Zuip
par le 14/09/23
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- Tu vas jouir, salope ?

- Oui, Monsieur... Oui, Monsieur... Je vais jouir...

 

La petite salope s'escrime comme elle peut.

Sous l'œil attentif et sévère du Maître, ses doigts s'agitent furieusement. Sur son clitoris. Dans sa chatte.

 

Nue, elle est assise, vautrée au fond du canapé. Les cuisses largement ouvertes, elle s'offre, impudique, au regard du Maître.

Et le Maître promène la cravache sur ses cuisses. Prend un malin plaisir à la frapper brusquement brutalement. Soudain un coup la saisit.

Bien qu'elle s'y attende, chaque coup la surprend. Elle se contracte sous la douleur. Son visage se crispe.

 

- Oh ! Monsieur !

 Souffle coupé, geste suspendu.

Mais elle reprend très vite le travail de sa chatte.

Les coups peuvent se suivre. Ou être très espacés.

 

Il faut dire que la petite salope a déjà joui trois fois. Mais son Maître ne la ménage pas. Il en veut encore. Il le lui dit :

- J'en veux encore. Tu peux encore m'en donner...

Et la petite salope fourrage très vite son clito et son trou. Elle cherche désespérément à se faire monter, à jouir une fois de plus. A offrir son ultime jouissance à son Maître.

Mais ne va-t-il pas lui ordonner de jouir encore ?

 

*

 

Le Maître est le Maître.

Et il impose à la salope ses plaisirs et ses jouissances.

 

Parfois il la frustre. Parfois pendant plusieurs jours.

Il la corrige, la caresse, la baise. Mais lui interdit de jouir. Il s'arrête de la caresser, de la lécher, de la baiser, juste avant qu'elle explose.

Ou au contraire continue, lui intimant :

- Tu ne jouiras pas. Je t'ordonne de ne pas jouir.

 

Parfois il le lui dit avant même de la toucher. Et la petite salope, tête baissée, toujours lui répond :

- Bien Monsieur.

 

Parfois elle est au bord des larmes de devoir se retenir.

 

La bite du Maître est alors particulièrement grosse quand il la prend. Il la baise. Et se vide en elle. Ou dans son cul. Ou dans sa bouche. Et la bouche, la chatte, le cul plein de foutre, elle doit se retenir. Rester dans cet état. Pleine. Pleine de ce désir qui la remplit.

Elle doit plier sous la volonté du Maître. Attendre son bon vouloir. Faire les tâches quotidiennes qu'il lui impose. Rester près de lui, sous sa main ou sous ses couilles.

Mais cela la travaille. Cela bout dans son ventre. Cette chaleur. Elle doit prendre sur elle pour ne pas crier. Elle s'en mord les lèvres. Dans l'attente, l'espoir... Que son Maître enfin l'autorise à jouir.

 

*

 

Mais aujourd'hui elle doit jouir. Encore jouir.

Et n'est-ce pas encore plus terrible que devoir se retenir, être totalement frustrée, même pendant plusieurs jours ?

 

Son Maître l'a faite jouir d'abord avec sa langue. Lentement. Tenant ses fesses dans ses mains. Battant inexorablement son clitoris avec sa langue. Lui faisant désirer sa bite. Mais la faisant inexorablement monter. Couler dans sa bouche. Et elle a joui. Soudain. Surprise par sa propre jouissance.

 

Puis il l'a faite jouir avec ses doigts. En lui racontant une histoire. L'imaginant prise par plusieurs hommes. Lui décrivant leurs bites plus ou moins grosses, plus ou moins longues. Imaginant le plaisir qu'ils lui donnent en remplissant ses trous. L'imaginant tenue, empoignée, manipulée par leurs mains. Prise par ses trois trous. Enculée, baisée, la bouche pleine. Pleine. Prise et pleine comme la salope quelle est. Ce mot la cingle. Et la fait jouir.

 

Enfin son Maître l'a baisée. En reprenant son histoire. Glissant d'autres queues dans sa chatte. Remplissant sa bouche du foutre de plusieurs hommes. Il l'a baisée et enculée. Allant de sa chatte à son cul à sa chatte à son cul... Et pleine de toutes ces bites, pleine de tout ce foutre, elle a encore joui.

 

Elle n'en peut plus.

Le visage rouge. La chatte brûlante et douloureuse. Les cuisses marquées, striées par les lignes rouges que laisse la cravache après chaque nouveau coup cinglant. Elle a mal.

Mais elle en mouille. Elle en mouille encore.

 

Pourtant le Maître est dur avec elle. Sévère. Impitoyablement dur. Il ne la ménage pas. Quand il la prend brutalement pour son plaisir. Son plaisir de la tenir accroupie devant lui pour qu'il la fourre.

Elle aime sentir sa force, sa puissance quand il l'empoigne par les hanches. Elle aime sentir la force, la puissance de sa bite qui ravage sa chatte. Elle aime l'entendre grogner son plaisir quand il la baise. Crier quand il crache son foutre.

Alors elle est sa femelle, sa chose, salope et putain. Sac à foutre et pissotière quand il pisse dans son cul ou dans sa bouche.

- Tu seras cette femme-là, lui avait-il dit.

Oui. Elle est cette femme-là.

Pour lui. Par lui.

Lui.

 Lui. Cet homme dur comme sa bite est grosse...

Et alors qu'un nouveau coup de cravache s'abat sur sa cuisse, violemment cingle l'intérieur particulièrement délicat de sa cuisse : elle explose. Elle explose sa jouissance, la hurle, la crie, se tord, halète, convulse, se répand. Elle jouit.

Longuement. Violemment.

Reste hébétée, prostrée. Hallucinée. Ailleurs.

 

Son Maître, ironique, lui sourit. Enfin.

 

Mais elle en veut encore.

 

16 personnes aiment ça.
Lola
Très beau texte
J'aime 14/09/23
sylvie35
1f642.png Je reconnais ce style que j'aime beaucoup. Merci pour ce texte.
J'aime 14/09/23
Pan d'Aura
Merci Monsieur pour ses émotions partagées.
J'aime 14/09/23
✡️ Aubade 🕎
Ouiiii je vais joouiirrr
J'aime 15/09/23
Pat4SX
Excellent texte, où je rêve d'être ce Maître...
J'aime 15/09/23
CYRUS dsl
Belle écriture , complicité profonde dévouement sans concession
J'aime 15/09/23
Excellent texte, où je rêve d'être cette soumise...
J'aime 17/09/23
gitane sans filtre
Des mots qui giclent, j'apprécie la plume
J'aime 18/09/23
Zuip
@SlaveX C'est moi qui te remercie pour tes mots...
J'aime 19/10/23