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par le 21/06/24
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Hier matin recevant Votre message me disant de venir ayant provoqué en moi ce besoin insatiable de prendre place à Vos pieds

Je me suis jetée à l'eau, me préparant, prenant le chemin me conduisant à Vous.

Suivant mon instinct, plus j'avançais sur le trajet et plus je ressentais cette exaltation montée en moi, sourire aux lèvres ressentant diverses émotions prendre possession de mon être.

Arriver en avance, Vous attendant, je me suis surprise de la sérénité que je ressentais plus le temps passait me rapprochant de Vous. 

Lorsque Vous êtes arrivé, voir Votre visage apparaître me provoquant cette douce chaleur m’envahissant de nouveau, provoquant tant en moi, heureuse que ce moment arrive enfin.

Prenant place à Vos côtés, tout ce que je pensais et ressentais été confirmés Monsieur.

Arriver chez Vous, prenant un thé, j'ai profondément apprécié Votre façon d'être dans Vos actes, Vos mots afin que je me sente à l'aise.

Lorsque vint le moment ou Vous m'avez demandé, ma nudité m'invitant à prendre place à Vos pieds.

Ce bien être ressenti tant lorsque j'ai pris place à Vos pieds que lorsque ma tête s'est posée sur Vos genoux, ressentir Votre main sur ma nuque, ma peau caressante.

Fut un moment indescriptible tant je me sentais à ma place Monsieur à Vos pieds sous Votre main.

Je dois avouer Monsieur que lorsque Vous m'avez demandé d'apposer ma bouche sur Votre chibre à travers Votre pantalon afin de le sentir, ressentir. 

L'eau à la bouche, de Vous goûté, mon entrejambe gagné de par l'humidité, je n'avais qu'une envie, que Vous m'offriez ce plaisir de me délecter de Vous.

Ressentir Votre main se resserrant sur mon cou, sentir mon souffle entre Vos mains me procurant, accentuant ce besoin de m'en remettre à Vous tout en ressentant Votre regard, Votre bienveillance, ma confiance en Vous étant totalement présente.

Je m'en remets totalement à Vous dans cette emprise respectueuse, je suis Votre Monsieur.

Je ne Vous cache pas avoir pris grand plaisir à Vous caresser de ma langue, faire glisser mes lèvres sur toute Votre longueur, Vous offrir ma gorge, Vous suçant, Vous aspirant, prendre Vos bourses en bouche.

Un plaisir tel que mon intimité Vous réclamait déjà toute trempée de ce désir que Vous m'inspirer Monsieur.

Sourire, état exact que je ressens en cet instant en Vous faisant ce compte rendu ce jour Monsieur.

Lorsque vint le moment ou Vous m'avez demandé de prendre place à quatre pattes sur le canapé, m'exécutant à Votre demande sous Votre regard, mon être, mon corps, la plus infime partie de moi Vous réclamant, mon désir que Vous preniez possession de mon être à part entière n'ayant de cesse de grandir.

Sentir Votre main glisser sur mon être, s'immiscer entre mes cuisses, Votre main découvrant ce désir ardent que je Vous porte tant je mouillais pour Vous en cet instant. 

J'étais là, à ma place, sous Votre regard, ressentant ce plaisir incommensurable de sentir Vos carresses, Vos doigts prendre possession de mon intimité, mon cul.

M'offrant à Vous ainsi, mon être épris de Vous de part en part, courbant l'échine.

Mon seul désir, ma seule pensée étant que cela ne s'arrête pas.

Appétit vorace de Vous prenant place, mon cul réclamant Votre queue, mon être viscéral tant que cérébrale étant Votre bien avant Notre rencontre, je vacille, vibre entre Vos mains.

À l'instant où j'ai ressenti Votre chibre à l'orée de mon cul, je n'attendais que cela dégoulinante d'envie que Vous me preniez.

Plus je Vous sentais me prendre, durcissant, Vos couilles claquant sur mes fesses, plus j'avais ce besoin de Vous sentir encore, plus profondément plus fortement.

D'une de Vos mains me tenant le bassin de l'autre agrippant mes cheveux, cette douce cadence enivrante poussant mon être dans une veille indescriptible tant que délicieuse.

Vous sentir, Vous ressentir, Vôtre voix au creux de mon oreille, Votre souffle sur ma nuque, Vos douces morsures, Votre odeur poussant mes sens à de tels niveaux.

Je suis en pleine conscience de la dimension que le don que je Vous fais de mon être est sans demi-mesure, Vous remettant une part de moi que personne ne pensait pouvoir avoir, où son existence. 

Part de mon être que mon être cachait au plus profond de moi Monsieur.

Je sais ce don plein et entier, sans réserve aucune et dans une confiance infinie.

Enivrer de Vous appartenir, d'être terre de Vos vices et perversions, souillant de plaisir Votre canapé, coulant à Votre désir, je succombe entre Vos mains accueillant Votre plaisir en moi.

Pendant que Vous allez à la salle de bain, je nettoie mes souillures.

Nous nous désaltérons, discutons un moment, je Vous demande permission de fumer une cigarette sur la terrasse.

Puis revenant à ma place, Vous me dites qu'il serait temps que je découvre Votre donjon.

Je Vous demande autorisation d'aller aux toilettes.

Pendant ce temps, Vous allez préparer et allumer quelques bougies.

En sortant des toilettes ma curiosité est telle que je viens pour Vous rejoindre.

Vous me faites remarquer que je devrais être à ma place.

Gêner sachant que je n'aurai dû, je retourne au sol, la ou je dois être dans le salon à ma place Vous présentant mes humbles excuses.

Je Vous confirme que cela ne se reproduira plus, me prenant par les cheveux, Vous m'invitez à me lever et Vous suivre.

M'exécutant avec grand plaisir, je Vous suis Monsieur.

 À ce moment précis, je ressens cette part de mon être prendre une place de plus en plus considérable en moi.

Ne me doutant pas de ce qui allait se réveiller sous Votre main, ni de la manière que cela allait se réveiller.

Vous m'invitez à choisir trois objets, trois choses qui me feraient envie.

Observant sur la droite le dessus de la cage et les divers jouets, mon regard repartant vers la gauche Vers les divers fouets, martinets, touchant de mes doigts les différentes textures, matières, leurs diverses résistances, mon choix se pose.

Vous trouvez entraves à la finesse de mes mains, poignées puis m'invitez à prendre place sur la croix de Saint André.

Je dois avouer que cela faisait bien longtemps que je n'avais eut ce plaisir, mon fort intérieur brûlant de danser sous Votre main, de sentir ressentir à nouveau le cuir sur ma peau, les impacts transcendé mon être.

Lorsque Vous avez commencé, je dois avouer être surprise, ne comprenant pas le ressenti sur ma peau qui ne correspondait pas à mes choix.

Mon attention posée sur ce questionnement, n'ayant jamais ressenti un contact autre que le cuir sur ma peau, ayant toutefois reconnu le daim.

Mon plaisir a commencé sous les impacts, ressentant cette chose qui fait toute la différence avec le cuir chauffant ma peau.

Chaque impact raisonnant en mon être à part entière mouillant de manière incontrôlable plus Vous alternez les impacts et Votre main entre mes cuisses.

À un moment, je prends conscience de Vous avoir appelé Maître, cela, c'est exprimer tant naturellement.

 Lorsque Vous me l'avez fait remarquer, je Vous ai de nouveau appelé Monsieur.

Je dois Vous avouer avoir lutté contre mon moi profond qui Voulait et ressentait le besoin l'envie de Vous reconnaître comme tel, ressentant et ayant réellement le sentiment d'être à ma place à Vos pieds. 

Mon corps mon esprit cherchant le contact de Votre corps tout en désirant à la fois sentir ressentir sous Votre main, Sous Votre fouet.

Régulièrement Vous sentir Votre souffle, Votre bienveillance prenant soin de savoir comment je vais, si je souhaite continuer me poussant inlassablement à Vous à Vous exprimer le plaisir que j'éprouve, à ce que Vous n'arrêtiez pas. 

Sentir Vos lèvres effleurent les miennes, goûté Votre langue se mêlant à la mienne.

Tous mes sens s'offrant à Vous, exacerbant, démultiplient tout en moi.

Le moindre geste, le moindre effleurement de Votre main, le moindre impact ouvrant plus encore cette part de mon être que je découvre en même temps que Vous.

Cette part de mon être que j'avais volontairement enfermé au plus profond de moi, part que je m'étais toujours interdite à offrir par manque de confiance en "l'autre" et ce besoin de contrôle par crainte que j'avais de cette inconnue en moi dont je ne connaissais et ne connaissent toujours pas les limites.

Hier Monsieur sous Votre main, à Vos pieds, ce "fusible" de sécurité qui

bloquait cette part à sauter au sens propre du terme, chose qui ne s'était jamais produit auparavant.

Vous me détachez me conduisant au centre de la pièce, m'invitant à lever les bras m'attachant ainsi. 

De Votre fouet s'enroulent encore et encore sur mon dos mon corps, je transpire de plaisir, mouillant à en perdre pied.

Succombent sous Votre regard.

Je suis là suspendue croulant de plaisir sous Votre fouet et ressens mon corps attiré comme un aimant partir vers Vous.

À cet instant, je ne contrôle plus rien, je me sais attacher et mon être part en Votre direction cherchant le contact.

Mon regard plongé dans le Vôtre, une chose casi indescriptible se passe en moi, un besoin insatiable, un ressenti d'une telle force a prise place, ressentant cette part bestiale jaillir, à en ressentir jusqu'à la moindre réaction.

En aillant ressenti mon regard changé, ressentant cette intensité grandir en moi.

Je dois avouer que le moment auquel je ne m'attendais pas est cet instant où en entendant le bruit des attaches, des suspension m'a fait comprendre que mon esprit, mon fort intérieur me poussaient inlassablement à aller vers Vous.

J'étais là attachée devant Vous, mon regard Vous dévorant, l'eau à la bouche, mon intimité s'écoulant sur le long de mes jambes.

Prenant toujours plus de plaisir sous Votre fouet, Votre main revenant régulièrement entre mes cuisses, sentir Votre corps, mes jambes cherchant à Vous retenir contre moi.

Vous collant derrière moi, mes fesses ne pouvant s'empêcher de remué contre Votre chibre dur dans toute sa longueur.

Ma bouche devient sèche, je Vous demande de l'eau, Vous me demandez d'attendre.

Continuant à me fouetter, gémissante de plaisir ma faim de Vous est tellement intense, plus je ressens les impacts et plus l'envie de Vous sentir en moi, de sentir Votre queue dans mon cul est forte.

Je commence à ressentir une gêne avec les entraves scratchs qui me gêne dans le maintien de mes poignées, des fourmillements dans mes mains.

Ayant toujours la bouche sèche, je Vous demande de l'eau.

Vous Vous rapprocher de moi me demandant si Vous pouvez m'impacter plus fortement à cinq reprises avant de me détacher.

J'accepte sans hésitations ni craintes aucune, un réel plaisir de ressentir la vague de sensations traversant mon être à chaque impact Monsieur.

Vous me détachez, mes lèvres se déposent sur Vos mains.

Vous m'invitez à Vous suivre, Vous assaillant. Je me prends place à Vos pieds entre Vos jambes, posant ma tête sur Votre cuisse câline, bien être absolu d'être ainsi à ma place. 

Votre main se faisant douce, Vos carresses me bercent, Vos mots mots continuent à enflammer le creux de mes reins, le son la résonance de Votre voix continuent à nourrir ce désir ardent que Vous provoquer en moi.

De ma bouche Vous m'invitez à découvrir à mon plus grand plaisir, Votre queue dressée de cette alchimie s'étant tissée durant ce moment entre Vos mains, dans cette danse sous Vos impacts.

L'envie de ma gourmandise, de Vous prendre en bouche, de Vous goûté, de sentir Votre queue au fond de ma gorge, de sentir ressentir la douce chaleur de Votre nectar s'écouler en ma bouche est si fort Monsieur.

Vous libérez Votre chibre que je prends en bouche, le caressant de ma langue, l'enserrant entre mes lèvres, le guidant au plus profond de ma gorge, main faisant des vas et viens sur Votre longueur, Vous aspirant.

J'aime tant Vous sentir ainsi en moi que je n'ai plus besoin de boire ayant tellement l'eau à la bouche de Vous sentir Vous déverser en moi.

Vous me demandez et me prévenez qu'ainsi Vous allez jouir en ma bouche et si j'en ai conscience.

Souriante Votre queue dressée en cette dernière, j'acquiesce continuant jusqu'à sentir cette douce chaleur explosée y prendre place et me délecter de Vous.

Monsieur un plaisir hautement partagé dont je Vous remercie.

Nous retournons au salon à Votre souhait, à Vos pieds, je prends une goutte d'eau, nous discutons, nous regardons des photos.

Je Vous demande permission de fumer une cigarette sur la terrasse.

Sourire une araignée pointe le bout de son nez, je Vous avoue ma phobie de ces dernières.

Vous m'invitez à éteindre ma cigarette ainsi qu'à fermer la porte afin que cette dernière ne rentre pas.

Je m'exécute à Votre demande.

Sourire tendre Monsieur, ma phobie ne me fera aucunement quitter ma place à Vos pieds. 

L'heure tournant, Vous m'invitez à me rhabiller, le moment de me reconduite à la gare est venu.

Nous montons en voiture, discutons sur le trajet, arrivant à la gare, j'embrasse Vos mains, reconnaissante.

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Angel_Malvado
Très beau récit, y a-t-il une ou des suites ?
J'aime 13/09/24