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Jeux SM (3ème partie)

Le donjon de Malika

Cela fait 3 jours que je suis encagé, j’ai bien essayé de couper le cadenas avec une grosse pince mais l’acier trempé ne se coupe pas aussi facilement, c’est à peine si j’ai réussi à l’entamer, le scier m’a valu une belle coupure de mes couilles et de mon doigt, il faut que je me rende à l’évidence, je vais devoir appeler Malika, je ne supporte plus le gonflement contraint de ma bite que je ne peut même pas branler et chaque fois que je bande le plug d’urètre me fait un mal de chien, en plus, ma queue est devenue tellement sensible que je bande sans raison, de toutes façons ma femme rentre dans 3 jours de son séjour en thalasso. J’appelle donc ma tortionnaire espérant que je vais la dissuader de me marquer comme on marque les chevaux.

  • Allo, Malika ?
  • Ouiiii, Qui est l’appareil ?
  • C’est Syl.
  • Ah ! enfin, tu es prêt à me servir ?
  • Heu c’est que je voudrais bien que vous m’enleviez la cage, ma femme rentre dans 3 jours, je ne peux absolument pas rester comme ça, s’il vous plait, soyez cool…
  • Tu connais la condition, tu viens au donjon et on verra bien ce que je déciderai au final.
  • Bien, merci je peux venir quand ?
  • Viens tout de suite j’ai très envie de te revoir.
  • Ok j’arrive, je serais là dans environ 1h, le tps de faire la route.
  • Je t’attends, ah ! et apporte tes plugs !
  • Ok, à tout à l’heure.

Je sonne à la porte, c’est une petite maison, située à la campagne, dans une rue charmante, rien qui ressemble à un donjon. Un mec en tenue de soubrette m’ouvre la porte et me fait entrer.

  • Maitresse vous attends au salon suivez-moi, dit-il.

Il a un plug orné d’une queue de lapin planté dans le cul, des bas résilles et une mini robe à bretelles j’ai envie de rire mais je me retiens, le pauvre doit souffrir de cet accoutrement.  Malika m’accueille avec un

  • Fous toi à poil !

Je m’exécute tout en admirant cette beauté sauvage toute de noir vêtue, sa robe en latex, aussi courte que serrée met prodigieusement ses formes en valeurs, elle n’a pas de culotte, ses cuissardes à hauts talons montent très haut, je bande douloureusement à cause de la cage.

  • Approche, plus prêt !
  • Je suis, tout prêt.

Elle prend la cage dans sa main et soupèse le tout, je bande tellement fort que ma queue va exploser dans cet engin si minuscule, la contrainte est insupportable, mon gland déborde de partout.

  • Alors comme ça tu veux que je te libère ?
  • Oui s’il vous plait
  • Bien es tu prêt à me servir alors et à m’appartenir ?
  • S’il vous plait Malika, ne me laissé pas comme ça, je vous en supplie délivrez moi.
  • Allonge-toi par terre, là sur la planche entre les anneaux qui sont au sol.

Je me dirige vers l’endroit désigné, c’a ressemble à une table assez large mais sans pieds avec des anneaux fixés tout autour, elle m’attache les mains aux anneaux situé au-dessus de ma tête passe une sangle autour de ma taille puis chacune de mes jambes vient rejoindre mes mains pour y être solidement maintenue aux mêmes anneaux, j’offre ainsi mon cul en position de roulade arrière, arrêtée dans son élan. Elle tapote l’espace entre mon trou de balle et mes couilles tjrs enserrées dans la cage de chasteté.

  • Tu vois, enfin plutôt tu ne vois pas c’est à cet endroit précis que je vais te marquer ça va faire très mal car la peau est très fine ici mais au moins personne, à moins de soulever tes couilles, ne pourra voir mon sceau d’appartenance gravé dans tes chairs.
  • Non, ne faites pas ça, je vous interdis je vais porter plainte si vous me faites le moindre tatouage.
  • Qui parle de tatouage, ferme là et concentre-toi, mord dans ce plug de toute tes forces et tache d’être digne.

Elle me fourre un plug dans la bouche, appelle son larbin qui arrive bientôt avec un brasero rougeoyant dans lequel est planté un tison.

  • M

    Regarde comme c’est beau, le fer de Maîtresse Malika.

Elle brandit le tison orné de 2 M entrelacés M         et le plaque sur mon entre jambes juste au-dessus de mon petit trou, je pousse un hurlement qui dure tout le tps de l’application du fer rougi au feu, ça pue le cochon brulé ,  ça fume un peu, enfin elle retire le tison, son esclave me verse de l’eau froide sur la plaie ce qui me fait le plus grand bien, ça soulage vraiment, très vite il m’enduit copieusement de Biafine et pose un morceau de gaze enduit lui aussi de Biafine. je pense qu’il a l’habitude et curieusement la douleur n’est plus si vive que ça.

  • Détachez-moi maintenant !
  • Pas tout de suite, tu vas nous promettre d’être bien sage et surtout nous le prouver.

Malika libère mes jambes et me remet en position allongée, elle soulève la cage de chasteté en disant n’oublie pas que j’ai la clé alors tu vas te mettre à genoux et tu vas sucer Romain comme tu as sucé Éric l’autre fois, en y mettant tout ton cœur et promis je te libère, OK !

  • Je ne réfléchis qu’un petit instant et dit : « oui » pour qu’on en finisse, je n’ai qu’une hâte, quitter cet endroit pour me soigner et voir si vraiment on ne peut pas voir les initiales marquées entre mes cuisses. Enfin détaché, Je me mets donc à genou comme demandé, Son esclave s’approche de moi, il a quitté son costume et brandit fièrement une queue gigantesque qu’il pose délicatement sur mes lèvres.
  • Mets tes mains autour de ses fesses et attire-le à toi m’ordonne Malika !

Je m’exécute et entrouvre timidement mes lèvres la bite de Romain pénètre doucement dans ma bouche que je suis obligé d’ouvrir un maximum devant un tel chibre, il commence à aller et venir doucement, je ferme les yeux et me laisse faire.

  • Aspire moi bien profond murmure Romain, oui c’est bien comme ça, vas y ma petite pute tu aimes sucer on dirait et il s’enfonce très profondément au fond de ma gorge, je manque étouffer, mes mâchoires distendues  me font mal je ne peux plus résister, je bave abondamment tandis que cette barre de chair va et vient en moi de plus en vite, de longs jets de foutre épais me remplissent la bouche mais le va et vient ne s’interrompt pas au contraire il s’accélère encore, je tente de le repousser mais sa main derrière ma tête, m’en empêche et m’oblige à suivre le    rythme régulier qu’il m’imprime, mes lèvre venant claquer sur son pubis de plus en plus vite et de plus en plus fort.
  • Respire ! me dit il entre 2 coups de boutoir au moment même ou un nouveau flot de sperme plus important encore que le premier vient inonder ma gorge.
  • Avale ! m’ordonne t’il et n’en perd pas une goutte,

Il se retire enfin mais sans me lâcher la tête, me laissant respirer et surtout avaler son jus

  • Lèche nettoie moi tout ça

Et je lèche consciencieusement par peur des représailles qui m’attendent, j’en suis certain, si je ne m’exécute pas.

 Malika nous rejoint, me prend par la main et m’invite gentiment à m’assoir dans le canapé qu’elle occupait, elle me donne la clé de la cage en disant te voila libre mais sache que tu m’appartiens désormais et que je peux disposer de toi quand j’en ai envie. J’ai un peu de mal à me défaire de la cage je bande et ça ne rend pas la tâche facile.

  • Tu veux que je t’aide ? dit-elle de sa voix la plus suave.

Comment refuser, j’écarte les jambes et lève les mains en guise d’acceptation, ses mains expertes ont tôt fait de me libérer, ma queue si longtemps emprisonnée se détend comme un ressort mais ne peut se libérer de son fourreau de métal à cause du plug d’urètre qui en orne l’intérieur, elle prend délicatement l’embout et imprime un lent mouvement de rotation tout en tirant, le plug sort anneau par anneau, m’arrachant à chaque passage un petit cri qui fait largement sourire ma libératrice. Le dernier anneau libéré, elle me caresse lentement, me masse devrais-je dire, le gland. Je me laisse aller au fond du canapé pour jouir de cet instant, elle me branle encore un peu et soudain s’arrête.

  • Tu ne crois quand même pas que je vais te faire jouir, alors que tu as menacé de porter plainte contre moi.
  • Je disais ça pour vous empêcher de me marquer mais maintenant c’est fait je vous jure que je ne dirais rien à personne. Elle part d’un grand rire et me claque les couilles je débande d’un coup, la brulure entre mes cuisses se rappelle à moi et me fait pousser un hurlement de douleur. Elle se lève toujours aussi hilare et me dis
  • Tu es un bon esclave et je t’aime bien, tu viendras me voir régulièrement pour que je m’amuse de toi. OK !
  • Oui, oui bien sur mais je ne veux plus faire de fellation et je ne veux plus de marque indélébile.
  • D’accord esclave, rassures toi les prochaines séances se feront entre toi et moi uniquement, si je t’ai fais sucer Romain c’est pour avoir une belle vidéo de toi en train de le faire au cas où tu changerais d’avis.
  • Salope, tu es une vraie salope, elle rit de plus belle et me répond
  • Oui comme tu les aimes, dans ta bouche je considère que c’est un compliment, maintenant avant de partir, tu vas t’empaler sur ton plug et je vais t’aider, tu auras le droit de gicler après, tu veux bien ?

Malika est devenue à compter de ce jour ma maîtresse dans tous les sens du terme et surtout dans le sens qu’il prend dans une relation SM. Elle est la plus belle chose qui me soit arrivée…

 

A suivre : déjà publié  « le jour ou Malika à fait la toilette de ma poupée »

 

 

 

 

Thèmes: sado maso
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