mael
par le 16/12/23
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-Sergent No, j'ai une mission pour toi. Deux chasseuses de primes yankees, sont arrivées à Odessa, dans le but de me couper les couilles. Elles ont prévu de débarquer ici près de Sotchi après un périple discret en Mer Noire. Je te charge de les accueillir comme il se doit. Ne les massacre pas. Conduit les sans les amocher à  la base. On va s'occuper d'elles comme il se doit. Fais gaffe, elles manient très bien les fusils à longue distance. 

-à vos ordres Général Valeri !

Et le colosse de zemble s'est mis en chasse.  Il étudie soigneusement la côte. Cherche tous les coins ou un accostage discret peut avoir lieu de nuit. No a un instinct redoutable. Il a l'habitude de chasser les ours polaires sur les banquises glacées de Zemble. Ce n'est pas ces deux tueuses pros qui vont l'intimiter.  Le sergent No se leche les babines. 

Traquer et capturer des femelles. Comme d'habitude le général Valeri laisse toute latitude pour mener à bien une mission. Ne pas les tuer ou les tabasser, ce sont les seuls ordres. Ne pas les amocher non plus. De penser à ces femelles....lui donne l'intuition exacte du lieu où elles vont débarquer. Comment il sait cela? Il n'en sait rien sauf qu'il est certain de cela. C'est comme s'il voyait presque le futur proche. C'est un chasseur.  Il met donc en place ses pieges. Des seringues hypodermiques feront le reste. 

Il fait le guet dans un abri invisible végétal. Pas besoin de lunettes à vision nocturne. L'ours de zemble est comme un prédateur, il sait, il sent, il devine. Et les deux tueuses se sont fait prendre à  peine débarquées.  Elles n'ont rien vu venir. C'est pas dans les manuels d'instructions militaires que l'on apprend à se battre contre le monstre de zemble. 

Il décide de les amener dans sa cabane dans les bois pour s'amuser un peu avant de les livrer à Valeri. Pour l'instant elles roupillent dur à causes des piqûres dues aux seringues tirées au fusil. Des doses légères mais suffisantes pour endormir un ours. 

Il les fout à poil toutes les deux et les attache par les mains à une poutre de sa cabane. Leurs pieds ne touchent pas le sol. On dirait deux belles dindes. Il les réveille à coup de baffes.  

-Alors mes cocottes. Il paraît que vous voulez toucher la cagnotte pour les couilles de notre général ? 

Les deux chasseuses de primes ne répondent pas.  Elles sont juste impressionnees par la taille du colosse de zemble. C'est peut etre pas un humain ce géant fruste et très poilu. Elles devinent vite qu'il est monté comme aucun homme ne peut l'être. Peut être les conséquences des essais nucléaires à zemble à l'époque de L'URSS ? Et ce monstre qui leur doigte la chatte et respire leurs odeurs intimes.

-Mais vous êtes deux lesbiennes, je vois, dit le sergent No. C'est pour cela que vous êtes au courant pour la cagnotte. Combien déjà? 20 millions de $. Cela fait cher pour des burnes. 

-Nous voulons être livrées à  la police. Pouvoir contacter notre ambassadeur !

-Vous allez pas bien les filles. Vous n'existez plus. Je peux vous découper en rondelles et vous manger crues si je veux. Alors fermez la et arrêtez de dire des conneries. 

No passe par derrière et commence par leur donner une bonne fessée.  Il commence doucement. Il caresse ces deux très jolis culs bien bombes de sportives. Il tapotte au début. Pour faire peur. Puis il claque et les deux filles hurlent. Des frappes pareilles,  c'est inconcevable. Leurs culs deviennent rouge vif. Elles hurlent encore.

Le sergent No s'amuse.  Il caresse  doigte les culs et les chattes, masse les seins et frappe. Un coup suffit pour déclencher une douleur insoutenable. 

-arrete ! T'es trop con. Tu fais trop mal.  Baises nous si tu veux mais arrête de nous tabasser le cul. C'est intenable.  

- Ben je peux pas mes mignones. Regardez. Mon sexe est trop gros. J'ai jamais pu pénétrer une femme. C'est impossible à rentrer.

Les deux chasseuses de primes regardent avec horreur le tronc d'arbre qui lui tient de sexe avec pour gland comme un champignon atomique difforme et monstrueux.

-mais tu te laves jamais? Tu pue le macaque et encore c'est une insulte pour les macaques. Allez libére nous on pourra te sucer. 

-écoutez les femelles. Il faut arrêter votre cinéma d'allumeuses, sans quoi je vais frapper vos chattes de gouines.  

No prend sa hache et part dans la forêt couper de bonnes branches. Il les taille et en fait des carcans pour la tête et les mains, pour les chevilles aussi. Satisfait de son travail il rentre avec le sourire.

-Écoutez bien les filles. J'ai dressé des ours et des loups sur mon île du grand Nord, c'est pas vous qui allez me les briser longtemps. 

Il les place toutes les deux  sous carcans, solidement liés et un nœud fait par No, seul No peut le défaire. 

-Voilà vous êtes mes esclaves et vous devez obéir pour tout. Allez ouste,  à la niche. Et il les mène nues dehors, dans le froid, et les attache devant sa porte comme deux chiennes de garde. Il les laisse ainsi toutes la nuit. Lorsqu'elles gémissement trop fort, il sort et leur tire des baffes bien sonores.

Le matin les deux tueuses sont brisées, elles ont peur des que No approche et tremblent. Une semaine passe sans jamais ôter les carcans. C'est ainsi que les mongols dressaient les esclaves. Les filles gardent désormais et les yeux baisses et ne disent plus rien. 

No les nourrit bien  les lave à l'eau glacée, les frotte rudement avec de la paille et des orties.  Elles sont magnifiques même si elles ont en permanence un cul bien rouge sous les claques. Elles obéissent en tout avec diligence. Elles ont peur en permanence de No. Il est imprévisible et il a la baffe facile. Encore une semaine et il les détache des chevilles. Le carcan du haut leur fait horriblement mal.  

La troisième semaine il peut commencer à les détacher, une à la fois seulement, toujours nues et elles doivent faire les corvées.  Puis de nouveau carcan et garde dehors devant la porte. Il ne les considère plus comme des femmes mais à peine comme des chiennes.  

Au bout d'un mois, ce sont devenues de vraies esclaves, bien dressées et obeissantes en tout. Il est temps de les présenter à Valeri. 

Ce dernier leur jette à peine un regard. 

-Tu as fait du bon travail sergent No. A présent on va les rendre contre paiement. Mais je doute fort que cela puisse se faire. En attendant, mets les à dispositions de tous ceux qui dans la base voudront les utiliser sexuellement. 

Effectivement, les américaines furent abandonnées. Personne ne voulu payer pour des chasseuses de primes en free lance. 

Chose étrange, ces deux filles commencèrent à accepter leur sort et même à prendre du plaisir. De temps en temps, No passait les recycler. Gardes nues dehors, carcans, fessées, baffes, humiliations. Cela commençait à les faire jouir. Deux chiennes devenues fidèles à leur maître dans une obéissance totale. 

Elles prenaient aussi plaisir à se faire prendre, à être sodomisees sans le moindre préliminaire, à devoir sucer des bites ou des chattes. cela devenait jouissif d'être traitées de la sorte.  

Les chasseuses de prime ne furent plus que deux très jolies chiennes.  Elles furent marquées au fer rouge et déclarées comme appartenant totalement au sergent No. Elles trouvèrent la paix et le bonheur à être ses deux femelles. 

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Antoinette
Malgré leur statut servile, les esclaves mongols étaient appréciés pour leurs compétences professionnelles et leur expertise et étaient censés produire des biens ou des services pour l'élite de l'empire.
J'aime 16/12/23
Antoinette
Esclaves sexuels Il n’y a pas de bataille ou de guerre dans l’histoire où les femmes ne sont pas utilisées comme proies sexuelles au service des soldats. L’Empire mongol les captura et en fit des concubines ou des esclaves sexuels. La dernière fut la reine sibérienne Botohui-Tarhun, qui réussit à vaincre l’armée de Khan dans une bataille sanglante. Le prix de sa victoire contre Khan fut très élevé. En raison des multiples viols, il y a des millions de personnes dans le monde liées à l’empereur. En plus de la violence faite aux femmes, ils abusaient aussi de l’alcool. Au fur et à mesure que l’Empire mongol s’enrichissait et devenait une puissance mondiale, les habitants jouissaient d’un certain luxe, comme la disponibilité illimitée d’alcool. Même les enfants de Genghis Khan ont été victimes d’alcoolisme, et on pense que c’est ce qui a causé leur mort.
J'aime 16/12/23
mael
Le carcan est comme un juge de paix pour savoir si vous êtes dominant ou soumis à condition de le garder suffisamment longtemps. Un dominant comme Gengis khan réduit en esclavage dans sa jeunesse, en sortira encore plus dominant. Un soumis sera encore plus soumis et glissera facilement vers l'esclavage total. C'est redoutable. Les deux chiennes du sergent No sont des soumises . Elles deviennent esclaves et découvrent que c'est leur véritable nature. Elles ne pourront être heureuses que dans cette condition d'esclaves. Des qu'elles comprennent que c'est irréversible cela devient jouissif pour elle. Et No semble être un très bon Maître.
J'aime 17/12/23
Antoinette
Des femelles qui trouvent leur place au pied de leur Maître. Elles peuvent s'aimer entre elles, sans se cacher. Ces deux tueuses pros dans leurs vies d'avant se retrouvent avec des hommes ou des femmes comme elles. No aurait pu les tuer facilement. Elles ont perdu mais elles ont une autre vie d'esclaves sexuelles qui n'est pas désagréable et peut même être tres jouissive.
J'aime 17/12/23
mael
C'est exactement cela. Ces deux chasseuses de primes savent que le sergent No leur a accordé une seconde chance à conditions. Il aurait pu facilement les tuer. Les mongols devaient faire pareil. On vous épargne mais vous devez accepter et respecter les conditions de votre vie d'esclave qui est une sorte de sursis.
J'aime 17/12/23