sylvie35
par le 27/04/23
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« What ??? »

J’ai probablement mal compris, ou alors c’est de l’humour britannique au quatrième degré.

Mon Maître aussi a l’air surpris. Il tente de reformuler, dans un anglais à peu près aussi approximatif que le mien. Sonia confirme.

Je crois qu’elle se fiche de moi, mais puisque, d’un regard qui se passe de paroles, mon Maître m’ordonne de faire ce qu’elle me demande, je ne peux qu’obéir. En essayant de ne pas trop me faire remarquer par les serveurs, je fais glisser l’objet plat entre mes lèvres intimes, comme pour lire la bande magnétique d’une carte de crédit. Voilà ma fente transformée en lecteur de carte… « C’est absurde », me dis-je.

Je repose la carte sur la table, mais rien ne se passe, à part que l’un des côtés maintenant enduit de cyprine offre à la vue de tous le témoignage de mon état d’excitation, ce qui me fait rougir. Depuis mon enfance, je rougis facilement, trop facilement, et l’âge adulte ne m’a pas guérie de ce handicap, bien au contraire. C’est un phénomène physiologique, irrépressible, et dès que je m’en rends compte il s’auto-amplifie.

Rien ne se passe. Elle s’est bien fichue de moi et m’a mis la honte…

« Wait a minute » dit Sonia. Effectivement, l’apparence de la surface commence à changer. Un zoom sur une partie du texte de la Magna Carta Libertatum [1] se produit brutalement, le fond devient jaune, un jaune atroce (mais qui a choisi cette couleur !) et un animal, à peine visible, apparaît en filigrane.

Le pangolin fou ! Celui qui enculait des chauves-souris lors d’orgies indécentes ! Ce salopard, fou à lier, pervers au-delà de l’imaginable, a causé la plus grande pandémie que l’humanité ait connue. Heureusement que des milliardaires philanthropes et des politiciens avisés nous ont sauvés grâce à une technologie expérimentale d’avant-garde. C’est, du moins, ce que dit le consensus scientifique, relayé par l’ensemble des médias. Quelques téméraires ont bien émis publiquement une autre hypothèse [2], mais ils sont à présent internés en hôpital psychiatrique, là où est leur place aux dires de tous les éditorialistes, car il faut « être sérieusement dérangé pour oser mettre en doute le consensus scientifique ». Autrefois, la science avançait par débat contradictoire et confrontation d’idées, mais ça c’était la préhistoire. Aujourd’hui, grâce au progrès apporté par la Suprême Alliance Démocratique, la science est claire, unique, solide : elle est consensus, elle est officielle, elle ne laisse pas de place au doute.

Le pangolin fou, devenu par ironie le signe de reconnaissance de ceux qui sont encore assez timbrés pour penser différemment et qui selon certaines rumeurs se seraient organisés en réseau clandestin. Combien sont-ils ? Une poignée ? Sonia en fait donc partie. Ce n’est guère surprenant. En m’offrant cet objet étrange elle me souhaite en quelque sorte la bienvenue parmi eux. Je peux refuser, mais le ferais-je ? Non, mon choix est déjà fait, depuis bien longtemps je crois.

L’image disparaît déjà. Même la Magna Carta a disparu, laissant la place à un beige uniforme. Je m’apprête à submerger Sonia de questions quand le serveur nous apporte le dessert. Une véritable œuvre d’art dans l’assiette. « Je ne vais pas oser le manger ! » s’exclame mon Maître. Comme je le comprends ! C’est tellement beau. Je prends quelques photos pour garder un souvenir de cette œuvre éphémère.

Pendant que nous dégustons ce délicieux dessert, Sonia me donne quelques informations. Cette carte contient une base de données. Des documents hautement compromettants, subversifs, et un projet de charte pour remettre l’humain au centre de la société, « la charte du pangolin fou ». Utopiste ? Voué à l’échec ? Probablement, mais peut-on  vivre sans espoir ?

Pendant le court laps de temps durant lequel la carte est activée, elle peut se connecter par ondes radio à n’importe quel PC.
Une carte qui doit être glissée dans la fente mouillée d’une salope pour s’activer... Je serais bien curieuse de faire la connaissance de l’ingénieur pervers qui a eu cette idée saugrenue. Mais en tout cas c’est un moyen de protection efficace. Qui pourrait deviner qu’elle s’active ainsi ?

Toutes les bonnes choses ayant une fin, il est déjà temps de quitter ce superbe restaurant. Il n’y a plus beaucoup d’occasions de passer un bon moment depuis que la démocratie moderne a étendu son emprise sur nos vies [3]. Nous n’y reviendrons jamais, malheureusement, puisque dans quelques jours l’enseigne Mac Cricket ornera la devanture, marquant à tout jamais la fin d’une époque.

Le chemin du retour est raide, comme je le craignais. Les hauts talons, quelle plaie ! Mais en tant qu’esclave sexuelle, je n’ai pas le choix.

« Grimpe sur mon dos »
Mon Maître a eu pitié de moi…
Collée à mon Maître, les sensations ne tardent pas à m’envahir tout le corps. Qu’est-ce que j’aime cet homme ! J’ai l’impression d’avoir une sorte d’orgasme, diffus dans le temps et dans l’espace. Je me sens bien, heureuse. Jusqu’à ce que l’air amusé de Sonia m’amène à réaliser qu’avec ma robe courte, j’ai carrément les fesses à l’air ! Heureusement que les chemins que nous empruntons pour éviter les caméras de surveillance sont peu fréquentés.

Arrivés au dernier détour, au bout de la ligne droite qui mène au domicile de mon Maître j’aperçois un véhicule de la gendarmerie garé devant le portail. Aie ! Je suis soudain saisie de terreur. Mon Maître me repose à terre et nous dit d’attendre là, Sonia et moi.
J’observe de loin mon Maître discutant avec le gendarme. Il est seul, ce qui est inhabituel, à moins que son collègue ne soit resté dans le véhicule. J’ai l’impression que le visage de mon Maître traduit de l’inquiétude, mais à cette distance je ne distingue pas bien les détails.
Il nous fait signe de venir.

Nous pénétrons tous les quatre dans le jardin, dans un silence qui n’annonce rien qui vaille, et mon Maître referme le portail.
Le gendarme n’a pas l’air commode. Et pourtant, dès qu’il commence à parler, je pousse intérieurement un « Ouf ! » de soulagement. Les images de vidéo-surveillance qui auraient permis d’identifier l’Aston Martin lors de la course-poursuite avec les miliciens ont été effacées par l’un de ses collègues de confiance, mais il n’est pas prudent que Sonia reste là trop longtemps, nous explique-t-il. Je m’improvise traductrice. Sonia acquiesce et un rendez-vous pour son évacuation est convenu. Il faut qu’elle quitte l’Europe, devenue trop dangereuse pour elle. Si on m’avait dit qu’un jour j’aurais contribué à une exfiltration !

C’est donc la dernière journée que j’aurai le plaisir de passer en compagnie de Sonia, cette femme que j’admire et que je n’aurais jamais imaginé rencontrer.  J’ai de la peine pour elle. Peut-être qu’elle ne pourra jamais revoir les îles britanniques, sa terre natale.

Dès que le gendarme est ressorti, nous regagnons la maison et je ne tarde pas à me prendre une gifle. Zut ! J’ai oublié. Je m’empresse de retirer ma robe. « Toujours nue dans la maison ! J’espère que tu ne m’obligeras pas à te le répéter » m’avait-il pourtant bien indiqué lorsque nous échangions par mail avant notre rencontre. Je pensais que ce serait une consigne que je n’oublierais pas, et puis… Dès qu’il y a des circonstances imprévues, le cerveau zappe.

Me voilà de corvée de ménage. Je déteste cela… Pourtant c’était le lot des femmes il n’y a pas si longtemps.

Ma corvée terminée, mon Maître me met la laisse et me conduit à la cave. Je sursaute en apercevant Sonia. Elle est nue, debout, les bras en l’air, poignets attachés aux anneaux du plafond. Sa chatte est intégralement épilée, comme la mienne. Pendant que je m’affairais aux tâches ménagères, elle s’est visiblement coiffée et maquillée. Elle est jolie ! Se faire belle pour recevoir le fouet. Voilà une marque de respect et de politesse que mon Maître a certainement appréciée à sa juste valeur.

 « Elle voulait essayer » me dit mon Maître à l’oreille.

Curieuse… Irrépressiblement curieuse… Voilà un point commun que j’ai avec elle. Pas surprenant finalement. On ne peut pas être journaliste d’investigation sans être animé par une curiosité viscérale. La même curiosité qui moi m’a fait m’orienter vers les sciences. Apprendre, découvrir, comprendre, questionner, … Des métiers bien différents, en apparence du moins, et pourtant le même moteur psychologique. Sonia est l’une des dernières, la profession étant maintenant remplacée par les fact-checkers, chargés de défendre coûte que coûte la ligne officielle, de discréditer toute pensée dissidente et de tuer dans l’œuf tout questionnement.

Je m’attendais à observer, en spectatrice, l’initiation de Sonia, et j’en ressentais déjà de pervers frissons de plaisir, mais voilà que mon Maître m’attache à mon tour. Face à face, mamelles contre mamelles, je ressens le souffle de Sonia sur mon épaule, les pointes de ses tétons saillants parcourant mes mamelles au gré de nos mouvements, heurtant parfois les miens, tout aussi saillants. C’est terriblement érotique. Je sens une excitation sexuelle irrépressible m’envahir. Pour moi qui me croyais 100% hétéro, c’est très troublant [4].

Elle me sourit et rougit… Ah, elle aussi ? Etrange. S’il y a une femme que j’imaginais incapable de rougir, c’est bien elle.

Le premier coup de fouet me rappelle à la dure réalité. Ah, la vache ! Qu’est-ce que ça fait mal ! Mon Maître ne fait pas semblant.
J’essaie de tenir le coup, mais au bout d’un moment je craque. Je crie, je pleure. Les larmes coulent à flot. Sonia aussi. Mon Maître ne s’arrête que lorsque nous sommes à bout de forces toutes les deux, épuisées d’avoir tant crié et pleuré.

Mon Maître lubrifie l’anus de Sonia, sans ménagement si j’en juge par ses grimaces, puis le mien. Instant humiliant s’il en est, mais qui présume bien de ce qui nous attend.
Il nous laisse ainsi, seules, face à face, mamelles contre mamelles, … Nos larmes coulent encore et se mélangent parfois. C’est la première fois que je suis fouettée et je n’imaginais pas cela aussi douloureux. Sonia sanglote. Moi aussi.
Je ne sais pas ce qui me prend, mais voilà que je l’embrasse sur les lèvres. Je n’ai pas pu résister. Une nécessité. J’en avais envie. J’en avais besoin. Elle ne me repousse pas, au contraire.

Je suis tellement absorbée par mon audace que je n’ai même pas réalisé que mon Maître était revenu et nous observait.
« Une seule de vous deux aura l’honneur de recevoir la bite dans le cul. Mettez-vous d’accord entre vous, femelles ! ». La version anglaise suit dans la foulée.
Ca je ne m’y attendais pas !
« Sonia ! »
Je n’ai même pas réfléchi. Cela m’est venu comme une évidence.
Tirer profit de mon empathie pour neutraliser ma jalousie. Bien joué, Maître !

La bite dans le cul après le fouet... Je n’aime pas être enculée, mais pourtant à cet instant j’en avais terriblement envie. Tant pis.

Sonia se prend une sacrée claque sur les fesses pour lui faire comprendre qu’il faut présenter son cul mieux que ça pour la sodomie. Elle redouble d’efforts pour se cambrer correctement. Pas facile quand on est attachée. Elle a voulu essayer, elle en a pour son compte maintenant.

C’est avec une grande frustration, et sentant ma jalousie maladive remonter à la surface, que j’assiste, impuissante, à la sodomie de Sonia. Je me remets à l’embrasser, comme pour partager un peu de ce moment et apaiser ma frustration. Difficile, car elle bouge beaucoup et crie sous les coups de boutoir de mon Maître. Visiblement elle n’a pas plus que moi l’habitude de se faire enculer. C’est peut-être même sa première fois. Est-ce que je lui ai fait un cadeau empoisonné quand j’ai prononcé son nom ?

à suivre
 

Références :

[1] « Comment osez-vous ! », article publié sur bdsm.fr le 18/04/2023  https://www.bdsm.fr/blog/8535/Comment-osez-vous-!/

[2] Rapport du Sénat US sur l’origine de la pandémie (version préliminaire, courte)  https://www.help.senate.gov/imo/media/doc/report_an_analysis_of_the_origins_of_covid-19_102722.pdf

[3] L’histoire de cette relation Maître/esclave naissante se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes, dont le pouvoir central se situe à Pékin. Chaque Etat membre conserve une certaine autonomie sous réserve de se conformer aux grands principes de la démocratie moderne. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).

[4] ajout du 6/8/2024: malices du hasard, je tombe ce jour sur ce beau dessin de Bruce Morgan (https://www.bdsm.fr/photo/1075954/) posté par Mia Michael - la scène est très proche de l'image que j'avais en tête en écrivant. J'en profite pour faire un peu de pub pour Mia Michael, ce qu'elle écrit est délicieusement pervers (très très pervers), sans prise de tête, souvent déjanté et agréable à lire.

 

16 personnes aiment ça.
merci sylvie!. je vient d'essayer et ca marche tres bien.
J'aime 30/04/23
ton article fait 2 x moins de vue que ceux d'avant. c bizare.
J'aime 03/05/23
sylvie35
C'est parce qu'il n'est pas très sexy ce pangolin 1f602.png En plus, sur fond de Magna Carta jaunasse... Quelle idée... On peut rêver plus attirant 1f602.png Plus sérieusement (quoi que...) il y a eu beaucoup d'articles publiés juste après. Un article reste visible entre un jour et une semaine, après il est dans les oubliettes de l'historique. Mais il y a quand même quelques lecteurs courageux, c'est sympa 1f642.png
J'aime 03/05/23
👍 👍 👍
J'aime 04/05/23
Bonjour Sylvie. Ne consultant que rarement le site je découvre tes deux derniers articles avec retard mais néanmoins beaucoup de plaisir. Même si mon avis ne vaut pas grand chose permets moi de t'adresser toutes mes félicitations et mes encouragements pour ce beau travail d'écriture, soigné sur le fond comme sur la forme. Permets-moi aussi d'adresser une pensée admirative au grand Monsieur dont la sagesse n'a d'égale que la discrétion et qui a su déceler tes capacités et te donner la confiance qui te manquait.
J'aime 09/05/23
sylvie35
Merci beaucoup Joseph. Tous les commentaires ont de la valeur à mes yeux. C'est une puissante source de motivation.
J'aime 09/05/23
gitane sans filtre
oh je viens de découvrir les nouveaux articles ! et moi qui pense que j'ai de l'imagination ... Vous me surpassez haut la main... et toujours ces clins d'œil à certaines actualités, je suis toujours fan ^^
J'aime 15/05/23
sylvie35
Merci beaucoup Gitane 1f60a.png Initialement, je ne pensais pas écrire au delà du premier article. Et puis... Vos encouragements et ceux d'autres lecteurs/lectrices ont beaucoup contribué à m'inciter à persévérer.
J'aime 15/05/23
VraiEsclavagiste
@ sylvie35.. Et après qui sait? Peut-être que cela deviendra un classique de la littérature érotique: le roman d'anticipation érotique...
J'aime 15/05/23
sylvie35
On peut toujours rêver ! En tout cas, ça me fait plaisir de voir qu'il y a quelques lecteurs/lectrices qui aiment bien, et ça suffit largement à mon bonheur 1f642.png
J'aime 15/05/23
et au nôtre (bonheur) ! Ce que je trouve dommage, quitte à me répéter, c'est que les articles ne soient pas mieux mis en valeur sur le site. La section articles est peu consultée et la relégation rapide dans les tréfonds de l'historique est redoutable. Il s'y trouve beaucoup de beaux texte rédigés par des auteurs bénévoles qui mériteraient d'être plus visibles.
J'aime 15/05/23
sylvie35
Merci Jakez. La modération diffuse quand même une annonce quelques heures ou quelques jours après la mise en ligne de chaque article (d'ailleurs, c'est très efficace, puisque les vues doublent ou triplent en quelques heures!). C'est sympa. Après, une trop grande mise en lumière serait à double tranchant car elle risquerait d'attirer pas mal de monde pas vraiment intéressé par la lecture, des gens qui vont lire quelques lignes en vitesse, se faire un avis bien tranché vite fait, et mettre un commentaire assassin. Pour moi qui écris en partie au second degré, c'est un coup à me prendre une volée de bois vert par ceux qui vont tout comprendre au sens littéral 1f602.png
J'aime 15/05/23
l'ilustration ais faite par toi aussi je crois? comment tu fais ce jaune et coment tu met le filigrame? j'aprend a programer et j'essaye de faire des images comme toi pour m'entrainer, mais g ps reussi a faire une anim comme sur ton profil c trop compliquer
J'aime 21/05/23
sylvie35
Magnifique ce jaune n'est ce pas ? 1f602.png J'ai simplement coupé la composante bleue sur une photo originale de la Magna Carta, du coup il ne reste que les composantes rouges et vertes, ce qui fait du jaune. Pour le filigrane, j'ai pris une photo de pangolin (trouvée sur le web - je ne suis pas allée en vacances à Wuhan faire des photos 1f602.png), je l'ai moyennée, multipliée par un coefficient pour l'atténuer, et ajoutée à la première image. Je passe plusieurs détails, mais en gros l'idée c'est ça. On peut certainement faire beaucoup mieux en utilisant des logiciels spécialisés, mais quand on programme soi-même, c'est plus marrant, même si le résultat est nul. Valeur affective... L'animation c'est plus compliqué en effet car il faut gérer la composante temporelle. Je fais évoluer des pointeurs sur une table de couleurs.
J'aime 21/05/23
merci sylvie g essyer mais le resultat ais trop claire et ca satur presque partout et j'espere que tu continura a ecrire sur le forum meme si tu t facher avec un dom
J'aime 21/05/23
sylvie35
Pensez à convertir vos données en flottant avant de faire les opérations et repassez en octet non signé seulement à la fin, sinon les valeurs négatives sont coupées et en plus le coefficient est arrondi à 1, ce qui est assez violent... Je ne sais pas si le problème vient de là, mais vérifiez déjà ça. Non, pas fâchée, c'est juste que les types qui ont un melon surdimensionné ça me gonfle. Si j'écris de temps à autre sur le forum c'est pour le plaisir, pour quelques discussions sympathiques et peut-être occasionnellement pour partager un point de vue qui peut intéresser. Si c'est pour me prendre la tête avec des cons ça m'amuse beaucoup moins, et j'ai déjà assez d'occasions d'en côtoyer par ailleurs 1f602.png Mais pour les articles, je continue !
J'aime 21/05/23
ca marche c t ca le pb merci t trop forte il a vu que c t ironic et que tu te foutait de sa gueule et comme il se prent pourr un dieu il a ps aprecier mais c t bien meriter. continue stp j'm trop te lire et tu m'a fait reflechir et changer
J'aime 21/05/23
VraiEsclavagiste
@ Sylvie... Le problème avec les cons, c'est que même ceux de l'année prochaine sont déjà nés!....
J'aime 22/05/23
sylvie35
Pour voir les choses positivement: "on est toujours le con de quelqu'un, mais on est rassuré lorsque l'on trouve plus con que soi". Je ne sais plus qui a dit ça (je me demande si ce n'est pas Pierre Perret, mais je confond peut-être).
J'aime 22/05/23
albadeo
il s'agit bien de Pierre Perret. Merci le net
J'aime 22/05/23