#
par le 13/11/13
218 vues
Chapitre III.

Au contact de Pierre et sous son impulsion, je pris de plus en plus confiance en moi et consciente de l'intérêt que je suscitait auprès des hommes européens. A un point tel que Pierre m'ordonna dorénavant de prendre des contacts moi-même.
Quelques semaines après ma séance à Villeneuve-sur-Lot, j'étais seule à mon bureau. Il est presque 16 heures, je tapote sur mon ordinateur sur un site où Pierre m'a ouvert une b.a.l. Au bout de quelques minutes, j'accroche un pseudo intéressant : Deux hommes cherchent une esclave motivée. Je saute sur l'occasion afin de prouver à Pierre que je suis une bonne soumise obéissante je réponds tout de suite au message des deux inconnus.
Jeune femme noire soumise dispo.
Ils sont o.k pour me rencontrer. Ils me demandent de me décrire en détail et si je suis disponible pour la soirée.
Je fais savoir que oui mais qu'il faut auparavant prendre contact avec mon Maitre pour connaitre les conditions du rendez-vous.
Moins d'une demi heure plus tard, Pierre me téléphone. Le rendez-vous est fixé à 19h00 dans un café.Rejoins-nous au Sarah Bernhart et sois sexy me dit Pierre à la sortie du métro Châtelet.
Lorsque j'arrive sur place, Pierre est déjà là. Il est attablé avec deux hommes, la cinquantaine grisonnante. Pierre me présente en me faisant remarquer que je suis en retard et qu'il ne le tolère pas. Je suis encore debout devant eux car je n'ai pas encore eu l'autorisation de Pierre pour m'asseoir.
Un des deux hommes, le plus grand et le plus gros avec une carrure de rugbyman, possède une moustache qui lui barre le visage me dit en me fixant droit dans les yeux :
Tu seras punie poufiasse pour ton retard, je n'aime pas attendre lorsque je commande les services d'une soumise, tout en passant une main sous ma minijupe au vu et au su de tous les consommateurs du café. L'homme se nomme Jean, il vient de Nice, l'autre Robert est parisien.
Pierre m'ordonne de m'asseoir entre les deux hommes sur la banquette en face de lui. Je suis assez sexy, je porte une minijupe noire en nylon mousse qui épouse toutes mes lignes de mon corps, surtout de mes fesses. Je porte également un blouson Perfecto en cuir rouge, mon collier de cuir avec ma médaille S autour du cou et des talons aiguilles noirs assez hauts.
Coiffée comme Sade, les cheveux tirés en arrière avec une longue tresse qui tombe sur mon dos. Un maquillage discret sur une bouche gourmande bien dessinée d'un rouge vif.
Après une nouvelle consommation et une discussion sur mon utilisation de la soirée, mes loueurs n'ont qu'une hâte, celle de me prendre par tous les côtés disponibles.
Ils ne veulent pas perdre de temps.
Dans la voiture qui nous mène chez Robert, Jean le niçois m'a déjà prise en main dès la sortie du café. Ses mains se font de plus en plus pressantes sous ma micro-jupe en nylon mousse. Elle n'a que 27 centimètres entre ma taille et le bas de mes cuisses. Robert conduit, Pierre est devant avec lui. Moi je suis à l'arrière avec le rugbyman de Nice. La turgescence de mon clito le met dans tous ses états.
Robert habite un hôtel particulier à Neuilly. La nuit est tiède, ce qui favorise le rapprochement des couples.
En guise de rapprochement je vais être le jouet de trois hommes, car, comme à son habitude, Pierre est de la fête sa présence me rassure. J'appris par Jean dans la voiture qu'il me connaissait de réputation. Dans ce milieu les choses vont vite.
Dès que l'on apprend qu'il y a une excellente soumise, la nouvelle fait vote le tour des habitués et des amateurs de séances SM. Et selon Pierre qui vantait mes qualités auprès des deux hommes, j'étais le meilleur coup de Paris
L'alcool que j'ai bu au café commence à faire son effet, je suis toute excité à l'idée d'être prise par trois hommes en même temps. Ce sera une première pour moi.
Comme à chaque sortie avec Pierre, je suis tenue en laisse avec mon collier de chienne obéissante. Dans la cour de l'hôtel particulier sans vis-à-vis, Pierre m'ordonne de me foutre à poil. Je suis seulement vêtue des mes bas, de mon collier, des mes escarpins très hauts.
La maison est superbement meublée. Le salon est très grand avec une multitude de canapés de cuir, avec au centre une table basse en plexiglass. En un rien de temps les trois hommes se retrouvent entièrement nus avec leurs bites au garde-à-vous. Moi je suis nue à genoux au milieu de la pièce. Jean s'approche de moi. Il est grand et fort avec un ventre assez volumineux, une bite courte mais grosse, il est circoncis. Jean se plante devant moi, j'ouvre ma bouche fardée que je referme immédiatement sur son gland mauve et épais.
Je le suce tranquillement, sans hâte. Sa queue se raidit,grandit, je l'avale presque entièrement jusqu'aux bourses vu qu'elle n'est pas longue. Pendant ce temps il se fait servir un whisky par son ami.
Excité par ma caresse buccale, la pine de Jean glisse hors de ma bouche et son gland s'accroche à mes dents. Cet incident le met dans une fureur indescriptible. En colère il s'enfonce dans ma gorge d'un mouvement brusque jusqu'au fond de mon palais. J'ai honte pour l'erreur commise. Ma tête me fait mal, elle sous l'effet de l'alcool quand une seconde bite, celle de Robert, longue et large droite, plantée comme un arbre, remplace celle de Jean qui se branle devant moi furieux.
Débarrassée de tout sentiment de culpabilité, j'absorbe la queue de Robert en prenant soin de la décalotter avec mes lèvres. Centimètre par centimètre, j'arrive jusqu'aux couilles du maître de maison, remontant pour redescendre dans un va-et-vient régulier. Je lâche cette superbe queue pour celle de Pierre déjà mouillée de sperme. Pendant dix minutes, ils restent tous les trois silencieux, on n'entend que le bruit de ma bouche, ils apprécient avec délectation mes gâteries particulières. Ma main enlace la plus grosse des trois, celle de Jean, je la branle lentement, je vais de bite en bite, de l'une à l'autre, fermement accrochée à ces pieux comme une noyée à sa bouée de sauvetage. Je n'ai plus de rouge à lèvres, je bave beaucoup car je n'ai pas le temps d'évacuer ma salive, ma bouche n'est pas libre un seul instant.
Pendant que je le suce, Robert me caresse la joue tendrement :
Tu veux boire quelque chose me dit-il, un whisky ?
Avec de la glace s'il-vous-plait Monsieur, comme ça ma bouche sera froide !
Robert se retire pour aller au bar, aussitôt Jean prend sa place. Sa grosse bite me déforme le visage.
On va alterner fit une voix derrière moi. C'était Robert qui revenait avec un verre à la main en me tendant la boisson alcoolisée. L'alcool glacé coula dans ma gorge. Tu pourras boire à nouveau quand ta bouche sera redevenue chaude dit l'un des trois hommes.
Je crois que je commence à être soûle, c'est bon dis-je.
Les trois hommes se branlaient devant moi en parlant. Je gobe la queue de Robert, d'abord son gland, il a remarqué que j'ai un petit faible pour lui.
En un mouvement gracieux, je fais glisser sa bite jusqu'au fond de ma gorge, puis je commence à le pomper avec une certaine maladresse au début, car de ma main droite je branle le pénis de Jean. Cela ne dure pas longtemps, Robert commence à s'agiter, à souffler très fort, à trembler de tout son corps pour enfin se cabrer avant d'expédier une longue giclée de sperme que j'avale délicieusement.
Entre mes doigts agile ,la pine énorme de Jean palpite à son tour. Vite je quitte la queue de Robert pour coiffer le dard du rugbyman. A peine enfoui dans ma bouche encore barbouillée du sperme de Robert, il décharge à son tour en m'étouffant.
Pour ne pas être en reste, Pierre mon Maître qui se branlait en nous regardant décharge lui aussi ses munitions sur mon visage défait, prenant soin d'étaler sa semence partout. Malgré ces décharges successives, mes partenaires sont toujours en érection, Jean et Robert se collent ventre contre ventre, je prends les deux pines en même temps, je bave, je dégouline de sperme. Ma tête est en feu,je tente d'avaler la double épaisseur, ce n'est pas facile, de son pouce Jean écarte mes lèvres pour que je puisse faire une double pipe, le sperme coule à flots, je suce ainsi mes trois partenaires à deux reprises.
Sauvée par le gong. Le téléphone sonne, hésitant, Robert s'enfonça à nouveau dans ma bouche puis se retira. Je suis en train de m'étrangler avec la grosse masse de chair de Jean sans oublier les nombreuses décharges de sperme qui s'y engouffrent.
Je vais répondre, toi ne bouges pas me dit Robert autoritairement.
Je cherche à reprendre mon souffle quand à nouveau Jean s'introduit dans ma bouche ouverte, le gland tout d'abord, le reste de sa courte pine ensuite. Le rugbyman tenait fermement ma tête de ses deux mains. Je pressentais l'instant. Le foutre jaillit. Il me sembla que Jean déchargeait durant plusieurs minutes tant il y en avait. Comme toute bonne soumise que je suis, j'avalais une nouvelle fois la semence onctueuse de Jean giclée après giclée. L'un après l'autre ils se branlèrent dans ma petite bouche. J'avalais les trois bites, j'avalais les trois décharges chaudes et demandai un autre whisky pour faire descendre le tout. C'était la première fois qu'on me baisait par la bouche de cette façon et nous n'en étions qu'aux préliminaires.
Pierre m'invita à prendre un peu de repos, ma mâchoire me faisait mal à force d'avoir la bouche ouverte, j'avais mal aux genoux aussi. Sans vouloir l'avouer, les mecs aussi avaient besoin de recharger leur batterie génitale.
Je n'en revenais pas moi même de mon endurance d'avoir subi ce que je venais de subir, c'était la première fois que j'avais trois queues à ma disposition, je ne sais pas si mon mari me reconnaitrait s'il m'avait vu ainsi prise.

Affalée dans le canapé en cuir blanc, lovée dans les bras de Jean. Ce dernier me caresse le bout des seins qu'il trouve trop petits. Il tire aussi sur mon clito qui dépasse de mes lèvres. Bien que musulmane, je n'ai jamais été excisée. Jean n'est comme Robert, il n'a pas de délicatesse envers moi, un humour lourd à la limite de l'obscénité mais je suis obligée d'obéir et de faire ce qu'il me demande, je dois faire plaisir aux gens que je rencontre.
Jean m'interroge sur mon passé, je reste dans des généralités , il n'a pas besoin de savoir qui je suis. Pour lui je ne suis qu'une salope louée par Pierre;
Jean me demande pourquoi mon sexe est lisse comme celui d'une petite fille. Je lui raconte n'importe quoi, je dis que je suis Peule et que chez les Peules c'est une tradition. Tous les matins je me rase la chatte comme lui rase sa barbe. Il me demande aussi pourquoi je fais la pute...
Je ne suis pas une prostituée répondis-je outragée, je suis une femme soumise qui obéit à son Maitre, c'est différent.

Je sais que mon Maitre demande des offrandes lors de mes rencontres, je ne m'occupe pas de ça.
Pour Jean je suis une pute, une poufiasse.
Sur ces dernières paroles, il m'empoigne par la taille en me retournant dans la position d'un 69 et me gobe le clito avec ses lèvres, sa moustache drue me chatouille, il parcourt mon intimité de long en large, pendant ce temps je le suce, j'ai la tête en bas la grosse queue de Jean dans la bouche. Je me cramponne à ses cuisses. Il m'insulte tout en me léchant la chatte et le cul. Il rappelle à tout le monde que je suis arrivée en retard au rendez-vous et que je dois être punie comme il se doit.
J'avais complètement oublié ça.
Je vais l'enculer dit-il à l'adresse de Pierre et de Robert, je vais lui défoncer le cul à cette pute noire, tu vas voir poufiasse, tu vas te souvenir de moi et de ma bite.
Jean continue à m'insulter.
Je vais t'enculer à sec salope, je vais t'écarter l'oeillet. Je regarde Pierre, ce dernier esquive mon regard
Pierre ne m'a rien dit de sa transaction avec les deux hommes, il ne m'a rien dit au sujet d'une éventuelle sodomie. Je commence à avoir peur. Ma petite porte c'est privé, c'est réservé à mon mari Raymond. Il est le seul à avoir le droit de passer par là. Les trois hommes parlent de moi comme si je n'étais qu'un objet sexuel dont ils vont se servir à leur guise.Je suis manipulée comme une poupée gonflable

Quand je tente de dire quelque une seule réponse fuse de la part de Jean. Ta gueule salope.
Subitement Jean me prend sous le bras vigoureusement, pour lui je ne suis qu'une plume avec mes 45 kilos. J'ai toujours la tête en bas, je me retrouve avec lui dans une pièce entièrement tapissée de miroirs du sol au plafond.
Il y a aussi une potence suspendue aux poutres, des chaînes, des cordes pendent avec des fermoirs en cuir. Aidé par Pierre, Jean me suspend par les chevilles.Pierre m'attache les mains dans le dos avec des menottes.
Mon corps est suspendu et je repose sur les épaules. Je suis très écartée. Ma fente est offerte. Je suis à la hauteur de bouche de mes loueurs. Ils ont chacun un gode énorme dans la main? Jean insinue sa langue dans le repli de mon sexe.
Robert qui avait été sympa avec moi jusque là commence à m'introduire un gode en bois habillé d'un préservatif. En fait ce n'est pas un gode mais un pied de lit lisse et très gros bombé au centre. Je ne sais pas si mes orifices accepteront cette énorme chose. Déjà quand mon mari Raymond me sodomise, j'ai très mal, pourtant Raymond possède un sexe de taille normale.
Les deux hommes parlent à voix basse : Ils interrogent Pierre à mon sujet :
Qu'est-ce qu'elle peut prendre ta pute comme taille dit Jean.
Tu crois que c'est assez gros ? On a qu'à essayer répond simplement mon Maitre, c'est sa punition, cela lui apprendra d'être à l'heure ricane Jean.
Sur la table il y des fruits, des grosses fraises, des bananes, des oeufs, de la crème chantilly. Je me sens mal,le sang me monte à la tête, les jambes écartées, le mélange de whisky-sperme fait son effet, j'ai envie de vomir.Je suis euphorique.
Jean et Robert dégustent des fruits à pleines dents avant de me les introduire dans le vagin. D'abord deux grosses fraises et des tranches de bananes. D'un seul coup, Jean m'enfonce son gode comme un pilon et écrase les fruits dans mon sexe avec un bruit de succion, je sens dégouliner le liquide sur mon entre et sur mes seins pour finir sur le sol. Jean demande à Robert de m'écarter les parois du vagin avant d'y casser un oeuf, le premier oeuf tombe à terre. Jean s'exécute une seconde fois. Robert écarte de ses deux mais on orifice. L'oeuf disparaît en moi, l'introduction du gode fait déborder mon orifice, le jaune et le blanc de l'oeuf sont expulsés par ce piston. Il tient le gode à deux mains et me l'enfonce sans ménagement. Des morceaux de fruits tombent sur moi. Je crie, je supplie, mes mains sont entravées par les menottes d'acier.
Putain dit Jean, elle est petite, mais elle est profonde cette négresse, il faut tout un régiment de tirailleurs sénégalais pour la remplir à ras bord. Les trois hommes éclatent de rire.
Une banane entière est plantée en moi, elle tient droite avec la crème chantilly qui déborde. Les trois compères sont satisfaits du spectacle. Tout mon corps et mes cheveux sont barbouillés par cette mélasse. Je ne savais qu'en acceptant cette invitation , que je pouvais être humiliée de la sorte.
Après tout je n'ai que ce que je mérite.... C'est moi qui ai accroché Jean et Robert.
Tranquillement Robert force mon anus avec son gros gode en bois. Je demande qu'on m'accorde un peu de pitié et que l'on ne me sodomise pas avec ça, c'est trop gros, cela va déchirer mon anus. Je dis aussi que cet endroit est réservé au seul usage de mon mari.
J'ai dis ce qu'il ne fallait pas. Cette simple phrase met Robert dans une colère incroyable. Lui qui était doux avec moi depuis le début de la séance, m'enfonce d'un trait ses deux pouces dans le cul en prenant soins de bien écarter les chairs de ma pastille fripée. Je gueule comme une perdue. Furieux il reprend son engin de bois et tente de me l'enfoncer dans l'anus, le bout du gode est là planté là en moi comme un obus dans la terre. Les trois hommes rient, plaisantent et applaudissent l'exploit de Robert. Moi je ne compte pas, je ne suis qu'un objet que l'on loue. Pierre, Jean et Robert se branlent, ils ne tardent pas à jouir dans un verre.
Rassasiés, ils me laissent pendue par les chevilles et quittent la pièce en éteignant la lumière.
Laissons cette salope mijoter dans son jus dit Jean.
Avant de partir j'entends Robert dire à Jean : Tu as vu elle a le trou du cul très étroit, elle ça va vachement nous comprimer la bite lorsqu'on va l'enculer tout à l'heure.
La débauche anale ne fait que commencer
A suivre....
Soyez la première personne à aimer.