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Début de malaise en fin d après-midi , elle veut appeler les pompiers mais je refuse catégoriquement car dans deux jours c est mon anniversaire.
Hors de question pour moi de me retrouver encore une fois à l hôpital non pas pas peur, ni pour l ambiance qui généralement est plutôt bonne car je ne sais pourquoi mais autant que je me souvienne , j ai toujours eu d excellents rapports avec le corps médical , ma compagne de ce récit, mon ex-femme et plusieurs ex-compagnes travaillaient également en milieu hospitalier.
Cela me fais sourire à chaque fois , mais n allez pas croire que je le fasse exprès ou que j orienterais mes recherches dans ce sens , non.
D ailleurs je n ai jamais fais de recherches précises quelles qu elles soient préférant et de loin laisser le hasard choisir à ma place.
Mon malaise ne passant pas , elle décide de passer outre mon refus et téléphone aux pompiers qui ne tardèrent pas à arriver et après les examens correspondant à mon état décident de m emmener en vitesse à l hôpital .
Une fois de plus je me retrouve aux urgences , ne voulant pas me quitter une seconde elle se tient à mes cotés et après fait les présentations avec le personnel soignant et y avoir décliner sa profession similaire dans un hôpital d une autre région ils lui autorise à rester près de moi.
Les infirmières sont charmantes et bien que la douleur soit présente je ne peux nullement m empêcher de plaisanter avec elles, l ambiance est plutôt bon enfant bien que nous nous trouvons aux urgences , puis arrive le médecin , enfin je dis le médecin mais c est une femme, petite brune, la trentaine , charmante à souhait avec malgré la situation un grand et beau sourire et moi qu une jolie femme me sourit et de suite je me sens mieux, ma compagne en fait la remarque devant tout ce petit monde ce qui provoque quelques rires bienvenus.
La médecin nous dit hésiter entre une crise cardiaque et une péricardite car les premiers examens donnaient un début de crise cardiaque et les suivants non.
Moi je me laisse bercer par son sourire jusqu au moment ou elle me dit que je vais devoir rester plusieurs jours ici.
J essaie de négocier ma sortie mais refus catégorique et sans appel de toutes les personnes présentes dans cette pièce ma compagne y compris.
Là du coup je ne rigole plus , un brancardier vient me chercher afin de m emmener au service de cardiologie ou je suis très bien reçu et le personnel y est tout aussi charmant. Ma compagne refait les présentations auprès du personnel soignant de ce service, qui du coup la traite avec le même égard qu aux urgences.
On me place dans une chambre ou il n y a qu un lit et une grande baie vitrée donnant presque juste en face du bureau des infirmières., ma compagne réussit l exploit de se faire apporter un grand fauteuil inclinable à souhait , on me pose les perfusions d usage puis on m annonce que l infirmière de nuit passera tout à l heure.
Peu après elle arrive, superbe fille d environ 25 ans tout aussi agréable et charmante que la médecin des urgences.
Du coup malgré ma situation je sens poindre un début d envie que je masque par quelques boutades et plaisanteries, et juste avant qu elle parte je lui demande de bien vouloir baisser le store car la lumière du couloir me gêne et qu ainsi je n arriverai pas à dormir, elle le baisse gentiment et me dit d appuyer ur la sonnette en cas de besoin mais qu étant aussi bien accompagné elle ne se faisait guère de soucis .
Juste après qu elle soit sortie je me suis tourné vers toi te disant que toutes ces émotions me provoquaient une certaine envie voir une envie certaine.
Voyons m as tu dis ce n est ni l heure ni l endroit pour penser à "ça" .
Voyant que je n obtiendrais rien que par la parole j ai donc soulever les draps et t ai montré la belle érection que je tenais là.
La vue de mon sexe dressé t as fais sourire mais que nenni m as tu dit , tu es à l hôpital et tu dois te reposer , et puis l infirmière pourrait rentrer à n importe quel moment, que non , qu il fallait que je comprenne que c était trop risqué aussi bien pour ma santé que le risque de se faire surprendre.
Mais voilà, moi quand j ai une idée dans la tête et bien je l ai pas aux pieds et après négociation tu as finalement accepté de me faire une fellation , de celle dont je ne me lasserai jamais. Je repliais donc ma jambe gauche et calait les draps , ainsi si une personne venait à entrer tu serais masquée ce qui te laisserais le temps de te dégager.
Après de longues minutes de ce délicieux traitement (de faveur) , je t ai demandé de monter sur le lit et de venir t empaler sur mon sexe.
Et là bien qu usant du même stratagème que précédement , là tu as tenu bon, pourtant ce n a pas été faute d insister et pour me consoler tu m as dit vouloir me sucer jusqu' à que j explose de plaisir dans ta bouche.
Vu mon état de faiblesse j ai fini par accepter non sans tenter une dernière tentative aussi vouée à l échec que les précedentes.
Je dois reconnaitre que tu t es appliquée et je n ai pas tarder à inonder ta bouche de mon sperme, tu n en as pas laissé une goutte ne voulant absolument pas laisser une quelconque trace de cet acte et te payer la honte.
Après m avoir bordé , puis de longs et savoureux baisers tu m as dit de dormir qu il fallait que je me repose......
Franchement elle est pas belle la vie ?
Hors de question pour moi de me retrouver encore une fois à l hôpital non pas pas peur, ni pour l ambiance qui généralement est plutôt bonne car je ne sais pourquoi mais autant que je me souvienne , j ai toujours eu d excellents rapports avec le corps médical , ma compagne de ce récit, mon ex-femme et plusieurs ex-compagnes travaillaient également en milieu hospitalier.
Cela me fais sourire à chaque fois , mais n allez pas croire que je le fasse exprès ou que j orienterais mes recherches dans ce sens , non.
D ailleurs je n ai jamais fais de recherches précises quelles qu elles soient préférant et de loin laisser le hasard choisir à ma place.
Mon malaise ne passant pas , elle décide de passer outre mon refus et téléphone aux pompiers qui ne tardèrent pas à arriver et après les examens correspondant à mon état décident de m emmener en vitesse à l hôpital .
Une fois de plus je me retrouve aux urgences , ne voulant pas me quitter une seconde elle se tient à mes cotés et après fait les présentations avec le personnel soignant et y avoir décliner sa profession similaire dans un hôpital d une autre région ils lui autorise à rester près de moi.
Les infirmières sont charmantes et bien que la douleur soit présente je ne peux nullement m empêcher de plaisanter avec elles, l ambiance est plutôt bon enfant bien que nous nous trouvons aux urgences , puis arrive le médecin , enfin je dis le médecin mais c est une femme, petite brune, la trentaine , charmante à souhait avec malgré la situation un grand et beau sourire et moi qu une jolie femme me sourit et de suite je me sens mieux, ma compagne en fait la remarque devant tout ce petit monde ce qui provoque quelques rires bienvenus.
La médecin nous dit hésiter entre une crise cardiaque et une péricardite car les premiers examens donnaient un début de crise cardiaque et les suivants non.
Moi je me laisse bercer par son sourire jusqu au moment ou elle me dit que je vais devoir rester plusieurs jours ici.
J essaie de négocier ma sortie mais refus catégorique et sans appel de toutes les personnes présentes dans cette pièce ma compagne y compris.
Là du coup je ne rigole plus , un brancardier vient me chercher afin de m emmener au service de cardiologie ou je suis très bien reçu et le personnel y est tout aussi charmant. Ma compagne refait les présentations auprès du personnel soignant de ce service, qui du coup la traite avec le même égard qu aux urgences.
On me place dans une chambre ou il n y a qu un lit et une grande baie vitrée donnant presque juste en face du bureau des infirmières., ma compagne réussit l exploit de se faire apporter un grand fauteuil inclinable à souhait , on me pose les perfusions d usage puis on m annonce que l infirmière de nuit passera tout à l heure.
Peu après elle arrive, superbe fille d environ 25 ans tout aussi agréable et charmante que la médecin des urgences.
Du coup malgré ma situation je sens poindre un début d envie que je masque par quelques boutades et plaisanteries, et juste avant qu elle parte je lui demande de bien vouloir baisser le store car la lumière du couloir me gêne et qu ainsi je n arriverai pas à dormir, elle le baisse gentiment et me dit d appuyer ur la sonnette en cas de besoin mais qu étant aussi bien accompagné elle ne se faisait guère de soucis .
Juste après qu elle soit sortie je me suis tourné vers toi te disant que toutes ces émotions me provoquaient une certaine envie voir une envie certaine.
Voyons m as tu dis ce n est ni l heure ni l endroit pour penser à "ça" .
Voyant que je n obtiendrais rien que par la parole j ai donc soulever les draps et t ai montré la belle érection que je tenais là.
La vue de mon sexe dressé t as fais sourire mais que nenni m as tu dit , tu es à l hôpital et tu dois te reposer , et puis l infirmière pourrait rentrer à n importe quel moment, que non , qu il fallait que je comprenne que c était trop risqué aussi bien pour ma santé que le risque de se faire surprendre.
Mais voilà, moi quand j ai une idée dans la tête et bien je l ai pas aux pieds et après négociation tu as finalement accepté de me faire une fellation , de celle dont je ne me lasserai jamais. Je repliais donc ma jambe gauche et calait les draps , ainsi si une personne venait à entrer tu serais masquée ce qui te laisserais le temps de te dégager.
Après de longues minutes de ce délicieux traitement (de faveur) , je t ai demandé de monter sur le lit et de venir t empaler sur mon sexe.
Et là bien qu usant du même stratagème que précédement , là tu as tenu bon, pourtant ce n a pas été faute d insister et pour me consoler tu m as dit vouloir me sucer jusqu' à que j explose de plaisir dans ta bouche.
Vu mon état de faiblesse j ai fini par accepter non sans tenter une dernière tentative aussi vouée à l échec que les précedentes.
Je dois reconnaitre que tu t es appliquée et je n ai pas tarder à inonder ta bouche de mon sperme, tu n en as pas laissé une goutte ne voulant absolument pas laisser une quelconque trace de cet acte et te payer la honte.
Après m avoir bordé , puis de longs et savoureux baisers tu m as dit de dormir qu il fallait que je me repose......
Franchement elle est pas belle la vie ?
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