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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
C'est une pure fiction abordant la thématique du viol et du harcèlement.
Un sujet tabou, qui laisse des traces, des blessures ouvertes, des séquelles. j'aborde un sujet que j'ai malheureusement connu et où je me suis tue. J'avais 21 ans. Ne restez jamais silencieuse face à cette situation!
Aujourd'hui je vis pleinement ma sexualité et malgré ce que j'affectionne, je ne fais pas d'amalgame.. mes envies sont les miennes et le bdsm est si méconnu. Quand on est avec la bonne personne, on est justement protégé et sincèrement désiré. Tout n'est que partage et sentiments. Ceux qui prennent la soumission domination pour assouvir des pulsions ont malheureusement bien tort. C'est pour moi la relation la plus fusionnelle qui existe!
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Je sentais chacun de ses coups de rein. Il me pilonnait fermement, avec passion.
Il agrippait mes fesses. Je sens encore l’empreinte de ses doigts dans ma chair. Il me prenait si sauvagement. La seconde d’après je sentais ses baisers dans mon dos, ses caresses. L’œil du cyclone, puis la tempête reprenait vigueur. Il empoigna mes cheveux, me forçant à me relever. Je me redressais lui offrant ma poitrine. Ses mains prenaient un réelle plaisir à les malaxer fortement. alors que sa queue se frayait son chemin dans ma vulve.
Il passa sa main sous ma gorge me forçant à me cambrer, de l’autre il plaça son bras derrière mes deux coudes qui était dans mon dos.
Sa frénésie me faisait défaillir. Ses couilles battaient mes fesses.
- Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.
Ces derniers coups furent si violent que la table en avait bouger.
Il claqua une dernière fois mes fesses puis me retourna pour me mettre sur le dos.
Il agrippa mes jambes les refermant contre lui et continua de me prendre. Je sentais sa verge si dure en main. Il me regardait. Soudainement il écarta mes jambes et observa sa queue entrer et venir dans ma chatte.
- Hum du beurre.
Puis il posa son pouce sur mon clitoris et le caressa en même temps qu’il me prenait.
- Ahhhhh.. ahhhhh
- C’est bon.. ma belle, prends ton plaisir…
- Je…..
- Ahhhhhhhh.. je vais…
- Jouir ? jouis, je veux te voir t’abandonner.. jouis !
Il augmenta ses coups tout en me caressant. Mes seins valsaient. La vague de plaisir qui m’envahit fut si intense.
Lui continuait de me posséder. Il se pencha sur moi et me bâillonna de sa main. Je sentais tout le poids de son corps. J’aimais ce contact, la chaleur de sa peau.
Il me murmura.
- Tu est ma petite putain. Tu es si bonne.
Je voulais protester
- Tais toi !
Il me tringlait encore et encore. Il se releva et me gifla avec une certaine douceur jusqu’à ce qu’il explose.
Il m’avait saisi sous les cuisses pour mieux me prendre. Puis au moment de jouir il se retira et éjacula sur mon ventre.
Il se retira, épuisé, transpirant et vidée.
- Tu es sensationnnelle ma belle.
- Viens dans mes bras.
Il me releva et me prit dans ses bras. Il m’invita sur son canapé. Je me lovais contre lui.
Il caressa doucement mes cheveux, m’embrassait tendrement.
- Je suis navré d’avoir était si brutal.. mais vous me rendiez si fou.
- J’ai aimé que vous me preniez ainsi. Je ne me suis jamais sentie autant possédée, désirée. C’était si intense.
- Hum.. laissez moi vous initier à ces plaisirs. Laissez moi faire de vous mon égérie, mon tout.
Je me sentais complètement surprise par la tournure des événéments.
- Maintenant taisez-vous et venez vous blottir contre moi.
J’entendais les battements de son cœur, je m’endormais doucement.
Il m’avait porté jusqu’à sa chambre. Le lendemain matin, il n’était plus là. Je voulais sortir, mais impossible, j’étais toujours enfermée. Les larmes me montaient. Je ne voulais pas rester prisonnière.
- Pourquoi cette porte est elle fermée entendais-je ?
J’entendis la voix de Peter, c’est la chambre d’Herr Ludwig, elle est toujours fermée car elle contient des dossiers confidentiels.
- Ils ferment sa propre chambre à clé ? vous rigolez, ouvrez !
Je reconnus la voix de Lintzer. J’allais me cacher tout de suite sous le lit.
La porte s’ouvrit. Je vis les bottes de cet horrible homme. Il semblait fouiller la chambre. Quand soudain il pris en main la robe que j’avais que j’avais laissé dans la salle de bain, celle que je portais au bal.
Je la vis retombée au sol.
- Intéressant…
Puis il quitta la pièce.
Je n’osais plus faire de bruit. Peter vint m’ouvrir la porte
- Comment allez-vous Mademoiselle Lane ?
- Je vais bien mais cet homme, que faisait-il ici ?
- Je ne le sais pas mais il est clair qu’il cherche quelque chose ou quelq’un.
- Quand revient Herr Ludwig ?
- Pas avant demain. Il m’a dit de m’occuper de vous, de vous faire apporter quelques toilettes et en aucun cas de vous faire sortir de la chambre.
- Très bien, je ne bougerai pas.
Un peu plus tard dans la journée, j’entendis du grabuge plus bas. Je n’ai pas eu le temps de me mettre sous le lit, que la porte fût défoncée.
- Je le savais ! je savais que ma Prinzess était ici.
Face à moi Herr Lintzer. Son regard était menaçant. Il s’approcha de moi, je reculais dans le coin de la chambre.
- Nous n’avions pas fini notre entrevue la dernière fois.
Il agrippa mon bras si fermement.
- Suivez-moi !
- Lâchez moi connard ! lâchez moi !
Je me débattais. Il me força à descendre les escaliers. Arrivés au rez de chaussée, il me regarda.
- Amenez là dans mes appartements privés et attachez là fermement. C’est une sacrée sauvage !
- Lâchez moi !!!!!
- Taisez-vous sinon vous aurez la mort du majordome sur la conscience.
Je tentais de me calmer. Je vivais un réel cauchemar.
- Peter, Peter…
- Hans… je suis navré, il l’a trouvé ! Il l’a emmenée
- Quoi ? il l’a emmené ? où ça ? il a parlé de ses appartements privés.
- Le salaud, je vais le tuer.
On me jeta dans une voiture comme un vulgaire paquet. On me mit un tissu sur le visage. Je ne savais pas où j’étais. Je sentais des bras vigoureux me diriger puis au final m’attacher fermement à une chaise.
J’attendais, tremblante.
Soudain, je sentis une main appuyée sur mon épaule. Puis une gifle s’abattre à travers le tissu.
Elle me sonna par sa puissance. Je compris qu’il était là. Je sentais alors sa matraque parcourir mon corps.
- Je dois reconnaitre que tu es une sacrée belle putain. Cela fait des semaines que tu m’as échappé. Et on ne m’échappe pas et tu n’aurais jamais dû tenter de t’échapper.
Il ôta le tissu sur mon visage.
- Je t’avais repéré à la soirée, tu pensais que tu allais passer inapercue ! Ton amie Claudia a été coriace mais j’ai réussi à lui délier la langue.
- Claudia, que lui avez-vous fait ?
- Oh rien, ne t’inquiète pas, elle est bien au chaud, elle réconforte mes collègues. Je lui ai montré comment elle doit être, elle est devenue bien obéissante maintenant, comme toi tu vas l’être.
Je le regardais et je lui crachais au visage.
- Vous êtes un fou !
Il ôta mon cracha avec ses doigts et les mis dans sa bouche.
- Hummm…
- J’aime les sauvageonnes comme toi. Je vais te faire manger dans ma main.
- Allez vous faire voir !
- Amenez moi Claudia, tout de suite !
Je vis ma Claudia quelques minutes plus tard. Elle portait une robe rouge de soirée, un maquillage outranciel.
- Messieurs, baisez moi ça de suite.
Je voyais Claudia, comme droguée, elle se laissait faire.
- Non arrêtez je vous en prie, ne faites pas ça.. Je..
- Oui vous ?
- Que voulez-vous de moi ?
- Que tu sois ma petite chose obéissante. Tant que tu seras gentille et que tu obéiras, Claudia sera épargnée. Un seul faux geste de ta part…
- C’est bon j’ai compris…
- Ramenez là dans sa chambre ! et détachez notre invitée
Messieurs. Je vous convie à une petite séance de dressage ce soir. Je vais vous montrer comment on mate les pouliches.
Un des gardes me détacha. Je mettais ma main sur ma joue, sa gifle m’avait sonnée.
- Deshabillez-vous !
- Je…. Non je vous en prie.
- Deshabillez-vous !
- Messieurs, arrachez lui ses vêtements !
- Non c’est bon, je vais me déshabiller. Vous êtes abject !
- Toutes vos rébellions, je les note. Je punirais Claudia personnellement.
Je me retrouvais ainsi nue, face à ses hommes. Je tentais plus bien que mal de cacher mes seins et mon sexe.
- Ne te cache pas. La beauté ne se cache pas voyons !
Il se leva de sa chaise et se mit à ma hauteur.
Il était plus petit que moi mais vous compreniez à son regard qu’il ne plaisantait pas. J’aurai tout fait pour lui prendre sa matraque.
Il releva ma tête avec sa matraque.
- Très très jolie…
Il passa sa matraque sur l’ensemble de mon corps. Il me força à écarter les jambes en tapotant sur l’intérieur de mes cuisses.
- Mains sur la tête.
- Voilà une belle position de présentation.
- Messieurs, voici Mademoiselle Véronika. Espionne française, complice de Claudia. Une belle femelle blanche avec des seins en pomme parfait. Elle sera parfaite pour la baise.
Quand je sentis sa matraque passer sur mon sexe, je refusais de céder à qu’ils voient mes pleurs.
- A genou !
Je ne voulais pas céder, je me souviens de la dernière fois.
Il m’agrippa le cou et me força à me mettre au sol, à genou. Il me donnait quelques coups dans les reins avec ses chaussures puis il alla s’asseoir.
- Viens jusqu’à moi maintenant à quatre pattes.
- C’est ça.. applique toi, j’aime que l’on soit racée et digne.
Dans ma tête je voulais le tuer. Je pensais à mes moments avec Hans. Il devait me chercher, je l’esperais.
- Maintenant, nettoie mes bottes.
Je me relevais.
- Allez vous faire…
- Tssss… pas de rébellion, n’oublie pas.
- Allez y tuez nous toutes les deux maintenant !
Ma réaction l’avait surprise.
- Allez y tuez moi maintenant ! n’est ce pas ce que vous allez faire de toute façon, c’est bien ce que vous voulez non ? Vouloir soumettre une femme car vous n’êtes pas capable d’attirer une femme et de vous faire aimer autrement qu’en la torturant ?
Il sortit son pistolet et le braqua sur moi.
- Ouvre ta bouche, sale petite pute.
Il m’enfonça le pistolet dans ma bouche. Je ne faisais que penser à des moments heureux, je faisais tout pour ne pas sangloter. Ne pas lui donner se plaisir de lui supplier.
- Suce le…
- J’ai dit suce le !
Voyant que je n’obéissais pas, il faisait des vas et viens avec le canon.
- Maintenant LECHE MES PUTAINS DE BOTTES !
Je tremblais si fort, mon corps trahissait mes émotions. Je commençais alors à m’exécuter. Léchant ses bottes.
- Vous voyez messieurs, comme elles deviennent rapidement dociles. Elles ne demandent que ça.
- Suffit maintenant.
Retourne toi, mets toi en boule, que je vois tes jolis orifices.
- Quel sublime objet d’art, ne trouvez-vous pas messieurs ?
C’est là que j’entendis une porte claquer et je reconnus la voix d’Hans, il était venus me chercher.
- Eh bien voilà ! je savais bien qu’il était aussi un espion. D’ailleurs il est sous surveillance lui aussi. Je vais me faire un plaisir de me débarrasser de lui devant toi ma belle.
- Arrêtez, je vous en prie.. faites de moi ce que vous voulez mais laissez le !
Il m’agrippa par les cheveux et me plaça devant lui.
Hans pénétra dans la pièce avec ses hommes.
- Lâchez La Lintzer.
- Vous êtes une honte pour notre pays Ludwig. Lâchez vous arme où je lui colle une balle dans la tête. C’est ce que vous voulez ?
- Hans, ne l’écoute pas tue le !
Je vis Hans, rendre les armes, mes yeux commencèrent alors à se mouiller.
- Humm, je crois qu’avant de le tuer, je vais d’abord abuser de toi devant lui et lui comment on possède une putain.
- Messieurs attachez le. Enfermés les autres.
Hans se retrouva attaché à une chaise.
- Je suis si désolée…lui répondis je
- C’est moi qui le suis de ne pas t’avoir protégé de lui…
Nous voilà en pleine fête ! Champagne !!!! je veux du champagne.
- Lintzer, laissez la partir ! elle n’a rien à voir dans notre affaire d’égo.
- Oh que si, vous me l’avez enlevée Vous l’avez laissé s’échapper. Depuis on vous surveille. Je vais m’occuper d’elle personnellement. Elle ne craint rien avec moi. Je la sauterai quand je le voudrais, sinon elle sera baisée tous les soirs par mes hommes, elle avec sa copine Claudia. Et quand je me serai lassée d’elle, je lui collerai une balle dans la tête.
Il venait de me glacer. Il venait de me faire perdre le dernier espoir qui me restait. Je venais de trouver un homme, des sentiments naissants et tout était piétiner, en une fraction de seconde.
- Veronika, allez viens me sucer maintenant.
Il défit sa braguette et en sorti sa queue.
- Si je sens tes dents, je lui colle une balle, compris.
Il fourra sa queue dans ma bouche et tenait ma tête. Il me for(cait ainsi à prendre un rythme soutenu.
- Oui prends la bien au fond… rohh mais quelle suceuse !
- Ludwig, regarde ta putain comme elle est douée ! je comprends ce que tu lui trouves.
- Ne t’arrête surtout pas.. Continue, allez applique toi !
De ses deux mains collés à la tête il me forçait vigoureusement. Quand il fut sur le point d’éjaculer dans ma bouche, j’ai profité de ce moment là pour le mordre si férocement qu’il n’avait pas son pistolet pointé sur Hans.
Il hurlait pissait le sang. Je me retrouvais la bouche avec son sperme, l’envie de vomir. Juste une demi seconde pour me saisir de son pistolet.
Les deux autres soldats ne bronchèrent pas. Je mis le pistolet sur la tempe de ce connard.
- Détachez le ! tout de suite.
- Jetez vous armes aux sols.
J’étais en crise de nerf. Je pleurais comme il n’était pas possible de pleurer. Comment un homme pouvait détester à ce point les femmes !
Il m’avait poussé à bout. J’attrapais la bouteille de champagne pour enlever le gout répugnant de son sperme dans ma bouche. J’étais si écoeurée. L’odeur reste, le gout aussi. Je me suis mise à vomir sur le sol.
Hans avait pris ma place.
- Tourne toi Véronika, je ne veux pas que tu vois ça.
J’entendis une détonation. Lintzer tomba sur le sol. Mort.
Il me prit alors dans ses bras et m’enlaça si fortement.
- Tu es une femme forte ! je suis là !
Je n’arrivais plus à réfléchir. J’étais en état de choc… Je criais juste. Claudia…
- Claudia.. claudia, ton amie est ici ?
Je fais un hochement de la tête.
Ses hommes libérés, ils firent le tour de la maison. Ils trouvèrent Claudia enfermée dans une chambre, complètement droguée.
Homme me prit dans ses bras et m’emporta loin de ce lieu atroce.
La suite : Chapitre 5
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J’attends patiemment ma pâtée étant sans doute le seul à ne plus sentir la puanteur de ma couche. Après quelques heures Allan m’apporte mon repas qui devient mon réconfort.
Pour la boisson, je travaille en autarcie complète ; je pisse, je bois, je pisse, encore et encore.
«Je vais te débarrasser de cette couche immonde, allez lève-toi» me dit Allan
Il la prends et la jette prestement dehors tant elle pue.
«Voilà ce sera mieux, tu seras plus facile à laver demain.
Désolé, mais je n’en ai pas d’autre»
Je me retrouve donc directement sur la planche. C’est dur mais enroulé dans ma couverture, c’est plus agréable que sur ce matelas immonde.
Je m’endors vite. Le réveil sera très matinal.
Allan vient me chercher comme d’habitude pour un petit déjeuner toujours exclusivement uro. Après cela, c’est le traditionnel décrassage au jet d’eau bien froide.
Il me remplace mon rosebud par un plug avec une grande queue de renard. Il m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes métalliques et m’emmène en laisse jusqu’à un bel appartement. Il me laisse au milieu d’un grand salon plus aménagé pour le SM que pour la détente.
C’est avec surprise que je vois entrer Maîtresse Célia. Elle congédie rapidement Allan et s’adresse à moi sur un ton courtois.
«Aujourd’hui, j’avais envie de me détendre alors j’ai voulu voir si tu mérites d’être ici.
Pour moi, tu n’es rien et tu n’as aucune chance de devenir mon soumis.
Tu sera mon objet toute la journée et je te demande respect et soumission»
Je suis au milieu de la pièce, tête baissée et je l’écoute sans broncher.
Je m’apprête à lui répondre mais je reçois une gifle dans la seconde.
«Je ne t’ai pas autorisé à parler alors tu évites de m’interrompre.
Je veux que ton seul horizon soient tes pieds.
Maintenant tu vas au coin, tête contre le mur»
Son ton est posé, ferme et je m’empresse de lui obéir. Elle me fait écarter le jambes pour me fixer un écarteur au chevilles. Penché , la tête contre le mur. Ma position n’est pas des plus confortable. J’entends Maîtresse Célia s’éloigner et me lancer :
«Je vais appeler quelques amies, alors SILENCE. Ta punition durera le temps de mes appels et mes amies sont assez bavardes»
Je souffre déjà et l’avertissement de Maîtresse Célia ne m’annonce pas une fin prochaine de mon supplice.
Elle passe un 1ère appel assez court et mon moral remonte. Elle enchaîne malheureusement un deuxième appel qui dure une éternité. J’ai le front écrasé, les cervicales de plus en plus douloureuses.
Le silence qui suit la fin de son appel me rassure et encore plus quand je l’entends dire :
«Approche»
«Oui Maîtresse»
.Avec les menottes et la barre d’écartement, c’est plus facile à dire qu’à faire. J’arrive à me redresser douloureusement et je la rejoins en dandinant. Arrivé à ces pieds, elle me libère les chevilles et les poignets. Son sourire est encourageant et je ressens son envie de prendre du plaisir.
«Met-toi ici, écarte les jambes et lève les bras»
Ainsi présenté, elle m’attache les chevilles et les poignets à des sangles qu’elle tend très fort pour m’écarteler.
Maîtresse Célia a en main une canne anglaise très fine avec laquelle elle me fouette sèchement. Ces coups sont précis et les traces de la canne dessine bientôt un beau motif écossais. Je suis nu mais elle ne tarde pas à m’habiller de cette fresque géométrique qui vire du violet au rouge. Maîtresse Célia jubile et cela transpire sur son visage. Elle m’a gravé un body coloré des pieds aux épaules.
Les traces que j’aperçois sont profondes et quelques gouttes de sang en suinte légèrement. Ma peau est chauffée à blanc.
Contente de son œuvre, Maîtresse Célia me détache précautionneusement comme pour ne pas casser son objet.
D’un geste autoritaire, elle me montre le sol m’intimant de me mettre à genoux, les mains sur la tête, le regard vissé au sol.
« tu as bien sali le salon, alors il va falloir faire le ménage Ma Renarde»
Elle sort d’un tiroir une jupette et un soutien-gorge de soubrette que j’enfile prestement.
Elle me trouve également des escarpins avec talons de bonne hauteur. Maîtresse Célia m’humilie habilement avec ce costume et ma queue de renard. Pour accroître encore ma soumission, elle me demande d’aller chercher une balayette, une pelle, un seau plein d’eau chaude, une brosse et une serpillière.
«Aller, à quatre pattes et frotte»
C’est avec ces outils dérisoires que je dépoussière et que je lave le salon sous le regard de Maîtresse Célia qui me tangue régulièrement,
«plus vite, c’est pas propre, frotte plus fort et puis regarde tout ce qui reste» après avoir donné un petit coup de pied dans ma pelle que je venais juste de remplir…
Elle me chevauche, me cravache toujours plus sèchement.
Elle rit de bon cœur en précipitant ma maladresse naturelle. Son rire est communicatif mais un coup sec de la canne anglaise me remet vite à ma place.
Ouf ! malgré tous les efforts de Maîtresse pour que je n’arrive pas à laisser le sol nickel, je termine tant bien que mal mon épreuve de Sissi.
«Bien, tu vas préparer le repas»
Après avoir chauffé son déjeuner, je lui sers son repas sur la table de la salle à manger. Maîtresse exige que je me déplace exclusivement à quatre pattes. Entre les plats, je suis à genoux à côté d’elle. Je suis attentif à ce qu’elle ne manque de rien. C’est seulement par mon service impeccable que Maîtresse me fait l’honneur de ses restes dans une gamelle de chien. Je lape avec difficulté cette gamelle qu’elle a posé à ces pieds, la poussant subrepticement pour me rendre la tâche encore un peu plus ardue.
A la moindre faute, Maîtresse me retire la gamelle tant que je ne lui ai pas donné satisfaction.
Maîtresse est juste. Elle me caresse les cheveux pour me montrer sa satisfaction.
«Bon toutou, tu peux débarrasser maintenant et faire la vaisselle»
Je ne perds pas de temps pour lui obéir car à quatre pattes, c’est nettement plus lent ce qui exaspère vite Maîtresse Célia. La canne anglaise me le fait bien comprendre et j’accélère autant que possible.
«Bien, dès que tu as fini, aux pieds dans le salon, je suis sur le divan»
Je ne tarde pas à me prosterner à ces pieds.
«Ôte moi mon escarpin et tend ta main»
Elle me déverse une noisette de crème de massage au creux de la paume.
Je commence à lui masser les pieds puis les mollets avant de prolonger avec l’autre pied de Maîtresse.
«Tu es plus doué pour les massages que pour enlever les chaussures»
Je baisse la tête à la fois flatté et honteux.
Ma journée aux pieds de Maîtresse Célia continue, je vous la raconterais bientôt
A suivre ….
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Avec application, le voile de l’illusion, le tenir.
Fermement, pas que des mains, retenir.
Augmenter la pression, chercher le point de rupture,
Infléchir, faire céder ta fierté de cette cambrure.
Imaginer la chute, celle dans laquelle je te précipite,
Ma porte de sortie, ma fuite, mon exit.
M’assurer de quitter la scène, sinon moins en héros,
Te laisser croire que tu le décides, que nous sommes égaux.
Dans l’agitation de l’action ton bandeau se soulève, je me précipite.
Te garder aveugle, à tout prix, te laisser croire que tu m’excites.
Il sera bien assez tôt là, le temps ou je ne serais plus,
Pour cette hypocrisie du soir, me détesteras-tu ?
Dès le départ, tu me les as confiées, les clés de ta soumission.
Ces détonateurs, ces alertes, ces voyants qui te pousseraient à mettre fin à cette relation.
Ces boutons sur lesquels je sais donc désormais appuyer,
Les leviers, les manœuvres, pour te pousser à me repousser.
Progressivement, communication, confiance, les déliter.
Ces incohérences que tu exècres, les arborer, les exulter.
Écarts insupportables entre paroles et gestes,
Quant à l’expression de ma domination sur toi, peu à peu, lâcher du lest.
Ce soir c’est mon bouquet final, mon ultime jeu théâtral,
En bon chef d’orchestre, je sublime et magnifie mes fausses notes,
Il est temps que la grenouille se brûle, sorte de mon bocal,
Dépasser les bornes, juste ce qu’il faut, cette fois il faut que ça dénote.
Tu avais été prévenue, tu venais pour mon plaisir, pas pour le tien,
Promptement faire mon affaire, m’assurer du minimum te faire endurer,
Chancelante, comme toujours, mais cette fois l’issue qu’importe,
Tu n’es que le sujet d’expérience de mes doutes inavoués.
Ruisselante de mon foutre, aussitôt te congédier.
Sans un regard, tu reprends ton sac, de chez moi referme la porte.
Comme un clap de fin l’écho irrégulier de tes talons désorientés dans l’escalier.
Ton attitude sans équivoque m’en rassure, le message est passé.
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Ma drogue, mon héroïne, je sais qu'avec Vous, il n'y a aucun risque d'overdose.
Alors je vous respire, envoûtée par vos effluves, mon corps en transe implose.
Dans les nuages, je suis, Vous êtes ma dépendance. En votre absence, je compose.
Rien n'est aussi bon que d'être accroc sans devoir surveiller la dose.
Offrons-nous une petite évasion qu'il est bon de voir la vie en rose.
Gonflés à bloc, on se consomme, on se consume ; érotique symbiose.
Une étincelle m'embrase, dans mes veines, c'est l'apothéose.
Effets instantanés. Ma drogue à moi, c'est Vous et pas autre chose.
Même s'il y a souvent cet état de manque, ce vide
Obscurs moments de solitude, de noirceur insipide
Nos retrouvailles sont toujours merveilleuses, et tout redevient limpide.
Heureux dans notre bulle sans penser à la piqûre de rappel
Eviter le temps qui passe, planer et profiter de l'essentiel.
Ravageuse, Vous êtes mon crack, mon héroïne, comme un éclair dans le ciel
Ombre devient alors lumière, qui me foudroie d'une voix sensuelle
Inondé de bonheur, ma délicieuse, ma délicieuse, ma belle
Nos "trips" n'ont nul besoin de substances hallucinogènes, mon don me donne des ailes.
Et je ne suis dealer que pour Vous offrir ma soumission cérébrale et bien réelle.
Le 26 07 2021
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Apres cette journée bien rempli, j’avais le droit de souffler un peu.
Histoire de digérer le fait d’avoir perdu une journée de congé à faire de l’administratif, je me suis décidé à m’offrir ce petit cadeau qui me faisait de l’œil depuis quelques temps.
Sur la route du supermarché, se trouve le sexshop du coin. Etant donnée qu’il n’est que 16h, j’ose m’y aventurer, me disant qu’il n’y aura personne a cette heure ci en pleine semaine, et que je ne risque pas de croisé le regard jugeur d’un autre client, ou même d’une connaissance.
D’un naturel très timide, l’une de mes craintes est d’exposer aux yeux des autres ma sexualité que certains qualifierait de décalé, ou étrange.
A peine le moteur coupé, je sens une sorte d’anxiété monté en moi. Rapidement, je me rend compte que ce sentiment est accompagné d’excitations. Je respire profondément et prend mon courage a deux mains.
Je sors de ma voiture et me dirige vers l’entré du magasin. « C’est une recherche tout a fait normal, tu n’es pas bizarre » me dit une petite voix dans ma tête.
A l’intérieur, l’espace est immense, le plafond très haut. Les murs sont peint en rose sur la moitié haute, tandis que le bas est en noir. A l’entrée sur la gauche se trouve les premiers rayons de sextoys. Des modèles assez « classe » et discret, pour éviter d’effrayer la clientèle, j’imagine.
Au milieu se trouve le comptoir de vente avec les caisses. Je suis accueilli avec deux « bonjour » léger et enjoué. Ces mots viennent de deux femmes se tenant à côté du comptoir.
A ce moment la un homme sort d’une pièce sur la droite, dont l’entrée est fermée par un rideau. Il s’approche des caisses 2 boites de DVD en mains, le regard fixé sur le sol, fuyant mon regard, de la même manière que j’aurais fuis le sien dans sa position. Je rejette un coup d’œil au rideau et vois le panneau qui surplombe l’encadrure indiquant le rayon de film pour adultes.
« Allez, tout va bien ce passer. Détends-toi ! ».
Je commence à faire le tour des rayons, en quête de ce qui m’a amené ici. Bien que pressé d’en arriver au but, je prend le temps d’observer avec grande attention tout les rayons. Les godes du plus petits des vibros au gros machins qui semble impossible de s’enfiler, des dessous sexy d’infirmière aux tenues intégrales en latex, il y en a pour tout les gouts et tout les besoins. Je prends un plus mon temps au rayons plug anal. J’essais d’imaginer l’insertion de chacun d’entre eux dans un anus, ce qui a tendance a faire monter l’excitation que j’ai en moi. Je passe lentement, l’ère de rien, devant les accessoires SM, notamment les martinets, cravaches et autres outils permettant de fouetter. J’imagine, là aussi, l’effet de chaque objet sur une paire de fesses ou sur quelque autre endroit d’un corps. Voilà déjà 20 minutes que j’ère dans les allées de ce sexshop. Je fini enfin par tomber sur ce que je cherche.
Il s’agit maintenant de trouver le bon modèle. Là encore, il y a en pour tout les gout, de toutes tailles, en différentes matières, etc.
Un peu perdu devant autant de choix, j’observe, et essaye d’esquisser un semblant de réflexion pour orienter mon choix. Apres quelques minutes planté devant se rayon, une douce voix me dit :
« Puis-je vous aider ? ».
Mon petit sursaut témoigne de ma surprise. Malgré la légèreté de sa voix, je n’ai pas pu m’empêcher de tressaillir de peur.
« Toutes mes excuses, je ne voulais pas vous faire peur » me dit l’une des deux vendeuses.
« Non, non pas de soucis, c’est moi qui m’excuse, j’étais perdu dans mes pensées ».
« Je comprends. Alors dites-moi, comment puis-je vous aider ? »
Sa voix était extrêmes poser. Bien sûr, travaillant ici, elle avait l’habitude de conseiller des clients sur des objets intimes, et ne ressentait donc aucune gêne pour en parler. Cela avait quand même le don de me surprendre.
« Est-ce que vous avez déjà des modèles qui vous intéressent ? »
« Oui… non… a vrai dire, je n’en ai aucune idée. J’ai regardé chaque modèles sous toutes ces coutures, mais j’arrive pas a m’orienté vers l’un ou l’autre ».
« De les avoirs tous regardé est déjà un bon début, pour trouver le bon modèle ».
« On peut le voir de cette manière… »
« Est-ce que c’est pour offrir ou est-ce que c’est pour vous ? »
Je senti le stress faire son retour.
« C’est… euh.. c’est pour of.. c’est pour offrir à moi-même. » ma voix était tremblante.
« Très bien » me dit la vendeuse, d’un ton toujours aussi léger. Cependant, je vis, avec ces mots, quelques étincelles illuminer son regard.
Elle laissa un court instant de silence avant de reprendre :
« On progresse ». Sa bouche esquissait un discret sourire bienveillant.
« Est-ce la première fois que vous acheter ce genre d’outil, si j’ose dire ? »
« Oui »
« Alors, si c'est pour découvrir la sensation que ca procure, je vous conseil ce modèle ou celui-ci. Ils sont assez facile d’utilisation. Le premier est en plastique dure, alors que le second est souple. Il sera plus doux avec votre intimité, la ou le premier dictera un peu plus son jeux.
Avant de choisir la taille, il faut, je pense, vous décider sur le type que vous souhaitez prendre. »
« Le premier me semble peut-être plus adapté à ce que je cherche. Et je dois avouer que cet anneau rigide me plait plus que sa version souple. » Je m’étonnais moi d’être parvenu a sortir ces quelques mots du premier coup, tant j’étais intimidé de discuter de cela avec la vendeuse.
Celle-ci vit dans mon regard fuyant, que je n’étais pas à l’aise avec la situation.
« Si vous voulez, on peut prendre quelque modèles et aller dans mon bureau, afin de poursuivre cette discussion dans un endroit discret. Je vous sens pas forcement a l’aise avec ce sujet, je pense qu’il peut être pas mal de démystifier tout ça ensemble. Qu’en dites-vous ? »
J’étais tétanisé. Mon pouls c’était accéléré, de terreur, mais aussi d’excitation. L’espace d’une fraction de seconde, je m’étais imaginé une session d’essayage privée avec cette femme, dans son bureau.
Essayant de paraitre tout à fait serein, je dis, sur ton maladroit : « et bin pourquoi pas ?!»
Elle prit quelques modèles, 2 en plastiques souples, et 4 rigides, et me proposa de la suivre.
Son bureau était situé au premier étage. Apres avoir passé une première porte sur la droite de la salle principale du magasin, un escalier mené a une grande pièce rectangulaire.
La porte se situait au milieu de celle-ci. Face a l’entrée, le mur était couvert de fenêtre donnant sur l’extérieur du bâtiment. A chaque extrémité de la pièce ce trouvait un bureau, un pour chacune des vendeuses j’imagine. Entre ces bureau ce trouvait, contre les fenêtres un coin détente, composé d’un canapé et de deux fauteuils.
« Asseyez-vous, je vous en prie » me dit-elle.
« Est-ce que je peux vous offrir un café, un thé, ou un verre d’eau ? »
« Je veux bien un verre d’eau, s’il vous plait . »
Elle se dirigea vers son bureau, a côté duquel se trouvait un petit frigo.
Je ne pu m’empêcher de la regarder lorsqu’elle eu le dos tournais. C’était une femme ravissante d’une trentaine d’années, 35 peut-être. Elle faisait a peu près ma taille, avec ses talons. Ses cheveux étaient d’un noir brillant, et tombaient sur ces épaules. Elle portait une jupe en jean, qui s’arrêtait juste au-dessus du genoux, ainsi qu’un t-shirt blanc. Sa silhouette était fine et élancé. Son allure était franche mais légère.
Elle sortie une bouteille d’eau du frigo, pris un verre qui était posé retourné sur un plateau, et revint vers le canapé. Durant son retour vers le canapé, mon regard se tourna vers les murs, cherchant quelques chose d’intéressant a regarder autre que la vendeuse.
Elle pris place sur le canapé face a moi.
« Tenez. »
« Merci. »
« Alors, voyons ce que nous avons là. » me dit-elle en étalant ce qu’elle avait ramené de la salle sur la table.
J’avais la sensation d’être a une soirée Tupperware pour adulte. J’étais toujours aussi terrifié et excité a la fois.
« Comme je vous est dis tout a l’heure, les souples sont plus doux, plus « abordable », là où le rigide procure plus de sensations, bonne et mauvaise. Ici on a trois modèle différents et j’ai pris deux tailles de chacun.
Vous m’avez dis être plus attiré par un modèle rigide. J’imagine que vous êtes plutôt à la recherche de sensations. »
« Oui effectivement. Les rigides me semble plus sympa. »
Son visage était toujours illuminé un sourire bienveillant.
Elle baissa les yeux vers la table, avant de les relever, et me dire en me regardant droit dans les yeux :
« Enfin que vous sentiez plus à l’aise, j’aimerai vous dire que je suis là pour vous aider à trouver le produit qui correspondra le mieux a vos attentes. J’ai l’habitude de conseiller et de vendre ce genre de chose. C’est mon métier.
En plus de ça, pour tout vous dire, il m’arrive assez régulièrement d’en utiliser avec des hommes dans ma vie. »
Mon cœur fit trois tours sur lui-même.
Je ne sais pas si ses paroles avaient apaisées ma peur, ou si c’est l’excitation qu’elles provoquaient en moi qui avait confiné la peur.
J’ouvris la bouche, mais aucun mots n’en sorti.
« Pourriez-vous me dire ce qui vous amènes a vouloir faire cet achat ? »
« euh… et bien… »
Je pris une grande respiration, histoire de regrouper un peu de courage.
« Je… disons que je cherche… enfin, je suis… disons que j’explore différents aspect de ma sexualité. Je... Je m’intéresse depuis quelques temps au milieu BDSM, sans trop savoir précisément ce qui m’attire la dedans. Et... »
« Ca y est, j’ai mis les pieds dans le plat !! » me dis-je intérieurement.
La vendeuse me regardait fixement. Elle semblait comme pendu à me lèvre, dans l’attente de la suite.
Un simple « ok » accompagné d’un hochement de tête, me signifiait de continuer.
« Ce qui est sûr, c’est que j’ai plutôt une tendance à être attiré par la soumissions. Cependant, il y a une partie de moi, qui souhaiterai dominer. Mais c’est une domination plutôt perverse, et j’ai du mal a voir claire en elle.
J’ai déjà eu des expérience de pseudo SM, lors d’ébat sexuelles. Et ils m’ont plutôt conforté dans cette attirance pour la soumissions.
Le fait est que je n’ai pas de partenaire, en ce moment, mais que j’ai envi de m' enfoncé un peu dans le BDSM. Afin d’approfondir mes envies. »
Je ne sais par quelle sortilège, elle était parvenu, à me faire dire tout ça, mais j’étais fier de moi, d’avoir surmonté ma timidité.
« Je comprends, pratiquant moi-même, le BDSM, je sais a quelle point la découverte de ce monde est à la fois perturbante et excitante.
Cependant, vous ne m’avez pas clairement exprimé quelle était la motivation de votre achat, me semble-t-il ? »
Son sourire était devenu un peu plus prononcé, et semblait exprimer une certaine perversité. Comme si elle se faisait un malin plaisir de me pousser dans mes retranchements, jouant avec ma timidité pour me torturer.
« Il est vrai. En fait, je… Comment dire ça.
Comme je vous l’ai dit, je cherche a explorer comme je peux, avec les moyens du bord, certaines sensations.
Notamment, la soumissions. La partie perverse de moi-même, à suggérer qu’il pourrait être intéressant, de… d’utiliser ce genre d’objet de temps en temps, chez moi, pour… me… enfin… pour me soumettre à moi-même. »
« Intéressant. Donc votre achat n’est pas motivé par une tiers personne ? »
« Non. »
« Et vous êtes a la recherche d’expériences me dites-vous ? »
« Oui. »
Le silence rempli la pièce durant quelques seconde.
Je ne savais pas ou me mettre. L’absence de parole fit remonter la timidité.
Je tenta de briser le silence, avant d’être aussitôt interrompu.
« Je. »
« Non ! »
Elle avait placé sont index sur sa bouche, me signifiant de me taire.
« Si je comprends bien, vous êtes en pleine découverte de votre sexualité. Vous vous sentez plutôt soumis, et chercher à confirmer ceci. Pour ce faire, vous voulez vous offrir ça, et le porter chez vous afin de vivre une sorte d’expérience de soumission ? »
« Oui c’est bien ça. »
Elle laissa un long silence, avant de reprendre :
« Si je vous demandais de vous mettre à quatre pates devant moi, le feriez-vous ? »
Mon corps se raidis. Est-ce que j’avais bien compris ce qu’elle m’avait dit ?
« Je… c’est-à-dire ? Je ne suis pas sûr de bien comprendre. »
« Vous avez parfaitement compris. Mais pour ôtez tout doute persistant, je vais me répéter.
Si je vous demandais de vous mettre à quatre pattes devant moi, maintenant, le feriez-vous ? »
Je restais sans voix. Je n’osais pas assumer ce que j’avais compris. Par curiosité, je répondis, balbutiant :
« Oui »
« Intéressant, faite le. »
Je m’exécutas.
« Bien. Maintenant, si je vous demandais de vous lever, de marcher jusqu’au bureau, de revenir et vous remettre a quatre pates devant moi, le feriez-vous ?
Je ne dis mot, et effectuât ce qui m’avait été demandé.
« Bien. »
J’étais devant elle, a quatre pate, dans l’attente de la suite.
Je sentais son regard posait sur moi.
« Si je vous demandais d’embrasser mes chaussures, le feriez-vous ? »
Une fois encore, elle dictat, je fis.
J’embrassas délicatement chacune de ses chaussures, sur le dessus.
« Très bien. Debout, maintenant ». Sa voix avez légèrement changer.
« J’ai comme l’impression que vous êtes extrêmement volontaire pour essayer de nouvelle choses. » me dit-elle d’un air sérieux.
« Je dois avouer qu’en effet, cela tendance à aiguiser ma curiosité. »
« hmmm…. Bien bien bien. Que diriez-vous de jouer a un petit jeu avec moi ? »
« Quelle genre de jeu ? »
« Le genre qui fait découvrir des choses !
Disons, que j’aime m’amuser avec les hommes. Particulièrement, ce qui débutent dans le BDSM.
Et vous me semblez particulièrement prometteur.
Je vous propose de vous soumettre a moi le temps d’une heure ou deux aujourd’hui.
Si l’expérience est concluante, soit je vous prendrais sous mes ordres de manière plus régulières, soit je vous enverrais vers des collègues.
Qu’en dites-vous ? »
J'étais sous le choque.
« wow. Je ne m’attendais vraiment pas à ca en venant ici. Je ne sais pas quoi dire… je. »
« C’est oui ou c’est non ? »
« Euh, c’est oui, je pense. »
« J’ai besoin d’un peu plus d’entrain ! »
« C’est oui Madame ».
« Bien. Alors pour commencer tu dois m’appeler Mademoiselle. C’est une manière de signifier que tu ne m’appartiens pas encore. »
« Oui Mademoiselle ».
« Tu comprends vite, c'est bien.
Que dirais-tu, pour commencer, d’essayer un des jouet qu’il y a sur la table ? »
« Avec plaisir Mademoiselle. »
« Enlève tes chaussures, chaussettes, pantalons et caleçon. Pose le tout, plié correctement sur mon bureau.
On va voir quelle taille de va le mieux. »
Suite au prochain épisode.
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En juillet je navigue sur un site BDSM - bien sûr :-) - et je tombe sur une annonce: un couple étranger de passage sur Cannes en août pour leurs vacances cherchait une rencontre.
Je regarde le profil, les photos, les commentaires... Et j'ai envie de répondre: Ils semblaient complices, kinky (comme ils aiment à le dire), les commentaires sont bien écrits et sans fautes. Madame est séduisante et soumise à Monsieur.
J'envoie un message sans grande espérance. Ils doivent en recevoir des dizaines et d'hommes libres célibataires donc dispo 24/7.
Le lendemain, il répond et on échange.
RDV est pris avec lui pour nous rencontrer en premier. Et si le courant passe, on se retrouve tous les 3.
Ce n'est pas ma recherche première, un trio, mais ce couple semble sympa et j'ai besoin de voir du monde :-)
Bref on se rencontre sur le bord de mer à Cannes pour un café matinal.
Le courant passe super bien. Il est vraiment sympa.
On discute une bonne heure en anglais. Et avant de partir me dit qu'il me recontactera. Je croise les doigts pour que ce soit vrai...
Une heure après, je reçois un message avec un RDV dans ses jours.
Et on se mets d'accord sur un scénario...
Le jour J
Il est 8h30 sur Cannes. Je reçois un message: tout est prêt.
Il m'accueille au portail. Nous ne faisons pas de bruit.
J'entre, enlève mes chaussures et mon cuir (motard).
Il me précède dans la chambre.
Elle est attachée, mains et pieds, au lit. Cagoule pour l'empêcher de voir et une sucette de bébé dans la bouche.
Elle se tortille : Son maître lui a installé un vibro avant que j'arrive.
Elle ne sait pas que je suis là, qu'un autre homme est présent.
Il lui parle et la caresse. Il m'invite à faire de même de l'autre côté du lit, sans bruit.
Ma main passe sur un sein et glisse vers son cou. Je tire son collier pour lui faire sentir sa soumission.
Elle semble perturbée. Nous continuons tous les deux: je passe sur son ventre, sa charte, ses cuisses, j'empoigne sa cheville.
Et soudain elle tourne la tête dans les draps comme pour se cacher.
Elle a compris :-)
Il me fait signe de parler. Je me penche et lui glisse qques mots prêt de sa tête.
Elle se tord pour s'enfoncer dans les draps encore plus. Si elle pouvait se glisser sous les draps pour se cacher, elle l'aurait fait.
Son maître lui parle, et lui enlève son vibro tjrs en action.
Il me fait signe de la doigter. Je m'applique à lui faire prendre du plaisir. Elle est humide et commence à gémir.
Nous continuons encore qques instants et il me fait signe de sortir.
La suite du scénario nous attend.
Comme prévu, je ramasse mon sac et les attends qqes instants sur la terrasse.
Il revient avec le sourire. Il a donné ses instructions.
Nous discutons tous les deux: elle ne s'attendait pas du tout à cette rencontre.
Elle n'avait pas compris tt de suite qu'un autre homme était présent.
Et être ainsi, nue attachée et avec une sucette de bébé dans la bouche l'a déstabilisée. Elle ne sait tjrs pas à quoi je ressemble, qui je suis.
Elle est maintenant surexcitée, me dit-il.
Elle tarde à nous rejoindre: elle doit porter, à la demande de son maître, sa plus courte jupette, sans culotte bien sûr, un croptop transparent le plus court possible, talons hauts et son doudou qu'elle ne quitte pas.
C'est un daddy's girl.
Son maître s'impatiente et ramène deux cafés. Je sors les croissants que j'ai ramené et nous commençons le petit-déjeuner tous les deux. Discutant d'elle.
La voici enfin.
Elle est super sexy habillée ainsi.
Elle porte Son doudou comme une enfant pour cacher son visage et son sourire gênée.
Elle me reconnait: avant ce RDV, elle et moi avions échangé des messages et photos.
Elle m'avait invité à un apéritif la veille au soir même.
Mais le scénario était qu'ellene devait pas être au courant avant. Lui jubile. Moi aussi d'ailleurs.
'Tu m'as invité hier soir, mais me voici pour le petit-déjeuner' lui dis-je
Elle rougit. C'est un vrai plaisir.
Son maître mets une chaise entre lui et moi.
Elle s'assoit. Il lui écarte les cuisses pour qu'elle ne nous cache rien. Elle enfouit sa tête dans son doudou. Je lui repousse son doudou aussitôt pour qu'elle me regarde. Elle est jolie, ses yeux sont magnifiques. Elle rougit, me sourit gênée.
Je prends ma tasse de café et la regarde. Son maître est partie lui ramener une tasse de thé.
Je prend un morceau de croissant et lui tend.
Elle va pour le prendre avec les mains. Je recule, elle comprend et mange le croissant directement de ma main. Je lui donne un autre petit morceau dans la paume de ma main. Ses lèvres et sa langue lèchent ma paume. Son geste est plus important qu'il aurait dû être : elle aime ce moment. C'est une certitude. Elle me sourit en mangeant. Son maitre revient, elle prend une gorgée de thé.
Je me rapproche encore plus et tire sur la boucle de son collier. Je la regarde droit dans les yeux, tjrs. Et je descends sur ses seins, son maître soulève son croptop pour la pincer et m'invite à faire de même.
Elle se pince les lèvres mais nous ne forçons pas plus.
Je descends encore et je glisse ma main dans son entrejambe.
Elle est humide me dit son maître qui m'avait précèdé de qqes secondes. Il a raison: elle est excitée.
Je le suis tout autant: je bande pour elle.
'Debout' elle se lève et écarte plus ses jambes, mets ses mains dans le dos. Visiblement elle a été éduquée...
Elle me facilite l'accès à son intimité. Je glisse un doigt, deux doigts, trois doigts et j'accelere le va-et-vient. Elle penche sa tête en arrière et commence à gémir.
Elle accompagne mes caresses de son bassin. Elle se branle sur mes doigts. Je n'ai quasiment plus à bouger. Je la regarde prendre son plaisir. Son souffle s'accélère. Elle gémit. Elle est si sexy ainsi...
Je ralentis. Nos têtes se touchent. Sa bouche est à qqes centimètres de la mienne.
Elle s'appuie sur moi.
Et après qqes instants, je me retire. Son maître la tire vers lui et l'embrasse à pleine bouche. Il la tire vers le bas et la voici agenouillée face à lui en une seconde.
Il sort son sexe et sans attendre lui baise littéralement la bouche.
Je suis derrière elle. Je vois sa tête entre les mains de son maître forcée à lui apporter du plaisir. Elle suce, elle gobe, sa gorge est baisée sans retenue.
Il me fait signe de la doigter encore pendant qu'elle s'active.
Avec plaisir, je lui prête main forte. Et mes doigts s'introduisent dans sa chatte humide, son cul est à ma merci. Je glisse un doigt. Elle suce.
Puis il s'arrête. Et aussitôt elle se retourne vers moi, toujours à genoux.
Elle a été éduquée à satisfaire ses invités, c'est certain.
Elle n'a pas hésité un instant.
Je prend mon temps alors qu'elle est devant moi, à genoux, dans l'attente de mon bon vouloir. Je regarde son maître. Il me sourit. Elle a les yeux baissés.
Je prend mon temps et ouvre mon pantalon.
Je sors mon sexe. Elle se jette dessus. Vraiment. Je n'ai pas eu une seconde de répit :-)
Elle me suce au plus profond de sa gorge. Sa langue glisse sur mon sexe. Elle suce et lèche en même temps. C'est divin.
Je prend sa tête dans mes mains et je lui donne le rythme que je souhaite.
Ses mains sont sur mes bourses à les caresser. Je m'arrête pour rester dans sa bouche immobile qqes instants. Je lui ordonne de me regarder. Elle lève ses yeux bleus: son regard est si beau.
Je m'extrait de sa bouche et lui présente mes bourses. Elle les lèche, les gobe une puis l'autre. Je force les deux en même temps dans sa bouche.
'Regarde-moi' . Ces yeux....
Et je reprends mon va-et-vient entre ses lèvres.
C'est si bon de la voir à genoux, possédée par mon sexe.
Offerte à cet inconnu que je suis encore il y a qqes minutes.
Ses yeux bleus vers moi.
Je n'en peux plus. Je me sens venir. Je m'arrête. Mon sexe turgescent est face à elle, humide de sa salive. Elle ouvre la bouche, m'offre sa langue et attend immobile.
Je regarde son maître et je lui demande comment je peux finir. Il me fait signe de faire comme je souhaite.
Je la regarde et je le pénètre de nouveau. Qqes secondes de plus ont suffit à me faire jouir. Elle ralentit et ma semence envahit sa bouche, glisse sur sa langue et enfin sa gorge. Je suis au 7e ciel. Je retiens mon râle de plaisir tout en regardant, si belle soumise.
Elle continue tjrs à me nettoyer. Elle n'arrêtera que lorsque je lui dirai.
Mon sexe humide du mélange de ma semence et de sa salive est l'objet de toute son attention. Elle est douce, lente, fait durer notre plaisir...
Je profite du moment encore un peu et me retire tout doucement.
Elle me regarde et avec un doigt essuie la commissure de ses lèvres. Elle me sourit coquine pendant que je me rhabille. J'aurais dû la laisser faire me dis-je.
Je l'aide à se relever et elle se rassoit sur sa chaise, jambes écartées. Il n'y a pas de mécanisme dans ses gestes. Elle le fait par plaisir de nous exciter. Je me sens à l'aise avec eux.
Elle semble heureuse de ce moment et c'est ce qui compte le plus. Nous partageons un moment ensemble : je ne suis pas juste un homme de plus.
J'apprécie vraiment.
Nous finissons nos tasses respectives de thé ou café.
Son maître lui demande si elle apprécie son thé avec ce nuage de lait.
Elle sourit coquine: J'imagine à leur regard complice des jeux sur ce sujet.
Et nous discutons lui et moi encore un peu. Il est temps pour moi d'aller travailler.
Pas facile pour moi de me concentrer dans la journée leur dis-je.
Mais avant de partir, je me tourne vers elle et je sors de mon sac une peluche pour chienne. Tu l'as bien mérité lui dis-je. Cela faisait partie du scénario : elle aime être traitée en petite fille et jouet en même temps. Elle me sourit très largement et serré ce doudou contre elle comme une enfant. Elle me remercie 10 fois.
Je suis content: ce geste l'a touché. J'en tire une certaine fierté même.
Il me demande de revenir vers lui plus tard avec mes impressions sur ce RDV.
Ils feront de même. S'il y a des choses qui ne nous ont pas plu, nous devons nous les dire.
Je me rapproche de la porte, remets mes chaussures. Je me relève: elle est devant moi, mains sur les murs et jambes écartées. Son maître la fouille sans vergogne. Elle gémit, se tortille de plaisir. Je la regarde. Son maître m'offre un joli spectacle.
Puis il la relâche. Elle reprend ses esprits, me sourit gênée et m'embrasse sur la joue. Et nous laisse lui et moi. Je la vois partir doucement, attendant peut-être une suite. Mais je dois partir.
Il m'accompagne dans le couloir et on se quitte. Avec un sourire complice.
Je repars mais je ne suis plus quelle heure il est, où je suis... un moment hors du quotidien...
Plus tard je lui écrirai pour lui dire à quel point j'ai apprécié leur présence, la complicité du moment. Ils me diront la même chose.
Depuis ils sont repartis mais nous sommes tjrs en contact.
Le maître m'envoie des photos d'elle.
Elle me nargue :-)
Mais je suis dejà invité à leur prochaine venue, et ça elle ne le sait pas ...
Photo prise sur le net
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Maîtresse me fait venir à Ses pieds. C’est très reconnaissant que je me présente à Elle.
Maîtresse m’attends avec ce petit sourire malicieux qui fait monter la pression dès le premier regard.
Elle est belle, mystique dans Sa tenue noire. Déesse est la première pensée qui me vient à l’esprit.
Vous accueillez Votre chose avec beaucoup de tendresse. Cet accueil l’a déjà bien déstabilisé quand vous la glissez sous Vos talons !
Votre emprise est immédiate et Vos tourments s’enchaînent, fluides et intenses.
Vous l'avez piétiné, caressé, griffé...et tant d'autres choses.
Pour ces tétons martyrisés, vous lui avez demandé :
"C'est à qui cela ?
A Vous Maîtresse"
Et puis, pendue par les couilles, vous l'avez tiré par la Iaisse pour lécher Vos bottes. Avec empressement Votre chose a tenté de lécher. Mais vous l’avez frustré en reculant toujours plus pour que la tension des cordes lui brûle les testicules.
Sa langue a fait reluire le cuir, enfin l'infime partie que vous lui avez accordée, l’humiliant à chaque petit pas en retrait.
Vous l'avez fouetté avec sa propre ceinture pendant 60 secondes que vous lui avez demandé de décompter. Ce fût dur, l'envie d'abréger la souffrance en allant vite au risque de se tromper et de devoir recommencer. Les larmes ont coulées une première fois. Le cœur serré, vous avez relégué Votre chose dans un état primitif.
Vous avez obtenu son abandon qui l’a précipité dans un état de soumission si profond qu’elle ne voyait, n’entendait que Vous Maîtresse
Puis vous vous êtes emballé en la godant profond, humiliée car elle n'était pas aussi propre qu'elle aurait due être.
Les larmes de Votre chose ont embuées de nouveau ses yeux.
Vous êtes passé à ce fouet que vous aviez tressé. Quelques essais en variant le nombre de brins pour n’en retenir que 2 qui cinglaient vivement ses fesses.
Une telle intensité a mis Votre chose à vos pieds. Elle ne pouvait que lâcher prise devant tant de force, tant de passion.
A ce moment, Votre jouissance l’a récompensé de sa souffrance et à aucun moment, elle n'a cherché à se dérober. La douleur est devenue plaisir sous Votre joug.
Elle s'est abandonnée, nourrie de Votre énergie.
Vos crachats l'ont humiliés comme quand vous lui avez enfilé Votre gode jusqu'au fond de sa gorge. Elle a encore sucé, léché à se déchirer la bouche pour engloutir cette verge humide.
Vous l'avez traité de salope, de chienne ; elle a acquiescé même si la honte l'a fait pleurer.
Vous avez soufflé le chaud et le froid pour ne jamais lui laisser reprendre pied.
Votre chose a souffert mais Votre sourire taquin l'a plongé dans un état second.
Des moments inoubliables, des moments où vous avez extrait la quintessence de Votre chose Maîtresse.
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(Je ne suis pas l'auteur des mots...Ce dialogue est tiré d'un livre dont j'ai perdu le titre...Mais il m'a refait penser à certains échanges que j'ai pu avoir...Et rejoint totalement ma pensée en ce Monde de Sens...Merci à Vous, ma très chère de ce partage...)
....
— La plupart des gens pensent que les pratiques de domination et de soumission sont uniquement le fait d’infliger à l’autre de la souffrance physique ou des humiliations pour dépasser les limites de sa propre personnalité. Avec le temps et l'expérience, je me suis rendu compte qu'il existait quelque chose de beaucoup plus profond et puissant.
— De quoi parles-tu ?
J'eus l'impression qu'elle s’approcha plus près de moi. Sa voix semblait me murmurer au creux de l'oreille.
Elle n'existe pas, et pourtant je la sens si proche. Quelle sensation étrange.
Je repris mon explication après un court instant de silence.
— Comment sais-tu que tu fais confiance à quelqu'un ?
— Dis-moi...
— En plaçant entre ses mains la chose la plus importante que tu possèdes.
— Ma vie ?
— Non n’exagérons pas, je dirais plutôt ton libre arbitre.
— Ma liberté ?
— Pas exactement. Le libre arbitre, c'est notre capacité à faire des choix. C'est la seule chose qui te permet sur terre de te définir comme individu unique.
— Et si je ne choisis rien.
— C'est déjà un choix. Chaque action que tu effectues est issue d’un choix, c’est la première chose d’ailleurs qu'on te prend lorsqu'on te met en prison. Tu ne décides plus de rien.
— Quel rapport avec nos jeux ? Je ne te suis plus du tout.
— J'y arrive... Tu vas connaître l'abandon total.
— Comment ça ?
— Un état dans lequel tu n'auras plus à faire aucun choix, juste à te laisser guider par le son de ma voix et exécuter les ordres que je te donnerai.
— Pourquoi y prendrais-je du plaisir ?
— Parce que je te connaîtrais si bien que mes ordres combleront tes désirs avant même que tu aies pu consciemment les formuler.
— Tu vas penser à ma place ?
— Dans un certain sens. Tu n'auras pas à te demander ce que je veux ou ce que tu veux, tu n'auras qu’à te laisser guider jusqu’à atteindre la jouissance.
— Comment arriveras-tu à anticiper mes désirs ? Tu lis dans les pensées ?
— Non, mais je vais apprendre à te connaître avec minutie. Je vais analyser chacun de tes gestes, chacun de tes mots, jusqu’à savoir utiliser ton propre langage.
— Tu parles comme un psychopathe Alex... Tu me fais peur.
— Non, je parle d'amour, parce qu’au fond c’est ça l'amour. Apprendre à connaître l’autre mieux que lui-même.
— Alors on va s'aimer ?
— Bien sûr, avec une intensité telle que tout le reste te semblera fade. Sans amour rien n’est possible. C’est un jeu qui se joue entre adultes consentants qui ont choisi d'ouvrir leur cœur l’un à l’autre. Sans cela, tu ne ressentiras aucun plaisir.
— Et toi ? Où prends-tu ton plaisir ? Ne me dis pas que c’est une démarche purement altruiste où seul le plaisir de l’autre compte.
Sa voix avait prit un ton ironique, presque moqueur. Elle n'était pas convaincue par la sincérité de ma démarche et je pouvais le sentir.
— Bien sûr que non, mon plaisir est ailleurs. Il est certes dans le corps puisque le jeu auquel nous allons jouer nous amènera inexorablement à la jouissance, mais il est surtout dans la tête. Comme je te le disais, il y a autant de sexualités que d'individus, et pour ma part j'éprouve un plaisir immense à être au contrôle. Diriger, ordonner, soumettre avec pour seul objectif le plaisir. La domination est un moyen d’exciter le cerveau et non un prétexte pour infliger une souffrance.
— Tu es définitivement cérébral Alex. C'est rare chez un homme.
— Oui je sais, mais c’est vraiment ça qui me permet de décupler le plaisir physique : le mien, mais aussi bientôt le tien. Le pressentir, l’imaginer, l'ordonner, le matérialiser. C’est un acte créatif extrême où l’autre devient à la fois l'instrument et le bénéficiaire.
— Ça n’est pas un peu tordu ? Il suffit juste de s'aimer et le plaisir se crée, non
Je marquais une pause. Ses mots résonnèrent dans l'habitacle.
Je sais qu’elle n'existe pas et pourtant j'apprécie sa répartie et nos discussions. J'ai l'impression qu’elle me connait depuis tellement longtemps. Je devrais peut-être me méfier.
— Évidemment, c'est possible de fonctionner comme ça, mais si tu acceptes mon emprise, alors nous entamerons le processus créatif d’un plaisir sans limites.
— Un acte de création ou un acte d'amour ?
— Les deux, mais ça ne sera pas aussi immédiat que tu le penses.
— Ça va prendre du temps de s'aimer ?
— Bien sûr, mais il faudra plus que du temps pour cela.
— Que faudra-t-il alors ?
— Que nous vivions des expériences si fortes que tu seras malgré toi obligée de libérer ce qu'il y a de plus intime et secret en toi.
— Quel genre d'expériences ?
— Tu le découvriras bien assez tôt.
— Je ne sais pas si j’arriverais à me livrer totalement.
— Si et à la fin tu m'appartiendras.
— Je t’appartiendrai ?
Je sentis sa voix s'éloigner du creux de mon oreille. Son ton s'était durci et elle semblait dubitative.
— Oui tu seras totalement mienne.
— Voilà que tu parles à nouveau comme un psychopathe.
— Pas du tout. M’appartenir ne devrait pas te faire peur, au contraire.
— Je n’appartiens à personne, je suis libre.
Tu es un rêve surtout, je ne vois pas comment tu pourrais être totalement libre.
— Oui tu es libre, jusqu’à ce que tu décides de m’appartenir. Ce n'est pas moi qui te l’imposerais. Je ne ferais que te guider dans ce parcours. Une fois que nous en sortirons grandis et plus adultes, tu ne voudras plus jamais qu’un autre pose les mains sur toi.
— Et c'est donc ça t’appartenir ? ça ressemble plus à de la fidélité qui est quelque chose de commun non ?
— Appartenir n'est pas être fidèle. Tu peux très bien m’appartenir et coucher avec quelqu'un d’autre à la condition que je le désire et que je te le permette.
— J'ai l'impression que tu veux surtout m'ôter mon pouvoir de décision.
— Non jamais. Je t’aimerai parce que tu es libre, et tu consentiras librement à me donner ton pouvoir de décision, la démarche n’est pas la même. Il y a une
énorme différence entre imposer quelque chose à quelqu'un avec ou sans son consentement. La beauté de la chose, c’est que c’est toi qui m'offriras
spontanément ton consentement. C’est un acte de bonté et de confiance extrême où chacun des deux individus est en symbiose parfaite avec l’autre.
— Ça ressemble à de l'amour.
— C’est de l'amour dans sa forme la plus pure mais c’est difficile à concevoir pour beaucoup.
— Je commence à le comprendre. Donc t’appartenir ce n'est pas forcément mettre des menottes et être ligotée ?
— Non pas du tout. Les menottes sont un jeu qui utilise un accessoire, m'appartenir est un acte de foi en nous.
— Tu en parles avec beaucoup de poésie, comment me feras-tu l'amour ?
— Tu le sauras bientôt.
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Tourbillon de la vie, Vous êtes comme un cyclone.
A nos cœurs en liesse, nos battements qui résonnent.
Et les voilà en phase et tout devient synchrone.
Prenant le même chemin et s’adonnent.
S’adonnent à vouloir croire que tout est possible.
Tout le sera, je Vous sais, Vous êtes crédible.
Comme Vous, je rêve et la réalité sera compatible.
Deux êtres, deux âmes, deux cœurs, insubmersibles.
Insubmersibles, les corps en accord, les peaux qui frissonnent.
Je sais que de mon côté, j’idéalise, j’ambitionne.
Je rêve d’une histoire, alors j’écris et ma plume sillonne.
Vous voilà dans ma vie, et mon imagination façonne.
Façonne, construit. Je m'abandonne dans Votre regard, invincible.
J'ai repris goût à la soumission, je suis une hypersensible.
Mais voulant être là pour Vous, et nous rendre indestructibles.
Prête à franchir avec Vous bien des barrières, imprévisibles.
Imprévisibles et possibles, chaque instant avec Vous, je me donne.
Avec bienveillance, Vous m'offrez les joyaux de Votre couronne.
Je suis moi, sans artifice, entière, une âme qui fusionne.
Vous êtes en moi, Vous m'avez touché au coeur, je rayonne.
LE 20 07 2021
Un cyclone qui m'a bouleversé, tout balayé de ma soumission d'avant, Vous la page blanche .
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"La pauvre Julie fut traitée avec une fureur qui n'a pas d'exemple,
fouettée, nue et écartelée avec des verges, puis avec des martinets,
dont chaque cinglement faisait jaillir le sang dans la chambre. La mère
fut à son tour placée sur le bord du canapé, les cuisses dans le plus grand
écartement possible, et cinglée dans l'intérieur du vagin."
"Histoire de Juliette ou les prospérités du vice" (marquis de Sade 1797)
Emblématique des cuisantes corrections d'enfance, le martinet éveille désormais des instincts de soumission,
délicieux instants de jouissance partagée, prélude à d'autres tourments ou de simples ébats amoureux.
Instrument traditionnel de correction né et utilisé autrefois en France et plus généralement en Europe,
l'usage du martinet pour fesser un enfant est cependant tombé en désuétude, assimilé désormais à de la maltraitance.
Le faisceau de lanières qui le compose, échauffe le corps tout entier: le dos, les bras, les fesses, les seins,
même les parties génitales (vulve, pénis).
Plus d'un tiers de la population francophone, en quête de cinglantes séances de soumission pratiquerait la flagellation.
Le tabou persistant, au moment d’avouer ces fantaisies érotiques, rares sont les langues qui se délient aisément.
Paradoxalement, elle figure toujours au titre des "troubles paraphiliques" dans la très sérieuse étude médicale américaine,
la DSM5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), comme diagnostiqués chez "des individus éprouvant une
excitation sexuelle en réponse à une douleur extrême, à l'humiliation, à la servitude ou à la torture".
En réalité, les nombreux adeptes peuvent se rassurer sur l'état de leur équilibre psychique car les critères de diagnostic,
exigent que la personne éprouve une détresse, telle que la honte, la culpabilité ou l’anxiété liée à un fantasme sexuel,
à des pulsions ou à des expériences sexuelles.
Autant dire les choses clairement, les formes les plus légères de SM pratiquées entre adultes consentants,
ne sont pas classées parmi les troubles étudiés.
Le manuel exploité par l'armée de terre des Etats Unis fait en outre l'objet de vives critiques.
Goûtons alors sans rougir (ou presque), aux délices épicés d’une séance de martinet bien administrée,
en conservant à l'esprit, toutefois que le S/M est avant tout une jouissance mentale, un plaisir cérébral.
Comme un jeu sexuel, un scénario érotique préalablement choisi, et consenti entre adultes consentants,
mieux encore, consentants et enthousiastes.
Exploration impétueuse d'émotions sensorielles inédites et saisissantes, la flagellation est l’occasion d’affirmer
symboliquement les rôles au sein d'une relation S/M entre une soumise et son Maître, combinée à l'érotisme mental
des jeux de pouvoir sexuel, elle apporte à leurs ébats une saveur nouvelle.
Pratiquée de manière sûre, saine, consensuelle et ludique, la flagellation revigore une relation engourdie par la routine.
Le martinet est un petit fouet, constitué d'un manche en bois d'environ vingt-cinq centimètres, équipé de lanières,
au nombre, d'une dizaine en général, en cuir.
Le martinet est similaire au chat à neuf queues, instrument à neuf lanières ou cordes longues, utilisé autrefois,
par les forces armées, les institutions pénitentiaires dans l'empire britannique, et au knout de l'Empire russe.
Au Moyen Age, jusqu'au XVIIème siècle, la peine de mort était prononcée et appliquée avec une extrême rigueur.
Il fallut attendre le règne de Louis XIV pour qu’un certain officier supérieur nommé Martinet adoucisse les peines,
léguant son nom au célèbre accessoire, instrument de nos plaisirs.
C'est en effet un lieutenant-colonel, Jean Martinet qui, indigné des cruautés dont il avait été souvent témoin,
eut la philanthropique idée de faire remplacer le fouet par de petites lanières fixées à un manche,
plus inoffensives pour la peau, tout en imposant toutefois d' interminables exercices aux troupes,
exigeant d'elles un respect absolu du règlement.
Le nouvel instrument prit le nom de son inventeur, qu’il porte toujours aujourd’hui.
Officier contemporain du célèbre Charles de Folard (1669-1752), l'officier supérieur Martinet,
commandant sous l’armée de Louis XIV, mérite toute sa place à côté du stratège écrivain,
par les changements révolutionnaires qu’il introduisit dans les manœuvres de l’armée,
en modernisant le recrutement (suppression des mercenaires).
Il est cependant fort probable que, sans quelques lignes de Voltaire, il serait à ce jour un illustre inconnu.
L'armée du Roi Soleil ne comportait pas à l'époque d’inspecteurs d’infanterie et de cavalerie mais deux officiers de valeur,
le chevalier de Fourille pour la cavalerie, et le colonel Martinet, pour l'infanterie.
Précurseur également de la baïonnette, Il se distingua lors du fameux passage du Rhin chanté par Boileau.
Ses inventions furent précieuses et décisives pour le monarque français lors de la partition de la Hollande.
Utilisé jusque dans les années 1980, l'objet tant redouté des enfants, les tribunaux le considère désormais,
au même titre que la fessée comme un instrument prohibé, de pratique répréhensible, punie par les tribunaux.
La mégère Madame Mac'Miche l'infligeant sur le bon petit diable, Charles, de la moraliste Comtesse de Ségur,
fait désormais partie des images d’Épinal.
Tout comme la légende enfantine du Père Fouettard, dans le Nord de la France, et en Alsace (appelé Hans Trapp).
Dans le sadomasochisme, on échappe toujours au plaisir, que pour être repris par le plaisir.
Le martinet est un instrument de précision frappant de ses lanières la partie du corps décidée.
Pour la Dominatrice, ou le Dominateur, il est primordial de prendre conscience de l'impact sur la peau.
D'utilisation plus aisée que le fouet, indispensable est également d'apprendre à en contrôler le mouvement.
Les lanières sont le plus souvent en cuir, en nylon, en tissus, en peau de daim ou de chamois, ou en crinière de cheval.
La liste étant loin d'être exhaustive.
Lors d'une séance de flagellation, il est conseillé de commencer par glisser doucement les lanières sur la peau.
C'est l'indispensable période d'échauffement.
Ensuite, les coups doivent être espacés et entrecoupés de caresses à l’endroit fouetté,
en demeurant toujours attentive (if) aux réactions du partenaire soumis aux délices.
L’injonction d’arrêter par l'emploi d'un safeword (verbal ou gestuel) mettant immédiatement fin à la séance.
La personne soumise, ayant librement consentie, emportée par l'excitation de la séance, ou par le désir de
satisfaire la ou le Dominatrice (eur), peut perdre elle-même le sens de ses limites.
La dominatrice ou le dominateur, constatant que le seuil de tolérance est alors atteint, doit mettre un terme
aussitôt à la flagellation, évitant blessures physiques ou mentales parfois irrémédiables. Rappelons que le
safeword en amont est essentiel. Un simple code, visuel ou sonore permet de mettre fin aussitôt à la séance.
les marques définitives ne sont acceptables que dans un processus ritualisé mûrement réfléchi, et consenti.
Un onguent ou une crème analgésique font disparaître plus rapidement les traces, et calment la douleur.
Sauf désir contraire de la soumise souhaitant les conserver comme marques fières d'appartenance.
Quel qu'en soit le mode, rappelons avec force que frapper un corps humain n'est jamais anodin.
La flagellation doit être considérée comme dangereuse.
Il est indispensable, pour la soumise, ou le soumis, ayant librement consenti, de s'assurer de la technicité
de la Dominatrice ou du Dominateur évitant ainsi désillusions ou blessures.
Elle ou lui doit s'assurer que les lanières sont très fermement fixées à l'extrémité du manche.
Pour la même énergie, plus la surface de la peau flagellée est concentrée, plus le dommage potentiel causé est important.
Les lanières fines cinglent, alors que les lanières larges provoquent une sensation sourde.
Concernant les techniques basiques de flagellation, quatre se distinguent généralement:
- Le mouvement du poignet peut induire des coups par des lanières à plat.
- Il peut provoquer un mouvement de balayage simple ou elliptique.
- Il peut également entraîner des figures de rotation (attention aux risques d'enroulement).
- Enfin conduire par un mouvement puissant, les lanières à frapper de manière sourde au même endroit.
Le plaisir partagé tient tout autant de la ritualisation de la séance, de la mise à nu de la soumise, et de la posture choisie.
La flagellation est un acte symbolique fort dans la soumission, comme l'union mystique de deux désirs par un instrument.
Si l'expertise de la Maîtresse ou du Maître est requise, l'attention des deux partenaires l'est tout autant.
"Une seule abominable douleur la transperça, la jeta hurlante et raidie dans ses liens,
elle ne sut jamais qui avait enfoncé dans la chair de ses fesses les deux fers rouges à la fois,
ni quelle voix avait compté jusqu’à cinq, ni sur le geste de qui ils avaient été retirés." (Histoire d'O)
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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"Il la cravacha à toute volée. Il n’attendit pas qu’elle se tût, et recommença quatre fois, en prenant soin de cingler
chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé
qu’elle criait encore, et que ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte." Histoire d'O
La flagellation, pratique prisée dans l'art du jouir, n’est pas seulement un adjuvant régulier des combinaisons sexuelles
que la pornographie se plaît à inventorier.
Elle est en réalité un moyen de mettre en mouvement, dans une relation S/M, la combinaison des vigueurs masochiste et
sadique des partenaires en les unissant par un instrument.
La ritualisation de la posture, la recherche de la douleur, de la cruauté font de la flagellation une discipline désormais
autonome dans le BDSM.
Les partenaires recherchant des sensations cinglantes et précises en raffolent.
Elle fait partie intégrante de certains jeux érotiques, dits BDSM ou SM.
Elle accompagne ou non, d’autres pratiques, bondage, soumissions diverses.
Une personne flagellée devient beaucoup plus docile, et ouverte à d’autres expériences.
Une femme qui aime dominer ressent une profonde excitation à la pratiquer.
Là où d'aucuns recherchent la douleur, d'autres jouissent simplement du fait de subir et d'accepter l'humiliation.
Certains optent uniquement pour des séances de flagellation, sans autre pratique érotique, d'autres considèrent fouet ou
martinet comme un prélude (ou un intermède) à leurs divers jeux SM.
Encore faut-il non seulement en posséder la technique, l'esprit, mais aussi en connaître les nuances et les dangers.
Au début du XXème siècle, les adeptes de la fessée se sont pris de passion pour ces instruments faisant advenir
la douleur et la cruauté dans la soumission.
On parle alors de flagellomanie, de flagellophilie, de masochisme ou d’algolagnie (amour de la douleur).
La présence du fouet, ou du martinet dans l’ordre des pratiques sexuelles n’a cependant rien d’une nouveauté.
Leopold von Sacher-Masoch, auteur de "La Vénus à la fourrure" (1870) est loin d’être l’initiateur de la théorie.
Cette doctrine de la jouissance dans la douleur a de tout temps existé, ayant des adeptes et des défenseurs.
Parfois la douleur infligée ou subie est purement morale, c’est l’abnégation de soi-même envers l’être aimé.
Mais le plus souvent cette abnégation va jusqu’à solliciter l'affliction de souffrances physiques.
Cette forme d’érotisme n’est pas purement passive, elle est aussi active, car celle ou celui qui inflige la souffrance
éprouve autant de jouissance que celle ou celui qui la subit.
L’histoire ancienne et les mythologies abondent en exemples semblables.
Bacchus et les Ménades, Hercule et Omphale, Circé et les compagnons d’Ulysse, Attis et Cybèle.
Sacrifices à Moloch et à Baal, Thomyris la reine des Massagètes, Sémiramis fouettant les princes captifs devenus ses amants.
Samson et Dalila, Salomon et ses nombreuses courtisanes réduites à le flageller pour exciter sa virilité.
Phéroras, le frère d’Hérode, se faisait attacher et frapper par ses esclaves femelles.
Le culte de Cybèle à qui Athènes, Sparte, Corinthe, Rome même, sur le mont Palatin, ont érigé des temples.
Lors de ces orgies, le premier des devoirs était de se martyriser en honneur de la Déesse.
Jetés dans une sorte d’extase par le recours à des danses frénétiques et autres stimulants,
les fidèles s’emparaient de son glaive pour s'automutiler, au plus fort de leur délire.
Les prêtresses de Milet s’armaient du fouet pour attiser le feu de volupté brûlant en elles.
Les mêmes coutumes se retrouvent aux fêtes d’Isis, dont Hérode nous a laissé une peinture si frappante.
Les fêtes des Lupercales semblables aux Bacchanales et aux Saturnales étaient l’occasion d'épouvantables orgies.
Les prêtres, brandissant leurs fouets, hurlant et criant de joie, parcouraient les rues de la ville.
Les femmes se précipitaient nues à leur rencontre, présentant leurs reins et leur seins, les invitant par leurs cris,
à les flageller jusqu'au sang.
Tacite, Suétone, Martial et Juvénal, révélant les secrets intimes des Néron et des Caligula ont fourni des détails égrillards
et obscènes sur le raffinement de leurs débauches.
Le christianisme, pour établir son influence, dut avoir recours à l’antique usage du fouet, non plus pour éveiller
des désirs érotiques, mais au contraire pour maintenir l’homme dans la voie du devoir.
Les cloîtres employèrent le fouet, pour mater les novices se révoltant contre les règles de leur ordre.
Des congrégations se fondèrent imposant à leurs membres l’obligation d’une flagellation réciproque en vue
de dompter les élans de leur chair.
De même que le Christ avait été attaché à la colonne et frappé de verges avant d'être crucifié.
Elles cessèrent avec le temps d’avoir un caractère disciplinaire et prirent la forme d’une obligation purement religieuse.
Comme une expiation éminemment enviable des souffrances imméritées infligées à l’adorable corps du Maître.
Tels les Flagellants et les Purificants, les Dominicains, pour les ordres masculins, et les Franciscaines et les Clarisses
pour les ordres féminins.
En littérature, Brantôme, Boccace, Pogge, l’Arétin, Restif de la Bretonne, citent fréquemment des cas de flagellation.
Quant au trop fameux marquis de Sade, par nous étudié, son nom évoque le synonyme même de la pratique.
La belle princesse Lubomirski faisait mettre à mort ses amants, après leur avoir fait subir les plus cruels tourments.
Ils étaient empalés sur des pieux et fouettés jusqu'au sang, lorsque ces malheureux la laissaient insatisfaite.
Pour autant, l'Histoire est trompeuse.
Ce n’est pas du fait d’être ancienne ou anciennement admise parmi les manières d’user du sexe que la flagellation tire
son implantation dans l’ordre des plaisirs.
C’est tout le contraire, elle devient jouissance en s’arrachant à ces usages anciens.
La volonté ramifiée de tout savoir sur le sexe, en ne laissant plus de place à l'imaginaire corporel,
de traquer les perversions, d’en suivre obstinément les usages disparates et de susciter partout l’aveu des écarts,
a eu pour effet de la faire proliférer, en lieu et place de la pudibonderie ou de l’interdit.
Dans les sexualités disparates et les plaisirs spécifiques, la passion du fouet a pris sa place.
Lieu d’une triple convergence, faisant d’elle à la fois une pratique S/M et une forme particulière du jouir.
Dans le champ des perversions, forgeant la catégorie de masochisme, ou jouissance née de la douleur reçue,
dans la littérature érotique, avec Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Pierre Mac Orlan, enfin, dans la volonté
des adeptes revendiquant sans fard la puissance extatique de la pratique, dans la la ritualisation des postures
de soumission.
Nue et debout, seins et ventre offerts, bras levés sur la pointe des pieds, ou en position de crucifixion,
chevilles et poignets entravés sur une croix de saint André, la soumise ravalée à un état d’infériorité,
comme une proie.
La femme ou l'homme se soumet, celui ou celle qui fouette et qui bat se tient au-dessus,
le geste ample, dans l’attitude féroce et cruelle de celui qui domine.
Ce que disent ces scènes, c’est l’institution d’une sexualité qui joue de la domination en outrant ce qu’elle est.
Toutefois, la recherche du plaisir entre partenaires consentants, responsables et conscients, lors d'une séance,
ne doit pas occulter la sécurité.
La dominatrice ou le dominateur devrait tester le matériel sur lui/elle-même avant de flageller son/sa partenaire.
De même, elle ou lui vérifie le matériel avant chaque utilisation.
En général, plus le matériau est léger, plus la pratique est sans danger, plus la séance peut se prolonger
et plus la sensation est douce.
Le visage, la tête, le cou, les doigts et doigts de pieds, la peau en cours de cicatrisation ne doivent jamais être flagellés,
pour des raisons évidentes de sécurité.
Les paumes et le dos de la main, sur les jointures quelles qu'elles soient, sur la surface entre le bassin
et le bas des côtes (présence d'organes internes) peuvent l'être avec une extrême prudence et extrême légèreté.
Les seins, bras, avant bras, intérieur des bras, intérieur des cuisses, zones génitales (vulve, pénis) avec légèreté.
Un impact sourd (par opposition à un impact cinglant) sur des seins est à éviter.
Les fesses, le haut du dos de part et d'autres de la colonne, les cuisses, le bas des épaules constituées d'os épais protégés
par des muscles et une couche de graisse avec énergie, voire très énergiquement.
En frappant très fort des ecchymoses peuvent apparaître, la peau peut se déchirer entraînant des infections.
Enfin, la position du corps flagellé conditionne celle de la peau et des muscles.
Lorsque le partenaire est penché en avant, les muscles tendus ne sont plus aussi épais et offrent donc une protection moindre.
De la même façon, si la peau est tendue elle va réagir de façon plus forte que si elle était relâchée.
Flageller quelqu'un qui se tient debout sans maintien risque de le/la faire chuter.
A l'inverse, la ou le flagellée (é) défaillante (t) maintenu debout par des liens, se retrouvera en suspension partielle.
Placer la (le) soumise (e) en position de se voir flageller lui apportera en général plus de jouissance.
Des marques peuvent apparaître tout de suite, ne pas apparaître du tout ou apparaître après un jour ou deux.
Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme DANGEREUX.
La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes.
La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword.
"O, je vais te mettre un bâillon, parce que je voudrais te fouetter jusqu’au sang, lui dit-il.
Me le permets-tu ? Je suis à vous" dit O."
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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La domination et l’amour…
Ceci est un essai, des paroles vides de sens sans contexte. Chacun pourra, j’espère entendre un écho de lui résonner dans cette histoire. Je vous invite à vous détendre et vous installer confortablement pendant quelques minutes, à vous mettre à l’aise, car cela pourrait vous bousculer… un peu.
Je vous poserai déjà cette question: qu’est ce que l’amour? La langue française utilise ce mot pour décrire bon nombre d'idées, de ressentis, de sentiments, mais reste flou et libre d’interprétation, quand d’autres langues utilisent différents mots(ex: love, like, etc).
Pour ma part je le conçois comme le “oui”, le lien qui accueille, qui accepte. Pas étonnant dès lors que l’on puisse lui attribuer toutes les valeurs personnelles ou culturelles, changeant, évoluant inlassablement en même temps que l’individu qui aime.
Maintenant la question serait alors: “qui aime quoi ?”
Vous est-il déjà arrivé d’avoir des pensées contradictoires, ou des ressentis inversés à ce que vous devriez ressentir dans certaines situations? Quand on/vous vous dit(es) que telle ou telle chose est mal, et que vous ne comprenez pas pourquoi car vous y trouvez une forme de plaisir.... Ou à l’inverse. Si vous faites une action en y prenant plaisir, alors que l’autre subit, ce sentiment où vous pouvez jouir d’un sentiment de puissance, de pouvoir, ou de contrôle. La douce étreinte de la domination, que la soumission de l'autre vous autorise à vivre, à y prendre plaisir, de par son sacrifice volontaire (ne vous inquiétez pas, il y a aussi une joie dans la soumission et l’abandon de soi, ça s’appelle la Foi, et ça n’a rien de religieux).
Allons plus dans le détail, la subtilité si vous voulez bien.
Vous croyez être vous, mais comment savez vous qui vous êtes? Êtes vous ce que vous faites? Ce à quoi vous vous identifiez? Vos qualités? Vos défauts? Ou un tout, un amalgame indéfini de tout cela, et bien plus encore?
Imaginez ceci, être un écosystème de croyances, de ressentis, d’émotions, incompréhensible et pourtant palpable, vivant.
La dedans il existe une partie de vous qui aime dominer, qui aime être tout puissant(de ce que l’autre lui laisse faire, dans l’idéal).
Et en même temps il peut y avoir une autre partie qui veut chérir, prendre soin de, protéger l’autre.
Deux situations contradictoires, où l’on peut se perdre, car toutes les deux existent, sont légitimes mais ne peuvent communiquer entre elles, séparées par le gouffre béant de leur vision du bien, du mal, du bon, du mauvais, du plaisir et de la douleur.
L’une éprouve le plaisir de dominer, l'autre la peur de blesser.
L’une éprouve la joie à faire subir, l’autre souffre de voir l’impuissance chez le/a soumis/e.
Choisir c’est renoncer…
Au milieu du maelstrom de ces parties de nous, dansant inlassablement entre elles, il peut être difficil de communiquer avec elles, de tende l’oreille et les écouter, de nous écouter, de les voir, de nous voir, tel que nous sommes, au delà de l’apparence, de l’étiquette. C’est le jeu de l’égo.
Voilà cette digression est maintenant terminée, n’hésitez pas à échanger et partager si ça vous à plus. Je pense que le prochain post dans ce genre concernera la projection(le fait de se reconnaître dans l’autre), l'ouroboros(le cycle qui se répète) et le triangle de karpman(le jeu du sauveur victime bourreau)
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"O était heureuse que René la fit fouetter parce que sa soumission passionnée donnerait
à son amant la preuve de son appartenance, mais aussi parce que la douleur et la honte du fouet,
lui semblaient le rachat de sa faute." (Histoire d'O) Anne Cécile Desclos alias Pauline Réage.
Un soupçon de plaisir dissimulé a toujours pesé sur la flagellation.
Une lecture historique dénote une constante évolution, au cours des millénaires et des civilisations,
de l'attrait pour la puissance symbolique et la beauté brutale d'une pratique devenue incontournable.
Á la ritualisation du supplice, pratiquée à l'origine, par une caste aristocratique grecque, célébrant la pureté
des sensations excessives, s'est jointe une volonté de transgresser des mœurs sexuels, l'imposant par sa
force érotisante, comme une véritable discipline incontournable, autonome et idoine, dans la rhétorique du désir.
Dans la Grèce antique, la vérité et le sexe étaient liés par la transmission d'une connaissance d'un corps à l'autre.
Le sexe servant, avant tout d'initiation pédagogique et d'apprentissage à des enseignements sophistiqués et précieux.
Le degré de complexité du savoir dépendait de la sagesse et de l'appartenance souvent à l'élite.
Certaines relations étaient axées sur le rapport élève/enseignant, d'autres comme à Thèbes sur la survie.
L'étude des comportements sexuels, dans l'Antiquité, s'est trop concentrée sur la comparaison avec la vision moderne.
Les historiens ne se sont pas hélas suffisamment penchés sur la richesse du discours de ces éléments constitutifs.
La flagellation se rattachait plus globalement à un art de vivre, ne se résumant pas à une simple pratique érotique.
Plutarque a écrit de nombreux récits historiques et lyriques sur les compétitions sportives de fouet spartiates.
"Les garçons de Sparte ont été fouettés pendant toute la journée à l'autel d'Artémis Orthia, souvent jusqu'à la mort,
et ils l'ont courageusement enduré, joyeux et fier, se disputant la suprématie sur l'un d'entre eux, il pouvait supporter
alors d'être battu plus longtemps et plus souvent, et celui qui était victorieux avait une réputation très particulière."
Andromède, fille du roi Céphée et de la reine Cassiopée fut la première femme à entrer en servitude. Enchaînée nue à
un rocher, ce fut Persée qui la sauva. Euripide décrit Aphrodite ordonnant à Thésée de supplicier son fils Hippolyte.
Les auteurs grecs et romains comme, Theopompus de Chios et Platon, qualifiaient les Étrusques d'immoraux.
Dans les cités d'Étrurie, les femmes esclaves, lubriquement extravagantes, attendaient alors les hommes,
pour subir, en place publique, nues et enchaînées, le supplice du fouet, avant d'être possédées sauvagement.
Tite-Live légitimait la prostitution et le viol de Lucrèce, idéalisant la fidèle et vertueuse romaine.
Le mari avait des rapports sexuels avec sa femme, des courtisanes libérées, ou des prostituées
avant de se livrer à des scènes de débauche avec de jeunes garçons, éphèbes qu'il sodomisait.
Les Romains l'utilisaient comme châtiment corporel, comme sanction pour punir des actes criminels,
à l'aide d'un fouet, le "flagrum", à l'encontre de suppliciés avant de les crucifier en place publique.
La fonction sexuelle de la flagellation apparaît donc en filigrane tout au long de l'histoire, dès le Kâma-Sûtra.
Elle constitue un phénomène sexuel, clairement assouvi et assumé historiquement depuis le XVIIème siècle.
Au début du XIXème siècle, Sade fit de la flagellation son châtiment de prédilection, lors de scènes de
tortures d'une extrême sauvagerie, mêlant cruauté et fantasmes sexuels, décrites dans "Justine", l'une
de ses œuvres les plus célèbres. L'écrivain libertin ne se contentait pas hélas de son imagination.
Frédéric II de Prusse fouettait avec vigueur de sa propre main les femmes de la cour, ses favorites,
pendant que Marcel Proust fervent adepte, lui même, décrivait dans "À la recherche du temps perdu",
un baron de Charlus, inverti cultivé et aux goûts raffinés, le postérieur souvent allègrement rougi.
Chez les femmes de pouvoir, jetant hélas leur dévolu sur des sujets non-consentants, après Messaline et Cléopâtre,
Marie de Médicis (Pierre de Brantôme l’évoque) fut une grande manieuse de fouet, de même que Catherine de Russie.
L'Angleterre, avec le déclin de l'Eglise catholique au XVIIème siècle, laïcisa la pratique dans les maisons closes.
Le Roi Georges VI appréciait tout particulièrement la chaise fessée en prêtant son siège aux délicieux tourments.
De nombreuses conférences étaient consacrées sur l'utilité et l'agrément de la verge par de ferventes Ladies
appartenant à la meilleure société de Londres, désirant s'instruire dans l'art de la flagellation, mais surtout
s'adonner à ce piquant et aimable passe-temps, avec de très jeunes filles susceptibles de correction.
Détaillant avec d'infinies précautions, les postures idéales promptes à déclencher la jouissance, lors de fustigations,
avec une inclinaison naturelle pour la position gomorrhéenne, seule capable d'emporter la majorité des suffrages.
La victime mise à nu, les pieds et les poignets liées, les yeux bandés, était meurtrie jusqu'au sang par une longue et
fine verge. Les lanières de cuir se promenaient des épaules aux chevilles, cinglant les endroits intimes et sensibles,
en s'arrangeant pour lacérer la chair sans la déchirer. Les contorsions voluptueuses sous l'ardente meurtrissure
exacerbaient le plaisir de la fouetteuse la conduisant à un état extatique. On employait alors indifféremment le fouet,
la canne, la cravache ou le fouet, exceptionnellement la main réservée à la seule fessée.
Le mot fouet, du XIIIème siècle, vient du latin "fagus", le hêtre, et signifie verge de hêtre.
Le fléau, instrument pour battre le blé, signifie également châtiment adressé par Dieu.
La flagellation inclut l'idée d'instrument, de mouvement, et d'action.
On peut donc flageller son partenaire avec toutes sortes d'instruments: fouet, verge, bâton, badine, canne,
bambou, ceinture, ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf,
chambrière, orties, chardons, épines, herbes, raquettes, câble électrique, paddles, battes, etc.
La liste n'est jamais exhaustive laissant libre cours à l'imagination.
Le fouet est constitué d'un manche de cuir tressé muni d'une ou de plusieurs lanières de cuir,
de longueur différente selon les usages.
Ses usages sont liés à sa composition.
La longueur de la lanière permet de frapper le corps avec une redoutable précision en le meurtrissant.
Mais manié avec prudence et dextérité, il peut lui apporter de chaudes voluptés,
après une attention persévérante et soutenue.
Dans les relations BDSM, la flagellation par le fouet, véritable rite initiatique, constitue un symbole fort de domination
pour celui qui soumet.
Elle est presque toujours pratiquée de façon légère, de manière à ne pas blesser gravement la personne qui reçoit les coups.
Son maniement spectaculaire exige une très grande technicité, et une indispensable modération.
Un fouet mal utilisé, ou en mauvais état, peut très rapidement cisailler la peau.
Un entraînement préalable sur un objet inanimé est vivement conseillé.
En claquant le fouet, le bout de la lanière émet un bruit caractéristique en dépassant le mur du son, le claquement.
Il est craint car il procure une intense douleur et peut laisser des traces durables.
L'objet provoque à sa simple vue, chez la (e) soumise (s), excitation, émotion avant même le début de la séance.
Promené sur les parties sensibles ou génitales, il provoque un sentiment d'abandon total de la part de la soumise
et d'adoration à la Maîtresse ou au Maître.
La soumise n'est plus que corps et volonté abandonnés dans la soumission à l'être aimé.
C'est un instrument de précision exigeant beaucoup d'espace car le porteur du fouet doit se tenir loin de l'esclave pour le frapper.
La personne fouettée est nue et attachée sur un cheval d'arçon ou le plus souvent sur une croix de saint André.
Les yeux bandés, elle ignore l'emplacement de l'impact suivant, de la caresse cinglante et mordante.
L'ambiance faisant partie intégrante de la séance, surtout lors de la préparation et la mise à nu.
Les coups de fouet placés et répétés peuvent conduire à l'orgasme.
La flagellation par le fouet exige expérience et entraînement pour des personnes consentantes, conscientes et responsables.
Conseils d'utilisation, de prévention, de mise en garde, de sécurité lors de son utilisation, seront étudiés lors d'un prochain article.
Le martinet s'apparente au fouet d'une longueur plus courte, doté de multiples lanières, en général en cuir.
Les sensations qu'il produit varient en fonction de la matière dont elles sont constituées,
chameau, soie, nylon, de leurs nombres, de leurs dimensions et de l'usage qu'en fait le fesseur.
La flagellation peut-être légère ou énergique selon les endroits caressés, mais doit toujours être précédée d'un échauffement.
Appliquée avec vigueur sur une zone érogène de la soumise, la douleur dissipée peut faire place à une fulgurante jouissance.
Elle s'adresse également à des partenaires consentants, conscients et responsables.
La canne anglaise semble être l'instrument qui fascine le plus dans les séances de flagellation.
Généralement en rotin et plus rarement en bambou, elle mesure entre un mètre et un mètre-vingt de longueur,
pour des diamètres variables.
Réminiscence d'un passé punitif, très utilisée dans l'Angleterre Victorienne du XIXème siècle, elle représentait l'autorité
professorale ou directoriale.
Facile à se procurer et discrète, entre les mains d'un fesseur expérimenté, elle devient un redoutable instrument de correction.
Les vibrations enregistrées dans les organes sexuels, lorsque la canne s'abat sur la partie inférieure des fesses,
peut de la douleur au plaisir, conduire à l'orgasme.
La cravache plus ou moins longue, plus ou moins épaisse, de couleurs différentes, peut être décorée.
Elle possède des formes variées de poignée et de claquettes.
Elles est constituée soit de cuir soit d'un matériau synthétique.
Sa flexibilité la rapproche de la canne, mais possède une boucle de cuir à l'extrémité du manche.
Le dominateur peut choisir de n'utiliser que cette partie de l'instrument, ou de se servir du manche également.
L'instrument est d'une redoutable efficacité sur les cuisses ou les fessiers nus.
Rien n’est comparable à la cravache quand elle est bien utilisée.
Indispensable de commencer doucement par échauffer afin de créer une sensation de brûlure profonde et sensuelle.
Notons qu'Il ne faut jamais utiliser la cravache et le fouet au cours de la même session de soumission.
Les coups de la cravache (ou du fouet) peuvent devenir de plus en plus forts, seuls alors les supplications de la soumise,
son orgasme ou bien entendu le mot d'arrêt (verbal ou corporel) peuvent arrêter la séance.
La chaleur progressive envahissant les fesses offertes de la femme soumise se transforme peu à peu en ondes bienfaisantes.
Elle peut atteindre rapidement l'orgasme, voire plusieurs orgasmes consécutifs lorsqu'elle est prise immédiatement après.
La flagellation peut devenir un acte d'amour, les deux partenaires n'étant pas séparés mais reliés par l'instrument.
Le savoir-faire et la sensibilité sont bien entendu indispensables, mais l'attention portée à l'autre l'est tout autant.
Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme dangereux.
La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes.
La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword.
Les techniques, les parties du corps à fouetter, à ne jamais fouetter, ainsi que des conseils de mise en garde et de
sécurité, à respecter pour un plaisir partagé, au cours de chaque séance seront étudiés dans le prochain article.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir
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Voici enfin arrivées ces deux semaines en ta compagnie. Depuis le temps que dure notre relation, c’est la première fois que nous allons pouvoir passer autant de temps ensemble. Je m’en délecte d’avance. Même si j’affirme depuis des semaines qu’en cette satanée année, ce ne sont pas de vraies vacances, ce séjour restera spécial quoi qu’il en soit.
Signe d’un regain de forme notable doublé d’une certaine motivation, pour ne pas dire d’une motivation certaine, tu me proposes dès le deuxième soir de procéder à quelques essayages de tes dernières trouvailles. Je savais qu’elles existaient sans savoir à quoi elles pouvaient ressembler. Si pour la parure blanche, il faut remettre à plus tard, le temps d’adapter la taille, il en va, en revanche, différemment pour la noire. J’ai l’impression de ne pas encore avoir assez minci pour y rentrer. Pourtant tu as bien raison, le corset sombre avec ses motifs floraux blancs finit par bien s’ajuster sur mon corps de « mannequin ». J’ai de nouveau un doute lorsque tu me tends le string coordonné. C’est vraiment un petit modèle, surtout que ce genre de situation ne me laisse jamais de marbre. Pourtant, là encore, tout finit par se mettre en place. Et cette matière translucide souligne mon anatomie tout en ne dissimulant rien de mes sensations : quel lubrique et impudique nounours je deviens à cet instant précis. Tant qu’à y être, tu me fais chausser les talons avant de me faire prendre diverses positions lascives sous le regard curieux et attentif de ton objectif. La modiste semble ravie de son œuvre. En tout cas l’expression de ton visage l’exprime. Je reconnais, je le suis tout autant par cette mise en bouche. De toute façon, j’aurais peine à affirmer le contraire. C’est aussi l’occasion de me prélasser ainsi légèrement vêtu sur le nouveau drap en vinyle violet : protecteur, rehausseur de couleur, contact spécial. Je sens qu’il ne va avoir que des avantages. Validé malgré cet essai rapide !
Mercredi, le grand jour est arrivé ! Enfin, plutôt un jour spécial, et même deux pour être précis. Tu as organisé une visite pour nous permettre d’expérimenter des choses qui ne seraient pas (ou du moins pas encore) possible dans ton antre. Direction plein ouest, les pins, la chaleur, …, en cette chaude journée pour de nouvelles aventures. Sans surprise, l’accueil qui nous est réservé est des plus chaleureux et nous faisons alors la connaissance de la soumise de notre hôte. Passées les agapes du déjeuner, nous pouvons nous attaquer aux choses sérieuses, ou moins sérieuses (tous les points de vue sont possibles). Galanterie ou pas, il se trouve que ma « collègue » de soumission ouvre le bal sous les assauts des différents fouets de sortie, principalement ceux que tu as apportés. Il ne fait pourtant pas froid. Pourquoi donc vouloir directement faire monter autant la température. J’attends patiemment mon tour en profitant du spectacle et des marques roses et rouges qui commencent à joliment orner son dos et son postérieur. C’est troublant de se retrouver spectateur plutôt qu’acteur. Je suis totalement détendu et décontracté en attendant mon tour. La confiance aide beaucoup même si c’est une double première pour moi, à la fois dans la pratique et dans le fait ne pas être en ta seule présence. Visiblement, ma pudeur des débuts s’est bel et bien envolée.
Depuis quelques années, tu as pris goût aux cordes pour mon plus grand plaisir. Oui mais voilà, tu n’avais pas la possibilité de me suspendre. Il faut dire que c’est loin d’être si simple : il faut la technique et un environnement adéquat. D’où l’intérêt de cette visite amicalement encordeuse … et plus. Tout est là : de solides poutres, une barre de suspension spécialement conçue pour cela et l’expertise qui va avec. Pour une première dégustation, nous choisissons tous ensemble de faire simple. Il ne s’agirait pas de tout gâcher en se lançant trop vite dans la difficulté. Ce sera donc tout simplement à l’horizontale sur le dos. Il n’y a, a priori, pas besoin de plus pour goûter à ces aériennes sensations, toutes nouvelles pour moi. Autant le levage au niveau des cuisses et des chevilles ne me gênent pas le moins du monde, autant la première tentative à hauteur du torse me donne une soudaine sensation d’oppression, comme un berceau de bois qui viendrait me broyer. Rapide retour sur une surface stable pour bien repositionner les cordes et l’ascension peut reprendre. Cette fois, je ressens l’inévitable emprise des cordes autour de mon corps, mais plus du tout cette première sensation gênante et désagréable. Grâce à la cagoule qui n’était pas prévue pour cela, j’ai l’impression de me concentrer encore plus sur l’instant présent, d’intérioriser à fond ce moment. Chaque seconde qui passe, la très légère appréhension des tous premiers instants se mue en un agréable instant. Illusion ou pas, j’ai l’impression de me balancer dans le vide. Ce n’est pas encore la sensation d’être un oiseau mais c’est clairement agréable de flotter ainsi, même contraint. De se sentir bercé, presque tout léger. Je ne te remercierai jamais assez de m’avoir permis de goûter à cette nouvelle sensation. Toutes les bonnes choses ont une fin : atterrissage en douceur avant de passer à une suite, cette fois partagée. Pour une fois, les marques sont au rendez-vous : tu ne manques pas l’occasion de les immortaliser. Comme quoi je marque … parfois. On a juste toujours pas l’explication du quand et du pourquoi ;-).
Une soumise, un soumis, deux compagnons d’(in)fortune, deux cerveaux dominants, il eut été dommage de ne pas en profiter pour un tableau commun.
Chacun avec notre bien légère tenue en vinyle noir, nous nous livrons à leurs cordes et à leur imagination fertile. Dos à dos, main dans la main, nous nous retrouvons partiellement suspendus, en presque parfaite symétrie, chacun faisant le pied de grue … ou de héron ;-). J’avoue que c’est une sensation nouvelle de sentir cette chaleur dans la main, d’entendre ma partenaire de cordes s’inquiéter de mon état. Tout compte fait, ce n’est pas désagréable du tout de partager ce genre de moments, quand bien même la contrainte des cordes reste quelque chose d’individuel. Je confirme aussi que l’humain n’est pas fait pour être un « monopède », pas plus que le nounours d’ailleurs. Il est quand même beaucoup mieux sur ses deux pattes … au moins. Faites vite les photographes, je fatigue !
Histoire de ne pas faire de jaloux, mon tour est venu d’être « réchauffé ». A mon plus grand regret (temporaire), le préchauffage avec ta toute nouvelle langue de dragon ne s’est même pas inscrit dans mon esprit, souvenir probablement submergé par le flot qui a suivi. En revanche, la longue tapette à clous a réussi à ne pas se faire oublier : il faut dire qu’elle a des arguments « percutants », tout à fait adaptés à un postérieur rebondi et avide. A priori, par la suite, il semblerait que j’expérimente surtout les dernières acquisitions de notre hôte. Si la queue de dragon du fouet court se révèle bien impactante lorsqu’elle vient atterrir tantôt sur mes épaules, tantôt sur mon dos ou encore sur mes fesses, le fouet arc-en-ciel me fait plus penser à un lourd flogger. A choisir je prendrais plutôt le « cracheur de flammes » ! Il semblerait que je sois dans un contexte favorable, mon endurance tout comme ma réceptivité se révèlent bien meilleures que la dernière fois, ce qui serait pour te satisfaire. Atmosphère décontractée de vacances ? Changement d’air ? Inconsciente volonté d’être à la hauteur devant nos hôtes pour que tu sois fière de moi? Un peu de tout cela probablement. Du coup, ce moment dure, dure, … s’étire en longueur. A tel point je suis presque surpris par toutes ces chaudes traces rouges et boursouflures sur mon dos lorsque je les découvre en photos. De l’intérieur, je ne soupçonnais pas une telle intensité. Disons que je me laissais aller à l’instant présent et profitais de ces nombreuses morsures, lâchant ici et là quelques grognements de satisfaction. Et dire qu’il est de notoriété publique que je ne me marque pas. A priori, quelque chose a dû changer. Et en bien ! Sinon, vive la cagoule ! Mon oreille gauche sifflerait presque encore de quelques claquements « proches ».
La cravache qui t’est proposée n’est pas spécialement stimulante malgré sa tête en coeur, du moins tant que tu t’en tiens à son usage classique. Mais évidemment, tu ne résistes pas à montrer à un de tes « nombreux » petits plaisirs : la version ventilateur d’extrême proximité sur mon intimité avec un modèle plus standard. Impossible d’encaisser sans réagir, malgré les spectateurs : je ne peux pas faire autrement que me tortiller et couiner.
Voici qui conclut à merveille cette première journée. Que demander de plus ? Des personnes sympathiques, un esprit décontracté. Il n’en faut pas plus pour que tout le monde s’amuse.
Le petit-déjeuner est propice à phosphorer, bien évidemment pour produire des idées sadico-perverses. Pauvre soumise, c’est elle qui va pâtir de ces deux imaginaires démoniaques. Pour ma part, je suis simplement mis à contribution pour les préparatifs. Si seulement le barbecue n’était pas resté tout près de la terrasse… Il n’en fallait pas plus à nos deux esprits encordeurs pour envisager de la mettre à la broche au-dessus du grill. Je reconnais que le résultat final est plutôt visuellement réussi : je sais, c’est facile à dire quand on voit cela d’un œil extérieur et distant.
Il était évident que je finirais par être mis à contribution. Ou plutôt que je finirais par être le centre des attentions. Il faut dire qu’un jardin tranquille et suffisamment dégagé se prête parfaitement à ce que tu espérais depuis longtemps déjà. Difficile d’exploiter tes plus longs fouets dans la quiétude protectrice et rassurante de ton antre. Quant à moi, je reconnais que le pépiement des petits oiseaux et la douce caresse sur ma peau des quelques souffles d’air matinaux offrent un environnement des plus emballants, déjà qu’il ne m’en fallait pas beaucoup pour être motivé par le programme esquissé. Simplement paré de ma cagoule en cuir, encore plus indispensable en ce jour, je me positionne au milieu de la pelouse, les orteils dans l’herbe. A partir de là, je suis bien incapable de dire ce qui se passe vraiment autour de moi. La seule certitude, c’est que je suis assailli de diverses manières : une langue de cuir vient me claquer régulièrement dans le dos, un bien long brin de cuir vient régulièrement enserrer mon torse … il y a même un fouet qui ose venir passer par-dessus mon épaule pour venir s’acharner sur ma main. Le fouet arc-en-ciel semble appliqué de manière légèrement différente : un ou deux brins viennent claquer avec un léger retard. Ca claque, ça mord, ça cingle, ça virevolte, mon esprit s’envole et se délecte … Pour autant, comme hier, je me sens particulièrement réceptif, et je me laisse bercer par cette vivifiante fouettée extérieure. J’ai l’impression qu’il y a un passage de relais dans mon dos. Les cibles visées et la façon d’impacter sont différentes, peut-être moins variées. Il faut dire que tu es plutôt du genre à ne pas faire de jalouses entre les diverses parties de mon corps. Ce que je n’aurais pas soupçonné, certainement plongé dans mes sensations, c’est que vous vous êtes mis à quatre mains pour vous occuper de moi pendant quelques minutes. Limite inattentif le nounours ! Il faut dire qu’à ce moment-là je suis plus dans l’intensité des impacts que sur leur fréquence. Effet chauffant efficace après de longues minutes offert à vos tourments respectifs, je suis en nage, mais ravi de l’être... La pause est la bienvenue, sous une bonne douche régénérante.
Visiblement tout le monde en a bien profité, Maitresse comme moi.
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"On ne vous bandera les yeux que pour vous maltraiter, pour vous fouetter. À ce propos, s’il convient que vous vous
accoutumiez à recevoir le fouet, comme tant que vous serez ici vous le recevrez chaque jour, ce n’est pas tant pour
notre plaisir que pour votre instruction" Histoire d'O Anne Cécile Desclos, dite Dominique Aury alias Pauline Réage.
Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps.
Les antiques raffolaient déjà du fouet.
Lors de cérémonies rituelles, ils l'utilisaient pour invoquer les divinités afin de rendre les femmes fertiles.
Dans la Rome Antique, le culte de Junon, protectrice des femmes, leur commandait le fouet, afin de lutter contre la stérilité.
Lors de la fête des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages
le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes.
Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage.
De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine.
De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens entre douleur et jouissance.
Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis,
où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase.
Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome.
Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet.
Henri III , dernier Roi valoisien (1574 à 1589) , grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné,
aimait à se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons.
Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre , l'un de ses instruments de jouissance de prédilection.
Comment la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ?
Selon Freud, le masochisme, est une perversion sexuelle suivant laquelle la satisfaction est liée à la souffrance,
ou à l'humiliation subie par le sujet soumis.
L'envie de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir.
Désir de faire souffrir la (e) soumise (s) ou l'esclave sexuelle (el), ou le sentiment opposé,
recherche de la douleur par la (e) flagellée (é) .
L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue.
L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de l'enfance, d’une correction punitive
mêlée à une jouissance.
Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant.
Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur
par la flagellation pour parvenir à la jouissance.
Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait
pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet.
Dans une relation D/S entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique.
La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés.
La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ,
permet de se rapprochant de Dieu.
Quel qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit.
En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant.
Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit.
Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister.
Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation.
Clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique.
Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes,
comme de puissants leviers d'excitation sexuelle.
La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation.
Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité.
Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler.
Les yeux bandés et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier,
un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de saint André.
S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation,
et de douleur.
Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation ,de douleur, et d'orgasme.
Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être.
Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir.
Elle procure un plaisir à la fois corporel et mental, pour la (e) sadique ou dominatrice (eur),comme pour la (e) masochiste,
ou soumise (e).
Les sensations de morsures, brûlures, et de douleurs précèdent toujours plaisir et jouissance.
La flagellée, par soumission et par volonté de se surpasser, atteint progressivement un état relatif de confort.
Son corps mobilisé secrétant des analgésiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche l'orgasme.
Le secret de l'alchimie résidant dans l'expérience du Maître, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet.
La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation.
Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps.
À la douleur, s'associe le fantasme de la domination.
Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses,
est véritablement au cœur de la littérature érotique:
Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940.
Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant sa ritualisation.
Citons "La Voluptueuse souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme
du fouet" de Jean de Villiot (1902), ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, dit Esparbec.
La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination.
Rappelons, avec force, que toute stimulation du corps par la flagellation, doit être librement consentie par des partenaires
majeurs, idéalement expérimentés, utilisant du matériel sûr et révisé, avec le recours toujours possible à un safeword.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Un WE très spécial Chapitre 3
Le téléphone sonne : « Oui Madame, il est toujours là .
-
-Non , il n’a rien dit , et oui , il ‘est laissé faire même quand on lui a pissé dessus. .
-
-Mais rassurez vous , je l’ai lavé à grande eau pour que l’odeur ne vous incommode pas .
-……
- A 4 Pattes ? Ce n’est pas un peu loin ?
-……..
- Comme vous voulez Madame je vous l’amène tout de suite comme un gros toutou .
Un employé me détache, me fait mettre à 4 pattes et m’emmène, les yeux toujours bandés, en tirant sur la laisse.
Les couloirs s’enchainent,. Je sens que nous croisons des gens. Comment me regardent-ils et que pensent ils ? En grand exhibitionniste que je suis , je n’ai pas vraiment honte d’être ainsi baladé …tant que personne ne me reconnaît
Après la moquette, nous arrivons sur du carrelage et aux bruits, je pense être proche de la piscine.
« Voici votre chien, Madame »
-a t’ Il a été très sage,
-oui madame , il n’a pas dit un mot et a tout supporté ; même de se faire pisser dessus.
- Encore heureux, sinon il aurait été puni. Vous voulez bien lui apporter une écuelle d’eau ? Il doit avoir soif, ce chien »
Je reconnais la voix de Dame Anna et je suis tout heureux d’être maintenant à coté d’elle. Elle attrape ma laisse et me tire vers elle. Je me heurte à un bord et devine qu’elle doit être allongée sur une chaise longue. Elle me caresse la nuque et la croupe :
« C’est bien mon noname , tu es un bon chien, je suis contente de toi ;-Fais le beau maintenant«
Je m’agenouille et met les mains en offrande au niveau de ma poitrine. Elle enlève mon bandeau et mon museau et me fait laper l’eau que l’employé vient d’apporter. C’est moins bien que de boire au verre, mais cela fait beaucoup de bien quand même. Un chien doit se contenter de ce qu’il a .
Je suis maintenant à genoux, assis sur les talons à coté de son fauteuil. les mains en position de soumission. Elle m’explique que nous sommes dans un gite libertin et que le SM est le thème du Week-end. Notre mission est de faire quelques démonstrations et d’apprendre à ceux qui le désirent ce que le SM peut leur apporter. Je devrais donc me plier à toutes leurs exigences et aux siennes aussi bien sur.
Maintenant que je n’ai plus mon bandeau, et même si je dois garder les yeux baissés, j’ai remarqué qu’une croix de St André avait été dressée à un bout de la piscine, non loin de là où nous sommes.
Mais avant de commencer à jouer tu vas danser pour ta Maitresse, soumis. -
allez ! Debout !, Danse en te caressant devant mon fauteuil au rythme de cette musique. Mais pas touche à ton sexe ou à ta cage !
J’ai toujours ma cage qui ballote entre mes jambes et je me caresse le corps le plus langoureusement possible au rythme de la musique diffusée au bord de la piscine.
Quelques morceaux plus tard elle me fait signe de m’agenouiller à coté d’elle et m’ordonne de boire, toujours dans l’écuelle bien sur.
Couché sur le sol, j’ai apparemment droit à un peu de repos avant ????
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Une voix qui répète qu'elle vous aime et, derrière cette voix, imaginez ce qu'il vous plaira,
car elle dira rien d'autre. Les silences tendres, les mots échappés, tout cela vous importe
peu. Cette voix vous accable. Vous voudriez la chasser. Hélas, Charlotte, avec ses belles
mains fines, était là, toujours là. Elle se multipliait au long des semaines, monotone et
identique. On ne se sauve que par l'excès, se disait-elle. Elle ne précisait pas devant quoi
elle se sauvait. Elle avait entre les reins une terrible dureté, dont on abusait trop souvent.
Elle n'avait pas besoin de bonheur. La souffrance, qu'elle savait parfaitement se procurer,
l'avait rendue presque sensible à l'existence des autres filles qui comme elle étaient livrées.
Dire que dès la seconde où sa Maîtresse l'eût quittée, elle commença de l'attendre, est peu
dire. Elle ne fut plus qu'attente et que nuit dans l'abstinence de ses supplices. Tout le temps
qu'elle demeura dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir, incapable de retenir
l'eau qui s'échappait de son corps. Il faisait plus chaud que d'habitude. Le soleil et la mer
l'avaient déjà dorée davantage, ses cheveux, ses sourcils et la très fine toison de son ventre.
Il y aurait beaucoup de choses à lui dire, mais d'abord, celle-ci, que je crains de deviner en elle de la légèreté.
Elle aimait la légèreté des choses, des actes, de la vie. Elle n'aimait pas la légèreté des êtres, tout ce qui était
un peu au-dessus du niveau semblait heurter Charlotte. Elle ne recherchait pas à s'attribuer beaucoup de mérites
en ce monde ni dans l'autre, celui de l'abandon. Un sentiment d'insécurité pour son corps sans cesse meurtri. Elle
était bien jeune et ne savait même pas si elle possédait un peu de lumière. Juliette était arrivée quand elle était
dans l'ombre, et maintenant, il fallait arranger les choses. Tant pis pour elle. Les souvenirs qui ont su être poètes
de sa vie, c'est à dire dans le désordre, plaisir et enivrement de l'imagination. Mais dans la moindre de ses paroles,
raisonnable douce-amère, ce cadeau impérieux du ciel, le lot avait oublié sa jeunesse, l'allégresse avec laquelle
elle devait accepter l'insistance, la mauvaise grâce, et la maladresse. Comme le fouet et les doubles fenêtres pour
que l'on ne l'entende pas hurler. Ses mains s'agrippaient aux colonnes du lit, où Juliette les assujettissait à l'aide de
fines cordelettes qui lui sciaient les poignets. Des sangles passaient dans les bracelets de ses chevilles. Elle était
allongée sur le dos, de telle façon que ses jambes surélevées et écartelées laisse à Juliette toute la fantaisie de la
fouetter. Elle était debout à coté d'elle, un martinet à la main. Aux premières cinglades qui la brûlèrent aux cuisses,
Charlotte gémit. Mais elle ne voulait pas demander grâce, même quand sa Maîtresse passa de la droite à la gauche.
Elle crut seulement que les cordelettes déchireraient sa chair, tant elle se débattait. Mais Juliette entendait marquer
sa peau de traces nobles et régulières et surtout qu'elles fussent nettes. Il fallut subir sans souffle, sans troubler
l'attention de Juliette qui se porta bientôt sur ses seins. Elle allait retrouver sa considération en s'accommodant de son
statut d'esclave et non pas de soumise. Et il n'était pour elle de plus grand bonheur que de se savoir appréciée.
L'amour mais avec un arc-en-ciel d'émotions vertigineuses en plus rayonnait toujours chaque parcelle de son corps.
Charlotte n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles
fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses
et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs,
entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent
plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla.
Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'accroupit près des épaules
de Charlotte et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.
Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins.
Charlotte laissa couler quelques larmes. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens,
mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit.
Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses
lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de
sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda
à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et
ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité
même. Penchée au-dessus d'elle, Juliette tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir s'inclina sur
sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux.
Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait
l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était
terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse
ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire.
Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme
pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation.
De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues,
être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne
la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Chapitre 2 : Présenté
J’entends des voix, sans doute d’autres clients qui viennent au comptoir non loin de moi pour s’enregistrer et prendre leur clef. Ils s’étonnent de ce type nu qui est attaché au comptoir. Le réceptionniste leur dit que ce weekend, ils ont droit à un extra : un soumis à la disposition des clients pour tous les usages qu’il leur plaira. Ce chien qui est là devra se plier à toutes leurs demandes même les plus osées. Son corps tout entier est à leur disposition. Sur demande, sa propriétaire leur prêtera même la clef du cadenas qui tient la cage fermée entravant un sexe qu’on lui a dit être gros.
« Intéressant » , dit madame , tandis que d’une main elle tire sur la cage et que d l’autre elle pince violemment mon têton .
« Il est grassouillet mais cela lui permet d’avoir une solide poitrine »
« Qu’en penses tu , mon chéri ? » elle me tient fermement par les couilles en agitante de plus en plus mon sexe enfermé dans sa cage de métal.
« humm il faudra voir, peut être un petit massage pour s’échauffer ou une fellation » et il mets ses doigts dans ma bouche pour l’examiner.
« On peut aussi l’enculer ? «
« Mais bien sur Monsieur, quand et comme vous voulez, mais avec un préservatif bien sur »r
« Bon, nous verrons cela plus tard, allons y maintenant » rajoute madame en tapotant ma cage
Et je me retrouve seul, toujours enchainé au comptoir, entendant le bruit d’un employé qui semble taper sur un clavier.
Puis de nouveaux arrivants dont l’homme apostrophe le réceptionniste
- c’est quoi, ce gros chien tout nu , »
- Un soumis à votre disposition et à celle de Madame , Monsieur »
- Un tas de graisse vous voulez dire
et il me palpe méchamment les seins après m’avoir frappé sur le ventre
- un truc à me faire gerber, cela me donne envie de lui pisser dessus à ce tas de Merde
- Cela doit pouvoir se faire , Monsieur » lui répond froidement le réceptionniste
- tu es sur de vouloir faire cela mon chéri , lui dit sa femme »
-Mais Oui , après la route , j’ai très envie de pisser , vous pouvez me l’emmener dehors pour ne pas salir le tapis ?
Et je suis aussitôt emmené à la laisse dehors où je dois m’agenouiller pour que cet homme que je ne vois pas me pisse à la gueule :
« enlevez lui cette fausse gueule pour qu’il prenne tout sur le visage
-Ah , cela soulage !!! le jet violent balaye mon visage et l’urine chaude se répand sur mon ventre
-Ça va peut être le faire maigrir et finalement, c’est marrant de pouvoir faire ce que l‘on veut avec un chien de ce type , même trop gros . Je sens que je vais m’amuser.
-En attendant allons boire un cocktail dans notre chambre mon Amour et laissons ce souillon à ses délires »
Je pue la pisse mais un seau d’eau froide versé sans ménagement diminue l’odeur et me voici ramené à ma position initiale dos au comptoir en rêvant aux cocktails que ce couple doit siroter.
Et peut être aussi Dame Anna dont je n’ai aucune nouvelle
Cela me fait furieusement envie, mais je suis soumis et je dois rester à ma place, obéir à Dame Anna qui m’a voulu ici offert à tous pour faire honneur à ma Maitresse. Je reste donc stoïque et ravale des rêves de cocktail bien frais.
Avec la chaleur ambiante, je sèche rapidement même si le masque et le bandeau restent mouillés.
J’entends à nouveau des pas qui se rapprochent et quelqu’un qui s’enregistre.
« Et ça, c’est pourquoi faire ? » Je sens un doigt qui s’enfonce dans mon ventre ,,
-Mais ce que vous voulez Messieurs . Ce chien est à votre disposition et à celle des autres clients pour le WE. Sa Maitresse vous le confirmera et vous prêtera même les clefs de sa cage si vous le lui demandez »
Il a dit « Messieurs » , Un couple d’homos ?
« Il suce, il encule et peut être enculé ? , dit l’un deux
-Mais bien sur messieurs, tout ce que vous voudrez , comme vous voudrez
-Sous la cage, elle est grosse ? Et son fond ?
- Vous aurez le temps d’apprécier tout cela vous-mêmes Messieurs. N’oubliez pas de le réserver auprès de sa Maitresse Dame Anna, qui doit être au bar ou à la piscine »
je n’ai jamais eu une expérience à 3 hommes, mais pourquoi pas ?
Toujours cette référence au bar, alors que je suis exposé ici …à boire ma soumission
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J'ai étouffé mes sentiments
Pour ne plus souffrir
Sur mes émotions
J'ai posé l'oreiller
Pour pouvoir dormir
Tu es devenu Moja milosc
Pour du bonheur et plaisir
De nos corps
De plus en plus ardents
Qui se désirent
Ma passion devenue addiction
Est une descente aux enfers
Transformée en calvaire
Un poison délicieux
Qui tue à petit feu
Mais dans la chambre close
Je sais que tu ne viendras pas
J'ai les sens en éveil
Les jambes gainées de bas
Dans une tenue qui te plaira
Qui peut être te titillera
Je rêve que tu m'embrasses
Que nos deux corps s'enlacent
Le temps est suspendu
De nos futurs ébats brûlants
Ou jeux de soumission
Ou je suis ta petite chienne
Ce n'est qu'un songe
Une rencontre manquée
La distance, le silence
Tant de regrets, de mots dits
D'un second flashback, d'un repli
Pour les sensibles que nous sommes
Le 07 05 2020
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LA LACTATION ÉROTIQUE, qu'est-ce que c'est ?? Parmi toutes les pratiques sexuelles, la lactation érotique est probablement l’une des plus méconnues, mais aussi l’une des plus taboues en France. C’est pour cela que j'ai rédigé cet Article. Effectivement, cette pratique est tellement restreinte en France que très peu de personnes en ont entendu parler ou savent exactement de quoi cela traite. Il a pour but d’expliquer aux membres de ce blog, ainsi qu’à tout lecteur qu’est-ce que la lactation érotique, mais aussi pourquoi certaines personnes s’y intéressent et quelles sont les pratiques. I- Qu’est-ce que la lactation érotique ? La lactation érotique est une attirance ou une excitation sexuelle pour la lactation. Elle consiste à procéder à un allaitement d’un partenaire adulte (après accouchement ou par le biais d’une lactation induite ou d’une relactation) ou en exhibant son lait, toujours dans un but érotique ou sensuelle ou, encore, en regardant tout simplement la femme en train allaiter ou exhiber sa lactation. Médicalement parlant, on appelle souvent cela « fétichisme du lait » ou « lactophilie » (termes pouvant susciter la controverse). La lactation érotique serait née au Japon – et est encore beaucoup pratiqué dans ce pays de nos jours. La lactation induite consiste à produire du lait « artificiellement » par stimulation en l’absence de grossesse. La relation consiste à relancer la production de lait par stimulation après interruption sur une période plus ou moins longue. Dès le Moyen Âge, une multitude de créations artistiques (littéraires ou picturales) évoquent le rôle érotique de la lactation, le plus souvent imprégnées de religion, car représentant la charité (on parle alors de « Charité romaine » ou Carità romana). II-Pourquoi cet intérêt de la lactation érotique ? Les humains (surtout les femmes) sont les seuls primates à avoir des seins élargis en permanence après la puberté (chez les autres espèces de primates, c’est uniquement après la grossesse). Une théorie suppose qu’au cours de l’évolution, les seins de la femme ont évolués par répondre à la fois à l’allaitement ainsi qu’au plaisir physique de la meilleure façon possible. De ce fait, les seins, et plus spécifiquement les tétons, sont alors devenus des zones fortement érogènes. Leur stimulation est universellement liée à la sexualité humaine dans la culture occidentale ou nordique (médicalement, il semblerait que cette stimulation réduirait les risques du cancer du sein). Puisque les seins et les mamelons féminins sont si souvent érotisés, il est donc courant que des couples procèdent à une stimulation orale. Stimulation renforcée par la caractéristique érogène des lèvres qui « embrassent » les mamelons tout aussi érogènes. Il n’est donc pas surprenant que des baisers ou succions intensifs puissent aboutir à un allaitement. "Jeux de lactation ? Tout genre d’activité sexuelle qui inclut le lait de la femme. après qu’une femme a donné naissance et expérimente un réflexe lorsqu’elle est sexuellement stimulée (Variétés de lactation érotique). Ce type d’activité sexuel est très répandu parmi les pratiques de la lactation érotique. Beaucoup de femmes l’adoptent quelque temps après la naissance de leur enfant par réflexe émotionnel tout en étant excitées sexuellement. Il arrive qu’à force de stimuler le mamelon (pendant ou après la grossesse), le partenaire masculin déclenche un flux involontaire de lait chez sa partenaire féminin (Galactorrhée). "Lactation induite et relactation ? Si l’ANR est très répandue chez les femmes déjà allaitantes, elle est très souvent employée afin de pratiquer une lactation induite ou une relactation, constituant une alternative au pompage. De nombreuses femmes ou hommes stimulent la lactation en tétant régulièrement leur partenaire féminin (plusieurs fois par jour et à chaque fois pour un allaitement d’une vingtaine de minutes), en massant et en pressant leurs seins, ou parfois avec l’aide de médicaments (comme la dopamine ou le dompéridone), d’herbes ou de tisanes d’allaitement. Occasionnellement, la femme peut faire sa propre induction en suçant seule ses mamelons. Il n'existe aucun âge limite à partir du moment que les seins sont développés, n'importe quelle femme peut induire à tout âge. " Pompage ? Beaucoup de femmes ressentent un plaisir sensuel à pomper le lait de leurs seins avec un tire-lait, ou une pompe mécanique, dans ce cas, elles ont recours à une trayeuse électrique (Photo ci-dessous ) en exprimant manuellement le lait avec ou sans son partenaire. En pompant leur lait, les femmes éprouvent non seulement un plaisir sensuel, mais elles se sentent aussi encore plus femmes, encore plus féminins. Et ce grâce à la stimulation de leurs seins ainsi que la production de leur lait. Par conséquent, certaines femmes continuent d’allaiter, même après avoir sevré leur bébé, pour des raisons émotionnelles ou sensuelles. Il existe quatre variétés de BDSM dans la lactation érotique : 1. L’infantilisme : Dans ce jeu de rôle parfaitement sexuel, le partenaire masculin (ou féminin) assume le rôle du bébé allaité par sa mère (rôle joué par son partenaire féminin). L’allaitement peut jouer un rôle secondaire dans ce type de relation par le fait d’être choyé(e) par la « maman » ou de porter des couches. 2. La récompense (ou plaisir de substitution) : L’allaitement du partenaire soumis peut servir de récompense pour sa soumission, par exemple dans le cadre d’une relation adultérine. Dans ce cas, l’allaitement maternel peut remplacer les rapports sexuels « normaux » refusés par le partenaire trompeur. 3. La traite : Ici, le partenaire dominant (homme ou femme) trait la femme soumise, ou lui ordonne de se traire elle-même ou de lui donner son lait. 4. Le gavage forcé : Dans ce cas de figure, la femme dominatrice force ou commande son partenaire à recevoir son lait. Des claques contre le partenaire suivi d'une prise forcé d'un sein illustre parfaitement ce "jeu". Conclusion. Il est difficile de faire une conclusion sur un sujet aussi tabou que la lactation érotique. Si, comme nous l’avons vu, il y a des éléments négatifs, comme l’assimilation à l’inceste, il existe quand même des côtés positifs (une intimité, de la tendresse, de l’érotisme, un sentiment de féminité, etc.). On pourrait donc voir là le principe du verre à moitié vide et le verre à moitié plein. Selon la culture, l’expérience et les affinités de chacun d’entre vous, certains verront la partie vide de ce verre, d’autres peut-être la moitié pleine. Même si, à l’heure actuelle, elle est toujours restreinte en France en raison de la force du tabou, les débats sur Internet (par exemple, à travers des forums de discussions), semblent permettre d’alléger progressivement les réserves. Pourquoi les Français se sentiraient-ils coupables contrairement aux Britanniques et aux Américains (y compris les Québécois) ? Ainsi, la lactation érotique paraît lentement, mais sûrement ancrer de plus en plus au sein de l’intimité des couples qui y voient, pour une partie d’entre eux, certains bienfaits. Ceci n’est, en réalité, qu’un début de conclusion. Il ne tient plus qu’à vous de la terminer à partir de votre opinion sur la question. "BEAST MASTER"
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J'ai raconté ici ma première expérience avec Stéphanie, ma première domina. Une grande femme d'1m85, blonde, cheveux aux carré, dotée d'un corps magnifique. Depuis, nous avons joué de temps en temps et nous restons en contact. Mais depuis 2 mois, je vis une relation extrêmement troublande avec Claudia (Claude de son vrai nom). C'est un trans opéré en haut et en bas. Notre rencontre fût assez glauque, une plage échangiste de la région où elle m'a abordé au millieu des pins "pour me sucer". Claudia, ma trans domina, est un homme à la base de 38 ans. Il y a 10 ans elle s'est fait opérée et est devenue la femme d'aujourd'hui, sublime transsexuelle. C'est un petit bout de femme d'1m65, la poitrine "généreuse", un corps de Betty Boop, de belles fesses féminines, mais les hanches ne sont pas dessinées, ça reste un corps d'homme. L'ensemble reste trés féminin, c'est à s'y méprendre. Une jolie petite femme cheveux mi longs chatain clair aux yeux bleux et un visage d'ange, hyper féminin. Depuis 2 mois, nous nous voyons régullièrement, passons des semaines ensemble . Sexuellement, le seul problème, c'est sa chatte. Visuellement on est trés proche d'une chatte réelle, sauf qu'il n'y a aucune lubrification. Comme je suis un grand amateur du cunnilingus, il me manque ce goût unique qui fait mon bonheur, celui de la cyprine. Nectar ultime de la femme qui m'emporte telle une drogue quand mon visage s'innonde de ce met délicieux. Je suis bouleversé par Claudia, car nous avons des sentiments mutuels et partagés. Je ne me sens pas homo quand je lui fais l'amour ou quand je lui dit "je t'aime". A mes yeux , c'est une femme. Elle est pleine de tendresse, d'affection, d'intensité sexuelle ...bref, c'est pour moi la femme parfaite, mais c'est un homme. Et c'est ce qui la bouleverse à elle aussi. Elle me confiait que j'étais le premier homme à ne voir que la femme en elle. Le fait de la tenir par la main ou par la taille en public, elle se sent femme. Je l'ai présenté à mes amis, à ma famille, personne ne se doute de sa véritable identité. Je l'ai présenté à des collègues de travail (milieu trés masculin, brutal, plein de testostérone), et ça m'a fait sourire les commentaires aprés la première rencontre "elle est super bonne, tu dois bien t'amuser"..si ils savaient..LOL !. Sexuellement, avec Claudia, ma domina trans, c'est du "VANILLE, PLUS PLUS". Comme elle connaît parfaitement le corps de l'homme, autant dire que ce ne sont pas des fellations mais bel et bien l'hymne à l'amour d'une bouche sur le sexe d'un homme. Jamais rien connu de comparable. Des orgasmes de folies qu'elle m'offre à chaque fois. "je te suce comme je t'aime" voilà ses mots, et c'est grandiose. Parfois elle vient titiller ma prostate avec ses doigts de fée . Et comme elle est dotée d'une prostate aussi, elle sait me carresser comme aucune domina ne l'a jamais fait, un paradis. Je ne compte pas les orgasmes que j'ai connu rien qu'avec ses doigts, sans me toucher le sexe...pure folie. Mais Claudia n'a jamais voulu utiliser un gode ceinture avec moi . "je suis devenue une femme, c'est pour me comporter comme une femme, pas pour sodomiser un homme". Ce sont ses mots, et je les ai compris et acceptés. Il y a peu, Stephanie m'a recontacté, ma première Domina. J'en avais parlé à Claudia, je lui avais dit que je pratiquai le SM. Claudia a voulue rencontrer Stéphanie. Ce fût fait, elles se sont trés bien entendue, et elles connaissent toutes deux la réalité sur l'autre. Le jour de mon anniversaire, Claudia m'a organisé une soirée, avec Stéphanie, sans me prévenir. Nous étions en train de prendre l'apéritif, le soir avec Claudia, et la sonnerie a retentie. "Voilà ma surprise", et elle a ouvert la porte. Stéphanie est entrée, toujours aussi phénoménale physiquement, et elle portait la jolie robe moulante qu'elle avait lors de notre premier rendez vous. J'ai compris que j'allais être mangé tout cru par ces deux femmes. On a pris un apéritif, et elles m'ont annoncé la couleur. Comme je ne pratique plus la soumissions depuis que j'ai rencontré Claudia, elles m'ont annoncé que je serais " l'homme objet" de la soirée, qu'elles allaient s'occuper de moi . Pas de fouets, pas de violences, mais au programme, pince à tétons, pinces sur le corps, et beaucoup, beaucoup de tendresse. J'ai eu du mal à comprendre comment elles allaient procéder, mais je me suis laissé porté. Sur le canapé, je fût envahi de caresses, des gestes tendres, mais sans équivoque. l'une passait parfois derrière le canapé, me serrant doucement par le coup pour m'embrasser, pendant que l'autre me caressait le sexe à travers le pantalon. Plus d'une heure de ce petit jeu, puis Claudia bascula le canapé en lit. Là ce fût le début de l'aphotéose. Elles me déshabillèrent avec douceur, me prodiguant carresses et baisers pendant que l'autre me mettait les pinces à tétons. Elles échangèrent leurs places plusieurs fois, l'une dans la douceur pendant que l'autre me mettait des pinces sur tout le corps, chacune leur tour. J'étais à leur merci, l'homme objet parfait, complètement passif, je me laissais porter par le désir de ces deux femmes. Puis elle m'attachèrent les mains au canapé, j'étais sur le dos, je devenais le jouet . Là, Stéphanie s'assis sur mon visage. Claudia me dit "je t'offre ce breuvage, lêche la jusqu'à ce quelle jouisse, nourrit toi mon amour". Ce fût un vrai bonheur, Stéphanie frottait son hymen sur mon visage pendant que ma langue cherchait à s'abreuver de chaque goutte de sa cyprine délicieuse. En même temps, elle tirait sur les pinces un peu partout sur mon corps. Brûlures délicieuses qui faisaient tendre mon sexe avec une intensité peu commune. Puis j'ai senti les doigts de ma petite fée s'offrir la voie de mon anus. J'étais complètement déboussolé. Je me délectais de la chatte et de l'anus de Stéphanie, pendant que Claudia me pénétrait avec ses doigts pour me carresser ma prostate. Je n'ai pas tenu plus d'une minute, ce fût l'explosion, l'orgasme de folie. J'en avais mal à la tête tellement c'était puissant. Elle me détachèrent, et se sont collées contre moi, nue toutes les deux. Un vrai bonheur. Elles m'enlevaient les pinces en tirant un peu dessus... histoire de bien me faire monter en pression, mais m'innondaient de carresses et de baisers en même temps... A ma grande surprise, une deuxième érection arriva au bout de 15 mn de ce doux suplice. Elle se sont redressée toutes deux , se sont regardées d'un air malicieux et Claudia a dit " on recommence", elles ont éclatées de rires, se sont embrassées, se sont caressées leur poitrines et m'ont rattaché. Claudia a demandé à Stéphanie de se mettre sur moi, de se faire pénétrer pour qu'elle mouille sur mon sexe, elle voulait se faire pénetrer elle aussi aprés, connaître cette sensation de la cyprine sur ma bite dans sa chatte. Alors Stéphanie s'assis sur mon sexe, elle bougeait dans tout les sens. Sensation que j'avais oublié d'une chatte chaude et humide, un vrai délice. Pendant ce temps, Claudia me titillait la prostate avec douceur et fermeté. Puis Stéphanie se coucha complètement sur moi, cambrant ses fesses et demanda à Claudia de s'occuper aussi de son anus. Elle s'éxécuta avec plaisir. Je sentais Stéphanie apprécier la carresse anale. Sensation folle de prendre une femme et de sentir nos anus se faire carresser par une autre. Instant doux et délicieux. Je sentais la cyprine couler sur ma verge, j'avais oublié cette sensation merveilleuse. Stéphanie se releva doucement, elle se retourna vers Claudia et dit "à toi maintenant". Là, Claudia s'empalla sur mon sexe, et j'avoue que ce fût une sensation unique et trés agréable. Ce sexe qui d'habitude doit être lubrifié artificiellement, c'est empallé avec une naturelle douceur. Magnifique. Stépanie, pendant ce temps, s'est équipée d'un straponme. la fête allait commencer. Elle est revenue avec du lubrifiant. J'étais allongé, attaché par les mains, elle me releva les jambes, me mis du lubrifiant dans l'anus, et commença à me pénétrer. Ce ne fut pas trés facile car mon anus s'est un peu refermé depuis 2 mois de non pénétration, mais elle y arriva rapidement. Là mon souffle commençait à accélérer. J'avais un peu mal, mais j'ai connu bien pire (LOL). Stéphanie carressa l'anus de Claudia, lui mis du lubrifiant à elle aussi, et elle la pris par l'anus à elle aussi. La scène m'exitait tellement, voir la complicité entre les deux, que j'allais exploser. Mais j'ai réussi à contrôler à ma grande surprise. Claudia ne tardit pas à jouir (oui, elle ne jouit que par l'anus, ça ne surprendra personne). Elle s'écroula sur moi, en sueur, les yeux pleins d'extase, me serra contre elle , m'embrassa. Je sentais ses mains glisser entre ses cuisses. Elle repoussa le gode ceinture pour introduire mon sexe dans son anus; Elle demanda à Stéphanie de venir en moi avec le gode ceinture; Là ce fût terrible pour moi. Première fois que je sodomisais une femme (enfin disons ça comme ça) tout en me faisant sodomiser par une autre femme. ça n'a pas duré trés longtemps, tout au plus quelques minutes. l'orgasme fût tel que j'ai crié. Malgré ma réaction, elles ont continué à me pénétrer doucement, Claudia faisant de grand mouvement avec son bassin de manière à ce que mon gland soit complètement écrasé dans son anus, je n'en pouvais plus . A ce petit jeu qui n'a pas dû durer plus de trente secondes, j'ai eu un deuxième orgasme sans pour autant avoir éjaculé. Mon corps était raidit comme une planche, mes jambes tremblaient , comme tétanisées. Elles se sont retirées toutes les deux, m'ont détaché, essuyé mon corps plein de sueur. Elles m'ont essuyé le sexe avec des lingettes, j'étais complètement KO. je ne pouvais plus bouger, je voulais juste me mettre sur le coté et dormir tellement j'étais épuisé, tétanisé. Elles sont allé se doucher toutes les deux. J'entendais leur fou rires, et elles se carresaient sous la douche, mais je ne pouvais plus bouger. Au bout de 20 Mn elles sont revenues, toutes fraîches, m'ont pris par la main et m'ont mis sous la douche. j'ai eu droit à une douche à 4 mains, des caresses toutes douces, des baisers, beaucoup de tendresse. Nous avons repris un apéritif ensemble , avons mangé et discuté. Nous avons passé la nuit ensemble, à 3 dans le même lit. Ce fût magique. Depuis, je sais une chose. Au delà du fait que Claudia soit un trans, c'est une femme extraordinaire. Nous savons que notre relation ne durera pas. mais les sentiments sont vrais, réels, et nous nous apportons chacun quelque chose qui nous sera utile dans notre vie future. J'ai adoré être un homme objet, et je sais aujourd'hui que je ne serais plus jamais un soumis. C'est terminé pour moi les domina, par contre j'offrirai encore mon anus, ça c'est certain. Mais à une femme, pas une domina; Par contre, je dominerai encore, mais d'une manière plus douce, plus intense dans les carresses, ça je continuerai...Merci la vie , merci pour les rencontres que j'ai faites, merci pour cette rencontre bouleversante d'une femme-homme qui a plus de féminité en elle que la majorité des femmes que j'ai rencontré dans le passé.
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Mia O. Propriété de Maitre G.
Carnet de soumise. Extrait
J 000 - Séance 00
Sujet : Naissance - submissive's side
Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - Photo du net
…
Aujourd’hui je me rends là-bas autrement 😚
Grâce à lui.
Mais ce jour-là.
A contre cœur.
Deux heures de route pour un anniversaire.
Dans cette ville maudite pour moi.
Les 50 ans d’une collègue de travail.
Exceptionnellement mon « grand patron » sera là aussi.
Venu de loin pour cette occasion.
J’aime beaucoup mon grand patron.
Il a toujours été présent pour moi.
Amicalement.
Ma copine est quelqu’un de sympa.
Mais pas assez proche pour que je me désiste au dernier moment.
Quelle Galère.
Pourquoi j’ai dit oui ???
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pffffffff…
Parce que c’était écrit…parce qu’on ne peut pas lutter contre le destin.
Je suis vraiment trop gentille.
Et le destin m’a fait un vrai cadeau.
…
Vingt-heures.
Même pas envie d’être là.
Que des inconnus.
Pas encore assez forte pour affronter des gens.
Être agréable comme le gens l’attendent de moi.
Une bonne copine, c’est tout.
Je ne connais pas vraiment les autres.
A part un ou deux.
Des collègues de travail qui gardent beaucoup de distance avec moi.
Être veuve est très handicapant.
Les gens ne savent pas comment vous aborder.
C’est incroyable !
Et insupportable aussi.
Je sens que je vais m’ennuyer sévère.
Ça va être long, très long…je vais me coucher dès que je peux.
Je suis trop gentille.
J’aurais dû m’écouter et prendre un hôtel.
Tout ça pour faire plaisir !
Je dois apprendre à dire non !
Mais qu’est-ce que je fais là ?
Et puis c’est quoi ce type ?
Première personne avec qui j’échange après le magicien.
Un copain de la copine qui ne travaille pas avec nous.
Un mec qui parle beaucoup.
Trop sociable pour moi.
Je n’ai pas envie de parler, ni de connaître personne.
A part ma copine, lui ne connaît personne du tout.
Comme moi.
Un autre invité par compromis.
Pourquoi il me parle ?
Je vais être obligée de lui répondre…
Non…tactique « je bouge » … changement de groupe.
Je ne suis pas capable de rentrer dans une discussion, ni parler de moi.
Je ne veux rien partager, je suis fermée au monde entier.
Quelques mots.
Quelques cigarettes.
Encore lui !
On est plus de cinquante ce soir.
Mais pourquoi il me parle ?
Ma copine a dû lui dire de s’occuper de moi.
Ça me fait chier grave.
…
Finalement il m’amuse.
Je commence à le trouver sympa.
Très sympa même.
Je suis invitée et je dois bien me comporter.
On va juste passer le temps avec diplomatie.
Après tout, amusons-nous !
Qu’est-ce qui m’arrive ?
Pourquoi envie de m’amuser ?
Très longtemps que je ne me suis pas amusée.
…
Vingt-et-une heures.
Et paf, assis à côté de moi. 😂😂😂
Tout le repas.
Ça me fait rire comment il me tourne autour.
Par fatalité ou stratagème, je ne sais pas.
Stratagème c’est sur 😜 !
…
Je suis transparente.
Il est payé pour me parler, je ne peux intéresser personne.
Un coup de ma copine !?
…
Finalement, il va rendre ma soirée agréable.
Très agréable.
À moi, mais aussi aux convives qui sont à table avec nous.
Continuons de jouer alors.
Ça m’occupe !
Puis il me prend ma bague et ma montre.
D’un simple petit jeu, il ôte tous mes boucliers.
Toutes mes armes.
Je ne pourrais pas m’échapper.
Une technique de lycéen, et qui marche toujours !
…
Mon accent espagnol à l’air de lui faire de l’effet.
Encore une fois.
Ça me blase.
Tout le monde me dit que je fais penser à Victoria Abril.
Jamais su si c’était l’accent ou le sex-appeal.
Je n’avais plus de sex-appeal.
Totalement frigide.
Pas grave.
Tout se déroule normalement.
Je comprends bien l’envie de me dire ça.
Les français aiment beaucoup Victoria.
Je ne peux rien faire avec mon accent.
…
Puis les petites attentions.
Sa façon de me parler est gentille.
La chaise qu’il glisse pour que je m’assois.
Même si je ne veux pas l’avouer, j’adore profondément.
Tous ce qui me plait arrive comme servi par un galant homme prévoyant.
Il est génial.
Son sourire, comme il bouge, comme il parle, c’est tellement bizarre…
J’ai l’impression qu’il me plait depuis cet instant.
Un vrai bon moment à table.
Je ne pouvais pas manger.
Lui oui.
Il disait que j’étais un petit oiseau 😅.
Il se lève plusieurs fois pour le vin. 😉👌
Il a vite compris que la petite bourgeoise voulait du vin blanc frais, alors on va la gâter…
Pourquoi ?
Pour me séduire ?
En fait il ne cherche pas à me séduire.
Il cherche quoi à ce moment ?
Rien.
Il est juste bien éduqué.
Raffiné.
Mais il est intouchable.
Totalement.
Les mots des autres ne changent absolument rien à ce qu’il est.
Ricochent.
Il « est » juste lui.
Imposant.
Il s’assure avec attention que le vin est à température pour moi.
Parfait !
Ça fait vraiment plaisir.
Ces attentions me touchent.
Oui ça me touche beaucoup.
Un petit sentiment de bien-être.
Loin de ma vie, de ma vraie vie, loin de chez moi et de mes galères.
Une belle parenthèse 😌.
Bon, c’est quand même moi qui commande !
Eh oui, dans le sens ou ça commence là et ça s’arrête là, à la fin de la soirée.
En plus il est marié.
J’étais déçue quand il me l’a dit.
Très clairement.
Pourquoi être déçue ?
Je croyais quoi moi?
Un prince charmant, libre pour moi ?
Je suis et serai toujours innocente et romantique.
Tout va bien.
Encore mieux.
Pas de danger.
Aucun risque de tomber amoureuse.
Le seul risque est qu’il me vole ma montre et ma bague.
Ma bague.
Dernier cadeau de mon compagnon décédé.
Elle finit par être perdue ce soir-là.
Je ne lui ai rien dit.
Je ne me suis jamais fâché.
Comme si je voyais dans ce hasard un signe du destin.
La fin d’une histoire.
Le destin a utilisé cet homme pour perdre ma bague.
Pour me faire comprendre quelque chose.
…
Vingt-deux heures trente.
Spectacle de magie.
Je suis appelée à participer avec le magicien 😅.
Évidemment.
Tout ce que je n’aime pas…peur du ridicule.
Puis je m’assois pour regarder le spectacle.
Ma chaise a été préparée par lui.
J’espère l’avoir remercié et lui avoir donné un de mes meilleurs sourires.
Je ne sais plus.
Ma chaise à côté de la sienne.
En sécurité.
En temps normal j’aurais dit :
«Oooh, il ne faudrait pas qu’il me colle trop celui-là ! »
Et non.
Ça me faisait plaisir d’être accompagnée par ce gentleman 🌟
On était bien ensemble.
Comme d’hab.
Nous sommes toujours bien ensemble.
C’est comme ça.
J’attrape une cigarette.
Pas le temps de l’allumer.
La flamme est devant moi.
Le cendrier aussi.
Une canette de coca vide.
Tenue exactement où il faut pour que je m’en serve sans autre effort que déplier le bras.
Pire que ça, il allumait les clopes par deux.
Jusqu’au moment, plus tard dans la soirée, ou je lui ai dit que je ne pouvais pas le suivre.
Pas fumer comme lui.
Il est parfait.
Comme s’il voyait l’avenir.
Eh, peut-être le voyait-il déjà.
Mais que pouvait-il voir ?
C’est ma fragilité qui l’a séduit ?
Moi je sentais sa protection.
C’est lui qui a fait cette bulle autour de nous.
… un vrai Ange gardien 😇 ?
Plus tard je comprendrais que c’est là, dans sa bulle, sous sa coupe que je suis née.
Me servir de cette façon gênante.
Je ne suis plus habituée à être la princesse.
Servir pour se faire servir ?
Plus tard ?
Dans le temps à venir ?
Dans notre futur passé, dans notre futur présent et dans notre futur futur ?
Aujourd’hui, j’espère bien le servir longtemps.
Il aime ça et moi aussi.
Quelle chance ☺️ !
Bizarre ?
Non, simplement un mâle qui sent une femelle un peu faible, donc proie facile, pour une soirée ?
Il a dû penser « celle-ci je vais me la faire ! »
Un homme ça reste un homme, même si lui, c’est aussi un Ange 😜
Vingt-trois heures trente.
Ça danse un peu.
Heureusement les vins font leur effet.
Carpe Diem alors 😜.
Cela rend supportable cette mauvaise musique.
Je ne me rappelle plus la musique.
Juste lui existe.
J’eu un regard très complice avec mon patron.
Il ne comprenait pas notre proximité.
Mais les personnes intelligentes comprennent vite.
Il me sourit.
« Cette musique m’ennuie, viens, nous allons écouter la mienne »
J’ai adoré ce moment !
Partir derrière, tous les deux.
Comme des adolescents.
Seuls.
Me voilà de l’autre côté de la maison, à écouter de la musique sur un smartphone.
Tomorrowland en live… Armin…
Il doit penser : très prévisible cette femme, une de plus dans ma collection !
Qu’est-ce que je fais là ?
Pourquoi je l’ai suivi ?
Parce que j’en ’avais envie.
Vraiment.
Envie d’échanger avec cet inconnu un peu plus tranquillement.
Et paf.
Premier son.
La musique que j’aurais voulu entendre si on me l’avait demandé.
Ma musique …il est mon mec idéal !
Sa musique
Notre musique.
Magique…il me montre ce que je veux voir ou écouter… sans rien lui avoir dit.
Aujourd’hui c’est la même chose, ce que je rêvais il me l’apporte sur un plateau.
Son regard fasciné par le son.
Et le mien par l’ovni devant moi.
Je ne voulais plus fermer les yeux.
Pas perdre une seconde de sa compagnie.
Et nous deux au milieu de rien, qui nous ne connaissions pas il y a 3 heures.
A l’écart de la fête.
Oubliant le reste des invités…rien à cirer.
Je suis à l’abri dans sa bulle.
Incroyable, mais il me plaisait déjà.
Plus de patati patata.
Un langage soutenu.
Plus de superficialité.
Juste de la sincérité, de la profondeur.
Quelle merveilleuse soirée finalement.
Et lui qui me parle de l’âme de notre musique.
De son âme.
Je ne comprends pas
De la mienne.
Encore moins.
Je n’ai pas d’âme !
Qu’est-ce que c’est l’âme ?
Pas de sentiments non plus.
Je ne sais plus pleurer depuis longtemps et ça me fait de la peine.
Pour moi les larmes, c’est de l’émotion.
Si je ne pleure pas ce n’est pas un bon signe.
L’âme ?
Sérieusement ?
N’importe quoi ce qu’il raconte.
Je veux juste le regarder.
L’écouter, entendre sa voix.
Observer son sourire et sa personnalité.
Il me demande si je le « sens ».
En regardant son ventre.
Je ne comprends pas.
En regardant le mien.
Encore moins.
Ou je vais là ?
Je ne sais pas, mais j’y vais.
Je suis un peu effrayée.
Amusée.
Mais bousculée aussi.
Je ne comprends pas ce qu’il me dit, mais ces mots raisonnent en moi.
Indépendamment de ma volonté, il se passe quelque chose dans mon ventre.
Pas de papillon non…
Quelque chose me pénètre.
Je ne comprends ce qu’il me dit.
Je sens ce qu’il me dit dans mon ventre.
J’arrive à m’approcher de son cou et à lui dire :
« Tu es une bonne personne »
Je ne risquais pas grand-chose avec cette phrase.
Mais c’est la phrase qui est sortie.
Sans réfléchir.
Comment lui dire que j’avais envie de l’embrasser sur le cou.
De de le mordre.
De le bouffer.
Je me sens lionne.
Ça ne se fait pas… comment aurait-il réagit ?
Ben non, il ne « va pas se la faire celle-là ».
Il s’en fout.
Mon appétit s’aiguise.
Pourquoi je ne fuis pas le danger.
Je n’ai jamais eu peur de personne.
Je suis juste surprise qu’une étincelle ou un flirt puisse exister entre nous.
Et pourtant je me serais marié avec lui ce jour-là si j’avais pu !
Je suis toute passion ❤️🔥😅 !
L’alcool m’aurait ôté toute forme d’instinct de survie ?
Non, au contraire, je me suis accrochée à la vie.
L’alcool aide à se détendre oui, mais pas à faire des choses à contrecœur.
Je n’ai rien fait à contrecœur, je me rappelle de tout …ou presque 😅 .
…
Une heure du matin.
…
Deux heures du matin.
…
On ne voit pas le temps passer.
Cinq ou six heures que nous sommes ensemble au milieu de cinquante personne.
Dans sa bulle.
A l’abri.
C’est ça qui est vraiment magique.
Je dois avouer que finalement, il m’a plût dès le début.
Une aura puissante.
Juste le son de sa voix, un regard et plus rien n’existe autour.
Je veux que le temps s’arrête.
Que cette soirée ne se termine jamais.
…
Puis nous revenons avec ce qui est devenu « les autres ».
Nous dansons.
Un homme qui danse !
Mon rêve !!!
Il s’approche.
Uhmmm …c’est bon ça, je me sens bien.
J’adore être vivante !
Dans mon élément, la nuit, la piste de danse, et un petit peu d’alcool.
De toute façon je suis dans ma combinaison pantalon intégrale inviolable hypersécu.
Je pensais éventuellement à un bisou en partant….
Pas à ce qui allait m’arriver.
Mais tous ses gestes me plaisent.
Putain, il me plaît, ce con !
Au fond de moi « Hijo de puta !»
En espagnol, cette expression n’est pas aussi péjorative qu’en France.
Comme « Putain !», mais dirigé vers quelqu’un.
Il me plait vraiment.
En plus, pas de risque de main baladeuse grâce à ma combinaison de protection.
Juste une petite fente dans le dos.
Pas d’issue pour lui …hihihi !
J’ondule.
J’ai hâte qu’il me touche.
Au moins les cheveux.
Les mains.
Les bras.
N’importe.
Se toucher.
J’ai envie de lui.
Je vis la musique.
Heureusement qu’elle m’apaise.
Comme lui.
Il est parfait.
Comme lui ?
Oui il aime la musique 😍.
Ses yeux se ferment et s’ouvrent.
Il ne s’est pas approché.
Il danse !
Il ne me fait pas attention comme un homme le devrait !
Pas un homme ?
Il me séduit comme ça.
Je sais qu’il me regarde.
Il ne prendrait pas son temps comme ça s’il voyait de la concurrence autour.
Pas un chasseur celui-là !
Ou si… ? Un chasseur instinctif ?
Un loup peut être…oui, surement un loup avec ce regard… !
Il attend.
Il attend quoi ?
Juste quelques sourires.
On croise quelques regards profonds.
Très profonds.
Tellement fort le lien.
Un inconnu se sent obligé de me prévenir du danger :
« …Attention…il veut s’accoupler …»
Moi pas répondu.
Juste un sourire de remerciement.
Au fond de moi je ne rêve pas.
Au fond de moi, confirmation que peut être moi, j’ai envie, et que ça ne me fait pas peur.
Quelques temps plus tard, à force d’attendre, je me mets dos à lui.
Je me suis laissé aller…tant pis.
Tant mieux !
Nos corps se rapprochent.
Est-ce moi qui recule ?
Oui.
Est-ce lui qui se colle ?
Oui (auto-déculpabilisation, si si, il se colle, j’en suis sûre…)
Soudain son torse contre mes épaules.
Mon Dieu… enfin 😛 !
Nos bassins s’accordent.
C’est magique.
Ses mains sur mes hanches.
Je pourrais mourir, demain, après cette soirée 🤩.
Je vais exploser.
Je m’effondre sur lui.
Et pourquoi pas ?
Finalement je veux être dans ses bras plus que rien au monde ❤️.
Pourquoi ce lâcher prise ?
Parce que la nature est forte et que je suis un animal, tout simplement.
Je suis basique, c’est comme ça.
Nos âmes et nos corps veulent s’approcher.
Pourquoi ma tête se pose sur son épaule ?
Je veux être à lui.
Je le sais.
J’ai ce besoin en moi mais je ne sais pas comment ça s’appelle.
La naissance de quelque chose ?
J’ai envie de m’effondrer d’émotion dans ses bras.
Mon front contre son cou.
Je me love sur lui.
Et je danse.
La musique est le fils conducteur de notre jeu.
Sa main se pose sur mon ventre.
Mon dos posé sur son torse.
Je ne veux plus bouger.
« Montre-moi !»
On doit être un peu ivre tous les deux !
Oui, sûrement.
Que veut-il avec mon ventre ?
Je ne comprends pas ce qu’il veut.
Pas encore.
Je m’en fous, je danse !
Depuis un moment je ne danse que pour lui... je veux le séduire…instinctivement.
C’est moi la garce ;)
Sa main rentre lentement par la fente arrière au dos de ma combinaison.
Je sens cette sensation de bonheur…je me donne…je veux qu’il me possède.
Elle fait le tour de moi, par l’intérieur, comme une couleuvre et se pose à nouveau sur mon ventre.
Sur ma peau.
Je suis paralysée de bonheur.
Il me plaque contre lui.
Mes yeux se ferment.
Tendrement.
Sa main caresse mon âme.
Quelle douceur infinie.
Pas un geste de défense ?
Certainement pas ! Défendre de quoi ?
De la gentillesse un peu coquine… ?
Allons ! Je suis beaucoup plus ouverte que ça !
Je continu de me lover sur lui.
C’est mon corps qui parle.
Pourquoi ?
Parce que son corps me parle aussi, et parce que j’ai laissé mon âme parler.
Sa main sur mon ventre.
C’est très charnel et romantique.
Chose impossible, on dirait de l’amour.
Nous sommes bien.
Il n’y personne d’autre dans cette soirée.
Nous, au milieu de tous les autres.
Sa main est sous ma combinaison de protection !
Alerte ! Danger ! Danger ! Danger ! Danger !
J’ai bien entendu la sirène.
😂😂😂
Mais il ne se passe rien en moi.
Si !
Je danse.
On va faire languir le plaisir.
Je ferme les yeux.
J’ouvre les yeux.
Trop tard.
Le temps d’un battement de paupière sa main et dans ma culotte.
Sur ma chatte.
Je ferme les yeux.
Moi au milieu de tous mes collègues de travail.
Danser avec une main dans ma culotte.
Malgré ma combinaison de sécurité.
Et là, une seule envie.
Qu’il continu.
Exactement !
Qu’il continu !
Son doigt caresse mon clitoris.
A peine le temps de quelques allers-retours.
Je suis vivante ? Comment est-ce possible ?
Quelques allers-retours, le temps que je me tortille.
Que mon cul appui sur son bassin.
Que mon cul cherche sa queue.
Mes gestes sont juste ceux d’une femelle.
Je me frotte comme une chienne.
Pas longtemps.
La seconde qui suit.
Son doigt rentre dans ma chatte.
… il va vite !
Avec délicatesse et fermeté.
C’est bon ça !
C’est merveilleux.
Bien profond.
Je suis possédée.
Il est sûr de lui.
J’aime ça.
Putain ! J’aime ça!
N’importe quoi !
C’est quoi ce bordel !
Un éclair de lucidité.
J’ai plus de quarante-cinq ans.
Je suis au milieu de mes collègues à danser avec un doigt dans la chatte.
Sérieux !
Même pas le temps de me demander ce que je dois faire.
Cela n’a pas durer une minute.
Sa main sort de ma combinaison puis se pose sur mon épaule.
Il me retourne face à lui.
Me repousse vers l’arrière.
Me fixe profondément dans les yeux.
Très profondément.
Dominant.
La morsure.
Il me montre le doigt qu’il a mis dans ma chatte.
Le porte à sa bouche et le suce.
Le regard transperçant.
Le regard du lion.
En fait ce n’est pas moi qui m’amuse.
Je ne l’ai pas vu venir.
C’est lui le félin.
Un félin calme.
Posé.
Puissant.
En me regardant dans les yeux :
« Vas discuter avec tes copines maintenant ! »
Il me tue, je ne peux pas bouger.
Je le laisse me tuer.
C’est trop tard.
La morsure du fauve.
Je ne pourrais pas m’échapper.
Je ne le veux pas non plus.
Surtout pas.
Je comprendrais plus tard qu’il m’imposa de donner le change à mes collègues.
Que le « nous » ne nuise pas à mon image professionnelle.
Sa bienveillance.
Mais sur l’instant, je lui fis le pire regard.
Totalement noir.
Celui de l’andalouse en colère.
Mon sang.
« Hijo de puta !»
« Hijo de puta !»
« Hijo de puta !»
Me rejeter vers l’arrière !
Moi !
Comme ça !
Après m’avoir mis la main dans la culotte !
Dans ma chatte !
Mais mon regard devant le sien.
Mon regard devant le sien…
Mon regard n’eut d’autre réaction que de plier.
Plier.
Plier est le mot juste.
Instinctivement.
Baisser les yeux.
Et obéir.
Vouloir cela.
Obéir.
Se soumettre à lui.
Se soumettre comme le croyant devant dieu.
M’humilier devant lui comme le croyant s’humilie devant dieu lorsqu’il s’agenouille.
Instinctivement.
…
Moi.
Et patati et patata avec les convives … avec le feu dans ma culotte et mes tripes qui font n’importe quoi.
Lui.
Qui danse seul, sans me regarder une seule fois.
Et cela dure.
Et je bouillonne.
Ouragan à l' intérieur.
…
Quatre heures du matin.
Fin de soirée.
Discuter avec mon grand patron à six ou sept dans les canapés extérieurs.
La musique s’arrête.
Comme par magie, il réapparaît.
Il s’assoit dans le fauteuil à côté de moi.
Discrètement, caché par un grand accoudoir, sa main prend la mienne.
Ses doigts croisent les miens.
Je sens sa protection.
Je ne suis plus désarmée.
Il serre ma main.
Fort.
Mon cœur se serre.
Longtemps.
J’entends les collègues parler.
Au loin.
Qui s’éloignent.
Je ne suis pas là.
Longtemps.
Il serre fort ma main.
Jusqu'à ce que mon cœur s’arrête.
Et je sens.
Je sens.
Le sien bat pour nous deux.
Putain !
Je suis plus sur terre !
Je plane total !
Je suis en orbite !
…
Six heures du mat.
Tout le monde est parti.
Reste moi, lui, et ma copine chez qui je dors.
Impossible de se séparer.
Je ne veux plus jamais me séparer de lui.
Je le raccompagne à sa voiture.
Je suis un pot de colle.
J’aime être son pot de colle.
Un dimanche matin.
Personne.
Le bruit des oiseaux.
L’aube.
Dans la rue.
Je me glisse sur le siège arrière.
Je présente mon arrière train en gémissant, comme une femelle.
Généreusement, il me baise un peu sur les sièges arrière.
Je veux être sienne.
Qu’il me possède.
Que c’est bon.
Délicieux moment.
Je le suce un peu.
Je n’ai jamais eu envie sucer des queues.
Cela n'a jamais fait partie de moi.
Pourtant j’en ai envie.
J’en ai besoin.
Pourquoi ?
Je le suce un peu plus.
Plus tard je comprendrai que je ne savais pas faire.
Quand il m’aurait appris.
Mais c’était tellement bon.
Je trouve du plaisir.
Je veux qu’il aime que je le suce.
Qu’est-ce qui me prend ?
Je m’applique.
Il jouit.
Je lui fais du bien.
Je suis contente
Je suis salie de lui.
Normalement je déteste ça.
Vomitif.
Mais non.
Je suis contente d’être salie par lui.
Et puis son arrière-gout salé....
Pourquoi ?
J’ai lui ai servi à quelque chose.
Pourquoi est-ce si important pour moi qu’il jouisse ?
De lui être « utile » ?
Qu’est-ce qui me prend là ?
Je dois partir.
J’ai la route à faire dans 3 heures.
Fatiguée.
Je retourne à la maison.
Je me couche.
Puis je l’entends revenir.
Ça me fait rire, le petit voleur qui se faufile par-dessus le portail.
Et là, il me baise.
Pour de bon.
Bien profond.
Me rebaise.
Je ne dirai pas le mot baiser.
C’est trop tard.
Une petite amitié, ou complicité s’est installée.
C’est plus beau que baiser.
Baiser quand même.
Quand je me suis empalée sur lui.
C’était une nécessité physique.
Après l’excitation de l’avoir sucé de mon mieux.
Il mérite ça et tout ce qu’il voudra !?!?
Putain mais qu’est-ce qui m’arrive ?
Au futur ???
Non pas de futur entre nous.
Sans amour, donc baiser.
Que peut-il y avoir d’autre ?
Plus tard je comprendrais.
Il me sert fort dans ses bras.
Jeune homme ce n’est pas baiser ça !?
C’est faire l’amour.
Pourquoi me serres tu comme ça ?
Et il continu.
Vas-y !
Baises-moi encore.
Baises-moi.
« Hijo de puta ».
Que c’est bon ...
Pourquoi me serres tu comme ça ?
« Hijo de puta ».
C’est trop bon!
C’est surtout trop.
Je suis déstabilisée.
Puis il part.
Tremblements de terre dans mes entrailles !
Puis revient.
Par la fenêtre.
Me rebaise et me rebaise encore.
M’use la chatte.
Je suis une enclume.
Être son objet.
Utilises -moi !
Putain que c’est bon.
Il rugit fort.
Putain de lion !
…
Neuf heures trente.
Il part.
Je lui donne mon portable.
Comme on vend son âme au diable.
Mon diable.
Mon Maître.
Il me regarde.
Mon regard plie.
D'instinct.
Avec un soulagement.
Un sentiment de satisfaction.
De profonde fierté.
De liberté aussi. Et surtout.
Un sentiment d’appartenance.
La morsure du lion.
Ma soumission est née.
Ce jour-là.
Je l’aime depuis ce jour-là.
Je suis sa lionne.
Et je me donne à lui, je suis à lui, et je lui dois ma vie entière.
Me sens à lui.
Mon corps et mon âme.
Depuis ce jour-là.
Grâce à lui, je SUIS aujourd’hui ❤️
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Je me met si souvent nu devant vous Maîtresse que j'en oubli le plus important, me mettre à nu.
Un petit «à» de plus pour tomber les barrières de mon insensibilité.
Vous m’humiliez si souvent, je suis une éponge à humiliation sans en perdre une goutte, Il est temps de m'essorer.
Vous me crachez au visage, J’essuie la honte avec cette éponge pour la saturer un peu plus.
vous m'urinez dessus, je bois et je stocke encore dans cette petite tête spongieuse.
Et pourtant je pue, je suis défais, rabaissé plus bas que terre.
Vous me faite rampez, vous m'écrasez. Je souffre et j'absorbe encore et encore.
Vous me transpercez et c’est mon orgueil qui est piqué
J'ai cette fierté mal placée qui me bloque même si vous me rabaisser chaque fois un peu plus.
Vous m’emmener en ville, au bout de ma laisse je pense d’abord aux regards des autres alors que je devrais porter mon attention à vous servir
Vous me lavez à l’eau froide comme un vulgaire objet. Ma fierté est bien ébranlée et je me renferme au lieu de vous témoigner ma reconnaissance.
Je mange dans cette gamelle de chien à vos pieds Maîtresse , avilissement extrême. Je n'ose croiser votre regard de peur d’y déceler de la moquerie. Les mains écrasées par vos escarpins, j'attends lamentablement votre ordre pour plonger ma gueule dans cette gamelle. Comme un chien, je lèche pour ne rien laisser du repas que vous m'autoriser de peur d’être réprimander.
Vous me ferez même boire dans cette gamelle ma propre bave qui a coulée de mon bâillon-boule. Elle sera mon urinoir pour toute une nuit.
Vous ruinez mes orgasme mettant à mal ma virilité. Je me sens ridicule.
Toutes ces gifles successives m'abaissent plus bas que terre. Elle me touche toujours plus intensément. Et aujourd’hui je le confesse pour que vous en récoltiez toute la satisfaction que vous recherchez à travers ces petits supplices.
Je ne suis plus rien, même mes pensées sont vides. Je me laisse envahir sans résistance par votre divine volonté. Vous me manipulez à votre guise. Je suis votre marionnette mais comme elle, je manque d’âme et mon insensibilité vous prive de tous ces plaisirs que je vous dois en retour du temps et de l’énergie que vous me consacrez.
Je ne me vanterais jamais de tous ces camouflets devant mes amis. Ma terrible fierté serait bien mise à mal, preuve que ces humiliations me marquent plus que tout.
J’use de familiarités et d’humour déplacés, Je me souviendrais longtemps de ces 100 coups de badine que vous m’avez infligés qui ont marqués mon subconscient plus que mes fesses.
Je faute, je cherche des excuses. Je comprends votre agacement. Je devrais être dans l’instant pour vous répondre, vous satisfaire Maîtresse. A me précipiter d’abord pour mon ego avant vous me couvre de honte. C’est une réaction qui devrait être instinctive Maîtresse sans qu’il soit nécessaire que vous me le rappeliez.
A l’écrire, je m’aperçois que je reçois ces humiliations pour mon plaisir alors que c’est le votre qu’elles devraient exalter. Je confesse mes erreurs à vos pieds Maîtresse
Il y a aussi toutes ces maladresses que ce soit des initiatives mal venues, outrepasser la place que vous m’accordez généreusement, utiliser des mots et des formes grammaticales interdits comme l’impératif, les négations, manquez d’humilité et bien d’autres qui échappent à ma mémoire mais que vous réprimandez dans l’instant ; la liste est si longue.
Votre satisfaction passe forcément par cette introspection. M’aidera-t-elle à être plus ouvert ? Je le souhaite si ardemment.
J’avoue humblement mes fautes pour que ma soumission évolue comme vous le désirez Maîtresse.
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Sur ce site très SM, une annonce attire mon attention : « recherchons partenaires pour jeux d’adultes consentants». Rien de plus mais suffisant pour éveiller ma curiosité, suivait un numéro de téléphone de mobile suisse.
Je décidais donc d’assouvir ma curiosité et j’appelais sans attendre ce fameux «Natel».
Une voix d’homme me répond ; elle est douce et suave. Après les présentations d’usages, il m’explique qu’il est chargé par sa Maîtresse, qui est aussi son épouse, d’organiser un jeu où trois de leur amies Dominantes pourront tester et choisir leur soumis.
L’homme me demande de l’appeler Allan à partir de maintenant. Je n’en saurais pas plus aujourd’hui
C’est un concours version télé-réalité. Aucune sélection ne sera faite. Ils ont décidé de s’en remettre au hasard et les six premiers candidats seront retenues.
Toutefois, je dois remplir tout un tableau des pratiques SM où je dois indiquer mon niveau sur une échelle de 0 à 5. Ce sera mon seul engagement écrit acceptant par avance les pratiques énumérées à l’exception de celle que je note «0».
Impatient, je renvoie mon engagement par mail. En accusé de réception, Je reçois une date à partir de laquelle je devrais être à leur disposition deux semaines complètes. Le point de rendez-vous me sera seulement communiqué deux jours avant le début de la sélection.
L’attente est longue et mon excitation grandit proportionnellement aux jours qui passent me rapprochant de cette aventure mystérieuse.
J-2 arrive enfin et je reçois cette invitation tant attendue. Je dois me présenter à la porte d’un hangar à flan de colline à 16 heures, ni avant, ni après. Aucun retard ne sera toléré.
Encore deux jours à patienter. Pas besoin de vous dire que mon excitation était à son comble
A l’heure dite, je me présentait devant le hangar qui semblait s’enfoncer dans la colline. C’était de lourdes portes métalliques. L’une d’elle coulissa dans un grand fracas et j’entendis une voie féminine m’invitant sèchement à entrer. La porte se referma derrière moi et je me retrouvais dans la pénombre. C’était impressionnant, comme si je quittais ce monde.
Pas le temps de gamberger.
«Mets toi à poil et les mains contre le mur. Je suis Maîtresse Célia et j’ai demandé à Allan de préparer ce jeu mais maintenant tu m’obéis»
Je m’empresse de poser mes vêtements mais sans doute pas assez vite car je reçois un cinglant coup de fouet sur mon dos.
- Allez, presses-toi, on ne va passer la journée ici
- Oui, Maîtresse
Et je m’empresse de me mettre face au mur. Je sens quelqu’un s’approcher, me passer un bandeau sur les yeux et m’attacher un collier autour du cou. Je leur appartiens déjà et plus moyen de reculer. Ma curiosité prends le dessus et tout mon être accepte cette prise de pouvoir.
Au collier est bien vite attachée une laisse. Elle se tend immédiatement et je suis mon hôte privé de tout repère.
- STOP, ne bouge plus, on va t’examiner. Si tu n’est pas impeccable, tu repars immédiatement.
Je dois présenter ma plante des pieds, mes mains. L’on me fait tourner sur moi-même et je sens une main saisir mes testicules et les tirer brutalement vers le sol. Je serre les dents mais aucun son ne sort de ma bouche.
- A genoux, mains au sol, présente nous ton petit cul m’ordonne Maîtresse Célia
Un gel coule sur ma raie et je sens des doigts fouiller mon intimité. Elle en profite pour
me donner une forte claque sur mes fesses en ressortant ces doigts
- Redresses toi. L’impression est correcte mais attention au moindre écart, c’est dehors.
- Oui Maîtresse
- Maintenant, on va t’expliquer comment cela va se passer.
- Tu es le dernier arrivé, cinq autres soumis sont déjà en cage.
- Ce soir, nous allons surtout tester ta motivation et ton envie de soumission. A partir de demain, trois Maîtresses auront la journée pour se faire une opinion en vous testant à leur bon vouloir. Tu ne connaîtras pas leur nom et tu devras les appeler Maîtresse tout simplement. Je ne connais pas leur envie donc ce sera surprise pour tout le monde. Nous sommes suffisamment bien équipé ici et tu pourras crier tant que tu veux, nous serons 30 mètres sous terre.
Vos Maîtresses auront le choix de prendre 1 ou/et 2 soumis à la journée et cela durera 9 jours. Elle pourront vous accorder jusqu’à une journée de repos par tranche de trois jours mais dans ce cas vous restez au cachot et je ne sais pas si tu auras vraiment envie de te reposer !
- Allan va te conduire à ta cellule. Tu pourras retirer ton bandeau et tu m’attendras à genoux, front contre terre et mains au sol devant toi.
Mon collier me tire en avant et l’on peut dire que je suis Allan aveuglément. Au fur et à mesure de notre progression, je sens de plus en plus de fraîcheur probablement le signe que nous nous enfonçons sous terre.
J’entends une porte métallique grinçée et la tension de la laisse cesse. La porte s’est refermée. Allan me conseille de ne pas tarder à prendre ma position d’attente.
Je me débarrasse de mon bandeau. La cellule est très sombre et il me faut quelques minutes avant que ma vue ne distingue des murs noirs équipés d’anneaux auxquels sont attachées des chaînes. Le sol est en pierre froide et je commence même à grelotter. Je ne découvrirais le mobilier qu’un peu plus tard car je me mets immédiatement dans la position souhaitée par Maîtresse Célia.
Bien m’en pris car j’entends la porte s’ouvrir et les jambes de Maîtresse Célia viennent taper mes côtes sans ménagement.
- Ce soir, je vais me faire plaisir avant de te laisser à mes amies. Allez bouge-toi un peu et vient nettoyer mes talons.
- Oui, Maîtresses
Je m’empresse de lui obéir et je lèche consciencieusement ces chaussures. Elles sont assez terreuse et j’ai du mal à leur rendre leur éclat mais Maîtresse Célia semble satisfaite.
Elle me pousse avec ces talons pointus qui s’enfonce dans ma chair et je bascule sur le dos. S’étant déchaussé, elle m’enfonce ces orteils dans la bouche. Ils ont un goût de transpiration mais je fais attention à lui faciliter l’accès à ma bouche.
Après ce traitement, elle me fera me lever et m’approcher du mur. Elle m’attache par mon collier à une des chaînes que j’avais repérée. En me poussant contre le mur, elle m’attache les bras et les chevilles bien écartés dans des anneaux métalliques.
Le contact d’une cravache sous mes testicules ne laisse pas de doute pour la suite du scénario. Elle me détend habillement en me frôlant avec l’extrémité de cuir plat de la cravache. Je me détend et je reçois un grand coup sur les fesses qui me fait tressaillir. Les coups s’enchaîne sur mon dos.
Variant les plaisirs, Maîtresse Célia me tapote les testicules. C’est douloureux. Je me tortille mais les anneaux d’attaches me maintiennent fermement à sa merci. Je capitule et demande pitié ce qui n’a aucun effet sur elle. La douleur devient terrible et je pends lamentablement sur les anneaux.
Elle me détache et me retourne. Dos au mur et de nouveau prisonnier, la cravache me cingle le ventre, les tétons et le sexe. La douleur reprend toujours plus vive. Mes gémissements finissent par déclencher un emballement terrible de Maîtresse Célia.
A ce moment mes certitudes vacillent. Ai-je bien fait d’accepter ce jeu ? De toute façon, il n’est plus possible de revenir en arrière alors autant faire bonne figure et satisfaire Maîtresse Célia.
Le temps s’est arrêté et il m’est difficile de déterminer combien aura duré mon supplice.
Maîtresse Célia me détache et je m’effondre sur le sol froid.
Je n’ai pas vraiment le temps de récupérer qu’elle demande mon attention pour me donner ses instructions pour la nuit qui vient.
Elle me montre une couche dans un coin de la cellule.
- Tu dormiras là. Si Allan ne l’a pas oublié, tu dois avoir une couverture.
Je remarque aussi 2 gamelles en aluminium.
- Allan viendra te verser ton repas dans l’une d’elle. Pour la boisson, je vais te gâter
Sur ce bon mot, Maîtresse Célia s’accroupit au-dessus de la gamelle, écarte son string et la remplit de son urine.
- Voilà un nectar divin, ne le gâche pas.
Si tu as encore soif, tu n’auras qu’à la remplir avec ta propre urine. A partir de maintenant ce sera ton unique boisson.
- Sur ce je te laisse, demain réveil à 5 heures, petit déjeuner et toilettes. A son sourire narquois, je devine que ce ne sera pas de l’hôtellerie de luxe.
A peine maîtresse Célia partit, Allan vient me verser une bouillie dans ma gamelle.
- Bon appétit, sois en forme demain.
Et sur ce, il s’éclipse discrètement et referme la lourde porte métallique à double tour.
A suivre ….
Ce texte n'est qu'une fiction sortie de mon imagination. Je ne rajouterais donc pas la phrase fatidique "Toutes ressemblances...etc"
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J'ai rencontré beaucoup de soumis et de soumises et je dois dire que même si beaucoup de gens pense qu'il y a une façon de pratiquer le bdsm, une façon d'être dominant et une façon d'être soumis, il est claire que ce n'est pas le cas.
Ce qui est trompeur avec les milieux undergrounds, c'est que l'on y mélange un peu tout ce qui sort du classique. Ainsi, les gens "normaux" et les fraichements initiés qui n'ont pas eu suffisamment expériences ou de variétés dans leurs expériences on tendance à penser qu'il y a une normalité du bdsm. La normalité n'existe pas dans les mondes sous terrains... Cela nous renvoi au premier type de soumi(se) :
1- Le(la) curieux(se) novice. Vous vous ennuyez dans votre vie normale? Vous avez entendue parlé du bdsm par des filmes, des documentaires ou par des amis. Déjà vous imaginez dans le noir tout ce qui vous fait rêver, tout ce qui vous manque. Vous voulez qu'on vous initie, vous voulez apprendre les codes standards qui n'existent pas (ou qui sont bien moins étroits que ce que vous imaginez). Clairement, ce type de soumis(e) est malléable et potentiellement en danger. Ils(elles) foncent vers vous en prenant des risques fous, s'extasie des moindres nouveautés. Mais se sont aussi des consommateur(trice), la loyauté ne sera pas forcement au rendez vous.
2- Le(la) fantasmeur(meuse). Vous avez une idée fixe, un besoin, un manque et vous êtes prêt à tout donner pour combler ce besoin. Vous espérez que votre soumission réglera tous vos problèmes et vous comblera. Vos attentes sont souvent rigides et votre maître est un instrument pour vous. La continuité de la relation demande un effort qui n'est pas toujours fournie par la partie soumise. Le plaisir ne dure pas pour le dom dans ces cas là.
3- Le (la) dépendant(e). Vous avez besoin qu'on vous guide, qu'on vous modèle, vous êtes perdue, vous avez peur. Votre relation à la liberté, à l'estime et à la honte est destructive. Vous avez besoin de vous en séparer, de devenir un animal de compagnie un esclave, une poupée. Vous voulez que votre existence soit assumée par une autre personne. Ces parties soumises sont loyales tan qu'on ne leur demande pas leur avis. Elles sont modelable, humiliable, transformable, torturable même... Leur plus grande faiblesse réside dans l’ennuie, elles sont ennuyante.
4- L' œuvre. Avez vous un projet, un rêve pour votre vie? La plupart des gens sont leur propre rêve, leur propre projet fou, leur propre œuvre. Vous voulez devenir un ange, un soldat ou un chevalier servant, un/une sublime esclave. Vous voulez vous dévouer à quelque chose ou a quelqu'un, devenir ce qu'il possède de plus précieux. Vous voulez qu'on vous regarde comme un trésor rarissime et inaccessible car déjà possédé. Ces parties soumises ne sont pas humiliable mais elles sont capable et enivrantes. Ce sont les seuls qui progressent vraiment dans la soumission.
Enfin, je dirai que ces 4 types se mélanges plus ou moins. Mais généralement, la partie soumise est toujours dominé par un de ses 4 aspects.
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Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux heures plus tard et déjà, le désir parcourait son corps.
La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même
temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler
et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Charlotte songea à s'enivrer avec le champagne.
Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé
à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces
indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités.
Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait
savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre
faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme
a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement.
Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il
avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Charlotte devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui
procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui
s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte.
Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet
univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état
de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle.
Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur
relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors
de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de
dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes.
Elle se pencha au-dessus des lis, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé
et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber
à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait
voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et
elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa
ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le
le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait
besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une
tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Charlotte portait un collier de soumission mais elle
n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse.
Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit
glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les
unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures
approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un
porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq
minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer.
Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins,
de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle
avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes.
- Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir.
- De quoi s'agit-il ?
- Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe.
- J'aimerais beaucoup voir.
Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi
indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la
touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura
son clitoris. Charlotte frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses.
- Nous n'allons pas faire l'amour ?
- D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ?
- Oui, je vous aime quand vous me dominez.
Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa
quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de
quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors
il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques.
- Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ?
- Vous connaissez la réponse, je vous aime.
Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand
elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple
utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache.
Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse
trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent,
selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Charlotte oublia toutes ses
résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il
s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle.
Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se
coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour
finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait.
Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une brume froide et blanche les
enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches
mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Sarah tournait son visage vers
le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Patricia demeurait silencieuse.
Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle
serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle
avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme
on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ?
Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Mais, elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime."
Patricia avouait son amour dans la soumission et la douleur. Sarah la croyait. La brume l'aidait à
supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout est vrai. Il y avait d'assez jolis reflets sur le lac.
Les yeux extasiés de Patricia, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son
succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait
pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa Maîtresse.
Sarah avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces. Elle s'était allongée sur elle.
Quel plaisir nouveau ce fut quand Patricia la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les
pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir
quand à sa fantaisie, Sarah imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus large, l'élargissait.
Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Patricia en était
éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire
intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute
la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elle lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité
de la terre. La vie, elles la supportent, les outrages et les châtiments corporels. Elles l'aiment parfois tant qu'elles
ne la connaissent pas, elles l'inventent pour la rendre semblable à elles mais l'illusion est brève. Patricia rêvait.
Lorsque Patricia s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame
d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des
femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre
à ramper sous le fouet n'est pas exaltante. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te
heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus
triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le
cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et
toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être battue, il semble
qu'elle aurait dû s'habituer aux coups, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au fouet à force d'être flagellée.
Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire,
le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qui l'élargissait, le silence, son refuge
y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des jeunes femmes livrées comme elle.
Je te comprends d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de
m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels.
Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir
et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du
charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans
doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur
de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée.
Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois
te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est
la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes
pupilles. Tes yeux rieurs. Sarah sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût.
Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir.
Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont
glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont
frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec
cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou.
Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son
corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée,
précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe.
Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur.
Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau
proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller
encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et
cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance.
Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet.
Le temps cessa d'être immobile. Sarah lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba sur elles.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ambiance musicale sur laquelle j'ai écrit... https://youtu.be/nz3I6OFXIIg
J'ai soif....
J’étais assise en petite culotte sur mon lit, un simple T Shirt bleu marine léger, laissant percevoir mes tétons libérés sous le tissu. Fièrement dressés
Je réfléchissais à la dispute que nous avions eu. Je savais que j’allais être punie de mon insolence, de ma désobéissance. Ce besoin intense de vouloir prendre l’ascendant était aussi fort de mon besoin de soumission. C’était animal. Je voulais qu’il me possède, qu’il me prenne, qu’il me domine sans me laisser le choix. Je voulais être sa poupée, sa chose, celle à qui il pouvait faire ce qu’il voulait mais de l'autre j'étais cette femme indépendante qui avait soif de s'exprimer.
Cette relation n’est possible qu’en réelle confiance, mais pouvais-je lui faire confiance ?
Cette volonté indépendante est venue au fil du temps où la vie nous oblige à être indépendante, pour ne pas être dépendante de qui que ce soit. C'est une ligne de vie que je me suis faite.
Ne jamais être dépendante..
Il pénétra la chambre, torse nu, avec son caleçon. Je ne voulais pas le voir.
- Je me demande sincèrement si tu as envie d’être soumise à moi. Tu testes toujours mes limites pour voir jusqu’ou je vais.
Je levais les yeux vers lui, perdue. Puis je baissais la tête, je ne voulais pas lui parler, ni lui répondre. Je ne voulais pas le voir tout simplement.
- Attache tes cheveux m’ordonna t il.
Je ne voulais rien lui céder.
- Attache tes cheveux répéta t- il en insistant sur chaque syllabe.
J’obéissais, malgré moi car au fond je voulais cela. Lui obéir . Cette dualité que je ne m’expliquais pas. Pouvions nous être les deux en même temps.. soumise, dominante?
Il s’approcha de moi en me caressant les cheveux puis me murmura à l’oreille.
- Voilà la bonne petite chienne que je veux que tu sois. Ma poupée.
Il caressa alors ma joue tout en tentant de m’embrasser.
Je détournais alors la tête. Je refusais qu’il m’embrasse.
- Regarde moi !
Il bougea son doigt devant moi me montrant le chemin pour le regarder.
J’étais toujours hésitante.
- Regarde ton corps, il appelle à cela. Tes seins qui pointent ( il s’en empara, les sous-pesaient)
Puis toujours de manière animale, il me respira.
- Ton odeur est si intense, je te mangerai bien là de suite ma louve.
- Ne me résiste pas. Ecarte tes cuisses !
Je le laissais faire, comme hypnotisée, incapable de lui résister. J’en avais plus qu’envie, il le savait. Ce besoin d’être traitée ainsi.
Tout le monde ne le comprend pas, c'est bien plus que sexuel.
Je sentais sa main s’enrouler autours de mon cou , m’agrandissant. Cette étreinte encerclante, ensorcelante me faisait défaillir. Il se mit derrière moi Tout en me maintenant contre lui. Je sentais sa respiration au creux de mon oreille. Son autre main en profitant pour s’occuper d’un de mes tétons en le pinçant fortement.
- Oui gémit ma chienne !
Je n’arrivais pas à répondre. Je me débattais.
- Tout doux ma belle effrontée, je vais te remettre dans le droit chemin. Je sais que c'est ce que tu veux au fond de toi.
Sa main se posa alors sur le dessus de ma culotte.
- Regarde combien tu es déjà trempée à travers le tissu.
Il prenait complètement possession de ma chatte avec sa grande main. Il commençait à la claquer de sa main. Je refermais alors mes cuisses
- OUVRE MOI CES CUISSES !
Il resserra davantage son étreinte autours de ma gorge. Son souffle était si animale. Je cédais.
Naturellement je les écartais, en voulant plus malgré moi. Je ne pouvais me défaire de cette emprise qu’il avait sur moi. Cette communion sexuelle et cérébrale. J’acceptais son emprise.
- Je sais que tu aimerais que je te fourre plusieurs doigts ou des queues ou des godes dans ta chatte, ou ton cul, mais tu ne me mérites pas petite salope.
Il relâcha sa main de mon cou, de mon sexe et se leva.
- Rejète moi autant que je peux te désirer ma douce.
- Mets toi à quatre pattes.
Son regard était pénétrant, perçant. Je savais que je devais lui obéir. Naturellement, je me soumettais à lui c"etait plus fort que moi, alors que mon autre voie me disait de ne rien faire. J’étais à quatre pattes, la tête vers le bout du lit.
Il plongea ses yeux dans les miens et appuya sur ma tête.
- Suce maintenant, montre moi tes talents.
Il remonta alors mon t -shirt et caressa mon dos. Puis il s’empara de ma culotte pour la resserrer dans sa main et tendre le tissu comme un string pour jouer avec.
- C’est ça excite toi dessus petite chienne.
Ma bouche glissa autours de son sexe. Je faisais des vas et vient et le contact du tissu sur ma chatte me rendait folle.
- C’est ça petite suceuse, applique toi, mange la.
Il me baisa la bouche, me laissant aucun répit. La bave commençait à couler. Puis il relâcha la culotte et appuya fortement sur ma tête.
- Hum bien au fond, chienne. Garde la. Hum bonne chienne de garde…
Il empoigna ma queue de cheval et pris en charge la cadence que je devais subir. Voila quelle était ma pénitence.
Il me griffait le dos, me fessait intensément et sauvagement la fesse droite. J’avais envie de lâcher un cri qui s’étouffa avec sa queue qui était au fond de ma bouche.
Il posa sa main sous ma gorge pour l’enfoncer davantage. J’avais presque envie de vomir.
- Au final tu n’es pas aussi bonne suceuse que tu le prétendais. Je vais t’apprendre à t’étouffer avec ma chienne.
Je rougissais de cette humiliation. Il se déchaînait. Je savais que c’était sa punition, celle de me mettre à un état de poupée destinée à m’occuper de lui. Sa poupée sexuelle.
Il me tenait par la queue de cheval pour me redresser.
J’étais face à lui.
- Branle moi !
Je m’emparais alors de son sexe pour le combler.
- C’est ça va y… hum ma petite salope.
- Enlève ton T shirt.
Je ne voulais pas obéir. Il me gifla.
- Continue de me défier ma chienne, je vais prendre plaisir à te mater à un tel point. Tu me rends fou.
J’esquissais un petit sourire. Il me gifla à nouveau.
Il prit dans chacune de ses mains mes seins puis glissa jusqu’à mes tétons. Il les pinça. Je retenais mon gémissement pour ne pas lui accorder ce plaisir.
Il le savait, je devinais un sourire caché. Je ne voulais toujours rien lui céder.
Je prenais ce malin plaisir à le masturber comme il l’aimait, je voulais le rendre fou, un peu comme se besoin d'avoir l'ascendant.
Au fond nous étions chacun le soumis de l’autre. Nous ne pouvions exister l’un sans l’autre dans cet univers qui nous est propre.
Il me repoussa, je tombais alors sur le lit.
- Recule. Reste assise sur tes genoux.
J’étais là obéissante, baissant la tête comme ne voulant pas croiser son regard. Comme si cela me permettait d’assumer la chienne qui était en moi.
Il s’allongea sur le dos.
- Viens a moi à quatre pattes.
Il me regardait avec cette intensité
Il tenait son sexe en main. Sans qu’il n’ait à me faire comprendre ce qu’il voulait, j’approchais ma bouche de son gland.
- Pas touche, admire le. Sors moi ta petite langue.
- Voilà qui est bon, je sais que tu aimes cela au fond de toi. Tu peux me rejeter, faire ce que tu veux, je sais qui tu es, je ne te juge pas.
Il me gifla la joue avec sa queue.
- Lèche moi mes couilles.
- Humm c’est bon ma chienne. Tu es si douée de ta langue.
Il se releva un peu pour mettre ses doigts dans ma bouche. Il me pénétrait avec comme pour combler un vide. Je bavais sur sa queue.
Il avança ma bouche à sa queue et avec ses deux mains sur ma tête me forcer à l’empaler dessus.
Il commença à me baiser si sauvagement. Je n’avais aucun répit. Je .bavais encore et encore.
Il pinça alors mon nez tout en maintenant ma tête avec sa main.
- Bonne putain.. hummmm. Je sais que tu aimes ça. J’aimerai tant te voir fourrer par derrière par une autre queue, je sais que tu le voudrais, mais tu n’assumeras pas de me le dire. N’est ce pas ma salope ?
Il relâcha son étreinte. Je me relevais, suffocante ; Cet assaut était si… Je n’arrivais plus à trouver mes mots, ni à savoir ce qui m’arrivait. Je me laissais faire. Je lâchais prise.
Il se releva et me regarda.
- Alors réponds ?
Je baisais les yeux comme un aveu mais ma pudeur m’empêchait de lui répondre.
Il me gifla et serra sa main sur ma bouche.
- Tu me l’écriras c’est cela ? sourit -il. Je sais ce que tu es, qui tu es.
Il me lécha alors le visage tout en me tenant la queue de cheval. Je savais que je lui appartenais dans ces moments là. C’était plus fort que nous..
Tout en me tenant ainsi, il me força à me lever. Une fois tous les deux debout, il me fessa encore et encore. Je ne tenais plus, admettre que je le voulais, j’étais bien trop fière pour lui dire. Je le défiais encore et encore.
Il me jeta au sol. Mon dos était presque contre le lit
- Reste à mes pieds, offerte.
Avec son pied, il m’obligea à ouvrir mes cuisses.
Il me tendit à nouveau son sexe.
- Tu as besoin d’un bon entrainement.
Ma mâchoire ne cessait de craquer depuis que je m’étais fait retirer mes dents de sagesse. J’avais du mal à tenir cette cadence.
- Je veux que tu aies des courbatures. Plus tu t’entraineras, moins tu en auras.
Il me tira par les cheveux et me baisa
- Reste ta bouche bien ouverte.
Je n’avais pas le temps de comprendre. J’étais son petit trou à pipe , comme il le disait sans ses moments d’humiliation.
Il me poussa la tête jusqu’au bord du lit. J’étais prisonnière de cet étreinte.
Il se retira.
- Ouvre ta bouche, salope, sors moi ta langue de putain.
- Tu sais que tu es ma putain ?
Je ne voulais toujours pas répondre. A la fois honteuse et fière.
- TU ne veux toujours pas me parler, ce n’est pas grave.
- Branle moi que j’éjacule dans ta bouche !
Il savait que jamais je ne voudrais.
Il tenait ma tête.
- Je t’ai dit de me branler.
Il me maintenant avec la queue de cheval. Je fermais les yeux. Craintive qu’il éjacule dans ma bouche. Jouait- il avec cette limite ? je lui avais toujours dit de ne jamais la franchir.
- C’est ça , continue bonne chienne. T’es bonne qu’à ça.
Je commençais presque à pleurer j’avais trop peur de cette situation. Je gémissais.
- j''aime te voir ainsi... suppliante.
Je pouvais toujours prononcer notre code d’alerte quand ça allait trop loin. J’étais à nouveau trop fière. Tant de question se posait en moi si je le laissais faire. Lui faire confiance ? vouloir contrôler ? Il me testait.
Je sentais son sexe se gonfler davantage. J’aimais ressentir ce moment où il ne pouvait plus rien contrôler, ou il se lâchait. De l’autre j’avais cette peur qu’il ne franchisse cette limite.
- C’est ça.. ohhhhh ohhhhhhhhhhh ohhhhhhhhhhhh petite vicieuse. Tiens moi bien les couilles.. hummmmm .. allez… s…ors cette ..Lan…gue. Apprécie mon jus.
Il tenait ma tête fermement et à ce moment là il prit sa queue en main et éjacula sur mes seins.
Le temps se figea comme une peinture laissant deviner la sutite.
Il me caressait le visage.
- Un jour tu baveras de mon sperme.. nous avons tout notre temps…
Il se recula et mis ses mains sur ses genoux.
- J’ai pour toi un réel profond respect. Sache que jamais je ne franchirais tes limites.
Il m’embrassa le front.
- Il m’aida à me relever. Il me jeta alors sur le lit et m’y attacha.
Je n’en ai pas fini avec toi. Je te laisse méditer à ta condition.
Je restais ainsi souillée à l’attendre comme une bonne chienne attend son maitre.
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Patricia n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles
fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses
et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs,
entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent
plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla.
Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules
de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.
Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins.
Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens,
mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit.
Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses
lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de
sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda
à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et
ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité
même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur
sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux.
Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait
l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était
terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse
ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire.
Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme
pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation.
De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues,
être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne
la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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l’envie était trop forte aux acheteurs de baiser cette salope et de s’occuper de ses trous encore ouverts .
au moins une dizaine ,voire quinze hommes leurs queues dressées, car natacha ne put les compter , entourèrent la femelle,
en soumission complète l’esclave s’est laissé faire de peur d’être sévèrement puni.
la douleur du fouet sur son cul lui rappela cette acceptation forcer .
de bourgeoise arrogante elle était passée en salope docile et humilier
elle commençait à comprendre qu’elle était devenu une vraie esclave sexuelle
qu’elle avait joui en public de cet état pour sa plus grande honte.
elle fut mise à genoux
« suce salope »
impressionner et effrayer par tant de membres érigés elle eut un moment d’hésitation .
malheurs à elle ,là ou on l’attendait se précipitant sur la queue comme une vorace une vraie salope qu’elle est
cette hésitation allait lui coûta cher .elle fut prisse brutalement pour les cheveux une bite lui força la bouche
avec violence pour arrive directement en gorge profonde . ce fut un choc une humiliation supplémentaire.
mais le plus bandant était son expression d’étonnement de douleur ,avec des cries étouffés des gargouillis obscènes.
la honte en public de cette introduction violente lui a été insupportable ,elle faillit vomir.
mais bien vite elle comprit qu’elle n’avait pas le choix d’aussitôt en sucer une autre puis une autre et encore, encore de passé de bite en bite
le spectacle devient vite de plus en plus hard des filets de bave se mélangeaient aux fluides des queues.
soudain comme convenu le plus gros des sexes se présenta devant ces lèvres, il était énorme et long devant la dimension natacha eut un mouvement
de recul bien vite ressaisi elle ouvrit la bouche en grand pensant uniquement sucer le gland déjà la vision de sa bouche écartelée sur celui-ci qui lui défigurait le visage
était très obscène tous regardaient le tortionnaire la saisi par les cheveux d’autres les bras l’esclave comprit ce qui allait lui arriver elle ne put rien faire
le membre pénétré sans aucun management forçant le passage de la bouche trop petite la masse de chair lui remplissant complètement la bouche
il poussa encore les yeux de la salope avaient une expression de panique ce qui excitait tous les pervers autour d’elle le membre continua
le corps de l’esclave se raidit mais elle était bien tenue des crie étouffés avec des bruits de sucions ajoutait au tableau particulièrement hard de la scène
c’était une gorge profonde très profonde car bientôt on vit la forme de son gland au niveau de son cou malheureusement l’homme ne put faire les
va et vient prévu dans sa gueule de chienne en chaleur les dents de l’esclave avec sa mâchoire écartelée au maximum risquaient de le blesser .
la future pute ne pouvait plus respirer et avait une grande envie de vomir ces réactions de désespoir se sentait sur le membre épais ce qui
excitait énormément son propriétaire qui n’en pouvant plus déchargea abondamment et fortement au fond de sa gorge . la pression du sperme était forte
c’est par le nez que celui-ci s’échappa cette scène répugnante et vulgaire réjouie l’assemblé de pervers mais l’esclave ne pensait plus qu’à sauver sa peau.
heureusement que l’homme retira sa queue ce qui permit à la pauvre salope de vomir et de cracher dans des sanglots tous les liquides qu’elle avait dans gorge.
à quatre pates avec des filets de baves qui allaient de sa bouche au sol l’esclave ressenti alors une immense humiliation et honte de ce qu’elle venait de vivre.
mais le pire pour elle était que son con que tout le monde voyait était trempée car elle avait joui de cette situation honteuse vraiment elle mérite bien son inscription
sur ses siens salope on devrait même lui tatouer définitivement son état pour tout le monde sache ce qu’elle est sa véritable nature .
comme déjà une scène rodée un des hommes se coucha par terre le dos sur le sol le membre érigé on ordonna à l’esclave de se placer à quatre pates au-dessus de lui
ce que fit aussitôt celle-ci de peur que ces malades mentaux ne lui fassent subir des dérivés extrêmes.
puis on lui demanda de s’empaler la chatte ce qu’elle fit sans problème mouillée et ouverte comme elle est .
cette chienne en chaleur était sans plus attendre elle fut aussitôt enculée et la bouche ne tarda pas à être aussi rempli.
voila elle était prise par les trois trous une triple pénétration elle n’avait jamais été prise comme ça elle criait de douleur d’humiliation et jouissances.
aussitôt que l’un se retirait un autre venait prendre sa place il y avait quinze hommes chacun voulait la prendre par la bouche la chatte et le cul
elle eu droit a toute les positions et situations
ils voulaient visiter chacun de ses orifices ils l’avait acheté aussi pour cela bientôt les trous de l’esclave débordèrent de foudres son corps son visage coulait de sperme abondant
le spectacle de cette bourge devenu objet sexuel était affligeant comment une femme pouvait devenir cette chose répugnante cette larve qui rampe pour des queues et du sperme
elle était digne de ses inscriptions sur son corps.
c’était vraiment devenu un sac à jus comme le méritait cette esclave bien salope. sa décadence était totale mais pas suffisant
il fallait maintenant la transformer en véritable pute .
pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise.
Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues.
En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante.
J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette.
Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation.
Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles.
une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier
même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer !
Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente.
Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire.
J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi.
Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse.
J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela !
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J'essayais de contrôler ma nervosité tandis que je me maquillais devant la
glace de la loge. Si j'étais une telle boule de nerfs, c'est que ma partenaire
de spectacle habituelle s'était brisé le bras la veille, et qu'une remplaçante
devait aujourd'hui prendre sa place au pied levé. Il ne restait que quinze
minutes avant le début du spectacle et la jeune fille que l'agence avait
trouvée en catastrophe n'était toujours pas arrivée. J'entendais les
hommes crier et siffler dans la salle adjacente alors que Béatrice dansait
sensuellement pour eux. La porte de la loge s'ouvrit et une grande brune
aux cheveux très courts fit son apparition.
- Charlotte ?
- Tu es la remplaçante
Elle portait un court short en jean, dévoilant habilement des jambes interminables et hâlées. Ses pieds
étaient chaussés de sandales blanches à talons et dont les sangles s'enroulaient autour de ses chevilles.
Son t-shirt noir moulait des seins modestes et hauts placés. Les lunettes de soleil remontées sur sa tête
tenaient en place ses cheveux de jais. Elle avait un visage fin et gracieux dévoré par de grands yeux verts.
- Je m'appelle Juliette.
Elle me serra la main, ses longs doigts touchèrent mes poignets. Elle me dominait d'une bonne tête, et je me
demandais aussitôt de quoi nous aurions l'air sur scène. Je profitais du moment où Charlotte se débarrassait de
tous ses vêtements pour la contempler dans la glace; elle avait un corps magnifique, des seins durs et naturels,
un pubis lisse, et des fesses musclées. Un symbole chinois était tatoué au creux de ses reins. Ses aréoles très
roses ressortiraient sous l'assaut des stroboscopes et plairaient aux clients, car les hommes n'aimaient pas en
général les aréoles trop brunes. Je l'avais souvent remarqué.
Je me raclais la gorge, et je lui tendis son costume que j'avais pris la peine de sortir du placard. Il s'agissait un
déshabillé blanc, qui s'illuminait dans la pénombre.
- Pendant que tu te maquilles, je vais t'expliquer le déroulement du spectacle.
Charlotte prit place devant la coiffeuse. Elle n'avait pas encore revêtu le costume et elle se maquillait totalement nue,
en se penchant vers le miroir. Ses seins étaient de marbre; ils restaient obstinément collés contre sa cage thoracique.
- Ça débute sous la douche.
Elle levait les yeux vers moi, et je remarquai ses pupilles d'un vert incandescent.
- Ne t'en fais pas, l'eau est juste assez chaude. Puis, on fait mine de s'embrasser, sans contact avec la langue. Toutefois,
de leur point de vue, les clients n'y voient que du feu. Lentement, on se déshabille. Quand commencent les premières
notes de "Justify my love", on doit être totalement nues. On fait semblant de se lécher et mordiller les seins, puis on glisse
sur le plancher pour simuler un soixante-neuf. Les mecs adorent voir deux femmes se gouiner !
Charlotte termina son maquillage et se leva pour mettre son costume. Elle enfila d'abord ses longues jambes bronzées
dans le déshabillé, avant de remonter les bretelles sur ses épaules.
- Pour la finale, je jouis en me cabrant sur toi. Ça va ? Tu as compris ?
Charlotte se regardait dans la glace tandis qu'elle ajustait ses seins nobles dans les bonnets souples du costume de scène.
Devant son mutisme, je commença à m'inquiéter.
- Dis-moi que ce n'est pas ta première fois ... ?
Elle sourit franchement.
- Ne t'inquiètes pas, je vais très bien me débrouiller.
Quelques minutes plus tard, nous nous tenons derrière le rideau de velours, entassées dans une douche de verre.
Charlotte serrait ma main dans la sienne au moment où le rideau se leva et que le cri des hommes commençait à
enfler. Au son de la musique, l'eau de la douche ruisselait sur nos corps, plaquant nos déshabillés sur notre peau.
En utilisant des mouvements lancinants, l'une déshabillant l'autre très lentement, en balançant les hanches contre
la paroi de verre. Les clients étaient euphoriques; ce numéro était toujours très populaire.
Avant la fin de la première chanson, nous étions nues et nous utilisions deux pains de savon pour nous frictionner,
pour caresser nos parties intimes et nous recouvrir d'une mousse que l'eau se chargeait de rincer par la suite.
Charlotte était habile pour une débutante; elle avait le sens du spectacle. Ses yeux étaient rivés aux miens, refusant
de les lâcher. Elle s'avançait, me coinçant contre la paroi et prit mes joues dans ses mains. Puis, on se prépara à
simuler notre premier baiser. Mais, surprise, elle posa sa bouche sur la mienne avec détermination. Le rouge à lèvres
rendait nos lèvres glissantes, très douces. Sa langue toucha la mienne. J'ouvris les yeux; les siens étaient assurés,
enflammés. Je décidai de ne pas lui retourner son baiser, j'avais bien spécifié que nous devions feindre tout cela.
De mon visage, ses mains glissèrent sur mes épaules. Nos seins se touchaient, nos pointes s'unissaient. L'eau coulait
sur notre corps, sur nos sexes. Puis elle se tarit et les parois de la douche s'abattit sur le sol, nous laissant toutes deux
debout au centre de la scène. Je descendis la première, en posant mes lèvres pincées sur ses mamelons. Charlotte fit
mine d'avoir du plaisir en saisissant ma tête, en la pressant contre sa poitrine. Elle me prit par les coudes, elle me
releva et, à son tour, sa bouche se referma sur mes aréoles deux fois plus larges que les siennes. Je sentis d'abord la
succion de ses lèvres sur mes pointes, puis les petits chocs électriques du plaisir. Mais que faisait-elle donc ?
Nous devions simuler, nous devions ... Mes pensées s'embrouillaient, car sa bouche se déchaînait sur mes seins, ses
mains se faufilaient entre mes cuisses. J'étais moins consciente des cris enthousiastes autour de nous, mes seins
sensibles ont toujours été mon point faible. Comme si elle connaissait parfaitement cette faille dans mon armure, elle
passa à mon autre sein, en faisant tournoyer sa langue autour de mon mamelon enflé. Même si je me laissais tomber
à genoux, sa bouche ne lâchait pas prise. Puis, je m'allongeai sur le sol et Charlotte se plaça au dessus de moi pour le
soixante-neuf prévu. Je ne savais pas si c'était Madonna qui chantait, je n'avais plus conscience de ce qui m'entourait,
tellement absorbée par mon plaisir et ma partenaire. Sa bouche recouvrait ma vulve, sa langue me pénétrait, bientôt
imitée par deux de ses doigts. Je saisis mes pieds dans ses jambes bien hautes, totalement livrée à elle.
Je faisais l'amour devant deux cents personnes; je ne les entendais plus, je ne les voyais plus, je ne faisais que ressentir
cette langue qui roulait sur mon clitoris, ses doigts qui me fouillaient tranquillement sans hâte. Je mouillais abondamment,
ma cyprine barbouillait son menton. Sa vulve était à quelques centimètres de ma bouche, mais je ne pouvais me résigner
à la lécher, je mordillais ses cuisses, en caressant ses fesses parfaites du bout des doigts, appréciant leur douceur, avant
de glisser mon index sur sa fente soyeuse et mystérieuse.
Cependant, je ne pouvais me concentrer sur ma tâche, car les manœuvres habiles de ma partenaire eurent tôt fait de
me déstabiliser. La jouissance grondait en moi, merveilleuse, euphorique, diffuse et inconcevable. Je poussai sur mes
talons, tellement fort que mes fesses se décolèrent du sol mouillé. Ma vision s'embrouilla de larmes. Je saisis Charlotte à
bras-le-corps, en pressant ma vulve contre sa bouche, savourant la pénétration profonde de sa langue; je vibrai, je
tremblai, je m'ébrouai violemment. Puis, peu à peu, les sons et les images revinrent. L'assistance se leva et nous acclama
bruyamment. Je me levai, les jambes flageolantes, le cœur trépidant. Je tournai mon visage vers Charlotte, qui me sourit
et me prit par la main. Le tonnerre d'applaudissement ne sembla pas vouloir s'arrêter. Le rideau s'abattit devant nous.
Le Directeur de l'établissement, se précipita vers nous avec deux peignoirs, nous en tendant un à chacune. Je me drapai
dans le mien. L'entrejambe liquéfié, le simple fait de marcher provoquait un frottement très agréable mais dérangeant.
- "Juliette, C'était le meilleur spectacle que j'ai vu ... Vous étiez si enthousiastes, ça semblait tellement réel.
- Je suis heureuse que ça vous ait plus.
- Peut-elle revenir demain ?
- Je vais voir avec elle. "
En réalité, je tenais à ce qu'elle revienne, non seulement ici sur scène, mais surtout dans mon lit.
Jusqu'à ce jour, l'idée de faire véritablement l'amour à une femme ne m'avait même jamais effleuré
l'esprit. Tout ce que je désirais maintenant, c'était de dévorer Charlotte à mon tour, de goûter au sexe
féminin sans faire semblant. Je voulais qu'elle m'initie à l'amour lesbien. Toute étourdie et haletante
de bonheur, qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à son parfum intime âpre et fin.
Serait-elle hautaine et inlassable dans ses exigences ? Était-ce la soumission qui me tentait ?
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise.
Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues.
En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante.
J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette.
Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation.
Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles.
une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier
même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer !
Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente.
Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire.
J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi.
Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse.
J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela !
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Comme je l'ai exposé précédemment, la distance est à la fois une faiblesse et un atout dans la relation BDSM. Mais l'enjeu majeur pour la faire durer est de combattre le doute. Il y a de nombreux facteurs qui viennent entamer le lien qui unit Maître et soumise et suivant l'importance qu'on veut bien leur donner, ils peuvent parfois en venir à bout. Il convient de savoir les reconnaître et y faire face ensemble. Car une relation BDSM à distance, ce n'est pas deux individus éloignés l'un de l'autre, c'est la somme des raisons qui poussent ces deux personnes à se faire mutuellement confiance.
1 - D'où vient le doute et à quoi ça sert ?
Avant tout, il convient de s'interroger sur l'origine du doute en lui-même. Qu'est-ce qui pousse deux personnes parfaitement heureuses dans leur relation à s'interroger sur le bien fondé de celle-ci ?
Le doute est humain, il vient de notre capacité à nous remettre en cause en permanence. Contrairement à la grande question sur la vie, l'univers et le reste dont on connaît la réponse : 42 ; on se pose toujours un nombre incommensurable de questions existentielles, auxquelles des générations de philosophes n'ont pas encore trouvé de réponse simple. Le doute est l'ennemi de la D/s à distance quand on s'interroge sur le bien fondé de sa propre condition et que l'on se demande si l'on doit poursuivre dans cette voie. Après tout, pourquoi obéir à quelqu'un qui ne peut pas me toucher, dont je suis séparée par un écran (et plusieurs kilomètres) ? Pourquoi ne pas l'abandonner et en trouver un plus près qui pourra mettre de vraies fessées ?
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la réponse c'est le doute. Une soumise rechigne à quitter son Maître parce qu'elle sait ce qu'elle a avec son Maître mais ignore ce qu'elle trouvera ailleurs. Et si mon Maître était parfait pour moi, malgré la distance ? Et oui, le doute et la distance ont un point commun, ils sont à double tranchant. Autant ils peuvent facilement couper les liens qui unissent une soumise à son Maître, autant ils peuvent se planter dans l'âme et la chair pour y laisser des marques indélébiles. Car le doute, c'est aussi ce qui permet à la soumise de s'améliorer : Suis-je dans la bonne position ? Ai-je bien compris les ordres ? Mon Maître sera-t-il satisfait ? Autant d'interrogations qui font progresser la soumise. Pour elle, petit à petit, le doute va se lever et se muer en certitudes.
Celle d'avoir bien choisi son Maître, celle de vouloir le servir à tout prix. Et pour conjurer ses doutes, la soumise peut toujours se reposer sur son Maître, sur sa force, sa volonté... et son absence apparente de doute.
2 - Les pressions extérieures
Le doute est donc un questionnement personnel permanent, inhérent à chacun de nous. Si ses racines sont profondément ancrées en nous, des facteurs extérieurs peuvent favoriser sa croissance tels l'engrais ou une pluie printanière. Il s'agît essentiellement de pressions sociales, familiales ou amicales.
Trop peu d'entre nous ont la chance d'avoir des parents adeptes du cuir et du fouet et d'avoir reçu de leur part, en cadeau d'anniversaire, des menottes qui ne soient pas accompagnées d'un pistolet en plastique et de son étoile de shérif. Pour l'immense majorité, la première pression est familiale. Mais que vont penser mes parents ou enfants s'ils me surprennent lors d'une séance ? Et comment leur expliquer que j'aime fouetter ma partenaire ? Me faire attacher ? Porter une cage dont quelqu'un d'autre a la clé ?
Par contre, pour vous faire douter, rien de tel que le regard déçu de papa/maman. Vous savez, ce regard qui incarne tout à la fois tristesse, honte, incompréhension et culpabilité. Ce regard qui s'accompagne de cette petite phrase assassine : "non, pas mon enfant".
Pour les plupart des gens "vanille", nous sommes des déviants. Nous faisons fausse route et nous avons tort. Ils en sont tellement persuadés qu'entre leurs promesses d'opprobre et de colère divine, on pourrait succomber à leurs arguments. Et pourtant, lorsque l'on y réfléchit et que l'on discute avec ses parents et amis, ils finissent toujours par poser la même et invariable question : "mais est-ce que ça te rend heureux ?" Et la réponse est toute trouvée : oui ! Malgré toutes les pressions extérieures, l'expression de notre moi profond nous permet de nous libérer et par conséquent de goûter un bonheur qui échappe au commun des mortels.
3 - Le doute comme instrument de soumission
Comme je l'ai écrit précédemment, le doute est souvent un frein à la relation D/s à distance. Néanmoins, pour qui sait l'utiliser, il peut devenir un liant plus solide que des fondations en béton armé. Pour cela, il faut que le doute soit unilatéral. Comme je l'ai suggéré précédemment, le Dominant ne doit jamais "montrer" qu'il doute à sa soumise. Le Maître n'a pas le droit à la faiblesse. C'est de Sa solidité que vient l'envie de la soumise de se jeter à ses pieds. C'est parce qu'il est fort, qu'il impressionne. Et par opposition, c'est parce que la soumise a besoin de se sentir chancelante sous le regard de son Maître. Parce qu'Il la maintient sur le qui-vive, par sa rigueur, par ses corrections, par ses punitions. Toutes les soumises se posent toujours la même question : "Maître sera-t-il satisfait ?" Et comme dans toute question, il y a un doute. Et c'est justement ça qui pousse la soumise à se dépasser, à en faire toujours plus pour son Maître.
Un quelconque manque d'attention du Maître, fatigué par une longue journée de travail par exemple, et la soumise remet tout en question. "Il ne m'a pas corrigée ? Il ne me prête plus attention ? Il ne m'aime plus ? Il va me remplacer ?..." Et les questions peuvent ainsi s'enchaîner et le doute va faire le beau jeu d'un Maître qui a juste été distrait pendant un court instant. Le doute, tant craint, devient ainsi l'un des moyens de soumettre les plus efficaces. Que ce soit de façon volontaire ou non.
Et justement, c'est tout un art de le distiller et de l'infuser dans de subtils sous-entendus. On pourrait même présenter cela comme de la manipulation. Mais n'est-ce pas justement la dimension psychologique, la quintessence de la relation D/S ?
Bien que tout à fait naturel et faisant partie intégrante du mode de pensée de tout un chacun, le doute est omniprésent dans la relation D/s à distance comme dans nos relations sociales. S'il peut être à l'origine d'un malaise vis-à-vis de nos familles et amis, il peut également être la source et le ciment d'une relation D/s épanouie. Car une relation se construit à deux (ou plusieurs) et l'on ne peut jamais avoir la même certitude vis-à-vis de l'autre que par rapport à soi. Et ensemble, soudés par un lien de D/s, le doute fait partie des ingrédients nécessaires pour maintenir une relation durable.
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Samedi dernier, j'ai eu ma toute première expérience avec un soumis !
Et oui, depuis le temps, je n'avais jamais eu que des soumises ou des couples avec un homme spectateur. N'étant ni homo, ni bi, j'ai tout de même succombé aux avances d'un soumis pas tout jeune.
Depuis le temps que j'en parle, ma soumise s'est faite à l'idée qu'un larbin fasse partie des meubles (et les nettoie, en plus). Car si elle n'aime pas particulièrement les tâches ménagères, moi je les exècre, abhorre et déteste. Rien que ça !
J'ai donc trouvé un soumis sur un site concurrent, où il avait publié une fort belle annonce, particulièrement bien rédigée et dont le pseudo a attiré mon attention. Très axée sur le service et la vénération, son annonce a fait mouche. J'ai donc commencé à échanger quelques messages avec ce vieux soumis. Son français impeccable et la révérence dont il faisait preuve dans ses écrits étaient autant de points positifs qui allaient orienter mon choix de le rencontrer.
En effet, après quelques messages échangés sur quelques jours, je me suis laissé aller et me suis décidé à lui donner sa chance. Et en bon dominant que je suis, je me suis imposé sous court préavis ! Histoire de tester sa volonté et sa servilité.
Je lui fixe un lieu de rendez-vous (pas trop loin de chez moi) et lui dis de m'appeler quand il arrivera. Mon intention étant de monter dans sa voiture et d'aller directement chez lui. Pour une première rencontre, on ne fait pas mieux dans la catégorie "violer l'intimité" : la voiture est un espace des plus personnels qui en dit long sur le degré de maniaquerie du conducteur et s'inviter au pied levé chez les gens, c'est un peu pareil mais en pire.
Première déception : le soumis n'a plus de voiture. Moi qui voulais l'utiliser comme chauffeur, c'est raté.
Bon, me dis-je, c'est pas grave, je vais me rendre chez lui et on verra bien. Il me désigne donc l'arrêt de bus le plus proche de chez lui et je profite de mon abonnement, payé à moitié par le boulot, pour me rendre sur les lieux.
Mon vieux m'attend à l'heure dite et à l'endroit convenu et m'a sagement envoyé la photo des horaires pour le retour. Je disposais donc de l'après-midi pour jauger ce soumis.
À première vue, il était vieux ! Je le savais mais bon, je ne me l'imaginais pas à ce point. Tout de suite quelques détails ont attiré mon attention : son t-shirt était troué à plusieurs endroits. Pour une première rencontre, il ne s'était pas mis sur son 31. Nous allons donc en direction de chez lui, en échangeant très peu. Tout le long du trajet, il m'appelle "Maître" et se comporte avec une déférence exemplaire. Nous arrivons chez lui et je rentre dans son petit appartement.
Bien évidemment, c'est vieillot mais bourré d'étagères pleines de livres. Se côtoient Zola, Hugo, Conan Doyle et tant d'autres. Ce vieux soumis est un érudit, comme me l'avait déjà révélé son pseudo.
À peine le temps d'admirer la bibliothèque, que mon vieux est à genoux, prosterné à mes pieds qu'il commence à embrasser. Enfin mes espadrilles pour être plus précis. Pour couper court aux mauvais esprits : oui, les espadrilles c'est là classe dans le sud !
Ayant très rapidement compris que j'avais devant moi un fétichiste des pieds, je sors mes pieds de mes espadrilles et mon vieux s'épand en remerciements. En ayant marre d'être debout, je m'installe dans le canapé et pose mes pieds sur un tabouret. J'ordonne "Lèche !" et il s'exécute. Pour ceux qui n'ont jamais eu l'occasion de se faire nettoyer les pieds à coups de langue, sachez que c'est très plaisant, ça chatouille agréablement et vu le temps qu'il a passé à les lécher, je crois qu'ils n'ont jamais été aussi propres de toute ma vie !
Bon, je ne suis pas venu là pour cueillir du muguet, je décide de mettre mon soumis à l'épreuve. Je n'ai jamais eu de soumis mâle, je me dis que c'est l'occasion d'essayer des choses plus... sexuelles. Surtout que de sentir sa langue sur mes pieds m'a filé une demi-molle à la limite de l'érection : un homme parvient presque à me faire bander ? Je lui ordonne donc de me sucer.
Et bien, ce fut une déception monumentale ! Rien ! Il a bien réussi à me faire durcir le sexe mais c'est tout. Impossible de jouir. Je lui fais mettre des pinces à linge sur ses tétons, pour que ses grimaces m'excitent : toujours rien. Je remarque juste qu'il manque d'entrainement vu qu'il est incapable de supporter une pince sur chaque téton. Plan B : je lui ordonne de s'appliquer et lui donne un délai pour me faire jouir. Et ben, pas mieux. Je dois être purement et strictement hétérosexuel ?
Devant ce constat d'échec cuisant, je ne pouvais pas rester impassible. J'ordonne à mon soumis d'aller me chercher une ceinture. Je lui fais retirer pantalon et slip et le mets à plat ventre devant moi. Je marche sur sa main droite pour l'immobiliser et lui assène un bon coup de ceinture qui marque immédiatement ses fesses ramollies. Il me remercie de le remettre à sa place et je continue de lui mettre des coups de plus en plus forts jusqu'à ce qu'il me supplie de frapper moins fort. Notez bien : moins fort, pas d'arrêter ! Je continue donc à lui en mettre une paire, juste parce que je suis cruel quand je m'y mets (et surtout parce que ça se voit qu'il adore souffrir). Avant d'endommager irrémédiablement son postérieur, je le fais se relever et se rhabiller. Ensuite, je lui donne l'ordre de me rhabiller. Je vérifie que tout va bien, qu'il n'a pas trop mal, le récompense en le laissant lécher mes pieds une dernière fois et décide que c'est la fin de l'aventure pour aujourd'hui. Il me raccompagne bien sagement jusqu'à l'arrêt de bus, en ne tarissant pas d'éloge sur mon maniement de la ceinture et de mon attitude en général et ma virilité. Tout le long du chemin, il s'excuse de ne pas avoir réussi à me faire plaisir, me remercie pour l'avoir puni sévèrement et me supplie de l'accepter comme esclave.
Au final, cette journée n'aura pas été si mauvaise que ça. Mais malheureusement, je n'aurais pas trouvé l'esclave de mes rêves. Mais bon, dans la vie, il ne faut pas désespérer. Je finirais bien par le trouver, mon larbin parfait.
En mon âme et conscience, j'avais décidé de laisser une chance à mon vieux lécheur. J'était prêt à le prendre à mon service comme larbin. Et oui, même s'il n'avait pas de voiture, même s'il ne me fait pas jouir et même s'il aurait fallu adapter mes horaires pour le dominer en fonction des transports en commun. Mais voilà, si je ne suis pas homo, mon vieux est misogyne et il m'annonce par mail qu'il ne supportera pas l'arrivée de ma soumise. Du coup, je pense que je ne vais pas le prendre à mon service. Par contre, sa servilité et sa soumission m'ont profondément touchés. Et comme il est sans Maître depuis 3 ans, son besoin est palpable. Du coup, j'ai décidé d'écrire cet article pour lui faire un peu de pub et donner envie à un Toulonnais de le prendre à service. C'est un esclave idéal pour un étudiant : il vous fera économiser des heures de ménage et a besoin de faire des offrandes à son Maître (faire les courses, etc.)
Avis aux Toulonnais célibataires ou homosexuels qui auraient besoin d'un esclave : n'hésitez pas à me contacter pour que je vous mette en relation.
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait intelligemment, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. C’est une partie de la mentalité du mâle, qui implique que les femelles sont supposées servir les mâles et avoir des gestes sexuels de soumission pour leur plaisir. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. Les hommes, par nature, respectent le pouvoir, et leur évolution les a programmés pour se soumettre à plus puissant qu’eux. Malheureusement, elle les a aussi programmés à tenter de dominer ou d’exploiter plus faible qu'eux aussi. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, heureusement certains homme ont l'intelligence naturelle de savoir d'instinct que les Femmes sont très nettement Supérieurs aux hommes et cela tout à fait naturellement. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante, à celle qui lui ordonne cela et qui lui imposera beaucoup d'autres choses. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant lui avoir pénétré l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette d’amant. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope personnelle. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de vraies salopes. Alan est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachai les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui correctement. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles à certaines punitions. Une domina peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui. Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter et le torturer légèrement. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour son plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Puis je punis brièvement et légèrement ses testicules en les serrant, les secouant. En faisant ainsi, je lui dis que je lui administrerai une punition sévère aux testicules s'il n’obéit pas parfaitement, et je vérifie qu’il comprend bien !. Quand Alan arrive, je le salue à la porte et lui permet même de me donner un baiser bref sur la joue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme « Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! ». Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se présenter et de ce mettre debout devant mon amant. Alan est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma salope d’amant à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon amant de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas et dis des mots humiliants sans merci alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actif !
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