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Chapitre 3 (Elle)
20 Juillet (séance 7)
Juste un petit récapitulatif.
Nous sommes maintenant mi juillet et cela fait un mois et demi que j’ai signé un contrat avec mon mari. Bien sûr, ce contrat n’a aucune valeur juridique mais j’ai pris l’engagement de le respecter pour me faire pardonner de mon infidélité et je ne suis pas de celles qui renoncent.
En un mois et demi il s’est passé tellement de choses.
Au tout début ,quand je lui ai dit: "Pardonne-moi, je t'aime. Demande-moi tout ce que tu voudras" Je ne m'attendais pas à ça. J'avoue que, au début, j'ai carrément pris sa proposition pour un canular. Lui, que je tenais pour intellectuel, cultivé, esthète, même , enfin tout sauf un hooligan ou un macho de base, j'en était sidérée.
Un contrat? Des positions? Ma chatte de "salope"? J'ai dû me pincer pour m'assurer que je ne rêvais pas. Tout d'abord, j'ai pensé que, meurtri par ma trahison, il voulait me traîner dans la fange avant de me quitter comme, de toutes façons, il en avait eu l'intention dès le début.
Et puis, j'ai pu constater deux choses:
1 Pendant les séances, il était extrêmement attentionné. La voiture était-elle suffisamment chauffée, le collier ne me serait-il pas trop le cou?
2 Dans la vie de tous les jours, il était redevenu, peu à peu, le même qu'auparavant: prévenant, galant même, courtois, spirituel.... Enfin toutes les qualités pour lesquelles j'étais tombée raide dingue de lui sept ans auparavant et qui font que je l'aime encore d'avantage aujourd'hui.
Alors qu'était-ce?
Des fantasmes auxquels il pouvait, à cette occasion, donner une réalité ?
Bon sang! Sept ans de vie commune et jamais, jamais il ne m'en avait parler. J'en finirais presque par me sentir coupable, c'est un comble.
Finalement, la tension est un peu retombée et par la suite, je me suis interrogée sur le rapport que j'avais avec mon corps, la nudité, la sexualité et donc, l'amour.
Ah! l'amour! Un bien grand mot, mais en fait, une abstraction qui ne peut s'exprimer que par le don se soi et l'envie d'être attentif à l'autre.
J'ai repenser à ce film, Avatar, dans lequel, sur Pandora, les amoureux se disent: "Je te vois".
Pendant les séances, je me suis mise à apprécier que mon homme ait les yeux rivés sur mon corps et plus particulièrement sur ce qui fait de moi une femme. A l'extérieur, notamment sous le regard des hommes, je réalise maintenant le potentiel érotique qui peut émaner de ma tenue, de mes gestes.
Ma libido a évolué: Avant, j'avais juste envie de faire l'amour avec mon mec, maintenant j'ai envie de jouer et de le surprendre en devançant ses attentes.
La séance 5 avec Laurent m'a fait découvrir que je pouvais prendre du plaisir à m’exhiber. En fait, une fois excitée, ma libido prend le dessus et je n'ai plus de limite. Plus les positions sont obscènes et plus je mouille. Montrer ma chatte toute mouillée à un inconnu me fait chavirer.
J’ai aussi découvert les plaisirs du martinet. Sentir la piqûre des lanières sur tout mon corps me chauffe dans tous les sens du terme. J’adore ça. Bien lancée, je peux même apprécier d'être fouettée "chatte écartée".
Les lendemains sont plus difficiles. A froid, j'ai même parfois du mal à imaginer que j'ai pu avoir de tels comportements. Et puis mon chéri arrive, tout guilleret, il me regarde avec des yeux plein d'amour et je suis prête à recommencer.
Il m’avait dit :» Ce soir, dix-huit heures, tenue publique »
Alors à dix-sept heure cinquante, je n’avais même pas eu le temps de finir de me pomponner dans la salle de bain que j’entends frapper à la porte.
Mon mari ouvre :
« Bonsoir, vous êtes le représentant que j'ai eu au téléphone ? »
Le gars répond :
« Oui c’est ça : Akéna, les vérandas sur mesure »
« Très bien, alors c’est là, sur la terrasse. Qu’est-ce qu’il est possible de faire ?»
De mon côté, je réfléchis. Je sais que la maison ne lui appartient pas vraiment ou, du moins pas à lui seul. C’est une vieille maison familiale qui sera vendue au décès de sa maman et dont le produit de la vente sera partagé entre la fratrie. Surement pas l’endroit ou faire les frais de l’installation d’une véranda.
Donc, c'est un faux prétexte pour faire venir un spectateur à la maison. Que vais-je devoir faire devant lui cette fois. Sûrement me mettre nue, c'est le minimum. Humm! rien que d'y penser je me sens toute chose. Peut-être faire ma pisseuse, me caresser? Ca y est je suis partie! Il me faut de moins en moins de temps pour me mettre en condition.
Il est dix-sept heures cinquante-huit, j’ai encore deux minutes.
Le représentant se met en branle :
« Je vais prendre les mesures de la terrasse »
Mon homme le seconde et donne des infos :
« Il faudrait que ça parte d’ici jusque…. Là. Et l’entrée… plutôt par ici.»
Pendant ce temps, je suis descendue et je suis devant la porte d’entrée, les yeux baissés, les bras derrière le dos.
Le représentant m’a vue :
« Bonsoir Madame »
Je réponds :
« Bonsoir…Monsieur !» J’ai un peu insisté sur le « Monsieur », mais il ne fait pas attention, tout occupé qu’il est à déployer son mètre ruban.
Mon mari reprend :
« Comme je vous l’ai dit au téléphone, je suis obligé de vous laisser. Voyez ça avec ma femme et proposez-nous des devis » Il rejoint sa voiture et s’en va.
Allons bon! C'est nouveau. C'est à moi de prendre les rênes. D'habitude, je ne fais qu'obéir mais cette fois, je dois me jeter toute seule dans la gueule du loup.
Je réfléchis: Je n’ai pas eu de directives particulières mais nous sommes en « séance » et mon mari n’a que faire d’une véranda.
Je sais ce que mon homme attend de moi mais comment faire pour me retrouver nue le plus rapidement possible. Une idée me vient. Je vais à la cuisine préparer des amuse-gueules. J'en profite pour boire un grand verre d’eau, on ne sait jamais ! Rien que de penser que je vais peut-être me retrouver tout à l'heure à faire pipi devant cet étranger me donne des picotements à l'entre jambe. Quelques dés de fromage, des rondelles de saucisson, des chips. Dans le même temps, je me dis qu’un représentant, à l’heure du dîner, n’a pas forcément envie de trainer chez des clients. Il faut que je trouve quelque chose.
Monsieur Akéna rentre dans la maison et vient vers moi. Il ouvre un classeur qu’il pose sur la table de la salle à manger.
« J’ai pris les mesures. Regardez, je peux vous proposer différents modèles »
Sans rien dire, j’ai disposé sur la table des coupelles avec le fromage, le saucisson et les chips. Quand j’avais le dos tourné, j’ai enlevé un bouton à mon chemisier. Ma jupe, que je porte normalement en « taille basse », est remontée un peu et je n’ai pas rectifié. Je me penche maintenant pour prendre la bouteille de whisky qui est dans le placard du bas. Bien sûr, je ne plie pas les genoux. Il est assis derrière moi et il doit au moins voir la naissance de mes fesses par-dessous la jupe.
Je perçois une émotion dans sa voix :
« Ça, c’est un modèle standard qui peut…euh… être mis en place… dans moins d’un mois »
Je reviens à la table avec une bouteille et un seul verre :
« Prendrez -vous un apéritif, Monsieur ?«
Je n'ai pas autre chose à lui proposer parce que c'est tout ce que nous avons.
Il a dû voir mon chemisier mal fermé et ma jupe qui est remontée encore un peu. Il hésite, regarde la bouteille, jette un coup d'oeil à sa montre puis revient sur mon chemisier.
« Pourquoi pas, vous êtes mes derniers clients de la journée. C'est très gentil de votre part, comme ça j'aurai le temps de vous expliquer les différences entre les modèles standards et le sur-mesure. »
Très bien ! ça me donne un peu plus de temps. Mais je ne vois toujours pas comment arriver à mes fins.
Je verse un fond de Glenfiddish dans son verre et je prend la position n°3, en bout de table, immobile.
Le représentant continue de tourner les pages de son classeur en donnant des spécifications et des prix mais je ne l'écoute pas vraiment.
J’imagine que mon chéri a dû se garer un peu plus loin et est revenu discrètement à la maison. Selon toute logique, il est entré par la baie vitrée de la chambre du rez de chaussé. . Il doit écouter attentivement et attendre la suite des évènements.
Finalement un peu gêné par ma posture et mon comportement, le représentant demande :
« Tout d'abord, est-ce qu’il y a un modèle parmi ceux là qui vous conviendrait ? »
Je me dis qu’il faut que les choses bougent. Au diable les vérandas ! Je tente le tout pour le tout. Les yeux baissés.
« Excusez moi Monsieur, est ce que vous me trouvez séduisante ? »
Il marque un temps d’arrêt. Il sent que la situation est en train d’évoluer. Jusque-là très professionnel, il se dit qu’il y a peut-être une aubaine à saisir. Il quitte son classeur des yeux et lève la tête.
« Euh…Oui, Plutôt… »
J’embraye immédiatement et j'y vais "franco". Si ça ne marche pas, mon chéri ne pourra pas dire que je n'ai pas essayé:
« Je suis naturiste et je me sens beaucoup plus à l’aise sans vêtement. Est-ce que cela vous gêne si je me déshabille ? »
Il bafouille :
« Non ! Euh non bien sûr ! Faites… comme chez vous ! »
Je ne me le fais pas dire deux fois. Je fais glisser ma jupe à terre et j’enlève mon haut. Me voilà complètement nue devant lui.
Il y a encore des moments, en pleine «séance», pendant lesquels je me vois en train d’agir. Une sorte d’éclair de lucidité, comme si je reprenais conscience. Le contrat, la culpabilité de mon adultère, mon amour pour mon chéri et surtout, ma libido en pleine explosion, m’ont ammené à des comportements qui m’étaient innimaginables jusqu’à présent. Ma vie était tellement écrite d’avance: Fille de bonne famille, diplomée d’état, mariée à un intellectuel charmant, Il ne me restait plus qu’à laisser les choses advenir: Faire des enfants peut-être; Travailler jusqu’à la retraite, sans doute; Mourir un jour, sûrement. Mais, le tout, dans une sorte de banalité aussi épuisante que consternante. Que m’était-il arrivé? Quelle était cette excitation que je ressentais et qui rend les choses rares et donc précieuses. Je n’en finis pas de me poser des questions que malheureusement je ne peux partager avec personne pour l’instant.
Je me tiens devant un homme que je ne connaissais pas il y a dix minutes. Je suis entièrement nue face à lui, je bombe le torse pour faire ressortir mes seins, j’écarte les jambes pour que mon sexe épilé soit visible dans tous ses détails.
Je sais, maintenant, le pouvoir que j’ai sur les hommes. J’ai compris qu’ils étaient finalement faibles face à l’objet de leurs désirs. Mais cette faiblesse m’émeut plus qu’elle ne pourrait me rendre victorieuse. Assurément, je prends mon plaisir à être soumise plus qu’à être dominatrice.
Je reviens à la réalité:
Il a pu constater que je ne portais ni soutien-gorge ni culotte et il doit commencer à se demander si tout ceci n’est pas une mise en scène. Tant mieux, comme ça, s’il reste, c’est en sachant qu’il ne vendra pas de véranda aujourd’hui. Je rassemble mes vêtements, les pose sur une chaise et je vais au frigidaire chercher des glaçons. Il est derrière moi, mais je sais que ses yeux détaillent mes reins et mes fesses. Je me mets à sa place : Il était venu vendre une véranda et c’était devenu tout autre chose, mais quoi ?
Il y va sur la pointe des pieds :
« Alors comme ça, vous êtes naturiste ? Votre mari aussi ? »
Je le mets à l’aise :
« Mon mari aime que je sois nue en toutes circonstances Monsieur»
J’imagine que rien que le fait de terminer ma phrase par « Monsieur », doit l’interroger.
Je reviens vers lui avec mes glaçons. J’en mets deux dans son verre et je me mets en position n°1 devant lui : les jambes écartées, les mains sur la tête.
Je lui explique :
« C’est la position n°1, Monsieur : une position d’attente » et je me tais.
Il s’inquiète :
« Mais votre mari est au courant ? Il va bientôt revenir. Non ? «
Il a du mal à comprendre ce qui se passe. Il se demande s’il n'est pas tombé sur une femme frustrée qui a envie de se faire sauter vite fait par un inconnu.
Il se lève et descend sa braguette. Ça y est, il est chaud :
« C’est de la bite que tu veux ? » il sort son sexe déjà dur.
Vite ! Il faut que je recadre ! Je me mets en position n°3 et je fais deux pas en arrière :
« Non Monsieur, Je veux juste m’exhiber. Vous devez rester habillé. Si cela ne vous convient pas, je comprendrais. » Je fais un autre pas en arrière.
J’ai affaire à un gentleman : il ramasse son outil et se rassied. Cependant, il s’enhardi tout en fixant ma chatte.
« Je vois ! T’es juste une pisseuse en fait ! »
Intérieurement, je souris :
« C’est cela Monsieur. » Intérieurement, je me dit qu'il ne va pas tarder à en avoir la confirmation.
Il enchaîne :
« Alors ? Qu’est ce qui se passe maintenant ? »
Il a raison, qu’est-ce qui se passe maintenant ? Je suis excitée d’être nue devant un étranger mais je ne sais pas quoi faire. D’habitude, j’attends les ordres, alors je lui dis :
« J’attends vos ordres Monsieur »
Il est dubitatif mais il se dit que puisqu’il n’a pas le droit de sortir son matériel, il peut au moins s’amuser. Il s'installe plus confortablement sur sa chaise et prend son verre sur la table.
« Mets toi un doigt dans la chatte ! » Et c'est parti!
Finalement, ça a été assez facile d'en venir là, alors je prends mentalement des notes, pour une prochaine fois:
1 Porter des vêtements exagérément sexys.
2 Trouver un prétexte pour me mettre nue.
3 Fixer les règles.
4 Attendre les ordres.
Présentation de la chatte, c’est la position n°4. Je suis une petite soumise bien dressée alors j’écarte largement les jambes, avec ma main gauche, je sépare les petites lèvres de mon sexe puis, je raidis le majeur de ma main droite et je me le mets bien au fond.
Il me laisse comme ça, les jambes écartées devant lui, le bassin bien en avant, et un doigt dans la moule pendant au moins vingt secondes pendant lesquelles il sirote son whisky. Ses yeux passent de mes seins à ma chatte et il a un petit sourire pervers sur le visage. Il a compris qu’il ne me baiserait pas alors il a envie de m’humilier et de me pousser dans mes derniers retranchements.
« Retire ton doigt et suce-le ! » dit-il froidement.
Moi aussi, j’ai envie de le provoquer.
« Oui Monsieur, je suis une petite salope. Vous pouvez m’insulter, si vous le souhaitez, Monsieur »
J’avais déjà senti que j’étais mouillée, mais là, j’en avais la confirmation : Mon doigt était gluant de l’excitation que je ressentais en moi depuis le verre d’eau. Je teste le goût de ma chatte : c’est un peu crémeux avec une saveur douçâtre. Heureusement que je suis excitée sinon j’aurais du mal.
« Mets le dans ton cul maintenant ! »
« Oui Monsieur ».
D’accord ! Il va se venger. A tous les coups le prochain ordre sera de remettre mon doigt dans la bouche. Je m'en fiche, je suis prête.
Tout ce qui touche au "derrière", sodomie, introduction de plugs et autres, c'est compliqué: Ca me plait mais j'ai peur de ne pas être "propre". Et puis, un jour, il m'a dit: " Tu sais, quand je vais par là, je sais qu'il y a un risque. Tu n'y es pour rien".
Je suis quand même allé voir sur internet et j'ai découvert que certaines femmes, adeptes de la sodomie, avaient recours à une poire à lavement pour être tranquilles. J'en ai commandé une ainsi que tout une gamme de produits adaptés et dorénavant, quand je me prépare pour une séance, je fais un nettoyage "en profondeur" pour parer à toute éventualités.
Pour l’instant, je tourne le dos et je me mets en position n° 5 : présentation des fesses. Le doigt est mouillé de salive et je le rentre doucement dans mon petit trou.
Comme tout à l’heure, il attend au moins quinze secondes pendant lesquelles il se rince l’œil en finissant tranquillement son verre.
J’ai le temps de réfléchir :
Je mouille parce qu’un inconnu me regarde en train de me doigter le cul.
Mon mari, en principe à moins de deux mètres, se régale du spectacle.
J’ai, malgré tout, très peur de l’ordre qui va probablement suivre.
La porte d’entrée qui s’ouvre :
« Salut chérie, ça a été moins long que prévu », et il entre dans la pièce.
Je n’ai pas bougé, je suis penchée en avant, nue, les fesses dirigées vers Akéna avec un doigt dans mon cul. Monsieur Véranda, s’est levé et baragouine ne sachant plus où se mettre.
« Oui ! alors voilà ! Bon !...J’allais justement y aller »
Il doit être surpris que je reste en position.
Mon mari :
« Mais non ! mais non ! Je vois que vous avez fait connaissance. Ou en étiez-vous exactement ?»
Je saute sur l’opportunité :
« Je suis une bonne petite pute qui se met un doigt dans le cul Monsieur »
Du coup, les vérandas Akéna sont muettes.
Mon mari se sert un verre et en profite pour resservir notre « invité ».
« Comment vous la trouvez, plutôt obéissante non ? » Puis vers moi : » Viens ici et position n°4 ! Garde ton doigt là où il est. »
J’avance vers mon homme, je m’installe la chatte en avant, j’écarte bien les lèvres avec ma main libre pour dégager le clito.
« Oui Monsieur »
Sa main se dirige vers mon entre-jambe et deux de ses doigts testent l’entrée de la moule.
« Je suis une petite salope qui mouille de la chatte Monsieur »
Mon chéri à l’air satisfait :
« Va faire voir à notre ami »
Je fais le tour de la table, toujours avec un doigt dans le cul et une main devant qui écarte la chatte.
J’ai manqué d’oublier : « Oui Monsieur »
Je m’arrête devant « notre ami ».
Sans rien dire, il me plante son majeur direct dans la moule et je ne peux retenir un petit râle de surprise et de plaisir.
Je suis dans une position extrêmement humiliante qui m’excite au plus haut point mais depuis une minute ou deux une envie à commencé à se faire sentir :
« Je suis une petite pisseuse Monsieur »
Mon homme réagit :
« Ah, il va falloir sortir la chienne. Va chercher ta laisse et ton collier.»
« Oui Monsieur ».
Quand je reviens, j’ai le collier autour du cou et je tends la laisse à mon maître.
« Demande à notre invité s’il veut bien s’en occuper »
Je vais vers Monsieur Akéna :
« Accepteriez vous de m’emmener en laisse dans le jardin pour y faire ma pisseuse s’il vous plait Monsieur ? »
Il ne répond pas mais prend la laisse que je lui propose. Je me mets à quatre pattes et j’attends.
Finalement il accroche le mousqueton sur l’anneau du collier. Je pars devant lui vers la porte d’entrée. Il m’ouvre et me laisse passer devant. Il a dû se douter que c’était le meilleur endroit ou se tenir. En restant derrière moi il a vue sur mes fesses et en dessous la fente de ma chatte que je fais ressortir en creusant mon dos.
J’avance jusqu’au milieu du jardin et n’y tenant plus, j’écarte les jambes au maximum mais mes petites lèvres restent collées. Je vais en mettre partout ! Je mets mes coudes au sol et je cambre à fond : ça y est, ma chatte est grande ouverte.
Je me relâche. En même temps que le jet d’urine, notre « ami » doit voir mon petit trou se détendre.
Ça y est, les objectifs sont atteints. Je suis à poil et je fais ma pisseuse, dans une position parfaitement indécente, devant un inconnu. Tout ce qu’il faut pour me mettre en état d’excitation extrême. Je sais que mon homme me regarde et que ça l’excite aussi.
Quand j’ai fini, je retourne vers l’entrée de la maison en tirant sur la laisse comme une chienne mal dressée et comme si j'avais hâte de passer à la suite. Mon homme retire le mousqueton du collier :
« Grimpe sur la table et met toi en position n°6 »
J'obéi : à quatre pattes, les coudes et les avant-bras posés à même le bois, les jambes très écartées, le dos creusé comme tout à l’heure, dehors, pour faire ma pisseuse.
Mon chéri dispose deux chaises juste derrière moi et les deux hommes s’assoient leurs verres à la main.
« J’adore voir sa chatte par derrière, très écartée. Qu'en pensez-vous ? »
"Euh.... Oui " .
C’est pas un bavard lui ! Ou alors la situation lui convient et il a peur de rompre le charme.
Ils ont les yeux à la hauteur de ma moule à moins de trente centimètres. Si ça, ce n’est pas de l’exhibition ! Je les imagine en train de détailler mon sexe béant. Ça me fait mouiller un maximum.
Mon homme me tend une lingette :
« Essuie toi »
« Oui Monsieur je suis une bonne petite salope »
Je suppose que cet ordre n’a pour but que de m’humilier d’avantage. De me mettre en situation de femelle en proie à ses désirs et ses besoins. Ma chatte est luisante des deux. J’en éprouve à la fois de la honte et de l’excitation.
Je passe la lingette sur le haut de ma cuisse droite parce qu’il m’avait semblé qu’une goute ou deux avaient coulé à cet endroit, puis entre mes petites lèvres déjà très écartées. Quand j’ai terminé je me remets en position.
Mon chéri en sirotant son verre de whisky et s'adressant à son voisin:
« Je vous propose un petit jeu : Nous allons l’attacher, je vais disposer quelques accessoires sur la table et vous allez essayer de la faire jouir le plus rapidement possible. Ça ne devrait pas prendre plus de trois minutes. »
Mr Akena semble intéressé, il lâche une approbation: « Ça a l’air amusant ! »
Alors c'est ça!
Après m' être montrée nue sous toutes les coutures, avoir exposé ma chatte ouverte à moins de trente centimètres de son visage, si près qu'il a sans aucun doute pu sentir mon odeur de femelle en chaleur, je vais devoir jouir devant lui.
L'orgasme, c'est quelque chose de très intime également. Il va me voir crisper mon visage, m'entendre gémir, pousser des petits cris, peut être même supplier pour qu'il continue à me donner du plaisir. J'ai honte mais j'en ai envie.
De toutes façons, mon homme ne me laisse pas le choix :
« Allonge toi sur le dos et approche tes fesses au bord de la table »
« Oui Monsieur »
La première corde relie mes poignets et va se fixer en haut de la table au-dessus de ma tête. Mes seins pointent vers le plafond.
On me fait plier et remonter les jambes vers la poitrine comme une grenouille et deux autres cordes prennent sur les genoux et tirent vers l’extérieur pour écarter les cuisses et m’empêcher de les refermer. Je ne peux plus bouger et je sens ma chatte et mon petit trou très exposés et à la merci de mes deux tortionnaires.
Un bandeau vient se poser sur mes yeux.
Je ne vois plus ce qui se passe mais j’entends un tiroir de la cuisine s’ouvrir et le bruit d’objets que l’on pose à côté de moi.
« Maintenant tu vas commenter ce qui se passe. J'ai parié que tu allais jouir en moins de trois minutes. Ne me fais pas mentir ! »
« Oui Monsieur »
Je n’ai pas à attendre longtemps, je sens un liquide couler sur mon pubis et une main qui vient l’étaler sur ma chatte en insistant sur le clito et l’entrée du vagin.
Je connais cette sensation :
« Je sens une main qui met du lubrifiant sur ma chatte de salope »
j'entends la voix de mon homme:
"Elle aime recevoir des claques à cet endroit, allez-y"
Je sursaute quand même sous l’effet de la première :
« Je suis une petite salope qui se prend des claques sur sa moule bien écartée »
Et c’est vrai que j’aime ça ! J’en redemande :
« Encore, s’il vous plait Monsieur »
Il ne se fait pas prier, une autre arrive.
Je compte : » 2, Merci Monsieur ».
Sous l’effet des claques, mes jambes voudraient se refermer vers l’intérieur et se rejoindre pour protéger ma chatte mais là, avec les cordes qui tirent sur les genoux, je suis écartelée au maximum et mes deux trous sont exposés et ouverts.
Les claques se succèdent avec un bruit de plus en plus « mouillé ».
Je compte : « 3, merci Monsieur, je suis une bonne petite sal……»
« 4, merci Monsieur »
Deux de ses doigts entrent dans ma moule dégoulinante de plaisir. Il fait des aller retours de plus en plus vite.
« Je me prends deux doigts dans la chatte et c’est bon Monsieur !»
J’aurais bien aimé qu’il continue encore mais je sens maintenant les doigts se retirer et…forcer l‘entrée de ma bouche, ils sont tout gluants. Je les suce comme si c’était la queue de mon homme. J’ai à peine le temps de reconnaître le gout de ma chatte que :
« Je sens un autre doigt qui s’enfonce dans mon cul de petite pute Monsieur »
En effet, dans ma position et trempée comme je suis, mon petit trou doit s’ouvrir tout seul et le doigt rentre sans difficulté. S’il veut me le remettre dans la bouche, cette fois, je ne pourrais rien faire. Mais je m’en fiche, je suis trop excitée.
« Je me fais doigter le cul et j’aime ça. Je suis une bonne petite pute Monsieur ».
En même temps, je sens une pression sur mon clitoris.
« Oui ! Mon petit clito de salope est tout dur Monsieur. Encore s'il vous plait ! »
J’aimerais bouger mon bassin pour accompagner le doigt qui tourne autour de mon petit bouton mais je ne peux pas. Cette immobilité forcée m’excite encore davantage.
« Oui ! C’est bon sur ma petite chatte de salope. Oui ! »
Un bruit sec sur mon sein droit. C'est le martinet.
Un autre coup sur le sein gauche. En fait, le bruit de claquement est très impressionnant mais je ne sens qu’une chaleur qui diffuse sur la poitrine. J’ai envie de voir ce que ça donne quand les coups seront plus forts.
« Je me fais fouetter mes seins de petite chienne. Plus fort s’il vous plait Monsieur » A côté, mon homme doit sourire.
" Plus que deux minutes"
Cette fois, le bruit ressemble à un vrai coup de fouet mais la douleur est plus que supportable ou alors, je suis vraiment très excitée.
« Oui ! Encore, je suis une bonne petite chienne qui aime se faire fouetter les seins . Encore ! »
Monsieur Akéna ne se le fait pas dire deux fois et les coups de martinet pleuvent sur mes seins. A chaque coup, je sens une petite piqure sur mes tétons. Mon excitation et mon plaisir nait du fait de sentir en même temps mon clito, mon trou du cul et mes seins. Je me sens chienne, salope et pute offerte. J’ai une folle envie de me faire prendre par tous les trous mais ça, c’est réservé à mon homme.
« Soixante secondes » dit-il justement.
Le doigt se retire doucement de mon petit trou.
Ah ? c’est l’instant de vérité…
Oh et puis après tout. Je vais leur montrer ce que c’est que d’être une bonne petite pute. J’ouvre grand la bouche. Un temps…
J’entends : « Allez y, c’est elle qui demande ! »
Le voilà… ce doigt qui sort à peine de mon cul, je l’ai dans la bouche et je le suce avidement comme si je voulais faire éjaculer la bite de mon homme. J’ai pris le parti d’être la plus grosse salope de l’univers alors, je pompe, je suce, je lèche comme si ma vie en dépendait. Satisfait de ma prestation, le propriétaire du doigt le récupère dans un bruit de succion.
C’est un autre bruit qui me fait sursauter. On dirait qu’ils ont envie de tester le martinet sur ma chatte écartelée.
« Je me fais fouetter ma chatte de petite sal... »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que le deuxième coup arrive.
Mon dieu, ce martinet, je l’adore. J’entends des bruits de fouet cinglants mais pas vraiment de douleur, juste un échauffement. J’en veux encore !
« Oui c’est bon ! Je suis une bonne salope qui se fait fouetter la chatte !»
Ça tombe bien, le rythme s’accélère. Les coups tombent tantôt sur le clito, tantôt sur la moule. J’adore ! Je n’ai pas mal, mais je sens que ça chauffe. Me faire fouetter, nue, écartelée et à la merci d’un étranger m’excite un maximum.
Les coups se sont déplacés. Ils arrivent maintenant en plein sur mon petit trou. Et je sens une vibration à l’entrée de ma chatte. Oui c’est ça, j’entends un petit ronronnement électrique.
« Je suis une petite pute qui se fait fouetter le trou du cul et je sens que je vais me prendre un vibro dans ma moule de salope »
L’engin force l’entrée sans grandes difficultés et s’enfonce doucement jusqu’au fond. J’ouvre la bouche malgré moi comme si c’était par là que j’étais pénétrée.
Ça vibre aussi sur mon clito. Les coups de fouet pleuvent sur mes fesses en même temps. Alors là, je ne réponds plus de rien. Je m’envole !
Mon périnée se contracte et je sens encore mieux ce sexe en plastique vibrer en moi. Un autre coup de martinet sur mon petit trou. J'en ai la voix qui chevrote:
« Ouuuuui ! C’est boooon ! Je jouuuuis comme un salooooope ! Ouuuuui ! »
C’est le combo orgasme clito/vagin et pile en même temps. Jack pot !
« Encoooore ! Plus foooort ! Oui ! c’est boooon ! Je vieeeeens ! »
L’orgasme me fait trembler de tout mon corps.
Mes jambes forcent pour se refermer mais c’est impossible, je reste écartelée et le gode continue de vibrer et de faire des aller et retours dans ma chatte.
J’essaie de me soustraire à cette pénétration mais je ne peux pas.
Mon clito est devenu hypersensible et je crie :
« Stop, stop stop arrètez !» Je crois que je vais mourir et puis tout d’un coup, je sens que le plaisir revient mais violement cette fois. Mon sexe se contracte comme si j’avais une crampe, et je me mets à crier :
« Non. Oui encore ! Ah ! Oui ! Ah ! Aaaaaah ! Les seins ! Pincez les seins ! S'il vous plait! Ouuuui ! »
Des doigts viennent pincer les tétons en les tirant vers le haut. La douleur ou le plaisir, ou les deux, je ne sais pas, sont fulgurants. Mon visage se crispe, Je sens maintenant comme des chocs électriques qui partent du fond de mon ventre et qui parcourent tout mon corps. La sensation de pince sur mes tétons s’amplifie encore, je manque de m’évanouir. Je me cambre et me tortille autant que je peux. Il me semble que je suis en train d’uriner par saccades mais je n’en suis pas sûre.
Les contractions et les chocs électriques s’espacent doucement.
Puis tout redescend. Je fais des « aie ! aie ! » en cherchant à soustraire mes seins à la douleur. Les pinces s’arrêtent, le gode se retire de ma chatte.
Je suis morte.
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J'étais en couple avec une magnifique Femme Dominatrice.
Au tout début de cette relation, nous avions discuté de nos envies et attentes, de nos kinks.
Je lui avais expliqué que je souhaitais découvrir la bisexualité forcée sous ces ordres, mais cette idée était restée sans suite.
En tant que soumis, je me plie aux envies de ma Domina et non aux miennes, cela me semble une évidence.
Nous n'habitions pas ensemble, mais nous étions très souvent ensemble, assez pour qu'elle ait les clés de chez moi.
Environ un an après cette première conversation, elle m'appelle pour me dire qu'elle n'est pas seule et qu'elle a une surprise pour moi.
Elle me demande donc de me préparer avant leur arrivée, à savoir d'être nu intégralement, de porter un plug, et chose rare, de mettre un bandeau sur les yeux et de les attendre à genoux, mains sur les cuisses.
J'étais tremblant et excité à la fois. Cette sensation est tellement intense, je sentais mon cœur battre à cent à l'heure ne sachant pas ce qu'il allait m'arriver.
Le temps d'attente m'a paru une éternité ,quand tout à coup, j'ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressé, tête droite et en position.
Sur la table était posée une bouteille de vin blanc sucré, le préféré de ma Domina, avec deux verres, pour son invité et elle-même.
Je tremblais mais je n'arrivais pas à me calmer, les yeux bandés, nu, à genoux sur le carrelage froid de mon salon.
Cela dura cinq bonnes minutes, car j'entendis le vin couler et les verres s'entrechoquer, Ils venaient de trinquer, mais j'ignorais toujours si c'était une femme ou un homme dans la pièce avec ma Domina.
Quelques secondes après, je sentis la main ferme de ma domina sur ma tête, je sentais son parfum enivrant qui se diffusait dans la pièce.
Elle me dit de sa voix douce et autoritaire 'Es-tu prêt mon lapin rose?'
(C'est ainsi qu'elle m'appelait depuis des mois après m'avoir fait porter un plug de queue de lapin, ainsi que des oreilles de lapin rose.) voir photos sur mon profil.
Elle me retira le bandeau des yeux, et là je me retrouve nez à nez avec un un sexe d'homme épais au repos. cela était la première fois pour moi.
A la vue de ma stupéfaction, ma domina se mit à rire, ce rire pervers et sadique qu'elle avait quand elle savait que j'avais honte et que je me sentais humilié.
Autour de son cou, elle portait un appareil photo.
Je levais les yeux en regardant ma Domina et elle dit seulement "Vas-y"
A ces mots, je pris le sexe de cet homme dans ma main, il était épais et chaud... C'était une étrange sensation pour moi, mais j'avais l'envie de le faire durcir. Alors je me suis mis à la caresser, la branler et au bout de quelques instants l'envie de la prendre dans ma bouche, ce que je fis.
Au loin j'entendais ma Domina rire, se moquer de moi et le crépitement de l'appareil photo, mais j'étais dans ma bulle... heureux de faire durcir le sexe d'un inconnu dans ma bouche, devant ma Domina.
Une fois son sexe bien dur dans ma bouche, ma domina me donna l'ordre de le prendre a pleine main et demanda à l'homme de prendre à son tour mon petit sexe mou pour comparer et prendre des photos.
Cette situation était très humiliante pour moi, mais je sais qu'à ce moment là, ma Domina prenait beaucoup de plaisir, cela était le plus important pour moi 💕
Ensuite la séance s'est déroulée sous les ordres de ma Domina.,
Il m'a doigté, pluggé, godé mais jamais pénétré. (Voir photos sur mon profil)
Je ne serais dire combien de temps a durée cette séance et qui était cette homme, je m'en moqué. Je me sentais vide, épuisé, heureux.
Une fois partie, cet inconnu partit, ma Domina me regarda intensément, je compris dans la seconde que cette séance l'avait grandement excitée.
Alors je m'allongeai au sol sans un mot, elle se déshabilla rapidement et s'assit sur mon visage. il ne lui fallut pas longtemps pour qu'elle ait un orgasme intense et humide.
Sans un mot, nous sommes parties sous la douche, et nous nous sommes allongées dans les bras l'un de l'autre.
A ce moment là, nous ne faisions plus qu'un.
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Achille aurait passé une partie de sa jeunesse chez les filles et les femmes, habillé comme elles, pour échapper à la guerre de Troie. Il aurait été démasqué par Ulysse, avec une épée.
Ceci ce sont les éléments qui sont restés sur l'histoire d'Achille, le meilleur combattant de l'antiquité. Je trouve beaucoup d'incohérences dans cette version. Comment, par exemple, Ulysse pouvait-il savoir qu'Achille était le meilleur ?
Il est temps pour moi de mettre cet article en pause. D'attendre l'arrivée des images, d'aller visiter les annales akashiques.
Ce que je ressens toutefois, c'est que cela a un rapport avec le yin et le yang des chinois. Pour être le meilleur combattant, Achille devait il être complet? Quel est le rôle du yin ? L'eau est elle plus forte que le rocher?
Attendons l'arrivée des images. Achille travesti en ravissante jeune femme et vivant avec les femmes pour se dissimuler et échapper à la guerre de Troie ?
Voilà, les images sont là. Achille en travesti....il a un passing extraordinaire. On dirait vraiment une fille et une top, super canon, super bandante. Je suis scotché. Et il est très à l'aise dans ce rôle et s'en amuse beaucoup. Il nique à tout va. En fait il sodomise à tout va des femmes vraiment superbes qui sont folles de lui et de sa queue.
La Mère d'Achille, la sublime Thetis est une femme d'une beauté à couper le souffle. Elle a épousé Pelee un homme déjà avancé en âge et fort vigoureux. Ensemble il règnent sur le petit royaume de Phtie. C'est un lieux de passage, avec le celebre défilé de Thermopiles. Un royaume paisible, attaché à la neutralité et qui ne veux pas faire la guerre de Troie.
Thetis aime les femmes. Elle a fait construire et aménager des bains superbes réserves aux femmes avec des jardins splendides, au dessus de la mer. Un véritable cocon douillet et luxueux où elle peut aimer tranquillement les femmes de son choix.
C'est Thetis qui a pris l'habitude de travestir Achille en fille depuis tout petit. Elle voulait de toute façon une fille. C'est une réussite. Personne ne peut savoir qu'Achille est un garçon fort bien doté, avec un beau sexe mâle sous ses robes. On dirait vraiment une très jolie fille. Son corps est lisse, fin, souple. Sa peau douce et sans pilosité. Il n'a besoin d'aucun fard ou maquillage. Ses longs cheveux blonds lui arrivent dans le dos. Lorsqu'il veut retrouver son état garçon, il les noue avec une broche en or, derrière sa tête. Cela n'en fait pas complètement un garçon de la sorte. Une garçonne?
Ce que je remarque c'est lincroyable complicité qui existe entre Achille et sa mère, la sublime Thetis surtout lorsque Achille est travesti en jeune femme. Travesti n'est de toute façon pas le bon mot. C'est un état naturel pour Achille d'être en fille. Sa mère l'a élève ainsi depuis le berceau. Elle l'appele Akilea.
Thetis à vite compris que son fils adorait les femmes. Elle l'a fait initier par une prostituée de grand talent à tous les jeux de l'amour. Achille sait se servir de sa grosse queue et donner du plaisir. Ce qu'il préfère, c'est sodomiser les femmes. Il trouve cela plus jouissif et c'est un moyen de contraception comme un autre.
Dans les bains pour femmes de sa mère, il fait un malheur. Sa mère avec humour lui a trouvé un travail de masseuse. Aucune femme ne resiste à ses caresses très fermes, et toutes offrent leurs fesses pour prendre du plaisir.
Thetis grâce à ses bains réserves aux femmes, est au courant de tout. Elle dirige le royaume de Pélée de façon fort habile. C'est une femme d'influence.
Alors d'où viennent les dons exceptionnels d'Achille pour le combat ? Ceci mérite une autre histoire car les images que je reçois sont vraiment intéressantes.
A suivre
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Dans l'apaisement qui suivit, un silence doux enveloppa la chambre, parsemé seulement par les respirations entrecoupées de Vanessa et de David, témoins de leur ardeur passée. Vanessa, encore frissonnante sous l'effet des ondes de son plaisir, sentait la fraîcheur des draps contre sa peau brulante, un contraste qui apaisait doucement ses sens enflammés. Son corps détendu gisait dans une pose de soumission satisfaite, ses yeux mi-clos reflétant un mélange de fatigue et d'extase.
David reprit petit à petit ses esprits. Il n’avait pas joui aussi intensément depuis bien longtemps. Regardant Vanessa, allongée là, si vulnérable et pourtant si pleinement offerte, un sentiment de profonde admiration et de respect s'infiltra dans le cœur de David. Cette femme était un cadeau du ciel. La lueur des bougies se reflétait sur sa peau, accentuant les contours de son visage détendu, ses cheveux de feu éparpillés autour d'elle comme un halo sauvage. Ses fesses toujours tendues étaient un temple de beauté au creux duquel se tenaient des trésors encore palpitants. Dans le regard de David, il y avait une lueur de quelque chose de plus tendre, plus profond que les simples désirs physique et de domination qui l’habitaient. Il se sentait incroyablement privilégié, conscient de la confiance immense que Vanessa lui avez accordé, lui accordait. Chaque soupir, chaque frisson qu'elle avait partagé avec lui ce soir renforçait son attirance envers elle. Elle n'était pas seulement une partenaire de jeux, mais une complice de son âme, quelqu'un qui lui permettait d'explorer les profondeurs de sa propre nature sans jugement. O’ certes, ils n’étaient qu’au tout début de leur relation ; et il était bien trop tôt pour faire des plans sur la comète. Mais la relation qui se tissait entre eux était comme une évidence. La beauté de son abandon lui rappelait pourquoi il cherchait cette connexion si intense, ce mélange de pouvoir, de contrôle et d'intimité. En elle, il voyait non seulement une possible future soumise mais aussi une partenaire égale dans leur danse de volontés, une possible compagne avec qui évoluer dans la vie main dans la main, les yeux braqués dans une direction commune. Elle lui inspirait une passion qui allait au-delà du plaisir physique, touchant des parties de son être qu'il ne livrait pas facilement. David sentait une vague de tendresse l'envahir, mêlée à une protection presque instinctive. Il savait qu'il ferait tout pour garder, développer, enrichir et faire grandir ce lien précieux intact, pour explorer avec elle de nouveaux territoires de leur relation complexe et enrichissante. Tandis qu'il observait Vanessa respirer doucement, il se promettait de continuer à mériter la confiance qu'elle lui avait donnée.
David se pencha doucement, ses gestes mesurés et pleins de révérence. Avec une délicatesse palpable, il retira la chaîne dorée qui reliait les menottes de Vanessa, libérant ses bras qui tombèrent, lourds et fatigués, de chaque côté de son corps. Chaque mouvement était un ballet de soins et d'attention, comme s'il manipulait les pièces les plus précieuses d'un trésor fragile. Ensuite, il s'attaqua aux attaches de cuir qui liaient les chevillières de Vanessa au lit. Le déclic des fermoirs résonna doucement dans la pièce silencieuse, comme la fermeture d'un chapitre intense et passionné. À mesure que les contraintes se relâchaient, le corps de Vanessa s'affaissa, une liberté retrouvée enveloppant son être. Elle s’étendit, relâchant chaque muscle, chaque tension conservée pendant leur jeu intense.
Le sperme encore tiède de David, témoin de leur connexion ultime, coulait lentement le long de ses fesses rebondies … certaines gouttes avaient trouvé leur chemin dans la raie profonde de ses fesses formant un chemin luisant qui brillait et mettait plus en valeur encore l’intimité humide de Vanessa. Les fesses de Vanessa ondulaient doucement au contact de ce nectar tiède qui venait s’insinuer Le spectacle qui s’offrait à David était d’une beauté et d’un érotisme saisissant : une œuvre d'art vivante, une célébration de la sensualité.
David vint s'asseoir à côté d'elle, caressant doucement son dos avec une affection tendre. Son toucher était un murmure contre sa peau, promettant soin et protection après l'intensité de leurs étreintes. Vanessa, répondant à la douceur de son geste, se tourna pour le regarder, ses yeux reflétant une gratitude silencieuse et une profonde satisfaction. « « Merci … » souffla-t-elle, dans un sourire radieux. « Merci à toi ! » lui répondit David en l’embrassant tendrement. « Tu es juste incroyable, … sublime … » continua-t-il.
Vanessa, touchée par les paroles et les gestes de David, sentit son cœur s’emplir d’une émotion nouvelle et profonde. Son soudain tutoiement la faisait fondre et la ravissait. Par contre elle ne se voyait pas le tutoyer. Elle était trop impressionnée. Elle se tourna vers lui, une hésitation dans la voix, et révéla son trouble.
« David, je suis plus que ravie de tout ce que nous vivons ensemble... par contre … euh … je … enfin, je suis très heureuse que vous me tutoyiez … mais … je me sens plus à l'aise de continuer à vous vouvoyer, si vous le permettez. Ça me donne une certaine distance... nécessaire, je pense, pour moi, … dans ce que nous vivons … vous … euh … vous m’impressionnez … » dit-elle en rougissant comme une adolescente.
David, l'écoutant attentivement, acquiesça d'un signe de tête, son regard empreint de compréhension et de respect pour ses besoins, et aussi d’une infinie tendresse devant une femme aussi attirante et touchante. « C’est comme tu le sens, Vanessa. Je veux que tu te sentes à l’aise et en confiance, toujours, » dit-il avec douceur, la rassurant.
Alors qu’ils s’étreignaient de nouveau, enlacés l’un contre l’autre, enivrés par l’odeur de leurs corps qui respirait le sexe, l’horloge du salon sonna 5 heures. Ils s’interrompirent, les yeux dans les yeux, et partirent d’un éclat de rire commun : « Il est déjà 5 heures ! On est un peu fou, non ?! » dit David. « Oh oui », sourit Vanessa… « Mais c’est tellement bon » continua-t-elle, rougissant de nouveau …
Souriant doucement, David lui caressa la joue. Vanessa était d’une beauté renversante en cet instant. « Et si nous allions nous rafraîchir un peu? » dit David. Elle s’approcha de ses lèvres ; y déposa un tendre baiser. « Je vous suis David »
Avant de se diriger vers la salle de bains, David, avec des gestes pleins de tendresse, retira un à un les menottes, les chevillières et le collier qui ornaient encore le corps de Vanessa. À chaque retrait, il déposait un baiser sur ses poignets délicats, ses pieds fins et son cou accueillant. Tous deux nus, ils se dirigèrent vers la salle de bains. David appuya sur l’interrupteur à intensité : la pièce s’illumina d'une lumière douce et chaleureuse. Les murs carrelés en marbre blanc créaient une atmosphère luxueuse et apaisante. Une grande baignoire îlot trônait au centre, invitante avec ses courbes élégantes et ses robinets en laiton poli qui scintillaient sous l’éclairage tamisé. À côté, une douche à l’italienne en verre transparent promettait une cascade rafraîchissante, complétée par un panneau de commandes moderne permettant de régler la température et l'intensité des jets d’eau.
David s'approcha des commandes de la douche, ajustant les divers robinets pour que l'eau soit à bonne température. L'eau commença à couler du plafond comme une lente cascade, créant un bruit apaisant qui emplissait la pièce. Vanessa, entraînée par David sous le jet doux, sentit l'eau chaude couler sur son corps voluptueux. Elle ferma les yeux, laissant l'eau caresser sa peau, glissant sur ses épaules, le long de ses courbes, et entre ses seins.
L'eau enveloppait Vanessa, réchauffant son corps tout en apaisant les traces de leur jeu passionné. Elle pouvait sentir chaque goutte explorer sa peau, chaque frisson amplifié par la chaleur de l'eau qui contrastait avec la fraîcheur des draps qu'elle avait quittés. L'expérience sensorielle était renforcée par la vue de David, nu devant elle, son corps baigné dans la lumière douce qui accentuait chaque muscle, chaque ligne de son corps.
David ouvrit un flacon de baume nettoyant de chez Molton Brown, dont l'arôme de bois de cèdre et d'orange japonaise se mêlait à la vapeur d'eau pour remplir la salle de bains d'un parfum relaxant et masculin. Il prit une noisette du baume dans ses mains, les réchauffant entre ses paumes avant de les poser sur le corps de Vanessa. Avec des mouvements méticuleux et sensuels, il commença à masser le baume sur elle, partant de ses épaules pour descendre doucement vers ses seins, où chaque cercle de ses mains attisait un désir encore vibrant en elle. Les mains de David glissèrent ensuite vers ses hanches et plus bas encore, massant le baume sur ses fesses dans des mouvements qui mêlaient fermeté et douceur, provoquant chez Vanessa des soupirs de plaisir. Lorsqu'il atteignit ses cuisses, il prit le temps de les malaxer doucement, ajoutant à la détente physique une promesse érotique presque palpable.
Chaque contact de David était un mot d'amour écrit sur sa peau avec le baume, chaque mouvement affichait son dévouement et son désir de prendre soin d'elle. Vanessa, à son tour, prit du baume et commença à l'appliquer sur David. Ses mains explorèrent d'abord son torse, prenant soin de caresser et de pincer ses mamelons dont elle avait décelé qu’il y était très sensible ; puis elles descendirent vers son ventre. Lorsqu'elle atteignit son sexe, elle le saisit doucement, le branlant avec une tendresse teintée d'urgence, sentant David frémir sous ses caresses. Le pénis de David était de nouveau raide et palpitant. Ce qui fit fondre Vanessa. Enhardie par ses réactions, elle quitta le sexe de david et se mit à masser ses seins avec le baume, laissant ses mains glisser sur son propre corps en une danse ensorcelante, alors que David, porté par l’excitation s'était mis à la doigter, explorant son intimité avec une précision qui la ramenait au bord de l'extase.
La douche se transforma en sanctuaire de leur plaisir partagé. Vanessa, électrisée par la sensation des doigts de David qui glissaient profondément en elle, gémissait contre le mur carrelé, la chaleur de l'eau amplifiant chaque caresse, chaque intrusion. David, encouragé par ses gémissements, accentuait ses mouvements, ses doigts habiles jouant avec elle dans un rythme de plus en plus insistant.
L'eau chaude coulait sur eux, enveloppant leurs corps dans un voile humide et brûlant, dessinant des ruisseaux le long de leurs peaux et s'entremêlant avec le savon et la sueur. L'odeur du baume se mélangeait avec l'arôme naturel de leur désir, créant une fragrance unique qui marquait ce moment comme hors du temps.
David, avec une ardeur renouvelée, plaqua Vanessa contre le mur de la douche, son corps contre le sien, son sexe dur pressant contre elle. Sans plus attendre, il la pénétra, sa poussée douce mais puissante la remplissant complètement. Vanessa poussa un cri étouffé, une exclamation de plaisir pur qui résonna contre les carreaux. Sous l'assaut rythmé de David, chaque mouvement plus profond que le précédent, Vanessa sentait une montée irrésistible de plaisir. Ses propres mains couraient sur son corps, pinçant ses mamelons durcis, suivant les lignes de ses propres muscles tendus par l'effort et le plaisir. David, avec une main toujours sur la paroi de la douche pour se stabiliser, explorait son corps, encourageant chaque cri, chaque gémissement qui s'échappait de ses lèvres. Il enserra tendrement mais fermement le cou de Vanessa dans un geste d’amour et de possession.
Leurs corps s'alignaient parfaitement, le sexe de David glissant avec aisance dans la chaleur de Vanessa, chaque coup accompagné par le son de l'eau qui clapotait contre eux. Vanessa, portée par une vague d'émotions et de sensations, sentait son orgasme monter rapidement. La pression de l'eau sur son corps, la main de David autour de son cou, tout contribuait à son ascension vers l’orgasme. Dans un dernier cri rauque, Vanessa atteignit l'orgasme, ses muscles se contractant autour du sexe de David, l'entraînant dans son propre abandon. David, poussé par l'intensité de l'orgasme de Vanessa, accéléra ses mouvements. « Puis-je venir en toi » murmura-t-il à Vanessa d'une voix saccadée par l’excitation. « Je vous en prie » souffla Vanessa. David redoubla l'intensité de ses mouvements jusqu'à ce qu'il atteigne à son tour l’orgasme, son corps se tendant dans un spasme de libération ; son nectar nacré prenant possession de l’intimité de Vanessa…
Épuisés mais exaltés, ils s'effondrèrent ensemble sur le sol de la douche, leurs corps enlacés dans un tapis d'eau tiède qui continuait de couler doucement sur eux. La chaleur de l'eau mêlée à la chaleur de leurs corps créait une atmosphère presque tropicale, un microclimat de leur intimité et de leur passion partagée. Le souffle court, ils se tenaient l'un contre l'autre, leurs cœurs battant à l'unisson sous le jet apaisant de la douche, leurs esprits flottant quelque part entre la réalité et un rêve éveillé.
(A suivre)
Source de l'illustration : photo libre de droit de l'internet
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Chapitre 2 (Lui)
13 Juillet (séance six)
Lors de la première séance, nous avons commencé à mettre en application les termes du contrat. Je lui avais fait apprendre les cinq positions. J’étais assis dans un fauteuil, au salon, et je lui ai fait répéter les gestes jusqu’à ce que cela devienne automatique.
Position n° 1 : Debout, les jambes légèrement écartées et les mains derrière la tête. C’est une position d’attente qui met bien la poitrine en valeur.
Position n° 2 : « Présentation des seins. » Debout, les jambes légèrement écartées, les mains se positionnent sous les seins et les remontent vers le haut. Idéal pour la pose de pinces sur les tétons.
Position n°3 : Debout, les jambes légèrement écartées, les bras croisés derrière le dos. C’est également une position d’attente mais celle-ci peut facilement être adoptée en public.
Position n°4 : « Présentation de la chatte ». Debout, les jambes écartées, le bassin projeté en avant. Les mains viennent écarter les grandes lèvres de la chatte. Très pratique pour poser des pinces ou, vérifier l’état d’excitation.
Position n° 5 : « Présentation des fesses ». Debout de dos, les jambes écartées, penchée en avant. Les deux mains viennent écarter les fesses au maximum. C’est la position rêvée pour la pose d’un plug.
Elle était bonne élève et au bout d’une heure, nous sommes passés aux façons de s’asseoir en public et en privé.
Position assise en public, donc habillée:
Elle soulève discrètement l’arrière de sa jupe et pose ses fesses nues à même le siège pour lui rappeler qu’elle ne porte pas de culotte.
Elle doit garder en permanence les cuisses légèrement disjointes et les mains de chaque côté du corps.
Position assise en privé, donc nue:
La tenue de rigueur en privé étant la nudité totale, hormis les chaussures, elle doit s’asseoir, écarter largement les jambes, se soulever d’un côté en écartant la fesse opposée puis se soulever de l’autre côté en écartant l’autre fesse. De cette façon son petit trou doit se trouver en contact avec l’assise.
Les mains de chaque côté du corps.
Nous avons terminé la séance avec les réflexes de langage qu’elle doit adopter :
Quand il s’agit de ses seins :" Je suis une petite chienne où, je suis une bonne chienne."
Quand il s’agit de sa chatte: "Je suis une petite salope où je suis une bonne salope."
Quand il s’agit de ses fesses: "Je suis une petite pute où je suis une bonne pute."
Par ailleurs, elle doit me prévenir à chaque fois que sa chatte s’écarte d’elle même à l’occasion d’un geste ou d’une position.
Je l’ai mise en position n°1 et je suis allé chercher une spatule de cuisine.
Une petite tape sur un sein : Elle démarre au quart de tour : « Je suis une petite chienne Monsieur».
Une autre tape sur l’entre-jambe : « Je suis une bonne petite salope Monsieur»
Je l’encourage :
« C’est très bien. Et si tu devais développer ? »
Nouvelle claque au même endroit : « Je suis une petite salope…qui est en train de se faire claquer la chatte Monsieur»
Je m’assure qu’elle ait bien compris :
« Demi-tour ! » Elle se tourne, toujours les mains sur la tête.
Une tape sur les fesses : « Je suis une bonne petite pute qui … aime se faire enculer Monsieur»
Elle était prête.
Dans la semaine qui a suivi, j’ai pensé qu’il me fallait quelques accessoires et que cela pouvait faire l’objet de la deuxième séance.
Ainsi, à l’heure dite, nous avons pris la voiture et avons commencé par une animalerie. Elle me suivait dans les rayons en position n°3, les yeux baissés, et nous sommes passés à la caisse avec un collier, une laisse et une gamelle en métal. En somme, nous avions l’air du couple qui vient d’adopter un chien. Là où le vendeur a levé les yeux sur ma femme, c’est quand il a vu qu’il y avait également une cravache sur le tapis. Il a dû imaginer ma femme nue, tenue en laisse en train de laper dans sa gamelle tout en recevant des coups de cravache sur les fesses.
Emoustillé par le regard d’envie que j’avais vu dans les yeux du commerçant, j’ai emmené ma chérie dans un grand magasin. Je lui ai donné des consignes :
« Tu vas acheter un concombre, des préservatifs et du lubrifiant. Tu choisiras un caissier homme pour payer tes achats ! »
« Oui Monsieur »
C’est un classique mais j’avais trop envie de la voir faire ça. Je l’ai suivie à distance et elle a gardé les yeux baissés pour passer à la caisse devant un jeune homme qui n’a pu retenir un grand sourire quand il a compris.
En me rejoignant, un peu après les caisses, elle est venue à mon oreille :
« Je suis une petite salope qui a envie de se prendre un concombre dans la chatte »
Décidément, elle y met du sien.
Le dernier arrêt fut au magasin « Marc Dorcel », enseigne de sex-toys réputée.
Le personnel de ce magasin était exclusivement féminin et dès notre arrivée, une jeune femme s’est approchée de nous :
« Je peux vous conseiller ? »
Toujours en position n°3 et les yeux baissés, ma femme m’a vu faire l’acquisition de deux butplugs de tailles différentes, d’un martinet, d’un godemiché et d’un œuf vibrant télécommandé à distance.
Nous sommes rentrés à la maison, la séance était terminée.
Pendant la semaine, je pense évidemment à la séance précédente ainsi qu’à la suivante. Je rajoute des éléments dans les grilles d’options qui accompagnent le contrat. Ces grilles sont posées sur le bureau et elle doit les remplir.
Je ne lui laisse pas vraiment le choix puisque seules deux cases existent :
« J’accepte » et « ça m’excite ». Ça me permet quand même de savoir ce qui lui plait.
Ainsi la semaine dernière, après l’épisode avec Laurent :
« Être nue devant un inconnu », et: « Séance devant un inconnu », elle avait coché pour les deux : « Ça m’excite ».
Cela m’avait donné des idées.
Aujourd’hui, le temps est gris mais nous sommes mi juillet et la température est douce.
séance n°6.
Je lui avais dit : » Cet après-midi, 16h, tenue publique, nous sortons !
Elle avait acquiescé :
« Oui Monsieur »
A chaque fois, c’était un cadeau qu’elle me faisait. Avec ce « Oui Monsieur » elle disait : « je te donne mon corps et mon esprit pendant deux heures. Fais de moi ce que tu veux. Je t’obéi aveuglement, je te fais confiance. »
Il faut dire que je ne cherche en aucun cas à lui faire mal, bien au contraire. En fait, mon plaisir est de la voir prendre le sien. Comme elle ne peut pas savoir avant d'avoir essayé, je lui propose tout un éventail d'expériences et ensuite elle coche sur la grille.
A 15 heures, elle avait disparue dans la salle de bains. J'avais entendu le bruit de la douche, du sèche-cheveux. Et à 16h, elle descendait, vêtue d'un haut boutonné, et d'une minijupe. Elle était superbe, comme d'habitude.
" tu es juste magnifique ma chérie"
"Merci Monsieur"
Inutile de lui demander si elle est prête, si elle m'appelle Monsieur, c'est qu'elle est consentante.
Je l'amène à un bout de la table où j'ai disposé, un peu en retrait, un collier et un ordinateur portable.
" Mets ton collier et Position n° 5 ! "
"Oui Monsieur". Elle le ferme sur son cou puis prend la position. Elle se penche en avant jusqu'à faire toucher ses seins sur le bois de la table, fait remonter l'arrière de sa jupe sur ses reins et écarte largement ses fesses avec les deux mains.
"Je suis une bonne petite pute Monsieur. »
Je passe derrière elle. En écartant ainsi ses fesses, elle sépare également les lèvres de sa chatte et j'ai une vue splendide sur ses deux trous. Je meurs d'envie de la prendre comme ça, tout de suite, mais soyons patient.
"Je veux que tu révises le contrat au chapitre "Montée et descente de voiture".
"Oui Monsieur"
J'ouvre la page correspondante :
Montée et descente de voiture
Pour la montée:
1 Si Monsieur est au volant :
Ouvrir la portière, me mettre de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de m'asseoir, puis m'installer, fesses nues, sur le siège.
2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture.
S'asseoir perpendiculairement au fauteuil, fesses nues sur le siège. Faire monter la jambe gauche dans la voiture en laissant la jambe droite à l'extérieur afin d'écarter les jambes au maximum. Remonter la jupe pour découvrir la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Faire monter alors la deuxième jambe.
Dans les deux cas, après avoir refermé la portière : Ecarter largement les jambes puis chaque fesse afin que le petit trou soit en contact avec le siège.
Déboutonner le chemisier pour laisser entrevoir les seins. Poser les mains à l'extérieur des cuisses pour que la chatte soit bien visible.
Pour la descente :
1 Si Monsieur est au volant :
Ouvrir la portière, me mettre debout de dos dans l'encadrement de la porte, soulever ma jupe pour bien dévoiler les fesses, attendre l'ordre de fermer la porte, puis faire redescendre la jupe.
2 Si Monsieur m'ouvre la porte de la voiture.
Pivoter vers l’extérieur, en sortant la jambe droite au dehors afin d'écarter les jambes au maximum. S'assurer que la jupe, en bougeant, ne cache pas la vue sur la chatte et attendre que Monsieur commence à fermer la portière. Sortir alors de la voiture et faire redescendre la jupe.
Pendant sa lecture je suis allé chercher un de ces crochet en forme de S destiné, quand il est introduit dans l'anus et tiré par une corde reliée au collier, à amplifier la cambrure. Je l’ai commandé sur internet et il est arrivé cette semaine. Je mets un peu de lubrifiant sur le bout de mon doigt et je masse doucement son orifice en faisant parfois pénétrer la première phalange. Son dos se creuse un peu plus, elle aime.
Je fais rentrer une extrémité du crochet dans son petit trou, j'entends un gémissement. Je relie l'autre extrémité à l'anneau du collier par une cordelette que je commence à tendre. La cambrure s'intensifie. Je tends encore la cordelette.
"Je suis une bonne petite pute" dit-elle dans un souffle. Ce doit être le signal que c'est le maximum tolérable. Je relâche un peu.
"Maintenant je veux que tu revoies le contrat au chapitre : Comportement en public !"
"Oui Monsieur"
J'ouvre la page.
Comportement en public
La tenue de rigueur est: jupe courte et haut boutonné.
Position debout:
Ma position debout doit être naturelle en adoptant le plus souvent la position n°3 : Bras croisés dans le dos.
Il m'est strictement interdit d'initier une conversation avec quiconque.
En revanche, je devrai répondre avec humilité et respect si la parole m'est adressée.
En extérieur comme en intérieur, j'ai interdiction de plier les genoux. Si je dois me pencher, je garde les jambes tendues.
Je ne dois jamais manquer une occasion de dévoiler et exposer mes seins, mes fesses ou ma chatte à Monsieur, à chaque opportunité qui se présente.
Faire ma pisseuse (en public):
Si je dois aller aux toilettes pour uriner, je dois dire : "je suis une petite pisseuse" et attendre l'autorisation.
Une fois sur place, je dois me mettre entièrement nue, à l'exclusion des chaussures, et prendre une photo de ma chatte que je montrerai à Monsieur dès ma sortie des toilettes.
" J'ai terminé Monsieur". Je remarque qu'elle fatigue à garder la position. Je lui retire son collier puis le crochet anal. Elle arrondit son dos pour se détendre. Je vais lui donner un moment de répit.
"Bois un verre d'eau et rejoins moi à la voiture !"
"Oui Monsieur"
Je sors.
De ce côté de la maison, la porte d'entrée donne sur un grand jardin sans vis-à-vis. La voiture est garée devant, je m'installe au volant. A peine trente secondes, elle n'a pas trainé, je vois la porte passager s'ouvrir. Elle se place dans l'encadrement, me tourne le dos et relève bien haut l'arrière de sa jupe dévoilant ses fesses, elle écarte un peu les jambes. Comme je suis assis, je distingue le renflement de la chatte sous les fesses et même, un peu de ses petites lèvres qui dépassent.
" je suis une bonne petite pute Monsieur."
"C'est bien ! Monte !"
"Oui Monsieur" Elle s'assoit à même le siège en cuir, écarte bien les jambes, puis les fesses l’une après l’autre, relève le devant de la jupe pour dégager la chatte, défait un bouton de son chemisier, pose les mains sur les côtés. Pour l'instant c'est un sans-faute.
Je manœuvre pour sortir de la propriété et prends la route vers la ville la plus proche.
Mon plan est le suivant : rejoindre une grande surface et mettre ma femme entièrement nue dans différentes occasions que j'ai déjà imaginées. J'espère même réussir à la faire se déshabiller devant au moins un inconnu.
Nous arrivons, je prends une place tout au bout parking, je coupe le moteur.
C'est le week-end et, bien sûr, les grandes surfaces sont très fréquentées mais là ou nous sommes garés c’est plutôt désert. Elle ouvre sa portière, elle sort, relève l'arrière de sa jupe.
"Je suis la petite pute de Monsieur." dit-elle à voix basse mais distincte.
Elle a les yeux baissés mais moi, je vois un homme qui viens vers nous pour sans doute, récupérer sa voiture. J'attends un peu et je la laisse les fesses à l'air.
Finalement, l'homme s'arrête une allée plus loin. Il n'a rien remarqué.
"Allons-y !" la jupe retombe.
Nous entrons dans l'allée principale du magasin.
Elle s'approche de mon oreille :
"Je suis une petite pisseuse". Ah Oui ! Le verre d'eau, elle a dû en prendre un grand.
"Va ! Je t'attends ici !" Elle s’éloigne, je l'imagine enlever son haut, sa jupe, une fois nue, faire une photo, puis faire son pipi et se rhabiller.
Tiens au fait, juste avant de partir, elle à oublier de dire "Oui Monsieur". Il va falloir que j’ajoute un chapitre « punitions » au contrat. Pas vraiment pour la punir ou lui faire du mal, bien sur, mais plutôt pour lui permettre, en "oubliant" sciemment certaines règles, de m'indiquer ce dont elle a envie. A creuser...
Je repère le photomaton dans l'allée. Ça n'est pas un hasard, je savais pertinemment qu'il était là.
La voilà qui revient. Elle me montre son portable sur lequel s’affiche sa chatte en gros plan. La photo est un peu floue mais ça n’est pas le plus important. Le plus important c’est qu’elle ait obéi aux ordres, au contrat. Et c’est ce qui m’excite au plus haut point.
Je lui montre le photomaton.
"Tu vas aller faire des photos de toi toute nue "
"Oui Monsieur" et elle repart.
C'est un de ces appareils qui peut prendre quatre poses différentes. Un rideau est tendu à l'entrée mais il ne descend pas jusqu'en bas. Les photos sortent à l'extérieur et des clients attendent leurs tirages. Il y a là une femme et un homme.
Elle rentre dans le petit local, tire le rideau. Par-dessous je vois ses jambes jusqu'aux genoux. Je vois la jupe passer par ses pieds, je l'imagine enlever le haut. Elle doit être entièrement nue maintenant et se débattre avec le monnayeur. Des épreuves sortent de la machine, la femme qui les attendait les récupère et s'en va. Je vois le premier flash dans la cabine, trois secondes, le deuxième et ainsi de suite.
Sous le rideau, je vois la jupe passer par les pieds et remonter sur les jambes puis le rideau s'ouvre. Elle me rejoint.
A mon oreille : "J'ai été une bonne chienne, une bonne pute et deux fois une bonne salope" Ce qui me donne à penser qu'elle a pu photographier ses seins, ses fesses et sa chatte à deux reprises. Dans l'ordre.
Nous sommes un peu à l'écart de la machine et nous attendons maintenant la sortie des photos. L'homme qui a fait les siennes avant nous, flâne devant la vitrine du magasin voisin, il n'a pas vu que ses photos l'attendaient. Tant mieux ça m'arrange. Ce sont les nôtres qui sortent maintenant et qui sont venues s'ajouter aux précédentes.
Je temporise.
Ça y est, l'homme vient chercher son dû. Il prend le paquet de photos et la surprise se lit sur son visage. Il les examine minutieusement l'une après l'autre.
"Maintenant !"
"Oui Monsieur" Elle va vers la machine et tend la main vers l'homme qui sélectionne les épreuves.
Il bafouille:
"Euh oui! Voila les vôtres. Excusez moi. "
Quand elle fait demi-tour et revient vers moi, je vois le regard de l'homme s'attarder sur le bas du dos de ma chérie.
Passons aux choses sérieuses, nous entrons dans la grande surface proprement dite et je me dirige vers le rayon multimédia. J’y prends un DVD au hasard. Puis nous allons au rayon vêtements. J’en prends un, également au hasard, et j’emmène ma chérie vers les cabines d’essayage.
Nous entrons tous les deux dans une des cabines avec le vêtement et le DVD. Une fois à l’intérieur, je défais la pellicule du DVD, et récupère la petite bande antivol.
« Arrange-toi pour passer ceci dans l’ourlet de ta jupe »
« Oui Monsieur »
Pendant ce temps, j'abandonne le DVD par terre dans un coin.
« C’est fait Monsieur »
« C’est très bien, quand je te ferai signe, disons quand je me passerai une main dans les cheveux, tu te déshabilles rapidement et entièrement »
« Oui Monsieur »
Nous allons reposer le vêtement que j’avais pris pour justifier notre passage aux cabines d’essayage puis nous nous dirigeons, n’ayant plus aucun article, vers la « sortie sans achat ».
Bien sûr, l’alarme se déclenche et un vigile ne tarde pas à arriver.
« Veuillez repasser devant les détecteurs s’il vous plait »
Je passe dans un sens puis dans l’autre. Rien.
C’est au tour de ma femme de faire l’aller-retour et… L’alarme retentit.
D’un coup d’œil, le vigile a tout de suite vu que la jupe et le haut qu’elle portait n’était pas neufs, en revanche, il a déjà coincé de nombreux clients qui cachaient de la lingerie, du maquillage ou autre sous leurs vêtements.
« Veuillez me suivre s’il vous plait madame » dit-il.
J’interviens :« Je suis son mari, je viens avec vous ! »
On dirait que ça ne lui plait pas :
« Non, Madame seulement »
Je m’impose :
« Elle n’ira nulle part si je ne l’accompagne pas !».
Il essaye alors de m’impressionner :
« Je peux appeler la police, vous savez ? »
« Vous pouvez appeler qui vous voulez, ça ne changera rien. Elle ne bouge pas si je ne viens pas avec vous » Il voit que je n’en démordrai pas.
« Très bien, suivez-moi tous les deux »
Nous marchons derrière lui au travers la foule de clients. Entre deux magasins, une porte. Il nous fait entrer dans le local de sécurité. Là, un de ses collègues est assis devant un bureau et des écrans retransmettent les images des différentes caméras installées dans le magasin.
Un autre collègue arrive, surement un dispositif pour nous intimider. Ils sont maintenant trois. J’ai de la chance !
L’un deux prend une sorte d’appareil portable et le passe de haut en bas devant ma femme. Il fait bip bip bip. Le vigile regarde sur l’appareil et dit :
« Apparemment, il s’agit d’un DVD. Nous allons devoir vous fouiller madame, à moins que vous ne nous donniez ce DVD. »
Je me passe la main dans les cheveux. C'est le signal.
Aussitôt elle commence à défaire le premier bouton puis enchaine les deux autres. Dans un même mouvement elle a ôté son chemisier et baissé sa jupe jusqu’au chevilles. Elle a maintenant ses deux vêtements dans la main droite. Elle fait une courte pause et les laisse tomber sur le sol.
Tout s’est passé en une seconde et les deux vigiles qui étaient debout devant elle n’ont pas eu le temps de réaliser. Ils sont maintenant devant une femme entièrement nue. Un des deux à la bouche ouverte. Le troisième, qui était de dos devant ses écrans, commence une phrase en se retournant :
« Dis donc, il faudrait peut-être aller chercher Corine pour la… » il se tait, scotché.
Ma chérie bouge. Très lentement, elle relève les bras et poses ses mains derrière la tête puis elle écarte légèrement les jambes. C’est la position n°1. J’ai du mal à retenir un sourire. Il faudra que je la félicite pour cette initiative. Bon Dieu ! Ce qu’elle est belle. D’autre part, je ne sais pas si c’est parce qu’il fait un peu frais dans cette pièce climatisée, mais ses tétons pointent comme jamais et comme elle a écarté un peu les jambes, on distingue tous les replis de sa chatte.
Le vigile :
« Heu … Non …ça ne sera pas nécessaire » dit-il sans détacher le regard de ma femme. Il faut dire que dans cette position, elle est sublime. Ses deux seins bien en avant, sa chatte parfaitement épilée, tous les moindres détails de ses lèvres.
Je m’amuse comme un petit fou :
« Excusez ma femme, elle a la maladie de Wisenberg (je viens de l’inventer), elle a quelque fois des réactions bizarres. »
Il se ressaisit, ramasse la jupe et le chemisier par terre, les inspecte, passe le détecteur qui réagit sur la jupe et dit :
« Ça doit être un anti vol d’un autre magasin, cousu dans la ceinture. En tous les cas, veuillez nous excuser »
Je continue à m’amuser :
« Y’a pas de mal ! Tu vas t’habiller maintenant chérie »
Aucune réaction, elle n’a pas bougé d’un pouce. Ah !... Wisenberg ! …Quand tu nous tiens.
Les secondes passent, pendant ce temps les trois hommes continuent à se rincer l’œil. J’en vois même un qui regarde fixement l’entre jambe de ma femme.
Pendant la première séance , celle ou elle avait appris les positions, je lui avais posé la question:
« Sais-tu pourquoi tu dois toujours avoir les jambes disjointes?»
J’imagine qu’elle avait une idée mais je voulais que les choses soient dites.
«Non Monsieur»
«Pour que ta chatte soit bien visible et accessible. Pour que tu sentes les regards sur ta fente sans pouvoir t’y soustraire . Je veux que tu aies cela en tête quand tu te mets en position.»
«Bien Monsieur»
« On va y aller ma chérie »
Cette fois elle réagit, elle baisse les bras, fait demi-tour et se dirige vers la sortie. Elle a déjà entr'ouvert la porte quand un vigile la retient.
« Attendez Madame il faut remettre vos vêtements » lui dit il gentiment.
Elle semble réaliser, prend les vêtements que lui tend l’un des vigiles et les passe.
Nous quittons le local sur un :
« Excusez-nous encore »
Je manque de répondre :« De rien tout le plaisir était pour moi » mais je me retiens.
Sur le chemin vers l’extérieur, j’attrape un de ses bras qu’elle a croisé derrière son dos et lui dit : » C’est très bien, tu as été parfaite. »
« Merci Monsieur. »
Sur le parking, j’ouvre la portière côté passager. Elle s’assoit fesses nue sur le siège, rentre uniquement sa jambe gauche, remonte le devant de la jupe et attend, les yeux baissés.
«Chatte écartée Monsieur»
En effet, les deux jambes ainsi séparée, elle a du sentir son sexe s’ouvrir.
Cachée par la portière d’un côté et par moi-même de l’autre, personne ne peut rien voir. Je jette un regard circulaire. C’est calme autour de la voiture.
« Ne bouge pas ! »
« Oui Monsieur »
Je laisse la portière grande ouverte et je fais le tour de la voiture pour venir m’installer au volant. Une fois assis, je prends mon temps et je la laisse, comme ça, la chatte exposée. Il pourrait arriver quelqu’un à n’importe quel instant et elle serait vue. Je lui demande :
« Tout va bien ? »
« Oui Monsieur, je suis une petite salope qui montre sa chatte »
Je ne peux retenir un grand sourire:
« Ça c’est bien vrai ! Dis-moi, j’ai une question à te poser : Tout à l’heure dans le local des vigiles, que ce serait-il passé si un d’eux ne t’avait pas empêchée d’ouvrir la porte ? »
« Je serais sortie Monsieur »
« Et tu aurais marché comme ça, dans l’allée commerçante, entièrement nue au milieu des clients ? ».
« Oui Monsieur Je suis votre petite salope Monsieur. » Elle me l’avait déjà dit à la quatrième séance : « Tu peux me mettre entièrement nue où tu veux, quand tu veux. » J’en ai la confirmation.
« Monte ! je veux vérifier quelque chose »
Elle rentre la deuxième de ses jambes en prenant soin de les maintenir bien écartées, ferme la portière, défait un bouton.
Sa chatte est très accessible, je rentre un doigt sans aucune difficulté.
« Je suis une petite salope qui mouille et qui aime se faire doigter la chatte Monsieur »
Elle accompagne sa phrase d’un petit gémissement. Je mets un deuxième doigt et je fais quelques va et vient, elle l’a bien mérité.
« Ou uii… c’est bon Monsieur . Je suis une petite salope qui a envie de se faire mettre »
Certainement, mais j’ai encore des projets. Je démarre et je lui tends une bouteille d’eau.
Le temps de rentrer à la maison, il est 17h30.
A peine la porte d’entrée ouverte :
« Je suis une petite pisseuse Monsieur ». Je ne suis pas vraiment surpris: Quand elle est à jeun, il lui faut à peine vingt minutes pour que l’eau passe de son estomac à sa vessie.
« Très bien, va chercher ton collier, ta laisse, un rosebud et les pinces pour les seins. Mode privé ».
Elle se déshabille dans l’entrée, va prendre les accessoires et reviens vers moi.
« Position n° 2 » Pour poser les pinces.
« Position n°5 » Elle s’écarte la chatte.
« Non ! Ça c’est la 4, Position n° 5 ! ». Encore une punition qui se perd ! Elle tourne le dos, se penche en avant et écarte ses fesses » Tiens elle n’a pas pris le plus petit des rosebud, elle a envie d’essayer une taille au-dessus. Je mets le rosebud dans sa bouche pour l’humidifier puis je l’introduis doucement dans son petit trou. Gémissement. J’en profite pour inspecter la chatte en tirant un peu sur les grandes lèvres de chaque côté. Nouveau gémissement. La moule est toute trempée. Je ferme le collier sur son cou, attache la laisse.
« Mets-toi à quatre pattes »
« Oui Monsieur, je suis une petite chienne qui a envie de faire sa pisseuse »
Je tire sur la laisse vers l’extérieur. Chacun de ses mouvements font tinter les clochettes. Je la fais marcher comme ça un petit moment dans le jardin. Puis je stoppe.
« Je vais t’apprendre une nouvelle position Ce sera la n° 6 : position de pisseuse ».
« Oui Monsieur ».
« Reste à quatre pattes, pose les avant-bras au sol, écarte les jambes au maximum et cambre-toi pour bien faire ressortir ta chatte »
« Oui Monsieur »
Je me positionne derrière elle pour voir le résultat.
« Chatte écartée Monsieur»
Les lèvres sont bien ouvertes, le clito bien visible et le petit trou du cul bien apparent, décoré du rosebud.
« Fais ta pisseuse !»
Elle a à peine le temps de dire « Oui Monsieur » que le jet est déjà parti.
J’ai dit que le jardin était sans vis-à-vis, mais l’entrée de l’autre côté de la maison n’est pas pourvue de portail. Si un livreur, le facteur ou même un voisin, pour emprunter du sel, se pointe, il ne va pas être déçu. Mais bon ! Après tout, c’est une propriété privée.
On dirait qu’elle a fini. Elle attend.
« Caresse toi la chatte »
Elle amène une de ses mains à l’entre jambes et ses doigts tourne sur le clitoris et l’entrée du vagin.
Par moments elle introduit deux doigts dans la moule. Les tintements des clochettes sont accompagnés de gémissements.
Elle répète en boucle :
« J’suis une chienne, une salope, j’suis une petite pute »
C’en est trop, Je m’agenouille derrière elle, je sors ma queue et je la pénètre d’un seul coup. Après quelques aller-retours seulement ma chérie s’envole.
« Ou…ou oui ! Encore ! Je vais jouir ! Est-ce que je peux jouir Monsieur ? »
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En coller une bonne, cela me demange parfois. Je sens que cela bouillone en moi et après tout, une bonne claque pour calmer tout le monde, cela fait son effet.
La baffe, bien sonore, bien claquante, qui fait très mal, c'est terriblement humiliant pour ceux qui la reçoivent en public. Parfois ils ne s'en remettent pas, cela leur laisse des traces longtemps sur le plan psy.
Il est préférable de frapper avec la paume, l'intérieur de la main, c'est moins dangereux. Côté revers c'est redoutable mais plus dangereux avec les os de la main.
Avec de l'exercice, une gifle sans élan, directe peut faire très très mal. C'est le but recherché. Ne pas blesser. Claquer une belle joue et la laisser bien rouge, c'est suffisant.
Celui qui l'a reçoit comprendra vite qu'il a affaire à une experte et qu'il vaut mieux qu'il n'aille pas plus loin. Car les suivantes pourraient ne pas être ...disons correctives.
Il s'agit d'un article pour publier en vidéos de belles gifles en commentaires. Une belle baffe, bien donnée, je trouve cela joli.
Bises et sadiquement votre.
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Chapitre 1 (Elle)
6 Juillet. (séance 5)
Le matin, il m’avait dit: « Ce soir, 19 heures, dîner à la maison, tenue publique ». Bien sur, j'avais acquiescé. Avais-je le choix?
Tenue publique fait partie du vocable du contrat: Petit haut boutonné sur le devant, jupe courte, escarpins noirs. Évidemment, aucun sous vêtement sauf ordre contraire. J’ai eu tout le temps nécessaire pour me préparer. Une douche minutieuse, un lait légèrement parfumé pour le corps, quelques retouches épilatoires, maquillage, coiffure.
Le dress code » tenue publique » me laisse quelques options: jupe plus ou moins courte, haut plus ou moins transparent. Voyons… Dîner à la maison. Je pourrais peut être me permettre une petite initiative en portant un chemisier très fin, à peine opaque, qui laisserait entrevoir mes seins. J’hésite… Et me ravise. La consigne est simple et ne laisse aucune place à l’improvisation. Je reste donc dans les clous avec une mini-jupe à volants qui m’arrive un peu au-dessous des fesses, et un chemisier à boutons cintré mais somme toute, assez pudique.
Tout en m'habillant, mon esprit vagabonde. Dans quoi étais-je embarquée? Quelle imbécile ! La vie aurait pu continuer à être simple et agréable. Pas de gros moyens, mais beaucoup de temps libre. Alors pourquoi cette bêtise, il y a environ un mois, cet adultère, qui avait failli ruiner mon couple et ma vie. Sept ans d’amour, de connivence et bien sûr, de fidélité. Qu’est ce qui m’a pris !
De l’abattement, il était passé à une colère intérieure, puis à des décisions radicales: séparation, vente, divorce. Heureusement, aucune progéniture, c’est déjà ça. Bien penaude et paniquée par sa détermination, j’avais tenté de relativiser, de faire peser ces sept années sans accroc. Ce fut sans aucun succès.
Il est 19 heures. C’est l’heure, je descends.
Comme à chaque fois, un sentiment m’envahit: L’appréhension. Je n’ai aucune idée de ce qui va se passer et évidement, je suis dans un état de stress intense.
J’ai mis au point une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit, j’essaie de ne plus penser à rien. je rentre dans une espèce d’état second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne m’appartient plus. Mon Dieu, qui aurait dit que j’étais capable de faire ça ! Deux heures par semaine d’abandon et d’obéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre.
Je suis en bas, je traverse l’entrée, la porte vers la pièce à vivre est ouverte. Il m’accueille.
« Tu es très belle ma chérie ».
« Merci » (ça fait toujours chaud au cœur de l’entendre quand cela vient de l’homme qu’on aime)
« Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu sais »
Oh, oui je sais : séparation, vente, divorce. Pour une marche arrière, c'en est une. Mais bon, je m’y étais mise toute seule dans cette situation.
Et puis, pour être honnête, au fil des séances et grâce à ma technique de relaxation, il m’est arrivé de prendre du plaisir. De plus en plus même. Ben oui ! Ça y est, je l’ai dit.
Bon, c’est compliqué : Bien sûr, ce chantage, cette domination qu’il exerce sur moi me dégoute. Mais, cette attention qu’il me porte pendant les séances pour que je n’ai jamais froid, pour que les douleurs qui me sont infligées soient non seulement supportables mais même excitantes, pour que je me sente belle et désirée à tout instant, m'ont fait revoir mes aprioris.
« Je suis prête » Je respire profondément.
Au rez de chaussée, l’entrée donne sur la pièce principale qui comprend une vaste salle à manger avec cuisine intégrée et un petit salon contigu. La table est longue, massive. Elle peut recevoir jusqu’à huit convives. Trois fenêtres en enfilade s’ouvrent sur la rue, distante de quelques mètres de pelouse. De l’autre coté de la rue, un terrain vague puis, légèrement en contrebas, la plage. Il s’assoit.
« Alors nous allons commencer ! Position n°1 ! »
Depuis un mois, même à raison d’une fois par semaine, j’ai eu le temps de les apprendre ces positions.
Position n° 1 : Je me tourne vers lui, je baisse les yeux, je mets mes deux mains sur la tête, j’écarte légèrement les jambes. Ne jamais avoir les jambes serrées.
« Oui monsieur ! »
Je fais le vide dans mon esprit. Je ne pense plus qu’a sa voix, aux ordres qu’il me donne, et à la façon d’obéir au plus près de ses attentes et même, si je peux, un peu au-delà. Ça y est, ça commence : En relevant les bras pour mettre mes mains sur la tête, j’ai fait ressortir ma poitrine et j’ai senti le tissu glisser sur la pointe de mes seins. C’est loin d’être suffisant pour m’emmener au septième ciel, bien entendu, mais cela attire mon attention sur une partie érogène de mon corps et j’ai l’impression que mes tétons ont commencé à durcir. Je sais qu’il m’observe, je sais qu’il me trouve belle et désirable, il me l’a si souvent dit. . Je sais également que pendant ces sept dernières années, il a été tellement attentif à mon bien être, mon comfort...mon plaisir aussi. Est-ce possible que tout soit détruit? Je me reconcentre. Je me remets dans ma bulle. Cette fois ci, c’est sûr, malgré moi, mes tétons pointent à travers le tissu. Quelle Chienne !
Ah oui ! Pendant les séances, je suis sa chienne, sa salope et sa pute. A l’occasion, je suis également sa pisseuse et sa suceuse. Cette vulgarité et ce manque de respect ont étés spécifiés sur le contrat que j’ai signé. La première fois, ça fait drôle. Je me suis dit : c’est fini ! Il ne m’aime plus du tout et même, il me déteste pour m’insulter de la sorte. J’ai vécu l’enfer pendant toute la première séance, persuadée que c’était la fin de notre amour.
« Bois un verre d’eau ! » Ah ? Bon !
« Oui Monsieur ! »
Le verre est là, sur la table. Il l’avait déjà mis en place. Curieux ! Je bois puis je reprends la position. Je n’avais pas vraiment soif mais la température est en hausse et ce verre d’eau ne m’a pas fait de mal.
« Place toi devant la fenêtre, ouvre les rideaux et retrousse ta jupe! »
« Oui Monsieur »
J’avance vers la fenêtre, je tire les voilages d'un côté puis je relève le pan arrière de ma jupe et le bloque sous la ceinture pour bien dégager les fesses. Je remets les mains sur la tête.
Nous sommes en été, il est 19 heures et il fait grand jour. Je sais que je suis visible de l’extérieur. Rien de bien méchant puisque, de la rue, on ne doit voir que la partie haute de mon corps à partir du nombril et mon chemisier est tout ce qu’il y a de plus correct. Quand même, s’il y a des passants, ils doivent se demander ce que je fais dans cette position. Peut être pensent-ils que je m’étire en regardant la mer au loin.
Ah Oui! Toujours le contrat : j’ai des seins de chienne, une chatte de salope, des fesses et un petit trou de petite pute. Et je ne dois pas manquer une occasion de le dire. A voix haute en privé, à voix basse en public. Alors j'y vais de la petite phrase:
« Je suis une bonne petite pute ».
C’est extrêment humiliant, comme ça, à froid. Ca n’est q’une fois éxcitée que, finalement, ça passe.
D’ordinaire, je veux dire, dans la vie de tous les jours, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue « érotique ». C’est même le contraire : mon corps et plus précisément les zones dites érogènes me donnent plus de tracas que de plaisir. Je m’oblige à porter un soutient gorge alors que je n’en ai nul besoin, je me rase intégralement vite fait parce que sinon, dans les vestiaires, les autres femmes trouveraient que je suis négligée, je mets une culotte parce qu’il le faut, alors je mets un vieux machin.
Me voilà donc face à la fenêtre, mains sur la tête et le postérieur à l’air. Dans cette tenue, je me sens terriblement exposée, je sens le regard de mon homme sur mes fesses et un petit courant d’air me rappelle que je ne porte pas de culotte.
Je suis tentée de relever les yeux pour voir s’il y a des passants, mais je m'abstiens. Pour que cela fonctionne, je sais qu’il faut que je respecte les ordres et que je me focalise dessus. Alors, voyons :
Il m’expose à la fenêtre : je redresse ma position pour faire ressortir mes seins. Il y a peut-être des gens dehors mais je ne regarde pas. Tiens, le tissu a encore glissé sur mes tétons.
Il m’a fait relever ma jupe pour voir mes fesses : je me cambre et j’écarte un peu plus les jambes. Je sais qu’il apprécie quand je fais du zèle. S’il s’assoit, son angle de vue étant plus bas, il pourra voir au-dessous de mes fesses le renflement de ma chatte.
Que fait-il ? J’entends des bruits de cuisine, le tintement de verres. C’est un apéritif qu’il prépare ? Apparemment puisqu’il découpé des tranches de….
Ah ?... Une caresse dans le dos. Plus exactement, une légère griffure qui partait de la nuque et allait mourir sur les reins. Je frissonne malgré une température ambiante au-dessus de la moyenne.
D’ordinaire, disais-je, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue érotique. Mais dans cette situation, je sens que mes fesses sont nues et exposées, je sens que mes seins saillent sous le tissu et que cela se voit de la rue, je sens l’air circuler sur chaque millimètre de mon entre jambe mais surtout, je sais que mon homme n’en rate pas une miette et que, sûrement, je le fais bander.
Aaaah! …Faire bander les mecs !
Évidemment, pour une femme, c’est plutôt flatteur ! Quelque part, cela veut juste dire qu’ils te trouvent désirable. Sauf que, si tu fais quoi que ce soit de manière « intentionnelle », tu n’es plus « désirable » tu es une allumeuse. Et ça, chez les femmes encore plus que chez les hommes, c’est très, mais alors TRES, mal vu. De nos jours, il est quasi obligatoire de se raser le sexe, de porter des ficelles à la place des slips, de passer une heure à se maquiller, mais ça, ça n’est pas pour plaire aux mecs, non !... C’est parce que c’est plus hygiénique, plus fun, plus tendance. Comment s’y retrouver ?
Là, au moins, les chose sont claires. Dans ce jeu, il me fait comprendre qu’il a envie que je me comporte comme la dernière des chiennes et que ça lui plait.
Le mois dernier, pendant les trois premières séances, il m’a fait apprendre :
Les 5 positions.
La façon de m’habiller, de m’asseoir, de faire pipi.
Les réflexes de langage que je devais adopter.
Le tout avec des différences selon que l’on est en public ou en privé.
Il a aussi ajouté des options sur la grille adjointe au contrat avec des cases à cocher. Par défaut, tout était sur : « J’accepte », mais au fil des séances j’avais modifié :
Port de pinces sur les seins : J’accepte X Ca m’excite
Port de pinces sur la chatte : J’accepte Ca m’excite X
Port d’un rosebud : J’accepte X Ca m’excite
Claques sur les seins : J’accepte X Ca m’excite
Claques sur les fesses : J’accepte Ca m’excite X
Claques sur la chatte : J’accepte Ca m’excite X
La grille s’était étoffée au fil des semaines :
Martinet sur les seins : J’accepte X Ca m’excite
Martinet sur les fesses : J’accepte Ca m’excite X
Martinet sur la chatte : J’accepte X Ca m’excite
Port d’un collier de chien : J’accepte X Ca m’excite
Être promenée en laisse : J’accepte X Ca m’excite
Boire dans une gamelle : J’accepte X Ca m’excite
Une nouvelle rubrique « exhibition », était apparue cette semaine.
Être nue devant un inconnu : J’accepte X Ca m’excite
Séance devant un inconnu : J’accepte X Ca m’excite
Être nue devant un inconnu ? cela me terrorisait. Si j’avais pu, j’aurais tout de suite cocher « Je n’accepte pas » si la case avait existé, mais malheureusement, cela ne marchait pas comme ça. Autant dénoncer le contrat tout de suite et c’était hors de question. J’avais fait une grosse bêtise, il me fallait maintenant en payer le prix et j’étais là devant la fenêtre, les mains sur la tête et les fesses à l’air à attendre la suite.
Entre deux séances, j’ai le droit de demander à modifier la grille mais de toutes façons, en dernière instance, c’est lui qui décide.
Le collier par exemple, c’était un de ces colliers pour chien en cuir noir qui me serrait le cou en me donnant une désagréable et permanente sensation d’étranglement. J’avais demandé à en changer. J’espère que…
Toc Toc Toc ! Je sursaute.
Tout s’entrechoque dans ma tête : Si quelqu’un est arrivé jusqu'à la porte d’entrée derrière la maison, c’est que ce quelqu'un est passé devant la fenêtre, juste devant moi, et que donc,il m’a vue les mains sur la tête, les yeux baissés et le buste en avant. De là où il est maintenant, la porte d’entrée étant vitrée, si celle de la salle à manger est restée ouverte, il a vue sur mon postérieur. Mon mari, d’accord, mais un inconnu, c’est autre chose. Je lutte pour ne pas m’échapper. Les secondes sont des heures.
« Fais redescendre ta jupe et tourne-toi. Position n°3 ! » Ouf !
Je rajuste ma jupe, me retourne, Il est déjà dans l’entrée. Je n’ai pas entendu la porte intermédiaire s’ouvrir. Aie ! Ou alors, la porte était restée entr’ouverte et il n’a eu qu’à la pousser pour rejoindre l’entrée. Impossible de savoir.
Je suis dos à la fenêtre. Position n°3 c’est la position d’attente en public : Yeux baissés, bras croisés derrière le dos, jambes légèrement écartées. Je me félicite d’avoir choisi le chemisier opaque.
Mon mari ouvre la porte: « Entre Laurent ! Juste à l’heure »
« Woua ! Quelle vue ! » s'exclame le nouvel arrivant.
Le sang me monte à la tête. Est-ce qu’il parle de mes fesses qu’il aurait vues il y a un instant?
« Je ne savais pas que tu étais si proche de la plage »
Ouf! Il parle de la maison. Depuis le décès de ses parents, la maison familiale est inoccupée et mon homme est venu l’habiter en attendant de régler notre histoire. C’est vrai qu’il y a pire comme endroit. Vue sur la mer et acces direct à la plage.
La voix de mon chéri:
« Tu permets ? J'ai un mot à dire à ma femme »
Il revient vers moi. Je pourrais relever les yeux et essayer de lire sur le visage de Laurent s’il ne m’a pas vue à moitié nue. Je lutte.
« Va faire un tour jusqu‘à la plage, garde la position et marche doucement ! »
Ce disant, il défait le bouton supérieur de mon chemisier qui déjà n’était pas fermé jusqu’au col. Ce bouton en moins c’est déjà beaucoup moins correct. Si je me penche, on peut voir mes seins par l’encolure et si je …. Qu’est-ce que ? Un autre bouton. Cette fois, le chemisier est ouvert à moitié. Nul besoin de me pencher, le simple fait d’avoir les bras croisés dans le dos écarte le tissu et dévoile ma gorge. Les deux pans du vêtement cachent à peine les tétons et je vais devoir passer devant un inconnu qui m’a peut-être déjà vue les fesses nues. Je passe pour une sacrée salope. Ah Oui, c’est vrai ! C’est le but. Il va falloir que je m’interroge sur la définition de ce mot : Salope.
Dans certains cas c’est une insulte, dans d’autre c’est un compliment…. Compliqué. Mais ça n’est pas le moment. J'ai reçu un ordre, j’obéis, c’est simple.
« Oui Monsieur »
Toujours les yeux baissés, je passe devant Laurent qui s’efface. J’ai l’impression de sentir le feu sur mes seins. Je sors et contourne la maison.
Aie! Ma gorge se serre en constatant que de l'autre côté de la rue, le terrain vague qui descend vers la plage n'est pas désert: Des véliplanchistes utilisent l'espace pour démonter leur matériel.
Je comprends maintenant la rubrique "exhibition".
Le savait-il, que je devrai passer devant au moins trois inconnus ? Bien sûr que oui ! Il avait vu, lui, par les fenêtres, que le terrain d'en face était occupé . Il avait évalué ma jupe, déboutonné mon chemisier. Il m’avait mise en position n°3, les bras dans le dos, sans aucune possibilité de retenir les pans de mon chemisier ni ma jupe légère et il m'avait donné l'ordre d'y aller.
Chaque épreuve que je surmonte est pour lui un gage d’amour et c’est ma faute s’il en a tant besoin. En acceptant de signé ce contrat bidon, j’ai pris la décision de lui prouver que j’étais prête à tout pour lui. D’ailleurs, si le cas s’était présenté, je crois que j’aurais donné ma vie pour le sauver. Je suis persuadée qu’il en aurait fait de même tant notre amour était réciproque. Après tout, je n’en mourrais pas. Alors, j’y vais.
Je traverse la rue et, très vite, je me retrouve en prise avec les courants d’air qui s’ingénient à dévoiler les parties les plus intimes de mon corps. Par moments, je sens l’arrière de ma jupe se soulever puis se rabattre pour me claquer les fesses. Un pan du chemisier est parti sur le côté, mettant presqu’à nu la moitié de mon sein gauche.
Je lutte pour ne pas replier les bras sur ma poitrine, retenir la jupe qui s’envole, mais je sais que de la fenêtre, il prend plaisir à me voir ainsi, obéissante et soumise. Je suis sa chienne, sa salope, sa pute.
Malgré mes yeux baissés, je sens les regards des planchistes qui m'ont, bien sur, repérée dès mon arrivée. Ils semblaient pourtant avoir fort à faire avec leurs planches et leurs voiles mais avec ces courants d'air, ils ont changé de centre d'intérêt.
Je sens le rouge me monter au visage. Bon sang! Je me promène quasi les fesses à l'air !
« Marche doucement ! » Avait-il dit.
Alors j’obéis: J'essaie d'adopter la démarche nonchalante de celle qui se promène tranquillement mais, bien sûr, cela ne trompe personne. Les escarpins, le chemisier ouvert à moitié, les bras croisés dans le dos: Ils ont vite compris que j'étais là pour tout autre chose, alors ils ne se privent pas de me mater sans aucune gêne.
En temps normal, je suis d’un naturel plutôt prude. Me retrouver, comme ça, dehors, à moitié nue n’était pas fait pour m’exciter. Il y a un mois, j’aurais été morte de honte, imaginant que tout le monde me prenait pour la dernière des salopes ou pire si c’est possible. Maintenant, c’est différent : Ça me fait peur, mais ça m’excite en même temps. J’ai vu des tas de femmes sur Uporn qui font bien pire pour faire plaisir à leurs maris et sûrement, se faire plaisir elles mêmes.
Mais qu’est-ce que je fais ! je réfléchis trop ! Pour que ça marche, il faut que je me concentre sur les ordres. Je l’ai signé ce putain de contrat ! Et pas en cinq minutes : Deux jours !
Deux jours à discuter de chaque terme, à remplir des grilles de ce qui m’attendait. On ne peut pas dire que j’ai été prise en traître.
J’arrive au bout du terrain vague, après c’est la plage. Je doute qu’il ait envie que j’aille plus loin puisqu’il ne me verrait plus. Je sais qu’il veut me voir. Pour profiter du spectacle certainement, mais aussi pour assurer ma sécurité.
Je respire profondément, je vide mon esprit etc… etc….. et je fais demi-tour.
Sur le retour, avec le vent dans le dos et sans avoir esquissé le moindre geste pour me couvrir, la jupe s’est plaquée sur mes fesses et les pans du chemisier se sont presque remis en place. J’ai cru pouvoir palper la déception chez les planchistes qui continuaient à m'observer. Je commençais à me rasséréner mais c'était un peu trop tôt. En effet, dans ce sens là, c'était le devant de la jupe qui devenait fou et, sur tout le trajet, l'étoffe se soulevait et devait révéler que je ne portais rien dessous.
Difficile pour moi de savoir jusqu’à quel point mes fesses et ma chatte avaient étés exposées.
D’ailleurs, Il est bien léger ce tissu! Je ne me souviens pas que... Ça y est, j'y suis! La doublure a été enlevée. Je sentais, sans comprendre, qu'il y avait quelque chose d'inhabituel dans ce vêtement. Mon mari a retiré la doublure pour le rendre plus léger. J'ai malgré moi un petit sourire attendri en l'imaginant s'affairer sur le vêtement en espérant atteindre ses objectifs. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est réussi! Au moindre courant d'air il s'envole.
J'ai, l'espace d'un instant, levé le regard vers un des planchistes. Il avait un petit sourire aux lèvres l'air de dire: " Alors, tu fais la pute pour ton mec? Ca te plait ? Ca fait mouiller ta petite chatte?"
J'ai honte et en même temps je suis assez fière d'être capable de le faire. Surtout, je sais que mon homme est aux anges alors je bombe le torse sur les derniers mètres qui me séparent de la maison. Après tout ce ne sont que des inconnus et je ne les reverrai sûrement jamais.
Je me demandais maintenant ce qui allait se passer. Il avait dit à Laurent : « juste à l’heure » donc cette visite était prévue. Qui était ce Laurent ? Allons bon ! Je recommence à me poser des questions. Ce n’est toujours pas le moment. J’ai été une bonne soumise, j’ai répondu aux ordres de mon homme, je n’ai pas triché, je n’ai pas levé les yeux, je n’ai pas essayé de me cacher des regards des inconnus. Je peux être fière et rentrer près de lui.
Je frappe à la porte. Ben oui ! Ça n’est pas chez moi, ni chez nous d’ailleurs. C’est une sorte de terrain neutre où ont lieu nos séances depuis un peu plus d’un mois, une fois par semaine, le temps de régler nos affaires. C’est pratique : ici et alentour, personne ne nous connaît.
Il vient m’ouvrir :
« Viens nous rejoindre au salon ! »
«Oui Monsieur ! »
Je traverse l’entrée, la salle à manger. Laurent est assis au salon, un verre à la main, je suppose qu’il me regarde, je ne sais pas, j’ai les yeux baissés. Un autre verre est posé sur la table basse, à la place que doit occuper mon mari. Vite je revois le contrat dans ma tête.
En public, je dois m’asseoir en relevant discrètement l’arrière de ma jupe de façon à ce que mes fesses soient à même l’assise. Ensuite je dois écarter légèrement les jambes et, quand c’est possible, faire en sorte qu’il ait vue sur ma chatte.
Je cherche donc un siège qui fait face à mon chéri.
Comme par hasard, c'est un tabouret qui à été placé là. Un hasard? je ne pense pas! Avec un fauteuil, mes gestes auraient été dissimulés par les accoudoirs mais avec un tabouret... Pas moyen.
Je m'assieds et relève l’arrière de ma jupe dans un seul mouvement. Avec un peu de chance, si Laurent regardait ailleurs, il n’y a vu que du feu.
Le cuir est un peu froid. Je ne risque pas d'oublier que je ne porte de culotte mais je suppose que c'est le but. Le devant de ma jupe est remonté sur mes cuisses. Pour Laurent qui est à ma droite, le tissu cache mon intimité mais pour celui qui est en face, la vue est imprenable. J’écarte un peu les jambes pour respecter le contrat. Toute à mon calcul, j’avais un instant oublié que mon chemisier ouvert ne cachait pas grand-chose, surtout pour quelqu’un situé sur mon côté. Je sens de nouveau le rouge monter à mes joues. Je respire profondément. Je place les bras le long de mon corps et les mains posées à plat sur les cuisses. Je ne cherche pas à cacher mes seins, cela m’est interdit.
Mon mari revient avec mon cocktail préféré qu’il pose devant moi.
« Ou en étions-nous Laurent ? Ah oui ! Tu t’es mis au tennis la semaine dernière ?» Raconte !
Laurent semble gêné :
« Oui ……mais… excuse moi, mais….. Tu ne m’as pas présenté ta femme. C’est bien ta femme… enfin, c’est bizarre….. »
Je prends une gorgée de ce cocktail, je prends bien le temps d’avaler pour ne pas m’étouffer.
Mon chéri, très à l’aise :
« Qu’est ce qui est bizarre ? »
« Ben.. Tu fais sortir ta femme dès mon arrivée sans même me la présenter. Ensuite tu passes ton temps à la fenêtre, et puis quand ta femme revient, tu ne me la présentes toujours pas et puis il y a…. »
« Il y a quoi ? «
« Non rien, mais bon c’est bizarre … et puis elle ne dit rien »
« Je comprends, je te dois des explications : Ma femme et moi avons mis en place un jeu selon lequel, à certains moments, elle doit se soumettre à certaines règles. Ce soir est un de ces moments. Mais si ça te gêne, je peux lui demander de se retirer dans une chambre et nous passerons la soirée tous les deux. »
Curieusement, j’ai envie de tout sauf ça. La soirée toute seule dans une chambre ? Non merci !
J'écarte un peu plus les jambes et je remonte le devant de ma jupe le plus haut possible pour signifier à mon homme que je suis prête à faire tout ce qu'il veut.
Laurent reprend :
« Je ne comprends pas : certaines règles ? comme quoi par exemple ? C’est un truc à la Christian Grey ou je sais pas quoi ?»
Mon homme opine :« Oui si tu veux. C’est un jeu à connotation sexuelle. »
Il ressert son invité
« Je te passe les détails, mais elle a accepté, à certains moments définis à l’avance, d’obéir à tous mes ordres. Sans discuter. »
Je ne vois pas Laurent mais je sais qu’il me regarde, incrédule.
« Tu veux dire que tu peux lui demander tout ce que tu veux et qu’elle va accepter ? Mais je croyais que ta femme était médecin ou un truc comme ça ».
Mon chéri ne relève même pas.
« C’est ça ! Tu veux voir une démonstration ? »
Il n’attend pas la réponse. Un ordre fuse : « Mets-toi debout. »
« Oui Monsieur ! » Ma jupe est sympa, elle est, semble-t-il, redescendue toute seule.
« Met toi à quatre pattes et viens vers moi !»
D'accord ! Donc, cette fois ci, je passe pour une salope devant un de ses amis. D’ailleurs, un ami ? c’est curieux ! Au bout de sept ans de vie commune, je croyais tous les connaître. Je respire profondément, je vide mon esprit.
« Oui Monsieur ! »
Je suis une bonne soumise obéissante : je pose les genoux puis les mains au sol et j’avance lentement à quatre pattes vers lui. Je prie pour que ma jupe couvre bien mes fesses. Laurent est maintenant juste derrière moi. N’importe quelle femme dans cette situation aurait passé une main derrière elle pour vérifier que la jupe était bien en place et même tirer un peu sur le tissu. Moi je n’ai pas le droit. Si elle s’est mal repositionnée, j’offre actuellement une vue sur mes fesses et ma chatte à un parfait inconnu. Un peu comme tout à l'heure avec les planchiste sauf que là, je suis à quatre pattes et que surtout, il est à moins d'un mètre de moi. S'il tendait la main, il pourrait...
Bon sang! Me voilà maintenant à m'imaginer me faire peloter par un mec dont je n'ai même pas vu le visage.
Une fois à destination je pose ma joue sur la cuisse de mon homme. C’est le moment décisif. Si Laurent s’offusque, tout se termine là, mais j'en doute. Effectivement, il s'ébahit:
« Woua !!! ça a l’air trop cool »
Ah ! ces mecs, ils sont tellement prévisibles.
La voix de mon mari: « Tu veux essayer ? »
Tu parles Charles! Bien sûr qu’il veut essayer.
Il se lance :
« Euh… Mettez- vous... enfin...Met-toi debout et Euh….Lève une jambe !»
« Oui Monsieur » Je me lève, me retourne vers lui, je lève la jambe droite et je suis comme ça : une chose, un pantin, une esclave. Tiens pour un peu, je trouverais ça drôle et même ridicule. Mais je sais qu’on en est qu’au début.
Mon homme intervient :
« Enlève ton haut. Position n°1 ! »
Je repose ma jambe, je défais les deux derniers boutons, je retire mon chemisier. Je me cambre pour bien faire ressortir les seins et surtout je n’oublie pas de dire, puisqu’il s’agit de mes seins :
« Je suis une petite chienne »
J’ai les yeux baissés mais je devine un air ébahit sur le visage de Laurent. En tous cas, il ne dit mot.
C’est la première fois que je montre ostensiblement mes seins à un inconnu. Pendant sept ans mon mari n’a pas cessé de me dire que j’étais jolie. Il est vrai que je suis assez grande, mince, j’ai les traits du visage fins et harmonieux, les yeux bleus, une chevelure blonde et longue, j’ai, je crois, tous les archétypes de la beauté. Enfin tous ? Peut-être pas. En effet, d’aucun dirait que ma poitrine manque d’opulence. Je remplis à peine ce bonnet B dont, de toutes façons je n’ai nul besoin et que je ne porte plus que très rarement.
Mon mari reprend le contrôle : "Met-toi en mode privé ! et position n°3 !»
« Oui Monsieur ! »
Purée ! Là c’est autre chose. Le mode privé c’est entièrement nue.
Les seins d’accord, parce-que bon: Il n’y a pas si longtemps, toutes les femmes étaient seins nus sur les plages, mais là, je vais dévoiler ce que j’ai de plus intime, ma chatte, mes fesses enfin tout quoi. Et puis cette satanée mode de l’épilation intégrale. Plus nue c’est impossible. Mais bon ! J’ai signé.
Au moment de déboutonner ma jupe, une vague de chaleur me monte au visage.
Je suis folle, je vais le faire. Je fais glisser la jupe jusqu’aux chevilles, puis je me penche, jambes tendues, pour ramasser le vêtement que je dépose sur un fauteuil. Ca y'est, je suis complètement nue.
Position 3 : les bras croisés derrière le dos.
Je reprends lentement ma respiration. Les jambes un peu écartées, contrat oblige, j’offre une vue intégrale sur tout mon corps et ils ne doivent pas s’en priver. Mes seins et ma chatte sont exposés dans les moindres détails. Je reste comme ça un bon moment pendant que les hommes discutent.
« Alors Laurent, qu’est-ce que tu en penses ? »
« Ben…Elle est super belle ! »
« C'est-à-dire ? »
Je vois ou il veut en venir. Je suis là, entièrement à poil devant eux et ils vont se mettre à parler de mon cul. Comme si on était à la foire aux bestiaux.
« Ben…moi j’aime les seins pas trop gros alors…et puis elle est entièrement épilée, on voit tout »
Les entendre parler ainsi des parties intimes de mon corps commence à m’échauffer malgré moi et je sens comme une moiteur à l’entre jambe. Il a dit : « on voit tout ». Ça veut dire qu’il a bien regardé tous les détails de mon minou ? Mon Dieu, si ça se trouve, ça se voit que suis humide. Quelle salope je fais !
"Que veux-tu dire par on voit tout?"
Laurent s'explique: "Ben... Avant, le sexe d'une femme, c'était principalement une touffe de poils à travers laquelle on ne distinguait rien, mais maintenant c'est la petite bosse du mont de Vénus puis la fente avec le renflement des deux grandes lèvres et même un peu des deux petites qui dépassent en dessous"
En effet, rien ne lui échappe et l'entendre donner des détails aussi précis me donne des frissons sur tout le corps. Et puis cette émotion dans sa voix. On jurerait qu'il parle d'une oeuvre d'art. C'en est touchant. J'ai presque envie qu'il se mette à parler de mon clito.
Mon homme enchaîne: « Position n°2 ! »
Je ne sais pas si c’est le cocktail ou la situation, mais j’ai l’esprit un peu embrumé. Heureusement, j’ai un moyen mnémotechnique pour les positions. On part du haut vers le bas :
1 la tête. ( les mains sur la tête )
2 les seins. ( je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains )
3 le dos. ( bras croisés dans le dos )
4 la chatte. ( je présente ma chatte en l’écartant avec les deux mains )
5 les fesses. ( je me penche en avant et je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains )
Numéro deux, c’est présentation des seins. Allons y.
« Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers l’avant. C’est la position qu’il a inventé pour la pose des pinces.
C’est bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec des grelots. Quand je les porte, je les entends tinter, me rappelant que j’ai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements, et quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon encore plus nette et j’adore ça. Elles sont réglées pour pincer juste ce qu’il faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur.
Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées.
« Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne ».
J’ai rajouté un « merci » je sais qu’il apprécie.
« Position n° 4 ! »
Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 c’est présentation de la chatte. Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille.
Je connais la procédure : J’avance le bassin pour faire ressortir la vulve, j’écarte largement les grandes lèvres et je n’oublie pas de dire, s’agissant de ma chatte :
« Je suis une bonne petite salope »
Dans cette position, j’expose carrément mon clitoris. Je l’ai senti quand j’ai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. J’ai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à l’entrée de mon vagin, c’est mon homme qui vérifie. Le doigt entre facilement, je suis plus mouillée que je ne le pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de l’intérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. C’est plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça n’est pas le tout de le dire parce que j’y suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope. Cette fois ci, avec l’excitation, les mots crus ne m’offusquent plus, au contraire.
Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est ! C’est les chutes du Niagara.
Quand il retire son doigt, il est trempé.
« Merci Monsieur »
« C'est bien ! Maintenant : finis ton cocktail »
« Oui Monsieur »
Il saisit mon verre sur la table basse et me donne à boire.
C'est le faire de boire tout en m'écartant les lèvres de mon sexe qui m'ont fait comprendre: Le but n'est pas de m’enivrer, il a une autre idée en tête.
Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte.
Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus :
« Mais comment vous en êtes venus à … Enfin à ça ? »
Mon homme explique :
« Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. C’est un jeu dangereux pour des personnes qui s’aiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ».
« Et elle ? elle en a des fantasmes ? »
Ben! Je n’y avais pas vraiment réfléchit. Mais ça pourrait venir.
Pour l’instant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est l’attraction, j’entends que l’émotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça n’est pas moi qui mène le jeu. Étonnamment, ça n’est pas ça qui m’excite. Je n’ai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul d’ailleurs. Moi, mon homme, je veux qu’il soit mâle Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort…Alors ce n’est pas pour l’attacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes.
Non ! Je n’ai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant de hourdir des plans, de passer des annonces, d’organiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, c’est ça qui me fait mouiller. J’en ai presque honte. A notre époque où le féminisme est roi, sexuellement, c’est en étant la proie que je me sens vibrer.
En parlant de vibrer, c’est autre chose qui m’arrive maintenant et c’est normal avec tout le liquide que j’ai ingurgité : j’ai envie de faire pipi.
Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand j’ai envie d’uriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ».
Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour m'emmener à quatre pattes faire mes besoins sur la pelouse, soit il me demande d’aller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui.
Le collier, la laisse, la gamelle c’est un truc qu’il m’a fait faire à la troisième séance. Après m’avoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il m’a fait faire tout un tas d’exercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. J’ai appris par exemple à manger et à boire dans une gamelle pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref… Pour le moment, Je ne tiens plus. J’attends une pause dans la conversation et je dis :
« Je suis une petite pisseuse »
Laurent manque de s'étouffer avec un gâteau apéritif.
Mon homme doit sourire.
« Va chercher ta gamelle »
Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne m’appartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle j’ai mangé et bu pendant la troisième séance, je reviens et je m’installe debout devant mon homme.
« Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter »
Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour qu’ils soient tous les deux aux premières loges. J’écarte les jambes, j’avance le bassin. D’une main je dégage les lèvres de ma chatte pour qu’elle soit bien ouverte et de l’autre main je positionne le récipient entre les cuisses.
En termes d’humiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez et je m'apprêtais à me soulager comme la dernière des chiennes.
J'ai du mal à décontracter mes sphincters. Le regard des deux hommes est rivé sur ma chatte béante et c'est pour le moins embarrassant. Et si j'en mettais partout ? Je me rassure en me disant que le fait de bien séparer les lèvres avec les doigts devrait résoudre le problème.
J’exerce une profession médicale, j’ai fait des études, passé des concours. J’ai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues : Qu’est-ce que je suis en train de faire ? C’est sexuel, c’est ça ? C’est vrai ! Le sexe c’est à part de tout. Des l’instant ou on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même !
Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal.
Les hommes se taisent, captivés par le spectacle que je leur donne. C’est moi qui mène le jeu ? Non ! je n’ai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute.
Le contrat : Quand j’ai fini, je m’essuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne petite pisseuse » ensuite j’attends un ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous la chatte et les doigts mouillés de mon pipi.
Je compte les secondes. J’ai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de l’exciter.
Au bout d'un moment: « Va ! »
Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. J’entends la conversation dans le salon. C’est Laurent :
« Ben mon salaud, tu t’emmerdes pas. Et ça va jusqu’où votre histoire ? »
Ça, j’aimerais bien le savoir ! D’après le contrat, il n’est pas question d’avoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouze. Il n’a pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit d’autre que mon mari.
J’ai confiance en lui. Je reviens vers le salon.
« Position n°5 ! »
Je révise. Voyons…. Mnémotechnie, 1 2 3 4, 5 c’est la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. C’est la position idéale pour la pose d’un plug anal par exemple. C’est ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Mais tout à l’heure, pour faire ma pisseuse, il a souhaité que Laurent profite du spectacle, donc je me mets dos à eux deux, je me penche, j’écarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il n’y avait plus que ça que Laurent n’avait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il m’aura vue sous toutes les coutures.
Je tiens la position. Je m’attends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente :
« Ça m’a fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt qu’un apéritif, on dîne au restaurant ? »
Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal :
« Oui moi aussi… Bla Bla …… Bla Bla….. » Et ce jusqu’à la porte , « Bon ben Salut » Le voilà parti.
Je ne sais pas l’heure qu’il est. Peut-être 20h 30, j’ai l’impression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de m’écarter les fesses.
Et quand est-ce qu’il me baise ?
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Vanessa ressentait chaque pince comme une morsure délicate, une invitation à un monde d’abandon fait de plaisir intense et de douleur exquise. Le poids des bijoux en verre vénitien tirait légèrement sur ses tétons, provoquant une cascade de sensations qui couraient le long de son échine, amplifiant son désir et laissant son sexe palpitant de désir et de plus en plus humide. David saisit les bijoux et tira lentement sur les pinces vers lui, étirant les mamelons jusqu’à l’extrême. Le sang affluait à foison dans les mamelons distendus de Vanessa devenus pourpres, les rendant plus épais et plus sensibles encore. David observait les réactions de Vanessa : les yeux clos, la tête penchée en arrière, elle se mordait les lèvres sous l’effet de la douleur contrôlée que lui infligeait David. Plutôt que de se refuser, elle s’offrait : la poitrine offerte et tendue vers lui, les cuisses plus ouvertes que jamais.
Satisfait de l'effet produit, le visage illuminé par un mélange de fierté et de désir. David murmura des mots de louange, accentuant l'atmosphère de confiance et de complicité qui les enveloppait. « Chaque gémissement, chaque frisson de votre corps, me confirme que vous êtes faite pour ressentir ces plaisirs, » lui dit-il d'une voix basse et rauque. Vanessa, en réponse, laissa échapper un soupir chargé de désir, son corps entièrement réceptif aux expériences que David continuait à orchestrer avec une précision et une tendresse maîtrisées.
Lorsque David relâcha sa pression sur les pinces, les seins de Vanessa rebondirent légèrement comme dans un film au ralenti ; les mamelons gonflés et rougis par l'intense stimulation lançant les bijoux dont ils étaient ornés dans une danse électrisante qui ravissait la vue de David et tirait un soupir de soulagement et de plaisir de la bouche entrouverte de Vanessa.
Glissant sa main droite entre les jambes écartées de Vanessa, David enserra doucement son sexe palpitant de désir. Sa paume chaude et ferme se pressa contre elle, englobant la chaleur et l'humidité de son intimité que révélaient son tanga imbibé de cyprine . « Comment vous sentez-vous, Vanessa ? » demanda-t-il, sa voix basse résonnant d'un mélange d'autorité et de douceur.
Vanessa ouvrit les yeux lentement, rencontrant le regard intense de David. Les mains toujours derrière sa nuque, la poitrine offerte et le corps arqué, elle était décidément d’une exceptionnelle beauté se dit David. Elle respira profondément, cherchant ses mots dans un souffle haletant, « Je me sens… ». Elle marqua un silence : elle cherchait ses mots tant les intenses émotions qu’elle ressentait étaient multiples et embrouillaient son esprit.
« Je me sens incroyablement vivante entre vos mains » finit-elle par articuler, sa voix tremblante témoignant de la profondeur de ses sensations et de son abandon total à l'expérience. À ces mots, David resserra son emprise sur le sexe de Vanessa, sa main épousant chaque contour avec une précision qui amplifia instantanément son plaisir. La pression accrue fit dégouliner de désir le sexe déjà humide de Vanessa, des gouttes de plaisir pur s'échappant librement. Elle gémit plus ouvertement, son corps répondant par des spasmes de plaisir à la prise ferme et assurée de David ; chaque mouvement de sa main envoyant des vagues de plaisir intense à travers son corps.
David sourit tendrement à Vanessa et déposa un baiser sur son front, son geste doux contrastant avec l'intensité de leur interaction. « Continuons alors. Restez en position, » murmura-t-il de sa voix rauque et sécurisante. Il se déplaça derrière elle, et, avec une délicatesse qui contrastait avec la fermeté de ses intentions, prit un à un ses bras pour les placer délicatement dans son dos. David saisit alors une des chaînes dorées qu’il avait placé sur les draps et fixa ses extrémités aux anneaux des menottes de Vanessa, rapprochant ses mains liées pour accentuer son emprise, à la fois physique et psychique, sur elle.
Saisissant les mains enchaînées de Vanessa d'une seule main, il l'attira doucement mais fermement contre lui. La tête de Vanessa se cala contre son épaule, sa respiration s'alourdissant sous l'effet de sa proximité et du contrôle exercé. David, ses mains désormais libres, commença à caresser ses seins opulents avec douceur avant de les pétrir plus fougueusement ; ses doigts habiles venant parfois saisir les pinces pour étirer de nouveau les mamelons sensibles et gorgés de désir de Vanessa. Vanessa frémissait sous chaque manipulation, les sensations de douleur accentuant son excitation et déclenchant un plaisir profond. Chaque pression sur sa poitrine envoyait des ondes de chaleur à travers son corps, centrées sur son sexe déjà inondé de désir. La manière dont David manipulait ses seins, avec à la fois force et précision, exacerbait son besoin de se soumettre à lui, chaque toucher renforçant son envie de rester captive dans cette étreinte dominante.
« Nous allons accentuer, intensifier les choses, Vanessa » lui susurra-t-il à l’oreille. « Etes-vous prête ? ». À ces mots, Vanessa, tout en respirant profondément, répondit dans un murmure chargé d'excitation et d’impatience « Oui, David... je suis à vous ». Quasi-instantanément, David répondit d'un ton impérieux mais chargé d'affection : « Oui, tu es à moi, ma petite salope. » Sa main la poussa alors vigoureusement en avant : la tête et les épaules de Vanessa vinrent épouser les draps, tout en soulevant et cambrant sa croupe vers le ciel. David saisit son tanga et le tira avec violence vers le bas comme s’il voulait l’arracher. La dentelle fine ne résista pas à l’assaut et se déchira. Utilisant ses deux mains, David peaufina son ouvrage et mit cette délicate pièce de lingerie en lambeaux.
La position de Vanessa était maintenant d’une indécence totale : elle ne cachait rien de son intimité à David ; elle la lui offrait même. Elle ressentait un sentiment jusqu’alors inconnu pour elle : un mélange paradoxal de honte et de fierté ; de vulnérabilité et de puissance. Honte de se tenir dans une telle position peu digne de la femme respectable et bien élevée qu’elle était ; mais en même temps si fière de déclencher chez cet homme ce désir et cette autorité vis-à-vis d’elle et de voir dans ses yeux combien il l’admirait. Elle se surprenait aussi à aimer la position dans laquelle elle était : les mains liées dans le dos, elle ressentait la fraîcheur des draps contre sa peau chaude ; le poids de son propre corps poussait ses seins vers le matelas, augmentant la pression et l'excitation générées par les pinces ; ses fesses offertes étaient une invitation qu’elle assumait totalement. Dans cette posture d'abandon total, elle était à la merci des désirs de David, chaque commande, chaque mot de lui se gravant profondément dans son esprit, éveillant une soumission de plus en plus fervente. En même temps, si elle se sentait certes soumise, elle était aussi totalement maitresse de son destin, sachant qu’elle pouvait arrêter ce jeu à tout moment en utilisant le mot magique que David lui avait demandé de choisir.
David, toujours méthodique dans son approche, écarta un peu plus les jambes de Vanessa, positionnant son corps pour une exposition maximale. Ses mains expertes commencèrent à explorer les fesses rebondies et généreuses de Vanessa, les caressant, les malaxant, les empoignant, voire les fessant avec une assurance qui provoquait des frissons sur sa peau. Chaque fessée appliquée faisait échapper à Vanessa des gémissements doux, des sons qui se mêlaient à l'atmosphère chargée de la chambre. La main de David glissait de temps à autre entre ses fesses, caressant avec audace sa vulve palpitante et son anus, chaque contact envoyant des vagues de plaisir à travers son corps déjà en émoi.
Poursuivant sa domination, David prit une des attaches de cuir et la fixa à l’anneau de la chevillière du pied droit de Vanessa, puis la lia à l'attache ciselée du lit. Il répéta la procédure avec la chevillière gauche, s’assurant ainsi que Vanessa ne puisse plus bouger de cette position offerte et indécente. Les contraintes étaient serrées juste assez pour limiter ses mouvements sans causer de douleur, accentuant le sentiment d'emprise et d'exposition.
David, se délectant de la situation, resta un moment à contempler Vanessa, immobilisée et offerte. Il pouvait voir chaque frémissement parcourir son corps, chaque respiration haletante accentuer la courbure de son dos. Avec un désir grandissant, David fit glisser ses doigts le long des courbes exposées de Vanessa, s'attardant sur sa vulve humide et palpitante de désir. Il jouait avec elle, ses doigts habiles caressant, explorant, écartant délicatement les lèvres pour découvrir l'intimité trempée de Vanessa, provoquant chez elle des gémissements de plaisir pur.
Son excitation à lui était palpable, visible dans la tension de son corps, l'érection forte qui se pressait contre caleçon en étant l’incarnation la plus directe. N’en pouvant plus, David baissa son caleçon pour libérer son sexe tendu. Il le prit en main et laissa son gland dur frôler et taquiner l'entrée de la vulve de Vanessa … glissant entre les lèvres humides … remontant jusqu'à son clitoris pour un instant de stimulation directe qui arracha à Vanessa un cri étouffé de plaisir. Il se lança dan un va-et-vient entre les lèvres chaudes et le clitoris dressé de Vanessa, la tenant fermement par les fesses.
Vanessa, électrisée par chaque contact, sentait son corps répondre avec une intensité qu'elle n'avait jamais connue auparavant. Sa vulve, enflammée et réceptive, coulait de désir, et accompagnait chaque mouvement de David. Elle sentait les attaches emprisonner ses chevilles. Le seul mouvement qu’elle maitrisait était celui de son bassin qui prenait le contrôle de tout son être dans une danse harmonieuse avec la queue raide de David.
Malgré l’excitation et l’attirance intenses qui unissaient leurs corps, David maintenait le contrôle, poussant Vanessa aux limites de son désir sans jamais la pénétrer complètement. Chaque fois que son gland effleurait son clitoris, Vanessa gémissait, implorant presque dans son souffle haletant un soulagement que David refusait encore de lui donner. Il s'amusait à explorer, à stimuler, à tourmenter les lèvres gonflées de Vanessa, chaque mouvement étant un mélange exquis de promesse et de torture.
Dans un moment de désespoir croissant, Vanessa se tourna vers lui, sa voix tremblante : « S'il vous plaît, David, je vous en supplie... prenez-moi …». Sa demande était un murmure, un aveu de sa dépendance totale aux sensations qu'il lui offrait. Mais David, avec un sourire en coin, continuait son jeu sadique, son gland glissant encore une fois tout le long de son sexe détrempé, appuyant juste assez pour qu'elle puisse sentir ce qu'elle manquait. Ne pouvant plus supporter cette frustration exquise, Vanessa implora de nouveau, cette fois avec plus d'intensité. « Prenez-moi, David, maintenant, je ne peux plus attendre ! » Sa voix brisée par le désir était presque irrésistible.
« Tu veux ma queue, petite chienne ? » lui demanda alors David, la fixant de son regard, tout en continuant de la supplicier de son mouvement de va-et-vient.
« Oui … » lâcha Vanessa dans un souffle.
« Je n’ai pas bien compris » répondit David dans un sourire espiègle et presque diabolique, redoublant d’intensité dans son regard.
« Oui je la veux » répondit Vanessa.
« Où cela, petit chienne ? » demanda David en empoignant ses bras enchainés, la faisant se cambrer.
« Dans ma chatte …» se surprit à répondre Vanessa dans un souffle, elle qui n’utilisait d’habitude jamais de tels termes. Ses joues se mirent à rougir …
« Où cela, ma petit chienne ? » répéta David affermissant la tension de son dos arqué en tirant plus avant sur ses bras.
« Dans … dans ma chatte de petite chienne … » lâcha-t-elle, son visage s’empourprant de honte et de plaisir mêlés …
À ces mots, David, les yeux emplis d'une lueur sauvage, saisit fermement les longs cheveux roux de Vanessa, tirant sa tête en arrière avec une maîtrise qui lui arracha un cri de surprise mêlé d'excitation. Il positionna son gland à l'entrée de la vulve palpitante de Vanessa, humide et ouverte, prête à l'accueillir. D'un mouvement doux mais implacable, il la pénétra de toute sa longueur, provoquant un hurlement de plaisir qui résonna dans la chambre.
Vanessa sentit chaque pouce de son être se remplir, son corps s'arc-boutant sous l'assaut puissant. « Tu es à moi, ma petite chienne …» murmura David, maintenant immobile en elle, savourant la sensation de plénitude. « Oui … à vous … toute à vous, » gémit Vanessa, ses mots confirmant son abandon complet. David commença alors à se mouvoir en elle, lentement d'abord, puis avec une intensité croissante, chaque poussée plus profonde et plus ferme que la précédente.
Les sensations que Vanessa éprouvait étaient indescriptibles; la plénitude, le frottement du gland et de la queue raide de David contre ses parois internes, chaque mouvement amplifiant le plaisir qui s'enroulait, serré et chaud, dans son ventre. L'excitation montait en Vanessa à chaque mot cru que David prononçait, chaque terme vulgaire éveillant en elle une résonance sauvage qu'elle n'aurait jamais imaginée aimer. Sa honte initiale se transformait en un désir ardent, poussant ses hanches à rencontrer les siennes avec un abandon fébrile.
Le rythme s'intensifiait, les sons des corps qui s'entrechoquaient remplissaient l'air, mélangeant gémissements et souffles coupés. Vanessa, submergée par l'intensité de son plaisir, sentit l'orgasme monter irrésistiblement. Avec un cri qui déchira le silence, elle se libéra, son corps secoué de spasmes alors que son orgasme la submergeait complètement.
À l'apogée de son excitation, David se retira du sexe bouillant de Vanessa. Dans un dernier mouvement, sa queue glissa entre les fesses de Vanessa et libéra son nectar nacré sur son fessier rebondi, arrachant un râle de satisfaction de sa bouche. Vanessa sourit de satisfaction lorsque le sperme chaud de David vint se répandre sur ses fesses. Son corps encore frémissant sous l'effet de leurs échanges passionnés, elle leva ses yeux vers David dont le corps était encore tremblant de sa jouissance. Oui elle était toute à cet homme qui la révélait à elle-même … ou tout au moins elle voulait vraiment, pleinement l’être … Elle ferma les yeux, profitant de cet instant d’une rare plénitude.
(A suivre)
Source de l'illustration: photo libre de droit de l'internet
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Introspection
Nous sommes en septembre, c’est la rentrée et le moral chute en même temps que la fin de cette jolie parenthèse annuelle s’arrête. les jours raccourcissent, la tendre chaleur des soirées d’été laisse doucement la place à des fins d’après midi nostalgiques de Fraicheur. Finis les apéros au soleil, la vie en short torse nu, les réveils sans contraintes et les journées sans impératif à faire ce qui nourrit mon âme au gré de mes envies. Place à la routine, le réveil pour aller chez les fous, les petit tracas du quotidien, les obligations sociales, familiales, matérielles. Bref la vie normale. Mais qu y’a t il de normal dans l’action de faire des choses qui ne nourrissent pas notre âme ? Suis je dans une utopie quand je ressens cette nostalgie me poussant à croire qu’il devrait être possible de ne jamais fermer ces parenthèses de bonheur et d’épanouissement ? Doit on juste se souvenir de ce mois de juillet en déconnexion totale en se disant « oui c’était bien mais c’est fini». Ne peut on espérer que l’endroit magique d’août qui vous ressource devienne votre endroit de tous les mois? J’ai envie de rêver à un quotidien épanouissant, avec des gens qui m’aiment et que j’aimerai ô combien en retour. Avec des rencontres positives et dans l’ouverture d’esprit. Avec un travail qui stimulerait mon intellect tout en ayant un sens personnel. Pourtant je ne peux rêver de tout cela car moi même je suis contradictoire. Comment pourrais je rêver d’allier juillet à août alors que les parenthèses étaient différentes ? Les intervenants avaient changé. Le lieu était passé d’un jardin apaisant à une mer ressourçant mon esprit. Je ressens la dualité de mon être en ce mois de reprise. Alors que me reste t il ? Deux vérités et une question. Première vérité, ce mois de juillet fut magique. Dans une vie qui devient pour moi trop cadencée et conventionnelle, j’ai eu la chance, car oui je m’estime chanceux, qu’une personne m’ait ouvert sa porte, littéralement comme métaphoriquement. Je commençais à m’éteindre en me croyant invisible. Ma confiance en moi périclitait autant que je maltraitais mon corps. Cela faisait ressurgir de vieilles blessures que je croyais guéries. La cicatrice n’était finalement pas définitivement fermée semble t’il. Puis la porte s’ouvre. J’entre. Et je me sens vivant. Intéressant aux yeux de quelqu’un. Peut être oserais je même dire beau même si la cicatrice tiraille quand je pense à cet adjectif me concernant. Mais qu’importe je vis les moments avec force et légèreté. Comme un oxymore me rappelant la dualité de l’homme. Tout et son contraire. Comme elle. Forte et fragile. souriante et triste. Sérieuse mais drôle. Avenante et timide. Belle et … belle. La dualité s’arrêtait là pour elle. Car malgré ses tracas elle rayonnait. Elle avait ce charme capable de me désarmer en 30 secondes. Je ne sais pas si elle compensait une blessure, mais peu importe, son intérêt pour moi m’a redonné confiance. Confiance dans le fait que je pouvais me sentir vivant. Car oui, discuter de conneries comme de sujets sérieux et très personnels, mes yeux plongés dans son magnifique regard bleu et sincère, m’avait redonné confiance. Je lisais dans son regard quelques marques d’attrait qui reboostaient ma masculinité. Je me sentais homme plaisant à une superbe femme. Cela me faisait un bien fou. Et même si nos conceptions pouvaient sembler complètement incompatibles, les moments enlacés décrispaient toutes les tension de mon corps et les noeuds de mon cerveau. Mais juillet s’en allait, et avec lui ce coup de cœur platonique. Mon coeur avait fait une place que mon esprit avait volontairement barricadée sous des barbelés infranchissables depuis bien des années. Août arrivait. Avec une première phase ambiguë. Le coup de cœur était dans les parages mais la porte physique n’était plus ouverte. Qu’importe car nous étions chacun dans un entre deux. La page travail était sur le point de se tourner pour nous deux simultanément afin d’entamer très bientôt un nouveau chapitre qui nous faisait hâte. Les vacances. Le rush des derniers jours étaient pris à la légèreté car la perspective était belle. Et d’un coup, je passe d’un béton gris, sentant l’huile, bruyant, sous un air vicié, à un soleil flamboyant devant une mer certes loin des idéalisations paradisiaques, mais très belle de simplicité. Le paradis était là. Ma famille réunis d’un peu partout, partageant un repas organisé au dernier moment et sans prétention. Car l’essentiel était ailleurs. L’essentiel c’était de rire, de parler, de faire ce que bon nous semble, de découvrir le fruit de l’union de deux personnes qui s’aiment, agrandissant un peu plus ce cercle familial qui me reconnectait à mes racines. Août n’était que lumière et apaisement. Même les jours un peu gris se transformaient en une visite de gens adorables qui appréciaient ma visite. Des moments fugaces mais gravés dans mon esprit. Le genre de petites graines semées en mon fort intérieur, et qui en grandissant viennent me donner de la force. Ce genre de force qui, lorsque je me pose sur le portail de la maison en regardant au loin le soleil se coucher, me fait hérisser les poils des bras, me met une larme de bonheur à l’œil, et me fait dire « je suis chez moi, je suis ou je dois être ». Mais le jour du retour sonne. Le retour à la réalité est brusque et violent. Violent dans tous les sens. Le béton rempli de fous est devenu encore plus incompréhensible. Le quotidien quand j’en sors ne me fait plus autant vibrer qu’avant. Et la nostalgie de ces deux mois survient. Sauf que je n’avance pas avec de la nostalgie. La nostalgie est positive quand le quotidien est épanouissant et qu’on repense au passé en paix. D’où ma question. Que vais je faire de cette nostalgie ? Comment la transformer en sérénité de l’instant passé et en promesse de l’avenir? Car oui je ne veux pas laisser mon coup de cœur en juillet et mon paradis en août. Je les veux dans chaque moi qui fera mon année car ils m’apportent quelque chose. Mais est ce utopique ? Est ce possible ? Je crois que oui, mais la question est surtout comment ? Je vais devoir changer des choses, de paradigme peut être même. Ma réflexion commence, la suite au prochain épisode
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David se redressa alors, quittant brièvement la chaleur des draps et la proximité voluptueuse de Vanessa. Avec des mouvements fluides et assurés, il s'approcha d'un grand placard en bois d'ébène qui trônait dans un coin de la chambre, son aspect sombre et lustré se fondant harmonieusement avec le reste du mobilier. Il ouvrit les portes pour y révéler plusieurs étagères bien organisées et prit deux élégants sachets en coton gris.
Revenant vers le lit, il posa délicatement les sachets sur les draps safranés. Vanessa se souleva avec légèreté et s’assit sur le lit, les jambes croisées sous elle. Elle ne perdait pas une image de ce que faisait David, observant chaque mouvement avec une curiosité intense mêlée d'une pointe d'excitation. David desserra les cordes qui fermaient chacun des sachets. Le premier sachet, plus petit, s'ouvrit pour révéler des menottes, des chevillières et un collier en cuir marron d’un design élégant et de finition haut de gamme. Chaque pièce était agrémentée d'anneaux couleur or rose. Des chaînes dorées de différentes longueurs complétaient l'ensemble, scintillant sous la lumière tamisée de la chambre. Le second sachet, plus volumineux, contenait quant à lui diverses longues attaches du même cuir que celui du pack de contrainte du premier sachet ; chacune d’entre elles avaient à leurs extrémités des crochets à cliquet dorés. Retirant la couette du lit, David disposa avec soin sur le lit ces objets nouveaux pour Vanessa. Ils semblaient tirés d'un autre monde, un monde où l'art de la contrainte se mêlait à la beauté des objets ; ils respiraient le luxe et le raffinement tout autant qu’ils exprimaient la soumission et l’abandon, la domination et l’emprise. Vanessa sentait son cœur battre plus fort, son corps répondant avec une chaleur croissante à la vue des instruments de bondage. L'intimidation initiale avait fait place à une fascination profonde, et l'excitation qu'elle ressentait était palpable, un frisson parcourant sa peau à chaque battement de cœur.
David, observant son visage, capta chaque nuance de son émotion. « Tout ce que nous allons faire sera guidé par vos désirs et vos limites, » lui rappela-t-il doucement, fixant son regard avec intensité. « Ces outils ne sont que des extensions de la confiance que vous m'accordez. Et ils ne sont là pour notre plaisir mutuel.» Vanessa, les yeux brillants d'un mélange d'impatience et de nervosité, acquiesça. « Je vous fais confiance, David, » dit-elle, dans un murmure presque inaudible mais chargé d'une résolution ferme. Elle s’imaginait déjà attachée, exposée, mais aussi incroyablement connectée à David dans une danse de pouvoir et de soumission, la vue de chaque attache augmentant son excitation et son irrésistible envie de poursuivre plus avant cette expérience nouvelle et profondément révélatrice. Elle voulait se donner plus profondément encore à lui. Elle ressentait une confiance irrationnelle mais pourtant totale envers cet homme dont l’autorité bienveillante mettait ses sens en ébullition.
« Attachez-moi, David, » répéta-t-elle, cette fois avec plus d'assurance. David, avec un hochement de tête respectueux et un sourire qui promettait à la fois douceur et autorité, prit les menottes et s'avança vers elle. Son toucher était à la fois ferme et tendre, rassurant Vanessa avec un sourire compréhensif. Il saisit délicatement son poignet droit, élevant son bras avec précaution. La douceur apparente du cuir contrastait avec la fermeté des anneaux dorés rosés qui brillaient avec éclat. Avec une prévenance mesurée, il enveloppa le cuir autour de son poignet, ajustant soigneusement l’attache sans que celle-ci soit trop serrée. Il répéta l'action avec le poignet gauche, ses doigts effleurant la peau de Vanessa dans un geste rassurant, ancrant leur connexion tout en affirmant son contrôle.
Une fois les menottes fixées, David prit les chevillières assorties. Il guida Vanessa pour qu'elle fléchisse légèrement ses jambes, lui permettant d'accéder à ses chevilles. Il s'accroupit, son visage proche des pieds de Vanessa. Après avoir déposé un baiser sur le pied droit de Vanessa, qui provoqua en elle un frisson de plaisir, il souleva doucement sa cheville, faisant glisser la chevillière en cuir autour de celle-ci. L'attention minutieuse de David à ne pas la serrer trop fort là encore mais suffisamment pour que Vanessa ressente cet attachement ajoutait une couche de soin et de protection à l'acte d'assujettissement. Il fit de même avec l'autre cheville, ses mains habiles s'assurant que chaque détail était parfait.
« Mettez-vous à genoux au milieu du lit, Vanessa » ordonna soudain David. L'ordre de David résonnait dans la chambre, impérieux, accentuant l'électricité déjà palpable dans l'air. Fébrile mais terriblement excitée, Vanessa s’exécuta et s'agenouilla au centre du lit, chaque mouvement accentué par la sensation des chevillières dont le poids limitaient subtilement ses mouvements.
« Asseyez-vous sur vos pieds, le dos bien droit, écartez légèrement vos cuisses et posez vos mains sur celles-ci, paumes retournées » continua-t-il d’une voix lente mais assurée et ferme. S'asseyant sur ses talons, le dos droit, Vanessa plaça ses mains ouvertes sur ses cuisses entrouvertes.
Dans cette posture d'offrande et de soumission qui amplifiait son excitation, le corps de Vanessa se révélait sous un jour nouveau, sculpté par la tension et le désir. Ses épaules étaient tirées en arrière, accentuant la courbe de sa colonne vertébrale et mettant en avant son opulente poitrine, triomphante, parée de son soutien-gorge en dentelle noir. Les menottes à ses poignets ajoutaient un contraste saisissant à sa peau légèrement dorée. Ses cuisses légèrement écartées dessinaient une invitation silencieuse et ensorcelante. Ses fesses, tendues et rebondies, étaient magnifiquement mises en valeur par sa position agenouillée. La raie de ses fesses, superbement définie et invitante, guidait le regard vers l'échancrure de son intimité, partiellement dissimulée par la dentelle sombre de son tanga trempé d’excitation. L'ensemble de son corps semblait vibrer d'un mélange de nervosité et d’excitation, chaque muscle tendu non seulement par la posture mais aussi par l'attente de ce que David déciderait de faire ensuite.
David vint se placer devant Vanessa. Il l’embrassa tendrement et lui fit baisser légèrement la tête. Il lui parla doucement, sa voix se mélangeant avec l'atmosphère chargée de la chambre. "Cette position, Vanessa, est communément appelée « Nadu ». C'est une posture de respect et de disponibilité," expliqua-t-il avec un calme qui se voulait aussi instructif que rassurant.
« En position Nadu, votre corps parle avant même que les mots ne puissent s'échapper de vos lèvres. Votre dos droit symbolise votre fierté et votre force, vos mains sur vos cuisses montrent votre ouverture et votre volonté de recevoir ce qui vient. C'est une position d'offrande, oui, d’attente, également, mais aussi une déclaration de confiance et de préparation à l'engagement dans l'échange que nous partageons. »
Il fit une pause, permettant à Vanessa d'absorber la signification de ses mots. « C'est un très beau cadeau que vous m'offrez, Vanessa, votre soumission volontaire. Cela signifie que vous êtes prête non seulement à obéir, mais aussi à accueillir les sensations, les émotions, et peut-être même les défis que je pourrais vous présenter. »
Vanessa sentit son cœur battre à tout rompre, chaque mot de David renforçant le sentiment d'intimité et de connexion entre eux. La prise de conscience de la signification de sa posture lui fit ressentir une profondeur nouvelle dans leur interaction, un mélange d'excitation et de respect mutuel qui approfondissait son engagement dans le moment présent.
« Êtes-vous prête à continuer, à me faire confiance alors que nous explorons ensemble ces nouveaux territoires? » demanda David, offrant à Vanessa un nouveau moment pour consentir de plein gré. Vanessa acquiesça. « Oui, David, je suis prête ».
« Regardez-moi, Vanessa, » dit-il d'une voix basse et rauque. Elle leva les yeux vers lui, ses yeux remplis d'une confiance vulnérable mais totale. David prit délicatement sa main droite, en embrassa la paume et vint la positionner derrière sa nuque. Ses yeux plongés dans les yeux de Vanessa, il répéta l’opération avec sa main gauche, qui vint rejoindre sa main droite derrière sa nuque.
David l'embrassa doucement, sa main se posant délicatement sur son cou, enserrant sa gorge dans un geste à la fois tendre et dominant. Vanessa, répondant à ce geste, offrit sa gorge plus ouvertement, la tête légèrement renversée en signe de soumission et de confiance. Après un moment, David retira sa main et, dans un regard intense, lui demanda de ne plus bouger. Vanessa sentit un frisson de plaisir mêlé de nervosité parcourir son échine alors que la pression de la main de David se relâchait, laissant une sensation de chaleur et de vulnérabilité autour de sa gorge.
« Cette position s’appelle en anglais « Collar Me », Vanessa » lui dit-il d’une voix douce au creux de l’oreille. « Vous comprenez évidement ce que cela signifie » continua-t-il d’une voix plus affirmative qu’interrogative. Pourtant Vanessa ne put s’empêcher de hocher la tête et de lui répondre d’une voix fébrile « Oui… . » « Ce geste est hautement symbolique, » continua David, désormais face à elle et ses yeux plongés dans les siens, « il représente l'acceptation de votre soumission à mon autorité du dominant. Je vous rassure, cela ne fait pas de vous aujourd’hui ma soumise. Nous n’en sommes pas là » continua-t-il dans un sourire tendre et bienveillant. Un sourire auquel Vanessa répondit d’un sourire empreint d’une infinie bonté. « Ce n’est qu’un jeu pour l’heure » finit par dire David.
Il présenta le collier, le tenant devant Vanessa pour qu'elle puisse l'admirer un instant avant de le placer autour de son cou. Le cuir était doux et l'anneau doré au centre brillait comme un bijou. « Le voulez-vous vraiment, Vanessa ?, » dit-il d'une voix basse, captant son regard avec intensité.
« Oui, David, je le veux », murmura-t-elle, sa voix un mélange de détermination et d'excitation. Avec une lenteur calculée, il passa le collier autour de son cou, ajustant la boucle pour un ajustement confortable mais affirmé. Le poids du collier était un rappel tangible de la dynamique de leur jeu, un symbole de sa soumission choisie et de la confiance qu'elle avait placée en lui.
David se recula légèrement pour admirer Vanessa, le regard empli de désir et d'admiration. « Vous êtes absolument magnifique, Vanessa. Votre corps est une véritable œuvre d'art, » commença-t-il, sa voix basse teintée de fascination. Il parcourut du regard ses formes voluptueuses, s'attardant sur ses seins, opulents et parés de dentelle noire, qui appelaient presque à la luxure. « Ces courbes... votre poitrine est simplement … sublime, » ajouta-t-il en s'approchant à nouveau.
Tendrement, David inclina sa tête pour embrasser la peau douce de son décolleté. D’un geste expert il dégrafa son soutien-gorge, libérant les seins magnifiques de Vanessa. Face à tant de beauté et de tentations, il ne put résister et prit un téton entre ses lèvres. Il lécha et aspira doucement le bout sensible, provoquant un gémissement de Vanessa, avant de pincer et d'étirer délicatement le téton avec ses doigts, explorant sa réponse à chaque toucher. Vanessa sentit des vagues de plaisir se mêler à une douce douleur ; son corps répondant avec ardeur à chaque caresse ; son sexe se liquéfiant sous l'intensité de l'attention de David.
Se levant, David se dirigea de nouveau vers le placard et en sortit deux petites pinces ornées de jolis bijoux en verre vénitien. Revenant au lit, il reprit en bouche les fabuleux tétons de Vanessa pourtant leur érection impudique à l’extrême. Les quittant à regret, il fixa chaque pince sur les tétons tendus de Vanessa. La jolie rousse gémit à chaque pose ; sous ses paupières closes ses yeux se révulsèrent de plaisir sous l'effet de la sensation aiguë et délicieuse.
(A suivre)
Source de l'illustration: photo libre de droit de l'internet
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La jeune femme regagna rapidement sa chambre d'hôtel et s'octroya le luxe rare de faire une sieste. À la moindre caresse, sa peau frémit. Elle ferma les yeux. Juliette contemplait impunément le pur ovale du visage de Charlotte. Des épaules fines et le cou gracieux. Sur la peau mate des joues et du front, sur les paupières bistrées passaient, comme des risées sur la mer, de brefs frissons qui gagnaient le ventre, les bras et les doigts entremêlés. Une émotion inconnue s'empara alors d'elle. Serrer une femme dans ses bras, c'est se priver de la voir, se condamner à n'en connaître que des fragments qu'ensuite la mémoire rassemble à la manière d'un puzzle pour reconstituer un être entièrement fabriqué de souvenirs épars. Les seins, la bouche, la chute des reins, la tiédeur des aisselles, la paume dans laquelle on a imprimé ses lèvres. Or, parce qu'elle se présentait ainsi allongée, pétrifiée comme une gisante dans son linceul de drap blanc, Juliette découvrait Charlotte comme elle ne croyait jamais l'avoir vue. Des cheveux courts d'une blondeur de blé, les jambes brunies par le soleil. Elle ne reconnaissait pas la fragile silhouette vacillante sous le fouet. Bouleversée, elle regarda longtemps le corps mince où d'épaisses balafres faisaient comme des cordes en travers du dos, des épaules, du ventre et des seins, parfois en s'entrecroisant. Charlotte, étendue sans défense, était infiniment désirable. Comme le suaire que les sculpteurs jettent sur une statue d'argile ocreuse encore fraîche, le drap mollement tendu épousait les formes secrètes de la jeune femme; le ventre lisse et bombé, le creux des cuisses, les seins aux larges aréoles et aux pointes au repos. L'onde tiède surprit son ventre. La blondeur accepta l'étreinte. Le ballet érotique devint un chef-d'œuvre de sensualité, un miracle de volupté. Charlotte fut la corde sous l'archet, le clavier sous les doigts du pianiste, le fouet sur la chair, l'astre solaire dans les mains d'une déesse. Ne plus s'appartenir est déjà l'extase. Les traces encore fraîches témoignaient de l'ardeur de leur duel passionnel, des courbes s'inclinant sous la force du fouet comme les arbres sous la bourrasque. La muraille d'air, de chair, de silence qui les abritait où Chalotte était soumise, le plaisir que sa Maîtresse prenait à la voir haleter sous ses caresses de cuir, les yeux fermés, les pointes des seins dressées, le ventre fouillé. Ce désir était aigu car il lui rendait constamment présent sans trêve. Les êtres sont doubles. Le tempérament de feu façonnait. Juliette la conduisait à l'abnégation.
Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux bonnes heures plus tard. Reposée, elle sortit du lit. Elle avait gardé les yeux fermés. Elle croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'elle contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, à son arrivée, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre.Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Elle lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle lui avait dit plus fort et Juliette avait noué des liens plus étroits. Elle voulait la rendre rapidement à merci pour leur plaisir. Elle alla jeter un coup d'œil par le judas. Un livreur l'attendait, tenant une corbeille de fleurs dans ses bras. D'elle-même alors elle s'était laissée tombée sur le lit. Ça l'avait beaucoup excitée de la sentir aussi vulnérable en dessous d'elle. Elle s'était dévêtue rapidement. Elle lui avait relevé son shorty d'un geste sec. Elle l'avait écarté pour dégager les reins et l'avait fouettée sans échauffement. Elle reçut sans se débattre des coups de cravache qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades violettes. À chaque coup, Charlotte remercia Juliette. Elle devint son sang. La vague accéléra son mouvement. L'ivresse les emporta et les corps ne surent plus dire non. Ils vibrèrent, se plaignirent, s'immobilisèrent bientôt. Juliette la coucha sur le dos, écarta ses jambes juste au-dessus de son visage et exigea d'elle avec humeur qu'elle la lèche aussitôt comme une chienne. Elle lapa son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce et ce contact nacré la chavira. Les cuisses musclées de Juliette s'écartèrent sous la pression de la langue et des dents. Elle s'ouvrit bientôt davantage et se libéra violemment dans la bouche de Charlotte. Surprise par ce torrent fougueux, la jeune femme connut un nouvel orgasme qui la tétanisa, lorsqu'elle prit conscience qu'elle jouissait sans l'autorisation de sa Maîtresse, avec la nonchalance que procure le plaisir poussé à son paroxysme. Elle l'en punirait certainement sauvagement pour son plus grand bonheur.
Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle découvrit un bouquet de lis, une bouteille de champagne et des chocolats. Après une toilette minutieuse, pour retrouver son état de femme libre, Juliette qui regrettait de ne pouvoir la fouetter davantage, l'embrassa tendrement. Il était temps de sceller le lien qui les unissait. Le jour tant attendu arriva. Elle la fit allonger sur un fauteuil recouvert d'un tissu damassé rouge. La couleur donnait une évidente solennité au rituel qui allait être célébré. Elle ne put éviter de penser au sang qui coulerait sans doute bientôt des lèvres de son sexe. Et puis tout alla très vite. On lui écarta les cuisses, poignets et chevilles fermement liés au fauteuil gynécologique. Elle résista mais on transperça le coté gauche de sa lèvre intime. Juliette lui caressa le visage tendrement, et dans un geste délicat, elle passa l'anneau d'or dans la nymphe percée. Il lui fallut écarter la chair blessée afin d'élargir le minuscule trou. L'anneau coulissa facilement et la douleur s'estompa. Mais presque aussitôt, elle ressentit une nouvelle brûlure. L'aiguille déchira la seconde lèvre pour recevoir l'autre anneau. Tout se passa bien. Charlotte se sentit libérée malgré son marquage. Elle ferma les yeux pour vivre plus intensément ce moment de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes. Juliette lui prit la main dans la sienne et l'embrassa. C'était magnifique et elle ne put s'empêcher d'être très émue par ce geste si romantique de la part de sa Maîtresse. Ces anneaux qui meurtrissaient sa chair intime trahiraient désormais son appartenance à Juliette. La condition d'esclave ne l'autorisait pas à extérioriser sa jalousie ou son agressivité envers une jeune femme dont pouvait se servir trop souvent Juliette. Les jeunes filles qu'elle convoitait n'étaient là que pour assouvir ses fantasmes. Elle les utilisait comme telles. Elles ne pouvaient imaginer qu'elles servaient de test à satisfaire sa passion avant tout. Le prétexte de sa soumission semblait lui donner tous les droits, même celui de la faire souffrir dans son orgueil de femme amoureuse. Juliette a le droit d'offrir Charlotte. Elle puise son plaisir dans celui qu'elle prend d'elle ou qu'elle lui vole. Elle lui donna son amour. Pour Charlotte, il n'y avait grâce et désir que dans l'abnégation. Le sentiment de sa faiblesse ne la peinait pas.
Elle donna un pourboire au livreur, referma la porte et saisit la petite carte dont elle lut le message à voix haute. Charlotte était particulièrement en beauté, ce soir-là. Elle portait des bas noirs à couture et une veste en soie de la même couleur dont l'amplitude laissait entrevoir son intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse conférait à sa tenue un bel effet. Juliette lui fit prendre des poses provocantes. Elle en rajouta jusqu'à devenir alors franchement obscène. Le harnais de cuir et le bustier emprisonnaient son sexe et ses seins. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Sa Maîtresse expliqua calmement aux hôtes qu'elle était à leur disposition. Elle avait décidé de l'offrir à des hommes. Bientôt des inconnus s'approchèrent d'elle. Elle sentit des dizaines de doigts la palper, s'insinuer en elle, la fouiller, la dilater. Cela lui parut grisant. Elle éprouva un plaisir enivrant à être ainsi exhibée devant des inconnus. Elle devint une prostituée docile. "- Cette soirée nous appartient. Porte le bandeau pour moi, Charlotte. Je passerai te prendre vers dix-neuf heures". Et Bientôt Juliette interrompit la séance qui lui parut trop douce et génératrice d'un plaisir auquel Charlotte n'avait pas droit. Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet. Elle attendit dans la position infamante de la putain offerte avant que des sexes inconnus ne commencent à la pénétrer. Elle fut alors saccagée, malmenée et sodomisée tel une chose muette et ouverte. Ce que sa Maîtresse lui demandait, elle le voulait aussitôt, uniquement parce qu'elle lui demandait. Alors, elle s'abandonna totalement. Devinant les pulsions contradictoires qui l'ébranlaient, Juliette mit fin à la scène, l'entraîna hors de la pièce et la calma par des caresses. Lorsque Charlotte eut retrouvé la maîtrise de ses nerfs, ce fut elle-même qui demanda à être ramenée dans le salon où les hommes attendaient son retour. Elle fit son apparition, les yeux de nouveau bandés, nue et fière, guidée par Juliette qui la dirigea vers le cercle des inconnus excités. Ce fut elle qui décida encore de s'agenouiller pour prendre dans sa bouche leur verge, jusqu'à ce qu'ils soient tous parvenus à la jouissance et se soient déversés sur son visage ou sur sa poitrine offerte. Jamais, elle ne fut plus heureuse que cette nuit-là. L'amour qui est la raison d'être des femmes, est aussi leur ornement, surtout quand il est, comme celui de Charlotte, fait d'espoir mystérieux, de candeur illusionnée, de timidités enhardies et de désirs enfouis.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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J'en ai ressenti le besoin très tôt. Depuis, je n'ai plus peur de personne, même maous costaud. Non je ne roule pas en Harley, mais je sais me battre grâce au wing chun.
Pourquoi ai je choisi cet art martial si fin? Parce que la légende dit qu'il a été conçu par une femme yim wing chun, qui ne voulait pas se marier avec un gros balourd. Comme ce dernier la trouvait fort belle et qu'il insistait de trop, elle lui a proposé un combat à mains nues. S'il gagnait alors il pourrait l'épouser.
Le gros balourd en salivait déjà en pensant à la chatte étroite de Yim. Une vierge qui s'était vu refuser l'accès au temple Shaolin, réservé aux hommes.. il pensait n'en faire qu'une bouchée.
Un crétin ! Il pensait qu'il suffisait d'attraper Yim par les cheveux et la coucher dans l'herbe, lui écarter les cuisses et l'embrocher histoire de lui faire comprendre que comme mari et mâle il avait tous les droits.
A sa grande surprise c'est Yim qui fonça sur lui. Elle paraît facilement tous ses coups et chaque fois lui en collait une directement au visage. Plus il devenait fou de rage, et plus il morflait. Et les directs de Yim finirent par porter. L'un d'eux mis le prétendant orgueilleux KO.
Il se réveille et à sa grande surprise se retrouve ligoté solidement. Il se débat, enrage; rien à faire, les liens sont très solides.
Yim baisse son pantalon, elle s'habillait toujours en garçon et lui montre sa chatte bien velue.
-Tu voulais la voir et bien regarde et ouvre la bouche je vais te la laver.
Elle lui pusse dessus. Elle prend un grand plaisir à faire cela. Puis elle sort un fin couteau et coupe les vêtements de son prétendant. Il est nu comme un vers. Elle joue avec la lame de son couteau avec sa verge qui gonfle et se met à bander.
' Et si je te la coupais pour me manquer ainsi de respect.
Le prétendant n'en bande que plus fort. Il est fou amoureux de cette folle qui le martyrise et se refuse à lui.
Yim fabrique un fouet avec des cordes et retourne le prétendant pour qu'il présente ses fesses bien musclées. Les coups pleuvent. Il hurle tellement elle lui fait mal. Elle frappe et frappe encore. Le prétendant repart dans les pommes.
Yim lui pisse à nouveau dessus pour le réveiller. L'urine lui brule ses plaies sanguinolentes. Cette fois le prétendant ne bande plus. Il a très peur.
Yim coupe une branche d'arbre et en façonne un gros sexe mâle avec son couteau habile. Une bien grosse.
-Je vais te violer ton petit cul. Tu vas la sentir passer.
Elle l'embroche. Le prétendant hurle de tous ses poumons. Une douleur terrible. Il est empalé pour de bon avec ce god monstrueux.
Yim le laisse la, avec cette grosse bite en bois dans le cul. Le prétendant ne sera libéré que quelques heures plus tard par un groupe de paysans. Sa honte était telle que plus jamais on ne le vit dans le pays.
Yim se choisit elle même son mari des années plus tard et fut très heureuse avec de beaux enfants.
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