par le 09/04/24
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Jerry et Fred étaient deux amis de 24 et 25 ans. Leur amitié durait depuis longtemps et ils passaient énormément de temps ensemble.

Malgré leur affection l’un pour l’autre, leur relation était surtout marquée par la compétition et la rivalité. Tout était bon pour se mesurer l’un à l’autre : le sport, la carrière, mais surtout les filles….

Ces deux-là étaient obsédés par la gente féminine et tentaient toujours de surpasser l’autre en terme de conquêtes féminines.

Dans une soirée typique, les deux amis se préparaient avec soin, et une fois arrivés dans un bar animé, ils repèrent rapidement un groupe de filles et s’approchent vers elles. A partir de là démarrait une véritable bataille de séduction. Chacun cherche à surpasser l’autre à chaque étape. A chaque sourire ou baiser obtenu, ils se lancent des regards plein de défi et de rivalité. Chacun tente de prouver sa supériorité.



Un jour, les deux amis jetèrent leur dévolu sur la même fille, une dénommée Kelly. Ils tombèrent tous les deux sous le charme, bavant comme deux porcs à chacune de ses apparitions.

Une lutte acharnée démarra, jusqu’au jour où elle les invita tous les deux dans son appartement. Incapable de choisir entre ses deux prétendants, elle leur lança un défi :

"Puisque vous aimez vous mesurer l’un à l’autre, vous aller être départagés au bras de fer ! Le gagnant sera mon petit ami, et le perdant sera notre esclave, et devra nous masser les pieds. »


Dans l’esprit des deux jeunes hommes, cela a fait l’effet d’une bombe : chacun désire se rapprocher de Kelly mais surtout, chacun espère assoir une bonne fois pour toute sa supériorité sur l’autre.

Commence alors le bras de fer. Fred, pourtant sûr de sa victoire et même ayant nargué son ami sur sa certitude de gagner, perd finalement le duel. Le pauvre ne comprend pas ce qui lui arrive et se trouve humilié devant Kelly.

Dans un élan de désespoir, il tombe à quatre pattes devant le couple nouvellement formé.

« Je…je ne comprends pas ce qui m’arrive…j’étais pourtant sûr de gagner… »


« et oui, c’est dur d’être un loser !! ha ha » lui répondit Jerry avec un rire victorieux.

Après sa défaite, Fred, contraint par l'accord qu'ils avaient passé, se retrouve à devoir obéir à Jerry et à Kelly. Sa première tâche consiste à leur masser les pieds, un geste d'humiliation supplémentaire qui lui rappelle sa défaite cuisante.

Avec réticence et amertume, Fred s'exécute, réalisant que sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette situation dégradante.

Voilà Fred, pourtant fier et orgueilleux, à genoux devant son ancien rival, abandonnant toute dignité.

En observant la façon dont Fred se soumet et exécute ses tâches, elle commence à ressentir du dégoût envers lui. Sa soumission totale et son comportement servile la font réaliser qu'il n'est pas l'homme qu'elle recherche.

Elle se rend compte que sa compétition avec Jerry l'a conduit à un comportement pitoyable et dégradant. Dégoûtée, elle réalise que Fred n'est pas à la hauteur de ce qu'elle recherche chez un partenaire.

Déçue par le comportement de Fred et impressionnée par la détermination et la force de caractère de Jerry, Kelly finit par tomber amoureuse de Jerry, le gagnant du duel.

Jerry, ayant remporté la compétition et conquis son cœur, trouve un nouveau lien avec elle, basé sur le respect mutuel et la compréhension.


Pendant ce temps, Fred, désormais soumis à Jerry et à Kelly, les vénère avec une dévotion presque fanatique. Il se laisse emporter par son adoration pour eux, espérant peut-être retrouver une once de dignité dans leur approbation.

Fred supplie Jerry de lui laisser une seconde chance.

« Je t’en supplie ! On recommence le bras de fer ! Je sais que je peux gagner !!! »

Mais Jerry refuse.
Désemparé et désespéré, Fred, réalisant la futilité de sa situation, tombe à genoux devant Jerry et lui embrasse les pieds, suppliant pour une seconde chance.

Cependant, Jerry, impitoyable dans sa victoire, refuse catégoriquement. Il lui rappelle leur accord initial et la décision prise par Kelly.
Malgré les supplications de Fred et son geste d'humiliation, Jerry reste inflexible, déterminé à maintenir sa position de pouvoir et de domination.

C'est un moment de vérité pour Fred, qui réalise qu'il a perdu plus que la compétition, il a perdu son amitié avec Jerry et son respect de soi.

Lorsqu'il est temps de servir à boire à Jerry, Fred s'incline humblement devant lui, le regard empli de soumission, et lui offre le verre en le désignant comme "maître", un mot chargé de symbolisme et d'humiliation pour lui.
Ce geste marque un nouveau niveau de sa soumission, et Fred réalise qu'il est désormais relégué au rôle d'esclave, servant ceux qu'il avait autrefois considérés comme ses égaux. C'est un moment de vérité amer pour lui, confronté à la dure réalité de sa défaite
et de sa condition de serviteur.


Dans un acte ultime de soumission, Fred se retrouve contraint de servir de repose-pieds à Jerry et à Kelly.
Il s'agenouille devant eux, incline sa tête et place son dos au niveau de leurs pieds, offrant ainsi un support pour qu'ils puissent y reposer leurs jambes.

Fref réalise que sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette humiliation, et il se résigne à son sort, sachant qu'il est désormais relégué au rang de simple objet, utilisé à leur convenance.


Avec un mélange de résignation et de soumission, Fred s'incline devant Jerry et, d'une voix tremblante, l'appelle "maître".

Ce mot, chargé de connotations de servitude et de respect absolu, marque un point de non-retour dans leur relation, symbolisant la domination totale de Jerry sur Fred.
Jerry savoure sa victoire et son pouvoir sur son ancien rival.


Jerry ordonne à Fred de lécher non seulement ses pieds mais aussi ceux de Kelly. Contraint par son statut d'esclave et l'autorité incontestable de Jerry, Fred se résigne à exécuter cet ordre dégradant.
Avec répugnance et humiliation, Fred s'agenouille devant Jerry et Kelly, et commence à lécher leurs pieds, chaque coup de langue représentant une autre couche de son propre déshonneur.


Dans cette situation, Fred se retrouve alors dans un état de confusion émotionnelle intense.

Bien qu'il soit humilié et dégradé par l'acte de lécher les pieds de Jerry et de Kelly, il ressent également une excitation inexplicable. Cette excitation peut provenir de divers facteurs, tels que le sentiment de soumission totale, le pouvoir que Jerry exerce sur lui, ou même une forme de masochisme latent.
C'est une réaction complexe et troublante pour Fred, qui se trouve pris entre la honte de ses actions et la stimulation de ses propres désirs les plus profonds.

Kelly embrasse son nouveau compagnon à pleine bouche avant de prendre congés. Elle ne jette même pas un regard à Fred, son ancien prétendant, désormais relégué au rang de larve.


Malgré la honte et la dégradation ressenties lors de l'acte de lécher les pieds de Jerry et de Kelly, il ressent également une stimulation physique intense qui se manifeste par une érection.

Quand Jerry s’en aperçois, c’est pour lui la victoire ultime, l’occasion d’humilier un peu plus son ancien ami.

« Mais !?...c’est qu’il prend du plaisir, le pourri ! T’es vraiment un déchet, Fred. Être en train de lécher des pieds et bander comme un porc…la déchéance, ha ha »

« je…je ne sais pas ce qui m’arrive… », répond Fred, tête baissé.

Dans un moment de clarté, Fred réalise pleinement son infériorité dans cette situation. Il prend conscience de sa position de soumission totale à Jerry, reconnaissant qu'il est désormais relégué au rang d'esclave, sans aucun pouvoir ni contrôle sur sa propre vie.
Cette prise de conscience est un moment poignant pour Fred, car il réalise à quel point sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette humiliation.



Le lendemain, Jerry arrive chez Fred.

« Salut esclave ! Bien dormi ? »

Fred, humilié mais toujours excité de cette nouvelle situation, se met humblement à genoux devant son maître.

Fred lui annonce alors sa nouvelle "rouvaille " :  il a décidé de prêter son esclave à ses potes pour qu'il leur lèche les pieds !

Dans un acte de domination supplémentaire, Jerry décide de prêter Fred à ses amis, afin qu'il leur lèche les pieds également. Cette décision renforce davantage la position de pouvoir de Jerry sur Fred, en le plaçant dans une situation de soumission non seulement envers lui, mais aussi envers ses amis.

Pour Fred, cela représente un nouveau niveau d'humiliation et de dégradation, étant contraint de se plier aux désirs non seulement de Jerry, mais aussi de ses amis.



Le nouveau quotidien de Fred ressemble à un cauchemar éveillé, mais bizarrement celui-ci en éprouve un plaisir sexuel grandissant.

Dans une journée typique, il se trouve contraint de lécher les pieds de Jerry à plusieurs reprises. Il passe des heures à genoux devant lui, se soumettant à ses désirs et à sa domination.
Pour Fred, chaque coup de langue est un rappel douloureux de sa défaite et de son statut d'esclave. Malgré la honte et le dégoût qu'il ressent, il continue à obéir, y trouvant une étrange satisfaction.

 Fred ressent une excitation inexplicable en léchant les pieds de Jerry. Malgré la honte et le dégoût qu'il éprouve, il est également stimulé par le sentiment de soumission totale et le pouvoir exercé sur lui par Jerry.


Un après-midi, Fred était à quatre pattes devant son maître, en train de lui lécher les pieds, quand soudain, dans une intensité émotionnelle et physique extrême, il ressent une telle excitation qu'il finit par éjaculer dans son pantalon.

C'est un moment de honte et de gêne supplémentaire pour lui, qui réalise l'ampleur de son humiliation et de son contrôle par Jerry et sa petite amie.

La sensation du liquide chaud sur sa cuisse, ainsi que la tache visible sur son pantalon beige finit de le convaincre de son statut d’inférieur. Il s’écrie :

« je…je suis désolé maître, je ne suis qu’un porc…. »

« ça on est d’accord… Quand je pense que je perdais mon temps à me mesurer à un déchet comme toi….tu es pathétique Fred ! »

Jerry jubile secrètement. Pour lui, l'éjaculation accidentelle de Fred est une validation ultime de son pouvoir et de sa domination sur lui.


Ayant abandonné toute dignité, Fred, Fred se rend compte de son acte et s'adresse à Jerry, son maître, avec une voix tremblante.

Il exprime ses excuses sincères pour son manque de contrôle et son comportement inapproprié, reconnaissant sa faute et sa soumission totale à Jerry.


Dans un acte de domination cruelle, Jerry se moque de Fred, le traitant de déchet et de larve.

« Tu me dégoutes, espèce de déchet ! »

« Je sais maître, je ne suis qu’une larve. Je suis excité par le fait de vous servir ! »

Ses mots sont acérés et blessants, soulignant la supériorité de Jerry sur Fred et renforçant encore plus le contrôle qu'il exerce sur lui.
Pour Fred, ces insultes sont comme des os à ronger, exacerbant sa honte et son excitation.

Il continue à se soumettre, acceptant sa punition méritée pour sa défaite et sa soumission totale.


Dans un acte de soumission totale et de désespoir, Fred se retrouve à aboyer, exprimant sa dévotion et son obéissance à Jerry, son maître.

Cet aboiement symbolise sa volonté de se conformer à toutes les exigences de Jerry, même s'il se sent humilié et dégradé.
C'est un geste de soumission extrême de la part de Fred, qui cherche à apaiser Jerry et à lui montrer sa loyauté sans réserve.

Fred se plie aux désirs de Jerry et exécute un comportement de chien, comme "faire le beau" et tirer la langue. Ce gestes, bien que dégradants, sont un moyen pour lui de témoigner son obéissance totale à Jerry et de chercher à apaiser son maître.
Fred se trouve contraint d'agir de manière dégradante pour satisfaire les désirs de celui qui détient le pouvoir sur lui. En faisant le beau, Fred montre sa soumission totale à Jerry et accepte son statut d'esclave sans réserve.



Malgré tout, tombant toujours plus bas, Fred continuer d’avoir des érections.

Jerry ne manque pas de torturer son rival :

« mais regardez moi ce porc ! Pire qu’un chien en chaleur ! » ha ha

Les érections que Fred ressent dans ces moments de soumission peuvent être dues à un mélange complexe d'émotions et de stimuli. Malgré la nature dégradante des situations dans lesquelles il se trouve, l'excitation et la stimulation physique peuvent survenir en raison du mélange de soumission, de contrôle et d'émotions intenses.




Le lendrmain matin, lorsque Fred lèche les pieds de Jerry pour le réveiller en douceur, il est à quatre pattes au sol. Jerry le regarde, d’un air supérieur. C’est alors que Fred se contorsionne et pousse des gémissements, avant d’éjaculer lamentablement sur le sol.

Fred se sent honteux et embarrassé par son manque de maîtrise, et tente maladroitement de s'excuser tandis que Jerry, tente de le rassurer.


"Ce n'est pas grave, déchet. C'est juste une preuve supplémentaire de ton dévouement total envers moi. Nettoie ça et reprends-toi."



C’est un jour de juillet que Fred, malgré sa servilité, trouve suffisamment de force pour essayer de se libérer de son emprise.

« S’il te plait Jerry, laisse moi partir. Depuis que tu m’as soumis à ton pouvoir, je ne suis plus capable de vivre normalement ! »

« Qu’est-ce qui t’arrive, déchet ? Tu ne veux plus être mon toutou ? » rétorque Jerry, amusé.

« non Jerry, je veux ma liberté ! »

Jerry soupire, agacé par la détermination de Fred à se rebeller.


« Tres bien, Fred. Si c'est ainsi que tu veux jouer... mais sache que tu ne seras jamais libre de moi. Tu es à moi, corps et âme. Et tu le resteras pour toujours. »

Fred se redresse, un feu déterminé dans les yeux, prêt à affronter les défis qui l'attendent.


« Peut-être, Jerry. Mais je suis prêt à tout pour retrouver mon humanité. Même s'il me faut lutter seul contre toi, je suis prêt à le faire. Adieu »

Sur ces mots, Fred se lève et quitte la pièce, laissant Jerry seul avec ses pensées et sa propre cruauté.



C’est alors que Fred, toujours aussi soumis malgré son comportement, sent une ejaculation monter en lui, au moment ou il quitte la pièce.

« oh non !...non, pas encore ! »

La puissance de son plaisir le fait tomber à quatre pattes. Jerry, profitant de l’occasion, se place victorieusement devant lui :

« Tu es mon esclave, Fred. Tu ne peux pas y échapper ! »


Fred, abandonnant définitivement toute idée de liberté, est obligé de reconnaître que son corps a choisi de se soumettre à jamais. Il se jette sur les pieds de Jerry et les couvre de baisers :

« Pardon maître ! Je sais que j’ai essayé de partir, mais je ne suis qu’un porc, un déchet ! Pitié, reprenez moi ! »


La sentence est cruelle et implacable : Fred est condamné à passer sa vie à lécher les pieds de Jerry, soumis à son autorité et à sa domination pour l'éternité.

C'est une existence de servitude perpétuelle, où Fred est réduit au rôle d'esclave, sans espoir de liberté ou de rédemption.
Pour Fred, c'est un châtiment impitoyable, condamné à une vie de dégradation et d'humiliation constante, lui rappelant chaque jour sa défaite et sa soumission totale à celui qu'il avait autrefois considéré comme un ami.

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