lui assene un coup de pied
"ta gueule esclave... t'a pas le choix, tu ramenes ton cul demain a 14h... et pas la peine de prevenir la police ou quoi, il y a de nombreux membres dans notre club et ton dossier est partagé prêt à etre diffusé en cas probleme. De toute manière je ne suis pas inquiet on sait que tu aimes cela et que tu comprendras qu'il s'agit d'une opportunité pour toi d'être dans un club select, plutot que d'aller baisouyer a droite a gauche. Les salopes dans ton genre finissent toujours par aimer a etre slave au sein de notre groupe. Tu feras d'ailleurs connaissances d'autres prsonnes qui participeront a ton dressage. A demain. Tu peux m'appeler Maitre Christian. Compris?"
Alex toujours interloqué, recoit de nouveau un coup de pied " compris?" ... "oui" ... re coup de pied "oui Maitre Christian" ..."a bien, t'apprends pas vite, mais on corrigera tout cela demain"
Tient je pose sur le bureau les cles des menotes a demain.
Sur ce il quitte le cabinet, laissant alex couché mains attachées dans le dos, pantalon en bas des genoux et recouvert de pisse.
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Elle m’avait envoyé le SMS promis, mais un peu tard: j’étais déjà reparti à Paris. Nous avions finalement convenu que je la préviendrai quand je repasserai sur Lille.
J’avais gardé de notre rencontre une brûlure cuisante pendant une bonne semaine malgré une application généreuse de biafine, mais j’avais été séduit. La connexion, l’intensité visible de son délice à me voir souffrir provoquaient mes érections rien qu’au souvenir. Encore aujourd’hui, elle est unique pour moi dans son centrage sur ma douleur.
Quelques mois étaient passés, c’était l’été. Je montais sur Lille pour assister à un concert avec des amis. Je lui envoyais mon planning de visite. Malheureusement, elle répondit à mon message qu’elle ne serait pas disponible le jour où je montais.
Un peu déçu, je me rabattais sur le programme de base: TGV, retrouver mes amis, concert, un bon dîner, hôtel et retour le lendemain matin vers Paris.
J’arrivais en gare, quand je m'aperçus qu’elle m’avait écrit.
“J’ai envie, attends moi à la sortie du métro devant la gare.”
La nouvelle me mit dans un état de désir intense. Dès la descente du train, je me ruais vers la station de métro.
Il pleuvait, et je devais avoir piteuse allure dans mon blouson sans capuche, sac à l’épaule.
Je la vis sortir du sous-terrain un peu essoufflée.
Elle me souriait.
L’idée que cette jeune femme, à l’air si candide manifeste une telle envie de prendre ma souffrance était grisante.
Elle ignora mon bonjour un peu timide, me prenant la main. Elle me tira vers l’intérieur de la gare, au sec.
Elle me guide dos au mur et m’embrasse. J’aime bien sûr.
Aux yeux des voyageurs qui passent derrière nous, nous sommes sans doute un de ces couples d’amants qui se retrouvent dans les gares.
Ce qu’ils ne voient sans doute pas, c’est qu’elle me laboure profondément le crâne, la nuque de ses ongles. Sa bouche ne m’embrasse plus vraiment. Elle aspire mon air, mes soupirs de douleur. J’ai l’impression qu’en transperçant mon crâne de ses ongles elle invoque un esprit de la douleur dont elle se gorge.
Je suffoque, mais je n’ose pas l’interrompre. Quand elle s'arrête, je suis à deux doigts de chanceler.
“Ne bouge pas”
Elle voltige, sautille au milieu des passants. En aborde un ou deux.
Tout à reprendre mon souffle, émotionné, impossiblement excité, je me contente de l’observer sans comprendre. Elle revient une cigarette à la main.
D’un geste de la main, elle m’invite à la suivre alors qu’elle sort de la gare.
Je la rejoins.
Elle tire sur sa cigarette.
“Je veux que tu penses à moi toute cette soirée et demain. Je veux que tu en chies pour moi et que pourtant tu brûles de te donner à moi.”
J’opine, incapable de parler.
De sa main libre, elle ouvre ma bouche. Je me laisse faire. Elle saisit ma langue, la tire hors de ma bouche. Elle approche doucement la cigarette, attends ma réaction. Dans une sorte d'acquiescement, je clos les yeux.
Comme prévu la brûlure est mordante et je dois lutter pour ne pas me retirer. L’instant doit être bref mais il me semble infini. J’ouvre les yeux pour la découvrir me scrutant.
Elle me lâche, m’embrasse à nouveau appuyant sur la brûlure de sa langue.
“Merci” me glisse-t-elle à l’oreille avant de disparaître dans le métro.
Je suis sonné. La pluie qui me ruisselle dessus fait du bien, mais j’ai l’impression que ma langue enfle jusqu'à m'emplir la bouche.
Je reviens au monde. Je n’ai aucune idée de combien de temps est passé. Je suis en retard. Téléphone, SMS, rendez-vous: je rejoins mes amis. La bière est fraîche sur une langue qui m’envoie périodiquement des pulsations de douleur. Je prétexte m’être mordu pour expliquer ma gène.
Le concert est bon. Mais toute la soirée je sens sa présence dans ma bouche. Je rentre tardivement à mon hôtel, un peu saoul, toujours exalté.
Je lui envoie un SMS “Toujours douloureux, vous m’avez brûlé toute la soirée.”.
Vu l’heure tardive, je ne m’attendais pas à une réponse.
"J’espère bien. Je me suis branlée en pensant à toi. J’ai joui de d’imaginer que je t'accompagnerais avec tes amis”
J’étais aux anges.
“Tu devrais te faire jouir, il parait que le foutre est souverain contre les brûlures."
“Oui Laura” répondis-je
“Et la prochaine fois préviens moi plus à l’avance, que nous prenions enfin du temps. A bientôt”.
“A bientôt Laura” répondis-je avant de suivre sa suggestion.
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Sur appel de ma Maîtresse, je serais à ses pieds pour relever le défi noisettes et la servir de mon mieux. A ces simples pensées je suis fou de joie
Ce quatorzième défi a déjà une signification toute particulière alors le relever devant Ma Maîtresse est un challenge des plus motivants. Je reçois un ordre, j’exécute. C’est le fondement même de la soumission. Entre chaque ordre, soit marcher avec mes chaussettes remplies de noisettes, soit m'asseoir dessus, l'un ou l' autre 20 mn à chaque fois, je reste aux aguets. Toute mon attention est suspendue à ces injonctions brèves et autoritaires que je reçois sans le moindre préavis, où que je sois et quoi que je sois en train de faire. Ma Maîtresse m’imprègne de sa domination et ma liberté n’existe plus, je suis sa marionnette qu’Elle fait vivre comme bon lui semble et pour son plus grand plaisir.
Ma coquille est vide si je n’ai pas la pression de Maîtresse sur ma tête. Aujourd’hui, être à ses pieds me fait revivre.
Maîtresse m'a préparé un coussin de noisettes qui ne me quittera pas que ce soit assis ou coucher.
Je vais devoir courir avec des chaussettes pleines de ces petits fruits mordants. La douleur est difficilement soutenable mais les exigences de Maîtresses sont sacrées alors je me donne à fond.
Son petit sourire témoigne que ma douleur satisfait son délicieux sadisme.
Plus tard, Maîtresse me transforme en bougeoir.
A genoux, Elle m'installe les bougies sur les mollets, la tête m'interdisant tous mouvements. Ma concentration est intense. Autour de moi, Maîtresse devient un voile qui me frôle délicatement. Je ne ressens que son souffle délicat et la chaleur des bougies qui m'entourent.
Je ferme les yeux pour ne pas être tenté de suivre les déplacements de Ma Maîtresse. La privation de la vue exacerbe les autres sens qui se concentrent à leur tour sur mon entourage.
Mon subconscient est focalisé sur mon équilibre pour ne pas décevoir Ma Maîtresse.
Elle décide à ce moment de déplacer son bougeoir.
Je me retrouve couché sur le dos, genoux pliés où deux grosses bougies sont posées en équilibre par Ma Maîtresse.
Mon ventre, mes mains deviennent vite un réceptacle pour de nouvelles bougies. Maîtresse me transforme en objet et, en tant que tel, l'immobilisation est la règle. Je dois me concentrer intensément et je perds un peu pied.
Maîtresse me ramène sur terre en introduisant trois longues bougies dans ma bouche. L'appréhension de brûlure de ma bouche me gagne mais rapidement je m'aperçois que la cire se fige au contact de la salive. J’en ai bientôt plein la bouche
Maîtresse arrive au terme de son tableau de Maître et peut profiter de son bougeoir.
La cire coule alors sur mon ventre, sur ma barbe, mes pommettes enfin sur mon visage m'obligeant à fermer les yeux. Je perds un peu pied à nouveau mais Maîtresse ne me laisse pas très longtemps en dehors de son tableau.
Maîtresse éteint les bougies, Elle retire son bas pour un face sitting décoiffant ou plutôt "décirant".
Son sexe frotte ma bouche, mon nez. Épisodiquement j'entrevois son dos, Elle est belle, svelte. Je suis excité à cette vue. Ses lèvres viennent de nouveau lécher ma bouche, je ne peux m'empêcher de les aspirer. Maîtresse gronde " Rnby, tu ne te sert pas sans permission! ". Je suis confus, honteux. Je bredouille des excuses mais la tentation était terrible et je n'ai pas su résister.
La culpabilité m'envahit, je suis tellement mal à l'aise qu'un trou de souris me suffirait pour m'enfuir ! Moment de grande solitude. Et puis mes sentiments ne sont pas la priorité. Maîtresse continue avec grâce à me libérer de la cire par ce face sitting continue au rythme de la musique. Maîtresse s'étend sur moi, reviens en arrière arrachant la cire par sa seule glisse.
j'aime ces moments où je dois m'effacer, n’exister qu'en tant qu'objet pour le seul plaisir de Ma Maîtresse.
Peu de douleur, mais une concentration extrême pour devenir ce que veut Ma Maîtresse.
Elle m’entraîne dans la baignoire pour une douche dorée abondante. Maîtresse me fait boire son urine, m'asperge de sa pisse. C'est un moment où se mêle humiliation et fierté de recevoir ce liquide divin puisqu'il est le cœur de Ma Maîtresse.
S'ensuit une toilette à l'eau froide qui me glace. Je tremble comme une feuille au vent. Mais Maîtresse est complaisante, elle me laisse finir à l'eau chaude ; je revis.
Le réconfort est de courte durée car Maîtresse m'appelle déjà depuis le salon...
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Cela faisait plus d’une demi-heure que l’esclave était attachée à ce pilori.
Déjà ses trous étaient remplis de foutres. Elle ne pouvait pas bouger, pas de moyen de réagir.
Complètement à la merci des clients. Maintenant c’était une véritable pute. Sa paye se faisait si possible en monnaies dans un pot qui était accroché aux pinces de ses tétons et aussi par des billets
qui allaient lui être introduire dans le cul à la fin de séance. C’est de l’argent sale pour une pute humiliée.
Nul doute que ses maîtres lui feront nettoyer les billets avec sa langue pour lui montrer sa déchéance.
Pour bien dégrader davantage ce sac à foutre qui en avait déjà plein le cul, ses tortionnaires lui expliquèrent la suite du programme.
"Nous t’avons acheté 10.000 euros, nous devons rentrer dans nos frais et faire un bénéfice.
Tu vas faire la pute pour nous jusqu’au remboursement de cette dette .
Nous avons prévu pour toi quatre heures de tapin par jour dans les mêmes conditions.
Nous avons fixé le prix de tes trous à cinq euros pour pouvoir avoir le plus de monde possible.
Aujourd’hui tu es ici demain tu seras dans un bordel de bas étage.
Ces quatre heures se feront dans la journée avec des moments de repos pour laisser refroidir tes trous. Le reste du temps tu le passeras à ta formation et transformation en esclave.
Cinq minutes : c'est le temps estimé pour chaque client. Ils devront jouir en toi dans ce délai.
Cinq minutes fait 5 euros soit 12 x 5 = 60 euros par heure x par 2 pour tes deux trous = 120 x par 4 = 480 euros par jour.
Tu devras tapiner pour nous 20 jours + 10 pour notre bénéfice : tu feras la pute pour nous un mois entier.
Nul doute que par la suite tu continueras par plaisir et addiction. Nous travaillerons sur toi pour que tu deviennes cette chose."
Le plus dur pour cette putain était les fellations presque toujours en gorge profonde avec sa bouche ouverte offerte et forcée.
Elle n’avait aucun choix. Le sperme abondant coulait de partout et certains clients jouissaient sur son visage.
Elle avait déjà les yeux collés par le sperme sec elle ne pouvait plus rien voir comme l’énorme queue d’un homme qui lui remplit
la gorge et même au delà, si bien que l’on vit la forme de son gros gland au niveau de son cou, spectacle parfaitement obscène.
Ajouté à la douleur de ses tétons étirés par le poids de son argent et de son cul ramoner avec violence, l’esclave eut un énorme orgasme en public qui ajouta à sa honte .
Elle eut, en une heure, 24 pénétrations 12 fellations, 4 fois par la chatte et 8 fois enculée.
Pour aujourd’hui c’était suffisant. Demain il était prévu 4 heures de ce traitement en public dans un bordel particulièrement sordide
pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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Une soirée presque parfaite
I
Le télétravail a du bon. Quelques courses entre midi et deux, de la liberté pour organiser ma journée plus ou moins comme je l'entends. Aujourd'hui ce sera organiser, préparer, cuisiner. Je veux que la surprise soit totale. Et ma princesse aux anges. Même si c'est un Démon...
Allez je m'étais dit 16 heures, aujourd'hui je tiendrai parole quoi qu'il arrive. Ou presque. Une rose rouge sur son oreiller. J'essaie d'imaginer son sourire quand elle la verra. Elle se déshabillera puis filera à la salle de bain attenante. Elle tombera sur les pétales de roses, multicolores, au sol. Avec les sels de bains à la rose, le visuel sera parfaitement complété par l'odeur. J'espère juste qu'elle sera ponctuelle. A quelle heure faire couler son bain pour qu'il soit à température idéale quand elle arrivera ? 18H30 est son heure et j'espère avoir habilement hier soir sondé sa journée pour ne pas être surpris. 18H15, ce sera bien. J'aère la chambre, le lit est impeccable tiré, rien ne traîne, nickel. J'essaie de penser à tout pour qu'elle soit bien.
Bon cuisine. Les Saint Jacques du poissonnier étaient magnifiques. Je vais refaire le beurre au cerfeuil avec les noisettes concassées. Ca changera de la fondue de fenouil qu'elle adore aussi. Mais ça c'est fait depuis ce matin, au frais et hop. Les feuilletés aux baies et parmesan pour l'apéro, ce sera au dernier moment de les mettre au four, les servir chauds. Bon ça c'est une première, j'espère bien doser les épices. Le champagne est au frais, rosé millésimé, comme elle aime, le Corton Charlemagne, son blanc préféré également, parfait. Je préparerai le cocktail pendant qu'elle se détendra dans son bain : un fond de Grand Marnier, une framboise surgelée, champagne brut, elle va adorer. Bon mon dessert : une tarte citron meringuée déstructurée, c'est ce qui me demandera le plus de temps, en route. Balance, matériel, ingrédients, tout préparer, être organisé, se souvenir des cours...
Pétard 17h45 et je termine juste de monter mes verrines. Allez zou, au frigo. Ce n'est pas ma spécialité mais faire une belle table : le service émaillé noir et or récemment acquis est superbe, un chandelier ornée de jolies bougies rouges, ne lésinons pas. De jolis verres. Voilà, parfait. Préparer les allumettes, pour le dernier barbecue je les ai cherché 10 minutes. Pour un peu on mangeait la côte de boeuf crue... Je vais cueillir quelques branches de houx dans le jardin, un peu de verdure manquait sur cette table.
Bon récapitulons : repas, check ; table, check ; déco, check. 18H15, plus qu'à me changer, ma tenue de télétravail n'étant pas celle qui lui plaît le plus. Ce nœud pap là elle adore. L'image du miroir me convient pendant que je mets son bain à couler. Pas le choix, je dois bien faire avec.
La voilà qui arrive déjà, elle a encore du faire péter tous les radars en revenant... Vite le four à préchauffer, lui ouvrir la porte quand j'entends ses pas sur les dalles de l'entrée. Son sourire m'indique qu'elle a vite compris en me voyant. Elle déjà habituée ou quoi? Il reste ma meilleure récompense ce visage qui change d'expression instantanément après la fatigue de la journée. Aucun mot superflu, un baiser, je prends son manteau et lui ouvre la porte de la chambre. Elle est de dos mais je sais qu'elle sourit. Je suis retourné en cuisine enfourner mes feuilletés après les avoir doré au jaune d'oeuf en l'imaginant sans grand risque de me tromper. Elle s'effeuille comme chaque soir, toujours un spectacle pour moi prend son bouquin du moment et se glisse dans la baignoire en appuyant sur le programme des bulles douces, accompagnées d'une lueur bleutée qui irradie dans toute la salle de bain. Je me demande juste ce qu'elle a mis en musique de fond.
Voilà tout est prêt, je bous d'impatience : le plateau avec le seau à champagne et les coupes est prêt, j'espère que les feuilletés à peine tièdes lui plairont autrement que par leur aspect doré et croustillant. Pas de raison. J'entends du mouvement. Quelle tenue va-t-elle choisir ce soir? Ange ou Démon? Je baisse la lumière tamisée du salon donnant sur le lac où deux cygnes majestueux et indifférents passent tranquillement. J'entends ses talons qui claquent, la porte de la chambre s'ouvre. Ma princesse rentre en scène. Waouh. La soirée s'annonce... Je n'ai plus de mots tellement elle est magnifique.
II
Ses bottines noires brillantes aux talons aiguilles lui confèrent une démarche de Reine. Oui ma princesse est devenue Reine. De mon cœur. De mon corps. De mon âme. Mes yeux lubriques remontent le long de ses jambes magnifiquement mises en valeur par ces bas résilles auto-fixants à large maille jusqu'à son string en satin qui semble si doux. Je ne sais que trop combien son Mont de Vénus l'est plus encore. Noir c'est noir ce soir : le corset assorti qu'elle a du avoir du mal à fixer marque exagérément sa taille irréelle pour le coup et produit l'effet inverse un peu plus haut en faisant ressortir diaboliquement ses sublimes seins. Deux splendides collines naturelles surmontées de tétons roses dont l'un pointe le bout son nez. A croquer. Une autre fois, car ce soir, je suis sien. Seul son désir compte. La claquement de métronome de ses talons au sol me transporte déjà. J'avance avec un cocktail champenois de chaque main, mes yeux azur ne quittant pas ses yeux saphir. Comme un copié collé. Une pierre précieuse ma princesse. Nous trinquons à ce magnifique cadeau que la vie nous a fait. Que nous sommes allés chercher aussi. Rien n'arrive par hasard.
Tandis qu'elle porte ses délicieuses lèvres à son breuvage préféré, mes mains sur ses hanches, je glisse le long de son corps de rêve. Des miens en tous cas. Et depuis le premier jour. Avant même de l'avoir vue. Comment est-ce possible... ? Déposant un chaste baiser sur la peau si douce de mes deux merveilles préférées, je me retrouve naturellement, presque sans m'en rendre compte à genoux devant elle. Cherchant ses yeux par gourmandise, puis collant ma tête contre son ventre satiné, comme à l'écoute, je l'enserre de mes bras. Je ferme les yeux. Caressant à peine, totalement involontairement bien sûr, ses fesses rondes et fermes, si douces... Elle ne bouge pas, m'accordant ce plaisir dont je ne saurais évaluer la durée. Mais même des heures seraient trop courtes. Un claquement de son talon au sol me rappelle que ce n'est qu'un début. Comme toujours aucun besoin de mot entre nous pour nous comprendre: j'embrasse le cuir de ses bottines, le lèche avec gourmandise, suçotant même l'aiguille qu'elle met à ma portée. Je sais que cela l'excite terriblement. Moins que moi.
Elle me relève de mon acte d'allégeance d'un doigt sous mon menton, jusqu'à ce que nos regards fussent à nouveau à la même hauteur. Ses yeux me sondent, je me sens nu malgré son regard assuré autant que rassurant. Je suis sa chose.
_ J'ai faim, me déclame-t-elle avant de se diriger vers le canapé en cuir blanc qui lui tend les bras pendant que je vais chercher notre plateau de feuilletés. Je le dépose cérémonieusement devant elle, avant de m'asseoir à ses pieds. Elle si belle ! Elle dévore deux canapés coup sur coup. En porte un ma bouche. Je lèche sa main, reconnaissant.
_Masse mes pieds, ma journée fut éreintante.
Je zipe délicatement pour ne risquer de pincement la fermeture éclair située sur le tendon d'Achille, dépose sa bottine. Je la regarde.
_ Evidemment il faut enlever mon bas...
Je l'adore. Elle sait comme personne allier nos plaisirs, penser au mien sans le moins du monde renoncer au sien. Mes mains glissent le long de ses jambes galbées de sportive, frôle le string dont je perçois la douceur soyeuse. Je me rends compte qu'il est déjà humide. Le bas descend, sans être roulé, et fini sa course sur mon épaule. Son adorable peton menu reposant sur ma cuisse j'étire chaque orteil, masse la voûte plantaire, sa cheville souple. Je suis toujours ébahi par la douceur de sa peau. Je remonte jusqu'au mollet, je sais qu'elle apprécie ; je prends mon temps, qui ne compte plus d'ailleurs. Je termine en déposant un baiser sur le dessus de son pied. Son sourire me montre sa satisfaction alors qu'elle me tend l'autre jambe.
III
Ses yeux mi clos pourraient donner à croire ma Princesse assoupie. Ses orteils curieux cherchant et trouvant aisément une certaine proéminence sur mon pantalon m'indiquent le contraire.
_ J'ai faim, ça sent bon...
_ Je vous abandonne 5 minutes Princesse et nous passons à table.
Tandis que ma belle achève de se détendre je file mettre la touche finale à mon repas.
_ Je vous invite à passer à table Princesse, tirant la chaise pour ma belle.
_ Hop hop hop, pas si vite mon ange, tu reviens ici et tu te déshabilles, totalement.
Durant mon effeuillage elle pose bruyamment sur la table basse un rosebud inconnu, bleu saphir.
_ Assorti à tes yeux mon ange. Tu vois moi aussi j'ai mes petites surprises...
Une tape sur ses genoux m'indique la position qu'elle attend de moi. Son doigt inquisiteur lubrifié par ma propre salive entreprend une exploration intime.
_ Détend toi, accompagné d'une tape gentillette sur la fesse m'excite terriblement. J'adore quand elle me parle doucement, un murmure à peine audible, des pires pensées traversant son esprit aussi fécond que dévergondé, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Le rosebud rentre difficilement, faute d'habitude. Il ressort, revient, est remplacé par un doigt, puis deux, puis revient, comme pris d'une vie autonome. Enfin il semble en place, je souffle.
_ Je vais décupler son efficacité, éveille mon inquiétude. Justifiée quand une sérieuse fessée commence. Je crispe mon postérieur, à broyer l'objet exogène qui ne se déformera pas lui, combat perdu d'avance. Quand les claques sur mon cul écarlate cessent enfin, je ne sens effectivement plus l'engin. Mais ma croupe oui ! Pétard elle n'y est pas allée de main morte. Comment savait-elle que je désirais cela, mieux que j'en avais besoin? Peut-être est-ce plus simple que cela, juste une envie subite coïncidant avec mon attente. Au diapason, comme d'habitude. Comme depuis le premier jour, la première minute, la première seconde. Nous sommes capables de finir les phrases l'un de l'autre. L'impression de s'être toujours connus. Aucune soumination, les envies de l'un coïncidant juste à la perfection avec les besoins de l'autre. Magique. Invraisemblable. Mais réel.
Je me dandine une bonne partie du repas sur le siège que je trouve pourtant habituellement confortable. Ce qui l'amuse grandement. Le rosebud inhabituel n'y est pas pour rien non plus. Le dîner se déroule pour autant sans accrocs, ravissant ma belle, moins que moi. En connaisseuse elle a apprécié le grand cru blanc et le reste. Bon je n'aurais certes pas eu une attitude vatelienne en cas de critique, mon égo est au dessus de ça, mais pour elle, je voulais une soirée, et au premier chef un repas, en tous point inoubliable. En attendant la prochaine. Où j'essaierai de faire mieux. Ou différent. Parce que ma princesse mérite bien plus qu'un repas type Saint Valentin une fois l'an. C'est une de mes façons de lui signifier combien je suis heureux depuis qu'elle a changé le cours de mon existence. Nous sommes encore loin de la routine de toute façon en ce domaine comme en bien d'autres. Quelle magie que cette période bénie!
_ Vient commencer ton dessert.
Je glisse sous la table et découvre son string en satin noir déjà humide, ses cuisses fuselées écartées juste pour ma place. A peine en position, elle les resserre autour de moi, dans une prison dorée. Je ne fomente d'ailleurs pas la moindre tentative d'évasion. Détenu par elle jusqu'à la fin de mes jours est mon souhait. Ma langue la lèche à travers le tissus. Déjà imbibé de son goût délicieux que j'ai appris à reconnaître entre mille. J'allais l'écarter mais ma belle se prend au jeu. Mieux elle me guide, comme me fournissant un mode d'emploi.
_ Plus haut, oui descend sur toute ma fente, encore...
Ses mains caressent mes cheveux dans un geste tendre autant que possessif.
_ Rentre là un peu, hummm Redescend. Oui encore comme ça; baise moi avec ta langue comme avec ta jolie queue mon ange...
Sa voix change, puis s'éteint, au fur et à mesure que l'étreinte de ses cuisses se resserre sur mon cou, que ses doigts se crispent sur me crâne. Je m'applique, varie, accélère puis ce cris que je connais si bien déchire le silence de la salle. Animal, venant des tripes.
J'ai à peine finit qu'elle me tire de sous la table et me redresse vers elle, m'embrassant sauvagement, puis léchant mon visage comme une chatte, comme récupérant chaque goutte de son élixir de ma jeunesse retrouvée. J'aime quand elle se laisse aller ainsi, naturellement, à ses instincts, ses pulsions, ses envies...
IV
_ j'ai cru voir mon dessert préféré mon ange ?
Le sourire presque enfantin éclairant son doux visage me fait fondre, comme à chaque fois. Trop facile, pas sport. Mais si bon... Sa capacité à changer d'expression en un quart de seconde me sidèrera toujours.
Je sers à mon élue sa verrine de tarte au citron meringuée destructurée, revisitée à ma façon. Un verre de vin de paille du Jura aux arômes exotiques se mariant à merveille. Elle ne pipe mot, tout à son plaisir. Hédoniste autant qu'épicurienne, elle est capable de ressentir un vrai plaisir dans son acte présent, bien au delà du sexe. Quasiment un plaisir physique. Elle aime ce moment sublimé par la musique douce qui nous accompagne, donnant un côté vaporeux à cet instant suspendu. Jouissif.
_ Tu m'as gâtée mon ange, à mon tour. Pousse la table basse du salon et attends-moi à 4 pattes sur le tapis, tu regarderas le lac en face, interdiction de tourner la tête.
En position, l'attente me semble longue. Puis interminable. Puis... La porte de la chambre s'ouvre et j'entends à nouveau le délicieux claquement de ses talons au sol. Tout à coup je suis moins pressé... Je ne peux m'empêcher de voir son reflet dans la baie vitrée et nous nous en rendons compte simultanément, partant de concert dans un éclat de rire coutumier. Les même délires, qui seraient déstabilisants pour d'autres. Pas pour elle. La surprise étant éventée elle se présente devant moi, harnachée d'un god ceinture dont j'ignorais jusqu'à l'existence dans son attirail. Je ne puis m'empêcher de la remercier intérieurement pour sa taille raisonnable. Elle dépose devant moi un single tail. Je frissonne devant le double inconnu.
_ Tu préfères quoi ?
Mais quelle question sadique ! Devoir choisir c'est en outre devoir avaliser ma peine. La peste ou le choléra ? Et en même temps les deux m'attirent. Elle le sait, le devine. Mon hésitation l'amuse et elle croit bon de piétiner son homme à terre à assénant :
_ … En premier je veux dire!
Mais elle pire que je croyais! Pire que moi c'est dire. Son rire cristallin m'achève. Je sais que cela l'amuse follement. Et par la même moi aussi, comme toujours.
_ Gardons le meilleur pour la fin...?
Une façon comme une autre de ne pas répondre, la forçant au choix, quitte à prendre un risque. Je n'aimerais pas finir par le fouet. Bon possible que je n'aimerais pas commencer par là non plus en fait!
Je n'avais pas vu le foulard de soie posé négligemment sur son épaule, qu'elle noue délicatement autour de mes yeux. Je n'entendrai plus un mot non plus, ignorant jusqu'à la dernière seconde son choix. Un silence, des bruits que je suis incapable de déterminer, un peu perdu, En délicieuse perdition, mon attente. Un sens occulté, les autres décuplés paraît-il. Sous réserve d'une minimum de lucidité et d'un cœur qui ne bat pas à tout rompre à mon avis. Le claquement dans l'air, plutôt éloigné de moi m'indique son choix.
_ Seulement 5 ce soir mon ange...
Son murmure à mon oreille me transporte, comme toujours. Me rassure. J'y puise ma force. De toute façon désormais elle est source de tout pour moi.
Etrangement je pense à ce qui sur le moment devrait n'être qu'un détail : je n'ai jamais eu de marques. J'en ai déjà fait. C'était la fierté de mes soumises. Décidément je ne comprendrai jamais. Ma réflexion philosophique à deux balles est interrompue par le premier coup, visiblement retenu. Je le ressens pourtant psychologiquement avec une extrême violence. Rien de négatif. Juste mon entrée dans un autre monde. Celui dont je cherche, plus ou moins inconsciemment, à pousser la porte depuis des années. Encore une chose que je dois à ma Princesse. La liste s'allonge.
Puis un second, elle semble prendre ses marques. La douleur est déjà là, quelle mauviette je fais ! Trois. Outch, bon heureusement ce ne sera que 5.
_ Au fait tu n'as pas compté?
_ Vous ne m'aviez pas demandé Maîtresse Princesse.
_ C'était une évidence. On repart donc à 0.
Nan mais quelle mauvaise foi !!! Je suis vert. Et j'adore en même temps. Sa fraîcheur, comme une espièglerie enfantine. Mon bain de Jouvence.
V
Il est clair que les coups furent léger, pourtant … Quel engin diabolique. Je n'ai jamais été aussi soulagé de prononcer ce « 5 » dans un soupir de soulagement. Dans ce noir total, je ressens pleinement ces zones dans mon dos, chauffées à blanc, au rouge plutôt, et celle épargnées. La brûlure dure bien après que les coups aient cessés, une découverte. Sans vraiment les entendre je sens des pas sur le tapis, puis une caresse, douce apaisante. Puis des ongles ! Je la maudit sur mon épiderme à vif ou du moins me semblant tel. J'ai hâte de le voir en fait Regarder enfin ces fameuses traces. Puis des baisers sur mes chair meurtries. Elle est diabolique pour alterner le chaud et le froid avec une pertinente perversité. Ces mots susurrés à mon oreille m'emmènent loin, si loin. Je les entends à peine, les comprends encore moins. Toujours est-il qu'il me font un bien fou. Un baiser sur mes lèvres m'achève.
_ Bien passons aux choses sérieuses.
Ah bon, ce n'était pas sérieux là ? Si le but était d'augmenter mon angoisse, carton plein. J'ai beau savoir qu'elle joue, j'appréhende. Peur de la décevoir. Peur de me décevoir. Crainte de mesure la distance entre fantasme et réalité . Elle m'enlève mon bandeau, mes yeux se réhabituent vite à la lumière tamisée. Elle est là devant moi debout, impressionnante harnachée ainsi. Je me sens petit, aux pieds de ma princesse.
_ Suce !
Quelle économie de mot. Elle joue le jeu à fond, j'aime ça. J'avais peur que notre complicité, nos sentiments ne bloquent certaines choses, nous empêchent de nous livrer à fond. C'est le contraire et j'en suis ravi. Au delà de l'acte qu'elle m'impose, même son ton sans appel me conforte. Obéir c'est aussi moins assumer, cela me facilite la chose. Qu'elle ne doute pas (ou affecte de le faire?) également. Je m'exécute donc, maladroitement. Quand je pense à la science, que dis-je son art à elle... Soupir. J'essaie de m'en inspirer.
Je la regarde. Non pas du regard qu'elle me lance quand elle pratique, semblant me dire oui j'aime ça et j'assume mon ange. Non, un regard interrogateur, pour avoir un retour, savoir où j'en suis. A ma grande surprise elle ferme les yeux, comment semblant ressentir cette fellation factice. Elle n'est pas croyable. Si sensuelle, si dans son trip psychologique. Quand elle rouvre les yeux, un lumineux sourire éclaire son visage radieux, me confortant. Elle ne me juge pas, semble ravie de mon implication. Une fusion.
_ Tu m'as terriblement excitée mon ange, tu es prêt ?
_ Bah....
_ Ce n'était pas une question.
_ Ah...
Je la hais ! Et l'adore encore plus. Ca doit être ça un switch. Ceci dit quand je la sens se positionner dernière moi je n'en mène pas large. Je redoute. Et en même temps je suis demandeur. Ca doit être ça un indécis. Je le lui fais confiance, mais je crève d'envie de lui demander d'y aller doucement. Ca doit être ça un emmerdeur.
Quand je la sens enlever mon rosebud je ne peux plus reculer. Ou plutôt si mais ce serait pire vu la protubérance que je sens positionnée contre mon fessier gauche pour l'instant. Elle tire à gauche... Elle remet du gel sur mon cul, l'étale, comme un massage, plutôt agréable d'ailleurs. Puis un doigt inquisiteur part à l'aventure. Pas longtemps seul, il devait s'ennuyer. Pas moi qui me concentre pour me détendre au maximum. Dire que quand c'est moi qui suis à la baguette cela paraît facile, naturel...
Je la sens ajuster sa position derrière moi, se rapprochant, une main sur ma hanche. Bon en principe question musique on devrait passer de la petite musique de nuit à la chevauchée des valkyries. Au lieu de ça on reste sur une musique douce, hallucinant contraste avec la violence innommable de la scène que je vous épargnerai.
Mozart et Wagner ayant baissés pavillon, votre serviteur également, reprenant sa respiration allongé sur le tapis, ma belle pour une fois fait comme tout le monde. Epuisée peut-être. Rassasiée sûrement pas, elle ne l'est jamais. Allongée contre moi, sa main bienfaisante caressant mon corps en sueur encore. Une douceur extrême dans un silence assourdissant. Deux sourires qui sans se voir se rejoignent, s'envolent, haut, très haut...
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Vous m’obligez à me mettre nu, m’inspectez, arrêtez votre regard sur mon sexe en érection et mes fesses. Vous portez dessus un regard mutin et m’observez ; je fais de même. Ma taille et mon regard sombre vous agacent. Mes testicules sont compressés et tirez vers le bas. Je comprends et baisse les yeux. Cela n‘est malheureusement pas suffisant et je sens votre agacement ; une gifle, puis une autre…
« Vais-je te gifler encore longtemps avant que tu te mettes à genoux ».
Je suis à genoux, vous cherchant du regard en train de tourner autour de moi…
« Qui t’as dit de relever les yeux »
« J’aime vous regarder »
« Tu n’es pas autorisé à Parler sans mon autorisation, pour le moment tu répondras à mes questions, c’est tout »
Je ne suis pas rassuré, mes fesses sont nues et je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. Vous vous éloignez, puis prenez un siège.
« Viens à moi »
Je fais le chemin à 4 pattes et vous entends rire. J’enrage et jette un regard réprobateur ; ce qui me vaut une autre gifle… Décidément.
« Je ne fais qu’obéir et attends vos ordre »
« Ça suffit, j’en ai assez »
Vous retirez votre culotte et me l’enfoncez dans la bouche. L’odeur, le goût, l’idée même ce que vous venez de faire… me rend tellement chaud que je me touche le sexe (maintenant et en projection).
« Non mais je n’y crois pas, tu te touches devant moi, comme ça »
Autant dire que, désormais, mon argumentaire est un peu restreint…
« On va passer à la vitesse supérieure dès maintenant, tu vas voir, tu vas aimer »
« Tu te touches devant moi comme un animal, je vais t’en empêcher et te le faire payer… »
Ma tête bascula entre vos jambes et je gémis sous mon bâillon, autant par surprise que par excitation d’être aussi proche de votre intimité. Désormais j’étais coincé et je ne pus que constater que mes mains été rabattues dans mon dos.
Je ne sais pas avec quoi mes poignets furent liés, mais un mélange de douceur et de fermeté m’envahit. Pas de douleur, pas de fourmis dans les doigts, mais j’avais beau essayé de détacher, rien à faire. Le prisonnier sans douleur… drôle de sensation.
« Debout ! »
Je m’exécute et vous m’attrapez le sexe et serrez avec fermeté mais avec mansuétude également.
« A qui ça appartient ça ? »
Seulement des gémissements de ma part, alors qu’une seule réponse aurait tout arrêté… puis je reçus un coup sur le gland, ouf… là ça devient chaud.
« Je n’ai pas compris, est-ce que tu peux articuler ? »
Gémissements plus forts, mais… gémissements quand même. Et le scenario se répéta 5 ou 6 fois, en prenant de l’intensité, malheureusement pour moi. De l’excitation et de la colère m’envahirent et le jeu s’arrêta net. Au revoir le prisonnier sans douleur….
« Je pense que maintenant tu as compris »
Mes yeux furent bandés et mon bâillon retiré.
« Merci Madame, oui j’ai compris mais ce n’était qu’un réflexe… »
« Ne me remercie pas, tu ne sais pas ce qui va t’arriver. Et remets-toi à genoux, je reviens dans un instant pour te montrer un autre type de reflexe… »
Vos pas s’éloignèrent, puis rien, puis revinrent… et là, vous m’ouvrez la bouche avec délicatesse mais fermeté et un objet s’engouffra dans ma bouche….
« Suce bien que je sois satisfaite, sinon, on va y passer un moment… »
Je pense que la situation m’a échappée, je sais plus le pourquoi du moment ; la seule chose qui reste, c’est cette queue qui reste dure et que je ne peux pas toucher.
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Je suis parti à l’aventure… j’ai navigué en quête de consolation, sans amertume, sans rancune… aucune. Le voyage fut jonché de fêtes, de rencontres, d’expériences enrichissante, burlesques, ubuesques… imprévues !! pendant des années j’ai chevauché le tigre.
Mais un beau (sic) jour :
Mon bateau fut pris dans la tourmente de la vie et j’atterris sur une île… une île sans homme. Pourtant, tel Diogène le cynique, Diogène le chien (sic) ; j’ai cherché, avec acharnement, mais en vain, un homme « véritable » pour plonger en lui et découvrir les réponses qu’il me manquait. Cette réponse à ma quête fut « cynique » :
Le royaume des Amazones.
Elles m’ont capturé, privé de mes mouvements, de ma force, de la parole mais… pas de mon âme.
« Danse, Danse ! Danse !! pour nous ; et nous relâcherons notre étreinte » promirent elles !!
Humiliation, (auto)dérision, supplication ! Tout cela ne tue pas les hommes mais les mets à nus.
Faut-il se dévêtir de tout pour être un homme « véritable » ?
Effort sans réconfort si ce n’est moquerie, rires féminins frustrants et jouissifs… limites… encourageants.
« Tu n’es pas un homme Véritable, mais notre reine pourrait te montrer de l’intérêt ».
Je fus emmené enchaîné auprès de la Reine. Mes yeux mirent du temps à s’accoutumer à l’intensité de la lumière et les amazones me forcèrent à rester à genoux et à lever la tête.
La reine s’adressa à moi :
« Tu ne t’en souviens pas mais cela fait plusieurs fois que tu échoues à mes pieds ! »
« Je me souviens de tout, tout le temps, Reine des Amazones »
Rire dans la foule en mêmes temps que mes chaînes furent défaites.
« Te voilà en condition de prendre ta décision. Dépose ta liberté volontairement à mes pieds et je te donnerais les réponses à tes questions. »
« Oh toi Reine des Amazones, sais-tu que la liberté est la condition de la connaissance et vice & versa »
Des éclairs jaillirent partout et toutes les amazones écarquillèrent les yeux…
« Ainsi soit-il, jetais le à la mer »
Le froid de l’eau, la douleur de mon corps en mouvement, l’inconnu vers lequel je vais depuis ; ne sont supportables que parce que je me souviens de l’odeur, du timbre de la voix et de la sagesse de la Reine des Amazones… sans rancune… aucune.
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