Bonjour à toutes & à tous, aujourd'hui je vais vous faire vivre la séance de Nadine.
Femme mariée de 43 ans qui, a le fantasme d'être fortement contrainte et de subir les plaisirs intenses de l'orgasme forcé.
Elle m'a contactée pour me révéler ce fantasme, être très fortement attachée sur une table, bâillonnée, les jambes écartées, dans l'impossibilité de les resserrer et ainsi exposer son intimité.
Ainsi offerte, dans l'impossibilité d'empêcher cet Homme, ce dominateur, ce Maître de lui faire subir les plaisirs intenses, voire à la limite de l'insupportable qui, peuvent même aller jusqu'à provoquer l'évanouissement d'être ainsi stimulée au plus profond de son corps de Femme, de son esprit, de son âme et ne pouvoir rien faire, subir dans l'extrême des plaisirs féminin.
Voilà plusieurs années qu'elle regarde ces vidéos de Femmes qui, ainsi offertes à leurs fantasmes, subissent ces plaisirs aux orgasmes multiples et tellement puissants qu'il lui semble voir ces Femmes en transes.
Après en avoir parlé de nombreuses fois à son époux, celle-ci à décider de franchir le pas et de trouver celui qui réaliserait ce fantasme qui, la ronge de plus en plus.
Elle m'a contacté et après bon nombre d'échanges, de réponses à ses questions, le temps que la confiance s'installe, qu'elle se sente prête à vivre cela dans les mains expertes mais, des mains étrangères qui, jusqu'à maintenant n'avait pas eu accès à son corps, celui-ci étant réservé à son époux.
Le rendez-vous est pris, viendra-t-elle? Aura t’elle le courage, la volonté de venir et de s'offrir à cet homme mais avant tout, à ses fantasmes d'être ainsi prête à se livrer corps et âme et de subir ces plaisirs qui, lui semble irréels ?
Le jour du rendez-vous est arrivé, je l'attends dans mon donjon et d'une oreille attentive, guette le moindre bruit sur la porte extérieure de celui-ci.
J’ai préparé le bâillon, mes cordes sont toutes prêtent à lui contraindre le corps et l'âme, mes jouets vibrants et autres sont sur la table voisine à celle qui va accueillir son corps, son esprit et son âme de femme et ainsi, libérer la soumise qui sommeille en elle et la révéler au grand jour pour enfin qu'elle vive son lâcher prise.
J'entends que l'on frappe à la porte, c’est bien le code que je lui ai dit de faire par mail pour être sûr que cela soit bien elle.
J'ouvre la porte et la découvre pour la première fois, le visage inquiet, le regard bas, noyé dans son esprit entre peur et excitation.
Je l'invite à entrer.
Elle est là, devant moi, dans la tenue que je lui ai ordonné de porter, coiffée, maquillée, très féminine avec sa jupe droite, ses bas porte-jarretelles, ses escarpins à talons hauts et fins, son chemisier à petits boutons, sa queue-de-cheval, magnifique d'élégance, tout ce que j'aime et, en prenant en compte qu'elle s'est préparée pour moi, selon mes ordres ce qui, est encore plus jouissif comme pour elle quand elle s’est préparée pour venir s'offrir au Maître du lieu.
Comme elle me l'a demandé, pas de discussion, pas d'échange, l'action immédiate pour qu'elle ne puisse écouter sa petite voix intérieure et partir en courant.
Non il n'en est pas question, elle est arrivée jusqu'ici alors, il faut qu'elle se fasse violence et aller jusqu'au bout et vivre enfin ce fantasme.
Je retire son sac de son épaule, retire sa veste, la regarde droit dans les yeux et commence à déboutonner son chemisier.
Bouton après bouton, son chemisier s'ouvre sur sa poitrine. Je retire le bouton de poignet, puis l'autre et lui retire son chemisier.
Là toute chose, les joues rouges, la chair de poule, elle n'ose me regarder.
Je glisse un doigt sous son menton et par ce geste, l'oblige à me regarder.
De l'autre main que je glisse dans son dos, je dégrafe son soutien-gorge et libère ses seins qui sont d'une taille moyenne, ni gros, ni petit, qui serons très beaux car mis en valeur par mes cordes rouges.
Voilà son buste nu, ses seins à ma vue la trouble, elle est gênée.
Je prends une longueur de corde et prends ses bras pour les contraindre .Ses poignets, les bras, passe ma corde en dessus et en dessous de ses seins, plaquent ses bras contre son corps par une corde fermement liée avec son buste, bloquent le tout par les passages au niveau de ses épaules. Je continue sa contrainte par des passages de ma corde entre ses seins, ses bras relient ceux-ci et ainsi bloquant tout mouvement.
La voilà entièrement contrainte sur la totalité de son buste, offerte et prête à continuer.
Je prends un moment pour lui demander si cela lui plaît, si elle ressent la soumission la gagner, si elle aime ce sentiment d'appartenance et d'offrande ?
Elle me répond qu'elle est envahie de sensations, de ressenties et que ceux-ci lui donnent du plaisir, plaisir qu'elle n'avait pas compris pendant nos échanges mais qu'elle comprend aujourd'hui.
Elle me fait part également de sentiment qu'elle pense honteux d'être excitée d'être à ce point soumise et offerte à cet inconnue qui la touche aussi intimement.
Ainsi contrainte, encordée, à ma merci, soumise à ses fantasmes, je déboutonne sa jupe, fait glisser la fermeture éclair, fait glisser doucement sa jupe le long de ses jambes, la faisant vibrer, légèrement trembler et, à la fois troublée.
Je découvre sont serre taille, ses bas couture, ses jarretelles et constate quelle à bien suivis mes ordres.
Sans petite culotte, sont intimité bien lisse et douce, elle est prête pour la suite de sa contrainte autant que son offrande.
Nue devant moi, son intimité féminine sous mes yeux, elle est toute chose et les joues rougissantes, je la prends dans mes bras pour la poser délicatement sur la table, sur son dos.
Cela l'impressionne encore plus, elle se sent encore plus offerte, plus soumise allongée ainsi sur cette table, encordée, contrainte, offerte et dans l'obligation de continuer la soumission qui l'envahie et qui inonde de sensation la totalité de son corps comme la totalité de son être.
Je saisis sa cheville droite, prends une corde et ainsi tour de corde après tour de corde, bloque celle-ci contre la cuisse oblige la jambe dans son entier d'être ainsi écarté.
Quand je prends la cheville gauche, je sens un sursaut de la part de ma soumise, impressionnée par le sentiment de contrainte extrême d'être ainsi allongée, contrainte, attachée et exposée.
Avec une autre corde, que je passe dans les liens de la cheville et de la cuisse, cette corde va tendre vers l’extérieur de la table la jambe droite.
Celle-ci ne pourra plus revenir vers l'autre jambe et ouvre encore plus fortement l'accès à l'intimité de ma soumise qui commence à bien mouiller de ces plaisirs reçu et qu'elle découvre au fur et à mesure.
Avec une autre corde, je fais de même avec la jambe gauche. Là, entièrement ouverte, offerte, sa féminité exposée, elle est toute soumise et n'attends plus que l'extrême contrainte du bâillon qui va par son action, amplifier grandement l'emprise de mes cordes sur son corps mais surtout, sur son âme de soumise prête à n'être et se révéler aux grands jours.
Je prends ce bâillon boule, à la lanière de cuir noir et cette boule de rouge vêtue, me dirige vers sa bouche, lui pose sur les lèvres et, attends qu'elle ouvre la bouche comme un signe d'acceptation et ainsi glisser la boule entre ses lèvres, entre ses dents et verrouiller très fermement le fermoir dans son cou.
Bâillonnée pour la première fois de sa vie, très fortement encordée, attachée, contrainte et offerte, le bâillon commencent à la faire baver, il est temps de commencer la sentence t'en fantasmée et désirée.
Pour commencer, la pulpe d'un doigt sur ces grandes lèvres.
M’immiscer doucement avec ce doigt vers le haut de celles-ci.
Appuyer doucement, bouger doucement, laisser les sensations, les ressenties monter en pressions.
Insister légèrement sur le clitoris, avec un second doigt, faire semblent de vouloir m’immiscer entre ses grandes lèvres.
Attendre que la respiration s'accélère, attendre que les premiers gémissements se fassent entendre.
La pénétrer avec un doigt et la faire sursauter, fouiller son intimité, trouver son point G, commencer à accélérer ses plaisirs, constater que sa respiration s'emballe, que les gémissements sont de plus en plus présents, insérer un deuxième doit, puis un troisième et commencer à la faire hurler dans son bâillon qui étouffe ses cris. La fouiller, va et vient, la rendre folle, tentent de se libérer, de bouger, de m'empêcher de continuer, constatent qu'elle ne peut, qu'elle est à moi et que je vais continuer à la posséder ainsi et commencer à prendre conscience qu'elle est prisonnière de ses fantasmes et que ceux-ci vont la rendre complètement en overdose de plaisirs intenses.
Haletante, le souffle saccadé, elle est complètement submergée par t'en de plaisir qu'elle ne peut contrôler et de ce fait, les ressenties, les sensations sont une adorable torture.
Trempée sur la totalité de son corps, dégoulinante de plaisirs entre ses cuisses, je lui retire son bâillon, lui ressuie sa bouche, son cou, lui donnent à boire de l'eau bien fraiche.
Je lui demande si j'arrête là et, elle me répond non encorder Maître, emportez-moi, baissé-moi, prenez-moi, je suis votre chose, votre objet, votre jouet, encoreeeeee.
Gentleman, je saisis le bâillon pénis, lui insert dans la bouche et verrouille celui-ci.
Étonnée par cette intrusion buccale, heureuse de ce nouveau jouet dans sa bouche, je reprends mon jouet vibrant et le place sur ses grandes lèvres que j'écarte largement pour, y introduire la boule vibrante de mon magic Wang.
Bougeant l'outil d’intense plaisir de haut en bas de ses grandes lèvres, passant sur son clitoris, m'attardent sur celui-ci, passant de vitesse un à vitesse deux, elle est complètement en phase de jouissance, d'orgasme.
Le premier orgasme se fait entendre, un deuxième vient aussi tôt en suivant le rythme de mes irrésistibles actions sur son intimité trempée.
Elle est complètement tordue dans mes cordes, ne sachant plus ou elle en est, crient, bavant, tremblant de tout son corps, de tout son être.
Rouge de plaisirs, sa tête allant de gauche à droite de façon hystérique, son corps entièrement en émoi, bouleversée par toutes ces endorphines qui inonde la totalité de son corps de Femme soumise et offerte, dans l'impossibilité de gérer-t-en de plaisirs, elle crie dans son bâillon son incontrôlable plaisir.
Je la laisse ainsi se reposer, reprendre ses esprits mais, aussi chaude que la braise, ses grandes lèvres très ouvertes, ses tétons bien tendus et durs, sa respiration au maximum,
Je reprends mon action elle démarre au quart de tour, un orgasme pratiquement instantané se fait entendre, son corps est entièrement en spasme, folle de plaisir elle ne contrôle plus rien et je suis l'heureux propriétaire de ses plaisirs et c'est moi et moi seul qui dirige ses orgasmes, laissant le magic Wang opérer sur son intimité, celui-ci la rendant complètement folle des plaisirs reçus, ne pouvant vraiment contrôler ce qu'elle subit.
Je choisis de lui introduire dans le vagin un god vibrant pour la priver de tout contrôle et qu’elle prenne conscience qu’elle est ma chose et je suis le seul à contrôler la totalité de son être.
Celui-ci complétant à merveille le magic Wang et permet à mon objet de subir un trio d'orgasme qui la fait chavirer dans les overdoses de plaisirs si forts qu'elle a du mal voir, qu'elle ne peut contrôler.
Jouant du magic Wang, jouant du god vibrant, elle perd pied et hurle tellement qu'elle sectionne la lanière du bâillon avec ses dents ne pouvant plus rien contrôler et succombent à la puissance intense des plaisirs reçus qui la mettent dans un état second, provoquant deux orgasmes supplémentaires et une petite perte de connaissance et, ne pouvant plus se retenir, urine sur le sol du haut de la table.
vidée, exténuée, épuisée, je lui ôte le bâillon, la détachent des chevilles aux épaules, la prends dans mes bras car, ne pouvant plus tenir debout, ne pouvant plus marcher, tremblante, sans voix, le souffle irrégulier, le rythme cardiaque à 160 sous ses seins gonflés et durs. Je la dépose délicatement sur le lit du donjon, la prend dans mes bras, l'apaisent pour la calmer et lui permettre de reprendre pied.
Lui essuient le front, le visage, les seins tout mouillés de la bave provoquée par le bâillon et l'imposante excitation reçu, elle est là toute absente, le regard hagard.
Elle se colle contre moi, je lui caresse les cheveux et lui parle doucement pour l'apaiser.
Un petit peu remise de ces émotions très fortes, je lui offre boisson et petit gâteau pour lui permettre de reprendre des forces.
Nous échangeons sur cette séance, elle m'avoue n'avoir jamais connu une t'elle jouissances, première fois pour elle d'avoir de multiples orgasmes.
Elle m'avoue avoir vraiment perdu pied, d'avoir pour la première fois découverte ce qu'est le lâcher pris.
Elle m'avoue également cette sensation incontrôlable et presque irréel d'être à ce point possédé.
Sa séance était pour elle plus que réussie même si elle m'avoue que c'est tellement puissant qu'elle ne pourrait le vivre trop souvent tellement c'est presque une torture de plaisirs, deux mots qui ne vont pas ensemble mais qui relatent à la perfection les ressenties de cette séance.
Elle ses rhabillée, vient m'embrasser et retourne vers son mari, va-t-elle lui raconter sa journée de plaisirs intensément incontrôlable, je ne peux vous dire.
J’espère que le récit de cette séance vous a plu et mesdames, si l'envie vous prend de vivre cette expérience orgasmique, la porte de mon donjon vous est ouverte. Bien cordialement Passions.