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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
-Bravo Général Valeri, la mise sous contrôle de Donald est une totale réussite.
-une opération très amusante. Et qui pourra servir de modèle, camarade Président.
-elle m'a beaucoup fait rire, il est vrai. C'est toujours un plaisir de travailler avec vous.
L'opération "une chatte pour Donald" à pris du temps. Comment sélectionner une bonne espionne? D'abord, il faut une fidélité et loyauté à toute épreuve. Rien de mieux qu un conditionnement extrême sur mode bdsm. Au bout de quelque mois, l'espionne n'obéira plus qu'à son Maître qui pourra tout lui demander. Ce n'est toutefois pas le plus important. Ce qui compte c'est de réussir et donc d'alpaguer si fort la cible qu'elle passera sous contrôle.
Donald s'est vanté de choper les femmes par la chatte. Valeri a donc fait en sorte de lui en fournir une qui le rende fou.
Comment savoir si une femme est vraiment bandante. Ce n'est pas nécessaire qu'elle soit sublimement belle, non, c'est autre chose. Valeri, en bon militaire a voulu tester. Il a sélectionné des hommes de la façon la plus variée possible et les à mis par groupes de douze, nus, dans une pièce, avec une grande baie vitrée et une glace spéciale pour qu'ils puissent voir sans être vus. Interdiction de se toucher le sexe. Les filles devaient attendre une par une, une dizaine de minute, dans la pièce en face, avec une simple chaise pour s'assoir et rien d'autre et vêtues comme elles avaient l'habitude de l'être dans la vie courante.
Aux hommes de choisir. Pour chaque fille un numero et un vote de zéro à dix. Cela n'était en fait qu'une sorte de leure ou de mise en condition. Les hommes nus étaient observés sans qu'ils le sachent, et plus. Les votes n'avaient de fait aucune importance. La seule chose prise en compte était le désir réel.
Ne fait pas bander qui veut. Et c'est de la sorte que la milice privé Stalin recruta ses meilleures espionnes pour ces missions très spéciales reposant sur le sexe. Laura fut vite repérée comme la championne toute catégorie. Sa seule présence faisait lever les bites comme des régiments levent les baillonettes. Aucun raison, aucune explication. Laura fait bander un homme par sa seule présence et ensuite par le souvenir.
Des que Donald a vu Laura, il a voulu la chopper par la chatte et pas que. Il en est devenu raide dingue.
Et donc, fini les aides à l'Ukraine, fini les ambiguïtés. Pour avoir sa drogue quotidienne, une bonne baise avec Laura, il a du obéir.
En conclusion la bite est elle le véritable cerveau de l'homme ?
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Les aventures de S.
En route…
Dans le taxi qui me conduisait jusqu’à ce premier rendez-vous, je frissonnais malgré moi, d’impatience bien sûr, mais également d’une certaine appréhension. Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait, de ce qu’il allait faire de moi. Le trajet semblait durer étrangement longtemps et j’en profitais pour me repasser les consignes: il me fallait me présenter devant sa porte, en robe, sans culotte ni collants. En prévision, j’avais pris une longue douche, épilé mes jambes et ma toison, qui n’avait pas vu de rasoir depuis plusieurs années, je m’étais légèrement maquillée et j’avais retourné tout mon placard dans l’espoir de trouver une robe qui m’aille. Pas trop courte, pas trop longue, un peu sexy, je voulais lui laisser une bonne première impression. Il y avait longtemps que je n’avais pas pris autant de soin pour me préparer, pour m’apprêter et en partant, je me sentais tantôt presque belle, tantôt ridicule. La jupe était trop courte, le décolleté trop prononcé, mes cheveux courts pas assez féminins… Qu’en penserait-il? Mes pensées vagabondaient dans tous les sens pendant que la voiture se faufilait dans les embouteillages parisiens.
Qu’en penserait-il? Comment pouvais-je le savoir? Je ne savais presque rien de l’homme que j’allais rencontrer. Certes, nous avions échangé de nombreux messages depuis une dizaine de jours. Au début presque amicaux, prenant des nouvelles l’un de l’autre (nous avions eu une relation d’une nuit une dizaine d’années auparavant), les messages étaient rapidement devenus plus directs, plus personnels, plus chauds. En quelques jours, j’étais devenue S., sa soumise et il était devenu mon maître. Ne me demandez pas comment c’est arrivé, j’en serais bien incapable. Toujours est-il que je me rendais donc au 1er rendez-vous avec mon maître. Même en me le répétant encore et encore, cela me fait frissonner des pieds à la tête, toujours partagée entre la peur et l’excitation. Au fil des messages, nous avions échangé sur nos souhaits, nos fantasmes, nos attentes, nos limites également. Petit à petit, j’avais appris à modifier mes propos, passant au vouvoiement, demandant la permission de poser des questions, acceptant quelques missions à distance, qui, avec un peu de recul, étaient complètement folles pour moi. Comment en étais-je arrivée à prendre des photos de mes seins en plein milieu d’un train bondé pour les lui envoyer? Au fur et à mesure des jours nous rapprochant de ce premier rendez-vous, l’excitation était montée crescendo et je ne me reconnaissais plus. Je n’avais qu’une hâte, enfin arriver et le laisser faire de moi ce qu’il voulait. J’avais accepté, en tout cas je le pensais, de lui céder tous les droits sur moi, de devenir sa chose pendant l’espace d’un moment. Bien entendu, nous avions posé des garanties, j’avais exprimé mes peurs et mes limites et je comptais sur lui pour les respecter. Une petite voix au fond de moi me disait bien que j’étais folle, qu’une fois sur place, rien ne l’empêcherait de faire de moi ce qu’il voulait, bien au delà des limites posées, que je n’avais prévenu personne. Les pires faits divers repassaient dans mon esprit mais je les chassais au loin. Au moins, j’aurais vécu follement mes derniers instants. Je ne pus retenir un rire et lorsque le chauffeur me jeta un regard dans le rétro, je devins rouge écarlate comme s’il avait deviné ce à quoi je pensais.
Lorsque la voiture s’arrêta enfin devant la rue indiquée, je sortis de la voiture chancelante. Le souffle me manquait. Allais-je vraiment aller jusqu’au bout ou m’enfuir en courant? Paniquée, je ne savais plus où je devais aller, quel code taper pour entrer… À deux doigts de faire demi-tour, mon téléphone vibra. Un message de J. Il voulait savoir si j’étais bientôt là et me dit qu’il m’attendait avec impatience. D’un coup, mes pensées négatives s’estompèrent et le désir s’insinua au plus profond de moi. Rapidement, je trouvais la porte de son allée, déverouillait la porte avec son code et pénétrait dans la petite cour qui menait à son appartement. La lourde porte cochère en se refermant sur moi m’isola totalement du monde extérieur et le silence se fit. La petite allée qui menait à l’entrée de son immeuble était un de ces petits coins de paradis parisien qui vous emmène à mille lieux du périphérique et de la rue grise et encombrée. D’ordinaire, j’aurai été subjuguée par cette petite alcôve, mais aujourd’hui, je n’avais qu’une envie, traverser à toute vitesse ce passage et grimper les marches à la volée. Le 2ème code entré et la porte franchie, je me retrouvais en face d’un petit escalier qui montait dans les étages. 4ème gauche m’avait il indiqué. Je commençais donc mon ascension tout en commençant à me préparer. Petit coup de brush sur les lèvres, recoiffage rapide. Au 2ème, je fais une pause pour enlever mon manteau, mon écharpe afin d’être un peu plus “disponible” à mon arrivée. Oups, la voisine sort de son appartement et me regarde bizarrement. Je pense que je suis aussi rouge que les carreaux au sol. Je continue jusqu’au 3ème étage en priant pour ne croiser personne d’autre. Car j’ai une mission, enlever ma culotte et mes collants pour satisfaire la demande de mon maître. En plein mois de janvier, je ne me suis pas risquée à venir sans. Rapidement, sous le stress de voir quelqu’un débarquer, j’enlève mes bottes, mes collants, ma culotte et remet mes bottes. Je manque tomber dans le processus, oscillant entre le fou-rire et le manque de souffle dû à la peur. Cela crée en moi une excitation proche de la jouissance, alors que la soirée n’a même pas commencé. Je prends une seconde pour me calmer, range toutes mes affaires dans le grand cabas que j’avais préparé et entame la montée du dernier étage. A peine arrivée sur le palier, la porte s’ouvre. J. s’impatientait, se demandant ce qui me retenait. Je suis sur le pas de sa porte, essoufflée, excitée, pétrifiée.
Dans l’antre de mon maître
Mon maître, sans un mot, me fait signe de rentrer. Je me sens toute petite, même si mes bottes me font prendre quelques centimètres. Son regard sur moi, sur ma robe, sur mon décolleté me coupe le souffle. Je rentre, me retrouve devant lui et il m’embrasse sur le bout des lèvres, en douceur, puis se place sur le côté pour que je passe. Je me retrouve à l’intérieur, un peu gauche, et décide de poser mon gros sac sur le côté, faisant tomber au passage une pile de livres. Je me fonds en excuses mais mon maître ne semble pas m’en tenir rigueur. Je me redresse finalement et par instinct, place mes mains jointes devant moi, la tête baissée. Est ce la posture requise d’une bonne soumise? Cela semble plaire à mon maître. Il reste quelques secondes à m’observer puis soudainement, lève ma robe au-dessus de mes fesses.
“Je vérifie que tu as respecté notre marché”. Ce simple contact m’envoie une décharge électrique et je suis à deux doigts de lui demander de me prendre à l’instant. Mais, la situation impose le silence et je me prête au jeu.
Je prends peu à peu mes repères pendant que mon maître admire ma croupe (enfin, j’espère) et je regarde un peu plus autour de moi. A quelques pas, la petite table du salon attire mon regard. Cravache, fouet, godes, liens, boules de geisha, baillon… mon maître a exposé sur la table toute sa collection BDSM.
Depuis quelques semaines, je me suis renseignée sur ces instruments de soumission, de sado-masochisme. Certains me font peur, d’autres me rendent curieuse et je regarde avec intérêt cette exposition. J. surprend mon regard et sourit.
Ça te plait?
Je crois
Pardon?
Je crois? maître?
C’est mieux. C’est une partie de ma collection
Une partie? le mélange d’émotions que je ressens depuis quelques minutes me dépasse. Je ne sais plus où j’en suis, hésitant entre partir en courant ou m’offrir totalement.
J. contourne la table et s’assoit sur le canapé. Il me fait signe de venir vers lui, ce que je fais après un temps d’hésitation. Je m’assois à côté de lui et il sourit.
M’as tu demandé la permission de t’asseoir?
Oups, je me relève comme si j’étais assise sur un ressort.
Je rigole, assis toi, mais relève un peu ta robe.
Je me retrouve donc assise sur le canapé en cuir blanc, les fesses directement en contact avec celui-ci. Le froid me surprend et me fait sursauter. Mon maître, à l'affût de mes réactions, sourit de nouveau.
Est ce que tu aimes ce que tu vois?
Oui, oui. Heu, oui maître.
Est ce qu’il y a des choses que tu ne connais pas? Ou qui te font peur?
Je regarde de nouveau, sans me cacher cette fois et je suis assez fière de moi car je crois tout reconnaître. J’ai bien travaillé mes devoirs et je suis heureuse de lui montrer que je ne suis pas si débutante que cela.
Il commence alors à me présenter tout ce qu’il y a sur la table:
Il y a des objets de plaisir: vibros, gode, petit œuf à insérer et que je peux commander à distance. Il y a des outils de contrainte pour te maintenir: des liens pour les pieds, les poignets, des baillons (dont un avec une boule), des tissus pour le bondage. Et il y a mes outils préférés: cravache, fouet à lanière, spatule.
Spatule?
Oui, une spatule, tu verras, c’est… intéressant.
Je suis immédiatement pétrifiée de peur. Je me permets de lui rappeler que l’une de mes limites est une trop grosse douleur et la deuxième, de ne pas avoir de traces qui restent. Il rit et me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il a bien noté mes limites, même si son rôle est de les repousser, à chaque fois un peu plus. Je me rends compte que je transpire un peu sous le coup du stress, mais qu’en même temps, je mouille comme cela ne m’était pas arrivé depuis très longtemps.
Déshabille-toi.
Cet ordre, comme un claquement au milieu de mes pensées, me fouette d’un coup. Je m’arrête de respirer. C’est maintenant ou jamais. Et, sans savoir moi-même d’où ça me vient, je quitte ma robe d’un seul coup et me retrouve en soutien-gorge sur son canapé. Quelle sensation incroyable! J’ai honte de mon corps, pas vraiment idéal, avec mes bourrelets, mon ventre qui est loin d’être plat, mes cuisses épaisses. Mais mon maître ne semble pas s’en soucier et m’observe intensément.
J’ai dit: déshabille-toi.
Oups, mon soutien-gorge. Mes doigts glissent sur la fermeture comme si c’était la première fois que je l’enlevais. Mes seins se libèrent et je vois les yeux de J briller un peu. Je me sens presque désirable et mon désir augmente au creux de mes reins.
Il attrape quelque chose sur la table.
Ceci est ton collier. Je t’en ai commandé un, spécialement pour toi, mais pour le moment, tu auras celui-ci. Ce collier signifie que tu m’appartiens, que tu dois m’obéir. Tourne toi!
Je lui tourne le dos et il glisse cet épais collier en cuir autour de mon cou. Il serre le collier et le ferme. Il ne m’empêche pas de respirer mais me sert assez pour que je sente déjà une certaine contrainte. Et son poids empêche de l’oublier. Il est relié à une laisse sur laquelle mon maître s’empresse de tirer, me montrant ainsi que c’est lui qui dirige maintenant mes mouvements. Puis, il attrape sur la table des liens épais qu’il place à mes poignets puis les attache entre eux. Puis à mes chevilles afin d’attacher mes pieds entre eux. Enfin, il place un masque opaque sur mes yeux, me coupant ainsi de toute sensation visuelle.
J. me demande alors de m’allonger sur le dos sur le canapé. Je me retrouve ainsi pieds et poings liés, nus sur son canapé. Pendant quelques secondes, plus rien ne se passe et cette attente, dans le noir, attachée, est tellement excitante et stressante que mon souffle s’accélère. Mon maître me glisse alors entre les doigts un objet vibrant que je reconnais de suite. J’en reste bouche bée.
Je vais aller prendre une douche. Tu dois garder ce vibromasseur sur ton clitoris jusqu’à mon retour, mais tu n’as pas le droit de jouir. Tu peux jouer avec la vitesse, mais interdit de l’enlever.
Mais je ne peux pas, me masturber devant toi, c’est impossible.
Pardon?
Je ne pourrais pas.
Un silence s’ensuit et d’un coup, je ressens un grand coup de fouet sur les cuisses, me faisant sursauter et gémir.
Tu viens de me tutoyer? C’est interdit.
Je me tortille sous la douleur pendant que j’essaie de remonter le fil de notre discussion.
Je suis désolée, maître, je n’ai pas fait exprès.
Commence!
La honte me paralyse. Me masturber devant lui? Vraiment? Jamais je n’aurais imaginé qu’il me demande cela et je suis certainement plus rouge qu’une tomate. Mais docile, je place le vibromasseur frémissant sur mon clitoris. Malgré mon masque, je sens le regard de mon maître sur moi pendant quelques instants, puis je l’entends qui s’en va, tranquillement vers la salle de bain. Alors, je relève instantanément le vibro.
Je respire quelques instants, hésitant à poursuivre la mission confiée par mon maître ou à attendre son retour. Mais, la tentation est trop forte et sans écouter la petite voix pudibonde au fond de mon esprit, je pose de nouveau le plastique froid et vibrant contre mon clitoris humide. Me détendant petit à petit, je sens le plaisir qui monte petit à petit en moi, la chaleur me gagne, je commence à gémir un peu. J’entends la douche au loin et me rappelle soudain que je ne dois pas jouir. Je baisse donc le rythme du vibro pour ne pas aller trop vite.
Pendant les prochaines minutes, j’arrive plus ou moins à contrôler mon excitation même si elle monte crescendo. La situation est ubuesque mais j’oblige mon cerveau à se mettre en retrait.
Soudain, je sens quelque chose et mes sens sont de nouveau en éveil. Mon maître m’observe et je le sens regarder chaque centimètre de ma peau. Je respire difficilement tant l’excitation monte. Il s’approche doucement, sans un mot et récupère le vibro qu’il colle à fond sur mon clitoris. Je commence à monter en pression, à gémir, à me débattre un peu et au moment où je vais jouir, il s’arrête soudainement. Cette sensation me frustre au plus au point et j’entends mon maître qui quitte la pièce. L’attente de son retour fait monter l’angoisse pendant que le sang pulse dans mon clitoris, en manque, en douleur, gonflé à bloc. Il revient quelques instants plus tard et me demande si ça va . Je ne peux que gémir.
Que veux tu?
S’il vous plaît, maître
Que veux tu?
Encore un peu maître
Que veux tu ?
Je veux, je veux, je…
Que veux tu?
Je veux jouir maître.
Supplie moi
Je respire profondément, comment pourrais-je oser dire cela?
Que veux tu?
S’il vous plaît, maître, est ce que je peux jouir?
Je lance cette phrase dans un souffle, rouge de honte.
Mon maître reprend son jeu avec le vibro et de nouveau, je me sens partir vers les chemins du plaisir. Je monte, gémit, mon corps se tord et quelques secondes avant de jouir, mon maître éloigne le vibro et place sur mon clitoris un glaçon, qu’il venait d’aller chercher dans la cuisine. Je crie de plaisir, de stupeur et le plaisir s’estompe de nouveau.
Je ne sais plus où j’en suis, j’aimerai hurler, pleurer, crier, le supplier de me laisser jouir.
Tourne toi sur le ventre.
Stupéfaite, je reprends un peu mes esprits, et essaie, comme je peux, de me tourner le ventre. Gentiment, il détache mes mains pour faciliter la transition puis, une fois sur le ventre, me les attache dans le dos.
Tu te rappelles qu’au fil de nos discussions, je t’ai dit que tu recevrais des punitions lors de notre première rencontre? Pour quelles raisons?
Parce que j’oubliais souvent de vous tutoyer? Parce que vous m’aviez demandé de me masturber un soir sans jouir et je n’ai pas résister?
Tout à fait. Je vais donc administrer ta première punition. Tu as le droit de crier, de pleurer, mais tu dois compter à haute voix chaque coup. Est ce bien compris?
Je suis en stress total. Il va me fouetter, là maintenant? Au secours. Je suis à deux doigts de pleurer et l’excitation a totalement disparu.
Est-ce bien compris?
J’hésite à lui dire que je ne suis pas prête, que je ne suis pas d’accord, que je ne veux pas avoir mal. Mais dans un souffle, d’une toute petite voix, je réponds
Oui
Pardon?
Oui maître
Quelques secondes se passent pendant lesquelles j’ai l’impression de ne plus respirer, que mon cœur s’est arrêté, que je vais mourir sur le champ.
Le premier coup de fouet sur mes cuisses m’arrache un petit cri.
Ça va?
Oui (dans un souffle)
Alors, compte!
De nouveau, les lanières du fouet se répandent brutalement sur ma cuisse, et je crie de nouveau.
2!
Non, tu recommences au début.
Au début?
Il ne prend pas la peine de répondre et son poignet s’abat de nouveau.
1
Bien! Tu en recevras 20! C’est compris?
Heu, oui, maître.
Les coups commencèrent à pleuvoir, certains un peu plus fort que d’autres. Je sursautais à chaque coup, mais je me rendis vite compte que la douleur n’était qu’éphémère et qu’au contraire, elle commençait à me procurer des sensations inédites. Mon souffle s'accéléra, mon bas-ventre devint très humide.
A 8 coups de fouet, mon maître s’arrêta pour me demander pourquoi je respirais aussi vite. Avec un peu de honte, je lui dis que je sentais l’excitation monter en moi. Je l’entendis presque sourire.
On continue.
Sauf que la seconde suivante, je sentis une brûlure très forte sur ma fesse. Ce n’était plus du tout la même sensation et je criais stupéfaite.
Tu aimes aussi la cravache?
Il enchaîna ensuite quelques coups, un peu partout sur mes fesses,
10, 11, 12.
Je ne savais plus si j’avais mal, si je prenais du plaisir, si je voulais que cela s’arrête ou continu.
Je vais maintenant essayer la spatule.
Non, maître, non, s’il vous plaît.
Ce n’est pas toi qui décide.
J’étais au bord des larmes, en revoyant cette large spatule sur le bord de la table. La douleur devait être intense et ma peur me pétrifia.
Tu es prête à compter.
Non, non, non
Tu connais le mot de passe si c’est trop pour toi, mais tu ne dois l’utiliser que si vraiment tu ne peux plus tenir.
Pendant nos discussions par message, mon maître m’avait donné un mot de passe, un safe word, pour pouvoir arrêter nos “jeux” si cela dépassait mes limites. Mais il m’avait aussi alerté sur le fait de ne l’utiliser que dans des situations extrêmes. Étais-je prête à l’utiliser maintenant? Sans même avoir essayé? Je lui avais dit que j’étais prête à subir ce qu’il voulait, n’étais ce pas un peu prématuré? Je sentais dans sa voix qu’il était un peu déçu que j’abandonne aussi facilement. Mais j’aurais bien aimé le voir à ma place.
Je pris une grande respiration et décidais de serrer les dents. Je savais (plus ou moins) à quoi je m’engageais en venant. Je fis non de la tête et serrais les poings.
Mon maître me tapota la croupe, satisfait.
On y va.
La spatule s’abattit sur ma fesse d’un seul coup. Et mon souffle se coupa. La sensation se répandit dans tout mon bassin et je me mis à gémir.
Oh putain, c’est bon!
Tu aimes?
Heu oui, maître.
Cette sensation de décharge, mêlée à l’adrénaline de la situation, m’avait envoyé aux portes du plaisir.
Alors compte, dis mon maître dans un souffle. Mon plaisir semblait le satisfaire au plus haut point.
Les 7 coups suivants se succédèrent entre cris, gémissements. Parfois, mon maître frappait fort, d’autre fois, il l’utilisait en douceur et cet enchaînement incertain était extrêmement excitant.
20
Je m’affaissais totalement sur le canapé, et je ne m’étais même pas rendu à quel point, je m’étais dressée au fur et à mesure, levant ma croupe de plus en plus haut pour rejoindre les coups.
Mon maître me caressa les fesses, doucement et cette sensation était extraordinaire.
Hum, tu es bien rouge, j’aime voir ça.
Je ne pouvais répondre, perdu dans mes ressentis, subjuguée par ce que je venais de vivre.
J. me laissa quelques secondes pour reprendre mes esprits, reposant tout son matériel sur la table, prêt à servir de nouveau.
Puis, il tira sur ma laisse, me rappelant ainsi à ma condition de soumise enchaînée.
Lève-toi!
Un peu difficilement, je l’avoue, j’arrivais à m’extirper du canapé, les yeux toujours bandés, les poignets attachés dans le dos, les chevilles attachées entre elles, avec juste assez de chaîne pour me permettre de faire de tout petits pas. Il me promena ainsi quelques instants puis s’arrêta net.
A genoux!
Instantanément, je sus ce qui allait se passer et j’étais tellement excitée par la séance de punition et mes liens que lorsqu’il me présentait sa queue, je sautai littéralement dessus, ce qui le fit rire.
Stop! Tu ne m’as pas demandé si tu pouvais.
Quoi?
Demande moi
De nouveau, la honte m’empêcha de parler quelques instants. Mais, que risquais-je étant déjà nue, attachée à ses pieds, je ne voyais pas comment je pouvais me ridiculiser davantage.
Est ce que je peux te sucer?
Pardon?
Oups! Est ce que je peux vous sucer maître?
S’il vous plaît.
Me prenant au jeu, je répétais donc chaque mot comme une bonne petite soumise
Est-ce que je peux sucer votre queue, maître, s’il vous plaît?
Je t’en prie, fais toi plaisir.
A ce point, j’étais totalement excitée et je pris son sexe dans ma bouche avec le plus grand plaisir. On ne peut pas dire que je suis une grande fan de fellation. J’en ai fait quelques-unes dans ma vie, mais plutôt pour faire plaisir à mon partenaire, sans vraiment trouver cela intéressant pour moi. Mais dans cette situation-là, on peut dire que j'ai pris mon pied comme jamais en le sucant. Je m’appliquais intensément et je sentais le plaisir que prenait mon maître au fur et à mesure que sa queue grossissait dans ma bouche.
Hum, tu t’y prends bien, une vraie soumise, bien salope comme je les aime.
Ces quelques mots me firent mouiller encore plus fort et j’étais au comble de l’excitation. Je léchait, suçait avec énergie et lorsque mon maître appuyait un peu sur ma tête, je le prenais jusqu’au fond de ma gorge sans rechigner. Je le sentais respirer fort, gémir, et ma langue, ma bouche était remplie de son sexe. Au point que lorsqu’il vint dans ma bouche en criant, je m’employais à lécher et avaler chaque goutte pour n’en laisser aucune. Pendant quelques secondes, il resta dans ma bouche, savourant mes petits coups de langue gloûtons puis se retira en me félicitant de ce beau travail. Sa queue était toute propre.
Il m’abandonne ainsi quelques minutes et je me retrouvais nue, à genou sur le plancher, toujours attachée, épuisée par cette séance.
Mon maître eut alors la gentillesse de me détacher et me rendre la vue. Je ne gardais que mon collier. Il m’offrit un verre d’eau pour me remettre de mes émotions. Je me sentais rouge écarlate, un peu ébahie par tout ce que j’avais osé faire sur cette fin d’après-midi.
Comment tu te sens?
Épuisée, dis-je dans un petit rire.
Tu t’es bien dépensée, il faut dire
Pendant un petit moment, nous nous sommes mis à parler de différentes choses, sans rapport avec notre jeu de rôle, mais par précaution, je préférais garder le vouvoiement. Je crois que je commençais à apprécier de lui parler ainsi, avec prudence et respect, même lors de conversations diverses.
Au bout d’un moment, mon maître m’indiqua qu’il me libérait et que je pouvais rentrer chez moi. J’étais un peu déçue d’un côté car j’aurais presque aimé recommencer mais en même temps, j’étais épuisée.
Pour une première séance, c’était bien. N’allons pas trop vite. Par contre, je te laisse repartir à 2 conditions. D’une part, tu me laisses ta culotte. D’autre part, tu mets ceci à l’intérieur de toi.
Il me tendit alors deux boules de Geisha, reliées entre elles par un lien en silicone. Je restais un peu figée en les voyant car elles me semblaient énormes. J’en avais déjà vu sur des sites en faisant des recherches mais totalement novice, je ne savais pas par où commencer.
Maître, vous voulez que je mette ces 2 boules en moi? Mais heu, dans le vagin, pas dans le…, enfin vous voyez.
Cela le fit éclater de rire.
Oui, pas dans ton anus, il n’est pas encore prêt pour ça. Tu peux aller dans la salle de bain si tu préfères.
Je partis donc dans la salle de bain et essayais tant bien que mal d’introduire ces boules à l’intérieur de moi. C’était très bizarre car elles vibraient en bougeant, créant une sensation spéciale lorsque je les avais en main. Je n’osais imaginer l’effet que cela ferait une fois dedans. Mon pauvre vagin n’avait pas reçu de choses aussi imposantes depuis un certain temps, il eut donc beaucoup de mal à les avaler, mais je réussis finalement à les faire entrer. Ce n’était pas vraiment confortable ou agréable, et j’avais l’impression qu’elles allaient tomber à chaque instant. Je revins dans le salon un peu gauche, ce qui le fit sourire. Il me tendit ma robe et je me rhabillais tant bien que mal, prenant seulement conscience que j’allais partir sans culotte, avec 2 boules susceptibles de s’échapper à chaque instant.
Enfin prête, je pris mon sac, mon manteau et m’approchais de mon maître qui m’observait avec intensité près de la porte. Il me fit me tourner et m’enleva mon collier, dernier symbole de ma soumission de l’après-midi et bizarrement, je me sens presque nue sans lui.
Rentre bien! Et tu me dis quand tu es chez toi, que l’on décide ce que l’on fait avec les boules.
Oui maître
Il m’embrassa doucement et je sortis sur le palier. Un dernier petit coucou et je descendis les 4 étages de son immeuble. Chaque pas me rappelait que mon vagin était plein et le mouvement des billes à l’intérieur des boules de Geisha était vraiment très intéressant. De nouveau, je me sentais gagnée par l'excitation. Décidément, ça ne s’arrêtait jamais. Je me rappelais alors que je n’avais pas encore joui malgré tout le plaisir que j’avais pris.
Une fois dans la rue, je commandais un VTC car je ne me voyais pas prendre le métro, sans petite culotte et avec ces boules en moi. En attendant mon chauffeur, je marchais un peu sur le trottoir pour oublier le froid piquant qui remontait le long de mes cuisses et jusqu’à mon clitoris. C’est fou cette impression que tout le monde sait exactement ce qui se passe, que chaque personne passant à côté, sait que je viens de tirer une pipe à un quasi inconnu, que je ne porte pas de petite culotte. Il est difficile de décrire les sensations que je ressentais à ce moment-là, plus je marchais et plus les boules m’excitaient, plus je pensais à ce que je venais de faire ou à ce que les autres pensaient, plus je montais en pression. J’avais l’impression que j’allais jouir là, sur ce trottoir, devant tout le monde.
Ma voiture se gara devant moi et je revins sur terre immédiatement. Arrivant difficilement à parler, je montais rapidement à l’arrière, mis ma ceinture et me concentrai sur mon téléphone. Heureusement, le chauffeur n’était pas très bavard non plus. Je jetai un œil vers lui et fut surprise de voir un beau jeune homme, plutôt bien fait. Manquait plus que ça. La voiture démarrra tranquillement et mon calvaire commença. Chaque accélération, chaque coup de frein faisait vibrer intensément les boules dans mon vagin et comment vous dire, mon chauffeur n’était pas des plus doux avec ses pédales de voiture. Je sentis la chaleur monter en moi petit à petit, et bien sûr, j’étais persuadée que le chauffeur savait exactement ce qui m’arrivait.
J’envoyais un message à mon maître.
C’est très intense avec les boules. Et le conducteur conduit très brusquement.
Tu n’as pas le droit de jouir. Est-ce que le chauffeur te regarde?
Bien sûr que je n’allais pas jouir sur la banquette arrière d’un VTC. Enfin, non, pas si sûr. Des vagues de plaisir me submergeaient par moment et il me fallait garder toute ma tête pour ne pas sombrer. J’essayais donc de me concentrer sur ma discussion avec J ou sur le paysage. Mon maître semblait apprécier mon désarroi et relançait régulièrement pour savoir comment je m’en sortais. Comme à l’aller, le trajet me parut durer une éternité.
Arrivée en bas de chez moi, je sortis comme je pouvais du taxi, en bafouillant un “merci”. Ma plus grande peur était que les boules tombent au moment où j’allais passer les jambes en dehors du véhicule mais fort heureusement, elles restèrent bien au chaud dans mon trou.
Sans trop savoir comment, je réussis à ouvrir la porte de mon immeuble, monter les escaliers jusqu’à mon appartement, trouver ma clé, entrer chez moi et refermer, quasiment sans respirer.
Ouf, j’étais chez moi, en sécurité.
Après quelques secondes de répit, j’enlevais mon manteau puis envoyais un message à mon maître.
Je suis rentrée. C’était vraiment très très bizarre.
Tu es excitée.
Oui, très excitée.
Alors, je veux que tu te masturbes, avec les boules de Geisha en toi. Tu as le droit de jouir. Tu pourras enlever les boules une fois que tu auras terminé.
J’envoyais un message pour remercier mon maître (je suis une soumise qui apprend vite) puis, je m’installais dans mon canapé et attrapait mon vibromasseur. Mon clito était fin prêt, tendu à souhait, mes seins étaient extrêmement sensibles et je sentais les boules de Geisha bien positionnées en moi.
Il ne me fallut pas longtemps pour atteindre la jouissance tant mon attente avait été longue, et la décharge électrique dura un long moment, pour mon plus grand bonheur.
J’étais épuisée et je mis un moment à me lever pour aller enlever les boules (ce qui de nouveau fut plus facile à dire qu’à faire tant mon vagin était serré, je comprenais mieux pourquoi mon maître voulait l’entraîner avant d’y mettre son sexe).
J’envoyais ensuite un message de remerciement à J pour cette incroyable première rencontre et sombrait rapidement dans un profond sommeil, en planifiant mentalement de prévoir rapidement une nouvelle séance.
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Sveta Shubina, l'artiste à l'univers bien distinctif dans le style Pin-Up, est originaire de Rostov-on-Don, dans le sud de la Russie, où elle a vu le jour et a grandi. Elle réside toujours dans cette ville qui a façonné sa vie et son art.
La passion de Sveta pour le style Pin-Up est née de son intérêt général pour l'histoire, en particulier pour l'art graphique du milieu du siècle dernier. En 2011, elle et son mari ont lancé le projet "HOBO AND SAILOR", où ils créaient des vêtements ornés de motifs inspirés de la publicité vintage, des bandes dessinées et de l'animation, en utilisant également l'esthétique Pin-Up. Ce projet a été le point de départ de sa fascination pour ce style.
Vers 2015, Sveta a commencé à dessiner ses propres personnages de manière plus active, découvrant ainsi toute une sous-culture autour du mouvement Pin-Up. Pour elle, le processus créatif de choisir un personnage, un style, une mise en scène et un contexte est souvent spontané, tirant son inspiration de diverses sources, des films aux événements politiques. Elle se laisse guider par sa créativité et ne se fixe aucune limite, affirmant que l'art n'a pas de limites.
Sveta Shubina baigne dans le monde de la peinture depuis aussi longtemps qu'elle s'en souvienne, commençant dès l'âge de quatre ans. En plus de ses études à l'école, elle a suivi des cours à l'école d'art. Après avoir obtenu son diplôme, elle a intégré l'Université d'Architecture et des Arts, ce qui a renforcé son lien indéfectible avec la peinture.
Parmi les artistes qui l'ont inspirée, on retrouve principalement ceux des magazines Playboy et Humorama des années 50 et 60. Elle apprécie la légère satire présente dans leurs œuvres, ainsi que la manière dont ils représentent la beauté du corps féminin à travers la plasticité de leurs lignes.
Certaines de ses oeuvres sont donc teintées de fétichisme. Il est possible d'acheter des tirages papier sur la boutique Etsy de Sveta.
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Quelques semaines ont passé depuis nos premiers pas dans cette aventure sensuelle. La passion brûlante et le désir d'obéissance étaient désormais profondément enracinés dans le corps et l'esprit de ma Douce Soumise. Elle ne cherchait plus simplement quelques séances, mais aspirait à devenir pleinement ma soumise, Ma soumise.
C'est alors que j'ai entrepris de concevoir un programme d'entraînement, avec l'aide d'un Maître expérimenté que nous avions rencontré en ligne. Cette formation avait pour but de lui enseigner l'obéissance totale, l'acceptation inconditionnelle de ma possession, de faire d'elle ma poupée, mon esclave, mon jouet sexuel. Après 11 ans de vie 'vanille', où elle avait rarement lâché prise, cette transition n'était pas aisée.
Dans cette première phase, nous nous sommes concentrés sur trois piliers essentiels :
L'obéissance : Elle a appris les règles, les positions souhaitées, les rituels, ainsi que la manière précise dont je désirais qu'elle m'appelle.
La douleur : Nous avons commencé à explorer la douleur comme un cadeau avant l'orgasme, un moyen d'éveiller des hormones et des endorphines pour un abandon total.
Le plaisir charnel : Elle a été initiée à toutes les pratiques sans tabous ni limites, ouvrant la voie à la découverte de nouveaux plaisirs.
Ma soumise était en extase et débordante de volonté. Elle avait immédiatement confiance en ce Maître virtuel, la même confiance qui avait grandi entre nous au fil des années.
Nous étions désormais prêts à plonger dans une exploration encore plus profonde de ce que signifiait être Maître pour moi et Soumise pour ma Douce.
Au commencement, il s'agissait de lui apprendre qu'elle m'appartenait pleinement et qu'elle devait révolutionner sa manière de penser pour devenir la Soumise qu'elle désirait être. Pour amorcer ce changement, elle n'avait plus le droit de porter de culotte, et je devais pouvoir accéder à son intimité à tout moment. Notre vie sur une île paradisiaque en Asie de l'Est rendait naturel l'interdit de pantalons. Pendant la journée, je la sollicitais régulièrement, la faisais prendre différentes positions : debout, les bras croisés derrière la tête, ou à genoux, les mains posées sur les cuisses, les paumes tournées vers le ciel. À la maison, elle était nue, et sur la plage, elle portait des tenues suggestives. Elle était absolument divine lorsqu'elle se tenait immobile devant moi, attendant patiemment mes instructions.
Parfois, elle se grattait sans me demander la permission. Alors, d'une voix calme, je me levais, lui demandais de me présenter son derrière, et la fessais. Un, deux, dix, vingt fessées, parfois plus sur chaque fesse, jusqu'à ce qu'elle reprenne sa position. Rapidement, j'ai investi dans des pinces à linge, car elle a rapidement appris à les apprécier. Je les disposais délicatement sur ses seins, ses lèvres intimes ou tout autre endroit de son corps qui m'attirait.
Ensuite, progressivement, je l'ai initiée à une variété de pratiques sexuelles : l'anal, la fellation, la déglutition, la gorge profonde, et même quelques jeux plus audacieux. À chaque étape de la formation, à chaque nouvelle expérience, ma Douce Soumise se donnait à moi avec un plaisir et une dévotion sans pareil. Elle en réclamait toujours davantage, souhaitant que je sois plus strict, moins tendre, à l'image de son Maître virtuel qui lui faisait réaliser des défis toujours plus exigeants, comme 200 squats pour de légères erreurs ou des jeux de cire chaude pour les fautes plus graves.
Je vis les moments les plus intenses de ma vie, et pour ma Douce Soumise, tout a radicalement changé. Elle est encore plus belle, plus désirable qu'à notre rencontre, débordant de désirs et de passion. Mon temps est désormais rythmé par des caresses, des fessées, des regards langoureux et des ébats torrides. Le 'Vanille' ce n'est plus pour nous.
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Bonjour à tous!
Quoi de plus merveilleux, en termes de relation humaine, qu'un binôme maître soumise! L'intensité, la profondeur, l'excitation, en sont les maîtres mots.pour bien le ressentir il faut en être privé comme souvent. Je voulais vous faire part d'un moment d'exception vécu avec ma soumise sur l'esplanade de la défense a Paris. Je décidais que l'endroit était idéal pour un orgasme sans contacts. Ma soumise accoudée sur une barrière, s'ouvrit a la voix de son dom chuchotant a son oreille une descente érotique et imaginaire en elle.premiere étape et premier spasmes, les seins que je savais sensibles. Puis la descente continua jusqu'au clitoris en passant par l'anal et le vagin......premier orgasme, deuxième spasmes. Puis commenca la lente remontée vers le cerveau ( premier organe sexuel chez la femme,) en passant par les papillons du ventre et les seins (3eme spasmes) puis le cerveau..2eme orgasme. Je chuchotait une sortie de la tête et la descente de shoot, fut réelle , douloureuse, et brutale. Ma soumise était toute alangie, un un homme me jetai en passant un regard dubitatif...qu avait il vu?
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Combien de caresses sur ce visage souriant ?
Combien de regards sur cette silhouette juvénile ?
Combien d'étreintes de ce corps paré d'élégance ?
Combien de baisers sur ce front intelligent , sur ces joues tendres, cette bouche sévère et fraîche ,
sur ce cou chaud et infiniment doux ?
Combien de vêtements à enlever, à arracher avant de me noyer dans cet univers de tendresse et de douceur que sont, pour moi, Vos seins ?
Combien de jupes devrai je retrousser avant de laisser mes mains s'approprier les trésors qui
y sont cachés mais si joliment suggérés?
Combien de petites culottes devrai je brûler avant de Vous savoir nue entre mes mains
Combien de fois me prosternerai je devant Vous , ma Déesse de l'Amour ?
Combien de baisers déposerai je sur Votre corps magnifique qui hante à jamais ma mémoire ?
Quand verrai je ma main enveloppant Votre mont de Vénus , mes doigts se perdre frénétiquement dans les plis de Votre intimité admirée ?
Quand verrai je Votre ventre et Votre visage ravagé par le séisme de notre plaisir partagé ?
Je Vous aime Ma Muse, Ma Lady . Je suis à Vous, je Vous appartiens.
Notre Amour est fort, notre Amour est tout puissant, il est notre force, notre vertu .
IL nous aidera à traverser le temps qui nous reste .
Berny
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"Mon travail consiste à peindre ce que je vois, non ce que je sais être là. Tu te souviens de cette petite lumière qu'on voit au fond du canal, et qui se reflète et se multiplie sur les vieux marbres luisants de la maison de Bianca Capello ? Il n'y a pas dans Venise un canaletto plus mystérieux et plus mélancolique. Cette lumière unique, qui brille sur tous les objets et qui n'en éclaire aucun, qui danse sur l'eau et semble jouer avec le remous des barques qui passent, comme un follet attaché à les poursuivre, me fit souvenir de cette grande ligne de réverbères qui tremble dans la Seine et qui dessine dans l'eau des zigzags de feu". "Passons maintenant à mon voyage de retour. Je doute fort qu’un autre pauvre diable que moi en ai fait de semblable, la neige a commencé de tomber à Foligno, la diligence s’est mise à déraper en tous sens tant elle était chargée, si bien que nous dûmes marcher, puis à Sarre-Valli, lecoche glissa dans un fossé et il fallut six bœufs, qu’on alla chercher à trois miles de là, pour l’en retirer. Cela prit quatre heures, et nous arrivâmes à Macerata avec dix heures de retard sur l’horaire prévu, et, affamés et gelés nous atteignîmes enfin Bologne". L’homme qui, le seize février 1829, décrivit cette épopée dans une longue lettre à un ami n’en était pas à sa première traversée des Alpes. Il était anglais. Il avait cinquante-quatre ans, si l’on en croit la date de naissance qu’il inscrivit plus tard sur son testament, ou alors soixante, puisque, sa vie durant, il affirma qu’il était né la même année que Napoléon. Depuis l’adolescence, il sillonnait les lochs sauvages d’Ecosse, les ports de pêche de Cornouailles, les falaises du pays de Galles et les rives de la Tamise. Et cela faisait alors quatorze ans, depuis la levée du blocus napoléonien, en 1815, que, chaque été, il traversait ainsi La Manche. Il parcourait alors la France et l’Italie. Passait parfois par les Pays-Bas ou l’Allemagne, puis revenait à Londres l’automne venu, voire au cœur de l’hiver, comme en cette année 1829 où, selon sa missive, la route avait disparu sous la neige depuis Foligno, près d’Assise en Ombrie, jusqu’aux environs de Paris. Et, loin de le décourager, ce genre de mésaventures faisait de ses expéditions un rituel nécessaire, auquel il ne mit fin bien plus tard, à l'âge de soixante-dix ans. Ce voyageur hors pair n’était ni un représentant de commerce, ni un noble oisif, mais un artiste: Joseph Mallord William Turner (1775-1851), le peintre le plus célèbre de l’Angleterre du XIXème siècle.
"Je racontai à Piero comme quoi j'avais voulu un soir te faire goûter cette illumination aquatique, et comme quoi,après m'avoir ri au nez, tu m'embrassas beaucoup avec cette question: En quoi cela est-il si beau ?" Un génie bien conscient de sa valeur, qui, à sa mort, en décembre 1851, s’assura la postérité en léguant à son pays le contenu de son atelier. Soit trois cents toiles et quelque trente-mille aquarelles et croquis. Parmi ce pêle-mêle d’œuvres plus ou moins achevées, des sages compositions de ses débuts aux paysages de la fin, proches de l’abstraction tant ils se dissolvent dans la lumière, se trouvaient trois cents petits carnets de route, riches de milliers de paysages. Une banque d’images saisies au pinceau ou au crayon, au fil de ses pérégrinations. Ses héritiers et les historiens d’art se jetèrent avec avidité sur ces modestes calepins, car l’artiste n’avait jamais laissé quiconque y jeter un coup d’œil. Aucun grand maître de la peinture n’avait autant puisé son inspiration dans ses voyages. Depuis la fenêtre de sa diligence franchissant alors le col du Grand-Saint-Bernard, sur le pont des gabares remontant la Loire, en marchant le long des corniches surplombant la Méditerranée, Turner dessinait tout le temps. C’est en tout cas ce que racontèrent les rares touristes qui le croisèrent. Formé chez des architectes, en tant que topographe, avant d’entrer à la Royal Academy de Londres, il était habitué à étudier les panoramas avec la précision la plus extrême. "Lorsqu’il empoignait un sujet, il ne le lâchait pas, il testait un nombre incroyable de points de vue pour l’aborder, comme un photographe chercherait aujourd’hui l’angle idéal". En 1828, l’artiste se rendit à Rome en passant par Marseille. Là, il cerna le Vieux-Port, depuis le fort Saint-Jean jusqu’à l’anse des Catalans. Trente-deux croquis sommaires et deux aquarelles en attestent. Aller sur le terrain, ou "dessiner sur le motif, selon le jargon des peintres, et en rapporter une empreinte la plus précise possible de la réalité. Aujourd’hui, on appellerait ça de la conscience professionnelle. Mais à l’époque, cela frisait l’excentricité. La plupart des grands maîtres de sa génération n’yauraient pas même songé. Les français ? Ils ne quittaient pas l’atelier. Et de toute façon, pour eux, la peinture de paysage était un sous-genre. Villages et bosquets n’apparaissaient qu’en fond des grandes fresques historiques qu’ils portaient au pinacle de l’art. En 1825, une poignée d’originaux, comme Camille Corot, s’aventura bien en forêt de Fontainebleau et osa considérer la nature comme un sujet et non un décor, mais ils furent largement moquées.
"Et qu'y trouvez-vous de beau en effet ? me dit notre ami - Je m'imaginais, répondis-je voir dans le reflet de ces lumières des colonnes de feu, des cascades d'étincelles qui s'enfonçaient à perte de vue dans une grotte de cristal". Même en son pays, Turner était vu comme un phénomène. John Constable, son grand rival, était alors sidéré que l’on veuille aller voir ailleurs pour chercher matière à créer. Quant au peintre renommé, Caspar David Friedrich, le grand romantique allemand, dont la sensibilité aux panoramas hors norme était proche de celle de Turner, il refusait de voyager sous prétexte que cela lui abîmait les yeux. Alors, qu’est-ce qui pouvait bien pousser notre homme à s’aventurer sur les routes d’Europe ? Le sens des affaires, tout d’abord. Il possédait sa propre galerie et cherchait des images fortes qu’il pourrait revendre à sa riche clientèle londonienne sous forme de tableaux ou de suites d’aquarelles. Certains de ses travaux, une fois gravés, illustreraient aussi les guides touristiques, les premiers de l’histoire. Il fallait donc que Turner suive la tendance. Qu’il parte sur les itinéraires prisés des Anglais, mais aussi qu’il repère des paysages dans le goût de l’époque. Or, le Tout-Londres était lassé de la nature idéale recomposée à partir de silhouettes d’arbres, de formes de rochers ou de tracés de rivière stéréotypés que les peintres servaient depuis la Renaissance. Les riches acheteurs et les mécènes voulaient du réel. Un jour de 1813, alors qu’il séjournait dans le sud-ouest de l’Angleterre, dans les environs de Plymouth, Turner fut alors invité à une partie de pêche au homard en compagnie d’un autre peintre, d’un officier et du rédacteur en chef de la gazette locale, qui raconta ensuite cet épisode. Le groupe monta à bord d’un bateau en direction de l’île de Burgh. Mais bientôt le vent forcit tant qu’il fallut attacher le militaire, malade au point de risquer de passer par-dessus bord. Mais pendant toute la traversée, William Turner, lui, dessina alors les vagues. Imperturbable. Et, lorsqu’après un accostage difficile, ses compagnons se réfugièrent dans un abri, il partit escalader le sommet de l’île, sous la tempête, pour croquer la mer en furie. Turner appréciait ses pérégrinations, mettait alors en scène l’expérience qu’elles lui procuraient. Pour Montesquieu, "traverser une zone montagneuse, c’était traverser une zone vide". Quant aux adeptes du Grand Tour, cette exploration "initiatique" du Vieux Continent que tout Européen bien né se devait d’entreprendre pour parfaire son éducation, "il vivait alors le trajet comme une épreuve indispensable, qu’il fallait subir pour arriver à destination".
"La rive me paraissait soutenue et portée par ces piliers lumineux, et j'avais envie de sauter dans la rivière pour voir quelles étranges sarabandes les esprits de l'eau dansaient avec les esprits de feu dans ce palais enchanté". Joseph Mallord William Turner a été baptisé le quatorze mai 1775, à l’âge de trois semaines environ, dans le quartier Covent Garden de Londres où il est né. Son père est barbier-perruquier et sa mère, fille de boucher. Envoyé chez son oncle vers l’âge de dix ans, il est scolarisé et se découvre alors un appétit pour le dessin. Son père le soutient beaucoup, notamment en vendant ses dessins dans sa boutique, lui trouve un emploi de coloriste chez un graveur. À quatorze ans, il est employé comme dessinateur par Thomas Hardwick, un architecte, et apprend les techniques du paysage topographique. a même année, il rentre à la Royal Academy et son ascension y sera spectaculaire. En 1796, sa première peinture à l’huile exposée assoit sa réputation. Grâce à de nombreux appuis et beaucoup de travail, il se constitue une honorable clientèle et ouvre sa propre galerie en 1804. De formation romantique, il est alors considéré comme un précurseur de l’impressionnisme par sa capacité singulière à jouer avec la lumière, en particulier celle des incendies. Il subit de nombreuses influences qu’il glane en voyageant régulièrement dans tout le Royaume-Uni et en Europe. Il devient président de la Royal Academy en 1845, mais préfère quitter la vie publique en 1846. Il meurt le dix-neuf décembre 1851 à Cheyne Walk, auprès de sa compagne Sophia Caroline Booth. À sa demande, c’est auxcôtés du peintre Joshua Reynolds qu’il est enterré, au sein de la crypte de la cathédrale Saint-Paul, à Londres. Siècle de guerres, de conquêtes, de révolutions, d'empires construits et détruits, le XIXème siècle, comme sous le coup de ce trop-plein d'histoire, voit le grand genre vaciller dans ce qui semble alors être l'ultime soubresaut d'une crise déjà ancienne. Chateaubriand disait de Napoléon qu'il avait tué la guerre en l'exagérant, il en alla de même avec sa représentation spectaculaire, incompréhension et désintérêt, voire doute quant à la possibilité même de continuer à montrer l'histoire sous ce registre, dominant les esprits d'un public en quête de nouveauté. Ce diagnostic de mort par épuisement de la peinture d'histoire est alors partagé par la jeune génération des artistes romantiques, et tout particulièrement par ceux qui, en Allemagne comme en Angleterre, choisissent de vouer leur vie au paysage. Philippe Otto Runge, Caspar David Friedrich, John Constable, et le génial précurseur anglais, Joseph Mallord William Turner.
"C'est en y vivant jour après jour que vous ressentez la plénitude de son charme, que vous laissez son influence exquise s'emparer de votre esprit. Cette charnelle créature a les variations d'une femme nerveuse, qu'on ne connaît que lorsqu'on a fait le tour de tous les aspects de sa beauté". Tous ne peignent quasiment que des paysages, mais, chacun à sa manière, tous pensent leur pratique non pas comme une substitution d'un genre à un autre, mais bien telle une relève, par le paysage, d'une peinture d'histoire désormais proclamée défaillante. Dans une lettre à un de ses amis, John Fisher, en mai 1824, John Constable, qui séjourne alors à Brighton, en raison de la santé fragile de sa femme, écrit: "Mardi dernier, le plus beau jour qu'il y ait eu, nous sommes allés au Rempart, qui est en réalité les restes d'un camp romain, dominant alors un des plus admirables paysages de nature qu'il y ait au monde, et par conséquent une scène des moins faites qui soit pour un tableau. C'est l'affaire du peintre de ne pas lutter avec la nature en mettant un pareil paysage, une vallée remplie de sujets sur une étendue de quatre-vingts kilomètres,sur une toile de quelques centimètres, mais de faire alors quelque chose de rien, effort qui doit forcément le rendre poétique. Proclamation étonnante, tant elle prend à revers l'ancienne et toujours populaire tradition du paysage de ruines, que la mode du pittoresque et celle du sublime ont alors, notamment en Grande-Bretagne, largement relancé. Ce refus d'affronter la ruine comme sujet prend un sens bien particulier lorsqu'on le confronte avec la réalité de la pratique de Constable. Sans doute Constable avait-il en tête, en écrivant à son ami l'archidiacre Fisher, qui exerçait son ministère à Salisbury, un autre site, qu'ils avaient découvert ensemble, lors de promenades, vers 1820: Old Sarum, le site antique de New Sarum, ou Salisbury. Il l'avait déjà dessiné sur le motif, il y reviendrait quelques années plus tard de multiples façons. Old Sarum c'est, littéralement, l'inverse du Rempart: l'histoire sous le paysage, un banal tumulus prenant l'apparence d'une colline où paissent des moutons, plutôt que le paysage servant de cadre à l'histoire. En 1818, Turner livre avec "Le Champ de bataille de Waterloo" une peinture d'histoire peu commune, dont le pessimisme va là encore de pair avec un rapport singulier entre histoire et paysage. Pessimisme, car, dans ce qui, pour les Anglais, est une grande victoire, Turner, et cela choqua, ne voit que morts anonymes et agonisants. Pas de héros ici, mais le constat amer de la souffrance engendrée, de part et d'autre.
"Elle a l'esprit élevé ou bas, elle est pâle ou elle est rouge, grise ou rose, fraîche ou blafarde, suivant le temps et suivant l'heure. Elle est toujours intéressante et presque toujours triste, mais elle a un millier de grâces incidentes".Dans le catalogue qui accompagne l'exposition à la Royal Academy, Turner cite "Childe Harold's Pilgrimage", de Lord Byron: "Ami, ennemi, en une sépulture rouge mêlés". Ce n'est pas le triomphe de sa patrie, mais les horreurs de la guerre, qu'il peint. Et ces horreurs, ce spectacle donné par l'humanité s'anéantissant elle-même, s'incarnent dans cette façon de laisser ainsi à l'homme la portion congrue dans un vaste paysage noir. Comme si le champ de bataille était en train d'engloutir ceux qui avaient livré combat en son sein. De fait, ce n'est pas la bataille que peint l'artiste, mais l'après. Ce moment où la seule trace du combat est un monceau de cadavres que fouillent quelques femmes à la lueur d'un flambeau. Un après qui vient s'ancrer dans une expérience personnelle de l'artiste qui, dès 1816, c'est-à-dire dès qu'il a été de nouveau possible pour un anglais d'aller sur le continent, a réservé son premier voyage au champ de bataille de Waterloo dont il a rapporté plusieurs dessins proches de l'esprit des premiers dessins d'Old Sarum, tant c'est là le banal et le rien qui dominent, et que seules des formes affleurant laissent deviner ce qui a eu lieu. Turner, qui voua sa vie à la promotion du paysage, ne fut jamais un défenseur du paysage contre l'histoire, un porte-drapeau moderne d'un art moderne, qui s'édifierait tel le nouveau sur les ruines de l'ancien. Au contraire, comme l'a parfaitement compris Ruskin qui voyait dans le "Frontispice" du "Liber Studiorum" une image du déclin de l'Europe, son art du paysage est celui d'un homme habité par une vision tragique de l'histoire, qui rejoue par sa propre dissolution au sein de ses œuvres son sentiment qu'une autre disparition hante le monde. De l'histoire, ses paysages sont alors le cénotaphe, non le tombeau. Des monuments dédiés à la déploration d'un absent, à l'image de ce tableau accroché sur des ruines. Turner fait de son "Frontispice" de 1812 un manifeste pessimiste. Cette peinture accrochée sur le mur d'unmonument en ruine place son "Liber Studiorum" sous le signe de la destruction, symbole de la décadence.
"Elle est toujours sujette à d'heureux accidents. Vous commencez à éprouver une extraordinaire affection pour ces choses. Vous comptez sur elles. Elles font alors partie de votre vie. Voilà l'art". Ce renversement au sens où chez Turner, le paysage, au lieu d'être le lieu où un sujet potentiel devient réel, est précisément celui où le sujet reste à jamais enfoui. Dans le cinquième et ultime volume des "Peintres Modernes" (1860), il s'arrête longuement sur une aquarelle peinte vers 1841, "Aube après le Naufrage" (Tate Britain, Londres). Sur cette œuvre au format modeste, mais d'un haut degré de fini, le seul être vivant est un chien, qui hurle, seul, sur une plage que borde une mer calme. On peut interpréter cette scène comme une lamentation élégiaque sur les pouvoirs de destruction de la mer. L'un des "plus tristes et tendres" rêves momentanés de Turner, "une petite esquisse d'une aube, faite dans ses dernières années. C'est un petit espace de rivage plat. Au-dessus, une douce lumière pâle à l'Est. Les derniers nuages d'orage se fondant au loin, barre oblique dans l'air du matin. Un petit vaisseau, un charbonnier, sans doute, a disparu dans la nuit, avec tout l'équipage. Seul un chien est parvenu jusqu'au rivage. Complètement épuisé, ses membres cédant sous lui, et sombrant dans le sable, il se tient là, hurlant et grelottant. Les nuages de l'aube portent le premier écarlate, juste une faible nuance, qui se reflète avec la même teinte de sang sur le sable. Ici, comme lorsque le voyageur Turner visita le site de la bataille de Waterloo, nous sommes dans l'après-coup. Ce paysage, car dans cette œuvre, tout, hormis le titre, semble appartenir exclusivement à ce genre. Ce paysage, donc, est un endroit où quelque chose a eu lieu,que nous ne voyons pas. Turner, qui a peint tant de naufrages, tant de tempêtes et de batailles navales, franchit le pas là où, si souvent, il s'était tenu en lisière, entre sujet lisible et illisible. Plus de figuration de l'événement, ici, plus de personnage rajouté in extremis, mais ce petit chien, figure triste de la déploration, et ce titre, "Aube après le Naufrage", qui dit bien ce que Turner peint là. Le paysage est ce qui vient après l'histoire, quand celle-ci a disparu, sur le mode de la catastrophe. Ainsi, le paysage ne vient-il pas remplacer l'histoire, mais commémorer sa disparition. Cette mer calme, c'est alors une pierre tombale pour des morts introuvables. Un simple cénotaphe devant lequel un pauvre chien sans maître vient pleurer une disparition.
"Votre affection devient de la tendresse. Il y a quelque chose d'indéfinissable dans ces rapports personnels et intenses qui s'établissent peu à peu. L' endroit paraît se personnifier, devenir humain, sensible, et conscient à votre affection". Le paysage, comme le désastre, c'est ce qui reste alors quand tout à disparu: lieu de l'enfouissement et de la trace. Il y a là une sorte de synonymie paysage/ruines. La représentation de la guerre vient rencontrer et revivifier alors l'ancienne tradition du paysage de ruines, cette peinture non de l'événement mais de l'après où, le temps ayant passé, seule la trace altérée dit de quoi le paysage fut le lieu. Après la bataille, longtemps après: le paysage. Ainsi naît de la fusion entre les vaincus et le territoire qui les vainc une autre forme de paysage, apocalyptique, dont, après Tuner, Paul Nash, qui combattit côté anglais durant la première guerre mondiale, est l'un des plus justes représentants. À un moment où l'échelle inédite de la guerre rendait celle-ci irreprésentable, ses paysages étaient lus comme autant d'autoportraits, mais surtout comme métaphores de l'humanité, parce que s'y donnait à voir cette souffrance humaine informulable. Ce glissement progressif d'une peinture d'histoire à sujets militaires vers une peinture de paysages en ruines, vaut comme métaphore de la situation de l'histoire dans la peinture au sein d'un grand XIXème siècle. Si, un temps, elle semble mourir sous sa forme épuisée de grand genre, c'est pour ne cesser de ressurgir, tel un cauchemar tragique dont les artistes tentent en vain de s'éveiller, sous de nouvelles espèces qui, à l'instar du paysage, assurent la relève de ce qui vient se nicher en son sein. À son époque, William Turner était un artiste admiré mais incompris, souvent raillé par ses contemporains. Ceux-ci s’étaient empressés de le classer parmi les peintres de paysage. "William Turner: contre-jour" est un titre de poème inhabituel parmi les œuvres d’Ingeborg Bachmann. Il donne certes des informations sur les grands axes du poème, à savoir le peintre et son rapport à la lumière et à l’espace, mais de façon étonnante, peu fréquente, voire unique dans la poésie de Bachmann, il met alors en relief, de façon remarquable, le nom du peintre.
"Vous avez le désir de l'embrasser, de le caresser, de posséder; et c'est finalement un doux sentiment de possession qui s'élève. Votre séjour devient une perpétuelle affaire amoureuse". Si la passion avouée et avérée d’Ingeborg Bachmann pour la musique est connue de ses lecteurs, sa relation à la peinture est en revanche passée inaperçue jusqu’à maintenant, restée dans l’ombre des pochettes cartonnées des conservateurs de la Bibliothèque Nationale Autrichienne. Le nom, ce voile déposé au-dessus du poème,s’étend et se déploie jusqu’à engloutir alors toute la présence de ce qu’il désigne. Le nom reste à l’esprit, il l’imprègne et supplante la présence même de ce qui, un jour, exista avant lui. Il brise la chaîne du signe et s’émancipe du système des représentations, se suffisant de son propre rayonnement. Pour arriver à une telle fulgurance, il s’inspire de l’exemple de Proust. Tout en exprimant son admiration pour le roman "À la recherche du temps perdu", elle explique le processus du baptême des noms chez Proust: "Il a dit des noms tout ce qu’on peut en dire et il a agi dans deux directions. Il a intronisé les noms, les a plongés dans une lumière magique, puis les a détruits et effacés". William Turner, né bien avant Cézanne, n’en était pas encore à la déconstruction cézannienne de l’espace, mais il la pressentit vraisemblablement. On ne lui connaît pas d’autres portraits, ni d’autres autoportraits d’ailleurs, ainsi la peinture à l’huile qu’il fit de lui-même entre 1798 et 1800, a dû procéder d’un sentiment très fort à un moment particuliers. C’était comme s’il avait voulu immortaliser un J. M. W. Turner maître de lui-même. Lui aussi, à son tour, choisit la vue frontale, pour diminuer le relief de son nez. Déjà pour cet autoportrait, William Turner a peint ainsi un éclairage plus intense sur la chemise, de façon à écraser le visage dans le plan du tableau. Le visage de Turner s’estompe dans la pénombre translucide des glacis. Après cette expérience picturale, WilliamTurner ne peindra plus d’autoportrait. Il choisit de s’isoler hors du tableau et de s’extraire de la peinture. Cela équivaut d’une certaine manière à quitter l’histoire de la peinture, qui jusque là était aussi une histoire de la représentation de l’espace. Anecdotique, mais témoignant de l’obsession de Turner pour l’anonymat.
"Venise était bien la ville de mes rêves, et tout ce que je m'en étais figuré se trouva encore au-dessous de ce qu' elle m'apparut, et le matin et le soir, et par le calme des beaux jours et par le sombre reflet des orages. J' aimais cette ville pour elle-même, et c'est la seule au monde que je puisse aimer ainsi, car une ville m'a toujours fait l'effet d'une prison que je supporte à cause de mes compagnons de captivité". William Turner menait de longs débats au sujet du spectre lumineux. Il se faisait donc tirer le portrait, tout en s’offusquant d’une peinture à son image. La posture contradictoire de Turner est d’autant plus remarquable qu’elle se situe en plein romantisme. Ainsi William Turner ne concédait la surreprésentation de sa personne qu’à la seule condition d’un anonymat intact, qui portait sur son corps comme sur son nom. Dans ce contexte, la méprise sur le titre dans l’autoportrait de Turner, ressemble fort à une falsification du nom et semble parer au désir de dénommer. Il n'hésite pas à tester des combinaisons étranges d'aquarelle et d'huile ainsi que de nouveaux produits dans ses toiles. Parfois, il utilise même des matériaux inhabituels comme le jus de tabac et la bière vieillie, avec pour conséquence la nécessité des restaurations régulières de ses œuvres. Le peintre et critique d'art George Beaumont qualifie Turner et ses suiveurs comme Callcott de "peintres blancs" car ils mettent au point dès le début du XIXème siècle l'utilisation d'un fond blanc pour donner à leurs tableaux la fraîcheur des couleurs et la luminosité, permettant le passage direct des effets de l'aquarelle dans la peinture à l'huile, "effets tout à fait différents de ceux obtenus avec les fonds rouges ou bruns traditionnels des anciens maîtres". Son passage d'une représentation plus réaliste à des œuvres plus lumineuses, à la limite de l'imaginaire ("Tempête de neige en mer"), se fait après un voyage en Italie en 1819. Turner montre le pouvoir suggestif de la couleur, ainsi, son attirance pour la représentation des atmosphères le place pour des critiques d'art comme Clive Bell, comme un précurseur de la modernité en peinture, de l'impressionnisme, jusqu'à devenir "le peintre de l'incendie". Mais il peint rarement sur le motif contrairement aux impressionnistes, qui feront de cette pratique une règle. Il préfère en effet recomposer en atelier les nuances des paysages, aidé de sa grande mémoire des couleurs. D'autres critiques préfèrent pousser plus loin encore leur analyse en voyant dans l'absence de lignes et de points de fuite ou la dissolution de la forme dans la couleur, dans les paysages marins de Turner, les prémices de l'abstraction lyrique, voire de l'action painting en gestation.
Bibliographie et sources:
- Olivier Meslay, "Turner, l'Incendie de la peinture"
- Térésa Faucon, "L'ABCdaire de Turner"
- Michael Bockemühl, "William Turner"
- Anthony Bailey, "Standing in the sun, a life of Turner"
- Marcel Brion, "William Turner"
- Éric Shanes, "Turner, les chefs-d'œuvre"
- Pierre Wat, "Turner, menteur magnifique"
- Frédéric Ogée, "Turner, les paysages absolus"
- John Gage, "Turner, le génie de la lumière"
- Ian Warrell, "Turner et le Lorrain"
- Delphine Gervais de Lafond, "William Turner"
- Christine Kayser, "Peindre le ciel: de Turner à Monet"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Mes aventures… …mésaventure.
C’était sur un site de rencontre.
Je cherchais l’aventure, et ma vie me laissant plus trop de temps pour laisser de la place au hasard, j’avais opté pour cette solution… …facile.
De profil en profil, j’errais plus que je ne dialoguais. Quand un échange se faisait au-delà d’un « bonjour », il était facile de soupçonner des « animatrices », afin d’être garder captif du site, business oblige. Le site était payant pour les hommes, pas pour les femmes. Sur internet il est admis : « Quand c’est gratuit… … c’est vous le produit ». Là, sans la moindre ambiguïté, elles étaient le produit, le sujet des convoitises : objet rare de nos profusions de désirs, depuis la simple envie de ne plus être seul jusqu’à la plus urgente et basse de nos libidos mal assumées de mâles.
Malgré cela, peut-être la chance, sans doute aussi par une photo de profil avantageusement passée au travers de photoshop, j’ai pu nouer un dialogue. Contrairement aux animatrices, qui vous plongent dès les premières lignes dans la luxure, nous échangions d’abord simplement, sur nos quotidiens dans un premier temps. Des bonjours, bonsoirs… Sans plus, quelques mots de météo… de la retenue. Etait-ce là la recette pour ne pas la faire fuir ? je ne sais pas, mais cela nous a conduit sur des échanges peu à peu plus intimes et réguliers, en direct sur le site, parfois continuant par mail, peu de fois par téléphone… …Elle était une femme mariée.
Elle se confiait prudemment. Au début c’était des envies simples, se sortir de la routine, d’un mari la délaissant, d’envies s’émoussant peu à peu pour elle comme pour lui. La routine du samedi soir sans doute, après le show télé, avant de s’endormir. Pour elle, le net était une bonne solution, pas de trop risques, un frisson de l’interdit au début, la crainte d’être surprises, le gout de l’interdit. Mais… Mais comme toutes les saveurs épicées, passé l’effet de surprise, chaque bouchée avalée en appelait une autre, puis une autre, avec ce besoin de ne pas perdre la force de la première. Cette nécessité de ressentir ce qui à l’origine vous a mis cette boule dans le ventre qui en disparaissant laisse un trop gros vide, à combler au plus vite.
Et se vide grandissait chaque jour, nos échanges devenaient de plus en plus intimes, de plus en plus sexuels. Je n’ai pas honte d’avouer que ces derniers souvent se terminaient en masturbation effrénée pour moi, et caresses discrètes pour elle prenant soin de ne pas être découverte. Un soir de solitude, pour elle, l’urgence de nos désirs me fit perdre pied. Elle venait de me confier ses fantasmes les plus intimes. Elle avait un besoin de SM. SM ? oui, je sais bien de quoi il s’agissait, j’avais bien vu « 50 nuances de gris » quel idiot j’ai été ! L’urgence m’avait fait perdre le sens commun, aveuglé par les images, les stéréotypes, et les hormones…
150km nous séparaient, tant pis, je lui proposais de venir… de franchir le pas du virtuel
- Allo ?
- Je viens, prépare-toi, je suis là dans 1h.
- Tu viens ?
- Oui, mon fils est assez grand, il se gardera seul pour la soirée.
- Non tu n’y penses pas !
- Je suis sérieux.
- Non, je suis seule, mais rien ne peut être chez moi, les voisins, c’est un petit village de campagne tout ce sait ici !
- On va à l’hôtel
- Non ! tu ne comprends pas ? le premier hôtel est trop loin, je sors, je prends la voiture je suis grillée.
- J’ai besoin de te voir, je te veux, tu comprends ?
- Oui, je le comprends, mais…
- S’il te plait ! On ne peut pas rester ainsi derrière nos claviers, je viens il fera nuit, personne ne te verra. Je te veux, même à l’arrière de ma voiture ! Une rencontre folle oui, intense, comme nous la désirons ! A coté de chez toi, il y a le parking de cette usine, nous y serons à l’abri des regards…
- Tu ne comprends pas…
- Je ne comprends pas quoi ? tu viens de me dire vouloir te soumettre ! Tu en as l’occasion ! Saisis-la !!!
- Tu ne comprends vraiment pas…
- Mais quoi ? Je te veux, là, maintenant ! Oui même en voiture, même si cela peut paraitre fou.
- Non ! tu ne comprends rien !
- Explique moi alors !!!
- Me soumettre ce n’est pas qu’obéir à ta pulsion ce soir. Oui, j’ai besoin t’appartenir, j’ai besoin d’avoir mal, d’être nue, de te sucer, de me faire prendre, de pouvoir en crier, en pleurer. Oui j’ai besoin de toi qui puisse m utiliser pour jouir. Oui, à tous cela, mais en voiture ce n’est pas possible, je n’ai plus 20 ans ! Tu n’as rien compris, tu es comme les autres... Pas grave tant pis…
Elle a raccroché, elle n’était plus en ligne sur le site, et mes sms sont restés lettre morte. Le lendemain son profil avait disparu.
Je ne l’ai pas comprise, je n’ai même pas compris ce qui m’a poussé à cette folie, cette proposition insensée, cette précipitation… On dit toujours « saisir sa chance », j’ai cru que la chance passait par là ce soir-là…
Ce soir-là, j’ai cependant appris une chose, quel que soit la situation le cerveau doit rester maitre des pensées, sans délégation possible aux testicules. Puisse ma mésaventure servir de leçon.
(Faut il préciser que ceci est un texte purement fixionnel ?)
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Le cœur battant, j’attends votre arrivée. J’ai selon toute vraisemblance, su estimer le temps qu’il vous faut pour venir jusqu’à moi.
Dans cette chambre, je me demande quelle sera votre réaction. Mon cœur bat toujours très fort, à différents endroits… Je n’ose dire ou faire quoi que ce soit. Je vous attends… Vous souhaitez me mettre immédiatement en difficulté, à genoux face à votre fermeture mystérieuse. Je prends dans cette bouche qui vous appartient, votre sexe déjà tendu. Je le masse avec ma langue, Je vais et viens sur toute votre longueur, longuement sans m’arrêter, appréciant naturellement cet instant. Vous me regardez, vous sucer, prenant mon visage entre vos mains et m’indiquant la route à prendre pour vous mener au plaisir.
Vous me jetez sur ce lit, ce désir, cette envie de vous sentir en moi est si forte. Je suis ouverte pour vous, prête à vous recevoir. Votre sexe se fraye un passage, m’écarte et s’installe profondément. Vos mouvements sont rudes d’une très belle intensité, vous bravez ma tempête intérieure.
Vos mains trouvent mes seins, pour les caresser puis les gifler fortement. Vous prenez, je le sens, le contrôle de mon corps. Votre regard se durcit, votre bassin s’active intensément. Votre bouche affamée se pose durement sur la mienne, nos langues dansent, nos bouches se mordent. La jouissance se prépare aux creux de nos ventres. Nous nous apprêtons à sauter du haut de la falaise. Votre jouissance est la mienne, mes orgasmes vous appartiennent…. Cette lutte sans fin de nos corps et de nos esprits nous pousse à aller nous restaurer. Je porte une robe portefeuille. Je suis assise face à vous nos mains se tiennent pour ne pas perdre cette connexion intense. Vous me demandez un stylo avec lequel vous écrivez quelques lignes sur la serviette en papier et me la tendez. Je me lève et me dirige sereinement vers les toilettes pour ôter mes sous vêtements. Ma robe s’ouvre facilement, cela vous plait de me voir en difficulté. Il fait nuit, j’éprouve une certaine crainte. Vous me tenez fermement pour que ma robe s’ouvre un peu plus. A mon grand soulagement nous n’avons croisé que peu de personnes, leurs regards se portaient sur l’ouverture de ma robe qui au gré de ma démarche laissait entrevoir mon intimité…
Nous rentrons, Je suis apaisée et confiante. Attente et Impatience sont mes nouvelles amies. Il a fallu que je les apprivoise ces coquines !
Je suis face à vous. Je sais déjà que vous ne m'embrasserez pas immédiatement, vous préférez attiser un peu plus cette attente, si vive impatience. Je me réfère à vos ordres, vos désirs. J'ai enfin compris que rien ne sert d'anticiper, juste se laisser porter par "l'instant". Vos lèvres se posent furtivement sur les miennes afin d'apaiser... cette envie. Mes mains nouées dans le dos, je ne peux les poser de chaque côté de votre visage, dévorer cette bouche que j’apprécie embrasser, nos langues jouant ensemble à celle qui sera la plus fougueuse... rien ne sert de courir...
Vos mains sur mes seins …, vos mains fermes et fortes prennent alors possession de vos terres. Je suis vos terres, ces terres jusqu'à perte de vue vous appartiennent assurément.
Vous prenez le martinet, vous souhaitez marquer votre territoire physiquement. J'arrive, je ne sais comment, à cette frontière, ou je me laisse aller, je ne pense pas... Je savoure cet état entre plaisir et douleur.
Votre main quant à elle se trouve dans ma culotte sur cette intimité qui est votre. Je profite de l'instant pour vous prendre dans ma bouche. Votre sexe est tendu entre mes lèvres. J’entame des allers retours incessants. Votre corps navigue au grès de nos marées.
Je m’installe sur ce lit, prête à vos moindres désirs. Vous utilisez votre jouet en silicone dans mes fesses. Cambrée, je sens ce gel que vous étalez, le jouet me pénètre sans obstacle, sans douleur. Vous souhaitez que je vous suce pendant que vos mains poussent cet objet en profondeur. Votre sexe vient vite remplacer ce jouet délaissé. Vous me pénétrez fortement, Vous savez qu’en agissant ainsi, vous me marquez comme votre propriété et vous me demandez de vous le répéter.
Vous me connaissez et savez que j’aime cette possession, cette force brutal, bestiale qui vous anime. Vous prenez votre fouet et marquez davantage mon corps de vos mouvements. Votre appétit est grand, je suis à vous.
Vous n’êtes pas prêt à jouir encore, vous souhaitez que je me pose sur vous en avalant votre sexe, pour quelques courts instants car vous le remplacez par vos doigts qui prennent le relai. Vous me demandez de compter le nombre de doigts que vous insérez, je suis surprise qu’il y en autant, je vous demande d’insérer le dernier…
Vous faites couler votre salive dans ma bouche, et me dites que je suis à vous.
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Étant amateur d'Histoire je suis notamment attiré par les sociétés dîtes « d'Ancien-Régime ». Et dans la féodalité médiévale il y a quelque chose qui m'a toujours profondément touché depuis l'enfance, sans parvenir pendant longtemps à vraiment comprendre pourquoi. Loin de moi l'idée de glorifier un passé fantasmé et mal connus, loin de moi l'idée d'écarter les méfaits d'une société traditionnelle, sexiste, superstitieuse, violente, intolérante etc ^^ J'ai étudié l'Histoire à l'université pendant 5 ans, je ne sais que trop bien qu'il n'y a aucune période historique mieux qu'une autre ! Et qu'il faut, surtout en histoire médiévale ! Garder à l'esprit que nous ne voyons qu'une bribe altérée des réalités anciennes.
Je m'inspire seulement de ce que nous comprenons de certaines pratiques sociales passées car j'ai trouvé qu'il pouvait y avoir un intéressant parallèle à faire entre la notion de « suzeraineté/vassalité » du moyen-âge et les relations bdsm modernes.
La féodalité est une société basée sur des rapports hiérarchisés entre individus plus ou moins libres. Ce sont des rapports faits de serment, de protection, de service et d'hommage qui régulent les relations sociales et déterminent la place de chacun dans un monde où la tradition impose de conserver son rang. De nombreux rapports différents se superposent dans ce monde complexe dont par exemple et de manière non-exhaustive : le servage, la suzeraineté/vassalité, le patriarcat, le mariage, le clientélisme, l'esclavage, etc. Et je ne parle même pas des rapports à la religion et à ses ministres !
La vassalité/suzeraineté est le sujet qui m'intéresse ici : Il s'agit d'un rapport de dépendance qui engage un dominant et un dominé dans un contrat juridique et spirituel basé sur l'échange de serment et d'hommages dont chacun tire droits et devoirs dans une relation asymétrique et hiérarchisée mais considérée comme Juste pour chacune des parties qui y a librement consentis. Je vais détailler quelques tenants et aboutissants d'un tel rapport :
- La relation est personnelle, entre deux individus libres et d'égale dignité (comme par exemple deux chevaliers, deux seigneurs etc ) contrairement au servage où les individus ne sont pas égaux de naissance (les paysans roturiers « appartiennent » à [enfin plutôt à la terre de] leurs seigneurs par exemple).
C'est le vassal qui se place théoriquement de son propre chef librement sous la protection d'un suzerain ( dans les faits c'était souvent beaucoup moins libre et beaucoup moins pacifique ^^ ).
Ce sont des serments et vœux publiques qui établissent les règles de la relation : en somme il s'agit d'un contrat engageant dans un monde de justice orale puisqu'il est fait devant témoins.
- Le suzerain obtenant une part de la souveraineté de son vassal possède le droit de le commander. En échange de ce pouvoir le vassal qui se met à son service obtient une « protection » de la part de son maître.
Ainsi le vassal est contraint dans sa liberté souveraine : il ne peut se marier, se déplacer, construire ou céder des terres, nouer des alliances, lever des impôts, organiser une réception, etc ... sans demander la permission de son suzerain. Y manquer est une insulte et demande réparation !
Inversement le suzerain est responsable de son vassal, tant matériellement que spirituellement. Il doit pourvoir à ses besoins et répondre à son appel en cas de danger. Il doit aussi veiller aux intérêts de son vassal et à ceux de ses subordonnés.
La réputation du vassal impacte la réputation du suzerain, et la négligence du premier témoigne de la faiblesse du second.
- Afin de sécuriser chacune des parties, elles doivent régulièrement démontrer leur fidélité par le témoignage d'hommages durant lesquels des comportements dominants et dominés publiques et privés rappellent à la fois la hiérarchie et le soutien mutuel sans forcément chercher à témoigner d'une humiliation, mais plutôt témoigner de l 'honneur que chacun a de respecter sa parole.
Enfin cette relation induit un comportement d'apparat réglementé, souvent par l'utilisation d'attributs comme des vêtements ou des objets mais aussi par l'adoption de postures rituelles en privées et en publiques (baisser la tête, se lever, garder le poing sur la garde etc) ou de coutumes de langages (Sir, seigneur, maître etc).
Maintenant que vous comprenez mieux ce qu'est un suzerain et un vassal, est-ce que vous y voyez le même parallèle que moi ?
A titre personnel, transposée dans le domaine des relations bdsm, je trouve que la suzeraineté/vassalité est une notion appropriée pour exprimer la nature de la relation que je souhaite construire. Il s'agit de l'articulation juste et fructueuse d'une relation hiérarchique, d'une relation consentie dans laquelle il y a un dominant et un dominé qui s'échangent un pouvoir. La personne soumise se met au service de son maître par une soumission à son pouvoir naturel, ou à son rôle durant une relation temporaire, et apprécie le commandement de ce dernier au nom des qualités qu'elle lui reconnaît.
Ma relation bdsm est un engagement d'individus libres, une cession de souveraineté sur des droits personnels en échange de devoirs, à plus ou moins longs termes, au sujet de plus ou moins de domaines (ex : plaisir sexuel, moyen d'y parvenir, hygiène, loisir, etc). Ce n'est ni en vertu de nos sexes ni en vertu d'aucune distinction humaine de dignité, de foi ou d'origine ethnique etc … Ce n'est pas la représentation d'un ordre, d'une hiérarchie universelle, ce n'est que la relation particulière entre deux personnes données. Il y a une stricte égalité de nature, c'est parce que c'est moi, et parce que c'est elle. Pas parce que je suis un « homme », pas parce que c'est une « femme » ! Ce n'est pas du patriarcat, ce n'est pas un mariage, ce n'est pas un couple. C'est une relation bdsm basée sur des transferts de pouvoirs/responsabilité réglée par un contrat révoquable.
La personne dominante assure une certaine « protection » à son/sa protégé-e, mais doit surtout assistance, écoute et bienveillance. La protection dans le cadre d'une relation bdsm signifiant à mon sens la sécurité de ma partenaire : la gestion bienveillante des responsabilités transférées dans le cadre du contrat, un soucis permanent du bien être mental de ma partenaire, la « re-vérification » honnête de son consentement malgré les transferts établis, le désir de ne pas seulement la considérer comme une possession, mais comme une personne ayant des plaisirs et des souffrances personnelles sur lesquelles je dois veiller en plus d'avoir des droits et devoirs dessus.
Afin de jouir de cet état de relation, j'aime aussi assister à l'hommage régulier, ostentatoire et spirituel autant que matériel de ma partenaire soumise. Cela donne à chacun le plaisir de témoigner les sentiments d'affection et de respect qu'il porte à l'autre car nous entretenons une relation à double sens dont chacun tire un sincère bénéfice bien que notre relation soit asymétrique.
J'aime aussi que dans mon bdsm nous affichions des attributs de notre état afin d'entretenir le respect et la fidélité à notre rôle, que nous respections des postures, des coutumes de langage et des règlements vestimentaires par exemple pour commémorer le lien qui nous unie, voir pour le témoigner publiquement.
Et comme dans un contrat de vassalité, je ne vois pas mon bdsm comme quelque chose qui humilie ma partenaire, mais quelque chose qui nous honore tout les deux, une relation qui fait notre fierté à chacun et qu'il nous importe de rendre meilleure par amour et par respect ! Parce que de ce rapport respecté découlent l'ordre et la paix en nous même, entre nous et avec le monde.
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Dans l'ancienne Grèce, Artémis, la déesse de la chasse et de la nature sauvage, régnait en tant que puissante divinité. Sa beauté était légendaire, avec des cheveux sombres comme la nuit et des yeux étincelants comme les étoiles. Elle était vénérée pour sa force et son indépendance, mais au fond d'elle-même, un désir brûlant grandissait, un désir de pouvoir et de domination.
Artémis se sentait attirée par les récits des pratiques sensuelles qui se déroulaient dans les temples dédiés à Aphrodite, la déesse de l'amour et de la passion. Les murmures de ces histoires éveillaient en elle un besoin insatiable d'explorer les plaisirs interdits, de trouver un soumis qui succomberait à ses désirs les plus sombres.
Un jour, alors qu'elle se promenait dans les bois, Artémis aperçut un jeune homme du nom d'Alexandros. Il était beau et vigoureux, avec des traits qui rappelaient les héros légendaires des mythes grecs. Intriguée par sa présence, Artémis sentit une énergie magnétique se développer entre eux, une connexion qui ne pouvait être ignorée.
La déesse décida de mettre à l'épreuve Alexandros, de voir s'il serait capable de répondre à ses attentes érotiques les plus intenses. Elle le conduisit dans un lieu secret, un temple oublié où les murs étaient ornés de fresques dépeignant des scènes de plaisir et de domination. L'air était empreint d'une sensualité enivrante.
Artémis, vêtue d'une robe légère qui soulignait sa silhouette divine, se dévoila peu à peu devant Alexandros. Elle lui raconta ses fantasmes les plus sombres, ses désirs de contrôle et de soumission. Alexandros, subjugué par la déesse, se sentit attiré par cette aura de pouvoir et d'érotisme.
Dans le temple sacré, Artémis et Alexandros se livrèrent à des jeux intenses de domination et de soumission. Artémis utilisait des chaînes en or pour attacher Alexandros, l'immobilisant dans une position de totale soumission. Elle prenait plaisir à le taquiner, à le caresser avec des plumes douces avant de le punir avec des lanières de cuir.
Les scènes se succédaient, mêlant douleur et plaisir dans une danse sensuelle. Artémis guidait Alexandros vers des sommets de jouissance qu'il n'avait jamais connus auparavant. Elle explorait chaque recoin de son corps, découvrant ses zones les plus sensibles et les utilisant à son avantage.
Les échos des gémissements d'Alexandros résonnaient dans le temple, se mêlant aux prières des dévots qui vénéraient les dieux. Artémis, dans toute sa puissance et sa beauté, trouvait enfin un équilibre entre sa nature sauvage et son désir de domination.
Chaque rencontre entre Artémis et Alexandros était une célébration des plaisirs les plus profonds et les plus tabous. Ils transcendaient les limites du temps et de l'espace, plongeant dans un royaume où le passé et le présent se confondaient, où le plaisir et la soumission étaient éternels.
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Ce matin, j'étais tout exité. Après plusieurs semaines de realtion par messages, j'allais enfin rencontrer pour de vrai ma Maîtresse. On a beaucoup échangé, et je suis certain qu'elle saura être attentive et en meme temps suffisament sévère, une bonne Maîtresse. J'arrive devant son appartement, je sonne, et la, elle ouvre la porte : Elle est très belle dans sa robe de latex, et elle respire la domination et la fermeté. Elle me dit "Entre !". Je m'execute, et elle referme la porte sans rien dire de plus. Puis, elle me dit "Mets toi nu, a genoux et les mains sur la tête, Je vais chercher tes nouveaux habits !". Nous étions convenu pour trois jours de soumission de ma part, pour voir si le courant passe, et je trouve que ça commence très bien, je sens que je vais avoir du plaisir à être aux pieds de cette divine Maîtresse. Après plusieurs minutes, elle arrive, avec une robe de soubrette , des talons hauts, une couche et des menotes de tailles variées. Mon sexe est déjà, comme convenu, en cage de chasteté, et il le sera pour les trois prochains jours. Elle me fait mettre debout, m'enfile la couche, la robe, me met les chausures à talon, et puis me menotte. Après ça, elle me dit "A quatre pattes", et je la sens me mettre un collier. Puis, attachant une laisse à mon collier, elle commence a m'emener ver l'interieur de son appartement. Tout en marchant, elle commence à me parler : "Voila, ma chienne, tu t'apelle dorénavent petite pute, ou tout autre surnom qu'il me plaira de te donner. Tu as pu remarquer que tu porte une couche, ça veux dire pour toi que les toilettes sont interdits. Si tu veux faire tes besoins, c'est dans la couche. Tu devra m'appeller Maîtresse, te prosterner pour me parler, et répondre à toutes mes exigences, sans jamais désobéire; je sais punir les rebelles et les insolents de ton genre. Tu dormira dans une cage, et ton plaisir n'est pas toléré, seul compte le mien, c'est bien compris ?", je répond "Oui Maîtresse.".Elle reprend : "Bien, ma salope, je vais sortir, je veux que tu fasse le menage.". Puis, sur ces mots, elle prends son manteaux, et sort, me laissant seul. Ma première mission, trouver les outils de ménage, est rapidement accomplie. Les deux heures qui suivent, je brosse, balaie, netoie et range son appartement. Quand elle revient, je suis en train de terminer, et là, elle arrive et me dit "C'est l'heure de changer ta couche, viens", et elle me remet ma laisse. Elle me mene dans une piece ou trone un pilori et d'autres meubles bdsm, elle s'alonge sur un lit recouvert d'un drap en plastique, et me dit : "Allez, esclave, enleves ma couche, et prends en soin". Surpris d'abbord, je vois à son regard qu'elle ne plaisante pas. "Moi, je porte une couche pour le plaisir, contrairement à toi, toi tu en a besoin, espece de petite pute incapable d'être propre" rajoute-t-elle. Docile, j'enleve sa couche, et la mets de coté, puis, avec des lingetes, j'entreprend de netoyer ses fesses et son sexe. Alors que j'ai presque fini, elle tire fort sur ma laisse, me met la tête dans ses fesses, et me pête au visage. Sans me laisser de répit, elle met mon visage sur son sexe, et m'ordonne de lecher. Je m'execute, soumis a sa volonté. Quand elle a atteint son orgasme, elle m'ordonne de lui mettre une nouvelle couche, et, apres m'être executé, j'amorce un mouvement en direction de la couche salle, dans l'objectif de la jetter. Elle me met alors une giffle, puis, en tirant fort sur ma laisse, elle me hurle "Qui t'as dit de faire ça, salope ?"; puis elle me crache au visage, et me tire vers la croix de saint-André, qui était au fond de la salle. Après m'avoir solidement attaché, elle entreprend de m'enlever ma couche. elle la pose par terre, elle me netoie les fesses, et le sexe, puis elle saisi sa couche sale, qu'elle vient de porter, et me l'enfile. Quelle humiliation, et quelle plaisir, de sentir sa couche encore tiède, et souillée, quel bonheur de sentir ses excrements s'étaler sur ma peau. Après ça, elle me laisse attaché pendant plusieurs minutes, puis revient, me détache, et, toujours en laisse, m'amene vers le salon. Elle me pose une gamelle, par terre, remplie de nouriture, et m'ordone de la manger. Une fois mon repas fini, elle m'annonce que je vais être puni pour ma désobéissance de tout à l'heure. Elle me montre un pilori de contrainte, et m'attache dessus. Elle s'assoie sur le canapé, pose ses pieds sur moi, et commence a regarder la télé en mangeant. Plusieurs heures plus tard, elle a fini de regarder son émission, et me mene dans une cage, puis éteind la lumiere et me laisse là pour la nuit.
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Attention, ceci n'est pas pour les personnes qui sont émotionnellement fragiles, ceci parle d'une relation que j'ai eu avec un dominant en fin 2022, avec des choses pouvant parler de suicide ou meme des descriptions de crises d'angoisse. A vos risques et périls.
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30/10/22
Je ne sais pas trop ce que se passe, enfin si mais peut être que je ne veux pas me l'avouer, je me lance sur la fin de ma relation avec Maître K. Beaucoup trop de choses ne vont pas, le manque de communication est très présent, j'ai vraiment l'impression d'avoir créé plus de liens avec L qu'avec Maître, et du coup la voir dans cet état a cause de lui me fait beaucoup de mal... Le manque de soumission est assez présent, il n'y a pas vraiment de contraintes, il n'en donne que quand il est triste ou en colère. A vrai dire j'ai pas spécialement l'impression de compter pour lui, et pourtant j'ai fait ma demande, peut être ai-je trop écouté mes manques ? J'ai été bien quand même parfois, mais finallement ces moments sont très rares et ils sont tout de suite mangé par une sorte de remords. On est 4 soumises, L et A sont là depuis longtemps et avec F nous on est arrivées il y a pas longtemps, et j'ai l'impression que c'est un peu du remplacement, mettre les anciennes de côté pour laisser la place aux nouvelles, j'ai pas l'impression d'être mise au même niveau que L, loin de la même et cela me dérange beaucoup. Les soumises appartenant au même Maître, peu importe le nombre, doivent avoir le même temps qui leur est offert par leur Maître, le même taux affectif ect... Enfin bref, elles doivent être au même niveau. C'est sur que nous avons des pensées, des corps, des pratiques, des manieres de faire différentes mais cela ne justifie en rien ces différences dans notre soumission, même si nous avons toutes les quatres le même problème, la communication avec Maître.
Peut être lui faudra-t-il un déclic, car a ce qui parrait, il n'était pas comme cela avant, je ne le connais que depuis un mois a vrai dire. C'est peut être court pour se faire une idée de la relation mais je me sent mal, très mal. Peut être suis-je trop empathique, mais avoir vu L fondre en larme car elle ne se sent plus considérée par Maître ma choquée et ma attristée énormément. Elle a vécu beaucoup de choses, beaucoup de choses très lourde, elle est restée pendant tout ce temps et c'est ainsi que ça finirai ?... Elle s'est retrouvée a boire pour essayer de faire passer la pilule, j'ai préféré prendre ma progestérone plus tôt et me shooter plutôt que de rester ainsi... Ça m'a rendue assez shootée pour me mettre à rire de n'importe quoi au bout d'une heure, j'étais a moitié la, je me sentais vaciller quand j'étais debout, j'arrivais à peine a penser. Mais ça a fait passer un certain type de soirée, avec L bourrée, A éméchée et moi shootée. On est restés à discuter dans la chambre avec F pendant que Maître était concentré sur la télé comme a son habitude, L riais pour rien, a peine elle lit un prout qu'elle est morte de rire pendant bien dix minutes, et je ris avec elle.
La soirée se termine autour de minuit, lorsque Maître fini sa série, tout le monde part se coucher mais on oublie de se faire le bisou, on était trop a l'ouest sur le moment, je le dit a Maître et il me réponds :"On ne réclame pas". Du coup pas de bisou pour moi...
C'est un coup de poignard en plein cœur, avec tout ce qu'il s'est passé, je n'ai même pas eu le droit au bisou... Tout autour de moi s'effondre, ma sécurité, ma carapace d'émotions que j'avais mise en place et que j'avais retiré grâce à la progestérone, n'a pas pu me protéger de cela. Tout ce que j'encaisse depuis des semaines, tout les doutes, les questions que je me posais sur ce que je fais la remontent, me rongent, mais je ne peux pas encore me permettre de craquer, je suis juste à côté de lui dans le lit. Les pensées fusent dans ma tête et le temps passe lentement, j'attends une dizaine de minutes sans trop bouger puis je me lève, je prends le plaid, puis je pars dans le salon. Je m'asseois j'essaie de me calmer de remettre ma carapace en place mais je craque, encore plus que d'habitude. Quelqu'un part dans les toilettes donc je reste silencieuse et j'attends qu'elle ai terminé pour fermer la porte. C'est a ce moment là où je m'effondre par terre, je me retrouve comme paralysées sur le sol du salon, a pleurer silencieusement pour ne réveiller personne. Mais il y en a deux qui viennent, elles ont entendu quelqu'un aller dans le salon et sont venus voir, L et A me voient dans cette position, cette position que je n'ai pas eu depuis mes 18 ans. J'essaie de leur faire croire que tout vas bien, qu'elles peuvent aller se coucher mais ça ne marche pas, elles se mettent au deux extrémités puis je fonds a nouveau en larmes d'une manière plus puissante qu'habituellement. On discute, de ce qu'il s'est passé, de ce qui passera. Cela dure une bonne vingtaine de minutes plus ou moins car je ne voulais pas retourner dans le lit, mais elles voulaient que j'y aille, je ne sais pourquoi... J'y ai passé une très mauvaise nuit, a m'endormir entre deux larmes qui coulent.
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08/11/2022
Le BDSM a toujours été tout pour moi, je n'ai d'yeux que pour mon Maître ou ma Maîtresse, tout ce que je fais tourne autour de lui ou elle, c'est pour lui faire plaisir, le/la rendre heureuse ou fière. Avec cela, mon côté hypersensible et hyperempathique qui ressort, ce n'est pas top, car je passe d'un extrême à l'autre, d'un côté des chocs forts de dopamine des le moindre geste ou le moindre mots, de l'autre des états dépressifs forts et des questions sur le fait de rester en vie, les larmes montent facilement autant dans la joie que dans la tristesse...
Pendant un long, long moment j'ai caché cela, mais depuis que j'appartiens a Maître K, tout est différent. Je n'arrive plus à me cacher, a me renfermer sur moi même, ou lorsque j'y arrive ne serais-ce qu'un peu, c'est déjà trop tard. J'avais réussi à contrôler mes émotions depuis quatre ans maintenant mais du coup tout ressurgit...
Quelque part, je sais que je ne serais jamais heureuse, c'est ainsi, c'est comme ça, je suis née ainsi. Je suis trop dans les extrêmes, je suis trop fragile, trop dépendante pour. Mais du coup je fais tout pour rendre les personnes que j'aime heureuses mais ça ne fonctionne pas non plus, donc parfois je me demande a quoi bon. Je sais que je ne ferais rien d'important dans ma vie, et si en plus je n'arrive pas a remplir mon objectif de vie, a quoi bon vivre finalement ? Mais si je ne me suis jamais suicidé, depuis que j'ai commencé à avoir ce genre de pensées il y a quatre ans, c'est car j'ai peur, j'ai peur que ça me fasse mal, et j'ai peur que ca fasse aussi mal aux autres. Donc je ne le fais pas...
Je suis restée une enfant au fond de moi, voire même un bébé... Cela m'a choquée moi même mes comportement avec Maître, L et A, je m'attendais pas du tout a cela. C'est un peu instinctif a vrai dire, et je m'y sent bien, même si j'ai énormément peur de demander certaines choses telles que des câlins ou des bisous... J'ai toujours peur de les déranger, peur de toujours demander trop, peur de trop vouloir, peur de moi même également, je ne veux pas devenir celle qui veux tout, tout le temps. Je suis une soumise, je souhaite, je laisse Maître vouloir et décider.
Je n'aurais jamais pensé en arriver là finallement, j'appartiens a quelqu'un qui fume, et j'ai deux soeurs de soumission, deux choses que je considérais comme rédhibitoires chez la personne que je convoitait, mais finalement avoir des soeurs de soumission, enfin celles que j'ai, c'est vraiment génial, elles sont extrêmement bienveillantes, toujours là quand il faut, et même la quand il faut pas... Mais grâce à elle, je peux me libérer de certaines choses, des choses que j'aurais énormément de mal a dire a Maître, comme mes envies suicidaires... Mais il faut que je les laisses elles aussi gérer leurs soucis a présent, et que j'aille voir Maître, car c'est a lui que je suis soumise, et c'est a lui que je dois dire ce genre de choses.
Finallement, je ne sais pas vraiment si j'ai plus peur de moi même, car je ne sais pas jusque ou je peux aller dans ma soumission, dans l'abnegation, ou si j'ai peur que la personne a qui j'offre tout cela, l'utilise pour me détruire encore plus que maintenant.
Je ne sais pas...
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12/11/22
Finallement, les choses ne se passent toujours pas bien, je me suis remise à pleurer cette nuit car en quelque sorte, je détruit la relation entre L et Maître et A et Maître. Ce n'est pas ce que je voulais, je pensais que ça se passait bien que la relation était a quatre, mais Maître n'arrive a s'occuper que d'une soumise a la fois et a chaque fois, c'est la nouvelle. Pour le moment c'est moi car c'est moi la dernière arrivée, mais je sais que dans quelque mois cela changera et je ne serais soumise qu'à un fantôme, comme ça se passe avec L et A, qui sont là pour leur faire les courses, la cuisine et le ménage et c'est tout. Cela ne me donne pas envie, pour apprendre deux trois choses au début c'est cool, mais par la suite cela deviens très rapidement ennuyant et frustrant dans le mauvais sens, les manques remontent rapidement et certains sont déjà présents, j'ai besoin d'être soumise, j'ai besoin d'être une petite chienne pour mon Maître ou ma Maîtresse...
Cette situation ne pourras pas durer des mois...
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Peu apres, j'ai pris mon courage a deux mains et j'ai récupéré les quelques affaires et j'ai posé les clés. Je suis repartie de mon coté et j'ai préféré couper court avec eux, meme si c'était tres tres difficile. J'ai découvert des choses assez bizarres a propos de K. C'était vraiment tres difficile, je me sentais inutile, la pire soumise qui existe, qui abandonnais son Dominant, les pulsions suicidaires etaient revenues mais c'est a ce moment la que j'ai commencé ma relation avec Maman, ce qui m'a beaucoup aidé.
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"Ma première idée du mouvement de la danse vient du rythme des vagues. Préparez-vous, muses, à danser de nouveau !" Pionnière de la danse moderne, Isadora Duncan (1877-1927) demeure à l’évidence la défricheuse et la semeuse,celle qui, bousculant les codes et les conventions du ballet classique a ouvert les écluses et frayé ainsi la voie à unedanse plus libre. Toutefois, si la radicalité et la modernité de sa démarche ont fait couler beaucoup d’encre, on abeaucoup moins évoqué la dimension primordiale de l’art d’Isadora qui se place sous le signe de la grâce. C’estsurtout par une esthétique gracieuse, caractéristique de ses chorégraphies de jeunesse, qu’Isadora renoue à lafois avec la sensibilité de la danse classique et les toiles de la Renaissance italienne, celles de Botticelli en particulierqu’elle revisite dans plusieurs de ses créations. À contre-courant des brisures et de la crispation, la grâce trouve sonterrain d’élection dans la courbe, évoque un monde de fluidités et de transparences qui exprimerait à la fois la nostalgied’un paradis mythique et l’aspiration à un futur idyllique. Isadora se situe d’abord en rupture avec le ballet académiquedont elle rejette le système préétabli de pas et de gestes très codifiés par Pierre Beauchamp au dix-septième siècle. Elle récuse le principe de l’en-dehors qu’elle estime contre-nature de même que la discipline rigide du ballet. Fortede ses convictions, elle bannit les pointes, apanage de la ballerine, le tutu, et le corset qui enserre le corps. Soucieusede restituer à la danse une signification spirituelle et humaine, Isadora ne peut que vilipender l’excès de virtuositéqui règne au sein du ballet à la fin du dix-neuvième siècle, au mépris de l’émotion. La danseuse et chorégrapheaméricaine Isadora Duncan, pionnière absolue de la danse moderne, incarne une liberté nouvelle, non seulementpour l'art chorégraphique mais également pour la condition féminine. En effet, sa vie tumultueuse, qui fit d'elle unehéroïne, fascina son époque, contribuant probablement au rayonnement extraordinaire de son nom et de sa légendedans le monde. Avec ses pieds nus, ses fines tuniques à la grecque et ses mouvements libres, affranchis de toutetechnique connue, elle imposa une nouvelle idée de la danse qui repose sur l'harmonie du corps et de l'esprit. Àsa suite, la danse moderne s'exécutera pieds-nus et chaque chorégraphe devra trouver son langage personnel.
"La danse est le mouvement de l'univers concentré chez un individu. Écoutez la musique avec votre âme. ne sentez-vous pas un être intérieur qui s'éveille au fond de vous, et que c'est par lui que votre tête se redresse, que vos bras se lèvent, que vous marchez lentement vers la lumière ?". On l’imagine souvent virevoltant les pieds nus et légers dans un frémissement de tissus évanescents dans les jardins,au bord de la mer, partout où il est possible de danser. On connaît son destin tragique, étranglée en 1927 à seulementcinquante ans par son écharpe prise dans les roues de sa décapotable et auparavant ses enfants se seront noyésaccidentellement dans la Seine. “L’ondulation me semble être le mouvement fondamental de la nature”, répétait sanscesse Isadora Duncan dansant vêtue d’une large tunique laissant apercevoir sa nudité. Faisant fi des conventions,délaissant tutus et pointes, elle libère le corps de la femme et invente une danse moderne, fluide comme la mer, où lemouvement semble naître naturellement. En cela, Isadora Duncan marqua l’histoire de la danse mais apparut égalementcomme une femme libre et audacieuse. Sa vie privée, tout comme sa vie professionnelle, fait fi de toutes les mœurs etrègles de la moralité traditionnelle. Bisexuelle, ce qui n'est pas chose inhabituelle dans les cercles hollywoodiens de sonépoque. Elle a une histoire passionnée avec la poétesse Mercedes de Acosta et a été aussi probablement engagéedans une relation amoureuse avec l'auteur Natalie Barney. Elle déclarait: "Je crois que l'amour le plus élevé est une pureflamme spirituelle qui ne dépend pas nécessairement du sexe du bien-aimé." Isadora était une femme libre et rebelle. On ramène sans arrêt sa vie au seul épisode de sa mort tragique, comme si entre sa naissance à San Francisco et samort effroyable à Nice, sur la promenade des Anglais, il ne s’était rien passé de notable. Sa vie est pourtant étonnante.Rarement, vocation fut plus précoce. Tout commence à San Francisco, dans le quartier irlandais. Là, une jolie fille, MariaDora Gray, fille d’un sénateur d’origine irlandaise, rencontre un beau garçon d’origine écossaise, Joseph Charles Duncan,amateur d’art et poète de talent à ses heures. Ils se marient et auront quatre enfants. Mais ils ne vivent pas heureux trèslongtemps. Un an après la naissance de leur benjamine, Angela Dora, future Isadora, le 26 mai 1877, le malheur s'abatsur la famille. Caissier ruiné par la faillite retentissante de la Bank of California, Joseph Duncan est emprisonné et doitvendre sa maison de Taylor Street, en 1878. La même année, Maria apprend que Joseph a une liaison avec une jeunecélibataire habitant Russian Hill. Elle divorce et part avec ses enfants. C’est le début d’une vie d’errance et de bohèmemiséreuse. Professeur de musique, Maria tire le diable par la queue et complète ses revenus en faisant de la couture.Elle vend sa production, sans grand succès. Du coup, la famille change régulièrement de domicile pour échapper auxrappels de loyer. Un matin, la maîtresse de l'école demande aux enfants de sa classe de dire ce que font leurs parents.
"I was born by the sea, and I have noticed that all the great events of my life have taken place by the sea. My first idea of movement, of the dance, certainly came from the rhythm of the waves". À la maison, pas ou peu de discipline. Les enfants sont livrés à eux-mêmes et vaquent comme ils l’entendent. La petiteIsadora sait s’occuper. Elle trouve sa vocation et le moyen d’expression de ses émotions. "Petite fille, je n’ai connu nijouets, ni distractions enfantines, je m’échappais souvent seule dans les bois ou au bord de la mer, et je dansais. À cetâge-là, j’avais l’impression que mes chaussures et mes vêtements n’étaient qu’une gêne. Mes souliers me pesaientcomme des fers, mes vêtements étaient ma prison. Alors je les ôtais. Et loin de tout regard, je dansais nue au bord de lamer." Le quotidien est désespérant. Maria parle très peu de leur père à ses enfants, sauf pour le décrire comme un"démon en habit humain." À huit ans, Isadora sera donc étonnée quand un bel homme à la voix douce, fin et distingué,viendra sonner à la porte et l’emmènera manger une glace dans le quartier. C’est Joseph Duncan, qui tente de renoueravec ses enfants. Maria ne veut plus en entendre parler. Prisonnière des conventions de son temps, la mère d’Isadorane sait pas exploiter ses multiples atouts. Elle survit en travaillant comme une bête. "Sentimentale et vertueuse, ellene pouvait que souffrir et pleurer." Un jour, Isadora rentre à la maison et la trouve en larmes. À terre, tous les tricotsinvendus. Isadora les rassemble dans un panier, fait du porte à porte dans le voisinage et revient les poches pleines. Elle triomphe mais la rébellion s’ancre profondément en elle. Elle comprend ainsi très tôt que "la gloire, la fortune etl’amour ont leur contrepartie en sang, en larmes et en peines accablants." Heureusement, il y a les moments degrâce, de bonheur, quand Maria rassemble ses enfants à ses pieds, sur le tapis, leur joue du piano, leur fait réciter despoèmes. Décelant les dispositions chorégraphiques d’Isadora, elle veut lui faire donner des leçons de danse. Peineperdue. Isadora ne supporte ni les pointes, ni les tutus. À douze ans, avec sa sœur Elizabeth, elle commence àdonner des cours de danse et de théâtre aux enfants du quartier. Quand les cours subviennent aux besoins de lafamille, elle cesse d’aller en classe. C’est à cette époque qu’elle fait le vœu solennel d’accueillir l’amour comme il vient,mais de ne jamais se marier. De temps en temps, elle se rend à la "Oakland Public Library." Là officie une femmed’influence, Ina Coolbrith, poétesse d’exception, amie de toute une génération d’auteurs, Jack London, Robert LouisStevenson, Joaquin Miller, ainsi que Mark Twain. Jack London parlera d’Ina comme de sa "mère en littérature."Isadora se souviendra d’elle comme d’une femme magnifique, "dont les beaux yeux verts étincelaient de passion."
"J'étais très fière d'être admise, avec ma petite tunique blanche, au milieu d'une constellation de personnages si distingués et si brillants". Pour l’heure, elle suit avidement ses conseils de lecture. C’est Ina qui va l’initier à la culture classique de la Grèceancienne. Au soir de sa vie, Isadora tombera des nues quand elle apprendra qu’Ina Coolbrith était demeurée célibataire.Et pour cause, Ina et Joseph Duncan avaient vécu une longue relation passionnée. Son père avait été le grand amourde sa professeur, son guide pour la vie. Ironie du sort, elle connaissait donc Isadora sans que celle-ci le sache. Très vite,l’entreprise familiale de spectacle Duncan prend de l’ampleur. En 1893, la famille emménage à San Francisco, dansune maison appelée “Castle Mansion”. L’immeuble, au coin de Sutter et Van Ness Avenue, à San Francisco, a étéoffert par le père revenu un peu en grâce, en attendant de faire à nouveau faillite. Augustin, le frère aîné, joue lesmetteurs en scène. Isadora et sa grande sœur Elisabeth donnent des cours de valse et de polka dans la grange. Les Duncan créent bientôt leur troupe dont la tournée se fait remarquer sur la côté Ouest. Mais les affaires ne sontguère florissantes. En 1895, Isadora, accompagnée de sa mère, va donc tenter sa chance à Chicago. Elle essaie tantbien que mal d’intéresser des managers de théâtre blasés et cyniques, peu séduits par sa danse novatrice, jugéedécalée et incompréhensible. Enfin, un music-hall lui donne sa chance. Elle apparaît en tenue grecque, pieds nuset pénétrée de son art, devant un public venu pour voir des girls lever la jambe, dans une atmosphère de tabagieécœurante. Une nuit, enfin, dans l’assistance, il y a Augustin Daly, producteur de théâtre à New York, qui engagela jeune fille pour un rôle de fée dans le "Songe d’une nuit d’été." Puis, il lui donne des petits rôles de pantomime.Nouveau coup du destin, Nevin est dans la salle. Il l’engage alors pour son "Narcisse", le spectacle qu’il monte dansune petite salle du Carnegie Hall. C’est le premier succès, pour Isadora, qui se présente désormais en tenue grecque,pieds nus et cheveux libres sur les épaules. Face à cet ébranlement complet des bases du ballet, les New Yorkaisblasés, l’acclament et sa notoriété galope jusque dans les salons privés de Newport. C'est enfin le début de la gloire. À Paris, on la voit souvent rue de la Gaîté. Mais elle goûte peu la bohème de Montparnasse, sortant d’une existencequi l’en a dégoûtée. Elle s’installe finalement dans un immeuble cossu à deux pas de la place Saint-André-des-Arts,au 5 rue Danton. Le succès aidant, elle décide de créer des spectacles par souscription, avec un nombre de placeslimitées, inabordables, ce qui lui permet aussi de choisir ses spectateurs. Le dessinateur Jean-Louis Forain, lesécrivains Georges Bataille ou Anna de Noailles, le comédien Mounet-Sully, Georges Clémenceau se pressent chezelle pour ces représentations privées limitées à vingt personnes. Auguste Rodin l’invite dans son atelier et la dessine.Elle danse partout pieds nus, sur les planches des théâtres parisiens, sur le parquet ciré des appartements cossus,sur le sable des plages à la mode, sur le marbre des villégiatures de ses nombreuses admirateurs, sur la terre desétroits chemins, sur le gazon des propriétés des gens qui comptent. Cela devient souverain, les pieds dans l’herbe.
"The only dance masters I could have were Jean-Jacques Rousseau, Walt Whitman and Nietzsche". Demandée partout, Isadora parcourt l’Europe en tous sens. À Paris, où elle repasse début 1903, on la voit dansersans autre décor qu’un drap tendu, sans éclairage, en tunique courte, pieds nus, au son d’instruments aussi saugrenusdans le ballet que la flûte ou le tambourin. Parfois même sans musique ou en complet décalage avec elle. Mais sonœuvre majeure est encore à venir. Elle crée trois écoles. La première à Berlin, dans le quartier de Grunewald, en1904, avec six élèves qui vont jusqu’à changer leur nom, pour devenir Maria-Theresa, Anna, Irma, Lisa, Margot etErica Duncan, les "Isadorables." C’est Elizabeth, la sœur d’Isadora, qui prendra réellement en charge l’enseignement,Isadora se contenant d’insuffler l’esprit et la couleur des chorégraphies. La deuxième école est créée à Paris, avecdes élèves français et russes, en 1908. La troisième à Moscou en 1921. Criblées de dettes, les deux premièresécoles cesseront leurs activités, respectivement en 1908 et 1916. Celle de Moscou durera le plus longtemps. Le 24septembre 1906, nait le premier de ses deux enfants d’Isadora, Deirdre. Paris Singer, le père de son fils Patrick,emménage avec Isadora Duncan dans l'hôtel "Coulanges", place des Vosges à Paris. Il l’emmène aux Etats-Unis,la couvre de bijoux et de robes de chez Poiret, lui offre un château dans le Devonshire, plus tard l’hôtel de Bellevueà Meudon, où elle logera son autre école de danse, le Dyonision. Mais toutefois, Isadora ne s’assagit pas pour autant. En froid depuis le début de l’année 1913 avec Paris Singer, qui supporte mal la notion d’amour libre d’Isadora, lemilliardaire lui propose de revoir son enfant, Patrick, et Deirdre qu’il aime comme sa fille. Le dix-neuf avril 1913, ilsvont déjeuner ensemble dans un restaurant italien parisien. Après le café, Paris Singer voudrait emmener Isadoraau Salon des Humoristes. Mais elle a prévu de recevoir quelques amis dans sa résidence, à Neuilly. Il part de soncôté, elle file à Neuilly en voiture avec la nurse, Annie Sim, et ses deux enfants. La nurse préfère ensuite rentrer àVersailles avec les enfants plutôt que d’attendre Isadora. Peu avant seize heures, sous un crachin froid, le baiserde sa fille à travers la vitre de la voiture sera la dernière image qu’aura Isadora de ses enfants. Remontant la rueChauveau et se dirigeant vers la Seine, le chauffeur pile au coin du boulevard Bourdon, devant une voiture quiarrive de Levallois à vive allure. Le moteur ayant calé, le chauffeur descend pour donner un tour de manivelle.Mais l'inconscient oublie de mettre le levier de vitesse au point mort. Lorsque le moteur repart, la voiture fait unbond en avant, traverse le quai, dégringole le talus et plonge dans la Seine. Les enfants et la nurse, sont retirésde la carcasse de l’auto, inanimés. les trois décès sont constatés. Isadora refuse des funérailles chrétiennes.
"The whole world is absolutely brought up on lies. We are fed nothing but lies. It begins with lies and half our lives we live with lies". Cette disparition brutale la perturbe profondément. Elle s’échappe en Albanie, à l’invitation de son frère Raymond,qui aide là-bas les victimes de la guerre des Balkans. Puis en Italie, elle séjourne à Viareggio avec la comédienneEleonora Duse, la grande rivale de Sarah Bernhardt, suscitant quelques remarques grinçantes sur leur prétenduerelation homosexuelle. Elle s’y amourache d’un jeune sculpteur, le supplie de lui faire un enfant. Elle revient à Parisquand Paris Singer lui annonce qu’il lui offre le Grand Hôtel de Bellevue, à Meudon. Elle y crée une école de danse.Le treize juin 1914, le gala qu’elle offre au Trocadéro est un succès. Mais le vent commence à tourner. Désormais,aux Etats-Unis, le jazz et le fox-trot incarnent la modernité. Et plus ses tenues dénudées ne passent toujours pasla rampe face aux bigots et aux producteurs qui les craignent. Certes elle danse le sept novembre 1921 au Bolchoïet on lui met à disposition le palais de la célèbre danseuse Alexandra Balachova, exilée à Paris. Mais la bureaucratieet le délabrement général ne produisent rien de bon. Le jour de l’inauguration officielle de son école, on lui annonceque les crédits sont coupés, et qu’on lui laisse le bâtiment à condition qu’elle le chauffe. Une gageure, quand onconnaît l’hiver russe et les proportions de la bâtisse. Elle fait cependant la connaissance d’un poète prometteur,Sergueï Essenine, au visage d’ange joufflu, aux yeux d’un bleu magnétique. Elle l’épouse sans déroger à sa règlecar il s’agit de lui permettre de partir avec lui en tournée. Mais ses tendances alcooliques et les accès de rage quis'ensuivent l'amènent régulièrement à détruire des meubles, enfoncer des portes et des fenêtres dans leurs chambresd'hôtel, engendrant ainsi une publicité tapageuse autour du couple. En novembre 1923, elle décide alors de le quitter. En 1926, à l’aube de ses cinquante ans, et pour subvenir à ses besoins, elle entame la rédaction de son autobiographie.Le manuscrit, qui restera incomplet, ne brille ni par ses révélations, ni la qualité de son style. Elle s’installe sous lescombles du Lutétia, à Nice. Elle arrive le soir du quatorze septembre 1927. Elle dîne avec son amie Marie Desty aurestaurant d’une plage privée, le “Henry’s plage”. À la fin du dîner, "Bugatti", le beau garagiste, Benoit Falchetto, lesrejoint. Il vient lui faire essayer une Amilcar GS 1924. Isadora s’installe dans l’Amilcar. Pour se protéger du vent, elles’entoure le cou de la longue écharpe en soie rouge offerte par Marie. L’écharpe s’enroule dans le moyeu de la rouearrière gauche quand la voiture démarre. Elle est brutalement éjectée du véhicule et meurt sur le coup dans sa chutesur la chaussée. Isadora Duncan est incinérée et ses cendres reposent à Paris au columbarium du cimetière duPère-Lachaise auprès de celles de ses enfants. L'étoile qui s'éteint sur la Promenade aura révolutionné la danse.
Bibliographie et références:
- Jean-Pierre Pastori, "La Danse des vifs"
- Maurice Lever, "Isadora, roman d'une vie"
- Jean Bergamasco, "Isadora Duncan, la danseuse aux pieds nus"
- Geneviève Delaisi de Parseval, "Le Roman familial d'Isadora Duncan"
- John Dos Passos, "Isadora, roman d'une danseuse"
- Vivian Lofiego, "Isadora Duncan, l'américaine aux pieds nus"
- Caroline Deyns, "Le jour où nous n'avons pas dansé"
- Irène Omélianenko, "Isadora Duncan ou l'art de danser sa vie"
- Damien Manivelle, "Les Enfants d'Isadora"
- J.C. Powys, "Isadora Duncan"
- Élisabeth Schwartz, "Isadora Duncan"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Mais oui "qui suis-je ?"
"Qui sommes nous, vraiment ?"
Et bien ...
Je suis l'énergie incandescente du Feu,
Je suis le pragmatisme et la résilience de la Terre,
Je suis virevoltante et insaisissable comme l'Air,
Je suis le calme mêlé à la force de l'Eau,
Je suis, pour finir, doté d'un Esprit comme tout à chacun.
Je suis de celle qui s'extasie à la vue d'un oiseau, posé sur les pierres de la rivière.
Je suis celle qui hurle à plein poumon dans la forêt.
Je suis celle qui regarde plus qu'elle ne voit, celle qui écoute plus qu'elle n'entends.
Je suis celle dont le doute s'insinue avec perfidie dans ses pensées, tissant ses toiles d'araignée.
Je suis celle qui rie comme une enfant, savourant les moments de bonheur.
Je suis celle qui se méprise, celle incapable de fixer son reflet qui la dégoûte.
Je suis l'animal qui se fît à son instinct, qui sent et qui ressent.
Je suis la petite fille qui court faire un bonhomme avec les premières neige sans mettre de gants.
Je suis là Brat qui va taquiner jusqu'à faire perdre la tête.
Je suis le monstre, froid, cyniques et insensible qui méprise.
Je suis celle qui donne sans compter, dont la loyauté n'est plus à démontrer.
Je suis la louve tapis dans sa tanière, où l'éclat des crocs percent par l'interstice de ses peurs.
Je suis de celle qui rend les armes et qui s'apaise dans les cordes.
Je suis ce cerveau qui à besoin du paradoxe de Fermi, du Bozon de Higgs, de l'allégorie de la caverne pour être stimuler.
Je suis de celle qui s'oublie pour savourer le regard heureux de ses proches.
Je suis la soumise, à genoux, qui attend patiemment, dans la confiance et l'abandon.
Je suis franche et directe à en faire grincer des dents.
Je suis douce et fragile à en faire pleurer les pierres.
J'ai, comme vous, 1001 masque. Mille et une facette.
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Il y a quelques années de cela une exposition des tableaux du peintre Jean Auguste-Dominique
Ingres avait été proposée au musée du Louvre . Mon fils , étudiant en histoire de l'art à cette
époque m'y avait traîné . J'avoue que ma culture en matière d'art et de peinture est assez restreinte .
A ma grande honte , je suis incapable de m'extasier en récitant des termes pompeux et faussement
dithyrambiques devant un tableau . J'en suis toujours incapable mais je n'en ai plus honte depuis le
jour où un ami m'a dit que la dithyrambe et la pompe dans le domaine de l'art n'est qu'une affaire
de snobisme de la part de gens qui n'y connaissent pas grand chose . Cet ami était très généreux
envers moi et un peu sévère envers les snobs mais je me suis rendu compte qu'il n'avait pas tout à
fait tort . Il m'avait dit aussi qu'il n'est pas nécessaire de s'y connaître en art .
<> . Il était très
généreux . Je ne prétends pas être devenu un connaisseur pourtant j'ai connu de grandes émotions
en visitant de somptueux musées de part le monde mais très peu comme celle que je vais vous
raconter .
Mon fils et moi déambulions dans les salles de l'exposition , admirant les toiles de ce célèbre
peintre quand je tombais littéralement en extase devant la tableau << La Source >> . Cette oeuvre
représente une femme nue , debout , portant sur son épaule une amphore d'où coule une eau claire
dont le débit semble intarissable . Je restais en admiration devant cette image qui faisait revenir à
ma mémoire de vagues souvenirs depuis longtemps enfouis . J'étais insensible au défilé des autres
visiteurs et je restais immobile , tétanisé comme aimanté par la beauté de cette femme . C'est un
reflet , un éclair de lumière dans la pénombre de la salle où seules les oeuvres étaient éclairées , qui
me fit sortir de cette transe passagère . Je tournais mon regard vers la source de ce reflet . C'était
une écharpe en satin couleur jaune lumineux ceignant le cou d'une femme d'une soixantaine
d'années . Ses cheveux courts étaient d'un blanc de neige . Une impression de similitude venant du
passé envahit mon esprit . Je ne pouvais détacher mon regard de cette femme comme je ne pouvais
détacher mon regard de <> quelques instants auparavant . J'étais certain d'avoir connu
cette personne dans le passé quand soudain le souvenir précis d'un épisode de ma vie rejaillit à la
surface de ma mémoire me ramenant cinquante ans en arrière .
J'avais vingt ans , j'étais un jeune cuisinier dans un restaurant triplement étoilé par le célèbre
guide Michelin : le << Lapérouse >> . Du nom du célèbre navigateur envoyé par Louis seize
explorer l'Océan Pacifique . Ce restaurant qui existe encore est situé au 51 du quai des Grands
Augustins à Paris , juste en face du célèbre << 36 Quai des Orfèvres >> . J'avais la chance et la
fierté de travailler dans ce prestigieux établissement qui voyait passé à sa table les grands de ce
monde et où furent tournées plusieurs scènes de film .
Pendant mon temps libre , certains après midi , je montais jusqu'au jardin du Luxembourg par
le Boul'Mich .( Boulevard Saint Michel .) Après m'être acquitté de la redevance réclamée par une
chaisière invariablement acariâtre je m'asseyais sur un de ces fauteuils métallique pour le moins
peu confortables . Je lisais à l'ombre des tilleuls alignés comme des militaires à la parade . Dans cet
endroit , inconfortablement installé , j'ai dévoré tous les Maurice Leblanc , les Gaston Leroux , les
Jules Verne et autres que je dénichais dans les coffres de bouquinistes des quais de Seine ou dans les
bacs à livres d'occasions des librairies << Gibert Jeunes >> .
Au cours de ces après-midi , je n'avais pas toujours le nez plongé dans mes bouquins . Je laissais
mon regard papillonner sur les autres promeneurs , surtout sur les promeneuses . Il y en avait qui
me plaisaient beaucoup comme le chantait Michel Delpech . J'aimais le spectacle de cette foule
disparate . Il y en avait d'autre qui me plaisait moins , voir pas du tout . Comme le bizutage des
étudiants de première année par les étudiants de deuxième année . La rentrée universitaire datait de
quelques jours .Cette année là le mois d'octobre jouait << L' Eté Indien >> avant l'heure . Les
deuxièmes années prenaient un plaisir sadique à martyriser les premières années . Un de ces
tortionnaires de bas niveau faisait dire à un bleu qui en même temps devait faire des tourniquets
avec ses bras << Je suis cent fois plus con qu'un moulin à vent >> . C'est le tortionnaire qui est
resté dans ma mémoire comme cent fois plus con qu'un moulin à vent ! Si tant est qu'un moulin à
vent puisse être con . J'ai toujours eu une aversion viscérale pour le bizutage , ce jour là cette
aversion se transforma en souvenir insupportable .
Heureusement il y avait des spectacles beaucoup plus agréables . J'avais remarqué une jeune
femme qui fréquentait aussi les fauteuils en fer du Jardin du Luxembourg . Elle avait un peu les
mêmes habitudes que moi . Elle lisait à l'ombre des tilleuls . Un après midi où je m'étais assoupi ,
une fois de plus , l'Arsène Lupin que je lisais qui devait être << L'Aiguille creuse >> était tombé
en bataille sur mes genoux .Un je ne sais quoi , une fragrance , l'impression d'être observé peut être
me tira de mes songes . La jeune femme que j'avais remarqué était assise à quelques fauteuils du
mien .Elle était vêtue d'un tailleur de couleur jaune , un jaune lumineux . Cette personne lisait ,
plongée ostensiblement dans son livre . Elle n'était pas beaucoup plus proche de moi que d'autres
personnes , en outre elle ne montrait aucun signe d'intérêt pour son environnement ni pour son
entourage . Je pensais donc que c'était un pur hasard et tentais de n'y plus prêter attention , en vain,
comme je tentais en vain de reprendre ma lecture . J'étais troublé par la présence de cette belle et
lumineuse jeune femme . Je la contemplait à la sauvette victime d'une irrésistible attirance bien
qu'elle ne manifesta jamais aucun attrait pour moi . Je ne tentais donc rien . Il était dix sept heures
quinze , il me fallait retourner à mon travail . Après un dernier regard non échangé en direction de la
jeune femme je me dirigeais vers la sortie du Jardin située en haut du Boul-Mich . Je revis
irrégulièrement cette jeune personne mais je ne me montrais guère plus audacieux . Le mois
d'octobre passa , le mauvais temps arriva avec novembre , le temps n'étais plus à la flânerie sous les
tilleuls . Je pensais que cette personne entrerait dans cette sorte particulière de souvenirs où les
hommes logent ceux des femmes qu'ils n'ont pas osé aborder et c'est ce qui arriva .
Jusqu'à ce que le hasard s'en mêle . Quelques semaines plus tard ,j'étais à mon travail , je
détaillais un quartier de viande . Le métier de cuisinier ne consiste pas uniquement à décorer à
l'aide de pinces à épilé et avec force fleurs comestibles des échantillons de nourriture perdus dans
des assiettes grandes comme des soucoupes volantes . Il y a aussi des préparations quelque peu
plus ingrates à effectuer avant de se prendre pour un fleuriste de talent . Je détaillais donc ce
quartier de viande quand la lame de mon couteau fut déviée par un os et m'entailla profondément le
pouce .Cette blessure ne pouvait pas être traitée sur place . Il fallut me conduire aux urgences de
l'Hotel Dieu alors situé à proximité du parvis de Notre Dame à Paris . Je n'attendis pas longtemps
au début , on me prodigua rapidement les soins nécessaires pour stopper l'hémorragie mais après je
dû patienter deux bonnes heures avant que quelqu'un vint me faire le pansement qui me permettrait
de sortir . Au bout de ce laps de temps interminable une infirmière tira le rideau du box où l'on
m'avait oublié . Quelle ne fut pas ma surprise quand je reconnu ma voisine de fauteuil du
Luxembourg . Elle souriait en me regardant avec un petit air narquois .Elle avait troqué son petit
tailleur jaune lumineux contre une blouse d'infirmière . C'est elle qui parla la première pour me
poser les questions inhérentes à cet incident et c'est elle encore qui aborda notre non-relation du
Jardin du Luxembourg en me demandant :
<< Les cuisiniers sont-ils tous aussi timides que vous ? >>.
Et naturellement je me vautrais lamentablement dans ma timidité en répondant par des mots qui
tenaient plus du borborygme incompréhensible que de la parole sensée mais cela eu le don de la
faire éclater de rire et facilita grandement la suite de notre relation . Une idylle comme en
connaissent tous les jeunes gens de notre âge commença ce jour là . Ce fût une histoire passionnée ,
romantique , fulgurante de quelques semaines interrompue par les obligations de la vie . A cette
époque les jeunes hommes faisaient encore leur service militaire , je fut appelé sous les drapeaux et
la jeune fille du Luxembourg du repartir dans son école d'infirmière , en province . Nous avons bien
essayé de rester en lien mais l'éloignement n'aide pas les gens qui s'aiment .
Le temps faisant son oeuvre nous ne nous sommes plus jamais revus . . . jusqu'à ce que Ingres
bien involontairement nous réunisse au musée du Louvre . Ce jour là . . . je ne me suis pas montré
timide . J'invitais cet amour de jeunesse à boire un café et devant ce café , quelques heures plus tard,
nous avons juré de ne plus jamais laissé la vie , cette cruelle , nous séparer .
Berny soumis de Lady Gabrielle
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"Aucune méthode d'invention artistique ne peut remplacer l'élément essentiel de l'imagination surtout la plus fertile. Si vous pouviez le dire avec des mots, il n’y aurait alors aucune raison de le peindre". Alors que les avant-gardes puis l’abstraction impriment leur marque sur l’Amérique, Edward Hopper (1882–1967) cultive un réalisme à contre-courant. À partir des années 1930, ce peintre s’est rendu célèbre en exposant des toiles mélancoliques, inspirées par l’american way of life dont il livre une vision désabusée. Son œuvre contient une profondeur symbolique derrière les apparences de la banalité. Artiste prolifique, tant dans le domaine de la peinture que des œuvres graphiques, Hopper a donné vie à un réalisme métaphysique silencieux, à la perfection sourde et instable, à l’image d’un drame hitchcockien. Né en 1882 dans l’État de New York, Hopper grandit dans une famille de commerçants modestes. Rien ne le prédestine à devenir peintre. C’est par le biais de ses études, il envisage une carrière comme illustrateur publicitaire, que la passion le gagne. À la New York School of Art, l’artiste américain développe une esthétique figurative, intimiste, au réalisme presque photographique. Si Hopper a passé l’essentiel de sa vie à New York, il a cependant quitté cette ville entre 1906 et 1910 pour gagner l’Europe. À Paris, qu’il visite à trois reprises, il découvre alors la culture française, dont il demeure passionné au point d’en apprendre la langue, et étudie les grands maîtres du réalisme européen, de Rembrandt à Édouard Manet. Pour autant, Hopper ne se considère pas comme un continuateur des courants européens et souhaite au contraire doter l’Amérique d’un art figuratif indépendant, reflétant les caractères propres à cette nation. Pour vivre, Hopper travaille, comme prévu, dans le domaine publicitaire. Sa vocation d’artiste se précise vers 1913, lorsqu’il loue un atelier dans le quartier de Greenwich Village. Mais l’artiste se fait surtout connaître durant les années 1920, époque à laquelle il se marie. Le couple s’installe à Cap Cod dans les années 1930. En apparence, l’artiste s’intéresse à des objets mineurs, à des personnages anodins, mais il les dote de sentiments profonds et ambivalents. Ce ne sont pas des américains triomphants, légers ou insouciants, des architectures modernes et imposantes. Hopper ne peint pas les gratte-ciels de New York, ni l’Ouest sauvage. Il captive ces "riens", moments de vide et de silence mais lourds d’anxiété, d’attentes ou de désirs. Le succès vient alors à Hopper de son vivant. Dès 1933, le Museum of Modern Art, (MoMA) lui consacre une rétrospective. Le peintre est invité à représenter son pays lors de la Biennale de Venise en 1952. Couronné d’éloges, il s’éteint en 1967. Le réalisme figuratif d’Edward Hopper ne s’appuie pas seulement sur l’observation du monde réel. S’y mêle une bonne dose de fiction, à l’image d’un noir polar. Le peintre, en mettant en scène des personnages isolés, des lieux confinés ou abandonnés, exprime ses angoisses humaines. En ce sens, tout en représentant les mœurs de la société, il livre aussi un portrait inquiétant d’un continent américain en doute.
"Je ne suis peut-être pas très humain, ce que je voulais faire était peindre la lumière du soleil sur le côté d’une maison". Une femme seule, triste, assise sur un lit dans une chambre d’hôtel impersonnelle, face au soleil matinal. Figure de passage, pourtant immobile, elle est concentrée au point de ne pas se douter de la présence du spectateur. Hopper a cultivé dans son œuvre une observation voyeuriste des personnages. La composition est proche de la photographie. Comme à son habitude, le peintre met en contraste les couleurs chaudes de sa palette avec les sentiments dégagés par ses protagonistes: froids, imperméables, distants. Toile célèbre, peut-être la plus connue de l’artiste américain, la scène raconte moins une histoire qu’un moment, saisi sur le vif et comme figé dans le temps. La route est déserte. La pénombre gagne. Mais la station-service rutile. Rouge. L’homme en pantalon bleu, gilet et cravate ne laisse rien paraître. Il se tient cependant prêt à accueillir l’éventuel voyageur, avant qu’il ne s’enfonce dans les ténèbres de la forêt, dense et lugubre. Distance et étrange proximité, narration et temps en suspens, couleur poudrée, ombre et lumière découpées, archétype et sobriété formelle. L’œuvre traverse les âges, intrigue et invite à la contemplation de qui voudrait percer les mystères de sa création. L'occasion de poser un nouveau regard sur les toiles elles-mêmes et de se laisser toucher par leur profonde humanité. "Compartiment C, voiture 293" est un tableau magnifique. Beaucoup de tableaux du peintre américain Edward Hopper sont magnifiques, mais celui-là l'est particulièrement. C'est un tableau vert. Josephine, dite Jo, la femme d'Edward, dit Ed, l'appelait d'ailleurs ainsi, "le tableau vert". Il montre une femme blonde, élégante, vêtue d'une robe de couleur prune. Elle est assise dans le compartiment d'un train. Les murs et le mobilier du compartiment sont verts. Seul l'appuie-tête est blanc, à sa base violacé. La femme lit. La plupart des commentateurs la voient lire un magazine, mais il faut toujours se méfier de ce que Hopper fait lire aux femmes. Dans "Chambre d'hôtel", par exemple, peint en 1931, une jeune femme dévêtue, assise sur un lit, paraît absorbée par la lecture d'un roman. Or elle tient dans ses mains "un indicateur de chemins de fer". On le sait parce que Jo l'a noté dans le registre où, une fois un tableau achevé, Ed dessine l'œuvre à l'encre noire que Jo, ensuite, de son écriture ronde décrit. Jo est un personnage. Edward Hopper l'a épousée en 1924, il avait trente-six ans et Jo s'appelait alors Josephine Verstille Nivison. Elle est peintre. Ed ne la quittera jamais. Mais Ed n'est pas le genre à quitter. En 1913, il s'installe à Washington Square, à New York, dansun appartement-atelier duquel, malgré le succès et la fortune, il ne déménagera jamais, il y mourra le quinze mai 1967.
"J’ai essayé de présenter mes sensations dans ce qui est la forme la plus sympathique et plus impressionnante possible pour moi. Je trouve l’huile de lin et le fil blanc les médiums les plus satisfaisants". En 1924, il montre ses aquarelles dans la galerie Frank Rehn, qui lui organise sa première exposition personnelle où il restera toute sa vie. Quant à Jo, jalouse comme une tigresse, elle sera son seul modèle féminin. Hopper est un homme fidèle. Jo, elle, c'est une "peste". Elle s'est sacrifiée" pour Ed, dit-elle, lui a laissé l'atelier, et ne cesse de le lui reprocher. En 1946, elle commence même une grève de la faim pour protester contre l'indifférence d'Ed et du Whitney Museum pour son œuvre. Frank Rehn réglera alors le problème par un petit accrochage dans sa galerie. Le photographe Arnold Newman raconte que le couple ne cessait de se disputer. Quand il voulait photographier Ed, Jo venait sans cesse se placer dans le champ. Être dans la plupart des tableaux de Hopper ne lui suffisait donc pas. Puis il a compris que c'était leur façon de fonctionner. Jo admirait Ed. Dans son journal, elle écrit: "L'art de E. Hopper est tellement fondamental que l'on peut le comparer à Abraham Lincoln ou George Washington pour représenter le meilleur de la tradition américaine". Il est fort probable qu'Ed devait aimer l'admiration que Jo lui portait. Elle tenait alors avec application ses registres. Elle l'accompagnait partout. Ils apprenaient l'espagnol ensemble. Et se fâcher continuellement avec elle devait ainsi l'arranger en lui réservant les longues plages de silence et de solitude dont il avait besoin. Hopper est un taiseux. Pour savoir à quoi ressemblait Jo en 1938, il suffit de regarder la femme à la robe sombre dans le compartiment vert. C'est elle qui lit. Les femmes lisent souvent dans les tableaux de Hopper. Ou elles pensent. Ou elles rêvent. Elles sont parfois dénudées. Elles ne correspondent pas à l'image de la ménagère américaine. C'est peut-être pourquoi les femmes aiment beaucoup la peinture de Hopper. Il les émancipe. Il ne les couvre pas de bijoux, Ed les détestait, mais les rend sexy. C'est une manière héritée de Courbet, "Les Demoiselles du bord de Seine" (1856) dont Hopper a admiré la peinture lors de ses trois voyages en Europe, surtout, à Paris entre 1906 et 1910. C'est pourquoi sa Jo ("Portrait de Jo", 1936) ressemble tant à l'autre Jo, Joanna Hiffernan, peinte par Courbet en 1865. Donc Jo lit. Hopper la vêt d'une robe stricte, la dote d'une forte poitrine, et dévoile légèrement le genou. On parle souvent de la "Maison près de la voie ferrée" (1925) comme modèle pour la maison de "Psychose" (1960) d'Alfred Hitchcock, mais il semble bien que le principal point commun entre le peintre et le cinéaste, qui adorait Hopper, soit cette figure de femme ambiguë, à la fois sage et sexuelle. Si l'on se reporte au registre, Jo écrit que la femme lit le "New Yorker", que sa robe est "en jersey de laine violet", et qu'à ses côtés est posé le magazine "Reader's Digest". Ed ajoute de son écriture fine et nerveuse: "Toile belge, couleurs Rembrandt, blanc de plomb, huile de lin". Et puis il y a ce vert, un certain vert, somptueux, mélange "d'oxyde de chrome et de cadmium", écrit Jo. Un vert impossible à trouver dans un compartiment d'un wagon de chemin de fer, aussi impossible que la hauteur du plafond de ce compartiment, idem pour l'éclairage ou le paysage crépusculaire entraperçu par la fenêtre.
"La seule vraie influence que j'ai jamais c'était moi-même. La question de la valeur de la nationalité dans l’art est peut-être insoluble. C'est le côté étrange de Hopper. Le tableau paraît réaliste, mais quand on en regarde les détails, tout devient bizarre. Les gens sont souvent seuls, leurs attitudes, insolites, les rues, désertes, les pièces, vides, les paysages, inhabités, les points de vue, décalés, les lumières, artificielles. On n'y retrouve pas les signes caricaturaux des États-Unis. Peu ou pas de voitures, pas de gratte-ciel, pas de grands espaces, pas de signes religieux, pas d'excitation, pas de foule, pas d'hystérie. Et pourtant, rien ne nous paraît plus américain qu'un tableau de Hopper, au point que de nombreux cinéastes, de Robert Siodmak ("Les Tueurs", 1946) à Wim Wenders ("The End ofviolence", 1997) et David Lynch ("Mulholland Drive", 2001), s'en sont inspirés. Hopper peint une Amérique sans fard. Elle ressemble à ses femmes, stricte, engoncée dans une morale rigide mais ambivalente, à la fois froide et libidinale. Une assemblée de solitaires la compose, portant la sourde mélancolie d'un très lointain déracinement. Edward Hopper est né le vingt-deux juillet 1882 à Nyack dans l’État de New York. Exerçant essentiellement son art à New York, où il avait son atelier, il est considéré comme l’un des représentants du réalisme américain, parce qu’il peignait la vie quotidienne des classes moyennes. Au début de sa carrière, il a représenté des scènes parisiennes avant de se consacrer aux paysages américains et de devenir un précieux témoin attentif des mutations sociales aux États-Unis. Il produisit beaucoup d’huiles sur toile, mais travailla l'affiche, la gravure (eau-forte) ainsi que l'aquarelle. Une grande partie de l’œuvre de Hopper exprime par contraste la nostalgie d’une Amérique passée, ainsi que le conflit entre nature et monde moderne. Dans une ambiance quasi métaphysique, en un monde devenu autre où la relation humaine est comme effacée, ses personnages sont le plus souvent esseulés et mélancoliques. Il naît au sein d’une famille modeste de commerçants qui vendent des articles de mercerie. Il reçoit une éducation baptiste et fréquente une école privée, puis le lycée de sa ville natale. Il s’installe ensuite à New York, où il se forme au métier d’illustrateur dans la "New York School of Illustrating". Il entre à la New York School of Art en 19004. Il y rencontre George Bellows, Guy Pène du Bois, Patrick Henry Bruce, Walter Pach, Rockwell Kent et Norman Raeben dont certains furent assimilés à l’"Ash Can School". Parmi ses professeurs, Robert Henri (1865-1929) lui enseigne à représenter des scènes réalistes de la vie urbaine. Edward Hopper, dont Pène a fait la rencontre alors qu’il était l’élève d’Henri, est devenu un ami de toujours. Tout au long de leur carrière, les deux hommes ont affiché leur préférence pour le réalisme à l’abstraction et aux autres influences modernistes et d’avant-garde. À la mort de Pène, Hopper a écrit: "C’était certainement le meilleur ami que j’avais dans l’art". Même si son nom a moins de résonance dans les annales de l’art américain que celui de Hopper, la contribution de Pène n’en est pas moins valable. Dans son autobiographie, "Artist in Manhattan", l’artiste américain Jerome Myers a également rappelé son étroite amitié avec Pène. Pène a également lui-même publié sa propre autobiographie en 1940, "Artists Say the Silliest Things".
"La peinture devra faire face de manière plus exhaustive et moins oblique à la vie et aux phénomènes de la nature avant qu’elle ne puisse pas retrouver toute sa grandeur. Eh bien, j’ai une méthode très simple de la peinture". Afin de compléter sa formation, Edward Hopper effectue trois séjours à Paris, entre 1906 et 19105. Il visite plusieurs pays d’Europe: les Pays-Bas (Amsterdam et Haarlem), le Royaume-Uni (Londres), l’Espagne (Madrid, Tolède), l’Allemagne (Berlin), la Slovaquie (Bratislava) et la Belgique (Bruxelles). Il se familiarise avec les œuvres des grands maîtres du vieux continent et produit une trentaine d’œuvres, essentiellement à Paris. C’est également dans cetteville qu’il côtoie d’autres jeunes artistes américains et s’intéresse à la photographie avec Eugène Atget. Il tombe sous le charme de la culture française et restera francophile tout au long de sa vie. Revenu aux États-Unis, il continue de lire des ouvrages en français et d’écrire dans cette langue. Il était capable de réciter du Verlaine. En 1908, Edward Hopper s’installe définitivement à New York où il travaille comme dessinateur publicitaire puis comme illustrateur, un métier qu’il n’apprécie pas. À cette époque, il ne peint que rarement, la plupart du temps en été. Il participe à plusieurs expositions collectives à New York. En 1908, à l’Harmonie Club et ensuite, en 1912, au Mac Dowell Club.L’année suivante, il vend sa première œuvre et s’établit dans un studio sur Washington Square dans le quartier de Greenwich Village. En 1915, il demande alors à son ami Martin Lewis de lui enseigner les techniques de l'estampe. Il réalise ses premières eaux-fortes cette année-là et se fait connaître par les critiques d’art dans une exposition au Mac Dowell Club. Mais c’est dans l’entre-deux-guerres qu’il commence à être vraiment reconnu, avec sa première exposition personnelle au Whitney Studio Club (1920). On cite sa grande taille, son côté dégingandé, un corps à la fois impressionnant et qui a du mal à trouver sa place dans l’espace. On conçoit donc bien qu’il ait pu facilement devenir, et pas uniquement en raison de ses thèmes picturaux (la Nouvelle-Angleterre), d’abord la figure du Yankee, puis celle du puritain. Les indices ne manquent pas: incapacité à peindre ailleurs que dans ses deux lieux fétiches, New York City et la Nouvelle-Angleterre, que ce soit le cap Cod ou le Maine, comme en témoigne son voyage en Californie en 1959 dont il ne ramène quasiment aucune œuvre. Et bien sûr la description de son existence frugale. Ce petit studio de Washington Square, les repas improvisés ou pris dans de petits restaurants de quartier sans prétention, sans oublier l’absence totale de dépenses d’agrément en dépit de son aisance financière.
Homme de loyauté et de constance dans un âge qui pourtant n’en faisait pas vertu, il est le contraire de cet américain avide de consommation, braillard et bruyant. En 1924, il se marie avec Josephine Verstille Nivison. Surnommée "Jo" par son époux, elle a suivi comme lui les cours de Robert Henri et elle est devenue peintre. En 1933, le couple achète une propriété au Cap Cod où il construit une maison, installe un atelier. Hopper fut malheureux avec elle, épouse tempétueuse, terre à terre, très jalouse, elle fut son unique modèle au corps toujours froid ("Morning Sun", 1952).
"Dans son sens le plus restreint, moderne, art semble se préoccuper uniquement avec les innovations techniques de l’époque". Hopper est d’abord un formaliste populaire, un peintre qui gardait un contact étroit avec la perception oculaire, sans pour autant développer un réalisme photographique strict, comme celui d’un Charles Sheeler par exemple, alors que la peinture se dirigeait alors vers l’abstraction d’une part mais aussi vers un expressionnisme symboliste dans des œuvres telles que celles de Frank Stella, Marsden Hartley, ou Charles Burchfield, ou vers le cubisme d’un Stuart Davis. Ces formes nouvelles remettaient ainsi en cause la littéralité du rapport au réel et la correspondance entre nos sens et le monde, ce qui n’est pas le cas de sa peinture dont la reconnaissance critique et publique s’est d’abord faite par ses aquarelles qui se vendirent très bien lors de leur première exposition chez son galeriste. On l’identifia donc d’abord comme peintre d’architecture américaine, au mieux participant à une manière d’inventaire patrimonial, au pire pratiquant la peinture décorative. Ses aquarelles figuratives ouvrent la voie à une peinture à l’huile qui l’est tout autant, mais qui se démarque à la fois des impressionnistes, ses maîtres, et des précisionnistes, ses collègues, en ce qu’elle adopte une figuration simplificatrice. Cette forme permet de lerapprocher du photographe Walker Evans, qui est exposé en même temps que lui au MoMA en 1933, et l’installe à la fois dans la veine nostalgique à travers la célébration du vernaculaire américain et dans la modernité ascétique du constat des formes pures, position lui permettant alors de faire le lien entre public savant et public populaire. Car la simplicité de sa peinture est évidemment l’une des grandes causes de l’engouement du public. La période moderniste de l’entre deux-guerres est en effet une réaction contre l’esthétique surchargée du baroque victorien, en particulier dans la décoration, mais au plan de la réception populaire il faut toujours lier décoration/arts décoratifs et beaux-arts, que tant Hopper qu’Evans avaient connu dans leurs jeunes années. Le génie de Hopper, sa chance, est d’avoir toujours su rester apolitique dans sa peinture, ou plus exactement ambigu et en marge des prises de positions qui ont caractérisé la plupart de ses confrères durant ses quelque quarante années de production, du milieu des années 1920 au milieu des années 1960, permettant ainsi à chacun de penser que Hopper était alors l’expression de sa propre vision du monde. En 1925, Edward Hopper achève sa célèbre "Maison au bord de la voie ferrée ("The House by the Railroad"), qui est considérée comme l’un de ses meilleurs tableaux. L’œuvre entre dans les collections du Museum of Modern Art dès 1930, grâce à un don d'un millionnaire. La même année, le Whitney Museum of American Art acquiert le tableau "Early Sunday Morning" pour une somme très importante.
"On reproche souvent la mélancolie des personnages de mes tableaux. Pensez-vous que la vie soit toujours un chemin de roses ?" Hopper adorait donc l'Amérique sans tendresse excessive. L'un de ces peuples trouve une grâce particulière à ses yeux: le peuple français. De ses séjours parisiens, Ed gardera toujours un amour pour la culture française, pour sa peinture bien sûr, au premier rang de laquelle figurent bien entendu Courbet, Degas et les impressionnistes, mais aussi pour sa littérature et sa poésie. Il récitait par cœur Verlaine et Rimbaud. Il lisait Mallarmé et Montaigne. Pourtant le même homme, en 1927, écrit: "L'art américain devrait être sevré de sa mère française". L'art américain, en 1927, qu'est-ce que c'est que ça ? C'est une idée obsédante. Elle obsédera vingt ans plus tard Robert Rauschenberg. Hopper rêve d'un art américain autonome, cessant d'être une pâle copie de l'art européen. À la modernité européenne, Picasso n'a qu'un an de moins que lui, il oppose, bien que nourrie par la peinture française, sa vision américaine. En 1934, dans une interview au magazine Time, il devient alors plus catégorique: "La spécificité américaine d'un peintre est innée, il n'a nullement besoin de la rechercher". Autrement dit. Il suffit de ne plus copier l'Europe, d'être soi-même, et le reste suivra. Reste à savoir en quoi consiste cette"spécificité américaine". Il ne faut pas la confondre avec le regard ironique que pose Hopper sur l'Amérique, cet univers "beckettien" où les êtres semblent attendre quelque chose qui n'arrivera jamais, le rêve américain ? Parlant de l'œil de son confrère John Sloan (1871-1951), très influencé par l'art français, Hopper emploie le mot "frais". Derrière le compliment s'entend un autre mot: naïf. L'art venant d'Amérique est entaché de naïveté, pense Hopper. Aussi décide-t-il, porté par sa passion pour le théâtre et son organisation visuelle, à New York, Jo et Ed voient toutes les pièces qui se montent, qu'elles soient classiques ou contemporaines comme celles d'Ibsen, aussi décide-t-il de jouer avec cette naïveté. En réalité, ce que construit Hopper, c’est une autre temporalité, qui n’est pas exactement réaliste comme le serait une photographie. Il crée plutôt un effet d’entre-deux: l’événement est ailleurs, soit hors champ, soit hors temps, de l’image, ce qui lui confère ainsi un pouvoir d’évocation considérable pour susciter d’autres œuvres mais aussi d’anticipation ou de peur, permettant que se fasse ainsi naturellement des liens avec les thrillers et le film noir. Cet "effet Hopper" passe en grande partie par un usage plus symboliste que réaliste de la lumière, particulièrement frappant dans les huiles. Inspiration et forte épuration esthétisante.
"Nos traits nationaux peuvent être si simplistes et étriqués qu'ils en paraissent puérils à des peuples plus subtils et plus raffinés". L'année 1933 est marquée par la première rétrospective de l’œuvre de Hopper au Museum of Modern Art de New York. En 1939, le peintre fait partie du jury du Carnegie Institute, avant d’être élu membre de l'Académie américaine des arts et des lettres en 1945. En 1952, il expose à la Biennale de Venise aux côtés de deux autres concitoyens. L’année suivante, il reçoit le titre de Doctor of Fine Arts de l’Art Institute of Chicago. Hopper meurt le quinze mai 1967, dans son atelier près de Washington Square, à New York. Sa femme, le peintre Josephine Nivison, qui meurt dix mois plus tard, lègue les œuvres de son mari au Whitney Museum of American Art avec les siennes propres lesquelles furent détruites ou perdues par le musée. D’autres œuvres importantes se trouvent au MoMA de New York et à l’Art Institute of Chicago. L’admiration publique de Hopper a une histoire réelle. Malgré une reconnaissance critique ancienne, ce n’est qu’avec le long développement des grandes expositions itinérantes à partir de 1980 et la publication, à partir de 1985, d’un nombre alors croissant de monographies ou d’ouvrages sur l’art américain lui faisant une large place, que le "Hopper mondialisé" tel que nous le connaissons aujourd’hui apparaît véritablement. De plus, si son œuvre est de mieux en mieux connue après sa mort (1967),et surtout celle de sa femme (1968) qui lègue la totalité de ses archives au Whitney, la très large majorité de cette reconnaissance publique porte sur un corpus assez limité d’œuvres, une trentaine ou quarantaine tout au plus sur un ensemble évalué à quelque huit cents en tout. Mais en matière d’iconicité, c’est bien sûr la rareté,ou la sélectivité qui en établit le statut. Cette reconnaissance se manifeste par une "consommation de Hopper" sous toutes ses formes, directes (posters, cartes, livres et expositions) ou indirectes: couvertures de livres et produits dérivés qui déclinent dans le quotidien l’engouement pour le peintre ou plus exactement l’atmosphèrequelques œuvre reproduites à l’envi. Si Hopper est devenu un produit mondialisé, l’Amérique en revanche se reconnaît bien en lui. Si la question nationaliste s'exprime, dans les années 1920 et 1930, à travers la tonalité raciale, le nationalisme ne cesse d’être invoqué à propos de Hopper. Ses modalités sont suffisamment connues: la nostalgie de l’Amérique passée et la transfiguration du quotidien, ce que dès 1924, un critique nomme "la vitalité du banal" et de l’autre le "motif national". Il s’agit donc d’un regard généreux et poétique sur une certaine laideur du quotidien que Hopper rachète et transcende en y insufflant poésie et beauté. Comme le fera alors le post-moderne, il transfigure la banalité en valeur à travers une exaltation du commun qui n’est pourtant jamais que celle qu’avait inventé le père du modernisme, Marcel Duchamp. Mais il s’agit aussi bien plus que d’uneopération purement esthétique, voire d’esthétisation. Il exalte une qualité morale, celle de faire face à la vérité.
"Je crois que les grands peintres avec leur intellect comme maître ont tenté de transformer cette peinture et toile en un compte rendu de leurs émotions". Quand le pinceau travaille sans modelé, sans transparence, sans glacis, tout son art repose alors sur le choix des couleurs préparées sur la palette, ou directement sorties du tube. Or, Hopper sait les juxtaposer comme personne pour rendre la lumière qui frappe de biais le cadre des fenêtres et le flanc des maisons. C’est parce qu’elles jouxtent les teintes franchement bleutées des surfaces d’ombres, que les surfaces jaunasses de la pierre ou des stores n’ont soudain plus rien de laborieux. Car ce n’est plus le rendu de la matière qui compte désormais, mais l’incroyable présence des fiers bâtiments que la lumière a frappés à telle heure de la journée, bâtiments plus fiers encore que cette superbe "Veronika Lake" aux cheveux roux et à la robe transparente. C'est d'abord une affaire de composition où le peintre excelle: donner l'illusion de la simplicité. Rien de plus évident que la femme lisant dans le compartiment vert, et l'exactitude du titre, "Compartiment C, voiture 293", semble le confirmer. Or, dans la réalité, la voiture 293 n'existe pas, pas plus que n'existent le vert, ce compartiment, le paysage crépusculaire et la lumière. D'ailleurs, cette lumière, d'où vient-elle ? La lampe est éteinte. Les ombres suggèrent qu'elle provient du couloir, mais comment le couloir d'un train à la tombée de la nuit peut-il projeter sur une femme une lumière solaire d'une telle crudité ? Voilà donc l'étrangeté posée. Quelque chose d'artistiquement impur vient troubler ce qu'un regard hâtif prendrait pour du classicisme, mais classique, Hopper l'est aussi par ses dessins préparatoires, ses esquisses, ses études de mouvement, sa touche. Une lumière merveilleuse inonde le compartiment alors que le paysage fantomatique, avec sa route "blafarde" sous un pont "blanchâtre" semble être un mauvais présage. Où va cette femme, vers le bonheur ou le malheur ? Quelle est la nature du calme absolu régnant sur les magnifiques paysages désertés, "Collines au sud de Truro" ? Où est-on dans un tableau de Hopper. Dans une comédie ou une tragédie ? Ainsi se définit la "spécificité américaine", par l'ambiguïté et le décalage, ce que l'on retrouvera chez Rothko (abstraction ou paysage ?), Rauschenberg (sculpture ou peinture ?) ou, récemment, Christopher Wools (peinture, photographie ou imprimerie ?). Hopper en est le précurseur. "Plus de moi-même en sort quand j’improvise". "Je suis probablement un solitaire", disait-il. Et probablement l'inventeur de l'art américain.
Bibliographie et références:
- Avis Berman, "Edward Hopper's New York"
- Gail Levin, "Edward Hopper, the art and the artist"
- Virginia M. Mecklenburg, "Edward Hopper"
- Heinz Liexbrock, "Edward Hopper, quarante chefs-d’œuvre"
- Jean-Paul Hameury, "Edward Hopper"
- Karin Müller, "Lever de rideau sur Edward Hopper"
- Philippe Besson, "L'arrière-saison chez Hopper"
- Rosalind Ormiston, "Edward Hopper"
- Thierry Grillet, "Edward Hopper"
- Rolf Günter Renner, "Edward Hopper"
- Cécile Martet, "Edward Hopper en dix œuvres"
- Guillemette de Préval, "L’énigmatique Edward Hopper"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je ne suis pas fan de sports à la télé. A vrai dire ça ne m’intéresse pas du tout sauf .. Le handball
Souvenir de ma jeunesse, de mon adolescence, dès qu’il y a un championnat je suis une spectatrice attentive voire active !
Le handball ce sont des individus et une équipe. Ce sont des ailiers, arrières, pivots, c’est surtout et avant tout un groupe
Dans le sport collectif, il y a une osmose, des êtres qui vont vers le même objectif ensemble. Cela nécessite d’être complices, solidaires, à l’écoute de soi et de son équipe. C’est à la fois s’épanouir seul et avec d’autres.
Certes, ce n’est pas facile tous les jours. Parfois, on se risque à mal interpréter les gestes de l’autre, mal recevoir, mal viser quand on donne. On est susceptible d’être fatigué, découragé, blessé... on se met à l’épreuve, on n’est pas toujours au meilleur de sa forme.
Certaines qualités sont primordiales : donner sans compter, savoir recevoir, jouer ensemble tout en se faisant plaisir. C’est aussi pardonner un moment de panique, un geste maladroit, un instant d’inattention., reconnaitre ses erreurs. Y croire, y mettre son énergie, soudés devant l’adversité. Ensemble que la faiblesse de l’un soit la force de l’autre, l’équilibre.
Pourtant l’alchimie est là : au-delà du regard et de la voix, réagir aux mouvements, aux hésitations, au langage non verbal de son partenaire, entrer dans sa bulle pour mieux le connaitre, le laisser en silence ou concentré parfois, rassurer et encourager, féliciter l’autre, se toucher, se congratuler
Le principal plus que de gagner est de bien jouer ensemble, d’en être heureux, de se refaire la partie en riant,...
Le championnat d’Europe vient de se finit ce soir. Après les femmes et quelles femmes ! les hommes viennent de finir sur le podium. Durant ces matchs, j’ai ri, crié, hurlé, j’ai été excitée, impatiente, tremblante, j’ai pleuré de peur et de joie ; ... et c’est bon, c’est bon de vivre ces instants, de sentir la puissance d’une équipe, d’un lien et de me faire encore vibrer
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Nous nous sommes rencontrés sur un site BDSM,nos échanges d'idées et de désirs ont débuté. Nous avons ensuite décidé de développer nos scénarios et envies à travers des conversations enflammées sur WhatsApp.
Chaque message était une nouvelle étape dans notre exploration mutuelle, une plongée audacieuse dans les profondeurs de nos fantasmes.
Nos voix se sont découvertes lors de nos premiers échanges téléphoniques, et bien que le ton de notre discours verbal soit moins enflammé que celui de nos échanges écrits, nos désirs étaient toujours palpables.
Les mots prononcés à voix haute étaient teintés de promesses et de désirs.
Après des semaines d'échanges intenses, nous avons décidé de nous rencontrer autour d'un verre
Nous avons choisi un lieu discret, propice à l'exploration de nos pulsions les plus profondes.
Nous nous sommes salués avec une complicité évidente, conscients de l'intensité de nos échanges en ligne.
Je vous ai appelé Madame, et vous m'avez appelée Pat, respectant les rôles que nous avions définis lors de nos échanges.
Le désir brûlait dans nos regards, et nos sourires en disaient long sur nos intentions.
Pendant cette rencontre, vous avez pris doucement votre place de dominante, et j'ai savouré chaque moment.
Nos conversations étaient ponctuées de regards intenses,de gestes suggestifs et nos mots évoquaient les actes les plus audacieux que nous avions imaginés.
Mais,comme toutes les bonnes choses,notre rencontre touchait à sa fin. L'heure de nous quitter approchait.
j'ai voulu vous embrasser tendrement sur la joue. Cependant, vous avez tourné votre visage et nos lèvres se sont rencontrées dans un baiser passionné.
Votre morsure douce mais déterminée sur ma lèvre a renforcé l'intensité de notre connexion,confirmant mon engagement en tant que futur soumis à vos désirs.
Nous avons continué à échanger des textes et des photos perfectionnant notre futur rendez-vous dans les moindres détails.
Chaque message était une promesse de plaisir et d'excitation alimentant notre anticipation pour notre prochaine rencontre.
Et ainsi,le jour tant attendu est arrivé.
Nos corps frémissants, nos esprits embrasés, nous nous sommes retrouvés
Dès mon arrivée,vous m'accueillez avec un regard brillant d'une lueur dominatrice. D'un geste impérieux,vous me guidez vers un espace que vous avez préparé pour notre rituel de soumission.
Sans un mot vous commencez à déboutonner lentement ma chemise,vos doigts glissant avec une précision calculée. Chaque pression légère de vos doigts sur ma peau fait naître en moi un mélange d'excitation et d'appréhension.
Une fois ma chemise retirée que vous laissez tomber négligemment au sol,votre regard se fixe sur mon torse dénudé.
Vos mains expertes continuent à m'explorer,dégrafant ma ceinture et ouvrant lentement mon pantalon.
Puis tirez délicatement dessus le faisant glisser lentement le long de mes jambes jusqu'à ce qu'il repose en un amas de tissu à mes pieds.
Je me retrouve alors en sous-vêtements,exposé devant vous,ma vulnérabilité grandissante à chaque instant.
Vos yeux scrutent chaque centimètre de ma peau, parcourant chaque détail avec une attention obsessionnelle.
Votre regard s'attarde,vous approchez votre visage près de mon cou,laissant vos lèvres effleurer ma peau,me faisant frissonner d'anticipation.
D'une main ferme vous caressez mon torse,vos doigts dansant sur ma peau avec une précision hypnotique.
Vous explorez chaque courbe,chaque creux,comme si vous cherchiez à graver mon image dans votre esprit.
Votre toucher est à la fois doux et possessif,éveillant en moi un mélange de désir et de vulnérabilité.
Descendant ensuite lentement vers mon bas-ventre,vos doigts traçant des cercles sur ma peau, provoquant des frissons le long de ma colonne vertébrale.
Votre main glisse plus bas,atteignant l'élastique de mon sous-vêtement.Vous tirez dessus avec une lenteur calculée révélant peu à peu dans toute ma nudité.
Vos yeux fixés sur mon intimité dévoilée,vous ne laissez rien échapper à votre inspection.
Vous observez chaque détail captant la moindre réaction de mon corps sous votre regard intense.
Je me sens complètement exposé, vulnérable à vos yeux avides d'exploration.
Satisfaite de votre inspection,vous vous reculez légèrement un sourire étirant vos lèvres. Vous avez complètement pris possession de mon corps,l'ayant exploré en détails.
Les moments ardents que nous partageons renforcent notre connexion et dévoilent la dynamique de votre domination.
Vous me guidez nu vers la salle de bain,votre main fermement posée sur mon épaule. Chaque pas que nous faisons renforce votre contrôle sur moi,ma soumission grandit.
Vous allumez l'eau chaude,créant une atmosphère de chaleur et de vapeur.
D'une voix ferme et dominante, vous me commandez de me placer sous le jet d'eau,m'ordonnant de me tenir droit et les bras le long du corps.
Je me sens vulnérable et exposé,conscient que vous avez le plein contrôle sur moi et que vous allez me laver selon vos désirs.
Une fois terminé vous me guidez hors de la douche d'un geste ferme et déterminé m'enveloppant dans une serviette douce et moelleuse.
Vous ne laissez aucun centimètre de mon corps humide échapper à votre attention. Votre regard intense fixé sur moi, vous prenez le temps de sécher chaque parcelle de ma peau,
vos mains fermes glissant avec une précision calculée,chaque contact de la serviette sur ma peau est empreint de votre fermeté
Séché, je me tiens là,exposé et vulnérable.Je suis pleinement conscient de ma place,entièrement à votre disposition.
Mon corps nu étant un symbole tangible de votre contrôle absolu.
Vous me prenez par la main et m'emmenez dans la salle à manger,chaque mouvement étant empreint de votre autorité dominatrice.
Lorsque nous arrivons,vous m'ordonnez de me tenir au centre de la pièce les jambes légèrement écartées,une position qui me rappelle ma vulnérabilité à votre égard. D'un geste autoritaire,
vous sortez de votre poche une cage de chastet un symbole puissant de mon entière dépendance à votre contrôle.
Avec une lenteur calculée, vous en ajustez la taille pour qu'elle s'adapte parfaitement à mon sexe,une manipulation qui ne fait qu'accentuer mon excitation grandissante.
Je vous observe attentivement captivé par chaque mouvement de votre main ferme, conscient que chaque clic de la cage se refermant est un rappel cinglant de ma soumission complète et de mon incapacité à jouir sans votre permission.
Je suis maintenant prêt à me soumettre pleinement à vos désirs les plus profonds, à me perdre dans l'abîme de votre contrôle,à trouver une satisfaction totale dans mon abandon à votre pouvoir.
Une fois la cage verrouillée, vous placez les clés dans une petite boîte,scellant ainsi mon sort et symbolisant votre contrôle absolu sur mon plaisir.
Un sourire satisfait se dessine sur votre visage
Vous savez que je suis désormais à votre merci,incapable de me libérer de cette cage sans votre consentement.
Je réalise avec une pointe d'excitation mêlée à une légère appréhension que je devrai attendre votre permission pour être libéré.Chaque instant passé avec cette cage resserrera les liens de ma soumission.
Votre regard pénétrant me fixe, m'envoyant des ondes d'obéissance et de soumission.Je ressens une grande excitation mêlée à une vulnérabilité palpable,conscient que je suis entièrement à votre merci et prêt à vous obéir aveuglément.
Je suis prêt à me perdre complètement dans l'abîme de votre contrôle et me laisser guider par votre volonté incontestable.
Vous me surprenez en me passant un gode ceinture par-dessus ma cage, créant ainsi une double sensation de restriction et de stimulation.
Je ressens la pression de la cage qui emprisonne mon sexe,tandis que le gode ceinture se presse contre moi rappelant ma totale dépendance à votre contrôle.
Vous m'attachez ensuite fermement sur une chaise ne me laissant aucune chance de mouvement ou de libération.Mes poignets sont liés par des cordes solides m'immobilisant complètement.
Mes jambes sont également attachées, mes chevilles maintenues par des sangles serrées.
Je me retrouve complètement captif, incapable de résister.
La chaise devient mon univers restreint, où je suis à votre merci.
La cage de chasteté et le gode ceinture sont des rappels constants de ma soumission totale et de mon incapacité à ressentir du plaisir sans votre autorisation.
Dans cet état d'immobilité forcée je suis à votre entière disposition, prêt à subir toutes les sensations et expériences que vous choisirez de m'infliger.
Mon corps immobilisé devient un terrain de jeu, un moyen de vous exprimer pleinement.
Vous prenez le temps d'admirer votre œuvre, Votre sourire satisfait témoigne de votre plaisir intense à me voir ainsi,complètement à votre merci.
Vous savourez l'idée de pouvoir contrôler mes sensations et mon plaisir.
D'un geste lent et provocateur, vous commencez à vous dévêtir, faisant tomber chaque vêtement avec une sensualité délibérée.
Chaque pièce de tissu qui quitte votre corps dévoile un peu plus de votre peau douce et désirable.
Votre silhouette se dessine progressivement devant moi, révélant chaque courbe, chaque ligne sculptée à la perfection.
Mes yeux sont captivés par votre beauté envoûtante, chaque détail de votre corps éveillant en moi un désir intense et une excitation grandissante.
Devetue a votre tour gardant une nuisette à demi transparente caressant délicatement votre peau.Le tissu léger met en valeur vos formes, accentuant la promesse de plaisirs à venir.
Chaque mouvement que vous faites est empreint de grâce, un véritable ballet sensuel qui enflamme mes sens.
Votre assurance et votre puissance rayonnent à chaque instant me rappelant à quel point je suis à votre merci.
Alors que vous vous approchez de moi,votre parfum envoûtant m'envahit créant une atmosphère enivrante.
Je sens mon cœur s'emballer,l'anticipation et l'excitation faisant monter en moi une vague de désir.
Chaque pas que vous faites est calculé pour intensifier cette tension électrique entre nous,renforçant le contraste entre ma captivité et votre liberté.
Votre regard brûlant se pose sur moi, me transperçant de désir et de domination.
Je me sens nu, non seulement physiquement mais aussi émotionnellement,exposé à votre regard impérieux.
Chaque fibre de mon être est consciente de votre puissance qui émane,une puissance qui me submerge et me consume.
Votre corps dévoilé et votre présence magnétique s'affirmant, c'est une véritable torture délicieuse pour moi.
Je suis captivé par votre charisme, votre domination évidente, et je me perds dans le tourbillon de sensations qui m'envahit.
Dans une ambiance brûlante et chargée d'érotisme, vous vous approchez de moi avec une assurance déconcertante.
D'un mouvement gracieux, vous vous asseyez délicatement sur mes genoux, positionnant votre corps face au mien.
Je sens votre présence dominante s'imposer sur moi,votre souveraineté évidente qui éveille en moi une combinaison enivrante d'excitation et de frustration.
Votre regard intense se verrouillé sur le mien capturant mon attention et mon désir.Un sourire malicieux se dessine sur vos lèvres, révélant votre plaisir à me voir dans cet état de vulnérabilité totale.
Chaque expression de votre visage affirme votre contrôle absolu sur moi, renforçant encore davantage l'emprise que vous avez sur mes sensations et mes émotions.
Le gode ceinture en place symbole de votre pouvoir et de votre désir de me dominer accentue mon excitation déjà à son comble.
Je sens sa présence,cette promesse de plaisir et de soumission qui fait battre mon cœur plus rapidement.
Chaque mouvement de votre corps, chaque pression de vos hanches contre les miennes, me rappelle ma place,celle d'un soumis prêt à se plier à vos désirs les plus profonds.
La chaleur de nos corps en contact dégage une sensualité qui parcourt chacune de mes fibres.
Je peux sentir la pression du gode ceinture contre moi, une sensation à la fois délicieuse et frustrante, qui renforce mon désir.
Chaque mouvement que vous faites sur mes genoux est calculé pour intensifier cette tension érotique entre nous, un jeu de pouvoir qui fait monter en moi une excitation inébranlable.
Dans une ambiance sensuelle et intense, vous commencez à me pinçer les seins avec une fermeté délibérée. Chaque pincement fait monter en moi un mélange exquis de douleur et d'ardeur.
Chaque pincement est comme une délicieuse torture, créant une symphonie de sensations contradictoires qui se mélangent dans mon esprit.
La douleur mordante se transforme peu à peu en un plaisir presque insupportable qui fait naître en moi une excitation inébranlable.
Je me retrouve pris entre deux feux,dévoré par le désir et celui me soumettre à vos volontés.
Vous continuez à me pincer les seins avec une précision calculée, variant l'intensité et la localisation des pincements pour explorer mes limites et me pousser toujours plus loin.
Chaque contact entre vos doigts experts et ma peau sensible provoque une réaction en chaîne de plaisir et de douleur m'amenant à un état de vulnérabilité extrême.
Vous jouez avec cette dualité de sensations, alternant entre des pincements plus doux qui font naître un frisson délicieux et des pincements plus fermes qui provoquent une douleur exquise,une souffrance plaisante.
Vous exploitez ma vulnérabilité, me rappelant à chaque instant que je suis complètement soumis à votre volonté et incapable de bouger, enchaîné par les cordes de notre jeu de domination.
Mon corps réagit avec une ardeur indomptable à chaque pincement, chaque pression que vous exercez sur mes tétons. Chaque sensation intense que vous me procurez est un rappel puissant de mon statut.
Mes seins deviennent un terrain de jeu où vous explorez chaque recoin, où vous mêlez habilement douleur et plaisir.
Dans une atmosphère chargée de désir et de domination,vous vous relevez légèrement de mes genoux pour vous y reposé delicatement laissant glisser votre corps sur le gode ceinture que vous m'avez soigneusement enfilé auparavant.
Chaque centimètre de votre peau effleure le jouet, créant une friction délicieusement provocante. Je suis captivé par cette vue captivante,
incapable de participer activement à cette expérience en raison de mes liens et de ma cage de chasteté.Je suis réduit à un observateur impuissant.
Votre silhouette se profile devant moi,votre corps se mouvant avec une grâce sensuelle et une confiance inébranlable.
Le gode ceinture symbole de votre pouvoir et de votre domination devient le prolongement de mon être,renforçant l'intensité de cette scène.
Je sens mon excitation monter,tandis que je vous observe mon corps enchaîné et ma virilité emprisonnée dans une cage de chasteté.
Mes yeux sont rivés sur vous absorbant chaque mouvement,chaque expression de plaisir qui se dessine sur votre visage.
Chaque va-et-vient de vos hanches sur le gode ceinture est une démonstration de votre pouvoir absolu sur moi, une démonstration de votre capacité à vous donner du plaisir sans que je puisse participer activement.
La frustration mêlée au désir consume mon esprit, alimentant le feu brûlant qui couve en moi.
Je suis témoin de cette expérience érotique avec une intensité presque insupportable.
Vous contrôlez mon plaisir, vous le dirigez et le modulez à votre guise.
Mon corps est en éveil,chacune de vos caresses,de vos mouvements est ressentie avec une intensité exacerbée.
Mes sens sont en alerte, captant le moindre frisson,la moindre expression de plaisir qui se dégage de vous.
Je me sens à la fois excité et frustré désirant ardemment participer activement à ce jeu de plaisir,mais suis réduit à un simple spectateur de votre domination.
Chaque seconde qui s'écoule est une torture délicieuse, une démonstration de votre pouvoir à vous procurer du plaisir sans que je puisse y participer activement.
Mon esprit est embrasé par le désir, la frustration et l'excitation qui se mêlent en une symphonie enivrante.
Vous vous délectez de cette expérience,les va-et-vient de vos hanches s'intensifient,votre rythme s'accélère traduisant votre désir de plus en plus ardent.
Vous vous penchez vers moi, vos lèvres se mêlant aux miennes dans des baisers à la fois tendres et passionnés.
C'est un mélange enivrant de douceur trompeuse et d'ardeur brûlante qui évoque toute l'intensité de notre connexion.
Pendant que nos lèvres s'entrelacent, vous ne manquez pas de continuer à jouer avec mes tétons, les pinçant,les caressant,les mordillant avec une combinaison exquise de douceur et d'ardeur.
Chaque contact de vos mains expertes sur ma peau sensible enflamme mes sens.
Je suis transporté par cette étreinte sensuelle,captivé par chaque sensation qui se propage dans mon corps,mais en même temps je suis frustré par mon incapacité à vous toucher pleinement,à vous donner le même plaisir que vous m'offrez.
Je suis à votre merci incapable de bouger ou de contrôler le rythme effréné de notre étreinte.
Chaque mouvement de vos hanches est une démonstration de votre pouvoir,de votre capacité à me dominer pleinement.
Je suis pris dans un étau de plaisir complètement englouti par la force de vos va-et-vient.
Le gode ceinture que je porte est le symbole de votre domination absolue sur moi.
Je suis attaché sur le siège,ma virilité enfermée dans une cage de chasteté me laissant à votre merci incapable de participer activement à cette expérience.
Mes yeux ne peuvent s'empêcher de fixer votre silhouette gracieuse alors que vous vous mouvez avec une ardeur grandissante.
Chaque va-et-vient de vos hanches témoignant de votre excitation croissante.
Je suis témoin de votre plaisir captivé par la vision de votre corps s'offrant avec détermination et passion.
Mes sens s'enflamment alors que je vous observe impuissant et attaché. Chaque mouvement de vos hanches,chaque gémissement de satisfaction qui s'échappe de vos lèvres renforce ma frustration et alimente mon propre désir.
Votre excitation grandissante se manifeste dans des mouvements de plus en plus rapides et profonds.
Je ressens chaque poussée du gode ceinture,chaque mouvement vibrant à travers mon corps attaché.
Mes sens sont en émoi,mes nerfs à vif alors que je suis emporté par le spectacle envoûtant de votre extase.
Je peux voir l'excitation briller dans vos yeux, vos mouvements devenant plus frénétiques,chaque contraction de votre corps alimentant mon propre désir et ma frustration.
Je suis spectateur silencieux de cette expérience ressentant chaque vague de plaisir qui vous traverse.
Dans cet instant d'étreinte passionnée je suis témoin de votre puissance et de votre contrôle absolu.
Mes yeux se délectent de chaque mouvement,chaque expression de plaisir qui traverse votre visage.
Je suis à la fois honoré et tourmenté d'être le témoin privilégié de votre plaisir.
Je suis subjugué par la vision de votre extase capturant chaque détail de ce moment intense et inoubliable.
Vos ongles effleurent ma peau avec une légère pression créant une symphonie sensuelle de plaisir et de douleur.
Chaque caresse, chaque griffe parcourant mon corps font naître une sensation délicieusement contradictoire.
Vos doigts continuent leur exploration s'aventurant vers mes épaules.
Chaque caresse,chaque pression légère sème le feu de l'excitation dans mon corps éveillant mes sens d'une manière enivrante.
Je me perds dans cette danse sensuelle abandonnant tout contrôle désirant chaque contact de vos doigts, chaque sensation qui parcourt mon corps.
Vous êtes la maîtresse de mes sens,la créatrise de mes extases les plus profondes.
Je me laisse emporter par cette symphonie sensuelle savourant chaque caresse,chaque griffe,chaque frisson qui fait vibrer mon être tout entier.
Chaque mouvement de vos hanches,chaque pénétration profonde rythmés de vos va-et-vient sur ce gode font monter en moi une multitude de sensations extrêmes,je suis captivé par la vision de votre corps en mouvement.
Les sensations oscillent entre une profonde satisfaction et une envie toujours plus grande de vous sentir en moi.
Je peux sentir chaque centimètre du gode ceinture de vos mouvements de plus en plus rapident écho de votre excitation grandissante alimentant ma propre montée de plaisir.
Chaque va-et-vient font naître des gémissements de plaisir et de désir qui s'échappent vos lèvres.
La tension sexuelle dans la pièce est palpable,le spectacle de votre excitation grandissante,de votre plaisir qui se dessine sur votre visage ajoute une dimension supplémentaire à cette expérience enivrante.
Votre satisfaction est contagieuse alimentant encore davantage mon propre désir.
Je me sens comblé par la sensation de vous voir prendre du plaisir, même si je suis limité à être le récepteur de vos mouvements passionnés.
Je me laisse emporter par cette danse passionnée me perdant dans les vagues de plaisir qui me submergent.
Je suis spectateur de cette expérience ardente ressentant chaque pulsation de plaisir qui vous traverse.
Dans cet instant nous sommes tous les deux transportés vers un état de béatitude sexuelle.
Les frontières entre le plaisir et la douleur s'estompent laissant place à une extase pure et inaltérée.
Nous sommes enveloppés dans un cocon de passion,de désir où le temps s'arrête et où seul compte le lien profond qui nous unit.
Je suis comblé par cette connexion unique, par cet échange de pouvoir.
Puis vous decidez de vous rélevez avec grâce de mes genoux,votre corps enveloppé dans cette nuisette séduisante accentue votre allure captivante.
Votre démarche est empreinte d'une confiance inébranlable alors que vous vous éloignez légèrement pour préparer la prochaine étape de notre jeu sensuel.
Vous revenez vers moi tenant entre vos doigts délicats des pinces à seins.
Votre regard brûlant de désir transmettant une promesse de plaisir intense.
Avec une précision calculée vous fixez fermement les pinces sur mes tétons variant la pression et l'intensité pour me procurer un mélange exquis de plaisir et de sensations douloureuses.
Chaque mouvement que vous faites est délibéré,chaque caresse est pensée pour me faire perdre le contrôle dans un tourbillon de sensations enivrantes.
Vous êtes maîtresse de l'art de la stimulation, sachant comment explorer les limites de mon plaisir et de ma douleur avec une adresse remarquable.
Vous observez attentivement mes réactions, lisant chaque frisson, chaque gémissement de plaisir mêlé de douleur.
Votre satisfaction est palpable,votre plaisir décuplé par l'effet que vous avez sur moi.
Vous êtes à la fois dominatrice et artiste, créant une symphonie de sensations qui me transporte.
Chaque instant est un mélange exquis de douleur,de jouissance,d'excitation et de désir.
Vous me poussez au bord de l'abîme, jouant avec mes limites me faisant ressentir des émotions intenses et contradictoires.
Malgré la douleur qui se mêle au plaisir, je ne peux nier que le fait de m'offrir cette expérience vous procure également une satisfaction profonde.
Votre visage s'illumine d'un sourire de plaisir, vos yeux pétillent d'une lueur de jouissance.
Vous appréciez le pouvoir que vous exercez sur moi,le contrôle absolu que vous avez sur mon plaisir et ma douleur.
Chaque caresse calculée,chaque sensation délibérée renforce notre lien et alimente le feu ardent qui brûle entre nous.
Puis vous décidez de me détacher des cordes qui me maintiennent solidement attaché au siège.
Avec une aisance déconcertante vous défaites les nœuds qui maintenaient mes poignets et mes chevilles captives.
Chaque mouvement de vos mains expertes est précis et calculé démontrant votre contrôle absolu sur la situation.
Une fois libéré, je me retrouve à vos pieds, à votre merci.
Vous me fixez d'un regard dominateur,votre autorité incontestable.
Vous décidez du déroulement de notre jeu,de ce qui va se passer ensuite.
Je suis prêt à me soumettre à vos moindres désirs,à me plier à vos volontés
vous approchez votre corps du mien créant une proximité troublante,vos mains se promènent sur ma peau effleurant chaque parcelle de mon être.
Votre voix résonne dans la pièce, commandant mon obéissance, dictant les règles.
Vous me guidez avec autorité, me disant comment vous voulez que je me comporte, comment vous voulez que je vous serve.
Je suis prêt à me donner entièrement à vous,à répondre à vos moindres exigences.
Dans cet instant, je suis votre jouet, votre objet de plaisir.
Vous décidez de mon sort,de la façon dont vous allez me ravir et m'emmener au-delà de mes limites.
Je suis prêt à vous suivre dans les recoins les plus sombres de notre exploration,à me perdre dans l'abîme de votre domination.
Alors que vous me regardez avec un sourire satisfait,je sais que notre voyage dans le monde de la domination ne fait que commencer,
je suis à la fois effrayé et excité de découvrir jusqu'où vous êtes prête à me mener.
Vous me guidez à m'allonger sur le dos.
Votre regard dominant fixe le mien, transmettant une excitation électrisante.
Vous retirez lentement la cage de chasteté qui emprisonnait mon plaisir libérant mes sens et réveillant une anticipation palpitante.
Avec une confiance calculée vous m'écartez les jambes, révélant ma vulnérabilité totale.
Une vague d'excitation parcourt mon corps alors que je me prépare à succomber à vos désirs et à votre contrôle absolu.
Dans cet instant vous saisissez une corde fine, prête à explorer de nouveaux horizons de plaisir et l'enroulez autour de mon sexe créant une sensation à la fois sensuelle et stimulante.
Chaque contact enflamme ma peau mes sens, m'invitant à me perdre dans cette danse sensuelle.
Vous prenez votre temps pour y attacher mes testicules comme si vous vouliez les désolidariser.
Chaque nœud que vous faites est précis et calculé créant une tension délicieuse sur mes bourses tendues.
Les cordes serrant mes testicules, les laissant bien en évidence à votre vue.
Je suis totalement exposé à votre merci,ce qui amplifie mon excitation et mon sentiment de vulnérabilité.
Vous prenez plaisir à observer votre œuvre, votre regard dominant fixé sur ma réaction,tandis que je suis à la fois captivé et ému par cette sensation.
Les sensations intenses se mêlent à un mélange de plaisir créant une expérience érotique qui transcende les limites conventionnelles.
Dans un moment intensément érotique, vous me laissez dans cette position vulnérable,mes testicules attachés et exposés à votre vue.
Vous vous munissez d'une bougie, allumant la mèche avec une lenteur délibérée.
La flamme danse devant vous éclairant votre visage d'une lueur sensuelle.
Vous savourez l'instant,prenant le temps de créer une tension palpable.
La cire chaude de la bougie commence à fondre goutte après goutte, les laissant tomber avec soin sur mon corps en choisissant délibérément les endroits où la sensation sera la plus intense.
Chaque goutte qui touche ma peau fait naître une brûlure délicieuse, une combinaison exquise de plaisir et de douleur.
Mon corps réagit avec une intensité croissante se délectant de l'érotisme de cette expérience.
Je suis complètement à votre merci et cette sensation de soumission m'envahit mélangeant l'excitation dans une danse captivante.
Vous observez attentivement mes réactions, cherchant à lire les signes de plaisir et de consentement dans mes yeux.
Chaque goutte de cire versée est un acte de contrôle, une exploration de mes limites et de ma confiance en vous.
Vous savourez chaque instant, consciente de l'effet hypnotique que cela a sur moi.
Chaque détail est soigneusement orchestré pour créer une expérience intense et captivante
Le mélange de la chaleur et de l'inconfort me fait gémir de plaisir, tandis que vous savourez l'image de votre satisfaction.
Vous continuez à verser la cire, alternant entre douceur et intensité explorant les limites de mon plaisir.
Vous m'observez, attentivement, cherchant à me pousser toujours plus loin dans cette extase torride.
Alors que la cire continue de couler mêlant plaisir et douleur, vous me murmurez à l'oreille que je suis à votre merci, que je suis complètement à votre disposition.
Vous prenez plaisir à voir mon abandon total à vos désirs.
Et dans un mouvement de commandement vous me demandez de me mettre à quatre pattes, assumant ainsi une position de soumission,je m'exécute, sentant l'excitation monter en moi.
La posture à quatre pattes accentue mon sentiment de vulnérabilité
Dans cette position, je suis à votre entière disposition.
Vous saisissez un fouet et avec une douceur calculée,vous laissez glisser les lanières du fouet sur mon dos, effleurant ma peau d'une manière créant une sensation de caresse sensuelle.
Chaque mouvement est pensé, chaque contact est soigneusement orchestré pour faire naître en moi une anticipation palpitante
Les lanières se promènent avec une grâce sinistre sur mes fesses et mes jambes, faisant frissonner tout mon être.
Je peux sentir le contact délicat de chaque lanière, éveillant mes sens les plus profonds.
Et puis, sans le moindre avertissement, vous faites claquer le fouet sur mes fesses
Encore et encore,les coups alternent entre douceur et intensité, créant une symphonie de sensations.
Les lanières frappent ma peau avec précision, trouvant leur cible à chaque fois.
Une douleur délicieusement mêlée à une onde de plaisir se propage dans mon corps,m'enveloppant dans une extase indescriptible.
Mes fesses,commencent à rougir sous l'impact, les marques de votre domination se dessinant sur ma peau.
Chaque coup du fouet résonne dans l'air créant une atmosphère électrique chargée d'excitation et de désir.Je me retrouves pris au piège entre la douleur et le plaisir dans un état de vulnérabilité totale.
Mon esprit est submergé par cette expérience, mes sens sont en ébullition.
Chaque coup de fouet me pousse plus loin dans les abysses de la soumission, m'abandonnant un peu plus encore.
Vous êtes là, observant avec un sourire les marques de votre oeuvre se dessiner sur ma peau.
Chaque coup est une preuve tangible de votre supériorité et de mon assujettissement.
Vous savourez cette scène,vous enivrant de mon désarroi et de mon plaisir mêlés.
Une fois votre fouet posé,vous me demandez de rester bien cambré offrant ainsi une cible parfaite.
Vous approchant de moi avec une lueur dans les yeux, prête à poursuivre cette exploration.
D'un geste ferme, vous prenez position derrière moi, capturant mon corps dans vos mains en laissant une posée sur ma fesse.
Puis, sans prévenir, vous la soulèvez,la laissant retomber avec force sur ma peau déjà rougie.
Les claques résonnent dans la pièce créant une symphonie de douleur et de plaisir vous assurant de marquer chaque centimètre accentuant la rougeur déjà présente.
Vos mains dominantes frappent avec une précision calculée, alternant entre des gifles douces et des claques plus intenses.
Ma peau réagit à chaque impact, vibrant sous la sensation de vos mains possessives.
La douleur se mêle au plaisir créant une danse délicieuse ou je ne peux m'empêcher de gémir sous l'intensité de chaque coup, sentant mon corps se soumettre davantage à votre volonté.
Vous savourez chaqu'une de mes réactions, chaque marque rouge qui se dessine sur ma peau.
Voir mon désir se mêlant à la douleur vous ne pouvez vous empêcher d'être excité par cette vision.
La vue de mes fesses rougissantes sous vos coups, de mon corps cambré offert à votre volonté, est un spectacle qui enflamme vos sens
Lorsque vous me voyez cambrer davantage, offrant mon corps en une parfaite soumission, vos pulsions sont amplifiées.
Cette position met en évidence ma vulnérabilité et ma dépendance à votre égard renforçant ainsi le lien de domination qui nous unit.
Admirant mom postériure rougi, vous décidez de passer à l'étape suivante en enfilant votre gode ceinture.
Mais avant cela vous prennez un moment pour lubrifier vos doigts.
Vous vous approchez de mon anus, caressant délicatement cette zone sensible avec votre doigt lubrifié.
Le contact de votre peau contre la mienne combiné à la sensation du lubrifiant provoque une onde de plaisir et d'excitation.
Vous me pénètrez doucement avec un premier doigt,sentant ma résistance initiale se mêler à une envie grandissant,me préparant à vous recevoir.
Sans relâche vous insèrez un deuxième doigt élargissant progressivement mon anus pour y accueillir ce gode.
Chaque mouvement est calculé, chaque caresse interne est destinée à m'ouvrir davantage à votre domination.
Vous sentez mon corps réagir à chaque pénétration,mes soupirs de plaisir se mêlant à une légère douleur.
Votre objectif est de me préparer,de me faire ressentir une plénitude totale sous votre domination.
Chaque pénétration de vos doigts me rapproche de cet état de soumission ultime, où je vous recevrais avec dévotion et abandon.
Avec une lenteur calculée vous guidez le gland de votre strapon vers mon anus lubrifié me faisant ressentir une légère pression à l'entrée.
Puis, d'un mouvement déterminé, vous vous enfoncez en moi, sentant les parois de mon anus s'ouvrir pour vous recevoir.
Vous commencer à bouger votre bassin, faisant le faisantvglisser en moi avec une précision calculée.
Chaque mouvement crée une symphonie de sensations, où douleur et plaisir s'entrelacent dans une danse infernale.
Sans ménagenagement, vos pénètrations se font grandissante, sans relâche.
Chaque poussée du gode ceinture est empreinte de votre soif insatiable de pouvoir et de contrôle.
Vous sentez mon corps réagir à chaque mouvement, à chaque centimètre qui s'enfonce en moi.
Chaque pénétration profonde et vigoureuse devient pour vous un moyen de canaliser ces sentiments refoulés.
Vous vous laissez emporter par une frénésie passionnée laissant votre frustration se transformer en une énergie brute et libératrice.
Chaque mouvement est une explosion de désir et de pouvoir, une libération totale de vos propres tensions.
Mais ce n'est pas seulement vous que vous libèrez.
Chaque mouvement que vous faites résonne en moi, libérant une vague brûlante de désir ardent et une extase enivrante qui consume mes sens.
Vous vous déchaînez avec des mouvements de plus en plus forts, de plus en plus profonds abandonnant toute retenue pour nous perdre dans cette étreinte ardente.
La fusion de nos énergies de nos désirs brûlants crée une symphonie de plaisir et de libération,un acte de délivrance, une explosion de sensations qui nous transporte.
Vos pénétrations deviennent de plus en plus rapides, de plus en plus puissantes créant une frénésie qui transcende les limites du plaisir physique.
Vous sentez dans cet acte une libération psychologique, une exaltation.
En inversant les rôles prenant la position du mâle, une transformation s'opère en nous.
Nous nous libèrons psychologiquement, nous débarrassons des pressions de la société .
Me pénétrer devient un moyen de vous d'affirmer et d'explorer vos propres désirs.
C'est une libération des tensions psychologiques qui nous entrave.
Nous délivrant ainsi de la pression sociale, des inhibitions et des contraintes imposées par les normes.
C'est un voyage vers l'acceptation de soi, vers la découverte de vos véritables désirs et de votre puissance.
Vos mains se crispent sur moi,agrippant à mon corps avec une fermeté dévorante, marquant ma peau de votre passion déchaînée.
Les claquements sur mes fesses résonnent comme une symphonie sensuelle accompagnant vos va-et-vient de plus en plus puissants.
La chaleur entre nos corps s'amplifie créant une véritable fournaise de désir.
Nos peaux se mêlent dans une danse enivrante transpirant l'abandon. Chaque mouvement est empreint d'une énergie brute d'une frénésie qui nous consume et nous pousse au-delà de toutes limites.
À mesure que l'excitation monte, Vous sentez vos propres inhibitions se dissoudre.
Emporter par l'intensité de l'instant,c'est un véritable exutoire psychologique, une occasion de vous laisser aller et de vous perdre dans l'acte.
Chaque griffure laissé sur mon dos, chaque claque sur mes fesses, représente une libération de vos propres tensions vous donnant l'opportunité de vous exprimer pleinement.
Vous sentant enfin libre, débarrassé des barrières qui vous on retenu pendant si longtemps.
Cette désinhibition psychologique vous fait du bien, vous procure une sensation de légèreté et d'euphorie.
Vous lâchant encore plus dans l'acte, laissant vos désirs les plus sombres et les plus profonds prendre le contrôle.
C'est une véritable catharsis.
Nous trouvons une connexion troublante où la libération psychologique s'entremêle au plaisir physique.
Chaque gémissement extatique qui s'échappe de mes lèvres est comme une décharge libératrice pour vous.
Vous pouvez enfin exprimer pleinement cette part de vous même.
Après quoi,vous vous retirez de mon être, laissant un vide en moi.
L'expression de satisfaction sur votre visage en dit long sur le plaisir que vous avez pris à me posséder.
Nos regards se croisent empreints d'une complicité.
Alors que vous savourez l'image de ma soumission et de mon abandon,vous vous asseyez avec grâce sur le canapé, laissant une lueur de malice.
Vous sentez mon regard brûlant sur vous alors que vous ouvrez délicatement vote nuisette, révélant vos courbes voluptueuses.
Le tissu glisse le long de votre peau dévoilant maintenant en totalité votre corps
Vos gestes sont lents et calculés,accentuant le suspense et l'excitation qui règnent dans l'air.
Vous me fixez intensément,vos yeux pétillant d'une lueur de désir.
Vous savez que je suis captivé par cette vision et par l'anticipation de ce qui va suivre.
Vos jambes légèrement écartées, votre corps offert à mon regard avide,vous m'invitez d'un geste à m'approcher, à me rapprocher de vous pour profiter de cette intimité partagée.
Le désir brûle en vous, prête à être libéré dans une explosion de plaisir.
C'est a cette instant vous me dites:
-"Laisse-moi te montrer tout ce que je suis prête à offrir, à te faire découvrir,les délices que nous pouvons partager ensemble.
Dans cette atmosphère chargée de désir, nous allons créer une symphonie de sensations et d'extase, explorant les recoins les plus intimes de nos fantasmes.
Prépare-toi à plonger dans un océan de plaisir à te perdre et à vivre une expérience inoubliable.
Je suis prête à te guider.
Viens à moi, laissons-nous succomber à nos désirs les plus profonds et à cette passion ardente qui brûle entre nous."
Je m'approches de vous positionné entre vos jambes,mon regard s'embue d'excitation.
Avec un sourire malicieux vous prenez doucement les cordes attachés autourt mon sex les défaisant délicatement,libérant mon intimité de leur emprise.
Chaque nœud qui se défait représente une nouvelle forme de liberté, une invitation à explorer des plaisirs encore plus intenses.
Vous pouvez sentir mon souffle s'accélérer alors que je ressens la libération de mon corps laissant place à une sensation de légèreté et de vulnérabilité.
Ma peau frissonne sous vos doigts, révélant mon excitation grandissante.
Vous voyez l'anticipation dans mes yeux, ma volonté de goûter à cette nouvelle liberté que vous m'offrez.
me demandant de me mettre a genoux entre vos jambes
Vous me guidez doucement la tête vers votre intimité.
Votre regard est rempli de désir et d'attente sachant que je suis maintenant prêt à vous donner du plaisir.
D'une voix sensuelle, vous me dictez les mouvements que je dois effectuer, me guidant dans l'art de vous satisfaire,vous m'encouragez à prendre mon temps, à explorer chaque recoin de votre féminité.
Vous sentez ma douceur sur votre peau, laissant ma langue se faufiler avec délice entre vos plis intimes.
Vous gémissez de plaisir alors que je me délectes, répondant à chaque mouvement que je fais avec une intensité grandissante.
Vous m'encouragez à jouer avec votre clitoris, à le caresser avec habileté, créant des vagues de plaisir qui se propagent à travers tout votre corps.
Vous me dites alors:
-"N'hésites pas à explorer à varier les rythmes et les pressions, à me donner autant de plaisir que tu le désires.
Je suis là pour te guider, pour t'encourager à me faire atteindre des sommets de jouissance.
Alors, plonges-toi dans cette expérience, savoure chaque instant de cette intimité partagée.
Je suis prête à me laisser emporter par les vagues de plaisir que tu créeras.
Montre-moi tout ce dont tu es capable avec ta bouche et ta langue, donne libre cours à ton imagination "
Vous me guidez avec douceur, me montrant les angles et les mouvements qui vous procurent le plus de plaisir.
Je suis attentif à vos réactions, à vos gémissements, ajustant mes mouvements pour vous donner une satisfaction toujours plus intense.
Vos mains se glissent dans mes cheveux, les caressant avec tendresse, amplifiant les sensations qui parcourent tout votre être.
Nous sommes enveloppés par cette intimité partagée, cette connexion unique qui transcende les limites du plaisir.
Vous êtes inondée d'une extase délicieuse, vous laissant emporter par des vagues de sensations.
Alors que nous sommes tous les deux pris d'une d'excitation ardente, vous décidez de mettre un terme à mes caresses.
Vous sentez ma frustration grandir, mais ce n'est que le début de quelque chose de plus intense.
Avec une grâce sensuelle vous m'allonger délicatement. Vous positionnant au-dessus de moi, à califourchon.
Sentant mon sexe tendu de désir contre votre peau chaude et humide.
Vous vous frottez lentement, créant une friction délicieuse faisant monter encore plus notre excitation
Vos mains parcourent mon torse avec douceur, vos doigts effleurant ma peau brûlante.
Vous vous penchez en avant, vos seins frôlant ma poitrine créant une stimulation supplémentaire faisant monter notre désir à son paroxysme.
Nous sentons la tension sexuelle entre nous augmenter et nos corps sont en parfaite harmonie.
Frémissant d'excitation vous décidez de passer à l'étape suivante.
Vous vous redressez légèrement permettant à mon sexe ferme et impatient de s'introduire en vous.
Vous sentez mon désir grandir à chaque centimètre qu'il pénètre nous connectant d'une manière intime et profonde.
Enfoncer entierement avec grâce et délicatesse en vous, chaque mouvement de nos hanches s'entremêlent.
Vous vous cambrez légèrement offrant une vue délectable sur nos corps en fusion.
Nos souffles se mêlent dans un rythme effréné, nos gémissements emplissent la pièce alors que nous nous laissons aller à cette danse passionnée.
Vous sentez mes mains se poser sur vos hanches guidant nos mouvements,amplifiant notre plaisir commun.
Vos ongles griffent légèrementmon torse laissant des marques éphémères de notre passion dévorante.
Nos corps sont en parfaite osmose se mouvant avec une synchronisation parfaite créant une symphonie de sensations envoûtantes.
Chaque mouvement chaque va-et-vient fait monter notre plaisir.
Dans un instant de pure extase,nous sommes submergés par l'orgasme.
Nos corps se raidissent,nos soupirs s'intensifient et nous nous abandonnons à cette délicieuse libération.
A l'apogée de notre plaisir partagé vous sentez l'orgasme vous envahir,les vagues de plaisir déferlent.
Vous êtes submergée par les sensations les plus délicieuses sentant ma semence chaude se répandre en vous.
Chaque pulsation de mon éjaculation vous fait frissonner, vous rappelant la puissance de notre passion partagée.
Vous savourez l'extase de notre union nos corps vibrant d'une satisfaction totale.
Les spasmes de votre orgasme se fondent avec les miens, créant une symphonie de plaisirs inoubliables.
Nous nous laissons aller, puis nos souffles s'apaisant peu à peu épuisés et comblés.
D'un geste délicat, vous passez votre doigt sur le bout de mon pénis pour y recueillir les dernières gouttes de notre plaisir partagé,le portant délicatement à mes lèvres.
Ce geste symbolique soulignant notre lien profond et notre complicité dans cette relation de soumission.
Il est une marque de votre possession de mon plaisir et de ma soumissions.
Il est le symbole de notre passion partagée et de notre engagement mutuel dans ce jeu de domination
Nos regards sont remplis de satisfaction et de complicité.
Nous avons créé un souvenir inoubliable, une expérience qui restera gravée dans nos mémoires et nourrira nos fantasmes futurs.
Nos peaux encore chaudes se caressent doucement, nos doigts s'entrelacent dans un geste tendre et réconfortant.
Nous nous regardons avec des sourires complices, nos yeux reflétant la satisfaction
Nous évoquons notre expérience, partageant nos sensations et nos émotions.
Nous exprimons nos ressentis, nos désirs et nos envies créant un espace de communication profonde.
Nous partageons nos moments de vulnérabilité et nous nous émerveillons de la connexion que nous avons pu créer renforçant ainsi notre complicité tant physique qu'émotionnelle.
Nous savourons chaque détail de notre aventure, revivant les moments les plus intenses
Nous sommes reconnaissants l'un envers l'autre pour cette aventure inoubliable pour avoir créé un espace où nos désirs les plus profonds on pris vie.
Nous en discutons,bâtissant un monde de plaisir et d'extase, où nos fantasmes futurs les plus audacieux se réaliserons.
Que notre passion continue de brûler, toujours plus ardente et toujours plus intense.
Après avoir partagé une douche sensuelle,d'une main ferme mais délicate, vous me remettez ma cage de chasteté, scellant ainsi notre jeu de pouvoir et de contrôle qui me rappellera constamment ma soumission envers vous.
Vous vous enveloppez dans votre nuisette.
Vous vous sentez puissante, confiante dans votre rôle de dominante, prête à m'emmener vers de nouveaux sommets de plaisir et de soumission.
Nous prenons place sur le canapé, nos corps à peine couverts par nos vêtements et nous prenons un café.
Vous me demandez de vous raconter comment j'ai vécu notre première expérience de domination, comment j'ai ressenti chaque moment, chaque geste de pouvoir que vous avez exercé sur moi.
Vous écoutez attentivement, cherchant à comprendre mes désirs, mes limites et mes envies.
Puis, nous tournons notre regard vers l'avenir, évoquant nos futurs ébats et les nouvelles frontières que nous souhaitons explorer.
Vous me partagez vos envies, me décrivant les scénarios qui enflame vos pensées. Les images se bousculent dans votre esprit, alimentant notre feu ardent de passion et de plaisir.
Nous sommes complices, deux âmes qui s'ouvrent l'une à l'autre, prêtes à se perdre dans un monde de fantasmes et de désirs inassouvis.
Alors que nous savourons notre café, nos regards étincelants de désir et de complicité, nous sentons que ce ne sont que les prémisses de nos futurs ébats qui nous attendent.
Impatients de plonger dans ces nouvelles expériences,vous me dites :
-"Mon cher soumis, maintenant que nous avons échangé nos paroles intimes, je te demande de te souvenir de ta nouvelle position dans notre jeu de domination.
Désormais, tu es entièrement mien, et lors de nos jeux passionnés, tu devras m'appeler "Maîtresse".
C'est ainsi que je souhaite être honorée et vénérée par toi.
Chaque geste, chaque mot que tu prononceras, sera une preuve de ton dévouement envers moi.
Je serai ton guide, ton inspiration, ta source de plaisir et de discipline.
Je t'apprendrai les délices de l'obéissance et de la soumission".
Avec un sourire malicieux, vous me murmurez à l'oreille les règles que je devrais respecter :
-" tu devras me servir avec dévotion, être à mon écoute et répondre à mes moindres demandes. Ta seule mission sera de me satisfaire, de me rendre heureuse et de te soumettre à mes caprices les plus audacieux.
Dans notre intimité, tu seras mon jouet, mon objet de plaisir.
Je te guiderai à travers des jeux de soumission, t'offrant une expérience unique et inoubliable.
Tu seras à mes ordres, prêt à combler mes désirs avec une dévotion totale.
Mon cher soumis, prépare-toi à entrer dans un monde où les frontières du plaisir seront repoussées",
Maintenant Répète après moi :
-"Je suis ton soumis, Maîtresse. Je me soumets entièrement à toi. Avec ces mots, tu scelleras ainsi notre pacte de soumission et d'adoration mutuelle".
En prononçant ces paroles, je sais que je me livre corps et âme à sa domination. Mon cœur bat plus vite, empli de l'anticipation des plaisirs que qu'elle me réserves.
En acceptant ce pacte, je me sens libéré de mes inhibitions
Apres avoir prononcé ses paroles, je vous dit :
-"Je suis rempli d'une gratitude profonde d'avoir été choisi pour être votre soumis, Maîtresse.
Je serai à la hauteur de vos attentes, prêt à vous satisfaire et à vous combler à chaque instant.
Vous me repondez a votre tour
-"Prépare-toi, mon cher soumis, car notre aventure ne vient que de commencer
Je vais te guider vers des horizons inexplorés de soumission et d'extase."
"Maintenant, tu m'appartiens, tu es à moi..."
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Je me retire et descend du lit. "Suis moi" elle descend.
Je m'assois sur la chaise du petit bureau. J'écarte mes jambes, mon sexe turgescent. "Tourne toi et viens t'empaler sur moi"
Elle se place entre mes jambes, son petit cul se frotte à mon bas ventre, elle prends mon sexe en main et l'introduit dans sa chatte très humide.
Elle pose ses mains sur mes genoux et dos à moi, je lui donne des coups de reins. Je la baise ainsi. Je m'arrête.
"Bouge. A toi de baiser". Elle s'active alors. Elle monte et descend sur mon sexe. Elle donne la vitesse et la profondeur qu'elle souhaite.
Je la regarde bouger, l'entend gémir de plus en plus. Je claque quelques fessées.
Et soudain, elle jouit sans retenue. Elle m'innonde de sa cyprine ainsi que la moquette :-) mon sexe, mes cuisses sont trempées. Je suis super étonné mais heureusement surpris.
Elle s'arrête net et se lève, me regarde, regarde mes cuisses.
"Je m'excuse" me dit-elle très gênée. "Je ne pensais pas que ça m'arriverait. C'est seulement la 2e fois". Elle est très très gênée.
Moi je souris ou en ris même. Je ne suis pas gêné mais plutôt fier, heureux qu'elle ait autant pris plaisir. Je me sens Rocco Sifriedi :-)
En fait si je suis gêné mais pas pour moi, pour elle: Elle semblait tellement désolée.
Puis je me ressaisis. Je suis son dominant tout de même.
Je tire sa laisse vers moi et la détache. Je reste assis ainsi mouillé, jambes écartées. J'enlève ma capote.
"Va chercher une serviette et nettoie moi".
Elle revient, se mets à genoux et me nettoie les cuisses, les boules et le sexe.
Je la prends par les cheveux et l'amène à me sucer. "Nettoie correctement".
Elle me suce, lèche mes boules et mon entrejambe avec délicatesse, elle tente de se faire excuser. Je n'en demandais pas tant. Mais elle le fait aussi parce qu'elle le veut.
Être dominée l'a amené à jouir, à être une femme fontaine.
Nous en profitons tous les deux :-)
Enfin je la tire en arrière, me lève et l'amène de nouveau sur le lit.
"Allonge toi sur le dos et caresse toi". Je sais qu'elle n'est pas une fan de se caresser devant un homme. Elle se caresse 'sagement', doucement, trop doucement à mon goût.
"Fais mieux que ça, mets toi des doigts"
Clairement je profite de cet instant pour me reposer, profiter de ce spectacle et enfin d'enfiler une nouvelle capote.
Je suis prêt de nouveau.
Je prends ses chevilles pour écarter ses jambes et m'offrir de nouveau son intimité.
Je grimpe sur le lit et je la prends sans vergogne, en missionnaire.
Ses seins s'agitent sous mes yeux, elle gémit, bouge sa tête... mon dieu, que c'est beau.
Mes mains toujours sur ses chevilles pour la maintenir offerte.
Je suis en sueur. Je jouis dans ma capote, en elle. Je râle de plaisir...
Tranquillement je reprends mes esprits et je me retire.
Elle reste ainsi, offerte. Toujours.
Je me lève. "Viens retirer ma capote"
Elle se place devant moi et avec attention elle retire ma capote souillée.
"Va faire couler la douche". Elle se dirige vers la salle d'eau, jette la capote et fait couler l'eau.
Elle attends que l'eau se réchauffe.
Pendant ce temps, je m'allonge sur le lit en attendant qu'elle m'appelle.
Je me retourne vers elle: Elle est nue, dans la salle d'eau, la main dans la douche attendant encore l'eau chaude.
C'est long, trop long...
Je la rejoins. Je me place derriere elle, la presse contre moi. Sa peau est douce, mon sexe sur ses fesses...
L'eau commence alors à chauffer.
"Entre dans la douche" je la suis, collée à moi.
L'eau est enfin bonne. Je prends le pommeau et l'asperge sur ses seins. Elle remonte ses cheveux pour ne pas les mouiller et elle se tourne. L'eau la recouvre, elle est entièrement mouillée. Je me colle à elle pour partager l'eau.
Nos deux corps nus sous la douche, je l'embrasse, l'enlace.
Je ne veux pas qu'elle ait froid alors je garde l'eau sur elle.
Ses seins sur mon torse, elle me regarde et sourit. Moment de tendresse, complicité après ces instants plus bestial.
"Lave-moi" lui dis-je
Elle prend du savon dans ses mains et entame de me laver le torse, les épaules, les bras, etc.
Elle descend petit à petit, passe sur mon sexe et continue sur mes cuisses. Et remonte.
"A genoux, et nettoie mieux que ça"
Elle se baisse, je passe l'eau sur son dos pour la garder au chaud.
Et elle repasse ses mains sur mon sexe, mes boules, mes cuisses, mon entrejambe, mes mollets, mes pieds. Je suis aux anges tel un empereur romain lavé par son esclave (hahaha)
Je lui donne le pommeau pour me rincer. Elle se relève et s'active sur moi.
Je la regarde faire, je la dévisage. Elle sourit en me voyant. Elle est belle.
"Lave toi". Elle obéis. Je la regarde. Ses mains sur son corps, passant de ses seins à son ventre, sa entre cuisses... Je l'asperge de cette eau chaude.
Nous voici tous deux propres.
Je bande comme un fou. Mon sexe frappe sur son entre cuisses, son ventre.
"Tu vas vérifier que je suis bien propre maintenant. A genoux"
Elle s'exécute. Son visage devant mon sexe. Et je prends sa tête pour l'amener à me sucer. Encore et encore. J'avoue: j'adore ça.
J'aime tjrs autant sa bouche. Je nous réchauffe avec de l'eau.
Elle s'applique mais je ne veux pas jouir de suite.
Je l'arrête, la relève, sort de la douche.
"Essuie moi" lui dis-je en lui tendant une serviette.
Elle sort et m'essuie. Elle est elle trempée encore. Je voulais qu'elle aille jusqu'au bout de sa soumission du moment.
Plus ou moins sec, je sors de la salle d'eau pour qu'elle se réchauffe aussi. Elle se sèche.
Je vais sur le lit, je m'allonge. Elle me rejoint. Je l'accueille. Elle pose sa tête sur mon épaule.
Et nous restons ainsi qqes instants.
Puis je prends sa main et la dirige sur mon sexe au repos (Je ne suis pas une machine. Lol)
Je lui donne le mouvement : elle me masturbe tranquillement, avec douceur. J'aime ses mains, elles sont douces, ses doigts sont fins, manucurés.
Je reprends doucement de la vigueur.
"Plus vite" lui dis-je. Elle se mets à genoux à côté de moi, sur le lit et elle accélère le mouvement.
Je glisse une main sur son cul, lui introduis un doigt, descend sur sa chatte. Et la caresse aussi.
Me voilà droit comme un i, de nouveau.
Mais elle a droit à son moment aussi. Entre notre 1ere rencontre et celle-ci, nous avions échangé sur nos envies: elle m'avait avoué vouloir un massage.
Je veux son plaisir autant que le mien alors je me devais d'exaucer son voeu.
"Allonge toi sur le ventre". Elle obéit. Je la chevauche alors, mon sexe sur ses fesses.
"Relâche toi" lui dis-je et je m'emploie alors de mon mieux à lui masser le dos, les épaules, ses fesses, ses hanches. Pas de fessées, juste des caresses. Elle s'abandonne.
Mon sexe glisse sur ses fesses, mes jambes l'enserrent, j'essaie d'être léger, de lui apporter du bien être. Son moment rien qu'à elle.
Je vais être franc, c'est pas trop mon truc les massages. Mais elle le voulait et je suis là pour notre plaisir commun. Ce moment dure plusieurs minutes.
Mon sexe se relâche aussi :-)
Je me relève. Je me place à hauteur de son visage et lui 'force' l'entrée de sa bouche.
Je lui baise la bouche, elle tjrs allongée sur le ventre, la tête de côté. Je redeviens dur pour la suite.
Je tire ses cheveux, maintient sa tête et continue mon va-et-vient sans me soucier de sa respiration. Elle se laisse faire. Sa bouche dégouline de salive. Les draps sont mouillés...
Et j'explose sur son visage. Ma semence s'étale sur sa peau. Elle sourit de plaisir: plaisir de m'avoir fait jouir, plaisir de sentir ma semence ou plaisir d'être chose entre mes mains... elle seule le sait.
Elle se nettoie le visage d'une serviette et me dit qu'elle doit partir maintenant. Il est vrai qu'il est tard et elle n'habite pas à côté.
Nous nous rhabillons en nous regardant.
Je l'accompagne à sa voiture, en la tenant fermement contre moi.
Nous nous parlons qqes minutes et elle part... j'attendrai son sms pour m'assurer qu'elle est bien arrivée.
J'ai passé le reste de la nuit entre rêve et réalité. Me demandang si ce que je venais de vivre était bien réel.
Cette femme qui s'est donnée à moi, qui m'a fait confiance, qui m'a permis de sortir de mon quotidien et qui change ma vie...
Nous nous reverrons.
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Nous nous sommes vus deux fois uniquement.
Pour être franc, nous nous sommes perdus de vue pour 2 raisons: elle avait des choses à régler avec son précédent Dom et j'ai dû repartir à Bucarest plusieurs mois pour mon travail
Dommage pour moi bref...
Après notre 1ere rencontre, nous avons bcp échangé sur ce qu'elle avait ressenti, sur ce qu'elle avait plus aimé et souhaiterait pour la prochaine fois.
Nous nous sommes donc donnés RDV dans mon hôtel du moment, dans le 9e.
Elle devait arriver vers 19h. 19h15 puis 20, puis 25, tjrs pas de nouvelle.
Puis elle m'envoie un sms: je me gare et je vous appelle lorsque j'arrive à l'hôtel.
5 minutes, 10 minutes, 15 minutes passent. Je lui envoie un sms, pas de réponse.
Je m'inquiète.
Et le téléphone de ma chambre sonne: "bonjour, Madame X vous attend à la réception".
Surpris, je descends. Elle est assise devant le réceptionniste en jupe courte et talons. Il avait une vue imprenable sur ses jambes.
Elle me voit et vient à ma rencontre. Elle est très gênée: elle n'avait plus de batterie et ne pouvait m'appeler. Je me suis senti con de ne pas être aller à sa rencontre plus tôt. Ce n'était pas gentleman...
Le réceptionniste nous regarde avec un sourire coquin.
Nous montons dans l'ascenseur et je la prends par les cheveux pour l'attirer à moi. Je l'embrasse à pleine bouche. Nos langues se mélangent, sa bouche est douce et humide.
Nous arrivons, je la relâche et nous entrons dans la chambre.
Je l'invite à mettre son sac, son manteau sur une chaise.
Elle pose son sac et avant d'enlever son manteau, elle ôte sa culotte en premier.
Dans nos échanges avant ce rdv, elle devait venir en jupe et sans culotte.
Elle m'explique qu'elle n'avait pas osé marcher dans la rue sans culotte.
Elle semble très gênée de me l'avouer. Je souris parce que finalement à ce moment là, je me rends compte que de la voir ôter sa culotte devant moi, pour moi dès son arrivée m'excite.
Par ce geste, elle me fait passer le message qu'elle se donne à moi.
Loin de la réprimander, je suis au contraire excité.
Elle enlève son manteau et se positionne devant moi en attente.
Je la regarde et l'embrasse de nouveau. Une main tenant ses cheveux, l'autre glissant sur ses fesses.
Je soulève sa jupe et empoigne ses fesses.
Puis je glisse vers sa chatte. J'aime les femmes épilées, c'est ainsi, mon choix.
Et nous étions d'accord qu'elle serait inspectée à son arrivée.
Sa chatte est douce, vraiment douce.
"parfait"lui dis-je. Elle comprend bien sûr.
"Déshabilles toi". Elle s'exécute sans attendre.
Elle est nue devant moi.
"J'ai rapporté mon collier et ma laisse, Mr" me dit-elle et me tent ses accessoires sortis de son sac.
Je suis ravi et lui mets son collier, l'attache à sa laisse. Elle m'est alors reliée Je tire sa laisse pour lui faire sentir mon emprise et l'approcher de moi.
Je suis plus grand qu'elle. Je la regarde de haut, elle n'ose pas lever le regard.
"À genoux"
Elle se positionne mais elle n'a pas le temps de rester ainsi, je l'entraine par sa laisse à 4 pattes dans la chambre. Elle n'est malheureusement pas très grande alors je lui fais faire des ronds. Elle se dandine. Ses fesses sont à ma vue, ma merci.
Je la fesse sans violence mais qu'elle sente sa domination.
Je m'arrête "mets-moi nue pieds"
Elle est à genoux et retire chaussures et chaussettes avec attention.
Je prends sa tête par les cheveux et l'amène sur mes pieds
"Embrasse-les, leche-les". Je sais qu'elle aimait cet acte. Elle m'en avait bcp parlé.
En tant qu'homme, je me rend compte qu'une femme est en train de lécher, embrasser mes pieds: c'est tout de même un instant assez incroyable.
Je réalise un fantasme une nouvelle fois: lors de notre 1er rdv, elle avait déjà réalisé ce désir. J'ai une chance énorme de l'avoir rencontrée.
Je reprends mon récit avant que mes souvenirs s'effacent...
Elle est là, à genoux, à embrasser et lécher mes pieds.
Je profite de ce moment de domination et cette sensation de sa bouche sur mes pieds.
C'est une sensation agréable.
"Ça suffit, relève toi" elle reprends sa place à genoux. Elle n'ose me regarder alors que je n'attends que ça. Elle rougit: a-t-elle honte de son acte? De son envie d'embrasser les pieds d'un homme ? Plus tard, je lui dirai que j'ai aimé cet instant. Je veux qu'elle se sente en confiance, qu'elle se lâche, qu'avec moi elle peut être celle qu'elle souhaite être. Nos désirs sont nos plaisirs. Je ne la juge pas, bien au contraire je l'accueille volontiers.
"Enlève mon pantalon" lui ordonne-je toujours tenue en laisse.
Elle enlève ma ceinture, déboutonne mon pantalon et le fait glisser sur mes jambes. Elle soulève un pied et passe le pantalon, soulève le second et me débarrasse de ce vêtement superflu.
Elle se remets en place. Elle attends.
"C'est très bien, enlève mon boxer"
Elle prends mon boxer de chaque côté et le descend avec précaution. Mon sexe jaillit droit vers elle. Ce n'est pas une surprise, je gardais tellement que s'en était évidemment visible et prévisible.
Elle me débarrasse enfin...
Elle se remets en place et attends.
Je m'occupe de ma chemise seul. Je veux qu'elle reste ainsi dans l'attente d'un ordre. Je me débarrasse de ma chemise.
Je suis nu devant elle. Sensation agréable d'être soi tout simplement sans arrière pensée.
Je tire sur la laisse doucement pour qu'elle s'approche de mon sexe.
"Prends mon sexe en bouche. Ne suce pas".
Elle pose ses mains sur mon sexe dur.
"Sans les mains". Elle les retire et avale mon sexe. Ses lèvres sont toujours aussi douces et sa bouche chaude, humide. Un VRAI plaisir.
Je suis dans sa bouche, elle ne bouge pas. Elle n'en a pas le droit.
Je profite de cette bouche offerte. De son souffle sur mon sexe.
"Suce maintenant doucement"
Elle entreprend son va et vient. Ses mains sur ses cuisses. Juste sa bouche.
Au bout de quelques minutes, je lui autorise d'utiliser ses mains.
Et ses doigts fins caressent mon sexe pendant qu'elle continue son office.
Je m'associe sur le lit juste derrière moi, elle me suit et continue sa condition.
Je suis assis, jambes écartées, nu, ma soumise en laisse me suce.
"Crache sur mon sexe, mets ta salive, je veux sentir ton humidité".
Elle crache ce qu'elle peut, glisse sa langue encore plus qu'avant.
Mais clairement, elle ne sait pas cracher (je ne lui en veux pas naturellement, elle démontre son savoir-vivre).
"N'oublie pas mes couilles". Et elle glisse sa tête entre mes jambes pour les lécher, les sucer, les gober, les malaxer... Je me couche sur le lit.
Je profite de cet instant intense de cette femme à genoux pour moi, en laisse pour moi, faisant de son mieux pour me satisfaire. Quel plaisir.
Je sens sa salive couler sur mon entrejambe :-)
Je me lève.
"Ça suffit, monte sur le lit à 4 pattes". Je l'aide à se relever et elle se mets en position. Elle sourit: Je vais m'occuper d'elle.
"Écartes tes jambes ". Imaginez la scène : elle est en laisse, cul et chatte offerts, jambes écartées, sa bouche humide de mon sexe, ses seins pendant. Rien que d'y repenser...
Je me place derrière elle. Je caresse ses fesses, ses cuisses, ses mollets, ses pieds. Je prends mon temps. Et doucement je la fesse sur une fesse, puis l'autre. J'alterne. Elles rougissent doucement. Je n'ai aucune envie de lui faire mal mais juste lui faire ressentir mon emprise. J'alterne avec des caresses pour apaiser le feu des claques. Puis je passe ma main entre ses cuisses, je passe sur sa chatte humide, lisse, douce.
J'entreprends des va et vient sur ses lèvres. Je ne la pénètre pas encore.
Puis je m'arrête et j'enfonce doucement un doigt en elle, puis deux. Elle est trempée.
Et je prends ainsi, avec mes doigts. Doucement ou fort, j'alterne pour la surprendre.
J'arrête et je me place à côté d'elle pour enfiler une capote. Je la regarde en même temps. Ses seins pendant m'attirent. Je les prends à pleine main, les caresse, les maltraite, pince ses tetons. Elle sourit ou grimace légèrement selon le moment.
Puis Je monte sur le lit derrière elle, toujours en laisse.
Je prends mon sexe et je m'enfonce en elle. Elle gémit de cette introduction.
Je la prends alors par les hanches et je la baise ainsi.
Elle retient ses gémissements, son souffle. J'aime. Mais encore plus, j'aime lorsqu'un rale s'échappe de sa bouche. Petit à petit elle se lâche et elle gémit plus fortement. Doux son que celui d'une femme qui gémit de plaisir.
Je tire sur sa laisse pour qu'elle se cambre, je prends ses cheveux et d'une main sur son cul et l'autre tirant sur ses cheveux, je la possède.
La suite dans le second article...
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Je me souviens parfaitement de notre première séance. Ma femme venait de rentrer d'un long séjour, fatiguée mais rayonnante. À ce moment-là, j'ignorais encore son aventure virtuelle, que j'apprendrais plus tard. Quelques jours avant son retour, elle avait révélé son désir de devenir soumise, Ma soumise. Après 10 ans de mariage, c'était une révélation inattendue, mais excitante.
J'avais noté un changement chez elle, elle vivait sa crise de la quarantaine, aspirant à plus, sans que je ne soupçonne l'ampleur de ses désirs. Son retour marquait un tournant.
Durant son vol de retour, je lui avais demandé de réaliser quelques défis érotiques. Elle devait prendre des photos d'elle dans les toilettes de l'avion, se caresser discrètement sous une couverture, obéissant ainsi pour la première fois à un ordre de ma part. Puis, je lui avais demandé de séduire un steward et d'obtenir son numéro. Elle s'était exécutée, captant l'attention d'un steward qui lui offrit des boissons supplémentaires, mais sans aller jusqu'à obtenir le numéro. L'important était qu'elle ait essayé.
Une fois de retour à la maison, les enfants endormis, j'avais tout préparé pour une soirée spéciale. Sur notre terrasse, à côté de la piscine, j'avais ouvert une bouteille de vin blanc. Ma Douce Soumise s'était assise en face de moi, comme à son habitude. J'ai pris un moment pour la contempler en silence, puis, d'une voix calme, je lui ai rappelé qu'elle n'avait pas été autorisée à s'asseoir. Surprise mais obéissante, elle se leva, croisant les mains derrière la tête, se plaçant devant moi en position de soumission.
Je lui ai alors expliqué mes règles et ce que j'attendais d'elle. Elle m'écoutait avec attention, demandant la permission de poser des questions. Voir ma femme se soumettre ainsi devant moi était un délice.
Après quelques minutes, je lui ai ordonné de se déshabiller de manière lente et sensuelle. Le spectacle était captivant. Une fois nue, elle a repris sa position. Je me suis levé, m'approchant d'elle pour la caresser. Chaque caresse la faisait frissonner, intensifiant son excitation. Sa réponse à mon toucher était évidente : sa chatte était humide, un signe clair de son plaisir.
Puis, je suis passé à la fessée. J'avais déjà donné des fessées durant notre vie 'vanille', mais cette fois, l'impact était différent, plus précis. Elle mordait ses lèvres, réagissant à chaque coup. Je lui ai demandé de compter et de me remercier. '1 merci Maître, 2 merci Maître, 3... 10 merci Maître.' Après avoir vérifié son intimité, j'ai constaté qu'elle était encore plus excitée, prête pour la suite.
Sur l'autre fesse, le rituel se répéta. '1 merci Maître, 2 merci Maître, 3... 10 merci Maître.' Elle était résolue à devenir Ma Soumise. Pour la récompenser, j'ai commencé à caresser sa chatte, alternant entre douceur et intensité. Elle gémissait, son corps réagissant fortement à chaque toucher, des contractions se dessinant sur son ventre. Elle restait en position, savourant mes premières actions en tant que maître.
Notre aventure était lancée. Ma Douce Soumise était à ma disposition, s'en remettant entièrement à ma volonté. Depuis, je la guide. Je préfère le terme 'guide' à 'dressage', car elle n'est pas un animal, mais ma plus belle propriété, et elle m'a confié la tâche de faire d'elle ma soumise.
J'espère que ce récit vous a captivé. N'hésitez pas à partager vos pensées en commentaire. Écrire me permet de réaliser la chance que j'ai de vivre cette expérience. À très bientôt pour la suite.
Maître DeepDom
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Aujourd’hui je suis toute excitée. Car ce soir c'est notre sortie au club. Après une semaine de travail intense pour moi et pour Monsieur, ça va nous faire du bien.
Je choisis dans mon dressing une robe plutôt sexy. Elle est noir avec des lanières au niveau de la poitrine. Elle est fendue sur le côté.Le haut et la jupe sont séparés. Je file à la douche rapidement avant que Monsieur arrive.
Pendant que je suis dans ma douche. J’entend mon chien s'exciter. Je comprends alors qu’il arrive.
Je sors rapidement de la douche. Je n’ai pas le temps de m’habiller, je cours vite pour me mettre à genoux devant la porte. A peine installé que Monsieur ouvre la porte.
Il ne s’attendait pas à me trouver nue. Il me sourit et me tend sa main que j’attrape.
Il m’aide à me relever.
- Bha alors c’est dans cette tenue que tu m'attends? Alors tu es prête pour la soirée.
Me dit-il avec un clin d'œil.
- Dit pas n’importe quoi j’ai pas eu le temps de mettre ma robe.
-Mais tu pourrais aller nue, non? avec juste ton blouson.
- Je sais que je vais vite finir nue mais tout de même.
Sur ces mots je ne lui laisse pas beaucoup le choix et je monte m’habiller.
Une fois changer, coiffer et collier mis, je descend retrouver Monsieur. Lui est déjà prêt, dans le canapé à m’attendre.Je viens me mettre à genoux devant lui en lui tendant la laisse.
Il me met la laisse et nous nous mettons en route en direction du club.
Nous prenons la voiture. Nous discutons de nos journées respectives. Et bien sûr nous exprimons notre hâte d'arriver au club.
- Ma Sluty je t’ai préparé une petite surprise au club.
- Ah oui ! Moi qui a hâte, j’ai encore plus hâte.
J’ai du mal à tenir sur mon siège.
Je vois enfin le club au loin. Le grand manoir nous attend pour bien nous amuser.
De l’extérieur nous n’entendons rien. Personne ne peut se douter de ce qui se passe à l’intérieur.
Une fois rentrée, je dépose mon blouson dans le vestiaire.
Je marche derrière mon Monsieur, lui tenant ma laisse pour ne pas me perdre. Nous allons saluer les membres du club qu’on connaît. A quelques-uns de nos amis leur chuchotent de nous rejoindre à l’étage tout à l’heure.
Je m’inquiète légèrement de ce qui pourrait bien se passer à l’étage.
- Monsieur, pourrions nous aller boire quelque verre ?
-Bha alors Sluty, tu serais inquiète? C’est la première fois que tu me proposes ça. D'habitude tu cours à l’étage.
Je baisse les yeux et dit d’une petite voix.
- Vi, mais je ne sais pas ce qui m’attend.
- Ho bha alors
Dit t’il en me tapant la tête.
-Bon aller viens tu vas prendre un petit coca.
Dit il en se moquant.
Je vais rester dans mon stress pour l’instant. Je le suis en baissant la tête. Je prends mon coca en baissant la tête pendant que mon Monsieur lui discute avec ses amis en buvant son verre.
Une fois qu’il a fini son verre, il tire sur ma laisse et me conduit à l’étage.
L’étage est fait de nombreuses chambres. Il y a de quoi attacher au mur. Mais c’est pas là bas que Monsieur m’y conduit à mon grand étonnement.
Monsieur m'emmène juste entre les chambre et les salle de torture. Il s’y arrête. Évidement c’est par là que tout le monde passe. L’étage est rempli de monde.
D’une voix autoritaire il m’ordonne,
A genoux !
Je regarde mon Monsieur dans les yeux, le regard noir de Monsieur me fait instantanément obéir.
Je me met alors à genoux.
Je n’avais pas vu mais un de ses amis nous a suivi.
Je sens alors de l’acier froid dans mon dos.
- Sluty fait attention à ne pas trop bouger. Tu te rappelles avant de venir je t’ai dit de venir nue. Tu as refusé. Alors voici ta punition.
Monsieur vient à peine de finir sa phrase que je sens le couteau passer sous mon haut.
J’entend le haut de déchirer. Une bretelle tombe.
Je le sens passer de l’autre côté. la deuxième bretelle tombe.
Je lève les yeux vers mon Monsieur pour le regarder de manière implorante. Mais son regard à lui n’a pas changé. Je baisse alors à nouveau la tête. Je subis la sentence sans dire mot.
Son ami au couteau s'amuse à passer la lame sur ma peau dénudée. Je ne peux m'empêcher de frissonner.
Je sens la lame passer dans mon dos. D’un coup franc il coupe mon haut qui tombe au sol. Je me retrouve alors poitrine nue.
Ma poitrine est exposée devant des inconnues qui sont venues voir ce qui se passait. Ils ne sont pas déçus du spectacle. Nous voila entouré par de nombreuses personnes. J'entends leur chuchotement. Je ne peux m'empêcher de me sentir excitée par cette scène.
Monsieur me connaissant se doute de mon état.
La lame passe maintenant le long de mon dos. La lame froide refroidit mon corps.
Elle passe maintenant le long de ma jupe. Il n’a pas grande difficulté à la coupé. N’ayant aucun sous-vêtement, je me retrouve entièrement nue devant ses inconnues.
Je lève la tête, et dans le regroupement de personne. Je reconnais certains visages qui sont des amis de Monsieur qu’il a invité à venir nous rejoindre.
Il y a un moment de flottement. Il ne se passe rien mais j’entend les chuchotements. et les regards des gens.
J’ai l’impression que ces quelques secondes sont des heures.
Monsieur me demande de tendre la main. J’obéis et il y dépose des capotes.
Il se retourne et s'adresse à l'assemblée.
Ce soir, chers amis, je vous prête mon jouet. Je vous offre sa bouche. La seule obligation, c’est de mettre une capote. Mais bien sûr vous pouvez éjaculer sur elle mais seulement pas dans sa bouche.
En entendant les mots de mon Monsieur je sens l’excitation en moi.
Sur ces mots, il s’écarte laissant le champ libre à ses nouveaux invités.
Le premier à en profiter est l’homme au couteau.
Il range son couteau et passe devant moi. Je le regarde dans les yeux. Je vois ses yeux plein d’excitation. Il a clairement envie de me baisé la bouche.
Il met alors la capote sur son sexe, il prend ma tête et besogne ma bouche.
J’essaye de suivre ses mouvements avec ma langue mais ce n’est pas simple avec la vitesse . Il met son sexe dans ma gorge. Je peine alors à respirer. Entre deux aller retour j’arrive à prendre de grand bouffer.
J’ai de la bave qui coule au coin de la bouche.
Je sens que le Monsieur à lame commence à se tendre. Il se retire. Il retire la capote et éjacule sur mes seins.
En partant il vient me chuchoter à l’oreil
Merci ma jolie sluty.
Après que le Maître des lames est fini. Les hommes font la queue pour venir me baiser la bouche.
Me sentir utiliser ainsi m’excite énormément. De la mouille coule le long de ma cuisse. Une petite flaque se forme en dessous moi.
Pendant que je suce des hommes, d'autres viennent juste éjaculer sur moi.
Quelque mains baladeuse viennent toucher mon sexe.
Ici je me sens pleinement à ma place. Je suis seulement leur jouet
Je ne pense qu’au plaisir que je donne mais aussi au plaisir que je reçois par certains hommes généreux.
Quand je sens la jouissance monter. Je regarde mon Monsieur d’un regard suppliant. Par chance il acquiesce. Alors j’ai un orgasme sous leurs mains. Par chance, mon Monsieur me l’a autorisé de nombreuses fois. Ce soir Monsieur est généreux.
Une fois tous les hommes passés. je me sens totalement vidé. Je tombe au sol. Je suis recouverte entièrement de sperme. Mon Monsieur m’aide à me lever et m'emmène à la douche.
Il me lave doucement.
- Bravos ma belle sluty. Tu as été très bien. Je suis très fière de toi.
Après la douche, Monsieur me ramène à la voiture. Je suis totalement épuisé. Dans la voiture je m'endors. Une fois rentré Monsieur m'emmène au lit et je m’endore instantanément
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Il y a six mois, notre relation était des plus classiques, 'vanille' comme on dit.
Mais depuis, nous nous sommes aventurés dans le monde captivant du BDSM.
L'élément déclencheur a été la crise de la quarantaine de ma compagne, ma soumise d'aujourd'hui.
À son retour d'un voyage, elle m'a avoué avoir rencontré un homme en ligne, et ce qui avait commencé comme une simple discussion avait évolué en une liaison BDSM le temps de son absence.
De retour chez nous, elle a choisi de mettre fin à cette aventure et m'a demandé de prendre le rôle de son Maître, pour la guider sur le chemin de la soumission.Mon intérêt pour le BDSM n'était pas nouveau.
Des années de lectures, de films et de visites sur des forums spécialisés m'avaient préparé, mais le passage à la pratique était un tout autre défi.
J'étais prêt à devenir son Maître, à l'accompagner dans son éveil à la soumission, à explorer doucement ses limites, à la guider psychologiquement et physiquement...
Nous avons dû prendre quelques semaines pour organiser notre nouvelle vie, établir des règles, notamment pour rester discrets vis-à-vis de nos enfants et de notre entourage 'vanille'. Nous ne vivons pas le BDSM 24h/24, mais c'est notre aspiration : concilier notre passion avec notre quotidien sans éveiller les soupçons, et vivre pleinement nos moments intimes.
En tant que Maître, je suis patient et à l'écoute, guidant ma soumise dans son évolution quotidienne, la poussant à explorer ses limites dans la douleur, l'humiliation, ou sexuellement.
Je suis fier de voir ma soumise aujourd'hui s'offrir à moi, de l'avoir vue réaliser son premier fist en solo, d'accepter les fessées, les pinces à linge sur ses tétons délicats, son corps, ou sur les lèvres de son vagin délicat.
Qu'y a-t-il de plus gratifiant que cette confiance qu'elle me porte ? Quelle plus grande responsabilité que de guider une femme dans son épanouissement en tant que soumise ? De la conduire dans un état de transe érotique à la découverte du 'subspace'.
Cette aventure, riche en découvertes et en évolutions, ne cesse de nous fasciner, ma soumise et moi. Pour partager cette expérience, j'ai décidé de tenir un journal quotidien. Dans ces pages, je raconterai notre parcours : comment je guide ma soumise au jour le jour, son apprentissage, nos craintes, nos désirs, et chaque nouvelle étape franchie dans notre relation BDSM.
Ce sera l'occasion de documenter notre évolution, de réfléchir sur les défis rencontrés et sur les joies que cette vie nous apporte. J'espère ainsi offrir un aperçu sincère et détaillé de notre quotidien, partageant les nuances de notre dynamique de domination et de soumission.
Au fil des jours, ces écrits deviendront le témoignage de notre histoire, un récit intime de notre transformation et de notre quête de dépassement, ensemble, dans cet univers captivant du BDSM
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En bdsm, nous employons souvent des mots forts, en cela qu'ils servent à exprimer des sentiments ou des émotions fortes. Moi même j’emploie des mots que je crois adaptés mais dont je ne suis pas toujours certain de la signification, ou parfois des mots volontairement inadaptés que j'emploie en sachant pertinemment que j'en transforme la signification. Mais j'ai souhaité me replonger dans la définition de certains mots que je trouve souvent mal employés, ou que je voulais à l'avenir mieux employer. S'est ajouté un peu de réflexion personnelle toujours inspirée et motivée par la bonne définition des termes qui m'ont posé problème. Ainsi, armé de plusieurs dictionnaires, j'ai philosophé sur ces mots que voici : Respect, dévotion, fidélité, loyauté.
Respect :
Le respect est une chose complexe et personnelle. Il s'agit d'un regard sur quelque chose, il s'agit d'une considération. Il n'est pas inné, il est le fruit d'un effort, d'une réflexion. On mesure, estime quelque chose, et de cet examen découle un respect variable. Un grand respect indique qu'on a estimé de grandes valeurs à la personne/chose/parole.
La philosophie amène indubitablement à considérer au moins tout être humain (si ce n'est tout être vivant) comme une fin en soi, c'est à dire que malgré toutes considérations qu'on puisse se faire au sujet d'un individu, on ne peut intellectuellement pas lui omettre la dignité d'être humain autant que soi, sa libre pensée, son droit à considérer autrui et soi même.
Respecter sa parole c'est avoir de la considération pour ce qu'on a dit, et souvent donc il s'agit d'une parole à laquelle on a trouvé ou donné de la valeur. C'est ainsi rester fidèle aux engagements contractés car on les a considéré, parce qu'ils ont eut de la valeur.
Le respect à une personne c'est l'appréciation qu'on se fait d'elle. Ce respect évolue donc avec la relation qu'on entretien avec cette personne. Le respect est une notion active, présente, en évolution. C'est un écueil très commun que celui d'ignorer ou de méprendre l'impact de la relation sur le respect qu'on a pour quelqu'un. D'autre part le respect qu'on a de cette relation en dehors du respect qu'on a de la personne, est une chose à part entière et qui évolue, parfois différemment de la considération qu'on a de la personne. On peut ainsi ne pas cesser d'avoir du respect pour quelqu'un sans pour autant avoir beaucoup de respect pour la relation qui nous relie. Et inversement, on peut bel et bien avoir estimé beaucoup de valeur à la relation qui nous relie à quelqu'un qu'on ne respecte plus en tant que personne.
Manquer de respect à quelqu'un, c'est de ne pas agir conformément à la considération préalable, soit partagée et socialement attendue, soit personnelle et donc souvent passée. L'insulte, ce n'est pas manquer de respect, c'est soit témoigner à son interlocuteur le peu de respect ou la baisse de respect qu'on lui porte, ou le mépris, soit en témoigner à d'autre dans le but de réduire le respect des autres envers la personne que l'insulte vise.
Faire preuve de respect, c'est témoigner, donc communiquer sa considération, bien que souvent il s'agisse surtout de témoigner de son adhésion, de son maintien à la considération préalable, soit publique, soit passée.
Respecter quelqu'un peut ainsi globalement se traduire par le fait de faire l'effort de ne cesser de considérer une personne et maintenir un témoignage équivalent à l'estime qu'on porte à la personne.
Avoir du respect, c'est avoir des estimations fixées alors que respecter c'est le fait de présentement estimer, de considérer à chaque instant, d'être en action de regarder quelque chose ou quelqu'un et de le mesurer vis à vis de ce qu'il est à présent et de ce qu'il a été et/ou sera.
Un profond respect est un respect fondamental, c'est à dire considérer qu'une chose, une parole, une personne, joue un rôle fondamental dans notre façon de respecter/considérer d'autre choses, paroles, personnes. Autrement dit encore, c'est une appréciation dont les tenants et aboutissants servent à définir d'autres appréciations qu'on porte sur notre environnement. Ainsi on a un profond respect pour une personne, réelle ou fictive, dont l'appréciation qu'on s'est fait d'elle influence l'appréciation qu'on se fait de nous même, et de toute autre chose.
Dévotion :
D'abord d'ordre religieux, la dévotion c'est le témoignage affecté et ostentatoire d'un grand respect, voir d'un profond respect.
Affecté car il n'est pas tout à fait qu'intellectuel. Si le respect est éminemment mental car il découle de l'appréciation d'un examen qui peut être certes émotif, mais aussi n'être que raisonnable, son témoignage dévoué est lui par contre passionné, donc ne peut-être raisonnable. La dévotion ce n'est pas un témoignage sobre, poli, ou simplement dû. C'est un débordement, il faut donc un code à transgresser, une marge à franchir, une règle à dépasser. La dévotion est un acte dont la portée, par son débordement affecté, va au delà de l’attendu, du devoir, du normal.
Ostentatoire car il est voué à être vus par un personne réelle ou fictive au moins en plus de soi même. Un témoignage est un acte social, qu'importe le nombre et la qualité des témoins. Mais il n'est pas de témoignage sans témoin. Un personne dévouée témoigne à des témoins présents, passés ou futures, fictifs ou réels, par un acte de dévotion, de la valeur de l'appréciation qu'il a de son objet de dévotion. La dévotion, ce n'est pas une marque de respect privée, ni un acte social banal servant à identifier les rapports de respect entre individus. C'est témoigner la fierté de témoigner du respect ! Quand bien même il s'opère dans le secret, en privée, ou même seul, un acte de dévotion doit pouvoir être partagé, publié, présenté, vus, pendant ou après son exécution. Soit parce qu'il en résulte une production, soit que le message peut être transmis à d'autres témoins ensuite, soit parce qu'on considère que l'acte peut être considéré par des êtres surnaturelles.
Être dévouée, c'est agir au delà des réactions attendues. C'est donc encore dépasser une règle. Être dévoué c'est respecter avec une passion débordante, c'est à dire de manière exagérée. A la manière de la dévotion, une personne dévouée souhaite qu'on considère que sa fidélité, ses actes la témoignant, n'est pas seulement respectueuse, mais dévouée, au delà de ce qui est attendue.
Fidélité :
La fidélité, c'est la constance de l'être. Est fidèle ce qui se conserve malgré l'usure, et porte ses fruits également malgré la contrainte. Car être fidèle à soi, à ses valeurs et à ses principes, ou à autrui, ce n'est pas conserver une vérité qui ne souffre pas ; c'est la maintenir quand elle s'altère, quand elle est en danger, ou quand elle met en danger.
Entretenir la continuité du respect à ses paroles, à ses pensées, à ses actes qui nous ont engagé est la fidélité. Car les paroles en l'air, les pensées gratuites et les actes manqués ne demandent pas d'être respectées. L''infidélité n'existe qu'en négatif de la fidélité, car sans engagement à respecter, il n'y a pas de constance à entretenir. La fidélité est temporaire, en cela qu'elle est la conservation, l'affirmation, la défense d'un engagement passé. Elle n'est jamais instantané, et engage à l'avenir. La fidélité se joue toujours en au moins deux temps : l'heure de s'engager, et l'heure de le prouver. Plus longtemps est maintenue la fidélité, plus importante est-elle. Ainsi une infidélité au premier écueil est pénible, la défection d'une fidélité de longue date ou déjà éprouvée est terrible.
Loyauté :
La loyauté, est plus encore que la fidélité, une affaire d'autrui. On ne peut pas être loyal à soi, alors qu'on peut être fidèle à soi même. Car être loyal, ce n'est pas être fidèle qu'à soi même. C'est être fidèle à tout ce en quoi une personne qu'on respecte est fidèle. C'est respecter l’engagement d'autrui comme le sien et donc ne lui nuire ni ne le nier, mais bel et bien le conserver, l'entretenir et l'améliorer comme s'il était sien. C'est un transfert de respect, la loyauté c'est s’approprier la fidélité qu'autrui engage.
Crédits illustration :
Studies for philosophy, 1898-1899
de Gustav Klimt
Source ; https://www.wikiart.org/fr/gustav-klimt/study-for-philosophy-1899
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Depuis les années 1970, Olivia De Berardinis donne à decouvrir des œuvres qui célèbrent la féminité sous toutes ses différentes formes. Née à Long Beach en Californie, elle a grandi sur la côte est des États-Unis. Après avoir étudié à la New York School of Visual Arts entre 1967 et 1970, Olivia s'est installée à Soho, New York, où elle a commencé à créer des peintures minimalistes.
Elle se fait remarquer lors de l'exposition "Contemporary Reflections" de 1972-73 au Aldrich Museum of Contemporary Art dans le Connecticut. Elle se fait sa place et côtoie alors des artistes établis tels qu'Eva Hesse, Agnes Martin et Frank Stella.
Néanmoins, en 1975, pour des raisons "alimentaires", elle se tourne vers des créations plus commercialles, exploitant ses compétences acquises dès son plus jeune âge en peignant des femmes. Elle créer alors des illustrations pour la presse magazine, pour les éditeurs de livres de poche, pour la publicité et crée des des affiches de films. C'est à cette époque qu'elle commence qu'elle explore artistiquement les fantasmes érotiques pour des magazines pour hommes. Ces créations "alimentaires", elle ne les envisages que comme moyen temporaire de subvenir à ses besoins et n'aspire pas à travailler durablement dans le domaine.
Pourtant, sa capacité à capturer et retranscrire la sensualité féminine est rapidement reconnu dès 1985, Olivia contribue régulièrement au magazine Playboy, où ses illustrations pin-up sont souvent accompagnées de légendes écrites par Hugh Hefner lui-même. Olivia se met à allier érotisme et art, une fusion qui a caractérisé une grande partie de son travail dans ce qui devient une vraie démarche créative.
Parmi ses créations, certaines offre une interprétatio fétichiste, une tendance qui s'exprime dans les postures ou les tenues. Ces œuvres ne se contentent pas de célébrer la forme féminine ; elles invitent également à une réflexion sur la nature du désir et de la sensualité.
En 1977, avec son partenaire Joel Beren, Olivia a fondé O Card Company pour publier ses œuvres sous forme de cartes de vœux. Deux ans plus tard, le couple se marie et crée Ozone Productions, Ltd., pour vendre et licencier les créations d'Olivia. En 1987, ils déménagent de Manhattan à Malibu, en Californie, où ils résident actuellement.
Les œuvres d'Olivia ont été exposées dans des galeries d'art à travers les États-Unis et au Japon. L'artiste est également active sur les réseaux sociaux et sur son site web www.eOlivia.com où il est possible d'acheter certaines de ses oeuvres.
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“Faut-il peindre ce qu'il y a sur un visage ? Ce qu'il y a dans un visage ? Ou ce qui se cache derrière un visage ? Pour apprendre quelque chose aux gens, il faut mélanger ce qu'ils connaissent avec ce qu'ils ignorent. Toutes les images que nous avons de la nature, c'est aux peintres que nous les devons. C'est par eux que nous les percevons. Rien que cela devrait les rendre suspects". Touche-à-tout, tour à tour peintre maudit, artiste mondain, sculpteur, graveur, céramiste, Pablo Picasso (1881-1973) se plongea dans l’art dès ses quatorze ans lorsqu’il entra à l’École des beaux-arts à Barcelone. Il s’installera en France à vingt-trois ans où il fréquentera des artistes dont Georges Braque avec qui il définit de nouvelles conventions picturales qui les menèrent au cubisme. Pablo Picasso a, grâce à son grand talent, son goût du risque et à sa capacité à se remettre en cause, contribué à toutes les inventions esthétiques de son siècle contribuant également à l’essor du surréalisme. Il a produit près de cinquante-mille œuvres, pour la plupart des tableaux, mais aussi des sculptures, des céramiques, des dessins, des tapisseries, ainsi que des estampes. Parmi les plus célèbres figurent le proto-cubiste "Les Demoiselles d'Avignon" (1907) et "Guernica" (1937), une représentation dramatique du bombardement de Guernica pendant la guerre civile espagnole. Considéré comme radical dans son travail, Picasso continue de recueillir le respect pour sa maîtrise technique, sa créativité visionnaire et sa profonde empathie. Ensemble, ces qualités ont distingué l’espagnol "inquiétant" aux yeux "sombres" en tant qu’artiste révolutionnaire. Pendant ses quatre-vingt ans de ses quatre-vingt-onze ans, Picasso s’est consacré à une production artistique qu’il croyait superstitieusement le maintenir en vie, contribuant de manière significative, et parallèle à tout le développement de l’art moderne au XXème siècle. Picasso reste célèbre pour se réinventer sans cesse, passant d’un style à l’autre si radicalement différent que l’œuvre de sa vie semble être le produit de cinq ou six grands artistes plutôt que d’un seul. De son penchant pour la diversité des styles, il a insisté sur le fait que son travail varié n’était pas révélateur de changements radicaux au long de sa carrière, mais plutôt de son dévouement à évaluer objectivement pour chaque pièce la forme et la technique les mieux adaptées pour obtenir l’effet souhaité. "Chaque fois que je voulais dire quelque chose, je le disais comme je pensais que je devais le faire ", expliquait-il. "Des thèmes différents exigent inévitablement des méthodes d’expression différentes. Cela n’implique ni évolution ni progrès. Il s’agit de suivre l’idée que l’on veut exprimer et la manière dont on veut l’exprimer. Je mets dans ma peinture tout ce que j'aime".
“Certains peintres transforment le soleil en un point jaune, d’autres transforment un point jaune en soleil. C’est dangereux le succès. On commence à se copier soi-même et se copier soi-même est plus dangereux que de copier les autres, c’est stérile". L’expatrié espagnol Pablo Picasso, l’un des artistes les plus grands et les plus influents du XXème siècle, ainsi co-créateur du cubisme est né le vingt-cinq octobre 1881 à Malaga, en Espagne. Sa mère, fille de vignerons, était Maria Picasso y Lopez. Son père, Don José Ruiz Blasco, était peintre et professeur d’art. Enfant sérieux et très vite fatigué du monde, le jeune Picasso possédait des yeux noirs perçants qui semblaient marquer son destin vers la grandeur. "Quand j’étais enfant, ma mère m’a dit: si tu deviens soldat, tu seras général. Si tu deviens moine, tu deviendras pape. Au lieu de tout cela, je suis devenu artiste peintre et j’ai fini comme Picasso". Élève relativement très peu motivé et dissipé, Picasso fait preuve d’un talent prodigieux pour le dessin dès son plus jeune âge. Selon la légende, ses premiers mots furent "piz,piz", tentative enfantine de dire "lápiz", mot espagnol pour crayon. Son père a commencé à lui apprendre à dessiner et à peindre quand il était enfant, et à l’âge de treize ans, son niveau de compétence avait dépassé celui de son père. Bientôt, Picasso abandonna tout appétit pour ses devoirs, choisissant de passer les jours d’école à gribouiller dans son cahier à la place. “Pour avoir été un mauvais élève, j’ai été banni dans la calabasse, cellule nue avec des murs blanchis à la chaux et un banc sur lequel m’asseoir. J’ai aimé cet endroit, parce que j’ai emporté un carnet de croquis et que j’y ai dessiné sans cesse. J’aurais pu y rester pour toujours, dessiner sans m’arrêter." En 1895, à l’âge de quatorze ans, sa famille s’installe à Barcelone, où il s’inscrit aussitôt à la prestigieuse École des beaux-arts de la ville. Bien que l’école n’accepte généralement que des étudiants plus âgés, le résultat de l’examen d’entrée de Picasso est si bon qu’on lui accorde une exception et il est admis. Cependant, Picasso s’irrite vite des règles et des formalités strictes de l’École, et commence à sécher les cours pour pouvoir parcourir les rues de Barcelone en esquissant toutes les scènes de la ville qu’il observait.
“La jeunesse est la période où l’on se déguise, où l’on cache sa personnalité. C’est la période de mensonges sincères. Rien ne peut être fait sans la solitude. En peinture on peut tout essayer. On a le droit. Mais à condition de ne jamais recommencer. L’art lave notre âme de la poussière du quotidien". Picasso, encouragé par son père qui lui accorde toute confiance, peint ses tout premiers tableaux à l'âge de huit ans, son préféré étant "Le Petit Picador jaune" (1889), sa toute première peinture à l'huile, dont il refusera toujours de se séparer. En 1897, âgé de seize ans, il s’installe à Madrid pour s'inscrire à l’Académie Royale de San Fernando. Mais, il est de nouveau déçu par l’accent singulier que l'école accorde aux sujets et aux techniques qu'il estime désuètes. Pour preuve, il écrit à un ami: "Ils n’arrêtent pas de parler des mêmes vieux trucs, Velázquez pour la peinture, Michel-Ange pour la sculpture." Une fois de plus, Picasso déserte les cours pour arpenter la ville et peindre ce qu’il remarque: des gitans, des mendiants et des prostituées. En 1899, il s’installe enfin à Barcelone et rencontre une foule d’artistes et d’intellectuels qui fréquentent un café appelé "El Quatre Gats", "les quatre chats". Inspiré par les anarchistes et les radicaux qu’il y rencontre, Picasso rompt alors définitivement avec les méthodes académiques et entame ce qui allait devenir un long processus d’expérimentation et d’innovation pour sa vie artistique. En juin 1898, il retourne à Barcelone, puis part pour Horta de Sant Joan, le village de son ami Pallarès, situé près de la ville de Gandesa où il partage la vie des paysans. Plus tard, il dira: "Tout ce que je sais, je l'ai appris dans le village de Pallarès". En avril 1899, il est de nouveau de retour à Barcelone, où il s'installe rue des Escudillers. Il rencontre Miquel Utrillo, se lie d'amitié avec le poète Jaime Sabartés, Carlos Casagemas, le peintre Opisso, le sculpteur aragonais Pablo Gargallo et Julio Gonzalez. Une exposition de ses peintures se tient dans le cabaret "El Quatre Gats" en février 1900.
"La peinture n’est pas faite pour décorer les appartements. C’est un instrument de guerre offensive contre l’ennemi. Il faudrait pouvoir montrer les tableaux qui sont sous le tableau. Quand je travaille, ça me repose. Ne rien faire ou recevoir des visites me fatigue". Il est alors fortement influencé par le modernisme catalan à cette époque. Sa toile, "Les Derniers Moments", représente l'Espagne à l'Exposition universelle de 1900 à Paris. Il part, avec Casagemas dont il est proche, pour la capitale française où il s'installe dans l'atelier du peintre catalan Isidre Nonell à Montmartre. Picasso s'imprègne de l'atmosphère du Moulin de la Galette et rencontre le marchand Pedro Mañach, ainsi que Berthe Weill qui lui achète trois scènes de tauromachie, les premières toiles qu'il vend à Paris. Réalisant des œuvres de commande, il vend aussi quelques pastels à des amateurs. Il rentre à Barcelone le vingt décembre, avec Casagemas que le peintre emmène avec lui jusqu'à Malaga pour le sortir de sa mélancolie. À la mi-janvier 1901, Picasso part pour Madrid. Le dix-sept février, Casagemas, après avoir tenté de tuer son amante Germaine, qui était une danseuse volage du Moulin rouge, se suicide à Paris. Picasso, bouleversé par la mort de son ami, peindra un tableau clé, "La Mort de Casagemas", dont il dira qu'il a conditionné grandement son passage à la période bleue, empreinte de douleur, de tristesse et faisant référence aux grands maîtres espagnols. En avril 1901, il retourne à Barcelone puis, en mai, il repart à Paris et s'installe boulevard de Clichy, chez Pedro Mañach qui le loge pendant quelques mois dans son appartement personnel et lui offre un salaire. Il livre alors quelques dessins à des périodiques humoristiques parisiens qu'il signe sous le nom sibyllin de "Ruiz27". Le Bateau-Lavoir semble avoir été construit de bric et de broc avec cette succession d’étages qui s’élèvent entre deux rues et une distribution irrationnelle de logements et de couloirs. C’est qu’il n’a été divisé en une trentaine d’ateliers que dans un deuxième temps. Le nom sous lequel cet immeuble est entré dans l’histoire ne lui viendra qu’un peu plus tard.
“Pour apprendre quelque chose aux gens, il faut mélanger ce qu'ils connaissent avec ce qu'ils ignorent. C’est l’âge qui nous a forcé à arrêter, mais il reste l’envie de fumer. C’est la même chose que pour faire l’amour. On ne le fait plus mais on en a encore envie". Lorsque Picasso s’y installe, il est connu comme "la maison du trappeur". Le confort et l’hygiène dans ce quartier populaire n’étant pas une priorité, un seul cabinet d’aisances et un seul robinet sont partagés par les locataires, pour la plupart des artistes fauchés, qui ne paient qu’un loyer modeste. Un marchand de légumes, de moules, un homme-sandwich et un ténor italien y ont aussi leurs pénates. Pablo Picasso, en avril 1904, arrive à Paris accompagné de Sebastià Junyer Vidal et du chien Gat, que lui a donné Miquel Utrillo. Ses œuvres qui ont pour lui de l’importance l’ont suivi, les autres, qu’il considère comme des travaux de jeunesse, sont restées à Barcelone. Junyer Vidal, qui paie le loyer de l’atelier situé à l’étage supérieur du Bateau-Lavoir, du côté de la rue Émile-Goudeau, et dont le mobilier est réduit au minimum, profite de l’unique lit. Picasso, lui, se contente d’un tapis. Pablo Picasso, en octobre 1906, a vingt-cinq ans. Il n’est donc encore qu’un jeune peintre et rarement un peintre, âgé seulement d’un quart de siècle, s’est imposé dans la peinture avec une telle maîtrise, une telle originalité. Il a désormais, il le sait, la main d’un maître au service d’un regard des plus personnels et hors des voies traditionnelles de la peinture. Cela, c’est déjà la maturité d’un artiste qui s’avance avec, certes, de l’ambition, mais sans l’insolence des jeunes turcs qui, ne respectant pas leurs ancêtres, veulent comme le soutenaient les ultraïstes espagnols "couper le cordon ombilical". Il a l’œil sur ses prédécesseurs, les classiques autant que les initiateurs d’une modernité dont personne ne peut encore savoir ce qu’elle sera, surtout pas lui. Il est loin de se prendre pour un prophète, et de prôner quelque révolution que ce soit. Il ne se soucie pas d’être le Moïse de la peinture du XXème siècle, contrairement à Cézanne, qui déclarait être en quête d’une terre promise, et qui mourut en ce même mois d’octobre 1906 sans avoir trouvé où s’enraciner, en chemin jusqu’à sa dernière œuvre et encore alors dans l’inachèvement, plus taraudé de questions que fier de certitudes. Il ne veut rendre de compte qu’à lui-même. Parce qu’il ne peint que pour lui-même. Parce que sa vie est là, non ailleurs. Parce qu’il ne peut s’accomplir que là. Pas plus qu’il n’a choisi, un jour, de s’engager en peinture, il n’a de plan de carrière. À chaque tableau, il remet en jeu son acquis.
"Qui voit la figure humaine correctement: le photographe, le miroir ou le peintre ? La peinture, ce n'est pas copier la nature mais c'est apprendre à travailler comme elle". Au Salon d’automne de 1912, le cubisme fait scandale. Paris s’émeut de voir déferler les vandales, ces émules de Braque et de Picasso qui se haussent du col dans un monument national, le Grand Palais. On en débat même à la chambre des députés où les partisans de la liberté d’expression et de la création s’opposent aux défenseurs d’une tradition qu’ils aimeraient voir bouger le moins possible. À cette époque, les impressionnistes étaient des fumistes qui peignaient mal. Les cubistes, eux, sont des malfaiteurs, pour la plupart étrangers, qui agressent la nation. Le scandale n’intéresse pas Picasso, qui se tient à l’écart des Salons. Il n’attaque personne, ne défend personne, ne s’avance pas en héraut du cubisme, regarde de haut ses suiveurs, les Gleizes, Metzinger, Delaunay, qui tirent les marrons du feu, maigres châtaignes dans des braises hésitantes. Et tant pis si l’ami Apollinaire fait preuve d’un fâcheux aveuglement à l’égard de ces cubistes mineurs. Tant pis aussi si Leo Stein le lâche au profit de Matisse. Heureusement, Gertrude lui reste fidèle. En ces temps de polémique dérisoire et alors que monte la tension plus grave qui prélude à la guerre, Picasso préfère quitter Paris et retourner à Céret. En emmenant, bien sûr, Éva, auprès de laquelle il connaît une satisfaisante paix amoureuse, qui le change des foucades de Fernande. Le printemps s’éveille sur la montagne. Manolo et Burty Haviland sont toujours aussi chaleureux, détendus, heureux d’avoir jeté là leur ancre. Pablo s’installe à un étage d’une grande bâtisse, la maison Delcros, où il a déjà séjourné en 1911. Il y fait venir Max Jacob qui, alors continuellement fauché, n’hésite pas à profiter de l’hospitalité de son ami.
"Je mets dans mes tableaux tout ce que j'aime. Tant pis pour les choses, elles n'ont qu'à s'arranger entre elles. Il faut bien que la nature existe, pour pouvoir la violer". Le huit janvier 1927, une jolie jeune fille sort des Galeries Lafayette. À moins que ce ne soit du métro qu’elle a pris pour se rendre au grand magasin. Elle est seule, ou accompagnée de sa sœur. Elle n’a que dix-sept ans, mais paraît sortie depuis longtemps de l’adolescence. Sa beauté va alors entrer dans l’histoire de l’art. Pablo Picasso, au même moment, passe boulevard Haussmann. L’homme est séduit, le peintre est ébloui. Marie-Thérèse Walter a raconté elle-même cette histoire, quarante ans plus tard, dans un entretien accordé à un journaliste de Life, une autre fois à Pierre Cabanne. Picasso l’aurait abordée, la prenant par le bras, se présentant, lui faisant part de son intention de faire d’elle un portrait et proclamant qu’ils réaliseraient de "grandes choses ensemble". Une version plus romanesque a été donnée de cette histoire par la sœur de l’intéressée, qui a confié ses souvenirs à un enquêteur diligent. Les deux jeunes filles, emplettes faites, se seraient dirigées vers la gare Saint-Lazare, où Marie-Thérèse devait prendre le train pour regagner le domicile familial à Maisons-Alfort, alors que son aînée, déjà indépendante, résidait à Paris. Le peintre les aurait suivies, les observant à travers un trou fait dans son journal, puis aurait abordé Marie-Thérèse, une fois celle-ci seule. Il lui aurait alors dit que, chaque jour, il l’attendrait ici même, dans la gare, à dix-huit heures. Un peu plus tard, elle serait revenue, avec sa sœur mise dans la confidence, tout simplement pour voir si l’homme avait tenu son engagement. Les critiques d’art et les historiens divisent généralement la carrière d’adulte de Pablo Picasso en périodes distinctes. La première a duré de 1901 à 1904 et s’appelle sa "période bleue", d’après la couleur qui a dominé presque tous ses tableaux au cours de ces années. La "période rose" est celle du Bateau-Lavoir, ensuite arrive la période "cubiste", entremêlée d'influences africaines, notamment congolaises. Ce cycle est marqué au début par les deux figures du côté droit des "Demoiselles d'Avignon" qui ont été en partie inspirées par les masques africains que Picasso possédait. C'est le début de son engagement auprès du mouvement surréaliste.
"Pourquoi je suis communiste ? C’est bien simple. Je possède un milliard et je veux le garder. La beauté des femmes n'est faite que pour être sublimée par le viol du pinceau. La couleur rouge est aussi celle du sang". À partir de 1927, il s’engage dans un nouveau mouvement philosophique et culturel, le surréalisme, dont la manifestation artistique est le produit de son propre cubisme. La peinture surréaliste la plus connue de Picasso, considérée comme l’une des plus grandes peintures de tous les temps, fut achevée en 1937, pendant la guerre civile espagnole: “Guernica”. Après que les bombardiers allemands soutenant les forces nationalistes de Francisco Franco eurent mené une attaque aérienne dévastatrice contre la ville basque de Guernica le vingt-six avril 1937, Picasso, indigné par les bombardements et l’inhumanité de la guerre, peint cette œuvre. En noir, blanc et gris, le tableau est un témoignage surréaliste des horreurs de la guerre, avec un minotaure et plusieurs figures humaines dans divers états d’angoisse et de terreur. "Guernica" reste l’une des peintures anti-guerre les plus puissantes de l’histoire. Contrairement à l’éblouissante complexité du cubisme synthétique, les tableaux ultérieurs de Picasso présentent une imagerie enfantine et une technique brute. Abordant la validité artistique de ces œuvres plus tardives, Picasso a fait alors remarquer un jour à propos du passage d’un groupe d’écoliers dans sa vieillesse: "Quand j’étais aussi jeune que ces enfants, je savais dessiner comme Raphaël, mais il m’a fallu une vie pour apprendre à dessiner comme eux". "Si le tableau de Picasso présente quelque défaut, c’est d’être trop vrai, terriblement vrai, atrocement vrai", déclara Max Aub, qui fut le commanditaire du tableau pour le compte du gouvernement républicain espagnol. Aujourd'hui, il est conservé au Musée national Reina Sofia de Madrid.
"J'ai mis toute ma vie à savoir dessiner comme un enfant. Les ordinateurs sont inutiles. Ils ne savent que donner des réponses. Donnez-moi un musée et je le remplirai". Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Picasso est devenu plus ouvertement politique, rejoignant le Parti communiste. Il a reçu à deux reprises le Prix international Lénine pour la paix, d’abord en 1950, puis à nouveau en 1961. À ce moment de sa vie, il était une célébrité internationale, l’artiste vivant le plus célèbre du monde. Bien que les paparazzi aient fait la chronique de chacun de ses mouvements, peu d’entre eux ont prêté attention à son art à cette époque. Picasso a continué à créer de l’art et à maintenir un programme ambitieux dans ses dernières années, croyant superstitieusement que le travail le maintiendrait en vie. Un an avant sa mort, il a créé à l’aide d’un crayon et d’un crayon l’incarnation de son œuvre ultérieure, "Self Portrait Facing Death". Le sujet autobiographique, dessiné avec une technique brute, apparaît comme quelque chose entre un humain et un singe, avec un visage vert, des cheveux roses. Pourtant, l’expression dans ses yeux, capturant toute une vie de sagesse, de peur et d’incertitude, est l’œuvre indubitable d’un maître à la hauteur de ses pouvoirs. Le sept octobre 1944, s'ouvre alors le Salon d'Automne et la rétrospective Picasso. "Le Charnier" est peint en mai 1945, d'après le souvenir de la découverte en décembre 1944, du corps supplicié de son ami, le jeune poète surréaliste Robert Rius. Picasso part avec Dora Maar pour le cap d'Antibes, en juillet, et, le 26 novembre, Françoise revient vivre chez Picasso. Elle partage sa vie et l'inspire. Elle lui donnera deux enfants, Claude et Paloma. Ils s'installent à Vallauris où il commence une activité de céramiste. En 1953, Françoise Gilot et Picasso se séparent. Coureur de jupons depuis toujours, Picasso a eu d’innombrables relations avec des amies, des maîtresses, des muses et des prostituées, ne se mariant que deux fois. Il a épousé une ballerine nommée Olga Khokhlova en 1918, et ils sont restés ensemble pendant neuf ans, se séparant en 1927. Ils avaient un fils ensemble, Paulo. En 1961, à l’âge de soixante-dix-neuf ans, il épouse sa deuxième femme, Jacqueline Roque. Elle se suicide en 1986. Entre deux mariages, en 1935, Picasso rencontre Dora Maar, une collègue artiste, sur le tournage du film "Le Crime de Monsieur Lange" de Renoir (sorti en 1936). Il a eu quatre enfants: Paulo, Maya, Claude et Paloma.
"Le goût est l’ennemi de la créativité. De nos jours, l'on ne va plus à l'asile, on fonde le cubisme. J’essaie toujours de faire ce que je ne sais pas faire, c’est ainsi que j’espère apprendre à le faire". En février 1949, "La Colombe" est choisie par Aragon pour l'affiche du Congrès de la Paix qui ouvre à Paris, le vingt avril. Le dix-neuf avril 1949 naît Paloma. Le six août 1950, Laurent Casanova inaugure "L'Homme au mouton" à Vallauris. Picasso exécute "La Chèvre", "La Femme à la poussette", "La Petite Fille sautant à la corde". Le quinze janvier 1951, il peint "Massacre en Corée". En 1952, il dessine "La Guerre et La Paix" pour la décoration de la chapelle de Vallauris, qui deviendra le musée Picasso. En juin, Picasso achète le château de Vauvenargues, dans lequel il emménage l'année suivante, déclarant à Daniel-Henry Kahnweiler, son ami marchand d'art, étonné: "J’ai acheté la Sainte-Victoire de Cézanne. Laquelle ? La vraie, l'unique". L'inauguration de la rétrospective au Grand Palais et au Petit Palais se déroule le dix-neuf novembre 1966. En janvier 1970, le musée Picasso de Barcelone reçoit la donation des œuvres conservées par sa famille. Une exposition se déroule au Palais des Papes d'Avignon de mai à octobre. Picasso meurt le huit avril 1973 d'une embolie pulmonaire. Il est enterré deux jours plus tard dans le parc du château de Vauvenargues dans les Bouches-du-Rhône, selon la décision de sa femme Jacqueline et de son fils Paulo, après que la mairie de Mougins ait refusé l'inhumation sur sa commune, voyant en lui un "communiste milliardaire". L'enterrement a lieu dans une ambiance familiale délétère, Marie-Thérèse Walter, sa fille Maya ou Paloma, ainsi que son fils Claude se voyant interdire l'accès au château. Selon le vœu de Picasso, la sculpture monumentale en bronze "La Femme au vase" est scellée sur sa tombe, dans le parc du château. Jacqueline Roque sera elle-même enterrée à ses côtés en 1986. Il est souvent dit de Picasso qu’il était un "homme à femmes" misogyne. Dans ses mémoires, "Grand-père", Marina Picasso, sa petite-fille, décrit ainsi son traitement des femmes: "Il les soumettait à sa sexualité animale, les apprivoisait, les ensorcelait, les ingérait et les détruisait sur ses toiles. Après avoir passé de nombreuses nuits à extraire leur essence, une fois qu’elles étaient asséchées, il les délaissait". "L'amour est une ortie qu'il faut moissonner chaque instant si l'on veut faire la sieste étendu à son ombre. Au fond il n’y a que l’amour. Quel qu’il soit". Les femmes qu'il fréquentait étaient ses muses.
"Tout acte de création est d’abord un acte de destruction. L’art est un mensonge qui permet de dévoiler la vérité. Nos morts continuent de vieillir avec nous". Picasso aimait la vie et la dévorait avec ses mains et ses outils, pinceaux, burin, terre, plâtre, marbre, bronze, comme si c’étaient ses mâchoires. Il n’avait qu’une idée: avancer. Avancer pour se libérer, avancer pour libérer les gens, avancer pour libérer l’art de la soumission, de la médiocrité, de la routine. Avancer au-dessus des obstacles contre tout et, quelquefois, contre tous. Parce que si, pour Gabriel Celaya, poète espagnol contemporain de Picasso et compagnon de route communiste, "la poésie est une arme chargée de futur", pour Picasso c’est l’art qui est une arme chargée de futur. Iconoclaste, insolent, engagé, Picasso est un artiste universel réunissant en lui-même les caractéristiques profondes de la Méditerranée: le feu dans les convictions. La rage pour faire évoluer l'esprit comme son univers à lui. Jeu des extrêmes où se réunissent toutes les contradictions des hommes et des femmes libres, ou non. La lutte ancestrale entre l’homme et la bête, sa passion pour la corrida et le "Minotaure". Les passions, publiques et privées, sans mesure et exprimées dans la provocation et en même temps les relations glaciales avec certains de ses proches. Sang et feu, une Espagne toujours rêvée et revisitée à partir d’un exil impossible à surmonter à cause d’un régime instauré dans le sang et le feu. Pendant la guerre, il a tenu bon, en peignant. Il a traversé le temps de l’occupation sans rien changer à ses habitudes, recevant même des allemands dans son atelier quand il ne pouvait faire autrement, tout en confortant ses amitiés avec certains qui s’impliquaient dans la Résistance. Il n’a pas abandonné la peinture pour la clandestinité, mais il ne s’est aucunement compromis et, dans Paris libéré, il apparaît comme le triomphe de l’art moderne sur la barbarie. Il est fêté, couronné d’une gloire qu’il n’a pas recherchée, visité comme un monument historique. Ernest Hemingway, écrivain-soldat, sort du Ritz où il a ses quartiers pour venir le saluer et, ne le trouvant pas, lui laisse en cadeau une caisse de grenades. Le photographe Robert Capa, rescapé du débarquement, le photographie et bien d’autres G.I.s tentent leur chance auprès de Sabartès pour l’approcher. Des amis sortent de l’ombre dans laquelle ils s’étaient cachés, auréolés du prestige d’un autre courage, tel Paul Éluard, plus fraternel encore et avec une seule idée en tête: entraîner Picasso au Parti communiste, où lui-même a rejoint Louis Aragon. D’autres aimeraient au contraire qu’un peu d’ombre leur permette de faire oublier qu’ils n’ont pas été exemplaires. Des jeunes filles viennent à lui, qui ne demandent qu’à se laisser séduire. Une grande part de mythe fige finalement les choses et cache l’essentiel: une œuvre foisonnante, riche, insaisissable, à savourer toujours dans le présent, à l’instar de son processus créatif inscrit dans l’immédiateté du réel que Picasso désire dévorer à pleines dents: "Je n’en peux plus de ce miracle" disait-il "qui est de ne rien savoir dans ce monde que d’aimer les choses et les manger vivantes. Au fond, je suis un poète qui a mal tourné".
Bibliographie et références:
- Anne Baldassari , "Picasso surréaliste"
- Brassaï, "Conversations avec Picasso"
- Pierre Cabanne, "Le siècle de Picasso"
- Sophie Chauveau, "Picasso, le minotaure"
- Jean Clair, "Picasso, sous le soleil de Mithra"
- Pierre Descargues, "Pablo Picasso"
- Philippe Dagen, "Picasso, ou le génie brutal"
- Pierre Daix, "La vie de peintre de Pablo Picasso"
- Dominique Dupuis-Labbé, "Picasso érotique"
- Françoise Gilot, "Vivre avec Picasso"
- William Rubin, "Picasso et Braque"
- Olivier Widmaeir, "Picasso portrait intime"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Cet article conte la même punition que celle déjà décrite par Lily dans un article précédent, puis la suite de la séance, du point de vue du Maître cette fois-ci. Ce récit est plus long et plus détaillé car écrit plus tôt, et écrire des articles n’est pas ce que Lily aime le plus. Publier un texte sur sa punition faisait d’ailleurs partie intégrante de son châtiment.
Comme les fois précédentes, je laisse Lily se préparer, pendant que je prépare de mon coté le matériel photo et vidéo. Cette fois-ci je porte attention sur ma tenue : pantalon de costume, chaussures de ville et chemise HUGO BOSS, bref tenue un peu classe, ça fait son effet sur ma Lily.
Une fois prête, elle arrive dans le salon, vêtue d’un petit masque sur les yeux, de son collier de soumise, d’un harnais sur le buste, de collants ouverts, un string noir, son plug en verre et ses talons aiguilles.
Je prend le temps de l’observer un peu, je la fais asseoir sur le canapé, face à moi, jambes écartées.
Je lui pose des ventouses sur ses tétons puis ma main se pose sur son entrejambe, je sens la chaleur de sa petite chatte à travers le tissus de son string, je la caresse un peu, puis c’est ma bouche qui viens se poser sur son petit minou, je tire son string sur le coté et ma c’est ma langue viens dire bonjour à ses lèvres…
Quelques minutes s’écoulent... Lily profite de ce moment de tendresse, puis je lui rappelle que je dois la punir.
En effet, lors de notre dernière séance, Lily avait oublié de mettre ses talons aiguille, elle avait également oublié de recopier la liste des ses obligations préalables à nos séances, ça commence à faire ! Je ne peu pas tolérer autant d’étourderies, Lily doit y passer...
Donc, pour sa première punition relative à l’oubli du recopiage de sa liste d’obligations, je décida qu’elle n’allait non pas la recopier une seule fois, mais cinq fois !
Mais que vais-je faire moi pendant qu’elle recopie ses foutues lignes? La regarder en me pignolant ? Non ! Elle recopiera donc ses lignes pendant que je la sodomise ! Bon moyen de passer le temps, n’est-ce pas ?
C’est parti, je l’installe sur une chaise, à genoux sur celle-ci afin que son cul me soit bien accessible. Papier et stylo devant elle, je lui demande d’attendre avant de commencer à écrire, j’installe éclairage et camera afin d’immortaliser ce moment, je lui ôte son plug, une goutte de lubrifiant sur ma queue et je la glisse aussitôt entre ses fesses.
A présent elle peut commencer à recopier.
Je la pénètre lentement, sans entrain, pas de course de Formule 1 ici, mais plutôt un tracteur labourant son champ, lentement mais sûrement. C’est une sodomie ennuyeuse... en apparence. Je ne veux pas qu’elle prenne de plaisir, elle doit subir, c’est une punition après tout.
De mon coté, je feins de ne prendre aucun plaisir.
Mais soyons honnête, difficile de ne prendre aucun plaisir à pénétrer un beau petit cul hein ?
D’ailleurs, au bout de cinq minutes environ, je sens que je vais jouir, je me retire de son cul, des gouttes de sperme coulent du bout de ma queue, puis j’expulse une grosse giclée, qui vient atterrir sur ses fesses… Je ne m’étais pas branlé et nous n’avions pas baisé non plus depuis au moins trois jours, les citernes étaient pleines.
La pression étant redescendue, je bande toujours et je reviens donc dans son petit cul. Je m’autorise parfois un petit tour dans sa chatte ou l’utilisation d’un gode, je contemple son anus qui commence à se dilater, tranquillement . Beau boulot me dis-je.
De temps à autres, Lily pose son stylo et relève la tête pour apprécier ce moment. Bien entendu je lui rabaisse la tête dans ses ligne et lui ordonne de continuer en intensifiant légèrement mes coups de queue.
Au bout de quinze minutes environ, Madame a finit de recopier ses lignes, encore quelques aller-retours dans son cul, j’ai toujours un mal fou à sortir de celui-ci, puis c’est la pause.
On se désaltère un peu, puis nous enchaînons sur la deuxième punition.
Punition plus physique cette fois, puisque je vais cravacher ma petite Lily, je vais la cravacher jusqu’à ce qu’elle prononce notre safeword.
Safeword qu’elle prononcera quand elle sera à environ 10 % de sa limite.
Elle est prévenue, elle se conditionne donc mentalement à ce qui va se passer.
Et de mon coté cela me permettra d’avoir une idée de jusqu’où je peux aller avec elle.
Elle est donc à genoux sur le canapé, son cul face à moi. Je lui pose son crochet anal, que j’attache avec une corde et je passe la corde dans une boucle de son harnais afin de pouvoir y mettre un peu de tension. Puis tombent les premiers coups, plutôt gentillets, sur différentes partie de son corps, la cravache dans une main et la corde du crochet dans l’autre.
Les minutes passent et les coups s’intensifient et se concentrent de plus en plus sur ses fesses.
Plus le temps passe, plus les claquements résonnent dans la pièce.
Ses fesses prennent de la couleur, je calme le jeu de temps en temps en venant glisser ma queue dans son postérieur, difficile de résister à la tentation. Je prend soin de lui dire qu’elle est ma chienne. Mais surtout, je le lui fait dire à haute voix, c’est vraiment quelque chose de terriblement excitant de l’entendre dire « oui Maître, je suis votre chienne ».
Au bout d’une quinzaine de minutes, les coups pleuvent, je trouve que j’y vais fort, mais ma Lily n’a pas l’air prête de prononcer son safeword, je m’assure qu’elle est toujours là, je lui demande de me rappeler le safeword, elle s’exécute, Lily est toujours bien consciente, je peut continuer.
Je me lâche vraiment, je la cravache violemment et de plus en plus rapidement, je vois Lily qui commence à se tortiller, à vouloir éviter les coups, je n’entend rien, je continu.
Ce n’est qu’au bout d’une bonne vingtaine de minutes que le fameux safeword sort de sa bouche.
Les coups s’arrêtent immédiatement, je pose mon instrument de torture et je viens effleurer ses fesses, rouges et brûlantes, puis je la prend dans mes bras. Elle à besoin de réconfort, moi aussi à vrai dire, c’était assez intense, pour tous les deux.
On bois un coup, madame tire quelques taffes sur sa cigarette électronique, on discute un peu, un petit debriefing rapide sur cette punition, chacun y a trouvé son compte.
Afin de redescendre en douceur, on s’octroie un petit 69 dans la chambre. Je prend un plaisir immense à perdre ma bouche dans l’entrejambe de madame pendant que ses lèvres glissent le long de ma verge.
Instants de pur bonheur, puis je lui demande de venir s’asseoir sur ma queue.
Elle s’exécute et se met ma bite dans sa chatte, c’est son choix, je n’ai rien précisé après tout.
Après quelques aller-retours, sans aucune instruction de ma part elle se la met dans le cul, elle me connaît tellement bien ma petite Lily...
Je suis dans son cul, nos langues commencent à s’entremêler, l’excitation commence à monter, j’ai envie de lui défoncer le cul, mais je veux filmer tout ça, immortaliser ce moment. Lily n’a pas l’air de vouloir interrompre ce moment torride, j’avoue que j’aimerai le continuer aussi, mais non, je décide de vouloir garder un souvenir de ce moment.
Je me retire, un gode traîne sur le lit, je lui donne et je lui demande de se le mettre dans le cul le temps que j’installe le matériel.
Je vais chercher la caméra, quand je reviens, Madame s’est mis ce long gode en silicone (double ended dildo) en double pénétration, anal/vaginal, la coquine.
Bref, une fois le matos installé, nous reprenons nos ébats où nous les avions stoppés.
Lily remonte sur moi pour me chevaucher, directement dans ses petites fesses.
Je la sodomise gentiment tout en lui mangeant les seins, j’affectionne tout particulièrement cette position : je noie mon visage dans ses seins et ma queue se noie dans son cul, sensation exquise !
Puis soudainement, je ne veux plus de douceur, je veux du hard, je veux lui démonter le cul.
Toujours sur moi, madame se mets en position accroupi, j’ai une bonne amplitude de mouvement, et je commence immédiatement à la pilonner, fort, très fort. En regardant les vidéos, je pense que je ne l’ai jamais pénétrée aussi rapidement d’ailleurs.
Puis je la serre contre moi, on retombe dans la douceur, on fusionne.
On recommence ainsi trois ou quatre fois. Je ne me rappelle plus si j’ai éjaculé, mais en tout cas je suis vidé. J’ai encore envie de malmener son postérieur, mais mon corps ne suit plus. Une pause s’impose.
Il est environ 17H, j’ai prévu d’emmener Madame au restaurant ce soir, on décide de faire une petite sieste, histoire d’être en forme pour le repas.
Une fois reposés, nous nous préparons pour sortir, Madame mettra un gros décolleté et je lui impose de porter son collier d’appartenance, ça sera la première fois qu’elle le porte en public.
Lily n’a pas l’habitude porter des décolletés, encore moins en public, elle n’est pas très à l’aise en arrivant au resto, il y a déjà quelques personnes attablées, mais bon rien d’insurmontable et je prend un plaisir coupable de la voir ainsi dans un lieu public, c’est assez excitant je dois avouer.
Après le repas nous avions prévu de continuer la séance, mais autant Lily que moi même n’avons pas l’énergie.
On décide de se poser devant un film, ce sera « Domination », très bon film sur le SM, tiré d’une histoire vraie.
Durant le film, je n’ai quand même pas pu m’empêcher de ressortir la cravache, quelques coups, pas très méchants, juste histoire de redonner un peu de couleur à ses petites fesses, que je finirais par pénétrer évidemment, tout en douceur, jusqu’à jouir dans son petit cul, au plus profond de celui-ci...
C’est ainsi que nous allâmes nous coucher, lessivés, mais disposés à faire de jolis rêves…
Bilan de la séance : Bien que nous ayons apprécié chaque instant de cette séance, le bilan de celle-ci est en demi teinte.
Pourquoi ?
Tout simplement car celle-ci est inachevée.
J’avais prévu que cette rencontre se déroule en 4 temps :
-Première punition
-Deuxième punition
-Partie de baise sur le lit
-Jeu de cire/bougie avec Lily attachée sur le lit
Je sais que Madame attendait avec impatience cette dernière partie, malheureusement, je n’avais plus la force physique et mentale pour le faire. J’ai eu les yeux plus gros que le ventre.
Lily était dans le même état que moi, donc sur le coup, la déception fut estompée.
Cette déception, était partagée, moi son Maître, je n’ai pas pu assurer jusqu’au bout, je ressentait un sentiment de défaillance, alors que je suis censé être son phare dans la nuit, son protecteur…
Comment garder cette image de Maître protecteur/dominant si Madame ne peu pas me faire confiance ?
Plus les séances passent, plus je me rend compte de l’énergie que cette pratique demande.
Avant je fantasmais la chose : je fermais les yeux et le décor était planté, ma soumise était là, dans la position que je souhaitais, sans même lui avoir demandé, je bandais toujours dur, comme par magie, le fouet, la cravache, le martinet, les sextoys, tous les accessoires étaient à porté de main, pas besoin de les chercher ! Avec le peu d’expérience que j’ai, je me rend compte que la réalité est bien plus dur, bien plus compliquée, mais aussi bien meilleure...
A l’avenir, il faudra que je tienne compte de mes limites aussi.
Bref, après discussion, Lily me demande maintenant que je la fasse jouir à chaque séance.
Je ne vois pas comment je peu lui refuser ça.
La challenge pour moi sera d’arriver à la faire jouir tout en ayant la possibilité de continuer la séance, je m’en vais réfléchir à la chose…
A la prochaine, séance.
MJ.
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Amis lecteurs, bonjour,
J’ai hésité à écrire ce texte, parce qu’il ne me met pas en valeur, intellectuellement s’entend.
En effet, j’ai toujours pris mes précautions lors de mes rencontre BDSM. Si vous vous souvenez des épisodes précédents, J’ai dominé « Géraldine » dans l’épisode 1 et lui ai offert tous les gages de sécurité. Lorsque Caroline m’a pris en main (Episode 2), je connaissais son « vrai » nom et notre discussion matinale avait clarifié le menu de ce que qui m’attendais. L’épisode 3, bien qu’improvisé, était sécurisé car en présence de quelqu’un que je considérai, à l’époque, comme un ami et, pour être honnête, la partie BDSM avait été, au final, un préliminaire à un acte vanille mémorable (tousces épisodes sont disponibles sur ce site).
Toujours prudent donc, sauf lors de cette soirée, je m’en vais vous conter :
Petite précision, je suis membre d’un serveur Discord basé sur le BDSM et plusieurs membres de ce serveur m’ont affirmé que ce texte aurait une utilité publique pour ceux, et surtout celles qui, parmi vous, ne prennent pas toutes les précautions nécessaires avant la première séance.
Allez, on est parti :
Vous vous souvenez de l’association militante qui nous avait réuni Sylvana, Fabienne, l’autre Frédéric et moi-même dans l’épisode précédent ? C’était une période où nous allions être appelé à nous voir souvent car préparatoire à un festival dont nous avions la charge. Une semaine après cette soirée magique, donc, retour en réunion. Nous étions à 10 jours du premier concert et j’avais la charge du Catering pour les artistes, donc des achats de nourriture, de boissons et autres friandises pour toute la durée de l’événement. Le frais était géré
par commande « traiteur » et je devais m’occupais des boissons, chips, des friandises et tout autre truc qui ne se périmait pas en une soirée.
Grosse commande, donc, pour 6 concerts déjà complets.
Seulement voilà, à l’époque, je n’avais pas de voiture (et pas le permis), car Lille est une ville où le métro, le tramway et autres lignes de bus font leur boulot (et pour pas cher à l’époque). Je n’ai passé mon permis que quelques années plus tard après avoir quitté la Capitale de ma région.
Grand étonnement dans le groupe : un mec de mon âge n’est pas armé pour faire ce qu’on lui demande (NDLA : j’ai passé le permis à 28 ans, soit un peu plus de deux ans après). Après leur avoir signalé qu’avoir le permis n’était pas une obligation en France, quelqu’un vint à ma rescousse avant que la discussion ne s’envenime autour du thème « tu aurais pu nous le dire avant ». Ma sauveuse pris la forme de Sylvana, arrivée en retard car place de parking difficile à trouver, tout ça, tout ça.
J’eus envie de l’embrasser pour la remercier mais notre statut relationnel n’étant pas encore très clair, je me retins et repris le fil de la discussion. Sylvana, sa voiture et moi allons nous charger d’entretenir le diabète et le cholestérol de nos invités. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais chez Drucker.
Nous sommes jeudi. Nous avons cours demain, mais mon après-midi est libre, comme d’habitude (cf.épisode 3). Je conviens donc d’un rendez-vous avec ma belle et nous nous quittons, non sans un baiser annonceur d’autres soirées où le ciel et la terre se rejoignent en nos corps ébahis.
Frédéric, de son côté, constatant l’absence de Fabienne, appelle sa dulcinée pour savoir ce qu’il se passe : « pas eu le temps de venir, gros travail à rendre demain mais tu peux passer ce soir, si tu veux, tu dormiras à l’appartement ». Frédéric annule donc la bière qui nous attendait dans notre bar favori en m’expliquant, un peu gêné, qu’entre une bière et Fabienne, il n’y avait pas photo. C’est de bonne guerre, bonne soirée à toi. Va savoir, demain, après les courses, il est possible que je goûte au même fruit que toi.
Vendredi, jour de Vénus, pas de cours demain et je vais passer mon après-midi avec une femme qui commence doucement à m’attendrir. Bref, tous les voyants sont au vert. On passe à l’association récupérer le chéquier et nous voilà partis dans les méandres des temples de la consommation. Deux charriots, remplis à ras bord, parviennent à passer la douane de la caisse et nous partîmes à deux, mais par un prompt renfort, nous nous vîmes une vingtaine en arrivant au port : la salle de spectacle où l’équipe nous attendait avec des sourires, des accolades et des bras utiles pour décharger la marchandise.
Frédéric est là, tout sourire, lui aussi a dû décharger hier… et sans doute ce soir car il va au cinéma avec sa belle. Petit choc. Mon ami est heureux, je suis donc heureux mais, en comparaison, Sylvana ne me montre pas autant d’égard. Je suis dubitatif. C’est un contraste de sentiments que l’on ne rencontre plus guère que chez les chiens joyeux de voir leur maître rentrer avant de se rendre compte que ce dernier était juste passé pour prendre une veste et repartir aussitôt. C’est ça, je suis un chien qui ne sait pas s’il est abandonné ou pas.
Nous avons été efficace, ma belle et moi, il est donc un peu tôt pour envisager un repas quelque part. Je ne peux même pas lui proposer d’aller manger un morceau (#Triste). Sylvana me ramène en voiture et commence enfin à discuter de nous deux, je vous résume : « C’était génial la dernière fois mais, pour ne pas te mentir, je me suis un peu emporté en te sautant dessus. Nous aurions dû finir la partie avant de jouir l’un dans l’autre. »
Mode regard étonné enclenché. En se garant chez moi, elle arrête le moteur et m’explique qu’elle avait longtemps cherché un partenaire BDSM mais avait été soit déçue, soit trompée (le mec ne voulant finalement que du sexe). Elle marquait donc son désir de recommencer. Charmant projet, d’autant que je serai seul aussi ce soir suite à l’abandon inqualifiable dont je faisais l’objet de la part de mon ami (ça se voit que c’est ironique et de mauvaise foi ?).
« Alors voilà, je t’explique, me dit-elle à l’oreille car la fenêtre de sa voiture était ouverte. Ce soir, j’ai rendez-vous avec une dominatrice qui me travaille de temps en temps et qui a clairement envie d’une séance avec une soumise et un soumis. »
La confiance de Sylvana envers sa domina me rassurant, je lui donne mon accord de principe. Rendez-vous près de mon université où la circulation du vendredi soir est plus fluide qu’en centre-ville où j’habite.
Préparation habituelle : douche, affaire propre, rasé de frais, excité espérant finir ma soirée dans les bras de Sylvana (bien que ses bras ne soient pas ma priorité – j’imagine votre tête en lisant ceci et je dois bien avouer que cela me plait :) )
« 4 cantons – Terminus – veuillez quitter la rame, s’il vous plait ». Sylvana est là, en bas de l’escalator.
Elle me regarde comme une valise apparaissant enfin sur le tapis de l’aéroport, me prend par la main et m’emmène dans sa voiture où l’album de « Louise Attaque » nous accompagne, un peu fort il est vrai.
Ma compagne baisse le son de l’autoradio, prend ma main afin, sans doute, de me rassurer et nous nous retrouvons donc à passer les vitesses ensemble. La discussion s’enclenche : « content que tu aies accepté. J’ai hâte de souffrir avec toi. » Vaste programme. Pendant le trajet, nous discutons, de tout et de rien, évitant de soigneusement de parler de « nous », mais cette main me rassure, c’est déjà ça.
Arrivés sur place. Une belle maison nous attend. A l’entrée, une femme nous accueille, habillée en soubrette, les yeux baissés, peu de chance que ce soit notre hôte. Elle prend nos affaires, sacs, sacoches, téléphones portables (oui, ça existait déjà en 2000) et nos manteaux. Elle nous glisse un « c’est par là ». Nous la suivons, intrigués par cette première surprise : nous ne sommes pas les seuls invités.
Premier étage : une chambre sombre, à peine éclairée, nous accueille. Personne. Un petit mot sur le bureau. Belle écriture en délié. « Bonsoir, vous deux, prenez ces menottes et attachez-vous les mains dans le dos aux chaises qui sont derrière vous, et vite ! ».
Sylvana sourit, moi aussi, ça commence bien. Nous exécutons les ordres. Nous sommes face à face à se demander ce qui nous attend. 10 minutes passent, une horloge placardée au-dessus d’une armoire me donne l’info en direct. Des bruits dans l’escalier, des talons, pour être précis. Une femme rentre, me regarde et me dit « Baisse les yeux, soumis ». J’obtempère. Je prends à peine le temps d’estimer l’âge de ma désormais dominatrice, une femme d’une quarantaine d’année, parfaitement au fait des codes du BDSM.
Elle détache Sylvana et lui demande de se mettre en position. Ma compagne se déshabille presque complétement, seule un string lui protège l’entrejambe de ma vue et, déjà, je sens poindre en moi un désir très visible. Elle prend position, a genou, devant sa chaise. Elle me tourne le dos. Ses mains viennent vite le rejoindre grâce aux menottes. Pas un mouvement. Pas un mot. Le silence.
A mon tour, elle me détache également. « En position ! », m’ordonna-t-elle. Je comprends vite. Allez, en slip, à genou et mets tes mains dans le dos. Aucune remarque : j’ai donc bien agi.
A cet instant, je ne me rends pas compte mais je n’ai aucune sécurité : Pas de discussion sur les pratiques acceptées ou non, sur les positions et aucun safeword.
L’excitation du moment m’a fait oublier les précautions d’usage, comme ce jeune intrépide trop exalté par le corps nu devant lui oubliant son préservatif le condamnant à la trithérapie jusqu’à la fin de ses jours.
Je suis dans l’instant. Je profite. J’aime ça. Ça ne va pas durer. Dire que Sandra (le prénom de ma Domina, évidemment modifié pour des raisons évidentes) nous a pris par surprise est un doux euphémisme. D’ailleurs, on ne pas dire « pris », elle nous a soulevé par les cheveux. Les mains dans le dos associés à ce soulevage violent me fait perdre l’équilibre, ce qui accroit la pression sur mes capillaires, persuadés d’en perdre une poignée dans la manœuvre. Une fois debout, mon regard a changé, il exprime la peur, j’ai changé d’univers et ai bien l’impression que Sandra en est fière.
Je tente d’exprimer mon avis sur ce début de séance complétement dingue. Impossible. Le fait d’avoir parlé me condamne au silence. Elle me met un chiffon dans la bouche et me bâillonne avec du scotch. Je panique, tente de me défaire de mes contraintes mais rien n’y fait. Ma tortionnaire, car c’est une, me balade dans la pièce jusqu’à un poteau central, son pilori personnel.
La chambre en question est clairement un donjon aménagé. J’y vois des cages, une croix de Saint-André, des chaines, des martinets, un fouet, une ceinture et tout le matériel qui, d’habitude, me fait clairement entrevoir le paradis.
Mais je me suis trompé de porte, et Saint-Pierre a laissé sa place à Lucifer.
Arrivé au pilori, Sandra comprend clairement que je ne vais pas me laisser faire. Au lieu de me détacher et de me demander, comme dans n’importe quelle séance de domination, de mettre mes mains dans les bracelets en hauteur, elle décide de me retirer mon slip et de me saucissonner les jambes au poteau afin de conserver son pouvoir de contrition sur moi. Les bracelets en cuir viennent ensuite se positionner en dessous des menottes et, une fois libéré de mes fers, je ne puis me débattre longtemps avant de voir les bras rejoindre la verticalité voulue par mon bourreau.
Sylvana a assisté à toute la scène. Elle aurait sans doute voulu tenter une fuite mais la chambre est à l’étage et la porte sans doute fermée et gardée par la soubrette qui, elle, est libre de ses mouvements. Inutile de résister.
Sandra est beaucoup plus forte que Sylvana. D’ailleurs, point de résistance à signaler. Elle rejoint la Croix de Saint-André sans sourciller. La culotte est retirée. La terreur peut commencer.
Si vous êtes arrivés jusqu’ici, vous avez sans doute compris que la suite ne serait délectable que pour des pervers(es) et autres sadiques.
Je ne vais donc pas m’étendre sur ce que j’ai subi, seulement vous indiquer quelques détails :
- Je n’ai pu m’exprimer qu’au bout d’une heure, lorsque ma tortionnaire, m’ayant fait subir des trucs que je ne désirais pas, m’a enfin retiré mon bâillon.
- Aucun code de sécurité n’a fonctionné durant cette séance.
- La violence des impacts a entraîné des conséquences physiques dont quelques (petites) séquelles, apparaissent encore sur mon corps.
- Sylvana ne s’est jamais remise de cette séance. Nous avons passé le reste de la nuit, chez elle, l’un contre l’autre et il me sera impossible de la lâcher avant une heure avancée de la matinée.
- J’ai été suivi pour cette histoire et merci à lui.
- Un médecin a constaté nos blessures et établit un arrêt de travail de 14 jours.
- J’ai déposé plainte le lendemain après-midi pour violence, coups et blessures, seule la séquestration n’a pas été retenue car volontaire au début des faits. Je n’ai pas porté plainte pour agression sexuelle car aucune partie de mon « intimité » n’a été touchée.
- Sandra a négocié avec nous deux « à l’amiable » afin de limiter les frais de procédures. Ce que nous avons accepté.
Quelques mois plus tard, j’étais sorti de cet enfer, car bien accompagné. Sylvana a refusé toute aide. Nous ne sommes plus jamais revus. Je me surprends encore aujourd’hui à penser à elle et à ce qu’elle est devenue mais me refuse de la contacter, de peur de lui provoquer un choc émotionnel. J’attends, elle connait mon nom, elle me retrouvera.
Nous n’avons pas participé au festival (dommage, on avait acheté des Dragibus).
Pendant ma convalescence, en fêtant mon diplôme, je croisai la route d’une jeune femme étant intriguée par le BDSM, j’allais donc retourner dans ce monde sans crier gare et ce fût un retour gagnant puisque, plus de 20 ans après, je suis toujours là, à pratiquer, mais de manière beaucoup plus « safe ». Ah, j’allais oublier, cette jeune femme s’appelait Géraldine (cf. Episode 1)
Désormais, toutes mes rencontres, et surtout les premières, s’organisent de la même manière :
- Deux de mes amies connaissent le lieu, la date et l’heure de rendez-vous, et sont prêtes à réagir au moindre doute.
- Je prends le plus de renseignements possibles sur la personne lors de ce rendez-vous.
- Si quelque chose change, je les préviens.
- Je préviens la personne avec qui j’ai rendez-vous de ce fait.
- Nous avons un Safe Word avec mes amies, si je le prononce, ou l’écrit, cela voudra dire que je ne suis pas libre de mes paroles. La police sera prévenue immédiatement.
Je vous invite à faire de même mais n’oubliez pas, quand même, que nous sommes dans un monde de désirs et de plaisirs. Mais des précautions s’imposent. Alors, soyez prudents et profitez !
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l'homme entre dans une pièce sombre et mystérieuse. Chaque pas qu'il fait sur le sol s'ajoute à son inconfort, mais il sait que ce n'est qu'une partie essentielle de cette expérience unique. Les murs de la pièce sont tapissés de peintures macabres et de symboles énigmatiques, créant une atmosphère sinistre qui envahit ses sens. L'odeur enivrante de la cire brûlée et de l'encens flotte dans l'air, ajoutant une sensation étrange et captivante.
Alors qu'il avance, le son de ses pas résonne dans la pièce, créant une tension palpable qui semble le serrer dans son étreinte. C'est alors que trois dominatrices, Sophia, Isabella et Victoria, se tiennent devant lui dans toute leur puissance et autorité. Leurs tenues mettent en valeur leurs formes séduisantes, accentuant leur pouvoir. Leurs yeux brûlent d'une lueur malicieuse, révélant l'intensité de leur sadisme. D'une voix ferme, elles ordonnent à Pat de s'agenouiller devant elles, lui faisant prendre sa place de soumis.
Les dominatrices s'approchent de lui avec un sourire sadique, leurs mains gantées de cuir s'enfonçant dans le tissu de ses vêtements. Elles les tirent violemment, déchirant les coutures avec une force dérangeante, dévoilant petit à petit sa nudité. Chaque déchirure est accompagnée du son strident des tissus qui se séparent, amplifiant l'humiliation de Pat. Sous leurs mains impitoyables, sa chemise est réduite en lambeaux, son pantalons baissé sans ménagement. Il se retrouve ainsi nu et vulnérable, exposé à leur regard avide.
Sophia, Isabella et Victoria saisissent avec délectation une tenue de soubrette, leurs doigts longs et fins glissant sur les tissus doux et soyeux. Avec une précision cruelle, chaque pièce de la tenue est ajustée sur le corps nu de Pat, accentuant sa soumission et sa vulnérabilité. Le corset étroit est lacé avec une force implacable, comprimant sa taille lui coupant presque le souffle. La jupe courte et évasée, exposant ses jambes tremblantes à leurs regards. Les bas en résille sont tirés avec une précision calculée, mordant légèrement sa peau, marquant son corps comme leur propriété.Elles lui mettent une perruque bouclée, une touche finale qui marque sa transformation complète en soubrette obéissante, prête à satisfaire les moindres de leurs desirs
Pat se tient là, a demi nu et vêtu de cette tenue humiliante, une vision de soumission et de vulnérabilité. Son cœur bat la chamade, mêlant l'excitation et la peur dans une danse enivrante. Il sait qu'il est désormais à la merci de ses dominatrices, prêt à obéir sans poser de questions. Elles sourient avec satisfaction, leur pouvoir et leur autorité s'affirmant davantage.
La pièce sombre et mystérieuse est maintenant remplie d'une énergie électrique, chargée de la tension entre le désir et la soumission. Ses dominatrices se délectent de ce contrôle absolu sur Pat, prêtes à explorer et à repousser les limites de ses fantasmes les plus profonds.
Puis elles se prélassent confortablement sur leurs chaises, commandant à Pat de les servir. Chaque désir et caprice est exécuté avec diligence par Pat, qui se plie à leurs moindres volontés. Pendant qu'il s'affaire, elles le scrutent avec mépris, le taquinant en se délectant de sa soumission.
Soudain, Sophia se lève d'un air autoritaire. Son visage rayonne d'une cruauté sans limites. Sans prévenir, elle assène à Pat une gifle retentissante, sa main claquant contre sa joue avec une violence déconcertante. La douleur se propage instantanément, laissant une marque rouge et brûlante sur sa peau, témoignant de son pouvoir absolu sur lui.
Pendant ce temps, Isabella, s'amuse avec un plaisir sadique à soulever la jupe de soubrette de Pat. Elle révèle ainsi son intimité, l'exposant à leurs regards impitoyables. Elles éclatent de rire, savourant chaque seconde de son humiliation.
Pat, quant à lui, est à la fois envahi par la douleur de la gifle et le sentiment d'humiliation intense d'être exposé ainsi. Son esprit est rempli d'un mélange d'excitation et de crainte. Il sait que sa place est d'obéir et de satisfaire leurs désirs.
La tension dans la pièce est à son comble. Pat est à la merci de Sophia, Isabella et Victoria, prêt à répondre à tous leurs caprices. Elles savourent chaque instant de leur pouvoir, profitant de leur domination totale sur Pat.
Pat reste à la merci de ses dominatrices. Isabella avide de sa domination, décide de lui donner une fessée avec une ardeur implacable. Elle attrape fermement les fesses de Pat, exposées et vulnérables, et les claquent avec une force brutale. Chaque claquement résonne dans la pièce, amplifiant sa douleur et sa honte.Ses dominatrices se délectent de ses gémissements de souffrance.
Malgré la douleur et la honte qui l'envahi, Pat reste captivé par l'excitation mêlée à son humiliation. Il est complètement sous l'emprise de ses dominatrices, prêt à subir tous les châtiments qu'elles lui infligent. Son corps et son esprit sont entièrement à leur disposition.
Les humiliations sont savamment orchestré. Chaque action, chaque regard méprisant, renforce son statut de soumis.
Nos trois dominatrices s'approchent de lui avec un sourire sadique. Leurs yeux pétillent de malice, annonçant l'humiliation à venir. Elles se tiennent devant lui. Leurs doigts effleurent sa peau a demi nu avec dédain, provoquant des frissons d'humiliation mêlée à l'excitation. Chaque caresse annonçant les jeux pervers qui vont suivre.
Avec un sourire, Sophia glisse ses mains sous la jupe de soubrette de Pat. Sans la moindre hésitation, elle la soulève, révélant ses attributs masculins au grand jour. Pat se retrouve vulnérable, exposé à son regard impitoyable. Elle savoure chaque instant de cette mise à nu. Son intimité exposée sans pitié.
Sophia joue avec ses attributs masculins, le ridiculisant sans relâche. Elle les manipulent avec une cruauté déconcertante, les taquinant et les moquant. Ses paroles cinglantes s'ajoutent à l'humiliation de Pat, soulignant son statut de soumis à ses yeux.
La honte envahit Pat, se mêlant à son excitation. Il se sent réduit à un simple jouet.
Elles prennent un malin plaisir à rabaisser Pat, à le ridiculiser sur ses attributs masculins. Ils deviennent le terrain de jeu de leur sadisme, amplifiant son humiliation à chaque instant. Pat est complètement sous leur emprise, offrant son corps et son esprit.
Dans un acte d'humiliation ultime, Victoria ordonne a Pat de s'agenouiller, de se prosterner devant elle, lui rappelant ainsi sa position inférieure. Pat obéit.
Une fois à genoux, Victoria décide de se concentrer sur l'intimité la plus intime de Pat, son anus. Elle affirme qu'elle va en faire une "femelle" à leur service, intensifiant ainsi son humiliation. D'une main ferme, elles écartent ses fesses, exposant son intimité vulnérable. Ses doigts lubrifiés glissent avec facilité, pénétrant son anus avec une détermination cruelle. Chaque mouvement est accompagné d'une sensation douloureuse et humiliante, lui rappelant qu'il est à son entière merci.
Chaque pénétration anale est un rappel brutal de son statut de jouet entre ses mains expertes, de sa dépendance à sa domination impitoyable.
Pat se retrouve pris au piège de sensations douloureuses et humiliantes, mêlées à une excitation indéniable. Son esprit est rempli d'un mélange de honte et de désir, se soumettant pleinement. Il est conscient que son corps et son plaisir sont désormais sous le contrôle absolu de Victoria.
L'humiliation anale devient le symbole de sa soumission totale, de son abandon à sa volonté.
Sophia, Isabella et Victoria ne se contentent pas de la pénétration anale, elles se moquent et ridiculisent Pat sans relâche, lui rappelant qu'il est désormais leur "femelle" soumise, destinée à servir leurs besoins. Leurs mots cruels et dégradants résonnent dans la pièce,chaque pénétration, renforce son statut de jouet sexuel entre leurs mains impitoyables.
Leurs rires sadiques, mêlés aux gémissements de douleur et de honte de Pat, créent une symphonie qui remplit l'air. Ses dominatrices se délectent de sa réaction, savourant chaque instant. Les mains expertes de Victoria continuent de stimuler son anus, alternant entre des mouvements lents et profonds, et des coups rapides et violents. Chaque sensation, chaque douleur, est un rappel constant de son statut d'objet sexuel à sa disposition.
Ses dominatrices n'ont aucune pitié pour Pat, jouant avec lui comme avec une marionnette entre leurs doigts. Elles explorent chaque recoin de son intimité, l'humiliant encore plus en le forçant à exprimer son plaisir face à l'humiliation qu'il subit. Les caresses dégradantes et les mots cruels se mêlent à ses gémissements.
Alors que l'humiliation atteint son paroxysme, Ses dominatrices décident de faire participer d'autres soumis présents dans la pièce, les invitant à se moquer et à ridiculiser Pat. Ils se rassemblent autour de lui, témoins de sa soumission totale et de son humiliation extrême. Les rires et les moqueries fusent de toutes parts, élevant l'expérience à un niveau de perversion inimaginable.
Pat est plongé dans un mélange de douleur, de honte et d'excitation, se soumettant pleinement à leurs désirs
. Il est désormais leur jouet, leur "femelle" soumise, destinée à satisfaire leurs besoins les plus pervers. Les limites sont repoussées, l'humiliation est poussée à son paroxysme,
Ses dominatrices décident de lui attacher une ceinture spéciale, un symbole physique de sa soumission. Elles serrent fermement la ceinture autour de sa taille, marquant ainsi son corps comme leur propriété. Chaque boucle et chaque claquement de la ceinture sont une nouvelle marque de son statut d'objet sexuel à leur entière disposition.
Une fois la ceinture bien attachée, Isabella continue à le ridiculiser avec une cruauté délectable. Elle tire sur la ceinture, le forçant à se courber encore plus bas, lui rappelant avec chaque geste qu'il est à sa merci absolu. Chaque mouvement qu'il fait est contrôlé par Isabella, chaque respiration est dictée par sa volonté.
Ses dominatrices jubilent de leur pouvoir, riant aux éclats alors qu'elles continuent à jouer avec Pat. Leur plaisir se mêle à sa douleur et à sa honte. Leurs rires résonnent dans la pièce, mêlés aux gémissements soumis de Pat, formant une symphonie qui alimente leur excitation et leur plaisir.
Marqué physiquement par la ceinture qui rappelle constamment sa position inférieure. Sa douleur, sa honte et son désir se mêlent dans un tourbillon intense, le conduisant à se perdre dans un océan de sensations troublantes.
Victoria et Isabella s'approchent de Pat, leurs mains puissantes le maintenant fermement, l'empêchant de bouger. Leur force combinée est suffisante pour le maintenir en place, incapable de résister à leur volonté. Leurs regards sont emplis d'une lueur malicieuse, savourant l'idée de ce qui va suivre.
Sophia, la dominatrice attache son gode-ceinture, s'avance avec une assurance déconcertante. Son regard refléte sa volonté de prendre le contrôle absolu sur Pat. Elle se penche vers lui, ses lèvres effleurant son oreille, lui susurrant des mots d'humiliation qui font frissonner sa peau.
"Désormais, tu es notre femelle, notre jouet à notre disposition", susurre Sophia d'une voix rauque, sa voix porteuse de pouvoir. "Tu n'es rien d'autre qu'un objet de plaisir à soumettre et à dominer selon notre bon vouloir."
Le souffle de Pat se mêle à l'excitation et à la peur alors que Sophia guide le gode en direction de son intimité, le pénétrant avec ardeur. Les mouvements sont rapides, puissants, remplis d'une intensité qui le font vaciller . Chaque pénétration est accompagnée de mots cruels et dégradants qui résonnent dans la pièce, lui rappelant de manière brutale et inébranlable qu'il est totalement soumis à leur volonté.
Victoria et Isabella se délectent de sa vulnérabilité et de son humiliation, savourant chaque instant de leur pouvoir sur lui. Leurs sourires malicieux ne font que s'accentuer, leurs rires emplissant la pièce alors que Sophia le pénètre sans relâche.
Pat se retrouve pris au cœur d'une tempête émotionnelle. Les sensations s'entremêlent dans son esprit tourmenté, éveillant des désirs enfouis et des émotions contradictoires. Il est à la merci de ses dominatrices, un simple jouet dans leur jeu de domination et de contrôle.
La scène se poursuit, un ballet pervers où les limites sont repoussées, où les mots d'humiliation se mêlent aux gémissements de Pat. Victoria et Isabella continuent de le maintenir immobile, renforçant ainsi son sentiment d'impuissance et de soumission totale.
Après avoir été pénétré par Sophia, Pat reste se remet à genoux devant elles, les yeux baissés, attendant leurs prochaines instructions. Ses dominatrices se regardent avec satisfaction, savourant leur pouvoir sur lui. Leurs regards brûlants de désir et de domination le maintiennent dans un état de soumission totale.
Avec un sourire Sophia s'approche de Pat. Attrape son menton avec fermeté, le forçant à la regarder dans les yeux. Puis, avec une ardeur dominante, elle l'embrasse passionnément, lui montrant ainsi sa supériorité totale. Leurs lèvres se mêlent dans une danse sensuelle, démontrant la fusion de la douleur et du plaisir qui règne entre eux.
Isabella et Victoria observent avec amusement.Après cette embrassade passionnée, Victoria ordonnent à Pat de se rhabiller. Il obéit, se levant avec difficulté, ressentant à la fois une honte profonde et un étrange sentiment de bien-être. Les marques sont visibles sur son corps,un rappel de son statut de soumis.
Les émotions se mélangent en lui, créant une expérience complexe et troublante. Il ressent une douleur persistante, les marques et les empreintes de leur domination gravées sur sa peau, mais il éprouve également une certaine satisfaction d'avoir pu servir ses dominatrices, même si cela signifie être leur objet de plaisirs pervers. Cette contradiction entre la honte et le plaisir le trouble profondément.
Alors qu'il se rhabille, une pointe de tristesse l'envahit, sachant que cette expérience de domination et de soumission est terminée, du moins pour le moment. Mais en même temps, une part de lui est soulagée, libérée de l'emprise. Il se sent vidé, physiquement et émotionnellement, mais également transformé par cette expérience intense.
Sophia, Isabella et Victoria, quant à elles, se retirent avec un air de satisfaction, laissant Pat seul avec ses pensées tourmentées.
Cette expérience a laissé une marque indélébile en lui, une empreinte mêlée de honte, de douleur et de plaisir. Chaque sensation, chaque mot d'humiliation et chaque acte de domination ont laissé une empreinte profonde dans son esprit et dans son être. Il ne peut s'empêcher de ressentir une excitation troublante, un désir ardent de revivre cette expérience intense malgré les règles établies par la société.
Les règles établies par la société deviennent des barrières qu'il souhaite briser, des limites qu'il désire repousser. Il ressent un besoin intense de s'affranchir des conventions et d'explorer les profondeurs de ses désirs les plus sombres. Il est conscient que cela va à l'encontre de ce qui est considéré comme "normal" ou "acceptable", mais l'appel de la soumission est plus fort que tout
Cette expérience, bien qu'empreinte de honte, de douleur et de plaisir, a également éveillé en lui une envie irrésistible de vivre selon ses propres règles, de s'épanouir dans sa sexualité sans compromis. Il est prêt à embrasser cette part de lui-même, à s'accepter pleinement et à trouver le bonheur dans l'exploration de ses désirs les plus profonds.
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Rêve ou réalité, Vous le saurez à la fin du récit :
Comme convenu, je dois présenter à neuf heures devant la porte d'entrée de la villa de l'arrière pays Grassois!
Comme consigne : Ne pas sonner, dos à la porte, mains dans le dos et avoir procéder à un lavement interne préalable et des vêtements de rechange !
Je passe plusieurs fois devant la villa pour arriver à l'heure précise de ce premier rendez-vous. Neuf heure, je suis devant la porte, short blanc, nus pieds et vieux tee-shirt!
J'entends des voix et de la musique à l'intérieur, je suis incapable de dire combien de temps a duré mon attente, lorsque la porte s'ouvre " ne bouge pas" et je sens la pose d'un bandeau un peu trop serré à mon gout! La porte se referme et je reste là bien déçu de ce début!
Un peu plus tard, la porte s'ouvre à nouveau et bien aveuglé, je sens la boule du bâillon s'insérer dans ma bouche! et la porte se referme à nouveau!
Un peu plus tard, sans m'être aperçu de l'ouverture bien discrète de la porte, je sens un collier métallique serré autour de mon cou!
Une main me pose un bracelet au poignet et l'accroche au collier, deuxième poignet également et je me retrouve les deux bras repliés et serrés autour de mon collier! ( j'espère que je ne vais pas devoir garder longtemps cette position inconfortable!)
La porte se referme à nouveau, je suis encore habillé comme un jour d'été !
Un peu plus tard, la porte s'ouvre à nouveau et je comprends vite que mon attente est réellement terminée!
Mon short est descendu, mon tee-shirt déchiré et pieds nus je suis tiré par le collier pour entrer nu, mais j'ai gardé un string cuir noir!
"stop", donc je m'arrête et subitement je reçois une belle paire de fessées à mains nues, mon string est enlevé, puis je sens la pose d'une cage de chasteté sur mon sexe qui a commencé à bander. Je me rend vite compte que je n'ai surement pas à faire à un novice.
Mon string est remonté, puis vient la pose de bracelets aux chevilles et de pinces sur mes seins ( je pense que ce sont des pinces en formes de ciseaux à pression réglable!)
Pour le moment, la pression des pinces est réelle mais bien supportable.
Toujours aveuglé, en silence avec un petit fond musical, je suis debout presque nu probablement au milieu d'un salon.
Mes jambes sont fortement écartés par les bracelets de mes chevilles à la limite de mes possibilités.
Combien de temps suis-je ainsi resté exposé, aveuglé devant combien de personnes ?
A nouveau, je suis tiré par la chaine du collier et je dois difficilement me déplacer comme un canard!
"stop" et je sens à nouveau une main caresser mes fesses puis les frapper de plus en plus fortement.
J'apprécie beaucoup l'alternance de douceur, de sensualité et de domination!
Je ne sais vraiment pas où je suis, ni combien de personnes profitent du spectacle.
La pression des pinces sur mes seins s'accentuent et je sens mon sexe réellement, voir douloureusement prisonnier de la cage de chasteté.
Mes jambes trop écartées commencent à me faire mal aux fesses tendues lorsque je sens un objet pénétrer délicatement mon anus bien propre. Probablement ce crochet est tendu et relié à mon collier.
Une main caresse mon string cuir, puis passe sur les pointes de mes seins écrasés.
Je pense être dans la salle de bains?
Les pinces des seins sont enlevées et désormais libres agréablement et douloureusement triturés.
Le string cuir est enlevé et complètement nu, je sens un liquide couler de ma tête aux pieds!
Une ou deux mains étalent de l'huile sur l'ensemble de mon corps, je sens bien cette sensation TRES sensuelle!
Enfin la barre d'écartement de jambes est remplacée par une chaine courte, et je pense comprendre que je suis rentré dans une douche ou une salle de bain ?
Un liquide chaud coule et je sens la pose de pompes sur mes deux seins! ( je connais bien cette aspiration terriblement excitante)
Il me semble que mon sexe est en feu, prêt à éjaculer!
Nu, seins aspirés goulument, sexe en cage, subitement je me retrouve solitaire dans cette extraordinaire situation que j'ai librement et volontairement désirée.
Le temps n'existe plus et probablement comme Mon Maître ou Ma Maitresse, chacun dans son domaine profite de la situation !
Je suis à mon aise, malgré la douleur de plus en plus forte de l'aspiration de mes seins : je suis content et fier de pouvoir ainsi être exposé !
Un mince filet d'eau tiède continue de couler de ma tête aux pieds et je comprends alors la raison du bandeau aussi serré.
Une main parcoure l'ensemble de mon corps ruisselant et s'attardant plus particulièrement sur mon sexe prisonnier et mes seins bien aspirés.
Les pompes sont enlevées, puis mes seins libérés sont manipulées avec dextérité et fermeté, puis les pompes sont à nouveau remises en places!
Le crochet de mon anus est enlevé et probablement remplacé par un fin tuyau de lavement.
Le liquide coule toujours lentement à l''extérieur, comme désormais à l'intérieur de mon corps offert!
Aucun bruit, suis-je seul désormais ?
Debout, mains toujours accrochées au collier, j'essaye d'imaginer dans ma tête le spectacle de mon modeste corps offert ruisselant !
Combien de temps vais-je pouvoir garder le liquide tiède qui commence lentement et surement à bien remplir mon ventre ! Je n'aime pas devoir expulser parfois violemment un liquide de lavement interne, surtout en présence d'autre personne!
Une main huilée semble parcourir l'ensemble de mon corps, et avec étonnement une autre main caresse ma cage de chasteté et surprise une autre enlève délicatement les pompes sur mes seins!
Le liquide coule toujours lentement de la tête aux pieds!
Ne pouvant plus retenir le lavement, j'expulse l'eau et probablement aussi le tuyau !
Un doigt pénètre et caresse mon anus et une autre main devant me libère de la cage de chasteté tandis que je sens à nouveau un massage bien pervers sur mes deux seins! libérés des pompes!
Je ne devrais guère tarder avec toutes ces sollicitations à expulser mon sperme, j'essaye de retarder le plus possible pour faire encore plus durer le plaisir et surement aussi celui des autres personnes présentes !!
Le ruissellement de l'eau s'arrête et des fessées bien sensuelles, bruyantes frappent mes deux fesses humides !
En plein délire, sous le titillement de mes seins, les caresses sur mes fesses, une nouvelle sensation sur mon sexe qui vient d'être goulument avalé : une langue bien perfide s'active et provoque rapidement un fort soulagement sexuel !
C'est fini, je pense avoir donné le meilleur de moi-même.
Je suis débarrassé de mon bâillon, des bracelets, et toujours bien humide, aveuglé, je suis sollicité par une traction sur le collier à me déplacer, lorsqu'une main m'enlève le bandeau et le collier, je me trouve alors comme à l'arrivée, mais nu, devant la porte à coté de mon sac!
et j'espère bientôt une nouvelle rencontre !
Je me retrouve encore bien mouillé dehors à devoir m'essuyer, m'habiller à nouveau et rentrer avec mes seins encore bien douloureux de plaisirs partagés!
Désolé, encore peu de patience, il Vous faudra attendre la prochaine version de Rêves ou réalités pour savoir si c'était une fiction ou un récit d'expérience réelle !!!
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Dans les sombres méandres de mon château, j'ai minutieusement préparé l'arrivée de ma prochaine victime, un homme soumis prêt à être féminisé et totalement offert aux plaisirs sexuels les plus extrêmes et honteux. En tant que Maître Cavaliere Demone e Schiavo, je suis un expert incontesté de la domination et de l'exploitation, et je ne reculerai devant rien pour tirer plaisir de la soumission totale de mes sujets.
Lorsque vous aurez l'audace de franchir les portes de mon royaume, vous serez confronté à une réalité déchirante et dépravée. Mes serviteurs dévoués à leur mission de me servir et à vous humilier sans relâche, vous accueilleront immédiatement. Riant bruyamment de votre vulnérabilité, ils ne cesseront de vous rappeler votre nouvelle identité féminine. Leur mépris écrasera votre masculinité, vous condamnant à un rôle de poupée sans volonté, totalement prête à exécuter mes moindres désirs.
Je vous guiderai, avec une délectation perverse, vers la pièce principale de mon château, un vaste donjon sombre, rempli d'équipements de domination et de jeux de sexe des plus dépravés. Vous serez soigneusement attaché, exposé à tous les regards lascifs qui vous observeront et vous attendrez de subir une série d'épreuves humiliantes et dégradantes.
Je vous mettrai à genoux, votre visage magnifiquement maquillé et vos lèvres pulpeuses prêtes à recevoir les membres dressés de mes invités les plus pervers. Vous serez contraint de les satisfaire avec une passion abjecte, vos mains et votre langue agissant avec zèle pour les exciter. Vos gémissements de soumission rempliront la pièce, mêlés aux rires sadiques de ceux qui vous utiliseront comme un simple objet de plaisir.
Cependant, mon cher soumis, ce n'est qu'un début à votre calvaire. Vous serez ensuite conduit dans une autre salle, spécialement aménagée pour des pratiques encore plus extrêmes. Un lit de supplice vous attendra, exposant votre corps à des instruments de douleur et à des accessoires de domination. Des fouets marqueront votre peau, vos fesses rougiront sous les coups cinglants. Mes invités prendront un plaisir malsain à vous utiliser comme leur jouet, vous soumettant à des actes de perversion humiliables et déshumanisants.
Préparez-vous également à vous engager dans des jeux de rôles dégradants. Vous serez contraint de revêtir des tenues provocantes, tels que des corsets serrés et des bas résille, vous transformant en une créature hypersexualisée, prête à satisfaire tous les désirs tordus de ceux qui vous entourent. Vous deviendrez leur objet sexuel, disponible pour toutes sortes de fantasmes pervertis et de pratiques dégradantes. Votre corps ne vous appartiendra plus, il sera utilisé à volonté pour le plaisir sadique de ceux qui vous entourent.
Sachez que votre humiliation sera totale, votre fierté brisée et votre identité réduite à néant. Vous serez réduit à un état de soumission totale, prêt à écouter mes moindres ordres et à répondre à mes moindres supplications. Votre existence sera entièrement dédiée à me servir et à satisfaire mes caprices les plus sombres.
Si vous êtes réellement prêt à vous engager sur cette voie de la dépravation la plus extrême, je vous invite à me contacter. Je vous attendrai avec un mélange exquis d'excitation et de cruauté, prêt à vous écraser sous les rouages impitoyables de ma domination. Dans mon château de débauche et de honte, vous découvrirez la véritable essence de la soumission et de la perversion. Une fois que vous aurez franchi ce seuil, il n'y aura plus de retour en arrière possible. Vous serez à jamais marqué par l'empreinte de la dégradation. Bienvenue dans mon royaume de dépravation et d'humiliation...
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"Si toute vie va inévitablement vers sa fin, nous devons durant la nôtre, la colorier avec nos couleurs d'amour et d'espoir. Ma chambre s'éclairait du bleu foncé, tombant de la fenêtre unique. La lumière venait de loin. De la colline, où se trouvait l'église. J'éprouve du plaisir à peindre une fois de plus cette église et cette petite colline sur mes tableaux. Je haïssais le travail de la retouche. Jamais je ne m'en suis tiré. Je ne voyais pas la nécessité de boucher ces points, rides et pattes, de rajeunir des figures toutes différentes, jamais vivantes. Quand je tombais sur le portrait d'une connaissance, je lui souriais. J'étais prêt à l'embellir, pour son bonheur, celle-là". De son véritable nom, Moïche Zakharovitch Chagalov en biélorusse, Marc Chagall (1887-1985) est souvent associé à une myriade de mouvements artistiques, d’un genre profondément post-impressionniste ou à des interprétations cubistes de fables. Regardant sa ville bien-aimée de Vitebsk s’écrouler sous les attaques antisémites, les œuvres fantaisistes de Chagall dépeignent avec nostalgie le mode de vie paysan. Bien qu’il soit une figure centrale de l’art moderniste, les peintures de Chagall rendent sans cesse hommage à la tradition et au passé.Très peu d’artistes ont réussi à exposer au Louvre de leur vivant. Georges Braque a été le premier avec son œuvre "Still lifewith harp and violin". Tandis que, Chagall, avec d’autres artistes, Salvador Dalí, Pablo Picasso ou bien Edgar Degas, ont commencé leur parcours artistique en copiant les œuvres des maîtres anciens au Louvre. Le peintre rencontre sa muse, sa femme et son amante, Bella Rosenfeld, en 1909 et l’épouse peu de temps après. Le couple partageait ensemble une vision unique du monde, et lorsqu’elle rencontra Chagall pour la première fois, Bella décrivit romantiquement les yeux de l’artiste comme étant si bleus qu’ils étaient "comme s’ils étaient tombés tout droit du ciel". Bella apparaît dans de très nombreuses peintures de Chagall, et il la dépeint souvent flottant dans les airs, défiant alors la gravité avec son amour. "La terre qui a nourri les racines de mon art était Vitebsk". Il cherchait à capturer l’essence même de la vie paysanne et l’âme de sa maison, affirmant que sa ville avait une présence fantasque et qu’elle existait principalement dans son âme et ses rêves. Vaches, granges, poulets, chevaux, femmes qui travaillent et dansent le violon remplissent ses œuvres, capturant l’esprit de la vie paysanne. Avec trois récriminations à côté de son nom en raison de son statut de juif, d’artiste et d’émigré, Chagall a été dépouillé de son identité. Son style artistique allait à l’encontre du réalisme socialiste qui a formé l’art soviétique, et on se moquait souvent de lui pour sa préférence pour le style de vie français. Les œuvres de Chagall ont même été interdites dans les musées, les livres et les espaces publics. Non seulement en raison de leur style peu conventionnel, mais aussi de leur représentation de la culture juive. Il a peint le plafond de l’Opéra Garnier à Paris. D’une superficie de plus de deux cents mètres carrés, la peinture de Chagall est l'hommage aux quatorze compositeurs d’opéra importants et à leurs œuvres, et il l’a achevé à l’âge de soixante-dix-sept ans. Malgré cette tâche colossale, l'artiste a refusé d’être payé pour son travail. "C'est toute une vie qui s'identifie à mon travail". L'artiste connaît une longue et prolifique carrière en Europe de l'Ouest et aux États-Unis. Il réalise tableaux, dessins, estampes, sculptures et céramiques, conçoit des costumes et des mises en scène pour le théâtre et le ballet, et peint des décors. Vers la fin de sa vie, il est un grand artiste en vitraux. Son influence est particulièrement forte dans le Paris des années 1920 et 1930. Chagall reçoit une éducation juive traditionnelle avant de fréquenter l'école secondaire russe. Il étudie l'art auprès de Yehuda Pen et de Nicholas Roerich, puis s'inscrit à l'école Zvantseva de Léon Bakst et de Mstislav Dobuzhinsky. À compter de 1910, Chagall vit principalement en France, sauf durant son exil en temps de guerre où il réside en Russie et aux États-Unis. Il finit sa vie à Saint-Paul-de-Vence, dans les Alpes-Maritimes, célèbre dans le monde entier.
"L’essentiel c’est l’art, la peinture, une peinture différente de celle que tout le monde fait. Mais laquelle ? Dieu, ou je ne sais plus qui, me donnera-t-il la force de pouvoir souffler dans mes toiles mon soupir, soupir de la prière et de la tristesse, la prière du salut, de la renaissance ? Si mon art n’a joué absolument aucun rôle dans la vie des miens, par contre, leur vie et leurs activités ont trouvé une place très significative dans mon art. J'ai souvent affirmé que je n'étais pas un artiste, mais une sorte de vache. Cela ne fait aucune différence. J'ai eu l'idée sotte de coller l'image d'une vache sur ma carte de visite". L’artiste a connu le régime tsariste, la révolution communiste, la première guerre mondiale, l’horreur du nazisme, l’exode de 1940, la seconde guerre mondiale, la pacification de la guerre froide et l’arrivée au pouvoir de Gorbatchev. Son œuvre, elle, a frôlé la modernité, le primitivisme, le cubisme et le surréalisme. Mais sa créativité a toujours su suivre sa destinée malgré les événements externes. Les bouleversements politiques et esthétiques donnent à ses œuvres ce magnétisme chagallien indéfiniment lié à sa force d’inspiration. Juif biélorusse du XXème siècle, Chagall devait voir sa vie bouleversée par les occurrences politiques. Tantôt refugié, tantôt exilé, tantôt refusé, l’artiste a vécu à Paris, Moscou, New York, laissant ses émotions s’exprimer dans ses créations et son style suivre ses pulsions. Bien que Chagall demeure à ce jour un des seuls peintres "inclassables", sa touche créatrice et son langage artistique le lient à toutes les facettes de l’avant-gardisme. Fauviste dans ses trois couleurs dominantes: le bleu, le vert et le rouge. Cubiste dans sa manière de travailler l’espace et les formes géométriques. Surréaliste dans ses images de "rêve", authentiques fruits de l’inconscient. Son art est toujours en évolution, liant et mélangeant tous les styles, réconciliant les différences des mouvements artistiques de son temps, sur l’espace d’une toile. Cette capacité de suivre à la fois toutes les tendances mais en même temps aucune réellement lui vaudront l’approbation et l’admiration de Guillaume Apollinaire qui a dit de lui: "artiste extrêmement varié, capable de peintures monumentales et embrassé par aucun système", un artiste "surnaturel" en somme. Dans ses mains, toutes les différences artistiques se concilient pour envoyer sur la toile les "messages" de la vie de Chagall. L’artiste est ainsi empreint d’une spiritualité profonde et utilise le support artistique pour dévoiler ses états d’âme. Malgré le contexte de la pensée moderniste de l’art du XXème qui valorisait avant tout la dimension subjective de l’artiste et demandait à ce dernier de s’effacer peu à peu du tableau, la place que Chagall s’auto-attribue dans ses œuvres reste fondamentale.
"Si je crée avec mon cœur, à peu près tout fonctionne. Si c'est avec ma tête, c'est presque rien. J'avais envie de les faire transporter sur mes toiles, pour les mettre en sûreté. C'est ma conception de l'art". Il puise l'inspiration dans ses peurs, ses frustrations, sa nostalgie pour son pays natal, son amour pour Bella, son exil. Il raconte son vécu, l’histoire du siècle qui l’a vu naître et le verra mourir. Finalement, la peinture n’est qu’un support pour faire ressortir son humanisme, partager ses souvenirs immatériels et rendre palpables ses émotions. Les couleurs ne sont ainsi qu’un moyen pour externaliser le contraste de sa vie. La dissolution de la perspective et la primitivité des formes ne sont que des portes d’entrée dans le monde chagallien. Pour qu’une œuvre existe pour l’artiste, au sens qu’il donne à ce mot, elle doit transmettre une part de son autobiographie. Les touches sont des mots d’un vocabulaire artistique et d’une symbolique très personnelle. l’œuvre de Chagall peut se lire comme une vaste autobiographie. Il a par même écrit un dictionnaire Chagall, pour explorer le "réseau de symboles"qui construit les tableaux et qui donne une explication à son imaginaire. La présence de l’Église, par exemple, rattache Chagall à son pays natal et à la fascination d’un gamin juif pour les inaccessibles églises orthodoxes. Il a d’ailleurs écrit dans son autobiographie "Ma vie": "J’éprouve toujours du plaisir à peindre une fois de plus cette église sur mes tableaux". Le couple est également un symbole récurrent dans l’œuvre de Chagall. Toujours le même, toujours uni, toujours Bella et Marc. Tout comme les paysages d’Aix-en-Provence où les pommes sont pour Cézanne le passage obligé pour que se développe son art, le couple est la figure fondamentale qui permet à la peinture de Chagall d’exister. La figuration et la dimension narrative du peintre sont les objectifs de sa création artistique. Les traces autobiographiques tout au long de ses œuvres font découvrir à la fois les émotions personnelles de l’artiste et les traumatismes du siècle qu’il a traversé. C’est sûrement là le secret du magnétisme chagallien. Chagall, dont les parents sont illettrés, est l’aîné d’une famille de neuf enfants. Son père travaille dans un dépôt de harengs, tandis que sa mère tient un modeste commerce d’épicerie. Son œuvre est illuminée par les images de son enfance heureuse, passée dans la petite ville de Vitebsk, en Russie. D’origine juive, il menait dans le ghetto une existence relativement libre, au sein d’une famille de condition modeste, qui toutefois ne connaissait pas la pauvreté. C’est un univers de chaleur et de foi, univers baigné par la tradition hassidique, courant mystique d’Europe centrale selon lequel l’omniprésence du Dieu caché se révèle dans les merveilles du monde.
"Je suis bien à l'aise avec vous tous. Mais avez vous entendu parler des traditions, d'Aix, du peintre à l'oreille coupée, de cubes, de carrés, de Paris ? Je l'avoue, je ne pourrais pas affirmer que Paris m'attirait et savais qu'il fallait partir enfin". Les séjours passés à la campagne, chez son grand-père, ont marqué l'imaginaire. Son œuvre témoigne de la fascination qu’exerçaient sur l’enfant les animaux de la ferme. À Vitebsk, le jeune Chagall entre dans l’atelier de Pen, pour y étudier le dessin et la peinture. Déjà, il puise son inspiration dans la vie familiale et l’observation du quotidien ("La Femme à lacorbeille",1906; "Mariaska",1907; "Le Mariage",1909). Mais peu satisfait de l’enseignement qu’il reçoit, il part étudier à Saint-Pétersbourg. Étant juif, il doit obtenir un permis de séjour, et pour cela trouver un emploi. Par chance, il rencontre l’avocat Goldberg, d’origine juive qui le prend chez lui comme prétendu domestique, lui laissant tout loisir de suivre le cours de peinture de Nicolas Roerich, puis de Léon Bakst, comme lui d’origine juive. Auprès de ce dernier, décorateur des ballets russes fondés par Serge de Diaghilev, il trouve plus de liberté et affirme sa vision de coloriste. La revue "Zoltoe Runo" ("La Toison d’Or") lui fait connaître les peintres novateurs de Paris (Cézanne, Van Gogh, Lautrec, Matisse) . À travers leur exemple, Chagall découvre ainsi le pouvoir expressif de la couleur ("Le Nu Rouge",1908; "Le Mort",1908). En 1910, un mécène, Vinaver, lui offre une bourse pour séjourner à Paris. Chagall s’y rend l’année suivante, et trouve un atelier à "La Ruche", où résident la plupart des futurs maîtres de l’école de Paris. Il y rencontre aussi Guillaume Apollinaire, dont il écrira avec humour qu’il portait "son ventre tel un recueil d’œuvres complètes". Apollinaire reconnaît d’emblée le talent du jeune peintre. Chagall est aussi l’ami du poète Blaise Cendrars qui lui consacre en 1913 son "Quatrième poème élastique" et titre les tableaux de cette période. Il vivra avec Fernand Léger, Chaïm Soutine, Amadeo Modigliani. À Paris, Chagall découvre la peinture de Cézanne, les nouvelles recherches des peintres cubistes. Il retient certains principes de leur construction rigoureuse, sans renoncer pour autant à son imaginaire ("À la Russie, aux ânes et aux autres",1912; "Moi et le Village", 1913). En 1914, à la fin de son premier séjour à Paris, il envoie à Berlin à la Galerie Der Sturm, qui réalise sa première exposition, tout un ensemble de peintures et de dessins. Chagall, qui avait regagné Vitebsk pour y épouser Bella Rosenfeld, se voit contraint de rester en Russie à cause de la guerre. Accusés d’espionner pour le compte de l’Allemagne, les juifs sont chassés des régions frontalières, et Vitebsk accueille bientôt un flot important de réfugiés. "Pourim" (1916), "Cimetière juif" (1917), "La fête des tabernacles" (1915), témoignent du nouvel intérêt de Chagall pour les coutumes et traditions de son peuple. En retrouvant ainsi le monde de son enfance, il revient à une sorte de réalisme, "La Maison grise" (1917), "La Mère" (1914). Plus tard, l'artiste sera marqué par son exil.
"De Bach et de Mozart, j'entends leur souffle qui sonne, moi-même je deviens un son. Comme sur la palette du peintre, il n’y a dans notre vie qu’une seule couleur qui donne un sens à la vie et à l’art, la couleur de l’amour". Le XXème siècle a, pour une large part, refoulé l’allégorie et le narratif dans les œuvres d’art. Et c’est parce que Chagall a su s’affranchir des règles et des codes, voire des diktats, de la pensée moderniste tout en s’en nourrissant, qu’il a ainsi pu rester figuratif et témoigner de son temps. Il emprunte alors aux mouvements d’avant-garde, cubisme, surréalisme, quelques-unes de leurs formes, semble parfois s’en rapprocher, mais demeure toujours indépendant. Le parallèle entre les images de guerre et les images de paix révèle la complexité d’une œuvre ne se réduisant pas à un genre donné, mais intègre les événements, les situations et les émotions de l’artiste. Ainsi, selon les circonstances, Chagall visite et revisite ainsi certains thèmes, les enrichissant à chaque fois d’une dimension personnelle: sa ville natale de Vitebsk, les traditions juives de son enfance, les épisodes bibliques dont la crucifixion, ainsi que le couple et la famille. Chagall a passé trois années à Paris où il s’est nourri, sans y adhérer, des recherches d’avant-garde des artistes cubistes et futuristes, s’est lié d’amitié avec Apollinaire, Cendrars et Delaunay. Son identité artistique se construit par une articulation entre cette modernité et ses racines juives et russes. En 1914, Chagall se rend au vernissage de sa première exposition à Berlin et poursuit son voyage vers la Russie pour y retrouver sa famille et sa fiancée, Bella Rosenfeld. La déclaration de guerre l’oblige à y rester huit longues années. Chagall épouse Bella en 1915 et leur fille Ida naît le printemps suivant. Il crée une série de peintures représentant son environnement proche et l’intimité avec Bella: "C’est comme si elle me connaissait depuis longtemps, comme si elle savait tout de mon enfance, de mon présent, de mon avenir, comme si elle veillait sur moi. Je sentis que c’était elle ma femme. Je suis entré dans une maison nouvelle, j’en suis inséparable". À Vitebsk, qui est une ville-garnison, Chagall assiste aux mouvements des troupes et des populations chassées des lignes de front en 1914. Mobilisé au milieu de l’année 1915, il échappe aux combats en travaillant alors dans un service d’intendance à Saint-Pétersbourg. Son engagement politique à combattre les inégalités sociales et les différences de traitement entre les religions est sensible. Il rend compte ainsi des ravages désastreux de la guerre et en livre une chronique vivante à travers notamment une série de dessins expressifs.
"Mes chers, vous voyez, je suis revenu vers vous. Je suis triste ici. La seule chose que je désire, c'est faire des tableaux et encore quelque chose. Ni la Russie impériale, ni la Russie des soviets n'ont besoin de moi". Les évolutions artistiques majeures n’ont pas lieu dans l’agitation d’une capitale, mais dans une petite ville reculée de province, aussi pittoresque que paisible: Vitebsk. Située au nord-est de la Biélorussie actuelle, elle ne dénote pas particulièrement dans le paysage de l’art, elle n’est pas non plus connue pour sa faune artistique, mais devient ainsi dès 1918 l’un des centres névralgiques des avant-gardes européennes. Pourquoi ? En 1918, les bolchéviques se sont emparés du pouvoir et plongent le pays dans un état de guerre civile. Il souffle alors en Russie le vent torride de la contestation populaire. Tout affairés qu’ils sont à mater l’armée tsariste, les révolutionnaires donnent à de nombreux artistes des responsabilités clés dans le champ de la culture. Une première. C’est dans ce contexte que Chagall est nommé commissaire des beaux arts de Vitebsk, sa ville natale. L’artiste juif est alors tout auréolé d’un succès rencontré lors de son passage bref à Paris. Pris dans l’élan de la révolution, ravi de son statut enfin acquis de citoyen russe, il souhaite célébrer les idées socialistes qui affleurent dans le pays en fondant une école d’art nouvelle génération. Désireux de balayer d’un revers de main les vieilles idées du passé, il ne défend pas dogmatiquement une ligne esthétique qui incarnerait ainsi à elle seule la révolution, mais sait une chose essentielle. Il faut enseigner l’art autrement et ce quoi qu’en pense la population locale, celle-ci restant un peu penaude face à ses propositions à la fois politiques et picturales. "L’École populaire d’art" est ainsi inaugurée en 1918 et elle est ouverte à tous, sans restriction d’âge et gratuite pour ceux qui n’en ont pas les moyens. Mutée en véritable laboratoire pointu des formes artistiques, accueillant notamment le chantre du suprématisme Kasimir Malevitch, l’école est un peu passée à la trappe de l’histoire, en France en tout cas. Sa courte durée d’activité ayant probablement empêché sa juste appréciation. On retient surtout alors, la mythique école allemande du Bauhaus qui naîtra un an plus tard en juin 1919.
"Voici la mansarde d'Apollinaire, Zeus doux. En vers, en chiffres, en syllabes courantes, il traçait pour nous un chemin. Il sortait de sa chambre d'angle, souriait peu farouchement et ses yeux doux et mystérieux chantaient la volupté". L’école de Vitebsk réunit sous le même toit pendant quatre ans des styles absolument contradictoires, faisant d’elle un lieu hors-norme d’émulation intellectuelle et artistique. Et un lieu de tensions. Malevitch poussera peu à peu vers la porte son fondateur Chagall. Charismatique et pédagogue, le théoricien vampirise autour de lui les étudiants et prend sous son joug le troisième pilier de l’école, El Lissitski. Ce dernier, d’ailleurs peu connu, signe des œuvres surprenantes dépliant sur la toile des architectures en perspective isométrique. À la différence de l’approche individualiste de Chagall, celle de Malevich considère l’art comme une expérience collective dont l’objectif est d’inventer une nouvelle réalité sur la toile mais aussi de la traverser pour partir à la conquête des espaces urbains. Naît alors à Vitebsk, Ounovis, un mouvement initié par Malevitch. Ses membres portent blason sur le bras, un carré noir sur fond blanc, en signe de reconnaissance.Ils imaginent des décors de théâtre, peignent des trams, recouvrent la ville de leurs occurrences géométriques. À Vitebsk, les artistes veulent révolutionner l’art, comme les bolchéviques ont su révolutionné la politique et le pays. L'idole de Chagall en Russie était le peintre symboliste Mikhaïl Vroubel. Dans son autobiographie, il s'appelle lui-même "disciple de Vroubel". Une continuité de nature stylistique est très difficile à tracer entre les deux artistes, mais Chagall n'en est pas moins l'héritier d'une puissante tradition mythologique créé par Vroubel. L'art de Vroubel puis celui de Chagall procèdent tous deux à la transformation totale du monde visible, les objets sont encadrés dans des supports matériels aux significations spirituelles infinies. Des détails insignifiants participent chez les deux artistes à la grande dynamique d'un monde en mutation. Dès 1914 apparaît également la figure du "Juif errant": un baluchon sur l’épaule, il peut être l’illustration littérale d’une expression yiddish, "Luftmensch", l’homme de l’air, désignant l’homme pauvre, vagabondant de ville en ville. Il symbolise l’espoir et la conscience d'un monde menacé, que Chagall sera alors bientôt appelé à quitter.
"Dieu, toi qui te dissimules dans les nuages, ou derrière la maison du cordonnier, fais que se révèle mon âme, âme douloureuse de gamin bégayant, révèle moi mon chemin. Je ne voudrais pas être pareil à tous les autres. Je veux voir un monde nouveau". L'artiste retourne en 1922 à Berlin puis à Paris. Ses œuvres sont connues aux États-Unis où des expositions sont organisées. En 1923, Chagall fait la connaissance d'Ambroise Vollard, marchand et éditeur de livres qui, ensuite, lui commande trente gouaches et cent eaux-fortes illustrant les "Fables de La Fontaine" (1925), cent dix-huit eaux-fortes pour "Les Âmes mortes", de Nicolas Gogol (1926) mais aussi, et surtout, des illustrations pour la Bible (1930).Entre 1927 et 1929, Marc Chagall s'installe alors au mas Lloret, à Céret, dans le département des Pyrénées-Orientales. L’illustration de la Bible permet à Chagall de s’inscrire dans la très longue tradition des représentations bibliques, à la fois occidentale et orientale. Avant d'entreprendre ce projet, il ressent la nécessité d'approcher la terre mythique de ses ancêtres et part pour la Palestine en 1931. L’expérience est alors bouleversante, tant sur le plan plastique que sur le plan spirituel. "En Orient, dit-il, j’ai trouvé la Bible et une part de moi-même". Ainsi, dans les quarante gouaches sur la Bible, préparatoires aux eaux-fortes, le choix des sujets montre à la fois une parfaite connaissance du texte biblique et une grande liberté à l’égard de la tradition. Chagall puise dans ses souvenirs, ceux de Vitebsk et ceux plus récents de son voyage en Palestine, pour créer ses figures de prophètes et de patriarches à visage humain. Il condense chaque récit en une image réduite à ses protagonistes principaux, qui annonce ainsi par sa puissance évocatrice la monumentalité des grandes compositions bibliques ultérieures. On ne peut le réduire au rôle de peintre, interprète de la tradition juive prédominante, dans sa ville natale, le hassidisme. Il sort de cet univers culturel, pour faire de "la peinture tout court". Au début des années 1930, il voyage beaucoup avec sa famille. En juillet 1937, il prend la nationalité française pour fuir l'antisémitisme de l'Europe centrale. C'est cette année-là qu'il fait la connaissance du peintre hongrois Imre Ámos à Paris, qui s'est ensuite inspiré de son style dans certaines de ses peintures. À la fin du printemps 1941, Chagall est arrêté et doit son salut au journaliste américain Varian Fry, qui lui permet de rejoindre les États-Unis. Il vit alors en exil à New York, comme de nombreux intellectuels français. La guerre et les persécutions inspirent à l’artiste des scènes douloureuses comme les crucifixions ("Obsession" 1943), ("Crucifixion blanche" 1943), et des scènes villageoises qui, éclairées par les incendies tout proches, semblent autant de pogroms. Après Picasso, c'est au tour de Marc Chagall de peindre la souffrance des communautés juives d’Europe centrale. Autour de la croix, des scènes de violence et de panique: synagogue en flammes, lamentation des anciens, mais aussi une troupe de révolutionnaires rouges et un homme vêtu de l’uniforme nazi. Dans ces deux œuvres, la symbolique de la Passion est appliquée aux troubles du temps, à la folie meurtrière des hommes. Il innove radicalement. Il ose peindre un Jésus rendu à sa judaïté, dans une représentation de la crucifixion qui associe toutes les souffrances du judaïsme européen à l’agonie du Christ en croix.
"Tant d'années se sont écoulées depuis qu'elle est morte. Où es tu, maintenant, petite mère ? Et toi, petit père ? Au ciel, sur la terre ?" À New York, le peintre découvre la lithographie en couleurs, il réalise à nouveau des décors et des costumes de scène, pour le ballet "Aleko" d’après un argument de Pouchkine, et pour "L’Oiseau de feu", sur une musique de Stravinsky. Sa femme, Bella, meurt en 1944. Cet événement marque le choix de ses sujets à cette époque. Pendant quatre mois, il cessera de peindre. Il rencontre en 1945 Virginia Haggard, mariée à John McNeil dont elle n'est pas divorcée. Marc et Virginia ont un fils en 1946, le futur chanteur et auteur-compositeur David McNeil, lequel porte le nom du mari de sa mère. Il a raconté ses souvenirs d'enfance avec son père dans "Quelques pas dans les pas d’un ange". Une première rétrospective de son œuvre en 1947, au musée national d’art moderne, donne à Chagall l’occasion de revenir à Paris. Il s’installe désormais en France, résidant d’abord à Orgeval, puis en Provence à Vence et enfin à Saint-Paul, sur la Côte d'Azur où il aide Frans Krajcberg à partir pour le Brésil. Il rompt alors avec Virginia et se remarie en 1952 avec Valentina Brodsky (1905-1993) dite Vava. Maeght vend ses œuvres à travers le monde entier et ses techniques se diversifient: gravures, mosaïques, vitraux. Il continue alors de peindre des décors, conçoit des costumes pour l'opéra, notamment "La Flûte enchantée". En juin 1970, il représente une grive et une mère offrant du raisin à un enfant pour l'étiquette du célèbre vin bordelais "Château Mouton Rothschild". Il aborde la céramique et la sculpture. L’œuvre prend une ampleur exceptionnelle. Ce sont les grandes suites lithographiées dans l’atelier parisien de Mourlot qui illustrent "Daphnis et Chloé" (1959-1961) "The story of the Exodus" (1966), "Le Cirque" (1962-1966), dont il écrit lui-même le texte, "L’Odyssée" (1974-1975). À partir de 1956, son art prend une dimension monumentale. L’artiste découvre le vitrail et la mosaïque. Il trouve dans ces techniques le mode d’expression privilégié de son inspiration biblique que mettent en œuvre les maîtres verriers Charles Marq et Brigitte Simon à l'église d’Assy, aux cathédrales de Metz et de Reims, et à la synagogue de Jérusalem. Sur le thème d’Ulysse, il réalise pour l’université de Nice une mosaïque de onze mètres de long qui est inaugurée en 1969, précédant l’ouverture du "Message Biblique" en 1973 qui le consacre définitivement comme l'un des plus grands peintres de son temps. Il s'éteint à Saint-Paul-de-Vence le premier avril 1985, à l’âge de quatre-vingt-dix-sept-ans ans, célèbre et reconnu dans le monde entier. L’artiste, surnommé alors"l’ange-peintre" repose dans le cimetière du village baigné par la lumière méditerranéenne qu’il a tant aimé.
Bibliographie et références:
- Marc Chagall, "Mon univers, autobiographie"
- Marc Chagall, Ma vie et mon œuvre"
- Denise Bourdet, "Marc Chagall"
- Franz Meyer, "Marc Chagall"
- Alexandre Kamenski, "Chagall, période russe"
- Daniel Marchesseau, "Chagall, ivre d'images"
- Didier Ottinger, "Le monde renversé de Chagall"
- David McNeil, "Quelques pas dans les pas d’un ange"
- Bill Wyman, "Wyman shoots Chagall"
- V. A. Shishanov, "La vie de Marc Chagall"
- Jackie Wullschläger, "École artistique de Vitebsk"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je franchis le seuil d'une pièce sombre, imprégnée d'une atmosphère électrique et intimidante. Ma domina, vêtue de cuir noir moulant et de bottes à talons hauts, m'attend de pied ferme. Son regard brûlant de désir et de domination me fait frissonner d'excitation et d'appréhension.
D'une voix autoritaire, elle ordonne sans détour que je me déshabille immédiatement. Chaque vêtement que je retire fait tomber les barrières de ma résistance et m'expose entièrement à sa volonté implacable. Je me sens vulnérable, nu, et totalement à sa merci.
Une fois dénudé, je suis conduit vers une table recouverte de cuir, lisse et froide au toucher. Ma domina se positionne au-dessus de moi, sa présence dominante écrasant mes sens. Son sourire pervers et son regard brûlant annoncent les épreuves qui m'attendent.
Elle commence par effleurer ma peau avec une délicatesse trompeuse, laissant ses doigts parcourir chaque centimètre de mon corps. Mais cette douceur cache une fermeté inébranlable, une détermination sans faille à me soumettre à ses désirs les plus sombres.
D'une main experte, elle saisit un lubrifiant spécialement sélectionné pour préparer mon anus à l'acte à venir. Ses doigts gantés de latex sont enduits de cette substance glissante, puis elle commence à explorer les contours de mon intimité. Ses gestes sont précis, calculés, cherchant à ouvrir progressivement les portes de ma soumission.
Je ressens un mélange de douleur et de plaisir indescriptible alors qu'elle utilise des dilatateurs de différentes tailles pour préparer mon anus à l'ultime épreuve. Chaque insertion repousse les limites de ma résistance, chaque sensation amplifie ma soumission à sa domination.
Ma domina ne se contente pas de dilater mon anus, elle repousse les frontières de ma résistance physique et mentale. Elle utilise des accessoires spécialisés, tels que des plugs anaux de plus en plus larges et des godes imposants, pour étirer mes limites et m'obliger à me soumettre à sa volonté sans faille.
Finalement, après un travail minutieux, ma domina atteint le point où elle peut insérer sa main entière dans mon anus. Je suis submergé par une combinaison de douleur et d'extase, la sensation de plénitude me submerge complètement. Je me sens totalement possédé, totalement soumis à sa volonté.
Mais la transformation ne s'arrête pas là. Ma domina décide de me donner une nouvelle apparence physique, de me marquer de manière indélébile. Elle prépare des seringues remplies de solution saline et les injecte méthodiquement dans mes seins.
Mes seins gonflent rapidement, prenant une taille démesurée et exagérée. Je ressens une lourdeur oppressante, un mélange de douleur et de plaisir inouï. Ma domina les caresse, les malaxe avec une cruauté délectable, savourant le pouvoir qu'elle exerce sur mon corps soumis.
Une fois les injections terminées, je me redresse, mes nouveaux seins en avant, imposants et lourds. Ma domina contemple son œuvre avec un sourire satisfait, fière de sa création. D'une voix glaciale, elle m'annonce que je ne suis plus un "je", mais un "elle". Elle me renomme, m'affirmant que j'ai été transformé en une créature nouvelle, prête à me soumettre complètement à ses désirs et à ses ordres.
Ma dominatrice, sadique et impitoyable, me détache avec un sourire pervers. Je me lève, encore étourdi par la douleur et l'humiliation que j'ai endurées jusqu'à présent. Elle me fixe avec un regard de satisfaction malsaine, ses yeux parcourant chaque détail de mon corps transformé. Mes seins, qui ont été gonflés à l'extrême, s'étendent devant moi, lourds et sensibles, ajoutant une nouvelle dimension à ma féminisation forcée. La sensation de leur poids sur ma poitrine est à la fois étrange et dérangeante.
Pendant ce temps, mes testicules, retirés sans pitié, manquent à l'appel, laissant un vide douloureux dans mon entrejambe. Je ressens une sensation de perte et de vulnérabilité, mes organes masculins arrachés de mon corps. La douleur persistante est un rappel constant de ma nouvelle condition.
Ma dominatrice, observant son œuvre avec un plaisir sadique, me fixe intensément. Dans un murmure glaçant, elle prononce : "Maintenant, tu es une femelle, ma femelle." Ses paroles résonnent dans l'air, réaffirmant ma transformation complète en une créature soumise à son pouvoir. Je suis pris au piège entre la confusion, la honte et le désir, emporté dans ce jeu cruel où mon identité est déformée et manipulée.
près avoir admiré son œuvre, ma dominatrice sadique se dirige vers une armoire remplie d'habits féminins soigneusement sélectionnés. Elle en sort une tenue spécifique pour moi, conçue pour accentuer ma féminité nouvellement acquise.
Les vêtements qu'elle choisit sont d'une sensualité troublante. Elle me tend un soutien-gorge en dentelle noire, délicatement orné de petits nœuds, qui accentue la rondeur de mes seins gonflés. Les bonnets rembourrés exercent une pression délicate sur ma poitrine, créant une sensation à la fois étrange et excitante.
Elle choisit également une culotte en satin, douce et soyeuse, qui glisse contre ma peau, soulignant mes nouvelles formes féminines. Une jupe moulante en cuir vient se fixer à ma taille, accentuant mes hanches et mettant en valeur mon corps transformé. Enfin, elle me tend une paire de talons hauts, noirs et élégants, qui modifient ma démarche et me rappellent ma nouvelle condition de soumise.
La sensation lorsque je mets ces vêtements est complexe. Un mélange de honte, de désir et de confusion s'empare de moi. Les tissus caressent ma peau, me rappelant ma transformation forcée et me plongeant dans un état de vulnérabilité et de soumission encore plus profond. Je ressens un mélange de plaisir et d'inconfort en portant ces habits féminins, conscient de l'emprise que ma dominatrice a sur moi.
Après m'avoir fait revêtir ces vêtements féminins, ma dominatrice sadique décide de m'examiner à nouveau. Elle me demande de me positionner devant elle, les mains sur les hanches, afin de l'exposer pleinement à son regard scrutateur.
Après avoir examiné mon corps transformé, ma dominatrice sadique décide d'introduire un homme dans la pièce. Cet homme, visiblement excité, ouvre son pantalon, dévoilant un sexe en érection. Ma domina me regarde avec un sourire cruel et me demande de parfaire mon éducation en prenant ce sexe dans ma bouche.
Je ressens un mélange d'appréhension et de soumission alors que je m'approche de cet homme, conscient de ma position subordonnée. Mes lèvres s'ouvrent lentement pour accueillir son sexe, tandis que ma dominatrice observe chaque détail de cette scène perverse avec satisfaction.
La sensation de ce sexe en érection contre ma langue et mes lèvres est à la fois déconcertante et dégradante. Je suis submergé par un mélange de désir, de honte et de soumission, sachant que je suis utilisé pour le plaisir de ma dominatrice et de cet homme.
Après m'avoir demandé de prendre le sexe de l'homme dans ma bouche, ma dominatrice sadique me fait une déclaration troublante. Elle me dit que lorsque le moment sera venu, je devrai avaler sa semence pour parfaire mon éducation.
Cette déclaration ajoute une nouvelle couche de soumission à la scène déjà intense. Je suis partagé entre une combinaison de dégoût et de désir, conscient de l'extrême humiliation que cela représente. Je suis à la merci de ma dominatrice et prêt à obéir à ses moindres désirs, même les plus dégradants.
Lorsque le moment arrivera, je serai confronté à un choix difficile. Avaler sa semence sera un acte de soumission ultime, symbole de ma totale obéissance à ma dominatrice. La sensation et le goût seront déroutants, une expérience à la fois répugnante et excitante, mêlant plaisir et humiliation dans une contradiction troublante.
L'homme, dans un geste de dominance, pousse ma tête pour enfoncer son sexe plus profondément dans ma bouche. Ses mouvements s'accélèrent, de plus en plus rapides et puissants, jusqu'à ce qu'il atteigne l'orgasme. Sa semence se déverse dans ma gorge alors que j'obéis à ma dominatrice en avalant, acceptant pleinement mon rôle de soumission totale.
La sensation de sa semence glissant dans ma gorge est à la fois étrange et intense. Je ressens un mélange de dégoût et de désir, de honte et d'excitation, alors que je suis confronté à la réalité de ma soumission profonde. Cet acte d'obéissance ultime renforce l'emprise de ma dominatrice sur moi et alimente cette relation perverse et troublante.
Après avoir éjaculé dans ma bouche, l'homme retire son sexe encore en érection et le promène sur mes seins. Sa semence s'écoule en partie, créant une scène visuellement troublante et érotique. Ma dominatrice observe avec satisfaction, appréciant le contrôle qu'elle exerce sur moi et la dégradation que je subis.
La sensation du sexe en érection glissant sur ma peau est à la fois dérangeante et excitante. Je ressens une combinaison de désir et de honte, conscient de ma vulnérabilité et de ma soumission totale. Je suis pris au piège dans cette scène perverse, incapable de résister aux souhaits de ma dominatrice.
Chaque mouvement, chaque contact, chaque acte de soumission provoque maintenant une montée d'excitation intense. La honte est remplacée par un sentiment de puissance et de libération sexuelle. Je trouve une forme de jouissance dans cette exploration des limites et de l'interdit.Chaque mouvement, chaque contact, chaque acte de soumission provoque maintenant une montée d'excitation intense. La honte est remplacée par un sentiment de puissance et de libération sexuelle. Je trouve une forme de jouissance dans cette exploration des limites et de l'interdit.
En embrassant pleinement ma féminité, je me libères des contraintes et des normes imposées par la société. Je me sens puissante et épanouie dans mon rôle de femelle soumise, trouvant du plaisir dans l'exploration de mes désirs les plus profonds.
Dans un moment d'extase totale, j'ai atteins une autre forme d orgasme mental que je dirais etre le plus intense de ma vie. Je me laisses submerger par les vagues de plaisir qui traversent mon corps, me laissant emporter vers un état de béatitude sexuelle. Je ressens maintenat une connexion profonde avec ma féminité et une acceptation totale de mes désirs les plus profonds.
devant ma Domina, les yeux brillants de désir et de soumission. je lui murmure à l'oreille mes pensées les plus intimes, avouant mon envie de plonger dans les délices interdits de l'exploration anale. ma voix trahit mon impatience et mon désir ardent.
Je me suis ouvert à un monde de nouvelles sensations, de découvertes et de plaisirs inexplorés.
Chaque jour est devenu une aventure excitante et me suis engagé à vivre cette expérience féminine intensément. Me libérant des attentes et des contraintes du passé, jouissant pleinement de la liberté que j'ai trouvée en acceptant ma véritable identité.
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La pièce était faiblement éclairée, l'air était lourd d'anticipation.
La porte grinça en s'ouvrant, une silhouette émergea des ombres. C'était le diable lui-même, un sourire séducteur jouant sur ses lèvres. Il s'approcha de Pat, ses yeux brillant d'une joie perverse. "Bienvenue dans un monde au-delà de ton imagination, Pat", chuchota-t-il, sa voix envoyant des frissons dans le dos de Pat.
D'un geste de la main, le diable transforma Pat qui etait homme en une femelle soumise. Le corps de Pat devint doux et courbé, ses vêtements se métamorphosant en une tenue révélatrice qui accentuait sa féminité nouvellement acquise. Le diable ricana, conscient du pouvoir qu'il détenait sur les désirs de Pat.
"Maintenant, ma chère, il est temps de réaliser les fantasmes les plus sombres des autres", déclara le diable, conduisant Pat dans une société souterraine secrète où le plaisir ne connaissait aucune limite. Des hommes et des femmes de tous horizons s'y rassemblaient, leurs yeux affamés de désir.Pat fut remis au plus offrant, une femme dominante assoiffée de contrôle. Elle prenait plaisir à explorer les limites de Pat, le poussant vers de nouveaux sommets de soumission. La pièce était remplie des sons de gémissements et de cris, une symphonie de plaisir et de douleur.
Pat passait d'une personne à l'autre, chaque rencontre étant plus intense que la précédente. Il était soumis à une multitude de désirs, allant du bondage à la fessée, au fouet, aux jeux de rôle ,la privation sensorielle. Le plaisir qu'il ressentait dépassait tout ce qu'il avait jamais connu.
Mais au milieu du plaisir, une question restait dans l'esprit de Pat. Est-ce réellement ce qu'il désirait, ou était-il simplement perdu dans le monde enivrant de l'interdit ?
Seul le temps le dirait.
Le regard de Pat se promenait dans la pièce, s'imprégnant des scènes de désir et de domination qui se déroulaient tout autour de lui. Des couples enchaînés, des fouets claquant dans l'air, des murmures de plaisir et de commandes. C'était un spectacle à la fois fascinant et troublant.
Pat se sentait à la fois attiré et révolté par ce monde. Les sensations fortes qui l'envahissaient étaient indéniables, mais une part de lui se demandait s'il devait continuer à céder à ses désirs les plus sombres. Une voix intérieure criait que tout cela était mauvais, immoral.
Pourtant, le diable était là, toujours présent, observant Pat avec un sourire satanique. "Ne résiste pas, Pat. Laisse-toi emporter par le plaisir interdit", chuchota-t-il d'une voix envoûtante.
Pat se demandait s'il devait suivre cette voix tentatrice ou écouter la voix de sa conscience. Mais dans cet instant, il se sentait si vivant, si libéré de toutes les contraintes et les inhibitions du monde quotidien.
Alors, sans plus hésiter, Pat se laissa emporter par le tourbillon du plaisir interdit. Il se soumit pleinement aux désirs des autres, explorant les recoins les plus sombres de sa propre sexualité. Chaque rencontre, chaque expérience était un pas de plus vers la découverte de soi.
Et ainsi, le voyage de Pat dans le monde du BDSM et de la soumission commença véritablement. Il était prêt à explorer les limites de son corps et de son esprit, à se perdre dans les délices de la soumission.
Alors que Pat s'enfonçait plus profondément dans le monde du plaisir interdit, il commença à découvrir des nuances insoupçonnées de son propre être. Chaque expérience, chaque rencontre lui révélait une facette différente de sa sexualité et de sa personnalité.
Il rencontra des dominants et des dominatrices aux personnalités variées. Certains étaient doux et attentionnés, prenant plaisir à guider Pat dans les méandres de la soumission. D'autres étaient plus sévères, utilisant la douleur et la discipline pour atteindre de nouveaux sommets de plaisir.
Pat se rendit compte que le BDSM était bien plus qu'une simple expérience physique. C'était un jeu psychologique complexe, basé sur la confiance, la communication et la compréhension mutuelle. Chaque acte de soumission était un acte de volonté, un choix conscient de se laisser aller et de se perdre dans les bras du désir.
Mais tandis que Pat plongeait plus profondément dans ce monde, il commença à se poser des questions sur ses propres limites. Jusqu'où était-il prêt à aller pour satisfaire les désirs des autres ?
Jusqu'où était-il prêt à sacrifier sa propre dignité et son intégrité ?
Ces questions troublaient l'esprit de Pat, mais en même temps, il ne pouvait s'empêcher de ressentir une excitation indéniable. Chaque nouvelle expérience était un défi, une opportunité de découvrir de nouvelles facettes de lui-même.
Le voyage de Pat dans cet univers érotique et inexploré ne faisait que commencer. Il était prêt à se perdre dans les délices du BDSM, à explorer les recoins les plus sombres de ses désirs et à repousser ses limites pour atteindre l'extase ultime.
Pat se trouvait maintenant au cœur d'une soirée dédiée au BDSM, entouré de personnes qui partageaient les mêmes désirs et fantasmes. Des cordes s'enroulaient autour de corps enivrés par la passion, des murmures d'ordres et de supplications emplissaient l'air.
Alors que Pat observait, un homme s'approcha avec un regard intense. Il était beau, charismatique, et il semblait dégager une aura de dominance irrésistible. Sans un mot, il prit la main de Pat et l'entraîna dans une pièce à l'écart, loin des regards indiscrets.
La tension était palpable alors que Pat attendait, se demandant quelles épreuves allaient se présenter à lui. L'homme commença par lui bander les yeux, plongeant Pat dans l'obscurité totale. Chaque sensation était amplifiée, chaque caresse, chaque contact, chaque coup.
Des frissons couraient le long de sa colonne vertébrale, lorsqu'il sentit les lanières d'un fouet glisser sur sa peau. Chaque coup était une explosion de plaisir mêlé de douleur, un mélange délicieux qui le faisait se sentir plus vivant que jamais.
L'homme savait exactement comment repousser les limites de Pat, comment lui offrir un plaisir intense et exaltant. Il jouait avec les cordes de la soumission, alternant entre douceur et fermeté, procurant à Pat une montée d'excitation qui le faisait frissonner d'anticipation.
Dans cet échange de pouvoir, Pat se sentait libéré de toutes les contraintes de la vie quotidienne. Il se laissait emporter par les vagues du plaisir, abandonnant toute résistance, se perdant dans le tourbillon de la soumission.
Chaque nouvelle expérience le rapprochait de la découverte ultime de soi. Jusqu'où serait-il prêt à aller pour atteindre l'extase totale ?
Seul le temps le dirait, et Pat était plus que prêt à explorer chaque recoin de son désir.
La rencontre avec l'homme dominant avait laissé une empreinte profonde dans l'esprit et sur le corps de Pat. Une part de lui était fascinée par la puissance et la maîtrise que cet homme avait démontrées, mais une autre partie se demandait s'il était prêt à se soumettre totalement à quelqu'un d'autre.
Pat avait toujours été attiré par les jeux de pouvoir, mais cette expérience avait soulevé des questions plus profondes sur ses propres désirs et limites. Jusqu'où Pat était-il prêt à aller pour trouver le plaisir ultime ?
Ces interrogations tourbillonnaient dans l'esprit de Pat alors qu'il continuait à explorer le monde du BDSM. Chaque nouvelle rencontre, chaque nouvelle expérience était un pas de plus vers la compréhension de soi. Pat se rendit compte que c'était bien plus qu'une simple pratique sexuelle, c'était un moyen d'explorer les recoins les plus sombres de son être et d'embrasser sa véritable nature.
Au fur et à mesure que Pat se plongeait plus profondément dans le monde du plaisir interdit, il commença à rencontrer des personnes qui partageaient ses propres désirs et fantasmes. Des liens se tissaient, des connexions se formaient, et Pat trouvait un sentiment d'appartenance et de compréhension qu'il n'avait jamais ressenti auparavant.
Mais alors que Pat se perdait dans les délices du BDSM, une question persistait : est-ce que cette quête de plaisir et d'exploration de soi était réellement ce dont il avait besoin ?
Ou bien était-ce simplement une échappatoire temporaire à ses problèmes et à ses frustrations ?
Le chemin vers la découverte de soi était semé d'embûches et de défis, mais Pat était prêt à les affronter. La recherche du plaisir ultime et de l'acceptation de soi-même était un voyage sans fin, mais c'était un voyage qui en valait la peine.
Le doute continuait de hanter Pat alors qu'il avançait dans son exploration du BDSM, se demandait si ce chemin qu'il avait emprunté était réellement celui qui lui convenait, ou s'il était simplement emporté par les désirs et les fantasmes des autres.
Pat se rappela des paroles du diable lors de leur première rencontre. "Laisse-toi emporter par le plaisir interdit", avait-il dit. Mais qu'en était-il du véritable plaisir de Pat, de ses propres désirs et besoins ?
Le monde du BDSM était vaste et diversifié, offrant une multitude de possibilités et de pratiques. Pat commença à se poser des questions sur ce qui le stimulait réellement, sur ce qui le faisait vibrer au plus profond de lui-même.
Il décida de prendre du recul, de faire une pause dans son exploration. Il devait se reconnecter avec lui-même, s'écouter et comprendre ce dont il avait vraiment besoin pour trouver le véritable plaisir. Au cours de cette période d'introspection, Pat commença à réaliser que le BDSM n'était pas seulement une question de soumission et de domination, mais aussi de confiance, de respect mutuel et de communication. Il comprit que pour vivre pleinement sa sexualité, il devait trouver un équilibre entre ses propres limites et celles des autres.
Armé de cette nouvelle compréhension, Pat reprit son voyage dans le monde du BDSM. Cette fois-ci, il aborderait les rencontres et les expériences avec une nouvelle perspective, en se concentrant sur la recherche de son propre plaisir authentique.Le chemin de Pat dans le monde du BDSM était encore long et parsemé d'incertitudes, mais il était désormais prêt à affronter ces défis avec une nouvelle force et une clarté d'esprit renouvelée.Les séances de domination et de soumission devenaient des moments de partage et d'exploration, où chaque partenaire pouvait s'abandonner en toute confiance et trouver le plaisir dans la réciprocité de leurs désirs.
Alors que Pat continuait à se perdre et à se trouver dans ce monde du plaisir interdit, il embrassa cette nouvelle facette de sa sexualité avec détermination et ouverture d'esprit. Il était prêt à explorer les recoins les plus sombres de ses désirs, à satisfaire ses fantasmes les plus profonds.
Le diable incitait Pat à aller plus loin, à explorer les profondeurs inexplorées de ses fantasmes les plus interdits. Il chuchotait à son oreille, susurrant des promesses de plaisir et de satisfaction ultimes. Pat sentait une attraction magnétique envers cette tentation démoniaque, mais il se demandait si céder à cette incitation était la bonne chose à faire.
Le diable était un maître manipulateur, capable de jouer avec les désirs et les peurs de Pat. Il savait comment flatter son ego et le pousser à franchir les limites qu'il avait autrefois considérées comme infranchissables. Pat était tiraillé entre la fascination pour cette proposition alléchante et la crainte des conséquences.
Mais alors que Pat réfléchissait à la tentation du diable, il prit conscience que le choix lui appartenait. Il pouvait décider de résister aux appels du diable La décision était difficile, car Pat était attiré par l'inconnu et l'excitation de se laisser aller complètement. Mais il savait aussi que le chemin du plaisir interdit pouvait être périlleux et semé d'embûches.
Pat écouta les tentations du diable et décida de plonger plus profondément dans cet univers du plaisir interdit. Il se laissa emporter par les sensations intenses et la libération que cet univers lui offrait. Chaque expérience était une échappatoire des limites et des contraintes morales de la société.
Dans cet univers de BDSM, Pat se sentait enfin libre d'explorer ses désirs les plus profonds sans jugement, sans honte. Les rôles de soumission lui permettaient de se libérer de toutes les conventions et de vivre pleinement ses fantasmes les plus secrets.
Les chaînes, les fouets, les menottes, tout cela était devenu des symboles de plaisir et de libération, plutôt que de soumission et de douleur. Pat découvrit une nouvelle dimension de bonheur dans ces jeux de pouvoir, où il pouvait se perdre dans les bras du désir sans aucune inhibition.
Dans cet univers, les notions de bien et de mal semblaient obsolètes. Les règles étaient redéfinies, les tabous étaient abolis. Pat se sentait véritablement vivant, en harmonie avec ses propres pulsions et désirs.
Il réalisa que la morale des hommes était souvent construite sur des préjugés et des peurs irrationnelles. Ici, dans cet univers du BDSM, il trouva une communauté qui acceptait et célébrait la diversité des plaisirs et des identités sexuelles.
Pat, immergé dans l'univers du plaisir interdit, décida de poursuivre son exploration avec une confiance renouvelée. Il embrassa pleinement son rôle de soumis, se laissant guider par le diable qui semblait être le catalyseur de sa véritable libération.
Le diable devint son guide, son confident et son amant dans cet univers sensuel et interdit. Pat découvrit que sa relation avec le diable était bien plus profonde que de simples jeux de pouvoir. Il y avait une connexion intense et une compréhension mutuelle qui transcendaient les apparences.
À travers cette relation, Pat se sentait pleinement accepté et désiré, libéré de toutes les inhibitions et les conventions de la société. Le diable comprenait et nourrissait ses désirs les plus sombres, lui permettant d'explorer les recoins les plus profonds de sa sexualité sans jugement ni culpabilité.
Dans cet univers, Pat trouva un bonheur authentique et une forme de plénitude qu'il n'avait jamais connues auparavant. Il se sentait enfin complet, connecté à une part de lui-même qu'il avait longtemps réprimée.
Alors que Pat poursuivait son exploration de l'univers du plaisir interdit, il réalisa que le diable l'avait emmené dans un monde qui le libérait de toutes les chaînes morales oppressantes.
Le diable lui avait ouvert les yeux sur la véritable nature de la moralité. Il avait brisé les barrières de la société qui étouffaient les désirs les plus profonds de Pat, révélant une vérité troublante : la moralité n'était rien de plus qu'une illusion restrictive.Les frontières traditionnelles du bien et du mal s'estompaient, laissant place à une exploration sans entraves des désirs et des fantasmes. Il avait découvert une libération totale, une véritable connexion avec sa propre sexualité et une compréhension nouvelle de lui-même.
Il savait que le diable était son guide, mais il était également conscient de l'importance de ne jamais perdre de vue son propre pouvoir de choix et de consentement.
Le diable, en tant que guide et amant, l'entraînait dans des abysses de jouissance et de soumission. Pat se laissait emporter par cette spirale de passion et de libération, découvrant en lui des aspects cachés et inexplorés. Il se sentait vivre pleinement, sans peur ni restriction.
Dans cet espace de soumission et de transgression, Pat se réalisait pleinement. Il embrassait sa nature soumise et trouvait une forme de libération totale. Les limites traditionnelles du bien et du mal s'effaçaient progressivement, laissant place à une exploration sans retenue de ses désirs les plus profonds.
Le diable, en tant que gardien de ce sanctuaire, lui offrait une compréhension profonde et une acceptation inconditionnelle. Il l'encourageait à se laisser aller, à se perdre dans les plaisirs interdits, à vivre chaque instant avec intensité et abandon.
Pat savait qu'il avait enfin trouvé sa place, son refuge où il pouvait être pleinement lui-même. Il se délectait de chaque expérience, conscient que c'était dans cet univers de transgression qu'il pouvait se connecter à sa véritable essence.
Ainsi, Pat continuait son voyage sans aucun doute ni hésitation. Il se sentait enfin en harmonie avec lui-même, acceptant et célébrant sa nature soumise. Dans ce sanctuaire du plaisir interdit, il avait trouvé sa véritable liberté.
En pactisant avec le Diable, Pat était libèrè de ses contraintes et à découvert son véritable potentiel. ¨Pata osé aller à l'encontre de ce qui est considéré comme "normal" ou "acceptable" pour suivre notre propre chemin.
En embrassant cette voie non conventionnelle,il a pu découvrir une liberté et une authenticité qu'il n'aurait jamais connues autrement.
Ainsi Pat remercia le diable d'avoir éclairé son esprit et de l'avoir libéré des chaînes de la moralité et des règles oppressantes établies par l'homme.
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Une nuit d'été, la lueur argentée de la pleine lune éclaire mon chemin à travers les bois. Les feuilles bruissent doucement sous mes pieds, tandis que le parfum enivrant des fleurs sauvages flotte dans l'air. Une brise légère caresse ma peau, éveillant mes sens et suscitant une curiosité insatiable.
Soudain, surgissant de l'ombre, deux silhouettes se détachent. Leurs yeux brûlent d'un feu ardent, capturant mon attention et éveillant des émotions que je n'aurais jamais imaginé ressentir. Un frisson parcourt mon échine alors qu'ils s'approchent, leurs pas silencieux résonnant dans la nuit.
Sans un mot, je me laisse guider par leurs désirs, abandonnant toute résistance. L'homme mystérieux, empreint de confiance et d'assurance, ouvre son pantalon lentement, révélant son membre en érection qui me fait frissonner d'anticipation. Son regard brûlant me défie, m'invitant à succomber à la tentation de l'interdit .
je prends son sexe dans ma bouche, l'engloutissant avec une voracité délicieusement interdite. Je le sens pulser contre ma langue, chaque mouvement créant une onde de plaisir intense qui nous envahit tous les deux. Les gémissements de mon partenaire résonnent dans l'air, m'encourageant à continuer à explorer chaque centimètre de sa virilité avec ma bouche avide. J'entends sa respiration s'accélérer, ses mains se perdre dans mes cheveux, me guidant dans un rythme sensuel et passionné. Je me délecte du goût de sa passion, m'abandonnant complètement à cette expérience charnelle.
Pendant ce temps, l'autre homme attiré par ma vulnérabilité, glisse lentement sa main le long de ma jambe, déboutonnant délicatement mon pantalon. Le tissu tombe au sol, révélant mon intimité à ses yeux avides. Un frisson parcourt mon corps lorsque ses doigts effleurent ma peau sensible, créant une décharge électrique qui s'intensifie à chaque caresse.
Il se positionne entre mes jambes, je devine son regard brûlant de désir fixé sur moi. Un mélange d'excitation et d'appréhension s'empare de moi alors qu'il s'introduit doucement en moi, m'envahissant avec une lenteur calculée. Les sensations sont à la fois intenses et délicieusement interdites, chaque mouvement de va-et-vient faisant monter en moi une vague de plaisir inégalée.
Ses mains griffant mon dos, cherchant à se rapprocher davantage de cet état d'extase. Les sensations se mêlent, entre douleur et plaisir, dans une danse sensuelle qui nous emporte tous les trois. Nous nous abandonnons à nos désirs les plus profonds, nos corps se mouvant en harmonie, cherchant l'orgasme tant attendu.
Me pénétrant avec une force inouïe. Chaque mouvement de va-et-vient est une fusion de douleur et de plaisir, une danse sensuelle et perverse qui nous consume tous les deux.
Je sens mon corps s'ouvrir et s'abandonner à lui, mes gémissements se mêlant à ses soupirs de satisfaction. La passion nous emporte dans une spirale de désir, nos corps se mouvant en parfaite synchronie, cherchant l'extase ultime. La tension sexuelle est à son comble, chaque pulsation nous rapprochant de l'orgasme tant attendu. chaque va-et-vient est un échange de sensations qui me consume et m'envoûte.
Je me perds dans cette fusion des corps, le plaisir se mêlant à l'obscurité qui nous entoure. Les gémissements s'échappent difficilement de mes lèvres le sexe du premier homme dans ma bouche alors que je me laisse emporter par cette expérience sensorielle. Les frontières entre la douleur et le plaisir se brouillent, et je me retrouve à la merci de ces hommes qui ont éveillé en moi une passion dévorante.
Les ténèbres semblent s'entrelacer avec nos mouvements, amplifiant les sensations qui se propagent dans tout mon être. Je me laisse emporter par cette vague de plaisir, oubliant tout ce qui m'entoure.
Nous nous abandonnons à cette danse charnelle, nous perdant dans un océan de sensations enivrantes. Les limites s'estompent alors que nous nous abandonnons à nos instincts les plus primaires.
L'intensité monte crescendo, faisant monter la passion à son paroxysme. Les mouvements deviennent plus rapides, plus frénétiques. Je sens le plaisir monter en moi, une explosion imminente qui me submerge et me fait crier de plaisir.
L'orgasme nous saisit tous les trois, le premier atteint le point de non-retour. se libèrant dans ma bouche, avec un soupir de satisfaction et une vague d'extase qui le submergent.
Alors que le liquide du second individu se déverse en moi, je sens chaque goutte remplir mon être, intensifiant les sensations de plaisir et de désir.
Je ressent une nouvelle sensation, une découverte agréable qui me surprend.
se déversant en moi , inondant mon intimité d'une sensation inconnue jusqu'alors. Je peux sentir chaque goutte glisser, provoquant des frissons de plaisir et une vague de sensations enivrantes.
Cette sensation nouvelle et agréable me transporte vers des horizons inexplorés, me faisant perdre tout contrôle et m'abandonner a mon tour au tourbillon d'extase encore plus intense.
. L'acte accompli, nous nous séparons lentement, chacun retournant à sa propre réalité. Mais cette soiurée au cmlair de lune restera à jamais gravée dans nos cœurs, une preuve de l'amour et du désir qui peut naître même dans les endroits les plus sombres.
je réalise que cette rencontre était bien plus qu'une simple exploration des plaisirs charnels. Elle a été une révélation sur moi-même, une plongée dans les profondeurs de mes désirs les plus enfouis. J'ai découvert que l'obscurité, loin d'être un ennemi, peut être un allié puissant pour éveiller nos sens et libérer nos inhibitions.
Je quitte ce sanctuaire secret avec une nouvelle perspective sur la vie et sur moi-même. Les souvenirs de cette soiree interdite continueront de hanter mes pensées, me rappelant les possibilités infinies de l'exploration sensuelle et la beauté troublante de l'obscurité.
Bien plus qu'une simple aventure érotique, c'était un voyage de découverte, une exploration des désirs les plus profonds. À travers cette expérience, j'ai appris à embrasser mes passions et à me laisser guider par mes instincts les plus primaires.
Cette instant restera à jamais gravée dans ma mémoire, comme un rappel de la puissance de l'obscurité et de la révélation qu'elle peut apporter. Je suis prêt(e) à poursuivre mon voyage, à explorer de nouveaux horizons et à embrasser les plaisirs qui se présentent à moi, en quête d'une passion qui transcende les limites.
Que ce soit dans l'obscurité de la nuit ou dans la lumière éclatante du jour, je sais que je suis capable d'explorer les profondeurs de mes émotions.c'est dans ces moments de vulnérabilité partagée que nous découvrons qui nous sommes réellement.
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