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Blotti sous la tiédeur des nymphes repliées
Comme un pistil de chair dans un lys douloureux
Le Clitoris, corail vivant, cœur ténébreux,
Frémit au souvenir des bouches oubliées.
Toute la Femme vibre et se concentre en lui
C’est la source du rut sous les doigts de la vierge
C’est le pôle éternel où le désir converge
Le paradis du spasme et le Cœur de la Nuit.
Ce qu’il murmure aux flancs, toutes les chairs l’entendent
À ses moindres frissons les mamelles se tendent
Et ses battements sourds mettent le corps en feu.
Ô Clitoris, rubis mystérieux qui bouges
Luisant comme un bijou sur le torse d’un dieu
Dresse-toi, noir de sang, devant les bouches rouges !
Comme un pistil de chair dans un lys douloureux
Le Clitoris, corail vivant, cœur ténébreux,
Frémit au souvenir des bouches oubliées.
Toute la Femme vibre et se concentre en lui
C’est la source du rut sous les doigts de la vierge
C’est le pôle éternel où le désir converge
Le paradis du spasme et le Cœur de la Nuit.
Ce qu’il murmure aux flancs, toutes les chairs l’entendent
À ses moindres frissons les mamelles se tendent
Et ses battements sourds mettent le corps en feu.
Ô Clitoris, rubis mystérieux qui bouges
Luisant comme un bijou sur le torse d’un dieu
Dresse-toi, noir de sang, devant les bouches rouges !
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Revenez donc Ingrate !<br />Les Chats Vous attendent comme des chiens , c'est-à-dire en race suppliante, caressante, sans fiel, sans souvenir des coups qu’ils ont reçus ; prêts à hurler de joie en Vous voyant. Je ne garantis point pourtant les griffes de la Chatte, Elle pourrait bien se déganter en Vous embrassant.
A vos mots je ne me sens plus de joie<br /> Et la plume glisse entre mes doigts, <br />Je risque fort de la laisser filer,<br /> Avouant de coupables pensées <br />Et Votre sage vertu en être entachée. <br />Responsable, mais innocente,<br /> À l’insu de Votre plein gré … <br />Que ces mots aient à vos innocentes oreilles,<br /> La douceur et la saveur du miel <br />Qu’y dépose la plus dévouée de vos abeilles <br />Puisque je ne puis les griffonner à Vos pieds . <br />Ce « don » qu’avec indulgence Vous évoquez <br />Ne serait qu’une vaine, voire vilaine manie <br />Si Vous n’y apportiez quelque consistance <br />En lui offrant la substance, dont l’abeille est friande