Méridienne d'un soir
par le 24/07/24
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Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, elle gémit. Juliette passait de la droite à la gauche et reprenait. Elle se débattait de toutes ses forces, elle crut alors que les sangles la déchireraient. Elle ne voulait pas supplier, surtout ne pas demander grâce mais sa Maîtresse entendait l'amener à merci. Quand on la libéra enfin de la croix, aux premières heures de la nuit, chancelante et à demi endormie, Charlotte glissant dans les bras de Juliette, eut juste le temps, avant que tout eût tourné autour d'elle, et que toute émotion l'eût quittée, d'entendre la voix cruelle de Juliette, briser le silence régnant dans l'assemblée des couples masqués venus assister à son dressage, prononcer froidement la sentence:

 

- Qu'on l'harnache fermement et qu'on l'élargisse. Quand elle sera prête. Elle sera à vous. 

 

Elle sentit qu'on la tirait en avant, et marcha. Le contact de ses pieds nus qui se glaçaient sur le sol de pierre finit par la réveiller. La maîtresse des lieux, entièrement vêtue de cuir, traversa la salle en la tirant par une laisse puis monta sur une estrade surmontée d’un majestueux fauteuil. Là, elle la fit s’asseoir à ses pieds sur le sol, s’assit à son tour et fit signe à l’assemblée de reprendre les festivités. Il devait bien avoir une vingtaine d’invités, habillés en tenue de soirée, regroupés autour d'un grand lit en fer forgé noir, érigé en autel au centre de la salle.

 

La réception au cours de laquelle la jeune femme serait offerte serait parfaite. Il lui parut naturel de la préparer ainsi dans sa condition d'esclave marquée et annelée afin qu'elle fut prête. La maîtresse des lieux prit grand soin, rituellement de lui renverser les jambes pour qu'elle pût la voir en détail. Sur son ventre nu, le monogramme affichait son appartenance de soumission. Intégralement rasée, lisse, offerte, ouverte à ses désirs ou à ceux des inconnus à qui elle la destinait, ses grandes lèvres portaient deux anneaux d'or.

 

Ainsi préparée, elle fut ravalée à l'état d'un simple objet sexuel, docile et muet. Une jeune soumise nue, à la tête rasée, déploya à ses pieds un harnais en cuir noir, faisant luire l'acier des anneaux qui maintenaient les sangles entre elles. Elle se glissa derrière elle et entoura le buste des bras pour le comprimer sur la poitrine de Charlotte. Elle cercla chaque sein par les plus gros anneaux. Ensuite, elle fixa une première boucle sur la nuque, vérifia le centrage des seins dans leur bonnet métallique et attacha fermement la seconde sur les reins.

 

Il ne lui resta plus qu'à se baisser, à passer les doigts entre ses cuisses et à saisir la dernière sangle qui pendait à l'avant. Elle la fit alors venir vers elle pour la remonter entre les fesses jusqu’à la boucle fixée sur l’anneau dorsal. La sangle se plaça ainsi d'elle-même dans l'axe du sexe, et le cuir, écartant les chairs, creusa un sillon sombre entre les grandes lèvres. Enfin, on glissa profondément entre ses reins un large rosebud anal afin d'élargir son anus.

 

Jamais son sexe ne fut autant mis en valeur. La sangle verticale, qui écartait douloureusement ses chairs intimes, accentuait la ligne de ses grandes lèvres, de sorte que l’ensemble de la vulve semblait avoir doublé de volume tant elle était comprimée. Elle demeura interdite devant l’image que lui renvoyait le miroir. Jamais elle n'accueillit avec tant de joie, les bracelets qui joignaient ses poignets et le collier trop serré à son cou, annonçant son supplice.

 

Sans qu'on l'interrogeât, on entendit des gémissements autour de l'autel, où maintenant des corps s'entremêlaient. Une grande femme brune, aux seins fermes, à peine dissimulés sous un chemisier transparent, chaussée d'escarpins Louboutin, aux jambes interminables, galbées dans des bas à couture noirs, s'offrait à trois hommes qui la prenaient, allant et venant, dans les trois voies qui leur étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche. Plus loin, la soumise à la tête rasée, les cuisses renversées, gémissait sous les caresses d'une jeune fille, raidie sous sa langue.

 

Il semblait parfaitement évident qu'elle ne serait pas longue à s'abandonner. Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante blonde aux cheveux courts, commençait à se déshabiller. Sa jupe flottait au gré de ses mouvements. Par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine. Elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes au regard de l’assistance. Elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans un balancement lascif. Un homme s'enhardissant lui ôta. Le soutien-gorge descendu fit apparaître l'aréoles de ses seins.

 

La luxure la transfigurait. Elle s’exhibait sans retenue. Deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient déjà fièrement dressés. Il les caressa et les malaxa sans douceur. Le second attoucha ses fesses. Elle était maintenant nue. De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée. Les doigts fouillèrent son vagin et son anus. Elle demanda à être prise. Un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença des mouvements de va-et-vient. Un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge.

 

Commençait ainsi une ronde infernale et forcenée. Un cercle se forma bientôt autour de l'alcôve, avec autant de verges tendues que de participants, n’attendant plus que sa langue et sa bouche pour les enjôler. Elle voletait de l’un à l’autre, au gré de leur ardeur. Le premier à se libérer maintint fortement sa tête, jusqu’à que la source ne fut tarie. Elle avala la précieuse semence qui inondait sa gorge. L’un après l’autre se délivrèrent. Le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton. L'un des invités se coucha sur le dos et la fit l’allonger sur lui, il la bloqua aux épaules et la pénétra en la forçant à se cambrer.

 

Sa bouche refermée sur des sexes anonymes, les pointes de ses seins que des mains constamment malmenaient. Pendant qu’il la prenait, un autre s’intéressa à son orifice le plus étroit et y introduisit alors un doigt. Approchant sa virilité de ses reins offerts, il la sodomisa brutalement avant de se retirer libéré. Un autre, stimulé par la facilité à laquelle elle se prêtait à cette double pénétration, prit rapidement la place et éjacula en longues saccades. Ils furent trois à choisir cette voie exiguë, à mêler leur foutre dans les entrailles de la jeune femme masquée qui n'était plus qu'un réceptacle béant.

 

Du plafond pendaient des cordes. Le seul objet qui fût au plafond, à la même hauteur que la croix de saint André était un gros anneau brillant, où passait une longue chaîne d'acier. On attacha Charlotte par ses poignets, debout les bras écartés, face à l'assemblée, offrant son corps nu, au reflet d'or des flambeaux qui ornaient chaque angle de la cave.

 

Des murmures emplissaient l'espace vouté sans qu'elle fut capable de dire à combien de personnes ils appartenaient. Le silence et les chaînes semblaient la délivrer d'elle-même. Juliette s'approcha, contempla les deux seins arrogants qui s'offraient à elle et étonnamment avec des gestes plein de délicatesse, dégrafa le harnais, après avoir passé la main sur le ventre, s'assura que son anus était forcé par l'épais rosebud. Un peu de rougeur monta au visage de la jeune femme, tandis qu'une douce chaleur envahissait son intimité. Les yeux de Charlotte regardaient la croix, mais ne virent pas la jeune esclave qui retirait un carré du tapis, libérant un miroir dans lequel étaient creusées, à une distance convenable, de chaque coté, deux encoches en forme de pied.

 

Elle était n'importe qui, elle était n'importe quoi. La maîtresse des lieux attira Charlotte au dessus du large miroir que rien n'illuminait. Alors du plafond descendirent les deux cordes sur lesquelles étaient reliées deux bracelets en cuir. Béatrice en fixa un à chaque poignet de Charlotte et les cordes s'élevèrent, entraînant les mains de la jeune femme anxieuse. Ses bras formaient un angle ouvert au dessus de ses épaules. Les longes s'arrêtèrent de monter, une lueur douce et dorée s'éleva du miroir, illuminant les cuisses de la soumise. Ainsi exhibée, face à l'assistance, l'ordre pour elle, était de se montrer obéissante tout au long de la soirée.

 

La jeune femme se sentait en danger constant, tant la curiosité des regards la dévorait. Juliette examina longuement les seins insolents, elle posa ses mains sur les globes fermes et de douces caresses les parcoururent. Charlotte ferma les yeux, se laissant griser par le reflet du miroir de l'intimité qu'elle offrait impudiquement aux invités. Alors la maîtresse des lieux prit un martinet au poil soyeux et, doucement, effleura un mamelon d'une lente caresse sur la pointe extrême; une sensation délicieuse envahit le corps de Charlotte, parcouru de frissons.

 

Elle n'avait pas le droit de se laisser aller au plaisir alors elle refrénait son désir. Cuisses serrées, Charlotte tordait doucement son bas-ventre que gagnait la jouissance, et Juliette suivait, penchée sur le miroir, la danse voluptueuse de la croupe soumise. De profonds soupirs s'échappaient de ses lèvres. Elle comprit que loin de vouloir l'épargner, on échauffait son corps pour la battre ensuite. Elle regarda son bourreau, mais déjà le visage s'était revêtu d'un masque impassible et les lanières en cuir effleuraient ses seins frémissants. On éloigna ses chevilles pour que ses pieds se placent dans les encoches du miroir au sol. Ainsi écartelée, Charlotte se tint aux cordes tendues.

 

Alors sous l'excitation, elle ne se posséda plus. Ses cuisses frémirent, son ventre se tendit, se recula et les contractions nerveuses, ouvrirent sa vulve au dessus du miroir. Charlotte râla de jouissance; dans un sursaut, elle referma ses cuisses, mais Juliette la saisit et la remit dans les encoches. Elle s'abandonna et ne refusa pas le spasme qui montait en elle. On emprisonna fermement ses chevilles dans deux bracelets scellés au sol pour tenir ses jambes immobiles.

 

Ainsi garottée, elle resssemblait à une bête que l'on allait abattre. De nouveau, Juliette levait le bras et une méthodique flagellation commença. Les coups étaient dosés, mesurés pour ne pas blesser Charlotte qui, les yeux clos, sentait monter en elle une chaleur intense. Sa poitrine était secouée par des coups de plus en plus secs, comme une caresse de feu qui irradiait sa chair. Les seins devenaient de plus en plus marqués.

 

Des images fulgurantes de sacrifice déferlaient en elle. Soudain, Juliette frappa de bas en haut sous les globes, qui musclés et durs, frémirent à peine et parfois, sous un coup de coté, ils se choquaient entre eux. Puis on la cingla en tout sens de façon à l'entendre hurler et au plus vite. L'orgueil qu'elle mettait à résister ne dura pas longtemps. On l'entendit même supplier qu'on la détachât, qu'on arrêtât juste un seul instant. C'était comme une caresse de feu qui irradiait sa chair, la faisait frissonner tandis que des stries rougeâtres apparaissaient.

 

Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières qu'elle tournoyait presque sur elle même, les bracelets enfermant ses chevilles devenant lâches; tout comme un pantin, elle s'agitait dans ses entraves. Son ventre se tendait, son sexe contorsionné s'ouvrait, se fermait. Son reflet dans le miroir attirait le regard lubrique des invités. Alors la maîtresse des lieux la frappa encore plus fort et dès cet instant, les coups ne s'égarèrent plus, sinon délibérément.

 

Elle eut vite fait de perdre le compte du temps. Il n'y avait plus ni jour ni nuit. Une chaleur intense inonda la poitrine de Charlotte comme une boule de feu. Ses seins, plus violemment heurtés, se choquèrent dans un bruit mat, les lanières s'entouraient autour d'eux, giflaient la chair, écrasaient les pointes encinglant les aréoles. La maîtresse des lieux, après trois derniers coups, cessa de la flageller pour écarter ses cuisses. Elle plongea ses doigts humides dans l'intimité moite, constatant non sans fierté, que la soumise avait réellement joui. Les portant à sa bouche après, elle les lècha longtemps entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine.

 

Les invités l'observaient attentivement et commentaient chaque fois que la main qui la tenait, la fouillait, revenait, de plus en plus profondément, à la fois dans son ventre et dans ses reins qui s'enflammèrent. Le silence tomba. Seuls s'élevaient de l'assemblée, les soupirs profonds de la suppliciée, les gémissements des femmes masquées se donnant aux hommes. On la détacha pour la conduire sur le lit en fer forgé qui trônait en autel au centre de la salle. 

 

Elle avait assez joui. Il était temps de l'offrir à tous. La maîtresse des lieux fit alors venir un esclave mâle endurant et bien bâti, dont elle s'était assurée par une longue privation à toute satisfaction, de sa capacité à se raidir, avant d'être forcé à répandre son foutre là où elle exigerait qu'il le fut, avec la préférence qu'elle lui connaissait à toujours choisir l'orifice le plus étroit, commun aux hommes. Elle lui ordonna de rejoindre Charlotte. Elle trouva un coussin, y appuyât ses mains les bras tendus, les reins offerts.

 

Curieusement, elle semblait vouloir se surpasser dans la débauche. Et bientôt, avec une angoisse folle, elle sentit derrière elle, un autre homme qui quitta l'assemblée pour rejoindre l'estrade. En quelques secondes, il lui lia les mains derrière le dos. Nue et écartelée, son sexe et ses intimités béants s'offraient à la vue des deux autres dont elle sentait le souffle chaud frôler son dos. Elle voulut crier, mais la peur la paralysait. L'invité lui malaxait les seins, pressant les pointes avec force. Des doigts s'infiltrèrent entre ses fesses, forcèrent l'étroit pertuis de ses entrailles. Le sexe de l'esclave, nu et harnaché, était encagé dans une poche faite de lanières cloutées.

 

Il lui était interdit de regarder le visage des hommes. Un trouble mélangé de honte, de volupté, de rébellion et d'impuissance à la fois la saisit. Cherchant le regard de l'invité, mais celui-ci, les yeux fixés sur l'anus, ne relevait pas les paupières jusqu'au visage de Charlotte. Il força brusquement ses reins avec son doigt en la pénétrant avec violence. Surprise par la douleur, elle tenta d'échapper à l'index qui continuait à vouloir s'insinuer en elle. Elle se cambra de toutes ses forces; le doigt se retira aussi brutalement qu'il était entré et vint se promener sur ses lèvres, qui furent écartées et ouvertes pour que sa bouche fût imprégnée du goût âcre de sa cavité.

 

Le supplice faisait place à la pire des humiliations. Obéissant à la maîtresse des lieux, l'esclave mâle ôta le rosebud anal qui dilatait déjà l'anneau de chair de Charlotte pour le substituer par de plus épais afin de l'élargir davantage. Un sourd gémissement marqua l'écartèlement de l'étroite voie, souillée par un braquement menaçant et oblong. Fesses tendues, bouche tordue par la jouissance impérieuse, elle râlait doucement, goûtant avec ferveur le cruel supplice raffiné. Mais le gode, plus gros encore, distendit la chair, tandis que la main de l'homme appuyait à peine pour faire pénétrer le phallus en elle. Et un autre prit la place dans la gaine gluante et chaude, distendue mais docile et souple; l'anus plissé disparaissait derrière le renflement émergeant au milieu de l'olisbos.

 

Mais le gode saillant était énorme et noueux, zébré de veines saillantes. L'homme poussa avec force, avec un intense bruitde succion, tandis que les sphincters s'ouvraient et se fermaient aspirant l'olisbos sous les regards lubriques des invités. Sa croupe s'infléchit, l'anus résista un peu tandis que Charlotte sentait une souffrance sourde monter dans ses reins, puis la voie céda; il lui sembla que ses muscles se déchiraient, que son cul s'emplissait totalement. La bouche ouverte, un râle s'arrêta au fond de sa gorge, les yeux hagards, elle demeura tendue, haletante, puis il y eut un cri, suivi d'un sursaut de mouvements convulsifs, le gode énorme fut aspiré. Elle s'affaissa sur le coté, les doigts crispés sur le coussin.

 

Pour la maîtresse des lieux, le jeu avait assez duré. Elle ordonna à l'esclave mâle d'ôter la cage de cuir qui emprisonnait son sexe. Libéré, le membre monstrueux se tendit aussitôt. Non sans impatience, il lâcha le factice. Sur un signe, tous les invités se levèrent en silence et vinrent en demi-cercle, autour du lit érigé en autel, pour contempler le spectacle. Le gland affleura, puis le membre tout entier s'enfonça, et l'étalon sodomisa Charlotte. Un bruissement gras s'éleva, silencieuse, elle se laissa enculer et nul ne songea dans l'assemblée à faire cesser son sacrifice. Il se retint une dizaine de minutes avant de se libérer en longues saccades dans les entrailles de la suppliciée. L'homme qui les avait rejoint ne tarda pas à le remplacer. Il la plaqua sur le dos et écarta ses reins afin qu'un autre puisse s'introduire simultanément en elle, glissant dans le sperme.

 

Ce fut une dizaine d'hommes qui se succédèrent, remontant et frappant au fond de la gaine de ses reins. Pour Charlotte, la douleur ressentie lors de la double pénétration se transforma en jouissance. Le corps marqué par de longues estafilades, elle avait gémi sous les coups de Clothilde comme jamais sa Maîtresse ne l'avait fait gémir, crié sous le choc des membres des invités, comme jamais elle avait crié. Elle devait leur être soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel elle accueillait Juliette. Elle était là dans la soirée pour servir de réceptacle à la semence des hommes, qu'elle devait recevoir par tous les orifices prévus par la nature, sans bien entendu jamais protester ni même trahir un quelconque sentiment. Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans sa chambre et on l’étendit sur un lit. Souillée de sperme et de sueur, le corps labouré par le fouet, on lui donna un bain, et elle s'endormit.

 

Bonne lecture à toutes et à tous.

Méridienne d'un soir.

Thèmes: littérature
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NoMasterNoGod
bonsoir, le texte est très bien, c'est bien écrit, les descriptions très imagées .... mais pourrait on arrêter définitivement avec ce terme de "Sado-Masochisme".... ? ça ne veut rien dire et en tout cas rien de sensé. J'irais même jusqu'à dire que ça n'existe pas, que ça ne peut pas exister....Jamais aucun.e sadique ne voudrait comme partenaire d'un.e masochiste, de même qu'aucun.e masochiste ne désirera confier son contrat de soumission à un.e sadique (qui de toute façon le refuserait).... ces deux orientations/comportements sont totalement antinomiques et par essence incompatibles.
J'aime 24/07/24
Méridienne d'un soir
Bonsoir @NoMasterNoGod, c'est juste pour donner un titre "générique" au récit. En ce qui me concerne, je vais encore plus loin que vous, car je n'aime pas les "étiquettes" en général dans la vie. Elles brident notre liberté. Mais parfois, il est nécessaire d'appeler un chat, un chat ! Une agréable soirée à vous !
J'aime 24/07/24 Edité
NoMasterNoGod
bonsoir Méridienne, merci de prendre le temps de me répondre...1f642.png c'est bien parce que les mots et les expressions ont un sens qu'il me semble important de les choisir en conscience, avec pertinence. C'est important un titre, c'est même fondamental pour le message que fera passer le texte qu'il intitule. Je comprend votre argument et ma critique n'a rien de personnel, ça me paraît important de veiller à défendre des pratiques trop souvent stigmatisées, parce qu'incomprises, par une morale bourgeoise qui prétend détenir la vérité sur le bon goût, sur ce qui serait "érotique" ou "pornographique". Ne prêtons pas le flanc à ces détracteurs, ces juges autoproclamés, qui utilisent trop souvent ces termes pour dégrader des pratiques qu'ils ne comprennent même pas. J'ai publié un article sur le sujet en faisant référence à Gilles Deleuze qui en parle beaucoup mieux que moi... je vous remercie pour cet échange, et je vous souhaite une très bonne soirée également 1f60a.png
J'aime 24/07/24