MGV
par le 04/10/23
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Ne me regarde pas, salope !
Baisse les yeux ou tu prendras une décharge électrique.
Oui, juste comme ça.

C'est toujours si bon quand tu es dans cette cage et que je peux faire ce que je veux de toi.
Juste ou injuste, peu importe.
Je me demande même si te traiter injustement c’est pas mieux. Si, bien sur que c'est beaucoup mieux.


Tellement bon de cracher sur ma chienne, d'utiliser l'ouverture sur le dessus de la cage pour pouvoir utiliser le vibro, le crochet ou tout autre outil que j'ai envie d'utiliser.
Tu as passé l'après-midi à travailler dans la cage en attendant ton Maître. J'espère que ta visio-conférence s'est bien passé. Et que le floutage du fond a bien fonctionné. En fait non. Il faut que j'arrête de me mentir. J'espère le contraire et que tous tes collègues savent que tu es ma salope.

Je viens de m'asseoir devant toi.
Et non, tu ne peux pas regarder. Je suis quelques centimètres en dehors de ton champ de vision.
Si tu regardes, tu sais que tu seras punie en conséquence. Et que tu m'auras déçu, surtout.


Rangeons cet ordinateur portable. La journée de travail est terminée.
Laisse-moi te mettre ton bâillon. Celui que je préfère. Le baillon araignée qui ouvre ta bouche en grand.
Tu es superbe en lingerie de salope, en rouge à lèvres et avec mon gag préféré. Je suppose que tu as enlevé ta robe la seconde d'après ta réunion.
Je suppose également que tu seras encore plus superbe avec la machine qui te baise le cul.

Pas vraiment une punition pour une pute comme toi mais c'est ce que je veux ce soir. Te regarder te faire prendre par une machine.
Continue à baisser les yeux et ne bouge pas pendant que je la branche et la laisse te pénétrer.

La cage a une grande ouverture sur le dessus et il est tellement agréable d'y verser de la cire chaude pour te peindre.
Si j''entends ne serait-ce qu'un soupir, tu prends une décharge et tu le sais. Rien de mieux que les réflexes pavloviens pour dresser sa chienne de compagnie.

J'aime quand ton corps est peint. J'aime que les couleurs de cire commencent à se mélanger. La couleur qui te va le mieux est incontestablement le blanc, celui de mon sperme qui te dégouline dessus. Mais n'importe quelle "peinture" sur ton corps m'excite.

La machine sexuelle te baise lentement mais le gode est GROS et tes yeux commencent à couler et ton mascara à se répandre.
Ton dos est maintenant couvert de crachats et de cire.
Ne me regarde pas, esclave ! Continue à fixer le sol.

Je commence à me branler maintenant à quelques centimètres devant toi.
Je sais que tu veux me voir. Je sais que tu es excitée. Je sais que tu veux même me prendre dans ta bouche.
Je sais tout ça mais tu ne le mérites pas.
Ce que tu mérites arrive.

J'ouvre le bas de la porte de la cage que je fixe en haut. Tu sais que tu dois en profiter pour passer ton visage. Tu procèdes doucement pour ne pas perdre le gode qui va et vient dans ton cul.
Mon pied gauche vient sur ta tête pour que ton visage soit bloqué contre le sol.

Quand je sens que je vais exploser, je m'agenouille, mes genoux qui encadrent ton visage plaqué au sol..
Tu peux me sentir exploser dans ton dos maintenant. J'ai même laissé le haut de ton dos sans cire que tu puisses sentir que j'explose sur toi.
Je recule et tu sais que tu dois te redresser, ouvrir la bouche pour que je puisse te la remplir au moins un peu.
Je finis par exploser sur le sol.

Je ne suis pas sans cœur.
J'arrête la mchaine.
J'enlève le bâillon.
Tu peux maintenant supplier de nettoyer le sol.
Je sais à quel point tu aimes que tout soit propre.

Thèmes: cage, dressage, machine
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